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Ad00341 02 003a/freQuadrupèdes XXIII. T. I. No. 2.
CHEVAVX ET ANES.
No. 1. Le Cheval sauvage.
Tous les Physiciens s'accordent de nos jours à rejetter l'existence de chevaux originairement sauvages; ceux qu'on prend ordinairement pour tels, ne l'ont que des chevaux domestiques, rendus à la Nature etvivans sans les soins de l'homme. On trouve de ces derniers des troupes nombreuses tans les forêts de la Pologne, les parties montagneuses de l'Ecosse, la Tai tarie, et surtout une quantité prodigieuse dans le Paraguai et le pays des Paiagons. Les habitans de les pays s'appliquent à les prendre, et à les rendre dociles; après quoi ils leS présèrent pour la monture aux chevaux domestiques comme étant plus légers et plus nerveux.
No. 2. Le Cheval domestique.
Il n'y a aucun animal, qui se soit plus accoutumé à l'homme et à ses besoins, et qui lui soit devenu d'une utilité plus multipliée que le cheval. Comme animal domestique, tel que la figure ci-jointe le représente, il s'est étendu sur toute la sur sa ce de la terre, et la grande difsérence du climat ainii que de la nourriture a dû produire necessairement des variétés considérables dans ses races, tant pour la grandeur, la figure et les couleurs, que pour la sorce et la légèreté. Les chevaux les plus sameux que nous connoislions, se trouvent dans l'Espagne, l'Angleterre, le royaume de Naples, la Barbarie, la Perle et l'Arabie. Dans ce dernier pays ils sont la principale richeiié des habitans; qui pour cette raison se donnent toutes les peines pour conserver la pureté deleurs races, pour les ennoblir et pour en continuer les arbies généalogiques. Ils poilédenî proprement deux différentes races de chevaux, dont l'une est apellée Kadischi, c'est à dire, chevaux d'une origine inconnue; ceux ci ne sont pas sort estimés. La seconde race s'appelle Koechlani, et comprend les chevaux, dont on connoit la généalogie depuis l'espace de 2000 ans. Us doivent avoirpris leur origine dans les haras du Roi Salomon, et sont ordinairement vendus pour des prix immenses. Parmi les chevaux de l'Europe les Anglois tiennent le premier rang, et sont principalement fameux par leur rapidité presqu'incroyable dans la course.
No. 3. Le Dchiggetai.
Le Dshiggetai fait l'espèce moyenne entre le cheval et l'àne, et pour ainsi dire le passage de l'un à l'autre. Il a la queue et les oreilles de l'àne et ressemble au mulet par sa forme et sa grandeur. Sa couleur est d'un brun jaunâtre et très clair. Il vit en grandes troupes dans les vaitesse plaines de l'iidousian, sertiles en excellentes herbes; c'est aussi de la langue des habitans de ces contrées qu'il a tiré son nom. Il surpaise en vîtesse tout ce qu'il est posiible de s'imaginer, mais il ne se laisse absolument pas apprivoiser. Les Mogols et les Tartares le tuent comme du gibier, et mangent sa chaire comme une grande delicatesse.
No. 4. L'Onagre.
L'Onagre est proprement l'àne sauvage, dont l'àne domestique, qui est répresenté sur la Table suivante, tire son origine. Il est plus grand que l'àne domestique et la forme de son corps est plus fine; ses oreilles sont longues et sa queue est presque sans poil. Sa couleur est d'un brun jaunâtre, entremêlé de gris, et le long du dos il a une raye noire, qui sur les épaules forme une croix. Il vit en troupeaux dans la Tartarie, mais il quitte ces contrées à i'approche l'automne, pour passer l'hiver dans les Indes et la Perse.
Ad00341 02 004aAd00341 02 004a.jpgNo. 1. Die Kriek-Ente. (Anas Crecca. L.)~~Die Kriek- oder Kriech-Ente unterscheidet sich theils durch ihre Kleinheit (denn sie ist kaum 14 Zoll lang) von den gemeinen wilden Enten, theils auch dadurch, dass sie vorzüglich die See-Ufer von Europa und Asien bewohnt. Sie ist braun und weiss gezeichnet, und hat einen grünen Spiegel auf den Flügeln.~~No. 2. Die Taucher-Gans. (Mergus Merganser. L.)~~Die Taucher-Gans ist 2 Fuss lang, bewohnt den ganzen Norden au den Seeküsten, ist schwarz und weiss gezeichnet, und zeichnet sich besonders durch ihren hohen spitzigen Kopf aus. Sie nistet auf Bäumen am Ufer, und nährt sich von Fischen.~~No. 3. Der Meer-Rachen. (Mergus serrator. L.)~~Der Meer-Rachen bewohnt die nördlichen Seeküsten von Europa und Asien, und lebt schaarenweise. Er ist 21 Zoll lang, hat einen braunrothen Kopf und Hals, weisse Brust und Bauch, und grauen Rücken. Er taucht vortrefflich unter, und verfolgt sogar die Fische unter dem Wasser. Seine Federn sind fast so gut als die Eyder-Dunen, unter welche sie auch gemischt werden.~~No. 4. Die Täucher-Taube. (Colymbus Grylle. L.)~~Die Täucher- oder Grönländische Taube bewohnt Grönland und die ganze nördliche Erde, ist 14 Zoll lang, taucht unter und nährt sich von Fischen. Sie ist meistens schwarz und weiss, oft auch ganz weiss. Aus ihrer Haut machen sich die Grönländer Kleider.~~No. 5. Der geöhrte Taucher. (Colymbus auritus. L.)~~Ist 12 Zoll lang, bewohnt die Land-Seen von Norwegen und Schweden, hat um den Kopf einen Halskragen, und über den Augen zwey Federbüsche, die wie Ohren aussehen, welches ihm ein sonderbares Ansehen giebt.~~No. 6. Der kleine Taucher. (Colymbus minor. L.)~~Der kleine Taucher, welcher oberhalb braun und unten weiss aussieht, bewohnt die einsamen Teiche und kleinen Landseen von Europa und Nord-Amerika. Er bauet mitten auf dem Wasser ein grosses schwimmendes Nest, und nährt sich von Fischen und Wasser-Insecten.~~No. 7. Die braune Meewe. (Larus fucsus. L.)~~Die braune Meewe, welche die gemeinste ist, bewohnt Europa, Nord-Amerika und Asien, und zieht im Winter nach Süden. Sie ist 23 Zoll lang, weiss, Rücken und Flügel graubraun. Sie nährt sich von Fischen, besonders von Heringen, daher sie auch den Herings-Fischern immer folgt, und ihnen oft ihren Fang dreust vor den Augen wegnimmt,~~No. 8. Die See-Schwalbe. (Sterna Hirundo. L.)~~Die See-Schwalbe bewohnt die ganze nördliche Erde; sie ist 16 Zoll lang, und ihre Hauptfarbe aschgrau. Sie hat einen getheilten Schwalbenschwanz und auch schwalbenähnliche Flügel. Sie nährt sich von Fischen, und ihr Fleisch ist sehr wohlschmeckend.~~No. 9. Das gemeine Wasser-Huhn. (Fulica atra. L.)~~Das gemeine Wasser-Huhn oder Blässchen lebt in ganz Europa, Asien und Amerika auf Sümpfen und Teichen, nährt sich von kleinen Fischen und Insecten, ist 14 Zoll lang, und sieht meistens schwarz aus. Ueber dem Schnabel hat es eine nackte hochrothe Stirn. Sein Fleisch ist thranigt und nicht essbar.~~
Ad00341 02 004a/freOiseaux. XXVII. Vol. II. No. 100.
OISEAUX AQUATIQUES DE PLUSIEURS ESPÈCES.
No. 1. La Cercelle.
La Cercelle, ayant à peine quatorze pouces de longueur, vit ordinairement sur les rivages des mers de l'Europe et de l'Asie, et c'est par là et par sa petitdïe qu'elle se distingue des canards sau vages ordinaires. Elle est marquée de brun et de blaue, et a les ailes miraillées de verd.
No. 2. Le grand Plongeon ordinaire.
Ce Plongeon de rleux pieds de longueur Le ïrouvani sur les côtes de la mer crû nord entier, est. marqué de noir et de blanc, et Te distingue surtout par sa tète haute et pointue. Il niche aux arbres-près de rivages, et se nourrit de poissons.
No. 3. Le grand Plongeon à la tête rouge.
Ce Plongeon rivant, en troupes sur les côtes septentrionales de l'Europe et de l'Asie, a vingt et un pouces de longueur, la tête et le cou couverts d'un brun-clair, la poitrine et le ventre blancs, et le dos gris. Il plonge à merveille, poursuivant les poissons même sous la surface des eaux. Son duvet est presque de la même bonté que les édredons, parmi lesquels il est aussi mêlé.
No. 4. Le Plongeon du Groenlande.
Il vit dans le Groenlande et dans les pays les plus septentrionaux, a quatorze pouces de longueur, plonge et se nourrit de poissons. Il est ordinairement blanc et noir. Les Groenlandois se servent de sa peau pour s'en faire des vètemens.
No. 5. Le Plongeon Loëre.
Il est long de douze pouces et vit sur les lacs de la Norvège et de la Suéde. Il a un collet autour de la lète, et au deffus des yeux deux plumets qui ont l'air des oreilles, ce qu lui donne une figure bien singulière.
No. 6. Le petit Plongeon.
Le petit Plongeon, au dessus brun et au dessous blanc, vit sur les étangs solitaires et sur les petits lacs de l'Europe et de l'Amérique septentrionale. Il bâtit au milieu de la sursace des eaux un nid grand et nageant, et se nourrit de poissons et d'insectes aquatiques.
No. 7. La Mouette brune.
La Mouette brune qui est la plus ordinaire, est naturelle en Europe, dans l'Amérique septentrionale et en Asie. En hiver elle passe dans les pays méridionaux. Elle a vingt trois pouces de longueur, est blanche, et a le dos et les ailes couvertes d'un gris-brun. Elle se nourrit de poissons et principalement de harengs; c'est pourquoi elle suit toujours les pécheurs de ces poissons, lesquels la voient souvent s'emparer hardiment de leur capture.
No. 8. La petite Mouette.
Elle vit dans les pays les plus septentrionaux, et est de seize pouces de longueur. Sa couleur principale est gris-cendrée. Elle a la queue et les ailes comme l'hirondelle, des poissons pour nourriture, et une chair de très-bon goût.
No. 9. La Fouque ordinaire.
Elle vit dans toute l'Europe, l'Asie et l'Amérique sur les marais et sur les étangs, se nourrit de petits poissons et d'insectes, a. quatorze pouces de longueur, et est ordinairement noire de couleur. Au dessus de sou bec elle a le front nud et gros-rouge. Sa chair sentant l'huile de poisson n'est pas mangeable.
Ad00341 02 005aAd00341 02 005a.jpgNo. 1. Der zahme Esel.~~Der zahme Esel stammt, wie wir bey der vorigen Tafel gesehen haben, von dem Onager oder wilden Esel ab. Er ist zwar schon sehr weit in allen Welttheilen verbreitet, allein er gedeihet doch, wie der Onager nirgends besser als in warmen Ländern, und hat daher bis jetzt noch nicht in das nördliche Europa verpflanzt werden können. Seine Höhe ist ohngefähr 4 1/2 Fuss, und seine Farbe gewöhnlich grau, mit einem schwarzen Kreuze über den Schultern. Der zahme Esel ist zwar langsam und träge, und daher ein Symbol der Faulheit, allein dessen ungeachtet ein sehr nützliches und schätzbares Hausthier; denn er begnügt sich mit schlechtem Futter, als Disteln und anderen stachlichten Pflanzen, und ist daher mit geringen Kosten zu erhalten; ist sehr wenigen Krankheiten unterworfen, geht sanfter und sicherer als das Pferd, kann starke Lasten tragen, wird ohngefähr 30 Jahre alt, und ist auch fast so lange zur Arbeit brauchbar. Man hat seine Rasse durch Begattung mit dem Pferde zu verbessern gesucht, und daraus sind 2 neue Bastard-Rassen nämlich das Maulthier und der Maulesel entstanden, welche beyde vorzüglich in Europa gebraucht werden.~~No. 2. Das Maulthier.~~Das Maulthier ist ein Bastard, dessen Vater ein zahmer Esel und die Mutter ein Pferd ist. Sie sind an 5 Fuss hoch, braun, grau und sogar auch weiss von Farbe, und sehen dem Pferde an Gestalt sehr ähnlich; allein sie haben lange Ohren, und wiehern nicht wie das Pferd, sondern yanen wie der Esel. Wan (sic) schätzt sie sowohl zum Fahren als auch zum Reiten und Lasttragen, sonderlich im südlichen Europa sehr hoch. Die schönsten Esel-Hengste zur Maulthierzucht findet man in Spanien.~~No. 3. Der Maulesel.~~Der Maulesel ist ein Bastard, dessen Vater ein Pferd, und die Mutter eine zahme Eselin ist. Er ist kleiner als das Maulthier, nur etwa 4 1/2 Fuss hoch, und nähert sich an der Gestalt mehr dem Esel als dem Pferde. Er ist gewöhnlich schmutzig braun von Farbe, und übrigens so wie das Maulthier, von grosser Dauer und Stärke, daher er auch gewöhnlich zum Lasttragen gebraucht wird.~~No. 4. Der Quagga.~~Der Quagga ist der Wald-Esel von Afrika, wo er sonderlich in den Ländern der Kaffern heerdenweise wild lebt. Er gleicht etwas dem Zebra, ist aber jedoch wesentlich von demselben verschieden; denn er ist grösser und stärker, und lässt sich auch zahm machen und zum Zuge abrichten, welches beym Zebra unmöglich scheint. Er ist grau-braun und hat am Kopfe und Halse schwarze Streifen wie der Zebra. Der Bauch und die 4 Beine sind weiss; übrigens hat er alle Eigenschaften des Esels.~~
Ad00341 02 005a/freQuadrupèdes XXIV. T. II. No. 2.
L'ANE ET SES ESPÈCES BATARDES.
No. 1. L'Ane domestique.
L'âne e domesiique tire son origine de l'Onagcr ou sie l'àne sauvage, comme il a été remarqué cidessus. Cet animal utile le trouvant répandu dans presque toutes les parties du monde, ne prospére pourtant nulle part mieux, ainsi que rOn'agét, que dans les pays chauds; et il a été imposîjble jusqu'- à present de le naturaiiser dans les régions de I Europe les plus septentrionales. Il a à peu près 4 1/2 pieds de hauteur, et sa couleur ordinaire eil d'un gris cendré avec une croix noire le long des épaules. liest lent et paresseux, et on en a fait lesymboledela parelTe; mais ce désaut étant contrebalancé par plusieurs bonnes qualités, cet animal necellepasd' être un des plus utiles et des plusestimés. Il s'accomode de toutes sortes de nonrriture, de chardons et de plusieurs autres plantes à pointes, et son entretien est par consequent sort peu coûteux. Il est sujet à très peu de maladies, sa démarche est plus douce et plus asfurée que celle du cheval, et il est capable de porter de très grands sardeux. Sa vie peut durer presque 3o 3ns, et ordinairement il est utile au travail jusqu'à l'approche de ce terme de la nature. On a tâché d'améliorer sa race en L'accouplant avec le cheval, et de cet accouplement il est provenu deux nouvelles races bâtardes, sa voir le mulet et la mule, dont on fait un usage très fréquent surtout en Europe.
No. 2. Le Mulet.
Le Mulet est une espèce bâtarde, engendrée par un âne "t une jument. Il a 5 pieds de hauteur; sa couleur est brune, grise ou même quelquefois blanche, et par la forme de son corps il rellemble beaucoup au cheval, dont cependant il dissère par la longueur des oreilles et par son cri, qui approche plutôt du braiement de sane, que du henriissernent du cheval. Dansvles pays méridionaux de l'Europe cet animal est tresçqrrsmuii, et on s'en fert tant pour l'attelage, même aux carosses, que pour la monture et pour porter des fardeaux. Les plus beaux ânes étalons et les plus propres h produire des mulets, fe trouvent dans l'Espagne.
No. 3. La Mule.
La mule est engendrée par un cheval et une ânesse. E'ie est moins grande que le mulet, et n'a qu' à peu près 4 pieds de hauteur; par la forme du corps elle approche plutôt de l'àne que du cheval et sa couleur ordinaire est d'un brun sa le. Au reste eîie est de la même durée et-d'ime aussi grande sorce que le mulet; on s'en sert aufii comme du dernier pour le transport des grands fardeaux.
No. 4. Le Quagga.
Le Quagga est Fane fan vage de l'Asrique, OÙ, surtout dans le pays des Calsres, il est très fréquent et vit en grandes troupes. Cet animal rellemble un peu au Zèbre, mais il en diffère cependant par des qualités elTentielles; car non seulement il est plue grand et plus sort, niais il se laiise ausfi dompter et: dreifer- pour l'attelage, ce qu'il n' est guères posiible de faire avec le Zèbre. Sa couleur est d'un brun gritàtre, fa tète et son cou sont entourés de rayes noires, comme on en voit ausfi au Zèbre, et son ventre ainli que ses l\ pieds sont blancs. Pour tout le reste de ses qualités il ne diffère en rien, de l'àne sauvage ordinaire.
Ad00341 02 006aAd00341 02 006a.jpgEs giebt ausser dem Getraide, noch mehrere Pflanzen, aus deren Früchten oder Wurzeln man Brod macht, und welches viele Nationen sonderlich der andern Welttheile, essen. Zu den letzten gehören vorzüglich die Kartoffel, deren Vaterland eigentlich Süd-Amerika ist, die aber nunmehr auch in ganz Europa eingeführt ist; ferner die Yams-Wurzel, die Cassava- oder Manioc-Wurzel und die Batatten. Die beyden letztern zeigt gegenwärtige Tafel.~~No. 1. Die Cassava oder Manioc-Wurzel.~~Die Cassava, Manioc oder Manichot, ist eine Staude, welche in dem ganzen südlichen Amerika theils wild wächst, theils auch auf den Aeckern gebauet wird, etliche Fuss hoch wird, und knollige Wurzeln hat, die fast wie Rüben gestaltet, 15 bis 20 Zoll lang und 4 bis 5 Zoll dick sind, und von aussen gelb, innerlich aber weiss aussehen. Frisch ausgegraben kann man sie nicht essen, weil ihr Saft Gift ist. Allein man reibt sie, presst den Saft sorgfältig aus und trocknet oder backt hernach den gepressten Teig als dünne Kuchen auf heissen Blechen, und dies giebt ein gesundes und wohlschmeckendes Brod, welches die meisten Einwohner von Westindien und Südamerika essen. Die Blätter der Pflanze isst man auch als Gemüse. Der ausgepresste Saft tödtet, wenn er roh getrunken wird, Menschen und Thiere; sobald er aber gekocht ist, giebt er einen unschädlichen und gesunden Trank.~~No. 2. Die Batatten.~~Die Batatten sind in beyden Indien zu Hause und werden jetzt auch in Spanien und Portugal häufig gebauet. Es sind die knolligen Wurzeln der Batatten-Winde, welche blühet, und sich gewaltig weit fortflicht und um sich greift. Die Wurzel hat die Gestalt einer kleinen Rübe, sieht äusserlich roth, innerlich aber gelb aus, und hat einen lieblichen Geschmack, fast wie Kastanien. Sie werden in beyden Indien häufig angebaut, und man benutzt sie dort eben so wie bey uns die Kartoffeln, zu Mehl und Brod, zu Gemüse und zu einem geistigen Getränke, welches Mobby heisst. Sie können unser Clima nicht aushalten; man bringt sie aber theils getrocknet, theils auch in Zucker eingelegt, meistens aus Spanien, im Handel zu uns.~~
Ad00341 02 006a/frePlantes XXII. T. II. No. 3.
PLANTES À PAIN.
Outre les différentes sortes de blé connues dans l'Europe il y a encore d'autres plantes, dont les fruits ou plutôt les racines sont employés par plusieurs nations des autres parties du monde pour en faire du pain. Parmi ce nombre on doit principalement compter les pommes de terre, qui sont originaires dans l'Amérique méridionale mais cultivées maintenant dans toute l'Europe. Les autres plantes à pain les plus remarquables sont la racine d'Tams, la Cajjave ou la racine de Magnoc et les Batattes. Les deux dernières se trouvent représentées sur la Table ci-jointe et j'en donnerai ici la description.
No. 1. La racine de Cassave ou de Mainoc.
La Cassave, le Manchot ou Magnoc ou Manioque est un arbrisseau originaire dans l'Amérique méridionale, ou non seulement les habitans le cultivent sur des terres désrichées, mais où il croit ausfi sans aucuns soins. Il s'élève à plusieurs pieds de hauteur, sa racine tubéreuse, dont la longueur est de 15 à 20 pouces et sa grosseur de 4 à 5, a presque la forme d'un navet; elle est jaune extérieurement et blanche en dedans. - Cette racine mangée crue feroit un poifon mortel, mais pour lui enlever ses parties venimeuses, on la defleche, la réduit en poudre et en exprime soigneufement le suc; ensuite on forme des gâteaux sort minces de la fubstance sarineufe qui reste, et on les fait sécher on cuire sur des plaques de fer blanc très chaussées. Le pain qu'oa prépare de cette manière est sain et d'un bon goût, et la majeure partie des habitans des In-, des occidentales et de l'Amérique méridionale en sont un nsage trtès fréquent. On y mange aussi les feuilles de cette plante en manière de légumes; Le suc exprimé de la racine est mortel pour les hommes et pour les-animaux, s'il n'est pas cuit; mais lors qu'on l'a fait bien bouillir, on peut le boire sans danger.
No. 2. Les Batates.
Les Batattes viennent naturellement dans les deux Indes, mais de nos jours leur culture a ausfi été introduite en Espangne et en Portugal et y réussit parsaitement. Elles sont la racine tuberculéufe d'une plante rampante, qui porte des fleurs bleues et dont la tige se répand aiféraent et s'étend fort loin. Cette racine reffemhle par fa forme à un petit navet; sa couleur est extérieurement rouge, et jaune en dedans, et le goût en est fort agréable, approchant de celui du marron. Dans les Indes on Pen fert comme chez nous des pommes de terre, pour en faire de la sarine et du pain et pour les manger en légumes; on en tire aufii une liqueur fpiritueuse, qu'on appelle Mobby. Cette plante ne peut endurer notre Climat, mais par le commerce nous recevons ses racines tant séchées que consites au fucre, et c'est surtout l'Espagne qui nous en fournit.
Ad00341 02 007aAd00341 02 007a.jpgNo. 1. Der Hausen.~~Der Hausen ist beynahe der grösste unter den Fluss-Fischen; denn man findet ihn von 8 bis 24. Fuss Länge. Er wohnt vorzüglich in Russland in der Wolga, und in Ungarn in der Donau, und geht des Winters wie der Lachs ins Meer. Er gehört unter die Raubfische und ist sehr gefrässig. Sein Rücken, wo er auch drey knöcherne Schilde hat, ist schwarz, der Bauch weiss und die Seiten bläulicht und wellenförmig gezeichnet; übrigens ist seine Haut glatt und ohne Schuppen. Für Russland, wo er Beluga heisst, ist er ein wichtiger Handelsartikel. Man fängt ihn im Frühjahr und Herbste entweder in grossen starken Netzen, oder mit Harpunen. Sein Fleisch ist so wohlschmeckend als das vom Lachse, und man verkauft es entweder frisch, oder verführt es eingesalzen, oder marinirt ins Ausland. Aus seinen Rogen wird, so wie vom Stör, Caviar bereitet, und aus seiner Luftblase und Eingeweiden die bekannte Hausenblase gemacht, welche man als den besten Leim häufig zu allerley Leim- und Lackfarben, Abklären der Farbebrühen, der Weine und anderer Dinge, desgleichen zu Mundleim, Kütten, zu kleinen Heiligen Bildern, so wie auch, um verschiedenen seidenen und wollenen Zeuchen den Glanz oder die Appretur zu geben, braucht.~~No. 2. Der Stör.~~Der Stör bewohnt, so wie der Hausen, im Winter das Meer, und im Sommer die grossen Flüsse, in Teutschland besonders die Elbe und Oder, und wird auch eben so gefangen. Er ist eben so gross wie der Hausen, und hat so wohl an Wohlgeschmack seines Fleisches als auch sonst vieles mit diesem Fische gemein. Bey den alten Griechen und Römern wurde der Stör für eine so hohe Delikatesse gehalten, dass ein Gericht Stör immer die Prachtschüssel bey allen ihren Gastmahlen war. Sein Rogen wird in Russland eingesalzen, und davon, so wie vom Hausen, der berühmte Caviar gemacht, der als eine Leckerspeise durch ganz Europa versendet wird. Der Stör ist gleichfalls ein Raubfisch, und nährt sich vorzüglich von Heringen, Makrelen und Lachsen, obgleich sein Maul zahnlos ist. Er hat 5 Reihen knöcherne stachlichte Schilder auf seiner Haut, die ihm ein fünfeckigtes Ansehen geben. Seine Farbe ist am Rücken und Bauche braun, und an den Seiten blaugrau.~~No. 3. Der Sterlet.~~Der Sterlet ist der kleinste von allen Stören, denn er wird nicht über 4 Fuss lang, aber auch der delikateste von allen, und überhaupt der schmackhafteste Fisch unter allen die Russland hat, daher er auch dort sehr theuer verkauft wird. Er lebt von Würmern und Fischbrut, des Sommers in Flüssen, des Winters im Kaspischen Meere. Aus seinen Rogen wird ebensalls Caviar gemacht, der aber, weil der Fisch nur klein ist, nicht in Menge bereitet wird; und weil er ungleich besser als der vom Hausen und Stöhr ist nur an den Kaiserlichen Hof kommt.~~No. 4. Der Wels.~~Der Wels ist nebst dem Hausen der grösste Fisch der süssen Wasser. Er lebt in Teutschland in der Elbe, der Donau, Weser und Oder; der Rücken ist schwarzgrün, und der Bauch weissgelb von Farbe. Er nährt sich gleichfalls vom Raube, liegt aber immer träg auf den Grunde im Schlamme. Sein Fleisch ist weiss, süss und wohlschmeckend, und wird sonderlich marinirt gegessen.~~
Ad00341 02 007a/frePoissons X. T. lI. No. 4
POISSONS DE RIVIERE REMARQUABLES.
No. 1. Le grand Esturgeon.
Le grand Esturgeon est le plus grand poisson de rivière qui exifte, car on en voit qui ont jusqu'à 24 pieds de longueur, II se trouve principalement en Russie dans le sseuve Volga et en Hongrie dans le Danube, mais à l'approche de l'hiver il pâlie régulièrement dans la mer comme ie saumon. Ce poillbn est du genre de ceux qui mangent les autres et il est extrêmement vorace. Son dos noir est garni de trois rangs d'écaillés olseuses, mais sur tout le restede l'on corps sa peau est douce et sans écaille; son ventre est, blanc et aux deux cotés sa couleur est bleuâtre et ondoyante. Dans la Russie, où il est appelle bel luge ou bolluca, il fait un article très important cse commerce; au printemps et à l'automne on le ' prend dans de grands filets ou même par le moyen du harpon. Sa chair a le gôut du saumon; on la vend toute sraîche au marché, ou elle est salée ou marinée et transportée dans l'Etranger. Des oeufs de ce poiiïon on prépare le Caviar, et de sa vessie d'air, de l'es entrailles et de quelques autres parties de son corps on sait la colle de poijson, dont les qualités gluantes et tenaces la rendent présérable à toute autre sorte de colle. On s'en sert non leuîement pour préparer des vernis et des couleurs et pour éclaircir les vins et autres matières liquides, mais elle est aussi sort d'usage pour donner du lusire et de la consistance aux étoffes de soie et de laine. Les delsinateurs et autres artistes la connoiisent sour le nom de colle à bouche; on l'emploie enfin à faire du lut et des petits images de saints.
No. 2. L'Esturgeon ordinaire.
Ce poisson habite la mer dans l'hiver, comme le grand Esturgeon, et remonte dans les grands sleuves; pendant l'été on le prend aussi de la même manière. En. Allemagne on le trouve surlout dans l'Elbe et dans l'Oder. A la grandeur près il relsemble beaucoup au grand Esturgeon tant par le goût de sa chair, que par différentes autres qualités. Cher les Grecs et les Romains ce poiss'on étoit régardé comme une des plus grandes delicatelses, et à leurs banquets il fit toujours le plat de parade. Dans la Russie Tes oeufs sortt saiés comme ceux du grand Efturgeon, et le Caviar qu'on en sait est envoyé par toute l'Europe comme une friandise. Quoique la bouche de ce poiiïbn soit dépourvue de dents, il est cependant ausfi vorace, et se nourrit surtout de harengs, de maqueraux et de sa unions" Sur sa peau il porte 5 rangs d'écaillés oiseuses et radieuses; ce qui donne au corps de l'animal une forme pentagone. Il est brun de couleur sur le dos et au ventre, et aux deux cotés il est bleuâtre donnant sur le gris.
No. 3. Le petit Esturgeon.
Ce poisson n'a jamais plus de 4 pieds de longueur et fait par consequent l'espèce la plus per tite des Esturgeons; mais il en est la plus agréable pour le goût, et en général le poisl'on le plus délicat, qu'on trouve dans la Russie; il 'y est ordinairement vendu à des prix sort chers. Il se nourrit de vertnisseaux et de srai de poissons et paise l'été dans les riviéi-es et l'hiver dans la merCas, pienne. On sait aussi du Caviar de ses oeufs, dont cependant on ne peut préparer qu'une petite quantité à cause de la petitesle du poisson, mais comme ilest régardé pour beaucoup meilleur que le Caviar fait des autres Esturgeons, il est exclusivement fourni à la cour Imperiale.
No. 4. Le Silure.
Le Silure est au grand Efturgeon prés lèplus grand poisson qui vit dans les eaux douces. En Allemagne on le trouve dans l'Elbe, le Danube; le Weser et l'Oder, Son dos est d'un noir dorn nant sur le vert, et son ventre est d'un jaune trés clair. Il est tacheté partout en noir. Il est également vorace, mais il se tient toujours comme par paresse au fond du sseuve sur la bourbe. Sa chair est blanche et agréable au goût; on la mange surtout marinée.
Ad00341 02 008aAd00341 02 008a.jpgPflanzen XXIII. Plantes XXIII. No. 1. Der Orlean od. Rocou-Baum.~~Der Orlean oder Rokou-Baum wächst in Westindien, Mexico und Brasilien in der Grösse eines Apfelbaums. Er hat immer grüne Blätter, blassrothe und weisse Blüthen, und trägt stachlichte Saamen-Kapseln, fast wie die Kastenien, welche innerlich voller Saamenkerne, so gross wie Wicken sind. Diese Kerne haben eine hochrothe, dicke, weiche Haut, welche eigentlich der Gegenstand ist, warum dieser Baum angebaut wird. Man weicht nämlich die Kerne in Wasser ein, bis diese Haut sich davon ablöset; dann wascht man sie mit den Händen ab, nimmt die abgelösten Kerne heraus, und lässt nun den rothen Brey zu Boden sitzen; dann giesst man das klare Wasser sanft ab, trocknet den Bodensatz an der Sonne, macht Kugeln oder Kuchen daraus, die man in Schilfblätter wickelt; und dies ist nun die schöne rothe Farbe, die wir unter dem Namen Orlean oder Rocou kennen, und welche sowohl von Färbern als Mahlern gebraucht wird.~~No. 2. Der ächte Safran.~~Der ächte Safran ist ein Zwiebel-Gewächs, und so wohl im Oriente als auch im südlichen Europa auf Bergen wild wächst. Er wird aber auch, als eine wichtige Handelswaare, anjetzt in den meisten Ländern von Europa, und sonderlich in der Türkey, in Spanien, Frankreich, England, Irland und Nieder-Oesterreich an der Donau gebauet. Der wilde Safran blühet auch bey uns im Frühjahre schon im März weissgelb und blau in den Gärten; der ächte oder Herbst-Safran aber blühet gemeiniglich erst im October röthlich und treibt seine Blume ohne Kraut, gerade aus der Zwiebel. In der Blume, die wie eine Lilie aussieht, stehen drey am Griffel vereinigte Narben des Staubweges, von rothgelber Farbe und starkem Geruche. Diese sind es nun, welche sorgfältig abgepflückt, gesammelt, getrocknet und unter dem Namen Safran, als die bekannte Waare, verkauft werden. Sie stehen hier neben der Pflanze besonders gezeichnet. Gleich nach der Blume, welche nur einen Tag blühet, kommen ihre grasähnlichen Blätter hervor. Sehr wesentlich von dieser Pflanze ist der unächte Safran oder Saflor unterschieden, als welcher kein Zwiebel-Gewächs, sondern eine Distel-Art ist.~~
Ad00341 02 008a/frePlantes. XXIII. T. II. No. 5.
PLANTES À TEINTURE.
No 1. Le Roucou.
Le Roucou est un arbre de la grandeur d'un pommier, et croit dans les Incies occidentales, le Mexique et le Brésil. Ses feuilles sont toujours vertes et les fleurs blanches ou d'un rouge j aie. Les fruits qu'il porte sont des gonsses hérissées des pointes comme les marrons, qui renserment des petits grains ou semences de la grosfeur d'une vesce. Ces grains sont couverts d'une peau epaisse, visqueuse et qui, étant d'un très beau rouge de feu, fait le principal objet de la culture de cet arbre. On trempe les grains dans l'eau, jusqu'à ce que la peau s'en détache, et on achève alors de la séparer en srottant les grains entre les mains dans l'eau. Quand les grains, dépouillés de cette manière de leur peau, sont retirés de l'eau, le marc rouge qui y reste le précipite bientôt au fond. On verse en sui te avec précaution l'eau claire, expose le sédiment au soleil pour le sécher et en sait des petits pains qu'on enveloppe dans des feuilles de roseaux. C'est cette pâte qui est la belle couleur rouge, connue sous le nom de Roucou, et dont les peintres et les teinturiers sont un très grand usage.
No. 2. Le Safran.
Le Safran est une plante bulbeuse, qui naît san. 6 culture dans l'Orient et dans l'Europe méridionale, mais comme aujourd'hui il Fait un article très important de commerce, on le cultive aussi dans la plupart des pays de l'Europe et surtout dans la Turquie, l'Espagne, la France, l'Angleterre, l'Irlande et aux bords du Danube dans l'Autriche insérieure. Une espèce de Sasran, qui croit dans nos jardins, fleurit déjà dans le mois de Mars et on ne le cultive qu'à cause de ses fleurs agréables, qui sont blanches, jaunes et bleues" Mais le véritable Sasran, dont il est ici quéftion, ou le Sasran d'Automne, ne fleurit communément que dans le mois d'Octobre, et sa fleur qui est roujpêatre et semblable au lis, s'élève de l'oignon même sans être entourée d'aucune feuille. Il sort du fond de la fleur trois étamines jointes essemble au style, et dont les stigmates sont très odorans et de couleur vive d'orange. Cette seule partie de la plante est cueillie avec grand soin, léchée et vendue alors sous le nom connu de Sasran. Sur la feuille ci-jointe on voit ces stigmates répresentés sepaiément à coté de la plante. Ces fleurs ne durent qu'un jour, après qu' elles sont épanouies, er quand elles sont tombées ou cueillies, il nait des feuilles semblablea au gramen.
Le Safran bâtard ou le cartame diffère essentiellement du véritable safran; car il n'est pas comme ce dernier une plante bulbeuse, mais une espèce de chardon.
Ad00341 02 009aAd00341 02 009a.jpgNo. 1. Der Meerhahn. (Zeus gallus.)~~Der Meerhahn ist etwa 6 bis 8 Zoll lang; sein Körper ist ganz dünn ohne Schuppen, sieht silberfarben aus, und hat grüne Flossfedern. Er lebt in den Ostindischen Meeren, gehört zu den Spiegelfischen, und wird von den Ostindiern gegessen.~~No. 2. Der Langhaarige Spiegel-Fisch. (Zeus crinitus.)~~Dieser Spiegelfisch, welcher ohngefähr so gross als der vorige ist, und gleichfalls in Ostindien lebt, hat eine rautenförmige Gestalt, ist eben so breit als lang, und dabe sehr dünn und schuppenlos. Er ist silberfarbig, auf dem Rücken blaulicht, und hat braune Flossfedern. Merkwürdig ist er wegen der sehr langen haarförmigen Strahlen in seiner Rücken- und Bauchflosse, wovon er auch seinen Namen der langhaarige Spiegelfisch hat.~~No. 3. Der Meerpfau. (Coryphaena Plumierii.)~~Der Meerpfau hat seinen Namen von den sehr schönen Farben, womit ihn die Natur gezieret hat; denn sein Rücken ist braun, mit hellblauen geschlängelten Flecken; die Seiten sind gold- und der Bauch silberfarben, und die Flossen gelb und blau. Er ist ohngefähr 16 Zoll lang und lebt in Ost- und Westindien. Er gehört unter die Raubfische, und hat ein wohlschmeckendes Fleisch.~~No. 4. Der Zauber-Fisch. (Scorpaena horrida.)~~Der Zauberfisch, welcher gleichfalls in Ostindien lebt, hat seiner wunderbaren widrigen Gestalt wegen diesen Namen erhalten. Er ist glatt und schuppenlos, und sein ganzer Körper braun und weisslich gefleckt. Er nährt sich von Krebsen und Muscheln.~~No. 5. Der fliegende Drachenkopf. (Scorpaena volitans.)~~Dieser Fisch lebt vorzüglich im Amboina, ist gelbbraun am Körper mit weissen Flecken, und hat schwarzbraun mit Weiss gefleckte grosse Flossen, welche ihm statt der Flügel dienen, um sich aus dem Wasser in die Luft zu heben, und fortzufliegen, wenn er von seinen Feinden verfolgt wird. Er nährt sich von der Brut anderer Fische und sein Fleisch ist essbar.~~
Ad00341 02 009a/frePoissons. XI. T. II. No. 6.
POISSONS DES INDES ORIENTALES.
No. 1. Le Coq de mer. (Zeus gallus.)
Le Coq de mer est de la longueur de 6 à 8 pouces, san corps est très mince, sans écailles et de couleur argentine; ses nageoires sont vertes. Il appartient au genre des poissons à miroir et vit dans les mers des Indes orientales; les habitans de ces régions aiment à le manger.
No. 2. Le poisson à miroir à poil long. (Zeus crinitus.)
Cette espèce des poissons a miroir est à peu prés de la même longueur que le précèdent et vit également dans les Indes orientales. Il est extrêmement mince, sans écailles, ausü large que long et d'une forme rhomboïde. Sa couletir est argentine, excepté sur le dos où il est bleuâtre, ses nageoires sont brunes. Il est principalement remarquable par les rayons dont les nageoiies de str" dos et de son ventre sont garnies et qui ont I'air d'un poil fort long; c'est aussi ce qui lui a sait donner le nom de poisson à miroir à poil long.
No. 3. Le Paon de mer. (Coryphaena Plumierii.)
Ce poisson doit son noxn à la beauté des plumes dons la nature l'a orné; son dos est brun à tâches bleues claires marquées en serpentant; le ventre est argentin et les cotés sont de couleur, d'or; les nageoires enfin sont jaunes et bleues. Il est à peu prés de la longueur de 16 pouces et vit dans les deux Indes. Il appartient au genre des poissons voraces et sa chair est d'un goût sort délicat.
No. 4. Le Pythonisse. (Scorpaena horrida.)
On a donné à ce poisson le nom de PythonhTe, parceque sa forme qui est très desagréable tient en quelque sorte du merveillaux. Il est tout à fait uni et sans écailles et tous son corps est brun à tâches blanchâtres. II vit dans les Indes Orientales et se nourrit d'écrevisses et de coquillages.
No. 5. La Scorpène volante. (Scorpaena volitans.)
Ce poisson se trouve principalement aux côtes de l'isle d'Amboîne. Son corps est d'un brun clair à tâches blanches et ses nageoires sont d'un brun foncé à tâches blanches. Ces dernières sont fort grandes, et tiennent au poisson lieu d'ailes pour s'eléver dans l'air et s'envoler lors qu'il est poursuivi par un ennemi. Il se nourrit du frai des autres poissons et sa chair est mangeable. border="1" alt="Band02" />
Ad00341 02 010aAd00341 02 010a.jpgDie alten Aegypter glaubten, dass alle Todte nach einer langen Reihe von Jahren wieder lebendig werden würden, und gaben sich daher alle ersinnliche Mühe die Leichen ihrer Todten so viel als möglich vor der Zerstörung zu verwahren. Dies soll Gelegenheit zur Erbauung der Pyramiden, als unzerstörbarer Grabmähler für ihre Könige, und zur Einbalsamirung ihrer Todten und Verwandlung derselben in Mumien, gegeben haben, die man noch jetzt in den Catacomben oder unterirdischen Begräbnisshöhlen in Aegypten findet.~~So viel wir davon wissen, hatte man eine dreifache Art die Todten einzubalsamiren, davon die eine sehr kostbar, die andern beiden aber wohlfeiler waren. Nach der ersten Art, zog man das Gehirn mit einem zackigen Eisen aus dem Kopfe, und füllte den hohlen Kopf dann mit Gummi und Specereien an. Dann öffnete man den Leib mit einem steinernen Messer, nahm die Eingeweide heraus, reinigte den Leib, wusch ihn mit Palmen-Wein, und räucherte ihn aus; füllte ihn sodann mit Cassia, Myrrhen und andern Specereien an, und nähete ihn wieder zu. Dann wusch man ihn mit starker Salpeterlauge, legte ihn 70 Tage an die Luft, um ihn austrocknen zu lassen, wusch ihn dann nochmals und wickelte ihn dann in eine stark mit Gummi beschmierte Leinwand. Ueber dieser wurde er dann wieder mit einigen hundert Ellen langen Binden von Leinwand, die alle stark mit Gummi bestrichen waren, umwickelt. Wenn dieses geschehen war, wurde nun die ganze Mumie mit einer Lage Gyps überzogen, und darauf sowohl auf das Gesicht des Todten, als auch auf den Leib eine Menge bunter Figuren und Hieroglyphen gemalt, die vermuthlich Namen, Geschlecht und Stand des Todten besagten. Nun wurde ein Sarg von Holz mit einem Deckel, der völlig auch die menschliche Form der Mumie und ihr Gesicht hatte, ausgehauen, eben so wie die Mumie gemalt, die Mumie hineingelegt und so aufrecht, wie ein Mensch in den Nischen ihrer Catacomben aufgestellt.~~No. 1. zeigt eine solche Mumie in ihrem Sarge.~~No. 2. ist der abgenommene Sargdeckel davon.~~No. 6. ist der Grundriss einer solchen unterirdischen Catacombe, wie man sie noch jetzt in Aegypten ohnweit der Pyramiden sieht. A. ist der Eingang, wo man hinabsteigt. B. der Hauptgang zu den Begräbnissen; C. D. sind Gemächer mit erhabenen Bänken, X. worauf man Särge legte; C. sind enge Zellen, in welche man gleichfalls Särge hineinschob; GG. sind gleichfalls Grabgemächer. FF. aber zwei Nischen, in welche man vermuthlich sehr vornehme Leichen und kostbare Mumien aufrecht stellte.~~Da die alten Aegypter mehrere Thiere, unter andern auch den Ibis heilig hielten: so balsamirten sie daher auch jeden todten Ibis, den sie fanden, ein; und setzten sie in spitzigen irdenen Töpfen, wohl verwahrt in eigene dazu bestimmte Catacomben, welche man unter dem Namen, die Vogelbrunnen, noch heut zu Tage sieht, bei. No. 3. zeigt eine solche Vogel-Urne mit ihrem Deckel verschlossen; No. 4. dieselbe geöffnet; u. No. 5. die Mumie eines einbalsamirten Ibis.~~
Ad00341 02 010a/freAntiquités. IV. T. II. No. 7.
