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Ad00341 03 042a/frePoissons XXVI. Vol. III. No. 40.
POISSONS REMARQUABLES.
No. 1. La Pipe à tabac.
Ce singulier poisson appartient au genre des Poissons à tuyau. Il n'a point d'écaillés et ressemble en cela à l'anguille; son dos est brun à tâches d'un bleu-clair, et le ventre est d'un blanc grisâtre. Sa tète se termine en une trompe longue en forme de tuyau, à l'extrémité de la quelle se trouve la bouche. Au bout de la queue il a une verge longue et osseuse comme de la baleine. Sa nourriture consiste en petites vermines.
No. 2. Le Poisson-Trompette.
Le Poisson-Trompette appartient aussi dans le genre précédent, comme on voit à sa longue trompe. Il vit aux côtes de la Chine et sa longueur est de 2 pieds. Sa couleur est d'un rouge sale à rayes argentées, et tout son corps est parsemé de points noirs. Ses nageoires et les aiguillons qu'il a sur le dos sont d'un brun-jaunâtre. Il se nourrit de vermines tout comme Je précédent.
No. 3. Le Maquereau à espadon.
On trouve ce poisson dans les mers des Indes Orientales et Occidentales; sa longueur est souvent de 8 a 9 pieds. De son moufle supérieur il sort un os qui a la forme d'un espadon, et avec lequel le poisson attaque et se defend. La couleur de son dos, delà tête et des nageoires est d'un beau bleu, celle du ventre et des ouies d'un blanc d'argent. Sur toute la longueur du dos il a une grande nageoire courbée en arche et de couleur bleue à taches brunes, comme ce poisson se lient ordinairement peu en dessous de la surface de l'eau, cette nageoire, qu'il étend toujours hors de l'eau lui sert de voile, et le fait remarquer de bien loin. Il se nourrit d'autres poissons plus petis. Lorsque sa longueur n'excède pas encore 4 pieds sa chair est mangeable.
Ad00341 03 043aNo. 1. Der Ahu. (Cervus pygargus.)~~Der Ahu hält das Mittel zwischen dem Edel-Hirsche und dem Rehe. Er ist grösser als das Reh, und oft so gross als der Damhirsch, hat kleine Rehgeweihe, aber gar keinen Schwanz; daher er auch oft das ungeschwänzte Reh genannt wird. Seine Farbe ist mehr gelb-grau als die vom Rehe; sein Fleisch aber eben so zart und wohlschmeckend als das vom letzteren. Er lebt in Sibirien, Persien, und überhaupt im mittleren Asien, mit den Gazellen und wilden Ziegen auf den höchsten Bergen.~~No. 2. Der Axis, oder Ganges-Hirsch. (Cervus Axis.)~~Der Axis lebt vorzüglich in Indien an den Ufern des Ganges, daher er auch seinen Namen der Ganges-Hirsch hat. Er ist so gross als ein Dam-Hirsch, hat aber das Gehörn vom Edel-Hirsche. Er ist überaus schön gezeichnet; seine Farbe über den Rücken und die Seiten lichtbraun mit weissen Flecken. Sein Fleisch ist wohlschmeckend, und er lässt sich leicht zahm machen.~~No. 3. Der dickleibige Hirsch. (Cervus porcinus.)~~Der dickleibige Hirsch lebt in Bengalen, und auf den Indischen Inseln. Wegen seiner kleinen dicken Figur heisst er auch oft der Schwein-Hirsch. Er ist wenig über 2 Fuss hoch, und nur 3 1/2 Fuss lang, braun von Farbe und weiss gefleckt. Sein Fleisch ist wohlschmeckend, und er wird für ein gutes Wildpret gehalten.~~No. 4. Der Muntjac. (Cervus Muntjac.)~~Der Muntjac ist nicht so gross als ein Reh, und lebt vorzüglich auf der Insel Java. Sein Kopf ist klein und schmal; sein Gehörn sehr kurz, und steht auf 2 starken knochigten Schwielen, welche von den Augen hinauf laufen. Von Farbe ist er lichtbraun, am Halse und Bauche grau. Sein Fleisch ist sehr wohlschmeckend, und wird gesucht.~~Das Reh. (Cervus capreolus.) No. 5. Das Männchen. No. 6. Das Weibchen.~~Das Reh ist ein überaus schönes, schlankes und zierliches Thierchen, ohngefähr 4 Fuss lang, 2 Fuss 8 Zoll hoch. Es lebt in ganz Europa (England ausgenommen), so wie im ganzen mittleren Asien, nur nicht in zu kalten oder in zu heissen Ländern. Das Männchen hat ein kurzes etwa 8 bis 10 Zoll langes sehr krauses Gehörn, und ist graubraun, das Weibchen aber rothbraun von Farbe. Des Reh nährt sich vorzüglich von den Sprossen und Spitzen des jungen Holzes, Saat und dergl. Sein Fleisch ist sehr wohlschmeckend, und wird allgemein für einen Leckerbissen gehalten.~~49
Ad00341 03 043a/freQuadrupèdes LV. Vol. III. No. 41.
CERFS ET CHEVREUILS.
No. 1. L'Ahu.
Il tient le milieu entre le Cerf et le Chevreuil; il est plus grand que le dernier et on en trouve même qui sont de la grandeur du daim. Son bois est petit et ressemble à celui du Chevreuil; il n'a pas'de queue, et on l'appelle aussi pour cela, Chevreuil sans queue. Sa couleur est plus que celle du chevreuil d'un jaune-grisâtre, et sa chair est aussi tendre et d'un goût aussi délicat. Il se trouve dans la Sibérie, en Perse, et en général dans tout l'intérieur de l'Asie, où il vit sur les plus hautes montagnes avec les gazelles et le chèvres sauvages.
No. 2. L'Axis.
L'Axis vit dans l'Inde 'et surtout aux bords du Gange. Il est de la grandeur du daim, mais son bois ressemble à celui du cerf. Sa peau est supérieurement bien dessinée; son dos et les cotés sont d'un brun-clair à taches blanches. Il se laisse aisément apprivoiser et sa chair est d'un bon goût.
No. 3. Le Cerf à gros ventre.
Cette espèce de cerfs se trouve dans le Bengale et sur les isles Indiennes. A cause de sa petite figure grosse on l'appelle aussi souvent Cerf-Cochon. Il n'est guères plus haut que de deux pieds, et sa longueur n'est que de 3 1/2 pieds. Sa couleur est brune à taches blanches. Sa chair est d'un très bon goût, et il passe pour un excellent gibier.
No. 4. Le Muntjac.
Le Muntjac n'est pas aussi grand 'qu'un chevreuil et vil principalement sur l'isle de Java. II a la tète petite et mince; son bois est petit et placé, sur deux durillons très forts et osseux, qui commencent au dessus de ses yeux. Son dos est d'un brun clair, le cu et le ventre sont gris. Sa chair est excellente et très recherchée. Le Chevreuil.
