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Ad00341 06 060aFig. 1. Ansicht der Stadt Macao.~~Macao liegt auf einer kleinen Insel gegenüber der Stadt Canton, und ist die einzige Besitzung, welche irgend einer europäischen Macht im Gebiete des chinesischen Reichs gehört. Die Portugiesen erhielten das kleine Stück Land, auf welchem sie 1585 die Stadt Macao erbauten, vom Kaiser Chy-Tsong, zur Belohnung ihrer Dienste gegen die Rebellen und Seeräuber.~~Der Anblick der Stadt ist lachend und schön; sie ist amphitheatralisch auf einer Anhöhe erbaut und macht sich schon von weitem durch die weiss angestrichenen, im europäischen Geschmack erbauten, Häuser bemerklich. Man sieht eine Menge schöner Gebäude, welche auf grossen Plätzen stehen, und mit ansehnlichen Höfen und Gärten umgeben sind; die meisten von ihnen aber sind unbewohnt, denn Macao ist von seiner ehemaligen Bedeutsamkeit herabgesunken, seitdem die Portugiesen von Japan verbannt wurden, und den Handel mit diesem Reiche, dessen Haupt-Niederlage Macao war, verloren haben. -~~Die Stadt hat bedeutende Festungswerke, die aber jetzt zum Theil verfallen, und nur von einer schwachen Besatzung von 150 Mann Sepoy's oder indischen Soldaten vertheidigt werden. -~~Fig. 2. Die Höhle des Camoens.~~Der berühmte Dichter Camoens, der Homer der Portugiesen, lebte, während seiner Verbannung aus dem Vaterlande, in Macao. In der Grotte eines Gartens, (hier abgebildet) der gegenwärtig dem Director der englischen Factorei gehört, soll er seine berühmte Lusiade (ein Heldengedicht, welches die Entdeckungen der Portugiesen in Ostindien besingt) gedichtet haben. Die Aussicht aus diesem Garten auf das Meer und die Stadt Macao ist reizend genug, um, besonders unter jenem schönen Himmel, einen Dichter zu begeistern.~~
Ad00341 06 060a/freMélanges CLIX. Vol. VII. No. 58.
LA COLONIE PORTUGAISE DE MACAO EN CHINE.
Fig. 1. Coup d'oeil de la ville de Macao.
Macao, situé dans une petite île, vis-à vis de la ville de Canton, est la-seule.possession, qui appartienne à une puissance quelconque de l'Europe dans le territoire chinois. Cette petite portion de pays fut donnée par l'Empereur Chy-Tsong&ux Portugais en récompense des services, qu'ils lui avaient rendus contre les rebelles et les pirates. Ils y bâtirent en 1585 la ville de Macao. On ne voit rien de plus beau ni de plus jriant que le site de cette ville, qui, bâtie en amphithéâtre sur une hauteur, attire de loin l'attention par la blancheur de ses maisons construites à l'Européenne. On trouve sur de grandes places de beaux édifices, pourvus de cours et de jardins; mais la plupart sont inhabités, car Macao a beaucoup perdu de son importance, depuis que les Portugais ont été chassés du Japon, et qu'ils ont perau le commerce de cet empire, dont Macao était le principal magasin. La ville a des foTtifications importantes, mais qui sont maintenant en très-mauvais état et qui ne sont défendues que par une faible garnison de !5oCipayes ou soldats indiens.
Fig. 2. La grotte de Camoens.
Camoens, célèbre poète, l'Homère des Portugais, vécut, pendant son exil, h Macao.' C'est dans la grotte d'un jardin, ici figuré, et dont le directeur de la factorerie anglaise est maintenant possesseur, qu-il doit avoir composé sa célèbre Lusiade, poëme épique, où il chante les découvertes des Portugais dans les Indes orientales. La perspective de ce jardin, qui donne sur la mer et la ville, est vraiment assez attrayante pour inspire* «a. poète, surtout sous un si beau ciel.
Ad00341 06 061aFig. 1. Der schwimmende Courier.~~In den gebirgigen Gegenden von Quito, wo reissehde Ströme die Schiffahrt und den Brückenbau erschweren, ist man zur Unterhaltung der Correspondenz auf den Ausweg gerathen, schwimmende Couriers abzufertigen, welche die Briefe von Quito nach Jaen bringen. Man bedient sich dazu gewöhnlich der Indianer. Dieser Wasser -Courier schwimmt zwei Tage lang über drei grosse Ströme, wo er häufig sich vom Strome abwärtstragen lässt, bisweilen aber bei gefährlichen Wasserfällen ans Land steigt und seinen Weg durch die Wälder fortsetzt. Er wickelt seine Briefe in ein Schnupftuch oder in ein Paar Beinkleider, und befestigt das Paket gleich einem Turbane um den Kopf; daneben steckt er noch sein großes Messer, womit jeder Indianer versehen ist, um sich in den dichten Wäldern Bahn zu machen. Da die Ströme sehr reissend sind, so muss der arme Courier sich mit grosser Anstrengung flott zu erhalten suchen. Um weniger zu ermüden, nimmt er einen Ast von leichtem Holze unter die Arme. Zur Unterhaltung begleitet ihn bisweilen ein Gefährte. Beide reisen ohne Lebensmittel, und finden ihre Wohnung in den gastfreien Hütten an den Ufern der Ströme.~~Fig. 2. Das Haus der Incas.~~Auf den grossen Landstrassen hatten die Incas oder einheimischen Könige, Gebäude für sich und ihr Gefolge errichten lassen. Der festen Bauart wegen haben sich mehrere noch bis auf unsere Zeiten erhalten. Die Figur a zeigt den Plan oder Grundriss eines solchen Gebäudes, c einen Theil der inneren Mauer eines Zimmers, und b den nämlichen Theil von aussen. Bei d und e ist die Zusammenfügung der Theile sichtbar gemacht.~~
Ad00341 06 061a/freMélanges CLX. Vol. VII. No. 59.
CURIOSITÉS DE L'AMÉRIQUE MÉRIDIONALE ESPAGNOLE.
Fig. 1. Le Courier-nageur.
La rapidité des fleuves rend, dans les contrées montagneuses de Quito , la navigation et la construction des ponts si difficiles, que, pour l'entretien de la correspondance , on s'est avisé d'établir des comiers-nageurs, qui portent les lettres de Quito à Jaën; ce sont ordinairement les Indiens, qui font ce service. Ce Courier nage pendant deux, jours sur trois grands fleuves, où il se laisse souvent aller au torrent; mais quelquefois, •lorsqu'il se trpuve des cataractes ou chûtes d'eau périlleuses, il descend à terre, et continue sa.route à travers les forêts. Il enveloppe ses lettres dans un mouchoir, ou une culotte, qu'il atr tache autour de sa tête en forme de turban; il place à côté son grand couteau, dont tout Indien est pourvu, pour.se frayer une route dans les épaisses forêts, qu'il traverse. Comme les fleuves sont extrêmement rapides, le pauvre Courier, a besoin-défaire tousrses. efforts pour n'être pas. submergé; mais pour semoins fatiguer, il prend sotis le bras une branche de bois;3éger; il a aussi quelquefois un compagnon de voyage. Us partent l'un et l'autre sans secharger d'aucune espèce de vivres, et se logent dans les huttes hospitalières situées sur les bords des fleuves.
Fig. 2. La maison des Incas.
Les Incas, ou rois indigènes, avaient fait construire pour eux et leur suite des édifices sur les grands chemins. Us étaient bâtis avec tant de solidité qu'il y en a quelques uns qui existent encore. La figure a montre le plan d'un pareil édifice; c, une partiedu mur intérieur d'un appartement; b, la même partie en dehors. L'encastrement des parties, est. visible à cl et à e.
Ad00341 06 062aDer Chimborasso (sprich Tschimborasso) ist der höchste Gipfel der Cordilleren, jener riesenhaften Gebirgskette im spanischen Süd-America, welche sich von der Südspitze der neuen Welt bis an die Landenge von Panama erstreckt, welche Nord- und Süd-America scheidet.~~Die Abbildung dieses höchsten Berges der Erde ist aus Herrn von Humboldts Reisen genommen. Die untere Region ist hier nicht sichtbar, weil die Ansicht des Chimborasso auf der, 9000 Fuss über der Meeresfläche erhaben liegenden, Ebene von Tapiau genommen ist. Die ganze Höhe dieses Riesenberges beträgt 19,632 Fuss über der Spiegelfläche der Südsee. - Auf den hohen Ebenen von Tapiau sieht man hier nur solche Pflanzen, welche in der kühlen Region noch ausdauern können, als den peruanischen Mastix-Baum (Schinus molle), Cactus u.s.w. Einige Lama's weiden auf der vorderen Fläche, und Indianer ziehen hinüber auf den Markt nach dem hohen Dorfe Lican. Auch die Luftschichten lassen sich deutlich auf den verschiedenen Höhen des Berges unterscheiden; während sich der Fuss in dünne durchsichtige Nebel hüllt, wird höher hinauf die Bläue des Himmels tiefer und der schneebedeckte Gipfel macht scharfe Umrisse in der reinen Luft auf dem völlig indigofarbigen Himmel, wodurch der Anblick an Majestät und Schönheit erhöht wird.~~Die abgestumpfte Kegelform des Gipfels macht es nicht unwahrscheinlich, dass dieser Berg durch ein Erdbeben aufgeworfen worden, oder unterirdischen Feuern seinen Ursprung verdanke.~~
Ad00341 06 062a/freMélanges CLXI. Vol. VII. No. 60.
LE CHIMBORASSO DANS L'AMÉRIQUE MÉRIDIONALE.
Le Chimborasso (prononcez Tschimborasso) est le sommet le plus élevé des Cordillères, cette chaîne de montagnes gigantesques, située dans l'Amérique méridionale espagnole, qui s'étend de la pointe du sud du nouveau monde jusqu'à l'isthme de Panama, et qui sépare l'Amérique du Nord de l'Amérique du Sud. C'est aux voyages de Mr. de Humboldt que nous devons la représentation de la montagne la plus élevée de la terre. On ne voit point ici la basse région,. parceque la perspective du Chimborasso est prise de la plaine de Tapiau, élevée de 90OO pieds audessus de la surface de la mer. La hauteur totale de cette montagne gigantesque est de 19,632pieds. On ne trouve sur les plateaux que les plantes qui résistent aux régions froides, telles.que le Molle, le Cactus etc. On voit paître sur le plateau de devant quelques Lamas, et des Indiens se rendent au marché du village Lican. On distingue aussi facilement, des différentes hauteurs, les couches de l'air; car pendant que le pied est enveloppé d'un brouillard fin et transparent, l'azur du ciel est, en remontant, plus foncé, et le sommet couvert de neige forme de fortes disparates avec le ciel d'un bleu d'indigo, ce qui donne au coup d'oeil plus d'éclat et de majesté. Il est très-vraisemblable, à en juger par la forme conique émoussée du sommet, que cette montagne a été produite par un tremblement de terre, ou par quelque feu souterrain.
Ad00341 06 063aDie auf gegenwärtiger Tafel abgebildeten prachtvollen Gebäude sind unter der Regierung des jetzigen Kaisers Alexander I. ausgeführt worden, und sind hauptsächliche Zierden jener grossen Residenzstadt.~~Fig. 1. Die neue Kathedral-Kirche zur Mutter Gottes von Kasan.~~Die erste Idee zu dieser prächtigen Hauptkirche fasste schon der Kaiser Paul I. im Jahr 1800, und liess den Plan dazu vom Architekten, dem Hofrath Woronichin machen. Am 27. August 1801 legte der jetzt regierende Monarch Alexander I. an der Newskischen Perspective den Grundstein, und unter Leitung des Grafen Strogonow wurde nach dem ersten Plane vom Hofrath Woronichin der Bau binnen 10 Jahren geendigt. Durch eine im Halbzirkel vorspringende Colonnade (nach der der Peterskirche in Rom gebildet), an deren äusserem Ende die kolossalen bronzenen Statuen der Erzengel Gabriel und Michael stehen, gelangt man zum Hauptgebäude, welches die Form eines Kreuzes hat, und sich oben in eine Kuppel endigt. Die ganze Höhe beträgt 217 Fuss Rheinl. Das Innere hat 3 grosse reiche Altäre, und wird durch 56 Säulen getragen, welche jede bei 35 Fuss Höhe aus einem einzigen Stück des schönsten Granits aus Finnland besteht. Ausserdem ist das Innere der Kirche mit Marmor, Jaspis und Bronze noch auf das reichste verziert. -~~Fig. 2. Das neue Börsengebäude auf Wassili-Ostrov.~~Eben sowohl zur Zierde, als zum Nutzen dient das neue Börsengebäude auf Wassili-Ostrov, welches nach dem vom Minister Grafen Romanzov im Jahr 1804 vorgelegten und genehmigten Plane gebaut wurde, und bereits geendigt ist. Nach den Angaben des französischen Architekten Thomon bildet dieses neue Börsengebäude auf einer erhabenen Basis ein prachtvolles längliches Viereck mit einem Säulengang umgeben, und ist im Inneren von oben her beleuchtet.~~Die vordere Façade, welche wir hier erblicken, liegt dem kaiserl. Winterpallaste gegenüber, und davor bildet das schöne Granitufer einen grossen geräumigen Halbzirkel, von wo man zur Newa gelangen kann. Zu beiden Seiten stehen 120 Fuss hohe kolossale Rostral-Säulen, inwendig hohl, so dass man hinauf steigen kann. Nach ihnen können die von Kronstadt heraufkommenden Schiffe ihren Lauf richten.~~Dieses neue Börsengebäude bildet mit den vorstehenden Rostral-Säulen auf dem freien Platz einen ungemein grossen und schönen Anblick.~~
Ad00341 06 063a/freMélanges CLXII. Vol. VII. No. 61.