MOMIES EGYPTIENNES.
La croyance clés anciens Egyptien", "ne les morts après une longue suite, d'années recommenceraient â vivre, leur avoit sait chercher tous les moyens posfibles depréserver delà corruption les corps de leurs morts. Ce principe occafionria non seulement la construction des Pyjramides, comme des sepüknres indeftrucubles de leurs Rois, mais il leur sit aussi inventer l'art d'embaumer leurs morts et de les réduire en Momies, telles qu'on en trouve encore de nos jours dans les catacombes de l'Egypte, ou les fouterreins, qui servoient aux anciens habitans de ces pays de lieux de sepulture.
Autant qu'il nous soit connu aujourd'hui de cet art remarquable, il y avoit trois dïsséren. tes manières d'embaumer les cadavres ufitées parmi les Egyptiens, dont l'uneétoit extrêmement pentlieufe, les deux autres au contraire plus fimdisples. Suivant la première, la cervelle fut d'abord tirée du crâne avec un fer crochu, et la ttête crenfe remplie d'une gomme précieufe et de toutes fortes de parfums. Puis on ouvroit le corps par le moyen d'un eouieau de pierre, on en tiroit les entrailles, le nettoyoit avec da vin de palmier et le parfumoit; ensuite on ie remplisibit de myrrhe en poudre, de cafîe et d'autres aromates, et en refermoit l'ouverture. L'ayant ensuite Tavédan8 une leffive très forte de falpétre, on l'expofoit à l'air pendant foixante dix jours pour le faire fécher, et après cela on lelavoit une fécond sois. Dans cet état le corps sut enveloppé dans une toile de lin fortement enduite de gomme et encore par dessus celle-ci de quelques centaines d'aunes de bandelettes de lin également empreintes de gomme. Cela fait, toute la Momie fut couverte d'une couche de plâtre, et par dessus on chargea le visage du mort aussi bien que tout le corps de totstes fortes de figures et d'hiéroglyphes, qui sélon toute apparence dè signoient le nom, la famille et le rang du désunt. Après tout cela on ensermoit la Momie dans un cercueil de bois précieux auquel on donna la forme aussi bien qu'à son couvercle la phifiognomie du mort, et on y appliqua aussi les mêmes figure s qu on avoit peintes sur la Momie. Ces cercueils surent ensuite placés debout comme des vivans dans des niches de leurs catacombes.
No. 1. réprefente une pareille Momie dans Jon cercueil;
No. 2. est te couvercle Japaré du cercueil;
No. 6. est le plan dune de ces grottes Jouterraines, telle qu'on en voit encore aujourd'hui en Egypte dans le voifinage des pyramides. A. est l'entrée, par laquelle on y descend; B. le chemin aux Sépulcres; C. D, des appartemens remplis de bancs élevés x, sur les quels furent placés les cercueils; E. des cellules étroites ou l'on fit ausfi entrer des cercueils; GG. sont également des lieux de fepulture; mais FF. sont deux niches, dans lesquelles vraisemblablement on plaça debout les corps des personnes de grande qualité" ou des Momies précieufes.
Cette nation regardant aussi comme saerésplusieurs animaux brutes et entre autres I'lbis étoit dans l'ufage d'embaumer tous ceux de ces oiseaux qu'on trouvoit morts. On les enfermait ensuite dans des vafes de terre cuite et de figure pointue et les mettoit dans catacombes de ftinées particulièrement à la fepulture de ces bêtes. On trouve encore aujourd'hui de ces sim" terrains, et ils sont connus sous le nom de puits doijeaux.
No. 3. représente une pareille urne à oiseux. fermée de son couvercle;
No. 4. est la même, mais sans couverte;
No. 5. est la Momie d'un Ibis embaumé.
Ad00341 02 011aAd00341 02 011a.jpgNo. 1. Der Drachenblut-Baum. (Dracaena Draco.)~~Der Drachenblut-Baum ist eine Art von Palme, und wächst in Ost- und Westindien. Er treibt einen ziemlich hohen, geraden Stamm, der sich oben wie eine Krone in viele kleine Aeste vertheilt, auf deren Spitzen die Blätter wie eine Bürste stehen. Er blühet in Ruthen ähnlichen Zweigen (Fig. a.) weissgelb, und trägt rothe Früchte wie Beeren, in der Grösse einer Zucker-Erbse. Er liefert ein schönes dunkelrothes Harz, welches man theils durch Einschnitte aus der Rinde, theils aus den Früchten zieht, und das unter dem Namen Drachenblut im Handel bekannt ist. Das beste kommt aus Madagaskar, und wird vorzüglich von den Malern und Lakierern gebraucht,~~No. 2. Die Areca-Palme. (Areca catechu.)~~Die Areca-Palme wächst in ganz Ostindien, Africa, und auf den warmen Inseln der Südsee, zu einer beträchtlichen Höhe. Ihr Blütenstrauss bricht aus dem Stamme selbst dicht unter den Blättern hervor, trägt anfangs weisse Blümchen, und daran endlich die Frucht, deren oft zweihundert an einen Büschel sitzen. Diese Früchte welche so gross als ein Hühner-Ei sind, und aus einem holzichten faserichten Gewebe (Fig. b.) bestehen, schliessen als Kern die sogenannte Areca oder Pinnang-Nüsse ein, die einer Muscaten-Nuss ziemlich gleichen. Ihr Inneres ist weiss, hart, und hat viele rothe Adern. Diese Areca-Nüsse sind bei den Orientalen im allgemeinen und täglichen Gebrauche. Sie spalten nämlich den Kern in vier Theile, und wickeln jedes Theil in ein Betel-Blatt, bestreuen es mit ein wenig Muschelkalche, nehmen es, sonderlich gleich nach der Mahlzeit, in den Mund, und kauen den Saft heraus, um die Verdauung zu befördern, den Mund zu reinigen, und die Lippen und Zähne roth zu färben.~~Dies Betel-Kauen ist so allgemein in Indien, dass man allenthalben dergleichen zubereiteten Betel zum Verkauf findet. Vornehme Herren haben ihn beständig in der Hand, oder lassen sich ihn in silbernen Schaalen nachtragen. Bei Besuchen kömmt man damit den Gästen gleich entgegen, und Müssiggänger führen dergleichen den ganzen Tag im Munde. Kurz, er wird ohngefähr eben so im Oriente gebraucht, als bei uns in Europa der Schnupftabak.~~
Ad00341 02 011a/frePlantes. XXII. T. II. No. 8.
PLANTES DES PAYS CHAUDS.
No. 1. Le Sang-de-dragon. (Dracaena Draco.)
Le Sang-de-dragon est la substance réfineuse d'un arbre, qui appartient au genre des palmiers, et croît dans les daux Indes. Son tronc, qui est. tout droit et ordinairement allez haut, ne poulie des rameaux que par en haut en forme de couronne, sur l'extrémité, des quels il se trouve des feuilles en grand nombre et faisans la figure d'une brosse. Ses rieurs qui viennent en branche y de la forme d'une verge (Fig. a.) sont de coleur jatinàtré; les fruits qu'il porte, sont des grains rouges de Ja groiïeur des pois. La résine de cet arbre est. d'un beau rouge foncé, et on l'en retire tant par la décoction de ses fruits que par des incitions faites dans son écorce, qui en sont découler une liqueur qui se condense aussitot en des larmes rouges apportées chez nous en globules enveloppés dans du jonc et connus dans le commerce Tous le nom de sang-de dragon. Le meilleur en vient de l'isle de Madagascar, et ce sont principalement les peintres et les vemisseurs, qui en sont grand usage.
No. 2. Le Palmier d'Arec ou Aréca. (Areca catechu.)
Le Palmier d'Arec ou Aréca croit dans les Indes orientales, en Afrique et sur les isles de la mer du Sud, et parvient à une hauteur très considerable. Ses petites fleurs blanches sortent en bouquets du tronc même de l'arbre tout en ssessous des feuilles, et après quelque tems la même tige qui les a produit, est aussi chargée de fruits. Ce fruit a la grosseur et la forme d'un oeuf de poule, son écorce est molle et garnie d'une espece de bourre (b); au centre de cette filaHé il se trouve une noix semblable à celle de la muscade, et qui porte le nom de noix d'Ares ou Avèca. Elle est dure, de couleur blanche en dedans et panachée de veines roussàtres. Les Indiens sont de ces noix un usage journalier et fréquent. Ils la coupent en quatre tranches, qu'ils enveloppent chacune dans une feuille de Betes, après avoir couvert cette feuille de Bétel, avec une légère couche de chaux, ils preunent ces tranches dans la bouche, surtout après les repas, et en avalent en les mâchant la saveur, pour aider la digestion, et pour teindre en rouge leurs lèvres et leurs dents en nettoyant en même tems la bouche. L'usage que ces nations sont du Bétel ainsi préparé est tellement général, que partout il y en a à vendre, Les Indiens de distinction en ont continuellement sur eux, ou ils se sont accompagner par des domestiques, qui en portent dans des vases d'argent. Us s'en présentent d'abord dans les visites qu'ils se rendent, et les faineans ne sont toute la journée que mâcher du Bétel. En un mot on s'en sert dans l'Orient à peu prés comme dans l'Europe d'une prise de Tabac.
Ad00341 02 012aAd00341 02 012a.jpgNo. 1. Der edle Hirsch. (Cervus Elaphus.) No. 2. Die Hirsch-Kuh. No. 3. Das Hirsch-Kalb.~~Der Hirsch bewohnt ganz Europa, Nord-America und Asien herunter bis Japan, nur in zu kalten und zu heissen Ländern lebt er nicht. Er sieht rothbraun aus, hat ein braunes ästiges Geweihe, welches er jährlich im Frühlinge abwirft, worauf ihm sogleich ein anderes wächst. Seine Höhe ist 3 1/2 Fuss. Er wird 30 Jahr alt, und nährt sich von Frucht-Saat, Knospen der Nadelhölzer und Laubhölzer, Haidekraut, und im Winter von Moos und Baumrinden. Die Hirsch-Kuh, oder in der Jägersprache das Thier, hat kein Geweihe, sieht braun mit grau gemischt aus, geht 8 Monate trächtig, und bringt gewöhnlich nur ein Junges, welches sie 3 Monate säugt. Das Hirsch-Kalb sieht schön rothbraun und weiss gefleckt aus, und ist ein zierliches sehr artiges Thier. Ist es ein Männchen, so heisst es nach der Jägersprache ein Hirsch-Kalb, ist es aber ein Weibchen ein Wild-Kalb. Es bleibt gewöhnlich 2 Jahre bei der Mutter. Nach 6 Monaten heisst das nämliche, oder Hirschkalb, ein Schmalthier; und wenn ihm im nächsten Frühjahre die Geweihe spiessähnlich, und mit einer haarigen Haut überzogen hervorbrechen, so wird es ein Spiesshirsch oder Spiesser. Im April des folgenden Jahres schlägt der Spiesser zum erstenmale sein Geweih ab, und bekommt sogleich ein neues, welches grösser als das vorige ist, und Zacken oder Enden hat. Die grössten natürlichen Geweihe, die man kennt, haben 18 bis 24 Enden.~~No. 4. Der Damhirsch. (Cervus Dama.)~~Der Damhirsch ist gleichfalls einheimisch bei uns, bewohnt nur ein gemässigtes Clima, und in England findet man die meisten. Er ist etwas kleiner als der edle oder rothe Hirsch, hat breitzackige Geweihe, und sieht gemeiniglich roth- oder braun- und weissgefleckt aus; man hat aber auch häufig weisse. Von Natur ist er nicht so wild als der grosse Hirsch, lässt sich leicht zähmen, und wird daher meistens in den Thier-Gärten grosser Herren als ein halbes Hausthier erzogen. Er wird nur 20 Jahre alt, und sein Fleisch ist zarter und schmackhafter, als das vom Hirsche.~~No. 5. Das Elenthier. (Cervus Alces.)~~Das Elenthier lebt vorzüglich im nördlichen Europa, Asien und America, jedoch nicht in ganz kalten Ländern, in dicken, finstern, sumpfigten Wäldern. Seine Farbe ist bräunlich grau, und sein Geweihe besteht aus 2 breiten stumpfzackigen gelben Schaufeln. Es ist grösser als der Rothhirsch, so gross als das grösste Pferd, und sein Gewicht oft an 1200 Pf. Es ist erstaunlich schnell, und kann in einem Tage wohl 50 Meilen laufen. Seine Haut ist so dick, dass kaum eine Kugel hindurch geht. Es nährt sich von Blättern und Baumknospen, und kommt in der Lebensart sehr mit dem Rennthiere überein, lässt sich auch wie dieses zähmen, und Heerdenweise auf die Weide treiben. Sein Fleisch ist schmackhaft, seine Haut ist eine schätzbare Handelswaare, seine Knochen werden zu allerhand Dingen wie Elfenbein verarbeitet, und aus seinen braunen Klauen Ringe und Halsbänder gemacht. Dass dies Thier mit der fallenden Sucht behaftet sey, und Ringe aus seinen Klauen gearbeitet, dafür helfen, ist ein altes Mährchen, das längst widerlegt ist.~~
Ad00341 02 012a/freQuadrupèdes. XXV. T. II. No. 9.
DIFFERENTES ESPECES DE CERFS.
No. 1. Le cerf. (Cervus Elaphus.)
No. 2. La biche.
No. 3. Le faon.
Le cevf vit dans toute l'Europe, l'Amérique septentrionale etl'Asie jusqu'au lapon, et ce n'est que les climats trop chauds ou trop froids qu'il ne peut endurer. Sa couleur est d'un brun à plulleurs chevilles, qu'il sait tomber au prkitems et le
Ad00341 02 013aAd00341 02 013a.jpgNo. 1. Der Waid. (Isatis tinctoria.)~~Ehe der Indigo aus Westindien kam, war der Waid die einzige Pflanze, mit welcher man ächt blau färben konnte, und er wurde daher häufig in Frankreich und Teutschland gebauet. Man benutzt ihn auch jetzt noch in Verbindung mit dem Indigo zu den guten blauen und schwarzen Farben, so wie auch zu grün, carmoisin, braun und andern Farben; und desshalb wird er auch noch stark in Schwaben, Franken und Thüringen, sonderlich um Erfurth und Langensalze gebauet. Der Waid ist eine zweijährige Pflanze, und seine Wurzel eine Rübe. Im ersten Jahre, wenn er gesäet ist, treibt er viele auf der Erde ausgebreitete grosse, lange, blaulicht angelaufene, einigermassen wollichte Blätter. Im zweiten Jahre treibt die Pflanze einen drei bis vier Fuss hohen, dünnen, starken Stengel mit pfeilförmigen Blättern, welche kleine gelbe Blumen, und hernach platte Saamen-Stöckchen trägt. Er erfordert einen sehr fetten Boden, und eine sorgfältige Cultur. Im zweyten Jahre, sobald die untersten Blätter gelb zu werden anfangen, hält man die erste Erndte. Man stösst nämlich mit einem eigends dazu gemachten Eisen alle Blätter vom Stengel bis auf die Wurzel ab, doch ohne die Krone zu verletzen. Bald darauf treibt der Stengel neue Blätter, die man auch zum zweitenmale abnimmt. In gutem Boden kann man wohl 3 bis 4 solche Erndten halten; allein die Blätter von der ersten sind die besten. Die abgeschnittenen Blätter werden sogleich gewaschen, an der Luft welk getrocknet, und an die Waidfabrikanten verkauft, die sie nun zum Blaufärben weiter zubereiten.~~No. 2. Der Wau. (Reseda luteola.)~~Der Wau wächst in ganz Europa wild, und ist ein Kraut, welches die Färbereien ziemlich stark brauchen, weil es eine ächte gelbe Farbe giebt. Eben darum wird er auch in Frankreich, England und Holland angebauet. Er ist eine kleine Pflanze, deren Stengel etwa 2 Fuss lang ist, und viele kleine Nebenstengel und bleichgelbe Blümchen hat. Die ganze Pflanze wird gelb, wenn sie getrocknet wird, und alle Theile davon geben eine gute gelbe Farbe. Im Handel hält man den französischen Wau für den besten.~~
Ad00341 02 013a/frePlantes. XXV. T. II. No. 10.
PLANTES A TEINTURE.
No. 1. La Guède ou le Pastel. (Isatis tinctoria.)
La'guède étoit la seule plante qui nous avoit fourni une teinture bleue bien solide, avant que l'indigo nous fut envoyé des Indes occidentales, on avoit pour cette raison cultivé cette plante en quantité énorme tant en France qu'en Allemagne. De nos jours même on l'emploie encore beaucoup, mêlée avec l'indigo, pour en faire les bonnés et véritables teintures bleues et noires; aussi en prépare - t - on des couleurs, vertes, cramoisis, brunes etc. A cause de cette grande utilité sa culture fait encore aujourd'hui une branche particulière de l'industrie rurale dans la Souabe, la jrancome et la Thuringe, mais principalement aux environs d'Erfurt et de Langensalze.
La guède est une plante bisannuelle, et sa racine est une espèce de navet. Dans la première année elle produit un grand nombre de feuilles, qui sont larges et très longues, bleuâtres, un peu cotonneuses et répandues sur la terre. Dans la séconde année elle pousse une tige haute de 3 a 4 pieds et de lagrosseur d'un pouce dont les feuilles sont en forme de ssèches, et qui porte de petites fleurs jaunes et des gousses de semence plattes. Elle demande à être semée dans une très bonne terre, noire et fertile, et sa culture exige beaucoup de soins. Aussitôt que dans la séconde année les feuilles d'en bas commencent à se faner en signe de leur maturité, on en fait ïa premiere récolte, en dépouillant la tige de toutes ses feuilles par le moyen d'un ser préparé exprés pour cet efset; il faut cependant prendre garde qu'on ne blesse en aucune manière la couronne de la tige. Bientôt après cette tige recommence à pousser des feuilles, qu'on lui enlève pour la séconde fois. Dans un bon terrein et quand la saison a été favorable, on peut faire 3 à 4. récoltes, mais les feuilles de la première sont les meilleures. Ces! feuilles découpées sont lavées et exposées en suite à l'air pour qu'elles se n'étrillent, Dans cet état on les vend aux fabriquans de pastel qui achèvent de les préparer pour la teinture.
No. 2. L'herbe à jaunir ou la Gaude. (Reseda luteola.)
L'herbe à jaunir croit naturellement dans toute l'Europe; mais on la cultive ausli avec soin en France, en Angleterre et en Hollande, parceque les teinturiers en sont un grand usage pour teindre les laines et les étosfes en couler jaune qui est fort solide. La tige de cette petite plante s'eiéve à peu prés à la hauteur de deux pieds, et pousse un nombre de rejettons; ses fleurs sont très petites et d'un jaune pâle. Lorsque la plante est séchée, elle est de couleur jaune, et toutes ses parties fournissent une excellente teinture jaune. Dans le commerce on regarde l'herbe jaune cultivée en France pour la meilleure.
Ad00341 02 014aAd00341 02 014a.jpgEs giebt vielerley Gattungen von Ziegen, wilde und zahme. Die wilden leben immer auf den höchsten Gebirgen in Europa und Asien. Unter den wilden Ziegen-Arten ist besonders die Bezoar-Ziege merkwürdig, weil in ihrem Magen zuweilen der kostbare Bezoar gefunden wird, und unsre zahme Haus-Ziege vermuthlich von ihr herstammt. Die Gemse steht zwischen den Ziegen und Antilopen mitten inne, wird aber gewöhnlich zu den letztern gerechnet.~~No. 1. Der Steinbock. (Capra Ibex.)~~Der Steinbock lebt in kleinen Heerden auf den höchsten Schneegebirgen in Tyrol, Savoyen und Sibirien. Er hat grosse Hörner, die auf der oberen Seite knotigt sind. Gewöhnlich ist er grösser als unsre zahme Ziege, sieht gelbbraun und am Kopfe blaugrau aus. Er springt erstaunlich leicht und weit über die tiefsten Abgründe von einer Klippe zur andern. Sein Fleisch ist essbar; seine Haut giebt ein vortreffliches Leder, und aus seinen Hörnern werden Trinkbecher und andere Gefässe bereitet.~~No. 2. u. 3. Die Haus-Ziege. (Capra Hircus.)~~Die gemeine Haus-Ziege ist fast über den ganzen Erdboden verbreitet, lebt von geringem Futter, Laub der Bäume, Moose und dergleichen und ist ein nützliches Hausthier, wegen ihres Fleisches, Felles und ihrer Milch für gebirgigte Gegenden. Es giebt Ziegen und Böcke mit und ohne Hörner, ja sogar welche mit 4 Hörnern, so wie auch welche von ganz verschiedenen Farben, als braune, schwarze, weisse und gefleckte. Die Hausziege wird ohngefähr 10 bis 12 Jahr alt. Alle Ziegen, sowohl zahme als wilde, haben Bärte.~~Die Angorische Ziege. (Capra Hircus Angorensis.) No. 4. Der Bock, No. 5. Die Ziege.~~Die Angorische oder Kämelziege hat ihren Nahmen von der Stadt Angora in Klein-Asien, welches ihr Vaterland ist. Sie ist die merkwürdigste und schätzbarste unter allen ausländischen Ziegen-Arten, denn sie giebt das schöne weisse, glänzende und seidenhafte Haar, welches wir unter dem Nahmen Kameelhaar kennen, aber eigentlich Kämelhaar heissen sollte, weil das Garn und die daraus gemachten Zeuge das von den eigentlichen Kameelhaaren verfertigte bey weitem übertreffen. Die Hirten kämmen und waschen diese Ziegen, welche zweymal im Jahre geschoren werden, sehr oft, um die Haare schön und rein zu erhalten. Man hat diese vortreffliche Ziegen-Art auch mit gutem Erfolge in Teutschland, ja sogar in Schweden einheimisch zu machen gesucht.~~No. 6. Die Mamber-Ziege. (Capra Hircus Mambrica.)~~Diese Ziegen-Art lebt in ganz Klein-Asien, Indien und Aegypten, und hat ihren Nahmen vom Berge Mamber in Syrien. Sie ist die grösste unter allen zahmen Ziegen-Arten, weiss von Farbe, und zeichnet sich besonders durch ihre herabhängenden sehr langen Ohren aus.~~No. 7. Die Juida-Ziege. (Capra Hircus reversa.)~~No. 8. Der Zwerg-Bock. (Capra Hircus depressa.)~~Diese beyden Gattungen sind in Africa einheimisch, und die kleinsten Ziegen-Arten die wir kennen. Die Juida-Ziege ist weiss, und der Zwerg-Bock braun, und blaugrau gefleckt. Letztere Art hat ganz kleine flach auf dem Kopfe liegende Hörner. Ausserdem haben beyde Arten nichts Merkwürdiges.~~
Ad00341 02 014a/freQuatrupèdes XXVI. Vol. II. N. 11.
CHÈVRES ET BOUCS DE DIFÉRENTES ESPÈCES.
Les différentes espèces de chèvres que nous coniioissons, sont généralement partagées en chèvres sauvages et domestiques. Les premières ne vivent que sur les plus hautes montagnes de l'Europe et sie l'Aile, et c'est principalement la chèvre de bezoard, qui des diverses espèces de ces animaux; sauvages mérite le plus d attention, parceqne non seulement on trouve souvent dans ton estomac le précieux bézoard oriental, mais aussi que notre chèvre domestique en tire probablement sori origine. Le chamvis tient le milieu entre les chèvres et les Antilopes, mais ordinairement ou le compte parmi les derniers.
No. 1. Le Bouquetin. (Capra Ibex.)
Le Bouquetin vit en petits troupeaux sur lesJtlpes. de l'a Suisse et de la Savoie, surtont près des glaciers les plus escarpés; ort le trouve aussi fréquemment sur les hautes montagnes du Tirol et Je la Sibérie. Il a. des cornes très longues et fortes, courbées en arc sur le dos, et marquées par des éuiinences noueuses sur le coté extérieur. Il surpasse en. grandeur le bouc domestique; le poil de ton corps est de couleur fauve, mais celui de sa tête est d'mi bleu grisâtre. liest si léger à la course, qu'il saute facilement par dessus les rochers les plus escarpés. Sa chair est bonne à manger; la peau donne un cuir excellent, et de ses cornes on prépare des gobelets et differens autres, vases.
No. 2. et 3. La Chèvre domestique. (Capra Hircus.)
La chèvre domestique ordinaire est trouvée prèsque sur toute la sur face de terre; elle est ai sée à mmrvir, ne vivant que de seuillage, de' mousse etc. et sa chair, sa graille et l'on, lait la vendent ort utile surtoat dans les pays montagneux. Il y a des boucs aussi bien que des chèvres, qui out des cornes, même jusqu' à quatre; d'autres au, Goulraire n'en ont point. Cet animal, est de tres diverses couleurs;- on voit des chèvres noires, ' sauves, blanches et tachetées. Toutes les espèces de chèvres, tant sauvages que domestiques, ont des barbes; Tage que les dernières peuvent atteindre monte à 10 ou 12. ans.
La Chèvre d'Angora. (Capra Hircus Angorensis.)
No. 4. le Bouc. No. 5. La Chèvre
La chèvre d'Angora tient son. nom de la ville d'Angora dans l'Asie mineure, sa patrie. Elle est la plus remarquable et la plus précieuse de toutes les espèces de chèvres étrangères, car elle nous donne un poil superbe, très blanc, luisant, et si sin qu'on en fait des étosfes aussi belles et aussi lustrées que les étosfes de soie. Les chèvriers peignent et lavent ces animaux fort souvent; pour rendre leur poil plus doux et plus long; ils les. tondent deux fois par an.
No. 6. La Chèvre de Mambre. (Capra Hircus Mambrica.)
Cette espèce de chèvre vit dans toute l'Asie mineure, dans les Indes et l'Egypte. Elle tient son nous du mont Mambre en syrie. Elle est la plus grande de toutes les chèvres domestiqnes; sa couleur est blanche, et elle se distingue sur tout par. les longues oreilles pendantes.
No. 7. La Chèvre de Juide. (Capra Hircus reversa.)
No. 8. Le Bouc Damoiseau. (Capra Hircus depressa.)
Ces deux espèces de chèvres, originaires d'Afrique, sont les plus petites que nous connoissons. La. chèvre de Juida est blanche, et le Bouc Damoi' [eau est brun avec des tâches bleuâtres. La dernière espèce a des cornes toutes petites et qui se réposent tout à fait sur la tète. Pour le reste les deux espèces n'ont rien qui les distingue, des autres chèvres.
Ad00341 02 015aAd00341 02 015a.jpgDas römische Fussvolk theilte sich in vier Classen. Nur die drey ersten waren schwer bewaffnet. Unter der vierten Classe begriff man die leichten Truppen, die Wurfspiess- und Steinschleuderer (velites). Die aus diesen vier Classen zusammengesetzten Brigaden machten Eine Legion aus.~~No. 1. und 2. Zwey schwerbewaffnete Legions-Soldaten.~~Ihre Schutzwaffen (Arma) bestanden in einem Helm, in einem Harnisch, der entweder aus starken Riemen zusammengenäht war, und Lorica hiess (wie No. 2.) oder von Metall war, und Thorax genennt wurde (wie No. 1.), und in einem grossen mit Leder überzogenen und mit metallenen Einfassungen beschlagnen Schilde. Wenn er viereckig war, hiess er Scutum, länglichrund, Clypeus. Die spitzige Erhabenheit in der Mitte, wie in No. 1. hiess Umbo. Die Angriffswaffen waren das Schwerd, das man mit einem Riemen über die Schulter befestigt an der Seite trug, wie No. 2. und in einem starken oft 14 Fuss langen Speere, Hasta, wie No. 1. Unter dem Panzer trug man ein Waffenhemde, Tunica, und über das Ganze einen kurzen bis an die Kniee herablaufenden Kriegsmantel, Sagum, wie No. 4. 6.~~No 3. und 4. Zwey leichtbewaffnete Soldaten.~~Der erste, No. 3 ist ein Wurfspiessschleuderer. Sein kurzes rundes Schildchen heisst Parma. In der rechten Hand trägt er gewöhnlich einige Wurfspiesse (Hastae velitares). Der zweyte No. 4. gehört zu den Steinschleuderern (Funditores). Sie warfen Steine und rund zugespitzte Bleykugeln mit solcher Gewalt, dass sie nicht selten Helme und Schilde zerschmetterten. Die Schleudern bestanden aus blossen zwey Riemen, in die der Stein gefasst, und mit einem Umschwung über den Kopf zum Ziele geworfen wurde. Die alten Einwohner der Balearischen Inseln, Mallorca und Minorca, waren die geübtesten Schleuderer.~~No. 5. Der bepackte römische Soldat auf dem Marsche.~~Der römische Soldat trug oft auf dem Marsche mehr als 70 Pfund Gepäcke, als, ausser seinen Waffen, den Proviant auf mehrere Tage, Lager- und Fouragiergeräthe, einen Kessel, und noch einige Pallisaden (Valli), auf welchen er gewöhnlich das Gepäcke zusammengebunden trug.~~No. 6. Der Adlerträger.~~Die Fahne, oder das Zeichen der ganzen Legion, war nach den Zeiten des Marius ein goldener Adler, der mit ausgebreiteten Flügeln auf einer Hasta stand Die Compagnie-Zeichen waren ausgestreckte Hände auf einem Spiesse. Fahnen aus Stoffen sind erst unter den christlichen Kaisern Mode geworden. Der Adlerträger hiess Aquilifer. Er gab sich zuweilen durch Helme, die die Gestalt von Löwen- und Wolfsköpfen hatten, ein furchtbares Ansehn.~~No. 7. und 8. Trompeten- und Hornbläser.~~Die Trompete der Alten (Tuba) bestand aus einer geradauslaufenden vorn sich erweiternden metallenen Röhre, wie No. 7. Die Trompeter hiessen Tubicines. Die Hörner (Buccinae, Cornua) waren mehr oder weniger krummgebogen, wie No. 8. Die Hornisten hiessen Buccinatores oder Cornicines. Jene theilten die Tag- und Nachtwachen durch ihren Ruf in gleiche Theile. Von diesen wurde das Zeichen zum Angriffe geblasen (Classicum). Die Feldmusik soll bey den Römern schon Servius eingerichtet haben.~~
Ad00341 02 015a/freAntiquités. V. Vol. II. N. 12.
INFANTERIE ROMAINE.
L'infanterie Romaine étoit divisée en quatre classes. Les trois premières seulement étoient pesamment années, et la quatrième contenoit les troupes legères, les frondeurs de javelots et ceux de pierres. (velites) Une Brigade composée de ces quatre classes formoit une légion.
No. 1. et 2. Deux Légionaires pésamment armés.
Les armes defensives consistoient dans un casque, une cttirasse, dont une espèce etoit faite de fortes courroies et s'appelloît lorica (n. 2.)et dans un grand bouclier revêtu de cuir et garni d'une enchassure de métal. Si le bouclier étoit quarré, on le nomrnott scutum, s'il étoit de figure ovale, cfypcus. L'élévation pointue du milieu s'appelloît vnibo. Les armes ofFensives étoient sepee, qu'ils portoient au coté, suspendue par une courroie par cleilus l'épaule, (n. 2.) et une lance, très sorte et longue quelquefois de 14 pieds (n. 1.) hasta. Sous la cuîrasse ils portoient une cotte d'armes, tunica, et encore par dessus tout cela un manteau d'armes très court et n'allant qu' aux genoux, sagum, (n. 4. 6.)
No. 3. et 4. Deux Soldats légérement armés.
Le premier (n. 3.) est un frondeur de javelots. Son petit bouclier rond s'appelle panna; dans la main droite il porte ordinairement quelques javelots, bajhe veli tares. Le sécond (n. 4.) ést un srondeur de pierres (funditores.) Ils ruoient des pierres et des balles de plomb avec tant sie force, qu'ils fracassoient souvent des casques et des boucliers. Les frondes ne conlistoient que dans deux courroies, au panier desquelles on mettoit la pierre et la ruoit au but en la tournoyant autour de la tète. Les anciens habitans des isles Baléares, Mallorca et Minorca, étoient réputés d'être les frondeurs les plus habiles.
No. 5. Le Soldat romain en marche avec son bagage.
Le Soldat Romain portoit souvent en marche un fardeau de plus de 70 livres; car outre ses armes il avoit avec lui des vivres pour plusieurs jours, les instrumens necessaires pour dresser un camp et pour fourrager, un chaudron et quelque pallisades (velli) sur lesquelles il portoit communément tout ce bagage en paquet.
No. 6. Le Porte-Aigle.
L'étendard, ou l'Enseigne de toute une légion consistoit après le tous de Marins dans un Aigle d'or posé debout sur une lance, les àileséployées. Les signes des Compagnies étoient des mains étendues portées sur une lance. Les Etendards d'étoffes ne sont connus que depuis les tems des Empereurs chrétiens. Le Porte-Aigle s'appelloit Aauiliser; il iè donnoit quelque sois un aspect plus essrayant par des casques qui réprésentoient des tètes de lions ou de loups.
No. 7. et 8. Trompettes et joueurs de cor.
La trompette des Anciens, tuba, n'étoit qu' un tuyau long, qui s'élargilïbit vers un bout (No. 7). Les trompettes romains s'appelloient tubicines. Les cors, buccinae, cornua, éioient plus ou moins courbées (No. 8.) et les joueurs de cet infiniment portoient le nom de buccivatores, cornieines. Par le son des trompettes; on partagea en parties égar les les gardes de jour et de nuit; c'est avec les cors qu'on donna le signal de l'attaque (classicum). Chez les Romains la musique militaire doit déjà avoir été introduite sous leur Roi Servius.
Ad00341 02 016aAd00341 02 016a.jpgNo. 1. Die Lamprete. (Petromyzon marinus.)~~Die Lamprete ist eigentlich ein Fisch der Nordsee, der aber im März, April und May, in die Flüsse, und sonderlich in die Elbe, Havel und Saale heraufsteigt, und da in grosser Menge gefangen wird. Er ist gewöhnlich 1 1/2 bis 2 Fuss lang, erreicht aber auch oft die Grösse von 3 Fuss und ein Gewicht von 3 Pfund. Er ist ausserordentlich leckerhaft von Geschmack, und wird theils frisch gesotten wie der Aal, vorzüglich aber eben so wie die Neunaugen gebraten und mit Gewürz in Essig gelegt, in kleine Fässchen geschlagen, und so als ein Handels-Artikel von Bremen und Lüneburg aus durch ganz Teutschland versendet. Auf dem Rücken ist die Lamprete grün und schwarz gefleckt, hat, wie der Aal, keine Schuppen, beynahe unmerkliche Gräten, braunrothe Flossen, einen röthlich weissen Bauch, und im Nacken ein Spritzloch.~~No. 2. Das Neunauge. (Petromyzon fluviatilis.)~~Das Neunauge oder die Brike, ist der Lamprete sehr ähnlich, nur kaum halb so gross und dünner, und nicht gefleckt wie die Lamprete, sondern auf dem Rücken braun und am Bauche weissgelb. Ungeachtet sie ein Seefisch ist, so lebt sie doch fast in allen grossen Flüssen von Teutschland, wird vom November an bis zum März, wo sie nur wohlschmeckend ist, häufig gefangen, eben so wie die Lamprete gebraten und marinirt, und als eine Delikatesse versendet.~~No. 3. Die ordinäre Zunge. (Pleuronectes Solea.)~~No. 4. Die bandirte Zunge. (Pleuronectes Zebra.)~~Die Zunge, deren es mehrere Arten giebt, ist eine Gattung der Schollen, und hat ihren Namen von ihrer länglichen platten Form, welche einer Zunge gleicht. Sie hat, wie alle Schollen, beyde Augen nur auf einer Seite, und wird wegen ihres Wohlgeschmacks unter die leckerhaftesten Seefische gerechnet. Die ordinäre Zunge (No. 3.) ist braun von Farbe, hat rauche Schuppen, lebt in allen nördlichen Gewässern von Europa sowohl, als auch im mittelländischen Meere, und nährt sich von den Eyern und der Brut anderer Fische. Die bandirte Zunge, oder das Meer-Zebra, ist in Ostindien einheimisch, und wegen seiner Zeichnung und Farben ein sehr schöner Fisch. Sie ist übrigens eben so wohlschmeckend und leckerhaft als die ordinäre Zunge.~~No. 5. Die Murene. (Muraena Helena.)~~Die Murene, welche an das Geschlecht der Aale gränzt, ist gleichfalls ein sehr delikater See-Fisch, der sowohl im ost- und westindischen, als auch im mittelländischen Meere lebt. Er nährt sich von Fischbrut und Krebsen, wird ohngefähr 2 Fuss lang, und am Meeresufer, sonderlich in Sardinien, häufig gefangen. Er ist schön gefleckt. Bey den Leckermäulern der alten Römer stund er schon vorzeiten in hohem Werthe.~~
Ad00341 02 016a/frePoissons. XII. Vol. II. No. 13.
POISSONS FRIANDS.
No. 1. La Lamproye. (Petromyzon marinus.)
La Lamproye est un poisson qui vît dans la mer du Nord; dans les mois de Mars, d'Avril et de Mai il entre dans les rivières snrtout dans l'Elbe et la Saale, et c'est la saison où l'on en pèche de grandes quantités. Sa longueur ordinaire est cV un pied et demi jusqu'à deux, mais souvent il devient grand de trois pieds, et on en trouve qui pêsent trois livres. Il est d'un goût exquis, et on le mange tant frais comme l'anguille, que grillé et mariné. La séconde manière de l'apprêter est la plus usitée, car les Négocians de Brème et de Hambourg en sont un article de commerce et l'envoient dans de petits tonnelets par toute l'Allemagne. La couleur de la Lamproye est d'un jaune tirant sur le vert, le ventre est d'un [blanc rougeâtre, et sur le dos elle est marquetée de taches noires. Comme l'anguille, elle n'a point à' écailles, presque point d arêtes, des nageoires d'un brun foncé, et entre les yeux au plus haut de la tète elle a un conduit par lequel elle attire et rejette l'eau.
No. 2. La petite Lamproye. (Petromyzon fluviatilis.)
Ce poisson ressembîe en tout à la grande Lamproye, excepté qu'il est moins long de la moitié, et aussi plus mince. Il n'est pas non plus tacheté, mais brun sur le dos et jaunâtre au ventre. Quoiqu'il soit un poisson de mer, on le trouve pourtant dans presque toutes les grandes rivières de l'Allemagne, où on le pêche en abondance depuis le Novembre jusqu'au Mars, car ce n'est que dans cette saîson qu'il est bon à manger. La petite Lamproye est comme la grande grillés et marinée, et envoyée partout en tonnelets corn" me une friandise.
No. 3. La Sole. (Pleuronectes Solea.)
No. 4. Le Zèbre de mer. (Pleuronectes Zebra.)
Ces deux poissons sont deux espèces d'un même genre; ils portent l'un comme l'autre les deux yeux sur un seul coté, et leur chair délicieuse les fait rechercher par les friands. La Sole est brune de couleur, a des écailles rudes, se trouve dans presque toutes les eaux de l'Europe septentrionale, et le srais des autres poissons fait sa nourriture. Le Zèbre de mer, originaire dans les Indes orientales, est un poisson superbe par ses couleurs et son dessein. Il est aussi bon à mangers et d'un goût aussi exquis que la Sole.
No. 5. La Murène. (Muraena Helena.)
La Murène approche du genre cses anguilles; on la trouve dans les mers des Indes et la Méditerranée, et elle est un manger fort délicat. Elle se nourrit decrevisses et de frais de poissons; sa longueur est à peu près de deux pieds, et l'on en pèche beaucoup aux côtes des mers, surtout en Sardaigne. Sa peau est lisse et joliment tachetée de difsérentes couleurs. Ce poisson étoit déjà connu aux friands parmi les anciens Romains, qui en faisoient le plus grand cas.
