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Ad00341 01 093a/frePoissons. VIII. T. I. No. 91.
POISSONS RARES DES INDES.
Les poissons reprêsentés sur cette Table sont de l'espèce de la Bandoulière, qui n'est trouvée qne dans les mers de l'Asie, de l'Afrique et de l'Amérique. Leur corps est laige, mince, applati des deux cotés et couvert d'écaillés très dures. Us sont tous très joliment marqués, et ornésponr la plupart de rayes colorées, qui ont la forme de rubans. Leur bouche étant munie de dents, on doit les compter parmi les poissons voraces.
No. 1. La Bandoulière dorée. (Chaetodon aureux.)
Elle habite les mers des Indes occidenta- les, fnrtout les côtes des Antilles; son nom lui a été donna à cauTe de sa couleur d'or très brillante.
No. 2. L'Empereur du Japon. (Chaetodon imperator.)
On le trouve dans I* mer du Japon; il eli très joliment marqué, d'un fond jaune et rayé en bleu H est d'un goût excellent, aussi. gras one le faumon, et le poisson des Indes le plus délicat. Il se trouve li rarement, qu'on le paye exceflivement cher', et il n'est fervi par eoa- Jequent que sur les tables de l'Empereur et des grands feigneurs; ce qui lui a, fait donner le onom d'Empereur du Japon.
No. 3. La Bandoulière rayée ou la Duchesse. (Chaetodon Dux.)
Ce beau poiiïbn vit également dans le Japon. Il est d'un fond blanc, avec 9 rubans ou cercles d'un bleu foncé et bordés en brun. Ses nageoires sont brimes à rayes bleues, et sa tète est marquée de quelques rayés de la même couleur bleue. Les Japonois donnent à ce poisson le nom de Duc.
No. 4. La Bandoulière à nageoires noires ou le Nigraud. (Chaetodon niger.)
L'on trouve ce poisson dans les grandes Indes. Son corps est extrêmement mince et aussi large que long. Les deux nageoires de derrière sont d'une grandeur immense et de couleur noire; elles forment une demi-lune, et donnent au poisson la figure d'une hirondelle volante. Elle se nourrit de coquillage et d'insectes, et sa chair est mangeable.
No. 5. L'Héron de mer. (Chaetodon Ardea.)
Les Indes sont aussi sa patrie. Sa bouche a la forme d'un bec; il porte trois cercles noirs autour de son corps, qui est de couleur grisâtre tirant sur le bleu, et sa grande nageoire d'en haut se termine en une pointe très-longue. Il est bon à. manger.
No. 6. La Bandoulière à bec, ou le Bec-alongé. (Chaetodon rostratus.)
Ce beau poisson habite également dans les mers des Indes, et il se distingue îles attires de son espèce par son bec, qui a la forme de tuyau r son corps est entouré de 4 cercles bruns et blan- ches, et dans la nageoire d'en haut il a un mi- roir de la même couleur. La manière dont il se nourrit le rend très remarquable; files mou- ches, qui lui servent de nourriture, se pofent sur une plante élevée par dessus la furface delà mer, ce poisson fait rejaillir de l'eau sur elles d'une distance de 4 à 6 pieds avec tant d'àdref- fe et de force, qu'il ne manque jamais défaire tomber ces infectes dans l'eau, où;ils devien- nent sa proie. Sa chair est d'un gout exquis,
No. 7. La Grisette ou la Veuve-coquette. (Chaetodon bicolor.)
On trouve ce poisson dans les deux Indes. Il est moitié blanc et moitié brun-clair borde en blanc; la queue est blanche.
No. 8. La Bandoulière bordée. (Chaetodon marginatus.)
Elle habite la mer des Antilles, et l'on ne peut rien voir de plus élégamment coloré qne ce poisson. Ses nageoires pointues sont de cou- leur d'or et bordées en brun; sa tète est verte, son dos de la même couleur que les nageoires. Je ventre rougeàtre, et tout le corps est e. HOuni de huit cercles bruns. Sa chaire est excellente a manger.
Ad00341 01 094aAd00341 01 094a.jpgNo. 1. Die Tamarinde. (Tamarindus Indica.)~~Die Tamarinde ist ein ziemlich grosser Baum, der in Ost- und Westindien, in Afrika, ja sogar im südlichen Frankreich wächst. Er hat kleine Erbsenblätter, eine gelbweisse Blüthe, und trägt lange, dicke, braune Schoten, welche ein dickes schwärzliches Mark enthalten, worin einige glatte braune Saamenkörner liegen. Dies Mark schmeckt angenehm säuerlich, und wird sowohl als eine sehr heilsame Arznei in den Apotheken, als auch in Tabaksfabriken zu den Tabaks-Brühen stark gebraucht. Man hält die Ostindischen für die besten. Die Indianer nehmen die Früchte, sobald sie reif geworden sind, ab, trocknen sie ein wenig an der Sonne, schlagen sie hernach in Fässchen oder Kisten, und verhandeln sie so. Wir erhalten die meisten Tamarinden über England, und sie machen einen ansehnlichen Handelsartikel aus.~~No. 2. Der Pistacien-Baum. Pistacia vera.)~~Der Pistacien-Baum wächst in Arabien, Persien, Sicilien, Spanien und Frankreich, wird 25 bis 30 Fuss gross und stark, und hat dunkelgrüne Blätter, beinahe wie die von unsern wälschen Nüssen. Seine Blüthe ist weisslicht und traubenförmig; im August aber trägt er kleine Nüsse in Büscheln, ohngefähr so gross wie unsre Haselnüsse. Die Nüsse haben zwei Schaalen. Die äussere ist röthlich gefleckt, dünn und zerbrechlich; die innere aber grünlich-weiss. (Fig. a.) Oeffnet man diese, so liegt darin ein süsser, fetter, wohlschmeckender Kern, der eine zarte rothe Haut hat (Fig. b.) Zieht man diese Haut ab, so hat das Fleisch des Kerns eine schöne grüne Farbe. Die Pistacien, welche wir vorzüglich aus Italien erhalten, werden sowohl in den Apotheken als eine stärkende und eröffnende Arznei, als auch von Köchen und Conditoren zu verschiedenen Speisen und Backwerk gebraucht.~~
Ad00341 01 094a/frePlantes. XVIII. T. I. No. 92.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. Le Tamarinier. (Tamarindus Indica.)
Le Tamarinier est un arbre d'une grandeur considérable, qui croît dans les deux Indes, en Afrique et même dans la France méridionale. Ses feuilles sont petites et reiTemblent à celles des pois; les fleurs qu'il porte sont d'un jaune très clair. Son fruit est une goufle longue et grosse et de couleur brune, qui renferme une pulpe noirâtre, dans laquelle se trouvent quelques graines de femence. Ce fruit èst connu sous le nom de Tamarins; sa pulpe a un goût acide et fort agréable, et sert non feulement dans la Medicine comme un purgatif très salutaire, mais on l'emploie aussi avec avantage dans les fabriques de tabac pour la préparation des sauces. Lorsque ces fruits sont mûrs, les Indiens lea ôtent de l'arbre, et les ayant fechés au foleil, ils les emballent dans des petits tonnelets ou des caifles et les vendent. Les Tamarins des x grandes Indes sont préférés à ceux des autres pays; nous les tirons pour la plupart de l'Angleterre, et ils sont un article important du Commerce*
No. 2. Le Pistachier. (Pistacia vera.)