No. 5. Le Mâle.
No. 6. La Biche. Le chevreuil est un des plus beaux animaux; son corps est d'une structure effilée et très élégante. Sa longueur est à peu près de 4 pieds et sa hauteur de 2 pieds 8 pouces. On le trouve dans toute l'Europe (à l'exception de l'Angleterre) ainsi que dans tout l'intérieur de l'Asie; mais il n'endure ni les climats trop froids,'ni ceux qui sont trop chauds, Le màle a un petit bois, dont la longueur n'est que de 8 à 10 pouces et qui est très frisé. Sa couleur est d'un brun-grisâtre et celle de la biche est fauve. Il se nourrit principalement de bourgeons et de petits jets des arbres, de jeunes plantes etc. Sa chair est très délicate et passe généralement pour un excellent manger.
Ad00341 03 044aNo. 1. u. 2. Der grosse Trappe. (Otis tarda.)~~Der Trappe ist einer der grössten Europäischen Vögel, der in unsern Feldern, sonderlich in grossen fruchtbaren Ebenen lebt, und auch bey uns überwintert. Der Trapphahn ist wohl 4 Fuss hoch, und wiegt oft über 30 Pfund. Er ist schön gezeichnet; Kopf und Hals sind aschgrau mit blaulichen und schwarzen Federn vermengt. Vom Schnabel hängen Federbüsche, wie ein Bart herab. Brust, Beine und Schwingen sind weiss, der Rücken und Schwanz aber rostroth, mit schwarzen wellenförmigen Zeichnungen. Die Spitzen der Schwingen sind schwarz, und die der Schwanzfedern weiss. Die Henne ist kleiner, und weniger schön gezeichnet.~~Der Trappe lebt in ganz Europa und im mittleren Asien. Er nährt sich von Getraide, Saat, Insecten und dergl. und thut, da er oft in Schaaren von mehr als hundert Stücken, in den Fruchtfeldern liegt, denselben grossen Schaden. Er ist erstaunlich scheu vor dem Jäger, den er kennt, daher schon auf mehrere hundert Schritte vor ihm flieht, und ist folglich auch schwer zu schiessen. Bloss mit List, und mit gewissen Täuschungen können ihm die Jäger nahe kommen; allein da er sehr schwer fliegt, und lieber schnell läuft, so kann man die Trappen auch mit dazu abgerichteten Windhunden fangen. Sein Fleisch ist essbar aber hart.~~No. 2. u. 3. Der Zwerg-Trappe. (Otis tetrax.)~~Der Zwerg-Trappe lebt vorzüglich im südlichen Europa, in Portugal, Spanien, Frankreich, Italien und Ungarn, auf troknen unfruchtbaren Feldern, wo er sich gleichfalls von Sämerey, Saat und dergl. nährt. Er ist beträchtlich kleiner, als der grosse Trappe, nur 1 1/2 Fuss hoch. Sein Fleisch sowohl als seine Eyer sind essbar, und sehr wohlschmeckend.~~49
Ad00341 03 044a/freOiseaux XXXVIII. Vol. III. No. 42.
OUTARDES.
No. 1. et 2. La grande Outarde.
L'Outarde est un des plus grands oiseaux qui se trouvent en Europe. Elle vit dans les champs, surtout dans les grandes plaines cultivées, et passe aussi l'hiver chez nous. Le mâle atteint souvent une hauteur de 4 pieds et pèse quelques fois plus rde 30 livres, Son plumage est joliment coloré; celui de la tête et du cou est gris-cendré, entremélé de plumes bleuâtres et noires. Au dessous du bec elle a une touffe de plumes semblable à une barbe. La poitrine, les jambes et les pennes sont blanches, mais les dos et la queue sont d'un rouge de rouille dessinés en noir en forme ondoyante. Les bouts des pennes sont noirs et ceux des plumes de la queue sont blancs. La femelle n'est pas aussi grande et moins joliment colorée. On trouve l'Outarde dans toute l'Europe, ainsi que dans l'intérieur de l'Asie. Elle se nourrit de grains, de blé de semence, d'insectes etc. et comme elle se tient couvent dans les campagnes en troupeaux de plus de cent pièces, elle y peut faire de grands dégâts. Elle craint singulièrement le chasseur, le reconnoit à une distance de quelques centaines de pas et s'envole aussitôt; ce qui la rend très difficile à tirer. Mais comme elle est très lourde et qu'elle ne vole que difficilement, elle préfère de s'enfuir â force de courir, et on peut alors la prendre avec des lévriers dressés exprés pour cette espèce de chasse. Sa chair est mangeable mais dure.
No. 2. et 3. L'Outarde naine.
Elle se trouve principalement dans l'Europe méridionale', dans le Portugal, l'Espague, la France, l'Italie et la Hongrie, où elle vit dans des champs secs et stériles, et se nourrit également de blé de semence etc. Elle est beaucoup plus petite que l'espèce précédente, sa hauteur n'étant que de 1 1/2 pieds. Sa chair, aussi bien que ses oeufs, sont mangeables et d'un très bon gout.
Ad00341 03 045aNo. 1. Der Benzoe-Baum. (Styrax benzoin.)~~Der Benzoe-Baum wächst in Ostindien, und vorzüglich häufig auf der Insel Sumatra, ist von mittlerer Grösse, hat dunkelgrüne einfache Blätter, und kleine weisse fünfblätterige Blüthen. Das Merkwürdigste von ihm ist sein wohlriechendes, sehr geschätztes Harz, welches aus den Einschnitten, die man in seine Rinde macht, quillt, und bräunlich roth, oft auch ins Grünliche spielend aussieht. Man braucht es sowohl zum Räuchern, als auch wohlriechenden Lackfirnissen, und die davon chemisch bereiteten Benzoeblumen, ein wohlriechendes Salz, als ein Arzneymittel in den Apotheken. Holland und England liefert das Benzoe-Harz als einen guten Handels-Artickel.~~No. 2. Das Campeche-Holz. (Haimatoxylon Campechianum.)~~Das Campeche- oder sogenannte Blauholz ist ein für England, Spanien und Holland sehr wichtiger Handels-Artickel, den man neuerlich sowohl in der Arzney, vorzüglich und am häufigsten aber in der Färberey, zum Blau und Schwarzfärben der Zeuche braucht. Dieser wächst fast in ganz Westindien; vorzüglich aber um Campeche, auf Jukatan, und Jamaika, wild. Sein Wuchs ist sehr schnell. Er wird gross, hat gefiederte Blätter, schöne rothe ährenförmige Blüthen, und kleine braune Saarnenschoten. Nur der blutrothe Kern des Baums kann als Färbe- und Tischler-Holz gebraucht werden, denn der Splint ist weiss, und wird davon abgetrennt. Man sucht vorzüglich das Holz von alten starken Bäumen, als gute Waare zum Handel aus.~~49
Ad00341 03 045a/frePlantes LXII. Vol. III. No. 43.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. L'arbre Benjoin.
