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Ad00341 02 003a/freQuadrupèdes XXIII. T. I. No. 2.
CHEVAVX ET ANES.
No. 1. Le Cheval sauvage.
Tous les Physiciens s'accordent de nos jours à rejetter l'existence de chevaux originairement sauvages; ceux qu'on prend ordinairement pour tels, ne l'ont que des chevaux domestiques, rendus à la Nature etvivans sans les soins de l'homme. On trouve de ces derniers des troupes nombreuses tans les forêts de la Pologne, les parties montagneuses de l'Ecosse, la Tai tarie, et surtout une quantité prodigieuse dans le Paraguai et le pays des Paiagons. Les habitans de les pays s'appliquent à les prendre, et à les rendre dociles; après quoi ils leS présèrent pour la monture aux chevaux domestiques comme étant plus légers et plus nerveux.
No. 2. Le Cheval domestique.
Il n'y a aucun animal, qui se soit plus accoutumé à l'homme et à ses besoins, et qui lui soit devenu d'une utilité plus multipliée que le cheval. Comme animal domestique, tel que la figure ci-jointe le représente, il s'est étendu sur toute la sur sa ce de la terre, et la grande difsérence du climat ainii que de la nourriture a dû produire necessairement des variétés considérables dans ses races, tant pour la grandeur, la figure et les couleurs, que pour la sorce et la légèreté. Les chevaux les plus sameux que nous connoislions, se trouvent dans l'Espagne, l'Angleterre, le royaume de Naples, la Barbarie, la Perle et l'Arabie. Dans ce dernier pays ils sont la principale richeiié des habitans; qui pour cette raison se donnent toutes les peines pour conserver la pureté deleurs races, pour les ennoblir et pour en continuer les arbies généalogiques. Ils poilédenî proprement deux différentes races de chevaux, dont l'une est apellée Kadischi, c'est à dire, chevaux d'une origine inconnue; ceux ci ne sont pas sort estimés. La seconde race s'appelle Koechlani, et comprend les chevaux, dont on connoit la généalogie depuis l'espace de 2000 ans. Us doivent avoirpris leur origine dans les haras du Roi Salomon, et sont ordinairement vendus pour des prix immenses. Parmi les chevaux de l'Europe les Anglois tiennent le premier rang, et sont principalement fameux par leur rapidité presqu'incroyable dans la course.
No. 3. Le Dchiggetai.
Le Dshiggetai fait l'espèce moyenne entre le cheval et l'àne, et pour ainsi dire le passage de l'un à l'autre. Il a la queue et les oreilles de l'àne et ressemble au mulet par sa forme et sa grandeur. Sa couleur est d'un brun jaunâtre et très clair. Il vit en grandes troupes dans les vaitesse plaines de l'iidousian, sertiles en excellentes herbes; c'est aussi de la langue des habitans de ces contrées qu'il a tiré son nom. Il surpaise en vîtesse tout ce qu'il est posiible de s'imaginer, mais il ne se laisse absolument pas apprivoiser. Les Mogols et les Tartares le tuent comme du gibier, et mangent sa chaire comme une grande delicatesse.
No. 4. L'Onagre.
L'Onagre est proprement l'àne sauvage, dont l'àne domestique, qui est répresenté sur la Table suivante, tire son origine. Il est plus grand que l'àne domestique et la forme de son corps est plus fine; ses oreilles sont longues et sa queue est presque sans poil. Sa couleur est d'un brun jaunâtre, entremêlé de gris, et le long du dos il a une raye noire, qui sur les épaules forme une croix. Il vit en troupeaux dans la Tartarie, mais il quitte ces contrées à i'approche l'automne, pour passer l'hiver dans les Indes et la Perse.
Ad00341 02 004aAd00341 02 004a.jpgNo. 1. Die Kriek-Ente. (Anas Crecca. L.)~~Die Kriek- oder Kriech-Ente unterscheidet sich theils durch ihre Kleinheit (denn sie ist kaum 14 Zoll lang) von den gemeinen wilden Enten, theils auch dadurch, dass sie vorzüglich die See-Ufer von Europa und Asien bewohnt. Sie ist braun und weiss gezeichnet, und hat einen grünen Spiegel auf den Flügeln.~~No. 2. Die Taucher-Gans. (Mergus Merganser. L.)~~Die Taucher-Gans ist 2 Fuss lang, bewohnt den ganzen Norden au den Seeküsten, ist schwarz und weiss gezeichnet, und zeichnet sich besonders durch ihren hohen spitzigen Kopf aus. Sie nistet auf Bäumen am Ufer, und nährt sich von Fischen.~~No. 3. Der Meer-Rachen. (Mergus serrator. L.)~~Der Meer-Rachen bewohnt die nördlichen Seeküsten von Europa und Asien, und lebt schaarenweise. Er ist 21 Zoll lang, hat einen braunrothen Kopf und Hals, weisse Brust und Bauch, und grauen Rücken. Er taucht vortrefflich unter, und verfolgt sogar die Fische unter dem Wasser. Seine Federn sind fast so gut als die Eyder-Dunen, unter welche sie auch gemischt werden.~~No. 4. Die Täucher-Taube. (Colymbus Grylle. L.)~~Die Täucher- oder Grönländische Taube bewohnt Grönland und die ganze nördliche Erde, ist 14 Zoll lang, taucht unter und nährt sich von Fischen. Sie ist meistens schwarz und weiss, oft auch ganz weiss. Aus ihrer Haut machen sich die Grönländer Kleider.~~No. 5. Der geöhrte Taucher. (Colymbus auritus. L.)~~Ist 12 Zoll lang, bewohnt die Land-Seen von Norwegen und Schweden, hat um den Kopf einen Halskragen, und über den Augen zwey Federbüsche, die wie Ohren aussehen, welches ihm ein sonderbares Ansehen giebt.~~No. 6. Der kleine Taucher. (Colymbus minor. L.)~~Der kleine Taucher, welcher oberhalb braun und unten weiss aussieht, bewohnt die einsamen Teiche und kleinen Landseen von Europa und Nord-Amerika. Er bauet mitten auf dem Wasser ein grosses schwimmendes Nest, und nährt sich von Fischen und Wasser-Insecten.~~No. 7. Die braune Meewe. (Larus fucsus. L.)~~Die braune Meewe, welche die gemeinste ist, bewohnt Europa, Nord-Amerika und Asien, und zieht im Winter nach Süden. Sie ist 23 Zoll lang, weiss, Rücken und Flügel graubraun. Sie nährt sich von Fischen, besonders von Heringen, daher sie auch den Herings-Fischern immer folgt, und ihnen oft ihren Fang dreust vor den Augen wegnimmt,~~No. 8. Die See-Schwalbe. (Sterna Hirundo. L.)~~Die See-Schwalbe bewohnt die ganze nördliche Erde; sie ist 16 Zoll lang, und ihre Hauptfarbe aschgrau. Sie hat einen getheilten Schwalbenschwanz und auch schwalbenähnliche Flügel. Sie nährt sich von Fischen, und ihr Fleisch ist sehr wohlschmeckend.~~No. 9. Das gemeine Wasser-Huhn. (Fulica atra. L.)~~Das gemeine Wasser-Huhn oder Blässchen lebt in ganz Europa, Asien und Amerika auf Sümpfen und Teichen, nährt sich von kleinen Fischen und Insecten, ist 14 Zoll lang, und sieht meistens schwarz aus. Ueber dem Schnabel hat es eine nackte hochrothe Stirn. Sein Fleisch ist thranigt und nicht essbar.~~
Ad00341 02 004a/freOiseaux. XXVII. Vol. II. No. 100.
OISEAUX AQUATIQUES DE PLUSIEURS ESPÈCES.