ÉDIFICES REMARQUABLES À ST. PÉTERSBOURG.
Les magnifiques édifices Fig. urés sur ïa planche ci-jointe, ont été bâtis sous le règne de l'empereur actuel, Alexandre I. et sont les principaux ornemens de cette grande capitule.
Fig. 1. La nouvelle cathédrale de notre Dame de Kasan.
L'empereur Paul I. avait déjà conçu le projet en 1800 de faire bâtir cette superbe cathédrale, et en avait fait faire le plan parle conseiller aulique Woronichin, célèbre architecte. Le 27 août Igor, l'empereur actuel, Alexandre I. en posa la première pierre sur la perspective Nevski, et cet ouvrage a été achevé en 10 ans sous la conduite du comte de Sirogonow, d'après le plan donné par le conseiller aulique Woronichin. Une colonnade en demi-ceicle, exécutée d'après celle de St. Pierre à Rome, ayant à son extrémité extérieure les statues colossales en bronze des archanges Gabriel et Michel, conduit au bâtiment principal, qui a la forme d'une croix, et se termine en haut par un dôme. La hauteur totale est de 217 pieds. L'intérieur contient 3 grands autels très-riches, et est soutenu par 56 colonnes, dont chacune, quoique haute de 35 pieds, est formée d'un seul morceau du plus beau granit de Finnlande. L'intérieur outre cela est. richement décoré en marbre, jaspe et en bronze.
Fig. 2. La nouvelle bourse sur le Wassili-Ostrov.
La nouvelle bourse, bâtie sur le WassiliOstrov, d'après le plan qui en fut présenté en 1804- par le ministre comte de Romanzov, et qui fut adopté, est autant pour l'ornement que pour l'utilité de la capitale; cet édifice est déjà terminé. D'après le plan de M. Thomon, architecte françois, cette nouvelle bourse forme sur une base élevée un superbe quarré-long, entouré d'une colonnade, et l'intérieur est éclairé par en haut. La façade de devant, ici figurée, est située vis-à-vis du palais d'hiver; et sur le devant, le beau rivage de granit forme un grandi demi-cercle très-spdcieux, d'où l'on peut arriver à la Neva. Des deux côtés sont des colonnes rostrales colossales de 120 pieds de haut, creuses en dedans, de sorte qu'on peut y monter. Les vaisseaux qui remontent la Neva, en venant de Cronstadt, peuvent diriger leur course d'après elles. Cette nouvelle salle offre avec les colonnes rostrales, qui la devancent, un coup d'oeil magnifique et majestueux sur la place qui est ouverte de tous côtés.
Ad00341 06 064a(Ptychosperma gracilis. Labill.)~~Diese merkwürdige Palmen-Art entdeckte der französische Naturforscher Labillardière, welcher die, zu Auffindung des unglücklichen La Perouse bestimmte, See-Expedition begleitete, in der Südsee auf der Insel Neu-Ireland.~~Erstaunungswürdig wird dieser Baum dadurch, dass der Schaft bei einer Höhe von 60 bis zu 65 Fuss Höhe (man muss sich das, wegen Mangel des Raums herausgeschnittene und mit * und ** bezeichnete Stück zu dem ganzen Schaft hinzudenken) nur 2 bis 3 Zoll im Durchschnitt hat. Das äussere Holz des Schaftes besteht aus schwärzlichen Längsfasern, und ist von solcher Härte, dass sie nur schwer mit der Axt durchhauen werden können. Dadurch bilden diese festen Längsfasern, die sonst mehr nach der Mitte zu liegen, eine solche starke Hülse um den Baum, dass sie ihn nicht bloss in der beträchtlichen Höhe aufrecht erhalten, sondern dass der Schaft auch noch eine blätterreiche Krone tragen kann.~~Die acht bis zehn Blätter, welche, wie bei den wahren Palmen, bloss auf der Spitze des Schaftes sitzen, sind gefiedert, und haben eine Länge von 4 bis 5 Schuhen. Die Fiederblättchen sind unregelmässig gezahnt, der Länge nach gestreift, und die Spitze mehr oder weniger schief abgestutzt. Die Blüten haben einen sechsblättrigen Kelch, sitzen auf einem ästigen Blütenkolben, welcher in den Ansatzwinkeln der Stiele entspringt, und drei Fuss lang wird. Die Frucht besteht aus einer länglich-rothen fleischigen Beere. Inwendig sitzt eine eirunde, von aussen kastanienbraune, von innen weisse harte Nuss, welche Aehnlichkeit mit der der Areka-Palme hat, und auch wohl zur Bereitung des Betels gebraucht werden könnte. Der Schaft ist seiner Festigkeit wegen zu mehreren Arbeiten gut zu gebrauchen.~~
Ad00341 06 064a/frePlantes CXXIX. Vol VII. No. 62.
LE FRÊLE PALMIER DE LA NOUVELLE IRLANDE. (Ptychosperma gracilis. Labill.)
Ce genre de Palmier si remarquable a été dé- mais qu'il porte une couronne formée de beaucouvert par le naturaliste françois La Biliar- coup de feuilles. dièrekla Nouvelle Irlande, dans la mer du Les 8 à 10 feuilles qui couronnent la sömsud, lors du voyage entrepris pour la recherche mité du tronc, comme celle du véritable Pal. de l'infortuné La Pérouse. mier, sont ailées. Leur longeur est de 4 à 5 pieds. Les folioles sont irrégulièrement denCet arbre est étonnant en ce que le tronc tées, striées Iongitudinalement, et leur exn'a d'épaisseur que 2 à 3 pouces, quoiqu'il trémité est plus ou moins obliquement trons'élève à la hauteur de 60 à 65 pieds [il faut quée. Les fleurs ont pour calice 6 folioles, et ajouter à la totalité du ;ronc le morceau mar- sont portées par un répirne très- rameux, sorti que * et **, qu'on a été obligé d'en séparer' d'un spathe, et qui parvient à la longueur de faute d'espace], La circonférence du tronc 3 pieds. Le fruit consiste en une baie ovale, est composée de fibres noirâtres d'une telle rouge et charnue. Elle contient une amande dureté, qu'ils opposent beaucoup de résistance ovaire, en dehors couleur de marron, blanaux coups redoublés de la hache. Ces fibres, châtre intérieurement, qui a beaucoup d'ana:qui dans les autres cas se concentrent vers le logie avec celle de l'Arec, et dont on pourrait milieu, forment autour de l'arbre une écorce probablement se servir dans la préparation du si forte, que non seulement le tronc se sou- bétel. On met ce bois à plusieurs usages à tient très-droit malgré sa hauteur prodigieuse, cause de sa farce prodigieuse.
Ad00341 06 065aFig. 1 u. 2. Der Priamus-Tagfalter. (Pap. E. T. Priamus. L.)~~Es ist dieses einer der grössten und prachtvollsten Tagschmetterlinge, welcher jedoch nur selten in europäischen Insekten-Sammlungen anzutreffen ist, und theuer bezahlt wird. Er .ist auf der ostindischen Insel Amboina zu Hause, und auch da nicht häufig zu finden.~~Die Fig. 1. zeigt solchen in fliegender Stellung auf der Oberseite, so wie Fig. 2. in sitzender Stellung von der unteren Seite. Im Natursysteme steht dieser Tagfalter an der Spitze der trojanischen Ritter, und führt den Namen des unglücklichen trojanischen Königs Priamus; ferner nennt man ihn auch den amboinischen grünen Sammet-Vogel.~~Der Pinsel vermag nicht, die Lebhaftigkeit und den Seidenglanz der grünen, so wie der Sammetartige der schwarzen Farbe seiner Flügel nachzuahmen. Doch dient die Richtigkeit der Grösse, so wie der Umrisse und Flecken der Flügel dazu, sich eine genaue Vorstellung des prächtigen Priamus zu machen.~~
Ad00341 06 065a/freInsectes LXII. Vol. VII. No. 63.
PAPILLONS EXOTIQUES D'UNE GRANDEUR EXTRAORDINAIRE.
Fig. 1. et 2. Le Priam, ou le Velouté d'Amboine. (Papilio E. T. Priamus. L.)
Ce Priam est nxx des plus grands et Aes plus magnifiques papillons; on ne le trouve que rarement dans nos collections d'Insectes, aussi est-il très-cher. Il est indigène à l'île d'Amboine, et même n'y est-il pas très-commun. La première figure représente le dessus de son corps dans l'état de vol, et la seconde, le dessous en état de repos. Ce papillon tient dans le système de la nature le premier rang parmi les chevaliers troyens, aussi porte-1-il le nom du malheureux Priam roi de Troie, ou celui de Velouté A'Amheino. Le pinceau ne peut imiter ni l'éclat ni la vivacité du vert, ni le velouté du noir de ses aîles. Cependant la justesse de la grandeur, les contours et les taches des aîles servent à donner une idée précise de ce superbe Priam.
Ad00341 06 066aWir staunen, wenn wir den Bau unserer gemeinen Bohne durch das Mikroscop vergrössert betrachten, über die kunstvolle Einrichtung, welche der Schöpfer den inneren Theilen gegeben hat. Unsere Kupfertafel zeigt bei Fig. 1. das unterste Stück mit den zwei untersten, zuerst entstandenen Blättern eines Stängels von der gemeinen Bohne. Fig. 2. ist derjenige Theil des Bohnenstängels, welcher zwischen den zwei ersten Blättern und bis zur Linie a b der Fig. 1. sich befindet, sehr stark vergrössert und sowohl von oben herab, als quer durchgeschnitten vorgestellt, um den Bau der inneren Theile desselben vor Augen zulegen. Die gleichen Buchstaben zeigen sowohl auf dem Vertikal, als auf dem Horizontal-Durchschnitte die gleichen organischen Theile an. Bei a sieht man einen Durchschnitt des untersten Blattstiels, bei b den Durchschnitt eines Zweiges, der aus dieser Blattachsel herausgetrieben worden ist. In der Mitte dieser beiden Durchschnitte sieht man die sechseckigen Zellen des Markes, desgleichen auch bei dem Buchstaben c der Durchschnitte des Hauptstängels. Zwischen c und d befindet sich ein engmaschigeres Zellgewebe aus Splint: zwischen diesen und den Markzellen stehen ringsum bei f Bündel von Schraubengefässen, deren Schraubenfäden sich aufrollen lassen, wie man bei g sieht. Mit der Zeit füllen sich die Höhlungen der Schraubengefässe aus; dergleichen verstopfte Gefässe sieht man bei dem Buchstaben i. Zwischen dem engen Zellgewebe des Splintes befinden sich ringsum bei k Bündel von Treppengefässen und bei l Bündel von halsbandförmigen (angeblich porösen) Gefässen. Bei m sieht man die zuletzt entstandene Splintlage, die an das Zellgewebe d der Rinde gränzt. Auf der grünen Oberhaut des Stängels sieht man einzelne Härchen und in den kleinen Rundungen die Saugöffnungen der Oberhaut. Das Ausführlichere über Alles dieses findet man im Commentar zu dieser Tafel.~~
Ad00341 06 066a/freMélanges CLXIII. Vol. VII. No. 64.
STRUCTURE INTÉRIEURE D'UN PIED DE FÈVE.