L' arbre Benjoin croit dans les Indes orientales et surtout en grande quantité dans l'isle de Sumatra. Il est d'une hauteur moyenne; ses feuilles sont unies et d'un verd foucé; les fleurs, qu'il porte, sont petites, blanches et à cinq pétales. Ce qui le rend principalement remarquable, c'est sa résine odoriférante, dont on fait le plus grand cas; elle découle des incisions faites dans l'écorce de l'arbre, et sa couleur est d'un brunrougeâtre changeant quelques-fois de verd. On s'en sert non seulement comme d'un parfum et pour en préparer des vernis odoriférants, mais les fleurs de Benjoin, qu'on en retire par une operation chymique, et qui sont un sel odoriférant, sont aussi employées fréquemment comme une drogue de pharmacie. C'est la Hollande et l'Angleterre qui fournissent le Benjoin, et il leur fait une article considérable de commerce.
No. 2. Lé Bois de Campêche.
Le Bois de Campêche est un article de commerce très important pour l'Angleterre, l'Espagua et la Hollande. On s'en sert principalement dans la teinture, pour donner aux étoffes des couleurs bleues ou noires; mais nouvellement on a aussi commencé à l'employer dans la Médecine. L'arbre vient sans culture dans presque toutes Indes occidentales, mais surtout aux environs de Campêche sur la presqu'isle de Jucatan, et dans la Jamaïque. Il croit très vite, et atteint une hauteur considérable. Ses feuilles sont empennée; il pousse des jolies fleurs rouges en forme d'épis, et porte des petites cosses brunes qui renferment la semence. Ce n'est que le coeur du bois, qui est rouge comme du sang, qu'on peut employer dans la teinture et pour de la menuiserie; car son aubier est blanc, et il faut avoir soin de l'en séparer. Les vieux arbres bien forts fournissent le meilleur beis et qu'on recherche le plus dans le commerce.
Ad00341 03 046aNo. 1. Die gemeine Kröte. (Rana Bufo. L.)~~Die gemeine Kröte ist ein garstiges, widriges Thier von Ansehen. Sie hat einen dicken breiten Leib, kurzen Kopf und eine mit sehr vielen Warzen besetzte grün-braungelb und schwarz gefleckte schlaffe schmutzige Haut. Das Weibchen ist grösser als das Männchen. Die Kröte lebt zwar gewöhnlich auf dem Lande, in feuchten Erdhöhlen, alten Mauern, hohlen Baumwurzeln etc. und nährt sich von Insecten, begattet sich aber indem Wasser, und legt auch ihren Laich in 2 langen, weissen schleimigten Schnuren darinne ab, welche das Männchen befruchtet. Die Kröte ist nichts weniger als giftig, und ein ganz unschädliches Thier. Mehrere Sagen von ihr sind Fabeln des Aberglaubens des gemeinen Mannes. Sie hat ein überaus zähes und langes Leben.~~No. 2. Die Hausunke. (Rana portentosa od. Bufo calamita.)~~Die Unke, Hausunke, od. Kreuzkröte, ist nicht so gross wie die gemeine Kröte, auf dem Rücken dunkelolivengrün mit einem gelben Striche, und vielen braunrothen Warzen, an den Seiten und Beinen aber schwarz, weiss und röthlich gefleckt. Sie lebt gern in Häusern, feuchten Kellern, Gewölben und Ställen, im Frühjahr aber in stehenden Sümpfen und Pfützen, wo sie sonderlich des Abends und in der Nacht ihre traurige Stimme hören lässt, und zu allerhand abergläubischen Mährchen Anlass gegeben hat. Sie stinckt wie angezündetes Schiesspulver.~~No. 3. a. u. b. Die Feuerkröte.~~Die Feuerkröte ist kaum so gross als ein Laubfröschchen, lebt beständig in schlammigten stehenden Wassern, ist auf dem Rücken braun, mit vielen Warzen, auf dem Bauche aber, wie Fig. 3. b. zeigt, feuerfarb und blau sehr schön gezeichnet. Sie hat eine traurige, melancholische Stimme, nährt sich von Wasser-Insecten und ist ganz unschädlich.~~No. 4. Die Wasserkröte. (Rana fusca.)~~Die Wasserkröte ist braun und weiss marmorirt, so gross als die gemeine Kröte, lebt aber beständig im Wasser, und stinkt wie Knoblauch. Zur Paarungszeit giebt sie ihren Laich in einer starken weissen Schnur, in welchem die Eyerchen liegen, von sieh.~~No. 5. Der braune Gras-Frosch. (Rana temporaria.)~~Der braune Gras-Frosch lebt im Sommer in den Gärten, auf feuchten Wiesen, und in Wäldern, im Winter aber in Teichen, wo er auch im Frühjahre so lange bleibt, bis er seinen Laich darinn abgelegt hat. Er nährt sich von Insecten, Raupen und nackten Schnecken, welche er sehr geschickt von niedrigen Pflanzen, durch einen Sprung wegzufangen weiss. Er sieht braun und schwarz gefleckt aus, hüpft und ist sehr munter, und sein Fleisch ist essbar, weiss und wohlschmeckend.~~No. 6. u. 7. Der grüne Wasser-Frosch. (Rana esculenta.)~~Der grüne bekannte Wasser-Frosch ist unter den einheimischen Fröschen der grösste und stärkste. Die Weibchen Fig. 6. sind grösser als die Männchen. Er ist grüngelblich von Farbe, hat gelbe Streifen und schwarze Flecken.~~Das Männchen hat an dem Kopfe 2 weisse Schallblasen, welche seine weitschallende Stimme im Frühjahre noch verstärken. Dieser Frosch lebt im Wasser, sonderlich in Teichen, geht aber auch häufig auf das Land, und nährt sich von Insecten, Fischrogen, und jungen Fischen, Mäusen u. dergl. Die Fig. 7. zeigt Männchen und Weibchen zusammen, wie jenes den Leich des Weibchens, indem sie denselben von sich lässt, befruchtet. Die Folge der Entwickelung des Eyes bis zum ganzen Frosche zeigen folgende Figuren. Fig. 4. die Froscheyer in natürlicher Grösse; Fig. b. c. d. e. f. dieselben vergrössert, und wie sich das Junge darinn nach und nach entwickelt; Fig. g. h. i. k. I. m. u. die jungen Frösche ausser dem Eye, oder Kaulquappen, welche erst Schwänze, nur 2 Beine, dann 4 Beine haben, und endlich die Schwänze ganz verliehren. Das Fleisch dieser Frösche ist essbar und wohlschmeckend.~~No. 8. Der Laubfrosch. (Rana arborea.)~~Diess überaus zierliche und schön gezeichnete Fröschchen lebt im Winter und Frühlinge im Wasser, wo es seine schallende Stimme (welche man das Schreyen des Rölings nennt), die ihm die Kehle zu einem grossen braunen Kropfe ausdehnt, hören lässt, im Sommer aber auf den Bäumen, wo er bey Witterungs-Veränderung schreyt. Seine Nahrung sind Insecten.~~49
Ad00341 03 046a/freAmphibies IX. Vol. III. No. 44.