Le Fifiachicr croît dans l'Arabie, la Perse, la Sicile, l'Espagne et la France. Il atteint la hauteur de 25 à 30 pieds, devient très gros et ses feuilles sont d'un vert foncé, à peu pie3 comme celles des noix ordinaires. Il porte des fleurs blanchâtres et formées en grappes; dans. le mois d'Août il produit de petites noix en bou- quets de la grolleurdes noifettes, qui ont deux écorces, dont l'extérieure est rouilàtre, tièst mince etaifée à caller, et l'intérieure d'un blanc donnant sur le vert (Fig. a.) L'amande qu'elles contiennent est douce, huileufe, agréable au goût et couverte d'une pellicule rouilàtre (Fig. b.) qui cache le beau vert de la palpe. CeS Pistaches nous viennent principalement de l'Italie, et l'on s'en sert tant dans les pharmacies comme d'une drogue fortiiiante* que dans les çuifines et les conûferiea, pour les mêler dans difiérens mets et confitures.
Ad00341 01 095aAd00341 01 095a.jpgDie Springer sind ein merkwürdiges Thiergeschlecht. Sie machen so zu sagen den Uebergang von den Mäusen zu den Haasen und den Beutelthieren. Sie haben sehr kurze Vorder-, hingegen sehr lange Hinterfüsse, vermöge deren sie so erstaunlich weit und schnell springen können, dass auch sogar die Jerboa oder Springmaus, kaum von einem Pferde eingeholet werden kann. Sie sind Bewohner von Asien, Afrika und Australien.~~No. 1. Der Alakdaga, oder der Erdhaase. (Jaculus Alakdaja.)~~Der Alakdaga oder Erdhaase ist 6 bis 7 Zoll lang, und wohnt in Sibirien und in Mittel Asien. Er hat, sonderlich um den Kopf, viel Aehnliches vom Haasen; seine Hinterfüsse sind aber länger, als der ganze Leib. Sein weiches Fell ist gelblich grau. Er baut sich Röhren in der Erde, worin er wohnt, und wie das Murmelthier seinen Winterschlaf hält. Er nährt sich von saftigen Pflanzen und Wurzeln, die er zwischen die Vorderfüsse nimmt, und auf den hintern stehend frisst. Er springt erstaunlich weit und schnell. Fig. a. zeigt ihn auf allen vieren gehend, und Fig. b. auf den Hinterbeinen stehend. Sein Fleisch wird gegessen.~~No. 2. Die Jerboa, oder Springmaus. (Jaculus Sagitta.)~~Die Jerboa wohnt in Nord Afrika und Arabien, ist etwas kleiner, nämlich nur 5 bis 6 Zoll lang, ist gelbgrau, und hat auf dem Rücken braune Streifen. Sie hat zwar kürzere Füsse, als der Alakdaga, kann aber eben so weit und so schnell springen, und hat mit ihm auch einerlei Nahrung.~~No. 3. Der Capische Springer. (Jaculus Cafer.)~~Dieses Thier wohnt am Vorgebirge der guten Hoffnung, wird sehr zahm, und von den Einwohnern gegessen. Es ist 16, sein Schwanz aber 17 Zoll lang, rothbraun von Farbe, und gleicht am Kopfe und Schwanze sehr einem Fuchse. Es braucht die Vorderfüsse nur zum Fressen, und geht auf den hintern, mit welchen es 20 bis 30 Fuss weite Sprünge thun kann. Es nährt sich von Gras und Getraide, und kann sich in wenigen Minuten ganz in die Erde eingraben.~~No. 4. Das Kenguruh. (Didelphis gigantea.)~~Das Kenguruh ist ein vom Weltumsegler Cook in Neuholland gefundenes neues Thier. Es ist von Farbe aschgrau, und hat einen Schwanz, der beinahe so lang als sein Leib ist. Es geht nicht auf 4 Füssen, sondern geht oder springt immer mit den hintern, und die Vorderfüsse, welche es bloss zum Graben und Scharren braucht, hält es fest an die Brust an. Es hat die Grösse eines Schaafs, wägt wohl auf anderthalb Centner, lebt heerdenweise in Neuholland, und sein Fleisch ist wohlschmeckend. Es macht den Uebergang von den Springern zu den Beutelthieren, daher es auch einige zu den letztern rechnen. Es ist das grösste vierfüssige Thier, das bis jetzt noch in Australien entdeckt ist.~~
Ad00341 01 095a/freQuadrupèdes. XXI. T. I. No. 93.
SAUTEURS.
On donne le nom de Sauteurs à une espèce d'animaux rès remarquables. Ils sont pour aitili dire la nuance des fouris aux lièvres et aux philandres. Leurs pieds de devant son court", ceux de derrière au contraire sont fort longs et donnent à l'animal la faculté de fauter afvec "ne vitelle et à dea diitances tellement confidéTables, que p. e. la Gerboife, dont on parlera ci-deffous, ne peut guères être atteinte par un cheval. On trouve cet animal dans l'Afte, l'Afrique et les terres Auftrales.
No. 1. L'Alakdaga. (Jaculus Alakdaja.)
L'Alakdaga est de la longueur de 6 à 7 nouces et habite dans l'Intérieur de l'Asie et dans la Sibérie. 11 a beaucoup de reifemblance avec les lièvres, surtout pour la tête; mais ses pieds de derrière sont plus longs que tout le corps. Son poil est foyeux et de couleur fauve tirant sur le gris. Il demeure dans des terriers, qu'il fe creuse comme les lièvres, et dans lesquels il dort pendant tout l'hiver comme les marmottes. Il se nourrit de plantes fucculentes et de Tacines, qu'il prend par les pattes de devant et refte affis sur celles de derriè re pendant qu'il les mange. Il faut très vite et k da grandes diftances; on peut manger fa chair. La Figure a. le repréfente comme il marche sur les 4. pattes, et la Fig. b, comme il est affis sur les pieds de derrière.
No. 2. La Gerboise. (Jaculus Sagitta.)
La Gerboise vit dans l'Afrique septentrionale et dans l'Arabie; elle est plus petite que l'Alakdaga et de la longueur seulement de 5 à 6 pouces. Sa couleur est également fauve tirant sur le gris, et sur le dos elle a des rayes brunes. Ses pieds sont plus petits que ceux dé l'animal précédent, mais elle n'en faute pas moins vite ni moins loin; sa nourriture est la même.
No. 3. Le Grand Gerbo. (Jaculus Cafer.)
Cet animal vit au Gap de bonne Espérance et se laisse aisément apprivoisér; les habitans du pays le mangent. Il a 16 pouces de long, et fa queue en a 17. Sa' Couleur est un brun rougeàtre, et il reffemble aux renards pour la tête et la queue. Il ne fe fert. de ses pieds de devant que pour porter à fa bouche ce qu'il veut manger, et il marche Tur ceux de derrière, par le moyen desquels il peut faire des fauts à une diftance de 20 jusqu'à 30 pieds. Sa nourriture est le grain et les herbes, et il est capable de s'enfouir tout entier dans la terre dans l'espace de peu de minutes.
No. 4. Le Kengourou. (Didelphis gigantea.)
Le Kengourou est un animal découvert il n'y a pas longtems dans la Nouvelle Hollande par le grand Navigateur Cook. Il est de couleur cendrée, et fa queue est presqu'auffi longue que son corps. Il fe fert feulement des pieds derrière pour marcher et pour fauter, et on ne le voit jamais a 4 pattes. Ses pieds de devant sont toujours cachés dans le poil de fa poitrine et il n'en fait d'autre usage que pour fouir la terre et la gratter. Il est de la grandeur d'une brebis et son poids monte fouvent à un quintal et demi. Il vit en troupeaux et sa chair est d'un bon goût. Il fait la nuance des fauteurs aux philandres; ce qui, a engagé plusieurs savans à le compter parmi les derniers. C'est le quadrupède le plus grand qu'on ait rencontré jusqu'ici dans les terrea Australes.