Ad00341 02 017aAd00341 02 017a.jpgNo. 1. Der Auerochse. (Bos Urus .)~~Der Auerochse lebt noch jetzt wild in Pohlen, Litthauen und Sibirien, ist schwarzbraun von Farbe, und hat am Vordertheile des Leibes schwarze zottige Haare. Höchst wahrscheinlich stammt unser zahmes Rindvieh von dem Auerochsen ab. Er ist unbändig und so stark und kühn, dass man Auerochsen oftmals in Thierkämpfen mit Löwen und Bären siegen sahe. Aus ihren grossen und dicken Hörnern machten die alten nördlichen Völker gewöhnlich ihre Trinckgeschirre. Die rothe Farbe setzt sie in Wuth; daher man sie durch einen rothgekleideten Strohmann anzulocken und sie dann zu fangen oder zu erlegen pflegt.~~No. 2. Der zahme Ochse. (Bos Taurus. .)~~Unser zahmes Rindvieh, welches, wie gedacht, vom wilden Auerochsen und dem Bison abstammt, ist über den ganzen Erdboden verbreitet, und gehört wegen seines mannigfaltigen Nutzens unter die wichtigsten und nützlichsten Hausthiere. Sein Fleisch und seine Milch geben uns die mannigfaltigsten Speisen, ihre Haut Leder, seine Hörner mancherlei Geräthe, sein Mist das beste Düng-Mittel für den Ackerbau; und ausserdem ackert der Ochse auch noch unsere Felder, und zieht unsere Lastwagen; ja in Asien sogar die Staatswagen der Grossen. Es giebt ganze Völker, die bloss von der Rindviehzucht leben. Gewöhnlich hat das Rindvieh Hörner, allein es giebt in England und Schottland auch welches ohne Hörner. Man findet es von vielerley Farben, als rothbraun, schwarz, weiss, grau, gelb und gefleckt.~~No. 3. Der Bison. (Bos Bison.)~~Der Bison lebt wild in grossen Heerden in sumpfigen Wäldern von Nord-Amerika, und ist das grösste Landthier der neuen Welt. Er ist braunschwarz von Farbe, und hat im Winter über den ganzen Leib dickes langes Haar; im Frühjahre aber wird er am Rücken und Hinterleibe kahl, und behält bloss seine ungeheure Mähne an Brust und Nacken. Sein Fleisch ist wohlschmeckender als das vom gemeinen Ochsen, und mit den Häuten wird ein starker Handel nach Europa getrieben. Diese Thiere finden sich in so ungeheurer Menge, dass oft 1500 bis 2000 auf einer Jagd getödtet werden.~~No. 4. Der Zebu. (Bos Indicus.)~~Der Zebu oder Zwergbüffel lebt in Ostindien, ist von der Grösse eines halbjährigen Kalbes, hat kleine Hörner, und ist graublau und schön braun gefleckt von Farbe. Auf dem Rücken hat er einen Höcker. Man rechnet ihn zu der Race der Büffel und nennt ihn daher auch den Zwergbüffel.~~No. 5. Der Büffel. (Bos Bubalus.)~~Der Büffel stammt aus Tibet und lebt im grössten Theile von Asien, so wie auch in Ungarn und Italien, zahm und als Haus- und Lastthier, wo er sehr wichtige Dienste leistet; denn 2 Büffel können eine Last ziehen, die 6 Pferde kaum bewegen würden. Man legt ihnen, wie den Bären, einen eisernen Ring in die Nase und regieret sie damit. Der Büffel hat eine schwarze dünn behaarte Haut, die ausnehmend dick ist, und sehr starke plattliegende Hörner. Das Fleisch, so wie auch die Milch, Käse und Butter von Büffeln ist weit schmackhafter als von unserm gewöhnlichen Rindvieh.~~
Ad00341 02 017a/freQuadrupèdes. XXVII. Vol. II. N. 14.
BOEUFS DE DIFFÉRENTES ESPÈCES.
No. 1. L'Ure. (Bos Urus.)
L'Ure peut être regardé comme étant notre taureau domestique dans son état naturel et sauvage; il est supérieux au dernier par la grandeur et par la force. Cet animal sauvage se trouve dans les montagnes de la Pologne, de la Lithuanie et de la Sibérie; sa couleur est d'un brun très foncé, et sur la partie antérieure de son corps il porte un poil noir et tousfu. Il est très féroce et d'une telle force et audace, que souvenî on l'a vu vaincre des lions et des ours dans des combats de bètes. Les anciens peuples du Nord étoient dans susage de se servir de ses cornes longues et épaisses comme de va Ces à boire. A la vue de la couleur rouge cet animal entre en fureur; c'est pour cela qu'on se sert d'un homme de paille habillé eu rouge, pour l'attirer, et le prendre vivant ou le tuer.
No. 2. Le Boeuf. (Bos Taurus.)
Notre gros bétail domestique, qui, comme nous venons de tire, à toute apparence, descend de l'Ure, se trouve repandu sur toute la terre, et il est, à cause des grands avantages qu'on en tire, un des animaux domestiques les plus importans et les plus estimables. Sa chair et son lait nous donnent quantité d'alimens bien différens; sa peau nous fournit du cuir, ses cornes des utenciles divers, son fumier un excellent moyen d'engraisser nos champs. Il laboure d'ailleurs nos terres et tire nos chariots à charge, et en Asie même les carosses des Grands. Il est des peuples entiers qui vivent tout-à-fait de l'entretien de ce bétail. Il est à l'ordinaire armé de cornes; il y en a toute-fois en Angleterre et en Ecosse qui n'en ont point. On le trouve de différentes couleurs; car les uns sont roussâtres, d'autres sont noirs, blancs, gris, jaunes ou tâchetés.
No. 3. Le Bison. (Bos Bison.)
Le Bison est un animal sauvage qui vît en grands troupeaux dans les forêts marécageuTes de l'Amérique septentrionale; il est le plus grand de tous les animaux terrestres du nouveau monde. Sa couleur est brune tirant sur le noir, et dans l'hiver tout son corps est couvert d'un poil long, et crépu. Au printemps il perd ce poil sur le dos et sur tout le corps de derrière, et ne le conserve que sur la poitrine et les épaules. Sa chair est d'un meilleur goût que celle du boeuf ordinaire, et de la peau du Bison les Américains sont un article très important de leur commerce avec l'Europe. On trouve cet animal en si grande quantité, que souvent à une seule masse il eu est tue 1500 jusqu'à 2000 pièces.
No. 4. Le Zébu. (Bos Indicus.)
Le Zébu est un petit boeuf qui vit dans les Indes Orientales; sa grandeur est à peu près celle d'un veau de six mois, ses cornes sont petites, et sa couleur est grise tirant lur le bleu et tachetée en brun. Il a une bosse sur le dos, et on le compte dans la race des Buffles.
No. 5. Le Buffle. (Bos Bublus.)
Le Buffle est originaire au Tibet, et se trouve dans la plus grande partie de l'Ane ainsi que dans l'Hongrie et l'Italie. Il est devenu domestique, et l'on s'en sert pour cultiver la terre et porter des fardeaux, car un attelage de deux Buffles tire autant que fix shevaux. On leur passe comme aux ours un croissant de fer à travers le net, et parce moyen on les conduit et les fait tourner à volonté d'un coté ou d'un autre, en tirant une ficelle attachée à ce fer dont les pointes picotent le nez de lanimal. Sa peau est noire et fort épaisse; il n'a que peu de poil sur son corps. Ses cornes sont très grosse" et comprime es sur le front. La chair des Buffles, ainsi que le lait, le fromage et le beurre, sont d'un meilleur goût que ceux de notre bétail ordinaire.
Ad00341 02 018aAd00341 02 018a.jpgDas Getraide ist das erste, wichtigste und unentbehrlichste Nahrungs-Mitttel für Menschen und Thiere. Man findet zwar in andern Welt-Theilen noch ganze zahlreiche Nationen, welche unsre Getraide-Arten weder kennen, noch zu ihrer Nahrung brauchen; allein sie ersetzen ihren Mangel entweder durch die Brodfrucht, oder einige mehlreiche Wurzeln, woraus sie immer ein, unserem Getraide-Brode ähnliches Nahrungsmittel bereiten.~~Wir nennen Getraide-Arten hauptsächlich Korn oder Roggen, Gerste, Waizen, Hafer, Spelz, Mais oder Türkisch Korn, Buchwaizen oder Heidekorn; hingegen Erbsen, Linsen, Hirsen, Wicken, so wie auch Reis, gehören unter die Hülsenfrüchte.~~Alle unsre Getraide-Sorten sind Gras-Arten, deren Vaterland Nord-Asien ist, wo sie wild wachsen, aber seit undenklichen Zeiten schon von den Menschen durch sorgfältigen Anbau veredelt uud verbessert worden sind.~~Alle Getraide-Arten sind nur einjährige Pflanzen, d.h. solche, die in einem Jahre gesäet werden, wachsen, blühen, reifen, Saamen tragen, und absterben. Von allen benutzen wir zweyerley, den reifen Saamen, den wir unter dem allgemeinen Namen Getraide begreifen, und ihr Stroh. Ich habe daher die 4 ersten Getraide-Arten in ihrem reifen Zustande, oder als volle Aehren abgebildet, weil sie unserm Auge auf diese Art am kenntlichsten sind.~~No. 1. Der Waizen. (Triticum.)~~Der Waizen ist eine vorzügliche Getraide-Art, welche feines und vortreffliches Mehl liefert, woraus weisses süsses Brod, Semmeln, und alle Sorten Backwerk bereitet werden. Seine Blüthe zeigt fig. a. und sein Saamen-Korn fig. b. Die reife Aehre sieht rothbraun, und sein Korn röthlichgelb aus. Es giebt Waizen mit und ohne Grannen.~~Der Spelz (der auch Dinkel und Vesen, Triticum Spelta heisst) ist auch eine Sorte Waizen, und giebt unter allen das schönste und vortrefflichste Mehl.~~No. 2. Der Roggen oder das Korn. (Secale cereale.)~~Unter allen Getraide-Arten wächst der Roggen am höchsten, indem er einen 4 bis 5 Fuss langen Halm treibt, und wird am häufigsten gebauet. Sein Mehl giebt unser gewöhnliches, säuerliches und kräftig nährendes Hausbrod, und ist daher das unentbehrlichste Lebensmittel der Menschen in Europa. Seine Blüthe (fig. e.) sieht röthlich grün, und sein Saamenkorn (fig. f.) bräunlich grau aus. Er macht den Haupt-Gegenstand unsers Ackerbaues und des Handels der meisten Europäischen Nationen aus.~~No. 3. Die Gerste. (Hordeum distichon.)~~Die Gerste ist eine geringere Getraide-Art als Korn und Waizen. Sie giebt kein gutes Brod, und wird daher vorzüglich zum Bierbrauen oder zum Futter für das Vieh gebraucht. Es werden auch daraus auf besonderen Mühlen die bekannten Gersten-Graupen gemacht, und auf diese Art gekocht ist sie eine sehr gesunde und nahrhafte Speise für den Menschen. Ihre Blüthe (fig. c.) ist grün, und ihr Saamenkorn (fig. d.) länglich viereckigt und blassgelb. Sie hat unter allen Getraide-Arten die längsten und stärksten Grannen.~~No. 4. Der Hafer. (Avena sativa.)~~Der Hafer ist unter den gewöhnlichen Getraide-Arten die geringste, und wird gewöhnlich nur zum Futter für Pferde und anderes Vieh gebraucht; doch dienet er auch als Hafer Grütze zubereitet den Menschen zur Nahrung. Er wächst nicht in Aehren, sondern in Rispen. Seine Blüthe (fig. g.) sieht grün, und sein langes und spitziges Saamenkorn (fig. h.) goldgelb aus.~~
Ad00341 02 018a/frePlantes. XXVI. T. II. No. 15.
LES ESPÉCES DE BLED.
Le Bled est de toutes les plantes la plus p reden se à l'humanité, car il fait la nourriture la plus indispensable et la plus salutaïre pour Thomme et les animaux. II y a à la vérité dans d'autres parties du monde des nations entières et nombreuses, qui ne connoiisant pas nos espèces de bled n'eu retirent pas leur nourriture; mais à leur défaut elles possédent l'arbre à pain, ou quelque racine sarineufe, dont elles savent préparer une espèce de gâteau qui approche de notre pain et leur en tient lieu.
Sous la dénomination générale de Bled nous comprenons principalement le sroment, le feigle, sorge, l'avoine, Pepeausre, le bléd de Turquie on le Mais, et le bled Sarrafin; les pois au contraire, les lentilles, le millet, la veffe et même le ris sont au genre des légumes.
Toutes nos espèces de bled sont des gramens, qui dans l'Asie septentrionale, leur patrie, croissent naturellement, mais que i'industrie de l'homme, et la culture qu'il leur a donnée, depuis un teins immémorial, a anuoblis et amenés au point de persection où nous les voyons.
Elles sont tontes des plantes annuelles, cest a dire, dans la même année, où elles sont sernées, elles poussent des tiges, fleuri portent leur sernence à la maturité, et depérissent. Nous retirons de toutes ces espèces deux objets dont nous saifons usarre, savoir, leur fernence mûre, que nous comprenons sous le nom général de grains, et leur paille. La table ci-jointe représente les quatre premières espaces dans leur état de maturité et avec des épis chargés; j'ai cru de cette manière on pourroit le plus facilement apprendre à les distinguer.
No. 1. Le Froment. (Triticum.)
Le Froment est l'espèce de bled la plus préférable aux autres; il donne une farine très fine, dont on fait un para doux et très blanc, des gâteaux et toutes fortes de pâtifferie. Sa fleur est représentée sous fig. a. et son grain sous fig. b. La couleur de son épis mur est d'un brun rougeâtre et celle du grain est jaune tirant sur le rouge. II y a du froment avec et sans barbe aux épis.
L'epeautre, (qui porte anssî le nom de Fromentlocar ou rouge.) est une espèce de froment; la farrine qu'on en fait, est la plus belle et surpasse en qualité celle du froment ordinaire.
No. 2. Le Seigle. (Secale cereale.)
Le Seigle pousse des tuyaux de la hauteur de 4 à 5 pieds, et ses épis sont plus longues que ceux du sroment; il est cultivé dans presque tous les pays. De la sarine du seigle on sait notre pain ordinaire de ménage, qui est très nourrissant, d'un goût aigrelet, et la nourriture la plus indispensable de l'homme. Ses fleurs fig. e. sont d'un verd rouge, et son grain sig. f. est gris tirant sur le brun Il sait l'objet principal de notre agriculture et du commerce de presque toutes les nations de l'Europe.
No. 3. L'Orge. (Hordeum distichon.)
L'Orge est une espèce de bled de moindre valeur que le froment et le seigle. Le pain, qu'on en fait, n'est pas bon, et par cette raison on emploie cette plante principalement pour la nourriture des bestiaux ou pour en bralser de la bierre. En dépouillant l'orge de sa peau, sur des meules particulieres, on en sait ce qu' on appelle d'otge monde ou grue, qui est une nourriture excellente et très salutaire pour l'homme. L'orge mondé est encore réduit en des grains ronds très blancs et delà grolleur d'un grain de juillet; on l'appelle alors de l'orge perlé. Les fleurs de cette plante sont vertes fig. c. et ses grains sont longs et d'un jaune pâle. fig. d. Elle est la plus barbue de toutes les espèces de bled.
No. 4. L'Avoine. (Avena sativa.)
L'Avoine est la moindre sorte des espèces de bled ordinaire, et l'on ne s'en sert ordinairement que pour la nourriture des chevaux et autres bestiaux; mais étant réduite en gruau, elle donne aussi une bonne nourriture pour l'homme. Ellene pousse pas des épis comme les autres espèces de bled, mais des san'ratles. La couleur de la fleur est verte fig. g et celle de son grain qui est long et pointu fig. h est jaune d'or.
Ad00341 02 019aAd00341 02 019a.jpgNo. 1. Der Einhorn-Fisch. (Balistes Monoceros.)~~Der Einkorn-Fisch ist ein Bewohner der Chinesischen und Brasilianischen Gewässer. Er ist ohngefähr 8 bis 10 Zoll lang, auf beyden Seiten zusammengedrückt und so dünn, dass seine beyden Seiten oben und unten in eine Schneide auslaufen. Auf dem Kopfe, gerade über den Augen, hat er ein Horn. Er sieht grau und braun marmorirt aus, und hat gelbe Flossen. Er nährt sich von See-Würmern; sein Fleisch ist aber nicht essbar.~~No. 2. Der Messer-Fisch. (Centriscus scutatus.)~~Dieser Fisch lebt im Ostindischen Meere, ist nicht über 6 bis 8 Zoll lang, und macht wegen seinen harten und glatten Schaalen, die ihm fast das Ansehn eines zusammengelegten Taschenmessers geben, das Mittel zwischen Fischen und Muscheln. Er nimmt seine Nahrung, die in einer fetten Erde und Fischlaich besteht, bloss durch Einsaugen zu sich. Fleisch hat er fast gar nicht, und ist darum auch nicht essbar. Seine Schaale hat über und über einen sehr schönen Goldglanz, als wenn sie mit Goldlack überzogen wäre, welches ihm ein überaus schönes Ansehn giebt.~~No. 3. Der See-Drache. (Pegasus Draconis.)~~Dieser wunderbare Fisch wird nicht über 6 Zoll lang, lebt in dem Ostindischen Meere, und nährt sich von der Brut andrer Fische. Seine knochigte blaulicht grüne Schaale, seine grossen Brustflossen, welche 2 Flügel vorstellen, und überhaupt seine sonderbare, widerwärtige Gestalt haben Anlass zu seinem Nahmen gegeben.~~No. 4. Das See-Pferdchen. (Syngnathus Hippocampus.)~~Das See-Pferdchen, dessen wunderbare Gestalt fast wie ein gedörrter Fisch aussieht, lebt vorzüglich im mittelländischen Meere, wird 8 bis 12 Zoll gross, und nährt sich von Wasser-Insecten. Es hat eine braune, knorpliche und mit vielen Höckern und Ecken versehene Schaale. Die Alten, welche diesen Fisch schon unter dem Nahmen Hippocampus kannten, hielten ihn für ein wirksames Arzneymittel wider verschiedene Krankheiten; aber allem Ansehen nach ist diess Thierchen weder nützlich noch schädlich, und nur seine sonderbare Gestalt und auffallende Bildung daran Schuld, dass man ihm solche auszeichnende Eigenschaften beylegte.~~No. 5. Die Aalmutter. (Blennius viviparus.)~~Dieser Fisch, welcher viel Aehnliches vom Aale hat, ist ein Bewohner der Nord- und Ost-See, und besonders desswegen wunderbar, weil er bey seiner Fortpflanzung von dem gewöhnlichen Wege der Natur abgeht, und nicht Laich oder Eyer von sich giebt, sondern gleich lebendige Fischgen gebiert; darum er auch die Aal-Mutter heisst. Er wird 15 bis 18 Zoll lang, und sieht grünlich braun aus. Er nährt sich im Meeresgrunde von Krebsbrut. Sein Fleisch ist weiss, fest, wird aber wenig geachtet, und nur von gemeinen Leuten gegessen.~~
Ad00341 02 019a/frePoissons. XIII. Vol. II. N. 16.
POISSONS MERVEILLEUX.
No. 1. La Licorne de mer. (Balistes Monoceros.)
La Licorne de mer est habitant des mers de la Chine et du Brésil. Ce poisson est de la longueur de 8 à 10 pouces, de figure comprimée des deux cotés, et si mince, q 'il aboutit par ses deux bouts dans une pointe. Il porte une corne sur la tète au dessus des yeux. Sa c uleur est grise et tachetée en brun; ses nageoires sont jaunes. Il se nourrit de vers de imr, ei sa chair n'est pas mangeable.
No. 2. La Bécasse bouclée. (Centriscus scutatus.)
Ce poisson se trouve dans la mer des Indes; il n'a que 6 à 8 pouces de longueur, et son écaille dure et lissée lui donnant l'air d'un couteau de poche fermé il fait le milieu entre les poissons et les coquilles. Sa nourriture consiste dans de la terre grasse et du frais de poisson, et il la prend uniquement par la succion. Comme il n'a prèsque point de chair, il n'est pas mangeable. Son écaille étant d'une couleur d'or aussi brillante, qu'on la croit enduite d'un vernis d'or, ce poislbn est un des plus beaux qui existent.
No. 3. Les Dragon de Mer. (Pegasus Draconis.)
Ce poisson n'a communément que 8 à 10 pouces de long; on le pêche dans la mer des Indes et il se nourrit de frais de poisson. Son écaille osseuse est de couleur verte tirant sur le bleu; ses nageoires de poitrine sont très grandes et ont l'air de deux ailes; on lui a donné le nom de Dragon à eau le de sa figure bizarre et hideuse.
No. 4. Le cheval marin. (Syngnathus Hippocampus.)
Le cheval marin, dont la figure singuliere ressemble presque à celle d'un poisson seché, se trouve principalement dans la mer Méditerranée. II est long de 8 a 10 pouces et se nourrit d'insectes aquatique;. Il a une écaille brune, cartilagineuse et couverte de petits aiguillons. Les Anciens ont connu ce poisson sous le nom de Hippocampe, et l'ont fait passer pour un remède essicace contre plusieurs maladies. Mais il est très probable que ce petit animal n'est, ni nuisible, ni salutaire, et que c'est uniquement à cause de sa figure singuliere qu'on lui a supposé des qualités aussi distinguées.
No. 5. La Perce-pierre vivipare. (Blennius viviparus.)
Ce poisson, qui habite la Mer Baltique et celle du Nord, a une grande ressemblance avec l'anguille. Il est principalement remarquable par sa manière de se propager, qui s'éloigne du chemin ordinaire de la nature; car au lieu de fraies, comme sont tous les autres poissons, il inet an inonde de petits poissons vivans II est long de 15 à 18 pouces, et sa couleur est brune tirant sur le verd. Il se nourrit au fond de la mer de frais, d'écrevisses. Sa chair est blanche et ferme, mais on en sait peu de cas, et ce n'est que des gens du commun qui la mangent.
Ad00341 02 020aAd00341 02 020a.jpgNo. 1. et 2. Der Sarluk oder Grunz-Ochse. (Bos grunniens.)~~Der Sarluk, der auch der Ziegen-Ochse oder der Büffel mit dem Pferdeschweife genannt wird, lebt allein zahm als Hausthier in Tibet. Er ist kleiner als unser gewöhnliches Hornvieh, und zeichnet sich durch seine grunzende Stimme, und durch seine langen, feinen und beynahe bis zur Erde herabhängenden Haare, so wie auch durch seinen langen dickbehaarten Schwanz vorzüglich aus. Es giebt zweyerley Gattungen davon. Die eine (No. 1.) hat Hörner, und am Leibe schwarzes Haar, allein Kopf, Schwanz, Rücken, Hals und Bauch sind weiss. Die andere Gattung (No. 2.) ist ganz schwarz und hat keine Hörner. Man versichert, dass von den feinen Schwanzhaaren der ersten Gattung die kostbaren Ostindischen Schaals gefertigt werden.~~No. 3. Die Indische Kuh. (Bos Indicus, femina.)~~Die Indische Kuh ist eine Abart vom Ostindichen Zwerg-Büffel, hat aber keinen Höcker auf dem Rucken, und an Statt der Hörner nur kleine Kolben. Sie ist übrigens eben so klein als der Zwerg-Büffel, schön lichtbraun von Farbe, und von feinen weichen Haaren.~~No. 4. Der Afrikanische Büffel. (Bos Caffer.)~~Der Afrikanische Büffel ist über 8 Fuss lang, schwärzlich von Farbe, und lebt wild in dem Innern von Afrika. Er ist nicht zu zähmen, äusserst boshaft, und so stark dass oftmals der Löwe vor ihm erliegen muss; rennt mit grosser Leichtigkeit durch das stärkste Gebüsch, überfällt oft aus einem Hinterhalte plötzlich Menschen und Thiere, wirft sie nieder, zerquetscht sie mit Hörnern und Füssen, und leckt selbst nach ihrem Tode ihnen das Fleisch zu wiederholten malen ab. Sein Fleisch ist zwar essbar, aber sehr hart.~~No. 5. Der Moschus-Ochse. (Bos moschatus.)~~Der Moschus-Ochse oder Bisam-Stier bewohnt bloss die kalten Länder im äussersten Nord-Amerika, wo er in kleinen Heerden lebt; liebt öde und felsigte Gegenden, wo er mit vieler Geschicklichkeit klettert. Er ist so gross als der Afrikansche Büffel, sieht schwarzbraun aus, hat über den ganzen Körper sehr lange feine Haare die oft bis zur Erde reichen, auf dem Rücken ein weisses Fleck; Schwanz und Füsse aber sind kurz und braunroth. Seine Hörner sind abwärts gebogen, und die Spitzen wieder in die Höhe gekrümmt, so dass sie fast wie ein Joch aussehen. Sie treten an der Wurzel hart zusammen, und sind so gross und stark, dass ein Paar oft 60 Pfund wagen. Sein Fleisch und besonders das Herz riecht sehr stark nach Moschus, wovon er auch den Nahmen hat. n Nahmen hat.~~
Ad00341 02 020a/freQuatrupèdes. XXVIII. Vol. II. N. 17.
BOEUFS DE DIFFERENTES ESPECES.
No. 1. et 2. Le Sarluk, ou le Buffle à queue de cheval. (Bos grunniens.)
Cet animal singulier ne vit que dans le Tibet, où il est domestique. Il est beaucoup plus petit que notre bétail ordinaire, et se distingue surtout par fa voix grognante, son poil sin et aussi long qu'il touche presque à terre, et par sa queue longue et extrêmement tousfue. Ces deux qualités lui ont fait donner les noms de boeus grognant et de Buffle à queue de cheval. Il y en a deux espèces différentes, dont l'une (No. 1.) a des cornes et du poil noir au corps, mais sa tête, fa queue, le dos, la poitrine et le ventre sont blancs. L'autre espèce (No. 2.) est tout à fait noire et n'a point de cornes. On allure, que les schowls précieux qu'on tire des Indes sont sous faits du poil fin des queues de la première espèce de ces animaux.
No. 3. La Vache Indienne. (Bos Indicus, femina.)
La Vache Indienne est une variété du Zébu, excepté qu'elle a des boutons noueux au lieu de cornes, et point de bolle. Au reste elle est aussi petite que le Zébu, sa couleur est d'un beau brun clair et son poil est très fin et mou.
No. 4. Le Buffle Africain. (Bos Caffer.)
Le Buffle Africain a plus de 8 pieds de long; sa couleur est noirâtre et il vit sauvage dans l'intérieur de l'Afrique. II est méchant, Indompuble et d'une telle force que souvent le lion en est vaincu. Il court avec une grande facilité à travers les brossailles les plus épaissea, surprenci souvent d'une embuscade des hommes et des bestiaux, les terrasse, les ecrasê avec les cornes et les pieds, et leur le che sa chair même après leur mort. Sa chair est mangeable, mais très dure.
No. 5. Le Boeuf musqué. (Bos moschatus.)
Le Boeuf musqué habite les régions les plus froides de l'Amérique Septentrionale, et y vit em petits troupeaux. Il se plait dans les déserls et sur les rochers, et grimpe avec une addrelse surprenante. Il est de la même grandeur que le Buffle Africain; sa couleur est d'un brun noirâtre, et tout son corps est couvert d'un poil long et très sin qui touche souvent jusqu'à terre. Sur le dos il a une tache blanche; sa queue et Tes pieds sont courts et de couleur rousse. Ses cornes sont courbées en bas et les bouts s'en rédressent en haut, ce qui leur donne l'air d'un joug; à leurs racines elles se touchent de bien près, et sont si grosses et sortes, qu'une seule paire en pése souvent plus de 60 livres. La chair de cet animal et surtout son coeur sent très fort de Musc, et c'est aussi à cause de cette odeur qu'on lui a donné son nom.
Ad00341 02 021aAd00341 02 021a.jpgDie Hay-Fische sind die schrecklichsten Raubthiere der Meere, und eben so fürchterlich als auf dem Lande der Tiger, der Löwe und die Hyäne. Wir treffen die Hayen fast in allen Meeren, vorzüglich aber im südlichen und nördlichen Oceane, an. Sie folgen immer den Schiffen nach, um die todten Körper, und was sonst aus den Schiffen über Bord geworfen wird, aufzufangen und zu fressen. Auch den Menschen werden sie beym Einziehen der Netze, oder wenn Einer ins Wasser fallt, höchst gefährlich, und man findet fast in allen Reisebeschreibungen Nachrichten von Unglückfällen, welche diese Raubthiere anrichten. Die Hayen haben meistentheils an Statt der Schuppen zarte Stacheln auf ihrer Haut, welche bey Nacht leuchten. Sie haben ein hartes, übelriechendes Fleisch, welches man nicht essen kann; man fängt sie aber mit grossen Angelhaken, - welche an eisernen Ketten liegen, weil sie sonst ein Seil leicht zerbeissen würden - vorzüglich um ihrer Haut und grossen Lebern willen. Die Haut brauchen unsre Künstler zum Poliren, und aus den Lebern, die oft ungeheuer gross sind, wird eine sehr gute Art von Fisch-Thran gesotten. Eine Hayen Leber giebt gewöhnlich zwey bis drey Tonnen Thran. Es giebt mehrere Arten von Hayen, die meistens sehr schön gezeichnet sind. Die grösste und fürchterlichste Gattung davon, den Menschen-Fresser, haben wir schon im I. Bande auf Taf. 49 des Bilderbuchs kennen gelernet; und jetzt wollen wir auch noch die andern Arten kennen lernen.~~No. 1. Der Dornhay. (Squalus Acanthias.)~~Der Körper ist rundlich, braunroth und grünlich von Farbe. Auf dem Rücken hat er zwei grosse Stacheln, davon er der Dornhay heisst.~~No. 2. Der blaue Hay. (Squalus glaucus.)~~Rücken und Flossen sind schön blau, der Bauch braun und weiss.~~No. 3. Der getiegerte Hay. (Squalus Canicula.)~~Die Haut ist grauroth, der Rücken braun, und die schwarzbraunen Tiegerflecken geben ihm ein überaus schönes Ansehen.~~No. 4. Der bandirte Hay. (Squalus fasciatus.)~~Die Grundfarbe seines Körpers ist dunkelgrün, der Rücken braun, und diese Farben werden von weissen, in die Quere laufenden Banden, welche schwarz punctirt sind, unterbrochen. Er lebt in Ostindien.~~No. 5. Der klein gefleckte Hay. (Squalus Catulus.)~~Seine Grundfarbe ist röthlich weiss, und über den ganzen Leib sind lichtbraune Flecken gestreut. Seine Flossen sind blosse Fleisch-Lappen. Er lebt in allen Meeren.~~
Ad00341 02 021a/frePoissons XIV. Vol. II. No. 18.
REQUINS DE DIFFERENTES ESPECES.
Les Requins sont les poissons les plus redoutables et les plus voraces; ils sont aussi terribles dans les mers, que le tigre, le lion et l'hyène le sont sur la terre. Ou trouve cet animal dans presque toutes les mers, mais surtout dans la mer pacifique et dans celle du Nord. Ils sui vent toujours les vaiiïeaux pour happer et dévorer les cadavres et tout ce qui en est jette sur bord. Les hommes eu lâchant les filets et en les retirant, doivent être très fort sur leurs gardes pour ne pas devenir la proie de ces monstres, et quand quelqu'un a le malheur de tomber dans la mer, il court le plus grand risque d'être avalé par les Requins. Dans toutes les descriptions de voyage sur mer, ou trouve des exemples srequens de malheurs causés par ces poissons.
Presque toutes les Espèces de Requins n'ont point d'écaillés, mais à leur place elles sont revêtues d'une peau très dure et munie de piquans qui éclairent dans l'obscurité. On ne peut pas manger leur chair, car elle est dure, coriace et de rnauvaise odeur; mais cela n'empêche, qu'on ne prenne ce poilîon très fréquemment, parce que pluheurs Artisans sont usage cle sa peau en remployant pour couvrir des étuis ou pour polir le bois et même le fer, et que. de son soie on tire par la voie de l'ébulition une excellente huile (thran)qu'on garde dans de petites barriques. Ces foies sont d'une grosseur si énorme, qu'on tire ordinairement d'un seul deux ou trois barriques d'huile. On prend ce poisson avec un gros hameçon garni d'une pièce de lard et attaché à une bonne chaîne de fer; car la corde la plus forte ne resisteroit pas aux dents aigues du Requin.
Toutes les diferentes espèces de ces animaux sont fort joliment colorées. La plus grande d'entre elles et la plus redoutable est le Grand Requin, que les Allemands appellent le Mangeur d'hommes, et dont nous avons déjà donné la description Vol I. T. 49 de ce Portefeuille. Nous en ferons maintenant connoitre les autres espèces.
No. 1. L'Aguillat. (Squalus Acanthias.)
Le Corps de ce poisson est rondelet, et d'une couleur brune cendrée. Son dos est garni de deux aiguillons longs et pointus, dont il a tiré son nom.
No. 2. Le Cagnot bleu. (Squalus glaucus.)
Son dos et ses nageoires sont d'un bleu obscure j et son ventre est blanc et brun.
No. 3. La Roussette tigrée. (Squalus Canicula.)
La peau en est rougeàtre tirant sur le gris, le dos est brun, et tout le corps est marqué comme le tigre de petites taches brunes à ce qui rend ce poisson très beau.
No. 4. Le Réquin rayé. (Squalus fasciatus.)
La couleur principale de son corps est un gris foncé, et le dos est brun; mais ces couleurs sont transversalement entrecoupées par des rayes blanches marquettées de points noirs. Il vit dans les Indes.
No. 5. La Roussette. (Squalus Catulus.)
La couleur principale de ce poisson est blanche, tirant sur le rouge, et tout son corps est parsemé de taches brunes. Ses nageoires ne sont que deux lambeux de chair. On le trouve dans toutes les mers.
Ad00341 02 022aAd00341 02 022a.jpgDie Antilopen und Gazellen sind ein schönes Thier-Geschlecht, das in dem gebirgigten Asien und Afrika lebt, sehr viele Gattungen hat, davon man die grösseren, welche an die Hirsche und Ochsen gränzen, Antilopen, und die kleineren, welche den Ziegen und Rehen näher kommen, Gazellen nennt, zu denen auch die Gemse gehört, welches die einzige Gattung davon ist, die in Europa auf den Alpen der Schweiz, Tyrol und Savoyen lebt. Ich will auf diesem Blatte 6 Antilopen von der grösseren Art vorstellen.~~No. 1. Der Empophos. (Antilope Oreas.)~~Der Empophos, oder auch das Elenn vom Cap, ist 5 bis 8 Fuss hoch, blaugrau von Farbe, und wohnt in Ostindien, Congo und Afrika, in gebirgigten Gegenden. Es hat 2 Fuss lange gerade und bis zur Mitte gedrehte Hörner, auch an der Stirn und Brust einen Haarschopf. Sein Fleisch ist wohlschmeckend, und aus den Hörnern machen sich die Hottentotten Tobacks-Pfeifen.~~No. 2. Der Biggel. (Antilope Tragocamelus.)~~Der Biggel, oder Kameel-Bock, wohnt in Bengalen und der Barbarey, ist 5 Fuss hoch, blaugrau von Farbe und am Kopfe schwarz; hat vorwärts gekrümmte kurze Hörner, einen Pferdekopf, Kameelhals, kurze Mähnen, einen Buckel auf dem Rücken, und einen Ochsen-Schwanz. Er lebt wild, gleichfalls in Gebirgen.~~No. 3. Der Nylgau. (Antilope picta.)~~Der Nilgau, oder die weissfüssige Antilope, lebt wild in Bengalen, ist 4 1/2 Fuss hoch, hat kurze Ochsen-Hörner, und gleicht auch einem Stier am meisten. Er ist dunkelgrau von Farbe, hat an der Kehle, Brust und über den Klauen weisse Flecken, so wie auch einen schwarzen Schopf am Halse.~~No. 4. Der Kudu. (Antilope Strepsiceros.)~~Der Kudu, oder das Condoma, bewohnt das Land der Caffern im südlichen Afrika, gleicht an Grösse, Gestalt und Farbe dem Hirsche, hat 1 1/2 Ellen lange, spiralförmig gewundene Hörner, welche zwey scharfe Kanten haben, und oberhalb runzlich sind. Er hat am Kopfe so wie über den Rücken und die Seiten verschiedene weisse Striche, einen Eselsschwanz und am Halse eine kurze Mähne. Er lebt gleichfalls in Gebirgen, und sein Fleisch ist wohlschmeckend.~~No. 5. Der Bubal. (Antilope Bubalis.)~~Der Bubal wohnt in der Barbarey, und hat die Grösse und Farbe eines Hirsches, jedoch auf der Stirn und an den Füssen schwarze Flecken. Seine schwarzen runzlichen Hörner sind erst vor und dann rückwärts gebogen. Seiner Gestalt nach hält er das Mittel zwischen einem Hirsche und jungen Stiere. Er hat ein zartes aber trocknes Fleisch.~~No. 6. Der Gnou. (Antilope Gnou.)~~Der Gnou hat den Leib eines mittelmässigen Pferdes, schlancke Hirschläufe und einen Ochsenkopf. Er ist 6 1/2 Fuss lang und 4 Fuss hoch, hat 19 Zoll lange vorwärts stehende aber rückwärts gebogene Hörner, eine dicke weisse Mähne am Nacken und Halse, so wie auch einen weissen Pferde-Schweif. Er ist von Farbe schwarzbraun, und hat um die Augen einen strahlichten Stern von hellerer Farbe. Der Gnou bewohnt das südliche Afrika, ist wild, unbändig, und sehr stössig; daher er auch nicht leicht zu zähmen ist.~~
Ad00341 02 022a/freQuatrupèdes. XXIX. Vol. II. N. 19.
ANTILOPES ET GAZELLES.
L' Antilope est un très joli quairupède, qui se trouve dans les montagnes de l'Asie et de l'Afrique. Il y en a de plusieurs espèces, qui ont des différences entre elles. Ceux qui pour la grandeur tiennent le milieu entre les cerfs et les boeufs, sont nommés Antilopes, et les plus petits, qui approchent du chevreuil pour la taille et pour la figure, s'appellent Gazelles. Dans le genre de ces dernières appartient aussi le Chamois', il en est la seule espèce qui vit en Europe sur les Alpes de la Suisse, du Tirol et de la Savoie. Je représenterai sur cette feuilie les six espèces d'Antilopes les plus grandes.
No. 1. L'Empophos, ou l'Antilope grimme. (Antilope Oreas.)
L'Antilope grinnne ou l'Elan du Cap, est de la hauteur de 5 jusqu'à 8 pieds et vit dans les pays montagneux des Indes, du Congo et de l'Afrique. Sa couleur est griseàtre tirant sur le bleu, ses cornes sont longues île deux pieds, toutes droites et contournées jusqu'au milieu; sur le front et la poitrine il a un bouquet de poil bien fourni. Sa chair est d'un excellent goût, et les Hottentots sont de ses cornes des pipes à tabac.
No. 2. L'Antilope Drago-camelus. (Antilope Tragocamelus.)
Cette espèce d'Antilopes, qui fe trouve dans la Bengale et la Barbarie, est haute de 5 pieds, sa couleur est d'un gris bleuâtre et sa tête est noire. Les cornes de cet animal sont courtes et recourbées vers le front; sa tète ressemble à celle du cheval, sou cou à celui du chameau et sa queue à celle du boeus. Sa crinière est courte, et il a une bosse sur le dos. 11 vit sauvage dans les montagnes.
No. 3. Le Condous. (Antilope picta.)
Le Condoue habite la Bengale et vit dans l'état sauvage. Il est haut de 4 1/2 pieds, ses cornes sont courtes et ressemblent à celles du boeuf, duquel en général il approche beaucoup par la figure. Sa couleur est d'un gris, sonce, il a des taches blanches sur la gorge, la poitrine et au dessus des ongles, et au cou il porte un bouquet de poil noir.
No. 4. Le Condoma ou l'Antilope strepsiceros. (Antilope Strepsiceros.)
Cet animal habite le pays des Cassres dans l'Afrique méridionale, et ressemble au cerf pour la grandeur, la figure et la couleur. Il a des cornes roulée. -, en spirale et longues d' 1 1/2 aunes, garnies de deux arêtes tranchantes et ridées dans la partie inférieure. Sa tète ainsi que son dös et ses unes sont marquetés de plulieurs rayes blanches; sa queue ressemble à celle de làue, et à son cou il a, une crinière courte. Il vit également dans les montagnes, et sa chair est très bonne à manger.
No. 5. Le Bubale. (Antilope Bubalis.)
Le Bubale vit dans la Barbarie, et sa hauteur ainsi que sa couleur sont celles du cers, excepté qu'il a des taches noires aux pieds. Ses cornes noires et ridées sont courbées vers le front, et contournées vers le dos à leurs bouts. Il tient par sa forme le milieu entre le cerf et un jeune boeuf, et sa chair est très tendre mais lèche.
No. 6. L'Antilope Gnou. (Antilope Gnou.)
Cet animal a le corps d'un cheval de moyenne taille, les pieds déliés du cerf et une tète de boeus. Il est long de 6 1/2 pieds et haut de 4 pieds; ses cornes ont la longueur de 19 pouces, et sont recourbées par le bout. Il a une crinière blanche, très, toussue au cou et sur la nuque, ainsi qu'une queue blanche qui ressemble parfaitement à celle du cheval. Sa couleur est d un brun foncé, et autour des yeux il a une étoile rayonnante d'une couleur plus claire. Cette espèce d'Antilopes habite l'Afrique méridionale, est sauvage, très niechant et s'accoutume dissicilement à la domesticité.
