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Ad00341 03 077a/freOiseaux. XLI. Vol. III. No. 75.
OISEAUX SINGULIERS.
Fig. 1. L'Autruche d'Amérique. Dans le 1er Vol. de ce Porte-feuille N. 3. nous avons fait, connoitre l'Autruche d'Afrique, qui sut regardée àutre fois comme unique dans son genre; mais il n'y a pas longtemps qu' on en a découvert une séconde espéce dans l'Amérique méridionale. On connoit donc maintenant une Autruche du vieux Continent et une autre du nouveau. C'est cette dernière qui fe trouve representée sur la Table ci-jointe. L' Autruche d'Amérique atteint une hauteur de 6 pieds, et ses ailes déployées forment une envergure de 8 pieds. On ne la trouve que dans l'Amérique méridionale, où elle habite principalement la Guiana, l'Intérieur du Brésil, le Chili, les forets immenses au Nord de la rivière de la Plata et les contrées vastes et sablonncuses qui f étendent au sud de cette rivière. Sa nourriture est la même que celle de l' Autruche d'Afrique et cousiste dans différentes espéces de fruits et de graines. La couleur de son plumage est d'un brun-terreux qui est tantôt plus clair, tontôt plus foncé; les grandes pennes fur le dos sont blanches au coté inférieur. Cette espèce d'Autruche ne peut pas voler, aussi peu que celle d'Afrique; car à la place des ailes elle a sur les deux cotés de barbes touffues dont les fils sont flottans et flexibles. Le dos est couvert de plumes longues qui fe replient par dessus le derrière et remplacent la queue qui lui manque. Jusqu' à présent on n'a pas encore fait usage de ses plumes. L'Autruche d'Amérique a drois doigts â chaque pied, ce qui la distingue principalement de celle d'Afrique qui n'en a que deux. Elle court avec une telle rapidité qu' un chien de chasse ne peut jamais l'atteindre; pour la prendre il faut donc avoir recours à la rufe et lui tendre des filets. Dans l'Amérique on est dans l'usage de manger sa chair.
Fig. 2. Le Cygne noir de la Nouvelle Hollande. Le Proverbe: blanc comme un cygne, ne convient plus exclusivement à cet oiseau, car ily a environ dix ans qu'on a découvert dans las mers de la Nouvelle Hollande et des isles voisines une espèce de cygnes d'un noir luisant. C'eft un oiseau aussi rare que remarquable; il ressemble au Cygne blanc par la grandeur et la manière de vivre, mais il en diffère en ce que son cou est plus long, et que son plumage est noir, excepté aux ailes, dont les plumes sont d'un blanc-jaunâtre. Le bec est aussi un peu plus long que celui du cygne blanc; il est d'un rouge très vif et très foncé, et la peau nue dont il est récouvert s'étend jusque derrière les yeux.
Ad00341 03 078aFig. 1. Der Mangostan Baum. (Garcinia mangostana.)~~Das Vaterland des Mangostan-Baums, oder der Mangostan Garcinie ist Ostindien, und die nahgelegenen Inseln Sumatra, Java, Amboina u.s.w. wo er eine Höhe von 20 Fuss erreicht. Er hat handlange kurzgestielte, einandergegenüberstehende Blätter, eine dunkelrothe an den Spitzen der Zweige sitzende Blüthe, und trägt eine Frucht die an Grösse und Gestalt der gemeinen Pomeranze gleicht, anfangs weiss-grün aussieht, bey völliger Reife aber sich tief dunkelbraun färbt. Unter der äussern Schale, die scharf, und bitter ist, und von den Chinesen zum Schwarzfärben gebraucht wird, liegt ein weisses saftiges Fleisch von säuerlichen äuserst angenehmen Geschmack, so dass nicht bloss die Indianer, sondern auch alle Europäische Reisende die Mangoste für eine der schmackhaftesten Früchte halten. Auch in der Medicin rühmt man ihre Heilbringenden Kräfte besonders in allen Ruhrartigen Krankheiten.~~Fig. 2. Der Rotang od. Drachenblutbaum. (Calamus rotang.)~~Der Rotang oder Roting ist ein strauchartiges Gewächs, welches ebenfalls in Ostindien, und einigen nahgelegenen Inseln wächst. Aus seiner Mitte treibt er erstaunlich lange rohrförmige Stengel die oft die Länge von 200 bis 300 Klaftern erreichen. Sie sind mit langen gefiederten Blättern besetzt, die an ihrer Ribbe mit einer Menge kleiner Stacheln versehen sind. Diese langen biegsamen Ranken laufen auf der Erde fort, theilen sich wieder in mehrere Gelenke, aus denen von neuem Zweige hervorschiessen, die sich an nahe stehende Bäume und Sträuche anlegen, so dass manche Gegenden, wo der Rotang häufig wächst, dadurch ganz unzugängig werden. Aus seiner weiblichen Blüthe entstehen birnförmige kastanienbraune Früchte (Fig. 3), die sich büschelweisse ansetzen und einen säuerlichen Brey enthalten, der essbar ist. Kocht oder presst man diese Früchte aus, so erhält man (eben so wie auch aus einigen andern Gewächsen) eine flüssige harzige Substanz, die in Formen gedruckt wird, und erhärtet unter den Namen Drachenblut bekannt ist. Sonst brauchte man das Drachenblut auch in der Medicin, wo es aber ganz unwirksam ist. Jetzt wendet man es vorzüglich zu Lack-Firnissen und Saft-Farben an.~~Mit den schlanken Ranken und Zweigen des Rotangs wird ein beträchtlicher Handel nach Europa getrieben. Die stärkern Zweige nemlich, zumal diejenigen die sich gerade an andern Bäumen hinaufgezogen haben, nimmt man zu Handstöcken, die unter dem Nahmen der spanischen Röhre ehemals besonders einen beträchtlichen Handelsartikel ausmachten. Die dünnern Ranken, die man haufenweisse als Schiffsballast mit nach Europa bringt, werden zu verschiedenen geflochtenen Arbeiten, als Körben, Rohrstühlen, u. s. w, verbraucht.~~56
Ad00341 03 078a/frePlantes LXVIII. Vol. III. No. 76.
PLANTES MÉDICINALES.
Fig. 1. Le Mangoustan. Cet arbre est originaire des Indes Orientales et des isles de Sumatra, de Java, d'Amboina etc. Il s'élève à la hauteur de 20 pieds; fes feuilles sont de la longueur d'une main, court-pendues et opposées; ses fleurs viennent aux extrémités des branches et sont d'un beau rouge foncé. Le fruit qu'il porte ressemble aux Oranges tant par la grosseur que par la forme; il est d'abord d'un verd blanchâtre, mais à sa maturité il devient d'un brun très foncé et presque noir. Sous sa peau extérieure qui est amère et dont les teinturiers Chinois sont la base et le fondement d'une couleur noire, il se trouve une chair blanche remplie de suc et d' un goût suave et rafràichissant. Ce fruit est généralement reconnu, non seulement par les Indiens mais aussi par les voyageurs Européens, pour le meilleur et le plus délicieux qui soit dans l'Inde. On fair aussi l'éloge de fes vertus dans la Médecine, et surtout dans les maladies dyssenderiques.
Fig. 2. Le Rotin ou Rotang. Le Rotin est une espece de builfons, qui croit également dans les Indes Orientales et les Isles voifines. De son milieu il pousse des tiges qui ressemblent à des roseaux et dont la longueur s'élève souvent à 200 jusqu' à 300 toises. Elles porteur des feuilles longues, empennées et dont les côtes sont très-garnies de petites epines. Ces tiges longues et flexibles rampent sur la terre, se divifent encore en plusieurs articulations, dont chacune pousse de nouvelles tiges, qui s'attachent aux arbres et buissons voisins, de manière quo des contrées où le Rotin croit en abondance, en deviennent absolument inactessibles. De fes fleurs blanchâtres il nait des fruits de couleur châtain et en forme de poires; (Fig. 3) ils viennent en bouquets et contiennent une espéce de bouillie d'un goût aigre doux, et bonne â manger. Par l'expression ou par la cuisson on retire de ces fruits, ainsi que de quelques autres plantes, une Substance liquide et résineuse, qu'on verfe dans des moules et qui étant fechée porte le nom de Sang de dragon. On en faisoit usage outre fois dans la medicine, mais il est prouvé aujourd' hui qu'il ne produit point dr effet. Il n'est donc plus emploie que dans la préparation de vernis et de couleurs faites du suc d'herbes. Avec les branches flexibles du Rotin il se fait un Commerce considérable en Europe, car les plus fortes, et furtout celles qui en s'attachant aux arbres ont poussé des jets tout droits, servent de bâtons pour l'appuyèr en marchant; elles sont connues sous le nom de Cannes et faisoient autrefois un Article de Commerce très important. Les branches plus foibles et menues, dont les vaisseanx qui partent pour l'Europe chargent des quantités énormes pour du lest, sont fendues par lanières et on en fait des corbeilles, des chaises et diiférentes autres meubles.
Ad00341 03 079aFig. 1. Wilder Hund aus Cayenne.~~Diese merkwürdige Art wilder oder vielmehr verwilderter Hunde lebt in den Wäldern von Cayenne, wo sie in kleinen Rotten umherstreifen, sich von mehrern kleinen Thieren nähren, in deren Ermangelung aber auch Früchte fressen. Sie haben kurze aufrechtstehende Ohren, spitzigen Kopf, dicken Leib, kurze Beine, und einen nicht gar langen dünnhaarigen Schwanz. Die Länge des Cayennischen Hundes beträgt 2 Fuss 4 Zoll. Die Farbe seiner-Haare, die 2 Zoll lang sind, ist auf dem Rücken schwarz, und geht nach und nach in das Fahlgelbe über, welches an den Füssen am lichtesten ist. Der Kopf ist oben rothbraun, die Backen und Kehle weiss, die Schnauze schwarz. Er lässt sich übrigens nur sehr schwer zähmen.~~Fig. 2. Der grosse Wolfshund.~~Das Vaterland dieses schönen Hundes ist Spanien, und den Namen Wolfshund hat er von der Ähnlichkeit mit diesem Raubthiere. Das zottige Haar, welches hier schwarzbraun und weiss erscheint hat eine ungleiche Länge. Am Schwanze, wo es am längsten ist, blähen sich die 6 Zoll langen weichen Haare gleich einem schönen Federbusche auf.~~Der grosse Russische Hund. Fig. 3. Der Hund. Fig 4. Die Hündin.~~Der sogenannte Russische Hund übertrifft an Grösse selbst den grossen Dänischen. Sein Leib ist wie beym Windhunde lang gestreckt, und verdünnt sich nach hinten zu. Er hat für seine Grösse einen sehr kleinen Kopf, mit dünner zu gespitzter Schnauze; die Beine sind schlank, und den dick behaarten Schwanz trägt er gewöhnlich halb aufgeschlagen. Der Hund (Fig. 3.) ist ganz weiss, bis auf die Ohren, und einige darunter liegende Flecken, die grau sind. Die Hündin, (Fig. 4.) hat einen schlankern dichter behaarten Leib als der Hund, und ist auch etwas kleiner. Die weisse Grundfarbe ihres Haars ist häufig mit grossen aschgrauen Flecken untermischt.~~Der Wolfs Bastard Hund. Fig. 5. Der Hund. Fig. 6. Die Hündin.~~Diese merkwürdige Abart von Hunden hat zum Vater einen Jagdhund, zur Mutter eine Wölfin, die sie 1773 in Frankreich warf. Der Hund (Fig. 5.) war ausgewachsen 3 Fuss lang, und 22 Zoll hoch, vom Fusse bis an die Schulter nemlich. Vom Vater hatte er den ganzen Hundskopf, von der Mutter aber die aufrechtstehenden Ohren, und den förmlichen Wolfsschwanz. Seine Farbe war eine Abwechselung von Hellbraun und Fahlgelb. Seine Stimme glich mehr dem Wolfsgeheul als dem Bellen eines Hundes. Er besass eine außerordentliche Gefrässigkeit, und war so wild und umbändig, dass ihm nichts als die Freyheit fehlte, um ein vollkommener Wolf zu seyn. Die Hündin (Fig. 6.) hingegen besass, ob sie gleich dem Kopfe und übrigen Bau nach völlig der Wölfin glich, und vom Jagd-Hund, nur den kurzen abgestuzten Schwanz hatte, ungleich mehr Sanftheit und Geselligkeit. Ihre Stimme glich den Bellen eines heisern Hundes. Die Hauptfarbe ihres Fells war schwarzbraun, welches am Bauche in das Graue überging. Sie zeigte übrigens grosse Gewandheit, und sprang mit Leichtigkeit über ziemlich hohe Mauern.~~56
Ad00341 03 079a/freQuatrupèdes LXIII. Vol. III. No. 77.
DIFFERENTES ESPECES DE CHIENS.
Fig. 1. Le Chien Sauvage de Cayenne. Ces chiens naturellement sauvages, ou qui le sont devenus, se trouvent dans les forêts de Cayenne, ou-ils se rassemblent par troupes et se nourrissent de plusieurs petits animaux; à leur défaut cependant ils mangent aussi des fruits. Ils ont les ure illes petites et droites, la tête alongée, le corps très gros, les jambes courtes et une queue de moyenne longueur et peu garnie de poils. La longueur de la taille est de 2 pieds 4 pouces et celle de ses poils de 2 pouces; leur couleur est noire sur le dos, varie petit à petit dans le fauve et devient très claire aux pieds. Le sommet de la tête est d'un brun-rougeâtre, les joues et la gorge sont blanches et le museau noir. Il est très difficile de les apprivoiser, à moins qu'on ne les prenne fort jeunes.
Fig. 2. Le grand Chien-Loup. Cette belle espece de chiens est originaire dans l'Espagne et doit son nom à sa ressemblance avec le loup. Son poil long et rude est d'une longueur inegale; la couleur est blanche et d'un brun-noir; à la queue ce poil est le plus long et souvent de 6 pouces; il est très foyeux et frise comme le plus beau panache. Le grand Chien de Russie.
Fig. 3. Le Chien. Fig. 4. La Chienne. Cette espèce surpasse toutes les autres en grandeur, et même le grand Danois. Son corps est effile comme celui du Lévrier, et devient plus mince à sa partie posterieure. Il a la tète trop petite en proportion de sa taille, et son museau est mince et alonge. Les pieds sont longs; sa queue est garnie d'un poil touffu et il la porte ordinairement de moitié retrousseé. Le Chien (Fig. 3.) est tout à fait blanc, excepté les oreilles et quelques taches à coté d'elles, qui sont grises. La Chienne (Fig. 4.) a le corps encore plus effilé et plus richement garni de poils que le Chien; mais sa taillé est un peu plus petite. Le fond blanc du poil est entremêlé de beaucoup de grandes taches d'un gris cendré. Le Chien-Loup bàtart.
Fig. 5. Le Chien. Fig. 6. La Chienne. Cette variété remarquable de chiens provient d'un chien de chasse et d'une louve, qui l'a mis bas en france en 1773, Le Chien (Fig. 5.) ayant achevé de croître etoit d'un longueur de 3 pieds et d'une hauteur de 22 pouces, à compter depuis les pieds jusqu' au sommet de la tête. II avoit reçu du père une véritable tête de chien, et de la mère les oreilles droites et la queue de loup. Sa couleur etoit un mélange de brun clair et de fauve. Sa voix ressembloit plutôt au hurlement des loups qu'ai'aboiement des chiens. Il etoit d'une voracité tout-à fait extraordinaire et tellement féroce et indomptable qu'il ne lui manquoit que la liberté pour être loup dans la force du terme. La Chienne (Fig. 6.) ressembloit absolument à la louve par la tête et toute la forme du corps, et ne tenoit du chien de chasse que la queue écourtée, mais malgré cela eile étoh beaucoup plus traitable, douce, sociable et amie del'homme. Sa voix ressembloit à l'aboiement d'un chien ranque. Le fond de sa peau étoit d'un brun noir, qui au ventre varioit dans le gris. Elle possedoit d'ailleurs une grande agilité et pouvoit franchir fans peine des murs assés élevés.
