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, , , , , Oiseaux II. T I. No. 9., DIX OISEAUX D'AMÉRIQUE., No. 1. Le Jabiru., Cet oiseau, un de ceux qui aiment les marais, vit a Cayenne, et se nourrit, comme la cicogne, de Terpens, de lézards, de grenouilles etc, sur le bord des rivières. Il est tout blanc; sa tète, son bec, les pattes et son cou, qui est sans plumes, sont noirs. Il a sur le derrière de la tète une grande tache planche, et au bas du cou, où les plumes commencent, un collier d'un rouge éclatant et large comme la main., No. 2. Le Kamichy., Le Kamichy vit pareillement de vermisieaux aquatiques, quoiqu'il ait le bec fait comme celui des oiseaux granivores. Son dos, sa poitrine et sa queue sont d'un verd de bouteille foncé; il a le ventre et les pattes grises, le cou bleu et couvert d'écaillés; sa tète est d'un gris blacet armée d'un grand ergot de substance corneuse, et semblable à deux plus petits, qu'il a aux ailes., Le Coq de Roche., No. 3. Le Coq. No. 4. la Poule., Le Coq de Roche vit dans les grandes forêts solitaires de Cayenne et du Pérou, et est extrêmement sauvâge. Le coq est fort beau, car son plumage est d'une couleur de feu très vive; il a les ailes et la queue noires et le dos gris: mais la poule est d'un brun fauve. Ces animaux se nourissent de graines sauvages et de vermisseaux., No. 5. Le Roi des Vautours., Quoique cet oiseau, pareillement originaire de Cayenne, soit de la race des vautours et des oiseaux de proie, son nom ne lui vient cependant ni de sa grandeur, car il est petit, et à peu près de la grandeur d'une oie qui a pris la moitié de son accroissement; ni de son amour pour la rapine, puisqu'il se nourrit de rats, de souris, de vermilleaux et même de fiente, mais plutôt de l'extrème beauté et vivacité de ses couleurs. Sa tête et son cou, qui sont dégarnis de plumes, sont de plusieurs couleurs, savoir, violet foncé, rouge, couleur de feu et jaunes. Il a tout au tour du cou une palatine de poils gris; son dos, son ventre et ses cuisses sont couleur de citron, ses ailes et sa queue noires, et ses pattes d'un rouge cramoisi., Cinq espèces de Colibris., No. 6. Le Colibri Topaze., No. 7. Le Brin-blanc., No. 8. Le Colibri ordinaire., No. 9. L'Oiseau-mouche., No. 10. Le Colibri hupé., Les nombreuses et belles espèces de ces jolis oiseaux, qu'on nomme Colibris, sont, pour ainsi dire, les bijoux parmi les autres oiseaux, tant à cause de leur extrême petitesse, que par rapport à l'élégance et à l'email de leurs couleurs. Ils se nourrissent du suc des fleurs et des plus petits moucherons, et chantent fort agréablement. Les plus petits entre eux se nomment Oiseaux-mouches, parcequ'ils ne sont en effet guère plus grands que la plus grosses mouches. Le plus petit de ces oiseaux p. e. représenté ici Fig. 9. n'est pas même aussi grand que le plus grand taon. Il ne pèle, avec tout son nid, qu'un scrupule ou demigros. Ce nid, qui contient deux petits oeufs de la grosseur d'un pois, est construit des plus tendres filamens des fleurs entre deux feuilles d'oranger ou suspendu à un brin de paille. Ce petit oiseau s'insinue, comme l'abeille, dans le calice des fleurs pour en sucer le miel. Les Dames Américaines portent souvent de ces petits oiseaux-mouches en guise de boucles d'ortille. Les colibris dissèrent dé l'oiseau mouche en ce, que ce dernier a le bec droit et aigu, tandis que ceux-là l'ont grand et recourbé., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , No. 1. Der Caffeebaum. (Coffea.)~~Viele Menschen haben vielleicht lange Zeit Caffee mit Zucker getrunken, ohne zu wissen, wie die Pflanzen aussehen, die uns beydes liefern. Hier sind also ein paar getreue Abbildungen davon. Der Caffeebaum wächst in Arabien und Ethiopien wild, wird aber jetzt, nachdem seine Bohnen, oder sein Saame, ein so erstaunend wichtiger Handelsartikel geworden sind, fast in allen heissen Provinzen und Inseln von Ost- und Westindien ordentlich gebauet. Sein Gebrauch für Menschen soll in einem arabischen Kloster, durch einen Zufall, erfunden worden seyn. Der Kameelhirte des Klosters hatte nämlich seine Thiere an einem Orte geweidet, wo sie viel Caffeekirschen gefressen hatten. Da sie nun des Nachts darauf ungewöhnlich munter und lebhaft waren, fragte der Prior nach der Ursache, und der Kameelhirte konnte keine andere angeben, als dass es von den Caffeekirschen kommen müsse, die sie gefressen hätten. Diess machte den Prior aufmerksam, und er fiel auf den Gedanken, seine faulen Mönche, welche die Metten immer verschliefen, dadurch munter zu machen. Diess gelang ihm, und dadurch soll der Caffee vor ungefähr 200 Jahren zuerst in der Türkey, und nach und nach in ganz Europa eingeführt worden seyn. Der Caffeebaum ist mehr ein hohes strauchartiges Gewächs als ein Baum; hat dunkelgrüne Blätter wie unser Kirschbaum, weisse Blüthen wie unser Jasmin-Strauch, und hellrothe Beeren oder Kirschen, fast wie unsere Cornelius Kirsche, die ein ekelsüsses Fleisch haben a). In dieser Kirsche liegen in einer weichen grauen Haut d) zwey graue Bohnen b) u. c) als ihr Kern, die man, wenn die Kirsche reif ist, von ihrem Fleische reinigt, und auftrocknet, und diess sind unsere Caffeebohnen, die ganz Europa geröstet trinkt. Der Arabische oder sogenannte Levantische Caffee ist die erste und theuerste Sorte davon.~~No. 2. Das Zuckerrohr. (Saccharum officinarum).~~Das Zuckerrohr ist, wie jedes andere Schilf, eine Sumpf-Pflanze, und blos die heissen Striche und Inseln von Ost- und West-Indien sind sein Vaterland. Der Stengel, deren ein Stock mehrere treibt ist 5 bis 6 Fuss hoch; zwey Zoll im Umfange dick, hat röthlichte Knoten, breite dunkelgrüne Schilfblätter, und treibt an der Spitze einen Büschel weisse wolligte Blüthen. In dem Stengel, zwischen den Knoten, befindet sich ein weisses saftiges Mark, welches, wenn es aus dem zerquetschten Rohre ausgepresst, und der Saft zu einer gewissen Dicke eingesotten und geläutert wird, den Zucker giebt. Der Zucker ist also eigentlich ein aus dem Safte des Zuckerrohrs gesottenes süsses Salz, das roh, wie ein grauer Sand aussieht, in dieser Gestalt nach Europa kommt, hier aber erst in den Zuckersiedereyen geläutert, oder raffinirt, und zum Gebrauche, in verschiedenen Sorten fertig gemacht wird. Der in den Zuckersiedereyen übrig bleibende Bodensatz der Unreinigkeiten, der immer wie ein dünner Honig flüssig bleibt, heisst Syrup, und wird hauptsächlich von den Zuckerbeckern zum Pfefferkuchen verbraucht. Der erste Zucker kam aus den Canarischen Inseln nach Europa, darum heisst auch noch die feinste, weisseste und härteste Sorte Zucker: Canarien-Zucker.~~, , , , , , , , , Plantes I. T. 1. No. 10., PLANTES DES PAYS CHAUDS., No. 1. Le Caffier., Il existe peut-être quantité de personnes qui ont pris depuis longtems du caffe ou du sucre, sans savoir quel air ont les plantes qui nous fournissent l'un et l'autre. En voici donc de fideles images., Le Caffier croît sans culture dans l'Arabie et dans l'Ethiopie, mais son fruit, ou plutôt sa semence est devenue un si important article de commerce, qu'on le cultive dans presque toutes les provinces chaudes, et dans les îles des Indes orientales et occidentales. Ce fut, dit-on, dans un couvent de l'Arabie, qu'on découvrit de quel usage le caffé pouvait être aux hommes: voici comment on raconte la chose. Celui qui gardait les chameaux du couvent, les avait fait paître dans un endroit où ils avaient mangé beaucoup de baies du caffier. La nuit suivante les chameaux ayant été beaucoup plus vifs et plus éveillés que de coutume, le Prieur demanda au pâtre qu'elle en pouvait être la raison; celui-ci repondit qu'il n'en pouvait indiquer aucune, si ce n'est que les chameaux avaient manges beaucoup de baies de caffier. Cette réponse réveilla l'attention du prieur, qui eut l'idée d'user de ce moyen pour rendre un peu plus éveillés ses moines fainéans, qui avaient coutume de passer à dormir le tems de Matines. L'expédient lui réussit, et depuis lors le caffé s'introduisit, dit-on, il y a 200 ans, d'abord en Turquie, et peu à peu dans toute l'Europe., Le