Ad00341 02 023aAd00341 02 023a.jpgUnter Pflanzen und Kräutern, welche Menschen und Thieren theils zur Nahrung theils als Arzney dienen, giebt es auch verschiedene Giftpflanzen, deren Genuss den Tod unausbleiblich zur Folge hat. Auch Teutschland hat deren mehrere, welche durch ihre grosse Aehnlichkeit mit unsern Küchenkräutern und Gemüsen, sich unter dieselben mischen, und es vergeht schwerlich ein Jahr, wo nicht in ieder Stadt und auf dem Lande einige Hausfamilien, oder einzelne Personen, am meisten aber Kinder, durch Versehen oder Nichtkennen der einheimischen Giftpflanzen ein klägliches Schlachtopfer des Todes, oder fürchterlicher Krankheiten werden. Um also Kinder, und jedermann der sich unterrichten will, mit diesen gefährlichen Gegenständen, die uns so nahe liegen, und augenblicklich aufstossen können, bekannt zu machen, und sie zu warnen, werde ich die wichtigsten Giftpflanzen hier abgebildet liefern.~~Ich fange mit den 3 Sorten des Schierlings, als des gefährlichsten Feindes unsrer Küchen, an, weil seine Blätter, sonderlich No. 2. dem Kraute der Petersilie überaus gleichen, und er sich häufig in den Gärten unter dieselbe mischet.~~No. 1. Der kleine Schierling. (Aethusa Cynapium.)~~Der kleine Schierling (der auch Hunds-Petersilie heisst) wächst wild in den Gärten als Unkraut auf gebautem Lande. Seine Wurzel ist etwa Fingers dick, einer Spanne lang, weiss und stinkend. Der Stengel ist sehr schwach, nicht über 2 Fuss hoch. Seine Blätter sind der Petersilie überaus ähnlich, doch oben dunkler grün, und auf der untern Seite mehr weiss, und beynahe glänzend. Er blühet weiss. Die ganze Pflanze ist ein Gift, welches innerlich genossen, betäubende, und sehr heftige Wirkungen, blaue Geschwulst des Leibes, entsetzliche Bauchschmerzen, und sehr oft den Tod hervorbringt.~~No 2. Der gefleckte Schierling. (Conium maculatam.)~~Diese Giftpflanze (welche am häufigsten von Köchen und Gemüssweibern mit Körbel, Petersilie und Pastinak verwechselt wird) wächse wild auf Gartenländern, gebauten und ungebauten Feldern, Wiesen an Strassen und Gräben. Seine Wurzel ist beynahe so dick als eine Pastinak-Wurzel, runzlich, zaserigt gelbweiss, und riecht wie die Pastinakwurzel. Der Stengel wird 3 bis 4 Fuss hoch, 1 Zoll dick, ist glatt, rund, inwendig hohl und knotig, und von unten hinauf roth und stark mit blutrothen Flecken besprengt, welches sein Hauptkennzeichen ist. Die Blätter, welche der grossen Petersilie sehr gleichen, und wie Pastinacken riechen, haben gleichfalls rothgefleckte Stiele, und sehen oberhalb glänzend schwarzgrün. Er blüht im Julius und August weiss, und ist der wahre Schierling der Alten, mit welchem sie ihre Staatsverbrecher hinrichteten. In den Händen erfahrner Aerzte ist er jetzt ein sehr kräftig wirkendes Arzneymittel geworden.~~No. 3. Der Wasser-Schierling. (Cicuta virosa.)~~Diese Giftpflanze vom ersten Range in Europa, wächst an Wasser-Gräben, Sümpfen und wässerigen Wiesen. Ihr Stengel fig. 3.a. ist über 4 Fuss hoch, dunkelgrün, gefurcht, und von unten herauf fast 2 Zoll, inwendig hohl und weiss. (fig.3.b.) Die Blätter sind sehr ausgebreitet. Sie blühet im Julius und August weiss. Ihr meister Gift liegt in der Wurzel, welche sehr gross im Frühlinge und Sommer rund und knolligt fig. 3.c. beynahe wie Sellerie, im Herbst aber lang fast wie Pastinaken ist, und deshalb oft von gemeinen Landleuten mit wilden Sellerie und Pastinacken verwechselt, und unglücklicherweise gegessen wird. Die Wurzeln sind innerhalb weissgelb, und haben, wenn man sie durchschneidet, viele Höhlungen, wie fig. 3.d. zeigt, und sind daran vorzüglich kenntlich.~~
Ad00341 02 023a/frePflanzen. XXVII. B. II. No. 20.
TEUTSCHE GIFT-PFLANZEN.
Unter Pflanzen und Kräutern, welche Menschen und Thieren theils zur Nahrung theils als Arzney dienen, giebt es auch verschiedene Giftpflanzen, deren Genuss den Tod unausbleiblich zur Folge hat. Auch Teutschland hat deren mehrere, welche durch ihre grosse Aehnlichkeit mit unsern Küchenkräutern und Gemüsen, sich unter dieselben mischen, und es vergeht schwerlich ein Jahr, wo nicht in ieder Stadt und auf dem Lande einige Hausfamilien, oder einzelne Personen, am meisten aber Kinder, durch Versehen oder Nichtkennen der einheimischen Giftpflanzen ein klägliches Schlachtopfer des Todes, oder fürchterlicher Krankheiten werden. Um also Kinder, und jedermann der sich unterrichten will, mit diesen gefährlichen Gegenständen, die uns so nahe liegen, und augenblicklich aufstossen können, bekannt zu machen, und sie zu warnen, werde ich die wichtigsten Giftpflanzen hier abgebildet liefern.
Ich fange mit den 3 Sorten des Schierlings, als des gefährlichsten Feindes unsrer Küchen, an, weil seine Blätter, sonderlich No. 2. dem Kraute der Petersilie überaus gleichen, und er sich häufig in den Gärten unter dieselbe mischet.
No. 1. Der kleine Schierling. (Aethusa Cynapium.)
Der kleine Schierling (der auch Hunds-Petersilie heisst) wächst wild in den Gärten als Unkraut auf gebautem Lande. Seine Wurzel ist etwa Fingers dick, einer Spanne lang, weiss und stinkend. Der Stengel ist sehr schwach, nicht über 2 Fuss hoch. Seine Blätter sind der Petersilie überaus ähnlich, doch oben dunkler grün, und auf der untern Seite mehr weiss, und beynahe glänzend. Er blühet weiss. Die ganze Pflanze ist ein Gift, welches innerlich genossen, betäubende, und sehr heftige Wirkungen, blaue Geschwulst des Leibes, entsetzliche Bauchschmerzen, und sehr oft den Tod hervorbringt.
No 2. Der gefleckte Schierling. (Conium maculatam.)
Diese Giftpflanze (welche am häufigsten von Köchen und Gemüssweibern mit Körbel, Petersilie und Pastinak verwechselt wird) wächse wild auf Gartenländern, gebauten und ungebauten Feldern, Wiesen an Strassen und Gräben. Seine Wurzel ist beynahe so dick als eine Pastinak-Wurzel, runzlich, zaserigt gelbweiss, und riecht wie die Pastinakwurzel. Der Stengel wird 3 bis 4 Fuss hoch, 1 Zoll dick, ist glatt, rund, inwendig hohl und knotig, und von unten hinauf roth und stark mit blutrothen Flecken besprengt, welches sein Hauptkennzeichen ist. Die Blätter, welche der grossen Petersilie sehr gleichen, und wie Pastinacken riechen, haben gleichfalls rothgefleckte Stiele, und sehen oberhalb glänzend schwarzgrün. Er blüht im Julius und August weiss, und ist der wahre Schierling der Alten, mit welchem sie ihre Staatsverbrecher hinrichteten. In den Händen erfahrner Aerzte ist er jetzt ein sehr kräftig wirkendes Arzneymittel geworden.
No. 3. Der Wasser-Schierling. (Cicuta virosa.)
Diese Giftpflanze vom ersten Range in Europa, wächst an Wasser-Gräben, Sümpfen und wässerigen Wiesen. Ihr Stengel fig. 3. a. ist über 4 Fuss hoch, dunkelgrün, gefurcht, und von unten herauf fast 2 Zoll, inwendig hohl und weiss. (fig. 3. b.) Die Blätter sind sehr ausgebreitet. Sie blühet im Julius und August weiss. Ihr meister Gift liegt in der Wurzel, welche sehr gross im Frühlinge und Sommer rund und knolligt fig. 3. c. beynahe wie Sellerie, im Herbst aber lang fast wie Pastinaken ist, und deshalb oft von gemeinen Landleuten mit wilden Sellerie und Pastinacken verwechselt, und unglücklicherweise gegessen wird. Die Wurzeln sind innerhalb weissgelb, und haben, wenn man sie durchschneidet, viele Höhlungen, wie fig. 3. d. zeigt, und sind daran vorzüglich kenntlich.
Ad00341 02 024aAd00341 02 024a.jpgWir kennen schon die grösste Gattung der Antilopen, welche sich dem Ochsen nähert, aus Taf. 19. des vorigen Hefts. Gegenwärtige Tafel zeigt 6 Arten von mittler Größe, welche ihrer Gestalt nach an die Hirsche und Rehe gränzen, und die man bald Antilopen bald Gazellen nennt, und deren Fleisch als Wildpret essbar ist.~~No. 1. Der Nagor. (Antilope redunca.)~~Der Nagor wohnt in Senegal, ist 4 Fuss lang und 2 Fuss 3 Zoll hoch, ein schönes, schlankes Thier, hat vorwärts gebogene schwarze, kurze Hörner, und beynahe die Gestalt und Farbe von einem Rehe.~~No. 2. Der Basan. (Antilope Oryx.)~~Der Pasan hat die Grösse eines Damhirsches, gerade aufrecht stehende, etwa 2 Fuss lange und von unten hinauf geringelte Hörner. Er ist grau von Farbe, am Kopfe und Bauche aber schwarz und weiss gefleckt; die Beine aber sind ganz weiss. Er wohnt in ganz Sud-Afrika und Asien, und ist eins der schönsten Thiere seiner Art.~~No. 3. Der Guib. (Antilope scripta.)~~Der Guib wohnt ebenfalls in Senegal, ist so gross, als der Pasan, oder als ein Damhirsch, und hat kurze gewundene und rückwärts stehende Hörner. Er ist von Farbe kastanienbraun, und am Leibe mit breiten, weissen, einander durchkreuzenden Streifen so sonderbar gezeichnet, dass es nicht anders aussieht, als hätte das Thier ein weisses Pferde-Geschirr auf sich liegen.~~No. 4. Die Hirsch-Ziege, oder Bezoar-Antilope. (Antilope cervicapra.)~~Diese Antilope ist besonders desswegen merkwürdig, weil man in ihrem Magen den sonst als Arzney berühmten orientalischen Bezoar findet, welches eine grünliche, langrunde Kugel ist, welche wahrscheinlich von Kräutern, die diess Thier frisst, entsteht. Diese Antilope lebt fast in ganz Afrika und Ostindien, ist so gross als ein Damhirsch, auf dem Rücken und Seiten rothbraun, an der Brust und am Bauche aber weiss, und hat schön gewundene und geringelte Hörner.~~No. 5. Die Kropf-Gazelle. (Antilope gutturosa.)~~Diese Gazelle ist von der Grösse eines Rehs, dem sie auch an Gestalt gleicht; ausser dass sie einen beträchtlichen Kropf hat, und rothgelb von Farbe ist. Sie hat etwa 10 Zoll lange, hinterwärts liegende, runzlichte Hörner. Ihr Vaterland ist China und Tibet, wo sie in Heerden von 1000 bis 2000 Stükken in den Wüsten zusammen lebt. Sie läuft und springt ausserordentlich stark, lässt sich aber zahm machen.~~No. 6. Die Saiga. (Antilope Saiga.)~~Die Saiga ist von der Grösse der vorigen Gazelle, lebt in der Gegend der Carpathischen und Caucasischen Gebirge, und in den südlichen Provinzen von Russland. Sie ist rothgrau von Farbe, und hat etwa 11 Zoll lange, doppelt gegen einander gebogene und geringelte Hörner. Manche unter diesen Thieren haben drey Hörner, manche auch gar nur Ein Horn, woraus sich dann wohl die Sage wegen des Einhorns der Alten erklären liesse.~~
Ad00341 02 024a/freQuadrupèdes XXX. T. II. No. 21.
ANTILOPES ET GAZELLES.
Nous connoissons déjà, de la Table 19 du Cahier précédent, l'espèce la plus grande des Antilopes, cuï s'approche dn Boeuf. Sur la Table ci-jointe lions en voyons six autres espèces de moyenne grandeur, qui ressemblent par la forme aux cerfs et aux chevreuils, et qu'on nomme tantôt Antilopes et tantôt Gazelles. Leur chair est aussi bonne à. manger, que celle du gibier.
No. 1. Le Nagor. (Antilope redunca.)
Le Nagor habite aux bords du Sénégal; sa longueur est de 4 pieds et sa hauteur de 3 pieds, 3 pouces. Il est très beau et d'une taille déliée et élégante; ses cornes sont courbées en avant, noires et petites; il vessemble aux chevreuils par la couleur et presque par toute la figure.
No. 2. Le Pasan. (Antilope Oryx.)
Le Pasan a la grandeur d'un Daim; ses cornes sont toutes droites, longues de 2 pieds et roulées d'en bas. Sa couleur est grise, mais à la tète et au ventre il a des taches noires et blanches, et ses jambes sont entièrement blanches. On le trouve dans toute l'Afrique méridionale et dans l'Asie, et il. sait une. des. plus belles, espèces d'Antilopes.
No. 3. Le Guib. (Antilope scripta.)
Le Guib habite également aux bords du Sénégal;il est de la même grandeur que le Pasan,. et ses cornes sont petites, contournées et courbées en arrière. Il eït de couleur châtaigne, et son corps est si smgnlièrement marqué de rayes blanches, larges et qui fe croîsent entre elles, que ranimai a parfaitement l'air d'être, couvert d'un har"nis blanc.
No. 4. L'Antilope proprement dite. (Antilope cervicapra.)
Cette espèce d'Antilopes est principalement remarquable par ce qu'on trouve dans son tstomac le Uezoard oriental, sameux anciennement comme une drogue médicinale, qui est une boule grisâtre, de forme ovale et qui provient vraiseiublablement des herbes, dont cet animal sait sà nourriture. Cette Antilope vit presque dans toute l'Asrique et dans les Indes Orientales. Sa grandeur est celle du daim;, ses cornes sont joliment roulées et contournées, et sa couleur est d'un brun rongeâtre sur le dos et aux cotés, mais blanche sur la poitrine et au ventre.
No. 5. La Gazelle à goître. (Antilope gutturosa.)
Cette Gazelle est de la grandeur d'un chevreuil; auquel elle rejsemble aussi par la forme, excepté qu'elle a un goitre considérable et que sa couleur est moins fauve que jaunâtre. Ses cornes sont longues de dix pouces, ridées et recourbées en arrière. Sa patrie est la Chine et le Tibet, où elle vit en troupeaux de 1000 jusqu'à 2000 pièces dans les déserts. Elle est très légère à la course et saute extrêmement vite; mais cependant elle se laisse apprivoiser.
No. 6. Le Saiga. (Antilope Saiga.)
Le Saïga est de la grandeur de la Gazelle précédente; on la trouve aux environs du Mont Caucase et dans les provinces méridionales de la Russie. Sa couleur est d'un gris rougeàtre; ses, cornes sont longues d'à peu près 11 pouces, contournées et courbées Tune vers l'autre. Il y en a de ces animaux, qui ont 3 cornes, d'autres au contraire n'en ont qu'une; ce qui pourroit peutêtre résoudre le problème par rapport à la Licorne des Anciens.
Ad00341 02 025aAd00341 02 025a.jpgDie dritte und kleinste Gattung der Antilopen, welche sich den Rehen und Ziegen am meisten nähert, pflegt man insgemein nur Gazellen zu nennen. Es sind aber schöne, leichte und zierliche Thiere, unter welche auch unsre Gemse mit gehöret.~~No. 1. Die Gemse. (Antilope rupicapra.)~~Die Gemse lebt nur auf den höchsten Gebirgsketten von Europa und Asien, nemlich auf den Alpen, Carpathen, Pyrenäen, Apenninen; so wie auf dem Caucasus und Taurus. Sie ist rothbraun von Farbe, hat die Grösse eines Ziegenbocks, und kurze, aufrecht stehende und hakenförmige, schwarze Hörner. Sie lebt in kleinen Heerden auf den Steinfelsen, hat ein scharfes Gesicht, Geruch und Gehör, ist aber sehr furchtsam, und springt daher leicht und sehr sicher von Klippe zu Klippe über die tiefsten Abgründe hinweg, so dass ihre Jagd ausserordentlich schwer und gefährlich ist. Ihr Fleisch ist sehr wohlschmeckend, und ihr Fell geschmeidig und dauerhaft.~~No. 2. Die gemeine Gazelle. (Antilope Dorcas.)~~Die gemeine oder Arabische Gazelle ist nur halb so gross als ein Damhirsch, braunroth, am Halse lichtgrau, am Bauche weiss, hat kurze, geringelte und hinterwärts liegende Hörner. Sie bewohnt die Barbarey, Aegypten, Syrien und Arabien. Sie ist ein so überaus schönes, schlankes und zierliches Thierchen, dass sie sowohl im Hohenliede Salomo's, als auch bey andern orientalischen Dichtern, gewöhnlich das Bild ist, womit schöne Mädchen verglichen werden.~~No. 3. Die Korinne. (Antilope Corinna.)~~Die Korinne hat die Grösse und Gestalt eines Rehs, die Farbe und Zeichnung von der gemeinen Gazelle, und kleine, dünne, aufwärts stehende und gegen einander gebogene Hörner. Sie wohnt am Senegal und in Bengalen.~~No. 4. Der Kevell. (Antilope Kevella.)~~Der Kevell ist von der Grösse eines kleinen Rehes, und hat an Gestalt, Farbe und Hörnern mit der gemeinen Gazelle sehr viel Aehnlichkeit, nur einen noch zierlichern Kopf und noch schönere Augen. Er wohnt in Süd-Afrika.~~No. 5. Der Klippspringer. (Antilope Oreotragus.)~~Der Klippspringer ist ein wenig grösser, als ein Reh, dem er auch an Gestalt ziemlich gleicht. Er hat kurze, gerade in die Höhe stehende, sehr spitzige Hörner, ist von Farbe grünlichgrau und auf dem Rücken braun. Er bewohnt das Vorgebirge der guten Hoffnung.~~No. 6. Der Nanguer. (Antilope Dama.)~~Der Nanguer wohnt in Senegal, ist beynahe so gross, als ein Damhirsch, und hat schwarze, vorwärts gebogene Hörner. Diese Gazelle ist überaus schön gezeichnet, denn sie ist ganz weiss, und sieht aus, als wenn sie vom Kopfe herab über den Rücken eine rothbraune Decke hätte, welche zweymal am Halse und vor der Brust zugeknöpft wäre.~~
Ad00341 02 025a/freQuadrupèdes XXXI. T. II. No. 22.
ANTILOPES ET GAZELLES.
Cette troisième espèce d'Antilopes est la plus petite, et ressemble le plus aux chevreuils et aux. chèvres; on lui donne communément le nom général de Gazelles. Ce sont des très jolis quadrupèdes, d'une taille fine et des plus légers à la courte. On doit compter. aussi nos Chamois dans cette espèce.
Fig. 1. Le Chamois. (Antilope rupicapra.)
Le Chamois ne vit que sur les montagnes les plus élevées de l'Europe et de l'Alie; on le trouve sur les Alpes, les Carpatlies, les Pyrénées, l'Apennin, le {Jaucase et le mont Taurus. Sa couleur élit d'un brun rouge, sa grandeur est celle d'un bouc, et ses cornes petites, noires et crochues se tiennent toutes droites sur le front. Il vit en petits troupeaux sur des rochers escarpés, et a la vue., l'odorat et l'ouie très sins. Mais par contre il est extrêmement peureux, et quand ses sens subtils lui sont appercevoir quelque danger, il saute avec la plus grande légèreté et sans jamais manquer de rochers à rochers, et par dessus les abîmes les plus profonds; ce qui rend sa chasse très difficile et dangereuse. Sa chair est d'un excellent goût, et sa peau est souple et très durable.
Fig. 2. La Gazelle ordinaire. (Antilope Dorcas.)
La Gazelle ordinaire ou Arabe, est seulement de la moitié aussi grande qu'un daim; elle est de couleur sauve, son cou est d'un gris clair, et souventre est blanc. Ses cornes sont petites, contournées et recourbées sur le dos. Elle habite la Barbarie, l'Egypte, la Syrie, et l'Arabie. Elle est d'une telle beauté et sa figure est si déliée et élégante que non seulement Saîomon dans son Cantique, mais aussi plusieurs autres poctes de l'Orient l'ont jugé digne d'être le symbple d'une belle fille.
Fig. 3. La Corinne. (Antilope Corinna.)
La Corinne a la grandeur et la figure d'ua chevreuil, la couleur et le desïiu de la gazelle orrinaire et des petites cornes minces, qui se rapprochent par le bout. Oa la trouve aux bords du Sénégal et dans le Bengale.
Fig. 4. Le Kevel. (Antilope Kevella.)
Le Kevel est de la grandeur d'un clieveeaa, et ressemble beaucoup à la gazelle ordinaire, tant parla couleur que par la figure et la construction de ses cornes; sa tète cependant est encore plus élégante que celle de ce dernier animal, et ses yeux plus beaux. Il vit dans l'Afrique méridionale.
Fig. 5. Le Sauteur de rocs. (Antilope Oreotragus.)
Il est un peu plus grand qu'un chevreuil et lui ressemble aussi par la forme. Il a des petites cornes droites et très pointues. Sa. couleur est d'un verd grisâtre et brun sur le dos. Il se trouve au Cap de bonne Espérance.
Fig. 6. Le Nanguer. (Antilope Dama.)
Le Nanguer vit aussi aux bords du Sénégal, a presque la. grandeur 'd'un daim et des cornes noires, courbées vers le front. Cette Gazelle est supérieurement bien marquée; elle est blanche de couleur, et a sair d'être garnie depuis la tête jusque par dessus tout le dos d'une couverture d'un brun rougeâtre, qui, à deux endroits, au com et à la poitrine, semble être fermée par des noeuds.
Ad00341 02 026aAd00341 02 026a.jpgZu den fürchterlichsten Raubthieren der Meere, den Hay-Fischen, welche wir auf Taf. 18 des Bilderbuchs kennen gelernt haben, gehören auch noch folgende Arten.~~Fig. 1. Das Seeschwein. (Squalus Centrina.)~~Dieser Hay-Fisch ist dreyeckig, nemlich am Rücken scharf und breit am Bauche, und von Farbe oben braun und unten weisslich. Er ist von 3 bis 6 Fuss lang, lebt im Mittelländischen Meere in der hohen See, und nährt sich, wie alle Haye, vom Raube. Sein Fleisch ist hart und ungeniessbar und bloss seine Leber und Speckhaut werden zu Thrane genutzt.~~Fig. 2. Der Meerengel. (Squalus Squatina.)~~Der Meer-Engel hat einen fast breit gedrückten Körper, eine monströse Gestalt, und macht den Uebergang von den Hayen zu den Rochen. Der flache Kopf bildet einen runden Teller, und ist breiter als der Leib. Er lebt in der Nord-See und im mittelländischen Meere, liegt immer im Grunde, und nährt sich vorzüglich von Schollen und Rochen. Seine Länge ist vorzüglich 6 bis 8 Fuss, und er wird gewöhnlich mit einem Stücke Fleisch am Angelhaaken gefangen. Von seiner scharfen Haut verfertigen die Türken den schönsten Schagrin, welcher zum Ueberziehen der Taschen-Uhrgehäuse gebraucht wird. Sein Fleisch ist geniesbar, aber hart und schlecht.~~Fig. 3. Die Meersau. (Squalus Galeus.)~~Dieser Hay lebt auch im Mittelländischen Meere, ist von gleicher Grösse mit dem vorigen, nur sein Körper gestreckt und rund. Er lebt in Gesellschaft mit mehreren seines gleichen zusammen, und ist so gefrässig, dass er sogar Stücken Holz verschlingt, wenn man sie mit Fette beschmiert.~~Fig. 4. Der Seeteufel. (Lophius piscatorius.)~~Der Seeteufel, welcher fast in allen Meeren lebt, gehört zwar nicht mit zu den Hay-Fischen, ist aber theils wegen seiner scheusslichen Gestalt, theils weil ihn die Englischen Fischer für den Feind des Hayen halten, und glauben, dass er diesen bezwinge, merkwürdig. Er ist 6 bis 8 Fuss lang, und da ihn sein ungeheurer Kopf verhindert zu schwimmen, so legt er sich mit beständig offnem Rachen in den Hinterhalt, spielt mit seinen Faden im Schlamme, und da die Fische diess für Würmer halten und hinzueilen, so fängt und verschlingt er sie auf diese Art. Er hat, gekocht, ein weisses Fleisch, das wie Froschfleisch schmeckt.~~
Ad00341 02 026a/frePoissons XV. Vol. II. No. 23.
REQUINS DE DIFFERENTES ESPÈCES.
Parmi les Réquins, les poissons les plus redoutables et les plus voraces, et que nous avons vu représentés sur la Table XVIII. de ce Porte-feuille, il faut compter encore les espèces suivantes.
Fig. 1. Le Porc. (Squalus Centrina.)
Cette espèce de Requins est de forme triangulaire, c'està dire, son dos s'élève en prisme et son ventre est large. Sa couleur est brune par eu haut et blanchâtre vers le bas. Il est long de 3 jusqu' à 6 pieds, se trouve dans la Méditerranée en haute mer, et se nourrit, comme tous les Requins, de rapine. Sa chair est dure et point mangeable, et ce n'est que son foie et sa peau grasse, dont on peut se servir pour en faire de l'huile.
Fig. 2. L'Angelot de mer. (Squalus Squatina.)
Le corps de L'Angelot de mer est presqu' ntièrement applati, et sa figure inonstrueuse; il fixe le passage des Requins aux Rayes. Sa tête plate, qui a la forme d'une assiette ronde, est plus large que son corps. On le trouve dans la mer du ïsord et dans la Méditerranée, où il se tient prèsque toujours sur le fond; il se nourrit de préférence de Rayes et de Soles. Sa longueur ordinaire est de 6 à 8 pieds, et ou le prend par le hameçon, auquel on attache une bonne portion de viande pour amorce. Sa peau est extrêmement rude, et les Turcs en préparent le plus beau chagrin qu'on emploie à revêtir les étuis des montres. Sa chair est mangeable, mais dure et de mauvais goût.
Fig. 3. Le Milandre. (Squalus Galeus.)
Cette espèce de Requins, qu'on trouve également dans la Méditerranée, est de la même longueur que la. précédente; maïs elle en dissère eu ce que son corps est rond et effilé. Le Milandre; vit toujours en société avec plusieurs de son espèce, et il est vorace à un tel point qu'il avale même des morceaux de bois, quand ils sont enduits de grasse.
Fig. 4. Le Diable de mer. (Lophius piscatorius.)
Le Diable de Mer se trouve presque dans toutes les mers, et n'appartient pas au genre des Requins; mais il est très remarquable tant par sa figure hideuse que parceque les pêcheurs anglois le prennent pour l'ennemi des Requins, dont ils prétendent qu'il est le vainqueur. Il est long de 6 à 8 pieds, et comme sa tête monstrueuse l'empêche de nager, il se tient toujours en embuscade, la gueule ouverte, et remue la fange avec ses filets; lorsque les poissons, qui croyent y trouver des vers, en approchent, il les prend et les dévore. Sa chair étant cuite est blanche, et a le goût de celle des grenouilles.
Ad00341 02 027aAd00341 02 027a.jpgDie Schwämme, welche viele Menschen so gern essen, sind immer ein gefährlicher Leckerbissen, weil unter den mancherley Arten derselben auch sehr viele giftige sind, die zuweilen den guten und essbaren sehr ähnlich sehen, und schon oft den Tod ganzer Tischgesellschaften, welche davon assen, verursacht haben. Es ist daher sehr wichtig die giftigen Schwämme sowohl als die guten und essbaren genau kennen zu lernen, um sich vor jenen zu hüthen. Ich liefere daher auf gegenwärtiger Tafel sieben Arten der gemeinsten Teutschen Gift-Schwämme, in ihrer natürlichen Grösse abgebildet. Die guten und essbaren Schwämme sollen auf einer andern Tafel folgen.~~No. 1. Der giftige rothe Täubling. (Agaricus integer.)~~Der rothe Täubling wächst den ganzen Sommer hindurch in Buchen- Eichen- und Birken-Wäldern bey feuchtem Wetter. Sein Huth ist blutroth, zuweilen auch blässer, und gegen die Mitte vertieft, der Stiel weiss. Sein Fleisch hat eine brennende Schärfe, und verursacht ein tödtliches Brechen. Da nun der rothe essbare Täubling von diesem giftigen äusserst schwer und nur von geübten Schwämmenkennern unterschieden werden kann, so thut man wohl, sich des rothen Täublings für das Speisen ganz zu enthalten.~~No. 2. Der giftige Bläuling. (Agaricus integer.)~~Der giftige Bläuling ist gleichfalls ein violenblauer Täubling, der auf seinem Huthe um die Vertiefung einen weisslichen Ring hat. Er hat übrigens mit dem vorigen gleiche Eigenschaften.~~No. 3. Der giftige Grünling. (Agaricus integer.)~~Man sollte sich der Regel nach vor allen grünen Schwämmen hüten, und sie nie essen. Der giftige Grünling ist gleichfalls ein Täubling, welcher einen grünen Huth, und um die Vertiefung einen weissen Ring hat. Er wächst vorzüglich in Buchen-Wäldern.~~No. 4. u. 5. Der giftige Hirschling. (Agaricus torminosus.)~~Dieser Schwamm ist braun, hat einen trichterförmigen, gestrichelten und haarichen Huth, einen hohlen Stiel, und im Huthe ein graues Mark. Er wächset im August in Wäldern und auf Haiden, und wird gar oft mit guten und essbaren Reiskern verwechselt.~~No. 6. Der Fliegenschwamm. (Agaricus muscarius.)~~Mit diesem Schwamme ist schon häufiges Unglück geschehen, ungeachtet ihn sein Aeusseres doch so sehr auszeichnet. Er wächst vom August an bis in den Herbst auf trocknen, sandigen, bergigten Wiesen und Viehweiden. Sein Huth ist gewölbt, braunroth und mit kleinen, hellgrauen und fleischfarbenen Stückchen häufig besetzt, und dadurch rauh und ungleich. Der Stiel ist fleischfarb weisslich, und hat unten ein Ey. Sein Geschmack ist scharf, und sein Geruch stinkend. Die Fliegen, denen er mit Wasser hingesetzt wird, tödtet er, desgleichen die Wanzen, wenn man ihn bloss zerreibt und in die Fugen der Bettstellen schmiert. Die Einwohner von Kamtschatka bereiten sich ein berauschendes, tollmachendes Getränk daraus.~~No. 7. Der Mistblätterschwamm.(Agaricus fimetarius.)~~Dieser Schwamm wächst auf Misthaufen und dergleichen Stätten den Sommer hindurch. Sein Huth ist glockenförmig, grau, oft schuppig und zerrissen, und seine Blätter sind schwarz. Er ist gleichfalls giftig und nicht essbar.~~No. 8. Der Pfefferschwamm. (Agaricus piperatus.)~~Der Pfefferschwamm wächst gleichfalls in schattigen Wäldern. Sein Huth ist braun, flach, in der Mitte ein wenig gestreift, und der Rand unter sich gebogen. Im Alter aber vertieft er sich wie ein Trichter, das Regenwasser sammelt sich darinn, und ein klebriger Saft überzieht die ganze Oberfläche. Sein Saft ist scharf ätzend und auch giftig.~~
Ad00341 02 027a/frePlantes XXX. Vol. II. No. 24.
CHAMPIGNONS VENENEUX D'ALLEMAGNE.
Les Champignons, que beaucoup de monde aime tant à maager, sont une friandise clés plus dangerewses, parceque parmi leurs différentes espèces iî se trouve beaucoup de vénéneuses, dont une grande partie ressemble parfaitement aux Champignons qui sont bons à manger, et souvent un pareil mets a donné la mort à des ibciétés entières qui en avoient mangé. Par cette raison il est de îa dernière importance de connoitre à fond les Champignons salutaires et les vénéneux, pour savoir se garantir des derniers. Je fournis donc à nies lecteurs sur la Table ci-jointe sept espèces de Champignons vénéneux les plus communs en Allemagne, répresentés dans leur grandeur naturell. Les espèces des Champignons qui sont bons à manger suivront sur une autre Table.
Fig. 1. Le Taeubling rouge vénéneux. (Agaricus integer.)
Ce Champignon croit pendant tout l'été et surtout par les tems pluvieux dans les bois de hêtres, de chênes et de bouleaux Son chapiteau "st rouge comme du sang, quelquefois ausai un peu plus pâle, ensoncé vers le milieu, et soutenû par un pédicule blanc. Sa substance charnue est d'une acreté cuisante et eau Ce un vomissement mortel. Comme il existe aussi un Taeubling rwtgt qui est bon à manger et qui ressemble tellement au venimeux quil faut un connoisseur bien parsait pour l'en distipguer, on fait très bien de renoncer entièrement à manger le Taeubling rouge.
Fig. 2. Le Taeubling bleu. (Agaricus integer.)
Ce Champignon est de couleur violette; rensoncement sur son, chapiteau est entouré d'un cercle blanchâtre. Il a d'ailleurs les mêmes progriètès qne le précédent.
Fig. 3. Le Taeubling verd. (Agaricus integer)
On devroit prendre pour principe d'être sur Tes gardes contre tous les champignons verds et de ne jamais les mangor. Le présent est également dangereux, et croit principalement dans les bois de hêtres, Il a un chapiteau verd et un cercle blanc autour, de l'ensoncement.
Fig. 4. et 5. Le Mousseron vénimeux. (Agaricus torminosus.)
Ce Champignon est de couleur brune; sori chapiteau est de la forme d'un entonnoir, ridé et crépu, et renserme une moelle grisâtre; son pédicule est creux. Il croit dans le mois d'Août dans des forêts et sur des bruyères, et l'ignorance la prend Couvant pour l'autre espèce de Mousièron qui est bonne à manger.
Fig. 6. Le Champignon de mouches. (Agaricus muscarius.)
Quoique ce Champignon soit destinctement caractérisé par sa structure, il a ceptndant déjà causé bien des malheurs. Ii croit depuis le mois d'Août jusqu' à la sin de l'Automne sur des prairies arides et sur des pâturages montagneux et sa" blonneux. Sou chapiteau est de forme convexe en dessus, de couleur brun rouge, et parsémé de petits brins grisâtres et de couleur de chair, ce qui le rend inégal et rude. Le pédicule est de couleur de chair, un peu blanchâtre, et sa partie inférieure est garnie d'une bosse en forme d'oeuf. Son goût est acre et son odeur puante. Trempé dans l'eau il tue les mouches, de même que les punaises quand il est broyé et frotté dans les jointures d'un bois de lit. Les habitans de Kamtschatka en préparent une boisson enivrante et qui a même une force enrageante.
Fig. 7. Le Mousseron de fumier. (Agaricus fimetarius.)
Ce Champignon croit pendant l'été sur des Fumiers et de pareils lieux. Son chapiteau est en forme de cloches, de couleur grise, écailleux et feuilleté; ses feuilles sont noîrâtree.
Fig. 8. L'Ecousson. (Agaricus piperatus.)
II croit aussi dans des ferèts ombrageusee. Son chapiteau est plat, de couleur brune, un peu cannelé sur la surface et le bord en est recourbé en bas. Etant vieux il prend la forme d'un entonnoir, l'eau de pluie s'y rassemble, et un suc visqueux enduit toute sa surface. Ce suc est extrêmement corrosif et un poison dangereux.
Ad00341 02 028aAd00341 02 028a.jpgDie hier abgebildeten Ritter gehören zur ersten Hälfte dem streitbarsten Volke des Alterthums, den Römern, zur zweyten, den Ausländern oder Barbaren zu, die von den Römern besiegt und auf der Denksäule Trajans in Bildhauerarbeit vorgestellt wurden.~~Fig. 1. Ein Römischer Feldherr zu Pferde.~~Die Vorstellung ist zum Theile nach der berühmten Bildsäule des Kaisers Marc Aurel gemacht, die noch jetzt auf dem Capitole zu Rom als die schönste Ritterbildsäule in der Welt bewundert wird. Der Feldherr, oder Imperator, ist in der Stellung gebildet, wie er Befehle austheilt. Er pflegte über das Kleid einen Purpurmantel (Paludamentum) zu tragen, der über der Schulter von einer Schnalle zusammen gehalten wurde. Die Pferdedecke (Ephippia) war gleichfalls von Purpur. Auch ritten die obersten Befehlshaber gewöhnlich einen Paradeschimmel.~~Fig. 2. Ein Diener der obersten Gewalt, zu Pferde.~~Der reitende Imperator liess sich das Zeichen seiner Gewalt über Leben und Tod, einen Ruthenbündel, mit einem darin steckenden Beile (Fasces), von einem vorreitenden Gerichtsdiener vortragen. Dieser trug übrigens auch einen scharlachrothen Mantel, und war im übrigen ganz im Costume der römischen Ritter gekleidet.~~Fig. 3. Ein römischer Ritter.~~Die römischen Ritter trugen, um desto behender und gewandter zu seyn, nur ein kurzes Kleid unter dem Brustharnische (Lorica). Ihre Waffen bestanden in einem kurzen Schwerte, einem ovalrunden, aus leichtem Leder verfertigten Schilde, und einem Wurfspiesse, wie hier abgebildet ist. Sonst waren sie auch wohl mit einem längern Speer zum Stosse bewaffnet. Es ist übrigens merkwürdig, dass selbst bey den wohlberittensten Völkern des Alterthums keine Spur weder von Sätteln, noch von Steigbügeln vorkömmt. Die Stelle der ersten vertrat gewöhnlich nur eine einfache Decke, wie sie auch hier zu sehn ist. Die Steigbügel konnte man bey der grössern Fertigkeit im Voltigiren, das zu den gymnastischen Uebungen gehörte, leichter entbehren.~~Fig. 4. Ein Numidischer Renner.~~Die Numidier, die alten Bewohner des heutigen Algier und Tripoli, oder der Barbaresken, wurden für die schnellsten und kühnsten Reiter gehalten. Sie waren die Husaren des Alterthums. Sie regierten ihre kleinen, schwarzen Rosse ohne Zaum und Zügel, bloss mit einer Spiessgerte, auf deren Schwenkung zwischen den Ohren des Pferdes das Thier abgerichtet war. Auch ritten sie ohne alle Pferdedecke, und waren selbst nur mit einem leinewandnen Kittel bedeckt.~~Fig. 5. Ein Reiter im Schuppenharnische.~~Die alten Parther und Armenier, später auch mehrere Völker an der Donau, hatten eine eigene Art von Reiterey, wo Mann und Ross vom Kopfe bis auf die Füsse über und über mit einem Schuppenharnische bedeckt waren (Cataphracti). Eisenbleche, in Schuppen geschnitten, waren reihenweis auf Leder oder Leinewand genähet, und machten so einen beweglichen Ueberzug, der den Reiter und sein Pferd gegen Pfeile und Wurfspiesse sicherte. Die ausgebildete Kriegskunst der Römer aber verwarf diese Reiterei, weil sie zu unbehülflich und schwerfällig war.~~Fig. 6. Ein Dacischer Reiter.~~Die Reiterei der Dacier, der alten Bewohner der heutigen Moldau und Wallachey, war ihres Muthes und ihrer Schnelligkeit wegen, besonders in den Kriegen dieses Volks mit dem Kaiser Trajan, berühmt. Das Charakteristische ihrer Tracht besteht in einer Art von Turban, oder Filzmützen und den faltigen, bis auf die Knöchel herabgehenden Schifferhosen (Braccae). Sie waren, wie die Parther, besonders darauf ausgelernt, dem nachsetzenden Feinde bey der Flucht den hartnäckigsten Widerstand zu thun.~~
Ad00341 02 028a/freAntiquités VI. Vol. II. No. 25.
CAVALERIE DE L'ANTIQUITÉ.
Les Cavaliers rêpre sentes sur la Table ci-jointe sont de-moitié de la nation la plus belliqueuse de l'Antiquité, des Romains; l'autre moitié sont des 'Etrangers on Barbares, qui avoient été vaincus par les Romains, et que l'on voit répresentés en bas reliess sur la Colonne de Trajan.
Fig. 1. Un Général en chef Romain, à cheval.
Ce tableau est pour la plupart sait d'après la shmie célèbre de i Empereur Marc-AureL, que l on admire encore de nos iours an Capitle de Romme comme la plus belle statue équestre qui exitte. Le Général en thes, appelle Imperator, est répresenlé dans une attitude imposante, donmant des ordres à l'armée, il portoit ordinairement au dessus de l'Iiabit un manteau de pourpre {Paladamentum) attaché sur J'épaule par une agrail'e. La housse de son cheval (Ephippia) etoit communément aussi de pourpre. Ces Généraux en chef éioient dans l'usage de monter des chevaux blancs de parade.
Fig. 2. Un satellite du pouvoir suprême, à cheval.
Le Général en chef fit porter devant lui par tra Archer a cheval les fignes de son pouvoir suprème sur la vie et la mort, qui consistoïent dans un faisceau de verges, qui renfermoit une hache (Fasces). Cet Archer portoit également uu manteau de pourpre, et pour le relie il etoit habillé tout à fait comme un Cavalier Romain.
Fig. 3. Un Cavalier Romain.
Les Cavaliers Romains ne portoient qu'un hahh très court sous la cui raslé pour être plus légers et. pins adroits" Leurs armes consistoïent dans une épée comte, im bouclier de forme ovale et fait d'nn cuir léger, et dans un petit javelot qu'ils jettoient contre l'ennemi; dans cette armure nous les voyons réprelentés ici. Souvent au rette ils se servoient aussi d'une lance longue, avec laquelle ils portoient des coups. Il est d'ailleurs remarquable que même chez les nations de l'Antiquité les mieux exercées à cheval on ne trouve pas le moindre indice ni de seiles ai d'étriers. A la place des premières on se servoit ordinal rement d'une liousse sort snriple, telle qu'elle est representée ici Quant aux étriers on pouvoit aisémant s'en passer; car l'art de voltiger, faisant partie des exercices gymnastiques, on y avoit généralement une grande habileté.
Fig. 4. Un Cavalier Numide.
Les Numides, ces anciens habisans de l'Algier et du Tripoli, ou de la Barbarie moderne, étoient réputés d'être les Cavaliers les plus agiles et les plus courageux. Ils étaient les lîoussards de l'Antiquité. Ils mauioient bars petits chevaux noirs sans rênes ni brides, et seulement par le moyeu d'une baguette, dont le. mouvement entre les oreilles du cheval" îe saisoit aller à droite et à gauche, et sur la quelle seule l'animal étoit dresse. Ils montoient absoiument sans housses, et n'etoîent couverts eux-mêmes que d'un sarot de toile.
Fig. 5. Un Cavalier en cuirasse d'écailles.
Les anciens Parthes et Arméniens, et plus tard aussi disféreras-peuples sur le Danube, avoient une Cavalerie toute particulière, où l'homme et la cheval étoient couverts entièrement depuis la tête jusqu'aux pieds dune ciurasse d'ecailles Cataphracti.). Des morceaux de fer battu coupés en forme d'ecailles, étoient attachés, par rangées, sur du cuir ou de là toile, et cette eui-râiïe mobile gafantiîïoït le Cavalier et son cheval contre les Béchés et les javelots. Mais l'art militaire des Romains étoit plus rassiné: ils rejettoient celte espèce de Cavalerie comme trop pelante et trop lourde.
Fig. 6. Un Cavalier Dace.
