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Ad00341 03 083a/freOiseaux. XLIII. T. III. No. 81.
PINCONS DE DIFFERENTES ESPECES.
Le genre des Piçons se d'istingue particulièrement des autres oiseaux à chant, par son bec conique, droit et pointu. De 110 especes que nous connoissons, les unes sont recommandables par la beauté de leur plumage, et les aurtres par leur chant agréable. Nous n'en avons que 13 de ces espèces en Allémagne.
Fig. 1. Le Pinçon ordinaire. Le Pinçon ordinaire plait par tout a cause de son joli plumage et de son agréable gosier; c'est pourquoi il est consideré comme oiseau de volière. Il a sept pouces un quart de longueur et onze d'envergure. La femelle diffère du male, qui est ici répresenté, en ce qu'elle est plus petite, et a des couleurs moins brillantes. Le Pinçon ordinaire sè trouve par toute l'Europe et dans quelques parties de l'Afrique. Excepté quelques uns qui restent en arrière, il quitte nos contrées en Octobre, pour revenir vers le mois de Mars. Il se nourrit de. plusieurs fortes nie semences, et de graines.
Fig. 2. Le Pinçon d'ardenne. Il est aussi grand que le pinçon vulgaire, mais encore plus beau, son plumage étant varié de noir, jaune clair et orange. Il habite le nord de l'Europe, passe en hiver dans nos contrées, ou les oiseleurs en sont de grandes, captures; il est aussi regardé comme oiseau de volière. Son chant consiste dans un cris desagreable. Au reste il se nourrit comme le pinçon ordinaire.
Fig. 3. Pinçon de Neige ou Niverolle. Il se trouve rarement en Allemagne et habite les plus hautes montagnes de la Suisse, de la France et de la Perse. Les Couleurs de son plumage consistent en un mélange doux de blanc jaunâtre, de gris cendré et de brun. Il a 8 pouces de long.
Fig. 4. Le Moineau. Cet oiseau fin et ruse qui ne s'eloigne jamais des habitations des hommes, se trouve dans toute l'Europe, en Asie, et dans une partie de l'Afrique. Il est plus petit quele pinçon ordinaire. Comme le moineau se nourrit autant de chenilles et d'insectes que de graines et de femences, on pourroit le regarder comme aussi utile que nuisible. Sa chair de même que celle de toutes les espéces de pinçons dont nous avons fait, mention est savoureuse et mangeable.
Fig. 5. Le Friquer. Il est plus petit que le moineau. Sa couleur est varié de brun clair, brun rougeâtre et blanc. Il a un anneau noir à la gorge; Comme le précédent on le rencontre dans toute l'Europe; il vit pendant l'e dans les brouissailles qui avoisinent les champs de bled, niche dans des creux d'arbres, et sapproche en hiver des habitations des hommes.
Fig. 6. La Soulcie. C'est la plus petite espèce de pinçon, representé ici; car sa longueur n'est que de fix pouces trois quarts. Il se trouve dans plusieura pays de l'Europe, mais il est rare en Allemagne. La tète et le dos sont d'un brun rougeâtre; leventre d'un blanc rougeâtre, la partie inférieure du cou, jaune.
Ad00341 03 084a/frePlantes. LXIX. Vol. III. No. 82.
PLANTES ADMIRABLES.
Fig.1. Dionée hapante. C'est un très singuliere plante, a cause de la grande irritabilité de ses feuilles. Le bout des feuilles, rangées en cercle, autour de la tige, se partage en deux lobes ovales, bordée de cils ou soies longues et pointues. Il sort de leur superficie glanduleuse et rougeâtre une substance douce et visqueuse, qui entraine les infectes a leur perte; car dés qu'uni insecte touche seulement la superficie de ces lobes, dans l'instant leur irritabilité naturelle les fait rejoindre si fortement, qu'on les romproit plutôt que de les forcer a s'ouvrir, pour en tirer l'insecte vivant. L'insecte cherche-t-il, par des efforts a sortir de captivité, la plante, alors encore plus irritée par ces mouvemens se ferme avec plus de force. L'irritabilité a-t-elle cessée par la mort de l'infecte, les lobes se separent d'eux mêmes, et l'infecte tombe. Cette plante remarquable est originaire de l'une et l'autre Caroline dans l'Amérique septentrionale. Il naît du milieu des feuilles une tige haute de fix pouces, qui en soutient d'autres, au sommet de chacune desquelles est placé une fleur d'un blanc de lait. Elle fut seulement apporté en Angleterre, il y a environ 30 ans, ou on la payoit quelques cents ecus; a présent on peut l'y acheter pour 8 ou 10 ecus.
Fig. 2. Sainfoin tremblant. Le Sainsoin tremblant; ici representé et qui nous est parvenu de l'intérieur du Bengale, lors du premier voyage de Cook, est aussi remarquable que la plante précédente. Il parvient à la hauteur de deux pieds à deux pieds et demi, et a des fleurs ecarlates, bordées de bleu celeste. C'est de même que dans l'autre le mouvement des feuilles qui diftingue si fort cette plante. Les grandes feuilles qui fe trouvent sur les tiges destinées a en porter les principales, éprouvent depuis le lever jusqu'au coucher du soleil un mouvement involontaire produit par la lumière de cet astre. Au lever du soleil, elles se redressent, et sortent de leur sommeil végétale, pendant lequel elles pendoient comme flétries, et restent dans un etat de tremblement jusqii'a son coucher. Mais le sécond mouvement arbitraire des deux petites feuilles laterales, tenantes à la tige qui soutient les grandes, est encore plus digne de remarque. Ces deux petites feuilles laterales, sans sousfrir du changement de lumière où de tems, sont unit et sont dans un mouvement continuel; quand l'une monte, l'autre baisse jusqu'à la tige a feuilles, et ce mouvement circulaire continue ainsi sans interruption. D'après la découverte de cette plante, le mouvement arbitraire appartient aussi bien au regne végétale, qu'au regne animal, ce dont les naturalistes on doutés jusqu'à present.
Ad00341 03 085a/freCoraux. II. Vol. III. No. 83.
DIFFERENTES ESPÈCES DE CORAUX.
Fig.1. L'Eventail de Mer. Ce beau Corail connu sous le nom d'Evantail de mer, se trouve sur les côtes de la mer mediterranée, de même que dans les deux Indes, ou il est attache aux rochers par un tronc fort et coriace. Son tronc se partage en plusieurs branches, liées entre elles par un tissu, en forme de filet; en forte que le tout a quelque ressemblance avec un arbre. On trouve de ces coraux qui ont jusqu'à ciog pieds de hauteur. Leur couleur est un beau rouge ecarlate. Les branches sont parfemées de petits pores, tels qu'ils sont representé Fig. 1.b. vu au microscope. Ce sont les demeures d'une espéce de polipes, qui forment cet admirable édifice, et dont nous en voyons un ici agrandi, Fig. 1.c.
Fig. 2. L'Orgue de Mer. L'orgue de Mer appartient a l'espece de coraux a tuyaux, et il est pareillement l'édisice et la demeure de polipes de mer. Il consiste en petits tuyaux minces, couchés paralellement l'un a côté de l'autre, qu'on compara a des tuyaux d'Orgue, d'où ce corail a pris son nom. Ces petits tuyaux sont habités par un animal, qu'on peut voir agrandi Fig. 2.b. dans un morceau coupé par le milieu. Cette production se trouve dans la mer rouge, celle des Indes et d'Amérique, ou elle s'attache aux rochers en masses informes, et est également rouge. Les Indiens se servent de l'Orgue de Mer, comme remède contre les morsures des bêtes venimeuses.
Ad00341 03 086a/freInsectes, XX. Vol. III. No. 84.
INSECTES -REMARQUABLES.