Ad00341 01 096aAd00341 01 096a.jpg

Fische. IX. B. I. No. 94.

WUNDERBARE FISCHE.

No. 1. Die Stachel-Kugel. (Diodon orbicularis.)

Dieser Fisch wohnt an den Küsten von Jamaika und am Vorgebirge der guten Hoffnung, ist vollkommen rund, wie eine Kugel, mit dreieckigten Stacheln besetzt, und 9 bis 10 Zoll im Durchschnitte. Er hat einen braunen Rücken, roth und graue Flossfedern, und einen schmutzig weissen Bauch. Er lebt von Muscheln und Krebsen, und sein Fleisch, das man für giftig hält, wird nicht gegessen.

No. 2. Der schwimmende Kopf. (Tetrodon mola.)

Dieser wunderbare Fisch wohnt in der Nord-See und im mittelländischen Meere, und sieht nicht anders aus, als ein blosser abgeschnittener Fischkopf, welcher auf dem Wasser schwimmt. Sein Körper ist breit und dünn, und wird oft 8 bis 10 Fuss lang angetroffen. Er hat ein schneeweisses sehr thranigtes Fleisch, welches zu weiter nichts taugt, als Thran daraus zu brennen. Seine Leber aber wird gebraten gegessen.

No. 3. Der Thurmträger. (Ostracion turritus.)

Der Thurmträger gehört zu den Beinfischen, weil sein ganzer Körper, bis auf den Schwanz, in einer harten knöchernen Schaale steckt, die in lauter sechs- sieben und acht-eckigte Schilder getheilt ist, welche dem Fische das Ansehen geben, als wäre er mit einem Netze überzogen. Am Bauche hat er hakenartige Stacheln, und sein Höcker auf dem Rücken endigt sich gleichfalls in eine solche Stachel. Dieser Fisch wohnt vorzüglich im rothen Meere, wird 10 bis 12 Zoll lang, nährt sich von Würmern, und wird als Speise nicht sehr geachtet.

No. 4. Der Schildkröten-Fisch. (Tetrodon testudineus.)

Dieser Fisch, welcher in Ost- und Westindien wohnt, ist 1 bis 2 Fuss lang, und überaus schön gezeichnet; denn er hat einen braunen Rücken mit hellblauen Flecken, orangenfarbige Flossfedern, und einen blaulichweissen Bauch mit braunen Streifen. Er lebt von jungen Krebsen und Muscheln, und kann sich wie eine Kröte aufblasen. Es ist noch ungewiss, ob sein Fleisch essbar ist.

No. 5. Der gestreifte Stachelbauch. (Tetrodon lineatus.)

Dieser Fisch lebt im Nil, und vermuthlich auch im Mittelländischen Meere. Sein Bauch ist ungeheuer gross, und verbirgt den Fisch ganz. Er ist braun gestreift und so wie der ganze Fisch mit Stacheln besetzt. Sein Rücken ist blaulicht, und seine Flossfedern gelb, die Schwanzflosse aber getiegert. In Aegypten hält man ihn für giftig, und isst ihn nicht.

Ad00341 01 096a/frePoissons. IX. T. I. No. 94.
POISSONS DE FORMES SINGULIERES.
No. 1. L'Orbel Hérisson. (Diodon orbicularis.)
On trouve ce poisson aux cotes de la Jamaïque et au Cap de bonne Espérance; il est rond comme une boule, muni de piquans triangulaires, et fa groffenr monte à 9 jusqu'à 10 pouces de diamètre. Son dos est brun, ses nageoires sont Touges et grifes, et son ventre est d'un blanc sale. Il se nourrit de coquillages et d'ecrevisses, et sa chair est vénimeuse.
No. 2. La Lune de mer. (Tetrodon mola.)
Ce poisson merveilleux vit dans la mer du Nord et dans la Méditerranée. Il ressemble parfaitement à une tête de poisson coupée qui nage sur l'eau. Il est large, mince et souvent de la longueur de 8 à 10 pieds. Sa chair est blanche comme la neige et tellement huileuse, qu'on ne peut s'en servir que pour en tirer l'huile par le moyen du feu. Ce n'est que son foie qu'on peut manger.
No. 3. Le Chameau marin. (Ostracion turritus.)
Le Chameau marin doit être compté parmi les poissons osseux, car tout son corps est enfermé jusqu'à la queue dans une écaille dure et véritablement osseuse, qui étant partagée dans des petits ecussons de 6, 7 et 8 angles, donne à ce poisson l'air d'ètre entouré d'un filet. Son ventre est armé de piquans en forme de crochets, et la bosse qu'il a sur le dos, se termine également dans un pareil piquant. Il vit principalement dans la mer rouge et se nourrit de vermisseaux. On le voit de la longueur de 10 pouces jusqu'à 1 pied et on ne fait guéres usage de sa chair.
No. 4. La Tête de Tortue ou le Perroquet. (Tetrodon testudineus.)
Ce poisson qu'on trouve dans les deux Indes est de la longueur d'un jusqu'à 2 pieds et fort joliment marqué. Son dos est brun à taches bleues claires, ses nageoires sont couleur d'orange, et son ventre est d'un bleu qui tire sur le blanc, relevé par des rayes brunes. Il se nourrit de coquillage et de petites ecrevisses, et peut s'enfler comme un crapand. Il est encore incertain, si l'on peut manger sa chair.
No. 5. Le Globe rayé. (Tetrodon lineatus.)
Il vit dans le Nil et probablement aussi dans la Méditerranée. Son ventre est d'une grosseur énorme, et cache presque tout l'animal; il est rayé en brun et muni de piquans comme le reste du corps de ce poisson. Son dos est bleuâtre, et ses nageoires sont jaunes, à celle près qui sert de queue et qui est tigrée. Dans l'Egypte on ne le mange pas parce qu'on le croît venimeux.
Ad00341 01 097aAd00341 01 097a.jpgNo. 1. Der Guajac-Baum, oder das Franzosen-Holz. (Guajacum officinale.)~~Der Guajacbaum, der für den Handel das sogenannte Franzosenholz, Pockenholz, Heiligholz, oder besser das Guajac-Holz und das Guajac-Harz liefert, wächst in den Westindischen Inseln, so wie auch in Brasilien, und wird so gross wie unsre mittelmässigen Eichen. Er hat hellgrüne Blätter, rothgelbe Sommerschossen, blaue Blüthen, und viereckigte, rothgelbe Saamenkapseln (Fig. a.). Sein Holz, welches wir in Teutschland unter dem Namen Pockenholz oder Franzosenholz kennen, ist schwärzlich gelbgrün, schön geflammt, so fest, dass es sehr schwer zu bearbeiten ist, und so schwer vom Gewicht, dass es im Wasser wie ein Stein untersinkt. Es giebt vortreffliche Drechsler- und Tischlerarbeiten, denn man dreht daraus Flöten, Teller, Löffel, Tabatieren, Maille- oder Kegelkugeln; besonders aber braucht man es, weil es immer etwas Oeligtes an sich hat, auf den Schiffen zu den Flaschenzügen der Seegeltaue, zu Walzen, und in Mühlen zu den Kämmen der Räder. In der Medicin hingegen wird das Holz, die Rinde, so wie auch das Guajac-Harz häufig als ein stark wirkendes Mittel gebraucht. Die Producte dieses Baums sind also für Europa wichtig.~~No. 2. Die Cascarille, oder Schakerille. (Croton cascarilla.)~~Der Baum, der uns die, als Arzneimittel berühmte Cascarillrinde liefert, wächst in Ost- und Westindien, bleibt klein, und wird selten über 10 Fuss hoch. Er hat schmale blassgrüne Blätter, und dergleichen Blüthen. Die Cascarillrinde wird von seinen dünnen Aesten abgeschält, getrocknet und als dünne zusammengerollte Röhren, die äusserlich grau, innerhalb aber braun aussehen, zu uns gebracht. Die Rinde ist bitter und gewürzhaft von Geschmack, und giebt einen starken angenehmen Geruch auf Kohlen.~~
Ad00341 01 097a/frePlantes. XIX. T. I. No. 95.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. Le Guajac. (Guajacum officinale.)