No. 1. La Cercelle.
La Cercelle, ayant à peine quatorze pouces de longueur, vit ordinairement sur les rivages des mers de l'Europe et de l'Asie, et c'est par là et par sa petitdïe qu'elle se distingue des canards sau vages ordinaires. Elle est marquée de brun et de blaue, et a les ailes miraillées de verd.
No. 2. Le grand Plongeon ordinaire.
Ce Plongeon de rleux pieds de longueur Le ïrouvani sur les côtes de la mer crû nord entier, est. marqué de noir et de blanc, et Te distingue surtout par sa tète haute et pointue. Il niche aux arbres-près de rivages, et se nourrit de poissons.
No. 3. Le grand Plongeon à la tête rouge.
Ce Plongeon rivant, en troupes sur les côtes septentrionales de l'Europe et de l'Asie, a vingt et un pouces de longueur, la tête et le cou couverts d'un brun-clair, la poitrine et le ventre blancs, et le dos gris. Il plonge à merveille, poursuivant les poissons même sous la surface des eaux. Son duvet est presque de la même bonté que les édredons, parmi lesquels il est aussi mêlé.
No. 4. Le Plongeon du Groenlande.
Il vit dans le Groenlande et dans les pays les plus septentrionaux, a quatorze pouces de longueur, plonge et se nourrit de poissons. Il est ordinairement blanc et noir. Les Groenlandois se servent de sa peau pour s'en faire des vètemens.
No. 5. Le Plongeon Loëre.
Il est long de douze pouces et vit sur les lacs de la Norvège et de la Suéde. Il a un collet autour de la lète, et au deffus des yeux deux plumets qui ont l'air des oreilles, ce qu lui donne une figure bien singulière.
No. 6. Le petit Plongeon.
Le petit Plongeon, au dessus brun et au dessous blanc, vit sur les étangs solitaires et sur les petits lacs de l'Europe et de l'Amérique septentrionale. Il bâtit au milieu de la sursace des eaux un nid grand et nageant, et se nourrit de poissons et d'insectes aquatiques.
No. 7. La Mouette brune.
La Mouette brune qui est la plus ordinaire, est naturelle en Europe, dans l'Amérique septentrionale et en Asie. En hiver elle passe dans les pays méridionaux. Elle a vingt trois pouces de longueur, est blanche, et a le dos et les ailes couvertes d'un gris-brun. Elle se nourrit de poissons et principalement de harengs; c'est pourquoi elle suit toujours les pécheurs de ces poissons, lesquels la voient souvent s'emparer hardiment de leur capture.
No. 8. La petite Mouette.
Elle vit dans les pays les plus septentrionaux, et est de seize pouces de longueur. Sa couleur principale est gris-cendrée. Elle a la queue et les ailes comme l'hirondelle, des poissons pour nourriture, et une chair de très-bon goût.
No. 9. La Fouque ordinaire.
Elle vit dans toute l'Europe, l'Asie et l'Amérique sur les marais et sur les étangs, se nourrit de petits poissons et d'insectes, a. quatorze pouces de longueur, et est ordinairement noire de couleur. Au dessus de sou bec elle a le front nud et gros-rouge. Sa chair sentant l'huile de poisson n'est pas mangeable.
Ad00341 02 005aAd00341 02 005a.jpgNo. 1. Der zahme Esel.~~Der zahme Esel stammt, wie wir bey der vorigen Tafel gesehen haben, von dem Onager oder wilden Esel ab. Er ist zwar schon sehr weit in allen Welttheilen verbreitet, allein er gedeihet doch, wie der Onager nirgends besser als in warmen Ländern, und hat daher bis jetzt noch nicht in das nördliche Europa verpflanzt werden können. Seine Höhe ist ohngefähr 4 1/2 Fuss, und seine Farbe gewöhnlich grau, mit einem schwarzen Kreuze über den Schultern. Der zahme Esel ist zwar langsam und träge, und daher ein Symbol der Faulheit, allein dessen ungeachtet ein sehr nützliches und schätzbares Hausthier; denn er begnügt sich mit schlechtem Futter, als Disteln und anderen stachlichten Pflanzen, und ist daher mit geringen Kosten zu erhalten; ist sehr wenigen Krankheiten unterworfen, geht sanfter und sicherer als das Pferd, kann starke Lasten tragen, wird ohngefähr 30 Jahre alt, und ist auch fast so lange zur Arbeit brauchbar. Man hat seine Rasse durch Begattung mit dem Pferde zu verbessern gesucht, und daraus sind 2 neue Bastard-Rassen nämlich das Maulthier und der Maulesel entstanden, welche beyde vorzüglich in Europa gebraucht werden.~~No. 2. Das Maulthier.~~Das Maulthier ist ein Bastard, dessen Vater ein zahmer Esel und die Mutter ein Pferd ist. Sie sind an 5 Fuss hoch, braun, grau und sogar auch weiss von Farbe, und sehen dem Pferde an Gestalt sehr ähnlich; allein sie haben lange Ohren, und wiehern nicht wie das Pferd, sondern yanen wie der Esel. Wan (sic) schätzt sie sowohl zum Fahren als auch zum Reiten und Lasttragen, sonderlich im südlichen Europa sehr hoch. Die schönsten Esel-Hengste zur Maulthierzucht findet man in Spanien.~~No. 3. Der Maulesel.~~Der Maulesel ist ein Bastard, dessen Vater ein Pferd, und die Mutter eine zahme Eselin ist. Er ist kleiner als das Maulthier, nur etwa 4 1/2 Fuss hoch, und nähert sich an der Gestalt mehr dem Esel als dem Pferde. Er ist gewöhnlich schmutzig braun von Farbe, und übrigens so wie das Maulthier, von grosser Dauer und Stärke, daher er auch gewöhnlich zum Lasttragen gebraucht wird.~~No. 4. Der Quagga.~~Der Quagga ist der Wald-Esel von Afrika, wo er sonderlich in den Ländern der Kaffern heerdenweise wild lebt. Er gleicht etwas dem Zebra, ist aber jedoch wesentlich von demselben verschieden; denn er ist grösser und stärker, und lässt sich auch zahm machen und zum Zuge abrichten, welches beym Zebra unmöglich scheint. Er ist grau-braun und hat am Kopfe und Halse schwarze Streifen wie der Zebra. Der Bauch und die 4 Beine sind weiss; übrigens hat er alle Eigenschaften des Esels.~~
Ad00341 02 005a/freQuadrupèdes XXIV. T. II. No. 2.
L'ANE ET SES ESPÈCES BATARDES.
No. 1. L'Ane domestique.
L'âne e domesiique tire son origine de l'Onagcr ou sie l'àne sauvage, comme il a été remarqué cidessus. Cet animal utile le trouvant répandu dans presque toutes les parties du monde, ne prospére pourtant nulle part mieux, ainsi que rOn'agét, que dans les pays chauds; et il a été imposîjble jusqu'- à present de le naturaiiser dans les régions de I Europe les plus septentrionales. Il a à peu près 4 1/2 pieds de hauteur, et sa couleur ordinaire eil d'un gris cendré avec une croix noire le long des épaules. liest lent et paresseux, et on en a fait lesymboledela parelTe; mais ce désaut étant contrebalancé par plusieurs bonnes qualités, cet animal necellepasd' être un des plus utiles et des plusestimés. Il s'accomode de toutes sortes de nonrriture, de chardons et de plusieurs autres plantes à pointes, et son entretien est par consequent sort peu coûteux. Il est sujet à très peu de maladies, sa démarche est plus douce et plus asfurée que celle du cheval, et il est capable de porter de très grands sardeux. Sa vie peut durer presque 3o 3ns, et ordinairement il est utile au travail jusqu'à l'approche de ce terme de la nature. On a tâché d'améliorer sa race en L'accouplant avec le cheval, et de cet accouplement il est provenu deux nouvelles races bâtardes, sa voir le mulet et la mule, dont on fait un usage très fréquent surtout en Europe.
