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Ad00341 06 035aAusserordentlich merkwürdig sind die Höhlen von Carli. Sie liegen zwischen Bombai und Punah; es läuft hier eine Hügelkette von Osten nach Westen, aus welcher der Hügel, der diese merkwürdigen Denkmäler enthält, hervorspringt. Die Haupthöhle liegt nach Westen. Ein jäher Pfad führt hinauf, aber eingehauene Stufen erleichtern die Schritte. Der ganze Hügel ist mit Gebüsch bedeckt, das die Höhlen versteckt; endlich kommt man zu einem offnen Platze, wo der Hügel abgetragen und geebnet ist, bis man eine perpendiculäre Oberfläche von etwa 50 Fuss auf dem nackten Felsen fand. In demselben ist eine Reihe von Höhlen ausgegraben; zuerst kommt man in einen Vorhof von länglich viereckiger Gestalt, der zu dem Tempel selbst, der gewölbt ist, und von Säulen getragen wird, führt. Die beifolgende Abbildung giebt einen deutlichen Begriff von dieser wunderbaren Anlage. Einen sonderbaren Anblick geben die auf den Säulen ruhenden Elephanten. In dem Tempel selbst finden sich keine Figuren von Gottheiten, aber die Wände des Vorhofs sind mit Figuren von Elephanten, männlichen und weiblichen Figuren, und der Gestalt des Buddha bedeckt. Wahrscheinlich ist dieser Tempel dem Götte Buddha geweiht gewesen, dessen Verehrung aber die Braminen vernichteten. Daher ist auch die Sage des Volks, dass böse Geister in diesen Höhlen ihre Wohnung hätten.~~127
Ad00341 06 035a/freMélanges. CXLVIII. Vol. VII. No. 33.
LES CAVERNES DE CARLI DANS LES INDES.
Ces Cavernes de Carli, situées entre Bombai et Punah sont extrêmement remarquables. C'est d'une chaîne de collines, laquelle se prolonge de l'orient à l'occident, que s'élève la colline, qui renferme ses monumens. La caverne principale est à l'ouest. On y parvient par un sentier escarpé, mais des marches qui y sont pratiquées en facilitent l'approche. Toute la colline est couverte de broussailles qui cachent les cavernes ; enfin on parvient à une place ouverte, où la colline a été abaissée et nivelée et l'on trouve une surface perpendiculaire d'environ 50 pieds sur le rocher, dans lequel ont été creusées plusieurs cavernes. • On commence par arriver dans une espèce d'avant-cour quadrangulaire, qui conduit au temple, qui est voûté et soutenu par des colonnes. La planche ci jointe donne une idée claire de cet édifice. Les éléphants qui réposent sur les colonnes font un effet particulier. Le dedans du temple n'est pas äoonvo n'imagoo clc clivisait60 , mais les parois de l'avant-cour sont,ornées de figures d'éléphants, de figures mâles et femelles et couvertes d'images de Buddha. ' Il est vraisemblable que ce temple a été consacré à ce dieu, dont les bramines ont détruit le culte; c'est pour cela que le peuple pense que ces cavernes servent de demeure aux esprits malfaisans.
Ad00341 06 036aDiese Tafel giebt uns die Vorstellung eines grossen Gastmahls bei den Abyssiniern, welches Volk wir bereits bei No. 31. kennen lernten. Dieses Gastmahl gab der Ras von Tigré (der Statthalter einer beträchtlichen Provinz) bei Gelegenheit einer grossen Musterung am 26. Septbr. 1805. Der Ort des Festes ist der grosse Audienzsaal des Ras, wo derselbe oben an der Tafel auf einem verzierten Polster seinen Sitz hat. Die übrigen Gäste sitzen mit untergeschlagenen Beinen umher; doch waren deren so viel, dass sie nicht alle sitzen konnten, und umherstehend assen. Die Speisen bestanden aus Teftkuchen von drittehalb Fuss im Durchmesser, welche über einander geschichtet waren. Sie werden aus dem Teft (Boa abyssiniensis), einer abyssinischen Kornart, bereitet. Die Schüsseln in der Mitte des Tisches enthalten ein Ragout von Hühnern, Hammelfleisch, Ghi (eine Art Oel) und geronnener Milch. Sclavinnen tauchen die Teft-Brode in die Schüsseln mit den Speisen, und reichen sie dann den Gästen hin. Doch ein Hauptleckerbissen bei den abyssinischen Gastmählern ist rohes Fleisch, welches so frisch als möglich genossen wird. Zu diesem Behufe sehen wir auch hier in dem Platze vor dem Saal ein Thier schlachten. Die Gäste erhalten das rohe Fleisch am Ende des Gastmahls, und schneiden die grossen Stücke mit ihren krummen Messern sehr geschickt in dünne Scheiben. Zu dieser Lieblingsspeise trinkt man Maisi, eine Art Meth, aus Honig, Wasser, etwas gerösteter Gerste und der Wurzel Taddo bereitet.~~Der Abyssinier mit dem Kreuze muss wegen eines religiösen Gelübdes fasten. Der Mann mit dem langen Stabe ist der Ceremonienmeister. Unter dem Tische sitzt ein Knabe, dem man erlaubt hat, die Brodsamen aufzusammeln.~~127
Ad00341 06 036a/freMélanges CXLIX. Vol. VII. No. 34.
GRAND FESTIN DONNÉ PAR LE RAS DE TIGRÉ EN ABYSSINIE.