Lorsque par le moyen du microscope nous lettre c le diamètre de la tige principale.' considérons la structure de notre fève ordi- Entre c et d se trouve un tissu à cellules sernaire, nous sommes surpris de l'ordre ingé- rées d'aubier. Entre celui-ci et les cellules nieux dans lequel le créateur en a classé les de la moelle sont tout autour à / des faisparties intérieures. Notre planche représen- ceaux de trachées, ou vaisseaux spirales, dont te Fig. . I. le bas de la tige de notre fève avec les files se déroulent, comme on le voit à g. les deux feuilles primordiales. La Fig. . 2. est Avec le tems les cavités des vaisseaux spirales la partie de la-tige qui se trouve entre les s'obstruent; la lettre i nous les figure dans cet deux feuilles primordiales et descend jusqu'à état. Entre le tissu cellulaire de l'aubier se la ligne a b de la première figure, mais qui trouvent tout autour à k des faisceaux de fausest représentée très-grossie, coupée aussi bien . ses trachées, et à l des faisceaux de vaisseaux par en haut que transversalement, pour don- en chapelet. On remarque à m la dernière ner une idée claire de sa structure intérieure, couche d'aubier, qui touche au tissu cellulaiLes lettres égales désignent, aussi bien dans re de l'écorce. On découvre sur l'épiderme un diamêire vertical qu' horisontal, les par- vert de la tige quelques poils epares, et dans ties organiques égales. On voit à a le dia- les petites cavités rondes les porses de l'épimêtre d'un pétiole, à B le diamètre d'un rejeT derme. Le commentaire de cette planche ton, sorti de l'aissèle de cette fnuiUo a« «tonnt. «». a
Ad00341 06 067aAuf dieser Tafel sehen wir zwei getreue Nachbildungen von dem Ansehen des grossen Kometen vom Jahr 1811, welcher sich mehrere Monate lang unsern blossen Augen so schön darstellte, und um so besser beobachtet werden konnte, da wir in dem vorigen Jahre so anhaltend vortreffliche und heitere Witterung genossen. Wir erblicken diesen letztern Kometen bei Fig. 1. so, wie sich derselbe einige Tage vor seiner grössten Sonnen-Nähe den 10. September Abends im Sternenbilde des grossen Bären darstellte; und bei Fig. 2., wie derselbe zur Zeit seiner grössten Erdnähe am 15. October oberhalb der nördlichen Krone zu sehen war.~~Dieser Komet war nicht bloss wegen seiner Grösse und langen Sichtbarkeit für's blosse Auge, sondern noch vielmehr wegen des Umstandes merkwürdig, dass der Schweif desselben, dessen Arme sich auf der Sonnenseite des Kometen um diesen herum zu einem Bogen vereinigten, nicht unmittelbar - wie bei dem Kometen von 1807- mit der leuchtenden Scheibe des Kometen in Eins zusammenfloss, sondern beträchtlich weit, von dieser Scheibe abstand, so dass zwischen der leuchtenden Kometen-Scheibe und dem leuchtenden Kometen-Schweife ein dunkelerer Raum zu sehen war, welcher zu verschiedenen Zeiten ab- und zunahm; welches Verhältniss der ausführliche Text unseres Bilderbuchs besonders erläutert. - Auch zeigt die Tafel, dass sowohl durch den leuchtenden Kometenschweif, als durch den dunkeleren Zwischenraum zwischen dem Schweife grössere und kleinere Sterne noch sehr deutlich zu sehen waren; so wie, dass zu verschiedenen Zeiten der Schweif ein verschiedenes Ansehen hatte.~~
Ad00341 06 067a/freMélanges CLXIV. Vol. VII. No. 65.
LA GRANDE COMÈTE DE 1811.
Cette planche donne deux représentations fidèles de la forme de la grande Comète de l8t r, visible pendant plusieurs mois à la seule vue, et qu'on a pu d'autant mieux observer, que la tems a été dans cette année constamment beau et serein. La Fig. 1. la représente au moment, où elle entra, quelques jours avant son périhélie, qui eut lieu dans la soirée du lO Septembre, dans la constellation du grand ours, et la Fig. 2., telle qu'elle était le 15 Octobre au dessus de la couronne boréale, lors de son périgée. Cette Comète est remarquable non seulement pap rapport à sa grandeur et à sa longue visibilité, mais encore par la particularité que sa queue, dont les faisceaux, en se reunissant formaient autour de la Comète, du côte' du soleil, un demi cercle, ne touchait pas immédiatement au noyau lumineux de la Comète — comme ce fut le cas en »807 — mais s'en éloignait considérablement, de sorte qu'entre le noyau lumineux on distinguait dans la queue lumineuse un espace ténébreux, qui croissait et décroissait en differens tems. -— Voyez dans les explications détaillées dé notre portefeuille d'enfant les détails que nous donnons de ce phénomène. — Notre planche montre aussi qu'on apercevoit distinctement des étoiles plus ou moins grandes, tant à travers la queue lumineuse de la Comète que dans l'espace ténébreux, et que la queue, vue de divers côtés, avait un tout autre aspect.
Ad00341 06 068aDer Meissner im Königreiche Westphalen ist ein sehr ausgebreitetes Flötzgebirgs-Hochland, welches sich bis in die Nähe der Residenz Cassel hinzieht, so dass die dortige Napoleonshöhe als eine Fortsetzung des Meissners zu betrachten ist. Dieses Hochland ist durch viele, auf seinem Rücken eingefurchte, Thäler in eine Menge Berghöhen zerschnitten, die von unten auf alle vorzüglich aus Flötzkalkstein und Sandstein bestehen, und in so weit sie daraus bestehen, auch alle ziemlich einerlei Höhe haben. - Auf diese gemeinschaftliche Unterlage sind aber noch mancherlei andere weichere und härtere Steinschichten aufgesetzt, unter welchen sich auch mächtige Lager von Braunkohlen, und grosse Massen von Basalt befinden, welche besondere Berge bilden. Der auf unserer Tafel, nach einer Original-Zeichnung abgebildete sogenannte Kitzkammer-Berg, ist ein solcher Basaltberg, welcher aus unzähligen, dicht neben und über einander liegenden, Basaltsäulen besteht, deren dunkele Farbe mit der grünen Pflanzen-Bekleidung, die sich hier und da zwischen ihrer Oberfläche angesiedelt hat, eine sehr angenehme Wirkung auf das Auge macht. Die Benennung Kitzhammer oder Kautzkammer rührt von einer, linker Hand am Abhange befindlichen, auf der Tafel angedeuteten Höhle her, welche der Aufenthalt vieler Eulen oder Käutze ist.~~
Ad00341 06 068a/freMélanges CLXV. Vol. VII. No. 66.
BASALTES PRISMATIQUES DE LA CAVERNE DES CHOUETTES SUR LE MEISNER.
Le Meisner, situé dans le royaume de West- vent de fortes couches de charbons de terre plialie, est un terrein élevé de la troisième brunâtres, et d'énormes masses de prismes formation très-étendu, qui se prolonge jus- basaltiques, qui forment des montagnes parque dans le voisinage de la résidence Casse], ticulières. La caverne des chouettes, figurée de sorte que la Napoléons-Höhe doit en être d'après un dessin original sur notre planche, considérée comme une continuation. Ce ter- est une montagne de basalte, formée d'un rein élevé est coupé par des vallons sillonnés nombre infini de basaltes prismatiques placés sur son dos en montagnes* qui d'en bas sont les uns sur les autres et très-serrés,' dont la formées surtout de chaux carbonates de la couleur foncée mariée à la verdure de queltroisième formation et de grès; et elles ont ques plantes, qui se sont fixées ça et là sur assez la même hauteur, chaque fois que-ces leur surface, produit un effet très-agréable à matériaux les constituent, Mais sur cette base la vue. Le nom de Caverne des chouettes générale reposent plusieurs espèces de cou- provient d'une caverne située sur le penchant ches pierreuses superposées beaucoup plus à gauche, et désignée sur notre planche, parriches et plus dures, sous lesquelles se trou- cequ'elle sert d'asyle à beaucoup de chouettes.
Ad00341 06 069aFig. 1. Die Speisefrucht-Eiche. (Quercus Esculus. L.)~~Die Speisefrucht-Eiche ist in wärmeren europäischen Ländern, vorzüglich in Griechenland, Dalmatien, Italien, Spanien etc. einheimisch. Sie ist von niedrigem Wuchse; die jungen Zweige derselben sind schön purpurroth; die halbgefiederten, zum Theil gezahnten Blätter sind im Alter oberhalb glatt, und nur unterhalb behaart. Die Eichelfrüchte (bei a und b) sind wie die gemeinen Eicheln gestaltet, haben aber keinen herben, sondern süssen Geschmack, und werden in den genannten Ländern theils gebraten oder geröstet, theils gekocht verspeist, theils zu Mehl gemahlen, um Brod daraus zu backen. Die Kelche (a), welche die Eicheln unterhalb umfassen, sind mit Schuppen besetzt, und werden im Alter braun.~~Fig. 2. Die Knopper-Eiche. (Quercus Aegilops. L.)~~Die Knopper-Eiche ist, ausser Spanien, ebenfalls auf den griechischen Inseln, auch in der asiatischen Türkei einheimisch, hat weniger tief ausgeschnittene, breitere, oberhalb glatte hellgrüne, unterhalb aber filzige Blätter. Die Eicheln B sind 2 Zoll lang, dunkelbraun, und. der Länge nach zart gestreift. Sie werden fast gänzlich von einem sehr grossen, mit bräunlichen Schuppen besetzten, fast runden Kelche (A) umschlossen und versteckt. Diese Kelche heissen im Morgenlande Velanede, und sind ein sehr geschätzter Handelsartikel zur Färberei, statt der Galläpfel. Im Teutschen nennt man sie jedoch auch Knoppern.~~
Ad00341 06 069a/frePlantes CXXX. Vol. VII. No. 67.
CHÊNES ÉTRANGERS DIGNES DE REMARQUE.
Fig. 1. Le chêne grec ou petit chêne. (Quercus Esculus. L.)
Le chêne grec, indigène aux pays chauds de l'Europe, mais particulièrement à la Grèce, à la Dalmatie, à l'Italie, à l'Espagne, ne parvient qu'à une hauteur médiocre. Les jeunes pousses sont d'un beau pourpre; les feuilles à demi plumassées, en partie dentées, sont unies en haut, et couvertes de poil en bas. Les glands, à a et b conformés comme les ordinaires, sont très-doux et non âpres, et on les mange dans les pays sus-mentionnés, rôtis, grillés, ou cuits dans l'eau; on les fait aussi moudre pour en faire du pain. La coupe (a) qui contient le gland, est recouverte d'écailles et brunit en mûrissant.
Fig. 2. Le chêne à grosses cupules. (Quercus Aegilops. L.)
Ce chêne, indigène non seulement à l'Espagne, mais aux îles de la Grèce, et à la Turquie asiatique a les feuilles moins échancrées, plus larges, d'un vert clair, unies en haut mais pointues en bas. Les glands B, ayant 2 pouces de long, sont d'un brunfoncé, et ont de légères raies longitudinales. Ils sont presque entièrement renfermés dans une cupule A, presque ronde, très-grande, recouverte d'écaillés brunâtres. Ces cupules se nomment dans l'Orient Velanède et sont un grand objet de commerce, parcequ'elles remplacent dans la teinture la noix de galle. L
Ad00341 06 070aFig. 1. a. Der Remus-Tagfalter. (Pap. E. T. Remus. L.)~~Der auf der Tafel Fig. a abgebildete, sehr grosse ausländische Tagfalter ist auf der ostindischen Insel Amboina zu Hause, und gehört zu den trojanischen Rittern, ob ihm gleich zuweilen die rothen Flecken an der Brust fehlen, welche sonst das charakteristische Kennzeichen dieser Abtheilung ausmachen. Die hier nicht abgebildete Unterseite der Flügel ist fast durchaus eben so beschaffen, wie die Oberseite. Graulich weisse, mit schwarzen Adern durchzogene Stellen auf schwarzem Grunde sind bei den Vorderflügeln, und eine schöne gelbe, durch schwarze Adern in Felder abgetheilte Mittelscheibe, in welcher schwarze Flecken stehen, sind bei den Hinterflügeln dieses Schmetterlings der Hauptcharakter. Manche Weibchen dieser Art haben, statt der schwarzen Grundfarbe der Flügel ein tiefes Braun. Das hier bei a abgebildete Exemplar ist jedoch ebenfalls ein Weibchen.~~Bei Fig. b ist hier bloss vorläufig die Unterseite des Panthous-Tagfalters abgebildet; das nächste Blatt wird auch die Oberseite abgebildet liefern, und da soll die Beschreibung dieses sehr grossen Amboinischen Tagfalters nachfolgen.~~
Ad00341 06 070a/freInsectes LXIII. Vol. VII. No. 68.
PAPILLONS EXOTIQUES D'UNE GRANDEUR EXTRAORDINAIRE.
Fig. 1 a. Le Rémus. (Papilio E. T. Remus. L.)