Ad00341 03 080aDie Wachteln gehören auch zum Geschlechte der Waldhühner, wie die Rebhühner, die wir im 55. Hefte kennen lernten, und in ihrem ganzen Bau, Lebensart und Aufenthalte zeigen sie mit den Ieztern eine nahe Verwandschaft.~~Fig. 1. Die gemeine Wachtel. (Tetrao coturnix.)~~Die gemeine Wachtel, als schmackhafte Speise und als angenehmer Stubenvogel allgemein bekannt, bewohnt fast die ganze alte Welt; denn vom Vorgebürge der guten Hoffnung an bis nach Island, vom weltlichen Ende von Europa bis nach China hin findet man sie. Ihre Länge beträgt 8 Zoll, und die Farbe ihres Gefieders besteht aus einer angenehmen Mischung von schwarzbraun, rostbraun, bald heller bald dunkler, gelblich- und schmutzig weiss. Sie hält sich vorzüglich gern in Weizenfeldern auf, wo sie auch nistet, und 8 bis 14 Eyer ausbrütet. Ihre Nahrung besteht, wie die des Rebhuhns, in Körnern, mehrerley Gesämen und Insecten. Sie gehört in Teutschland zu den Zugvögeln, denn gegen Ende des Septembers und Anfang Octobers zieht sie des Nachts in Schaaren weg, bringt den Winter in Afrika zu, und kehrt erst mit Anfang des Maies zu uns zurück. Auf ihrer Reise wird die gemeine Wachtel an den Küsten des Mittelländischen Meeres und auf den nahegelegenen Inseln, wo sie zweymal des Jahrs in ungeheuren Schaaren ankommt, und ermattet von der weiten Seereise ausruht, tausendweise gefangen.~~Fig. 2. Die Haubenwachtel. (Tetrao cristatus.)~~Die Hauben-Wachtel bewohnt Mexico und Guiana, hat die Grösse und Gestalt unserer Wachtel, unterscheidet sich aber von ihr durch den zolllangen Federbusch am Oberkopfe, und durch die verschiedene Färbung ihres Gefieders, welches am Halse und Bauche rothbraun ist. Die schmuzigbraunen Flügelfedern sind weiss gesäumt.~~Fig. 3. Die Chinesische Wachtel. (Tetrao sinensis.)~~Diese kleine Wachtelart ist nur 4 Zoll lang und bewohnt China nebst den Philippinischen Inseln. Die Hauptfarbe ihres Gefieders ist dunkel roth, braun; der Hals ist weiss, und hat an der Kehle ein schwarues (sic) Band. Die Chinesen tragen sie im Winter mit sich, um die Hände daran zu wärmen.~~Fig. 4. Die schwarzhälsige Wachtel. (Tetrao nigricollis.)~~Sie lebt auf der Insel Madagaskar, hat die Grösse unserer Wachtel, ist auf den Rücken schwarzbraun, auf den Flügeln aber rothbraun und weiss geschäckt. Bauch, Schenkel und After sind aschfarben. Die Seiten der Brust gelbroth, die Kehle schwarz. An den Füssen fehlt ihr die Hinterzehe.~~Fig. 5. Die Louisianische Wachtel. (Tetrao Mexicanus.)~~Hat die Grösse der vorigen, lebt in Mexico, Luisiana und andern Amerikanischen Ländern. Sie hat einen rothen Schnabel und Füsse, unter dem Auge einen schwarzen Streif; Rücken und Flügel sind roth- und gelbbraun. Hals und Bauch weiss, mit wellenförmigen Flecken geziert.~~Fig. 6. Die Maluinische Wachtel. (Tetrao Falklandicus.)~~Sie bewohnt die Maluinischen oder Falklands-Inseln, und ist so gross wie die gemeine Wachtel. Der Schnabel ist bleyfarben, die Füsse sind rothbraun, der Bauch weiss, und der übrige Körper bräunlich gelb gefärbt.~~56
Ad00341 03 080a/freOiseaux. XLII. Vol. III. No. 78.
DIFFERENTES ESPECES DE CAILLES.
LesCailles appartiennent dans l'Ordre des Gelinottes aussi bien que les Perdrix, que nous avons fait connoitre dans le 55 me Cahier de ce Porte feuille, et avec lesquelles les Cailles ont bien des rapports dans l'extérieur, le genre de vie et le séjour.
Fig. 1. La Caille ordinaire. La Caille ordinaire, qui est généralement estimée par sa chair succulente et son ramage agréable, est originaire dans tout l'ancien monde, et le trouve dans presque tous les pays depuis le Cap de Bonne Esperance jusqu' en Islande, et depuis les extrémités Occidentales de l'Europe jusqu'en Chine. Sa longueur est de 8 pouces et la couleur de son plumage est un mélange agréable de brun noir, de roux, qui est tantôt plus foncé, tantôt plus pâle, de jaune et d'un blanc-sale. On la trouve préférablement dans les blèds froments, dans lesquels elle sait aussi son nid et couve 8 â 14 oeufs. Sa nourriture est la même que celle des perdrix et consiste en blé, quelquesautres graines et en Insectes. Les Cailles ordinaires sont des oiseaux de passage; vers la fin du mois de Septembre et au commencement de l'Octobre el les s'en vont en quantité passer l'hiver en Afrique, et n'en reviennent chez nous qu' au commencement du Mai. Elles voyagent toujours la nuit et fe réposent pendant le jour. Dans les deux voyages, en allant et en revenant, elles arrivent en très grand nombre, fatiguées du long chemin, sur les côtes et les isles de la Méditerranée pour s'y réposer, et y sont prises alors par milliers dans des filets.
Fig. 2. La Caille huppée. Elle habite le Mexique et la Guyane. Sa grandeur et fa forme sont les mêmes que celles de la nôtre, mais elle en diffère par une huppe, longue d'un pouce q'elle a sur le sommet de la tête, ainsi que par les couleurs du plumage, qui eu cou et au ventre sont d'un brun-sale et entourées d'un bord blanc.
Fig. 3. La Caille de la Chine. Cette petite espéce de Cailles n'a que 4 pouces de longueur et habite la Chine et les Philippines. Le fond de son plumage est d'un brun-rougeâtre très foncé; son cou est blanc et la gorge entourée d'une bande noire. Les Chinois ont l'usage de les porter avec eux pendant l'hiver pour s'en chauffer les mains.
Fig. 4. La Caille â gorge noire. Elle se trouve â Madagascar et sa longueur est celle de la Caille ordinaire. Le plumage de son dos est d'un brun-noirâtre, mais celui des ailes d'un brun rou eàtre et moucheté de blanc. Le ventre, les cuisses et le derrière sont d'un griscendré, les cotés de la poitrine d'un rouge-jaunâtre et la gorge est noire. Ses pieds n'ont que trois doigts et celui de derrière lui manque.
Fig. 5. La Caille de la Louisiane. Elle a la grandeur de la précédente et vit dans le Mexique, la Louisiana et d'autres contrées de l'Amérique. Son bec et fes pieds sont rouges; an dessous des yeux elle a une bande noire, le dos et les ailes sont d'un brun rongeâtre. Le cou et le veutre sont blancs et parsemés de tache ondoyantes.
Fig. 6. La Caille des Isles Malouines. Elle habite les isles Malouines et sa grandeur est la même que celle de la Caille ordinaire. Le bec est de couleur de plomb, les pieds sont d'un brun-rougeâtre, le ventre est blanc et tout le reste du corps est d'un brun-jaunâtre.
Ad00341 03 081aViele Quellen und Bäche unseres Erdbodens lösen, indem sie über Kalkgebirge hinströmen, eine grosse Menge Kalkerde auf, und führen sie im aufgelössten Zustande fein zertheilt mit sich fort. Treffen nun diese Gewässer in ihrem Laufe auf Felsenhöhlen, die im Innern der Erde so häufig sind, und werden da in mehrere dünnere Strahlen zertheilt, so setzt das herunterströmende und herabträufelnde Wasser feine Kalktheilchen an den Seiten-Wänden, an der Decke, und am Boden der Höhle in den mannichfaltigsten Formen, als Zapfen, Röhren, Trauben u.s.w. wieder ab, und dieses ist der sogenannte Tropfstein.~~Können diese senkrecht herabfallenden feinen Wasserstrahlen dieses Absetzen ihrer Kalktheilchen Jahrhunderte lang ungestört verfolgen, so setzt sich der Tropfstein, der Anfangs nur eine kleine Erhabenheit an der Decke bildete, nach und nach durch das fortdauernde Hinzukommen neuer Kalktheilchen in Form eines ungeheuren Zapfens an, der bisweilen selbst den Boden der Höhle erreicht.~~Oft stossen eine Menge solcher Zapfen die nahe an einander liegen, zusammen, und bilden nun majestätische Säulen; d (sic) Felsengewölbe zu unterstützen scheinen. Unter den auf diese Art durch die Natur selbst verzierten Höhlen nimmt die auf gegenwärtiger Tafel abgebildete~~Tropfstein Höhle bey Slains in Nordschottland~~einen vorzügl. Platz ein. Diese Bewunderungswürdige Höhle liegt in dem nördlichen Theile von Schottland, neben den Ruinen des alten Familienschlosses Slain, welches vor Zeiten die Grafen von Huntly besassen.~~Ein gefährlicher steiler Abhang führt in das Innere der Hökle (sic). Hier erblickt man am hohen Felsen Gewölbe unzählige Tropfstein-Zapfen, die senkrecht neben einander gereiht herabhängen, und den Eindruck, den man beym ersten Eintritt in die Höhle empfängt, noch vermehren.~~Hie und da stehen gewaltige Tropfstein Pfeiler, die vom Boden bis zur Decke der Höhle ununterbrochen fortlaufen, und in einiger Entfernung den täuschenden Anblick cannelirter Säulen gewähren. Eine schwache Beleuchtung, die bloss vom Eingang in die Höhle herrührt, vermehrt noch das Grausenvolle dieser erhabenen Naturschönheit.~~56
Ad00341 03 081a/freMélanges. XXX. Vol. III. No. 79.
LA CAVERNE DE STALACTITES près de Slain, dans l'Ecossè Septentrionale.
Il y a beaucoup de ruisssaux et sources sur notré Globe, qui, en traversant des montagnes de pierres calcaires, en détachent une grande quantité de particules, les décomposent, et les emportent dans leur cours. Lorsque ces eaux charient ces parties calcaires dans des cavités souterraines, qui sont si fréquentes dans l'intérieur de la terre, et que l'eau, étant filtrée à travers des terres ou pierres poreuses, se divise dans de petits filets, elle dépose ses parties calcaires aux parois, aux voûtes et sur le fonds de la Caverne, où elles s'attachent, prennent de la consistance et admettent différentes formes, telles que des tuyaux, des grapes, des quilles etc. C'eft a ces Concrétions de figure variée et bizarre qu' on donne le nom de Stalactites. Quand ces cristallifations commencent a se former, elles ne sont pas pins grosses qu' une goutte d'eau, qui en est la mesure; mais si ces petits filets d'eau, suspendus perpendiculairement aux vôutes, peuvent continuer fans interruption, pen dant une suite de fiécles, à déposer leurs partiescalcaires, les Stalactites s'élargissent et s'alongent successivement, et forment souvent des quilles immenses, dont la pointe gagne â la fin le sol inférieur de la Caverne. II n'est pas rare de voir plusieurs de ces quilles réunies ensemble; elles forment alors des colonnades imposantes, qui semblent soutenir la vôute de la Caverne. Parmi les Cavernes décorées de cette manière par les mains même de la Nature, celle qui est représentée sur la Table ci-jointe et qui est la fameuse Caverne de Stalactites, près de Slain dans l'Ecosse Septentrionale, tient un rang des plus distinguée. Elle se trouve, dans la partie septentrionale de l'Ecosse, près des ruines du vieux château de Slain, qui avoit appartenu auicefois aux Comtes de Huntly. Une pente rapide et dangereuse conduit dans l'intérieur de la Caverne. L'étonnement et la surprise, dont en est frappé à la première entrée, augmentent encore par la vüe du nombre infini de Stalactites qui pendent perpendiculairement aux voûtes immenses de la Caverne rangées l'une à coté del' autre. On y trouve aussi plusieurs Colonnes de Stalactites, qui s'étendent sans interruption depuis la voûte jusqu' au sol, et que dans quelque éloignement en est tenté de prendre pour des Colonnes cannelées. Un jour foible qui vient seulement par l'entrée, augmente sa frayeur dont on est saisi en admirant cette production merveilleuse de la Nature.
Ad00341 03 082aFig. 1. Das Schnabelthier. (Ornithorhynchus paradoxus.)~~Man hielt es in der Naturgeschichte immer für durchaus unmöglich, dass es ein vierfüssiges Thier geben könne, welches einen Vogelkopf oder Vogelschnabel hätte. Doch das vor einigen Jahren entdeckte und hier abgebildete sogenannte Schnabelthier zeigte auf einmal die Nichtigkeit jener Behauptung, und lehrt uns von neuem, dass man über den unerforschlichen Gang der Natur nie zu gewagte Urtheile fällen müsse.~~Das merkwürdige Schnabelthier entdeckte man in Menge in einem Landsee auf Neuholland. Es hat, den Schnabel ausgenommen, die Gestalt einer kleinen Fischotter, und ist 17 Englische Zoll lang. Sein ziemlich langes glänzendes Haar ist auf dem Rücken schwarzbraun, am Bauche aber gelblich grau. Der breite kurze, etwas aufwärts gebogene Schwanz ist mit straffen fast borstenartigen Haaren dicht besetzt. Die kurzen Füsse haben 5 Zehen, durch eine Schwimmhaut verbunden, welche an den Vorderfüssen einige Linien über die Zehen hervorragt. Die Augen und Ohren sind unverhältnissmässig klein. Das Sonderbare dieses Thiers besteht aber nun darin, dass es statt des gezähnten Mauls, einen förmlichen 1 1/2 Zoll langen Entenschnabel hat, in den wie bei jenen Vogel eine Menge Nerven auslaufen, und so das Thier geschickt machen, auch unter dem Wasser, wo es sich meistens aufhält, durch das Tasten seine Nahrung zu suchen.~~Fig. 2. zeigt den sceletirten Kopf und Schnabel dieses Thiers um mehreremal vergrössert, wodurch sich der Einwurf mehrerer Naturforscher, als sey der Schnabel durch betrügerische Naturalienhändler an die ausgestopften Exemplare dieses Thier künstlich angesetzt worden, auf einmal hob. Die häufig auslaufenden Nerven sind mit b bezeichnet. aa bedeutet den gefurchten Rand des Unterschnabels. c. zeigt die innere Höhlung des Schädels, die durch ein weggebrochenes Knochenstück sichtbar wird.~~Fig. 3. a. und b. Der Canadische Springer. (Jaculus Canadensis.)~~Bisher war die Gattung der Springer nur in der alten Welt bekannt, von denen wir im I. B. No. 93. 4 verschiedene Arten kennen lernten. Der Engländer Thomas Davies entdeckte aber auch in der Neuen Welt, in der Provinz Canada bei Quebeck eine neue bisher unbekannte, Art davon, die wir hier abgebildet sehen. Fig. a. stellt das niedliche Thierchen aufrecht dar, wie es sich eben zum Sprunge fertig macht. Bey Fig. b. erscheint es zusammengerollt im Winterschlafe. Die Farbe des Kopfes und des Oberkörpers ist röthlichgelb. Am Halse und am Bauche ist es weiss. Vermöge seiner langen Hinterfüsse thut es 4 bis 5 Ellen weite Sätze und erhebt sich dabei 12 bis 14 Zoll hoch.~~56
Ad00341 03 082a/freQuatrupédes. LXIV. Vol. III. No. 80.
ANIMAUX SINGULIERS.
Fig. 1. L'Ornithorynche. L'es Naturalistes ont de tout tems contesté la possibilité que la Nature ait pu produire un Quatrupéde doué d'une tête ou d'un bec d'oiseau. Mais la nullité de leur afsertion a été complètement prouvée il y a quelques années par la découverte du l'Ornithorynche, qui est repressenté sur la Table cijointe, et cette circonstance peut de nouveau servir de leçon, qu'on ne doit jamais porter des jugemens trop bazardés sur les voies impénétrables de la Nature. On a trouvé cet animal remarquable dans la nouvelle Hollande, où il vit en grande quantité dans un lac. Au bec prés sa figure ressemble a cette d'une petite loutre, et sa longueur est de 17 ponces d'Angleterre. Son poil assés long et luisant est d'un brun noirsfur le dos et d'un gris-jaunâtre an ventre. Il a une queue courte, large, un peu recourbée et toute garnie de poils rudes, semblables à ceux de cochons. Ses pieds sont petits; ils ont chacun cing doigts unis cusemble par une membrane, qui aux pieds de devant passe les doigts de quelques lignes. Les yeux et les oreilles sont du'nepetitesse disproportionnée. Ce qu'il y a cependant de plus singulier dans cet animal c'eft qu' au lien de bouche dentée il a un véritable bec de canard, il aboutit un grand nombre de nerfs, ce qui met l'animal en état de chercher sa nourriture parle moyen de 1'attouchement en dessous de l'eau, où il se tient fréquemment. Sous (Fig. 2.) on voit un squelette grossi de làtête et du bec de cet animal; l'objection faite par quelques Naturalistes, comme si par une fourberie de la part des marchands de curiosités naturelles ce bec avoit été attaché adroitements aux exemplaires rembourrés qu'on en possedoit, en est souverainement refutée. Les nerfs, qui abontissent dans le bec, sont marqués de b sur le tableau cijoint; aa fignisie le bord inférieur du bec; c fait voir la cavité intérieure du crane, qu'on peut voir ici destindement, parcequ'on a arraché une partie de l'os qui le couvroit.
Fig. 3. Le Sauteur du Canada. Le genre des Sauteurs ne fut connu jusqu' ici que dans láncien monde, et nous en avons donné la description de 4 especes différentes dans le cer Vol. N. 93. Mais un anglois, nommé Thomas Davies, a découvert aussi dans le nouveau monde, savoir dans la province de Canada prés de Québec, une espèce de ces Sauteurs, qui auparavant avoit été absolument inconnue; elle se trouve representèe sur la Table ci-jointe. Sous fig. a. on voit ce petit animal élégant placé debout sur ses pieds de derrière et prêt a fauter; fig. b. le fait voir plié en rouleau et dans son àssoupissement d'hiver. La couleur de son poil est d'un jaune-rougeàtre à la tête et sur la partie supérieure du corps, mais blanche au cou et au ventre. Par le moyen de ses longues jambes de derrière il franchit d'un saut des intervalles de 4 à 5 aunes en s'élevant de 12 jusqu' à 15 pouces en l'air.