Cette planche nous représente un grand festin chez les Abyssiniens, peuple dont nous avons déjà parlé au 31." Numéro. Ce festin fut donné le 26. Septembre 1805 par le Ras de Tigré, (Gouverneur d'une grande province),-à l'occasion d'une grande revue. Le festin a lieu dans la salle d'audience du Ras, où il est assis au haut de la table sur un carreau décoré. Les autres convives sont assis autour de la tahle les jambes croisées, mais il y en avait un si grand nombre que plusieurs furent obligés de manger debout. Ils avaient pour mets des gâteaux de teft, de deux pieds et demi de diamètre, placés par couches les uns sur les autres. Ils étaient faits de Teft (Boa ayssiniensis), espèce de blé d'Aby'ssinie.. Les plats du milieu contiennent un ragoût de poulets, du mouton, du Ghi, (espèce d'huile) et du lait caillé. Des femmes esclaves trempent les gâteaux de Teft dans les plats où sont les mets, et les présentent alors aux convives. Mais la plus grande friandise des Abyssiniens, c'est de la viande crue qu'ils mangent aussi fraiche que possible. Aussi voyons-nous tuer devant la salle un animal. ' Cette viande crue se distribue à la fin du repas, et les convives coupent très- adroitement par petites tranches avec leurs couteaux courbés en serpe les plus grands morceaux. On boit avec ce mets favori du Maisi, espèce d'hyiromel préparé avec du miel, de l'eau, de-l'orge un peu grillé et la. racine de Taddo. L'Abyssinien orné de la croix doit jeûner à cause d'un voeu religieux. L'homme au long bâton est le maître de cérémonies. Sous la table est un garçon, qui a eu la permission de ramasser les miettes de pain.
Ad00341 06 037aWir lernen hier nach den Abbildungen, welche die wichtige Reise des Lords Valentia begleiten, mehrere Küsten-Bewohner des rothen Meeres kennen, von denen wir bisher keine Darstellungen besassen.~~Fig. 1. Ein Samalie.~~Die Samalies sind ein afrikanischer Volksstamm, welcher den südlichen Theil der Westküste des rothen Meeres vom Cap Guardafui an bewohnt, und vorzüglich Handel mit den Producten des Landes nach arabischen Handelsplätzen treibt. Ob sie gleich schwarzes wolliges Haar und dunkle Haut haben, so gleichen sie doch übrigens in der Gesichtsbildung nicht den Negern, sondern haben einen gefälligeren Aurdruck. - Sie sind Muhammedaner.~~Fig. 2. Ein junger vornehmer Araber.~~Dieses ist das Portrait des Sohnes vom Dola oder Statthalter von Musa, einer kleinen Stadt im glücklichen Arabien. Die Araber haben in der Jugend eine ausdrucksvolle, aber sanfte Miene, welche sich jedoch im späteren Alter unvorteilhaft ändert. Die Araber sind theils Nomaden (d. h. einem herumziehenden Hirten-Leben ergeben), theils wohnen sie in Städten. Die Kleidung besteht aus einem Turban und weiten flatternden Kleidern, welche bei den Vornehmen aus seidnen indischen Zeuchen gefertigt wird.~~Fig. 3. Ein Suakin.~~Die Suakins (nach einer kleinen Insel so genannt) sind Beduinen-Araber, welche sich auf der afrikanischen Küste des rothen Meeres ausgebreitet haben, und einen mächtigen Stamm ausmachen. Sie sind schön vom Körperbau, und von guter Gesichtsbildung. Ihre Haut ist dunkel kupferfarbig; das gekräuselte Haar schmieren sie mit Fett ein, pudern es roth, und stecken oben durch den Busch, um den sie einen Theil der Haare wegscheeren, einen hölzernen Stock. - Der Mann, dessen getreue Gesichtsbildung wir hier geben, war 6 Fuss hoch.~~127
Ad00341 06 037a/freMélanges CL. Vol. VII. No 35.
HABITANS DES DEUX COTES DE LA MER ROUGE.
C'est aux représentations qui sont jointes au voyage important du Lord Valentia, que nous devons la connaissance de plusieurs habitans des côtes de la nier rouge, dont nous n'avions pas jusqu'ici le costume et les usages figurés .
Fig. 1. Un Samalien.
Les Samaliens sont un peuple africain, qui habite la partie méridionale de la côte occidentale de la mer rouge, depuis le cap de Guardafui, et qui fait un grand commerce des productions du pays avec les Arabes/ Quoiqu'ils aient les cheveux laineux et noirs et la peau basanée, ils ne ressemblent pourtant pas pour la forme de la figure aux autres nègres, ils ont quelque chose de prévenant dans la figure. — Ils professent la religion mahométane.
Fig. 2. Un jeune seigneur arabe.
Voilà le portrait du fils du Dola ou gouverneur de Mousa, petite ville de l'Arabie heureuse. Les Arabes ont dans leur jeune âge l'air expressif quoique doux,, mais qui dans l'âge viril change à leur désavantage. Les Arabes sont ou Nomades, c'est- à- dire mènent comme pasteurs une vie errante, ou vivent dans des villes. Leur vêtement consiste en un turban et une longue robe flottante, qui est de soierie indienne pour les personnes de condition.
Fig. 3. Un Arabe Suakin.
Les Suakîns, ainsi nommés d'après une petite île, sont des Arabes bédouins, qui se sont répandus sur la côte africaine de la mer rouge, et forment un peuple puissant. Ils sont bien faits et d'une figure régulière. lié ont la peau couleur de cuivre ; ils graissent. leurs cheveux avec du suif, se servent d'une poudre rouge, et passent un morceau de bois au milieu de la touffe, autour de laquelle ils rasent une partie des cheveux. L'homme, dont nous avons ici figuré fidèlement les traits du visage, avait 6 pieds.