No. 2. Le Mulet.
Le Mulet est une espèce bâtarde, engendrée par un âne "t une jument. Il a 5 pieds de hauteur; sa couleur est brune, grise ou même quelquefois blanche, et par la forme de son corps il rellemble beaucoup au cheval, dont cependant il dissère par la longueur des oreilles et par son cri, qui approche plutôt du braiement de sane, que du henriissernent du cheval. Dansvles pays méridionaux de l'Europe cet animal est tresçqrrsmuii, et on s'en fert tant pour l'attelage, même aux carosses, que pour la monture et pour porter des fardeaux. Les plus beaux ânes étalons et les plus propres h produire des mulets, fe trouvent dans l'Espagne.
No. 3. La Mule.
La mule est engendrée par un cheval et une ânesse. E'ie est moins grande que le mulet, et n'a qu' à peu près 4 pieds de hauteur; par la forme du corps elle approche plutôt de l'àne que du cheval et sa couleur ordinaire est d'un brun sa le. Au reste eîie est de la même durée et-d'ime aussi grande sorce que le mulet; on s'en sert aufii comme du dernier pour le transport des grands fardeaux.
No. 4. Le Quagga.
Le Quagga est Fane fan vage de l'Asrique, OÙ, surtout dans le pays des Calsres, il est très fréquent et vit en grandes troupes. Cet animal rellemble un peu au Zèbre, mais il en diffère cependant par des qualités elTentielles; car non seulement il est plue grand et plus sort, niais il se laiise ausfi dompter et: dreifer- pour l'attelage, ce qu'il n' est guères posiible de faire avec le Zèbre. Sa couleur est d'un brun gritàtre, fa tète et son cou sont entourés de rayes noires, comme on en voit ausfi au Zèbre, et son ventre ainli que ses l\ pieds sont blancs. Pour tout le reste de ses qualités il ne diffère en rien, de l'àne sauvage ordinaire.
Ad00341 02 006aAd00341 02 006a.jpgEs giebt ausser dem Getraide, noch mehrere Pflanzen, aus deren Früchten oder Wurzeln man Brod macht, und welches viele Nationen sonderlich der andern Welttheile, essen. Zu den letzten gehören vorzüglich die Kartoffel, deren Vaterland eigentlich Süd-Amerika ist, die aber nunmehr auch in ganz Europa eingeführt ist; ferner die Yams-Wurzel, die Cassava- oder Manioc-Wurzel und die Batatten. Die beyden letztern zeigt gegenwärtige Tafel.~~No. 1. Die Cassava oder Manioc-Wurzel.~~Die Cassava, Manioc oder Manichot, ist eine Staude, welche in dem ganzen südlichen Amerika theils wild wächst, theils auch auf den Aeckern gebauet wird, etliche Fuss hoch wird, und knollige Wurzeln hat, die fast wie Rüben gestaltet, 15 bis 20 Zoll lang und 4 bis 5 Zoll dick sind, und von aussen gelb, innerlich aber weiss aussehen. Frisch ausgegraben kann man sie nicht essen, weil ihr Saft Gift ist. Allein man reibt sie, presst den Saft sorgfältig aus und trocknet oder backt hernach den gepressten Teig als dünne Kuchen auf heissen Blechen, und dies giebt ein gesundes und wohlschmeckendes Brod, welches die meisten Einwohner von Westindien und Südamerika essen. Die Blätter der Pflanze isst man auch als Gemüse. Der ausgepresste Saft tödtet, wenn er roh getrunken wird, Menschen und Thiere; sobald er aber gekocht ist, giebt er einen unschädlichen und gesunden Trank.~~No. 2. Die Batatten.~~Die Batatten sind in beyden Indien zu Hause und werden jetzt auch in Spanien und Portugal häufig gebauet. Es sind die knolligen Wurzeln der Batatten-Winde, welche blühet, und sich gewaltig weit fortflicht und um sich greift. Die Wurzel hat die Gestalt einer kleinen Rübe, sieht äusserlich roth, innerlich aber gelb aus, und hat einen lieblichen Geschmack, fast wie Kastanien. Sie werden in beyden Indien häufig angebaut, und man benutzt sie dort eben so wie bey uns die Kartoffeln, zu Mehl und Brod, zu Gemüse und zu einem geistigen Getränke, welches Mobby heisst. Sie können unser Clima nicht aushalten; man bringt sie aber theils getrocknet, theils auch in Zucker eingelegt, meistens aus Spanien, im Handel zu uns.~~
Ad00341 02 006a/frePlantes XXII. T. II. No. 3.
PLANTES À PAIN.
Outre les différentes sortes de blé connues dans l'Europe il y a encore d'autres plantes, dont les fruits ou plutôt les racines sont employés par plusieurs nations des autres parties du monde pour en faire du pain. Parmi ce nombre on doit principalement compter les pommes de terre, qui sont originaires dans l'Amérique méridionale mais cultivées maintenant dans toute l'Europe. Les autres plantes à pain les plus remarquables sont la racine d'Tams, la Cajjave ou la racine de Magnoc et les Batattes. Les deux dernières se trouvent représentées sur la Table ci-jointe et j'en donnerai ici la description.
No. 1. La racine de Cassave ou de Mainoc.
La Cassave, le Manchot ou Magnoc ou Manioque est un arbrisseau originaire dans l'Amérique méridionale, ou non seulement les habitans le cultivent sur des terres désrichées, mais où il croit ausfi sans aucuns soins. Il s'élève à plusieurs pieds de hauteur, sa racine tubéreuse, dont la longueur est de 15 à 20 pouces et sa grosseur de 4 à 5, a presque la forme d'un navet; elle est jaune extérieurement et blanche en dedans. - Cette racine mangée crue feroit un poifon mortel, mais pour lui enlever ses parties venimeuses, on la defleche, la réduit en poudre et en exprime soigneufement le suc; ensuite on forme des gâteaux sort minces de la fubstance sarineufe qui reste, et on les fait sécher on cuire sur des plaques de fer blanc très chaussées. Le pain qu'oa prépare de cette manière est sain et d'un bon goût, et la majeure partie des habitans des In-, des occidentales et de l'Amérique méridionale en sont un nsage trtès fréquent. On y mange aussi les feuilles de cette plante en manière de légumes; Le suc exprimé de la racine est mortel pour les hommes et pour les-animaux, s'il n'est pas cuit; mais lors qu'on l'a fait bien bouillir, on peut le boire sans danger.
No. 2. Les Batates.
Les Batattes viennent naturellement dans les deux Indes, mais de nos jours leur culture a ausfi été introduite en Espangne et en Portugal et y réussit parsaitement. Elles sont la racine tuberculéufe d'une plante rampante, qui porte des fleurs bleues et dont la tige se répand aiféraent et s'étend fort loin. Cette racine reffemhle par fa forme à un petit navet; sa couleur est extérieurement rouge, et jaune en dedans, et le goût en est fort agréable, approchant de celui du marron. Dans les Indes on Pen fert comme chez nous des pommes de terre, pour en faire de la sarine et du pain et pour les manger en légumes; on en tire aufii une liqueur fpiritueuse, qu'on appelle Mobby. Cette plante ne peut endurer notre Climat, mais par le commerce nous recevons ses racines tant séchées que consites au fucre, et c'est surtout l'Espagne qui nous en fournit.