Ad00341 03 083aDas Geschlecht der Finken unterscheidet sich von andern Singvögeln vorzüglich durch den kegelförmigen, geraden und zugespitzten Schnabel. Die Arten, deren wir bis jetzt 110 kennen, empfehlen sich theils durch ihr schönes Gefieder, theils durch ihren angenehmen Gesang. Blos 13 dieser Arten leben bey uns in Teutschland.~~Fig. 1. Der gemeine Finke. (Fringilla Coelebs.)~~Der gemeine Finke ist allenthalben seines muntern Gefieders und angenehmen Gesanges wegen beliebt, und wird deswegen auch häufig als Stubenvogel gehalten. Den Namen hat er von dem Laute, Fink! Fink! den er des Tages so oft ruft, erhalten. Seine Länge beträgt 7 1/4 Zoll, die Breite mit ausgespannten Flügeln 11 Zoll. Das Weibchen unterscheidet sich von dem hier abgebildeten Männchen dadurch, dass es kleiner, und schmutziger von Farbe ist. Der gemeine Fink bewohnt ganz Europa und einige Theile von Afrika. Im October zieht er aus unsern Gegenden bis auf wenige zurückbleibende, weg, und kömmt im März zurück. - Seine Nahrung besteht aus mehrern Gesämen und Körnern.~~Fig. 2. Der Bergfink. (Fringilla montifringilla.)~~Der Bergfink ist so gross als der gemeine Fink, aber noch schöner, da sein Gefieder aus einem abwechselnden glänzenden Schwarz, Hoch- und Orangengelb besteht. Er bewohnt das nördliche Europa, kommt aber im Winter auf seinen Zügen auch in unsere Gegenden, wird da von den Vogelstellern häufig gefangen, und auch als Stubenvogel gehalten. Seine Stimme besteht in einem unangenehmen Quäken. Uebrigens nährt er sich wie der gemeine Fink.~~Fig. 3. Der Schneefink. (Fringilla nivalis.)~~Ist selten in Teutschland, und bewohnt die höchsten Gebirge der Schweiz, Frankreichs und Persiens. Sein Gefieder besteht aus einer sanften Mischung von gelblich weiss, aschgrau und braun. Er ist 8 Zoll lang.~~Fig. 4. Der Haussperling. (Fringilla domestica.)~~Dieser listige verschlagene Vogel, der sich allenthalben nah an die Wohnungen der Menschen ansiedelt, bewohnt ganz Europa, Asien, und einen Theil von Afrika. Er ist kleiner als der gemeine Fink. Da der Sperling eben sowohl von Raupen und Insekten, als von Körnern und Gesämen lebt, so möchte sein Nutzen fast eben so gross, als sein Schaden seyn. Sein Fleisch ist wie das aller hier angegebenen Finkenarten, wohlschmeckend und essbar.~~Fig. 5. Der Feldsperling. (Fringilla montana.)~~Ist kleiner als der Haussperling. Seine Farbe besteht aus abwechselnden hell rothbraun und weiss. An der Kehle hat er einen schwarzen Ring. Er bewohnt wie der vorige ganz Europa, lebt im Sommer in den an Getreidefelder stossenden Gebüschen, nistet in hohlen Bäumen, und zieht im Winter nach den Wohnungen der Menschen.~~Fig. 6. Der Graufink. (Fringilla petronia.)~~Ist der kleinste der hier abgebildeten Finkenarten, denn seine Länge beträgt nur 6 3/4 Zoll. Er lebt in mehrern Ländern von Europa, ist in Teutschland aber selten. Der Kopf und der Rücken ist rothbraun, der Bauch röthlichweiss, die untere Seite des Halses gelb.~~57
Ad00341 03 083a/freOiseaux. XLIII. T. III. No. 81.
PINCONS DE DIFFERENTES ESPECES.
Le genre des Piçons se d'istingue particulièrement des autres oiseaux à chant, par son bec conique, droit et pointu. De 110 especes que nous connoissons, les unes sont recommandables par la beauté de leur plumage, et les aurtres par leur chant agréable. Nous n'en avons que 13 de ces espèces en Allémagne.
Fig. 1. Le Pinçon ordinaire. Le Pinçon ordinaire plait par tout a cause de son joli plumage et de son agréable gosier; c'est pourquoi il est consideré comme oiseau de volière. Il a sept pouces un quart de longueur et onze d'envergure. La femelle diffère du male, qui est ici répresenté, en ce qu'elle est plus petite, et a des couleurs moins brillantes. Le Pinçon ordinaire sè trouve par toute l'Europe et dans quelques parties de l'Afrique. Excepté quelques uns qui restent en arrière, il quitte nos contrées en Octobre, pour revenir vers le mois de Mars. Il se nourrit de. plusieurs fortes nie semences, et de graines.
Fig. 2. Le Pinçon d'ardenne. Il est aussi grand que le pinçon vulgaire, mais encore plus beau, son plumage étant varié de noir, jaune clair et orange. Il habite le nord de l'Europe, passe en hiver dans nos contrées, ou les oiseleurs en sont de grandes, captures; il est aussi regardé comme oiseau de volière. Son chant consiste dans un cris desagreable. Au reste il se nourrit comme le pinçon ordinaire.
Fig. 3. Pinçon de Neige ou Niverolle. Il se trouve rarement en Allemagne et habite les plus hautes montagnes de la Suisse, de la France et de la Perse. Les Couleurs de son plumage consistent en un mélange doux de blanc jaunâtre, de gris cendré et de brun. Il a 8 pouces de long.
Fig. 4. Le Moineau. Cet oiseau fin et ruse qui ne s'eloigne jamais des habitations des hommes, se trouve dans toute l'Europe, en Asie, et dans une partie de l'Afrique. Il est plus petit quele pinçon ordinaire. Comme le moineau se nourrit autant de chenilles et d'insectes que de graines et de femences, on pourroit le regarder comme aussi utile que nuisible. Sa chair de même que celle de toutes les espéces de pinçons dont nous avons fait, mention est savoureuse et mangeable.
Fig. 5. Le Friquer. Il est plus petit que le moineau. Sa couleur est varié de brun clair, brun rougeâtre et blanc. Il a un anneau noir à la gorge; Comme le précédent on le rencontre dans toute l'Europe; il vit pendant l'e dans les brouissailles qui avoisinent les champs de bled, niche dans des creux d'arbres, et sapproche en hiver des habitations des hommes.
Fig. 6. La Soulcie. C'est la plus petite espèce de pinçon, representé ici; car sa longueur n'est que de fix pouces trois quarts. Il se trouve dans plusieura pays de l'Europe, mais il est rare en Allemagne. La tète et le dos sont d'un brun rougeâtre; leventre d'un blanc rougeâtre, la partie inférieure du cou, jaune.
Ad00341 03 084aFig. 1. Die Fliegenfalle der Venus. (Dionaea muscipula.)~~Die Fliegenfalle der Venus ist wegen der grossen Reizbarkeit ihrer Blätter eine höchst wunderbare Pflanze. Das Ende der rund um den Stengel herumsitzenden Blätter, theilt sich in zwey ovale Flügel oder Lappen mit langen spitzigen Borsten versehen. Ihre drüsigte röthliche Oberfläche schwizt ein süsses klebriges Wesen aus, welches die Insekten zu ihrem Verderben anlockt; denn so wie ein Insekt nur die Oberfläche dieser Lappen berührt, so schliessen sie sich vermöge ihrer natürlichen Reizbarkeit augenblicklich so fest zu, dass man das Inseckt, ohne die Klappen zu zerreissen, durchaus nicht lebendig wieder daraus befreyen kann. Sucht es sich selbst durch Bewegungen aus seiner Gefangenschaft zu befreyen, so zieht sich die dadurch, noch mehr gereizte Pflanze nur noch fester zu. Hat der Reiz durch den Tod des Insects aufgehört, so thun sich die Klappen von selbst wieder auf, und das Insekt fällt heraus.~~Das Vaterland dieser merkwürdigen Pflanze sind die beyden Carolinen im Nördlichen Amerika. Aus der Mitte der Blätter treibt sie einen 6 Zoll hohen Stengel, an dem die milchweissen Blüthen, jede. an einem besonderen Stengel, sitzen. Ohngefähr vor 30 Jahren wurde sie zuerst nach England gebracht, wo man sie Anfangs mit mehrern hundert Thalern bezahlte; jetzt kann man sie dort für 8 bis 10 Thaler haben.~~Fig. 2. Der bewegliche Süssklee. (Hedysarum gyrans.)~~Eben so merkwürdig, als die vorige Pflanze ist der hier abgebildete bewegliche Süssklee, der durch Cooks Erste Reise aus dem innern Bengalen zu uns kam. Diese Pflanze wird 2 bis 2 1/2 Fuss hoch, und hat scharlachrothe himmelblau gesäumte Blüthen. Auch hier ist es die Bewegung der Blätter, was diess Pflanze so sehr auszeichnet.~~Die an dem Haupt-Blattstiele sitzenden grossen Blätter nemlich zeigen vom Aufgange bis zum Untergange der Sonne eine unwillkührliche durch das Sonnenlicht hervorgebrachte Bewegung. Sie richten sich bey Sonnenaufgang aus ihrem nächtlichen Pflanzenschlafe, in welchem sie schlaff herabhängen, auf, und bleiben in zitternder Bewegung bis zu Sonnen Untergang. Noch merkwürdiger aber ist die zweyte willkührliche Bewegung der beyden am grossen Blattstiele sitzenden Seitenblättchen. Diese Seitenblättchen sind nemlich Tag und Nacht, ohne durch Veränderung des Lichts oder der Witterung zu leiden, in steter Bewegung; wenn das eine in die Höhe steigt, so sinkt das andere bis an den Blattstiel herab, und so dauert dieser Kreislauf ununterbrochen fort. - Nach Entdeckung dieser Pflanze kömmt also die willkührliche Bewegung, ausser dem Thierreiche auch noch dem Pflanzenreiche zu, woran bisher die Naturforscher zweifelten.~~57
Ad00341 03 084a/frePlantes. LXIX. Vol. III. No. 82.
PLANTES ADMIRABLES.
Fig.1. Dionée hapante. C'est un très singuliere plante, a cause de la grande irritabilité de ses feuilles. Le bout des feuilles, rangées en cercle, autour de la tige, se partage en deux lobes ovales, bordée de cils ou soies longues et pointues. Il sort de leur superficie glanduleuse et rougeâtre une substance douce et visqueuse, qui entraine les infectes a leur perte; car dés qu'uni insecte touche seulement la superficie de ces lobes, dans l'instant leur irritabilité naturelle les fait rejoindre si fortement, qu'on les romproit plutôt que de les forcer a s'ouvrir, pour en tirer l'insecte vivant. L'insecte cherche-t-il, par des efforts a sortir de captivité, la plante, alors encore plus irritée par ces mouvemens se ferme avec plus de force. L'irritabilité a-t-elle cessée par la mort de l'infecte, les lobes se separent d'eux mêmes, et l'infecte tombe. Cette plante remarquable est originaire de l'une et l'autre Caroline dans l'Amérique septentrionale. Il naît du milieu des feuilles une tige haute de fix pouces, qui en soutient d'autres, au sommet de chacune desquelles est placé une fleur d'un blanc de lait. Elle fut seulement apporté en Angleterre, il y a environ 30 ans, ou on la payoit quelques cents ecus; a présent on peut l'y acheter pour 8 ou 10 ecus.
Fig. 2. Sainfoin tremblant. Le Sainsoin tremblant; ici representé et qui nous est parvenu de l'intérieur du Bengale, lors du premier voyage de Cook, est aussi remarquable que la plante précédente. Il parvient à la hauteur de deux pieds à deux pieds et demi, et a des fleurs ecarlates, bordées de bleu celeste. C'est de même que dans l'autre le mouvement des feuilles qui diftingue si fort cette plante. Les grandes feuilles qui fe trouvent sur les tiges destinées a en porter les principales, éprouvent depuis le lever jusqu'au coucher du soleil un mouvement involontaire produit par la lumière de cet astre. Au lever du soleil, elles se redressent, et sortent de leur sommeil végétale, pendant lequel elles pendoient comme flétries, et restent dans un etat de tremblement jusqii'a son coucher. Mais le sécond mouvement arbitraire des deux petites feuilles laterales, tenantes à la tige qui soutient les grandes, est encore plus digne de remarque. Ces deux petites feuilles laterales, sans sousfrir du changement de lumière où de tems, sont unit et sont dans un mouvement continuel; quand l'une monte, l'autre baisse jusqu'à la tige a feuilles, et ce mouvement circulaire continue ainsi sans interruption. D'après la découverte de cette plante, le mouvement arbitraire appartient aussi bien au regne végétale, qu'au regne animal, ce dont les naturalistes on doutés jusqu'à present.
Ad00341 03 085aFig. 1. Der Seefaecher. (Gorgonia flabellum.)~~Diese schöne Coralle, die unter dem Namen des Seefächers bekannt ist, findet sich an den Küsten des mittelländischen Meers, und auch in den beyden Indien, wo sie mit ihrem starken lederartigen Stamme an den Felsen festsizt. Ihr Stamm theilt sich in mehrere Aeste, die wieder durch ein netzartiges Gewebe unter sich verbunden sind; so dass das ganze dadurch das Ansehen eines Baums bekömmt. Man findet diese Coralle bis zur Grösse von 5 Fuss. Ihre Farbe ist ein schönes Scharlachroth. Die Aeste sind mit kleinen Poren oder Löcherchen die Fig. 1.b. vergrössert erscheinen, gleichsam übersäet. Dieses sind die Höhlen einer Art von Polypen, welche diesen wunderbaren Bau bilden, und wovon wir einen hier vergrössert, in Fig. 1.c. erblicken.~~Fig. 2. Die Seeorgel. (Tubipora musica.)~~Die Seeorgel gehört zum Geschlecht der Röhren-Corallen, und ist gleichfalls ein Bau und die Wohnung von See-Polypen. Sie besteht aus parallel neben einander liegenden dünnen Röhrchen, die man mit Orgelpfeifen verglich, und der Coralle daher den eben angeführten Namen gab. Diese Röhrchen bewohnt ein Thier, welches man bey Fig. 2.b. in dem vergrösserten durchschnittenen Stück erblickt. Dieses Corallen Gewächs findet sich im Indischen, Amerikanischen und dem rothen Meere, wo es sich in unförmlichen Massen an die Felsen anhängt, und gleichfalls roth aussieht. Die Indianer brauchen die Seeorgel als Heilmittel gegen die Bisse giftiger Thiere.~~57
Ad00341 03 085a/freCoraux. II. Vol. III. No. 83.
DIFFERENTES ESPÈCES DE CORAUX.
Fig.1. L'Eventail de Mer. Ce beau Corail connu sous le nom d'Evantail de mer, se trouve sur les côtes de la mer mediterranée, de même que dans les deux Indes, ou il est attache aux rochers par un tronc fort et coriace. Son tronc se partage en plusieurs branches, liées entre elles par un tissu, en forme de filet; en forte que le tout a quelque ressemblance avec un arbre. On trouve de ces coraux qui ont jusqu'à ciog pieds de hauteur. Leur couleur est un beau rouge ecarlate. Les branches sont parfemées de petits pores, tels qu'ils sont representé Fig. 1.b. vu au microscope. Ce sont les demeures d'une espéce de polipes, qui forment cet admirable édifice, et dont nous en voyons un ici agrandi, Fig. 1.c.
Fig. 2. L'Orgue de Mer. L'orgue de Mer appartient a l'espece de coraux a tuyaux, et il est pareillement l'édisice et la demeure de polipes de mer. Il consiste en petits tuyaux minces, couchés paralellement l'un a côté de l'autre, qu'on compara a des tuyaux d'Orgue, d'où ce corail a pris son nom. Ces petits tuyaux sont habités par un animal, qu'on peut voir agrandi Fig. 2.b. dans un morceau coupé par le milieu. Cette production se trouve dans la mer rouge, celle des Indes et d'Amérique, ou elle s'attache aux rochers en masses informes, et est également rouge. Les Indiens se servent de l'Orgue de Mer, comme remède contre les morsures des bêtes venimeuses.