Ad00341 06 038aDie Gewohnheit des Tatowirens, oder das Einstechen beliebiger Figuren in die Oberhaut des Körpers, um solchen, gleich wie mit einem modischen Putze dadurch zu zieren, findet sich schon unter mehreren Völkern des Alterthums. Am vollkommensten treiben aber diese Kunst die Bewohner der Marquesas- oder Washingtons-Inseln in der Südsee, namentlich die Nukahiwah-Insulaner, wie es uns die neueste russische Weltumseglung unter dem Capitän v. Krusenstern berichtet. Dort in Nukahiwah giebt es eigentliche Künstler, welche sich mit dem Tatowiren beschäftigen, und jeden Theil des Körpers mit regelmässigen und malerisch schönen Verzierungen zu bedecken wissen. Die Operation geschieht mit einem kammartigen Instrumente, aus den Knochen der Tropik-Vögel gebildet, womit die Figuren durch feine Stiche in die Haut gegraben werden. Hierauf wird das Ganze mit einer schwarzen Farbe aus Kokoskernen eingerieben, und vergeht nun nie wieder. Bei den Männern wird der ganze Körper, wie wir an dem Brustbilde eines Kriegers (Fig. 1.) sehen, - bei den Frauen werden aber bloss die Hände tatowirt. So sehen wir bei Fig. 2. als vollkommenes Muster dieser Art die Abbildung der Hand der Königin Katanuäh von Nukahiwah, die wie mit einem kunstvollen Handschuh bedeckt zu seyn scheint.~~Je vornehmer der Mann, desto mehr ist er punctirt. So sind der König und die Prinzen über den ganzen Körper tatowirt, sogar die Augenlieder nicht ausgenommen.~~Im zwölften oder dreizehnten Jahre wird bei den Knaben mit dem Tatowiren der Hauptverzierungen angefangen. Von Jahr zu Jahr werden dann einige der Nebenverzierungen hinzugefügt, so dass erst im 30. oder 35. Jahre der ganze Hautschmuck vollendet ist. -~~128
Ad00341 06 038a/freMélanges. CLI. Vol. VII. No. 36.
ART DU TATOUAGE DES INSULAIRES DE NUKAHIWAH.
Il y a eu, parmi les ancien«; plusieurs peuples noyaux de Coco, et cela ne passe jamais. Les qui ont eu l'habitude de tatouer, ou de bario- hommes se font tatouer tout le corps, comme 1er le corps avec diverses figures, imprégnées nous le représente le buste ci-joint d'un guerdans la peau, qui devaient leur servir d'orne-, rier, fig. I. Mais quant aux femmes, on ne ment, et qui étaient de mode. Mais ceux leur tatoue que la main; La Fig. . 2. nous offre qui excellent dans cet art, ce sont les habi- un modèle parfait de ce genre dans la reprétans des îles de Marquesas ou de Washinglon sentation de la main de la reine Katanuäh. dans la mer du sud, et nommément les insu- de Nukahiwah, laquelle semble être recoulaires de Nukahiwah, comme nous l'apprend verte du gant le plus artistement travaillé. le capitaine de Krusenstern dans lé rapport _., , ,..,,-, , qu'-i l à f a i t d e s o n v o y a g e a u t o u r d u m o n d e .
P.,lu,.s. la c o .n d it i o n .d, un homme est élevée, I^l v a d a n s c e t t e î l e d e s a r t i s t e s , o u i e n f o n t ,p lu .s i l a '. d e l i g u r e s s u r l e . c,-o.-r'ps. Aussi le roi leuJr s e u l e o c c u p a t io n , e t q u i s o n t p a r v e n u .s à e t l e s p r i n c e s e, n o n t - i l s . , sur-tout le corps " sans en excepter les sourcils.
empreindre sur chaque partie du corps des figures régulières et extrêmement jolies. C'est On commence les ornemens principaux avec un instrument en forme de peigne, et quand les garçons ont atteint leur 12. ou 13. fait avec les os des oiseaux du tropique, que année, et tous les ans on ajoute quelques orl'on empreint les figures en faisant de petites nemens accessoires, de sorte que la parure piqûres dans l'épidémie. . Le tout ensuite est de la peau n'est achevée et parfaite que dans induit d'une couleur noire, frotté avec des leur 30. à 35 année.
Ad00341 06 039a(Psophia crepitans. s. ventriloqua. L.)~~Dieser merkwürdige Vogel, welcher in den warmen und wasserreichen Ländern von Süd-Amerika, so wie auf den Caraibischen Inseln lebt, verdient in dreifacher Hinsicht unsere Aufmerksamkeit. - Einmal, weil er ein Mittelglied bildet zwischen den Sumpfvögeln und den hühnerartigen Vögeln, da er sowohl am Wasser, als fern von demselben lebt, sowohl Körner, als kleine Fische frisst; sodann weil er leicht zahm wird, und fast unter allen Vögeln am meisten die Menschen und ihre Gesellschaft zu lieben scheint, und seinem Herrn überall nachfolgt wie ein Hund. Endlich ist er unter den Vögeln der stärkste Bauchredner. Ausser seiner gewöhnlichen Stimme, welche den grellen Tönen des Truthahns gleicht, pflegt er oft, ohne den Schnabel zu öffnen, bloss durch Brust- und Bauchbewegungen dumpfe innere Töne hören zu lassen, die wie ein vielmal wiederholtes Tou, Tou, Tou, lauten. Davon hat er auch den Namen Trompetenvogel erhalten.~~Der Körper dieses Vogels ist zwar nicht grösser, als der eines Haushuhns, allein die sehr langen Beine und der lange Hals geben ihm ein gestreckteres Ansehen. Der grösste Theil der Federn des Körpers ist schwarz; aber die Hals- und Brustfedern sind glänzend grün, blau und violet, wie man es öfters an den Tauben bemerkt. Die Rückenfedern sind sehr lang und fein und hängen über die Flügel her; an den Schultern rostfarbig, und weiter nach hinten licht aschgrau. Der Schwanz ist kurz und schwarz. Der Trompetenvogel läuft sehr schnell, doch fliegt er selten, und nicht weit. Seine Eier, deren das Weibchen jährlich dreimal 10 bis 16 Stück legt, sind grösser als Hühnereier, und von Farbe blaugrün.~~128
Ad00341 06 039a/freOiseaux LXXXII. Vol. VII. No. 37.
L'AGAMI OU L'OISEAU TROMPETTE D'AMÉRIQUE. (Psophia crepitans. s. ventriloqua.)