caffier est plutôt un buisson élevé qu'un arbre; ses feuilles sont d'un vert foncé comme celles de notre cérisier, ses fleurs sont blanches et ressemblent à celles du jasmin blanc; il porte des baies d'un rouge vif, à peu près semblables au fruit du cornouiller, mais la pulpe en est fade et doucereuse a). Cette baie contient, en place de noyaux, deux fèves grises, renfermées dans une pellicule molle, de même couleur; on les dégage de la pulpe et on les séche lorsque le fruit est mûr. Ce sont là nos fèves de caffé, qu'on réduit en poudre, après les avoir grillées, et dont on fait une decoction connue dans toute l'Europe. La meilleure sorte de caffé est celle d'Arabie, autrement dite, caffé au Levant, c'est aussi la plus chère., No. 2. La Canne à Sucre., La Canne à Sucre est, comme tout autre roseau une plante marécageuse, dont la patrie sont les climats chauds et les îles des Indes orientales et occidentales. Les tiges qui sont toujours en certain nombre sur chaque souche, ont 5 à 6 pieds de haut et deux pouces de circonférence; elles ont des noeuds rougeàtres, des feuilles larges et d'un vert foncé, comme celles du roseau, et portent à leur extrémité supèrieure un bouquet de fleurs blanches et cotonneuses. Il se trouve entre les noeuds dans l'intérieur de ces tiges, une moelle blanche et succulente, dont on exprime le suc après avoir concassé la canne, ce suc bouilli jusqu'à une certaine consistance, et raffiné, est ce que nous appelions sucre., Le sucre est donc, à proprement parler, un sel doux, qu'on obtient par la cuisson du suc de la canne à sucre. Ce sel brut ressemble à du sable, et c'est sous cette forme qu'il vient en Europe, où on le purifie, c. à. d. le raffine dans les raffineries, et où on en prépare différentes sortes pour l'usage. Le dépòt toujours chargée d'ordures, qui relie dans les raffineries, et conserve la fluidité d'un miel clair, se nomme syrop; les confiseurs en employent la plus grande partie à faire des pains d'épices., Le premier sucre qu'on vit en Europe y fut apporté des Canaries, de la vient que l'espèce de sucre la plus fine, la plus blanche et la plus dure se nomme encor Sucre de Canarie., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , Einleitung.~~Die Metalle machen einen Theil der sogenannten Mineralien aus, haben ihren Ursprung und Sitz gleichfalls in der Erde, und sind solche Körper, die im Verhältniss gegen andere, eine vorzügliche Schwere haben, und sich dabey schmelzen, schmieden und mit dem Hammer treiben lassen. Diess ist die Eigenschaft der ganzen Metalle. Da es aber in der Erde auch solche Körper giebt, die eine metallische Schwere haben, jedoch theils nicht geschmolzen, theils nicht mit dem Hammer getrieben werden können, übrigens aber mit den ganzen Metallen eine grosse Aehnlichkeit haben, so werden diese Körper Halb-Metalle genannt. Die rohen Metalle heissen Erze, und die Bruchstücke der Erze, so wie sie aus der Erde kommen, nennt man Stuffen. Als ganze Metalle kennen wir dermalen das Gold, Silber, die Platina, (ein neuentdecktes Metall in Amerika) das Kupfer, Zinn, Bley, Eisen; als Halb-Metalle hingegen Merkur oder Quecksilber, das Antimonium oder Spiessglas, den Zink, Wissmuth, und Kobald. Die Metalle erscheinen in den Stuffen entweder gediegen oder gewachsen, oder noch vererzt, d.h. innigst mit der Steinart, worinn sie gewachsen sind, vermischt. In beyden Fällen erscheint einerley Metall oder Erz unter ganz verschiedenen Gestalten und Farben, und es gehört allerdings das Auge eines erfahrnen Kenners dazu, um es in allen verschiedenen Arten sogleich zu erkennen. Ich will hier nur einige Bilder der Metalle in ihren kenntlichsten Formen liefern.~~No. 1. Das. Gold.~~Eine schöne Gold-Stuffe, mit gediegenem Gold-Bättchen, ohngefähr so dick wie ein Karten-Blatt, auf einem amethystischen und schmaragdischen Quarze.~~No. 2. u. 3. Das Silber.~~Beyde Stuffen sind gediegenes oder gewachsenes Silber, und zwar No. 2. dendrytisch gewachsenes, und No. 3. sogenanntes Baum-Silber. Das gediegene Silber, welches häufig und manchmal in sehr grossen Klumpen in den Bergwerken gefunden wird, sitzt in allerhand Gestalten, bald in, bald oben auf dem Gesteine, und macht daselbst allerhand Berge, oder Hügel, Buckel, dünne Blätter, Zähne, Bäumchen und dergleichen Figuren.~~No. 4. 5. 6. Kupfer.~~Das Kupfer-Erz zeigt sich grösstentheils entweder grün oder blau von Farbe. No. 4. ist ein staudenförmig gewachsenes gediegenes Kupfer-Erz, mit Berggrün angeflogen. No. 5. blaues Kupfer- oder sogenanntes Lazur-Erz; dunkelgrün von Farbe und mit Berggrün und einer kleinen Crystallisation angeflogen. No. 6. Malachit, oder sogenannter Schreckstein. Er gehört gleichfalls unter die Kupfer-Erze; da er sich schön schleifen und poliren lässt, und so schön grün von Farbe ist, so hat man ihm einen Platz unter den undurchsichtigen Edelsteinen angewiesen.~~No. 7. 8. 9. Zinn.~~Das Zinn, welches man niemals gediegen, sondern allezeit vererzt findet, erscheint gleichfalls unter sehr verschiedenen Gestalten; nehmlich entweder als ein blosser röthlicher Stein, (Zinn-Stein) oder als ein Klumpen unregelmässiger schwarz-grau-blauer Crystallen, (Zwitter); oder als regelmässige dunkelrothe Crystallen (Zinn-Graupen) Zinn-Granaten); oder als eine Menge solcher unendlich kleiner grauer Zinngraupen, als eine Art von Sand (Zinn Sand). No. 7. ist eine schöne Zwitter-Stuffe aus England. Das englische Zinn ist das schönste, reinste und berühmteste. No. 8. eine schöne reguläre Böhmische Zinn-Graupe, oder ein sogenannter Zinn-Granat. No. 9. ist sogenannter Zinn-Sand.~~, , , , , , , , , Minéraux I. T. I. No. 11., MÉTAUX., Introduction., Les Métaux sont partie de ce que nous appelions minéraux; ils se forment et se trouvent dans la terre comme ces derniers, et sont des corps, qui, proportion gardée, ont une plus grande pesanteur spécifique autres, se laissent fondre, forger et étendre à coups de marteau. Telles sont les propriétés des métaux parfaits. Mais comme la terre renferme encore d'autres corps, qui ont beaucoup de ressemblance avec les métaux, et possédent une pesanteur métallique, sans cependant être tous fulibles ou tous malléables, on donne à ces corps le nom de demi-métaux on de métaux imparfaits., Les Métaux bruts se nomment amplement Minéraux, et les morceaux de minéraux, tels qu'on les tire du sein de la terre, portent le nom de Glèbes., Nous ne connaissons encore de métaux parfaits, que l'Or, l'Argent, la Platine, (métal nouvellement découvert en Amérique), le Cuivre, l'Etain, le Plomb et le Fer; les demi-métaux sont, le Mercure ou l'argent vif, l'Antimoine ou Mochlique, le Zinc, le Bismuth et le Cobalt., On trouve, dans les glèbes, les métaux ou natifs, c. à. d. vierges et sans mélange, ou minéralisés, c. à. d intimement unis à l'espèce de pierre dans laquelle ils se sont formés. Le même métal ou minéral parait dans ces deux cas sous des figures et des couleurs toutes différentes, et il ne saut rien moins que l'oeil d'un habile connaisseur, pour le reconnaître au premier abord sous toutes ces différentes formes. Je me contenterai de donner ici quelques figures des métaux représentés sous leurs formes les plus connues., No. 1. L'Or., Belle Glèbe d'or, avec une feuille d'or natif de l'épaisseur d'une carte, sur un quarz couleur d'émerande et d'amethyste., No. 2. et 3. L'Argent., Ces deux glèbes sont d'argent natif ou vièrge; l'une, savoir No. 2. est ramificée ou dendroite, et l'autre ce qu'on appelle Argyrodendron. L'argent natif, qu'on trouve fréquemment, et quelquefois en fort gros morceaux dans les mines, est sous toutes sortes de formes, tantôt au dedans, tantôt au dessus des pierres, où il forme toutes sortes de montagnes, de coteaux, de bosses, de feuilles minces, de dents, d'arbres et d'autres figures semblables., No. 4. 5. 