L'arbre de Guajac, qui fournit au commerce le Bois et la Résine de Guajac, croît dans les Indes Occidentales et dans le Brésil, et parvient à la hauteur d'un chêne médiocre. Ses feuilles sont d'un vert-pâle, il pousse des scions jaunâtres, et porte des fleurs bleues avec des capsules carrées de couleur rouge tirant sur le jaune (Fig. a.) Son bois est noirâtre, à rayes jaunes et vertes, dur et difficile a travailler, et tellement lourd, que dans l'eau il coule à fond comme une pierre. On en fait de beaux ouvrages de tabletterie et d'ébénisterie, comme flûtes, assiettes, cuilliers, tabatières, boulets de maille et quilles; comme il est huileux, on s'en sert principalement sur les vaisseaux pour les moufles des cordes à voile, pour des calandres et dans les moulins pour les dents des roues. Dans la Médecine le bois, la racine et la résine sont employées comme un remède très-efficace; ce qui rend cet arbre fort important pour la Commerce de l'Europe.
No. 2. La Chacarflle. (Croton cascarilla.)
L'arbre, qui fournit l'écorce de la Chacarille, connue dans la Pharmacie, est une production des deux Indes; il reste petit et ordinairement audessous de 10 pieds. Ses feuilles étroites et ses fleurs sont d'un vert clair. On enlève l'écorce des branches les plus minces, la séche et nous l'envoie roulée en petits tuyaux, dont la dehors est gris et la partie intérieure brune. Elle est amère, d'un goût aromatique, et sur la braise elle donne un parfum exquis et très fort.
Ad00341 01 098aAd00341 01 098a.jpgNo. 1. Das Salzkraut oder Kali.~~Das Salzkraut, oder Kali, ist eine etwa 1 Fuss hohe, blätterlose Pflanze, welche fast in ganz Europa an den Ufern des Meeres und an Salzquellen häufig wächst, und deswegen merkwürdig und als wichtig für den Handel anzusehen ist, weil aus ihr das Kalisalz, und die feine Pottasche, Soda oder Soude gebrannt wird, welche die Glasfabriken, feinen Seifensiedereyen und Bleichen in Menge brauchen. Die Pflanze hat keine Blätter, sondern besteht aus lauter fetten, knotigen, grünen Stengeln, die innerlich ein gelbes Mark haben (Fig. b.), und um deren Spitzen (Fig. a) kleine schildförmige röthliche Schuppen liegen, welches seine Blüthen sind, die im August einen kegelförmigen Saamen (Fig. cd.) tragen. In Spanien und Sicilien wird diese Pflanze sorgfältig zur Fabrikation der Soda angebauet, und jährlich wie Getraide gesäet.~~No. 2. Islandisches Lungenmoos.~~Das Isländische Lungenmoos hat tief geschlitzte, unordentlich geformte Blätter, die oberhalb grün, unten aber blau , grau und braun sind, und einen gezähnelten Rand haben. Auf den Blättern kommen im September kleine braune Schildgen hervor, die man hier auch sieht, welches seine Blüthen sind.~~Dies Moos wächst an harzigten, trocknen Orten, und verbreitet sich weit umher. Es ist nicht nur mit Milch gekocht, oder getrocknet, ein gutes Nahrungsmittel, daher es auch von den Isländern schon längst zur Bereitung ihres Brodes gebraucht worden; sondern es ist auch im Winter das beste Futter der Rennthiere in Lappland, die es unter dem Schnee aufsuchen. In unsern Apotheken ist es aber auch ein wichtiges Arzneymitiel für die Lunge und Schwindsucht. Es wächst nicht allein in Island, sondern auch in ganz Teutschland.~~
Ad00341 01 098a/frePlantes. XX. T. I. No. 96.
PLANTES MEDICINALES ET DE COMMERCE.
No. 1. La Salicote, ou le Kali.
La Salicote, ou le Kali est une plante sans feuilles, haute d'environ 1 pied, qui vient dans la plus grande partie de l'Europe sur les bords de la mer et des marais salans. C'est une production intéressante pour le commerce, par ce qu'on en prépare la Soude dont on se sert dans les verreries, dans les fabriques de savon et pour le blanchissage. Cette plante ne consiste qu'en tiges noueuses et vertes, qui renferment une moelle jaune, (Fig. b.) et dont les pointes (Fig. a.) sont couvertes de petites écailles rougeàtres en forme de boucliers, qui sont les fleurs, et qui au mois d'Août portent une petite semence de figure conique. (Fig. c. et d.). On cultive avec grand soin et séme annuellement cette plante en Espagne et en Sicile pour la fabrication de la soude.
No. 2. La Mousse poulrnonaire d'Islande.
La Mousse poultnonaire a des feuilles largement fendues et de forme bisarre, vertes par dessus, grisâtres et brunes par le rebours et dentelées sur le bord. Au mois de septembre il se montre sur ces feuilles de petits écuffons bruns, représentés sur cette table, qui sont ses fleurs. Cette mousse s'engendre dans des endroits montagneux et secs, et étend loin ses ramifications. Cuite au lait ou sechée, elle donne une bonne nourriture, et les Islandois s'en servent depuis longtems pour en faire du pain. En Laponie elle fait en hiver le meilleur fourrage des Rennes, qui la cherchent sous la neige. Dans nos Apothicaireries elle est une bonne drogue contre les maladies pulmonaires. On la trouve non seulement en Islande, mais aussi dans toute l'Allemagne.