Ce Papillon exotique d'une grandeur énorme, figuré à a, indigène à l'île d'Amboine dans les Indes orientales, appartient à la famille des chevaliers troyens, quoique souvent il n'ait pas sur la poitrine les taches rouges, qui forment la caractéristique de ce genre. Le dessous des aîles, non représenté ici, est à peu près comme le dessus. Des bandes d'un blanc grisâtre, entremêlé de veines noires, sur un fond noir, forment le caractère distinctif des aîles de devant ; Un disque central, d'un beau jaune, tacheté de noir, divisé en compartiments par des veinés noires, est le caractère principal des aîles de derrière de ce papillon. Il y a des femelles de eé genre qui, au lieu du fond noir des aîles, ont un brun foncé. Cependant l'exemplaire qûenous avons sous les yeux à a est une femelle. La
Fig. b. ne représente ici préalablement que le dessous du Pahthous ; la planche suivante figurera aussi le dessus et sera accompagnée de la description de ce très-grand papillon à'Amboine.
Ad00341 06 071aDer Panthous-Tagfalter. (Papilio Panthous. L.)~~Wir sehen auf gegenwärtiger Tafel das Weibchen des Panthous von der oberen Seite, von dem wir die untere bereits auf voriger Tafel No. 68. kennen lernten. Dieser überaus grosse prächtige Tagfalter findet sich, wie wir bereits erwähnten, auch auf der Insel Amboina. Die Grundfarbe aller Flügel ist kastanienbraun; alle Flügel sind oberhalb mit einem breiten schwarzen Rande versehen, und mit einer Menge weiss und röthlicher Flecken geziert. - Der Kopf, so wie der Rumpf, sind schwarz; der Hinterleib aber gelb.~~Das Männchen, welches wir nicht abgebildet haben, ist in der Farbe mit dem Weibchen ganz übereinstimmend, nur ist es kleiner, als letzteres. - Die Raupe und die Puppe des Panthoust sind bis jetzt noch nicht bekannt geworden.~~Die Raupe und die Puppe des Panthous sind bis jetzt noch nicht bekannt geworden.~~
Ad00341 06 071a/freInsectes LXIV. Vol. VII. No. 69.
PAPILLONS EXOTIQUES D'UNE GRANDEUR. EXTRAORDINAIRE.
Le Panthous. (Papilio Pauthous. L.)
La planche ci-jointe figure le dessus de. la femelle àa.'Panihous, dont nous avons vu le dessous,- à la planche précédente, No. 68- Ce superbe et énorme papillon se trouve aussi, comme nous l'avons déjà observé, dans l'île tfAmboine. Le fond de la couleur de toutes ses ailes est d'un brun de marron; toutes les aîles sont pourvues par en haut d'un bord large et noir; et ornées d'une quantité de taches blanches et rougeâtres. La tête et le tronc sont noirs, mais le derrière du corps est jaune. La couleur du mâle, que nous n'avons point figuré-ici, est absolument la même que celle de la femelle; mais il est plus petit que ïa dernière. , On ne connaît encore ni la chenille ni la chrysalide du Pantkous.
Ad00341 06 072aFig. 1. Der knollige Tang. (Fucus bulbosus. Esper. F. palmatus. L.)~~Es ist dies eine der grössten Tangarten, indem die Wedel derselben bis zu 30 Fuss Länge wachsen; die Abbildung giebt daher nur eine Vorstellung nach einem sehr verjüngten Massstabe. Die Wurzel besteht aus einem Knollen, der in der Jugend von Haselnuss Grösse, im Alter von Kopf Grösse und inwendig hohl ist. Der Stamm ist in der Mitte der Länge nach aufgeschwollen, an den beiden Seitenkanten läuft aber derselbe schmal zu, und ist daher zweischneidig. Oberhalb breitet er sich aus, und treibt viele Wedel hervor, welche von ungleicher Länge und Breite gekrümmt sind, und an ihren Spitzen oft in Zacken und Lappen sich weiter zertheilen. Die Farbe ist im Alter dunkelröthlich-braun. Die Substanz Anfangs hautartig, zuletzt zähe und lederartig. Dieser Tang wächst sehr häufig an den westlichen Küsten von England.~~Fig. 2. Der gefranzte Tang. (Fucus ciliatus. L.)~~Dieser findet sich in vielen Gegenden des nördlichen Oceans, besonders häufig an den Klippen der Küsten von Gross- Britannien. Es giebt eine grosse Menge von Abänderungen desselben, indem die Gestalt der Wedel, nach Verschiedenheit der Standorte der Pflanzen, sich bald mehr, bald weniger abändert. Die auf der Tafel dargestellte Form dieses Tanges kann man als die Grundform desselben betrachten. Die Wurzel besteht aus einem sehr kleinen Knollen, der mit Fasern umkleidet ist. Aus ihr geht ein kurzer Stamm hervor, welcher sich in viele unregelmässige Wedel ausbreitet, die sich wieder in Seitenzweige zertheilen, nach oben spitz zulaufen, und ringsum an den Seiten mit kurzen Franzen besetzt sind. Die Farbe derselben geht aus Rosenroth in dunkel Cochenilleroth über. - Die Schottländer und Isländer kochen und essen die jungen Wedel dieses Tanges. -~~
Ad00341 06 072a/frePlantes CXXXI. Vol. VII. No. 70.
ESPÈCES DE VAREC REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Varec à tubercules. (Fucus bulbosus. Esper.)
Ce Parée est un des plus grands, puisque ses expansions sont quelquefois de 30 pieds; notre planche ne le figure que d'après une échelle très-resserrée. Il a pour racine un Tubercule, gros dans l'enfance comme une noisette, et dans la vieillesse, comme la tête, et fistuleux en dedans. Le tronc, enflé par le milieu, se rétrécit des deux côtés, de sorte qu'il est à deux tranchants. Il s'élargit par en haut et pousse plusieurs expansions de diverses longueur et largeur, qui sont courbées, et qui se divisent souvent à leur extrémité en pointes et en lambeaux. 11 est d'un brun tirant sur le rouge foncé. Sa substance, qui d'abord tient de la peau, devient coriace peu à peu et finit par ressembler à du cuir. Ce Varec se trouve en abondance sur les côtes occidentales de l'Angleterre.
Fig. . 2. Le Varec frangé. (Fucus ciliatus. L)
Ce Varec croît dans plusieurs contrées de l'Océan septentrional, mais il est le plus abondant dans les écueils des côtes de la grandeBretagne. Il y en a un grand nombre de modifications, en ce que la forme des expansions se diversifie plus ou moins, d'après la diversité des lieux où croissent les Varecs. La forme de celui qui est figuré sur notre planche peut en être regardée comme le type fondamental. La racine consiste en un tubercule, qui est recouvert de filaments, dont sort une tige" très-courte, portant plusieurs expansions'irrégulières, qui se subdivise t en d'autres branches. Vers le haut elles sont pointues et frangées tout autour. La couleur est d'un rose qui se perd dans un rouge de cochenille foncé. Les Ecossais et les Irlandais font cuire et mangent les jeunes expansions de ce Varec.
Ad00341 06 073aWir liefern in gegenwärtigem und folgendem Hefte eine Reihe interessanter Darstellungen aus der Türkei, um daraus die Sitten, Gebräuche und Lebensart der Bewohner kennen zu lernen.~~Auf vorliegender Tafel sind verschiedene türkische National-Trachten und Scenen aus dem Serail oder der Wohnung des Sultans abgebildet. Die Kleidung ist asiatisch, wie die Türken selbst Asiaten sind, welche sich in Europa nur eingedrängt haben. Die weiten, meistens mit Pelz verbrämten Gewänder der Männer, die Turbans von verschiedener Form und Farbe findet man bei keiner andern europäischen Nation.~~Fig. 1. Der Sultan und Grossvezier.~~Wir sehen hier den Sultan oder türkischen Kaiser nach morgenländischer Sitte mit kreuzweis unterschlagenen Beinen sitzen. Er ist in weite Beinkleider und in einen reich mit Brillanten besetzten Pelz gekleidet. Den grünen, ebenfalls mit grossen Brillanten geschmückten Turban umgiebt eine weisse Binde und ziert eine prächtige Reiherfeder. Vor dem Sultan steht der Grossvezier oder erste Minister, dem er seine Befehle ertheilt. Der Turban des Veziers hat eine andere Form, denn in der Türkei wird der Rang vorzüglich an den Turbans erkannt.~~Fig. 2. Die erste Gemahlin des Sultans und der Thronerbe.~~Die erste Gemahlin des Sultans ertheilt ihrem Sohne, dem Thronerben, mütterliche Lehren. Unter den sechs oder sieben wirklichen Frauen des Kaisers erhält diejenige den Vorrang, welche ihm den ersten Sohn giebt, und behält diesen Rang so lange, als letzterer lebt. Kommt dieser zur Regierung, so erhält sie als Sultanin Mutter, wenn sie will, nicht selten bedeutenden Einfluss auf die Staatsgeschäfte.~~Fig. 3. Der Schwerdt- und Turbanträger des Sultans.~~Sie sind beide kaiserliche Hofbeamte, gehören zu den Grosswürdeträgern des Serails, und werden aus den kaiserl. Pagen erwählt. Der Schwerdträger hat zugleich das Amt eines Oberhofmeisters und Obermundschenks, und ist, des nahen Umgangs mit dem Sultan wegen, eine bedeutende Person.~~Der Turbanträger hat einen weniger hohen Rang, und ist eine Art von Garderobemeister.~~Fig. 4. Oberaufseherin der Sclavinnen.~~Die Dame mit dem Stock und der Peitsche in den Händen ist die Usta-Kadin oder Oberaufseherin der Sclavinnen des Harems; sie bekleidet eine hohe Würde, zu welcher gewöhnlich abgedankte Favoritinnen gelangen. Die Instrumente in ihren Händen zeigen die Art der Zucht, welche sie ausübt.~~Die andern beiden Frauen sind Sclavinnen, welche zur Belustigung der Damen bestellt sind; die eine spielt ein türkisches Saiteninstrument, und die andere tanzt zu dieser Musik.~~
Ad00341 06 073a/freCostumes XIII. Vol. VII. No. 71.
COSTUMES TURCS.
Le Cahier et le suivant fournissent une série de représentations intéressantes de la Turquie; elles doivent familiariser le lecteur avec les moeurs, les usages et le genre de vie de ses habitants. La planche ci-jointe offre divers costumes / nationaux et des scènes du Sérail, ou palais du Sultan. Les Turcs étant dés Asiates, qui se sont impatronisés en Europe, le costume est asiatique. On ne trouve chez aucune autre nation européenne pour les hommes ni ces habits larges bordés de pelleterie, ni les turbans diffarens en forme et couleur.
Fig. 1. Le Sultan et le grand Visir.
Ici est figuré le Sultan ou Empereur turc assis les jambes croisées d'aprè« l'usage, de. l'Orient. Il a des pantalons très-larges et une fourrure richement garnie de diamants. Le turban vert également orné de pierreries est entouré d'un bandeau blanc et surmonté d'une . aigrette. Devant le Sultan est le grand Visir ou premier ministre; il reçoit debout les ordres de son souverain. Le turban du Visir a une toute autre forme; car en Turquie c'est le turban surtout qui distingue les rangs.
Fig. 2. La première épouse du Sultan et l'héritier du trône.
La première épouse du Sultan donne à son fils des leçons maternelles. Celle des six ou sept véritables épouses du Sultan, qui la première lui donne un fils, a le rang sur les autres et le conserve aussi longtems que vit ce. fils.-Et si celui-là parvient au trône, il n'est pas rare qu'en qualité de Sultanne mère elle ait beaucoup d'influence.dans les affaires.
Fig. 3. Le Porte-glaive et le Porte-turban du Sultan.
Ces deux officiers de la cour impériale sont du nombre des grands dignitaires du Sérail, et sont choisis parmi les pages. Le Porteglaive réunit les dignités de grand-maître de la cour et de grand-écharison; c'est une personne très-irhportante parcequ'il approche le Sultan de très-près. Le Porte-turban est d'un rang moins élevé et fait les fonctions de grand-maître de la garde-robe.
Fig. 4. La Surintendante des esclaves.