GRENOUILLES ET CRAPAUDS DU PAYS.
No. 1. Le Crapaud commun.
Le Crapaud commun est ira animal détestable et dont l'aspect inspire de l'horreur. II a le corps très gros et large, la tète courte, et la peau fiasque, sale, couverte de verrues et d'un verd-jaunâtre à taches noires. La femelle surpasse le mâle en grosseur. Il vit à l'ordinaire sur la terre, dans de vieilles masures, des grottes humides, et des racines creuses d'arbres etc.; sa nourriture consiste en iusectes. C'e6t cependant dans Teau, qu'il s'accouple et qu'il dépose aussi son frai en deux cordes longues, blanches et visqueuses, qui ensuite sont fécondées par le mâle. Le crapaud n'est nullement venimeux, comme on l'a crû, et absolument pas nuisible. On a débité de lui beaucoup de contes, mais ils sont tous de fables inventées par la crédulité et la superstition du peuple. Il a enfin la vie extrêmement dure et peut parvenir à un âge très avancé.
No. 2. La Calamite.
La Calamite n'est pas aussi grosse que le Crapaud commun. Son dos est d'un verd d'olive très foncé avec nne raye jaune; il est couvert de verrues d'un brun-rougêatre. Ses cotés et ses jambes sont noires à taches blanches et rougeâtres. Elle aime à vivre dans les maisons, les caves humides, les souterrains et les étables; au printemps cependant elle se retire dans des marais et des eaux croupissantes, où surtout vers le soir et dans la nuit elle fait entendre son croassement lugubre et desagréable, qui a donné occasion à beaucoup de fables que la superstition débite sur son compte. Son odeur ressemble à peu près à celle de la poudre à canon brûlée.
No. 3.a. et b. Le Crapaud couleur de feu.
Il n'est guères de la grosseur d'un petit verdier, et vit continuellement dans des eaux croupissantes et bourbeuses. Son dos est brun, et couvert de verrues; son ventre est de couleur de feu et joliment coloré en bleu, comme on peut voir sous Fig. 3.b. Sa voix est triste et mélancolique; il se nourrit d'insectes aquatiques et n'esj pas nuisible.
No. 4. Le Crapaud marbré.
Il est de coulenr marbrée en brun et blanc; sa grosseur est la même que celle du Crapaud commun, mais il vit continuellement dans l'eau et put comme de l'ail. Dans le temps de son accouplement il lâché son frai en une corde blanche assés forte, et dans laquelle se trouvent les petits oenfs.
No. 5. La Grenouille rousse.
Cette espèce de grenouilles -vit pendant l'été dans des jardins, sur des prairies humides et dans des forets; mais vers l'hiver elle se rétire dans des étangs cm elle reste au printemps jusqu'à ce qu'elle y a déposé son frai. Elle se nourrit d'insectes, de chenilles et de limaçons qu'elle sait prendre de dessus des plantes assés basses par un saut fort adroit. Sa couleur est brune à taches noires; elle est très éveillée et ne cesse de sautiller. Sa chair fest blanche, mangeable et d'un bon goût.
No. 6. et 7. La Grenouille commune.
Cette espèce de grenouilles est généralement connu et la plus grande qui existe chez nous; la femelle (Fig. 6.) est encore plus grosse que le mâle. Sa couleur est d'un verd jaunâtre à rayes jaunes et à taches noires. Le mâIe porte à sa tête deux vessies blanches, qui servent de ressonnement à sa voix et augmentent au printemps le bruit de son croassement. Cette grenouille vit dans l'eau et surtout dans des étangs; mais très souvent elle va aussi sur la terre, et se nourrit d'insectes, de frai de poissons, de souris, de petits poissons etc. La Fig. 7. représente le mâle et la femelle, et fait voir comment le premier féconde le frai que la femelle vient de lâcher. Les figures suivantes montrent la suite du développement de l'oeuf jusqu'à l'existence entière de la grenouille. Fig. a. représente les oeufs dans leur grandeur naturelle; Fig. b. c. d. e. f. les mêmes grossis, ou l'on voit en même tems, comment les petits s'y développent successivement. Fig. g. h. i. k. I. m. n. montrent des jeunes grenouilles hors des oeufs, qui ayant d'abord des queues et seulement deux pieds, reçoivent ensuite quatre pieds et perdentà la fin les queues. La chair de ces grenouilles est mangeable et d'un bon goût.
No. 8. La Raine verte, ou le Verdier.
Cette espèce de grenouilles, qui est d'une structure très élégante et dont la peau est fort joliment dessinée, vit dans l'eau pendant l'hiver et le printemps, où elle fait entendre avec tant dé force le bruit de son croassement, que sa gorge en est enflée et qu'il lui en vient un grand goitre de couleur brune. Dans l'été elle se trouve sur les arbres où elle ne croasse quo lorsque le tems se met à changer. Sa nourriture consiste en insectes.
Ad00341 03 047aNo. 1. 2. u. 3. Die Nonne. (Phalaena bombyx Monacha.)~~Die sogenannte Nonne unter den Insecten, ist ein gelblich weisser und schwarz gefleckter Nachtschmetterling, davon Fig. 1. die Raupe, oder Larve, Fig. 2. aber das Männchen und Fig. 3. das Weibchen zeigt. Diess Insect ist wegen der ungeheuern Gefrässigkeit seiner Raupe besonders merkwürdig; denn diese nährt sich von dem Laube fast aller Bäume, und ist sonderlich den Nadelwaldungen ausserordentlich schädlich. Sie vermehren sich nemlich bey günstigen Umständen einige Jahre nacheinander so erstaunlich, dass sie hernach ganze Wälder abfressen, worauf dann die Kiefern und Fichten sogleich absterben. Diess war der Fall in den letzteren Jahren im Voigtlande; wo diese Raupe über 50.000 Morgen Nadelwaldungen abgefressen und zu Grunde gerichtet hat.~~No. 4. 5. u. 6. Die Mücke. (Culex pipiens.)~~Die Mücke ist, wegen ihres schmerzhaften Stechens, eins der lästigsten Insecten. Sie lebt bey uns, und in allen gemässigten, ja sogar in den kalten Zonen der Erde, in ungeheuern Schwärmen, liebt vorzüglich gern sumpfigte und wasserreiche Gegenden, weil sie ihre Eyerchen auf das Wasser legt, und ihre jungen Larven sich, bis zur Verwandelung in Mücken, im Wasser aufhalten, und von kleinen Wasserpolypen und andern Insecten nähren. So bald die Mücke ihre Verwandlung gehabt hat, geht sie in die Luft, wo sie sich, sonderlich zur Zeit der Begattung, des Morgens und Abends in ungeheuren Schwärmen - die wir Mückentänze oder Mückenspiele nennen - zeigt. Im Winter ziehen sie sich in Keller und schaurige Gewölbe, wo sie bis zum Frühjahre bleiben. Sie werden des Nachts in Schlafzimmern durch ihr Summen und Stechen (denn die Mücke nährt sich von Menschenblute, und ist sehr begierig darnach) sehr beschwerlich. Fig. 4 zeigt diess kleine Thierchen in seiner natürlichen Grösse, und Fig. 5 beträchltich vergrössert; Fig. 6 aber den noch weit mehr vergrösserten Kopf einer männlichen Mücke, welcher wegen seines sonderbaren Baues, seiner vielen Augen, seiner sonderbaren Fühlhörner, und seines wunderbaren Rüssels, worinn der unendlich feine Stachel liegt, höchst merkwürdig ist.~~49
Ad00341 03 047a/freInsectes. XVI. Vol. III. No. 45.