6. Le Cuivre., La mine de cuivre est la plupart du tems de couleur verte ou bleue., No. 4. Dendroïte de Cuivre natif recouvert à sa superlicie de vert de gris natif., No. 5. Cuivre bleu ou mine de cuivre azurée; sa couleur est bleu foncé, avec une petite crystallisation et du vert de montagne à sa superficie., No. 6. Malachite. C'est pareillement une espèce de mine de cuivre; comme cette pierre est susceptible d'un beau poli, et qu'elle est d'ailleurs d'un beau vert, on lui a assigné une place parmi les pierres précieuses non transparentes., No. 7. 8. 9. L'Etain., L'étain qu'on ne trouve jamais natif, mais toujours minéralisé, parait également sous des formes très diverses; car, ou ce n'est qu'une simple pierre rougeâtre, nommée simplement Mine d'étain, ou c'est une masse irréguïière, de crystaux d'un bleu gris mêlé de noir, qu'on appelle Mine d'étain crysiallisée; ou bien ce sont des crystaux réguliers d'un ronge foncé, qui prennent le nom de Grenats ou de grains d'étain; ou bien enfin c'est une quantité de très petits grenats d'étain de couleur grise et semblables à du sable, qu'on appelle pour cette raison sable d'étain., No. 7. Belle glèbe d'étain crysiallisée d'Angleterre. L'étain d'Angleterre est le plus beau, le plus pur et le plus renommé., No. 8. Eeau Grenat regulier d'étain, tiré des mines de la Bohême, c'est ce qu'on appelle Grenat d'étain., No. 9. Sable d'étain., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , No. 1. Bley.~~Das Bley findet sich nicht gediegen, sondern immer vererzt, von sehr verschiedener Gestalt und Farbe. Das Bley-Erz heisst gewöhnlich Bley-Glanz, weil es sehr schöne schwärzlich glänzende Würfel und Strahlen hat. Sind die Bleystuffen grosswürflig, oder breitstrahlich, so heisst es grobspeissiger, und sind sie körnig oder schmalstrahlich, so heisst es klarspeissiger Bleyglanz. Gegenwärtige Stuffe No. 1. ist würfliger oder grobspeissiger Bley-Glanz.~~No. 2. 3. 4. Eisen.~~Das Eisen ist das nützlichste und unentbehrlichste von allen Metallen, und die Natur hat dem Menschen damit ein sehr wichtiges Geschenk gemacht. Eisen ist nützlicher und unentbehrlicher als Gold und Silber, denn ohne Eisen hätten unsere Künstler und Handwerker keine Instrumente und Maschinen, und wir müssten noch als Wilde leben. Als Metall, als Farbe, als Arzney ist uns das Eisen nützlich; ohne den Magnetstein, der weiter nichts als eine Eisen-Miner ist, hätten wir keinen Compas und keine Schiffahrt. Eisentheilchen findet man mit den Bestandtheilen fast aller Körper vermischt, ja sogar unser Blut enthält Eisen. Als Mineral erscheint das Eisen gewöhnlich unter dreyerley Gestalten, nemlich entweder als lockere eisenhaltige Erden, oder als eisenhaltige Steine, oder als Eisenstuffen und wirkliches Eisen-Erz. Unter die Eisen-Erden gehört vorzüglich der gelbe oder braunrothe Eisen Ogger, der als Farbe allgemein bekannt ist; unter die Eisensteine, der gemeine Röthel, der Smirgel, der gemeine Eisenstein, die Eisendrusen, der Magnetstein, der Braunstein, das krystallinische Eisen u.s.w.; unter die ordentlichen Eisen-Erze oder Stuffen aber, das gediegene Eisen, welches sehr rar ist, der Blutstein, das graue, blaue oder braune Eisen-Erz und das figurirte Eisen-Erz. Von allen drey Sorten sind hier Abbildungen. No. 2. ist eine Stuffe derbes Braun-Erz mit einem dicken gelben Ogger Beschlage. No. 3. ist körniges Eisen-Erz. Es besteht aus lauter Körnern die wie Schrot nebeneinander liegen, und mit schönen bunten Farben striemig durchzogen sind. No. 4. Ein Stück Blutstein. Er ist feinstrahlich, braunroth, und sehr reichhaltig an Eisen. Er wird auch in der Medicin gebraucht. Der Stahl ist kein eigenes Metall, sondern nur ein durch Kunst gehärtetes Eisen.~~No. 5. 6. Quecksilber.~~Das Quecksilber ist ein Halb-Metall, welches theils gediegen, das heisst rein und vollkommen flüssig, theils vererzt, als Zinnober aus der Erde gegraben wird. Flüssig liegt es in den Höhlen der Bergarten, oder sitzt als kleine oder grössere Silber-Punkte in den Zinnoberstuffen wie an Fig. 6. zu sehen), wird in Gefässe gesammelt (wie in der Büchse Fig. 5) und heisst in diesem Zustande Jungfern-Quecksilber. Vererzt wird es nur auf Eine Art gefunden, nemlich mit Schwefel, und heisst dann Zinnober-Erz, wie hier Fig. 6. zeigt.~~No. 7. Wissmuth.~~Der Wissmuth ist gleichfalls ein Halb-Metall, dem Zinn fast ähnlich, und im Feuer sehr leichtflüssig. Er vermischt sich gern mit allen Metallen, sonderlich mit Zinn, und macht es hart, dass es fast wie Silber anzusehen ist.~~No. 8. Spiessglas oder Antimonium.~~Das Spiessglas gehört nicht minder unter die Halb-Metalle; ist ein hartes, sprödes, grau-braun-schwarzes, auf dem Bruche strahliges Mineral. Es wird theils als Zusatz zu den andern Metallen, um sie zu reinigen, theils zum sogenannten Schriftzeuge der Buchdrucker, theils auch als Medicin gebraucht. Gegenwärtige Stuffe ist mit Ogger beschlagen.~~, , , , , , , , , Minéraux II. T. I. No. 12., MÉTAUX ET DEMI-MÉTAUX., No. 1. Le Plomb., Le Plomb ne se trouve jamais vierge, mais toujours minéralisé, sous des formes et des couleurs fort différentes. La mine de plomb se nomme communément Galène de plomb, parce qu'elle est composée de très beaux cubes noirâtres brillans et ftriés. Les glèbes de plomb à grands, cubes ou à sties larges prennent le nom de Galène à gros grains, et lorsqu'elles sont grenues et à stries étoites, on les nomme Galène à petits grains. La glèbe représentée No. 1. est une Galène à gros grains ou à grands cules., No. 2. 3. 4. Le Fer., Le fer est le plus utile et le plus indispensàblè de tous les métaux, et un des dons les plus importans, que la nature ait fait à l'homme. Ce métal est plus utile et plus indispensàblè que l'or et l'argent, car sans lui nos artistes et nos ouvriers n'auraient ni instrumens ni machines, et nous serions encore contraints de vivre comme les sauvages. Le fer nous est utile comme metal, comme couleur, et comme medicament; sans la pierre d'aimant, qui n'est autre chose qu'un vrai minéral de fer, nous n'aurions ni Boussole ni Navigation. Les parties constituantes de presque tous les corps sont mêlées à de petites particules de fer; il n'y a pas même jusqu'à notre sang qui n'en contienne., Le fer considéré comme minéral parait ordinairement sous trois formes différentes, savoir: sous celle d'une terre ferrugineuse légère, sous celle d'une pierre ferrugineuse, ou bien enfin sous la forme de Glèbes ou la véritable mine de fér., L'ocre jaune ou rouge, dont on fait une couleur généralement connue, tient un des premiers rangs parmi les terres ferrugineuses; on compte parmi les pierres ferrugineuses la craie rouge commune, l'émeril, la pierre ferrugineuse commune, la mine de fer crystallisée, la pierre d'aimant, la magnésie brune, le fer en crystaux etc. les mines ou glèbes de fer sont le fer natif, qui est fort rare, l'hermatite ou sanguine, la mine de fer grise, bleue ou brune, la mine de fer figurée. Nous donnons ici des figures de ces trois dernières espèces., No. 2. Glèbe de mine de fer hune en masse, recouverte d'une croûte épaisse d'ocre jaune., No. 3. Mine de fer en grains, ce ne sont que des grains placés lés uns après des autres comme de sa dragée à tirer, et divisés dans leur longueur par des bandes de différentes couleurs éclatantes., No. 4. Morceau. d'Hématite. Elle est finement striée, d'un rouge brun, et très riche en fer. On en fait aussi usage en médecine., L'acier n'est point un métal particulier, mais un fer durci par l'art., No. 5. 