Oet oiseau qui se trouve dans les contrées chaudes et marécageuses de l'Amérique méridionale, ainsi que dans les îles caraïbes, mérite à trois égards notre attention. D'abord parcequ'il forme un genre intermédiaire entre les oiseaux de rivage et les gallinacés, puis qu'il vit indistinctement dans l'eau et Hors de l'eau et qu'il se juuuxrît de Wé et de iiuiaäuui en second lieu, parcequ'il s'apprivoise facilement, et que de tous les oiseaux il est celui qui paraît le plus aimer les hommes et se plaire auprès d'eux, et qu'il suit partout son maître comme le chien le plus fidèle. Enfin de tous les oiseaux il est le plus fort ventriloque. Outre son cri ordinaire, semblable au cri du din-' don, il fait entendre souvent, sans ouvrir le hec, et par les seuls mouvemens du ventre et du jabot, les sons intérieurs et sourds de tou, tou, tou, plusieurs fois répétés. C'est ce qui lui a fait donner le nom a'oiseau trompette. Il est aussi gros que la poule ordinaire,•• mais la hauteur de ses jambes et la longueur de son cou le font paraître beaucoup plus effilé. Les plumes du corps sont pour la plupart noires , mais celles du cou et de la poitri-y ne oon* a'ni» «eu luisant, bleues et violettes, telles que les pigeons en ont souvent. Les plûmes du dos sont longues et fines et tombent sur les ailes; celles du milieu du dos sont rouges , et plus bas d'un cendré clair. . La queue est courte et noire. Cet oiseau est très- rapide à la course, mais il vole rarement, encore ne vole-t-il pas loin. La femelle fait par an trois pontes de 10 â 16 oeufs qui sont beaucoup plus gros que ceux des poules et d'un vert nuançant le bleu.
Ad00341 06 040aFig. 1. Der Caciken-Metallkäfer. (Cetonia Cacicus. Fabric.)~~Dieser schöne Metallkäfer ist in Süd-Amerika einheimisch; das Kopfschild ist in zwei seitwärts und rückwärts gekrümmte breite, schaufelförmige Hörner getheilt. -Kopf und Schulterschild haben eine rothgelbe Grundfarbe, auf welcher sich die schwarzen Längsstreifen stark auszeichnen. Die Flügeldecken haben eine weisse, in das Bläuliche spielende Grundfarbe; die Ränder derselben sind schwarz.~~Fig. 2. Der Herkules-Scharrkäfer. (Scarabacus Hercules. L.)~~Diese Abbildung des Herkuleskäfers zeichnet sich von der frühern (Bilderb. Bd. I. No. 40) sehr merkwürdig durch oliven- oder gelbgrüne Flügeldecken aus; eine Spiel-Art der Farbe, die sehr wahrscheinlich durch Verschiedenheit des Futters entspringt, mit welchem die Larve des Käfers sich nährte. Es giebt daher Käfer mit olivengrünen und meergrünen Flügeldecken.~~Fig. 3. Der Goliath-Metallkäfer. (Cetonia Goliath. Fabric.)~~Dieser grosse Metallkäfer hier in natürlicher Grösse vorgestellt, ist in Sierra Leona in Afrika einheimisch; das Kopfschild zeichnet sich, wie bei Fig. 1, durch vier hornartige Auswüchse aus, von welchen zwei vorn am Kopfe, und zwei kürzere weiter zurück, nach den Augen hin sich befinden. Das grosse, dunkel pechbraune Schulterschild hat stark abstechende, schmutzig röthiich- weisse Ränder, und eben dergleichen zackige Längsstreifen. Die Flügeldecken sind, wie wir sehen, braun, an der Grundfläche aber schmuzig weiss, stark in das Gelbe fallend gefärbt. Der hier nicht wahrzunehmende Unterleib ist dunkelgrün.~~128
Ad00341 06 040a/freInsectes. LVIII. Vol. VII. No. 38.
SCARABÉS ÉTRANGERS TRÈS-RARES.
Fig. 1. La Cetoine Cacique. (Cetonia Cacicus. Fabric.)
Ce joli Scarabé est indigène à l'Amérique méridionale. Sa tête est ornée, à sa partie antérieure, de deux cornes larges, divergentes et recourbées en dehors. La tête et le corselet sont d'un jaune rougeâtre avec des raies longitudinales, qui contrastent parfaitement avec la couleur principale. Les élytres sont d'une couleur blanche, nuancée de bleu, et les bords sont noirs.
Fig. 2. Le Scarabé Hercule. (Scarabaeus Hercules. L.)
Ce Scarabé se distingue avantageusement de celui dont nous avons parlé, Portef. d'Enf. Vol. I. No. 40.) par la couleur olive ou glauque de ses élytres, variété, qui provient vraiseoeblablement de la diverse nourriture qu'a prise la larve. D'après cela il y a des Scarabés, dorit les élytres sont couleur olive, et d'autres vert de mer.
Fig. 3. La Cetoine Goliath. (Cetonia Goliath. Fabric.)
Cette grosse Cétoine, qui est ici figurée dans sa grandeur naturelle, se trouve à SierraLéon en Afrique. Sa tête est armée de quatre cornes, comme à la 1. figure, dont deux se trouvent à la partie antérieure, et deux plus courtes sont placées au- dessous des yeux. Le corselet est d'un brun noirâtre, avec les bords latéraux et les raies longitudinales dentelées d'un blanc Sale. Les élytres sont, comnie nous le voyons ici, brunes avec un peu de blanc à leur base, tirant sur le jaune. Le ventre est d'un vert foncé.
Ad00341 06 041aAllgemein bekannt ist diese wohlschmeckende und saftige Frucht, deren Genuss in den heissen Sommer-Monaten eine so angenehme Erfrischung gewährt. Die Melone (Cucumis Melo L.) ist aus südlichern Gegenden zu uns nach Teutschland gebracht worden, und muss wegen ihrer zärtlichen Natur auch unter den Glasfenstern der Mistbeete gezogen werden. Ihr eigentliches Vaterland soll die Kalmuckey seyn; auf alle Fälle stammt sie aus Asien ab, von wo sie sich nach Italien, und in fast alle übrigen Theile von Europa verbreitete. Die schmackhaftesten findet man auf den griechischen Inseln und auf Malta. Die Melone ist eine einjährige Pflanze, welche zum Gurkengeschlechte gehört. Sie hat rauhhaarige, auf der Erde fortrankende Stängel, an denen die Blätter sitzen, welche kleiner und weniger zugespitzt, als die der gemeinen Gurke sind. An den Blattwinkeln kommen die gelben Blüten zum Vorschein, welche fünfmal getheilte Blumenkronen haben. Die Früchte sind nach den Arten, welche die Kunst der Gärtnerei nach und nach hervorgebracht hat, verschieden. Sie sind länglich oder auch beinahe rund von Form, und entweder von glatter, rauher oder gerippter Oberfläche. Unter der ziemlich dicken Rinde liegt ein weissliches, grünes oder gelbes Fleisch, meistens von angenehmem Geruche und Geschmack. In der Mitte der Frucht liegen in dem wässerigen, aber gut schmeckenden Mark die Kerne vertheilt, welche als Saamen zur Hervorbringung neuer Pflanzen dienen, und auch in den Apotheken als ein kühlendes und linderndes Arzneimittel gebraucht werden.~~128
Ad00341 06 041a/frePlantes. CXXIII. Vol. VII. No. 39.