Ad00341 03 086aFig. 1. Das wandelnde Blatt. (Mantis strumaria.)~~Wir sahen schon im I. Bde. No. 40. eine andere Art des so genannten wandelnden Blattes, einer Art Insekten, die alle zum Geschlechte der Fangheuschrecken gehören. Jene Art war dort im ungeflügelten Zustande abgebildet; die gegenwärtige aber hingegen erscheint mit Flügeln; und diese Flügel sind es eben, die das Thier so merkwürdig machen. Da die Oberflügel sowohl an, Farbe, als Struktur, so ganz gewissen Arten von Blättern gleichen, so wird es schwer, das Insekt im ruhigen Zustande davon zu unterscheiden. Die Unterflügel hingegen ähneln ihrer gelben Farbe wegen, verwelkten Blättern. Die Nahrung, welche aus kleinen Insekten besteht, fängt es mit den langen Vorderfüssen.~~Fig. 2. Der chinesische Laternenträger. (Fulgora candelaria.)~~Den Surinamischen Laternenträger lernten wir schon im I Bde. No. 40. des Bilderbuchs kennen. Der hier abgebildete ist in China zu Hause, und erscheint in seiner natürlichen Grösse. Die Blasenartige Verlängerung des Kopfs in Gestalt eines Horns, leuchtet nur so lange als das Infekt lebt; bald nach seinen Tode aber hört dieses Leuchten auf. Die Oberflügel sind grün mit orangefarbnen Flecken; die Unterflügel hingegen orangefarben, und endigen sich mit einem breiten schwarzen Fleck.~~Fig. 3. Der Europäische Laternenträger. (Fulgora euopaea.)~~Dieses kleine graulich grüne Insekt erreicht höchstens die Grösse eines halben Zolls. Es gehört wegen des verlängerten spitzigen Kopfs auch zu den Laternenträgern, obgleich man noch nicht bemerkt hat, dass es leuchtet. Sein Aufenthalt ist das südliche Europa. Auch im südlichen und mittlern Teutschland finden es sich, wie wohl nicht sehr häufig.~~57
Ad00341 03 086a/freInsectes, XX. Vol. III. No. 84.
INSECTES -REMARQUABLES.
Fig. 1. La feuille ambulante. Nous avons déjà vu dans le 1. Vol. No. 40. une autre espéce d'insectes nommé feuille ambulante, espéces d'insectes qui appartiennent toutes' au genre des Sauterelles. Cette première espéce etoit representé sans ailes; cette dernière, au contraire paroit avec des ailes; et ce sont ces ailes même qui rendent cet animal si digne de remarque. Ses ailes superieures ressemblant parfaitement aussi bien par la couleur que par la forme a certaines sortes de feuilles, il est difficile d'en distinguer l'insecte, dans son etat de repos. Les ailes inférieures au contraire, ressemblent, a cause de leur couleur jaune a des feuilles fanées. Sa nourriture qui consiste en petits insectes, elle se la procure, a l'aide de ses longues pattes de devant.
Fig. 2. Le Porte Lanterne de la Chine. Nous connoissons deja le Porte Lanterne de Surinam, figuré dans le 1. Vol. No. 40. de notre Portefeuille. Celui ci se trouve a là Chine, et il est representé de grandeur naturelle. La prolongation de la tête, qui ressemble en quelque façon a une vessie, et qui a la forme d'une corne, n'est luissante qu'autant de tems que l'animal est vivant; anssitôt après sa mort elle cesse de luire. Les ailes superieures sont vertes avec des taches oranges; les inférieures au contraire sont oranges, et se terminent par une tache noire.
Fig. 3. Le porte Lanterne d'Europe. Ce petit insecte d'un vert grisàtre atteint tout au plus la grandeur d'un demi pouce. Il appartient aussi a cause de sa tête allongée et pointue, a la classe de Portes - lanterne, — quoiqu'on n'ait pas encore remarqué qu'il soit luissant. Son sejour est le midi de l'Europe. On le trouve aussi, quoique rarement dans le parties méridionales et vers le milieu de l'Allemagne.
Ad00341 03 087aDie beyden auf der vorliegenden Tafel abgebildeten Schlangen gehören zu dem Geschlechte der Riesenschlangen, die wegen ihrer ungeheuern Grösse und Kraft diesen Namen mit Recht führen. Sie sind übrigens nicht giftig.~~Fig. 1. Die Abgottsschlange. (Boa constrictor.)~~Die Abgotts oder Königsschlange ist die grösste und stärkste nicht blos ihres Geschlechts, sondern aller Schlangen überhaupt. Sie erreicht eine Länge von 40 bis 50 Fuss, und wird, ausgewachsen, Mannsdick. Süd-Amerika, Indien und die Inseln des Indischen Meers sind das Vaterland dieser furchtbaren Schlange. Ihre Nahrung, besteht aus Rehen, jungen Büffeln, Antilopen, und andern Thieren. Auf diese lauert sie auf Bäumen verdeckt, schiesst dann, so wie sie sich nähern, auf sie herab, hält sie mit dem am After befindlichen Klauen fest, und schlingt sich, so fest um sie herum, dass jene ersticken müssen. Dann saugt sie alles Blut aus, zerquetscht durch ihre erstaunliche Kraft alle Knochen des Körpers, überzieht hierauf das Thier mit einem aus ihrem Rachen fliessenden Schleim, und schlingt es dann so ganz hinunter. In Ermangelung grosser Thiere frisst sie auch Eidechsen, Vögel, und andere kleine Schlangen. Die Färbung ihrer Haut besteht aus unregelmässigen dunkelkirschrothen, gelben, weiss und aschblauen Flecken und Streifen. Wegen ihrer Schönheit wird diese Haut da die Farben überdem noch glasartig glänzen, in jenen Ländern sehr hoch geschätzt, und im Handel theuer verkauft.~~Die Südamerikaner erweisen dieser Schlange wegen ihrer Furchtbarkeit göttliche Ehre, wovon sie auch, den Namen Abgottsschlange hat.~~Fig. 2. Der Hundskopf. (Boa canina.)~~Die Hundskopfs-Schlange oder auch Bojobi gehört gleichfalls zum Geschlechte der Riesenschlangen. Den Namen hat sie von der Aehnlichkeit ihres Kopfes mit dem eines Hundes. Ausgewachsen erreicht sie beynahe die Grösse der vorigen. Ihre Farbe ist ein schönes Seladongrün mit weissen Flecken. Nahrung, Aufenthalt und übrige Lebensart hat sie mit der Abgottsschlange gemein.~~57
Ad00341 03 087a/freAmphibies. X. Vol. III. No. 85.
SERPENS REDOUTABLES.
Les deux serpens representës ici appartiennent au genre des Boa ou serpens gigantesque qui sont nommés ainsi avec raison à cause de leur force et de leur enorme grandeur. Au reste ils ne sont pas venimeux.
Fig. 1. Le Devin.
C'est le plus grand, le plus fort, non seulement de son genre, mais en général de touts les serpens. Il parvient jusqu'à là longueur de quarante a cinquante pieds, et à la grosseur d'un homme. L'Amérique méridionale, l'Inde et les Isles de la mer des Indes sont la patrie de ce terrible serpent. Il se nourrit de chevreuils, de jeunes buffles, de gazelles et d'autres animaux. Il se tient en embuscade sur des arbres, sélance sur eux lorsqu'ils s'en approchent, les tien ferme, s'entortille autour de leur corps, et les ferre avec tant de violence, qu'il les étouffe. Il en suce tout le sang, leur écrase par sa force étonnante touts les os, l'enduit, d'une salivé qui lui sort de là gueule, et l'avale ensuite tout entier. Faute de plus grands animaux, il mange des lézards, des oiseaux et d'autres petits serpens. La teinte de sa peau consiste en taches et lignes irregulieres, d'un rouge foncé, cerise, jaunes, blanches et bleues cendrées. Cette peau à cause de sa beauté, et qui, en sus est d'un poli très brillant, est eftimé, et se vent fort chere dans ces pays. Les naturels de l'Amérique méridionale rendent a ce serpent des honneurs divins, a cause de la frayeur qu'il leur inspire; d'où on lui a aussi donné le nom de Devin.
Fig. 2. Le Bojobi ou serpent a tête de chien.
Il appartient pareillement au genre des Boa ou ferpens gigantesque. Ce nom lui à été donné a cause de la réssemblance de sa tête a celle d'un chien. Lorsqu'il a achevé de croître il atteint à peu près la longueur du précédent. Sa couleur est un beau vert céladon avec des taches blanches. La nourriture, le sejour et le reste de sa manière de vivre, lui est commune avec le Devin.
Ad00341 03 088aWir sehen hier, wie im vorigen Hefte No. 81 aus dem weitläufigen Finkengeschlechte gleichfalls wieder 6 Arten, die ebenfalls durch ihr schönes Gefieder, durch ihren angenehmen Gesang oder ihre Gelehrigkeit allgemein beliebt sind, und deswegen auch insgesammt als Stubenvögel gehalten werden.~~Fig.1. Der Stieglitz. (Fringilla carduelis.)~~Der Stieglitz bewohnt ganz Europa, einige Striche von Asien und Afrika. Sein sanft gemischtes Gefieder ist auf dem Rücken olivenbraun, am Bauche röthlich weiss. Die samtschwarzen Flügel- und Schwanzfedern sind blau gesäumet, und um die Augen und den Schnabel herum läuft eine schöne scharlachrothe Binde. Seine Nahrung besteht bloss aus mehreren Sämereyen; und Insekten frisst er nie. Vorzüglich liebt er den Distelsamen, daher er auch in manchen Provinzen der Distelfink heisst.~~Fig. 2. Der Canarienvogel. (Fringilla canaria.)~~Dieser so allgemein beliebte Vogel, wurde zu Anfang des 16ten Jahrhunderts durch Schiffe aus seinem eigentlichen Vaterlande, den Canarischen Inseln mit nach Europa gebracht. Da man ihn hier bald seines lieblichen Gesanges wegen schätzen lernte, so bemühte man sich um seine Fortpflanzung, die auch so gut gelang, dass man jetzt allenthalben Canarienvögel in Zimmern findet. - Ihre ursprüngliche Farbe, die graugrünlich ist, hat man durch Cultur sehr vermannichfaltet, so dass man jetzt, auch gelbe, weisse, und gefleckte Canarienvögel findet. Ihre Nahrung besteht aus Sämereyen, worunter sie vorzüglich den Mohn, Canarien und Hanfsaamen lieben. Die Canarienvögel lernen auch mit grosser Gescicklichkeit fremde Melodien nachpfeifen.~~Fig. 3. Der Zeisig. (Fringilla spinus.)~~Der niedliche gelehrige Zeisig ist der kleinste unter den Finkengattungen, und nur 5 Zoll lang. Er bewohnt fast ganz Europa, und nährt sich von mehreren Sämereien, unter denen er vorzüglich den Erlensaamen liebt. Sein Nest baut er in Schwarzwäldern auf die äussersten Spitzen hoher Zweige, woraus die Fabel entstand, dass die Zeisignester unsichtbar wären.~~Fig. 4 und 5. Der gemeine und Bluthänfling. (Fringilla Cannabina et Linota.)~~Der gemeine Hänfling ist etwas kleiner als der Stieglitz, bewohnt ganz Europa, das südliche Russland, und Nordamerika. Er hat einen äusserst angenehmen Gesang, und nährt sich von Sämereyen. In den ersten Jahren sieht er rothbraun und schmutzigweiss aus. Im dritten Jahr ändert aber das Männchen seine Zeichnung, bekommt einen blutrothen Scheitel und Brust, und ist dann unter dem Namen des Bluthänflings Fig. 5. bekannt.~~Fig. 6. Der Flachsfink. (Fringilla linaria.)~~Ist etwas kleiner als der gemeine Hänfling; Das Vaterland des Flachsfinken sind eigentlich die Nordländer, doch kömmt er im October in grossen Zügen auch zu uns nach Teutschland. In der Farbe gleicht er ziemlich dem Bluthänfling, und nährt sich wie der gemeine Hänfling von mehreren Sämereyen. Sein Gesang ist nicht angenehm.~~58
Ad00341 03 088a/freOiseaux. XLIV. Vol. III. No. 86.
PINCONS DE DIFFERENTES ESPECES.
Nous voyons encore ici, comme dans le précédent cahier No. 81. fix autres èspeces d'oiseaux, du genre nombreux des pinçons, qui sont généralement estimés par la beauté de leur plumage leur chant agréable, ou par leur docilité, et qui par ces raisons sont tous regardés comme oiseaux de volière.
Fig. 1. Le Chardonneret.
Il habite toute l'Europe, quelques parties de l'Asie et de l'Afrique. Son plumage doucement mélangé, est d'un brun olive sur le dos, et d'un blanc rougeatre sous la ventre. Les pennes des ailes et de la queue d'un noir veluté, sont bordées de bleue, et autour des yeux et du bec, il regne une bande d'un beau rouge ecarlate. Sa nourriture consiste en plusieurs éspeces de semences; il ne mange jamais d'infectes. Il aime par dessus tout la femence de chardon; d'où lui est venu le nom de Chardonneret.
Fig. 2. Le Serin des Canaries.
Cet oiseau si généralement aimé fut apporté en Europe par des vaisseaux au commencement du feizieme fiecle des Iles Canaries, d'où il est originaire, Comme il fut bientôt recherché a cause de son charmant gosier, on se donna toutes les peines possibles pour le multiplier, ce qui reussit au point, qu'on trouve actuellement partout en cage des Serins des Canaries. Sa couleur primitive qui etoit d'un gris verdàtre, a eté tellement variée par les coisements, qu'on en voit a present des jaunes, des blancs et des tachetés. Il se nourrit de différentes espéces de graines, entre lesqu'elles il préfère celle de pavot, le bléd de canarie et le chenevis. Les Serins des Canaries faisissent aussi avec beaucoup de facilité les airs qu'on veut seurs apprendre.
Fig. 3. Le Tarin.
Le joli et docile Tarin est le plus petit du genre des pinçons; il n'a que cinq pouces de long. Il habite presque toutes les parties de l'Europe, et se nourrit de plusieurs sortes de graines, entre lesqu'elles il aime particulièrement la semence d'aune. Il construit son nid dans les forets vertes a l'extrémité des plus hautes branches; d'où vient la fable que les nids de Tarins sont invisibles.
Fig 4. et 5. La Linotte et le grand Linot des vignes.
La Linotte est un peu plus petite que le Chardonneret, et se trouve dans toutes les parties de l'Europe, dans la Russie méridionale, et l'Amérique septentrionale. Elle a un chant très agréable, et se nourrit de graines. Les premieres années son plumage est d'un brun rouillé, et d'un blanc sale; mais dans la troisieme année, le sommet de la tête et la poitrine du mâle se changent en un rouge de sang, et alors il est connu sous le nom de grand Linot des vignes (Fig. 5.)
Fig. 6. Le Sizerin.
Il est un peu plus petit que la Linotte. La patrie du Sizerin eont proprement les régions du nord, cependant dans le mois d'Octobre il passe en grandes volées en Allemagne. Il ressemble assez, par la couleur, au linot de vigne, et se nourrit comme la linotte de différente wortes de graines. Son chant n'eft pas agreable.
Ad00341 03 089aFig. 1. Der Peruanische Balsamstrauch. (Myroxylum peruiferum L.)~~Das Vaterland des Peruanischen Balsamstrauchs, der nach einigen selbst die Grösse eines ansehnlichen Baums erreicht, .ist Peru und das ganze südliche Amerika. Die länglich ovalen vorn zugespizten Blätter sind am Rande gezackt; an der Spitze der Zweige kömmt die gelbliche traubenförmige Blüthe zum Vorscheine. Der ganze Strauch ist mit einer harzigen Substanz durchdrungen, die unter den Namen des Peruanischen Balsams bekannt ist, und wovon man eine weisse und eine schwarze Sorte kennt. Die weisse Sorte gewinnt man durch Einschnitte in die Rinde, wo der Balsam als ein dickes Oel herausfliest; der sich nach und nach verhärtet, und auf Kohlen gestreut, angenehm riecht. Da dieser weisse Balsam sehr theuer ist, so kommt er selten nach Teutschland.~~Häufiger ist der schwarze Peruanische Balsam. Man erhält ihn durch Auskochen der Rinde und der Blätter. Zu uns wird er als ein dichter trockner Körper in Kürbisschalen gepackt, gebracht. In der Medicin braucht man ihn zur Heilung vor Wunden. Innerlich wird er jetzt nicht mehr gebraucht.~~Fig. 2. Das Elemiharz. (Amyris elemifera. L.)~~Der Elemiharzstrauch wächst in Brasilien, Neuspanien und Carolina, hat braune knotige Aeste, und dreyfach gefiederte Blätter. Am Ende der Zweige kommen die weisslichen Blätter um Vorschein. Aus den Einschnitten, die man in die Rinde des Strauchs macht, fliest ein heller weiss grünlicher Saft heraus, darnach 24 Stunden erhärtet, und dann grau grünlich aussieht. Dieses ist das sogenannte Elemiharz. Es wird in den Amerikanischen Provinzen in Kisten gepackt, und so zu uns geschickt. Die Aerzte wenden das Elemiharz mit Salben vermischt als Heilmittel bey Wunden an. - In Weingeist aufgelösst brauchen es die Lackierer zum Lackfirnisse.~~58
Ad00341 03 089a/frePlantes. LXX. Vol. III. No. 87.
PLANTES MEDICINALES.
Fig. 1. Le Baume de Perou.
Le Baumier de Perou, qui selon quelques uns, parvient a la grandeur d'un arbre assez considérable, croit dans le Pérou, et dans toute l'Amérique méridionale. Les feuilles sont d'un ovale alongé, pointues par le bout, ou le bord dentelé; la fleur qui est jaunâtre et en grappes, se presente a l'extrémité des branches. Tout le buisson est imprégné d'une substance résineuse, connu sous le nom de baume de Pérou; il y en a deux sortes, le blanc et le noir. On obtient le blanc par une incision faite a l'ecorce, d'où il découle comme une huile epaisse, qui se durcit peu a peu, et qui répandu sur des charbons ardents, exhale une odeur agréable. Ce baume étant très cher, nous n'en recevons que rarement en Allemagne. Le baume noir du Perou est plus commun. On l'obtient par la cuisson de l'écorce et des feuilles. On nous l'apporte en morceaux compactes et secs, empaquetés dans des coques des calebasses. On l'employé en médicine a la guérison des plaies. On ne s'en sert plus intérieurement.