6. Le Mercure., Le Mercure ou vif argent est un demi-métal, qu'on tire de la terre en partie vierge, c. à. d. pur et parfaitement fluide, et en partie minérasisé sous le nom de Cinabre., On le trouve ssuide dans les cavités des gangues, ou bien danslesgièbes de Cinabre, sous la forme de larmes d'argent plus ou moins grosses (comme on le voit fig. 6.); on le recueille dans des vases (tel qu'on le voit fig. 5.), et dans cet état il se nomme Vif-argent vierge., On ne le voit minéralisé que sous une seule forme, savoir mêlé avec le soufre; on lui donne alors le nom de Cinabre naturel, voyez fig. 6., No. 7. Le Bismuth., Le Bismuth est pareillement, un Demi-métal prèsque semblable à l'Etain, et très fusible au feu. Il s'allie volontiers à tous les métaux, à l'étain surtout, qu'il durcit de telle sorte qu'il ressemble presque à de l'argent., No. 8. L'Antimoine ou Mochlique., L'Antimoine qui n'est non plus qu'un demi-métal, est un minéral dur, cassant, d'un noir gris-brun, et strié à sa fracture. On l'emploie en partie comme alliage pour purifier les autres métaux, en partie pour faire les caractères d'imprimerie, et en partie dans la médecine. La glèbe représentée ici, est recouverte d'une croute d'ocre., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , Fliegende Fische. No. 1. Der grosse fliegende Fisch. No. 2. Die Meerschwalbe~~Ein fliegender Fisch klingt sonderbar und widersinnig, und doch giebt es wirklich fliegende Fische, und zwar viele Arten, die sich aus dem Wasser in die Luft schwingen, und ziemlich weit fortfliegen können. Diess thun sie mit Hülfe ihrer Flossfedern, die ihnen ausserordentlich lang gewachsen und mit einer Haut verbunden sind, und ihnen statt der Flügel dienen. Sie können sehr schnell und weit damit fliegen, so lange diese Flossfedern nass sind; so bald sie aber trocken werden, fallen sie wieder ins Wasser nieder. Sie retten sich dadurch meistentheils vor den Verfolgungen der Raubfische. Ich liefere hier nur zwey Arten davon. No. 1. Der grosse fliegende Fisch, ist braun von Farbe, und den Heringen an Gestalt und Schuppen vollkommen ähnlich. Er wird häufig im grossen Welt-Meere angetroffen. No. 2. Die ostindische Meerschwalbe; sie ist die kleinste Art der fliegenden Fische, und hat sehr lange Flossfedern.~~No. 3. Der Schiffhalter, oder die Remora.~~Der Schiffhalter, oder die Remora, ist ein kleiner, sehr merkwürdiger Fisch, der gleichfalls im grossen Welt-Meere gefunden wird. Sein Kopf ist breiter, fast halb so lang als der ganze Körper, und oben, ganz platt und oval. Diese ovale Platte ist schwarzgrau, hat rund herum und mitten durch erhabene Schwielen, und queerüber tiefe Furchen, mit einer rauhen scharfen Haut besetzt. Mit dieser Platte drückt sich dieser kleine Fisch an andere schwimmende Körper an, hängt sich daran fest, und wird ihnen auf diese Art ein Hinderniss im Schwimmen. Besonders pflegt er sich gern in ungeheurer Menge unten an die Schiffsboden anzudrücken, wie sich ohngefähr die Seetulpen und Enten-Muscheln auch daran hängen. Da es nun allezeit ein Schiff im Seegeln hindert, wenn Boden und Kiel nicht rein und glatt, sondern mit andern Körpern behangen sind, so hat dieser Fisch dadurch den Nahmen der Schiffhalter bekommen. Dass aber ein einziger ein Schiff im vollen Seegeln solle aufhalten können, ist eine Fabel.~~No. 4. Der runde Kropffisch.~~Der Kropffisch ist eins der seltsamsten Thiere aus dem Amerikanischen Meere. Er ist rundum mit einer sehr harten hornartigen Haut oder Schaale umgeben, und steckt gleichsam in einem festen Panzer, braun von Farbe. Man hat runde und eckigte Kropffische, und von den ersteren wieder stachliche, zackige, schuppige, warzige und glatte. Gegenwärtiger ist beynahe kugelrund, und über und über mit unzähligen kleinen Wärzchen besetzt. Man hat die Kropffische von sehr verschiedener Grösse, oft bis zu einer Elle, oft auch nur 2 Zoll gross.~~, , , , , , , , , Poissons III. T. I. No. 13., POISSONS REMARQUABLES., Poissons volans., No. 1. Le grand poisson volant., No. 2. L'hirondelle de mer., L'expression Poissons volans paraît singulière et contradictoire, et cependant il existe véritablement des poissons qui volent; il y en a même de pluiseurs espèces qui s'élancent de l'eau dans les airs, et peuvent voler assez loin. Ils se servent à cet effet de leurs nageoires, qui sont d'une grandeur extraordinaire, et pourvues d'une membrane, qui les rend propres à tenir lieu d'ailes. Ces poissons peuvent voler très vite et très loin tant que ces nageoires sont humides, mais ils retombent dans l'eau dès qu'elles deviennent seches. Ces nageoires leur servent à éviter les poursuites des poissons voraces. En voici deux espèces dont nous donnons la figure., No. 1. Le grand poisson volant est de couleur brune; sa forme et l'es écailles ressemblent parfaitement à celles d'un Hareng. On le trouve en quantité dans l'Océan., No. 2. L'hirondelle de mer des Indes orientales, c'est la plus petite espèce de poissons volans; les nageoires sont fort longues., No, 3. Le Remora, le Sucet, ou l'Arrête-nef., L'Arrête-nef ou le Remora, est un petit poisson fort remarquable, qui se trouve aussi dans le grand océan. Sa tête est plus large, et presque moitié aussi longue que tout sou corps, et la-partie supérieure en est tout-a-fait applatie et ovale. Cette place applatie et ovale est d'un gris noir, garnie tout au tour et au milieu de callolités élevées, et filionuée transversalement de rides profondes, formées par une peau rude et raboteuse. Ce petit poisson s'attache par cette pelade aux autres corps flottans auxquels il se colle, et qu'il empêche par-là de flotter. Les Sucets aiment surtout à s'attacher en grand nombre à la carène des vaisseaux, à peu près comme les Clochettes et les Bernacles. Comme un vaisseau ne vogue jamais qu'avec peine quand la carène et la quille ne sont point nettes et unies, mais recouvertes de corps étrangers, on a donné à ce poisson le nom d'Arrête-nef. Il ne faut point croire cependant, qu'un seul soit en état d'arrêter un vaisseau qui vogue à pleines voiles., No. 4. Le Coffre rond., Le Coffre est un des animaux les plus singuliers des mers de l'Amérique. Il est environné tout au tour du corps d'une peau ou écaille très dure et semblable à de la corne, dans la quelle il e'st refermé comme dans une cuirasse très solide et de couleur brune. On a des coffres ronds de même que des anguleux; et les premiers se subdivisent en coffress à piquans, en coffres dentelés, en coffres à écailles, coffres à verrues et en coffres lisses. Celui, dont la figure est ici representée, est presque parfaitement sphérique, et recouvert par tout d'une quantité innombrable de petites papilles ou verrues. Les coffrés sont de différentes grandeurs; on en trouve souvent qui ont une aune, et d'autres qui n'ont que deux pouces de longueur., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , Die Biene ist eins der nützlichsten und bewundernswürdigsten Insecten, theils wegen der Kunst und Ordnung ihrer Arbeiten, theils wegen der weisen Einrichtung ihrer Republik, in welcher sie gesellschaftlich lebt, theils wegen der vortrefflichen Produkte ihrer Arbeit. Sie sammlet und bereitet uns Honig und Wachs, jenes aus dem Safte, dieses aber aus dem Saamenstaube der Blumen und Baumblüthen. Aus Wachse baut sie die kunstreichen sechseckigten Zellen ihrer Waben, um darin theils ihren Honig-Vorrath, theils ihre junge Brut aufzubewahren. Die Bienen leben bekanntlich in ganzen Schwärmen in Bienen-Körben oder Stöcken, oder auch wild, in hohlen Bäumen, Mauern u.s.w. zusammen. In einem solchen Schwarme oder Bienen-Stocke befinden sich immer. dreyerley Arten von Bienen; nehmlich 1) männliche Bienen, oder Thronen; 2) eine einzige weibliche Biene, die sogenannte Königin, oder der Weisel; und 3) Arbeits-Bienen. Die Figuren auf gegenwältiger Tafel zeigen uns diese verschiedenen Arten der Bienen, nach ihrer verschiedenen Gestalt.~~a) Ist eine männliche Biene, oder Throne. Sie sind beynahe noch einmal so gross als die Arbeits-Bienen, und sumsen fast wie die Hummeln im Fluge. Es sind ihrer etwa nur zwey bis dreyhundert in einem ganzen Bienenstocke von ungefähr 30000 Bienen. Sie allein arbeiten nicht und nähren sich vom Honige der Arbeits-Bienen. Sobald aber die Königin ihre Eyerchen in die leeren Brut-Zellen der Waben gelegt hat, fallen die Arbeits-Bienen über die faulen Gäste, die Thronen, her, und stechen sie todt, weil diese keine Stacheln haben und sich also nicht wehren können.~~b) Die Königin, oder der sogenannte Weisel. Diess ist die einzige Bienen-Mutter im ganzen Stocke; denn sie allein legt die sämmtlichen Eyerchen, daraus die junge Brut entsteht, in die Zellen, und ist daher von ungeheurer Fruchtbarkeit. Sie ist grösser, länger und schmäler, als eine Throne, hat ganz kleine Flügel, kommt nie aus dem Stocke, ausser wenn ein junger Schwarm mit seiner eignen Königin auszieht. Alles hängt im Stocke an ihr; und wenn sie fehlt oder stirbt, hören alle Arbeiten auf, und der ganze Stock verfliegt und zerstreut sich. Im Frühjahre, im April, May und Junius legt sie ihre Brut, aus welcher zuweilen zwey bis drey junge Schwärme entstehen, die mit einer eignen jungen Königin jährlich aus dem Mutterstocke ausziehen, und neue Colonieen machen.