LE MELON.
Ce fruit succulent et d'une saveur agréable est généralement connu; il est extrêmement rafraîchissant, aussi en fait-en un grand usage en été. Le Melon {Cucumis Melo L.) a été transporté en Allemagne des contrées méridionales, où il est indigène, aussi ne mûrit-il chez nous que dans des couches vitrées. Il est proprement originaire de la Kalmoukie. Dans tous les cas il vient de l'Asie, d'où il s'est répandu en Italie et dans les autres contrées de l'Europe. Les meilleurs sont ceux des îles grecques et de Malthe. Le Melon est une plante annuelle du genre des concombres. Il a des tiges rampantes et rudes au toucher, auxquelles tiennent les feuilles, plus petites et moins anguleuses que celles du concombre commun. A chaque aisselle des feuilles paraissent les fleurs qui ont des corolles à cinq angles. Les fruits sont divers d'après la' culture qu'on leur donne. Ils sont ovoïdes ou presque ronds, à surface unie ou raboteuse ou à côtes. L'écorce qui est assez épaisse recouvre Une pulpe ou chair blanche, verte on jaune, d'une saveur agréable et d'une odeur suave.' Au milieu du fruit est une moelle très aqueuse, mais de bon goût, qui contient les pépins destinés à la semence, et dont les apothicaires? font un remède rafraîchissant et calmant.
Ad00341 06 042aFig. 1. Der Zuckertang. (Fucus saccharinus. L.)~~Dieses Seegewächs findet sich fast an allen Küsten des Atlantischen Oceans, und ist hier sehr verjüngt, und zwar nur seiner untern Hälfte nach abgebildet. Oberhalb des kurzen runden Stängels ist dieser Tang einen halben Fuss breit, läuft aber nach oben immer schmäler zu, und erreicht so eine Höhe von 8 Fuss. Der obere, hier fehlende, Theil ist gleichfalls ausgeschweift. In den vielen Runzeln und Vertiefungen, welche der Wedel bildet, befindet sich ein Schleim, welcher bei'm Austrocknen ein Anfangs süsslich schmeckendes Salz absetzt, woher die Benennung Zuckertang entnommen ist. Mehrere Küstenbewohner benutzen diese Tangart frisch zum Verspeisen, theils als Gemüse, theils als Salat, theils mit Milch gekocht als Brei.~~Fig. 2. Der Blasentang. (Fucus vesiculosus. L.)~~Diese Tangart ist an den Küsten des Atlantischen Oceans noch häufiger, als die vorige. Hier ist nur ein Theil eines Wedels in natürlicher Grösse abgebildet. Die Benennung ist hergenommen von den blasenförmigen ansehnlichen Höhlungen, welche dieses Seegewächs in seinen Blattwinkeln enthält. Diese Blasen sind mit einem fadigen Gewebe, in welchem die Befruchtungstheile versteckt liegen, angefüllt. Dieser Tang wird theils zum Dachdecken (gleich Rohr und Stroh) benutzt; theils zum Düngen der Felder, da das Gewächs sowohl Kochsalz, als auch Kalkerde enthält; oder auch mit beigemengtem Mehl als Viehfutter. Sowohl der salzige Saft dieses Tanges, als auch die in verschlossenen Gefässen daraus bereitete und gepulverte, sehr salzige Kohle wird als Heilmittel gegen Drüsen-Verhärtungen und Kröpfe häufig in den nordischen Küstenländern angewendet.~~128
Ad00341 06 042a/frePlantes. CXXIV. Vol. VII. No. 40.
ESPÈCES DE VARECS.
Fig. 1. Le Varec saccharin. (Fucus saccharinus. L.)
Oette plante se trouve le long des côtes de l'océan atlantique; elle n'est Fig. urée ici que très-réduite et même dans sa moitié inférieure. Audessus de la tige courte et cylindrique , ce Varec a 6 pouces de largeur, il s'élève en cône à la hauteur de 8 pieds. La partie supérieure,, qui manque ici, est également échancrée. • Dans les sinuosités et cavités des rameaux est contenue une matière gélatineuse, qui séchée, dépose un sel doux dans le commencement, . ce qui lui a fait donner le nom de Varec sucré. . Plusieurs habitans des côtes mangent ce Varec frais, tantôt en légumes, tantôt en salade, tantôt en bouillie avec du lait.
Fig. 2. Le Varec vésiculeux. (Fucus vesiculosus. L.)