Ad00341 02 007aAd00341 02 007a.jpgNo. 1. Der Hausen.~~Der Hausen ist beynahe der grösste unter den Fluss-Fischen; denn man findet ihn von 8 bis 24. Fuss Länge. Er wohnt vorzüglich in Russland in der Wolga, und in Ungarn in der Donau, und geht des Winters wie der Lachs ins Meer. Er gehört unter die Raubfische und ist sehr gefrässig. Sein Rücken, wo er auch drey knöcherne Schilde hat, ist schwarz, der Bauch weiss und die Seiten bläulicht und wellenförmig gezeichnet; übrigens ist seine Haut glatt und ohne Schuppen. Für Russland, wo er Beluga heisst, ist er ein wichtiger Handelsartikel. Man fängt ihn im Frühjahr und Herbste entweder in grossen starken Netzen, oder mit Harpunen. Sein Fleisch ist so wohlschmeckend als das vom Lachse, und man verkauft es entweder frisch, oder verführt es eingesalzen, oder marinirt ins Ausland. Aus seinen Rogen wird, so wie vom Stör, Caviar bereitet, und aus seiner Luftblase und Eingeweiden die bekannte Hausenblase gemacht, welche man als den besten Leim häufig zu allerley Leim- und Lackfarben, Abklären der Farbebrühen, der Weine und anderer Dinge, desgleichen zu Mundleim, Kütten, zu kleinen Heiligen Bildern, so wie auch, um verschiedenen seidenen und wollenen Zeuchen den Glanz oder die Appretur zu geben, braucht.~~No. 2. Der Stör.~~Der Stör bewohnt, so wie der Hausen, im Winter das Meer, und im Sommer die grossen Flüsse, in Teutschland besonders die Elbe und Oder, und wird auch eben so gefangen. Er ist eben so gross wie der Hausen, und hat so wohl an Wohlgeschmack seines Fleisches als auch sonst vieles mit diesem Fische gemein. Bey den alten Griechen und Römern wurde der Stör für eine so hohe Delikatesse gehalten, dass ein Gericht Stör immer die Prachtschüssel bey allen ihren Gastmahlen war. Sein Rogen wird in Russland eingesalzen, und davon, so wie vom Hausen, der berühmte Caviar gemacht, der als eine Leckerspeise durch ganz Europa versendet wird. Der Stör ist gleichfalls ein Raubfisch, und nährt sich vorzüglich von Heringen, Makrelen und Lachsen, obgleich sein Maul zahnlos ist. Er hat 5 Reihen knöcherne stachlichte Schilder auf seiner Haut, die ihm ein fünfeckigtes Ansehen geben. Seine Farbe ist am Rücken und Bauche braun, und an den Seiten blaugrau.~~No. 3. Der Sterlet.~~Der Sterlet ist der kleinste von allen Stören, denn er wird nicht über 4 Fuss lang, aber auch der delikateste von allen, und überhaupt der schmackhafteste Fisch unter allen die Russland hat, daher er auch dort sehr theuer verkauft wird. Er lebt von Würmern und Fischbrut, des Sommers in Flüssen, des Winters im Kaspischen Meere. Aus seinen Rogen wird ebensalls Caviar gemacht, der aber, weil der Fisch nur klein ist, nicht in Menge bereitet wird; und weil er ungleich besser als der vom Hausen und Stöhr ist nur an den Kaiserlichen Hof kommt.~~No. 4. Der Wels.~~Der Wels ist nebst dem Hausen der grösste Fisch der süssen Wasser. Er lebt in Teutschland in der Elbe, der Donau, Weser und Oder; der Rücken ist schwarzgrün, und der Bauch weissgelb von Farbe. Er nährt sich gleichfalls vom Raube, liegt aber immer träg auf den Grunde im Schlamme. Sein Fleisch ist weiss, süss und wohlschmeckend, und wird sonderlich marinirt gegessen.~~
Ad00341 02 007a/frePoissons X. T. lI. No. 4
POISSONS DE RIVIERE REMARQUABLES.
No. 1. Le grand Esturgeon.
Le grand Esturgeon est le plus grand poisson de rivière qui exifte, car on en voit qui ont jusqu'à 24 pieds de longueur, II se trouve principalement en Russie dans le sseuve Volga et en Hongrie dans le Danube, mais à l'approche de l'hiver il pâlie régulièrement dans la mer comme ie saumon. Ce poillbn est du genre de ceux qui mangent les autres et il est extrêmement vorace. Son dos noir est garni de trois rangs d'écaillés olseuses, mais sur tout le restede l'on corps sa peau est douce et sans écaille; son ventre est, blanc et aux deux cotés sa couleur est bleuâtre et ondoyante. Dans la Russie, où il est appelle bel luge ou bolluca, il fait un article très important cse commerce; au printemps et à l'automne on le ' prend dans de grands filets ou même par le moyen du harpon. Sa chair a le gôut du saumon; on la vend toute sraîche au marché, ou elle est salée ou marinée et transportée dans l'Etranger. Des oeufs de ce poiiïon on prépare le Caviar, et de sa vessie d'air, de l'es entrailles et de quelques autres parties de son corps on sait la colle de poijson, dont les qualités gluantes et tenaces la rendent présérable à toute autre sorte de colle. On s'en sert non leuîement pour préparer des vernis et des couleurs et pour éclaircir les vins et autres matières liquides, mais elle est aussi sort d'usage pour donner du lusire et de la consistance aux étoffes de soie et de laine. Les delsinateurs et autres artistes la connoiisent sour le nom de colle à bouche; on l'emploie enfin à faire du lut et des petits images de saints.
No. 2. L'Esturgeon ordinaire.
Ce poisson habite la mer dans l'hiver, comme le grand Esturgeon, et remonte dans les grands sleuves; pendant l'été on le prend aussi de la même manière. En. Allemagne on le trouve surlout dans l'Elbe et dans l'Oder. A la grandeur près il relsemble beaucoup au grand Esturgeon tant par le goût de sa chair, que par différentes autres qualités. Cher les Grecs et les Romains ce poiss'on étoit régardé comme une des plus grandes delicatelses, et à leurs banquets il fit toujours le plat de parade. Dans la Russie Tes oeufs sortt saiés comme ceux du grand Efturgeon, et le Caviar qu'on en sait est envoyé par toute l'Europe comme une friandise. Quoique la bouche de ce poiiïbn soit dépourvue de dents, il est cependant ausfi vorace, et se nourrit surtout de harengs, de maqueraux et de sa unions" Sur sa peau il porte 5 rangs d'écaillés oiseuses et radieuses; ce qui donne au corps de l'animal une forme pentagone. Il est brun de couleur sur le dos et au ventre, et aux deux cotés il est bleuâtre donnant sur le gris.
No. 3. Le petit Esturgeon.
Ce poisson n'a jamais plus de 4 pieds de longueur et fait par consequent l'espèce la plus per tite des Esturgeons; mais il en est la plus agréable pour le goût, et en général le poisl'on le plus délicat, qu'on trouve dans la Russie; il 'y est ordinairement vendu à des prix sort chers. Il se nourrit de vertnisseaux et de srai de poissons et paise l'été dans les riviéi-es et l'hiver dans la merCas, pienne. On sait aussi du Caviar de ses oeufs, dont cependant on ne peut préparer qu'une petite quantité à cause de la petitesle du poisson, mais comme ilest régardé pour beaucoup meilleur que le Caviar fait des autres Esturgeons, il est exclusivement fourni à la cour Imperiale.
No. 4. Le Silure.