La Cavalerie des Dacea, anciens habitans dela Moldavie et de la Valachie, s'étoit rendue celébre par son courage et sa vélocité, stirtout dans les guerres de ce peuple contre l'Empereur Trajan. La marque disiinctive de son coït urne étoit une espèce de Turban ou de bonnet de seutre, et des caleçons plissés qui touchoienc jusqu'aux chevilles des pieds (Braccae). Ils avoient comme les Parthes leur sorce principale dans la resistahee la plus opiniâtre qu'ils saisoient en fuyant à l'ennemi qui les poursuivoit.
Ad00341 02 029aAd00341 02 029a.jpgDas Schaaf ist unter allen Thieren das nützlichste, und scheint von der Natur ganz allein zum Besten des Menschen geschaffen zu seyn. Sein Fleisch, seine Wolle, Haut, Därme, Knochen, Milch, sein Talg und Mist sind höchst nützlich und brauchbar, und eben darum steht es auch unter den Hausthieren oben an. Das gemeine Schaaf unsrer Heerden ist in der ganzen Natur nicht wild vorhanden. Es stammt zwar ursprünglich wohl von dem Argali, oder wilden Schaafe ab; allein da es schon seit Jahrtausenden unter dem Schutze und der Pflege des Menschen steht, der es in alle Länder der Welt, in kalte und heisse verpflanzt, und ihnen darinnen höchst verschiedenes Futter angewiesen hat: so haben eben Klima und Nahrung bey dem Schaafe so erstaunliche Veränderungen bewirkt, dass man jetzt wenigstens 6 ganz verschiedene Haupt-Racen von Schaafen annehmen kann, die ich auf dieser und der folgenden Tafel zusammenstellen will.~~Fig. 1. Der Argali. (Ovis Ammon.)~~Der Argali, oder das wilde Schaaf, den man für den Stammvater aller zahmen Schaaf-Racen hält, lebt wild, in kleinen Heerden, in Sibirien, in der Barbarey, in Griechenland, Sardinien und Corsica; hat fast die Grösse eines kleinen Hirsches, und sieht rothbraun, am Halse und Bauche aber weissgrau aus. Im Sommer hat er kurzes Hirschhaar, welches aber im Winter länger und wolliger wird. Er hat grosse, geringelte und abwärts gebogene Hörner, die wohl 20 bis 30 Pfund wägen. Er ist äusserst schnell, und setzt mit erstaunlichen Sprüngen über die gefährlichsten Klippen und Abgründe hinweg, wird aber geschossen und für ein sehr gutes Wildpret gehalten. Er stösst, und ist so stark, dass viele Leute ein solches Thier nicht halten können, wird aber, jung eingefangen, doch leicht zahm und ein Hausthier. Aus seiner Haut wird Corduan bereitet, und aus seinen Hörnern machen sich die Kamtschadalen Trinkhörner, Löffel, Büchsen etc.~~Fig. 2. Das nordische Schaaf. (Ovis polycerata.)~~Das Nordische Schaaf, als die erste Haupt-Race der Schaafe, welches man in Issland, Norwegen, Gothland, Finnland u.s.w. findet, hat grobe, spröde dunkelbraune Wolle. Merkwürdig bey dieser Art Schaafe ist, dass sie alle mehr als 2 Hörner, nemlich 3, 4 bis 5 dergl. haben. Die meisten haben 3 Hörner, davon zwey rund und abwärts gebogen liegen, das dritte aber gerade aus vorwärts in der Mitte steht.~~Das gemeine Schaaf. (Ovis Aries.) Fig. 3. Der Widder. Fig. 4. Das Schaaf.~~Unser gemeines Europäisches Schaaf, dessen Heerden den Reichthum so mancher Länder ausmachen, wird höchstens 14 Jahre alt, hat meistens weisse Wolle, liebt trockne und kräuterreiche, bergigte Weiden zu seiner Nahrung, und ist unter allen Säuge-Thieren vielleicht das einfältigste und wehrloseste. Der Widder hat gewöhnlich 2 mondförmige abwärts gebogene Hörner, das Schaaf aber keine. Es liebt Salz sehr, trinkt wenig, und kann daher nicht viele Nässe vertragen. Wenig andere Thiere sind so vielen Krankheiten unterworfen, als das Schaaf.~~Fig. 5. 6. 7. Das Schaaf mit dem Fettschwanze. (Ovis laticaudata.)~~Das fettschwänzige oder Arabische Schaaf lebt in Arabien, Persien, Syrien und Aegypten, und ist das grösste und ungestalteste von allem Wollenvieh. Es hat grosse, hängende Ohren, und 2 krummgebogene (Fig. 5. u. 7.) oft aber auch 3, 4 bis 5 unregelmässig stehende Hörner, wie Fig. 6. zeigt. Der kurze Schwanz, welcher kaum sichtbar ist, besteht eigentlich aus 2 dicken, ganz nackten Fettklumpen (Fig. 7.) wird oft bis 40 Pfund schwer, und giebt 20 bis 30 Pf. Talg. Es giebt dergleichen Schaafe von verschiednen Farben, weisse, schwarze und braune. In Persien und Tibet trägt diese Race die kostbarste seidenartige Wolle, woraus die feinsten Schaals und wollene Zeuge gemacht werden. Von dieser Schaaf Race in de Bucharey, sonderlich von ihren Lämmern, kommt das feine, graue, kleingelockte Pelzwerk, so man unter dem Nahmen Baranjen kennt.~~
Ad00341 02 029a/freQuadrupèdes XXXII. Vol. II. No. 26.
BREBIS DE DIFFERENTES ESPÈCES.
La brebis est le plus utile de tous les animaux, et il paroit que la nature Ta uniquement produite pour ie bien-être de l'homme. Sa chair, sa laine, la peau, ses boyaux, ses os, son lait, sa. graille et sa fiente sont de la plus grande utilité et on s'en sert avec profit. Toutes ces qualités lui assurent aussi le premier rang qu'elle tient parmi les autres animaux domestiques.
La brebis ordinaire que nous connoisfons chez nous, ne le trouve nulle part sauvage, quoiqu' elle tire proprement son origine du Mouslon ou de la brebis fauvage. Comme eue se trouve déjà depuis un teins immémorial sous la domination et la culture de l'homme, qui l'a transplantée dans toutes les régions du globe, dans les plus sroides comme dans les plus brûlantes, et qu'il lui a assigrié dans ces pays des pâtures les plus différentes, il en a été une suite naturelle que cet animal a snbi l'influence de cette dissérence de climats et de nourriture, et qu'il en est provenu une grande variété d'espèces. On en peut effectivement compter au jourd'huipour le moins fix espèces différentes de brebis dont je donnerai la déseription sur la feuille ci-jointe et sur la suivante.
Fig. 1. Le Mouflon. (Ovis Ammon.)
Le Mouflon, ou la Brebis sauvage, que l'on croit la louche de toutes les espèces de brebis domestiques, vit en petits trou peaux. dans la Sibérie, la Barbarie, la Grèce, la Sardaigne et la Corse. Sa grandeur est a peu près celle d un petit cerf. Sa couleur est fauve, mais au cou et au ventre elle est d'un gris blanchâtre. Dans l'été son poil est tout court, comme celui du cerf, mais dans l'hiver il devient plus long et plus laineux. Ses cornes sont grandes, contournées, courbées en bas, et pesent souvent 20 jusqu'à 30 livres. Sa vélocité est extrême, il fait des sauts étonnants par desi'us les rochers les plus escarpés et les abîmes les plus prosonds. On en fait la chasse, et on dit que la chair en est d'un excellant goût. Il le défend en srappant avec Ces cornes, et sa sorce est si grande, qu'il faut plusieurs personnes, pour pouvoir l'arrêter; mais étant pris dans sa jeunesse, il est aifé à apprivoiser, et devient sans beaucoup de peine un animal domestique. De sa peau on prépare le marroquin, et de ses cornes les habitans de Rarntschatka sont des gobelets, des cuillères, differenies boètes etc.
Fig. 2. La Brebis du Nord. (Ovis polycerata.)
La brebis du Nord sait la première race principale des brebis; elle se trouve dans l'Islande, la Norvège, la Gothic, la Finnlande eic. Sa laine est grossièse, rude et d'un brun foncé. La marque distinctive de cette espèce de brebis, et qui la rend principalement remarquable, consiste dans la pluralité de ses cornes; car toutes ces bre-. bis en ont plus de deux, souvent même 4 ou 5 cornes. La plupart cependant en ont 3 dont deux sont rondes et courbées en bas, la troisième au contraire sort droite de la tète en avant.
La Brebis ordinaire.
Fig. 3. Le bélier. Fig. 4. La brebis. (Ovis Aries.)
La brebis ordinaire de l'Europe, dont les troupeaux constituent la richesfe do tant de pays, peut atteindre au plus l'âge de 14 ans. Elle porte communément un toison blanc, aime de préférence les pâturages secs, montagneux et riches en herbes salutaires, et parmi tons les quadrupèdes elle est. le plus stupide et le plus soibl'e. Le Bélier est ordinairement muni de deux cornes courbées en bas, mais la Hrebïs n'a pas de cornes du tout. Elle aime beaucoup le seî, ne peut absolument supporter l'humidité, et ne boit pas -beaucoup. Il n'y a guère d'autres animaux qui suient aussi sujets à tant de maladies que la brebis.
Fig. 5. 6. 7. La Brebis à queue grasse. (Ovis ladicaudata.)
La brebis à queue grasse ou d'Arabie, vit dans l'Arabie, la Perlé, la Syrie et dans l'Egypte; elle est le plus grand et le plus difforme de tous les animaux à laine. Elle a de grandes oreilles pendantes et deux. cornes courbées; (Fig. 5. et 7.) souvent cependant elle en porte 3, 4, jusqu'à 5 qui sont irrégulièrement posées (Fig. 6.). Sa queue est si courte qu'à peiue on peut la voir, et ne consifte qu'en deux maSes de graille d'une grolîenr considérabie et tout à fait dégarnies de laine; le poids en monte à 40 livres, et souvent ou gagne de cette queue seule 20 à 30 livres de suis. Ces brebis varient dans les couleurs; il y en a de blanches, de noires et de brunes. Dans la l'erse et au royaume de Tibet cette espèce de brebis donne la laine précieuse et soyeuse dont on sabrique les Shawîs les plus fins et les plus belles étofses de laine. C'est ausi cette espèce de brebis, et surtout leurs agneaux, qui fournissent cette fourrure sine, grisâtre et crépue, connue chez nous sous le nom de Baranjes.
Ad00341 02 030aAd00341 02 030a.jpgFig. 1. Das langschwänzige Schaaf. (Ovis longicaudata.)~~Das langschwänzige Schaaf wohnt im nördlichen Afrika, Arabien, Syrien, am Kaukasus, im südlichen Russland, in Podolien und der Ukraine. Sein Schwanz ist, sonderlich bey dem Widder, so lang, dass er auf der Erde schleppt, und hat an der Spitze eine Quaste, wie ein Löwenschwanz. Um diesen Schwanz zu schonen, pflegt man ihn in der Barbarey auf einen kleinen Schlitten zu binden, den das Schaaf beym Gehen nachschleppt. In Podolien und der Ukraine ist die Wolle dieser Schaafe gewässert und kleinlockig. Um die Güte derselben, (da man die Felle als Pelzwerk braucht) zu befördern, näht man die Schaafe dort in Leinwand ein, und begiesst sie täglich einmal mit warmem Wasser, wodurch sich die Wolle kräuselt und dicht zusammenlegt.~~Fig. 2. 3. Das Strepsikeros,oder Kretische Schaaf. (Ovis Strepsiceros.)~~Das Strepsikeros oder kretische Schaaf ist merkwürdig wegen seiner grossen, schraubenförmig gedrehten und gerade aufstehenden Hörner, welche sowohl der Widder (Fig. 3) als auch das Mutterschaaf (Fig. 2) haben. Seine Wolle ist langhaarig, und seine Figur übrigens unsern gemeinen Schaafen ähnlich. Es stammt aus Kreta und den andern Inseln des Archipels her; auch zieht man diese Schaafe häufig in Ungarn und der Walachey.~~Fig. 4. 5. 6. Der Adimain, oder das Guineische Schaaf. (Ovis guineensis.)~~Der Adimain oder das Guineische Schaaf ist unter allen Schaaf-Racen die grösste; hat aber nirgendswo Wolle, sondern nur ein sprödes struppiges Haar, und die Widder am Halse eine Art von Löwen-Mähne. Die Widder und Schaafe haben Hörner, lange nackte Schwänze, und an dem Halse Dütten hängen. Es wohnt in Süd-Afrika, Ostindien und nun auch in Südamerika. Fig. 4 ist ein Mutterschaaf, und Fig. 5 u. 6 sind zwey Widder davon.~~
Ad00341 02 030a/freQuadupèdes XXXIII. Vol. II. No. 27.
BREBIS DE DIFFERENTES ESPÈCES.
Fig. 1. La Brebis à longue queue. (Ovis longicaudata.)
On trouve cette espèce de brebis dans l'Afrique septentrionale, l'Arabie, la Syrie, aux environs du mont Caucase, dans la Russie méridionale, la Podolie et dans l'Ukraine. Sa queue, surtout celle du bélier, est tellement longue, qu'elle traine par terre, et son extrèmité est garnie d'une houppe, comme les queues de lions. Pour ménager cette queue les habitans de la Barbarie ont l'usage de l'attacher sur une espèce de petits traineaux, que la brebis entraine derrière elle en marchant. Dans la Podolie et l'Ukraine la laine de ces brebis est moirée et entortillée en petites boucles. On se sert des peaux de ces brebis comme de la fourrure, et par cette raison, pour augmenter la beauté de leur laine, on enveloppe les brebis avec de la toile, et on les arrose journellement avec de l'eau tiède, ce qui rend la laine bien frisée et touffue.
Fig. 2. et 3. La Brebis de l'Isle de Crête. (Ovis Strepsiceros.)
Cette espèce de brebis est remarquable par ses grandes cornes tournées en spirale et placées perpendiculairement sur la tètè, dont non seulement le bélier (Fig. 3.) mais aussi la brebis (Fig. 2.) sont doués. La laine est longue, et la figure de l'animal ressemble à nos brebis ordinaires. Eîle tire son origine de l'isle de Crète et des au. très Isîes de F Archipel; de nos jours on eu trouve aussi beaucoup dans la Hongrie et la Va-lachie.
Fig. 4. 5. 6. La Brebis de la Guinée. (Ovis guineensis.)
La brebis de la Guinée est la plus grande de tontes les espèces de brebis; elle n'a point de laine, mais seulement un poil dure et hériss. é, et les béliers portent au cou une crinière comme les lions. Les béliers et les lïrebis sont également munis de cornes, leurs queues sont longues et sans laine, et à leurs cous il se trouve une touffe de poil. Cet animal vit dans l'Afrique méridionale, dans les Indes orientales, et on l'a aussi transplanté dans l'Amérique méridionale. Fig. 4. est un brebis et Fig. 5. et 6. représentent des béliers.
Ad00341 02 031aAd00341 02 031a.jpgDie Rochen sind wegen ihrer so ganz ausgezeichneten, und von der gewöhnlichen Form der Fische völlig abweichenden Gestalt, ein merkwürdiges Geschlecht der Fische. Ihr Körper ist dunn und platt gedrückt, und rautenförmig. Augen und Nase stehen auf der obern Fläche, und der Mund und ihre 10 Luftlöcher auf der unteren; wie die beyden umgekehrten Rochen, Fig. 2 und 4 zeigen. Ihr Schwanz ist meistens dünn, rund und lang. Ihre Jungen, deren sie immer nur eins gebähren, bringen sie in einer schwarzen, hornartigen, länglich-viereckigen, und mit vier Spitzen oder Hörnern versehenen Hülle zur Welt, die beynahe so gross als ein Hühner-Ey ist, und die man in Naturalien-Kabinetten unter dem Nahmen Seemäuse oder Seeküssen häufig findet. Man trifft die Rochen fast in allen Europäischen Meeren an; wo sie von Krebsen, Muscheln, Schnecken, Schollen und dergl. leben, auf dem Grunde des Meeres im Schlamme liegen, und mit Angel-Haaken gefangen werden. Sie werden ungemein gross, oft 100 bis 200 Pf. schwer. Ausser dem electrischen Zitter-Rochen, den wir schon auf Taf. VII. des 1. Bandes unsers Bilder-Buchs kennen lernten, sind folgende 6 Arten, welche in der Nordsee leben, die merkwürdigsten davon.~~Fig. 1. u. 2. Der Glattroche. (Raja batis.)~~Er lebt an den Küsten von Dänemark, und ist unter allen Rochen der grösste und wohlschmeckendste, so lange er jung ist; denn er hat ein weisses Fleisch, das man aus dem Salzwasser gekocht mit Butter und Senf isst. Sein Schwanz ist mit Stacheln besetzt, und er sieht auf dem Rücken stahlgrau, auf dem Bauche aber gelblichweiss aus.~~Fig. 3. 4. Die Spitznase. (Raja Oxyrinchus.)~~Dieser Roche sieht auf dem Rücken schwarz und auf dem Bauche rothgelb aus, hat auf dem Rücken und Schwanze eine Reihe Stacheln, und eine vorzüglich spitzige Nase. Er lebt an den Küsten von England, und sein Fleisch ist auch essbar.~~Fig. 5. Der Meeradler. (Raja Aquila.)~~Er lebt in der Nordsee und dem Mittelländischen Meere, sieht stahlgrau aus, und hat einen langen, dünnen Schwanz, der in der Mitte einen langen, sehr spitzigen Stachel hat, womit er sich vertheidigt.~~Fig. 6. Der Stechroche. (Raja pastinaea.)~~Der Stechroche sieht braun aus, ist am Körper glatt, und hat unter seinem Schwanze einen langen Stachel, dessen Stich man sonst für unheilbar giftig hielt, der es aber nicht, jedoch immer gefährlich ist.~~Fig. 7. Der Nagelroche. (Raja clavata.)~~Dieser Roche sieht gelbbraun gefleckt aus, und hat längs dem Rückgrade, so wie auch einzeln auf seinem Obertheile, gekrümmte und wie Nägel gebildete Stacheln stehen. Er lebt an den Küsten von Norwegen; sein Fleisch ist fast nicht essbar, aus seiner Leber aber wird Thran gebrannt.~~Fig. 8. Der Dornroche. (Raja rubus.)~~Auch dieser Roche lebt bey Norwegen, sieht gelblich aus, mit braunen Flecken, und hat auf dem Schwanze 3 Reihen, auf dem Rücken aber einzeln stehende Dornen. Er wird übrigens eben so, wie der vorige von den Norwegern gefangen und benutzt.~~
Ad00341 02 031a/frePoissons XVI. Vol. II. No. 28.
DIFFERENTES ESPÈCES DE RAIES.
Les Raies sont un geure de poissons très remarquable, à cause de leur figure tout à fait distinguée, qui dissère absolument de celle de tous les autres poilTons. Leur corps est mince, applàti et eu forme de rhombe. Leurs yeux et leur nez se trouvent sur la partie snpérieure, leur bouche et leurs soupirails au contraire sur la partie inférieure du corps; comme on voit Fig. 2. et 4. Leur queue mince est ordinairement longue et ronde, lis ne sont jamais plus d'un seul petit, qui en naissant est revêtu d'une coque noire, corneuse, de forme obîongue, et armée de quatre aiguilles. Cette coque a presque la grandeur d'un oeuf de poule, et Ton en trouve souvent dans les cabinets d'histoire naturelle sous le nom de Souris de mer. Les races se trouvent presque dans toutes les mers de l'Europe où elles se tiennent tout an fond dans la sange. Elles se nourrissent d ecrèvisses, de coquillages, de limas, de soies etc. On les prend par le moyen du hameçon. Ce poisson devient très grand et on en pèche quelquefois qui pésent plus de 100 à 200 livres. Outre la raye tremblante ou la Torpille ordinaire, présentée déjà sur la Tab. VII. du Vol. I. de ce Porte-feuille, il y a encore six autres espèces très remarquables, qui se trouvent dans la mer du Nord, et dont je donnerai' ici la déscription.
Fig. 1. et 2. La Raie lisse. (Raja batis.)
Cette espèce se trouve aux côtes de Danemarc; elle est la plus grande et étant jeune sa plus delicieuse de toutes les raies. Elle a une chair blanche qu'on met pour quelque tems dans le seî, et la mange ensuite cuite avec du beurre et de la moutarde. Sa queue est munie d'aiguilles. La couleur de son dos est d'un gris foncé, et celle de son \entre est jaunâtre tirant sur le blanc.
Fig. 3. et 4. La Flossade. (Raja Oxyrinchus.)
Cette raie est noire sur le dos et de couleur d'orange au ventre. Le dos et la queue sont garnis d'une rangée d'aiguilles, et son nez est singulièrement pointu. Elle vit auprès des cotes d'Angleterre, et sa chair est aussi mangeable.
Fig. 5. L'Aigle marin. (Raja Aquila.)
Il habité la mer du Nord et la Méditerranée. Sa couleur est d'un gris foncé; sa queue longue et mince est armée au milieu d'un aiguillon lont:r. et fort aigu, dont il se sert pour la defense.
Fig. 6. La Pastenade de mer. (Raja pastinaea.)
Cette espèce de raies est de couleur brune et son corps est lissé. Au dessous de sa queue il a un aiguillon long, dont on a cru autrefois la piqûre mortelle, mais qui ne l'est pas, quoiqu'elle soit danger eu se.
Fig. 7. La Raie rousée. (Raja clavata.)
La couleur de cette espèce de raies est d'un brun jaunâtre et tigrée. Le long de son dos elle a une rangée de piquans courbés en forme de clous dont il se trouve aussi par-ci par-la sur toute la sursace de son corps. Il vit aux côtes de Norvège. Sa chair n'est presque pas mangeable, mais de son foie on peut faire de l'huile.
Fig. 8. La Raie bouclée. (Raja rubus.)
Elle habite aussi la mer de Norvège. Sacotileur est jaunâtre et tigrée en brun. Sa queue est garnie de trois rangéesd'aiguillons, et sur son dos il y en a de pareils, mais, sans ordre. Les habitans de Norvège la prennent au reste comme la précédente, et en sont le même usage.
Ad00341 02 032aAd00341 02 032a.jpgUm die Blumen recht kennen und ihre Schönheit bewundern zu lernen, muss man ihre einzelnen Theile kennen. Eine jede Blume besteht aus folgenden 6 einzelnen Theilen; 1. aus dem Kelche; 2. aus der Blumenkrone; 3. aus den Staubfäden; 4. aus dem Stempel; 5. aus dem Saamengefässe oder Fruchtknoten; 6. aus dem Saamen. Alle diese Theile sind bey der grossen Verschiedenheit der Blumen auch unter sich wieder sehr verschieden, wie wir sie hier, auf dieser und der folgenden Tafel, neben einander gestellt sehen werden. Damit man sie aber auch zeichnen lernen, und dadurch leicht ein Blumenzeichner werden könne, will ich mit den einfachsten und leichtesten Theilen anfangen, und zu den zusammengesetzteren übergehen.~~Taf. I. Staubfäden der Blumen.~~Die Staubfäden bestehen aus 2 Theilen; 1. dem Staubfaden selbst, welcher den Staubbeutel trägt. (Fig. 1.) 2. dem Staubbeutel, welcher oben auf der Spitze des Staubfadens sitzt, und den Saamenstaub, oder ein feines Mehl enthält. (Fig. 1) Die Staubfäden sind unter sich gar sehr verschieden; zuweilen kurz und dunn. (Fig. 1. 2. 3. 4. 5.) zuweilen sehr lang (Fig. 6.) zuweilen haarigt (Fig. 8.); zuweilen keulenförmig (Fig. 9. 10.) zuweilen dick und kurz; (Fig. 12.) zuweilen zusammengewachsen; (Fig. 13. 14.) Eben so sind auch die Staubbeutel, zuweilen einfach (Fig. 1a.) zuweilen doppelt; (Fig. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 11.) zuweilen vielfach; (Fig. 12.) zuweilen zusammengewachsen. (Fig. 13.) Diese Staubgefässe der Blumen nennt man die männlichen Theile einer Blume.~~Taf. II. Stempel der Blumen.~~Die Stempel, oder die weiblichen Theile der Blumen, stehen meistens in der Mitte der Blume, und bestehen gleichfalls aus 3 Theilen, nemlich: 1. Der Narbe, welches das oberste Ende des Griffels ist (Fig. 1.a.) und entweder ganz spizig zuläuft, oder verschiedene Formen und Oeffnungen hat, wie Fig. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. zeigt. 2. Dem Griffel, welches die Röhre zwischen der Narbe und dem Fruchtknoten ist. (Fig. 1 b.) Auch dieser hat verschiedene Formen, und ist entweder eine blosse dünne, lange Röhre, wie an Fig. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. oder sehr dick und kurz, wie bey der Tulpe Fig. 10. und dem Mohn Fig. 11. 3. Dem Fruchtknoten, (Fig. 1.c.) worin sich der Saame der Blume bildet, und welcher im Grunde der Blume, oder unter derselben im Kelche sitzt. Bey Fig. 1. 2. 3. ist er klein, und bey Fig. 10. 11. 12. gross und dick.~~Taf. III. Die Blumenkrone.~~Die Blumenkrone ist der schönste Theil der Blume, der gemeiniglich aber falsch für die Blume selbst genommen wird. Er besteht aus den schön gefärbten Blumen-Blättern welche den Staubfäden und Stempeln zur Bedeckung dienen, und selbst gar verschiedene Formen haben. Sie sind z. B. entweder ganz rund, (Fig. 1.) oder länglichrund, (Fig. 2.) oder herzförmig, (Fig. 3.) oder fast dreyeckig (Fig. 4.) oder gedreht (Fig. 5.). Oft ist auch eine Blumenkrone aus ungleichen Blättern zusammengesetzt, als z.B. die Blume einer Wicke oder Erbse, (Fig. 6) welche aus 4 ungleichen Blättern a, b, c, d, besteht, und die man Schmetterlingsblumen nennt. Mehrere Verschiedenheiten der Blumen-Blätter zeigen Fig. 7. 8. 9. 10. 11.~~Nota. Da ich diese beyden Tafeln für reifere Liebhaber auch mit einer ausführlichern Erklärung, unter dem Titel Botanisches Zeichenbuch, besonders geliefert habe, so musste ich hier nur sehr kurz seyn, um Kindern nicht zu schwer zu werden.~~
Ad00341 02 032a/frePlantes XXVIII. Vol. II. No. 29.
PARTIES DETAILLÉES DES FLEURS.
Pour pouvoir admirer en connoisseur la beauté d'une fleur, il, faut en bien connoitre. les parties detaillées. Chaque fleur est composée des six parties suivantes; I) du Calice; 2) de la Corolle; 3) des' Etamiues; 4} an Pistil; 5) du Péricarpe on de l' Ovaire; 6) des Graines. Selon la variété des fleurs toutes ces parties varient aussi entre elles, coaune j'en donnerai le dellein sur la feuilie ci-jointe et la suivante. Pour mettre cependant le lecteur eu état de les dessiner lui-même et de s'exercer par ce moyen dans l'art de dessiner des fleurs, je commencerai par les parties simples et les plus faciles, et en sui te je pasferai aussi aux parties composées.
Tab. I. Les Etamines.
Les Etamines sont comparées de deux parties, savoir:
1) du Filet qui porte l'Anthère;
2) de l'Anthère qui se trouve sur la pointe du filet et contient une espèce de poussière qa'on nomme le Pollen. Les Filets diffèrent beaucoup entre eux; car il y eu a qui sont courts et minces (Fig. I. 2. 3. 4. 5.); d'autres au contraire sont très longs (Fig. 6.); quelquefois aussi ils sont velus (Fig. 8.) ou eu forme de massue (Fig. 9. 1O.); souvent ils sont courtstet épais (Fig. 12.) et quelquefois ils se joignent enlemble en croissant (Fig. 13. 14). La même diversité se fait aussi appercevoir aux Anthères, qui sont tantôt simples (Fig. 1.) et tantot doubles (Fig. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 11.); souvent mème elles sont multipliées (Fig. 12.) ou jointes toutes ensemble en une seule partie (Fig. 13). On a donné aux Examinés le nom de parties masculines de la fleur.
Tab. II. Le Pistil.
Le Pistil, ou les parties semelles des fleurs, se trouve ordinairement au milieu de la fleuri et cousiste aussi en trois différentes parties, savoir:
1) dans le Stigmate, ou la partie superieure du style (Fig. 1.) qui aboutit tantôt en pointe, tantôt il forme différentes figures et ouvertures (Fig. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.)
2) Le Style qui est le tuyau entre ïe siigmate et le germe (Fig. 1 b) Ce tuyau varie aussi dans la forme, car on le trouve quelquefois lohç et minet (Fig. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.) et quelquefois très groset court, tel qu'on le voit dans la tulipe (Fig. 10.), et dans le pavot (Fig. 11).
3) Le Germe (Fig. 1 c.) qui contient la graine, et qui, se trouve au fond de fleur ou au dessous d'elfe dans le calice. On le vmt'pètit Fîg. I. 2. 3. mais grand et gros Fig. 10. 11. 12.
Tab III. La Corolle.
La Corolle est la plus belle partie de la fleur, et ordinairement on la prend pour la fleur même, ce qui est une erreur. Elle consiste dans les Pétales joliment colorés, qui servent de couverture aux étamines et au pistil et dont la forme est infiniment variée. Ils sont, par exemple, tout à fait ronds (Fig. 1.), ou ovales (Fig. 2.)ou en forme de coeur (Fig. 3.), ou presque triangulaires (Fig. 4.), ou souvent même contournés (Fig. 5).
Il arrive aussi que la corolle est composée de pétales tout à fait inégaux comme p. e. la corolle de la vesce, ou celle du pois (Fig. 6.) qui consiste en quatre pétales divers, a, b, c, d. Les fleurs de cette espèce sout, nommées Papilionacées. Fig. 7. 8. 9. 10. 11. répresentent encore plusieure-s autre différences de pétales.
Nota. Comme j'ai fourni ces deux tables avec une déseription plus détaillée sous le titre Botanisches Zeichenbuch, pour ceux des amateurs, qui ont déjà fait quelques progrès dans cette science, il a fallu être très succinct ici, pour ne pas surpasser la capacité des Enfans.
Ad00341 02 033aAd00341 02 033a.jpgTaf. IV. Blumen-Kelche.~~Der Kelch ist gleichsam das grüne Futteral der zärteren Blumenblätter, und steht daher hart unter der Blumenkrone, welcher er zur Fassung dient. Er besteht meistens aus einem oder mehreren kleinen grünen Blättern, und hat verschiedene Formen. So ist er z.B. entweder einblätterig, (Fig. 1.) oder glockenartig, (Fig. 2.) oder zweyblätterig, (Fig. 3.) dreyblätterig (Fig. 4.) vierblätterig, (Fig. 5.) oder mehrblätterig (Fig. 6. 8. 9.), einfach wie die vorigen alle, oder doppelt wie Fig 9.~~Taf. V. Ganze Blumen und einige Saamen.~~Die Blumen haben nach der Form ihrer Blumen-Kronen auch verschiedene Eintheilungen und Nahmen erhalten; z. B. Fig. 1. Glockenförmige Blumen. Fig. 2. Tellerförmige Blumen. Fig. 3. Radförmige Blumen. Fig. 4. Kreuzförmige Blumen. Fig. 5. Rachenförmige Blumen. Fig. 6. Sternförmige Blumen, Fig. 7. Grasartige Blumen. Fig. 8. Schmetterlings-Blumen. Die Saamen haben eben so verschiedene Formen, wornach sie eingeteilt und benennt werden. Sie sind z. B. entweder kugelförmig (Fig.9. a.) oder nierenförmig, (Fig. 9. b.) oder dreyeckig (Fig. 9.c.); haben zuweilen runde, gefiederte Kronen, an welchen unten das Saamenkorn hängt, damit es leicht durch den Wind geführt, fortfliegen und sich aussäen kann, wie Fig. 10. 11. 12. 13. Oder sie sind schwer und von grossem Umfange, z.B. wie eine Pferdebohne, (Fig. 14.) oder sie stecken als Kerne in einer fleischigten, essbaren Hülle, wie z.B. unsere Obst-Arten sind (Fig. 15)~~Taf. V. Ein Blumen-Büschel.~~Ein Blumen-Büschel besteht aus mehreren Blumen auf Einem Stengel, welche aus zwey Blättern, als einer gemeinschaftlichen großen Hülle hervorgehen. Iede Blume hat ihren eignen Stiel, einen dreyblätterigen Kelch, ihre Staubfäden und Stempel; und es wird einem Ieden, der sich die obigen einzelnen Theile einer Blume recht bekannt gemacht hat, leicht seyn, nunmehr die Zusammensetzung einer ganzen Blume zu verstehen, und ihren schönen Bau zu bewundern.~~Nota: Um die Jugend mit der Pflanzenkunde auf eine höchst leichte und angenehme Art bekannt zu machen, kann ich kein besseres Büchlein empfehlen, als die Botanik für Frauenzimmer und Pflanzenliebhaber, welche keine Gelehrten sind, von Dr. A.I.G.C. Batsch. Weimar im Verl. des Ind. Comptoirs. mit Kupfern. Zweyte verm. Auflage. 1798.- Ein Werk daraus jeder Dilettante sich selbst unterrichten kann, und das er nicht unbefriedigt aus der Hand legen wird. Es ist der Vorläufer zu dem geöffneten Blumengarten, den Hr. Prof. Batsch gleichfalls anjetzt monatlich liefert.~~
Ad00341 02 033a/frePlantes XXIX. Vol. II. No 30.
PARTIES DETAILLEES DES FLEURS
Tab. IV. Les Calices.
Le Calice est, pour ainsi dire, un étui pour les pétales tendres, et il se trouve par cette raison tout au dessous de la corolle, à laquelle il sert d'enveloppe ou de soutien. Il consiste ordinairement dans une ou plusieures petites feuilles verdes, et varie beaucoup pour la forme. On le trouve p. e, ou il ne fait qu'une feuille (Fig. 1.) ou deux (Fig. 3.) ou trois (Fig. 4.) ou quatre (Fig. 5.) ou un plus grand nombre, (Fig. 6. 8. 9.) ou même il est en forme de cloche (Fig. 2.); il est en outre ousimple, comme tous ceux réprésentés ci-dessus, ou double, comme Fig. 9.
Tab. V. Fleurs entières et quelques Graines.
Les fleurs ont été divisées et nommées différemment sélon la forme de leur corolle. On les appelle p. e.
Fleurs campaniformes (Fig. 1)
Fleurs orbiculaires (Fig. 2)
Fleurs en forme de roue (Fig. 3)
Fleurs en croix (Fig. 4).
Fleurs en forme de gueule (Fig. 5).
Fleurs en forme d'étoile (Fig. 6).
Fleurs graminées (Fig. 7).
Fleurs papilionacées (Fig. 8).
Les Graines ont également différentes formes sélon lesquelles on les divise et les nomme. Elles sont p. e. en serme de boule (Fig. 9a.) ou en forme de rognons (Fig. 9b.) ou triangulaires (Fig. 9c.). Quelquefois elles tiennent en dessous de couronnes rondes et empennées, qui mettent la graine en état d'être emportée par le vent et ensemée (Fig. 10. 11. 12. 13.). Souvent aussi elles sout lourdes et de grand volume comme p. e. la féveroîle (Fig. 14.) ou elles sont ensermées comme des pépins dans une substance charnue et mangeable comme dans nos fruits (Fig. 15.).
Tab. V. Un Bouquet.
On donne le nom de Bouquet à un assemblage de pîusieures fleurs sur une seule tige, qui sortent ensemble de deux feuilles comme à une grande involucre commune. Chacune de ces fleurs a son propre pédicule, un calice à trois feuilles, les ètawines et Jon pistil. II sera maintenant très facile à chacun qui s'est bien approprié les parties des fleurs ci-dessus détaillées, de comprendre aussi la composition d'une ileur entière et d'admirer la beauté de sa structure.
Nota.
Pour enseigner aux jeunes gens la Botanique d'une manière aisee et agréable, je île faurois recommander de meilleur ouvrage que la Botanik für Frauenzimmer und Pflanzenliebhaber, welche keine Gelehrten sind, von Dr. 0. J. G. C. Batsch. Weimar im Verlage des Indust. Comptoirs. Mit Kupf. Zweite vermehrte Ausgabe, 1798.
A l'aide de cet ouvrage chaque amateur peut s'instnure lui-meme et on le lira avec satissactïon. Ce livre sait le préeurseur d'un autre dont il va paroitre dorénavant un Cahier par mois sous le titre: Der geöffnete Blumengarten, von Hrn. Prof. Batsch.
Ad00341 02 034aAd00341 02 034a.jpgZwey der kostbaresten Insecten sind die Cochenille und der Kermes, denn sie geben unsern Färbereyen allein die schöne und ächte Scharlach- und Karmesin-Farbe. Man hielt sie lange aus Unkenntniss der Naturgeschichte für Pflanzen-Theile; allein es sind wahre Insecten, wie wir sogleich sehen werden.~~No. 1. Die Cochenille. (Coccus Cacti. L.)~~Die Cochenille ist ursprünglich in Mexico zu Hause, und eine Art von großer Schildlaus, welche auf der Nopal-Pflanze (Opuntia Cacti L.) einer Art von Indianischen Feigen, lebt, und sich von dessen Safte nährt. Der Nopal ist eine von den sonderbaren Pflanzen, welche keinen Stamm und Zweige haben, sondern aus lauter beynahe Fingerdicken grünen Blättern bestehen, davon immer ein Blatt aus dem andern herauswächst, welche gelbe Blüten tragen, und mit Büscheln spitziger Stacheln besetzt sind. Auf diesen Blättern nun lebt, vermehrt sich und stirbt die Cochenille, welche die Grösse einer Wanze, und über sich ein schwarzes eckichtes Schild mit zwey gelben Flecken hat, unter dem Bauche aber roth ist; wie Fig. a. und c. sie in natürlicher Grösse, Fig. b. und d. aber dieselbe vergrössert zeigen. Diess sind aber nur die Weibchen, welche auch zur Farbe gebraucht werden; denn die Männchen sind weit kleiner, haben Flügel, erscheinen nur zur Paarungs-Zeit, und verschwinden dann wieder.~~In Mexico zieht man den Nopal und die Cochenille darauf in grossen Plantagen, und hat davon jährlich drey Aerndten. Man fegt nemlich diese Insecten mit kleinen Bürsten von den Nopal-Blättern in Gefässe, besprengt die ganze Masse mit Essig oder heissem Wasser, um sie zu tödten, und trocknet sie dann an der Sonne oder auf heissen Blechen; so ist sie als Farben-Stoff fertig. Als dieser sieht sie rothgrau, und wenn sie mit Essig benetzt wird, roth aus, wie Fig. c. und g. sie natürlich gross, und Fig. f. und h. vergrössert zeigt. Man rechnet, dass 70,000 solcher Insekten auf 1 Pfund Cochenille gehen, und dass jährlich an 800,000 Pfund davon aus Amerika nach Spanien, welches diesen wichtigen Handel fast allein treibt, gehen.~~No. 2. Der Kermes. (Coccus Ilicis. L.)~~Die Kermes oder Scharlachbeeren, welche man sonst für eine Frucht hielt, sind gleichfalls nichts anders als eine Art von Schildlaus, welche sich in den Winkeln der Zweige der Scharlach-Eiche (Quercus coccifera L.) die in Süd-Europa wächst, und nur etliche Fuss hoch wird, festsetzt, bis zur Grösse einer Wachholderbeere anschwillt, und schön roth aussieht. Dies sind gleichfalls nur die Weibchen, und die Männchen sind, wie bey der Cochenille, geflügelt, nur zur Paarungs-Zeit da, und verschwinden dann wieder. Diese Kermes-Weibchen krazt man von den Zweigen der Scharlacheiche ab, tödtet sie mit Essig, und trocknet sie an der heissen Sonne, woraus dann die Kermes-Körner als eine Handelswaare entstehen. Man färbt damit beynahe noch mehr, als mit der Cochenille, Scharlach und andere ächt rothe wollene und seidene Waaren. Auch ist der Kermes in der Färberey weit älter und länger bekannt als die Cochenille. Eben daher hat auch die Karmersin-Farbe ihren Nahmen.~~
Ad00341 02 034a/freInsectes VI. Vol. II. No. 31.
INSECTES PRÉCIEUX.
La Cochem et le Kermès sont deux Insectes des plus précieux, cav ils fournissent seuls à la teinture la belle et véritable couleur cramoisie et d'écarîate. Par ignorance dans l'histoire naturelle on les a cru longtemps être des parties de plantes; mais ils sont tous les deux des véritables Insectes, co-aurne nous allons voir.
No. 1. La Cochenille.
La Cochenille est originaire du Mexique; elle est une espèce de grand Gallinsecte, qui vit sur le Nopal (Opuntia Cacti L.) espèce de siguier d'Indes, et dont la sève lui sert de nourriture. Le Nopal est une de cee plantes bizarres, qui n'ont ni tiges ni branches; il ne consiste qu'en ses feuilles verdes de la gvosseur d'un doigt, qui poussent l'une de l'autre, portent des fleurs jaunes, et sont garnies de bouquets de piquans fort aigus. C'est sur ces feuilles que la Cochenille vit, se propage et meurt. Cet Insecte a la grandeur d'une punaise; il est couvert d'un bouclier angulaire noir qui a deux taches jaunes, et au ventre il est rouge; comme on le voit fig. a. et c. en grandeur naturelle, et grossi fig. b. et d. Ce ne sont cependant que des femelles, dont on se sert aussi uniquement dans la teinture; car les mâles sont beaucoup plus petits, ont des ailes, et on ne les voit qu'au teins de leur accouplement, après lequel ils disparoissent.
Dans le Mexique on cultive le Nopal avec la cochenille dans des plantations sont étendues et on en fait trois récoltes par an. On ôte ces insectes de dessus les feuilles du Nopal par le moyen de petites brosses, et les fait tomber dans des vases; après quoi on les arrose avec du vinaigre ou de l'eaH chaude, pour les faire oeouarir, et les sèche ensuite au soleil on sur des plaques chaudes de fer blanc. C'est là toute la préparation de cette matière précieuse de teinture. Comme telle la couleur de la cochenille est d'un gris rougeâtr"; mais elle est entièrement rouge, quand elle a été arrosée de vinaigre, comme on la voit en grandeur naturelle fig. e. et g. et grossie fig. f. et h. On compte que 70. 000 de ces insectes sont une livre de cochenille, et que 800. 000 livres de cette marchandise sont transportées annuellement de l'Amérique en Espagne, qui est presque seule en possession de cette branche importante du commerce.