Cette espèce est encore plus commune sur les côtes de l'océan atlantique que la précédente. Il,n'y a ici dé
Fig. urée dans sa grandeur naturelle qu'une partie d'une tige. Gé Varec tient son nom des grandes vésicules creuses qu'il a à ses aisselles. Elles sont rem« plies d'un, tissu, qui contient les parties géminales.' On se sert pour la toiture des maisons, de ce Varec aussi bien que des roseaux et de la paille ; on l'emploie aussi à l'engrais des. terres, pareeque s'il contient dû sel commun il contient aussi une terre calcaire j en le mêlant avec de la farine, il sert de nourriture aux bestiaux. Sur les côtes du nord on fait usage pour les glandes enflées et les goitres, non seulement du suc salé de ce Varec, mais du. Varec même, que l'on réduit en charbon dans des vases fermés et que l'on a soin de pulvériser. —
Ad00341 06 043aDen Löwen, diesem König der Thiere, lernten wir schon früher in unserem Bilderbuche (Bd. I. No. 19.) kennen. Hier betrachten wir die Löwin mit ihren Jungen, einen nicht minder merkwürdigen Gegenstand. Die Löwin hat nicht den Ausdruck des Stolzes und der Würde, wie der Löwe, dafür hat sie aber mehr Leichtigkeit und Geschmeidigkeit, und einen schlankeren Körperbau. Sie ist kleiner als der Löwe, ihr fehlen die Mähnen, auch besitzt sie weniger Stärke, doch grössere Schnelligkeit. Wie der Löwe thut sie Sprünge von 12 bis 16 Fuss, um ihre Beute zu erreichen, und ist eben so muthvoll, als der Löwe. Ihr Körper ist einförmig mit braunrothen Haaren ohne alle Flecken bedeckt.~~Unsere Löwin mit den Jungen, wie sie hier getreu nach der Natur abgebildet worden sind, befand sich im Jahr 1801 in der Menagerie des Jardin des plantes zu Paris. Sie war damals 6 Jahre alt. Ihr Wärter, Felix Cassal kaufte sie früher auf der Nordküste von Afrika, wo sie in einem Walde nahe bei Constantine gefangen wurde, und brachte sie nach Paris. Im November 1801, als sie sechs Jahr alt war, brachte sie drei junge Löwen zur Welt, die wir hier um die Mutter herum spielen sehen. Fünf Tage nach der Geburt waren diese jungen Löwen, jeder von der Stirne bis zur Wurzel des Schwanzes, ungefähr 1 Fuss lang; der Schwanz mass 6 Zoll. Sie waren mit wollenartigen Haaren bedeckt, den Rücken hinunter lief ein dunkler Streif. Im achten Monate waren diese jungen Löwen schon sehr böse und wild. Mähnen zeigten sich bei ihnen nicht, und hierdurch wurde die Beobachtung bestätigt, dass die Mähnen bei dem Löwen erst später (im dritten Jahre) zum Vorschein kommen. -~~129
Ad00341 06 043a/freQuadrupèdes LXXIX. Vol. VII. No. 41.
LA LIONNE ET SES PETITS.
Nous avons décrit au 19. No. du premier volume de notre porte feuille d'enfants le Lion, ce roi des animaux. La planche cijointe nous figure la Lionne avec ses petits, objet tout aussi digne de notre attention. La Lionne n'a pas l'expression de la fierté et de la dignité, propres au lion, mais elle a, en récompense, plus d'agilité, de souplesse et le corps mieux bâti'. Elle est plus petite, moins forte que le lion, elle n'a point ces poils longs et touffus qui parent la face du mâle, mais elle a plus de vitesse. Comme le lion, elle bondit, elle franchit des espaces de 12 à 16 pieds pour atteindre sa proie, et ell» ott =ueei courageuse. Son corps offre une couleur uniforme, avec des poils rousses ou fauves sans taches. Notre lionne était en igoi à Paris dans la ménagerie du jardin des plantes, avec les petits, tels qu'ils sont ici fidèlement représentés, et elle avait 6 ans. Son gardien, Felix Cassai, l'ayant achetée peu auparavant sur la côte septentrionale d'Afrique , où elle avait été prise dans une forêt, voisine de Constantine, la conduisit à Paris. Lorsqu'elle eut atteint sa sixième année, elle mit bas les trois lionceaux, que nous voyons jouer autour,de.la mère, au mois de novembre de l'année 1801. Cinq jours après leur naissance, chacun de ces jeunes lions avait depuis le devant du front jusqu'à l'origine de la queue environ un pied f et la queue avait 6'pouces. Ils étaient couvert « ri'un prvil laineux, et ils avaient sur le dos une raie longitudinale brune. A huit mois ils étaient déjà très-méchants et farouches. Ils n'avaient point de crinière, ce qui confirme l'observation qu'on a faite qu'elle ne commence à paraître que dans leur troisième année.
Ad00341 06 044aWir lernen auf dieser und der folgenden Tafel, wie früher (Bd. VI. No. 78.), die Krimmischen Tataren, Bewohner der Taurischen Halbinsel oder der Krimm, in ihren Sitten und Gebräuchen näher kennen.~~Der nördliche grössere Theil der Krimm besteht grösstentheils aus trocknen und salzhaltigen Ebenen oder Steppen, nur durch einige Bäche durchschnitten, und durch einige Salzseen merkwürdig. Die Bewohner dieser Steppen wohnen in weit aus einander liegenden Dörfern. Die Wohnungen dieser Tataren sind entweder von leichtem Fachwerk oder ganz von Lehm aufgeführt, die Dächer mit Stroh gedeckt; nur in wenigen Dörfern findet man Minarets (Thürme) an den Moscheen. Diese Gegenden sind nur der Viehzucht und dem Ackerbaue einigermassen günstig. Ausser dem Rindvieh, den Schafen, so wie den Pferden, werden auch Kameele, und zwar zum Ziehen, gehalten. Das Getraide wird auf einem erhabenen Platze oder Tenne durch Pferde, welche an einander gekuppelt sind, ausgetreten, dann gesäubert, und in Gruben unter der Erde verwahrt. Der Ackerbau ist wegen des lehmigen Bodens, und da das Feld lange Brache liegt, sehr mühsam, und oft müssen 4 bis 6 Paar Ochsen vor den Pflug gespannt werden. Da die Kühe die Unart haben, ohne das Kalb keine Milch zu geben, so brauchen, wenn das Kalb gestorben ist, die Tatarischen Frauen die List, der Kuh ein ausgestopftes Kalb vorzuhalten.~~129
Ad00341 06 044a/freMélanges CLII. Vol. VII. No 42.
HABITANTS DES LANDES DE LA PÉNINSULE TAURIQUE.