Le Silure est au grand Efturgeon prés lèplus grand poisson qui vit dans les eaux douces. En Allemagne on le trouve dans l'Elbe, le Danube; le Weser et l'Oder, Son dos est d'un noir dorn nant sur le vert, et son ventre est d'un jaune trés clair. Il est tacheté partout en noir. Il est également vorace, mais il se tient toujours comme par paresse au fond du sseuve sur la bourbe. Sa chair est blanche et agréable au goût; on la mange surtout marinée.
Ad00341 02 008aAd00341 02 008a.jpgPflanzen XXIII. Plantes XXIII. No. 1. Der Orlean od. Rocou-Baum.~~Der Orlean oder Rokou-Baum wächst in Westindien, Mexico und Brasilien in der Grösse eines Apfelbaums. Er hat immer grüne Blätter, blassrothe und weisse Blüthen, und trägt stachlichte Saamen-Kapseln, fast wie die Kastenien, welche innerlich voller Saamenkerne, so gross wie Wicken sind. Diese Kerne haben eine hochrothe, dicke, weiche Haut, welche eigentlich der Gegenstand ist, warum dieser Baum angebaut wird. Man weicht nämlich die Kerne in Wasser ein, bis diese Haut sich davon ablöset; dann wascht man sie mit den Händen ab, nimmt die abgelösten Kerne heraus, und lässt nun den rothen Brey zu Boden sitzen; dann giesst man das klare Wasser sanft ab, trocknet den Bodensatz an der Sonne, macht Kugeln oder Kuchen daraus, die man in Schilfblätter wickelt; und dies ist nun die schöne rothe Farbe, die wir unter dem Namen Orlean oder Rocou kennen, und welche sowohl von Färbern als Mahlern gebraucht wird.~~No. 2. Der ächte Safran.~~Der ächte Safran ist ein Zwiebel-Gewächs, und so wohl im Oriente als auch im südlichen Europa auf Bergen wild wächst. Er wird aber auch, als eine wichtige Handelswaare, anjetzt in den meisten Ländern von Europa, und sonderlich in der Türkey, in Spanien, Frankreich, England, Irland und Nieder-Oesterreich an der Donau gebauet. Der wilde Safran blühet auch bey uns im Frühjahre schon im März weissgelb und blau in den Gärten; der ächte oder Herbst-Safran aber blühet gemeiniglich erst im October röthlich und treibt seine Blume ohne Kraut, gerade aus der Zwiebel. In der Blume, die wie eine Lilie aussieht, stehen drey am Griffel vereinigte Narben des Staubweges, von rothgelber Farbe und starkem Geruche. Diese sind es nun, welche sorgfältig abgepflückt, gesammelt, getrocknet und unter dem Namen Safran, als die bekannte Waare, verkauft werden. Sie stehen hier neben der Pflanze besonders gezeichnet. Gleich nach der Blume, welche nur einen Tag blühet, kommen ihre grasähnlichen Blätter hervor. Sehr wesentlich von dieser Pflanze ist der unächte Safran oder Saflor unterschieden, als welcher kein Zwiebel-Gewächs, sondern eine Distel-Art ist.~~
Ad00341 02 008a/frePlantes. XXIII. T. II. No. 5.
PLANTES À TEINTURE.
No 1. Le Roucou.
Le Roucou est un arbre de la grandeur d'un pommier, et croit dans les Incies occidentales, le Mexique et le Brésil. Ses feuilles sont toujours vertes et les fleurs blanches ou d'un rouge j aie. Les fruits qu'il porte sont des gonsses hérissées des pointes comme les marrons, qui renserment des petits grains ou semences de la grosfeur d'une vesce. Ces grains sont couverts d'une peau epaisse, visqueuse et qui, étant d'un très beau rouge de feu, fait le principal objet de la culture de cet arbre. On trempe les grains dans l'eau, jusqu'à ce que la peau s'en détache, et on achève alors de la séparer en srottant les grains entre les mains dans l'eau. Quand les grains, dépouillés de cette manière de leur peau, sont retirés de l'eau, le marc rouge qui y reste le précipite bientôt au fond. On verse en sui te avec précaution l'eau claire, expose le sédiment au soleil pour le sécher et en sait des petits pains qu'on enveloppe dans des feuilles de roseaux. C'est cette pâte qui est la belle couleur rouge, connue sous le nom de Roucou, et dont les peintres et les teinturiers sont un très grand usage.
No. 2. Le Safran.
Le Safran est une plante bulbeuse, qui naît san. 6 culture dans l'Orient et dans l'Europe méridionale, mais comme aujourd'hui il Fait un article très important de commerce, on le cultive aussi dans la plupart des pays de l'Europe et surtout dans la Turquie, l'Espagne, la France, l'Angleterre, l'Irlande et aux bords du Danube dans l'Autriche insérieure. Une espèce de Sasran, qui croit dans nos jardins, fleurit déjà dans le mois de Mars et on ne le cultive qu'à cause de ses fleurs agréables, qui sont blanches, jaunes et bleues" Mais le véritable Sasran, dont il est ici quéftion, ou le Sasran d'Automne, ne fleurit communément que dans le mois d'Octobre, et sa fleur qui est roujpêatre et semblable au lis, s'élève de l'oignon même sans être entourée d'aucune feuille. Il sort du fond de la fleur trois étamines jointes essemble au style, et dont les stigmates sont très odorans et de couleur vive d'orange. Cette seule partie de la plante est cueillie avec grand soin, léchée et vendue alors sous le nom connu de Sasran. Sur la feuille ci-jointe on voit ces stigmates répresentés sepaiément à coté de la plante. Ces fleurs ne durent qu'un jour, après qu' elles sont épanouies, er quand elles sont tombées ou cueillies, il nait des feuilles semblablea au gramen.
Le Safran bâtard ou le cartame diffère essentiellement du véritable safran; car il n'est pas comme ce dernier une plante bulbeuse, mais une espèce de chardon.
Ad00341 02 009aAd00341 02 009a.jpgNo. 1. Der Meerhahn. (Zeus gallus.)~~Der Meerhahn ist etwa 6 bis 8 Zoll lang; sein Körper ist ganz dünn ohne Schuppen, sieht silberfarben aus, und hat grüne Flossfedern. Er lebt in den Ostindischen Meeren, gehört zu den Spiegelfischen, und wird von den Ostindiern gegessen.~~No. 2. Der Langhaarige Spiegel-Fisch. (Zeus crinitus.)~~Dieser Spiegelfisch, welcher ohngefähr so gross als der vorige ist, und gleichfalls in Ostindien lebt, hat eine rautenförmige Gestalt, ist eben so breit als lang, und dabe sehr dünn und schuppenlos. Er ist silberfarbig, auf dem Rücken blaulicht, und hat braune Flossfedern. Merkwürdig ist er wegen der sehr langen haarförmigen Strahlen in seiner Rücken- und Bauchflosse, wovon er auch seinen Namen der langhaarige Spiegelfisch hat.~~No. 3. Der Meerpfau. (Coryphaena Plumierii.)~~Der Meerpfau hat seinen Namen von den sehr schönen Farben, womit ihn die Natur gezieret hat; denn sein Rücken ist braun, mit hellblauen geschlängelten Flecken; die Seiten sind gold- und der Bauch silberfarben, und die Flossen gelb und blau. Er ist ohngefähr 16 Zoll lang und lebt in Ost- und Westindien. Er gehört unter die Raubfische, und hat ein wohlschmeckendes Fleisch.~~No. 4. Der Zauber-Fisch. (Scorpaena horrida.)~~Der Zauberfisch, welcher gleichfalls in Ostindien lebt, hat seiner wunderbaren widrigen Gestalt wegen diesen Namen erhalten. Er ist glatt und schuppenlos, und sein ganzer Körper braun und weisslich gefleckt. Er nährt sich von Krebsen und Muscheln.~~No. 5. Der fliegende Drachenkopf. (Scorpaena volitans.)~~Dieser Fisch lebt vorzüglich im Amboina, ist gelbbraun am Körper mit weissen Flecken, und hat schwarzbraun mit Weiss gefleckte grosse Flossen, welche ihm statt der Flügel dienen, um sich aus dem Wasser in die Luft zu heben, und fortzufliegen, wenn er von seinen Feinden verfolgt wird. Er nährt sich von der Brut anderer Fische und sein Fleisch ist essbar.~~
Ad00341 02 009a/frePoissons. XI. T. II. No. 6.