Fig. 2. La Gomme Elémi.
Le buisson qui la fournit croit dans lé Brésit, dans la nouvelle Espagne et dans la Caroline; il a les branches brunes et noueuses, et les feuilles placées par trois. Les fleurs qui sont blan-chatres paroissent au bout des branches. Il découle des iucisions qu'on fait a l'écorce de ce buisson un tue d'un blaric verdatre clair, qui fe durcit dans l'efpace de vingt quatre heures, et paroit alors d'un gris verdatre. C'eft ce qu'on nomme la Gomme êlêmi. Elle nous est envoyé des provinces d'Amérique, emballée dans des caisses. Cette Gamme mêlée avec des baumes, est employé par les médecins à la guerison des plaies. Les vernisseurs s'en servent dissoute dans de l'sprit de vin.
Ad00341 03 090aFig.1. Der Papiernautilus. (Argonauta Argo.)~~Der Papiernautilus, eine Schnecke die zum Geschlechte der Schiffsboote gehört, bewohnt das Indische und Mittelländische Meer und den grossen Ocean. Da die milchweisse, halbdurchsichtige Schaale des Papiernautilus nicht stärker als gewöhnliches Papier, und folglich erstaunlich leicht ist, so wird er dadurch zum Schwimmen sehr geschickt, zumal da sein ganzer Bau dem eines Bootes gleicht. Er erreicht eine Grösse von 6 bis 8 Zoll, ist an den Seiten gefurcht, und endigt sich in eine kleine Windung. Diese Schaale wird von einem Thiere bewohnt, welches dem achtfüssigen Dintenfisch oder der Sepia gleicht. Es hat 8 fussähnliche Verlängerungen, wovon es die zwey vordersten, die breit und mit einer dünnen Haut bespannt sind, gleich Seegeln ausspannt, unterdessen ihm die sechs übrigen, die es herab in das Wasser hängt, zum rudern dienen. So schifft der Papiernautilus, wenn er aus dem Meeresgrunde auf die Oberfläche des Wassers kommt, und durch eine geschickte Seitenwendung das Wasser aus seiner Schaale heraus geschüttet hat, gleich einem Fahrzeuge mit vollen Seegeln auf der Oberfläche des Meers bey gelindem Winde herum. Droht ihm Gefahr, so legt er sich auf die Seite, dass die Schale Wasser schöpft, und sinkt so wieder auf den Boden des Meers. Es ist wahrscheinlich, dass die früheren Bewohner der Seeküsten durch solche schiffende Papiernautilen zuerst auf die Idee von Seegeln, und die Anwendung mehrerer Ruder kamen.~~Fig. 2. Die rauhe Steck- oder Seidenmuschel. (Pinna rudis.)~~Die rauhe Steckmuschel besteht aus zwey dünnen zerbrechlichen Schaalen. Diese sind der Länge nach gefurcht, schmutzig blau-grau, welches mit schwärzlich braunen Queerbändern abwechselt, und sind am spitzigen Ende, womit sie gewöhnlich im Boden des Meers stecken, (weswegen sie auch Steckmuscheln heissen) durch ein knorpeliges Band verbunden. Das darinn wohnende Thier gleicht einer Erdschnecke. Aus einer zähen Flüssigkeit, die diese Schnecke in einem eignen Canale hat, spinnt sie eine Menge holzbrauner seidenähnlicher Fäden, die wie ein Bartbüschel zwischen den Schaalen heraushängen. Mit Hülfe dieses Bartes befestiget sie sich bey Stürmen an Steine und Felsen, und trotzt so, als vor Anker liegend, jeder Gefahr. An den Italienischen und Sicilianischen Küsten, wo sich die rauhe Steckmuschel vorzüglich aufhält, macht man Handschuhe und Strümpfe, sogar auch Tücher, aus jenen seidnen Büscheln, die aber wegen der Seltenheit sehr theuer sind.~~Fig. 3. Die Auster. (Ostrea edulis.)~~Die Auster, die wegen ihres schmackhaften Fleisches allenthalben bekannt ist, findet sich vorzüglich an den Küsten von Dänemark, Schweden, Holland, England, Frankreich und Spanien. Hier liegen sie mit ihren kalkigen Schalen fest an einander gepresst in ungeheurer Menge, so dass sie ordentliche Felsenriffe ausmachen, die dann Austernbänke heissen. Von hier reissen sie die Austernfischer durch mehrere Instrumente und Geräthschaften los, und verschicken sie weit und breit, so dass damit ein beträchtlicher Handel getrieben wird. Die Auster erreicht eine Grösse von 4 Zoll; vorzüglich essbar wird sie im 3ten und 4ten Jahr.~~58
Ad00341 03 090a/freCoquilles. II. Vol. III. No. 88.
COQUILLES REMARQUABLES.
Fig 1. Le Nautile papiracé.
Le Nautile papiracé, qui est un limaçon appartenant au genre des Argonautes, habite la mer des Indes, la Méditerranée et l'Océan. La coquille d'un blanc de lait et à demie transparente du nautile papiracé, n'étant pas plus forte que du papier commun, et par conféquent ex:trernernont légère, nage avec beaucoup d'adressé, furtout à cause de sa structure, qui ressemble a une nacelle. Il parvient à la grandeur de 6 a 8 pouces; ses côtes sont sillonés; et il se termine par une petite courbure. Cette coquille est habité par un animal, qui ressemble à la feche. Il a 8 prolongations semblables a des jambes, dont les deux anterienres, larges et tendues d'une peau mince, lui tiennent lieu de voiles, pendant que les fix autres, qu'il plonge dans la mer, lui fervent à ramer. C'eft ainsi que le Nautile papiracé, lorsqu'il monte du fond de la mer sur sa surface, et après-avoir adroitement vuidé l'eau, qui'l contenoit, en se penchant décote, vogue à pleine voile, par un temps doux, sur la surface de la mer: s'il est menacé de quelque danger, il se couche sur la côté, afin que la coquille se remplisse d'eau, et que parce moyen il tombe au fond de la mer. Il est probable que c'est en voyant naviguer le nautile papiracé, que'les premiers habitants des côtes de la mer, ont conçu l'idée de se servir de voilés, et d'employer plusieurs rames.
Fig. 2. La Pinne ou le Jambon rouge.
La Pinne consiste en deux coquilles minces et fragiles; elles sont sillonnés dans leur longueur d'un bleu grisatre sale, alternant avec des bandes transversales d'un brim noirâtre., et les bouts pointus, par lesquels elles sont ordinairement attaché au fond de la mer, sont liés pat une bande cartilagineuse. L'animal qui y habite ressemble à un Escargot. D'un fluide tenace, que cet escargot conserve dans un canal particulier, il file une quantité de fils, couleur de bois, qui ont quelque ressémblance avec la soie, et qui sortent comme un paquet de cheveux d'entre les coquilles; c'eft à l'aide de ces poils, que pendant les temps orageux, il fe fixe aux pierres et aux rochers, et que semblable à un vaisseau a l'ancre, il défie touts les dangers. Sur les côtes d'Italie et de Sicile, ou la Pinne, s'arrete particulièrement, on fait de ces paquets de soie, des gands, des bas, même des Etoffes, mais qui sont très chers, à cause de leur rareté.
Fig. 3. L'Hhuitre.
L'Huître connue par tout à cause de sa chair succulente se trouve principalement près de côtes de Danemarc, de Suéde, de Hollande, d'Angleterre, d'Espagne et de France. Elles y sont entassées et pressées si fortement les unes contre les autres, avec leurs écailles calcaires; et elles s'y trouvent en fi grande quantité, qu'elles forment comme des rochers; c'eft ce qu'on nomme des bancs d'huîtres. Les pêcheurs d'huitres les en détachent avec plusieurs fortes d'instruments et d'ustensiles, et les envoyent de tout côté, de forte qu'il s'en fait un comerce très considerable. L'huitre atteint la grandeur de 4 pouces; elle est particulièrement mangeable la 3e et la 4e année.
Ad00341 03 091aFig. 1. und 2. Der Schröter. (Lucanus cervus.)~~Der Schröter oder Hirschkäfer ist nach dem Flusskrebse das grösste teutsche Insekt, denn er wird von 2 bis gegen 4 Zoll lang. Von Farbe ist er glänzend dunkel schwarzbraun. Das Männchen (Fig. 1.) zeichnet sich vorzüglich durch die lang hervorragenden hornartigen Kinnladen aus, die im Kleinen ganz die Form von Hirschgeweihen haben, weswegen dieses Insekt in vielen Gegenden auch den Namen des fliegenden Hirsches erhalten hat. Das kleinere Weibchen (Fig. 2.) hat anstatt dieser Geweihe nur kurze Fresszangen. Es legt seine Eyerchen (Fig. a.) in faules Eichenholz, woraus kleine Larven entstehen die nach 4 bis 6 Jahren wie (Fig. b.) aussehen. In diesem Zeitpunkte hüllt sich die Larve in ein Gewebe von faulen Holztheilen, und verwandelt sich in die unten Fig. c. abgebildete Nymphe oder Puppe.~~Der Schröter lebt in Eichenwäldern wo er vorzüglich im Junius und Juliuis Abends herumfliegt. Seine Nahrung besteht aus Blättern und Banmsäften (sic).~~Fig. 3. Der fliegende Stier. (Scarabaeus Actaeon.)~~Er ist der grösste aller bekannten Käfer, und hier in seiner natürlichen Grösse abgebildet. Bisweilen wird er bis 6 Zoll lang. An seinem Brustschilde sitzen am vordern Ende zwey kurze dicke kegelförmige Hörner. Der Kopf verlängert sich in ein in die Höhe gekrümmtes, am Ende gespaltenes Horn. Er lebt blos in Amerika.~~Fig. 4. Der Nashornkäfer. (Scarabaeus nasicornis.)~~Der Nashornkäfer, der in Teutschland lebt, wird 1 Zoll 4 Linien lang und beynahe 9 Linien breit. Von Farbe ist er rothbraun. Der Kopf des Männchens ist mit einem starken rükwärtsgebogenen Rhinoceroshorne versehen, woher er auch den Namen hat.~~58
Ad00341 03 091a/freInsektes. XXI. Vol. III. No. 89.
SCARABEES SINGULIERS.
Fig. 1. et 2. Le Cerf volant.
Le Cerf-volant est après l'ecrevisse, le plus grand infecte d'Allemagne; car il acquiert la longueur de a jusqu'à 4 pouces. Il est d'un brun noirâtre luisant. Le male Fig. 1. se distingue particulierement par de longues cornes, qui ressemblent en petit à des bois de cerf, ce qui à fait donner à cet insecte le nom de cerf-volant. La femelle, plus petite, n'a, au lieu de ces bois, que de courtes pinces. Elle pond ses petits oeufs, Fig. a. dans du bois de chêne pourri, d'où naissent de petits vers, qui après 4, même 6 ans, ressemblent à la Fig. b. A cette epoque le ver s'enveloppe dans un tissu de particules de bois pourri, et se metamorphose en une Chrisalide, telle qu'elle est représenté Fig. c. Le Cerf-volant vit dans les forêts de chêne, ou il vole vers le soir; particulièrement pendant le mois de Juin et de Juillet. Il se nourrit de feuilles, et de la sève des arbres.
Fig. 3. Le Scarabée Acteon.
C'est le plus grand de touts les Scarabées connus, et il est peint ici de grandeur naturelle. Il atteint quelquefois la taille de 6 pouces. Son corcelet est garni par devant de deux courtes et grosses cornea, de forme conique. La tète se prolonge en une autre corne, recourbée par en haut, et fendue par le bout. Il vit feulement en Amerique.
Fig. 4. Le Moine ou Scarabée Nasicorne.
Le Scarabée Naficorne, qui vit en Allemagne parvient à la longueur d'un pouce quatre lignes, et presqu'ala largeur de neuf lignes. Sa couleur est un brun rouge. La tête du mâle est pourvue d'une forte corne de Rhinocéros, repliée en atriere, d'où il tire son nom.
Ad00341 03 092aFig. 1. Die gehörnte Schlange. (Coluber nasicornis.)~~Unter den Schlangen giebt es auch mehrere gehörnte Arten, wodurch das fürchterliche Ansehen dieser ohnehin gefährlichen Thiere noch um vieles vermehrt wird. Wir sehen gegenwärtig eine dieser Arten, die in neuern Zeiten aus dem innern Afrika zu uns gebracht wurde. Auf ihrer Nasenspitze sitzen die zwey 1/2 Zoll langen hornartigen Verlängerungen. Sie sind rückwärts gekrümmt, und lassen sich etwas biegen. Vor jedem Hörne steht noch eine starke aufrechtstehende Schuppe, die man für ein zweytes kleineres Hörnerpaar halten könnte. Die ganze Länge der Schlange beträgt 4 Fuss. Sie ist ganz mit starken Schuppen bedeckt. Der Grund ihrer Färbung ist ein gelbliches Olivenbraun. Darauf sitzen schwarze und bräunliche Punkte, Flecken, und Streifen, Sie ist übrigens sehr giftig.~~Fig. 2. Die Ringelnatter. (Coluber Natrix.)~~Die Ringelnatter ist unter den Schlangenarten, die sich in Teutschland aufhalten, die gewöhnlichste. Man findet sie allenthalben in Hölzern und Gebüschen, auch hält sie sich in Misthaufen, Viehställen und Kellern auf, weswegen sie der gemeine Mann die Hausunke nennt. Sie wird gegen 4 Fuss lang, ist auf dem Rücken grünlichblau, am Bauche aber schwarzblau, an den Seiten befinden sich eine Menge weisser Flecken. Am Kopfe des Männchens sieht man zwey hochgelbe Flecken in Form eines Ringels. Beym Weibchen sind diese Flecken weisslich. Im Junius und Julius legt letzteres seine wie eine Perlenschnur an einander gereihten Eyer in Mist- und Erdenhaufen. Die Ringelnatter ist durchaus nicht giftig, sondern hat nur kleine spitzige Zähne, womit sie ihre Nahrung, die in Fröschen, Kröten, Eidechsen, Feldmäusen u.s.w. besteht, ergreift und festhält. Ihrer Nahrung wegen gehört sie daher wohl mehr unter die nützlichen, als unter die schädlichen Thiere.~~58
Ad00341 03 092a/frejAmphibies. XI. Vol. III. No. 90.
SERPENS REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Serpent cornu.
Parmi les Serpens, il y en a plufieurs espéces qui ont des cornes, ce que augmente de beaucoup l'air formidable de ces animaux, déjà fort dangereux sans cela. Nous en donnons ici une de ces espéces, qui nous fut apporté, il y a peu de tems, de l'intérieur de l'Afrique. Sur le bout de son nez s'elevent des prolongations, qui ont du rapport avec de la corne, et qui sont longues de deux pouces et demi.' Elles sont courbées en arrière, et peuvent un peu se plier. Il y a encore devant chaque corne, une écaille forte et herissée, qu'on pourroit regarder comme une séconde paire des cornes plus petites. Toute la longueur du Serpent se monte à 4 pieds. Il est entièrement couvert'de fortes écailles. Le fond de sa couleur est d'un olive jaunâtre, sur lequel il y a des points, des taches et des raies noires et brunâtres. Au reste il est très venimeux.
Fig. 2. La Couloeuvre à collier.
La Couloeuvre a collier est l'espéce la plus commune de Serpens qui séjournent en Allemagne. On la trouve partout, dans les bois et les buissons, dans les las de fumier et dans les étables. Elle parvient à la longueur d'environ 4 pieds. Le dos est d'un bleu verdàtre, le ventre d'un bleu noir, et les côtés parsemés d'un quantité de taches blanches. On voit à la tête du mâle deux, tâches jaunes en forme de collier. Ces taches sont blanchâtres chez la femelle. Dans le mois de Iuin et de Iuillet cette dernière pond, dans des tas de fumier et de terre, des, oeufs, qui sont comme des perles, enfilées les unes à côté des autres. La Conloeuvre à collier n'est pas du tout venimeuse; il n'a que des petites dents aigues avec lesqu'elles elle prend et tient sa nourriture, qui consiste en grenouilles, crapaux, lézards, fouris etc. etc. En égard, à sa nourriture, on doit plutôt le ranger parmi les animaux utiles, que parmi les nuisibles.