Fig. 1. La feuille ambulante. Nous avons déjà vu dans le 1. Vol. No. 40. une autre espéce d'insectes nommé feuille ambulante, espéces d'insectes qui appartiennent toutes' au genre des Sauterelles. Cette première espéce etoit representé sans ailes; cette dernière, au contraire paroit avec des ailes; et ce sont ces ailes même qui rendent cet animal si digne de remarque. Ses ailes superieures ressemblant parfaitement aussi bien par la couleur que par la forme a certaines sortes de feuilles, il est difficile d'en distinguer l'insecte, dans son etat de repos. Les ailes inférieures au contraire, ressemblent, a cause de leur couleur jaune a des feuilles fanées. Sa nourriture qui consiste en petits insectes, elle se la procure, a l'aide de ses longues pattes de devant.
Fig. 2. Le Porte Lanterne de la Chine. Nous connoissons deja le Porte Lanterne de Surinam, figuré dans le 1. Vol. No. 40. de notre Portefeuille. Celui ci se trouve a là Chine, et il est representé de grandeur naturelle. La prolongation de la tête, qui ressemble en quelque façon a une vessie, et qui a la forme d'une corne, n'est luissante qu'autant de tems que l'animal est vivant; anssitôt après sa mort elle cesse de luire. Les ailes superieures sont vertes avec des taches oranges; les inférieures au contraire sont oranges, et se terminent par une tache noire.
Fig. 3. Le porte Lanterne d'Europe. Ce petit insecte d'un vert grisàtre atteint tout au plus la grandeur d'un demi pouce. Il appartient aussi a cause de sa tête allongée et pointue, a la classe de Portes - lanterne, — quoiqu'on n'ait pas encore remarqué qu'il soit luissant. Son sejour est le midi de l'Europe. On le trouve aussi, quoique rarement dans le parties méridionales et vers le milieu de l'Allemagne.
Ad00341 03 087a/freAmphibies. X. Vol. III. No. 85.
SERPENS REDOUTABLES.
Les deux serpens representës ici appartiennent au genre des Boa ou serpens gigantesque qui sont nommés ainsi avec raison à cause de leur force et de leur enorme grandeur. Au reste ils ne sont pas venimeux.
Fig. 1. Le Devin.
C'est le plus grand, le plus fort, non seulement de son genre, mais en général de touts les serpens. Il parvient jusqu'à là longueur de quarante a cinquante pieds, et à la grosseur d'un homme. L'Amérique méridionale, l'Inde et les Isles de la mer des Indes sont la patrie de ce terrible serpent. Il se nourrit de chevreuils, de jeunes buffles, de gazelles et d'autres animaux. Il se tient en embuscade sur des arbres, sélance sur eux lorsqu'ils s'en approchent, les tien ferme, s'entortille autour de leur corps, et les ferre avec tant de violence, qu'il les étouffe. Il en suce tout le sang, leur écrase par sa force étonnante touts les os, l'enduit, d'une salivé qui lui sort de là gueule, et l'avale ensuite tout entier. Faute de plus grands animaux, il mange des lézards, des oiseaux et d'autres petits serpens. La teinte de sa peau consiste en taches et lignes irregulieres, d'un rouge foncé, cerise, jaunes, blanches et bleues cendrées. Cette peau à cause de sa beauté, et qui, en sus est d'un poli très brillant, est eftimé, et se vent fort chere dans ces pays. Les naturels de l'Amérique méridionale rendent a ce serpent des honneurs divins, a cause de la frayeur qu'il leur inspire; d'où on lui a aussi donné le nom de Devin.
Fig. 2. Le Bojobi ou serpent a tête de chien.
Il appartient pareillement au genre des Boa ou ferpens gigantesque. Ce nom lui à été donné a cause de la réssemblance de sa tête a celle d'un chien. Lorsqu'il a achevé de croître il atteint à peu près la longueur du précédent. Sa couleur est un beau vert céladon avec des taches blanches. La nourriture, le sejour et le reste de sa manière de vivre, lui est commune avec le Devin.
Ad00341 03 088a/freOiseaux. XLIV. Vol. III. No. 86.
PINCONS DE DIFFERENTES ESPECES.
Nous voyons encore ici, comme dans le précédent cahier No. 81. fix autres èspeces d'oiseaux, du genre nombreux des pinçons, qui sont généralement estimés par la beauté de leur plumage leur chant agréable, ou par leur docilité, et qui par ces raisons sont tous regardés comme oiseaux de volière.
Fig. 1. Le Chardonneret.
Il habite toute l'Europe, quelques parties de l'Asie et de l'Afrique. Son plumage doucement mélangé, est d'un brun olive sur le dos, et d'un blanc rougeatre sous la ventre. Les pennes des ailes et de la queue d'un noir veluté, sont bordées de bleue, et autour des yeux et du bec, il regne une bande d'un beau rouge ecarlate. Sa nourriture consiste en plusieurs éspeces de semences; il ne mange jamais d'infectes. Il aime par dessus tout la femence de chardon; d'où lui est venu le nom de Chardonneret.
Fig. 2. Le Serin des Canaries.
Cet oiseau si généralement aimé fut apporté en Europe par des vaisseaux au commencement du feizieme fiecle des Iles Canaries, d'où il est originaire, Comme il fut bientôt recherché a cause de son charmant gosier, on se donna toutes les peines possibles pour le multiplier, ce qui reussit au point, qu'on trouve actuellement partout en cage des Serins des Canaries. Sa couleur primitive qui etoit d'un gris verdàtre, a eté tellement variée par les coisements, qu'on en voit a present des jaunes, des blancs et des tachetés. Il se nourrit de différentes espéces de graines, entre lesqu'elles il préfère celle de pavot, le bléd de canarie et le chenevis. Les Serins des Canaries faisissent aussi avec beaucoup de facilité les airs qu'on veut seurs apprendre.
Fig. 3. Le Tarin.
Le joli et docile Tarin est le plus petit du genre des pinçons; il n'a que cinq pouces de long. Il habite presque toutes les parties de l'Europe, et se nourrit de plusieurs sortes de graines, entre lesqu'elles il aime particulièrement la semence d'aune. Il construit son nid dans les forets vertes a l'extrémité des plus hautes branches; d'où vient la fable que les nids de Tarins sont invisibles.
Fig 4. et 5. La Linotte et le grand Linot des vignes.
La Linotte est un peu plus petite que le Chardonneret, et se trouve dans toutes les parties de l'Europe, dans la Russie méridionale, et l'Amérique septentrionale. Elle a un chant très agréable, et se nourrit de graines. Les premieres années son plumage est d'un brun rouillé, et d'un blanc sale; mais dans la troisieme année, le sommet de la tête et la poitrine du mâle se changent en un rouge de sang, et alors il est connu sous le nom de grand Linot des vignes (Fig. 5.)
Fig. 6. Le Sizerin.
Il est un peu plus petit que la Linotte. La patrie du Sizerin eont proprement les régions du nord, cependant dans le mois d'Octobre il passe en grandes volées en Allemagne. Il ressemble assez, par la couleur, au linot de vigne, et se nourrit comme la linotte de différente wortes de graines. Son chant n'eft pas agreable.
Ad00341 03 089a/frePlantes. LXX. Vol. III. No. 87.
PLANTES MEDICINALES.
Fig. 1. Le Baume de Perou.