POISSONS DES INDES ORIENTALES.
No. 1. Le Coq de mer. (Zeus gallus.)
Le Coq de mer est de la longueur de 6 à 8 pouces, san corps est très mince, sans écailles et de couleur argentine; ses nageoires sont vertes. Il appartient au genre des poissons à miroir et vit dans les mers des Indes orientales; les habitans de ces régions aiment à le manger.
No. 2. Le poisson à miroir à poil long. (Zeus crinitus.)
Cette espèce des poissons a miroir est à peu prés de la même longueur que le précèdent et vit également dans les Indes orientales. Il est extrêmement mince, sans écailles, ausü large que long et d'une forme rhomboïde. Sa couletir est argentine, excepté sur le dos où il est bleuâtre, ses nageoires sont brunes. Il est principalement remarquable par les rayons dont les nageoiies de str" dos et de son ventre sont garnies et qui ont I'air d'un poil fort long; c'est aussi ce qui lui a sait donner le nom de poisson à miroir à poil long.
No. 3. Le Paon de mer. (Coryphaena Plumierii.)
Ce poisson doit son noxn à la beauté des plumes dons la nature l'a orné; son dos est brun à tâches bleues claires marquées en serpentant; le ventre est argentin et les cotés sont de couleur, d'or; les nageoires enfin sont jaunes et bleues. Il est à peu prés de la longueur de 16 pouces et vit dans les deux Indes. Il appartient au genre des poissons voraces et sa chair est d'un goût sort délicat.
No. 4. Le Pythonisse. (Scorpaena horrida.)
On a donné à ce poisson le nom de PythonhTe, parceque sa forme qui est très desagréable tient en quelque sorte du merveillaux. Il est tout à fait uni et sans écailles et tous son corps est brun à tâches blanchâtres. II vit dans les Indes Orientales et se nourrit d'écrevisses et de coquillages.
No. 5. La Scorpène volante. (Scorpaena volitans.)
Ce poisson se trouve principalement aux côtes de l'isle d'Amboîne. Son corps est d'un brun clair à tâches blanches et ses nageoires sont d'un brun foncé à tâches blanches. Ces dernières sont fort grandes, et tiennent au poisson lieu d'ailes pour s'eléver dans l'air et s'envoler lors qu'il est poursuivi par un ennemi. Il se nourrit du frai des autres poissons et sa chair est mangeable. border="1" alt="Band02" />
Ad00341 02 010aAd00341 02 010a.jpgDie alten Aegypter glaubten, dass alle Todte nach einer langen Reihe von Jahren wieder lebendig werden würden, und gaben sich daher alle ersinnliche Mühe die Leichen ihrer Todten so viel als möglich vor der Zerstörung zu verwahren. Dies soll Gelegenheit zur Erbauung der Pyramiden, als unzerstörbarer Grabmähler für ihre Könige, und zur Einbalsamirung ihrer Todten und Verwandlung derselben in Mumien, gegeben haben, die man noch jetzt in den Catacomben oder unterirdischen Begräbnisshöhlen in Aegypten findet.~~So viel wir davon wissen, hatte man eine dreifache Art die Todten einzubalsamiren, davon die eine sehr kostbar, die andern beiden aber wohlfeiler waren. Nach der ersten Art, zog man das Gehirn mit einem zackigen Eisen aus dem Kopfe, und füllte den hohlen Kopf dann mit Gummi und Specereien an. Dann öffnete man den Leib mit einem steinernen Messer, nahm die Eingeweide heraus, reinigte den Leib, wusch ihn mit Palmen-Wein, und räucherte ihn aus; füllte ihn sodann mit Cassia, Myrrhen und andern Specereien an, und nähete ihn wieder zu. Dann wusch man ihn mit starker Salpeterlauge, legte ihn 70 Tage an die Luft, um ihn austrocknen zu lassen, wusch ihn dann nochmals und wickelte ihn dann in eine stark mit Gummi beschmierte Leinwand. Ueber dieser wurde er dann wieder mit einigen hundert Ellen langen Binden von Leinwand, die alle stark mit Gummi bestrichen waren, umwickelt. Wenn dieses geschehen war, wurde nun die ganze Mumie mit einer Lage Gyps überzogen, und darauf sowohl auf das Gesicht des Todten, als auch auf den Leib eine Menge bunter Figuren und Hieroglyphen gemalt, die vermuthlich Namen, Geschlecht und Stand des Todten besagten. Nun wurde ein Sarg von Holz mit einem Deckel, der völlig auch die menschliche Form der Mumie und ihr Gesicht hatte, ausgehauen, eben so wie die Mumie gemalt, die Mumie hineingelegt und so aufrecht, wie ein Mensch in den Nischen ihrer Catacomben aufgestellt.~~No. 1. zeigt eine solche Mumie in ihrem Sarge.~~No. 2. ist der abgenommene Sargdeckel davon.~~No. 6. ist der Grundriss einer solchen unterirdischen Catacombe, wie man sie noch jetzt in Aegypten ohnweit der Pyramiden sieht. A. ist der Eingang, wo man hinabsteigt. B. der Hauptgang zu den Begräbnissen; C. D. sind Gemächer mit erhabenen Bänken, X. worauf man Särge legte; C. sind enge Zellen, in welche man gleichfalls Särge hineinschob; GG. sind gleichfalls Grabgemächer. FF. aber zwei Nischen, in welche man vermuthlich sehr vornehme Leichen und kostbare Mumien aufrecht stellte.~~Da die alten Aegypter mehrere Thiere, unter andern auch den Ibis heilig hielten: so balsamirten sie daher auch jeden todten Ibis, den sie fanden, ein; und setzten sie in spitzigen irdenen Töpfen, wohl verwahrt in eigene dazu bestimmte Catacomben, welche man unter dem Namen, die Vogelbrunnen, noch heut zu Tage sieht, bei. No. 3. zeigt eine solche Vogel-Urne mit ihrem Deckel verschlossen; No. 4. dieselbe geöffnet; u. No. 5. die Mumie eines einbalsamirten Ibis.~~
Ad00341 02 010a/freAntiquités. IV. T. II. No. 7.
MOMIES EGYPTIENNES.
La croyance clés anciens Egyptien", "ne les morts après une longue suite, d'années recommenceraient â vivre, leur avoit sait chercher tous les moyens posfibles depréserver delà corruption les corps de leurs morts. Ce principe occafionria non seulement la construction des Pyjramides, comme des sepüknres indeftrucubles de leurs Rois, mais il leur sit aussi inventer l'art d'embaumer leurs morts et de les réduire en Momies, telles qu'on en trouve encore de nos jours dans les catacombes de l'Egypte, ou les fouterreins, qui servoient aux anciens habitans de ces pays de lieux de sepulture.