Ad00341 01 099aAd00341 01 099a.jpgDie Beutelthiere machen ein merkwürdiges Thiergeschlecht der heissen Länder aus. Sie bewohnen vorzüglich Süd-America, wo sie sich Höhlen in die Erde graben, oder auch auf den Bäumen leben; weil sie, vermöge ihrer Hinterfüsse (an welchen sie, wie die Affen und Makis, einen Daumen haben) und ihres Wickelschwanzes, vortrefflich klettern können. Sie fressen Früchte, süsse Wurzeln, Insekten und Vögel. Sie heissen deswegen Beutelthiere, weil die Weibchen der meisten Arten am Bauche einen hautigen Beutel mit einer langgeschlitzten Oeffnung haben, den sie öffnen und verschliessen können, und in welchem ihre Zitzen liegen. Sie werfen mehrere, überaus kleine, nackte, blinde und unzeitige Junge, welche sie gleich nach der Geburt in diesen Beutel stecken, wo sich die Jungen sogleich an die Zitzen hängen, und so lange daran hängen bleiben, bis sie Haare bekommen, und laufen lernen. So lange sie noch bey der Mutter sind, dient ihnen dieser Beutel auch immer zur Zuflucht; denn die Mutter nimmt sie bey der geringsten Gefahr darin auf, und entflieht mit ihnen, Sie lassen sich zum Theil zahm machen.~~No. 1. Das Marsupial.~~Das Marsupial ist 18 Zoll lang, ohne seinen Wickelschwanz, welcher grösstentheils nackt, und mit kleinen Schuppen besetzt ist. Es wohnt in Süd-Amerika, und ist die grösste Art unter den Beutelthieren. Es hat gelbes Haar mit Schwarz schattirt. An seinem Bauche kann man den offnen Beutel mit seinen Zitzen deutlich sehen.~~Das Opossum. No. 2. Das Männchen. No. 3. Das Weibchen.~~Das Opossum lebt in Brasilien, Peru, Virginien und Mexico, ist, ohne Schwanz, 1 Fuss lang, und hat an Farbe und Gestalt viel Aehnlichkeit mit dem Fuchse. Es nährt sich von Früchten, Gewürmen und Vögeln. Sein Gang ist langsam, es hängt sich aber gern mit seinem Wickelschwanze an den Aesten auf, und schleudert sich so von einem Baume zum andern.~~No. 4. Der Faras.~~Er ist 9 Zoll lang, sein Schwanz aber viel länger; wohnt in Guiana und Surinam, und sieht braunroth auf dem Rücken, und am Bauche weisslich aus.~~No. 5. Der Kayopollin.~~Der Kayopollin wohnt in Mexico, und ist ohngefähr so gross als der Faras. Er sieht graubraun, und am Bauche weisslich aus. Die Weibchen haben keinen Beutel.~~No. 6. Die Marmose.~~Diess Thier, dass dem Faras sehr gleicht, wohnt in Süd-Amerika, ist 6 Zoll lang, hat einen Wickelschwanz und sieht rothhraun auf dem Rücken, am Bauche aber weiss aus.~~No. 7. Die Busch-Ratte.~~Bewohnt Surinam, und baut unter der Erde. Das Weibchen bringt 5 bis 6 Junge, die, weil es keinen Beutel hat, sich gleich bey der geringsten Gefahr auf den Rücken der Mutter flüchten, ihre Wickelschwänze um der Mutter ihren schlingen, die dann mit ihnen davon läuft.~~No. 8. Der Kuskus.~~Wohnt in Amboina und den übrigen Moluckischen Inseln. Er ist 10 Zoll lang, und seine Farbe veränderlich, röthlich, gelblich und hellgrau. Er hat einen Wickelschwanz, einen Beutel, und nährt sich von Früchten.~~No. 9. Der Tarsier.~~Der Tarsier ist nicht viel grösser als eine Maus, und scheint seinen langen Hinterbeinen und seinem Schwanze nach fast zu den Springern zu gehören. Er wohnt in Amboina, und ist noch nicht sehr bekannt.~~
Ad00341 01 099a/freQuadrupèdes. XXII. T. I. No. 97.
PHILANDRES DE DIFFERENTES ESPECES.
Les Philandres sont des animaux très remarquables, qu'on ne trouve que dans les pays chauds et surtout dans l'Amérique méridonale. Ils vivent dans des trous, qu'ils se creusent dans la terre, ou même sur les arbres, sur lesquels ils grimpent facilement par le moyen de leurs queues roulâmes et de leurs pattes de derrière, auxquelles ils ont un pouce comme les linges et les makis. Ils se nourrissent de fruits, de racines douces, d'insectes et d'oiseaux; on leur donne aussi le nom d'Animaux à bourse, parce que les femelles de presque toutes les espèces ont à leur ventre une bourse de peau avec une fente longue, qu'ils peuvent ouvrir et ferrer, et dans laquelle sont renfermées leurs mamelles. Elles sont plusieurs petits, qui viennent au monde aveugles, sans poils, d'une petitesse extrême, et avant qu'ils ayent encore atteint le terme de la maturité. Au moment de leur naissance les petits entrent dans cette bourse, s'attachent aux mamelles et y retient colles, jusqu'à ce qu'ils ayent acquis du poil et allée de force pour pouvoir marcher. Cette bourse leur sert même de retraite aussi longtems qu'ils ne sont pas séparés de la mere, qui, avec une tendrese vraiment maternelle, les y reçoit au moindre danger et s'enfuit, pour les porter en lieu de sureté. Cette espéce d'animaux se laisse aussi apprivoiser.
No. 1. Marsupiale.
Le Marsupiale est long de 18 pouces, sans compter sa queue, qui pour la plus grande partie est sans poil et couverte de petites écailles. Il habite l'Amérique méridionale et fait l'espèce des Philandres la plus grande. Son poil est fauve avec une nuance noire. Sur la table ci-jointe o-n peut voir diftinctement au ventre do cet animal la bourfe ouverte et les mamelles.
L'Opossum.
No. 2. Le Male. No. 3. La Femelle.
L'Opossum vit dans le Bresil, le Pérou, la Virginie et le Mexique; sans la queue il est long d'un pied, et a beaucoup de rellemblance avec les renards, tant par sa couleur que par faftructure, lise nourrit de fruits, de vers et d'oiseaux. Sa démarche est fort lente; maisilaimeà fe fuspendre aux branches par fa queue roulante, et s'élance de cette maniere d'un arbre à l'autre.
No. 4. Le Faras.
II a 9 pouces de longueur, mais fa queue en a davantage. On le trouve dans la Guiane et le Surinam. Son dos est rouge tirant sur le brun, et son ventre est blanchâtre.
No. 5. Le Cayopolin.
Le Cayopolin vit dans le Mexique, et sa longueur est a peu près la même quecelledu Faras. Sa couleur est un brun gris et le ventre est blanc. Les femelles n'ont pas de bourses.
No. 6. La Marmose.
Cet animal, qui ressemble beaucoup au Faras, vit dans l'Amérique méridionale; sa longuer est de 6 pouces. Il a une queue roulante; la couleur de son dos est rouffàire, et son ventre est blanc.
No. 7. Le Philandre de Surinam.
Il habite le Surinam et se creuse des trous dans la terre. La femelle fait ordinairement 5 a 6 petits, mais comme elle n'a pas de bourfe, ses petits fe mettent au moindre danger sur son dos, entortillent leurs queues roulantes autour de celle de leur mere, qui alors s'enfuit avec eux.
No. 8. Le Phalanger.
Il habite l'île d'Amboine et les autres Moluques. Il est long de 10 pouces, et sa couleur varie en rouge, jaune et prit. Sa queue est roulante; il est muni d'une bourse et se nourrit de fruits.
No 9. Le Tarsier.
Le Tarsier n'est pas de beaucoup plus grand qu'une fouris; par la longueur de ses pieds de derrière et par sa queue il pairoit plutôt de l'espèce des Sauteurs. 11 vit dans l'Amboine et n'est encore que peu connu.