INSECTES NUISIBLES.
No. 1.. 2. et 3. La Religieuse.
L'insecte, qui port le nom de Religieuse, est une Phalène d'un blanc-jaunâtre à taches noirs. Sous Fig. 1. on en voit la chenille, sous Fig. 2. le mâle, et sous Fig. 3. la femelle. Cet insecte est principalement remarquable pat la voracité énorme de sa chenille; elle se nourrit des feuilles de presque tous les arbres, mais elle est surtout très nuisible dans les forêts de bois résineux, où elle peut faire des dégâts terribles. Etant favorisées par les tems et d'autres circonstances, elles se multiplient dans plusieures années consécutives d'une manière si prodigieuse, qu'elles dépouillent des forêts entières de toutes leurs feuilles, ce qui fait mourir incessamment les pins et les sapins. C'est ce qui est arrivé dans les dernières années dans la Voigtlande, où ces chenilles ont ruiné plus de 50.000 arpens de forets de sapin.
No. 4. 5. et 6. La Mouche.
La Mouche est un insecte d'autant plus incommode, que fa piquûre est douloureuse. Elle vit en essaims énormes chez uous comme dans toutes les zones tempérées de la terre et mêmes dans les zones froides; elle aime surtout les contrées marécageuses ou riches en eaux; parcequ'elle pond ses oeufs sur la surface de l'eau et que ses chenilles restent dans l'eau jusqu'au tems de leur transformation en mouches, où elles se nourrissent de polypes 'et d'autres insectes aquatiques. Aussitôt que la transformation a eu lieu, ta mouche s'en va dans l'air, et vole, surtout dans le tems de l'accouplement, le matin et le soir en essaims prodigieux. Pendant l'hiver elles se rétirent dans des caves ou d'autres souterrains, où elles se trouvent à l'abri du froid, et y restent jusqu'au printemps. Pendant la nuit elles deviennent très incommodes dans les chambres à coucher à cause de leur bourdonnement et de leurs piquùres, car elles se nourrissent de sang humain et en sont très avides. Sous Fig. 4. on voit ce petit animal dans sa grandeur naturelle; sous Fig. 5. il est considérablement grossi; et Fig. 6. représente la tête d'un mâle grossie encore d'avantage; cette tête est extrêmement remarquable par sa structure singulière, la quantité de ses yeux, par ses antennes et sa trompe merveilleuse, dans laquelle se trouve renfermé un aiguillon d'une subtilité admirable.
Ad00341 03 048aNo. 1. Die Weissnase. (Simia petaurista.)~~Das Vaterland dieses kleinen zierlichen Affen ist Guinea. Er ist ohne Schwanz ohngefähr 15 Zoll lang, und hat seinen Namen von dem dreyeckigten weissen Flecke welchen er auf der Nase hat. Sein Gesiebt ist schwarz, der Bart weiss, Kehle, Brust und Bauch sind silbergrau, Kopf, Rücken, Schenkel und Arme schillernd olivengrün. Er nährt sich von Früchten und anderm gewöhnlichen Futter der Affen.~~No. 2. und 3. Der Mangabey, oder weissäugige Affe. (Simia Aethiops.)~~Der Mangabey lebt in Süd Afrika und Madagascar, hat ohngefähr die Grösse einer grossen Katze, und ist dunkelgrau von Farbe; hat aber über der Stirn einen Busch brauner hinterwärts gestrichner Haare. Seine Augenbrauen sind gewöhnlich ganz weiss, wie bey Fig. 2.; es giebt aber auch eine Spielart davon, welche schwarze Augenbrauen, hingegen aber einen ganz weissen Halskragen, wie Fig. 3. zeigt, hat. Den Schwanz trägt er gewöhnlich aufwärts auf den Rücken geschlagen.~~No. 4. Die Aigrette. (Simia Aygula.)~~Die Aigrette, wie Büffon dies zierliche Aeffchen wegen seines Haarbüschels auf dem Kopfe genannt hat, lebt vorzüglich auf der Insel Java, wo sein Nahme Tjakko heisst. Er ist 10 bis 12 Zoll lang, sehr gesellig und schmeichelhaft, und wird häufig von Schiffern mit nach Europa. gebracht.~~No. 5. Der gehörnte Affe. (Simia fatuellus.)~~Der gehörnte Affe gehört zu den Meerkatzen, und lebt vermutlich in Süd Indien. Er ist 14 Zoll lang, und hat seinen Nahmen von den beyden steifen Haarbüscheln, die ihm auf der Stierne stehen, und wie 2 Hörner aussehen. Arme, Hände, Beine, Schwanz und Scheitelhaare sind schwarz, das übrige Fell aber grau-grünlich schillernd.~~50
Ad00341 03 048a/freQuatrupédes LVI. Vol. III. No. 46.
DIFFÉRENTES ESPECES DE SINGES.
No. 1. Le Blanc - nez.
La Guinée est la patrie de ce petit singe élégant. Sa longueur est à peu près de 13 pouces, sans compter la queue. Il a reçu son nom de la tâche blanche et triangulaire, qu'il porte sur le nez. Son visage est noir, sa barbe blanche, la gorge, la poitrine et le ventre sont d'un gris argenté et la tête, le dos, les jambes et les bras de couleur d'olive et changeans. Il se nourrit de la même manière que tous les autres singes.
No. 2. et 3. Le Mangabey.
On le trouve dans l'Afrique méridionale et sur l'îsle de Madagascar. Il a la grandeur d'un gros chat; sa couleur est d'un verd foncé, mais sur le front il a une touffe de poils bruns qui tombent en arrière. Ses sourcils sont ordinairement tout à fait blancs, comme on le voit sous Fig. 2., mais il y en a une variété qui a des sourcils noirs et par contre une fraise blanche autour du cou, comme on le voit sous Fig. 3. Le Mangabey porte ordinairement la queue relevée sur le dos.
No. 4. L'Aigrette.