Autant qu'il nous soit connu aujourd'hui de cet art remarquable, il y avoit trois dïsséren. tes manières d'embaumer les cadavres ufitées parmi les Egyptiens, dont l'uneétoit extrêmement pentlieufe, les deux autres au contraire plus fimdisples. Suivant la première, la cervelle fut d'abord tirée du crâne avec un fer crochu, et la ttête crenfe remplie d'une gomme précieufe et de toutes fortes de parfums. Puis on ouvroit le corps par le moyen d'un eouieau de pierre, on en tiroit les entrailles, le nettoyoit avec da vin de palmier et le parfumoit; ensuite on ie remplisibit de myrrhe en poudre, de cafîe et d'autres aromates, et en refermoit l'ouverture. L'ayant ensuite Tavédan8 une leffive très forte de falpétre, on l'expofoit à l'air pendant foixante dix jours pour le faire fécher, et après cela on lelavoit une fécond sois. Dans cet état le corps sut enveloppé dans une toile de lin fortement enduite de gomme et encore par dessus celle-ci de quelques centaines d'aunes de bandelettes de lin également empreintes de gomme. Cela fait, toute la Momie fut couverte d'une couche de plâtre, et par dessus on chargea le visage du mort aussi bien que tout le corps de totstes fortes de figures et d'hiéroglyphes, qui sélon toute apparence dè signoient le nom, la famille et le rang du désunt. Après tout cela on ensermoit la Momie dans un cercueil de bois précieux auquel on donna la forme aussi bien qu'à son couvercle la phifiognomie du mort, et on y appliqua aussi les mêmes figure s qu on avoit peintes sur la Momie. Ces cercueils surent ensuite placés debout comme des vivans dans des niches de leurs catacombes.
No. 1. réprefente une pareille Momie dans Jon cercueil;
No. 2. est te couvercle Japaré du cercueil;
No. 6. est le plan dune de ces grottes Jouterraines, telle qu'on en voit encore aujourd'hui en Egypte dans le voifinage des pyramides. A. est l'entrée, par laquelle on y descend; B. le chemin aux Sépulcres; C. D, des appartemens remplis de bancs élevés x, sur les quels furent placés les cercueils; E. des cellules étroites ou l'on fit ausfi entrer des cercueils; GG. sont également des lieux de fepulture; mais FF. sont deux niches, dans lesquelles vraisemblablement on plaça debout les corps des personnes de grande qualité" ou des Momies précieufes.
Cette nation regardant aussi comme saerésplusieurs animaux brutes et entre autres I'lbis étoit dans l'ufage d'embaumer tous ceux de ces oiseaux qu'on trouvoit morts. On les enfermait ensuite dans des vafes de terre cuite et de figure pointue et les mettoit dans catacombes de ftinées particulièrement à la fepulture de ces bêtes. On trouve encore aujourd'hui de ces sim" terrains, et ils sont connus sous le nom de puits doijeaux.
No. 3. représente une pareille urne à oiseux. fermée de son couvercle;
No. 4. est la même, mais sans couverte;
No. 5. est la Momie d'un Ibis embaumé.
Ad00341 02 011aAd00341 02 011a.jpgNo. 1. Der Drachenblut-Baum. (Dracaena Draco.)~~Der Drachenblut-Baum ist eine Art von Palme, und wächst in Ost- und Westindien. Er treibt einen ziemlich hohen, geraden Stamm, der sich oben wie eine Krone in viele kleine Aeste vertheilt, auf deren Spitzen die Blätter wie eine Bürste stehen. Er blühet in Ruthen ähnlichen Zweigen (Fig. a.) weissgelb, und trägt rothe Früchte wie Beeren, in der Grösse einer Zucker-Erbse. Er liefert ein schönes dunkelrothes Harz, welches man theils durch Einschnitte aus der Rinde, theils aus den Früchten zieht, und das unter dem Namen Drachenblut im Handel bekannt ist. Das beste kommt aus Madagaskar, und wird vorzüglich von den Malern und Lakierern gebraucht,~~No. 2. Die Areca-Palme. (Areca catechu.)~~Die Areca-Palme wächst in ganz Ostindien, Africa, und auf den warmen Inseln der Südsee, zu einer beträchtlichen Höhe. Ihr Blütenstrauss bricht aus dem Stamme selbst dicht unter den Blättern hervor, trägt anfangs weisse Blümchen, und daran endlich die Frucht, deren oft zweihundert an einen Büschel sitzen. Diese Früchte welche so gross als ein Hühner-Ei sind, und aus einem holzichten faserichten Gewebe (Fig. b.) bestehen, schliessen als Kern die sogenannte Areca oder Pinnang-Nüsse ein, die einer Muscaten-Nuss ziemlich gleichen. Ihr Inneres ist weiss, hart, und hat viele rothe Adern. Diese Areca-Nüsse sind bei den Orientalen im allgemeinen und täglichen Gebrauche. Sie spalten nämlich den Kern in vier Theile, und wickeln jedes Theil in ein Betel-Blatt, bestreuen es mit ein wenig Muschelkalche, nehmen es, sonderlich gleich nach der Mahlzeit, in den Mund, und kauen den Saft heraus, um die Verdauung zu befördern, den Mund zu reinigen, und die Lippen und Zähne roth zu färben.~~Dies Betel-Kauen ist so allgemein in Indien, dass man allenthalben dergleichen zubereiteten Betel zum Verkauf findet. Vornehme Herren haben ihn beständig in der Hand, oder lassen sich ihn in silbernen Schaalen nachtragen. Bei Besuchen kömmt man damit den Gästen gleich entgegen, und Müssiggänger führen dergleichen den ganzen Tag im Munde. Kurz, er wird ohngefähr eben so im Oriente gebraucht, als bei uns in Europa der Schnupftabak.~~
Ad00341 02 011a/frePlantes. XXII. T. II. No. 8.
PLANTES DES PAYS CHAUDS.
No. 1. Le Sang-de-dragon. (Dracaena Draco.)
Le Sang-de-dragon est la substance réfineuse d'un arbre, qui appartient au genre des palmiers, et croît dans les daux Indes. Son tronc, qui est. tout droit et ordinairement allez haut, ne poulie des rameaux que par en haut en forme de couronne, sur l'extrémité, des quels il se trouve des feuilles en grand nombre et faisans la figure d'une brosse. Ses rieurs qui viennent en branche y de la forme d'une verge (Fig. a.) sont de coleur jatinàtré; les fruits qu'il porte, sont des grains rouges de Ja groiïeur des pois. La résine de cet arbre est. d'un beau rouge foncé, et on l'en retire tant par la décoction de ses fruits que par des incitions faites dans son écorce, qui en sont découler une liqueur qui se condense aussitot en des larmes rouges apportées chez nous en globules enveloppés dans du jonc et connus dans le commerce Tous le nom de sang-de dragon. Le meilleur en vient de l'isle de Madagascar, et ce sont principalement les peintres et les vemisseurs, qui en sont grand usage.
No. 2. Le Palmier d'Arec ou Aréca. (Areca catechu.)
Le Palmier d'Arec ou Aréca croit dans les Indes orientales, en Afrique et sur les isles de la mer du Sud, et parvient à une hauteur très considerable. Ses petites fleurs blanches sortent en bouquets du tronc même de l'arbre tout en ssessous des feuilles, et après quelque tems la même tige qui les a produit, est aussi chargée de fruits. Ce fruit a la grosseur et la forme d'un oeuf de poule, son écorce est molle et garnie d'une espece de bourre (b); au centre de cette filaHé il se trouve une noix semblable à celle de la muscade, et qui porte le nom de noix d'Ares ou Avèca. Elle est dure, de couleur blanche en dedans et panachée de veines roussàtres. Les Indiens sont de ces noix un usage journalier et fréquent. Ils la coupent en quatre tranches, qu'ils enveloppent chacune dans une feuille de Betes, après avoir couvert cette feuille de Bétel, avec une légère couche de chaux, ils preunent ces tranches dans la bouche, surtout après les repas, et en avalent en les mâchant la saveur, pour aider la digestion, et pour teindre en rouge leurs lèvres et leurs dents en nettoyant en même tems la bouche. L'usage que ces nations sont du Bétel ainsi préparé est tellement général, que partout il y en a à vendre, Les Indiens de distinction en ont continuellement sur eux, ou ils se sont accompagner par des domestiques, qui en portent dans des vases d'argent. Us s'en présentent d'abord dans les visites qu'ils se rendent, et les faineans ne sont toute la journée que mâcher du Bétel. En un mot on s'en sert dans l'Orient à peu prés comme dans l'Europe d'une prise de Tabac.