Le Baumier de Perou, qui selon quelques uns, parvient a la grandeur d'un arbre assez considérable, croit dans le Pérou, et dans toute l'Amérique méridionale. Les feuilles sont d'un ovale alongé, pointues par le bout, ou le bord dentelé; la fleur qui est jaunâtre et en grappes, se presente a l'extrémité des branches. Tout le buisson est imprégné d'une substance résineuse, connu sous le nom de baume de Pérou; il y en a deux sortes, le blanc et le noir. On obtient le blanc par une incision faite a l'ecorce, d'où il découle comme une huile epaisse, qui se durcit peu a peu, et qui répandu sur des charbons ardents, exhale une odeur agréable. Ce baume étant très cher, nous n'en recevons que rarement en Allemagne. Le baume noir du Perou est plus commun. On l'obtient par la cuisson de l'écorce et des feuilles. On nous l'apporte en morceaux compactes et secs, empaquetés dans des coques des calebasses. On l'employé en médicine a la guérison des plaies. On ne s'en sert plus intérieurement.
Fig. 2. La Gomme Elémi.
Le buisson qui la fournit croit dans lé Brésit, dans la nouvelle Espagne et dans la Caroline; il a les branches brunes et noueuses, et les feuilles placées par trois. Les fleurs qui sont blan-chatres paroissent au bout des branches. Il découle des iucisions qu'on fait a l'écorce de ce buisson un tue d'un blaric verdatre clair, qui fe durcit dans l'efpace de vingt quatre heures, et paroit alors d'un gris verdatre. C'eft ce qu'on nomme la Gomme êlêmi. Elle nous est envoyé des provinces d'Amérique, emballée dans des caisses. Cette Gamme mêlée avec des baumes, est employé par les médecins à la guerison des plaies. Les vernisseurs s'en servent dissoute dans de l'sprit de vin.
Ad00341 03 090a/freCoquilles. II. Vol. III. No. 88.
COQUILLES REMARQUABLES.
Fig 1. Le Nautile papiracé.
Le Nautile papiracé, qui est un limaçon appartenant au genre des Argonautes, habite la mer des Indes, la Méditerranée et l'Océan. La coquille d'un blanc de lait et à demie transparente du nautile papiracé, n'étant pas plus forte que du papier commun, et par conféquent ex:trernernont légère, nage avec beaucoup d'adressé, furtout à cause de sa structure, qui ressemble a une nacelle. Il parvient à la grandeur de 6 a 8 pouces; ses côtes sont sillonés; et il se termine par une petite courbure. Cette coquille est habité par un animal, qui ressemble à la feche. Il a 8 prolongations semblables a des jambes, dont les deux anterienres, larges et tendues d'une peau mince, lui tiennent lieu de voiles, pendant que les fix autres, qu'il plonge dans la mer, lui fervent à ramer. C'eft ainsi que le Nautile papiracé, lorsqu'il monte du fond de la mer sur sa surface, et après-avoir adroitement vuidé l'eau, qui'l contenoit, en se penchant décote, vogue à pleine voile, par un temps doux, sur la surface de la mer: s'il est menacé de quelque danger, il se couche sur la côté, afin que la coquille se remplisse d'eau, et que parce moyen il tombe au fond de la mer. Il est probable que c'est en voyant naviguer le nautile papiracé, que'les premiers habitants des côtes de la mer, ont conçu l'idée de se servir de voilés, et d'employer plusieurs rames.
Fig. 2. La Pinne ou le Jambon rouge.
La Pinne consiste en deux coquilles minces et fragiles; elles sont sillonnés dans leur longueur d'un bleu grisatre sale, alternant avec des bandes transversales d'un brim noirâtre., et les bouts pointus, par lesquels elles sont ordinairement attaché au fond de la mer, sont liés pat une bande cartilagineuse. L'animal qui y habite ressemble à un Escargot. D'un fluide tenace, que cet escargot conserve dans un canal particulier, il file une quantité de fils, couleur de bois, qui ont quelque ressémblance avec la soie, et qui sortent comme un paquet de cheveux d'entre les coquilles; c'eft à l'aide de ces poils, que pendant les temps orageux, il fe fixe aux pierres et aux rochers, et que semblable à un vaisseau a l'ancre, il défie touts les dangers. Sur les côtes d'Italie et de Sicile, ou la Pinne, s'arrete particulièrement, on fait de ces paquets de soie, des gands, des bas, même des Etoffes, mais qui sont très chers, à cause de leur rareté.
Fig. 3. L'Hhuitre.
L'Huître connue par tout à cause de sa chair succulente se trouve principalement près de côtes de Danemarc, de Suéde, de Hollande, d'Angleterre, d'Espagne et de France. Elles y sont entassées et pressées si fortement les unes contre les autres, avec leurs écailles calcaires; et elles s'y trouvent en fi grande quantité, qu'elles forment comme des rochers; c'eft ce qu'on nomme des bancs d'huîtres. Les pêcheurs d'huitres les en détachent avec plusieurs fortes d'instruments et d'ustensiles, et les envoyent de tout côté, de forte qu'il s'en fait un comerce très considerable. L'huitre atteint la grandeur de 4 pouces; elle est particulièrement mangeable la 3e et la 4e année.
Ad00341 03 091a/freInsektes. XXI. Vol. III. No. 89.
SCARABEES SINGULIERS.
Fig. 1. et 2. Le Cerf volant.
Le Cerf-volant est après l'ecrevisse, le plus grand infecte d'Allemagne; car il acquiert la longueur de a jusqu'à 4 pouces. Il est d'un brun noirâtre luisant. Le male Fig. 1. se distingue particulierement par de longues cornes, qui ressemblent en petit à des bois de cerf, ce qui à fait donner à cet insecte le nom de cerf-volant. La femelle, plus petite, n'a, au lieu de ces bois, que de courtes pinces. Elle pond ses petits oeufs, Fig. a. dans du bois de chêne pourri, d'où naissent de petits vers, qui après 4, même 6 ans, ressemblent à la Fig. b. A cette epoque le ver s'enveloppe dans un tissu de particules de bois pourri, et se metamorphose en une Chrisalide, telle qu'elle est représenté Fig. c. Le Cerf-volant vit dans les forêts de chêne, ou il vole vers le soir; particulièrement pendant le mois de Juin et de Juillet. Il se nourrit de feuilles, et de la sève des arbres.
Fig. 3. Le Scarabée Acteon.
C'est le plus grand de touts les Scarabées connus, et il est peint ici de grandeur naturelle. Il atteint quelquefois la taille de 6 pouces. Son corcelet est garni par devant de deux courtes et grosses cornea, de forme conique. La tète se prolonge en une autre corne, recourbée par en haut, et fendue par le bout. Il vit feulement en Amerique.
Fig. 4. Le Moine ou Scarabée Nasicorne.
Le Scarabée Naficorne, qui vit en Allemagne parvient à la longueur d'un pouce quatre lignes, et presqu'ala largeur de neuf lignes. Sa couleur est un brun rouge. La tête du mâle est pourvue d'une forte corne de Rhinocéros, repliée en atriere, d'où il tire son nom.
Ad00341 03 092a/frejAmphibies. XI. Vol. III. No. 90.
SERPENS REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Serpent cornu.
Parmi les Serpens, il y en a plufieurs espéces qui ont des cornes, ce que augmente de beaucoup l'air formidable de ces animaux, déjà fort dangereux sans cela. Nous en donnons ici une de ces espéces, qui nous fut apporté, il y a peu de tems, de l'intérieur de l'Afrique. Sur le bout de son nez s'elevent des prolongations, qui ont du rapport avec de la corne, et qui sont longues de deux pouces et demi.' Elles sont courbées en arrière, et peuvent un peu se plier. Il y a encore devant chaque corne, une écaille forte et herissée, qu'on pourroit regarder comme une séconde paire des cornes plus petites. Toute la longueur du Serpent se monte à 4 pieds. Il est entièrement couvert'de fortes écailles. Le fond de sa couleur est d'un olive jaunâtre, sur lequel il y a des points, des taches et des raies noires et brunâtres. Au reste il est très venimeux.