No. 2. Le Kermès.
Le Kermès ou la graine de Kermès, qu'aurefois on a aussi cru être un fruit, n'est également qu'une espèce de gallinsecte qui s'attache dans les coins des branches du chêne vert ou d'écar cite; cet arbre croît dans l'Europe méridionale et n'atteind qu'une hauteur de quelques pieds. La graine de Kermès a la grosseur d'un grain de genièvre, et sa couleur est d'un fort beau rouge. Elles ne sont également que des femelles de l'insecte, car les mâles ont des ailes comme ceux de la cochenille, ne sont à voir qu'au seras de l'accouplement, et disparaissent ensuite. On brosse ces femelles de kermès de dessus les branches du chêne, les tue par le moyen du vinaigre et les sèche au soleil; c'est dans cet état que sous le nom de graines de Kermès elles sont un article du commerce. On s'en sert encore presque plus que de la cochenille pour teindre en écarlate des étofses de laine et de soie. Aussi le kermès a-t-il été employé pour la teinture dans l'antiquité, où la cochenille sut encore entièrement inconnue. C'est lui enfin qui a donné le nom à la couleur cramoisie.
Ad00341 02 035aAd00341 02 035a.jpgDer einheimischen Fluss-Fische die nur in süssem Wasser leben, und uns zu einer sehr angenehmen Speise dienen, giebt es gar mancherley Arten. Wir wollen sie nach und nach kennen lernen, weil sie theils für den Handel, theils für die Landwirtschaft wichtig sind.~~No. 1. Der gemeine Karpfe.~~No. 2. Der Spiegel-Karpfe. (Cyprinus Carpio. L.)~~Der Karpfe stammt aus dem südlichen Europa her, wo er in langsam fliessenden Strömen, Seen und Teichen lebt; im nördlichen ist er seltner, und erst zur Zucht in Fisch-Teichen dahin verpflanzt worden. Er nährt sich darin von Würmern, Insecten, Schlamme und Miste, wächst zu einer ansehnlichen Grösse, und wird bis 100 Jahre alt. Sein Fleisch ist, wenn er nicht über 4 bis 5 Jahre alt ist, zart und wohlschmeckend. Er laichet im Mai und Junius, (wo er nicht gut schmeckt) und man rechnet, dass ein Karpfe von 3 Pfund an 237000 Eyer auf einmal in seinem Roogen von sich giebt. - Es giebt vorzüglich 3 Sorten Karpfen; den gemeinen Karpfen der ganz mit gleichförmigen Schuppen bedeckt ist (No. 1); den Spiegel-Karpfen, der ausserordentlich grosse Schuppen, und nur an etlichen Stellen des Leibes hat, und braun aussieht (No. 2.), und den Leder-Karpfen, der gar keine Schuppen, sondern nur eine braune lederartige Haut hat, und in Schlesien gefunden wird. Die Karpfen werden so zahm, dass man sie mit einer Glocke am Fisch-Teiche zum Füttern zusammenrufen kann.~~No. 3. Die Barbe. (Cyprinus Barbus. L.)~~Die Barbe ist ein guter gemeiner Speise-Fisch, der sich gern in den Tiefen schnellfliesender Ströme aufhält, von kleinen Fischen, Aase, Gewürme, und faulenden Pflanzen nährt; daher er auch häufig bey dem zum Rösten in die Flüsse gelegten Flachse, der andern Fischen tödtlich ist, gefangen wird. Er wird in Teutschland 2 bis 3 Fuss lang, und erreicht ein hohes Alter. Die Barbe hat am Oberkiefer lange Bartfäden, die wie ein Knebelbart herunter hängen, womit sie im Schlamme spielen, und die kleinen Fische zu ihrer Beute anlocken kann. Man kann aus ihrer Schwimmblase Leim kochen.~~No. 4. Der Zander. (Perca Lucioperca. L.)~~Der Zander ist, wie der Hecht, ein starcker Raubfisch. Er lebt gern in tiefen und klaren Wassern mit sandigem und steinigem Boden. Er wird bis 4 Fuss lang, sieht am Bauche silbergrau und auf dem Rücken olivengrün aus, über welchem er auch viele braune Queerstreifen hat. Sein Fleisch ist überaus zart und leckerhaft, und wird sowohl frisch gesotten, als auch eingesalzen und geräuchert gegessen. Er gehört zu den Baarschen, und heisst daher an vielen Orten auch der Sandbaarsch.~~No. 5. Der Baarsch. (Perca fluviatilis L.)~~Der Baarsch (oder Flussbaarsch, Stockbaarsch, wie er auch heisst) ist einer der schönsten einheimischen Fluss-Fische. Ueber dem Rücken ist er glänzend grün-gelb, und hat mehrere braune Queerstreifen, und rothe Flossen. Seine Schuppen sind klein, und sitzen sehr fest auf der Haut. Er lebt in stehenden und fliessenden Wassern, und nährt sich von Insecten, Fischlaich und kleinen Fischen. Er wird 1 1/2 bis 2 Fuss lang. Sein Fleisch ist wohlschmeckend und gesund, und aus seiner Haut wird ein Leim wie die Hausenblase gesotten.~~
Ad00341 02 035a/frePoissons XVII. Vol. II. No. 32.
POISSONS DE RIVIÈRE COMMUNS EN ALLEMAGNE.
Il y a en Allemagne beaucoup de sortes différentes de poissons de rivière, qui nous fournissent une nourriture agréable. Je les ferai connoitre ici l'une après l'autre, car ils sont un objet important pour le commerce et l' économie rurale.
No. 1. La Carpe commune.
No. 2. La Carpe miroitée.
La Carpe est originaire dans l'Europe méridionale oit elle vit dans des lacs, des étants et des rivières dont le cours n'est pas trop rapide; dans l'Europe septentrionale elle se trouve moins fréquemment et seulement dans des étangs où elle est transplantée pour en avoir l'espèce. Ce poisson se nourrit de vers, d'insectes et de sange j il parvient à une grandeur sort considérable et peut atteindre l'âge de 100 ans; losqu'il n'est pas plus âgé que de 4 à 5 ans, sa chair est tendre et d'un bon goût. Il fraie dans les mois de Mai et de Juin (pendant lequel temps il n'est pas bon à manger)et on compte qu'une carpe d'un poids de trois livres peut d'une seule sois mettre dehors 237000 oeufs. Il y a trois sortes principales de carpes, savoir la Carpe commune qui est entièrement couverte d'écaillés uniformes (No. 1.) la carpe mivoitee, qui a des écailles extraordinairement grandes, mais feulement dans différents endroits du eorps, et dont la couleur est brune; (No. 2.) et enfin la Carpe de cuir, qui n'a pas d'éeailles du tout; mais seulement une peau brune semblable au cuir, et qui est principalement trouvée en Silésie. Il faut encore remarquer comme une particularité die ce poisson, qu'ils deviennent tellement privés, qne sur le son d'une cloche ils s'assemblent tous dans de certains endroits des étangs pour happer la nourriture qu'on y jette.
No. 3. Le Barbeau.
Le Barbeau est. un poisson sort commun r mais boin à marger; il aime à se tenir sur le fond de rivières rapides, es il se nourrit de petits poissons, de cadavres, de vermines et de plantes pourries; par cette raison on le prend souveat dans le voisinagede lin qu'on met dans les rivières pour le rouir, et dont les exhalaisons sont funestes à tous les autres poissons. II devient en Allemagne long de deux à trois pieds et fort âgé. A la nageoire supérieure ila des poils longs qui ont lair d'une moustache, et dont il se sert pour remuer la fange et d'attirer parla les petits poissons qui deviennent alors sa proie. De sa vessie on peut préparer de la colle.
No. 4. Le Sandre.
Le Sandre ost aussi vorace que le brochet. Il aime les eaux claires et prosondes, dont le fond est couvert de sable et de cailloux. Il devient long de 4 pieds; son ventre est d'un gris argenté et le dos de couleur d'olives; le derrier est encore marqué de beaucoup de traits bruns. Sa chair est très tendre et d'un goût exquis; on la mange tant sraîche et simplement cuite dans l'eau, que sallée et fumée. Le Sandre appartient dans le genre des Perches, et on l'appelle aussi dans plusieurs endroits Perche de sable.
No. 5. La Perche.
La Perche est un des poissons d'eau douce les plus beaux qui existent en Allemagne. Son dos est d'un vert luisant tirant sur le jaune, et décore de plusieurs traits bruns; les nageoires sont rouges. Il a des écailles très petites, et qui tiennent fortement sûr la peau. Il vit dans les eaux courrantes aussi bien que dans les croupissantes, et se nourrit de srai de poissons, d'insectes, et de petits poissons, Il devient long d'un et demi jusqu'à deux pieds; sa chuir est d'un bon goût et très convenable à sa santé. De sa peau on prépare une colle semblable à la colle de poissons ordinaire.
Ad00341 02 036aAd00341 02 036a.jpgWir haben auf Taf. 24. die Teutschen Giftschwämme kennen gelernt, am uns dafür zu hüthen; nun wollen wir uns aber auch mit den guten und essbaren Schwämmen, die wir als unschädliche Leckerbissen geniessen können, auf dieser und der folgenden Tafel, vollständig bekannt machen.~~No. 1. Der essbare Reisker. (Agaricus deliciosus. L.)~~Dieser Schwamm ist vielleicht einer der leckerhaftesten, und wird sonderlich aus Italien, als eine Delikatesse, in Baumöl gelegt, häufig verschickt. Er wächst im August in den Wäldern und auf Heiden. Sein Hut ist glatt, ein wenig trichterförmig aber flach vertieft, etwas feuchtklebrig, safranfarbig oder braunröthlich. Sein Saft ist safrangelb, und färbt die Brühe, in der er gekocht wird, gelb. Er muss wenige Stunden nach dem Einsammlen gespeist, oder in Baumöl gelegt werden, sonst wird er sauer, und fault leicht.~~No. 2. Die Muceron. (Agaricus mammosus. L.)~~Die Muceron wächst im Herbst auf Gras-Angern und Rainen neben einzeln stehenden Bäumen. Sie ist nicht gross, der Hut oben lichtbraun, unten aber, so wie auch das Fleisch, weiss. Sie ist wie ein Leder anzufühlen, und hat einen angenehmen, etwas würzhaften Geruch. Man speisst sie frisch oder getrocknet an Brühen.~~No. 3. Der gute Gold-Brätling. (Agaricus lactifluus. L.)~~Dieser schöne Schwamm ist von ziemlicher Grösse, hellbraun sein Hut, und seine Blätter goldfarbig am Rande. Sein Fleisch ist beym Durchschneiden Anfangs weiss, wird aber bald hernach bräunlich. Er wächst in hohen schattigen Buchenwäldern, auf feuchten Moosplätzen.~~No. 4. Der braune Brätling. (Agaricus lactifluus. L..)~~Der braune Brätling ist kleiner als der vorige, und sein Fleisch auch zarter. Sein Hut hat braune und weissliche Ringe, und seine Blätter haben einen bräunlichen Rand. Er wächst auch wie jene in schattigen Buchen- und Eichen-Wäldern, sonderlich nach Regenwetter sehr häufig.~~No. 5. Der gute Silber-Brätling. (Agaricus lactifluus. L.)~~Dieser Schwamm ist jung ganz weiss, und wird bloss, wenn er alt ist, auf dem Hute etwas blassgelb; auch giebt sein Fleisch, wenn er jung ist, viele Milch, und ist sehr delikat. Er wächst mit den andern Brätlingen an einerley Orten.~~No. 6. Der Nägelschwamm. (Agaricus cinnamomeus. L.)~~Er ist einer der kleinsten Schwämme, sein Hut gelb, die Blätter gelbbräunlich, der Stiel dünn und hohl, und sein Geruch sehr gewürzhaft. Man findet ihn den ganzen Herbst über in Wäldern und auf Wiesen.~~No. 7. Der Champignon. (Agaricus campestris. L.)~~Dieser vortreffliche Schwamm wächst im August und September auf Viehweiden, in luftigen Eichenwäldern, in Gärten, wo fauler Mist eingegraben ist, und auf Mistbeeten. Sein Hut ist weisslich, gewölbt, und oft zottig und am Rande zerrissen. Seine Blätter sind Anfangs weisslich, hernach braunröthlich (fig. b.) und zulezt schwärzlich; der Stiel ist auch weiss. Sein ihm eigener Geruch ist angenehm und etwas erdenhaft. Er kommt rund in der Grösse einer Nuss (fig. a.) aus der Erde, wo er am delikatesten ist.~~No. 8. Der gelbe Pfifferling.~~Dieser Schwamm ist durch seine durchaus dottergelbe Farbe und ganz eigne Form unverkennbar. Er wächst vom Jul. bis Sept. fast in allen Wäldern, und gehört zwar unter die essbaren, aber nicht sehr delikaten Schwämme.~~
Ad00341 02 036a/frePlantes. XXXI. Vol. II. No. 33.
CHAMPIGNONS MANGEABLES.
Sur la Table 24. nous avons représenté les Champignons vénéneux, communs en Allemagne, pour savoir nous en tenir sur nos gardes. Sur la Table présente et sur ia suivante nous donnerons une description détaillée des Champignons bons et mangeables et que l'on peut servir sans crainte sur les tables.
No. 1. Champignon brun.
Ce Champignon, qui est un des plus délicats, croit surtout en Italie. On le consit dans de T'huile et l'envoie comme une friandise en grande quantitédans tous les pays de l'Europe. On le trouve dans le mois d'Août dans des forêts et des landes. Son chapiteau est tout uni, un peu enfoncé en forme d'entonnoir sans cependant faire une grande cavité, d'une humidité visqueuse, de couleur de safran, et étant bouilli dans l'eau il la teint en jaune. Comme il entre aisément en corruption, il faut le manger ou le confire peu d'heures après l'avoir cueilli.
No. 2. Le Mousseron.
Le Mousseron croit dans l'Automne sur des prairies et des lisières des champs dans le voisinage d'arbres isolés. Il n'est pas grand, le dessus de son chapiteau est d'un brun clair et le dessöus blanc, de même que sa chair. Au toucher il a l'air de cuir, son odeur est agréable, et un peu aromatique. On le mange tant frais que séché.
No. 3. L'Agaric laiteux doré.
Ce beau Champignon est d'une grandeur considérable. Son chapiteau est d'un brun clair et ses feuilles sont dorées sur le bord. En le coupant sa chair est blanche au commencement, mais bientôt après elle devient brunâtre. Il vient dans les sorets de hêtres grandes et ombrageuses sur les parties humides et mousseuses.
No. 4. L'Agaric laiteux brun.
Lé Brätling brun est moins grand que le précédent, mais sa chair est plus délicate. Son chapiteau est décoré de cercles bruns et blanchâtres, et ses feuilles ont un bord brunâtre. II croit aussi comme le précédent dans des forêts ombrageuses de hêtres et de chênes, et vient surtout très fréquemment après le tems pluvieux.
No. 5. L'Agaric laiteux argenté.
Ce Champignon est tout blanc étant jeune, et devient jaunâtre sur son chapiteau quand il vieillit. Sa chair contient aussi, beaucoup de suc laiteux, quand il est jeune, et le goût en est très délicat. Il croit aux mêmes Ilendroits avec les autres Bratlings.
No. 6. L'Agaric-Clou.
Il est un des plus petits Champignons. Son chapiteau est jaune, les feuilles sont d'un brun jaunâtre, le pédicule est mince et creux et sou odeur très aromatique. On le trouve pendant tout l'automne dans les forêts et sur les prairies.
No. 7. Le Champignon à manger ou proprement dit.
Cette exellente espèce de Champignons croit dans les mois d'Août et de Septembre sur des pâturages, dans des forêts de chêne bien aérées, dans des jardins engraissés d'un sumier bien pourri et dans des serres, Son chapiteau est blanchâtre, de forme concave, souvent velu, et sendu au bord. Ses feuilles sont au commencement blanchâtres et ensuite elles deviennent brunesrougeàlres (Fig. b.) et à la sin même noirâtres. Le pédicule est aussi blanc. Il a une odeur du terre qui lui est propre et sort agréable. En poussant de la terre sa forme est ronde et de la grandeur d'une noix. (Fig. a.)Pour iors sou goût est le plus délicat.
No. 8. Le Potiron jaune.
Par sa forme toute particulière et sa couleur de jaune d'oeufs, ce Champignon n'est pas à méconnaitre. Il vient presque dans toutes les forêts depuis le mois de Juillet jusqu'au Septembre, et sa chair est mangeable, mais d'un goût peu délicat.
Ad00341 02 037aAd00341 02 037a.jpgNo. 1. Der kastanienbraune Pilz. (Boletus bovinus. L.)~~Dieser Pilz wächst häufig im September in den Wäldern. Er hat einen kastanienbraunen gewölbten Hut, und unten keine Blätter, sondern gelbe Röhrchen. Der Stiel ist rauh, schmutzig weiss, und unten dicker als oben.~~No. 2. Der Knollen-Pilz. (Boletus bulbosus. L.)~~Dieser Pilz ist eine andere Gattung des vorigen. Er hat einen weit dickeren Kolbenförmigen oder knolligen Stiel, und einen kleineren, oben etwas eingedrückten Hut; ist aber eben so gut essbar als der vorige, mit dem er an einerley Orten wächst.~~No. 3. Der Eichhase. (Boletus ramosissimus. L.)~~No. 4. Der bunte Pilz. (Boletus versicolor. L.)~~Diese beyden Gattungen von Pilzen sind gleichfalls sehr gut und wohlschmeckend. Man findet sie, sonderlich den Eichhasen, zu Anfange des Herbstes auf allen Eichbäumen. Der Eichhase ist sehr ästig, unten weisslich, und obenher bräunlich oder erdfarben gestreift, glatt, und gegen die Mitte vertieft. Der bunte Pilz hat einen gewölbten Hut, welcher blassbraun und mit lauter dunkelbraunen Flecken bestreut ist. Es giebt unter den Pilzen auch giftige Arten, welche man aber daran erkennt, dass ihr Hut ganz schwarzbraun von Farbe, und fett oder klebrig anzufühlen, und ihr Geruch unangenehm und widrig ist.~~No. 5. Die Spitz-Morchel (Phallus esculentus. L.)~~Die Spitz-Morchel wächst in bergigen trocknen Nadel-Wäldern. Ihr Hut ist konisch, grauschwarz; runzlich und gegittert, und innerlich, so wie auch der Stiel, hohl. Sie wächst im Frühjahre und Herbste, und ist diejenige Schwammen-Art, mit welcher man sich am wenigsten irren kann.~~No. 6. Die Bischofs-Mütze. (Helvella mitra. L.)~~Diese essbare Morchelart wächst auf faulen Baumstämmen, sieht gelbbraun, sehr faltig, und fast wie eine Bischofs-Mütze aus, davon sie auch den Namen hat.~~No. 7. Der Ziegenbart oder Keulenschwamm. (Clavaria fustigata. L.)~~Dieser buschige Schwamm hat viele corallenförmige Aeste, ein markiges Fleisch, und sieht schön gelb aus. Er wächst häufig im Sommer und Herbste in Wäldern und auf Heiden, und ist eine gute Speise.~~No. 8. Die Trüffel. (Lycoperdon tuber. L.)~~Unter allen Schwämmen ist die Trüffel der leckerhafteste und zugleich merkwürdigste. Sie wächst in lichten Eichenwäldern, in ganzen Nestern in der Erde, ohne Stiel, Wurzel, Samen, und ohne über die Erde hervorzukommen. Sie sieht entweder weiss, oder, wenn sie reif ist, schwärzlich wie eine höckrige grosse Nuss, oder beynahe wie ein Kiefern-Zapfen (Fig. a), und wenn man sie von einander schneidet, marmorirt wie eine Muskatennuss (Fig. b) aus. Da sie nie über die Erde herauswächst, aber doch einen starken Geruch hat, so suchet man sie mit eigens dazu abgerichteten Hunden auf.~~
Ad00341 02 037a/frePlantes XXXII. T. II. No. 34.
CHAMPIGNONS MANGEABLES.
No. 1. Le Potiron brun. (Boletus bovinus. L.)
Ce Champignon vient en quantité dans les forêts au mois rie Septembre. Son chapiteau est cliàsain et concave; il n'a point de Heurs par en bas, mais rie petits tuyaux jaunes. Le pédicule est rude, d'un blanc sale, et plus épais par en bas que par en haut.
No. 2. Le Potiron noueux. (Boletus bulbosus. L.)
Ce Champignon est une espèce différente du précédent. Il a un pédicule beaucoup plus épais, en forme de massue, ou noueux; Son chapiteau est plus petit et un peu enfoncé paren haut. Il est cependant mangeable comme le précédent. Il croit aussi dans les mêmes endroits.
No. 3. Le potiron rameux. (Boletus ramosissimus.)
No. 4. Le Potiron panaché. (Boletus versicolor.)
Ces deux espèces de champignons sont aussi très bonnes et d'un goût délicat. On les trouve, surtout le potiron rameux, au commencement de l'Automne, sur des vieux chênes. Le potiron rameux est très bran chu, blanchâtre par en bas, et par en haut garni rie rayes brunâtres, onde couleur de terrç, uni, et ensoncé vers le milieu.
Le potiron panaché a un chapiteau concave, qui est d'un brun pâle, et couvert de petites tâches d'un brun foncé. Il y a aussi des espèces de potirons vénéneux, qu'on réconnoit aisément parceque leur chapiteau est d'un brun tout noir, et gras ou gluant au toucher, et que leur odeur est désagréable et répugnante.
No. 5. La Morille. (Phallus esculentus.)
La morille crou dans des forêts montueuses, arides et remplies d'arbresàaigtiilies. Son chapiteau est de forme conique, d'un noir gris, rideux, treille et creux en dedans, de même que le pédicule. Elle vient au primems et en automne, et est l'espèce de champignons, avec laquelle on se trompe le moins.
No. 6. La Mitre. (Helvella Mitra.)
Cette espèce de morilles mangeables rient sur des troues d'arbres pourris, est d'un brun jaune, et a beaucoup de plis; elle ressemble presque a une mitre d'Evèque, dont elle tire son nom.
No. 7. La barbe de Chèvre. (Clavaria fustigata.)
Ce Champignon touffu a beaucoup de branches en forme de corail, une chair moelleuse, et est d'un beau jaune. Il vient abondamment en été et en automne dans des forets et des landes, et est un excellent manger.
No. 8. La Truffe. (Lycoperdon tuber.)
La Truffe est le plus friand et en même tems le plus remarquable de tous les champignons. Elle vient dans des forêts de chênes éclaircies, par couche dans la terre, n'ayant ni pédicule, ni racines, ni semence, et sans sortir de la terre. Elle est ou blanche ou, si elle est mure, noirâtre comme une grosse noix, raboteuse et ressemble presque à une pomme de pinastre. (Fig. a.) Quand on la coupe, elleest marbrée comme une noix muscade. (Fig. b.) Comme elle ne sort jamais de la terre et qu'elle a cependant une odeur sorte, il faut la chercher avec des chiens dresses exprès à cet effet.
Ad00341 02 038aAd00341 02 038a.jpgObgleich die Alten, die das Pulver noch nicht kannten, weder durch Canonen Oeffnungen in die Mauern schiessen, noch durch Minen Festungswerke in die Luft sprengen konnten: so bedienten sie sich doch einer Menge zum Theil sehr künstlich zusammengesetzter Belagerungsgeräthe, und brachten dadurch zwar langsamer, aber auch desto gewisser, fast eben die Wirkung hervor, die unser Belagerungskrieg zur Absicht hat.~~No. 1. 2. 4. Belagerungs-Schutzwehren.~~Auch die Alten näherten sich durch Gräben und ausgehöhlte Erdgänge den Mauren der Stadt, um sie selbst zu untergraben. Sie benannten diese unterirdischen Wege von den Kaninchen (Cuniculi,) denen sie dieses Miniren unter der Erde abgelernt hatten. Um nun bey diesem Minengraben von den feindlichen Stadtmauern nicht beunruhigt zu werden, und sich ihnen über und unter der Erde immer mehr nähern zu können, hatten sie bewegliche Schutzwehren, hinter und unter welchen die Soldaten sicher arbeiten konnten. Oft waren es Schoppen mit Flechtwerk, oben und an den Seiten bedeckt, oder mit nassen Decken und Häuten behangen, die auf zugespitzten Säulen angespannt waren, und von den Soldaten beym Fortrücken immer mit fortgehoben wurden. Diese hiessen Weinlauben (Vineae) No. 1. weil sie mit den Laubdächern und Gängen von Reben die grösste Aehnlichkeit hatten. Eine halbrunde Schutzwehr aus zusammengefugten Bohlen, vorn gegen die Feuerbrände der Belagerten mit nassen Häuten behangen, und auf Räder gesetzt, hiess Pluteus, No. 2. Bewegte sich die Maschine auf Walzen, wie No. 4. so nannte man sie Musculus.~~No. 3. und 7. Mauernbrecher.~~Die Widder, oder Schaaf-Böcke haben in den südlichen Ländern dicht anliegende Hörner an der Stirne, und bedienen sich ihrer mit grossem Nachdruck zum Stossen. Diess ahmte die alte Belagerungskunst durch ihre Mauernbrecher nach, und gab diesen Maschinen auch den Namen Widder (Aries). Es waren grosse Balken, vorn mit einem gegossenen eisernen Widderkopfe beschlagen, die entweder in eigenen Sturmdächern, die wegen der Aehnlichkeit mit der obern Schaale einer Schildkröte Testudines hiessen, wie No. 3. oder auch nur von den Soldaten, die den in einer Kette hangenden Mauernbrecher mit aller Gewalt gegen die Mauern stiessen, wie No. 7. an die feindlichen Mauern gebracht und zum Zermalmen derselben gebraucht wurden.~~No. 5. und 6. Belagerungs-Thürme.~~In diesen waren alle übrige Belagerungswerkzeuge vereinigt. Sie bestanden aus hölzernen, mehrere Stockwerke hohen Gerüsten, in welche Leitern von einem Stockwerke zum andern führten, und die auf Rädern fortgeschoben wurden, wie No. 6. Auswärts waren sie oft mit Häuten behangen, oder mit Bretern verschlagen, und hatten Fallbrücken (Sambucae) in einem obern Stockwerke, auf welchen die Soldaten zu den feindlichen Mauern hinübersteigen konnten. In der untersten Abtheilung befanden sich oft Mauernbrecher. Ganz oben aber standen auf dem platten Dache Soldaten, welche die Mauern beschossen; und da diese Thürme gewöhnlich noch höher waren, als die feindlichen Mauern, von oben herab den Belagerten um so grössern Schaden zufügen konnten, wie No. 5. zeigt. Ein solcher von allen Stockwerken zugleich bestürmender Thurm war ein Meisterstück der alten Kriegsbaukunst, und hiess daher auch ein Städte-Erobrer. (Helepolis)~~
Ad00341 02 038a/freAntiquités VII. Vol. II. No. 35.
INSTRUMENS DE SIEGE DES ANCIENS.
Quoique les Anciens, auxquels la Poudre à feu étoitr inconnue, ne pussent percer les murs par des coups de canon, ni faire sauteries forts par des mines, ils employèrent cependant un grand nombre de machines de siège, dont plusieurs étoient faites avec beaucoup d'art, ces machines produisirent un peu plus lentement, mais plus sûrement presque le même esset, que la manière d'assiéger que l'on suit aujourd'hui.
No. 1. 2. 4. Redoutes à l'usage des Sièges.
Les Anciens, pour sapper les murs d'une ville, s'en approchèrent par des fossés et des souterrains qu'ils établirent. Ils appellèrent ces souterrains Lapinieres (Caniculi) pareequ'ils avoient appris des lapins cette manière de miner. Pour empêcher la ville assiégée de les gêner dans ces travaux et s'en approcher de plus en plus, tant en plein champ que sous terre, ils construisirent des espèces de Redoutes mobiles, derrière lesquelles les soldats pouvoient travailler avec snrété. Ces redoutes n'étoient souvent que des hangars nattés en osier par en haut et sur les cotés, et recouverts de nattes mouillés ou de peaux vertes que l'on étendoit sur des poteaux pointus, et que les soldats emportoient à mesure qu'ils avancoient. Ces hangars sont connus sous la dénomination de Cté~ staux de vignes, (Vineae) No. 1. pareequ'ils avoient une grande ressemblance avec ces crénaux. On appelloit Pluteus No. 2. une redoute demi-circulaire construite do poutres qui se joignoient étroitement. Elle reposoit sur des roues et étoit recouverte sur le devant de peaux vertes ou mouillées pour la garantir contre les tisons que les assiégés lancoint dessus. Si cette machine rouloit sur des cylindres, on l'appelloit Musculus No. 4.
No. 3. et 7. Le Bélier ou Passemur.
Les Béliers des pays chauds ont au front des cornes très serrées contre la tête; ils s'en servent avec beaucoup de succès pour porter des coups. Les anciens dans leur art d'assiéger les imitèrent dans les Passemùrs et donnèrent à ces machinés le nom de Bélier, (Aries). Cétoient de grosses poutres garnies sur le devant d'une tête de bélier de fer de fonte. On les plaçoit dans un hangard roulant appelle Tortue, à cause de sa ressemblance avec l'écaillé d'une tortue. No. 3. ou bien les soldats les portoient suspendues dans une chaîne; on les poussoit ensuite avec sorce contre les mûrs de la ville assiégée pour les enfoncer et les saira crouler. No. 7.
No. 5. et 6. Tours de Siège.
Tout l'attirail de siège fut rassemblé dans ces tours. Cétoient des Echalfatulages de bois de la hauteur de plusieurs étages; des échelles conduisoient d'un étage à l'autre. On avançoit ces tours par le moyen des roues sur lesquelles elles étoient placées; voyés No. 6. On les couvroit extérieurement de peaux ou de planches. Dans un des étages supérieurs on pratiquoit des pent levis (Sambucae) sur lesquels les soldats passoient aux: murs de la ville ennemie. Jl-y-avoit souvent des béliers dans le premier étage ou au rés-de-chaussée. Tout en haut sur la platte forme se tenoient les soldats qui attaquoient les combattans postés sur les mûrs. Comme ces tours dominoient communément les mûrs des villes assiégées, on pouvoit de là causer des dommages très considérables aux assiégés, ainsi qu'on peut s'en convaincre par la figure No. 5. Une pareille tour de siège, où l'on attaquoit à la fois de tous les étages, étoit le chef d'oeuvre de l'Architecture militaire des Anciens; on l'appelloit aussi le Conquérant des ville (helepolis).
Ad00341 02 039aAd00341 02 039a.jpgDas Schwein lebt fast in allen Ländern der Erde, nur nicht in sehr kalten nördlichen. Das wilde Schwein ist der Stammvater aller verschiedenen Schweine-Racen, welche durch Clima und Futter grosse Veränderungen erlitten haben.~~No. 1. u. 2. Das wilde Schwein. (Sus scrofa aper. L.)~~Das wilde Schwein lebt selbst in Teutschland noch häufig in den Wäldern, wo es viele Eichen und Buchen giebt, heerdenweise wild. Es ist von Farbe schwarz oder schwarzbraun, und führt daher den Nahmen Schwarzwildpret. Es hat einen längern Rüssel und Kopf, und trägt die Ohren steifer und spitziger als das zahme Schwein. Aus der untern Kinnlade stehen ein Paar starke krumme Hauzähne hervor, womit es sich kühn und muthig vertheidiget. Es erreicht ein Alter von 25 Jahren. Seine Jungen (No. 2.), welche Frischlinge heissen, sind gelbroth und braun, oder blaugrau gestreift, und sehen artig aus.~~No. 3. Das zahme Schwein. (Sus scrofa. L.)~~Das zahme Schwein ist, als Haussthier, fast über die ganze Erde verbreitet; den Norden ausgenommen. Es ist wegen seines wohlschmeckenden Fleisches und häufigen Fettes ein sehr nutzbares Thier. Es frisst alles, was ihm vorkommt, und ist dabey ein sehr faules, schmutziges und tückisches Thier. Es ist theils weiss, theils schwarz und weiss, theils fuchsig roth. Den Juden und Mahomedanern ist durch ihre Religions-Gesetze das Essen des Schweinefleisches verboten.~~No. 4. Das Nabelschwein. (Sus Tajassu. L.)~~Das Nabelschwein (Bisam-Schwein, der Pecari, das Moschus-Schwein) wohnt wild in Süd-Amerika. Es ist an 3 Fuss lang, hat keinen Schwanz, und auf dem Rücken einen drüsigen Sack, worin eine schmierige, nach Bisam riechende Masse sitzt, davon es auch seinen Namen hat. Es ist viel reinlicher als unser Schwein, nährt sich aber auch wie dieses von Früchten, Wurzeln, kleinen Thieren, und besonders Schlangen. Sein Fleisch ist wohlschmeckend. Es lässt sich zahm machen. Es sieht grau und schwarz gefleckt aus.~~No. 5. Das Siamische Schwein. (Sus scrofa Siamensis. L.)~~Das Siamische oder Chinesische Schwein, welches man auch hier und da in Teutschland zahm antrifft, ist kleiner als unser gewöhnliches Schwein, und braun von Farbe, sein Fleisch aber fester und schmackhafter als das gewöhnliche, daher es auch aus dieser Ursache gezogen wird.~~No. 6. Das äthiopische Schwein. (Sus scrofa Aethiopica.)~~Dies furchtbar wilde, äusserst starke und widrig gebildete Thier, wohnt im Innern von Afrika, und auf Madagascar. Seine Länge ist 5 Fuss, sein Kopf breit und dick, seine Farbe schmuzig braun. Sein Rüssel ist breit und hornhart; aus dem Unterkiefer gehen 4 grosse Hauer hervor, womit es sich sogar gegen den Löwen vertheidiget, und diesen in die Flucht jaget.~~
Ad00341 02 039a/freQuatrupédes. XXXIV. Vol. II. No. 36.
DIFFERENTS ESPECES DE COCHONS.
Le Cochon vit presque dans tous les pays du monde, excepté dans ceux du Nord, où le froid est trop vj. otireux. Toutes l'es différentes espèces tirent une commune origine du Sanglier, qui parla différence du climat et de la nourriture a essuyé toutes ces grandes variétés.
No. 1. et 2. Le Sanglier.
Le Sanglier est encore très fréquent, mêine en Allemagne, où il vit en troupeaux dans les forêts de chênes et de hêtres. Sa couleur est noire, ou d'un brun noirâtre, ce qui lui a fait donner le nom de betes noires; sa tète et son groin sont plus longs, et ses oreilles plus roides et plus pointues que ceux du cochon domestique. Deux fortes défenses courbées sortent de sa mâchoire inférieure, et il s'en sert avec courage et hardiesse. Il peut vivre jnsqu' à vingt cinq ans. Ses petits, (No. 2.) nommés Marcassins, sont d'un rougejaunàtre, et décorés de rayes brunes ou bleuâtres; ce sont des animaux assés jolis.
No. 3. Le Cochon domestique.
Cette espèce de cochons est répandue comme animal domestique presque sur toute la surface de la terre, à l'exception des pays du Nord. Son utilité est très grande, car sa chair est agréable à manger et on en rétire une quantité copieuse de graisse. Cet animal mange tout ce qu'il peut trouver sans aucune exception, et il est paresseux, sale et très malicieux. Sa couleur est blanche, noire et blanche, on rousse. Il est défendu aux juifs et aux Mahomitans par les loix de leurs religions de manger de sa chair.
No. 2. [sic] Le Pecari.
Le Pecari, qu'on nomme aussi le cochon de musc, se trouve dans l'état sauvage dans l'Amérique méridionnale. Il est long de 5 pieds, n'a point de queue et porte sur son dos un sac sporigieux rempli d'une matière gluante qui sent le musc. C'est de cette dernière qualité qu'il a reçu son nom. Il est beaucoup plus propre que notre cochon ordinaire, et se nourrit comme ce dernier de toute espèce de fruits, de racines, de petites bêtes et surtout de serpens. il se laisse aisément apprivoiser, et sa chair est très bonne à manger. Sa couleur est grise à tâches noires.
No. 5. Le Cochon de Siam, ou des Indes.
On trouve aussi cette espèce de cochons en Allemagne dans l'état privé; il est plus petit que notre cochon ordinaire et de couleur brune. Sa chair étant plus ferme et d'un meilleur goût que celle du cochon domestique, on a taché de propager chez nous sa race.
No. 6. La Sanglier d'Ethiopie.
C'est un animal sauvage et formidable, sa force est extrême et sa figure répugnante. Il habite dans l'intérieur de l'Afrique et sur l'isle de Madagascar. Sa longueur est de cinq pieds, sa tète est très grosse et large, et sa couleur d'un brun sale. Son groin est large et dure comme corne; de sa mâchoire insérieure sortent quatre grandes défenses, dont cet animal féroce se sert même contre le lion, qu'il est capable de vaincre.
Ad00341 02 040aAd00341 02 040a.jpgNo. 1. Die Karausche. (Cyprinus Carassius. L.)~~Die Karausche hat viel Aehnliches vom Karpfen, sie bleibt aber klein und wird selten 1 Fuss lang und über 1 Pfund schwer. Ihr Rücken ist hoch gewölbt, und dunkel schmutziggrün, der Bauch gelblich, und die Flossen gelb und violet. Sie lebt in Teichen, stillen Buchten der Flüsse und Land-Seen, von Schlamm, Kräutern und Würmern. Ihr Fleisch ist wohlschmeckend, steckt aber voll kleiner Gräten.~~No. 2. Der Schley. (Die Schleihe.) (Cyprinus Tinca. L.)~~Der Schley wird etwa 1 1/2 Fuss lang, 2 bis 3 Pfund schwer, und ist ein bekannter Schlamm-Fisch, daher er lieber in stillstehenden Wassern und moderigen Graben als in Flüssen lebt, und immer im Schlamme wühlt. Er ist schlüpfrig wie ein Aal, und über und über mit dickem Schleime bedeckt. Sein Rücken ist schwarzgrün, die Seiten grüngelblich, und die Flossen schwarzblau. Es giebt aber auch eine Abart davon, den Gold-Schley, welcher sehr schön und ganz goldgelb ist, und den wir schon im I. Bande unsers Bilderbuchs kennen gelernt haben. Sein Fleisch ist zwar wohlschmeckend, aber unverdaulich.~~No. 3. Der Kaulbaarsch. (Perca cernua. L.)~~Der Kaulbaarsch ist die dritte Art von Baarschen. Er hat einen dicken Kopf, sehr grosse Augen, und einen mit Schleim überzogenen Leib. Der Rücken ist braungelb, der Bauch silbergrau und die Flossen gelb. Er wird ohngefähr 10 bis 12 Zoll lang, nährt sich von Insecten und Würmern, und lebt am meisten im nördlichen Teutschland. Er vermehrt sich sehr stark, und hat ein wohlschmeckend Fleisch.~~No. 4. Der Hecht. (Esox Lucius. L.)~~Der Hecht ist zwar ein sehr wohlschmeckender und interessanter Handels-Fisch, aber ein sehr gefährlicher und schädlicher Raubfisch für alle Flüsse, Seen und Teiche, wo er sich befindet; denn er frisst nicht nur alle andere Fische, die er bezwingen kann, sondern auch allerhand andere Amphibien, Schlangen, Kröten, Wasservögel, Krebse, ja sogar seine eigene Brut. Er wächst bis zu einer Länge von 6 bis 8 Fuss, und 30 bis 40 Pfund Gewicht, und wird über 100 Jahre alt. Er hat einen flachen Kopf, und niedergedrückten weiten Rachen, ist auf dem Rücken schwarz, an den Seiten grau mit gelben Flecken, der Bauch weiss mit schwarzen Puncten, die Flossen aber sind gelb und braun getiegert. Da man den Hecht sowohl eingesalzen, als auch geräuchert verführt, so ist er ein guter Handels-Fisch.~~No. 5. Der Aal. (Muraena Anguilla. L.)~~Der Aal lebt in Flüssen, Teichen und Seen, die einen schlammigen Boden haben, und nährt sich von kleinen Fischen, Fröschen, Insecten und Würmern. Er hat ein sehr fettes, weisses und delikates Fleisch, und wird theils frisch gesotten, theils marinirt, theils geräuchert verspeiset, ist daher auch ein guter Handels-Fisch. Er wächst bis zur Länge von 4 Fuss, hat einen kleinen spitzigen Kopf, und ist auf dem Rücken schmutzig grün, am Bauche aber gelbgrau. Man fängt ihn mit Grund-Angeln, Netzen und Reusen.~~
Ad00341 02 040a/frePoissons XVIII. Vol. II. No. 37.
POISSONS D'EAU DOUCE COMMUNS EN ALLEMAGNE.
No. 1. Le Corassin.
Le Corassin ressemble beaucoup à la carpe, mais il reste petit, ayant rarement un pied de long, et ne pèsc pas plus d'une livre. Son dos êst fortement voûté et la couleur en est tVun verd foncé très sale; son ventre est jaunâtre et ses nageoires sont jaunes et violettes. Il vit dans les étangs, les baies des rivières et les lacs, et se nourrit de fange, d'herbes et de vermines. Sa chair est d'un bon gôut mais remplie de petites arêtes.
No. 2. La Tanche.
La Tange est longue à peu près d'un pied et demi, et pèse 2 jusqu' à 3 livres. On ne la connaît que comme poisson d'étang, car elle présère les eaux dormantes aux rivières, et aime surtout les foîTés bourbeux, où elle s'enfonce dans la sange. Sa peau est glissante comme celle de l'anguille et enduite entièrement d'une humeur visqueuse. Son dos est d'un verd-noirâtre ses cotés sont d'un verd-jaunâtre et ses nageoires d'un bleu foncé. Il existe une variété de ce poisson, conaue sous le nom rie tange dorée, qui est très belle et tout à fait de couleur d'or, nous en avons donné la deseription dans le ler Volume de ce portefeuille. Sa chair est d'un très bon gôut, mais difficile à digérer.
No. 3. Le Post. (Kulebars.)
Ce poisson est une troisième espèce de perches. Il a la tête grosse, les yeux grands et le corps enduit d'une humeur visqueuse. Son dos est d'un brun -jaunâtre, le ventre gris argenté, et ses nageoires sont jaunes. Il devient à peu près de la longueur de 10 pouces jusqu' à 1 pied, se nourrit d'insectes et de vermines, et se trouve principalement dans le Nord de l'Allemagne, il se propage abondamment et sa chair est bonne a manger.