Ad00341 03 093aNo. 1. Der gemeine Geyer. (Vultur cinereus.)~~Der gemeine Geyer bewohnt eigentlich nur die höhern waldigen Gebirge von Europa, doch trifft man ihn bisweilen auch in den flachen Gegenden Teutschlands an. Seine Länge beträgt 4 Fuss, seine Breite mit ausgespannten Flügeln 9 Fuss. Die Hauptfarbe seines Gefieders ist dunkelbraun, mit hellbraunen Spitzen. Der schwarze Schnabel ist mit einer blauen Wachshaut versehen. Wenn er ruhig sitzt, so bildet die Halswolle und die darunter stehenden Federn eine förmliche Halskrause, was ihm ein sonderbares Ansehen giebt.~~No. 2. Der Aasgeyer. (Vultur percnopterus.)~~Der Aasgeyer hat die Grösse des vorigen, bewohnt Syrien und Arabien, vorzüglich aber Aegypten, wo er sich in und um Cairo in grosser Menge aufhält. Da er sich vorzüglich vom Aase nährt, so ist er für Aegypten äusserst nothwendig, weil er die von den jährlichen Nilüberschwemmungen zurückgebliebenen todten Thiere und Ungeziefer auffrisst, die ausserdem bey der Sorglosigkeit der Aegypter die ansteckendsten Krankheiten hervorbringen würden. Deswegen hält man dort auch den Aasgeyer für einen geweihten Vogel, den niemand tödten darf.~~No. 3. Der Norwegische Geyer. (Vultur leucocephalus.)~~Diese Geyerart bewohnt ausser mehreren Europäischen Gegenden vorzüglich das kalte Norwegen, und sein weisses Gefieder macht ihn zu einem schönen Vogel.~~No. 4. Der Brasilianische Geyer. (Vultur Aura.)~~Der Brasilianische Geyer oder Urubu lebt in Nord- und Süd- Amerika, und in Westindien, erreicht die Grösse eines Truthahns, und lebt vorzüglich vom Aase, das er bey seinem scharfen Geruch in grosser Entfernung auswittert. Die nakten warzigen Seiten des Kopfs sind blau und gelblich, das übrige Gefieder schwarzbraun, mit grünlichem Schiller.~~No. 5. Der Secretair. (Falco Serpentarius.)~~Den Secretair, der zur Falken-Gattung gehört, sollte man auf den ersten Blick wegen seiner langen Füsse für einen Sumpfvogel halten; doch sein gekrümmter Schnabel und die Krallen verrathen hinlänglich den Raubvogel. Er hält sich vorzüglich am Vorgebürge der guten Hoffnung und auf den Philippinischen Inseln auf, wird 3 Fuss hoch, und lebt hauptsächlich von Ratten, Mäusen, Eidechsen und Schlangen. Letztere fasst er behende mit den Krallen, und wirft sie mit Heftigkeit gegen die Erde, um sie zu tödten. Sein Gefieder am Hals, Bauch und am Rücken ist bläulich grau, der Schwanz schwarz, mit weissem Saum, und die zwey mittlern Federn haben doppelte Länge. Am Hinterkopfe hängt ein lockerer Busch schwarzer Federn, welche man mit Schreibefedern verglich, die hinter dem Ohr steckten, und ihm deswegen den Namen des Secretairs gab.~~No. 6. Der Maltheser-Geyer. (Valtur fuscus.)~~Der Maltheser-Geyer wird etwas grösser als ein Haushahn, lebt auf der Insel Maltha und an den Afrikanischen Küsten des Mittelländischen Meers. Sein ganzer Körper ist mit braunen Federn bedeckt, die bald heller, bald dunkler sind.~~59
Ad00341 03 093a/freOiseaux XLV. Vol. III. No. 91.
DIFFÉRENTES ESPÈCES D'OISEAUX DE PROIE.
No. 1. Le grand Vautour.
Le grand Vautour habite les plus hautes montagnes de l'Europe qui sont couvertes de forêts; mais quelquefois on le trouve aussi dans les plaines de l'Allemagne. Il a quatre pieds de longueur et son envergure est de 9 pieds. Tout le plumage est d'un brun sombre et le bout de chaque plume est d'un brun- clair. Le bec noir est entouré d'une peau calleuse de couleur bleue. Quand l'oiseau est assis, le long duvet qui couvre son cou et les plumes longues qui bordent de chaque coté ce duvet, forment une espèce de cravate et donnent à l'oiseau un air tout-à-fait singulier.
No. 2. Le Vautour d'Egypte.
Le Vautour d'Egypte a la même grandeur que le précédent; il habite la Syrie, l'Arabie et furtout l'Egypte, où il vit en grand nombre dans la ville de Caire et aux environs. Comme il se nourrit de charognes il rend à l'EgypIe le plus grand service en consommant les animaux morts, qui restent annuellement sur la terre après les inondations du Nil, et qui avec l'insouciance des Egyptiens à cet égard infecteroient l'air et' produiroient les maladies les plus contagieuses. C'est par cette raison que ce Vautour y est un oiseau facré, que personne n'ose tuer.
No. 3. Le Vautour de Norwege.
Cette espèce de Vautours se trouve dans plusieurs pays de l'Europe, mais surtout dans les légions septentrionales de la Norwege. La couleur de son plumage, qui est d'un blanc de neige, lui donne une grande beauté. N.[sic.] 4. Le Vautour du Brésil, ou l'Orubu. On trouve le Vautour de Brésil dans l'Amérique septentrionale et méridionale, ainsi que dans les Indes Occidentales. Sa grandeur est celle d'un Coq d'Inde; il se nourrit principalement de charogne, dont il a le vent de très Join, tant son odorat est fin. Les cotés de sa tête sont dégarnis de plumes, couverts de verrues et d'une couleur bleue et jaunâtre; tout le reste de son plumage est d'un brun - noir changeant de vert.
No. 5. Le Messager du Cap de Bonne-Espérance.
Le Messager a du rapport avec les faulcons; à cause de ses longs pieds on le prendroit au premier coup d'oeil pour un oiseau aquatique, mais à son bec arqué et à ses griffes on reconnoit bientôt l'oiseau de proie. On le trouve principalement au Cap de Bonne-Espérance et dans les Isles Philippines; sa hauteur est de 3 pieds et sa nourriture consiste en rats, souris, lézards, crapauds et serpens; il saisit les derniers avec ses griffes, les enlevé à une grande hauteur et les jette ensuite avec violence contre la terre pour les tuer. Le plumage de son cou, du ventre et du dos est d'un gris-bleuâtre, celui de la queue est noir à bords blancs et les deux plumes de son milieu ont le double des autres en longueur. Sur le derrière de la tête il porte une touffe légère de plumes noires.
No. 6. Le Vautour de Malte.
La longueur de cette espèce de Vautours est celle d'un Coq domestique; elle se trouve à Malte et dans les parties de l'Afrique voisines de Ja Méditerranée. Tout son corps est couvert de plumes brunes, qui sont plus claires dans un endroit et dans l'autre plus foncées.
Ad00341 03 094aNo. 1. Die schwarze Nieswurz. (Helleborus niger.)~~Die schwarze Nieswurz oder Christwurz wächst wild auf bergigten Gegenden von Oesterreich, Steyermark, der Schweiz und Italien, wird aber aucb in mehrern Gegenden Teutschlands in den Gärten gezogen. Aus der lockern, sehr faserigen Wurzel steigen die dicken Blattstengel in die Höbe, an deren Spitze 7 bis 9 lanzettförmige an den Seiten gezähnelte Blätter sitzen. Der Blumenschaft kömmt gleichfalls blätterlos aus der Wurzel heraus, der bisweilen zwey, gemeiniglich aber nur eine fünfblättrige rosenförmige Blume trägt. Die schwarze Nieswurz blühet im März und April, doch findet man sie auch mitten im Winter, im December und Januar in Blüthe. Die Wurzelfasern erregen in grösserer Quantität genommen Erhitzung, Angst, und können äusserst gefährlich werden. In den verständigen Händen des Arztes aber dient die Nieswurz, wenn man sie wie mehrere andere Giftpflanzen sparsam gebraucht, als gutes Arzneymittel in verschiedenen Krankheiten.~~No. 2. Das schwarze Bilsenkraut. (Hyosciamus niger.)~~Das schwarze oder gemeine Bilsenkraut ist eine äusserst giftige Pflanze, die beynahe in ganz Europa auf Schutthaufen, an Fahrwegen und Gemäuern wächst. Aus der im ersten Jahre noch niedrigen Staude schiessen im zweyten Jahre 2 Fuss hohe Blüthenstengel empor, an dessen Ende die trichterförmigen Blüthen platt aufsitzen, deren Grundfarbe erbsgelb ist, mit darauf liegender netzartiger lilaer Zeichnung. Das Innere des Trichters ist ganz violet. Die dicken haarigen Blätter haben einen stinkenden, betäubenden Geruch, so dass man sich in ihrer Nähe nicht aufhalten muss. Sowohl das Kraut als der Saame, und vorzüglich das darinnen enthaltene Oel sind äusserst giftig, und bewirken eine tödtliche Raserey, wovon man viele unglückliche Beispiele hat.- Doch auch aus diesem schädlichen Kraute haben die neuern Aerzte grossen Nutzen gezogen, indem sie es in ganz kleinen Gaben vorsichtig innerlich und äusserlich bey verschiedenen Krankheiten brauchten, und den erwünschtesten Erfolg davon sahen.~~59
Ad00341 03 094a/frePlantes LXXI. Vol. III. No. 92.
PLANTES VÉNÉNEUSES D'ALLEMAGNE.
No. 1. L'Ellébore noir.
L'Ellébore noir croit naturellement dans les parties montueuses de l'Autriche, de la Stirie, de la Suisse et de l'Italie; mais dans pluileurs pays de l'Allemagne on le cultive aussi dans les jardins. Ses racines sont poreuses et tubéreuses et il en sort un grand nombre de fibres; de leur sommet naissent des feuilles portées sur de longues queues pleines de suc, qui au nombre de 7 ou 9 sont dentelées et en forme de lancettes. La tige des fleurs est dépourvue de feuilles et sort également de la racine; les fleurs sont uniques, ou quelquefois au nombre de deux, et composées de cinq feuilles disposées en rose. L'Ellébore noir fleurit communément au printemps, mais quelquefois on le trouve aussi en fleurs au milieu de l'hiver. Les fibres de ses racines prises en trop fortes doses agitent le fang et causent des serremens de coeur, mais lorsqu'un médecin habile et sage emploie l'Ellébore avec prudence et modération, comme il faut faire aussi avec d'autres poisons, il est un bon remède dans plusieurs maladies.
No. 2. La Jusquiame ou Hanebane.
La Jusquiame noire est une plante extrêmement vénéneuse; elle croit presque par toute l'Europe sur des décombres et le long des chemins et des murs. Elle est bisannuelle; dans la première année elle reste petite, mais dans la seconde elle pousse une tige haute de deux pieds, au sommet de laquelle sont attachées des fleurs en forme d'entonnoir, de couleur jaune pâle et veinées de pourpre, ce qui leur donne l'air d'être couvertes d'un filet de foie; l'intérieur de l'entonnoir est de couleur violette. Les feuilles épaisses et cotonneuses sont d'une odeur puante et stupéfiante, de forte qu'il faut éviter de se trouver longtems dans son voisinage. L'herbe de cette plante, aussi bien que la femence et surtout l'huile qui en est exprimée, sont extrêmement vénéneuses, et produisent une démence mortelle, dont malheureusement on n'a que trop d'exemples. Les médecins modernes ont fçû cependant tirer parti de cette plante dangereuse; ils l'emploient en petites doses dans différentes maladies tant extérieurement qu'intérieurement et lui attribuent des effets très salutaires.
Ad00341 03 095aNo. 1. Das Bittersüss. (Solanum dulcamara.)~~Das Bittersüss oder die Alpranke wächst an Zäunen und schattigen Plätzen in ganz Europa wild. Es ist ein strauchartiges Gewächs, das 9 bis 10 Jahre dauert, und mehrere Fuss hoch sich an den nahstehenden Sträuchern, Mauern und Pfählen in die Höhe rankt. Aus den jungem grünen Zweigen (die ältern haben eine graue Rinde) treiben im Julius und August die violetten radförmigen Blüthen hervor, die nachher kleine, länglich runde, weiche Beeren von scharlachrother Farbe ansetzen. Die Blätter sind herzförmig, spiessartig zugespitzt. Die Wurzeln und Zweige, die man jährlich frisch einsammelt, brauchen die Aerzte mit Erfolg für die Gicht und andere Krankheiten. Auch äusserlich angewendet thut das Bittersüss bey Hautausschlägen gute Dienste. Doch muss man es sehr vorsichtig brauchen, da es als ein heftiges Mittel leicht mehr schaden als nützen kann. Für den Genuss der schönen rothen Beeren hüte man sich, denn sie sind giftartig.~~No. 2. Das Löffelkraut. (Cochlearia officinalis.)~~Das Löffelkraut oder auch Scharbockskraut genannt, wächst in England, Spanien, Holland und den Niederlanden an den Seeküsten. In Teutschland wird es häufig in den Gärten gezogen. Der 3 Zoll hohe Stengel dieser Pflanze theilt sich in mehrere langgestielte Aeste, an denen die runden herzförmigen Blätter sitzen, die glänzend grün sind, und einen bittern salzigen Geschmack haben. An dem Hauptstengel kommen im May und Junius die kleinen weissen Blüthen zum Vorschein. Das Löffelkraut ist für die Seefahrer eine kostbare Pflanze, da es eins der besten Heilmittel gegen den Scorbut oder Scharbock ist, und sich zugleich an vielen Seeküsten so häufig findet. Man isst es entweder roh als Salat, oder gebraucht den ausgepressten Saft. Auch leistet der aus dem Kraute bereitete Löffelkraut-Spiritus in mehrern Fällen gute Dienste.~~59
Ad00341 03 095a/frePlantes LXXII. Vol. III. No. 93.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. La Douce-amère, Dulcamara ou Morelle rampante.
Cette plante croit naturellement dans presque toute l'Europe le long des haies et dans des endroits ombragés. Elle forme un arbrisseau, qui peut durer 9 à 10 ans, et ses tiges farmenteuses rampent sur la terre ou grimpent sur des buissons ou sur des murs et ecbalas voifins. Dans les vieux farmens l'écorce est grise; dans les jeunes; au contraire elle est verte et ceux t là poussent dans les mois dé Juillet et d'Août des fleurs violettes disposées en forme de roue et en grappes. A ces Heurs succédent des petites baies ovales, molles et de couleur d'écailate. Ses feuilles sont oblongues et en manière de fer de pique. Les branches ainsi que les racines sont cueillies fraiches dans chaque année, et les médecins les emploient avec succès dans les maladies, arthritiques; on s'en sert aussi extérieurement avec avantage contre la gale et d'autres maladies de peau. Il faut en faire usage cependant avec précaution, parcequ'elles sont un remède très violent, et pourroient bien devenir plus nuisibles qu'utiles. Qu'on se garde surtout d'en manger les belles baies rouges, car elles sont vénimeuses.
No. 2. Le Cochléaria ou l'herbe aux cuilliers.
L'herbe aux cuilliers se trouve en Angleterre, en Espagne, en Hollande et dans les Pays bas, où elle croit aux côtes de la mer. En Allemagne on la voit souvént plantée, dans les jardins. La tige est haute de 3 pouces; les feuilles sont arrondies en coeur, d'un vert luisant et portées sur des queues longues; leur goût est très acre et piquant. Les fleurs, qui poussent de la tige dans les mois de Mai et de Juin, sont petites et de couleur blanche. Cette plante est d'un grand prix pour les navigateurs, car elle tient un des premiers rangs parmi les spécifiques contre le scorbut et se trouve aussi en abondance sur beaucoup de côtes. On la mange tantôt toute crue comme de la Salade, tantôt on en prend le suc ou l'insusion. On tient aussi dans les boutiques un esprit distillé' de cette plante, qui rend d'excellent services dans plusieurs maladies.
Ad00341 03 096aDer Medusenstern. (Asterias caput Medusae.)~~Der Medusenstern, den wir auf der gegenwärtigen Tafel abgebildet sehen, gehört zu den Seesternen, die ein ziemlich grosses Geschlecht der Seethiere ausmachen, und wovon wir bis jetzt 33 Arten kennen. Einige dieser Seesterne haben 10 bis 13 Strahlen oder Arme, die mehresten aber nur fünfe. Unter den letztern ist nun der hier abgebildete Medusenstern oder das Medusenhaupt vorzüglich merkwürdig. Den Namen hat dieser Wurm dadurch bekommen, dass man ihn seines vielfachen Geflechtes wegen mit dem Schlangenhaar der in der Fabellehre bekannten Medusa verglich.~~Der Körper des Medusensterns besteht aus fünf starken, gleich weit auseinander stehenden Aesten oder Armen, wovon sich jeder in zwey neue Aeste theilt, dieser wieder gleichfalls in zwey andere, so dass diese zweytheiligen Unter-Abtheilungen bis in die zartesten Aestchen fortgehen, die sich bis in die tausende erstrecken. Ja man will an einem einzigen Medusenstern bis zu 80.000 solcher kleiner Glieder gezählt haben. Sie gleichen in der Weichheit den Hörnern der Schnecken, und schlingen sich schlangenartig in einander. Er erreicht mit ausgebreiteten Aesten im Durchmesser eine Grösse von 10 Fuss. Seine Nahrung besteht in Conchilien und Gewürmen, die er durch schnelle Zusammenziehung der tausendfältigen Aeste seiner Arme, welche er wie ein Netz ausspannt, sehr geschickt zu fangen weiss, und sie mit seinem am untern Theile des Körpers befindlichen Maule, das mit Zähnen versehen ist, verzehrt.~~Die Medusensterne halten sich an den Ufern fast aller Meere auf, vorzüglich aber leben sie im Mittelländischen Meere. Von Farbe sind sie roth oder braun, seltner aber grün. Sie kriechen entweder schleichend über die Gegenstände am Meeresboden weg, oder schwimmen auf der Oberfläche des Wassers.~~59
Ad00341 03 096a/freVers IV. Vol. III. No. 94.