Ce No et.le suivant trous donnent, ainsi que certes de minarets. ..Ces contrées ne sont fale jß. du sixième volume, des détails sur les vorables qu'à l'agriculture, eraa bétail Qn.y moeurs et les usages des tartafes de la élève, outre les bêtes à cornes, des brébiç, Crimée. des chevaux, et des chamaux. pour le trait.,,Ai lieu de^ battre le blé, lestartares le font fouLa plus grande partie septentrionale de la 1er sur une aire par des chevaux accoupiés, puis (primée n'a que des plaines ou landes, sèches ï\s le -criblent et le conservent dans-des fosses et riches en sel, arrosées par un très petit qu'ils pratiquent dans ..la terre. Le terrain .nombre de ruisseaux, et remarquables par argileux, et les champs qui demeurent longplusieurs lacs d'eau salée. .Dans ces lances les terris en friche, rendent le labourage si pénivillages sont très éloignés les uns des autres. ble, qu'on est souvent obligé d'atteler jusqu'à Les habitations sont construites, ou avec des six paires de boeufs à ;la ebarrue. Les vache? bois très-minces, ou seulement avec, de l'ar- ne. donnant pas de lait, sans le veau, les fern,gile et recouvertes de paille; il n'y a que quel- mes. tartares , en cas que celui-ci vienne à ques villages, où les mosquées soient recou- mourir, en présentent un empaillé à la vache.
Ad00341 06 045aDie Bewohner der schönen Thäler der Krimm, welche auch jetzt noch grösstentheils aus Tataren bestehen, unterscheiden sich sehr vortheilhaft von denen der Steppen. Ihnen fehlt es weder an Holz, noch an Steinen, um ihre Wohnungen besser einzurichten; ihre Häuser sind daher, nach der Landesart, entweder von Stein oder Holz, oder beides zugleich. Ausser der Bienenzucht und dem Ackerbaue legen sie sich vorzüglich auf die Obstcultur, und ziehen aus den Baumfrüchten den meisten Gewinn. Aus den Pflaumen und Corneliuskirschen wird ein starker Branntwein bereitet, die abgefallenen Aepfel und Birnen werden unter einer Presse ausgedrückt, der gewonnene Saft zur Stärke eines dicken Syrups eingekocht und unter dem Namen Beckmess in kleinen Fässerchen verkauft.~~Wir sehen hier die Wirthschaft eines solchen Tataren. Es ist eben Obstärndte; man brennt Branntwein aus Früchten. Die Aepfel unter freiem Himmel werden der Witterung Preis gegeben, um als Leckerei dem Winter zu trotzen; in der Nähe derselben steht eine Presse für den Beckmess, daher ein Fass voll Pflaumen oder Corneliuskirschen, welche für den Fruchtbranntwein gähren sollen. Ein Tatar besorgt im Vordergrunde das Brenngeschäft, ein anderer, welcher Obst abnehmen will, steht daneben. - Zu ihnen gesellt sich ein vorbeireisender Küsten-Tatar, welcher Weintrauben nach der Stadt bringt. Diese ganze Scene wurde von dem Begleiter des berühmten Pallas, dem geschickten Künstler Hrn. Geissler, gezeichnet und in Kupfer gestochen.~~129
Ad00341 06 045a/freMélanges CLIII. Vol. VII. No. 43.
HABITANTS DES VALLÉES DE LA PÉNINSULE TAURIQUE.
Les habitants des belles vallées de la Crimée, dont les tartares forment encore le plus grand nombre, se distinguent très - avantageusement de ceux des landes. Ils ont assez de bois et de pierres pour bâtir.leur maisons; aussi sont- elles construites, ou en bois, ou en pierres, et même y fait-on entrer souvent ces deux matériaux. Outre, les ruches à miel et l'agriculture, ils cultivent avec soin des arbres fruitiers, dont les fruits leur rapportent le plus grand bénéfice. Ils tirent des prunes et des cornouilles une eau de vie très-forte; ils mettent sous le pressoir les pommes et les poires qui tombent de l'arbre ; ils en font bouillir le suc, jusqu'à ce qu'il ait atteint la consistence d'un sirop très-épais; et le vendent par baril sous le nom de Beckmefs.
La planche ci-jointe nous Fig. ure le ménage d'un de ces tartares. On cueille les fruits, et l'on fait l!eau de vie susmentionnée. -Les pommes qui restent sur l'arbre, sont livrées aux intempéries de la saison ; après avoir bravé l'hiver, elles sont regardées comme dey friandises. Tout près de là est une presse pour le Beckmefs; à côté un tonneau plein de prunes et de cornouilles, qui doivent fermenter pour l'eau de vie. Sur le devant, un tartare s'occupe de la brasserie; à côté de lui il y en a un autre qui va cueillir des fruits. Ils sont abordés par un tartare des côtes'qui conduit des raisins à la ville. Toute cette scène a été dessinée et gravée par Mr. Geisler, habile artiste, compagnon dé voyage du célèbre Pallas;
Ad00341 06 046aFig. 1. Der gemeine Eibisch. (Althaea officinalis. L.)~~Der gemeine Eibisch gehört zu den teutschen einheimischen Arzenei-Pflanzen, welche wild an feuchten Orten wachsen, doch auch häufig in Gärten gebaut werden. Aus der weissen dicken und perennirenden Wurzel schossen die, bis sechs Fuss hohen Stängel empor, welche mit weisslichem Filze umgeben sind, und an denen die herzförmigen ausgezackten Blätter sitzen. Im Julius und August zeigen sich in den Blattwinkeln die bleichrothen Blumen, welche sich in runde, abgeplattete Saamenköpfe verwandeln. Als Arzeneimittel ist dieser Eibisch von vielfachem Nutzen. Er enthält, vorzüglich in der Wurzel, süsslich-schleimige Bestandtheile, welche in inneren und äusseren Krankheiten mit Nutzen gebraucht werden. - In ökonomischer Hinsicht kann man die Stängel dieser Pflanze, welche faserig sind, wie den Hanf benutzen. -- Als Zierde pflanzt man sie auch häufig in die Gärten.~~Fig. 2. Der jüdische Beifuss oder Wurmsaamen. (Artemisia judaica. L.)~~Der jüdische Beifuss, dessen Saame ein so kräftiges Mittel gsgen die Würmer ist, ist ursprünglich in Palästina, Numidien und Arabien zu Hause, und bildet einen anderthalb Fuss hohen Strauch. Bei uns dauert er nicht im Freien aus, sondern muss im Winter in das Gewächshaus gebracht werden. Die Stängel der Pflanze sind mit zugespitzten, drei- und fünfläppigen Blättern besetzt. An der Spitze der Stängel sitzen die gelben rundlichen Blüten traubenförmig an einander.~~Der Saame dieses Gewächses, welcher bitter und scharf und ekelhaft gewürzhaft schmeckt, ist sehr hitzig und treibend, und deswegen ein Haupt-Mittel gegen Würmer. Doch werden in den Apotheken diesem abgebildeten Wurmsaamen oft mehrere andere, gleichfalls wirksame Saamen von Beifuss-Arten beigemischt.~~129
Ad00341 06 046a/frePlantes CXXV. Vol. VII. No. 44.
