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 Die Eisenbahn zwischen Manchester und Liverpool




Beschreibungstext fre


fois á Newton, pour heuiler et examiner la machine; ce n'est donc que là où les passagers peuvent descendre ou monter. Les voitures de la seconde classe abservent 12 stations où les passagers peuvent prendre ou quitter leur place. La rute du chemin de fer est, dans toute sa longueur, bordée des deux côtes d'une haie pour empêcher les bestiaux d'y pénétrer. Enfin la route va en descendant jusqu'à une distance d'environ 5 milles d'Angleterre (de 4 pieds par mille), et bientôt on arrive à un chemin creux très enfoncé (fig. 3. Tab. 28) dans le Mont-Olive qui est pratiqué dans une profondeur de marne. On passe premièrement sous cinq beaux ponts d'une arche au moyen desquels les chemins vicinaux se continuent en prenaut leur direction en travers du chemin de fer. La longueur totale de ce chemin contient 60 ponts semblables. De ce chemin creux on arrive sur une digue de 40 à 50 pieds de hauteur, qui, dans plusieurs endroits est traversée par les ponts. Alors on atteint le village Wiston, et de-là au niveau de Rain-Hill, et en continuant, on arive au plan incliné de Sutton, enfin au marais de Parr. On éprouve en y arrivant, une sensation qui indique que l'on parcourt un terrain pour ainsi dire élastique. A quatorze milles et demi de Liverpool on atteint la chausée et le pont de Sankes (voy. Fig. 4. Tab. 28). Le pont est composé de neuf arches, ayant chacune 50 pieds d'ouverture. La hauteur, depuis les parapets, varie de 60 à 70 pieds, et le viaduct, sur le pont, a 25 pieds de largeur. Le canal de Sainte-Hélène, capable de porter des vaissaux, passe sous l'une des arches, et la rivière de Sankes sous une autre. Plus loin on rencontre encore l'excavation du chemin de Kenyon. On remarque aussi plusieurs ponts construits sur ce chemin creux. Enfin on arrive au grand Chat-moss, ou marais de chat qui coupe le chemin de fer à la lonueur de 4 – 3/2 de milles d'Angleterre. Vu la trop grande superficie et une profondeur de24 à 30 pieds, empêchaient que l'on songeât à y faire des pilotis. On chercha donc, autant que possible à mettre ce marais à sec par des saignées et on jeta, pour établir une fondation, des branchages et des chlaies qu'on recouvrit de sable de garvier, où on posa enfin les supports, en bois, des rails. A présent, cette partie de la route n'est inférieure à aucune autre (voyez fig. 6 tab. 29)., En deça de ce marai, la route s'élève graduellement, alors on arrive à un endroit élevé, d'où on peut voir Manchester, continue pardessus l'Irwell, et conduit les voyageurs à la station de la Compagnie, vis-à-vis d'une longue enfilade de magazins. Ici le chemin est vonsidérablement plus élevé que les bords de la rivière, il s'élargie à une fois autant de rails, qu'elle n'en avait jusque là et il continue pendant un grand espace, au delà des magazins, dans une direction paralléle à la route ordinaire de Liverpool, par- dessus une succession de 22 arches en briques, et par-dessus un pont jeté sur Water-Street (fig. 5. Tab. 29), pour aller aboutir à une grande station à charbon, aboutissant à gauche., De l'autre côté des magazins et du railway, est un bâtiment spacieux, avec un fronton grec, faisant face à la route à barrière de Liverpool, et où les voyageurs quttent leur place ou se rassemblent pour le départ., Tous les frais de L'entreprise montent à 820,000 livres Sterling, ou, en francs, 20,500,00 Fr. A présent il y a 16 voitures à vapeur sur cette route, et leur nombre s'augmente de jour-en-jour. Depuis le rivage de la mer, jusqu'à Manchester on transporte les marchandises dans l'espace d'une heure et demi.