Ad00341 01 100aAd00341 01 100a.jpgNo. 1. Der Kranich.~~Der Kranich ist eigentlich bey uns und in den nördlichen Ländern zu Hause, gehört unter die Zugvögel, und macht unter ihnen die weitesten Reisen. Der Sicherheit wegen ziehen die Kraniche nur des Nachts, fliegen sehr hoch in der Luft, in ganzen Truppen, und geben, um sich nicht zu trennen, einander Zeichen durch ihr rauhes Geschrey, welches beym gemeinen unwissenden Volke Veranlassung zu dem abergläubischen Mährchen vom wilden Jäger, der mit dem wüthenden Heere des Nachts durch die Luft zöge, gegeben hat. Der Kranich ist ohngefähr 4 Fuss hoch, hat blaugraue und im Schwanze schwarze Federn, eine schwarze Kehle, und auf dem Kopfe ein rothes Fleck. Er lebt und nistet am liebsten an Morästen und Sümpfen, und nährt sich von Fröschen, Schlangen und Wasser-Insecten; deshalb er auch mit seinen langen Beinen tief ins Wasser geht. Bey der ersten Herbstkälte zieht er fort in die Süd-Länder, wo er den Winter zubringt, und kommt erst im März oder April wieder. Weil der Kranich bey seinen Zügen Wachen ausstellt, wenn sich die Truppe auf die Erde niederlässt, so hat man ihn zum Bilde der Wachsamkeit angenommen.~~No. 2. Der Storch.~~Es giebt zwey Arten Störche, den weissen und den schwarzen Storch. Gegenwärtiger ist der weisse, der bey uns in Teutschland einheimisch ist, im Herbste aber nach Egypten und in andere wärmere Länder zieht. Er liebt die menschliche Gesellschaft und bauet daher gewöhnlich sein Nest auf die Zinnen und Spitzen alter Thürme, Häuser, Feueressen und dergleichen. Er ist gewöhnlich 3 Fuss hoch, hat weisses Gefieder und halbschwarze Flügel, lange Beine, und nährt sich von Schlangen, Eydechsen, Fröschen u.s.w. Wenn er böse oder hungrig ist, so klappert er mit dem Schnabel; ausserdem aber hat er kein Geschrey. Er liebt sehr seine Jungen, versorgt auch mit zärtlicher Sorgfalt seine alten und schwachen Aeltern, und ist daher ein Sinnbild der kindlichen Liebe worden. Der schwarze Storch lebt mehr in warmen Ländern, einsam in den dicksten Wäldern und Sümpfen, und scheuet die Menschen, welche der weisse Storch sucht und liebt.~~No. 3. Der graue Reiger.~~Der graue Reiger ist bey uns einheimisch, und zieht des Winters nicht fort. Er ist dritthalb bis drey Fuss hoch, hat ein blaugraues Gefieder, und ein sehr trauriges melancholisches Temperament, so dass er oft Tage lang ganz unbeweglich steht. Er nährt sich blos von Fischen und Fröschen, daher er auch auf hohe Bäume an grossen Land Seen nistet. Die Reiger Jagd mit Falken, oder die sogenannte Reiger-Beize, war sonst ein Vergnügen grosser Herren, das aber jetzt aus der Mode kommt.~~No. 4. Der weisse Reiger, oder die Aigrette.~~Der weisse Reiger, und sonderlich die Gattung davon, welche die Aigrette heisst und hier abgebildet ist, ist viel kleiner als der graue, und nur 20 Zoll hoch. Er ist seltener als jener, und hat auf dem Rücken hinab einige überaus schöne, zarte seidenartige Federn, woraus man die berühmten kostbaren und sehr theuern Federbüsche zum Schmuck grosser Herren und Damen macht.~~N. 5. Der Savacou.~~Der Savacou ist gleichfalls eine Art von Reiger, der in Süd-Amerika, in Gegenden, welche die grossen Ströme überschwemmen, lebt, und sich blos von Fischen nährt. Er ist nur 20 Zoll hoch, braun von Farbe, hat einen weissen Hals, ungeheuer breiten Schnabel, und einen grossen schwarzen Federbusch.~~
Ad00341 01 100a/freOiseaux XIII. T. I. N. 98.
OISEAUX DE RIVAGE REMARQUABLES.
No. 1. La Grue.
La Grue habite dans nos contrées et dans les regions septentrionales; elle appartient au genre des oiseaux de passage, parmi lesquels elle fait les plus longs voyages. Par mesure de sureté les grues ne voyagent que pendant la nuit, -et sont toujours leur vol par troupes en s'élevant très haut dans l'air. Pour ne pas se séparer, elles se donnent des lignes en pouffant des cris rauques, et ces sons de voix lugubres, ayant surpris l'ignorance du bas peuple, ont oc afionné les contee superstitieux du Chasseur sauvage, qui, selon eux court les airs avec sa troupe furibonde. La grue est à peu près de la hauteur de 4 pieds; elle a le plumage du corps cendré et des plumes noires dans la queue; sa gorge est également noire, et sur le sommet de la tête elle a une tâche ronge. Elle habite de préférence les bords des marais, où elle construit aussi ses nids. Elle se nourrit de grenouilles, de serpens, et d'insectes aquatiques, et marche avec les longues jambes sou avant dans l'eau, pour en chercher. Au premier froid de l'Automne elle quitte les régions du Nord, pour passer l'hiver dans celles du Midi, et n'en revient que dans le mois de Mars ou d'Avril. Lorsque les grues dans leur passage s'abattent sur la terre, il y en a toujours une qui fait le guet, et qui avertit la troupe de l'approche du danger. C'est par cette raison qu'on a pris cet oiseau pour le symbole de la vigilance.
No. 2. La Cigogne.
On en distingue deux espèces, savoir la Cigogne blanche et la Cigogne noire. Celle qui est représentée sur la table ci jointe, est la blanche, qui habite dans l'Allemagne en été, et se retire, au commencement de l'automne, dans l'Egypte et dans d'autres pays plus, chauds. Elle aime la société de l'homme, et fait communément son aire au haut des tours et des cheminées. Sa hauteur est ordinairement de 3 pieds; son plumage est blanc, et ses ailes sont moitié noires; elle a les jambes fort longues et se nourrit de serpens, de lézards, de grenouilles etc. Lorsqu'elle est en colère, ou qu'elle a faim, elle claque avec violence, ce qui est le seul bruit qu'elle est capable de faire, et qui lui tient lien de voix. Cet oiseau porte une affection tendre à ses petis, et il nourrit aussi avec des soins admirables ses parens quand ils sont vieux. C'est à cause de cet excellent naturel qu'on a choisi la cigogne pour le symbole de la piété filiale.
La Cigogne noire ne le trouve que dans des pays chauds; toute contraire à la cigogne blanche, qui aime les hommes et les recherche, la cigogne noire les craint et les fuit, et méne pour cela une vie isolée au milieu de plus grandes forêts et aux bords des marais.
No. 3. Le Héron gris.
Le Héron gris se trouve dans nos regions pendant toute l'année, et l'hiver ne le fait point changer de pays. II a une hauteur de 1 1/2 jusqu'à 3 pieds. Son plumage est grisâtre tirant sur le bleu, et son temperament est tellement triste et mélancolique, qu'il peut palier des journées entières se tenant debout et sans le moindre mouvement. Sa seule nourriture consiste en poissons et en grenouilles; il fait pour cette raison son nid sur des arbres de haute futaie, aux bords des grands lacs. La chasse du heron avec des faucons, ou le Vol du héron, a fait autrefois un plaisir particulier des grands Seigneurs, mais aujourd'hui il n'est plus à la mode.
No. 4. Le Héron blanc, ou l'Aigrette.
Le Héron blanc, et surtout l'espèce que nous en connoissons sous le nom d'Aigrette et dont on voit ici la figure, est beaucoup plus petit que le Héron gris, n'ayant que 20 pouces de hauteur. Il est aussi plus rare que l'autre, et porte le long de son dos quelques plumes, qui sont plus molles et plus fines que la plus belle soie, et dont la beauté est admirable. On en fait, pour la parure des clames et des grands Seigneurs, les fameux panaches, dont la haute réputation a monté la valeur à un prix excessiv.
No. 5. Le Savacou.
Le Savacou est de même une espèce de Héron qui se trouve dans l'Amérique méridionale, et surtout dans les contrées qui sont inondées par de grands fleuves. Sa seule nourriture consiste en poissons, et sa hauteur n'est que de 20 pouces. Il est de couleur brune, mais son col est blanc; son bec est d'une largeur énorme, et il porte une longue houppe noire.