No. 4. Le Brochet.
Ce poisson est excellent à manger et fait une branche assés interessante du commerce: mais il est un poisson vorace des plus dangereux et fort nuisible par-tout où il se trouve; car il dévore non seulement toutes les autres espèces de poissons qu'il est capable de vaincre, mais aussi beaucoup d'autres amphibies, des serpens, des crapauds, des oiseaux aquatiques, des écrevisses et même son propre frais. II parvient à une longueur de 6 à 8 pieds et pèse souvent 30 à 40 livres; il peut vivre plus de 100 ans. Sa tète est plate, sa gueule large et déprimée; son dos est noir, ses cotés sont gris à taches jaunes, spn ventre est blanc à points noirs et ses nageoires sont tigrées en brun et noir. Comme on transporte la brochet tant salé que fumé, il fait un article intereisant du commerce.
No. 5. L'Anguille.
On trouve ce poisson dans les ririères, les lacs et les étangs dont le fond est bourbeux. Il se nourrit de petits poissons, de grenouilles, d'insectes et de vermines. Sa chair est blanche, très grasse et d'un goût fort délicat; on la mange tant sraîche et cuite à i'eau, que marinée et fumée, ce qui rend ce poisson interessant pour le commerce. Il petit devenir long de 4 pieds; sa tète est petite et pointue, la couleur de son dos est d'un verd sale, et celle de son ventre d'un gris jaunâtre. On le prend avec des filets, des nasses et au hameçon.
Ad00341 02 041aAd00341 02 041a.jpgNo. 1. Der Rabe. (Corvus Corax. L.)~~Der Rabe (Kolkrabe, Goldrabe,) wohnt fast in allen Welttheilen, ist aber vorzüglich in Europa zu Hause. Er hat unter allen Vögeln den schärfsten Geruch, und nährt sich von Aase, Insecten, Fischen, Krebsen, Feld-Mäusen, raubt aber auch oft Hasen, junge Lämmer, Feldhüner und Gänse. Sein Gefieder ist glänzend schwarz und schillernd auf dem Rücken. Er wird ansehnlich gross, oft über 2 Fuss lang. Sein Nest bauet er an einsamen Orten auf den höchsten Bäumen oder unter Felsenklippen. Er lernt mehrere Worte deutlich aussprechen, wenn man ihm die Zunge löset. Sein Leben bringt er bis auf 100 Jahre. Sachen, die er nicht fressen kann, und sonderlich Geld und glänzende Dinge von Metall stiehlt er weg, und verbirgt sie. Bloss seine Schwingen-Federn, die man zum Schreiben und Zeichnen braucht, sind an ihm nutzbar.~~No. 2. Die schwarze Krähe. (Corvus Corone. L.)~~Die schwarze Krähe ist etwa 2/3 so gross als der Rabe, bläulich schwarz, und wohnt vorzüglich im südlichen Europa. Sie hat übrigens Nahrung und Lebensart mit dem Raben gemein, frisst aber auch Nüsse, Früchte und Getraide, und nistet in den Wäldern auf Bäumen. Weil sie viel Aehnliches vom Raben hat, heisst sie auch die Rabenkrähe.~~No. 3. Die Saat-Krähe. (Corvus frugilegus. L.)~~Die Saat-Krähe ist ohngefähr eben so gross als die schwarze Krähe, dunkelschwarz von Farbe, und hat einen kahlen, weisslichen Flecken um den Schnabel und die Augen. Sie bewohnt Europa, und fliegt sonderlich des Abends und Morgens in grossen Schaaren. Sie frisst zwar Getraide und Körner, deswegen sie auch die Saatkrähe heisst; nährt sich aber auch von Regen- und Erdwürmern, Engerlingen und Gras-Raupen, und ist deswegen für den Ackerbau ein sehr nützliches Thier. Das Fleisch der Jungen ist essbar und wohlschmeckend. Sie zieht im Herbste in wärmere Gegenden.~~No. 4. Die Nebel-Krähe. (Corvus Cornix. L.)~~Die Nebel- oder Mantel-Krähe ist so gross als die vorige, am Leibe aschgrau und bloss Flügel, Kopf und Schwanz sind schwarz, so dass sie aussieht, als hätte sie einen grauen Mantel um. Sie ist am gemeinsten in Teutschland, und wandert zum Theil im Winter fort, zum Theil bleibt sie aber auch in Städten und Dörfern, frisst allerley, sonderlich allerley Ungeziefer, Frösche, Schnecken, auch Aas, und wird dadurch nutzbar. Sie nistet einzeln auf Bäumen; ihr Fleisch ist aber nicht essbar.~~No. 5. Die Dohle. (Corvus Monedula. L.)~~Die Dohle (Käke, Schnee-Käke) ist kleiner als die Krähe, braunschwarz von Farbe, sehr lebhaft und munter, und lebt vorzüglich im nördlichen Europa. Sie fliegen schaarenweise zusammen mit grossem Geschrey, und mischen sich gern unter die Krähen. Sie nisten in hohlen Bäumen, vorzüglich gern aber auf Thürmen, in alten Schlössern und Mauerwerk, oft viele hunderte zusammen. Sie nähren sich von Insecten, Saamen und Früchten, werden leicht zahm, lernen sprechen, stehlen aber auch glänzende Sachen eben so gern wie die Raben. Sie bringen den Winter theils in alten Thürmen zu, theils wandern sie auch.~~No. 6. Die graue Dohle. (Corvus Monedula. L.)~~Die graue Dohle ist nur eine Abart der vorigen. Hals, Brust und Bauch sind grau, das Uebrige schwarzbraun.~~No. 7. Die Cayennische Dohle.~~Diese Dohle lebt in Cayenne, ist um die Augen und auf der Stirn nackend, hat eine braunrothe Kehle und Bauch, und übrigens braunschwarzes Gefieder.~~No. 8. Die Senegalsche Krähe.~~Diess scheint nichts anders als eine Mantelkrähe zu seyn, deren graue Farbe nur weisser ist.~~
Ad00341 02 041a/freOiseaux XV. Vol. II. No. 38.
CORBEAUX, CORNEILLES ET CHOUCAS.
No. 1. Le Corbeau.
Le Corbeau vit presque dans toutes les parties du monde, mais on le trouve surtout en Europe. De tous les oiseaux il a l'odorat le plus sin, et se nourrit de cadavres, d'insectes, de poissons, d'écrevisses et de souris champêtres; mais souvent il prend aussi des lièvres, d. es agneaux, des perdrix et ties oies. Son plumage est d'un noir luisant et changeant sur le dos. il devient d'une grandeur considérable et souvent plus long que de deux pieds. Il fait son nid dans des endroits solilaires sur les plus hauts arbres ou dans les rochers. Quand le silet de la langue lui a été coupé, il appiend plusieurs mots à prononcer distinctemënt. Il peut vivre jusqu' à ioo ans. Il vole aussi des choses qu'il ne peut pas manger, surtout de l'argent et des effecls de métal, qu'il cache soigneusement. Il n'y a rien en lui qui toit utile, excepté l'es pennes, dont on se sert pour l'écriture et le dessein.
No. 2. La Corneille noire.
Cette espèce de corneille peut avoir environ deux tieis de la grandeur du Corbeau; sa couleur est d'un noir-bleuâtre, et on la trouve principalement dans l'Europe méridionale. Sa nourriture et toute sa manière de vivre sont celles du corbeau, excepté qu'elle mange aussi des noix, des fruits et des grains. C'est la grande ressemblance avec le corbeau qui lui a sait donner le nom de Corneille noire.
No. 3. Le Freux.
Le Freux a la même grandeur que la Corneille noire; sa couleur est d'un noir foncé et autour du l ec et des yeux il a des taches blanches et dégarnies de slumes. Il habite également dans l'Europe, et. on le voit totjours voler en grands troupeaux, surtout îe matin et le suir. Il mange toutes fortes de grains, ce qui lui a aussi attiré le nom de Corneille moissonneuse; mais cependant il se nourrit de préférence de vers de terre, de vers bouvîers et de ces chenilles qui rongent l'herbe; ce qui le rend très utile pour l'agriculture. La chair des petits freux est mangeable et d'un bon gouit, Vers l'automne il passe dans des contrées plus méridionales.
No. 4. La Corneille mantelée ou cendrée.
Cette espèce de Corneilles est de la même grandeur que les précédentes; la couleur de son corps est cendrée, et les aîles, la tète et la queue sont noires, de sorte qu'elle semble être revêtue d'un manteau gris. En Allemagne elle est plus commune qu'ailleurs; à l'approche de l'hiver elle s'en va en partie dans des contrées pins méridionales, et en partie elle passe cette saison dans les villes et les villages. lJar le genre de sa nourriture elle se rend très utile, car elle mange toutes sortes d'insectes et de vermines, des grenouilles, des limas et des cadavres. Elle fait son nid sur des arbres isolés; sa chair n'est pas mangeable.
No. 5. Le Choucas commun.
Le Choucas commun, qui porte aussi le nom de Chouette, est moins grand que la Corneille, et sa couleur est d'un noir brunâtre, il est très vif et agile, et vit principalement dans l'Europe septentrionale. Ils volent par troupeaux et croissent continuellement; ils aiment aussi à se mêler parmi les corneilles, il sont leurs nids dans des arbres creux, mais préférabîement dans des tours, des vieux châteaux et des ruines de murailles, ou ou les trouve Ibuvent par centaines. Ils se nourrissent d'insectes, de grains et de fruits, sont aisés d'apprivoiser, apprennent à parler, et aiment autant que les corbeaux à voler des essets luisans. Us pasient l'hiver en partie dans des vieilles tours, et en partie ils s'en vont dans d'autres contrées.
No. 6. Le Choucas gris.
Le Choucas gris n'est qu'une variété du précédent. Il a le cou, la poitrine et le ventre gris; tout le relie est d'un noir brunâtre.
No. 7. Le Choucas de Cayenne.
Cette espèce de Choucas vit dans la Cayenne, dont elle a aussi le nom. Autour des yeux et sur le front le Choucas est dégarni de plumes; au cou et au ventre il est d'un brun -rougeàtre, mais tout le reste de son plumage est d'un noir-brunâtre.
No. 8. La Corneille du Sénégal.
Cette espèce ne paroit être qn une Corneille emmantelée, avec la seule différence que la couleur grise tire en lui plus sur le blanc.
Ad00341 02 042aAd00341 02 042a.jpgNo. 1. Tollkirsche oder Tollbeere. (Atropa Belladonna. L.)~~Die Tollkirsche ist eins der stärksten und gefährlichsten Giftkräuter, weil ihre kirschenähnlichen Beere Unwissende und Kinder sie zu essen einladen. Diese staudige Pflanze wächst bey uns in schattigen Waldungen und auf Bergen, und wird oft bis sechs Fuss hoch. Sie hat eyrunde, oft 6 Zoll lange Blätter, welche auf der untern Seite weissgelblicht sind, eine schmutzig röthlich violette Glockenblume, aus welcher eine Beere entstehet, die zur Zeit der Reife glänzend schwarz wie reife Kirschen aussieht, und wegen ihres süsslichen Geschmacks öfters von Kindern gegessen wird, worauf aber die schröcklichsten Zufälle der Vergiftung und oft der Tod erfolgen. Die beste Kur derselben besteht in schleunigen Brechmitteln und Weinessig. Sowohl die Blätter, Wurzeln als Beeren werden in den Apotheken als sehr starke und bey hartnäckigen Uebeln wirkende Arzneymittel gebraucht. Verschiedene Thiere, z.E. die Schafe und Kaninchen, fressen die Blätter ohne Schaden.~~No. 2. Der Nachtschatten. (Solanum hortense. L.)~~Diese nicht minder gefährliche Giftpflanze wächst bey 2 Fuss hoch in Gärten, an Landstrassen, und gern an Mauern und auf Schutthaufen. Sie blühet weiss im August, und trägt Büschel schwarzer Beeren, welche gleichfalls von Kindern oft gegessen, und diesen wegen ihrer giftigen Eigenschaften oft sehr gefährlich werden. Uebrigens ist der Nachtschatten, davon es mehrere Arten giebt, eine Arzneypflanze, welche von Aerzten gebraucht, gute Wirkung thut.~~
Ad00341 02 042a/frePlantes. XXXIII. Vol. II. No. 39.
PLANTES VÉNÉNEUSES D'ALLMAGNE.
No. 1. La belle Dame. (Belladonne.)
La belle Dame est un des poissons les plus sorts, et une plante d'autant plus dangereuse, que Tes erains ressembîent aux cerises et attirent les ensans et ceux qui n'en connoisseut pas le danger, d'en manger. Elle est un arbrisseau et croit chez nous dans les forêts ombrageuses et sur des montagnes; on la trouve souvent d'une hauteur de six pieds. Ses feuilles ovales et longues de 6 pouces sont sur le coté inférieur d'un blanc-jaunâtre. Elle porte une fleur campaniforme d'une couleur ronge tirant sur le violet et sale. De cette fleur il nait un grain qui du terns de sa maturité est d'un noir luisant et ressemble à des cerises mures. Son goût doucereux engage souvent les en sans d'en manger, mais il s'ensuit toujours des syraptômes terribles d'empoisonnement, et souvent la mort. Le meilleur remède dans un pareil cas est un vomitif et du vinaigre. Dans les Apothicairerics on sait usage de ses feuilles, de ses racines et de ses grains comme de remèdes fort violents, mais qui produiseitt d'excellents effets dans des maladies opiniâtres. Plusieurs animaux, comme p. e. les brebis, et les lapins, mangent ses feuilles sans en éprouvée des suites funestes.
No. 2. La Morelle.
Cette plante non moins dangereuse par son venin que la précédente, est d'une hauteur de deux pieds et croit dans des jardins et dans les fossés des grands chemins; mais on la trouve principalement aux environs de murailles et sur des sumiers. Dans le mois d'Août elle porte une fleur blanche, et des grains noirs en bouquets, qui souvent sont aussi mangés par les enfans et leur deviennent funestes par leur qualité vénéneuse. Il y a plusieurs espèces de morelJes, qui d'ailleurs sont toutes des plantes médecinales, et peuvent produire d'excellens effets dans les mains de Médecins expérimentés.
Ad00341 02 043aAd00341 02 043a.jpgEin Mensch würde blos mit seiner Kraft nur eine sehr geringe Last heben, tragen, oder fortbewegen können. Diese Kräfte können aber durch gewisse Werkzeuge, die der menschliche Verstand erfunden hat, unendlich vermehrt, und dadurch wundernswürdige Wirkungen geleistet werden. Solche Werkzeuge nennt man Maschinen, und die Wissenschaft davon die Mechanik.Die einfachsten unter allen Maschinen sind das Seil, der Hebel und die schiefe Fläche, aus welchen hernach alle andere Maschinen unendlich mannigfaltig zusammengesetzt werden können. Ich will hier alle drey erst ganz einfach darstellen, und ihre Anwendung nur bey etlichen leichten Zusammensetzungen zeigen.~~No. 1. Das Seil.~~Das Seil ist die einfachste aller Maschinen. Es ist so zu sagen nur eine Verlängerung des menschlichen Arms, wodurch der Mensch von ferne her eine Last an sich ziehen kann. Es vermehrt zwar nicht die Kraft des Menschen, dient aber fast allen zusammengesetzten Maschinen zu einer notwendigen Verbindung und zu leichterer Anwendung der Menschenkraft auf eine entfernte Last.~~No. 2. 3. 4. Der Hebel.~~Der Hebel ist diejenige einfache Maschine, wodurch die Kraft eines Menschen ins Unendliche vermehrt werden kann. Der grösste Theil aller andern Maschinen, die wir im täglichen Leben gebrauchen, ist aus lauter Hebeln zusammengesetzt. Zu jedem Hebel, der eine gerade Linie macht, gehören 3 wesentliche Stücke, nemlich der Punkt der Kraft, der Punkt der Ruhe und der Punkt der Last. Diese Punkte können auf eine dreyfache Art unter sich versetzt werden, und eben diess giebt drey verschiedene Arten von Hebeln in der Mechanik; nemlich~~1. Hebel der ersten Art, wo nemlich der Ruhepunkt in der Mitte, die Kraft aber auf der einen und die Last auf der andern Seite liegt, wie z.E. bey der Schauckel (Fig. 2.), bey dem Waageblaken, bey der Zange u.s.w.~~2. Hebel der zweyten Art, wo die Last zwischen der Kraft und dem Ruhepunkte liegt; wie z.E. bey Fortwälzung eines grossen Steines mit einem Hebebaume (Fig. 3.).~~3. Hebel der dritten Art, wo die Kraft zwischen der Last und dem Ruhepunkte stehet; wie z.E. bey Aufrichtung einer Leiter oder einer Laternenstange (Fig. 4.).~~Der Gebrauch der Hebel kommt fast bey allen unsern täglichen Geschäften vor. So ist es z.E. ein Hebel der ersten Art, wenn der Maurer einen schweren Stein mit einer Stange aufhebt, (Fig. 5.) oder der Bauer einen Korb an einem Stocke auf der Achsel trägt (Fig. 6.); ein Hebel der zweiten Art, wenn zwey Männer eine Last gemeinschaftlich an einer Stange tragen (Fig. 7.), oder wenn der Becker auf einer Biscuit-Schneide dünne Scheiben schneidet (Fig. 8.). Eben so sind der Flaschenzug (Fig. 9. u. 10.), das Rad mit dem Haspel (Fig. 11.) und die Erdwinde (Fig. 12.) blos aus Hebeln und dem Seile zusammengesetzte Maschinen.~~No. 13. Die schiefe Fläche.~~Die schiefe Fläche, auf welcher eine Last in die Höhe gezogen wird oder glitschet, ist nicht minder eine sehr wichtige einfache Maschine, woraus viele andere zusammengesetzt sind. So besteht z.E. der Keil, der sich zwischen andere Körper eindrängt und sie auseinander treibt und zerspaltet (Fig. 15. u. 16.), blos aus zwey gegeneinander liegenden schiefen Flächen; und die Schraube, die, wenn sie in ihrer Mutter (Fig. 14.) geht, so erstaunliche Lasten heben kann, ist nichts als eine schief liegende Fläche, die sich um eine gerade Spindel, als ihre Achse, windet.~~
Ad00341 02 043a/freMélanges VIII. Vol. II. No. 40.
MACHINES SIMPLES.
L'homme, par sa seule force physique ne pouryoit soulever qu'un fardeau très médiocre; mais il a sçu augmenter ses forces à l'infini, par le moyen de quelques instrumens composés, appelles Machines. On a donné le nom de Méchanique à la Science qui détermine les loix du mouvement des corps et de la eomposition des machines. La Corde, le Levier et le Plan incline sont les machines les pins simples, presque toutes les attires n'étant composées que d'elles. Je les représenterai ici dans toute leur simplicite, et j'expliquerai en même tems leur emploi par quelques comportions faciles.
No. 1. La Corde.
La Corde est la plus simple des machines: car elle n'est en quelque sorte que le prolongement du bras de l'homme. Elle n'augmente pas sa force, elle lui facilite feulement le moyen de l'employer a plus de distance, et sert en même tems de lien necessaire aux machines composées.
No. 2. Le Levier.
Parmi les machines simples la plus puisiante est le Levier, par lequel la force de l'homme peut £tre augmentée à l'infini. La plupart des autres machines, dont nous saisons usage journellement dans la vie commune, sont composées de leviers.
Chaque Levier est une ligne droite qui consiée en trois points essensiels, le point de la puissanec, le point d'appui, et le point de refistance. Ces trois points peuvent être transposés entr'eux de trois manières, et il en resulte trois especes de Levier, que la Mèchanique connoit; sçavoir
1. Le Levier du première genre, dans lequel le point à'appui efi entre la puissance et la résisiance, comme p. e. dans la balcule, dans le balancier, dans la tenaille etc. (fig. 2.)
2. Le Levier du second genre, dans lequel la résistance est entre la puissance et le point d'appui j comme p. e. dans la pince engagée sous une grande pierre, pour la lever, (fig. 3.)
3. Le Levier du troisième genre dans lequel la puissance est entre la résistance et le point d'appui; comme p. e. la sorce qui lève une échelle, ou un porte-lanterne. (fig. 4.)
Les leviers se retrouvent dans les opérations des arts les plus simples. Soulever un fardeau en s'aidant d'un sapport, (fig. 5.) ou porter une corbeille sur son épaule, au moyen d'un bâton qu'on tient par îe bout (fig. 6.), c'est employer un levier du premier genre. Porter un corps pesant à deux (Fig. 7.), c'est encore par un levier du second genre. La Poulie fixe et mobile, (fig. 9. et 10.) le Treuil et la Roue, (fig. 11.) le Cabestan (fig. 12.) ne sont que des machines composées de leviers et de la corde.
No. 13. Le Plan incliné.
Le plan incliné est placé au rang des machines simples, parce qu'en enlevant aux corps, que l'on fait glisser sur lui, une partie de leur poids, il aide conûdérahîement la puisiance; et parce que plusieurs autres machinés en sont composées. Le Coin p. e. qui entre par sorce dans un tronc (fig. 15. et 16.) et le send, n'est que la réunion de deux plans inclinés; et la Vis dans l'Ecrou (fig. 14.) n'est qu'un plan incliné roulé autour d'un cylindre.
Ad00341 02 044aAd00341 02 044a.jpgDie Forelle gehört zwar eigentlich zum Geschlechte der Lachse, allein da sie ihren eignen Nahmen hat, und es mehrere verschiedene Arten davon giebt, so trennt man sie mit Rechte davon. Sie ist einer der delikatesten Speise-Fische, und wird desswegen sehr hoch geschätzt. Die Forelle lebt gern in hellen kiesigten Waldbächen, Flüssen, Landseen und Teichen, welche klares Wasser haben, und ist ein Raubfisch, so gut wie der Hecht, denn auch sogar ihre Zunge ist mit spitzigen Zähnen besetzt. Folgendes sind die bekanntesten Arten davon.~~Fig. 1. Die Lachs-Forelle. (Salmo Trutta.)~~Die Lachs-Forelle gleicht dem Lachse am meisten, wird so gross als ein mittelmässiger Lachs, oft 8 bis 10 Pfund schwer, und lebt, so wie der Lachs, bald im Meere bald in Flüssen. Man erkennt sie an den braunschwarzen Puncten, womit ihr ganzer Leib besetzt ist. Sie hat ein rothes, wohlschmeckendes Fleisch, aber ein sehr zartes Leben, denn sie steht ausser dem Wasser, oder in warmem und trübem Gewässer sogleich ab. Man fängt sie häufig in grossen Flüssen, und versendet sie eingesalzen, marinirt oder geräuchert, als einen guten Handelsfisch.~~Fig. 2. Die Teich-Forelle. (Salmo Fario.)~~Diese Forellen-Art ist schön gezeichnet, grüngelb von Farbe, mit rothen Flecken, welche in einem dunklen Kreise stehen. Sie lebt gern in Waldbächen in Gebirgen oder schattigen Teichen mit klarem Wasser, und wird nicht über 1 Fuss lang. Sie nährt sich von Insecten, nach welchen sie oft hoch über das Wasser in die Luft springt, sie zu fangen. Ihr Fleisch ist weiss, zart und ausserordentlich leckerhaft.~~Fig. 3. Die Stein-Forelle. (Salmo Fario.)~~Diese schöne Forelle ist nur eine Abänderung der vorigen Art. Sie ist weniger gelb, hat einen braunen Kopf und braune Flecken, und lebt eben so wie die vorige. Ihr Fleisch ist roth, und man schätzt sie im Geschmacke noch höher, als die vorige Art.~~Fig. 4. Die See-Forelle. (Salmo Goedenii.)~~Die See- oder Silber-Forelle lebt vorzüglich in der Ost-See. Sie wird ohngefähr anderthalb Fuss lang, hat eine langgestreckte Form, und ist silberfarb mit hellrothen Punkten, welches ihr ein sehr schönes Ansehn giebt. Sie hat ein weisses, mageres, aber wohlschmeckendes Fleisch.~~Fig. 5. Die Alp-Forelle. (Salmo alpinus.)~~Diese Forellen-Art bewohnt nur die höchsten Gebürge, und vorzüglich die Alpen, daher sie auch ihren Nahmen hat. Sie wird nicht gross, hat viele schwarze, rothe und silberfarbene Punkte durcheinander, ohne Einfassung, und wenn sie gesotten wird, ein rothes, höchst delicates Fleisch.~~
Ad00341 02 044a/frePoissons XIX. Vol. II. No. 41.
ESPECES DE TRUITES.
La Truite est proprement du genre des Saumons, mais comme elle a un nom tout particulier et qu'il y en ait plusieures espèces difsérentes, on en fait auiîi avec raison un genre réparé. Elle est un des poissons les plus délicats à manger et on l'éstime pour cela généralement. Elle aime à vivre dans les eaux limpides et dont le fond est pierreux ou gravelleux, telles que les ruiiseaux des montagnes et les rivières; mais on la trouve ausli dans des lacs et des étangs, dont l'eau est claire. Elle est un poisson ausïi vorace que le brochet, et même sa langue est comme celle de ce dernier munie de dents pointues. Je donnerai ici la description de ses espèces les plus connues.
Fig. 1. La Truite Saumonnée. (Salmo Trutta.)
Cette espèce de Truites ressemble le plus au saumon; on la trouve quelquefois de la longueur d'un Saumou de moyenne taille et d'un poids de 8 a 10 livres; elle vit coirune le saumon tant dans la mer que dans des rivières. On la reconnoit par les points d'un noir-brunâtre, dort tout Ton corps est couvert; sa chair est rougeâtre et d'un goût excellent. Elle est au reste d'une constitution extrêmement délicate, car retirée de l'eau, ou mile dans de l'eau tiède ou trouble elle meurt ausiitôt. On la prend fréquemment dans des grandes rivières, et elle fait un objet de Commerce assés considérable, car on l'envoie dans d'autres pays tant salée que marinée ou fumée.
Fig. 2. La Truite de Marais. (Salmo Fario.)
Cette espèce est joliment dessinée; le fond de sa couleur est d'un jaune-verdàtre, et tout le corps est marqueté de beaucoup de tâches rouges entourées d'un cercle foncé. Elle vit principalement dans les eaux des montagnes, ou dans des étangs ombragés, dont l'eau t-st limpide, et n'atteint rarement plus d'un pied de longueur. Elle se nourrit d'Insectes, et pour les happer elle fait souvent des grands sauts dans l'air au dessus de la sur fa ce de l'eau. Sa chair est blanche, très tendre et d'un goût exquis.
Fig. 3. La Truite ordinaire. (Salmo Fario.)
Cette espèce n'est qu'une variété de la précédente. Elle est moins jaune, parsémée de tâches brunâtres et sa tète est brune; mais pour le reste elle vit tout comme la Truite de marais. Sa chair est rougeàtre et préférée pour le goût à celle de l'espèce précédente.
Fig. 4. La Truite de Mer. (Salmo Goedenii.)
Elle se trouve principalement dans la Mer Baltique et atteint à peu près une longueur d'un pied et demi. La forme de son corps est très déliée, et sa couleur est argentée et marquetée'de points d'un rouge clair, ce qui la rend d'une beauté surprenante. Sa chair est blanche, peu grasse, mais d'un gôut délicat.
Fig. 5. Le Salmonet des Alpes. (Salmo alpinus.)
Cette espèce de Truites ne vit que dans les montagnes les plus élevées, et surtout dans les Alpes, ce qui lui a fait donner son nom. Elle ne devient pas longue, est toute parsemée de points noirs, rouges et argentés, qoi ne sont pas entourés de cercles, et sa chair cuite à l'eau est rouge et du gôut le plus exquis.
Ad00341 02 045aAd00341 02 045a.jpgFig. 1. Das Alpen-Murmelthier. (Arctomys Marmota.)~~Das gemeine oder Alpen-Murmelthier, dergleichen die armen Savoyarden-Buben oft in Kasten herumtragen und nach einer Leyer tanzen lassen, ist bekannt genug in Teutschland. Es ist ohngefähr 18 Zoll lang, sieht braungrau aus, und ist stark behaart. Die Murmelthiere leben in der Schweiz, in Savoyen und in der grossen Tartarey auf den höchsten Alpen, an Sonnenreichen Orten, wo sie sich tiefe Höhlen in die Erde graben, sie mit Heu und Moose ausfüttern, und darin zu 2 bis 12 und 14 zusammen vom September an bis zum März in einem so tiefen Schlafe liegen, dass sie ganz leblos scheinen. Sie nähren sich wild von Kräutern und Wurzeln, und sind leicht zahm zu machen. Ihr Fleisch wird gegessen, und ihr Fell als Pelzwerk gebraucht.~~Fig. 2. Der Monax. (Arctomys Monax.)~~Der Monax ist das Virginische Murmelthier. Er bewohnt die südlichen Provinzen von Nord-Amerika, ist so gross als das Alpen-Murmelthier, aber brauner von Farbe, und sein Kopf spitziger, als bey diesem. Er wohnt in Felsenklüften, und nährt sich gleichfalls von Wurzeln und Kräutern. Sein Fleisch schmeckt wie junges Schweinefleisch, und ist sehr geniessbar.~~Fig. 3. a. und b. Der Bobac. (Arctomys Bobac.)~~Der Bobac oder das Russische Murmelthier ist eben so gross, als die vorigen, bewohnt das ganze mittlere Asien, ist braungelb von Farbe, und nährt sich gleichfalls von Gewächsen. Sie sind sehr sanft und werden leicht zahm. Sie sitzen sehr gern aufgerichtet auf den Hinterfüssen, in welcher Stellung sie auch fressen, vor ihren Höhlen Wache halten, und sich mit ihren Vorderfüssen vertheidigen. Sie leben in starken Familien beysammen. Ihr Fell giebt ein schlechtes Pelzwerk.~~Fig. 4. Der Empetra. (Arctomys Empetra.)~~Der Empetra oder das Canadische Murmelthier bewohnt Canada und die nördlichsten Gegenden von Amerika, ist nur 12 Zoll lang, und gleicht an Gestalt dem Alpen-Murmelthiere völlig. Es sieht auf dem Rücken grau, an beyden Seiten gelb, auf dem Kopfe und am Bauche aber braun aus. Seines Pelzwerks wegen wird der Empetra gleichfalls geschätzt.~~Fig. 5. u. 6. Der Ziesel. (Arctomys Citellus.)~~Der Ziesel ist kleiner, als das Murmelthier, nur 9 bis 10 Zoll lang, weisslich grau mit Braun und Gelb gemischt und sehr schön gezeichnet. Er lebt häufig in Pohlen, Ungarn und Sibirien, und nährt sich, wie der Hamster, vorzüglich von Getraide, welches er auch, so wie der Hamster, in seinen Backentaschen in seine Höhlen trägt. Er wird leicht zahm, und sein Balg giebt ein gutes Pelzwerk.~~Fig. 7. Der Europäische Maulwurf. (Talpa Europaea.)~~Fig. 8. Der Goldmaulwurf. (Talpa Asiatica.)~~Der gemeine Maulwurf ist gewöhnlich 6 Zoll lang, lebt in ganz Europa und dem nördlichen Asien, auf Wiesen und in Gärten, in der Erde, wo er sich Gänge gräbt, Hügel aufwirft, und sich von Regenwürmern und dergl. Insecten nährt. Er sieht gewöhnlich schwarzgrau aus, und sein Fell giebt ein gutes Pelzwerk. Man hat auch weisse, weissgefleckte, gelbe und rothe Maulwürfe.~~Der Gold-Maulwurf lebt vorzüglich in Afrika, auf dem Cap; sein Haar ist braun und schillert gegen das Licht, mit einem überaus schönen Goldglanze, grün und röthlich.~~
Ad00341 02 045a/freQuatrapèdes XXXV. Vol. II. N. 42.
MARMOTTES ET TAUPES.
Fig. 1. La Marmotte ordinaire ou des Alpes. (Arctomys Marmota.)
Les Marmottes. ordinaires on des Alpes sont presque généralement, connues en Allemagne par les pauvres garçons Savoyards qui les promènent par tonte l'Europe et les sont cîanser au son de la vielle. Leur longueur eit à peu près de ig pouces, la couleur d'un brun-grisâtre et le poil sort touffu. On les trouve en Sniûe, en Savoie et dans la grande Tartane, où elles vivent sur les plus hautes montagnes dans des endroits bien exposés au soleil. Elles creusent dans la terre des petits caveaux très prosonds, et les tapissent. de mousse et de soin; au mois de sepiembre elles s'y retirent par troupes de 2 jusqu'à 12 et 14, et y palsent l'hiver relîerrées en boules et tellement engourdies qu'on devroit les croire mortes. Dans l'état sauvage elles se nourrissent d'herbes et de racines; prises jeunes elles s'apprivoisent aisément. Leur chair est mangeable et de leur peau on prépare de bonnes fourrures.
Fig. 2. Le Monax. (Actomys Monax.)
Le Monax est la Marmotte de la Virginie. On îe trouve dans les provinces méridionales de l'Amérique septentrionale. Sa grandeur est la même que celle des Marmottes ordinaires, mais sa couleur est d'un brun plus foncé et sa tête est beaucoup plus pointue. Il vit dans des creux des montagnes et se nourrit aussi d'herbes et de racines. Sa chair est bonne à manger et a îe gôut du porc jeune.
Fig. 3 a. et b. Le Bobaque. (Arctomys Bobac.)
Le Bobaque, ou la Marmotte de la Russie, est tout aussi grand que les deux précédentes, et se trouve dans l'intérieur de l'Allé. Sa couleur est d'un brun-jaunâtre, et il se nourrit de différens herbages. C'est un animal fort doux et qui s'apprivoise aisément. Il aime à se tenir assis sur les pieds de derrière, et c'est dans cette attitude qu'il mange, qu'il fait la garde devant son caveau, et qu'il se désend aves sis pieds de devant. Ils vivent ensemble en grandes familles; leurs peaux ne fournilsent qu'une fourrure peu estimée.
Fig. 4. La Marmotte du Canada. (Arctomys Empetra.)
Cette espèce de Marmottes habite le Canada et les régions les plus Septentrionales de l'Amérique; elle n'est pas plus longue que d'un pied, et ressemble parfaitement, quant à sa forme, à la Marmotte des Alpes. Sa couleur est grise sur le dos, jaune aux deux-côtés et brune sur la tète et au ventre. On l'éstime beaucoup par rapport à sa fourrure.
Fig. 5 et 6. Le Chomir. (Arctomys Citellus.)
Le Chomir est beaucoup plus petit que la Marmotte ordinaire, n'ayant qu'une longueur de 9 à 10 pouces. Sa couleur eit d'un gris blanchâtre, entremêlé de taches brunes et jaunes, et il est très joliment dessiné. Il vit fréquemment en Pologne, en Hongrie et en Sibérie, et se nourrit, de même que le Hamster, de grains, qu'il transporte ausli dans son terrier, tout comme ce dernier, dans ses bajoues. Il s'apprivoise aisément et l'on prépare de sa peau une excellente fourrure.
Fig. 7. La Taupe Européenne ou vulgaire. (Talpa Europaea.)
Fig. 8. La Taupe dorée. (Talpa Asiatica.)
La Taupe vulgaire est ordinairement longue de 6 pouces et on la trouve dans toute l'Europe et dans l'Asie septentrionale. Elle vit, sur des prairies et dans des jardins, sous la terre, où elle pratique des voûtes et creuse des boyaux ou des routes souterraines; elle se nourrit de vers de terre et d'autres Insectes pareils. Elle est communément de couleur noire-grisâtre, et sa peau donne une charmante pelleterie. Au reste il y a aussi des taupes, dont le poil est blanc, à tâches blanches, jaune ou roux. La Taupe dorée se trouve surtout an Cap de bonne espérance en Afrique; son poil est brun, et tenu vers le jour il a un très beau lustre d'or et change entre le vert et le rouge.
Ad00341 02 046aAd00341 02 046a.jpgDie Palmen wachsen blos in den heissen Gegenden von Asien, Afrika und Amerika, und einige Arten auch im südlichen Europa. Sie behaupten unter allen Gewächsen der Erde den ersten Rang; denn sie liefern dem Menschen Speise, Trank, Kleidung, Hausgeräthe und Bau-Materialien zu seiner Wohnung. Sie sind eben so merkwürdig wegen ihrer erstaunlichen Höhe, die bey manchen bis auf 200 bis 300 Fuss steigt, als auch wegen ihrer übrigen Structur. Ihr einfacher, gerade emporsteigender Stamm hat weder Aeste noch Zweige, wie unsere andern Bäume, sondern oben am Gipfel blos einen Büschel von immergrünen Blättern, die an einigen Orten über 20 Fuss lang sind, und bey den meisten Völkern als Sieges- oder Friedenszeichen gebraucht werden. So wie der Stamm höher wächst, fallen die Blätter ab, und hinterlassen an demselben kurze Stumpfen, welche rings um den Stamm herum Ringe oder Schuppen bilden, und ihm statt der Rinde dienen. Aus den Winkeln der Blätter kommen die Blüthen und Früchte in Traubenartigen Büscheln hervor. Bey einigen Arten finden sich männliche und weibliche Blüthen auf Einem Stamme zusammen, bey andern sind sie getrennt. Ihr Stamm wird von den stärksten Stürmen nicht umgeworfen, ja nicht einmal zum Wanken gebracht.~~Fig. 1. Die Sago-Palme. (Cycas circinalis.)~~Das Vaterland der Sago-Palme sind vorzüglich die Molukkischen Inseln, China und Japan. Ihre Höhe ist bis 50 Fuss, und sie hat kammförmige Blätter, die 10 bis 15 Fuss lang sind. Das Holz des Stammes ist nur 1 Zoll stark, und das Uebrige besteht aus einem weichen, mehligen Marke, woraus unser bekannter Sago bereitet wird; wenn man nämlich das mehlige Mark mit Wasser abläutert, knetet und über dem Feuer durch Siebe körnelt; wo es dann schnell wie braune Graupen hart wird und trocknet. In dieser Gestalt kommt der Sago als Handelswaare nach Europa, und giebt eine vortreffliche nahrhafte Speise. Der weisse Sago, oder die sogenannte Sago-Blume, ist der beste und kommt aus Japan.~~Die Sago-Palme trägt im Alter eine trockene Steinfrucht, mit einem zweytheiligen Kerne (Fig. a.) und die grossen Blätter dienen den Landes-Einwohnern zum Decken ihrer Häuser.~~Fig. 2. Die Dattel-Palme. (Phoenix dactylifera.)~~Man geniesst aber auch ausserdem von der Dattel-Palme ihr süsses, wohlschmeckendes Mark, und ihre jungen, unentfalteten Blätter, die man Palmkohl nennt, als ein vortreffliches Gemüse, und aus dem Stamme zapft man einen süssen Saft, welcher den sogenannten Palmen-Wein giebt; aus den Blättern aber macht man Matten, Körbe, Fächer, Sonnenhüthe und allerhand Hausgeräthe.~~
Ad00341 02 046a/frePlantes XXXIV. Vol. II. No. 43.
ESPÈCES DE PALMIERS.
Les Palmiers croîssent dans les Régions brûlantes de i'Asie, de l'Afrique et de l'Amérique; on en trouve aussi. quelques espèces dans l'Europe méridionale. Ils tiennent le premier rang parmi tous les végétaux de la terre, car ils fournissent a l'homme non seulement des alimens et de la boisson, mais aussi des vètemens, des meubles, des ustensiles de toute espèce, et des matériaux pour la cönstruction de ses maisons. Us ne sont pas moins remarquables par leur hauteur prodigieuse, qui surpalïe dans quelques espèces 200 jusqu'à 300 pieds, que par tout le resie de leur structure. Ses tiges sunples, droites et cylindriques, n'ont ni branches ni rameaux comme les autres arbres; ses feuilles toujours verdes sont ramassees en faisceau au sommet de la tige. Les peuples, qui habitent les pays où croit le Palmier, se servent presque tous de ses feuilles en lignes de victoire ou de paix; dans quelques espèces de Palmiers la longueur des feuilles est de plus de 20 pieds. A mesure que la tige devient plus haute, les feuilles tombent, et laissent à leurs places des petites queues qui forment autour de la tige des cercles d'écaillés et lui tiennent lieu d'écorce. Des aisselîes de ces feuilles sortent les fleurs et les fruits en bouquets de grappes. Dans quelques espèces les fleurs mâles et femelles sont réunies sur la même tige, dans d'autres elles sont séparées. Cet arbre magnifique resiste aux ouragans les plus formidables, et loin que sa tige en puisfe être déracinée, elle n'en peut mèine guères être ebranlée.
Fig. 1. Le Palmier à Sagou. (Cycas cerinalis.)
Les Isles Moluques, la Chine et le Japon sont vIa patrie du Palmier à Sagou. Sa hauteur monte jusqu'à 50 pieds, et ses feuilles dentelées ont une longueur de 10 jusqu'à 15 pieds. Le bois de la. tige n'est gros que d'un pouce, et tout le resie consiste dans une moelle songueuse et sarineuse, dont on prépare le Sagou chez nous connu. La moelle est pour cet esset délayée dans 'de l'eau, pétrie et granulée par le moyeu d'un crible, et deiléchée ensuite sur le seu, où cette pâte changée en grains prend extérieurement une couleur rousse. Dans cette forme le Sagou est transporté en Europe comme un article de commerce, et il donne un aliment ausïi agréable que nourrissant. Le Sagou blanc, qu'on nomme ausii fleur de Sagou, est le meilleur et nous vient du Japon.
Quand le Palmier à Sagou atteint un certain age, il porte un fruit à double noyau, mais peu succulent (fig. a.). Ses grandes feuilles servent aux habitans à couvrir leurs maisons.
Fig. 2. Le Palmier Dattier. (Phoenix dactylifera.)
Le Palmier Dattier croit le plus fréquemment en Egypte, en Syrie et dans l'Arabie, il est l'espèce des Palmiers la plus commune et en même teins la plus utile; on le nomme aussi tout Amplement Palmier. Il atteint une hauteur de 100 jusqu'à 150 pieds, et ses feuilles sont dentelées. Les fleurs mâles et femelles sont placées sur des tiges différentes; Les tiges femelles produisent les fruits, nommés Dattes, qui viennent sur des rameaux en grappes. Us sont de la grosièur d'une prune, de forme oblongue, et de couleur rouissatre (fig. b.). Leur chair est douce, et on les mange tant sraîches que sechées. Le suc de l'arbre, qu'on exprime, donne un Syrop et une espèce de vin. Les noyaux du fruit, étant moulus, servent de nourriture aux boeufs et aux chameaux.