Fig. 2. La Couloeuvre à collier.
La Couloeuvre a collier est l'espéce la plus commune de Serpens qui séjournent en Allemagne. On la trouve partout, dans les bois et les buissons, dans les las de fumier et dans les étables. Elle parvient à la longueur d'environ 4 pieds. Le dos est d'un bleu verdàtre, le ventre d'un bleu noir, et les côtés parsemés d'un quantité de taches blanches. On voit à la tête du mâle deux, tâches jaunes en forme de collier. Ces taches sont blanchâtres chez la femelle. Dans le mois de Iuin et de Iuillet cette dernière pond, dans des tas de fumier et de terre, des, oeufs, qui sont comme des perles, enfilées les unes à côté des autres. La Conloeuvre à collier n'est pas du tout venimeuse; il n'a que des petites dents aigues avec lesqu'elles elle prend et tient sa nourriture, qui consiste en grenouilles, crapaux, lézards, fouris etc. etc. En égard, à sa nourriture, on doit plutôt le ranger parmi les animaux utiles, que parmi les nuisibles.
Ad00341 03 093a/freOiseaux XLV. Vol. III. No. 91.
DIFFÉRENTES ESPÈCES D'OISEAUX DE PROIE.
No. 1. Le grand Vautour.
Le grand Vautour habite les plus hautes montagnes de l'Europe qui sont couvertes de forêts; mais quelquefois on le trouve aussi dans les plaines de l'Allemagne. Il a quatre pieds de longueur et son envergure est de 9 pieds. Tout le plumage est d'un brun sombre et le bout de chaque plume est d'un brun- clair. Le bec noir est entouré d'une peau calleuse de couleur bleue. Quand l'oiseau est assis, le long duvet qui couvre son cou et les plumes longues qui bordent de chaque coté ce duvet, forment une espèce de cravate et donnent à l'oiseau un air tout-à-fait singulier.
No. 2. Le Vautour d'Egypte.
Le Vautour d'Egypte a la même grandeur que le précédent; il habite la Syrie, l'Arabie et furtout l'Egypte, où il vit en grand nombre dans la ville de Caire et aux environs. Comme il se nourrit de charognes il rend à l'EgypIe le plus grand service en consommant les animaux morts, qui restent annuellement sur la terre après les inondations du Nil, et qui avec l'insouciance des Egyptiens à cet égard infecteroient l'air et' produiroient les maladies les plus contagieuses. C'est par cette raison que ce Vautour y est un oiseau facré, que personne n'ose tuer.
No. 3. Le Vautour de Norwege.
Cette espèce de Vautours se trouve dans plusieurs pays de l'Europe, mais surtout dans les légions septentrionales de la Norwege. La couleur de son plumage, qui est d'un blanc de neige, lui donne une grande beauté. N.[sic.] 4. Le Vautour du Brésil, ou l'Orubu. On trouve le Vautour de Brésil dans l'Amérique septentrionale et méridionale, ainsi que dans les Indes Occidentales. Sa grandeur est celle d'un Coq d'Inde; il se nourrit principalement de charogne, dont il a le vent de très Join, tant son odorat est fin. Les cotés de sa tête sont dégarnis de plumes, couverts de verrues et d'une couleur bleue et jaunâtre; tout le reste de son plumage est d'un brun - noir changeant de vert.
No. 5. Le Messager du Cap de Bonne-Espérance.
Le Messager a du rapport avec les faulcons; à cause de ses longs pieds on le prendroit au premier coup d'oeil pour un oiseau aquatique, mais à son bec arqué et à ses griffes on reconnoit bientôt l'oiseau de proie. On le trouve principalement au Cap de Bonne-Espérance et dans les Isles Philippines; sa hauteur est de 3 pieds et sa nourriture consiste en rats, souris, lézards, crapauds et serpens; il saisit les derniers avec ses griffes, les enlevé à une grande hauteur et les jette ensuite avec violence contre la terre pour les tuer. Le plumage de son cou, du ventre et du dos est d'un gris-bleuâtre, celui de la queue est noir à bords blancs et les deux plumes de son milieu ont le double des autres en longueur. Sur le derrière de la tête il porte une touffe légère de plumes noires.
No. 6. Le Vautour de Malte.
La longueur de cette espèce de Vautours est celle d'un Coq domestique; elle se trouve à Malte et dans les parties de l'Afrique voisines de Ja Méditerranée. Tout son corps est couvert de plumes brunes, qui sont plus claires dans un endroit et dans l'autre plus foncées.
Ad00341 03 094a/frePlantes LXXI. Vol. III. No. 92.
PLANTES VÉNÉNEUSES D'ALLEMAGNE.
No. 1. L'Ellébore noir.
L'Ellébore noir croit naturellement dans les parties montueuses de l'Autriche, de la Stirie, de la Suisse et de l'Italie; mais dans pluileurs pays de l'Allemagne on le cultive aussi dans les jardins. Ses racines sont poreuses et tubéreuses et il en sort un grand nombre de fibres; de leur sommet naissent des feuilles portées sur de longues queues pleines de suc, qui au nombre de 7 ou 9 sont dentelées et en forme de lancettes. La tige des fleurs est dépourvue de feuilles et sort également de la racine; les fleurs sont uniques, ou quelquefois au nombre de deux, et composées de cinq feuilles disposées en rose. L'Ellébore noir fleurit communément au printemps, mais quelquefois on le trouve aussi en fleurs au milieu de l'hiver. Les fibres de ses racines prises en trop fortes doses agitent le fang et causent des serremens de coeur, mais lorsqu'un médecin habile et sage emploie l'Ellébore avec prudence et modération, comme il faut faire aussi avec d'autres poisons, il est un bon remède dans plusieurs maladies.
No. 2. La Jusquiame ou Hanebane.
La Jusquiame noire est une plante extrêmement vénéneuse; elle croit presque par toute l'Europe sur des décombres et le long des chemins et des murs. Elle est bisannuelle; dans la première année elle reste petite, mais dans la seconde elle pousse une tige haute de deux pieds, au sommet de laquelle sont attachées des fleurs en forme d'entonnoir, de couleur jaune pâle et veinées de pourpre, ce qui leur donne l'air d'être couvertes d'un filet de foie; l'intérieur de l'entonnoir est de couleur violette. Les feuilles épaisses et cotonneuses sont d'une odeur puante et stupéfiante, de forte qu'il faut éviter de se trouver longtems dans son voisinage. L'herbe de cette plante, aussi bien que la femence et surtout l'huile qui en est exprimée, sont extrêmement vénéneuses, et produisent une démence mortelle, dont malheureusement on n'a que trop d'exemples. Les médecins modernes ont fçû cependant tirer parti de cette plante dangereuse; ils l'emploient en petites doses dans différentes maladies tant extérieurement qu'intérieurement et lui attribuent des effets très salutaires.
Ad00341 03 095a/frePlantes LXXII. Vol. III. No. 93.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. La Douce-amère, Dulcamara ou Morelle rampante.
Cette plante croit naturellement dans presque toute l'Europe le long des haies et dans des endroits ombragés. Elle forme un arbrisseau, qui peut durer 9 à 10 ans, et ses tiges farmenteuses rampent sur la terre ou grimpent sur des buissons ou sur des murs et ecbalas voifins. Dans les vieux farmens l'écorce est grise; dans les jeunes; au contraire elle est verte et ceux t là poussent dans les mois dé Juillet et d'Août des fleurs violettes disposées en forme de roue et en grappes. A ces Heurs succédent des petites baies ovales, molles et de couleur d'écailate. Ses feuilles sont oblongues et en manière de fer de pique. Les branches ainsi que les racines sont cueillies fraiches dans chaque année, et les médecins les emploient avec succès dans les maladies, arthritiques; on s'en sert aussi extérieurement avec avantage contre la gale et d'autres maladies de peau. Il faut en faire usage cependant avec précaution, parcequ'elles sont un remède très violent, et pourroient bien devenir plus nuisibles qu'utiles. Qu'on se garde surtout d'en manger les belles baies rouges, car elles sont vénimeuses.