LA TETE DE MÉDUSE.
La tête de Méduse.
La tête de Méduse, qu'on voit répresentée sur la table ci-jointe, est une espèce d'étoiles de mer, qui sont une famille d'animaux de mer assès considérable, et dont on connoit jusqu'à présent 33 espèces différentes. Ces étoiles de mer varient par le nombre de leurs, rayons ou brandies; quelques unes en ont 10 jusqu'à 13 mais d'autres et la plupart n'en ont que cinq. L'esspèce, dont il est ici question, et qu'on nomme la tête de Méduse, est du nombre de celles qui n'ont que 5 rayons, et sa structure singulière la rend très remarquable. Le nom qu'on lui a donné vient de la quantité de ses ramifications qui ressemblent à des tresses de cheveux et qui ont été comparées avec les serpens qui remplaçoient dans la mythologie les cheveux sur la tête de la fameuse Méduse. Le corps de cet animal consistè en cinq grosses branches rangées à distance égale l'une de l'autre; chacune de ces branches se partage de nouveau en deux rameaux et ces rameaux en deux autres et ainsi successivemement en une infinité de petites ramifications dont les demie res sont aussi fines, que des cheveux. On prétend avoir compté plus de 80.000 de ces petits rameaux dans une seule tête de Méduse. Toutes ces branches et ces rameaux ressemblent pour la mollesse aux cornes de limas et ils s'entrelacent de la manière des serpens. En comptant tous ces rayons étendus l'animal peut parvenir à une grandeur de dix pieds de diamètre. Sa nourriture consistè en coquillages et en vers, qu'il sçait prendre avec une grande adresse en serrant subitement les rameaux de ses bras, après les avoir tenu étendus comme un filet. Il dévoie ensuite sa proie avec sa bouche, qui est placée sur le coté inférieur du corps et garnie de dents. On trouve des têtes de Méduse aux eûtes de presque toutes les mers; mais en plus grande quantité sur les rivages de la Méditerranée. Leur couleur est rouge ou brune; très rarement on en trouve de vertes. Elles nagent tantôt sur la surface de l'eau, tantôt elles se traînent lentement sur le fond de la mer.
Ad00341 03 097aWir sehen hier und im folgenden Hefte No. 99. in mehrern Abbildungen die hauptsächlichsten innern Theile des menschlichen Körpers, welche die mehrsten Menschen aus thörigtem Eckel kennen zu lernen sich scheuen. Und doch würden sie, da von diesen Theilen der gesunde oder kranke Zustand unsers Körpers abhängt, durch deren nähere Kenntniss eine Menge Krankheiten vermeiden oder schneller zu heben wissen.~~No. 1. Die Lage der Eingeweide, der Brust und des Unterleibes.~~Hier erblicken wir die Brust und den Unterleib geöffnet. Alle Eingeweide liegen in ihrer natürlichen Lage. Blos das Brustbein und die vordern Theile der Rippen sind weggenommen.~~Fig. 1) Die Rippen. 2) Die Schilddrüse. 3) Die Brustdrüse mit Fett bedeckt. 4) Der Herzbeutel. 5) und 6) Die rechte Lunge. 7) und 8) Die linke Lunge. 9) Das Zwerchfell (sondert die Brusthöhle von der Bauchhöhle). 10) und 11) Die Leber. 12) Der Boden der Gallenblase. 13) Das Hängeband der Leber. 14) Das runde Leberband. 15) Der Magen. 16) Der Pförtner oder untere Theil des Magens. 17) Der erste Anfang des Zwölffingerdarms. 18) Ein Theil der Milz. 19) Das Magen- und Grimmdarmnetz.~~No. 2. Zweyte Ansicht der geöffneten Brust - und Bauchhöhle.~~In dieser Figur sind die Rippen (1. 1.) weiter als in Fig. 1. weggebrochen worden; die Lungen sammt der Luftröhre, das Fett so wie der Herzbeutel sind weggeschnitten. Hierdurch kömmt Fig. 2) das Herz zum Vorschein. Fig. 3) zeigt das Herzohr. 4) Die Aortenkammer oder linke Herzkammer. 5) Der Anhang des linken Vorhofs. 6) Die obere Hohlvene (Venen oder Blutadern sind Blutgefässe, die das Blut aus dem übrigen Körper ins Herz zurückführen). 7) u. 8) Die rechte und linke Drosselvene der Brust. 9) Die Lungen-Arterie; führt das Blut in die Lungen (Arterien oder Pulsadern sind Blutgefässe, die das Blut vom Herzen aus durch den ganzen Körper verbreiten, so wie es hernach die Venen wieder zum Herzen zurückführen). 10) Der Bogen der Aorta oder der grossen Pulsader, wodurch alles Blut in den Körper geht. 11) Gemeinschaftlicher Stamm der rechten Kopf- und Schlüssel-Arterie. 12) Die linke Kopf-Arterie. 13) Die linke Schlüssel-Arterie. 14) Die Schilddrüse. 15) Der Leerdarm nebst 16) und 17) dem gewundnen Darme gehört zu den sogenannten dünnen Därmen. 18) 19) 20) Der Grimmdarm, der hier in die Höhe geschlagen erscheint, gehört zu den sogenannten dicken Därmen. 21) Ein Theil der Darmbeinkrümmung. 22) Das vordere Band des Grimmdarms. 23) 24) und 25) Das Gekröse des Grimmdarms. 26) Ein Theil davon.~~59
Ad00341 03 097a/freMélanges XXXIi. Vol. III. No. 95.
SITUATION DES ENTRAILLES DANS LE CORPS HUMAIN.
La Tableau ci-joint ainsi que celui N. 99. contenu dans le cahier suivont réprésentent les Entrailles principales qui sont renfermées dans le corps humain; le vulgaire des hommes est assès imbécille pour qu'il lui répugne de les étudier dans jours détails, mais ces gens - là ne lavent pas que l'état de santé et de maladie de notre corps dépend principalement de ces différentes parties et que par conséquent leur connoissance particulière peut non feulement faire éviter un grand nombre de maladies, mais aussi les guérir avec plus de facilité. 1. La situation des Entrailles de la poitrine et du bas ventre. Nous voyons ici la poitrine et le bas ventre ouverts et toutes leurs Entrailles dans leur situation naturelle; il n'en manque que le brechet et la partie antérieure des côtes. Fig. 1) Le reste des côtes. 2) Une partie de la grande thyroide. 4) Le thymus couvert de graisse. 4) Le péricarde. 5) et 6) Le poumon droit. 7) et 8) Le poumon gauche. 9) Le diaphragme, qui sépare la cavité de la poitrine de celle du bas ventre. 10) et 11) Le foie. 12) Le fond de la véficule du fiel. 13) Le ligament suspensoire du foie. 14) Le ligament rond du foie. 15) L'estomac. 16) Le pylore ou la partie inférieure de l'estomac. 17) Le commencement du duodénum. 18) Une partie de la rate. 19) L'épiploon gastro-colique.
No. 2. Second aspect des cavités ouvertes de la poitrine et du bas ventre.
Dans cette figure on a oté une plus grande partie des côtes, que dans Fig. 1) et plus encore les poumons, la trachée-artère, la graisse et le péricarde; de sorte qu'on voit Fig. 2) le coeur. Fig. 3) l'oreillette du coeur. 4) Le ventricule gauche du coeur. 5) L'appendice de l'oreillette gauche du coeur. 6) La veine cave supérieure. (Les veines sont des vaisseaux sanguins, par lesquels le taug distribué jusqu'aux extrémités du corps est rapporté au coeur.) 7) et 8) La veine jugulaire droite et gauche de la poitrine. 9) L'artère pulmonaire, qui porte le sang aux poumons. (Les artères sont des vaisseaux sanguins, qui distribuent le sang jusqu'aux extrémités du corps où il est reçu par les ramifications des veines qui le rapportent au coeur.) 10) La crosse (ou courbure) de l'aorte par laquelle le sang est poussée dans le corps. 11) Le tronc commun de la carotide et sous-clavière droite. 12) L'artère carotide gauche. 15) L'artère sous -clavière gauche. 14) La glande thyroïde. 15) Le jéjunum, qui appartient aux boyaux déliés ainsi que 16) et 17) L'iléon. 18) 19) et 20) Le colon qui paroit ici renversè en dessus et qui fait partie des gros boyaux. 21) Une partie du colon iliaque ou de l's du colon. 22) Le ligament antérieur du colon. 23) 24) et 25) Le mésocolon. 26) Une partie du mésocolon.
Ad00341 03 098aDer Seeadler. (Falco ossifragus.)~~No. 1. Das Männchen. No. 2. Das Weibchen.~~Der Seeadler gehört mit zu den grössten Raubvögeln, denn er erreicht eine Länge von 3 Fuss 10 Zoll, und misst mit ausgespannten Flügeln 8 Fuss. Man findet ihn ausser einigen Gegenden Teutschlands, fast in ganz Europa, in Asien und Nord-Amerika. Er hält sich gewöhnlich am Meeresufer, an fischreichen Landseen und Flüssen auf, wo er seiner Lieblings-Nahrung, den Fischen, nachstellt. Da er weniger scharf als die übrigen Raubvögel sieht, und seine Schwingen auch Kürzer sind, so fliegt er nicht hoch, und streicht nur über die Erde und Wasserflächen hin. Sein Nest baut er in entlegene Waldungen auf die höchsten Bäume aus Reisig. Das Gefieder des Seeadlers besteht aus einer Mischung von roth-schwarz-und graubraun. Die Beine oder Fänge sind gelb und geschuppt. Das Männchen ist etwas kleiner als das Weibchen, und sein Gefieder ist viel heller und hie und da mit weissen Stellen untermischt.~~No. 3. Der französische Adler. (Falco gallicus.)~~Dieser Adler wird 2 Fuss lang, 5 Fuss breit, und lebt vorzüglich in Frankreich. Der Hinterkopf, Nacken, Rücken und die Flügel sind graulich braun; der Hals, die Brust und Bauch weiss mit rothbraunen Flecken. Er lebt von mehreren kleinen Thieren, als Ratten, Mäusen, Hamstern u.s.w. Doch verachtet er auch Frösche nicht.~~No. 4. Der Fisch-Aar. (Falco haliaëtos.)~~Der Fisch-Aar oder die Moosweihe ist den Fischereyen sehr nachtheilig, da Fische seine hauptsächlichste Nahrung sind. Er erblickt sie wegen seines scharfen Gesichts in der großen Höhe, und schiesst dann schnell auf sie herab. Seine Länge beträgt 2 Fuss 5 Zoll, seine Flügelbreite 6 Fuss 6 Zoll. Das Gefieder ist am Hals und Bauch weiss, mit rothen und braunen Flecken. Die Flügel sind schwarzbraun, weiss gesäumt, die Füsse gelb, der Obertheil des Kopfes gelblich und weiss. Man trifft den Fisch-Aar ausser Europa, auch in mehrern Theilen von Asien, Afrika und Amerika an. In Teutschland ist er nicht selten.~~No. 5. Der Falke mit rother Kehle. (Falco aquilinus.)~~Dieser schöne Falke wird 1 Fuss 11 Zoll lang, und findet sich vorzüglich in Cayenne in Amerika. Sein Gefieder ist glänzend Indigoblau, die Füsse sind gelb, der Schnabel bläulich mit einer dunkelgelben Wachshaut. Die Kehle und Seiten des Kopfs sind mit kleinen purpurroten Federchen besetzt.~~No. 6. Der Bussard. (Falco Buteo.)~~Der Bussard oder Mäusefalk ist ein in ganz Teutschland bekannter Raubvogel; lebt aber ausserdem auch noch in den übrigen Ländern Europa's und in Nord-Amerika. Er ist 2 Fuss 3 Zoll lang und 5 Fuss breit. Sein Gefieder ist ein abwechselndes rostbraun und graubraun, die Schwungfedern schwarzbraun; doch ist das Farbenspiel beym Bussard oft sehr verschieden. Er nistet in Wäldern auf den höchsten Fichten und legt in ein aus Reisig unordentlich zusammengebautes Nest 3 bis 4 weissliche Eyer. Seine Nahrung besteht ausser mehreren kleinen Säugethieren hauptsächlich aus Eidechsen, Fröschen, Kröten, Ringelnattern und andern Amphibien.~~60
Ad00341 03 098a/freOiseaux XLVI. Vol. III. No. 96.
DIFFÉRENTES ESPÈCES D'OISEAUX DE PROIE.
L'Orfraie ou l'Ossifrage.
No. 1. La mâle. No. 2. La femelle.
L' Orfraie est une des espèces des plus grands oiseaux de proie; il a 3 pieds et 10 pouces de longueur et 8 pieds d'envergure. Il se trouve dans presque toute l'Europe, l'Asie, l'Amérique septentrionale et même dans quelques contrées de l'Allemagne; il se tient volontiers près des Lords de la mer et assès souvent dans le milieu des terres à portée des étangs et des rivières poissonneuses, où il peut trouver facilement des poissons, qui sont sa nourriture ordinaire. Comme il a la vue moins perçante que les autres oiseaux de proie, et que ses ailes sont aussi plus courtes il ne s'élève pas à une grande hauteur et plane toujours à une petite distance au dessus de la terre ou de la surface de l'eau. Son nid est fait de broussailles et toujours placé sur les plus grands arbres dans des forêts écartées. La couleur de son plumage est un mélange de rouge, de noir et d'un brun-grisâtre. La peau nue de ses jambes est jaune et couverte de petites écailles. Le mâle est un peu plus petit que la femelle; son plumage est aussi plus clair et entremêlé de taches blanches.
No. 3. Le Jean - le - Blanc.
Cet oiseau a deux pieds de longueur et 5 pieds d'envergure. Sa tête, le dessus de son cou, son dos et ses ailes sont d'un brun cendré; la gorge, la poitrine et le ventre sont blancs varies de taches d'un brun-ioux. Il est surtout très commun en France, et se nourrit de plusieurs petits animaux, tels que de rats, de souris, de hamsters etc.; au besoin il se contente aussi de grenouilles.
No. 4. Le Balbuzard.
Le Balbuzard est très nuisible aux eaux poissonneuses, parceque sa nourriture consiste principalement en poissons; comme il a la vue extrêmement perçante, il les apperçoit d'une très grande hauteur et fond sur eux avec rapidité. Il a 2 pieds 5 pouces de longueur, et 6 pieds 6 pouces d'envergure. Son cou et son ventre sont de couleur blanche à taches rouges et brunes; ses ailes sont d'un noir brunâtre et bordées en blanc, ses jambes sout jaunes et le dessus de la tête est blanc et jaunâtre. Cet oiseau est assès commun en Allemagne et répandu en général par toute l'Europe s il se trouve aussi dans plusieurs parties de l'Asie, de l'Afrique et de l'Amérique.
No. 5. Le petit aigle d'Amérique.
Ce bel oiseau a une longueur de 2 pieds et se trouve surtont à Cayenne en Amérique. Son plumage est de couleur d'azur foncé et très brillant; ses pieds sont jaunes et le bec est bleuâtre avec un cercle d'un jaune foncé autour des yeux. Sa gorge et les cotés de sa tête sont décorés de petites plumes de couleur de pourpre.
No. 6. La Buse.
Cet oiseau de proie est généralement connu en Allemagne, et se trouve aussi dans d'auties pays de l'Europe et dans l'Amérique septentrionale. Il a 2 pieds 3 pouces de longueur et 5 pieds d'envergure. Son plumage est mêlé de couleur de rouille et d'un brun-grisâtre; les plumes des ailes sont d'un brun-noir; il est cependant sujet à varier et on en trouve à peine deux bien semblables et dont les couleurs ne soient mélangées différemment. Son nid est construit de petites branches et placé fur les pins les plus élevés; il pond 2 ou 3 oeufs blanchâtres. Sa nourriture principale consiste en plusieurs petits animaux à mammellet, mais à leur défaut il ne dédaigne pas non plus les lézards, les grenouilles, les crapauds, les serpens d'eau et quelques autres amphibies.