Ad00341 01 101aAd00341 01 101a.jpgNo. 1. Der Opiummohn.~~Die Pflanze, welche uns das bekannte Opium liefert, ist der weissblühende einfache Mohn, der in Teutschland auch häufig gebauet wird, dessen Saft aber nur in der Turkey, Aegypten und Syrien das Opium giebt. Man macht nehmlich dort in die grünen Mohnköpfe, so bald die Blume abgeblühet hat, leichte Einschniite mit einem Messer. Aus diesen Ritzen treten nun einige Tropfen Milchsaft heraus, die man daran hängen lässt, bis sie sich verdicken, dann sorgfältig sammelt, in kleine fingerdicke Kuchen zusammen drückt, in Mohnblätter wickelt, und so verkauft. Das ächte Opium ist schwer, dicht, sieht schwärzlich aus, hat einen unangenehmen Geruch und beissenden Geschmack. Es macht, wenn man es einnimmt, vorzüglich Schlaf, und verursacht, so wie Wein und alle geistige Getränke, einen Rausch mit angenehmer Begeisterung, stärker genommen aber eine Art von Wuth; daher nehmen es gewöhnlich die Türken ehe sie den Feind angreifen. Es wird überhaupt in der Türkey, Aegypten und Kleinasien so stark gebraucht, dass man es fast täglich nimmt. Wir erhalten es nach Europa aus der Levante.~~No. 2. Der Tragantstrauch.~~Der Tragantstrauch (oder Bockshorn) wächst sowohl in der Levante, als auch in dem südlichen Frankreich und Oberitalien, und ist ein niedriger sehr dornigter Strauch, welcher weisse Blüthen trägt. Das bekannte Gummitragant, welches er liefert, und sowohl in den Apotheken, als auch von den Conditorn, Färbern, Mahlern und andern Fabricanten häufig gebraucht wird, wird an seinen Wurzeln, in 1 bis 2 Zoll langen, krummen, wurmförmigen Stücken (Fig. a und b.) gesammelt, und kommt hauptsächlich aus der Insel Candia. Man hat gelbes und weisses. Das letztere ist das beste.~~
Ad00341 01 101a/frePlantes. XXI. T. I. No. 99.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. Le Pavot blanc.
Le pavot commun à fleurs blanches, qui nous fournit l'Opium, est fréquemment cultivé en Allemagne; mais ce n'est qu'en Turquie, en Egypte et en Syrie que son suc donne l'Opium. Dans ces pays on fait avec un couteau de légères incisions dans les têtes de pavot, quand elles sont encore vertes et immédiatement après que la fleur est tombée. De ces sentes suppurent quelques gouttes de lait, qui, lorsqu'elles se sont condensées, en sont ôtées et ramassées avec soin. On en pétrit de petites pâtes de l'épaisseur d'un doigt, qu'on enveloppe dans des feuilles de pavot; et c'est ainsi qu'elles sont envoyées au marché. Le véritable Opium est lourd, épais, d'une couleur noiràtre, d'une odeur désagréable et d'un goût piquant. Il est soporifique et produit une douce ivresse, comme le vin et toutes les liqueurs spiritueuses; pris en fortes doses, il donne une espèce de fureur, ce qui engage les Turcs à en avaler avant d'attaquer l'ennemi. En général on en fait un usage presque journalier dans les pays fournis aux Turcs. Pour nous autres c'est un article du Commerce du Levant.
No. 2. Le Tragacant.
Le Tragacant vient dans les pays du Levant dans la France méridionale et dans la haute Italie; c'est un petit arbrisseau à épines qui porte des fleur blanches. La gomme du Tragacant, dont se servent fréquemment les apothicaires, les confiseurs, les teinturiers, les peintres et plusieurs fabricans, sort de ses racines et est recueillie en petits morceaux longs d'un à deux pouces et ressemblans a des vers (Fig. a et b.) L'isle de Candie en fournit principalement. Il y en a de jaune et de blanche, mais la dernière est préférable.
Ad00341 01 102aAd00341 01 102a.jpgNo. 1. Der Phenicopter, oder der Flammant.~~Der Phenicopter oder Flammant ist einer der schönsten Strandvögel, welche es giebt. Er ist, ausgewachsen, 5 Fuss hoch, hat einen weissen Leib, Hals und Kopf, feuerfarbene Flügel, und einen schwarzen Schwanz. Er lebt nur in heissen Ländern am Meeres-Ufer in ganzen Truppen, und nährt sich von Fischen, die er in Gesellschaft mit andern künstlich fängt. Sein Fleisch ist essbar, seine schönen Federn dienen zum Schmucke, und seine Haut wird, wie das Fell der Schwäne, als ein schönes Pelzwerk zubereitet.~~No. 2. Der Königs-Vogel.~~Der Königs-Vogel lebt nur in Afrika am Ufer grosser Flüsse, wo er kleine Fische fangt, sich aber auch gern von Körnern nährt. Er ist leicht zahm zu machen, und läuft dann den Menschen nach wie ein Hund. Er hat seinen Namen wegen seiner schönen Feder-Krone und seinem majestätischen Tragen. Sein Gefieder ist am Halse, Brust und Rücken graublau, am Bauche schwarz, an den Flügeln weiss, am Schwanze lichtbraun und schwarz, der Kopf ist schwarz, mit einem scharlachrothen Felde um die Augen, und die schöne Feder-Krone glänzend gelbbraun. Er ist 4 Fuss hoch, läuft sehr schnell mit ausgestreckten Flügeln, fliegt aber auch sehr gut und weit.~~No. 3. Der Ibis.~~Der Ibis, welcher gleichfalls zu den Strandvögeln gehört, lebt ganz allein in Egypten, und ist ein aus dem Alterthume sehr berühmter Vogel. Er war auf allen antiken Monumenten das Sinnbild von Egypten, und die alten Egypter hielten ihn heilig, erwiesen ihm göttliche Ehre, und balsamirten jeden todten Ibis, den sie fanden, ein, und begruben ihn so in einer irdenen Urne in unterirdische Catacomben, die man auch jetzt noch sieht. Diese Verehrung des Ibis kam ohnstreitig daher, weil der Ibis die niederen Gegenden von Egypten, welche der Nil jährlich überschwemmt, von Schlangen, Fröschen, Kröten und andern Ungeziefer reinigte, und die Egypter ihn daher als den Wohlthäter ihres Landes ansahen. Der Ibis sieht weiss aus, hat einen halbrothen Kopf, einen schwarzen Schwanz und Flügelspitzen, und einen krummen Schnabel, welcher Anlass zur Erfindung des Klystiers gegeben haben soll. Er ist 5 Fuss hoch, lebt an den Ufern des Nils, wo er auf den Palmen nistet, und nährt sich von Schlangen, deren unversöhnlicher Feind er ist.~~No. 4. Die Demoiselle aus Numidien.~~Dieser überaus schöne Vogel von Bau und Gestalt, ist eine Art von Kranich, und nur in Afrika, in Numidien, zu Hause. Er war schon bey den Alten berühmt, die ihn wegen seines besondern Hanges den Menschen nachzuäffen, und wegen der wunderbaren und komischen Sprünge, Geberden und Tänze die er macht, nur den Tänzer, den Komödianten, den Mimen nannten; und es ist wahr, er hat solch eine Eitelkeit sich zu zeigen und bewundern zu lassen, dass er sich gleich in Positur setzt, und seine sonderbaren Figuren macht, sobald er sieht, dass man ihn betrachtet; als wenn er dadurch gefallen wollte. Er ist 4 Fuss hoch; Rücken und Flügel sind blaugrau, Kopf, Hals und Brust schwarz, und auf dem Kopfe hat er einen weissen Federbusch.~~
Ad00341 01 102a/freOiseaux. XIV. T. I. No. 100.