No. 2. Le Cochléaria ou l'herbe aux cuilliers.
L'herbe aux cuilliers se trouve en Angleterre, en Espagne, en Hollande et dans les Pays bas, où elle croit aux côtes de la mer. En Allemagne on la voit souvént plantée, dans les jardins. La tige est haute de 3 pouces; les feuilles sont arrondies en coeur, d'un vert luisant et portées sur des queues longues; leur goût est très acre et piquant. Les fleurs, qui poussent de la tige dans les mois de Mai et de Juin, sont petites et de couleur blanche. Cette plante est d'un grand prix pour les navigateurs, car elle tient un des premiers rangs parmi les spécifiques contre le scorbut et se trouve aussi en abondance sur beaucoup de côtes. On la mange tantôt toute crue comme de la Salade, tantôt on en prend le suc ou l'insusion. On tient aussi dans les boutiques un esprit distillé' de cette plante, qui rend d'excellent services dans plusieurs maladies.
Ad00341 03 096a/freVers IV. Vol. III. No. 94.
LA TETE DE MÉDUSE.
La tête de Méduse.
La tête de Méduse, qu'on voit répresentée sur la table ci-jointe, est une espèce d'étoiles de mer, qui sont une famille d'animaux de mer assès considérable, et dont on connoit jusqu'à présent 33 espèces différentes. Ces étoiles de mer varient par le nombre de leurs, rayons ou brandies; quelques unes en ont 10 jusqu'à 13 mais d'autres et la plupart n'en ont que cinq. L'esspèce, dont il est ici question, et qu'on nomme la tête de Méduse, est du nombre de celles qui n'ont que 5 rayons, et sa structure singulière la rend très remarquable. Le nom qu'on lui a donné vient de la quantité de ses ramifications qui ressemblent à des tresses de cheveux et qui ont été comparées avec les serpens qui remplaçoient dans la mythologie les cheveux sur la tête de la fameuse Méduse. Le corps de cet animal consistè en cinq grosses branches rangées à distance égale l'une de l'autre; chacune de ces branches se partage de nouveau en deux rameaux et ces rameaux en deux autres et ainsi successivemement en une infinité de petites ramifications dont les demie res sont aussi fines, que des cheveux. On prétend avoir compté plus de 80.000 de ces petits rameaux dans une seule tête de Méduse. Toutes ces branches et ces rameaux ressemblent pour la mollesse aux cornes de limas et ils s'entrelacent de la manière des serpens. En comptant tous ces rayons étendus l'animal peut parvenir à une grandeur de dix pieds de diamètre. Sa nourriture consistè en coquillages et en vers, qu'il sçait prendre avec une grande adresse en serrant subitement les rameaux de ses bras, après les avoir tenu étendus comme un filet. Il dévoie ensuite sa proie avec sa bouche, qui est placée sur le coté inférieur du corps et garnie de dents. On trouve des têtes de Méduse aux eûtes de presque toutes les mers; mais en plus grande quantité sur les rivages de la Méditerranée. Leur couleur est rouge ou brune; très rarement on en trouve de vertes. Elles nagent tantôt sur la surface de l'eau, tantôt elles se traînent lentement sur le fond de la mer.
Ad00341 03 097a/freMélanges XXXIi. Vol. III. No. 95.
SITUATION DES ENTRAILLES DANS LE CORPS HUMAIN.
La Tableau ci-joint ainsi que celui N. 99. contenu dans le cahier suivont réprésentent les Entrailles principales qui sont renfermées dans le corps humain; le vulgaire des hommes est assès imbécille pour qu'il lui répugne de les étudier dans jours détails, mais ces gens - là ne lavent pas que l'état de santé et de maladie de notre corps dépend principalement de ces différentes parties et que par conséquent leur connoissance particulière peut non feulement faire éviter un grand nombre de maladies, mais aussi les guérir avec plus de facilité. 1. La situation des Entrailles de la poitrine et du bas ventre. Nous voyons ici la poitrine et le bas ventre ouverts et toutes leurs Entrailles dans leur situation naturelle; il n'en manque que le brechet et la partie antérieure des côtes. Fig. 1) Le reste des côtes. 2) Une partie de la grande thyroide. 4) Le thymus couvert de graisse. 4) Le péricarde. 5) et 6) Le poumon droit. 7) et 8) Le poumon gauche. 9) Le diaphragme, qui sépare la cavité de la poitrine de celle du bas ventre. 10) et 11) Le foie. 12) Le fond de la véficule du fiel. 13) Le ligament suspensoire du foie. 14) Le ligament rond du foie. 15) L'estomac. 16) Le pylore ou la partie inférieure de l'estomac. 17) Le commencement du duodénum. 18) Une partie de la rate. 19) L'épiploon gastro-colique.
No. 2. Second aspect des cavités ouvertes de la poitrine et du bas ventre.
Dans cette figure on a oté une plus grande partie des côtes, que dans Fig. 1) et plus encore les poumons, la trachée-artère, la graisse et le péricarde; de sorte qu'on voit Fig. 2) le coeur. Fig. 3) l'oreillette du coeur. 4) Le ventricule gauche du coeur. 5) L'appendice de l'oreillette gauche du coeur. 6) La veine cave supérieure. (Les veines sont des vaisseaux sanguins, par lesquels le taug distribué jusqu'aux extrémités du corps est rapporté au coeur.) 7) et 8) La veine jugulaire droite et gauche de la poitrine. 9) L'artère pulmonaire, qui porte le sang aux poumons. (Les artères sont des vaisseaux sanguins, qui distribuent le sang jusqu'aux extrémités du corps où il est reçu par les ramifications des veines qui le rapportent au coeur.) 10) La crosse (ou courbure) de l'aorte par laquelle le sang est poussée dans le corps. 11) Le tronc commun de la carotide et sous-clavière droite. 12) L'artère carotide gauche. 15) L'artère sous -clavière gauche. 14) La glande thyroïde. 15) Le jéjunum, qui appartient aux boyaux déliés ainsi que 16) et 17) L'iléon. 18) 19) et 20) Le colon qui paroit ici renversè en dessus et qui fait partie des gros boyaux. 21) Une partie du colon iliaque ou de l's du colon. 22) Le ligament antérieur du colon. 23) 24) et 25) Le mésocolon. 26) Une partie du mésocolon.
Ad00341 03 098a/freOiseaux XLVI. Vol. III. No. 96.
DIFFÉRENTES ESPÈCES D'OISEAUX DE PROIE.
L'Orfraie ou l'Ossifrage.
No. 1. La mâle. No. 2. La femelle.
L' Orfraie est une des espèces des plus grands oiseaux de proie; il a 3 pieds et 10 pouces de longueur et 8 pieds d'envergure. Il se trouve dans presque toute l'Europe, l'Asie, l'Amérique septentrionale et même dans quelques contrées de l'Allemagne; il se tient volontiers près des Lords de la mer et assès souvent dans le milieu des terres à portée des étangs et des rivières poissonneuses, où il peut trouver facilement des poissons, qui sont sa nourriture ordinaire. Comme il a la vue moins perçante que les autres oiseaux de proie, et que ses ailes sont aussi plus courtes il ne s'élève pas à une grande hauteur et plane toujours à une petite distance au dessus de la terre ou de la surface de l'eau. Son nid est fait de broussailles et toujours placé sur les plus grands arbres dans des forêts écartées. La couleur de son plumage est un mélange de rouge, de noir et d'un brun-grisâtre. La peau nue de ses jambes est jaune et couverte de petites écailles. Le mâle est un peu plus petit que la femelle; son plumage est aussi plus clair et entremêlé de taches blanches.