Outre ce fruit on peut encore manger du Palmier Dattier la moelle, qui est d'un goût sort doux et agréable, et ses tendres branches seuiilées, qu'on nomme choux Palmisle et qui donne un légume fort délicat. On retire aussi de sa tige un suc fort suave, dont on prépare le vin de Palmisle. Ses feuilles sont employées à des nattes, des corbeilles, des chapeaux, et à toutes espèces d'ustensiles.
Ad00341 02 047aAd00341 02 047a.jpgFig. 1. Die Eüropäische Elster. (Corvus Pica.)~~Die gemeine Elster bewohnt ganz Europa, ist schwarz und weiss-bunt, hat kurze Flügel und einen keilförmigen wippenden Schwanz, wie die Bachstelze. Sie baut ein sehr künstliches Nest von Dornen und Reisholz, welches oben zugewölbt ist, und nur an einer Seite ein Loch hat, auf hohe Bäume, lebt gerne um die Dörfer und Städte, und nährt sich von jungen Federvieh, Vögeln und ihren Eyern, ja sogar von Aase. Sie ist ein sehr schlauer Vogel, der, jung eingefangen, leicht zahm wird, so dass sie auch in den Häusern sogar mit Hunden und Katzen gemeinschaftlich lebt, sich mit ihnen neckt, und ihnen oft das Fressen wegstiehlt. Sie lernt leicht einzelne Wörter aussprechen, ist aber in den Häusern nicht wohl zu halten, weil sie, eben so wie der Rabe und die Dohle, glänzende Dinge, als Geld, Ringe, Silberwerk und dergl. wegstiehlt und verbirgt. Es giebt auch ganz weisse Elstern.~~Fig. 2. Die Elster aus Senegal. (Pica Senegalensis.)~~Die Elster aus Senegal ist ganz schwarz und hat braune Schwingen und Schwanz; hat übrigens aber mit der Europäischen Elster alles gemein.~~Fig. 3. Der Häher. (Corvus glandarius.)~~Der Häher, oder Waldhäher, ist ein sehr schön gezeichneter, lustiger und munterer Vogel, der vorzüglich in dem gemässigten Theile von Europa lebt. Er sieht am Leibe und Bauche grau-roth, auf dem Rücken schwärzlich und auf dem Kopfe grau aus, hat einen schwarzen Schwanz, schwarze und weisse Flügel, mit sehr schönen hellblauen und schwarzen Deckfedern. Er nistet in Wäldern auf Eichen, weiss sein Nest künstlich zu verstecken, und nährt sich von Eicheln, Haselnüssen, Kastanien, Erbsen, Bohnen, Beeren und dergl., die er für den Winter in hohle Bäume einträgt und sammelt. Sie sind sehr muntre muthwillige Vögel, die allerhand komische Stellungen machen, im Walde, wenn sie einen Menschen sehen, mit einem starken Geschrey von Baum zu Baume fliegen, jung eingefangen aber leicht zahm werden, und sogar einige Worte ausprechen lernen. Es giebt noch folgende Arten davon in andern Welttheilen, die sehr schön gezeichnet sind.~~Fig. 4. Der blaue Canadische Häher. (Corvus cristatus.)~~Fig. 5. Der Sibirische Häher. (Corv. Sibiricus.)~~Fig. 6. u. 7. Der Häher aus Cayenne. (Corv. Cayanus.)~~Fig. 8. Der Chinesische Häher. (Corv. erythrorynchos.)~~Fig. 9. Der Peruanische Häher. (Corv. Peruvianus.)~~
Ad00341 02 047a/freOiseaux XVI. Vol. II. N. 44.
PIES ET GEAIS.
Fig. 1. La Pie vulgaire. (Corvus Pica.)
Cet oiseau est très commun dans toute l'Europe; Ta couleur est noire et blanche, ses ailes sont petites à proportion de la grandeur du corps, et sa queue faite en coin est perpétuellement remuée, comme celle de la hoche-queue, La pie fait son nid sur les arbres les plus élevés avec une grande adresse, le garnilïant d'épines en toutes les surfaces extérieures et n'y laissant qu'un trou fort étroit pour l'entrée. Elle aime à vivre dans le voisinage des villes et des villages, et se nourrit de petite volaille, d'oiseaux et de leurs oeufs, et même de cadavres. Quoiqu'elle soit naturellement très sauvage, cependant étant prise jeune elle devient privée au point que dans les maisons elle vit familièrement avec les chiens et les chats, les agace et leur vole souvent le manger. Elle apprend aisément à articuler des paroles, mais on doit s'en méfier dans les maisons à cause de son inclination au larcin, car elle voie, tout comme le corbeau et la corneille, des essets luisans, tel que de l'argent, des bagues, de l'argenterie etc. et les cache dans les lieux les plus secrets. Il y a aussi des pies toutes blanches.
Fig. 2. La Pie du Sénégal. (Pica Senegalensis.)
Cette espèce de Pies est tout-à-sait noire, k l'exception des ailes et de la queue, qui sont brunes; au restç tïle a teut de commun avec la Pie vulgaire.
Fig. 3. Le Geai. (Corvus glandarius.)
Le Geai est un très bel oiseau, sort vif et agile; il vit surtout dans les climats tempérés de l'Europe. Le champ de son plumage est diversifié; il a la poitrine et le ventre d'un gris roussatre, le dos noir, la tête grise et la queue noire; des tâches bleues et noires traversent ses ailes blanches. Il bâtit son nid sur des chênes dans les grandes forêts, et le sait cacher avec beaucoup d'adreile. Il se nourrit de glands, de noiseltes, de châtaignes, de pois verts, de sèves, de fruits de la ronce etc. II fait aussi provision de ces a!imens pour l'hiver et les conserve dans des arbres creux. Cet oiseau est très agile et pétulant; il sait prendre des attitudes souvent fort risibles, et quand il appercoit un homme dans la forêt, il voltige d'arbres en arbres avec des grands cris. Etant pris niais il se rend fort familier, et apprend même k articuler quelques mots. Au reite il est aussi voleur que la pie. Dans les autres parties du monde il y en a encore plusieurs autres espèces, qui sont fort joliment colorées.
Fig. 4. Le Geai bleu du Canada. (Corvus cristatus.)
Fig. 5. Le Geai de la Sibérié. (Corv. Sibericus.)
Fig. 6. et 7. Le Geai de Cayenne. (Corv. Cayanus.)
Fig. 8. Le Geai de la Chine. (Corv. erythrorynchos.)
Fig. 9. Le Geai du Perou. (Corv. peruvianus.)
Ad00341 02 048aAd00341 02 048a.jpgFig. 1. Spelz oder Dinkel. (Triticum Spelta.)~~Der Spelz ist eine Gattung Waizen, und gehört unstreitig zu den vorzüglichsten Getraide-Arten, deren Korn am grössesten und schwersten ist, und das feinste und weisseste Mehl giebt. Er wird in Teutschland vorzüglich in den Rheingegenden, in Franken und Schwaben gebaut, und giebt das feine Mehl, welches unter dem Nahmen Nürnberger oder Frankfurther Mehl so berühmt ist. Man hat Spelz mit Grannen und ohne Grannen, und beyde Sorten sind einander völlig gleich. Fig. a. zeigt seine Blüthe und sein Korn.~~Fig. 2. Heidekorn oder Buchwaizen. (Polygomum fagopyrum.)~~Griechenland und die Türkey sind das Vaterland des Heidekorns oder Buchwaizens, als woher er vor ohngefähr 400 Jahren zuerst nach Italien kam, und damals unter dem Nahmen Frumentum Saracenicum bekannt war. Er wächst in dem schlechtesten Sandboden, und ist daher ein wichtiges Geschenk für arme Sandgegenden. Er wird nicht hoch, hat dreyeckige Blätter, welche beym Eintritt der Reife, nebst dem Stengel, roth werden, (Fig. b.) blühet roth, und trägt ein schwarzes dreyeckiges Korn, (Fig. c.) woraus gewöhnlich kein Brodmehl, sondern blosse Grütze gemacht wird; wovon man Suppen, Brey und dergl. Mehlspeisen kocht, und welche eine sehr gute und nahrhafte Kost giebt.~~Fig. 3. Der Reis. (Oryza sativa.)~~Ethiopien soll ursprünglich das Vaterland des Reises gewesen seyn, der anjezt die erste und wichtigste Getraide-Art und der erste Gegenstand des Ackerbaues in allen heissen Ländern von Asien, Afrika, Amerika und Europa geworden ist. Er treibt einen etwa 4 Fuss hohen rohrartigen Halm mit Schilfblättern, und eine büschelförmige Aehre oder Rispe, blühet grünlich (Fig. d.) und trägt ein weisses längliches Korn (Fig. e.), das allgemein bekannt ist.~~Es giebt hauptsächlich zweyerley Sorten vom Reis, nemlich Bergreis und Sumpfreis. Der Bergreis wird auf trocknem Boden und Anhöhen gesäet, und wird weit höher geschätzt, als der Sumpfreis, weil er weissere, schmackhaftere und härtere Körner, die sich länger halten lassen, trägt; allein er ist weniger ergiebig, und sein Bau mehr Zufällen ausgesetzt; desshalb wird er auch nicht so allgemein gebaut, als der Sumpfreis. Dieser wird auf tiefe morastige Gründe gesäet, welche man, so lange bis die Aehren schossen, 1 Fuss tief unter Wasser setzt; welches daher die Gegenden, wo viel Reis gebauet wird, sehr ungesund macht. Nach der Aerndte werden die Körner ausgetreten, auf einer Reismühle enthülset, sorgfältig gedörrt, (weil er sich sonst nicht hält) und als Handels-Waare versendet.~~Als Speise wird der Reis auf vielerley Arten zubereitet. Auch wird aus demselben, mit dem Weine der Cocospalme vermischt, der Arrak gebrannt.~~
Ad00341 02 048a/frePlantes. XXXV. Vol. II. No. 45.
ESPECES DE BLED.
Fig. 1. L'Epeautre, ou Froment locar. (Triticum Spelta.)
L' Epeutre est une espèce de froment; on lui a asligné avec raison un des premiers rangs parmi les espèces de bled les plus èstimées, car la graine est très große et pésante, et on en retiré la sarine la plus sine et la plus blanche, qui est réputée chez nous sous le nom de sarine de Nuremberg ou de Francfort. On le cultive beaucoup en Allemagne, surtout dans les pays du Rhin, en Franconie et en Souabe.
Il y a de l'épeautre barbu et sans barbe; les deux sortes se ressemblent parsaitement pour toutes les autres qualités. Fig. a. en montre la fleur et la graine.
Fig. 2. Le Sarrasin, ou bled noir. (Polygonum fagopyrum.)
La Grèce et la Turquie sont la patrie da bled Sarrasin; il y a environ quatre fiècles qu'on l'a planté pour la première fois en Italie, où il reçut alors le nom de fr um en tum $aratenicum. Il n'est point délicat et croît dans les terres les plus sablonneuses et les moins sertiles; il est par conséquent un don inappréciable de la Nature pour toutes les pauvres contrées couvertes de sable. Il ue poulie pas des tiges très hautes, ses feuilles sont triangulaires et sernblables pour la forme à celles du lierre; la tiges et les feuilles deviennent rouges, quand la plante commence à mûrir. (fig. h.) A ses jleurs rouges succédent des graines noirâtres et triangulaires, (fig. c.). Ordinairement on ne fait pas de la sarine du Sarrafin, mais feulement du gruau, dont on sait de la foupe, de la bouillie, et d'autres mets de farine, qui donnent une nourriture agréable et salutaire.
Fig. 3. Le Ris. (Oryza sativa.)
On prétend que l'Ethiopie a été originairement la patrie du Ris, mais de nos jours il est devenu l'espèce de bled la' plus importante dans tous les pays chauds des quatre parties du monde, et l' objet principal de leur agriculture. Il pousse des tiges ou tuyaux à la hauteur de 3 ou 4 pieds, avec des feuilles en forme de celles des rofeaux, et des épis en bouquets. Ses fleurs sont verdàtres (fig. d.) et quand elles sont papées, il leur succéde des seineiices oblongues et blanches (fig. e.)qui sont généralement connues.
Il y a deux espèces de Ris, celui qui croît fer des hauteurs, et l'autre qui ne vient que dans des terres marêcageuses. Le premier est semé dans îles terrains fecs et sur des hauteurs, et on l'estime beaucoup plus que le fécond, parce que les grains qu'il porte, sont plus blancs, d'un meilleur goût, plus fermes et qu'ils fe con servent plus longtemps. Mais par contre cette première espèce rapporte moins que-la séconde, et fa culture est plus expofé à des accidens dangereux; on la cultive par cette raifon moins fréquemment que là séconde espèce. Celle-ci est non feulement semée dans des fonds naturellement humides et marécageux, mais on les met encore sous l'eau par le moyen de canaux jusqu'à un pied de profondeur. Ils relient dans cet état d'inondation, jusqu' à ce qwe les épis ont pouffé; alors on fait delfecher le terrain. On peut bien Pimaginer, combien les exhalaifons de ces eaux ftagnantes doivent rendre mal-faines les contrées, où Ton cultive beaucoup de Ris. Après la récolte les grains sont battus, écalés sur des moulins à Ris, fechés avec soin, (car sans cela ils ne fe conferveroient pas)et transportés dans l'étranger comme un article de commerce.
Le Ris est un des alimens les plus sakutaires, el l'on en prépare un grand nombre de mets différons. On en tire aussi, par le mélange avec le vin Palmiste et par la diftillation, une liqueur spiritueuse, que nous connoissons sous le nom d'Arac.
Ad00341 02 049aAd00341 02 049a.jpgDie Schollen zeichnen sich vor allen andern Fischen durch ihren sonderbaren Körperbau aus; denn sie sind ganz breit und platt gedrückt, wie ein Teller, (daher man ihnen auch den Nahmen Plattfische oder Platteisen gegeben hat) und ihre Augen, wovon oft eins grösser als das andere ist, stehen immer nur auf der einen Seite des Körpers. Sie schweifen nicht, wie die andern Fische, im Wasser herum, sondern liegen auf dem Meeres-Grunde still, und verstecken sich im Sande. Sie bewohnen vorzüglich die Nord- und Ostsee, wo man sie häufig fischt, und sowohl frisch als gedörrt einen ansehnlichen Handel damit treibt. Man schätzt sie wegen ihres wohlschmeckenden Fleisches, sonderlich wenn sie gross sind. Die vorzüglichsten Arten davon sind (ausser der eigentlichen Scholle, welche ich schon im I. Bande unsers Bilderbuchs bey den Stockfischen mit aufgestellt habe) folgende.~~Fig. 1. Der Glattbut. (Pleuronectes Rhombus.)~~Der Glattbut ist ohngefähr anderthalb Fuss lang, auf dem Rücken braun und am Bauche weiss, wie man hier aus der doppelten Figur sieht. Dieser Fisch ist einer der gemeinsten im ganzen Geschlecht, lebt allenthalben in der Nordsee, und in der Elbe, daher man ihn auch in Hamburg Elbbut nennt. Er hat seine Augen auf der rechten Seite.~~Fig. 2. Der Flunder. (Pleuronectes Flessus.)~~Der Flunder lebt in der Nord- und Ostsee, wird nicht über einen Fuss lang, und ist dunkelbraun von Farbe mit grüngelben Flecken und weissen Stacheln. Er wird auch häufig in Flüssen gefangen, und sein Fleisch ist, frisch oder auch geräuchert, sehr wohlschmeckend. Er heisst auch sonst der Theerbut.~~Fig. 3. Die Glahrke. (Pleuronectes Limanda.)~~Die Glahrke oder auch Kliesche ist von der Grösse des Flunders, auf dem Rücken gelb, am Bauche weiss, und lebt gleichfalls in der Nord- und Ostsee. Sie übertrifft die vorigen an Wohlgeschmacke, ist nicht so gemein wie jene, und wird desswegen auch hochgeschätzt.~~Fig. 4. Der Heiligebut. (Pleuronectes Hippoglossus.)~~Der Heiligebut ist gewöhnlich 3 Fuss lang, und also länger als die gewöhnlichen Schollen-Arten, sieht am Kopfe braun, auf dem Rücken graulich und am Bauche weiss aus. Er wird aber auch oft so gross, dass er 2 bis 300 Pfund wägt. Er lebt im ganzen nördlichen Ocean, daher er auch bey Norwegen, so wie bey Neufoundland und Terreneufe, häufig gefangen, und eine grosse Fischerey darauf von den Engländern und Franzosen getrieben, und Stockfisch daraus gemacht wird. Frisch ist sein Fleisch nicht wohlschmeckend.~~Fig. 5. Der Steinbut. (Pleuronectes maximus.)~~Der Steinbut wohnt, ausser der Nord- und Ostsee, auch vorzüglich in dem Mittelländischen Meere, wird sehr gross, ist schön braun und gelblich gefleckt, und hat die Augen auf der linken Seite. Er hat ein festes und sehr wohlschmeckendes Fleisch, und seine Fischerey wird vorzüglich in England stark getrieben, wo man welche von 20 bis 30 Pfunden fängt.~~
Ad00341 02 049a/frePoissons XX. Vol. II. No. 46.
DIFFERENTES ESPÈCES DE SOLES.
Les soles se distinguent de tous les autres poisIons par la singularité de leur struciure; ieur forme est large et platte comme une aiïiette, ce qui leur a fait donner le sur nom de poilsons plats, et leurs yeux, dont l'un est très souvent plus grand que l'autre, sout toujours tous les deux du même eoté de la tète. Elles ne rodent pas dans l'eau, comme sont tous les autres poissons, mais se tiennent tranquilles au fond de la mer et se cachent dans la bourbe. On les trouve surtout dans la Mer Baltique et dans celle du Nord, où elles sont prises en abondance; tant fraîches que sechées elles sont un article considérable de commerce. Leur chair est très estimée par soirbon goût, surtout lorsqu'elles sont un peu grandes Outre la soie proprement dite, dont j'ai déjà donné la description dans le premier Volume de ce Portefeuille à soccaiion des Stocksisches ou Merluches, il y en a encore, les espèces suivantes.
Fig. 1. La Barbue. (Pleuronectes Rhombus.)
Sa longueur est à peu près d'un pied et demi, Ta couhur est brune sur le dos et blanche au ventre, comme on le voir par la figure double ci-join te. Cette espèce est la plus commune dans tout le genre des soies; on la trouve partout dans la Mer du Nord ainsi que dans l'Elbe; à Hambourg on l'appelle pour cela sole de I Elbe. Elle a ses deux yeux sur le côté droit.
Fig. 2. Le Flez. (Pleuronectes Flessus.)
Le Flez vit dans la Mer Baltique et dans celle du Nord, et n'est jamais plus long d'un pied. Sa couhur est d'un brun foncé avec des tâches jaunes-noirâtres, et tout le corps est garni de pointes blanches. On la prend aussi fort souvent dans des rivières, et sa chair, soit fraiche soit, fumée est d'un excellent goût.
Fig. 3. La Limande. (Pleuronectes Limande.)
La Limande est de la longueur de l'espèce précédente. Elle est jaune sur le dos, blanche au ventre et vit également dans la Mer du Nord et dans la Baltique. Elle est préférée à toutes les autres espèces par la délicatesse de sou gôut, et comme elle est aussi la moins commune on en fait le plus grand cas.
Fig. 4. Le Flétan. (Pleuronectes Hippoglossus.)
Cette espèce étant ordinairement longue de 3 pieds pour le moins, surpasse en longueur toutes les autres espèces de soies. Souvent même elle atteint une longueur si enorme qu'elle pese 2 jusqu'à 300 livres. Sa tête est brune, le clos grisâtre et le ventre blanc. Elle vit dans tout l'Océan du Nord, et on la prend fréquemment aux cotes de la Norvège, à celles de la Nouvelle Foundlande et de la Terre ferme. Les Anglois et les François en en sont une grande pèche et en préparent du stockfische. Sa chair fraiche n'est pas d'un bon gôut.
Fig. 5. Le Turbot. (Pleuronectes maximus.)
Outre la Mer du Nord et la Baltique le Turbot habite aussi la Méditerranée. Il devient très grand, est fort joliment marqueté de tâches brunes et jaunâtres et ses yeux sont placés sur le côté gauche. Sa chair est ferme et d'un hon goût. C'est surtout en Angleterre qu'où eu fait la pêche, et on y en trouve qui pesent 20 jusqu'à 30 livres.
Ad00341 02 050aAd00341 02 050a.jpgFig. 1. Die Cocos-Palme. (Cocos nucifera.)~~Die Cocus-Palme wächst überhaupt zwischen den Wendekreisen in Afrika, Asien, Amerika und auf den Südsee-Inseln, und ist unstreitig die nützlichste unter allen Palmen-Arten. Sie wird bis 80 Fuss hoch, ihr Stamm ist knotig, fast wie Rohr, und ihre gefiederten Blätter sind über zehn Fuss lang und dritthalb Fuss breit. Sie trägt das ganze Jahr hindurch immer Blüthen und Früchte, welche letztere nach und nach reifen. Ihre Früchte sind die sogenannten Cocos-Nüsse (Fig. a.) die von Form und Grösse wie eine mässige Melone, und von aussen mit einer braungelben faserigen Hülse überzogen sind. Die eigentliche Schaale, welche den Kern enthält, ist sehr dick, hart, holzartig, und lässt sich drechseln und schön poliren. Zehn bis zwanzig dergleichen Nüsse wachsen an Einem Stengel. Wenn sie halb reif sind, enthalten sie ein überaus wohlschmeckendes und gesundes Wasser, welches nicht allein den Durst löscht, sondern auch für mehrere Krankheiten dient. Mit dem Alter der Nuss verdickt sich dieser Milchsaft nach und nach, und wird endlich ein fester Kern, der aber immer noch eine Höhlung behält, welche mit Saft angefüllt ist. Eine solche Nuss stillt also Hunger und Durst zugleich. Man bereitet sie aber auch noch auf verschiedene Arten zu, und presst auch ein vortreffliches Oel daraus, womit in Indien ein grosser Handel getrieben wird. Aus der faserigen Hülse macht man Stricke und allerhand Gewebe; die harte Schaale aber wird zu Trinkgeschirren, Schaalen, Löffeln und allerhand Hausgeräthe benutzt. Aus den Blumensprossen, wenn man sie abschneidet, fliesst ein weinigter Saft, der entweder frisch getrunken, oder mit zum Arrak genommen wird. Eben so geben die jungen Blätter Palmkohl, und das weiche Mark der Palme, das sogenannte Palmenhirn. Blätter und Holz werden eben so genuzt, wie bey der Dattel-Palme. Auf die schilfähnlichen Blätter schreibt man auch mit Griffeln.~~Fig. 2. Die Kohl-Palme. (Areca oleracea.)~~Die Kohl-Palme wächst vorzüglich in Süd-Amerika, und ist die höchste unter allen Palmen-Arten, denn ihre Höhe steigt oft bis an 300 Fuss. Ihr Stamm, Holz und ihre Blätter werden von den Landes-Einwohnern, wie bey den andern Palmen-Arten, zu einer Menge Bedürfnisse benutzt; besonders aber braucht man von ihr den Palmkohl, oder ihre jungen unentwickelten Blätter, und das Palmhirn, oder ihr zartes junges Mark, welches nicht allein im Lande verspeiset, sondern sogar auch, eingemacht, als eine grosse Delicatesse nach Europa geschickt wird.~~
Ad00341 02 050a/frePlantes XXXVI. Vol. II. No. 47.
ESPÈCES DE PALMIERS.
Fig. 1. Le Cocotie. (Cocos nucifera.)
Le Cocotier croît dans tons les pays de l'Afrique, de l'Asie et de l'Amérique, ainsi que dans toutes les isles sie la Mer du Sud. situés entré les Tropiques, et il est sans contredit l'espèce la plus utile des Palmiers. Il atteint une hauteur de 80 pieds, sa tige est noueuse, à-peu-près comme celle de la canne, et ses feuilles* empennées sont longues de plus de dix pieds et larges de 2 1/2. Comme il fleurit tous les mois, il paroit pendant toute l'année couvert de fleurs et de fruits, qui mûrissent alternativement. Son fruit est le Coco, ou la noix de l'Inde, (fig. a.) dont la forme et la grosseur räll'emblent à celles d'un Melon médiocre, et qui est couverte d'une peau mince, de couleur brune-jaunâtre, et garnie en dedans d'une espèce de bourre filandreuse. La coque qui enveloppe la noix, est épaisse, dure, et ligneuse; on peut la travailler au tour et lui donner un poli fort lui san t. Ces noix croissent par groupes de dix à vingt pièces; lorsqu'elles ne sont pas encore entièrement mures, on en tire une bonne quantité d'eau fort salutaire et agréable au goût, dont on fait usage dans le pays, tant pour se désaltérer que pour un remède dans différentes'maladies. Mais si le fruit a pris son accroissement, ce suc laiteux prend de la connstance, et se change en une espèce d'amande, au milieu de laquelle il reste cependant toujours une cavité remplie de suc. Une pareille noix appaise par consequent la faim en même tems qu'elle étanehe la sois; on l'apprête aussî de différentes manières, et on en tire une huile excellente, avec laquelle il se fait un grand commerce dans l'Inde. De la peau filandreuse les Indiens fort des cordages de toutes espèces et disfërens tifsages. Avec la coque dure on fait des gobelets, des vases, des cuillers et autres jolis ouvrages de ménage. Quand on coupe les bouts des rameaux, où devraient naître les jeunes Cocos, il en découle un suc vineux, qui tout frais sert de boulon, ou qui est employé pour faire de l'Arac. Les jeunes feuilles du soin m et de l'arbre dorment le choux Pahuifte très bon à manger, et la moelle tendre de l'arbre est connue sous le nom de cerveau Palmiste. On faitle même usage des feuilles et du bois comme de ceux du Palmier Dattier; les premières servent aussi de papier et on écrit làclessus avec des poinçons.
Fig. 2. Palmier Arequier, ou Palmiste royal. (Areca oleracea.)
Cet arbre croît presqu' exclusivement dans l'Amérique méridionale; il est la plus haute de toiUes les espèces de Palmiers, car il a souvent jusqu'à 300 pieds de hauteur. Les habitans du pays se servent de son bois et de ses feuilles, comme de ceux de tous les autres Palmiers, pour subvenir à un grand nombre de besoins; mais ce qu'on en retire de plus remarquable, c'est le chou Palmiste, ou ses petites feuilles n'étant encore développées, et le cerveau Palmiste, ou sa moelle jeune et fondante, qu'on ne mange pas seulement dans le pays même, mais qui étant confite est anssi transportée dans l'Europe comme une très grande délicatesse.
Ad00341 02 051aAd00341 02 051a.jpgFig. 1. Der Fisch-Otter. (Mustela Lutra.)~~Der Fisch-Otter ist 2 1/2 Fuss lang, lebt in Europa und im ganzen nördlichen Asien, an Bächen, Flüssen und Landseen, gräbt sich in hohle Ufer ein, hat den Eingang zu seiner Höhle unter dem Wasser, und nährt sich von Fischen, Fröschen, Wassermäusen und kleinen Vögeln. Er gehört unter die schlauesten Thiere, ist schwer zu fangen, und den Fisch-Teichen sehr schädlich. Er ist sehr wild und beissig, und raubt vorzüglich in der Nacht. Sein Balg ist braun, Brust und Bauch aber grau, und liefert ein gutes Pelzwerk. Sein Fleisch schmeckt fischartig, und wird selten, nur aus Noth gegessen.~~Fig. 2. Der Nörz. (Mustela Lutreola.)~~Der Nörz, oder Sumpf-Otter, ist kleiner als der Fisch-Otter, nur ohngefähr 1 Fuss lang, und von Farbe braungelb. Er bewohnt Pohlen, Russland, Sibirien und höchst selten Teutschland, hat übrigens Lebensart und Nahrung mit dem Fisch-Otter vollkommen gemein, sein Pelzwerk ist aber schlechter, als jenes.~~Fig. 3. Der Vison. (Mustela Vison.)~~Der Vison, welcher gleichfalls zu den Fisch-Ottern gehört, lebt in Canada an den Ufern und Dämmen, welche er durchgräbt. Er ist 16 Zoll lang, dunkel kastanienbraun, und nährt sich von Fischen, Ratten und Geflügel. Er macht gleichsam den Uebergang von den Ottern zu den Mardern. Er lässt sich zahm machen, und giebt ein schönes Pelzwerk.~~Fig. 4. Der Haus-Marder. (Mustela Foina.)~~Der Haus-Marder (Stein-Marder, Buch-Marder) lebt im mittleren Europa und Asien, in Klippen, Steinhausen, Scheuern, Ställen und Wohnhäusern, ist 16 Zoll lang, und nährt sich von Mäusen, Maulwürfen, Vögeln, zahmem Geflügel und deren Eyern, Fröschen und auch von Obst. Er sieht aschgrau und kastanienbraun aus, und seine Haare haben schwarze Spitzen. Sein Balg, der kein sonderliches Pelzwerk giebt, ist sehr elektrisch; sein Koth riecht stark nach Biesam.~~Fig. 5. Der Pekan. (Mustela Canadensis.)~~Der Pekan ist in Canada einheimisch, 2 Fuss lang, ohne den Schwanz; sein Balg, der ein schönes Pelzwerk giebt, kastanienbraun mit aschgrau und gelb schillernd. Er lebt übrigens, wie die andern Marder, von kleineren Thieren und Vögeln.~~Fig. 6. Der Vansire. (Mustela Galera.)~~Der Vansire ist der Afrikansche Marder, wo er in Guinea und auf Madagascar häufig angetroffen wird. Er ist, ohne Schwanz, 18 Zoll lang, und schön dunkelbraun von Farbe; daher sein Balg den Zobelfellen sehr ähnlich sieht. Er gräbt sich in die Erde, und lebt vom Raube.~~
Ad00341 02 051a/freQuadrupèdes XXXVI. Vol. II. No. 48.
ESPÈCES DE LOUTRES ET DE MARTRES.
Fig. 1. La Loutre. (Mustela Lutra.)
La Loutre est de la longueur de deux pieds et demi; elle vit dans l'Europe et dans toute l'Asie septentrionale, aux bords des ruisfeaux, des fleuves et des lacs, et ses terriers sont creusés dans le rivage de façon que leur ouverture se trouve au dessous de la surface de l'eau. Elle se nourrit de poissons, de grenouilles, de rats d'eau et de petits oiseaux. Elle est très farouche et mordante et on la compte avec raison parmi les animaux les plus rusés, ce qui fait aussi qu'elle est fort difficile à prendre. Cet ennemi pernicieux des étangs est d'autant plus dangereux qu'il choisit la nuit pour aller à la rapine. Sa peau est de couleur brune et grisâtre au ventre et à la poitrine; elle fournit une bonne fourrure. Sa chair a un goût de poissons, mais on la mange rarement, et seulement en cas de besoin.
Fig. 2. Le Noerza. (Mustela Lutreola.)
Le Noerza est plus petit que l'espèce précédente, n'ayant qu'un pied de longueur, et sa couleur est d'un brun jannâtre. Il habite la Pologne, la Rusfie, la Sibérie, très rarement aussi l'Allemagne. Sa manière de vivre et sa nourriture sont exactement les mêmes que celles de la Loutre, mais la fourrure qu'elle donne est beaucoup moins bonne.
Fig. 3. Le Vison. (Mustela Vison.)
Le Vison, qui est aussi une espèce de loutre, vit dans le Canada sur les rivages et auprès des digues, à travers desquelles il a l'usage de se percer des passages. Sa longueur est de 16 pouces, et sa couleur d'un châtain foncé. Il se nourrit de poissons, de rats et de volaille, et se laisse apprivoiser. Il fait pour ainsi dire le passage des Loutres aux Martres, et l'on en retire une fourrure élégante.
Fig. 4. La Fouine ou Martre domestique. (Mustela Foina.)
La Fouine ou Martre domestique se trouve dans les contrées intérieures de l'Europe et de l'Asie, et vit dans des rochers, des monceaux de pierres, des granges, des étables et des maisons. Sa longueur est de 16 pouces; elle se nourrit de souris, de taupes, d'oiseaux, de volaille domestique et de ses oeufs, de grenouilles et même de fruits. La couleur de son poil est grise et châtain et noire vers le bout. Sa peau ne donne pas une bonne fourrure, mais elle est remarquable par son électricité. Sa fiente a une sorte odeur de musc.
Fig. 5. Le Pekan. (Mustela Canadensis.)
Le Pekan est originaire dans Je Canada. Sa longueur est de deux pieds sans compter la queue. Sa peau donne une fourrure précieufe; la couleur en est d'un châtain-clair et changeante entre le jaune et le gris cendré. Sa nourriture confiste, comme celle de toutes les autres Martres, dans de petits animaux et des oiseaux,
Fig. 6. Le Vansire. (Mustela Galera.)
Le Vansire, qu'on nomme aussi Martre d'Afrique, se trouve fréquemment dans la Guinée et sur l'isle de Madagascar. Il est long de 18 pouces, sans la queue, et d'un beau brun foncé; cette couleur de sa peau lui donne une grande reffemblance avec celle de la Zibeline. Il s'enfouit dans la terre et vit de rapine.
Ad00341 02 052aAd00341 02 052a.jpgFig. 1. Der Auerhahn. (Tetrao Urogallus.)~~Fig. 2. Die Auerhenne.~~Der Auerhahn ist von der Grösse eines welschen Hahns, lebt in Teutschland und überhaupt im nördlichen Europa, in grossen dunkeln Fichten-Wäldern, wo er sich von den Knospen und Saamen der Fichten und Tannen, Birken und Haseln und Insecten nährt. Der Hahn sieht schwärzlich stahlblau, und auf Rücken und Flügeln braun, die Henne aber, welche kleiner ist, licht- und dunkelbraun geperlt und mit Weiss gesprengt, aus. Jung, hält man sein Fleisch für ein gutes Wildpret.~~Fig. 3. Der Birkhahn. (Tetrao Tetrix.)~~Fig. 4. Die Birkhenne.~~Das Birkhuhn gleicht in der Lebensart dem Auerhahne, ist aber kleiner, nur von der Grösse eines Haushahns. Es lebt im nördlichen Europa, besonders in England, Schottland und Schweden, auf Bergen in Birken-Wäldern, wo es sich von den Sprossen und Saamen der Birken, Haseln, Balsam-Pappeln und Heidelbeeren nährt. Der Hahn sieht schwärzlich stahlblau und aschgrau, die Henne aber braun und gelb gesprengt aus. Beyde haben einen gespaltenen und auswärts gebogenen Schwanz. Jung ist das Birkhuhn eine sehr gute Speise.~~Fig. 5. Das gemeine Haselhuhn. Der Hahn. (Tetrao Bonosia.)~~Fig. 6. Die Henne.~~Das Haselhuhn ist nicht so gross als ein gewöhnliches Haushuhn. Es lebt in dem mittleren Europa in lichten Laubhölzern auf Gebirgen, und nährt sich vom Saamen und Blüthen der Birken und Haseln. Es ist grau, braun, schwarz und weiss gesprengt, und an den Füssen rauch. Der Hahn hat unter der Kehle ein schwarzes Fleck, welches die Henne nicht hat. Das Fleisch des Haselhuhns ist delicat. Es giebt verschiedene Arten des Haselhuhns.~~Fig. 7. Das Pyrenäische Haselhuhn.~~Fig. 8. Das Italienische Haselhuhn. (Tetrao alihata.)~~Das Pyrenäische Haselhuhn hält sich besonders in den Pyrenäen auf, ist sehr schön gelb, grau, braun und schwarz gezeichnet, und hat zwey lange Schwanzfedern. Das Italienische Haselhuhn lebt im untern Theile von Italien, Neapel und Sicilien, und ist nicht minder schön von Federn.~~Fig. 9. Das Schneehuhn. (Tetrao Lagopus.)~~Das Schneehuhn lebt auf den höchsten Schweizer und Savoischen Alpen, in Norwegen und den nördlichsten Weltgegenden. Es ist im Sommer weissgrau und schwarz gesprengt, und im Winter ganz weiss, an den Beinen aber gefiedert. Es gräbt tiefe Löcher und ganze Gänge in den Schnee, worin es sich im Winter aufhält, nährt sich von Tannen- und Birkenknospen, Heidelbeeren und Heidekraut. Sein Fleisch ist frisch ein schlechtes Wildpret.~~
Ad00341 02 052a/freOiseaux. XVII. Vol. II. No. 49.
DIFFERENTES ESPÈCES DE COQS SAUVAGES.
Fig. 1. Le Coq des Bois, ou l'Auerhahn. (Tetrao Urogallus.)
Fig. 2. La Poule.
L'Auerhahn est de la grandeur du Coq d'Inde; il vit dans l'Allemagne, et même dans toute l'Europe septentriouale au milieu de grandes forêts de pins bien sorabres, et le nourrit d'insectes, de bourgeons et de semences des pins, des sapins, des bouleaux et des coudriers. La couleur du coq est noire tirant sur le bleu d'acier, et brune sur îe dos et les ailes; la poule, qui est moins grande que le coq, est marquetée de taches brunes, tant claires que foncées, et parsemée de perles blanches. Tant que l'Auerhahn;est jeune, sa chair palse pour être un bon gibier.
Fig. 3. Le Coq de Bruyère. (Tetrao Tetrix.)
Fig. 4. La Poule.
Le Coq de Bruyère a le même genre de vie que l'Auerhahn, mais il est plus petit et seulement de la grandeur d'un coq domestique. Il vit dans l'Europe septentrionale, surtont très fréquemment dans l'Angleterre, l'Ecosse et la Suède. Il se plaît beaucoup sur les montagnes couvertes de forêts de bouleaux, où il se nourrit de bourgeons et de semences des bouleaux des coudriers, des peupliers et des myrtilles. La couleur du. coq est d'un gris cendré, ou aussi noirâtre tirant sur le bleu d'acier; celle de la poule est brune à. tâches jaunes. Ils ont tous les deux une queue fourchue et recourbée; quand ils sont encore jeunes, on aime à les manger.
Fig. 5. La Gelinotte de bois ordinaire. (Der Hahn. (Tetrao Bonosia.)
Fig. 6. La Poule.
La Gelinotte de lois n'elt pas aussi grande qu'une poule domestique, et il y en. a différentes espèces. Elle se trouve dans tons les pars intérieures de l'Europe et vit sur des montagnes couvertes de bois un peu clairs où elle se nourrit de la sernen ce et des fleurs des bouleaux et des coudriers. Elle est tachetée-en brun, gris, noir et blanc, et ses jambes sont velues. Le Coq se distingue de la Poule par une tâche noire qu'il a au dessous du gosier. Sa chair est d'un goût exquis.
Fig. 7. La Gélinotte de bois des Pyrénées. (Tetrao alihata.)
Fig. 8. La Poule.
Elle se trouve principalement dans les Pyrénées, et sa couleur est un beau smèlange de jaune, de gris, de brun et de noir; elle a deux plumes sort longues à la queue.
La Gelinotte d'Italie se trouve dans la partie inférieure de l'Italie, et surtont dans les deux Siciles; elle n'eu pas moins belle en couleurs que la précédente.
Fig. 9. La Gelinotte blanche, ou la Poule de neige. (Tetrao Lagopus.)
Elle vit sur les Alpes les plus élevées de la Suide et de la Savoie, en Norvège et en général dans les régions les plus septentrionales du globe. Pendant l'été elle est tachetée en blanc, brun et. noir, mais dans l'hiver elle est tout à fait blanche; ses jambes sont velues. Elle creuse des trous profonds dans la neige, et même des longues galeries, où elle demeure pendant l'hiver Elle se nourrit de bourgeons de sapins et de bouleaux, de myrtilles et de bruyère. Sa chair fraiche est un assés mauvais gibier.
Ad00341 02 053aAd00341 02 053a.jpgFig. 1. Der Mays. (Zea Mays.)~~Der Mays, der auch Türkischer Waizen oder Indianisches Korn genannt wird, ist aus Westindien nach Europa gekommen, und wird sowohl dort, als im ganzen wärmeren Europa sehr häufig gebaut. Er hat einen überaus mannigfaltigen Nutzen, denn er dient sowohl Menschen als Thieren zur Speise und Mastung. Es giebt zwey Sorten davon: 1) den kleinen oder gemeinen Mays (Zea vulgaris), der bey uns in Europa gebauet und über 3 bis 4 Fuss hoch wird, und 2) den grossen Mays (Zea Americana), der in Amerika oft eine Höhe von 18 Fuss erreicht. Der Mays hat männliche und weibliche Blüthen auf Einem Halme zusammen. Die männliche Blüthe (Fig. a) steht über der weiblichen (Fig. b.), welche wie eine Quaste aussieht, und an welcher unten die Frucht-Kolbe (Fig. c.) sitzt. Die reife Frucht-Kolbe (Fig. d) hat mehrere Reihen gelber oder dunkelrother Körner. Diese Körner werden zu Mehl, Grütze, Bierbrauen und Brandtweinbrennen, wie auch zur Viehmast gebraucht. Die unreifen Kolben macht man mit Essig ein, und aus dem süssen Safte der Stengel kann Zucker bereitet werden; welches aber, da er nicht reichhaltig ist, nicht der Mühe lohnt.~~Fig. 2. Der Hirsen. (Panicum miliaceum.)~~Der Hirsen stammt aus Indien her. Man hat zwey Haupt-Arten davon; 1) Kolben-Hirsen, der seinen Saamen in ährenförmigen Büschen trägt, und 2) den gemeinen Hirsen, der seinen Saamen in Rispen wie der Hafer trägt. Eben so giebt es in Rücksicht der Farbe des Saamens dreyerley Arten, weissen, gelben und schwarzen Hirsen. Der Hirsen wird im ganzen südlichen Europa, besonders aber in Teutschland häufig gebaut. Er treibt einen dicken, rohrähnlichen, 3 bis 4 Fuss hohen Halm, mit Finger breiten Schilfblättern. Der Halm theilt sich in Aeste und bringt den bekannten Saamen in lockeren Rispen, deren jede 500 bis 600 Körner trägt. Die Körner haben eine glänzende harte Schaale, und müssen auf einer Mühle enthülset werden. Zur Kost wird der Hirsen vorzüglich als Grütze oder Brey gekocht, und ist eine sehr nährende allgemein beliebte Speise.~~