Ad00341 02 012aAd00341 02 012a.jpgNo. 1. Der edle Hirsch. (Cervus Elaphus.) No. 2. Die Hirsch-Kuh. No. 3. Das Hirsch-Kalb.~~Der Hirsch bewohnt ganz Europa, Nord-America und Asien herunter bis Japan, nur in zu kalten und zu heissen Ländern lebt er nicht. Er sieht rothbraun aus, hat ein braunes ästiges Geweihe, welches er jährlich im Frühlinge abwirft, worauf ihm sogleich ein anderes wächst. Seine Höhe ist 3 1/2 Fuss. Er wird 30 Jahr alt, und nährt sich von Frucht-Saat, Knospen der Nadelhölzer und Laubhölzer, Haidekraut, und im Winter von Moos und Baumrinden. Die Hirsch-Kuh, oder in der Jägersprache das Thier, hat kein Geweihe, sieht braun mit grau gemischt aus, geht 8 Monate trächtig, und bringt gewöhnlich nur ein Junges, welches sie 3 Monate säugt. Das Hirsch-Kalb sieht schön rothbraun und weiss gefleckt aus, und ist ein zierliches sehr artiges Thier. Ist es ein Männchen, so heisst es nach der Jägersprache ein Hirsch-Kalb, ist es aber ein Weibchen ein Wild-Kalb. Es bleibt gewöhnlich 2 Jahre bei der Mutter. Nach 6 Monaten heisst das nämliche, oder Hirschkalb, ein Schmalthier; und wenn ihm im nächsten Frühjahre die Geweihe spiessähnlich, und mit einer haarigen Haut überzogen hervorbrechen, so wird es ein Spiesshirsch oder Spiesser. Im April des folgenden Jahres schlägt der Spiesser zum erstenmale sein Geweih ab, und bekommt sogleich ein neues, welches grösser als das vorige ist, und Zacken oder Enden hat. Die grössten natürlichen Geweihe, die man kennt, haben 18 bis 24 Enden.~~No. 4. Der Damhirsch. (Cervus Dama.)~~Der Damhirsch ist gleichfalls einheimisch bei uns, bewohnt nur ein gemässigtes Clima, und in England findet man die meisten. Er ist etwas kleiner als der edle oder rothe Hirsch, hat breitzackige Geweihe, und sieht gemeiniglich roth- oder braun- und weissgefleckt aus; man hat aber auch häufig weisse. Von Natur ist er nicht so wild als der grosse Hirsch, lässt sich leicht zähmen, und wird daher meistens in den Thier-Gärten grosser Herren als ein halbes Hausthier erzogen. Er wird nur 20 Jahre alt, und sein Fleisch ist zarter und schmackhafter, als das vom Hirsche.~~No. 5. Das Elenthier. (Cervus Alces.)~~Das Elenthier lebt vorzüglich im nördlichen Europa, Asien und America, jedoch nicht in ganz kalten Ländern, in dicken, finstern, sumpfigten Wäldern. Seine Farbe ist bräunlich grau, und sein Geweihe besteht aus 2 breiten stumpfzackigen gelben Schaufeln. Es ist grösser als der Rothhirsch, so gross als das grösste Pferd, und sein Gewicht oft an 1200 Pf. Es ist erstaunlich schnell, und kann in einem Tage wohl 50 Meilen laufen. Seine Haut ist so dick, dass kaum eine Kugel hindurch geht. Es nährt sich von Blättern und Baumknospen, und kommt in der Lebensart sehr mit dem Rennthiere überein, lässt sich auch wie dieses zähmen, und Heerdenweise auf die Weide treiben. Sein Fleisch ist schmackhaft, seine Haut ist eine schätzbare Handelswaare, seine Knochen werden zu allerhand Dingen wie Elfenbein verarbeitet, und aus seinen braunen Klauen Ringe und Halsbänder gemacht. Dass dies Thier mit der fallenden Sucht behaftet sey, und Ringe aus seinen Klauen gearbeitet, dafür helfen, ist ein altes Mährchen, das längst widerlegt ist.~~
Ad00341 02 012a/freQuadrupèdes. XXV. T. II. No. 9.
DIFFERENTES ESPECES DE CERFS.
No. 1. Le cerf. (Cervus Elaphus.)
No. 2. La biche.
No. 3. Le faon.
Le cevf vit dans toute l'Europe, l'Amérique septentrionale etl'Asie jusqu'au lapon, et ce n'est que les climats trop chauds ou trop froids qu'il ne peut endurer. Sa couleur est d'un brun à plulleurs chevilles, qu'il sait tomber au prkitems et le
Ad00341 02 013aAd00341 02 013a.jpgNo. 1. Der Waid. (Isatis tinctoria.)~~Ehe der Indigo aus Westindien kam, war der Waid die einzige Pflanze, mit welcher man ächt blau färben konnte, und er wurde daher häufig in Frankreich und Teutschland gebauet. Man benutzt ihn auch jetzt noch in Verbindung mit dem Indigo zu den guten blauen und schwarzen Farben, so wie auch zu grün, carmoisin, braun und andern Farben; und desshalb wird er auch noch stark in Schwaben, Franken und Thüringen, sonderlich um Erfurth und Langensalze gebauet. Der Waid ist eine zweijährige Pflanze, und seine Wurzel eine Rübe. Im ersten Jahre, wenn er gesäet ist, treibt er viele auf der Erde ausgebreitete grosse, lange, blaulicht angelaufene, einigermassen wollichte Blätter. Im zweiten Jahre treibt die Pflanze einen drei bis vier Fuss hohen, dünnen, starken Stengel mit pfeilförmigen Blättern, welche kleine gelbe Blumen, und hernach platte Saamen-Stöckchen trägt. Er erfordert einen sehr fetten Boden, und eine sorgfältige Cultur. Im zweyten Jahre, sobald die untersten Blätter gelb zu werden anfangen, hält man die erste Erndte. Man stösst nämlich mit einem eigends dazu gemachten Eisen alle Blätter vom Stengel bis auf die Wurzel ab, doch ohne die Krone zu verletzen. Bald darauf treibt der Stengel neue Blätter, die man auch zum zweitenmale abnimmt. In gutem Boden kann man wohl 3 bis 4 solche Erndten halten; allein die Blätter von der ersten sind die besten. Die abgeschnittenen Blätter werden sogleich gewaschen, an der Luft welk getrocknet, und an die Waidfabrikanten verkauft, die sie nun zum Blaufärben weiter zubereiten.~~No. 2. Der Wau. (Reseda luteola.)~~Der Wau wächst in ganz Europa wild, und ist ein Kraut, welches die Färbereien ziemlich stark brauchen, weil es eine ächte gelbe Farbe giebt. Eben darum wird er auch in Frankreich, England und Holland angebauet. Er ist eine kleine Pflanze, deren Stengel etwa 2 Fuss lang ist, und viele kleine Nebenstengel und bleichgelbe Blümchen hat. Die ganze Pflanze wird gelb, wenn sie getrocknet wird, und alle Theile davon geben eine gute gelbe Farbe. Im Handel hält man den französischen Wau für den besten.~~