No. 3. Le Jean - le - Blanc.
Cet oiseau a deux pieds de longueur et 5 pieds d'envergure. Sa tête, le dessus de son cou, son dos et ses ailes sont d'un brun cendré; la gorge, la poitrine et le ventre sont blancs varies de taches d'un brun-ioux. Il est surtout très commun en France, et se nourrit de plusieurs petits animaux, tels que de rats, de souris, de hamsters etc.; au besoin il se contente aussi de grenouilles.
No. 4. Le Balbuzard.
Le Balbuzard est très nuisible aux eaux poissonneuses, parceque sa nourriture consiste principalement en poissons; comme il a la vue extrêmement perçante, il les apperçoit d'une très grande hauteur et fond sur eux avec rapidité. Il a 2 pieds 5 pouces de longueur, et 6 pieds 6 pouces d'envergure. Son cou et son ventre sont de couleur blanche à taches rouges et brunes; ses ailes sont d'un noir brunâtre et bordées en blanc, ses jambes sout jaunes et le dessus de la tête est blanc et jaunâtre. Cet oiseau est assès commun en Allemagne et répandu en général par toute l'Europe s il se trouve aussi dans plusieurs parties de l'Asie, de l'Afrique et de l'Amérique.
No. 5. Le petit aigle d'Amérique.
Ce bel oiseau a une longueur de 2 pieds et se trouve surtont à Cayenne en Amérique. Son plumage est de couleur d'azur foncé et très brillant; ses pieds sont jaunes et le bec est bleuâtre avec un cercle d'un jaune foncé autour des yeux. Sa gorge et les cotés de sa tête sont décorés de petites plumes de couleur de pourpre.
No. 6. La Buse.
Cet oiseau de proie est généralement connu en Allemagne, et se trouve aussi dans d'auties pays de l'Europe et dans l'Amérique septentrionale. Il a 2 pieds 3 pouces de longueur et 5 pieds d'envergure. Son plumage est mêlé de couleur de rouille et d'un brun-grisâtre; les plumes des ailes sont d'un brun-noir; il est cependant sujet à varier et on en trouve à peine deux bien semblables et dont les couleurs ne soient mélangées différemment. Son nid est construit de petites branches et placé fur les pins les plus élevés; il pond 2 ou 3 oeufs blanchâtres. Sa nourriture principale consiste en plusieurs petits animaux à mammellet, mais à leur défaut il ne dédaigne pas non plus les lézards, les grenouilles, les crapauds, les serpens d'eau et quelques autres amphibies.
Ad00341 03 099a/frePlantes LXXIII. Vol III. No. 97.
PLANTES VÉNÉNEUSES ÉTRANGÈRES.
No. 1. Le Toxicodendron, ou l'herbe à la puce.
Le Taxicodendron est un grand arbuste, qui atteint une hauteur de 4 ou 5 pieds. Dans l'Amérique septentrionale, et surtout dans la Virginie et au Canada il croit naturellement dans les prairies, mais il endure aussi le clima de l'Allemagne, où il est cultivé dans, les jardins. Ses feuilles sont composés de trois, folioles ovales, dentelées et attachées à rextrêmité d'une queue commune; elles sont liffes en dessus et velues en dessous. Les fleurs paroissent dans le mois de juillet; elles viennent en bouquets, et sont d'un jauneverdàtre. Il leur succède des baies séches et striées qui contiennent la semence. Sa qualité vénéneufe se montre furtout dans les grandes chaleurs de l'été, où son suc appliqué sur l'épiderme de la peau, y cause des pustules, qui ne sont cependant pas mortelles. Des médecins modernes l'ayant employé avec précaution dans les paralyfïes et d'autres maladies de cette nature, en ont obtenu de grands succés.
No. 2. L'Arbre du Vernis.
Cet arbre croit au Japon et dans l'Amérique septentrionale; il atteint une hauteur de 15 jusqu'à 20 pieds. Ses feuilles sont impennées, ovoides avec une pointe courte, d'un vert-jaunâtre et soutenues par des péduncules courts et rougeâtres; dans l'automne les feuilles entiers deviennent rouges avant de tomber. Les fleurs sont d'un jaune verdâtre et viennent dans le mois de juillet; il leur succède des baies jaunâtres. Cet arbre vient dans l'Allemagne en plein vent tout comme le précédent, mais lans cependant y endurer aussi bien les hivers rigoureux. A cause de fes vapeurs vénéneuses on n'aime pas en faire des plantations et on ne le cultive que dans les jardins des plantes. Il est plus dangereux que l'arbre précédent, et dans les grandes chaleurs de l'été on est même atteint dans un éloignement de 8 ou 10 pieds de l'effet venimeux de fes exhalaisons. Mais c'eft au contact surtout qu'il produit des effets très dangereux et il faut principalement se garder du suc laiteux qui se trouve en dessous de l'écorce et qui a une odeur très désagréable. Appliqué sur la peau il y cause des pustules et des erysipelés très fâcheux et souvent même incurables. Quand il est allumé, ses effets sont encore plus formidables, et des perfonnes qui en firent l'essai sans en connoitre les fuites, et qui réstèrent présens à l'opération, eurent subitement toutes les parties du corps enflées et seraient morts infailliblement, si on ne leur avoit pas bien vite porté des secours. Ce suc n'exerce cependant pas cette propriété venimeuse sur tout le monde avec une force égale, et on a des exemples, que des personnes ont pu le toucher impunément. Les habitans du Japon préparent de ce suc un très bon Vernis, dont l'arbre a aussi. reçu son nom.
Ad00341 03 100a/frePlantes LXXIV. Vol. III. No. 98.
ARBRES À FEUILLES ACICULAIRES ET À FRUITS MANGEABLES.
No. 1. Le Pin-Cimbre.
On reconnoit cette espèce de pin au premier coup d'oeil pour un arbre à feuilles aciculaires; il croit dans la Sibérie, le Tirol, sur les monts Carpatlies, les Alpes suisses et même en Allemagne il est cultivé avec succès; il atteint quelquefois une hauteur assès considérable. Ses feuilles (a) sont d'un vert foncé, longues de 3 pouces et rassemblées cinq-à-cinq dans une gaine commune. Les branches touffues s'étendent circulairement autour de la tige, ce qui donne à l'arbre une forme pyramidale. Les fruits oblongs, qu'on appelle cônes ou pommes (b) sont ara peu plus gros que des oeufs de poules et de couleur brune-rougeâtre. Sous chacune de ses écailles creuses il se trouve un noyau dure en forme de coin (c), qui contient une amande blanche bonne à manger. On en retire aussi par expression une très bonne huile. Le bois blanc de cet arbre est employé avec avantage à différens ouvrages de ménuiserie, et sur les Carpathes on prépare un baume des parties résineuses de cet arbre. En Allemagne on le voit fouvent cultivé dans les jardins Anglois.
No. 2. Le Pin-Pignier.