~~c) Eine Arbeits-Biene sitzend. Dergleichen sind ihrer ohngefähr 30000 in einem Stocke. Alle Arbeiten werden von ihnen verrichtet; sie tragen Honig und Wachs ein, bauen die Waben, ernähren und versorgen die junge Brut, ungeachtet sie selbst kein Geschlecht haben, und weder Männchen noch Weibchen sind. Sie allein haben Stacheln, mit welchen sie sich herzhaft vertheidigen können. Kurz, sie sind ein wahres Bild des Fleisses, und aus ihnen bestehet eigentlich die kleine Republik.~~d) Eine fliegende Arbeits-Biene, die an ihren beyden Hinter-Beinen die sogenannten Wachshösgen von Blumen-Staube gesammelt hat, und sie einträgt.~~efghi) Ein Stück von einer Honigwabe mit Brut, leeren Zellen und Honig.~~ee) Sind noch leere Zellen.~~ff) Zellen mit Honige angefüllt, und einem dünnen Deckel von Wachse verschlossen.~~gg) Zellen mit junger Brut angefüllt; sie haben erhabene, runde Deckel von Wachs.~~hi) Wohnungen der Königin, oder sogenannte Weisel-Häusgen. Sie hängen ganz besonders an den Waben.~~kk) Junge Brut, oder eigentliche Maden oder Raupen der Bienen, wie sie in den Brut-Zellen stecken.~~l) Eine schon in Puppe verwandelte dergleichen Raupe.~~m) Eine Bienen-Kette, so wie sie sich zuweilen in den Stöcken zusammenhängen um auszuruhen. Junge ausgezogene Bienen-Schwärme hängen sich eben so an Bäume, wo sich ihre Königin zuerst hinsetzt, um eine neue Wohnung zu wählen.~~, , , , , , , , , , Insectes II. T. I. No. 14., L'ABEILLE., L'Abeille est un des insectes, les plus utiles et les plus dignes de notre admiration, tant à cause de l'art et de l'ordre qu'elle met dans ses travaux, que par rapport à la sage économie de la république, dans laquelle elle vit en société, et aux excellent fruits de ses travaux. C'est elle qui recueille et prépare le miel et la cire, celui-là du suc, et celle-ci de la poussière des fleurs, des plantes et des arbres. Elle construit de la cire les cellules hexagonales de ses gâteaux, qui sont faites avec tant d'art, pour y conserver ou sa provision de miel, ou le jeune couvain., Personne n'ignore que les abeilles vivent en grands essaims dans des ruches ou paniers, ou qu'on les trouve sauvages dans le creux des arbres, des mureilles etc. Une ruche est toujours composée de trois sortes d'abeilles, savoir 1) d'abeilles mâles ou bourdons, 2) d'une seule abeille fémelle nommée Reine ou Mère abeille, et 3) d'abeilles ouvrières. Les figures de la planche ci-jointe représentent ces trois espèces d'abeilles sous leurs formes différentes., a) Abeille mâle ou bourdon. Il est prèsque une fois aussi grand que l'abeille ouvrière, et bourdonne en volant, prèsque comme le taon. Il ne le trouve guère que deux ou trois cents abeilles mâles dans un panier de 30000 Mouches à miel ou environ. Ce sont les seules, de toute la ruche qui ne travaillent point, et se nourissent du miel que recueillent les abeilles ouvrières. Mais la reine n'a pas plutôt déposé les oeufs dans les alvéoles vides des rayons, que les abeilles ouvrières tombent sur les mâles, ces paresseux convives, qu'elles tuent à coup d'aiguillons, sans que les bourdons puissent se défendre, étant absolument sans armes., b) Reine ou mère abeille. C'est la seule femelle de toute là ruche; elle seule pond tous les oeufs, qui produisent le jeune couvain, ce qui prouve la prodigieuse fécondité. Elle est plus longue mais aussi plus mince que le bourdon; ses ailes sont fort courtes, aussi ne sort-elle de la ruche que quand un jeune essaim l'abandonne avec sa propre reine. Tout depend d'elle dans le panier; et lorsqu'elle manque ou vient a mourir, tous les travaux cessent, et toutes les abeilles de la ruche se dispersent et s'envolent. Elle pond ses oeufs au printems, dans les mois d'Avril, de Mai et de Juin, et ces oeufs produisent quelquefois deux et même trois jeunes essaims, qui, accompagnés de leurs propres reines, quittent la mère ruche, l'année même de leur naissance, pour aller fonder de nouvelles colonies., c) Abeille ouvrière en repos. Une seule ruche contient environ 30000 abeilles de cette espèce. Ce sont les abeilles ouvrières qui sont tous les travaux; elles recueillent le miel et la cire, construisent les rayons, et nourrissent le jeune couvain dont elles prennent soin, quoiqu'elles n'ayent elles mêmes aucun sexe, c. à. d. qu'elles ne soient ni mâles ni femelles. Elles seules sont armées d'aiguillons; avec lesquels elles se défendent courageurement. Elles sont, en un mot, un vrai symbole d'industrie, et ce soutelles qui constituent proprement la République., d) Abeille ouvrière volante; ses deux pattes de derrière sont chargées de petits pelotons de cire, qu'elle a recueillie de la poussière des fleurs qu'elle porte à la ruche., efghi) Morceau d'un rayon de miel, représentant des cellules vides, et d'autres alvéoles remplis de miel ou de couvain., ee) Cellules vides., ff) Alvéoles remplis de miel, et refermés par une mince couverture de cire., gg) Alvéoles remplis de couvain; les couvertures en sont rondes et convexes., hi) Habitations de la Reine ou mère abeille; elles sont attachées séparement aux gâteaux., kk) Jeune couvain; ce sont, à proprement parler, des vers d'abeilles tels qu'on les trouve dans les alvéoles., l) Un de ces vers déjà changé en nymphe., m) Chaîne d'abeilles, telle que ces insectes en forment quelquefois dans les paniers pour se reposer. C'est aussi de la sorte que. les jeunes essaims qui quittent la ruche, pour chercher une autre habitation, s'attechent aux arbres, où leur reine se place la première., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , Die heissen Länder erzeugen weit mehr giftige Thiere, als kalte Gegenden. Diess findet sich sonderlich unter den Insecten. Gegenwärtige Tafel liefert einige dergleichen.~~No. 1. Die grösste Surinamische Spinne.~~Sie lebt in Surinam auf den Bäumen, ist durchaus rauch und haarig, und nährt sich hauptsächlich von einer grossen Art Ameisen. Sie ist so stark, dass sie sogar kleine Vögel und sonderlich Colibris in ihrem Neste überfällt, und ihnen das Blut aussaugt. Sie hat zwey scharfe Fresszangen, und ihre Bisse damit sind äusserst gefährlich und giftig. Die grossen Zug- oder wandernden Ameisen sind ihre Feinde; denn wenn diese auf ihrer Wanderung begriffen sind, wird sie von ihnen in ungeheurer Menge angefallen und getödtet.~~No. 2. Eine Tarantel.~~Taranteln sind eine Art Erd-Spinnen, die vorzüglich in Italien, aber auch in mehr heissen Ländern gefunden werden, und von denen man sonst erzählte, dass ihr Biss den Menschen in eine Tollheit versetzte, die nur durch eine gewisse Musik und heftiges Tanzen geheilt werden könne, welches aber eine Fabel, und völlig ungegründet ist. Es giebt mehrere Arten von Taranteln; als, braune, rauche, wie gegenwärtige, gelbe, röthliche, glatte. Ihr Biss macht zwar eine schmerzhafte Geschwulst und Entzündung, ist aber selten tödtlich, wenn die Wunde nicht vernachlässigt wird.~~No. 3. Die Orange- oder Curassao-Spinne.~~Diese kleine Spinne ist eine der giftigsten, die man kennt. Sie heisst die Orange, weil sie ein orange-gelbes Fleckchen auf dem Rücken hat, und lebt in der Erde unter Baumwurzeln. Sie hat, wider alle gewöhnliche Art der Spinnen, nur 6 Füsse. Ihr Biss ist so giftig, dass ein Mensch, der von ihr verwundet wird, in Wahnsinn und heftige Convulsionen fällt, und nur mit Mühe zu retten ist.~~No. 4. 5. 6. Der Scorpion.