La Dame qui a un bâton et un fouet à la main est la Usta-Kadinau Surintendante des esclaves du Sérail; c'est une haute dignité, dont sont ordinairement revêtues les favorites disgraciées. Les instruments dont ses mains sont armées désignent l'espèce de discipline qu'elle exerce. Les deux autres femmes sont des esclaves, commandées pour amuser les dames. L'une joue d'un instrument à cordes turc, et l'autre danse au son de cette musique. '
Ad00341 06 074aFig. 1. Der Kislar-Aga und eine Odahlic.~~Der Kislar-Aga ist der Befehlshaber der schwarzen Verschnittnen, welche die innere Wache in dem Harem des Sultans ausmachen. Ihr Chef, der Kislar-Aga, obgleich selbst ein Sclave, ist eine bedeutende Person, und gewöhnlich leitet er, im Einverständniss mit der Sultanin Mutter, die Hofintriguen. Wir sehen ihn hier in seiner gewöhnlichen Staatskleidung, die sich durch einen weiten Pelz mit langen Aermeln und einen grossen Turban auszeichnet.~~Die Dame, die neben dem Kislar-Aga abgebildet ist, gehört zu den Odahlic's oder dienstthuenden Frauen des Serails, deren es eine grosse Menge giebt.~~Fig. 2. Conditor und Musiker des Serails.~~Wir sehen hier zuerst einen Musiker und neben ihm einen Conditor des Serails; beide gehören zu dem Pagencorps des Sultans, das aus mehreren Hundert jungen Leuten besteht, die zum Dienst des Herrschers im Serail erzogen werden. Sie sind in verschiedene Kammern oder Departements getheilt, deren jedes seine eigenen, ihm angewiesenen Geschäfte hat; einige sind für die Musik; andere für die Garderobe; andere für die Zuckerbäckerei, andere für die Schreiberei bestimmt.~~Fig. 3. Der Staats-Secretair der Pforte.~~Der Tschauch-Baschy oder Staats-Secretair der Pforte ist einer der höchsten Staats-Beamten, welcher der Justizverwaltung vorsteht, die fremden Gesandten dem Grossherrn präsentirt, und Sitz im Staatsrath oder Divan hat. Der silberne Stab in seiner Hand ist eine Art von Heroldstab, den er bei feierlichen Audienzen führt. Der gewöhnliche Tshauch an seiner Seite ist ein Staatsbothe, und Unterceremonienmeister, der die Befehle des Sultans überbringt, und die Gesandten bei der Audienz begleitet.~~Fig. 4. Capydschi-Baschy's.~~Diese Figur stellt zwei Capydschi-Baschy's vor, welche man kaiserliche Kammerherrn nennen könnte. Das Corps der Capydschi's, deren Vorsteher sie sind, besteht nur aus etwa 400 Mann, welche die Thürhüter des Pallastes, und gewöhnlich die Ueberbringer der fatalen Schnur sind, wodurch der Sultan seine Diener erwürgt zu werden verurtheilt.~~Fig. 5. Der Reis-Effendi und ein Dragoman.~~Der Reis-Effendi oder Minister der auswärtigen Angelegenheiten erscheint hier in gewöhnlicher Tracht, mit einem Papier in der Hand, um sein Amt als Chef der Schreiber anzudeuten. Neben ihm steht ein Dragoman oder Dolmetscher, der jederzeit ein Christ ist, aber das Vorrecht geniesst, wie die Türken gelbe Pantoffeln tragen zu dürfen.~~Fig. 6. Ein Kaiserlicher Page, nebst seinem Lehrer.~~Bei Fig. 6 sehen wir einen Pagen, der mit dem Calam oder einer Rohrfeder nach den Dictaten seines neben ihm sitzenden Lehrers schreibt. So wie die Musik-Pagen in der Tonkunst, so werden die Pagen einer andern Kammer, auf Kosten des Kaisers, im Lesen und Schreiben unterrichtet.~~
Ad00341 06 074a/freCostumes XIV. Vol. VII. No. 72.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1. Le Kislar-Aga et une Odalisque.
Le Kislar - Aga est le chef des eunuques ïioirs destinés à la garde de l'iatérieur du Sérail. Quoique esclave, le Kislar- Aga est un personnage de conséquence, et c'est ordinairement lui, qui, de concert avec la Sultanemère, conduit les intrigues de la cour. Nous le voyons dans ses vêtements ordinaires, irèscaractérisés par une pelisse large à longues manches et par un turban très-élévé. La femme figurée près du Kislar-Aga, est une Odalhque, c'est-à-dire une femme de service au Sérail; il y en a un grand nombre.
Fig. 2. Confiseur et musicien du Sérail.
Le premier qui se présente ici est le musicien, et le confiseur est à côté de lui. Ils font partie dû corps des pages du Sultan. Ce corps est composé de plusieurs centaines de jeunes gens que l'on élève dans l'intérieur du Sérail pour le service de l'empereur. Ils sont divisés en plusieurs chambres ou classes, dont chacune a ses fonctions particulières. Les uns s'occupent de la musique, les autres de la pâtisserie, ceux-là de l'écriture et ceux-ci sont destinés à la garde-robe.
Fig. 3. Le secrétaire d'état de la Porte.
Lé Tschauch- Baschy ou secrétaire d'état est un des premiers dignitaires de la Porte, très-versé dans l'exercice de la justice; il présente au Sultan les ambassadeurs étrangers, et siège au divan; La canne d'argent qu'il tient à la main est une espèce de caducée qu'il porte dans les audiences solennelles. Le Tschauch ordinaire à côté de lui est un messager d'état et sous-maître de cérémonies, qUi porte les ordres du Sultan et accompagne les ambassadeurs à l'audience.
Fig. 4. Capydschi-Baschy's.
Cette figure représente deux CapydschiBaschy's, à qui l'on pourroit donner,le nom de chambellans impériaux. Le corps deà Capydschis, dont ils sont les chefs, n'est que de 400 hommes à peu près. Ce sont eux qui gardent les portes du palais, et qui sont les porteurs ordinaires du fatal cordo,n à ceux des serviteurs, que le Sultan a condamnés à mort.
Fig. 5. Le Reis-Effendi et un Dragoman.
Le Reis-Effendi, ou Mrnistre des affaires étrangères est figuré ici dans son costume ordinaire, tenant un papier à la main, qui désigne qu'il est le chef des écrivains. A côté de lui est un dragoman ou interprête, qui est toujours chrétien, mais qui, comme les turcs, a le droit de porter des pantoufles jaunes.
Fig. 6. Un page avec son maître.
Nous voyons ici un page écrivant avec le. Calam, ou une plume de bambou, sous la dictée. de son précepteur. Comme les pages destinés à la musique l'apprennent aux dépens de l'empereur, de même bs pages d'une autre classe sont instruits dans la lecture et l'écriture. '
Ad00341 06 075aFig. 1 u. 2. Das Oberhaupt der Ulema's, und der Cadi.~~Fig. 1. giebt uns die Abbildung des Oberhauptes der Ulema's, welches die Schriftgelehrten der Türken sind. Die Ulema's bilden einen einzigen gelehrten Körper oder Stand, der aber aus 3 Classen von Mitgliedern besteht. 1) Aus denjenigen, welche den Gottesdienst verrichten. 2) Aus den Gesetzauslegern, welche Mufty's heissen, und 3) Aus den Richtern, welche in bürgerlichen Rechtshändeln entscheiden, und Cadhy's genannt werden. Ehedem wurde der Cadhy der Hauptstadt für das Haupt der Ulema's angesehen; der Sultan Solyman I. aber erklärte den Mufty von Constantinopel für das Oberhaupt aller Schriftgelehrten. Da der Koran oder die heilige Schrift der Mahomedaner das einzige bürgerliche Gesetzbuch der Türken ist, so sind bei ihnen alle Rechtsgelehrte zugleich Gottesgelehrte. Fig. 2 zeigt den Cadhy oder Oberrichter von Constantinopel.~~Fig. 3. Der Grossvezier, wie er vor der Armee herreitet.~~Fig. 4. Der Sekban-Baschy~~oder dritte Offizier der Janitscharen. Die Janitscharen sind der Kern der türkischen Infanterie; sie sind in Ortas oder Cohorten getheilt, und ihr oberster Anführer heisst Aga. Ein Theil bildet gewissermassen die Garde des türkischen Kaisers; die übrigen sind im Reiche vertheilt.~~Fig. 5. Ein Janitschar in Galla-Uniform.~~Fig. 6. Einer der untern Offiziere der Janitscharen.~~Er hat den türkischen Rosenkranz in der Hand, welcher aus 90 Kügelchen besteht, welche die 90 Eigenschaften Gottes, wie sie der Koran angiebt, vorsteilen.~~Fig. 7. Der Sergeant-Major der Janitscharen,~~der ihre Namen in das Register einträgt.~~Fig. 8, 9 u. 10. Türkische Reiterei.~~Fig. 8 zeigt einen Spahi in Galla. Die Spahi's sind kühne Reiter, und bilden die Garde zu Pferde des Sultans. Ihr oberster Offizier ist der Seliktar.~~Fig. 9 ein Dehly, oder leichter Cavalerist von der Garde des Grossveziers.~~Bei Fig. 10 sehen wir einen Mamelucken. Das Corps ist aus den kühnsten Reitern der Gebirgsvölker des türkischen Reichs zusammengesetzt.~~
Ad00341 06 075a/freCostumes XV. Vol. VII. No. 73.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1 et 2. Le chef des Ulémas, et le Cadi.
Fig. 1 représente le chef des Ulémas ou lettrés turcs. Les Ulémas forment un seul corps de savants, qui cependant est composé de 3 ordres; 1) de ceux qui font l'office divin; 2) des interprêtes des lois, nommés Mouftis; .3) des juges, qui décident des affaires civiles et que l'on nomme Cadis. Autrefois le Cadi de la capitale étoit réputé chef suprême des Ulémas, mais Solyman I. accorda, ce glorieux titre au Moufti de Constantinople. L'alcoran étant le^seul code civil des mahométans, les jurisconsultes sont chez eux aussi théologiens. Fig. . 2 représente le Cadi ou. juge suprême de Constantinople.
Fig. 3. Le grand Visir à cheval à la tête de l'armée.
Fig. 4. Le Sekban-Bachy
ou troisième officier des Janissaires. Les Janissaires spnt l'élite de l'infanterie turque ; ils sont divisés en ortas ou cohortes et leur chef se nomme Aga. Plusieurs de leurs cohortes forment la garde à pied du Sultan, les autres sont réparties dans tout l'empire.
Fig. 5. Un Janissaire dans son uniforme de parade.
Fig. 6. Un officier subalterne des Janissaires.
Il tient a la main un chapelet de 90 grains, qui figurent les 90 qualités que l'alcoran attribue. à Dieu.
Fig. 7. Le Sergeant major des Janissaires,
qui inscrit leurs noms dans son registre.
Fig. 8, 9 et 10. Cavalerie turque.
Nous voyons à la Fig. 8 un Sp.âhi en grand uniforme. Les Spahis sont des cavaliers trèsdéterminés, et forment la garde à cheval du Sultan. Ils sont commandés par le Sélictar.
À Fig. 9 un Dèly, de la cavalerie légère de la garde du grand Visir.
À Fig. 10 un Mamelüuc. Ce corps est composé des cavaliers les plus hardis des peuples montagnards de l'empire turc.
Ad00341 06 076aDer grösste Staat der Türken besteht in einem zahlreichen Gefolge, das sie bei feierlichen Aufzügen hinter sich herziehen lassen. Fig. 1 zeigt daher zwei Hausoffiziere oder Bediente des Grossveziers, die zu seinem Staate gehören. Solche schön gekleidete Leute folgen ihm oft in grosser Anzahl, denn es hat Grossveziere gegeben, die gegen 2000 Bediente unterhielten.~~Fig. 2. u. 3. Der Oberkoch der Janitscharen und seine Begleiter.~~Fig. 2 stellt den Oberkoch der Janitscharen vor, der einen höhern Rang behauptet, als sein Titel anzuzeigen scheint. Er ist eine Art von Richter der Armee, und auf seinen Befehl erhalten die Janitscharen ihre Strafen. Sein Kleid ist von braunem Leder und so sehr mit seltsamen metallnen Zierathen versehen, dass er sich selbst kaum forttragen kann, und bei feierlichen Aufzügen von zwei Personen unterstützt werden muss.~~Bei Fig. 3 sehen wir zwei gemeine Janitscharen, welche den Kochkessel tragen, worinnen die Speisen in den Casernen gekocht werden. Der Offizier, der den grossen Kochlöffel trägt, hat den Rang eines Kapitäns. Eine Janitscharen-Compagnie, welche im Kriege ihre Kessel verliert, wird so für entehrt angesehen, als bei uns ein Regiment, welches seine Fahne verliert.~~Fig. 4. Seeleute.~~Der erste mit dem Mantel ist ein griechischer Matrose, der andere ein Seesoldat.~~Fig. 5. Soldaten, nach dem Nizam-Dschedid gekleidet.~~Sie sind von dem neuen, auf europäische Art exercirten Corps, das unter dem unglücklichen Sultan Selim III. errichtet wurde, und. so grosse Unruhen unter dem übrigen türkischen Militär verursachte. Diese neue Einrichtung wurde Nizam-Dschedid .genannt. Wir sehen hier einen Kanonier mit der Lunte und einen gemeinen Soldaten darnach gekleidet.~~
Ad00341 06 076a/freCostumes XVI. Vol. VII. No. 74.