Le nom d'Aigrette a été donné par Buffon à ce joli petit singe, à cause de la touffe de poils qu'il a sur la tête. O le trouve surtout dans l'isle de Java, où on l'appelle Tjäkko. Sa longueur est de 10 à 12 pouces; il est très sociable et on en voit souvent en Europe, qui y sont transportés par les marins.
No. 5. Le Sajou cornu.
Le Sajou cornu est du genre des babouins, et vit sans doute dans les Indes méridionales. Sa longueur est de 14 pouces, et son nom lui a été donné à cause des deux touffes de poils roides, qu'il a sur le front et qui ressemblent à deux cornes. Ses bras, ses mains, ses jambes, sa queue et les poils sur le sommet de sa tête sont noirs, le reste du corps est d'un gris-verdâtre et changeant.
Ad00341 03 049aDie Würger, oder wie sie sonst gewöhnlich heissen, Neuntödter, gehören wegen ihrer Kühnheit und Raubsucht mit Rechte zu den Raubvögeln. Kleine Vögel, Mäuse und Insecten sind ihre gewöhnliche Nahrung, um die sie oft mit weit grössern Raubvögeln muthig kämpfen. Es giebt verschiedene Arten davon, theils einheimische, theils ausländische.~~No. 1. Der grosse Würger. (Lanius excubitor. L.)~~Der grosse Würger ist einheimisch in Teutschland, 10 Zoll lang, und ziemlich stark gebauet. Der Kopf und Rücken sind rothgrau, Hals, Brust und Bauch aber weissgrau; Schwanz und Flügel schwarz mit weissen Federn und Flecken vermengt. Von den Nasenlöchern geht über die Augen bis auf die Backen ein breiter schwarzer Strich, der ihn characteristisch auszeichnet. Er bewohnt fast ganz Europa, und lebt sonderlich gern in Gärten und bey bewohnten Plätzen. Er lebt von Vögeln, Mäusen, Käfern, Blindschleichen und Eidechsen, und ist ein so kühner Räuber, dass er oft auch junge Hasen und Rebhüner anfällt, und mit Raben, Krähen und Sperbern kämpft, und sie verjagt.~~No. 2. Der kleine graue Würger. (Lanius minor. L.)~~Er ist nur 9 Zoll lang, und hat viele Aenlichkeit in der äussern Gestalt und Lebensart mit dem vorigen. Er ist gleichfalls in Europa, und besonders in Teutschland einheimisch. Besonders merkwürdig an ihm ist diess, dass er die Stimme vieler andern Vögel oft sehr täuschend nachahmt, und sogar den Schlag der Nachtigall nachäfft.~~No. 3. Der rothköpfige Würger. (Lanius collurio. L.)~~Dieser Vogel ist gleichfalls bey uns einheimisch, jedoch nur den Sommer über. Er ist nur 7 bis 8 Zoll lang, und lebt gern bey Viehweiden, weil er sich vorzüglich von Mistkäfern nährt. Kopf und Nacken sind braunroth, Hals und Brust weissgelblich, Rücken, Flügel und Schwanz schwarz, braun und weiss melirt. Er ahmet eben so wie der vorige die Stimme anderer Vögel nach. No.4. Der französische Würger. Diese Art von Würgern lebt vorzüglich in Frankreich. Kopf und Nacken sind blaugrau, Rücken und Flügel zimtbraun, Kehle, Brust und Bauch gelbweiss, der Schwanz schwarz. Er ist 5 Zoll lang.~~No. 5. Der italienische Würger.~~Diese Art ist schön gezeichnet; Kopf, Nacken und Rücken sind himmelblau, Flügel und Schwanz schwarz, Brust und Bauch aber silbergrau, röthlich schillernd. Er ist 6 Zoll lang.~~No. 6. Der Würger aus Senegal.~~Diese Gattung ist unter allen die schönste. Hals, Brust und Bauch sind hochroth, Flügel, Rücken und Schwanz schwarz, der Oberkopf aber ist Citronengelb. Vom Schnabel läuft durch die Augen bis zum Rücken ein schwarzbrauner Streifen. Dieser Vogel lebt vorzüglich in Senegal.~~50
Ad00341 03 049a/freOiseaux XXXIX. Vol. III. No. 47.
DIFFÉRENTES ESPÈCES D'ECORCHEURS.
Les Ecorcheurs doivent être comptés avec rai' son parmi les oiseaux de proie, à cause de leur
audace et de leur rapacité. Ils sont leur nourriture ordinaire de petits oiseaux, de souris et d'insectes; pour s'en emparer ils livrent très souvent des combats opiniâtres à des oiseaux de proie qui sont beaucoup plus grands qu'eux. On en connoit différences espèces, dont quelques unes 6ont originaires chez nous, et les autres étrangères.
No. 1. Le grand Ecorcheur.
Cette espèce est originaire en Allemagne. Sa longeur est de dix pouces, et son corps est d'une construction assés robuste. La tète et le dos sont d'un brun-rougeâtre, le cou, la poitrine et le ventre d'un blanc-grisâtre, et la queue ainsi que les ailes sont noires entremêlées de plumes et de taches blanches. Une raye noire et assés large, qui se prolonge depuis les narines par dessus les jeux jusque sur les joues, fait une marque caractéristique du genre entier des Ecorcheurs. L'espèce présente se trouve presque dans toute l'Europe; elle aime surtout à vivre dans les jardins et dans la voisinage des habitations de l'homme. Elle se nourrit d'oiseaux, de souris, d'escarbots, d'ainphhhénes et de lézards. Elle fait le brigandage avec tant d'audauce, que souvent elle attaque non seulement des levrauts et des perdrix, mais qu'il combat même des corbeaux, des corneilles et des éperviers, et les met en fuite.
No. 2. Le Ecorcheur gris.
Sa longueur n'est que de 9 pouces, et il resemble beaucoup au précédent pour la forme et le genre die vie. Il est aussi originaire en Europe et sartout en Allemagne. Ce qui le rend principalement remarquable, c'est son talent d'imiter si bien la voix de beaucoup d'autres oiseaux que des connoisseurs peuvent souvent s'y meprendre; il contrefait meme le chant des rosiguols.
No. 3. L'Ecorcheur à tête rouge.
Il est également originaire chez nous, mais il nous quitte pourtant à l'approche de l'hiver. Jl n'est long que de 7 à 8 pouces et habite ordinairement dans le voisinage des pâtures, parcequ'il aime à se nourrir de fouille- merdes. Le plumage de sa tète et de la nuque est d'un rouge-brunâtre, celui du cou et de la poitrine d'un blanc-jannâtre, et le dos, les ailes et la queue sont noirs entremêlés de plumes brunes et blanches. Jl imite, tout comme le précédent, la voix de beaucoup d'autres oiseaux.
No. 4. L'Ecorcheur françois.
Cette espèce se trouve surtout en France. Elle a la tête et la nuque d'un bleu grisâtre, le dos et les ailes d'un brun canellé, la gorge, la poitrine et le ventre d'un blanc-jaunàtre, et la queue noire; ea longueur est de 5 pouces.