~~Der Scorpion gränzt zunächst an die Krebse und ist als ein sehr giftiges Insect bekannt. Er lebt fast in allen heissen Ländern, sonderlich in Amerika, Ostindien, Afrika, Italien, im südlichen Frankreich und Teutschland im Gemäuer, alten Breterwerk u.s.w. ist jedoch an Grösse und Schädlichkeit sehr verschieden. Der grösste und gefährlichste ist: No. 4. Der Indianische Scorpion. Er ist so gross wie ein mittelmässiger Krebs, und hat herzförmige Scheeren. Sein krummer Stachel am letzten Gliede des Schwanzes, aus welchem er, indem er sticht, zugleich einen Tropfen Gift in die Wunde spritzt, ist es, was ihn so gefährlich macht. No. 5. Der Amerikanische Scorpion, etwas kleiner als der vorige, hat schotenähnliche rauche Scheeren, lebt vornehmlich in Brasilien, und ist fast noch giftiger als die erste Art. No. 6. Der Italienische, Teutsche oder Französische Scorpion, ist ganz klein, etwa 1 bis 2 Zoll lang, und minder gefährlich. Sein Stich macht zwar auch eine brennende Geschwulst, wird aber durch ein wenig Scorpion-Oehl, das man auf die Wunde streicht, leicht wieder geheilt.~~, , , , , , , Insectes. III. T. 1. No. 15., INSECTES NUISIBLES DES PAYS CHAUDS., Les pays chauds sont beaucoup plus fertiles en animaux venimeux que les pays froids; c'est ce qui se remarque sur-tout parmi les insectes. La planche ci-jointe en représente quelques uns., No. 1. La grande Araignée de Surinam., Cette Araignée vit à Surinam, où elle se tient sur les arbres; elle est entièrement velue et couverte de poils et fait sa principale nourriture d'une espèce de grandes fourmis. Elle est si forte qu'elle attaque les petits oiseaux et spécialement les colibris dans leur nid, et leur suce le sang. Elle est armée de deux fortes tenailles dont la morsure est extrêmement dangereuse et venimeux. Les grandes fourmis de passage sont ses mortelles ennemis; car quant ces dernières sont leurs voyages, elles l'attaquent en très grand nombre et la tuent., No. 2. La Tarentule., Les Tarentules sont une espèce d'araignées de terre, qui se trouvent sur-tout en Italie, mais aussi dans plusieurs autres pays chauds. On disait autrefois que leur morsure se fait tomber les hommes dans une espèce de manie, qui ne pouvait se guérir que par une certaine musiquë et par une danse violente; mais cette tradition n'était qu'une fable absolument dépourvue de fondement. E y a plusieurs espèces de tarentules, savoir des brunes, des velues, comme celle que représente la planche, dés jaunes, des rougeâtres et des lisses. Leur morsure occasionne, il est vrai, une enflure et une inflammation douloureuse, mais elle est rarement mortelle, quand en ne néglige pas la plaie., No. 3. L'araignée Orange de Curassao., Cette petite araignée est une des plus venimeuses que l'on connaisse. Elle a le nom d'Orange à cause d'une tache couleur d'orange qu'elle a sur le dos; et elle vit dans la terre sous les racines des arbres. Elle n'a que 6 pattes, quoique les araignées en aient communement davantage. Sa morsure est si venimeuse, que ceux qui en sont atteintes tombent dans le délire et de violentes convulsions, et qu'on ne peut les sauver qu'avec beaucoup de peine., No. 4. 5. 6. Le Scorpion., Le Scorpion suit immédiatement l'écrevisse, et est reconnu pour un insecte très venimeux. On le trouve dans presque tous les pays chauds, sur-tout en Amérique, dans les Indes orientales, en Afrique, en Italie, dans le midi de la France et en Allemagne, où il se tient dans les vieux murs, les vieux bois etc.; cependant sa grandeur et ses qualités nuisibles sont sort différentes. Le plus grand et le plus dangereux de tous est, No. 4. Le scorpion des Indes. Il est aussi gros qu'une écrevisie de grandeur médiocre, et a des pinces en forme de coeur. L'aiguillon recourbé qu'il a au dernier anneau de sa queue, et par lequel il lance en piquant une goutte de venin dans la plaie, est ce qui le rend si dangereux., No. 5. Le scorpion d'Amérique est un peu plus petit que le précédent; ses pinces sont velues et en forme de gousses. On le trouve surtout au Bresil, et il est en quelque façon plus venimeux que celui des Indes., No. 6. Le scorpion d'Italie, d'Allemagne ou de France est très petit, n'ayant guères qu'un ou deux pouces de longueur, et beaucoup moins dangereux que les autres. Sa piquûre occasionne à la vérité une enflure cuisante, mais on la guérit facilement en l'oignant d'un peu d'huile de scorpion., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , Die Papageyen sind eins der schönsten und zahlreichsten Vogel-Geschlechter, denn man zählt bereits mehr als 100 schon bekannte Gattungen davon. Sie leben und brüten wild nur in heissen Ländern und zwar blos in einem Striche von 25 Graden zu beyden Seiten der Linie. Die Gattungen in der alten und neuen Welt sind gänzlich von einander unterschieden, und es giebt keine die Amerika mit Asien und Afrika gemein hätte. Die Griechen kannten nur eine Gattung davon, die sie durch die Flotte Alexanders des Grossen aus der Insel Trapobana erhielten. Bey den Römern waren sie schon ein Gegenstand des Luxus; denn sie hielten sie in Käfigen von Silber, Elfenbein und Schildkrot, und ein Papagey kostete oft mehr als ein Sklave. Alle Papageyen werden, nach der obgedachten Bemerkung, dass die Gattungen aus der alten, von denen aus der neuen Welt verschieden sind, in zwey grosse Haupt-Classen eingetheilt, nehmlich in: I. Papageyen der alten Welt. II. Papageyen der neuen Welt. Die Papageyen der alten Welt theilen sich wieder in 6 Haupt-Arten ab; nemlich: 1) in Kakatus, 2) in eigentliche Papageyen, 3) in Loris, 4) in Perruches mit langem gleichen Schwanze, 5) in Perruches mit langem ungleichen Schwanze, 6) in Perruches mit kurzem Schwanze. Dies ist die Charakteristik der sechs Hauptarten von den Papageyen aus der alten Welt, von deren jeder ich ein Bild auf gegenwärtiger Tafel liefere.~~No. 1. Der Kakatu. (Psittacus cristatus albus.)~~Ist der grösseste Papagey aus der alten Welt, weiss von Farbe, hat eine schöne Feder-Krone auf dem Kopfe, und lebt im südlichen Asien.~~No. 2. Der eigentliche Papagey. (Psitt. erithaius.)~~Kommt aus Afrika und Ostindien, und lernt am schönsten und deutlichsten sprechen. Der hier abgebildete graue mit rothem Schwanze ist die gewöhnlichste Gattung davon.~~No. 3. Der Lori. (Psitt. domicella.)~~Man nennt in Ostindien gewisse Gattungen von Papageyen so, weil ihr Geschrey das Wort Lori ausdrückt. Roth ist ihre herrschende Farbe. Sie sind die lebhaftesten unter allen Papageyen.~~No. 4. Die grosse Perruche mit langem gleichen Schwanze. (Psitt. cyanocephalus.)~~Die Perruchen, deren es viele Gattungen giebt, haben immer den Kopf von anderer Farbe als den Leib. Sie kommen aus Ostindien.~~No. 5. Die grosse Perruche mit langem ungleichen Schwanze. (Psitt. erythrocephalus.)~~Diese Art, welche in Afrika lebt, zeichnet sich durch zwey sehr lange Federn im Schwanze aus, und ist sehr schön gezeichnet.~~No. 6. Die kleine Perruche mit kurzem Schwanze. (Psittac. pallarius.)~~Diess ist der kleinste von allen Papageyen. Sie ist etwa so gross als ein Gimpel, lernt nicht sprechen, ist aber sehr schön von Farbe. Man muss immer ein Pärchen zusammen in einen Käfig thun, wenn man sie erhalten will. Da sitzen sie dann zusammen auf einem Stängelchen neben einander, sehen einander an, caressiren einander, und wenn eins von beyden stirbt, so grämt sich das andere, frisst nicht mehr, und stirbt bald darauf aus Traurigkeit. Eben darum nennt man sie auch gewöhnlich nur die Untrennbaren.