Le Pin-Pignier croit principalement dans l'Espagne, l'Italie et la France méridionale. En Allemagne on ne peut pas le cultiver en plein vent, parcequ'il est trop délicat, mais on le trouve quelquefois dans les serres. Il atteint une hauteur assès considérable; ses feuilles roides et pointues (a) sont d'un vert foncé et poussées deux-à-deux dans une gaine commune. Les fleurs sont jaunes et en forme de bouquets; il leur succède des cônes ou pommes brunes, ovales et d'une longueur de 4 1/2 pouces (b). Les écailles épaisses et concaves de ces cônes sont tellement serrées les unes sur les autres qu'on a de la peine à les ouvrir. En dessous de ces écailles il y a des noyaux noirs en forme de fèves et de la longueur d'un 1/2 pouce, qui renferment des amandes blanches, bonnes à manger et réputées salutaires. Dans les pays méridionaux le Pin-Pignier est fréquemment cultivé pour en retirer les fruits; il est d'ailleurs très propre à être mis dans des jardins à cause de l'agrément de son feuillage et de ses branches touffues qui s'étendent comme un parasol naturel et forment une espèce de voûtes toujours vertes. En France et en Italie ces amandes mangeables sont confites dans du sucre et transportées dans les autres pays de l'Europe.
Ad00341 03 101a/freMélanges XXXII. Vol. III. No. 99.
SITUATION DES ENTRAILLES DU CORPS HUMAIN.
Une partie des Entrailles principales du corps humain a été repésentée dans les deux figures
jointes au N. 95. de ce Volume; le tableau présent nous en fait voir encore d'autres.
No. 1. Les cavités ouvertes de la poitrine et du bas-ventre, dont on a ôté plusieurs Entrailles.
Après avoir ôté plusieurs Entrailles de la cavité de la poitrine, on y appercoit le Coeur avec les Artéres et les Veines qui en partent; il est placé dans sa situation naturelle entre les deux poumons, qui cependant ne se trouvent plus dans la figure présente. On peut regarder le coeur comme un grande muscle creux composé d'une suite continue de fibres différemment entrelacées ; c'est ce qui le rend extremenent irritable et le soutient aussi dans son mouvement continuel. Il forme pour ainsi dire le reservoir général du sang pour tout le corps. Par un mouvement continuel le sang est chasse du coeur dans les artéres, qui le distribuent dans toutes les parties du corps ; il est recu ici par les ramifications des veines qui le rapportent dans le coeur. Telle est la circulation non interrompue du sang, qu'on ne se lasse pas d'admirer. 11) La trachée-artére. 12) La gland thyroide, dont le gouflement est une maladie appelée le goitre. 13) Le cartilage thyroide. 14) Les clavicules. 15) et 16) lec cotes extérieures. 17) Restes du diaphragme coupé. 20) Une partie de l'estomac. 21) La rate. 22) Le Rein droit. Les Numeros qui manquent ici peuvent etre expliqués du N. 95. du Cahier precedent de ce Volume.
No. 2. Les cavités ouvertes de la poitrine et du bas-ventre sous un autre aspect.
On a ôté ici entièrement les entrailles de la poitrine et du bas-ventre. 1) Une partie de la trachée-artère. La trachée-artère est un canal composé de cercles cartilagineux; elle porte l'air aux poumons et deux poumons et donne issue à celui qui en sort, et qui par l'intervention de la langue forme la parole. 2) L'œsophage, qui conduit les alimens avalés, dans 4) l'estomac à travers 3) le cardia ou l'orisice supérieur de l'estomac. L'estomac est unde espèce de sac de forme oblongue et composé de plusieurs tuniques, dans le quel les alimens sont digérés et dont ils passent ensuite par le pylore 5) dans 6) le Colon. 7) Le pancréas, qui filtre continuellement la liqueur nécessaire pour faciliter la digestion. 8) La rate, daus laquelle le sang se d´veloppe de manière à devenir plus propre à la sécrètion de la bile. 9) et 10) Les Reins. 11) Reste du diaphragme coupé. 12) La grosse – artére ou l'aorte; séparée du cœur. 13) Lecanal artériel. 14) et 15) L'aorte descendante. 16) et 17) La veine iliaque gauebe et droite. 18) La veine cave. 19) Reste du Rectum. 20) L'épine du dos.
Ad00341 03 102a/frePlantes CXVllI. Vol. VI. No. 100.
PLANTES D'ORNEMENT.
Le Rudbeck pourpré. (Rudbeckia purpurea. L.)
Le Rudbeck pourpré est une très-jolie plante qui croît d'elle-même dans l'Amérique septentrionale sur les montagnes de la Virginie, de la Caroline et de la Floride; aussi l'a-t-on transplantée dans nos jardins, dont elle est un des plus beaux ornement. On lui a donné ce nom en l'honneur de Mr. Olaus Rudbeck, célèbre botaniste suédois.
Cette plante a une tige de 3 à 4 pieds de haut, à laquelle alternent les feuilles lancéolées et dentelées. Les grandes fleurs couleur de pourpre, placées au sommet de la tige, sont en forme de rayons, et déversent avec les feuilles fendues à l'extrémité.
Ad00341 04 003a/freQuadrupèdes LXIX. Vol. V. No. I.
GRANDS QUADRUPÉDES.
Fig. 1. LE Rhinocéros africain. (Rhinoceros Africanus.)
Fig. 2. Le Rhinocéros de Sumatra. (Rhinoceros biconis Sumatricus.)
Ad00341 04 004a/freOiseaux LXVI. Vol. V. No. 2.
OISEAUX DE CHANT D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Jafeur de Bohème. (Ampelis garrulus.)
Fig. 2. L’étourneau commun. (Sturnus vulgaris.)
Le Vivoine ou le Bouvreuil. (Loxia pyrrhula.)
Fig. 3. Le Mâle.
Fig. 4. La Femelle.
Fig. 5. Le gros-bec ou pinson royal. (Loxia coccothraustes.)
Fig. 6. La Fouge – queue ou le Rossignol de muraille. (Motacilla phoenicurus.)
Ad00341 04 005a/frePoissons XL. Vol. V. Nr. 3.
POISSONS DE FIGURE SINGULIÈRE.
Fig. 1. Le Callionyme Lyre ou Lacert. (Callionymus Lyra.)
Fig. 2. Le Callionyme Dragonneau ou simplement Dragonneau. (Callionymus Dracunculus.)
Fig. 3. La Douzelle trompe ou Le Macrognatze aiguillonné. (Ophidium aculeatum.)
Fig. 4. L’Odontognathe aiguillonné. (Odontognathus mucronatus.)
Ad00341 04 006a/freMélanges XLVII. Vol. V. No. 4.
ANTIQUITES EGYPTIENNÉS.
Fig. 1. Les Statues de Memnon.
Fig. 2. Le Sphynx Egyptien.
Ad00341 04 007a/freRoses IX. Vol. V. No. 5.
ESPÈCES DE ROSES.
La Rose jumelle. (Rosa gemella.)
Ad00341 04 008a/freQuadrupèdes LXX. Vol. V. No. 6.
ANIMAUX À CUTRASSES ET À AIGUILONS.
Fig. 1. Le Pangolin ou lézard écailleux. (Manis pentadactyla.)
Fig. 2. L’Armadille à huit ceintures. (Dasypus octocinctus L.)
Fig. 3. L’Armadille à 18 ceintures (Dasypus octodecim cinctus.)
Fig. 4. Le Hérisson de Malacca. (Erinaceus Malaccensis.)
Fig.5. Le Porc-épic à queue de brosse. (Hystrix fasciculata.)
Ad00341 04 009a/freOiseaux LXVII. Vol. V. No. 7.
BEAUX OISEAUX ETRANGERS.
Fig. 1. Le Coucou royal. (Cuculus regius.)
Fig. 2. Le Pacapac ou le Cotinga pourpre de Cayenne. (Ampelis Pompadora.)
Fig. 3. Le Cordon bleu ou Cotinga du Brésil. (Ampelis Cotinga.)
Fig. 4. Le Gros-bec Perroquet. (Loxia Car sonii rubra.)
Fig. 5. Le Verdier d’Islande. (Loxia Islandica.)
Fig. 6. Le Cardinal dominicain. (Loxis Dominicana.)