Ad00341 03 099aNo. 1. Der Giftsumach. (Rhus toxicodendron.)~~Der Giftsumach oder eichenblättrige Giftbaum ist ein baumartiger Strauch, der eine Höhe von 4 bis 5 Fuss erreicht. Er wächst in Nordamerika, vorzüglich in Virginien und Canada wild auf den Wiesen, dauert aber auch in Teutschland aus, und kann da in den Gärten gezogen werden. Er hat dreygestielte eyförmig zugespitzte und an den Seiten gezähnelte Blätter, die auf der obern Seite glatt, unten aber wollig sind. Die gelblich grünen Blüthenbüschel kommen im Julius zum Vorschein, und hinterlassen eine trockne gestreifte Beere, wodurch dieser Strauch fortgepflanzt wird. Seine giftigen Eigenschaften äussert er, vorzüglich in heissen Sommertagen dadurch, dass der Saft, wenn er die blosse Haut berührt, Blasen erregt, die aber nicht tödtlich sind. - In neuern Zeiten haben ihn die Aerzte, behutsam angewendet, mit Erfolg bey Lähmungen und andern Krankheiten gebraucht.~~No. 2. Der Firniss-Sumach. (Rhus vernix.)~~Der Firniss-Sumach wächst als Baum in Japan und Nordamerika, und erreicht eine Höhe von 15 bis 20 Fuss. Die hellgrünen gefiederten Blätter sind länglich zugespizt, und haben einen hellrothen Blattstiel. Im Herbst werden die ganzen Blätter röthlich, und fallen dann ab. Die gelb-grünlichen Blüthen kommen im Julius zum Vorschein, und setzen dann gelbliche Beeren an. Diese Sumachart kömmt auch in Teutschland im Freyen fort, allein nicht so gut als die vorige Art, und hält strenge Winter nicht aus. Doch pflanzt man ihn wegen seiner giftigen Eigenschaften nicht gern an, sondern zieht ihn meistens nur in botanischen Gärten. Seine giftigen Eigenschaften äussert er stärker als die vorige Art. In heissen Sommertagen ist seine Ausdünstung schon in der Entfernung von 3 bis 10 Fuss gefährlich, noch giftiger ist er aber beym Berühren, wo man sich vorzüglich vor dem weissen übelriechenden Milchsaft, der unter der Rinde sitzt, hüten muss. Dieser erregt die heftigsten Blasen und Geschwülste, die oft unheilbar sind. Noch gefährlicher wirkt der Firniss Sumach, wenn man ihn anbrennt. Leute, die es aus Unverstand thaten, und dabey standen, schwollen schnell am ganzen Leibe, und würden gestorben seyn, wenn man nicht schnell durch Arzneyen zu Hülfe gekommen wäre. Doch äussert er seine giftigen Eigenschaften auf mehrere Personen verschieden, so dass man selbst Beyspiele hat, dass ihn einige ohne Schaden angreifen konnten. In Japan bereitet man einen guten Lackfirniss daraus, wovon er auch den Namen hat.~~60
Ad00341 03 099a/frePlantes LXXIII. Vol III. No. 97.
PLANTES VÉNÉNEUSES ÉTRANGÈRES.
No. 1. Le Toxicodendron, ou l'herbe à la puce.
Le Taxicodendron est un grand arbuste, qui atteint une hauteur de 4 ou 5 pieds. Dans l'Amérique septentrionale, et surtout dans la Virginie et au Canada il croit naturellement dans les prairies, mais il endure aussi le clima de l'Allemagne, où il est cultivé dans, les jardins. Ses feuilles sont composés de trois, folioles ovales, dentelées et attachées à rextrêmité d'une queue commune; elles sont liffes en dessus et velues en dessous. Les fleurs paroissent dans le mois de juillet; elles viennent en bouquets, et sont d'un jauneverdàtre. Il leur succède des baies séches et striées qui contiennent la semence. Sa qualité vénéneufe se montre furtout dans les grandes chaleurs de l'été, où son suc appliqué sur l'épiderme de la peau, y cause des pustules, qui ne sont cependant pas mortelles. Des médecins modernes l'ayant employé avec précaution dans les paralyfïes et d'autres maladies de cette nature, en ont obtenu de grands succés.
No. 2. L'Arbre du Vernis.
Cet arbre croit au Japon et dans l'Amérique septentrionale; il atteint une hauteur de 15 jusqu'à 20 pieds. Ses feuilles sont impennées, ovoides avec une pointe courte, d'un vert-jaunâtre et soutenues par des péduncules courts et rougeâtres; dans l'automne les feuilles entiers deviennent rouges avant de tomber. Les fleurs sont d'un jaune verdâtre et viennent dans le mois de juillet; il leur succède des baies jaunâtres. Cet arbre vient dans l'Allemagne en plein vent tout comme le précédent, mais lans cependant y endurer aussi bien les hivers rigoureux. A cause de fes vapeurs vénéneuses on n'aime pas en faire des plantations et on ne le cultive que dans les jardins des plantes. Il est plus dangereux que l'arbre précédent, et dans les grandes chaleurs de l'été on est même atteint dans un éloignement de 8 ou 10 pieds de l'effet venimeux de fes exhalaisons. Mais c'eft au contact surtout qu'il produit des effets très dangereux et il faut principalement se garder du suc laiteux qui se trouve en dessous de l'écorce et qui a une odeur très désagréable. Appliqué sur la peau il y cause des pustules et des erysipelés très fâcheux et souvent même incurables. Quand il est allumé, ses effets sont encore plus formidables, et des perfonnes qui en firent l'essai sans en connoitre les fuites, et qui réstèrent présens à l'opération, eurent subitement toutes les parties du corps enflées et seraient morts infailliblement, si on ne leur avoit pas bien vite porté des secours. Ce suc n'exerce cependant pas cette propriété venimeuse sur tout le monde avec une force égale, et on a des exemples, que des personnes ont pu le toucher impunément. Les habitans du Japon préparent de ce suc un très bon Vernis, dont l'arbre a aussi. reçu son nom.
Ad00341 03 100aNo. 1. Die Zirbelnusskiefer. (Pinus Cembra.)~~Die Zirbelnusskiefer wächst ausser Sibirien in Tyrol, auf den Carpathen, den schweizerischen Alpen und kommt auch in Teutschland gut fort. Sie gehört zu den Nadelholz-Arten, wie man auf den ersten Blick sieht, und erreicht bisweilen eine ziemliche Höhe. Die dunkelgrünen 3 Zoll langen Nadeln (a) stehen zu fünfen in einer Scheide. Die buschigten Aeste umgeben den Stamm im Kreise, so dass der Baum dadurch ein pyramidalisches Ansehn bekömmt. Die länglichrunde Frucht oder der Zapfen (b) dieses Baums, wird etwas grösser als ein Hühnerey, und ist braunroth. Unter den hohlen Schuppen liegen harte keilförmige Nüsse (c), deren weisser Kern wie Mandeln schmeckt, und deswegen häufig gegessen wird. Auch presst man ein gutes Oel daraus. Das weisse Holz wird mit Nutzen zu allerhand Tischlerarbeiten verbraucht. Aus den harzigen Theilen des Baums wird auf den Carpathen ein Balsam bereitet. - In Teutschland pflanzt man die Zirbelnusskiefer oft in englischen Garten-Anlagen an.~~No. 2. Die Pineolenkiefer. (Pinus Pinea.)~~Die Pineolenkiefer oder der Pinien-Baum, gleichfalls eine Nadelholzart, wächst vorzüglich in Spanien, Italien und im südlichen Frankreich. In Teutschland kann sie nicht im Freyen gezogen werden, da sie zu zärtlich ist, blos hie und da trifft man sie in Gewächshäusern an. Sie erreicht eine ziemliche Höhe. Ihre steifen spitzigen Nadeln (a) stehen zwey und zwey zusammen in einer Scheide, und sind dunkelgrün. Sie trägt gelbe Blüthen oder sogenannte Käzchen, und setzt einen 4 1/2 Zoll langen, länglich runden braunen Zapfen (b) an. Die dicken, erhabenen Schuppen schliessen fest an einander, so dass man den Pinienapfel (so nennt man den Zapfen) nur mit Mühe öffnen kann. Unter ihnen liegen die bohnenförmigen 1/2 Zoll langen Saamen mit einer schwarzen Schaale umgeben. Der innliegende weisse Kern schmeckt mandelartig, ist sehr gesund, und wird gewöhnlich verspeiset. Deswegen bauet man auch die Pinie in den südlichen Ländern häufig an, und sie gewährt überdies in Gärten wegen ihrer Zweige, die sich wie ein natürlicher Sonnenschirm ausbreiten, und ein dichtes grünes Gewölbe bilden, einen angenehmen Anblick. In Italien und Frankreich macht man die essbaren Kerne mit Zucker ein, und verschickt sie in das übrige Europa.~~60
Ad00341 03 100a/frePlantes LXXIV. Vol. III. No. 98.
ARBRES À FEUILLES ACICULAIRES ET À FRUITS MANGEABLES.
No. 1. Le Pin-Cimbre.
On reconnoit cette espèce de pin au premier coup d'oeil pour un arbre à feuilles aciculaires; il croit dans la Sibérie, le Tirol, sur les monts Carpatlies, les Alpes suisses et même en Allemagne il est cultivé avec succès; il atteint quelquefois une hauteur assès considérable. Ses feuilles (a) sont d'un vert foncé, longues de 3 pouces et rassemblées cinq-à-cinq dans une gaine commune. Les branches touffues s'étendent circulairement autour de la tige, ce qui donne à l'arbre une forme pyramidale. Les fruits oblongs, qu'on appelle cônes ou pommes (b) sont ara peu plus gros que des oeufs de poules et de couleur brune-rougeâtre. Sous chacune de ses écailles creuses il se trouve un noyau dure en forme de coin (c), qui contient une amande blanche bonne à manger. On en retire aussi par expression une très bonne huile. Le bois blanc de cet arbre est employé avec avantage à différens ouvrages de ménuiserie, et sur les Carpathes on prépare un baume des parties résineuses de cet arbre. En Allemagne on le voit fouvent cultivé dans les jardins Anglois.
No. 2. Le Pin-Pignier.
Le Pin-Pignier croit principalement dans l'Espagne, l'Italie et la France méridionale. En Allemagne on ne peut pas le cultiver en plein vent, parcequ'il est trop délicat, mais on le trouve quelquefois dans les serres. Il atteint une hauteur assès considérable; ses feuilles roides et pointues (a) sont d'un vert foncé et poussées deux-à-deux dans une gaine commune. Les fleurs sont jaunes et en forme de bouquets; il leur succède des cônes ou pommes brunes, ovales et d'une longueur de 4 1/2 pouces (b). Les écailles épaisses et concaves de ces cônes sont tellement serrées les unes sur les autres qu'on a de la peine à les ouvrir. En dessous de ces écailles il y a des noyaux noirs en forme de fèves et de la longueur d'un 1/2 pouce, qui renferment des amandes blanches, bonnes à manger et réputées salutaires. Dans les pays méridionaux le Pin-Pignier est fréquemment cultivé pour en retirer les fruits; il est d'ailleurs très propre à être mis dans des jardins à cause de l'agrément de son feuillage et de ses branches touffues qui s'étendent comme un parasol naturel et forment une espèce de voûtes toujours vertes. En France et en Italie ces amandes mangeables sont confites dans du sucre et transportées dans les autres pays de l'Europe.
Ad00341 03 101aWir sahen No. 95. dieses Bandes schon die hauptsächlichsten Theile des menschlichen Körpers in 2 Figuren; auf gegenwärtiger Tafel wollen wir mehrere davon noch genauer betrachten.~~No. 1. Die geöffnete Brust- und Bauchhöhle nach Wegnehmung mehrerer Eingeweide.~~Durch Wegnahme der übrigen Eingeweide der Brusthöhle sieht man hier das Herz mit den daraus entspringenden Arterien und Venen, wie es in seiner natürlichen Lage zwischen den beyden Lungen, die aber hier weggeschnitten sind, liegt. Man kann das Herz als einen hohlen grossen Muskel betrachten, dessen Fasern in verschiedenen Richtungen mit einander verwebt sind, wodurch es äusserst reizbar ist, und in beständiger Thätigkeit erhalten wird. Es ist das Hauptbehältniss des Bluts für den ganzen Körper. Ohne Unterlass strömt dieses aus dem Herzen in die Arterien oder Pulsadern, ergiesst sich von da in die Venen oder Blutadern, die es dann wieder in das Herz zurückführen. Dieses ist der so äusserst merkwürdige Kreislauf des Blutes. 11) Die Luftröhre. 12) Die Schilddrüse. Aufgetrieben entsteht daraus eine Krankheit, der Kropf. 13) Der Schildknorpel oben an der Luftröhre befindlich. 14) Die Schlüsselbeine. 15) und 16) Die äussern Rippen. 17) Ueberreste des weggeschnittenen Zwerchfells. 20) Ein Theil des Magens. 21) Die Milz. 22) Die rechte Niere. Die fehlenden Nummern erklären sich aus No. 95. im vorigen Hefte dieses Bandes.~~No. 2. Die geöffnete Brust- und Bauchhöhle in einer andern Ansicht.~~Hier sind die Eingeweide der Brust und des Unterleibes ganz herausgenommen.~~1) Ein Stück der Luftröhre. Die Luftröhre besteht aus knorpeligen Ringen, und dient theils zum Athemholen, theils zur Hervorbringung von Tönen, die durch die Beyhülfe der Zunge zur vernehmbaren Sprache werden. 2) zeigt die Speiseröhre, die die verschluckten Speisen durch den Magenmund (3) in den Magen (4) bringt. Der Magen selbst bildet einen länglichen aus mehreren Häuten bestehenden Sack, in dem die Speisen verdauet werden, und dann durch den Pförtner (5) in den Grimmdarm (6) übergehen. 7) Die Bauchspeicheldrüse oder das Pankreas, welche beständig einen Saft absondert, der die Verdauung befördert. 8) Die Milz. Sie hilft dem Blute zur Absonderung der Galle. 9) und 10) Die Nieren. 11) Rest des weggeschnittenen Zwerchfells. 12) Die mit dem Herzen abgeschnittene Aorta oder grosse Pulsader. 13) Arteriöser Kanal. 14) und 15) Die herabsteigende Aorta. 16 und 17) Die linke und rechte Hüftvene. 18) Die Hohlader. 19) Der Ueberrest vom Mastdarm. 20) Das Rückgrad.~~60
Ad00341 03 101a/freMélanges XXXII. Vol. III. No. 99.
SITUATION DES ENTRAILLES DU CORPS HUMAIN.
Une partie des Entrailles principales du corps humain a été repésentée dans les deux figures
jointes au N. 95. de ce Volume; le tableau présent nous en fait voir encore d'autres.
No. 1. Les cavités ouvertes de la poitrine et du bas-ventre, dont on a ôté plusieurs Entrailles.
Après avoir ôté plusieurs Entrailles de la cavité de la poitrine, on y appercoit le Coeur avec les Artéres et les Veines qui en partent; il est placé dans sa situation naturelle entre les deux poumons, qui cependant ne se trouvent plus dans la figure présente. On peut regarder le coeur comme un grande muscle creux composé d'une suite continue de fibres différemment entrelacées ; c'est ce qui le rend extremenent irritable et le soutient aussi dans son mouvement continuel. Il forme pour ainsi dire le reservoir général du sang pour tout le corps. Par un mouvement continuel le sang est chasse du coeur dans les artéres, qui le distribuent dans toutes les parties du corps ; il est recu ici par les ramifications des veines qui le rapportent dans le coeur. Telle est la circulation non interrompue du sang, qu'on ne se lasse pas d'admirer. 11) La trachée-artére. 12) La gland thyroide, dont le gouflement est une maladie appelée le goitre. 13) Le cartilage thyroide. 14) Les clavicules. 15) et 16) lec cotes extérieures. 17) Restes du diaphragme coupé. 20) Une partie de l'estomac. 21) La rate. 22) Le Rein droit. Les Numeros qui manquent ici peuvent etre expliqués du N. 95. du Cahier precedent de ce Volume.
No. 2. Les cavités ouvertes de la poitrine et du bas-ventre sous un autre aspect.
On a ôté ici entièrement les entrailles de la poitrine et du bas-ventre. 1) Une partie de la trachée-artère. La trachée-artère est un canal composé de cercles cartilagineux; elle porte l'air aux poumons et deux poumons et donne issue à celui qui en sort, et qui par l'intervention de la langue forme la parole. 2) L'œsophage, qui conduit les alimens avalés, dans 4) l'estomac à travers 3) le cardia ou l'orisice supérieur de l'estomac. L'estomac est unde espèce de sac de forme oblongue et composé de plusieurs tuniques, dans le quel les alimens sont digérés et dont ils passent ensuite par le pylore 5) dans 6) le Colon. 7) Le pancréas, qui filtre continuellement la liqueur nécessaire pour faciliter la digestion. 8) La rate, daus laquelle le sang se d´veloppe de manière à devenir plus propre à la sécrètion de la bile. 9) et 10) Les Reins. 11) Reste du diaphragme coupé. 12) La grosse – artére ou l'aorte; séparée du cœur. 13) Lecanal artériel. 14) et 15) L'aorte descendante. 16) et 17) La veine iliaque gauebe et droite. 18) La veine cave. 19) Reste du Rectum. 20) L'épine du dos.
Ad00341 03 102aDie purpurrote Rudbeckie. (Rudbeckia purpurea. L. )~~Die purpurrote Rudbeckie ist eine schöne Zierpflanze, welche in Nordamerika wild auf den Bergen von Virginia, Carolina und Florida wächst; bei uns aber auch wegen ihres vorzüglichen Aussehens in Gärten zur Verzierung gepflanzt wird. Den Namen hat sie zu Ehren eines verdienten schwedischen Botanikers, Olaus Rudbeck erhalten.~~Diese Pflanze treibt einen 3 bis 4 Fuss hohen Stängel, an welchem wechselweise die lang gespitzten und gezähnten Blätter sitzen. Die grossen schönen purpurroten Blüten, welche am Ende des Stängels sitzen, sind strahlenförmig gebildet, und hängen mit den an der Spitze gespaltenen Blättern abwärts.~~120