COSTUMES TURCS.
Le plus grand luxe des Turcs consiste en une suite nombreuse , qu'ils traînent après eux dans les grandes cérémonies. Fig. 1 représente deux officiers de la maison du grand Visir, lesquels font partie de sa pompe. Il a souvent à sa suite un très-grand nombre de ces "gens richement vêtus, car il y a eu des Visits qui ont entretenu au delà de 20OO domestiques.
Fig. 2 et 3. Le premier cuisinier des janissaires et ses assistants.
Fig. 2 représente le premier cuisinier des Janissaires,- il est revêtu d'une plus haute dignité que son titre ne paroît l'annoncer. C'est une espèce de juge de l'armée, et d'après ses ordres les janissaires reçoivent leur punition. Son habit est de peau d'une couleur brune, et si surchargé de bizarres ornements de métal, qu'il peut à peine se traîner lui-même, et äans les solennités il est toujours soutenu par deux personnes. À Fig. 3 nous voyons deux simples janissaires, qui portent le chaudron où l'on fait cuire les aliments dans les casernes. L'officier qui porte la grande cuillère a le rang de Capitaine. Une compagnie de janissaires, qui perd en campagne sa marmite,, est .aussi déshonorée que l'est chez nous le régiment qui perd son, drapeau. "
Fig. 4. Marins.
Celui qui a le manteau est un matelot grec, et le second un soldat de la marine.
Fig. 5. Soldats vêtus à la Nizam-Dschedid.
Ceux-ci font partie du nouveau corps exercé à l'européenne, qui fut formé sous le règne du malheureux Sultan Sélim III. et qui causa de si terribles séditions dans les autres corps militaires. On donna à cette nouvelle création le nom de Nizam-Dschedid. Nous voyons ici un canonnier avec la mèche et un simple soldat habillés d'après leur destination.
Ad00341 06 077aDiese Tafel versinnlichet uns einige religiöse Gebräuche der Türken.~~Fig. 1. Eine Moschee.~~Wir sehen hier eine Moschee oder ein mahomedanisches Bethaus, von aussen dargestellt. Man sieht zuerst einen viereckigen, mit Steinen gepflasterten Hof, wo sich die Andächtigen, in dem in der Mitte befindlichen Brunnen waschen und die Schuhe ausziehen, ehe sie in den Tempel gehen. Diesen umgiebt eine Säulengallerie, wo man die Gebete verrichten kann. Hier beten vorzüglich die Frauenzimmer, denen der Zugang in das Innere des Tempels nicht gestattet ist. Das Dach hat eine Hauptkuppel und kleine warzenförmige Nebenkuppeln, nach dem wunderlichen Geschmack der Muselmänner. Sie dienen nur zur Verzierung. Ein wesentlicher Bestandteil jeder Moschee aber ist der Thurm oder Minaret, der ungefähr in 2/3 seiner Höhe mit einer Gallerie umgeben, und auf seiner Spitze mit dem halben Monde geziert ist. Von Innen des Thurmes führt eine Treppe zur Gallerie, durch eine Thür, die allemal nach Mecca hin, der heiligen Stadt des Mahomed gerichtet ist. Aus dieser Thüre tritt zu gewissen Stunden des Tages ein Geistlicher, und ruft die Zeit aus, wenn die vorgeschriebenen Gebete von allen Muselmännern verrichet werden müssen.~~Fig. 2. Der Mufty.~~Fig. 2 zeigt den Mufty, oder das Haupt der geistlichen Gesetzausleger, der neben dem Grabe eines Sultans aus dem Koran das Todtengebet liesst. Nur bei dem Tode eines Sultans verwaltet der Mufty dieses Amt.~~Fig. 3. Betende Türken.~~Die fünf betenden Türken erscheinen in verschiedener Stellung; jede derselben ist durch den Koran vorgeschrieben, und das gewöhnliche Gebet Namaz, das die Muselmänner täglich fünfmal hersagen müssen, kann nicht vollendet werden, ohne dass diese Stellungen der Reihe nach angenommen werden.~~Fig. 4 u. 5. Derwische oder mahomedanische Mönche.~~Die Derwische theilen sich in sehr verschiedene, fast unzählbare Classen oder Orden. Sie sollen sich durch strenges Fasten und ein eingezogenes Leben zu frommen Menschen bilden, wissen aber wenig mehr als den Aberglauben des Volks durch alle Arten Betrügereien zu unterhalten. Durch den Genuss des Opiums setzen sie sich oft in eine Art von Entzückung, drehen sich taumelnd im Kreise herum und behaupten, dadurch zu ausserordentlichen Visionen zu gelangen.~~
Ad00341 06 077a/freCostumes XVII. Vol. VII. No. 75.
COSTUMES TURCS.
Cette planche offre quelques cérémonies religieuses des Turcs.
Fig. 1. Une Mosquée.
Nous voyons ici-les dehors d'une Mosquée ou temple mahométan. On. aperçoit d'abord une cour carrée, pavée en piètres; dans laquelle se trouve la fontaine, où se lavent les fidèles avant de pénétrer dans le temple; ils quittent leurs souliers et les laissent dans cette cour, qui est entourée d'une colonnade où ils peuvent faire leurs prières. C'est ici surtout que prient les femmes, à qui l'accès de l'intérieur est interdit. Le toit a une coupole principale, et plusieurs autres petites de la forme d'une verrue, d'après le goût bizarre des Musulmans, lesquelles ne servent que d'ornements. Ce. qui forme une partie essentielle d'une mosquée c'est la tour ou le Minaret, pourvue d'une galerie aux deux tiers à peu près de sa hauteur, et ornée à sa pointe d'un croissant. Un escalier conduit de l'intérieur du clocher à la galerie par une porte qui est toujours tournée vers la Mecque, qui est la ville sainte de Mahomet. C'est à cette porte que paroît à certaines heures du jour un ecclésiastique, qui désigne le moment où les Musulmans doivent faire les prières prescrites par l'alcoran.
Fig. 2. Le Mufti.
Cette figure représente le Mufti ou chef des ecclésiastiques, lisant dans l'alcoran la prière des morts auprès du tombeau d'un Sultan, et ce n'est qu'à la mort d'un Sultan que le Mufti s'acquitte de cet office.
Fig. 3. Turcs en prières.
Les cinq turcs qui prient dieu ont chacun une posture différente; et chacune de ces postures est prescrite par le Coran. Le Narnaz, prière ordinaire que les Turcs doivent répéter cinq fois par jour , ils ne sauroient la finir sans avoir pris chacune de ces postures l'une après l'autre.
Fig. 4 et 5. Derviches ou moines mahométans.
Les Derviches forment divers ordres de religieux presque, innombrables. Ils doivent se former à la piété par le jeûne et une vie retirée , mais ils ne savent guère qu'entretenir la superstition du peuple par leurs fourberies. L'usage de l'opium les jette dans une espèce d'extase; ils font alors des contorsions et dansent en tournant. Us prétendent que par ce moyen ils ont des visions extraordinaires.
Ad00341 06 078aUnter den Turbans oder der Kopfbekleidung der Türken herrscht eine grosse Verschiedenheit, und man kann daraus, sowohl die Stände, als die Völker und Religionsverwandten erkennen.~~Fig. 1 zeigt den Turban oder Caouc eines Christen aus Natolien in. Klein-Asien.~~Fig. 2 ist eine Drusin vom Libanon; ihre wunderliche Mütze besteht aus Pappendeckel, Messing oder Silberblech.~~Fig. 3 zeigt den Kopfputz einer Griechin aus Natolien. Wenn der Schleier darüber geworfen wird, so hindert der grosse Rand des Hutes, dass er nicht unmittelbar das Gesicht berührt.~~Bei Fig. 4 bemerkt man eine Mütze von rothem Tuche mit schwarzem Sammt eingefasst, wodurch sich die persischen Armenier kenntlich machen, die sich in Natolien niedergelassen haben.~~Fig. 5 ist der messingene Kopfputz der christlichen oder jüdischen Frauen von Diarbekir im alten Mesopotamien, zwischen dem Euphrat und Tigris.~~Fig. 6 zeigt den Kopfputz einer vornehmen Frau aus dem Thale Faran in der Nähe des Berges Sinai. Die ägyptischen Frauen tragen sich auf ähnliche Weise.~~Bei Fig. 7 sehen wir den Turban oder Caouc eines vornehmen Geistlichen aus Cairo, der Hauptstadt in Aegypten.~~Fig. 8 stellt den Turban einiger griechischen Kaufleute aus dem Archipel vor.~~Fig. 9 zeigt die Mütze der griechischen Popen; sie ist gewöhnlich von schwarzem Filz.~~Fig. 10 der Turban der Gesetzausleger in Cairo.~~Fig. 11 die Mütze, oder der Kuloh eininger Derwische oder türkischen Mönche.~~Fig. 12 ein Turban, den die Bewohner von Cutahyeh tragen.~~Fig. 13 zeigt zwei gewöhnliche Kleidungen der türkischen Männer. Der eine ist in einen schönen Pelz gekleidet; bei dem andern bemerkt man den Shawl, den die Türken oft sehr malerisch um Kopf und Hals wickeln.~~Bei Fig. 14 ist eine türkische Mahlzeit vorgestellt.~~Fig. 13 zeigt zwei gewöhnliche Kleidungen der türkischen Männer. Der eine in einen schönen Pelz gekleidet; bei dem andern bemerkt man den Shawl, den die Türken oft sehr malerisch um Kopf und Hals wickeln.~~Bei Fig. 14 ist eine türkische Mahlzeit vorgestellt.~~
Ad00341 06 078a/freCostumes XVIII. Vol VII. No. 76.
COSTUMES TURCS.
Il y a dans les turbans une grande diversité, qui sert à distinguer non seulement les états, mais encore les peuples et ceux qui sont de la même confession.
Fig. . 1 représente le turban ou Caouc d'un chrétien de Natolie dans l'Asie mineure. -
Fig. . a est une femme Druse du Libanon; son singulier bonnet est fait de carton et de feuilles de laiton ou d'argent.
No; 3 Fig. ure le chapeau d'une grecque de Natolie. Quand on jette le voile pardessus, le grand rebord du chapeau empêche qu'il ne touche immédiatementau visage. ;
A No. 4 on aperçoit uri bonnet de drap louge bordé de velours noir, par lequel se font reconnoître les Arméniens persans qui se sont établis en Natolie.
Fig. . 5 représente- la coiffure des femmes chrétiennes ou juives de Oiarbekir dans l'ancienne Mésopotamie entre l'Euphrate et le Tigre.
No. 6 Fig. ure la'coiffure d'une damé de la vallée1 de -Faran, près du'mont Sinaï.- Les égyptiennes ont aussi le'même costuma.
Fig. . 7 nous voyons1 le turban d'un prêtre du Caire, capitale, de l'Egypte. A
Fig. . 8 le turban de quelques négociants grecs de l'Archipel.
Nu. 9 Fig. ure' le bonnet des pôpé's grecs} il est ordinairement de feutre noir.' No. 10 le turban des interprètes des lois du Caire.
su No. 11 le bonnet ou Kul'oh de quelques derviches ou moines -turcs. No. 12 le turban que portent leshabitants de'Cutahyeh.
No. 13 Fig. ure les vêtements' ordinaires des Turcs. L'un a Une très-belle fourrure, et l'autre est orrié'd'un shavvl, que les turcs savent passer très-artistement autour de la tête et du cou.
No. 14 représente un repas turc.