No. 5. L'Ecorcheur Italien.
Cette espèce est très joliment colorée. La tête, la nuque et le dos sont d'un bleu - céleste, les ailes et la queue noires, et la poitrine ainsi que le ventre sont d'un gris argenté changeant de rouge, Jl est long de 6 pouces.
No. 6. L'Ecorcher du Senégal.
Il surpasse tontes les autres espèces par Ja beauté de ses couleurs. Le cou, la poitrine et le ventre sont de couleur poncean, les ailes, le dos et la queue sont noires et le söimnet de la tête est de couleur citron. La raye, qui se trouve depuis son bec par dessus les yeux jusque sur le dos, est d'un noir-brunâtre. On trouve cette espése principalement dans le Sénégal.
Ad00341 03 050aNo. 1. Der Copaiva-Balsambaum. (Copaifera officinalis. L.)~~Der Copaiva-Balsambaum ist in Westindien und sonderlich Brasilien, einheimisch, wo er ohne Cultur wild in den Wäldern wächst, und einen grossen hohen Wuchs hat. Er hat Blätter fast wie die Acacie, kleine weisse Blüthen, und eine runde fleischigte Frucht, weiche vielen Saamen enthält, aber nicht essbar ist. Sein Balsam fliesst, fast eben so wie der Terbenthin, aus der Rinde, in welche man Einschnitte macht und unter dieselben Flaschen oder andere Gefässe stellt. Dieser Balsam ist Anfangs flüssig, und ein wohlriechendes Oel, wird aber nach und nach dicke und zäh. Portugal und Spanien treiben vorzüglich Handel damit. In den Apotheken wird er als ein inneres und äusseres Arzneymittel gebraucht.~~No. 2. Der Mangle oder Lichtbaum. (Rhizophora Mangle. L.)~~Die heisse Zone von Asien, Africa uad Amerika ist das Vaterland dieses wunderbaren Baums. Er wächst wohl 40 bis 50 Fuss hoch, allzeit in sumpfigen Boden und an Flüssen, wo er sich durch die sonderbare Eigenschaft, dass alle seine Aeste Wurzeln herab in die Erde schlagen, und junge Bäume bilden, so ungeheuer, vermehrt und ausbreitet, dass oftmals ein einziger solcher Baum durch diese wunderbare Vermehrung einen ganzen undurchdringlichen Wald bildet. Wenn an beyden Seiten eines Flusses Manglebäume stehen, so erreichen sich die Wurzeln davon sehr bald, verwachsen in einander, und bilden eine Brücke über den Fluss. Ueberhaupt sind Gegenden, wo Mangle Bäume stehen, den Menschen gar nicht zugänglich. Der Baum hat lederartige, dunkelgrüne und auf der Unterseite schwarzpunktirte Blätter, zwischen welchen die kleinen weissgelblichen Blüthen stehen. Sein Saame, den Fig. a. a. zeigt, ist eben so wunderbar. Er ist 6 bis 7 Zoll lang, rundlich, fleischigt und braungrün von Farbe. Am Ende steht ein brauner Knopf mit einer Stachel in der Mitte versehen, mit welchem sich dieser Saame, der zur Erde herabhängt, endlich, nachdem er ein ganzes Jahr lang am Baume gereift hat, in den sumpfigten Boden senkrecht eingräbt, bald genug aufgeht, und ein junger Baum wird, der sich nun wieder durch Wurzeln und Saamen ungeheuer verbreitet. Kurz, der Manglebaum ist ein wahres Wunder der Natur.~~50
Ad00341 03 050a/frePlantes LXIII. Vol. III. No. 48.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. Le Baumier de Copaiba.
Cet arbre est originaire dans les Indes occidentales et principalement dans le Brésil, ou il croit dans les forèts sans la moindre culture. Sa hauteur est très considérable; ses feuilles ressemblent à celles de l'Acacia; il porte de petites fleurs, et des fruits ronds et charnus, qui renferment beaucoup de graines de semence, mais qui ne sont pas mangeables. Le Baume découle de l'écorce, tout comme la Terebentine; on y fait des incisions et place des vases par dessous, pour recevoir le baume. Il est d'abord tout à fait fluide, et une bnile très odoriférante; mais petit à petit il se fige et devient visqueux. C'est l'Espagne et le Portugal qui en sont presqu'exclusiveinent le commerce. On s'en fert dans la Médecine comme d'un remède extérieur et intérieur.
No. 2. Le Manglé.
Les contrées de l'Afrique, de l'Asie et de l'Amérique situées dans la zone torride, sont la patrie de cet arbre merveilleux. Il atteint une hauteur de 40 jusqu' à 50 pieds, et ne se trouve que dans des terrains marécageux et aux bords des rivières. Il se multiplie prodigieusement, et la manière, de se propager est tout-âfait singulière et unique; car ses branches s'inclinent à terre, y prennent racine et poussent encore de jeunes arbres. De cette particularité qui lui est propre, il résulte souvent, qu'un seul de ces arbres forme à la fin une forêt entière et absolument impénétrable. S'il y a de ces arbres aux deux bords d'une rivière, il arrive souvent que leurs racines s'entrelacent et forment de cette manière un pont sur la rivière. Toutes les contrées au reste, où il y a de ces arbres, ne sont guéres accessibles pour l'homme. Les feuilles de l'arbre sont fermes et coriaces, d'un vert foncé et parsemées de points noirs sur leur partie inférieure; entre les feuilles se trouvent les petites fleurs d'un blanc jaunâtre. La semence, qu'on voit représentée sous Fig. a. a. n'est pas moins merveilleuse. Elles est d'une longueur de 6 à 7 pouces, charnue, de forme ronde et de couleur brune-verdâtre; à son bout elle porte un' clou brunâtre garni an milieu d'un piquant, parle moyen duquel la semence, qui penche à terre et qui doit mûrir à l'arbre pendant une année entière, s'enfonce perpendiculairement dans le terrain maréesgeux, où elle germe assés promptement et pousse un jeune arbre, qui se multiplie encore tant par les branches que par la semence. On peut avancer hardiment que le Manglé est véritablement une merveille de la nature.
