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 Die Rennbahn der alten Römer




Beschreibungstext fre


Antiquités. VIII. Vol. IV. No. 49., LA CARRIÈRE DES ANCIENS ROMAINS., Antiqu * es Anciens ne tenaient point leurs com-fes en champ libre, comme les Anglais d'aujourd'hui, au contraire ces L. ectacies le donnaient nu milieu de magnifiques édifices publics, qui entouraient la grande place qui fervait de carrière; ces édifices uniquement consacrés à ces exercices publics se nommaient Cirques. La première Figure de la table ci-jointe réprésentë un tel Cirque, dont il y avoit plulieurs dans l'ancienne Rome., Fig. 1. Un Cirque des anciens Domains., Le Cirque était un édifice de la forme d'un quarré oblong, arrondi en demicercle à l'un des bouts; l'intérieur était entouré de rangs de bancs de pierres pour les fpectateurs; au milieu il y avoit une grande place découverte, où se tenaient les couriés à cheval et des chars, les exercices des gladiateurs et athlètes, les combats des bêtes et autres spectacles publics. Le dehors de l'édifice était entouré d'arcades et de galeries, et l'on y trouvait les portes d'entrée. Le côté a qui forme un des bouts de l'édifice était compofé de halles, qui fervaient de remiies aux chars de courfe, de retraite aux chevaux et aux bêtes jusqu'au moment, où le fpeetacle commençait. Au milieu de la place et le long d'elle s'étendait une muraille, nommée Spina (Epine), haute de fix et large de 12 pieds, sur laquelle on avait élevé de petits temples, des autels, des obélisques, des pyramides, de petites tours coniques, des statues, principalement celles de Neptune et Cybélé. Aux deux bouts de cette espèce d'eftrade on avait drelïé trois cônes de pierres, l'un à côté de l'autre, qu'on appellait Metae. Les jouteurs étaient obligés, d'en faire fept fois le tour. Ces cônes leur fervaient de but. A l'endroit de la carrière marqué b, V m avait tracé une ligne blanche, nommé Creta (la Craie), d'où les chars partaient. En e était la grande portecochère, au-deffus de laquelle se trouvait la loge du Conful ou Empereur, qui donnait le lignai du commencement., Fig. 2. Une Quadrige., Les jouteurs pour les courfes de chars se divifaient en plusieurs troupes, qui se diftinguaient l'une de l'autre par les couleurs de leurs habits. Celui que nous voyons ici est de la Compagnie verte. Ces jouteurs portaient des ceinturons de courroies autour du cor;-, s et des bras. C'étaient pour la plupart des Chevaliers ou d'autres jeunes Romains de qualité; ils se tenaient debout dans les phars peu élevés de la terre, ouverts par derrière et attelés de deux, trois à quatre chevaux dans un même rang; de cet attelage ils portaient le nom de Biga, Triga ou Quadriga. Celui qui la feptième fois acheva le premier la courfe autour de la Spina, et atteignit le premier la Meta, vis-à-vis de la loge impériale, fautait sur le piédéftal de la Meta, et obtint comme vainqueur une branche de palme, une couronne etc., Fig. 3. Timon et joug de Char., Ahifi que la boite et les roues du char étaient richement ornées, de même l'était le timon ordinairement garni d'une tète de bélier en bronze. Le joug double de fer y était attar ché que l'on mettait sur les chevaux timoniers, qui portaient le timon du char; il fervait en même tems à traîner ce char leger., Fig. 4. Un Vainqueur couronné., Non seulement le Vainqueur dans la courfe des chars obtint une branche de palme ou une couronne, mais aussi ses chevaux furent ornés de branches de palme attachées à leurs têtes. On frappait aussi" des médailles en l'iionneur des vainqueurs telles que celle de bronze réprésentée ici. T1 heAn Round metae an