Ad00341 06 079aFig 1 zeigt uns eine Türkin von Constantinopel, und Fig. 2 eine andere Frau dieser Nation aus der Provinz, beide, wie man sie auf öffentlicher Strasse sieht. Da die strengste Eingezogenheit den mahomedanischen Frauen zum Gesetz gemacht ist, so dürfen sie öffentlich nur so dicht verschleiert erscheinen, wie wir sie hier abgebildet sehen. Ueber ihrer Hauskleidung trägt die erstere einen weiten Tuchrock, Feredjeh genannt, in welchen sie sich völlig einwickeln kann, und über dem Kopf einen Schleier Hedjaz, von weissem Musselin, der die Stirn bedeckt. Die Frauen aus der Provinz verhüllen sich statt dessen in einen weiten Shawl oder Mantel.~~Fig. 3 u. 4 sind reiche und angesehene Griechinnen aus der Insel Andros, einem der schönsten und fruchtbarsten Eilande des Archipelagus. Als Christinnen gehen sie unverschleiert.~~Fig. 5 ist eine Griechin von der Insel Simia.~~Fig. 6 eine Bürgersfrau aus Pera, einer Vorstadt von Constantinopel, in welcher die fremden Gesandten wohnen. In dieser Tracht zeigen sich die Frauen nur in ihren Häusern, weil sie öffentlich verschleiert einhergehen.~~Fig. 7 ist eine Frau von der Insel Naxos, der grössten und schönsten der Cycladen. Die Frauen der Hauptstadt von Naxos sollen sehr eitel seyn. Ihre Tracht ist gefällig und artig.~~Fig. 8 zeigt uns eine Frau von der Insel Marmora mit ihrem Kinde.~~Fig. 9 stellt eine Frau von der Insel Argentiera vor. Die Frauen sollen schön seyn, entstellen sich aber durch ihre schwer beladene Kleidung.~~Bei Fig. 10 fallen besonders die Armschienen in der Tracht einer Frau von der Insel Scio auf; die Weiber dieser herrlichen Insel sind ihrer Schönheit und Leutseligkeit wegen berühmt, schaden aber, wie die vorigen, ihren natürlichen Reizen durch ihre seltsame Kleidung. Ihre Halsbänder, die aus an einander gereihten Ducaten bestehen, sind eine allgemeine Mode bei den Griechinnen.~~Fig. 11 zeigt eine Frau aus Spra, und Fig. 12 eine von der Insel Cypern. Die Kleidung beider Frauen hat viel Aehnlichkeit, doch zeigt der Schleier der ersten die Mahomedanerin und das unbedeckte Gesicht der andern die Christin an.~~
Ad00341 06 079a/freCostumes XIX. Vol. VII. No. 77.
COSTUMES TURCS.
Fig. r montre une femme turque de Constan-
Fig. . 7 est une femme de l'Ile de:Naxos, la tinopie, et
Fig. . 2 une provinciale de la même plus belle et la plus grande d
(.s Cvclades. Ou nation, mises toutes deux comme on les voit attribue aux femmes de la capitale de Naxos dans les rues. Comme la loi leur prescrit une beaucoup de vanité. Leur costume est joli et vie extrêmement retirée, elles n'osent paroi- gracieux. * tre que très-soigneusement voilées, telles que .
Fig. . 8 représente une femme de l'île de nous les voyons ici. La première porte sur Marmora avec son enfant. ses habits ordinaires une robe de drap, large,
Fig. 9 nous fait voir une femme de l'île nommée Feredjeh j dont elle peut s'enye- d'Argentiera. C.es femmes sont jolies, mais lopper en entier, et sur la tête un voile, Hed- elles se dé
Fig. urent par les habits dont elles se jaz
(de mousseline blanche,)
qui lui couvre le surchargent. front. Les femmes des provinces, au lieu de
Fig. . 10. Les brassards sont ce que les femcette robe, se couvrent d'un Shawl ou d'un mes de l'île de Scio ont de plus saillant dans manteau. leur costume. Les femmes y sont célèbres
Fig. . 3 et 4 représentent des femmes grec- pour la beauté et l'affabilité, mais elles nuiques, riches et de distinction, de l'île d'An- sent à leurs charmes naturels par fa bizarerie dros, l'une des plus riches et des plus fertiles de leur accoutrement. Leurs colliers formés de l'Archipel. En qualité de chrétiennes elles de ducats enfilés sont d'une mode générale sortent dévoilées. chez les grecques.
Fig. . 5 est une grecque de l'île de Simia.
Fig. . Il représente une femme de Spra et
Fig. . 6 une bourgeoise de Pera, faux-bourg
Fig. . 12 une de l'île de Cypre. Leur costume de Constantinople, qu'habitent les ambassa- a beaucoup de ressemblance, cependant le deurs étrangers. Les femmes ne sont costu- voile de la première désigne la mabométanne, mées ainsi que dans l'intérieur de leurs et le . visage découvert de l'autre la chrémaisons, car elles ne sortent jamais sans être tienne, voilées.
Ad00341 06 080aFig. 1. Drei Frauen von den griechischen Inseln.~~Wir sehen drei Frauen von den benachbarten Inseln Scio, Samos und Mitylene (ehemals Lesbos), deren Tracht gleichwohl auffallend von einander abweicht. Die mittlere Frau ist von Samos und hat eine fast türkische Kleidung, wie man aus den weiten Beinkleidern sieht; dagegen glaubt man in der Mitylenerin, ihr zur Rechten, ein artig gekleidetes europäisches Landmädchen zu sehen. Die Sciotin in dieser Gruppe ist in gewöhnlicher Haustracht, während ihre Landsmännin auf voriger Tafel Fig. 10. sich in vollem Staate zeigt. Auf diesen Inseln massen sich die griechischen Frauen das Recht an, gelbe Pantoffeln zu tragen, was sich eigentlich die Türken allein vorbehalten haben.~~Fig. 2. Türkische Frauen.~~Diese Figur zeigt uns eine andere Gruppe, welche den Unterschied zwischen den türkischen und griechischen Frauen deutlich macht. Beide sind hier neben einander in der Kleidung dargestellt, wie sie sich in den Städten öffentlich auf der Strasse sehen lassen. Die Türkinnen sind ganz um Stirn und Kinn verschleiert; die Griechin dagegen erhält ihr Gesicht frei.~~Fig. 3. Drusische Frauen.~~Diese zwei drusischen Frauen sind aus der Gegend des Libanon. Die Drusen sind eine, von den ächten Muselmännern verschiedene Sekte, deren Stifter Hakem, ein grausamer Reformator war. Die Drusen sind Ackerbebauer. Die Frauen sind in der abgebildeten Gruppe beschäftiget, Korn in einer Handmühle zwischen zwei Steinen zu mahlen.~~Fig. 4. Asiatische Türkinnen mit Brodbacken beschäftiget.~~Ihr Brod ist ungesäuert, und besteht aus flachem Fladen, der auf die erhitzten Steine gelegt wird, und wenn er gebacken ist, sich von selbst ablös't. Die fleissige Bäckerin raucht Tabak, wie fast alle Türkinnen.~~
Ad00341 06 080a/freCostumes XX. Vol. VII. No. 78.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1. Trois Femmes des îles de la Grèce.
Vous voyons ici trois femmes de Chio, Samos et Mitylene (autrefois Lesbos) ; ces îles sont voisines l'une de l'autre, et toutefois le costume de ces femmes est bien différent. Celle du milieu, qui est de Samos, a à-peuprès, le costume turc, comme le démontrent les pantalons larges dont elle est vêtue ; on croit voir au contraire dans celle de Mitylene, qui est à droite, une paysanne européenne joliment habillée, Celle de Chio est figurée ici, en habits ordinaires, pendant que celles que représente la planche précédente sont figurées dans leurs plus beaux atours. Dans ces îles les femmes grecques s'arrogent le droit de porter des pantouffles jaunes, privilège que les turcs se sont en quelque sorte réservé.
Fig. 2. Femmes turques.
Lé second groupe représenté ici rend très»ensible la différence qu'il y a entre les femmes grecques et les femmes turques. Elles sont figurées à côté l'une de l'autre dans les vêtements ordinaires qu'elles portent dans les villes, lorsqu'elles sortent publiquement. Les femmes turques ont le front et le menton voilés, pendant que la femme grecque a le visage entièrement découvert.
Fig. 3. Femmes Druses.
Ces deux femmes Druses sont des environs du Libanon. Les Druses forment une secte séparée de la vraie musulmane; le ]uge Hakem en fut un cruel réformateur. Les Druses sont un peuple cultivateur. Les femmes
Fig. urées ici sont occupées à moudre du blé entré deux pierres dans un moulin à main,
Fig. 4. Femmes turques d'Asie occupées à faire du pain.
Leur pain est sans levain ; c'est une tourte platte que l'on place sur les pierres brûlantes et qui se détache d'elle-même lorsqu'elle est cuite. La boulangère fume du tabac, ainsi que presque toutes les femmes turques.
Ad00341 06 081aFig. 1 u. 2. Tänzer und Tänzerin.~~Wir sehen hier einen Tänzer und eine Tänzerin, wie solche im Serail des Gross-SuItans, zur Belustigung der Damen des Harems ihre Künste zeigen. Diese Tänzer sind gewöhnlich Griechen, bisweilen auch Franzosen oder Italiener, welche in einem wohlbewahrten Hofe eingeführt werden. Die Damen sitzen dabei in verschlossenen Logen hinter Gittern, und sehen den Sprüngen der Possenreisser zu. Die Kleidung, besonders der Frauen, ist dem kunstvollen Tanz gewiss nicht vortheilhaft. In den Händen haben beide Tänzer Castagnetten, womit sie den Tact schlagen. Ausserdem werden ihre Sprünge gewöhnlich auch noch von Musik begleitet.~~Fig. 2. Frauen aus Syrien.~~Die eine Frau ist aus Aleppo, der Hauptstadt eines Paschaliks in Syrien, und die andere aus Antiochien, eine andere alte und berühmte Stadt, ebenfalls in Syrien, welche einen anschaulichen Begriff von der Kleidung asiatischer Türkinnen geben. Aleppo ist der Mittelpunkt des türkischen Handels mit Persien und Indien, daher die schönsten Stoffe hier zu haben sind.~~Fig. 3. Albanier oder Arnauten.~~Diese Gruppe macht uns mit der Tracht der Albanier bekannt, welche Nation das alte Epirus und Illyrien bewohnt. Sie werden von den Türken Arnauten genannt, sind ein tapferes kriegerisches Volk und scheinen, ihrer Sprache nach, ein Gemisch sehr verschiedener Völkerschaften zu seyn. In Cattaro, welches gegenwärtig an Frankreich gehört, wohnen gleichfalls Albanier; auch in Sicilien findet man eine Colonie derselben.~~Fig. 4. Zwei Verkäufer aus Constantinopel.~~Diese Figur stellt zwei Krämer aus den Gassen von Constantinopel vor. Der eine verkauft Caimac, welches eine eingedickte Milch ist, die sich schneiden lässt, und mit Honig, Zucker und Salz gegessen wird. Der andere trägt Gemüse zu Markt.~~
Ad00341 06 081a/freCostumes XXI. Vol. VII. No. 79.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1 u. 2. Un Danseur et une Danseuse.
lia Danseuse et le Danseur, figurés ici, font dans le Sérail du Sultan leurs farces, pour amuser les dames du Harem. Ces Danseurs sont ordinairement grecs d'origine; mais aussi quelque fois françois ou italiens; on les introduit dans une cour bien close. Les dames, placées dans des loges grillées, voient sans être aperçues les tours de ces bateleurs. Le costume, surtout celui des femmes, est loin de favoriser une danse dirigée par l'art. Ils .ont dans les mains des Castagnettes, avec lesquelles ils battent la mesure. D'ailleurs ils exécutent ordinairement leurs sauts au son de la musique.
Fig. 2. Femmes de Syrie.
L'une, de ces femmes est d'Aleppo, capitale d'un Bachalic en Syrie, et l'autre est d'Antiochie, ville ancienne et célèbre, également située en Syrie; elles nous donnent une idée claire du costume des femmes turques en Asie. Aleppo est le centre du commerce que font les Turcs avec la Perse et les Indes, aussi y trouve-1-on les plus belles étoffes.
Fig. 3. Albaniens ou Arnautes.
Le groupe ci-joint nous figure le costume des Albaniens, nation qui habite l'ancienne Epire et l'IUyrie. Les Turcs les nomment Arnautes. C'est une nation guerrière trèsbrave, qui, à en juger par son langage, doit être un mélange de diverses peuplades. Il y a aussi des Albaniens à Cattaro, qui appartient maintenant à la France; on en trouve même une colonie en Sicile.
Fig. 4. Deux revendeurs ou colporteurs de Constantinople.
Cette figure représente deux merciers des rues de Constantinople. L'un vend du Cai* mac, ou lait caillé que l'on peut couper à morceaux, et que l'on mange avec du miel, du sucre et du sel. L'autre porte des légumes au marché.