Ad00341 04 010a/frePlantes XCI. Vol. V. No. 8.
PLANTES AROMATIQUES ÈTRANGÈRES.
Fig. 1. Le Laurier-Casse. (Laurus Cassia.)
Fig. 2. Le Galanga officinal. (Alpinia Galanga.)
Ad00341 04 011a/freAmphibies XXI. Vol. V. No. 9.
DIFFERENTES ESPÈCES DE SERPENS.
Fig. 1. L’Orvet noir. (Anguis ater.)
Fig. 2. L’Orvet bleu. (Anguis caerulea.)
Fig. 3. L’Amphisbène couleur de suie. (Amphisbaena fuliginosa.)
Fig. 4. L’Amphisbène blanche. (Amphisbaena alba.)
Ad00341 04 012a/freMélanges XLVIII. Vol. V. No. 10.
COMBATS DE TAUREAUX EN ESPAGNE.
Ad00341 04 013a/freQuadrupèdes. LXXI. Vo. V. No. 11.
SARIGUES OU DIDELPHES.
Fig. 1. Le Manicou ou Sarigue à long poil. (Didelphis virginiana.)
Fig. 2. Le Sarigue gris. (Didelphis Lemurina.)
Fig. 3. Le Sarigue tacheté. (Didelphis viverrina.)
Fig. 4. Le Sarigue à longue queue. (Didelphis macroura.)
Fig. 5. Le Kangouron-Rat. (Kangurus minor.)
Ad00341 04 014a/freMélanges XLIX. Vol. V. No. 12.
COSTUMES EGYPTIENS.
Fig. 1. Un Bey Egyptien fuivi de son Esclave.
Fig. 2. Une Dame du Caire avec son Esclave.
Fig. 3. Un Mamelouc.
Fig. 4. Une Famille de Fellahs ou payfans égyptiens.
Fig. 5. Une Famille de Bédouins.
Ad00341 04 015a/freMélanges L. Vol. V. No. 13.
FURIOSITES EGYPTIENNES.
Fig. 2. [sic.] Vue de la cime de la grande Pyramide de Gizé et de ses environs.
Fig. 2. Passage du second au troisième étage de la grand Pyramide.
Ad00341 04 016a/frePiantes. XCII. Vol. V. No. 14.
DES BOLETS REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Bolet-amadou ou l’Amadouier. (Boletus igniarius.)
Fig. 2. Le Bolet du Mélèse. (Boletus Laricis.)
Ad00341 04 017a/freRoses X. Vol. V. No. 15.
ESPECES DE ROSES.
Fig. 1. Le Rosier à mille feuilles. (Rosa millefolia rubra.)
Fig. 2. Le Rosier à fruits pendans. (Rosa pendulina inermis.)
Ad00341 04 018a/freQuadrupèdes. LXXII. Vol. V. No. 16.
BETES SAUVAGES CARUASSIERES:
Fig. 1. Le Jaguarète ou Tigre noir. (Felis discolor.)
Fig. 2. La Hyène tachetée. (Canis crocuta.)
Fig. 3. Le Chacal du Cap ou le Tenlie. (Canis mesomelas.)
Fig. 4. Le Chat du Cap. (Felis capensis.)
Fig. 5. Le Chat-Tigre ou le Maragua. (Felis tigrina.)
Ad00341 04 019a/freAmphibies. XXIII. Vol. V. No. 17.
DIFFERENTES ESPECES DE LEZARDS.
Fig. 1. Le Gecko. (Lacerta Gekko.)
Fig. 2. Le Lézard ou Gecko à queue plate. (Lacerta platurus.)
Fig. 3. Le Seps. (Lacerta Seps.)
Fig. 4. Le Chalcide. (Lacerta Chalcides.)
Fig. 5-8. Le Lézard d’eau ou le Salamandre. Le mâle et la Femelle. (Lacerta Salamandra.)
Ad00341 04 020a/frePlantes. XCIII. Vol. V. No. 18.
PLANTES VENENEUSES D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Gouet commun, ou le pied de veau. (Arum maculatum.)
Fig. 2. Le Colchique. (Colchicum autumnale.)
Ad00341 04 021a/freMélanges LI. Vol. V. No. 19.
PETRIFICATIONS REMARQUABLES.
\n
Ad00341 04 022a/freInsectes XXXII. Vol. V. No. 20.
PAPILLONS NUISIBLES.
Fig. 1. Le Papillon Héliconien de l’Alisier. (Papilio Heliconius crataegi.)
Fig. 2. Le Papillon Danaïde des choux. (Papilio Danaus brassicae.)
Fig. 3. Le Papillon Danaïde des raves. (Papilio Danaus rapae.)
Ad00341 04 023a/freQuadrupèdes LXXII. Vol. V. No. 21.
MAMMIFERES RARES.
Fig. 1. Le Fourmilier du Cap. (Myrmecophaga capensis.)
Fig. 2. L’Echidné ou le Fourmilier épineux. (Myrmecophaga aculeata.)
Fig. 3. Le Paresseux-Ours. (Bradypus ursinus.)
Fig. 4. Le Mégathère Americain en Squelette. (Megatherium Americanum.)
Ad00341 04 024a/freVers. VII. Vol. V. No. 22.
LIMAçONS D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. La Limace noire. (Limax ater.)
Fig. 2. L’Hélice Vignerone ou le Vigneron. (Helix pomatia.)
Fig. 3. L’Hélice des Jardins. (Helix arbustorum.)
Fig. 4. La Limace agreste. (Limax agrestis.)
Fig. 5. La Moule de rivière. (Mytilus anatinus.)
Fig. 6. Le Buccin des étangs. (Buccinum stagnale.)
Fig. 7. Le Buccin renflé. (Buccinum auriculatum.)
Ad00341 04 025a/frePiantes XCIV. Vol. V. No. 23
PLANTES REMARQIABLES.
Fig. 1. Le Nénufar bleu. (Nymphaea caerulea.)
Fig. 2. L’Eupatoire Aya-Pana. (Eupatorium Aya-Pana.)
Ad00341 04 026a/freMélanges LII. Vol. V. No. 24.
GIBRALTAR ET LES BATTERIES FLOTTANTES.
Ad00341 04 027a/freRoses XI. Vol. V. No. 25.
ESPÈCES DE ROSES.
Fig. 1. La Rose de Canelle. (Rosa Majalis.)
Fig. 2. Le Rosier multiflore. (Rosa umbellata, flore carneo.)
\n
Ad00341 04 028a/freAntiquités XIV. Vol. V. No. 26.
DIVINITÉS ÉGYPTIENNES.
Fig. 1. Isis.
Fig. 2. Isis et Horus.
Fig. 4. et 5. Osiris.
Fig. 6. Sérapis.
Fig. 7. et 8. Harpokrates.
Ad00341 04 029a/freAntiquités XV. Vol. V. No. 27
DIVINITÉS ÉGYPTIENNES.
Fig. 1. Apis.
Fig. 2. et 3. Bubastis.
Fig. 4. Anubis.
Fig. 5. Canopus.
Fig. 6. L’Ibis.
Ad00341 04 030a/freMélanges LIII. Vol. V. No. 28.
JEUX DE LA NATURE.
Fig. 1. und 2. Des Dendrites.
Fig. 3. Le Marbre figuré de Florence.
Ad00341 04 031a/freMélanges LIV. Vol. V. No. 29.
GROTTES RAMARQUABLES.
Fig. 1. Une Partie de la Grotte de Rossenmüller près Muggendorf.
Ad00341 04 032a/freRoses XII. Vol. V. No. 30.
ESPÈCES DE ROSES.
Fig. 1. Le Rosier de Damas. (Rosa Damascena communis.)
Fig. 2. La Rose rayée. (Rosa versicolor.)