~~, , , , , , , Oiseaux III. T. I. No. 16., PERROQUETS DE L'ANCIEN CONTINENT., Les Perroquets sont une des plus belles et des plus nombreuses espèces d'oiseaux, car on en connaît déjà plus de 100 sortes différentes. Ils ne se trouvent ni se propagent que dans les pays chauds, et bien dans les climats qui s'étendent jusqu'au 25ème degré de chaque côté de la ligne. Les espèces de perroquets de l'ancien continent sont tout-à-fait différentes de celles du nouveau monde, et il n'en existe aucune qui soit commune à l'Amérique, à l'Asie et à l'Afrique. Les Grecs ne connaissaient qu'une sorte de perroquets, qu'ils reçurent de l'île Trapobana par la flotte d'Alexandre le grand. Chez les Romains, ces oiseaux étaient déjà un objet deluxe; car on les nourrissait dans des cages d'argent, d'yvoire et d'écaille, et un perroquet coutait souvent plus qu'un esclave., D'après la remarque que nous venons de faire, savoir, que les espèces de perroquets de l'ancien continent sont tout-à-fait différentes de celles du nouveau monde, on a divisé ces oiseaux en deux classes principales, qui sont:, I. Les Perroquets de l'ancien continent., II. Les Perroquets du nouveau monde., Les Perroquets de l'ancien continent se subdivisent en six espèces, savoir:, 1) en Cacadous,, 2) en Perroquets proprement dits,, 3) en Loris,, 4) en Perruches à longue queue égale,, 5) en Perruches à longue queue inégale,, 6) en Perruches à courte queue., Tel est le caractère distinctif des six principales espèces des perroquets de l'ancien continent; la planche ci-jointe offre une image de chaque espèce., No. 1. Le Cacadou., C'est le plus grand perroquet de l'ancien monde. Il est de couleur blanche, et sa tête est ornée d'une belle couronne de plumes. On le trouve dana la partie méridionale de l'Asie., No. 2. Perroquet, proprement dit., Cet oiseau vient de l'Afrique et des Indes orientales; c'est celui de tous les perroquets qui apprend à parler le mieux et le plus distinctement. Il est le plus souvent gris avec une queue rouge, comme le représente la fig. 2., No. 3. Le Lori., On donne, dans les Indes orientales, ce nom à certaines espèces de perroquets, dont le cri exprime le mot de Lori. Le rouge est leur couleur principale. Ce sont les plus vifs de tous les perroquets., No. 4. La Grande Perruche à longue queue égale., Les Perruches, dont il existe plusieurs espèces, ont toujours la tète d'une autre couleur que le corps. Elles viennent des Indes orientales., No. 5. La Grande Perruche à longue, queue inégale., Cette espèce de Perruches, qui se trouve en Afrique, se distingue de tous les autres par deux fort longues plumes qu'elle a à la queue. Ses couleurs sout aussi fort belles., No. 6. La Petite Perruche à courte queue., C'est le plus petit de tous les perroquets. Les petites perruches sont à peu-près de la grandeur d'un pivoine; elles n'apprennent point à parler, mais les couleurs de leur plumage sont sort jolies. Pour les conserver il faut toujours en mettre une paire dans une cage. Elles s'y perchent l'une auprès de l'autre sur un perchoir, se regardent, se caressent, et lorsque l'une des deux vient à mourir, l'autre s'afflige, cesse de manger, et ne tarde pas à perir de tristesse. Delà vient qu'on les appelle communément les Inseparables., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , Die zweite Haupt-Classe sind die Papageyen der neuen Welt, die, wie gedacht, nichts mit den Gattungen der alten Welt gemein haben. Columb fand in der ersten Insel von Amerika, die er entdeckte, nichts als Papageyen. Er brachte einige, zum Beweise seiner neuen Entdeckungen, mit nach Spanien zurück, und die Papageyen waren, wegen ihrer viel grösseren Schönheit als die bisher bekannten, lange Zeit die vornehmste Tausch-Waare zwischen Europa und Amerika. Man theilt die Papageyen der neuen Welt gleichfalls in 6 Hauptarten, nemlich: 1) in Aras, 2) in Amazones, 3) in Papegais, 4) in Criks, 5) in Perriches mit langem Schwanze, 6) in Perriches mit kurzem Schwanze.~~No. 1. Der rothe Ara. (Psittacus Macao.)~~Der rothe Ara ist unter allen Papageyen der grösseste und schönste; denn sein prächtiges Gefieder glänzt von Purpur, Gold und Azur. Er hat ein stolzes Ansehen, lässt sich aber leicht zahm machen. Seine Charakteristik ist seine Grösse, sein langer und zugespitzter Schwanz, die weisse nackte Haut um die Augen; und sein widriges Geschrey, Ara! Ara! wovon er auch den Nahmen erhalten hat.~~No. 2. Die Amazone. (Psitt. Aurora.)~~Diese Pageyen-Art wohnt am Amazonenflusse, woher sie auch den Namen führt, hat immer Roth auf den Schwingen der Flügel, und ist sehr schön und glänzend von Farben.~~No. 3. Die Papegais~~sind minder selten als die Amazonen, haben kein Roth auf den Flügeln, aber gewöhnlich einen grossen Bart von herabhängenden Federn. Sie sind meist in Cuba und Guyane einheimisch.~~No. 4. Der Crik. (Psittacus autumnalis.)~~Diese Papageyen-Art hat viel ähnliches mit der Amazone, auch Roth auf den Flügeln und im Schwanze, ist aber schmutziger von Farbe, und meistens grün. Er wohnt in Cayenne.~~No. 5. Die Perriche, mit langem Schwanze.~~Es giebt der Perrichen eine grosse Menge Gattungen in Amerika. Gegenwärtige ist die sogenannte gelbe Perriche aus Brasilien.~~No. 6. Die Perriche mit kurzem Schwanze. (Psitt. Sosove.)~~Diese Art, welche auch Touis heisst, ist die kleinste Papageyen-Art in Amerika, nicht viel grösser als ein Sperling, und gleicht den Perruchen der alten Welt ziemlich. Die hier abgebildete Gattung davon ist schön grün, hat gelbe Flecken auf Flügeln und Schwanze, wohnt in Guyane, und lernt leicht sprechen.~~, , , , , , , Oiseaux IV. T. I. No. 17., PERROQUETS DU NOUVEAU MONDE., Les Perroquets du nouveau monde constituent la seconde Classe de ces oiseaux, qui, comme on l'a déjà dit, n'ont rien de commun avec les espèces de l'ancien continent., Colomb ne trouva que des perroquets dans les premières îles qu'il découvrit en Amérique. Il en raporta en Espagne, pour preuve de ses nouvelles découvertes, et comme ces perroquets surpassaient infiniment en beauté tous ceux qu'on connoissait jusqu'alors, ils furent longtems la principale marchandise que l'Amérique échangea avec l'Europe., On divise pareillement les perroquets du nouveau monde en six espèces principales, savoir:, 1) en Aras,, 2) en Amazones,, 3) en Papegais,, 4) en Crics,, 5) en Perriches à longue queue,, 6) en Perriches à courte queue., No. 1. L'Ara., L'Ara est le plus grand et le plus beau de tous les perroquets; car son magnifique plumage est diapré de pourpre, d'or et d'azur. Il a l'air noble, et s'apprivoise facilement. Ses caractères distinctifs sont sa grandeur, sa queue longue et pointue, la peau blanche et sans plumes qu'il a autour des yeux, et son cri desagréable, Ara! Ara! qui lui a valu son nom., No. 2. L'Amazone., Cette espèce de Perroquets se trouve sur les bords du fleuve des Amazones, ce qui lui a fait donner son nom; elle a toujours du rouge sur les ailes, et ses couleurs sont très belles et très eclatantes., No. 3. Le Papegai., Ces oiseaux sont moins rares que les Amazones. Ils n'ont point de rouge sur les ailes, mais le dessous de leur cou est orné de grandes plumes pendantes sous la forme d'une longue barbe. Ils sont pour la plupart originaires de Cuba et de la Guyane., No. 4. Le Cric., Cette espèce de perroquets ressemble beaucoup à l'Amazone. On lui trouve, comme à celle-ci, du rouge sur les ailes et à la queue, mais sa couleur est beaucoup plus sale, et pour la plupart verte. On la trouve en Cayenne., No. 5. La Perriche à longue queue., Il existe quantité d'espèces de Perriches en Amérique. Celle que représente la planche, est la perriche jaune originaire du Brésil., No. 6. La Pérriche à courte queue., Cette espèce, à laquelle on donne aussi le nom de Touis, est la plus petite sorte des Perroquets de l'Amérique. Elle n'est guère plus grosse qu'un moineau, et ressemble assez aux Perriches de l'ancien continent. Celle que représente la figure 6, est d'un beau vert, avec des taches jaunes sur les ailes et la queue; elle se trouve dans la Guyane et apprend aisément à parler., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , No. 1. Der Nautilus oder Schiffskuttel. (Nautilus pompilus)~~Der Nautilus ist eine der merkwürdigsten Conchylien, theils wegen seiner vorzüglichen Schönheit, theils weil er beynahe wie ein Schiff gebaut ist, und das Thier, oder der Polype, der ihn bewohnt, mit zweyen seiner Armen eine Haut wie ein Seegel ausspannt, und so mit Hülfe derselben, wenn der Wind hineinblässt, auf der Oberfläche des Meeres, wie ein Schiff, fortseegelt. Von ihm sollen daher die Menschen zuerst den Gebrauch der Seegel bey Schiffen gelernt haben. Diese schöne Schnecke wurde sonst häufig, künstlich geschnitten und verziert, in Gold und Silber als Trinkgeschirre gefasst, und man findet sie auf diese Art noch häufig in Kunstkammern.~~No. 2. 3. 4. Die Perlen-Muscheln.~~Bekanntlich wachsen die ächten Perlen in Muscheln, und werden aus dem Meere gefischt. Es führen mehrere See, ja sogar Fluss-Muscheln Perlen, allein sie sind auch sehr an Glanze und Schönheit verschieden.