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 Hühnerartige Vögel aus heissen Ländern




Beschreibungstext fre


Oiseaux. CIV. Vol. X. No. 26., OISEAUX GALLINIFORMES DES PAYS CHAUDS., Fig. 1. Lophophore de Cuvier. (Lophophorus Cuvieri. Tem.), Cet oiseau, qui se distingue beaucoup plus par son beau port que par sa couleur, a d'abord été décrit par Latham d'après des dessins, que possédoit Lady Impey, et a été classé par ce naturaliste dans la famille des faisans, et c'est à au Naturaliste Hollandois, Temmink, que l'on doit la première représentation de cet oiseau, indigène aux Indes; on la trouve fidèlement copiée sur notre planche. Une huppe, penchée en arrière, décore la tête, dont les deux côtés sont, comme dans les faisans, nus et rouges. Le plumage est noir; les plumes du dos sont blanches à leur extrémité, les grandes pennes d'un brun foncé, les pattes rougeâtres, et le bec est jaunâtre., Fig. 2. Le Hokko du Pérou. (Crax rubra.), Cet oiseau, qui se nomme aussi Hokko Coxolitli, est à peu près de la grandeur du coq d'Inde. Le mâle et la femelle, parvenus à leur parfaite croissance, ne disfèrent en rien; ils se nourrissent dans les forêts de boutons et de fruits, nichent communément sur des arbres, et la semelle pond de 2 à 8 oeuss. Ce qui les distingue caractéristiquement des Pauxis et des Pénélopes, avec lesquels ils ont de l'afsinité par la grandeur, le genre de vie et la couleur dominante, c'est leur bec applati, qui est d'une longueur moyenne, et plus haut que large à sa base. Le bec supérieur est élevé, voûté et courbé depuis sa racine., Fig. 3. Le Hokko de la Guiane. (Crax globicera)., Se nomme aussi le Hokko de Curassao ou de Theutchotli. Son plumage noir à reslet verdâtre, son bec jaune" et noir, la blancheur du bas-ventre, des plumes de l'anus et de la queue le distinguent du précédent., Fig. 4. Le Pauxi. (Crax Pauxi)., Il se distingue des autres par un tubercule bleu, de la sorme d'une poire, dont la pointe tient à la base du bec, et qui est aussi dur qu'une pierre, ce qui lui a fait donner le nom de saisan pierre. Quoiqu'il se tienne sur les arbres, il niche à terre, comme le saisan. Sa première nourriture consiste en insectes, mais à mesure qu'il grandit, il mange des fruits, des graines etc. C'est de tous les oiseaux celui, qui a la plus grande trachéeartère. Il habite vraisemblablement le Mexique., Fig. 5. La Parrakua. (Pénélope Parragua)., Cet oiseau, qui habite les sorêts de la Guiane, est de la grandeur du saisan ou de la pintade, et sa queue est aussi longue, que celle du Pauxi, Le bec d'une sorce moyenne, plus large que haut, est moins courbé que celui du Hokko. Il suit la société. Le coq et la poule ne se réunissent, que lors de l'accouplement et couvent deux sois par an. Ils ont la voix très-sorte, et ils prononcent leur nom. Leur nourriture est absolument celle des précédents.