Ad00341 03 051aNo. 1. Der weisse Kornwurm. (Phalaena tinea granella.)~~Der weisse Kornwurm, (die Kornmade) ist eine vollkommene Raupe, aus welcher nach der Verwandlung ein kleiner Nachtschmetterling, der zum Geschlechte der Motten gehört, entsteht. Fig 1. zeigt sie in ihrer natürlichen Grösse. Sie ist nicht ganz 1/2 Zoll lang, und sieht gelblich weiss aus. In Fig. a. sieht man sie sehr vergrößert von oben, und in Fig. b. von unten. Den Fruchtböden ist sie sehr schädlich, weil sie sich blos von altem Korne, sonderlich Roggen, nährt, die Körner ausfrisst, und ganze Klumpen davon mit ihrem Gespinste zusammenzieht. Nach ihrer Verpuppung kommt sie als eine kleine braun-gelb und weiss-gefleckte Motte hervor, welche Fig. c. n. d in ihrer natürlichen, und Fig. e. u. f. vergrössert zeigt. In dieser Gestalt fliegt sie des Nachts in den Häusern herum, paaret sich, und legt ihre Eyerchen in grosser Zahl wieder auf die Kornhaufen.~~No. 2 Die Wanze. (Cimex lectularius.)~~Die Wanze, oder richtiger die Bettwanze (denn es giebt sehr viel andere Gattungen von Wanzen), diess widrige und sehr lästige Insekt, ist nicht bey uns einheimisch, sondern erst vor ohngefähr 300 Jahren mit Baumwollen-Ladungen aus Asien nach Europa gebracht worden. Die Fig. 2. zeigt sie in ihrer natürlichen Grösse, und Fig. g mikroscopisch vergrössert. Sie ist ungeflügelt, von Farbe braun, hat einen widrigen Geruch, und lebt vorzüglich bey uns in bewohnten Häusern, in Bettstellen, Schlafzimmern, Tapeten, und in den Wänden, wo sie sehr lästig und schwer auszurotten sind. Sie nährt sich wie der Floh und die Kopflaus hauptsächlich vom Blute der Menschen und Thiere, sonderlich der Hühner und Tauben, und vermehrt sich ungeheuer schnell. Die Wanze wird bis 6 Jahr alt, und hat ein äusserst hartes und zähes Leben; so dass der kälteste Winter sie zwar erstarren macht, aber nicht tödtet.~~50
Ad00341 03 051a/freIncectes XV. Vol. III. No. 49.
INSECTES NUISIBLES.
No. 1. La Calandre blanche.
La Calandre blanche est une véritable chenille, qui après sa transformation devient un petit papillon dé nuit appartenant dans le genre des lignes. Sous Fig. 1. on la voit dans sa grandeur naturelle. Sa longueur n'est pas tout-à-fait d'un demi pouce, et sa couleur est d'un blanc jaunâtre. Fig. a. la représente du coté supérieur et fort grossie, sous Fig. b. on la voit telle du coté inférieur. Elle est un ennemi dangereux pour les greniers, car elle se nourrit seulement de vieux grains, surtout de ceux de seigle, dont elle ronge la substance et en amasse des grands tas qu'elle enveloppe dans son filage. Après sa transformation elle a la forme d'une petite tigne brune à tâches jaunes et blanches, qu'on voit dans sa grandeur naturelle sous Fig. c. et d. et grossie sous Fig. e. et f. C'est sous cette forme qu'elle vole dans les maisons pendant la nuit, qu'elle s'accouple, et qu'elle va pondre ses oeufs en quantité prodigieuse sur des tas de grains.
No. 2. La Punaise.
Cet Insecte desagréable et odieux n'est pas originaire jehésnous il y a près de trois siècles qu'il nous a été apporté de l'Asie avec une cargaison de coton, Fig. 2. réprésente la Punaise dans sa grandeur naturelle, et Fig. g. grossie par le microscope. Elle n'a point d'ailes; sa couleur est brune, et son odeur détestable. Elle se trouve chez nous dans des maisons habitées et surtout dans les bois de lit, les chambres à coucher, les tapisseries et armoires, où elle devient d'autsnt plus insupportable, que si multipliant prodigieusement elle est très difficile d'extirper. Elle se nourrit, tout comme la puce et le pou, principalement du sang des hommes et des animaux, parmi lesquels elle préfère les poules et les pigeons. Elle peut malheureusement vivre jusqu'à sîxans, et sa vie est tellement dure, que le plus grand froid de l'hiver la fait bien s'engourdir, mais sans la tuer.
Ad00341 03 052aAuch das härteste und dichteste Holz eines Baums ist nie so ganz und dicht als ein Stein oder Metall, sondern hat, als eine Pflanze, welche wächst, seinen innern regelmässigen Bau verschiedener Gefässe, die durch ihre mechanischen Verrichtungen das Wachsen des Baums bewirken. Jeder Baum besteht aus drey Haupttheilen, nemlich; 1) dem Marke, welches den Kern ausmacht; 2) dem Holze, welches den Kern umgiebt, und die dickste Lage macht; und 3) der Rinde, welche das Holz umschliesst, und die äusserste und dünnste Lage ist. Jeder dieser 3 Haupttheile hat seine eignen Gefässe, und besteht aus unzählichen aber sehr schön geordneten Fibern, Saft- und Luft-Röhren. Diess zeigt folgende Figur.~~No. 1.b. Der Durchschnitt eines kleinen Fichtenastes,~~wo man durch Hülfe der mikroscopischen Vergrösserung, alle seine ringförmigen Lagen und die Gefässe in denselben sehr deutlich sieht. Nemlich: Fig. g. ist das Mark, welches aus einem lockeren zelligten Gewebe besteht. Fig. f.f.f.f. sind die verdichteten Jahres-Ringe, welche das Alter und den jährlichen Wuchs des Baums anzeigen, und aus enger verflochtenen Gefässen bestehen. Fig. i.i.i. sind die zwischen den Saftröhren stehenden Hauptschiede, welche aus lauter Luftröhren bestehen, und von der Rinde bis zu dem Marke fortgehen. Fig. b.b.b. sind die dazwischen stehenden Saftröhren mit ihren Holzfiebern.~~No. 1.a. Ein kleiner Holzspahn, der Länge nach geschnitten.~~No. 2. Derselbe im Ganzen vergrössert.~~No. 3. Ein Stükchen davon noch mehr vergrössert.~~In diesen 3 Figuren zeigen sich die obgedachten Gefässe des Holzes, nach einem Längenschnitte noch deutlicher. Fig. 1. a. zeigt das Spähnchen von Fichtenholze in seiner natürlichen Grösse, und Fig. 2 u. 3. dasselbe sehr vergrössert. In dieser Vergrösserung zeigen sich nun folgende Gefässe und Theile sehr deutlich.~~Fig. a.a.a.a. sind horizontal laufende Bänder von Gefässen, welche die perpendikularen durchflechten und innigst zusammen verbinden.~~Fig. b.b.b. sind die perpendikularen Gefässe, welche von zweyerley Art, neml. Luftröhrchen und Saftröhrchen sind;~~Fig. c.c. sind diese Luftröhrchen, welche innerlich lauter Luftblasen - ähnliche Kügelchen enthalten; und Fig. d.d. sind die Saftröhrchen, in welchen der Nahrungssaft des Baumes aufsteigt.~~Fig. k.k.k. sind grössere Löcher und Oeffnungen, welche sich hie und da in den Luftröhrchen finden, und vielleicht Dunstlöcher sind, welche die Natur zu Einsaugung der Luft, oder andern Zwecken bestimmt hat.~~Welche Weisheit des allmächtigen Schöpfers beweisst nicht dieser innere Bau des Holzes der Bäume!~~50