OISEAUX-DES PAYS CHAUDS.
No. 1. Le Phénicoptère ou le Flamand.
Le Phénicoptère ou le Flamand est un des plus beaux oiseaux de rivage qui existent. Ayant achevé de croître, il est de la hauteur de 5 pieds; le plumage du ventre, du cou et de la tète est blanc, celui des ailes est de couleur de feu, et sa queue est noire. Ii ne se trouve que dans les pays chauds, où il vit en troupes aux côtes des mers. Sa nourriture consiste en poissons, qu'il fait prendre avec beaucoup d'adresse. La chair de cet oiseaux est bonne à manger, ses belles plumes servent de parure, et de sa peau, qui est couverte d'un duvet très fin, on prépare, comme de celles du cygne, de belles pelleteries.
No. 2. L'Oiseau royal.
L'Oiseau royal ne se trouve que dans Afrique aux bords des grands fleuves, où il se nourrit de petits poissons, et, à leur défaut, de graines. Il est très-aisé à apprivoiser, et pour lors il fuit les hommes comme un chien. Il doit son nom à la belle couronne de plumes et à son port majestueux. Les plumes qui couvrent son col, sa poitrine et son dos, sont grisâtres tirant sur le bleu, celles du ventre sont noires, ses ailes sont blanches et le plumage de la queue est châtain clair entremêlé de noir. Sa tète est noire, et ses yeux sont entourés d'une tacite de couleur écarlate. Sa belle couronne de plumes est d'un jaune brunâtre extrêmement luisant. La hauteur de cet oiseau est de 4 pieds; il peut courir avec une grande vitelle, en tenant toujours ses aies étendues; mais cela n'empêche pourtant pas, qu'il ne vole aussi avec beaucoup de légèreté et souvent fort loin.
No. 3. L'Ibis.
L'Ibis, qui doit aussi être compté au genre des oiseaux de rivage, ne se trouve exclusivement qu'en Egypte, où il a été très fameux dans l'Antiquité. Sur tous les monumens, qui nous sont restés de ces fié les reculés, cet oiseau est toujours représenté connue l'emblème de l'Egypte; les anciens habitans de ce pays l'adoroient comme une divinité. Ils embaumoient chaque Ibis après sa mort, et l'ayant enfermé dans des urnes de terre, ils l'enterroient dans des Catacombes, dont on retrouve encore dans nos jours. La raison de cette adoration étoit fondée sans doute sur ce que cet oiseau, se nourrissant de serpens, de grenouilles, de crapauds et d'autre vermine aquatique, purifie de ces animaux nuisibles les baffes contrées de l'Egypte, inondées annuellement par le Nil; et c'est pour ce a que les habitans l'avoient regardé comme le bienfaiteur de leur pays, La couleur de l'ibis est blanche, sa tète eu rougeàtre, les plumes de sa queue et du bout des ailes sont noires, son bec est recourbé, et c'est de sa forme et de l'usage que l'oiseau doit en faire, qu'on prétend que l'invention des clystères tire son origine. Sa hauteur est de 3 pieds; il vit aux bords du Nil, où il bâtit son nid sur des palmiers, et se nourrit principalement de serpens, dont il est l'ennemi implacable.
No. 4. La Demoiselle de Numidie.
Cet oiseau superbe, par sa figure et par les couleurs de son plumage, est une espèce de grue, qu'on ne trouve nulle part qu'en Afrique, et spécialement dans la Numidie. Son penchant bisarre d'imiter les gestes qu'il voit faire à l'homme, l'avoit déjà rendu fameux chez les Anciens, qui, à cause de ses fauts comiques, de ses attitudes singuilères et de sa manière affectée de danser, lui avoient donné le nom de Danseur, de Comédien, de Mime. On doit en effet s'étonner de la vanité de cet oiseau, avec laquelle il se présente pour être admire. A peine s'apperçoit-il, qu'on le regarde, qu'il commence aussitôt à faire ses tours de coquetterie, et à prendre toutes sortes d'attitudes bisarres, comme s'il étoit porté par l'envie de plaire.
La Demoiselle de Numidie est haute de 4 pieds; le plumage de son dos et de ses ailes est gris et comme bleuâtre, celui du col et de la poitrine est noir, de même que la tète; cette dernière est ornée de plumes blanches élevées en forme de crête.
Ad00341 02 003aAd00341 02 003a.jpgNo. 1. Das wilde Pferd.~~Nach der Behauptung der Naturforscher giebt es jetzt keine ursprünglich wilde Pferde mehr, sondern nur verwilderte, oder nur wieder wild gewordene, und ohne Wartung der Menschen lebende. Von diesen giebt es grosse Heerden in den Polnischen Wäldern, in dem Schottischen Hochlande, in der Tartarey, und sonderlich eine unermessliche Menge in Paraguay und Patagonien. Gewöhnlich haben diese wild gefangenen Pferde sehr grosse Dauer und Leichtigkeit.~~No. 2. Das zahme Pferd.~~Kein Thier von allen hat sich so sehr an den Menschen und dessen Bedürfnisse gewöhnt und ist ihm so erstaunlich nützlich worden, als das Pferd. Als Hausthier, wie es diese Figur darstellt, hat es sich über den ganzen Erdboden verbreitet und daher auch vom Clima und Futter, viele Abänderungen in Grösse, Farbe, Figur, Stärke und Geschwindigkeit angenommen. Die berühmtesten Pferde-Rassen, die wir kennen, sind die Spanischen, Englischen, Neapolitanischen, Barben, Persianer, und Arabischen. Die Araber, deren grösster Reichthum ihre Pferde sind, tragen die höchste Sorgfalt für Reinhaltung der Rassen, und führen daher mit grösster Sorgfalt den Stammbaum ihrer edlen Pferde fort. Sie haben eigendlich 2 Rassen Pferde, wovon die eine Kadischi, das ist, Pferde von unbekannter Abkunft, heisst, die sie nicht sonderlich schätzen; die andern aber Köchlani, das ist, Pferde deren Stammbaum man bereits 2000 Jahre aufgeschrieben hat. Diese sollen ursprünglich aus dem Gestütte des Königs Salamo abstammen, und werden gemeiniglich um sehr hohe Preise verkauft. Unter den Europäischen Pferden sind vorzüglich die Englischen, wegen ihrer unglaublichen Schnelligkeit im Wettrennen, berühmt.~~No. 3. Der Dshiggetai.~~Der Dschiggetai, oder wilde Halbesel, ist eine Mittelgattung zwischen Pferd und Esel, und macht gleichsam den Übergang von dem Einen zum Andern. Er hat Schwanz und Ohren vom Esel, gleicht an Gestalt und Grösse ziemlich dem Maulthiere und ist lichtgelb braun von Farbe. Er lebt wild in grossen Heerden in den weiten kräuterreichen Ebenen der Mongoley, daher auch sein Name Mongolisch ist. Er übertrifft an Schnelligkeit alles, was man sich denken kann, ist aber nicht zahm zu machen. Die Mongolen und Tungusen schiessen ihn als Wildpret, und halten sein Fleisch für eine Leckerspeise.~~No. 4. Der Onager.~~Der Onager ist eigentlich der ursprünglich wilde oder Wald-Esel, von welchem der zahme Esel, dessen Bild auf der folgenden Tafel steht, abstammt. Er ist grösser, schlanker gebaut als der zahme Esel, hat lange Ohren, einen fast nackten Schwanz; ist gelbbraun und grau gezeichnet, und hat über den Schultern ein schwarzes Kreuz. Er lebt Heerdenweise in der Tartarey, wo er jährlich im Herbste südwärts gegen Indien und Persien zieht, und dort überwintert.~~