~~No. 2. Ist die ächte orientalische Perlen-Muschel, worin die wahre orientalische Perl gefunden wird. Sie gehört zu den sogenannten Meerohren, und ist weder Schnecke noch Muschel; nicht Schnecke, weil sie kein Gewinde, und nicht Muschel, weil sie nur Eine Schale und keinen Deckel hat. Unter ihrem erhöhten Rande hat sie eine Reihe kleiner Tellen, die endlich nach dem Rande zu ordentliche Löcher werden, in welchen die guten Perlen sitzen. Sie glänzet und spielt ausserordentlich prächtig, grün, roth und silberfarb.~~No. 3. Ist die Teutsche oder sogenannte Elster-Perlen-Muschel, eine grosse Mies- oder Mahlermuschel, welche der bekannte Fluss, die Elster in Sachsen, führet, und die gleichfalls sehr grosse Perlen erzeuget, die den orientalischen an Größe und Güte nichts nachgeben, und unter dem Namen Elster-Perlen bekannt sind. Zwey dergleichen noch unreife und festgewachsene Perlen liegen linker Hand am Rande dieser Muschel.~~No. 4. Ist die eigentliche sogenannte Perlen-Mutter-Muschel. Sie gehört zum Austergeschlecht, und führt zuweilen zwar auch Perlen in sich, wird aber mehr wegen ihren schön glänzenden und spielenden Schalen gebraucht, aus welchen allerhand Arten von Kunstwerken, z.E. Dosen, Knöpfe, eingelegte Arbeit, Fächerstäbe u.s.w. geschnitten und gedreht werden. In ihrem rohen Zustande sieht sie äusserlich schmutzig, braun, und weiss aus.~~, , , , , , , , , Coquilles. I. T. I. No. 18., COQUILLAGES REMARQUABLES., No. 1. Le Nautile., Le Nautile est un des coquillages les plus remarquables, tant à cause de sa grande beauté, que parce qu'il est presque construit comme un vaisseau, et que l'animal ou le Polype, qui l'habite, étend par le moyen de deux bras une membrane, qui lui sert de voile, et à l'aide de laquelle il vogue comme un navire sur la surface de la mer, lorsque cette membrane est enflée par le vent. Aussi dit-on que les hommes apprirent de lui à faire usage de voiles sur les vaisseaux. On sculptait et ornait autrefois beaucoup de ces beaux coquillages; puis on les enchassait dans de l'or ou de l'argent, pour servir de vaisseaux à boire: on en trouve encore fréquemment dans les cabinets de curiosités, qui sont faits de la sorte., No. 2. 3. 4. Coquilles-à-Perles., Tout le monde sait que les perles fines se trouvent dans des coquilles qu'on pèche dans là mer. Il existe dans la mer et même dans les rivières, plusieurs espèces de coquillages, qui fournissent des perles; mais ils sont fort différentes en éclat et en beauté., No. 2. La vraie coquille à perles ou le vrai burgau d'orient, dans lequel se trouvent les véritables perles orientales. Cette coquille est du genre des oreilles de mer, et n'est ni limas ni moule; elle n*"st point limas, parce qu'elle n'a point de vis, et n'est pas moule, parce qu'elle est univalve et sans couvercle. On voit sous son bord le plus élevé un rang de petits enforcemens, qui deviennent enfin de véritables trous en approchant de l'autre bord, et dans lesquels se trouvent les perles. Elle est extrêmement brillante et présente tour à tour les plus belles couleurs, lavoir le vert, le rouge, et le blanc argenté., No. 3. Le Burgau d'Allemagne, ou la coquille à-perles de l'Elster. C'est une grande coquille, dont les peintres se servent pour y mettre leurs couleurs, et qu'on trouve dans l'Elster, rivière de la Saxe; elle fournit pareillement de très grosses perles, qui ne le cédent aux perles orientales ni en grosseur ni en bonté, et qui sont connues sous le nom de perles de l'Elster. On voit à gauche, sur le bord de cette coquille, deux de ces perles, qui ne sont pas encore mûres, et attachées à l'écaillé., No. 4. Cette coquille est proprement ce que nous appellons Mere-perle ou Nacre de Perle. Elle est du genre des huitres et produit quelquefois des perles; mais on l'emploie principalement à cause de la beauté et de l'éclat de ses écailles, dont les sculpteurs et les tourneurs sont toutes sortes de jolis ouvrages, p. e. de tabatières, des boutons, des ouvrages de marqueterie, des bâtons d'éventails etc. Cette écaille, étant brute, est d'un brun et d'un blanc sales à l'extérieur., , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , No. 1. Der Löwe. (Felis Leo.)~~Diess prächtige, edle und fürchterliche Geschöpf wird von Dichtern gewöhnlich der König der Thiere genannt. Er wohnt in den heissen Sandwüsten des inneren Afrika, ist 8 bis 9 Fuss lang, schmuzig braungelb von Farbe, und so ausserordentlich stark, dass nur der Elephant, das Rhinoceros, das Wallross, und der Tiger ihm widerstehen können. Seiner Nahrung geht er in der Nacht nach. Sie besteht im Fleische allerley grosser Thiere. Menschen fallt er nur an, wenn ihn der Hunger sehr drückt, oder er gereizt wird. Er jagt nicht gern, sondern legt sich ins Gebüsch auf die Lauer, kriecht sachte auf dem Bauche fort, bis er ein Rind erreichen kann, welches er dann mit der Tatze auf Einen Schlag zu Boden schlägt, auf den Rücken wirft und fortträgt. Durch Feuer lässt er sich verjagen; dass er aber furchtsam vor dem Krähen eines Hahnes fliehe, ist eine Fabel. Sein Brüllen ist das Schrecken aller Thiere. Jung eingefangen kann er so zahm gemacht werden, wie ein Haushund.~~No. 2. Die Löwin.~~Die Löwin ist um den vierten Theil kleiner, minder stark und schön als der Löwe, allein oft noch grimmiger als er, zumal wenn sie ihre Jungen vertheidigt, deren sie 3 bis 5 wirft. Sie hat keine Mähne, und ist nur unten am Halse etwas zottig.~~No. 3. Der Tiger. (Felis tigris.)~~Der Tiger ist eben so gross und oft noch grösser als der Löwe, eben so stark, durchaus blutgierig, und schlechterdings nicht zu bändigen. Seine Farbe ist lichtbraun mit vielen schwarzen Queerstriemen; am Halse, Bartmähne, Bauche und Schwanze aber weisslich gefleckt. Man nennt zwar gewöhnlich aber sehr falsch, Tiger, mehrere dergleichen reissende Thiere die einen gefleckten Pelz haben; welches aber nur von dem Leopard, Panther, der Unze u.s.w. gilt; denn der wahre Tiger ist nicht rund gefleckt, sondern striemig. Er wohnt in Asien, sonderlich in Bengalen, Persien, Indien und China, in Wäldern und Gebüschen, wo er im Hinterhalte auf seinen Raub lauert, den er mit nur wenigen aber unglaublich weiten und schnellen Sprüngen anfällt, und wenn er ihn damit verfehlt, gehen lässt. Er ist so kühn und unerschrocken in seinem Raube, dass er oft Menschen aus einem Nachen mitten im Flusse geraubt und davon getragen hat.~~No. 4. Der Panther. (Felis pardus.)~~Er wohnt in Afrika, ist 5 bis 6 Fuss lang, minder grausam als der Tiger, und schöner von Fell. Seine Grundfarbe ist braungelb. Kehle, Beine und Bauch weiss; auf dem Rücken und beyden Seiten hat er runde schwarze irreguläre Ringe, die inwendig fast orangenfarbig sind und in der Mitte einen schwarzen Punkt haben. Kopf, Hals und die 4 Beine haben blos einfache schwarze Flecken.~~No. 5. Der Leopard. (Felis leopardus.)~~Er ist dem Panther sehr ähnlich, jedoch darinn wesentlich unterschieden, dass die Grundfarbe seines Felles ein schöneres Braungelb ist, und seine Flecken auf dem Rücken und an den Seiten nicht aus runden geschlossenen Ringen, wie bey dem Panther, sondern aus 4 bis 5 einzeln zusammengesetzten kleinen schwarzen Flecken, die einen dunkelgelben Fleck einschliessen, bestehen. Er wohnt auch in Afrika, sonderlich in Senegal, und auf dem Vorgebürge der guten Hoffnung.~~No. 6. Die Unze. (Felis uncia.)~~Die Unze ist kleiner als der Panther und Leopard, etwa 3 1/2 Fuss lang, langhaarig, die Grundfarbe weissgelblich, und unregelmässig gefleckt. Auf dem Rücken hat sie einige runde Flecken, die denen des Panthers gleichen. Sie wohnt in der Barbarey, in Persien, Ostindien und China. Ihr Naturell ist milder als das der vorigen Gattungen. Sie lässt sich daher leicht zahm machen, und selbst zur Jagd auf Gazellen und Hasen abrichten. Der Jäger führt sie hinter sich auf dem Pferde. Hat er das Wild eingeholt, so lässt er sie auf selbiges los, welches sie fängt, worauf sie sich willig wieder greifen und aufs Pferd nehmen lässt.~~, , , ,