Ad00341 06 082aFig. 1. u. 2. Ein Wasser- und Lastträger.~~Fig. 1. ist ein Saccas oder militärischer Wasserträger, wie es deren bei der Armee eine grosse Anzahl giebt; sie haben den niedrigsten Rang beim Militär, stehen nicht unter besonderen Offizieren, sondern sind den Compagnien zugetheilt. Das Wasser, das sie den Soldaten nachführen, dient nicht bloss zum Trinken, sondern auch, um sich bei den vorgeschriebenen, selbst im Felde unerlässlichen Gebeten jederzeit waschen zu können.~~Die zweite Figur zeigt einen gemeinen Lastträger aus Pera, der Vorstadt von Constantinopel. Diese Leute, welche gewöhnlich Armenier sind, können unglaubliche Lasten fortbringen.~~Fig. 3. Ein griechischer Hochzeitwagen.~~Diese Wagen oder Karren, welche Arabal heissen, sind bestimmt, die weiblichen Gäste zur Feier der Festlichkeit abzuholen. Man schmückt sie zu diesem Behufe, so wie das Zugvieh, wozu man gewöhnlich Ochsen nimmt, mit Blumen und Blättern. Ueber dem Geschirre hängt man wohl auch Schellen, wodurch der Staat noch erhöhet wird.~~Fig. 4. Ein türkisches Grab.~~Wir sehen hier die Abbildung eines türkischen Grabes. Der Turban auf dem Leichensteine zeigt den Rang des Verstorbenen an. Die Türken suchen ihre Gräber so zierlich als möglich auszuschmücken, und mit Bäumen und Blumen zu bepflanzen, daher auch, nach dem Berichte aller Reisenden, die türkischen Kirchhöfe ein ungemein freundliches Ansehen haben. Auf unserer Abbildung steht eine Wittwe vor dem Denkmale ihres Gatten und ein Knabe reicht ihr eine, vom Grabe abgepflückte Rose.~~
Ad00341 06 082a/freCostumes XXII. Vol. VII. No. 80.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1. et 2. Un porteur d'eau et un porte-faix.
Fig, i. représente un Saccas ou porteur d'eau militaire, et il y en a un grand nombre à l'armée, c'est le moindre grade militaire, ils n'ont point d'officiers particuliers, mais ils sont distribués dans les compagnies, L'eau qu'ils conduisent ne sert pas seulement à la boisson des soldats; ceux-ci s'en lavent aussi dans les prières, qu'ils sont obligés de faire chaque jour, quoique en campagne.
Fig. , 2, est un porte-faix ordînair- de Pera f faux-bourg de Constantinople. Ces gens, pour l'ordinaire Arméniens d'origine, peuvent porter des fardeaux incroyabes.
Fig. 3. Une voiture nuptiale grecque.
Ces voitures, nommées Arabal- sont destinées à aller chercher les femmes cui doivent assister à la célébration des* noces. On les pare de fleurs et de feuillages, ainsi que les bestiaux qui les traînent, et ce sont ordinairement des boeufs. On attache même aux harnois des sonnettes, pour relever la pompe du convoi. .
Fig. 4. Un tombeau turc.
Ici est figuré un tombeau turc; le turban placé sur la pierre sépulchrale, désigne 1» rang du défunt. Les Turcs tâchent de décorer aussi agréablement que possible leurs tombeaux; ils y plantent même des fleurs et des arbres, aussi les rapports de tous les voyageurs s'accordent-ils à donner aux cimetières turcs un air trës-riant. Notre planche figure ici une veuve devant le mausolée de son époux,, et un enfant lui offre une rose qu'il vient de cueillie sur le tombeau.
Ad00341 06 083aFig. 1. Die Riesenschildkröte. (Testudo Mydas. L.)~~Die merkwürdige sehr grosse Riesenschildkröte lebt und findet sich an den Küsten der Inseln, zwischen den Wendekreisen. Sie erreicht eine Länge von 7 Fuss, 4 Fuss Breite, und wiegt, ausgewachsen, oft 7 bis 800 Pfund. Ihre Schale, in der sie gleich einem Panzer steckt, ist in mehrere Schilder getheilt, und so fest, dass ein Wagen darüber gehen kann, ohne ihr zu schaden. Kopf, Füsse und Schwanz sind mit Schuppen, wie bei den Eidechsen, bedeckt. Die Zehen der Beine sind mit Schwimmhaut versehen, so dass das Thier fertig schwimmt. - Der Mund ist nicht mit Zähnen, wohl aber mit harten ausgezackten Kinnladen versehen. Ihre Nahrung besteht aus Meergewächsen, denen sie in friedlicher Ruhe scharrenweise an den Meeresküsten nachgehen. Das Weibchen setzt seine Eier, deren es des Jahrs zu drei verschiedenen Malen, zusammen bis gegen 300 Stück legt, in den reinen Ufersand der Meeresküsten, und lässt dieselben von der Sonne ausbrüten. Die Eier sind rund, 2 Zoll im Durchmesser, und sehr schmackhaft. - Das Fleisch der Riesenschildkröte ist wohlschmeckend, sehr gesund und wird als grosser Leckerbissen nach Europa, vorzüglich nach England gebracht. Der Nutzbarkeit wegen wird diesen Thieren sehr nachgestellt. Man fängt sie gewöhnlich, wenn die Weibchen zur Legezeit an das Land kommen. Da lauert man ihnen auf, schlägt sie todt, oder dreht sie um, wo sie, auf dem Rücken liegend, sich nicht fortbewegen können.~~Des grünlichen Fettes wegen heisst sie häufig, vorzüglich in England, die grüne Schildkröte (green turtle).~~Fig. 2. Die Cauane. (Testudo Caretta. L.)~~Die Cauane giebt der vorigen Schildkröte an Grösse nichts nach, und findet sich vorzüglich unter der heissen Zone in den Küsten-Ländern von America; doch auch im mittelländischen Meere an den Küsten von Sardinien kömmt sie vor. Sie nährt sich nicht von Pflanzen, sondern von Muscheln und kleinen Thieren, und greift mit grossem Muth in den Flüssen America's selbst die Jungen des dortigen Crocodils an. Der Nahrung wegen ist das Fleisch der Cauane ölig, ranzig, grobfaserig, von unangenehmem Geschmack, und man stellt daher diesen Thieren nicht so nach, als der Riesenschildkröte.~~Ob sie gleich auch bisweilen den Namen Carettschildkröte führt, so ist ihre Schale doch zu feinen Schildkrötarbeiten wenig tauglich, sondern diese liefert die eigentliche Carettschildkröte (Testudo imbricata. L.), welche wir im Bilderb. Bd. I. Taf. 23 kennen lernten, die aber mit gegenwärtiger oft verwechselt wird.~~
Ad00341 06 083a/freAmphibies XXVII. Vol. VII. No. 81.
TORTUES D'UNE GRANDEUR COLOSSALE.
Fig. 1. Tortue franche ou Mydas. (Testudo Mydas. L.)
La Tortue franche, si remarquable par son volume gigantesque, se trouve communément et vit sur les rivages des îles entre les. tropiques; elle a jusqu'à 7 pieds de long, 4de large, et pèse alors de 7 à g quintaux. Sa carapace, qui lui sert de cotte d'armes ; est divisée en plusieurs plaques, et elle a tant de consistance qu'une voiture peut passer dessus sans l'endommager. La tête, la queue, et les pieds sont recouverts d'écaillés comme ceux des lézards. ' Lés ongles des pieds sont pourvues de nageoires, de sorte que cet animal nage. avec beaucoup de facilité. La bouche n'est point munie de dents, mais d'une mâchoire très - ferme et dentelée. Elle se nourrit de plantes marines, qu'elle cherche paisiblement et par troupes sur les côtes de la-mer. Dans les trois différentes pontes annuelles, la femelle dépose jusqu'à 300 oeufs dans le sable du rivage, pour que le soleil les fasse éclore. Ces oeufs sont ronds, de deux pouces dé diamètre, et bons à manger. La chair de la tortue franche e"t d'unrgoût exquis et est trèsrecherchée en Europe sur-tout en Angleterre. Sa grande utilité fait qu'on lui dresse toute sorte de pièges. On les prend le plus communément lorsque les femelles se rendent, pour la ponte, à terre, où on les attend pour les tuer, ou bien on les tourne sur îe dos, position où elles ne peuvent plus se mouvoir. On lui donne aussi le nom de Tortue verte (green turtle). surtout en Angleterre,' parcequ'eîle sa graisse est d'ua vert plus ou moins foncé.
Fig. 2. La Tortue Caouane. (Testudo Caretta. L.)
La Caouane ne le cède en rien pour le volume à la précédente; elle se plaît particulièrement dans les régions brulantss de l'Amérique sous la zone torride; cependant elle se trouve dans la. méditérranée sur les côtes de Sardaigne; elle est très-couràgeuse et attaque les jeunes crocodiles qui se trouvent dans les fleuves de l'Amérique. Elle se nourrit, non de plantes, mais de coquillages, ce qui rend sa chair huileuse, rance, coriace et de mauvais goût; aussi ne lui donne-t-on pas la chasse comme à l'autre. > Quoiqu'on lui donne quelquefois le nom de Caret, sa carapace est peu propre aux ouvrages fins d'écaillé.- C'est au contraire la carapace du Caret, '(Testudo imbricata L.) dont nous avons donné la description dans notre Porte - feuille d'enfants, (Vol. I. i\o. 23) que l'on travaille avec beaucoup de succès. On a eu donc grand tort de confondre ces deux espèces.
Ad00341 06 084aFig. 1. Die aloëblättrige Yukka. (Yucca aloëfolia. L.)~~Die aloëblättrige Yukka findet sich in den warmen Ländern von America, von wo man sie nach Europa in unsere Orangerie-Häuser gebracht hat. Aus der dicken ästigen Wurzel erhebt sich in ihrem Vaterlande der starke Stamm in gleicher Dicke bis zu einer Höhe von 15 bis 20 Schuhen. An seinem obern Ende sitzt eine Krone von langen steifen Blättern, welche sich in eine Spitze endigen. Aus der Mitte bricht der Blütenstängel hervor, an welchem die schönen tulpenähnlichen Blüten traubenförmig sitzen. Diese sind von innen weiss, von aussen purpurroth, also schön für das Auge, aber unangenehm von Geruch. Nach dem Verblühen kommen Beeren zum Vorschein, welche aber bei uns nie zur Reife gedeihen; auch kommt diese Yukka hei uns nur sehr selten zur Blüte, und erreicht weder die Höhe noch Stärke, als wie in ihrem Vaterlande. Dort benutzt man die Fasern der Blätter zu Stricken, deren sich die Indianer bedienen.~~Fig. 2. Die schäckige Aloë. (Aloë variegata. L.)~~Diese kleine artige Aloë wurde zuerst durch Samen im Jahr 1700 nach Europa gebracht, und findet sich ursprünglich am Vorgebirge der guten Hoffnung. Die dicken, wenig fleischigen Blätter sind 3 bis 6 Zoll lang, haben eine dreieckig zugespitzte Form, und sind dunkelgrün mit Flecken von weisser Farbe. Aus ihnen kömmt der 12 Zoll lange Blumenschaft zum Vorschein, welcher rothe schöne Blüten trägt, die wie bei den andern Aloë-Arten einen süsslichen Saft enthalten. In unsern Gewächshäusern blüht diese Aloë, wie die meisten Cap-Pflanzen, um die Winterzeit. Wegen der buntgefleckten Blätter erhält sie bisweilen auch den Namen der Papagey-Aloë.~~
Ad00341 06 084a/frePlantes. CXXXII. Vol. VII. No. 82.
PLANTES D'ORNEMENT.
Fig. 1. Yucca à feuilles d'Aloès. (Yucca aloëfolia. L.)
L' Yucca à feuilles d'Aloès , originaire de l'Amérique méridionale, a été transporté en Europe dans nos serres-chaudes. De la racine grosse et rameuse s'élève la tige droite et également forte qui dans sa patrie parvient jusqu'à la hauteur de (5 à 20 pieds. À la pointe supérieure est un bouquet de feuilles longues, roides et lancéolées. Les fleurs sont disposées en une grappe longue et droite au sommet de la tige, blanches en dedans, couleur dé pourpre en dehors, ainsi belles à la vue, maïs désagréables à l'odorat. La floraison terminée, il paroît des graines, qui ne parviennent jamais chez nous à leur parfaite maturité. Cette plante ne fleurit que rarement chez nous, et de plus elle n'atteint jamais la même hauteur, ni la même grosseur que dans sa patrie. Des filaments des feuilles on fait des cordes, dont les Indiens se servent.
Fig. 2. Aloès panaché. (Aloë variegata. L.)
Ce petit Aloès panaché est originaire du Cap de bonne Espérance, d'où sa graine a été apporté en Europe en 1700. Les feuilles serrées, peu charnues, ont de 5 à 6 pouces de long, trois bords cornés, d'un vert foncé et sont marquées de taches blanches, Audessus d'elles s'élève le pédoncule de 12 pouces de long, portant de très-jolies fleurs rouges, qui, comme dans les autres espèces d'Aloès, contiennent un suc assez doux. Cet Aloès, de même que les autres plantes du Cap, ne fleurit dans nos orangeries qu'en hiver. Ces feuilles diversement tachetées lui font donner quelquefois le nom d'Aloès perroquet.