PLANTES MÉDICINALES.
Fig. 1. La Guimauve officinale. (Althaea officinalis. L.)
La guimauve officinale est du nombre des plantes médicinales indigènes à l'Allemagne, qui croissent sans culture dans les endroits humides, mais que l'on cultive aussi fréquemment dans les jardins. De la racine blanche, épaisse et vivace s'élèvent les tiges hautes de 6 pieds, cotonneuses et blanchâtres, qui portent des feuilles ovales. C'est au mois de juillet et d'août que naissent, aux aisselles des feuilles, les fleurs purpurines, qui se métamorphosent en graines rondes et applaties. On en fait un usage très-varié dans la médecine.. Sa racine a surtout des propriétés mucilagineuses qui sont d'une très-grande utilité pour les maladies intérieures et extérieures. On peut même se servir des tiges fibreuses .de cette plante au lieu dé chanvre. Cetts guimauve est aussi un bel ornement de nos jardins.
Fig. 2. Absinthe de Judée. (Artemisia judaica. L.)
Uabsinthe de Judée, dont la semence est employée avec tant de succès contre les vers, originaire de Palestine, de Numidie et d'A-j rabie, forme un arbuste d'un pied et demi de haut. En Allemagne elle ne saurait résister au froid, aussi la place-t^on pendant l'hiver, dans une serre- chaude. Les feuilles des tiges sont plus ou moins palmées. A la pointe des tiges sont les fleurs jaunes et rondes en formé de grappe. La semence qui a un goût amer, une odeur aromatique, nauséabonde, fortifie l'estomac, chasse les vents, et est un excellent vermifuge. Cependant, dans les pharmacies, on mêle avec succès la semence d'autres espèces d'Absinthe avec celle de l'arbuste, dont la planche ci-jointe nous donne la représea^ tation.
Ad00341 06 047aFig. 1. Der grosse Kirschen-Tagfalter. (Papilio Polychloros. L.)~~Dieser in Teutschland fast allenthalben vorkommende Schmetterling, wird insgemein der grosse Fuchs oder auch die grosse Schildkröte genannt. Von der kleinen Schildkröte zeichnet er sich nicht nur durch die Grösse aus, sondern auch durch längere Zacken und Verschiedenheit der Gestalt und Farbe mancher Flecken seiner Flügel; von welchen man bei C die obere, bei D die untere Seite sieht. Er legt seine Eier vorzüglich gern an die zartesten Aeste der Kirschbäume, daher auch die, mit gelben dreispitzigen Dornen bewaffneten, Raupen diesen Bäumen zuweilen beträchtlichen Schaden zufügen. Die Puppe B endigt sich in vielfache Spitzen, ist von Farbe schwach röthlichbraun, und hat meistentheils unten an der Brust vier goldfarbige Flecken.~~Fig. 2. Der Geissklee-Tagfalter. (Papilio Hyale. L.)~~In den südlicheren teutschen Ländern ist dieser Tagfalter nicht so selten, als in den nördlicheren. Die Farben der Oberseite seiner Flügel a, stechen sehr gegen die der Unterseite b, ab, und machen diesen Schmetterling unterhaltend für's Auge. Man nennt ihn insgemein den pommeranzengelben Heuvogel. Seine Raupe soll sich vom Geissklee (Cytisus) nähren.~~Fig. 3. Der Waldnessel-Tagfalter. (Papilio Prorsa. L.)~~Man nennt ihn insgemein den braunen Gittervogel, so wie das schwarze Landchärtchen. Er gehört zu den schön gezeichneten teutschen Schmetterlingen und ist nicht gemein. Die mit schwarzen, vielspitzigen Dornen besetzte Raupe a desselben, lebt auf gelben Waldnesseln (Galeopsis Galeobdolon). Die Puppe b ist hellbraun-röthlich mit dunkeln Flecken.~~Fig. 4. Der Hafernessel-Falter. (Papilio Levana. L.)~~Dieser Schmetterling wird insgemein der gelbe Gittervogel, der Wetterstrahl oder auch das Netz genannt, und ist noch seltener, als der vorige, bildet auch mancherlei Spiel-Arten der Grösse und Farbe nach. Am öftersten trifft man ihn zur Herbstzeit auf mehreren Blumen-Arten an. Die Raupe A lebt gesellschaftlich, besonders auf Hafernesseln (Galeopsis cannabina), doch auch auf der gelben Waldnessel; sie ist ganz schwarz mit vielen Dornen. Die Puppe B hat denselben Bau, wie die der vorigen Art, und unterscheidet sich nur durch besondere, ihr eigentümliche Punctflecken.~~129
Ad00341 06 047a/freInsectes LIX. Vol. VII. No. 45.
PAPILLONS D'ALLEMAGNE.
Fig. 1. La grande tortue. (Papilio Poiychloros. L.)
CePapill°n» Fig. 2. Le Souci. (Papilio Hyale. L.)
Ce papillon abonde plus dans le midi que dans le nord de l'Allemagne. .La couleur du dessus (à) de ses aîles contraste parfaitement avec celle du dessous (6), et rend ce papillon très-agréable à la vue. On le nomme généralement le piéris citron. La chenille se nourrit de citise.
Fig. 3. Carte géographique brune. (Papilio Prorsa. L.)
Ce papillon, nommé généralement la carte géographique brune, estj du nombre de ceux qui sont le plus joliment tachetés; il n'est pas commun en Allemagne. La chenille,' (a) armée d'épines noires à plusieurs pointes, se tient sur les orties jaunes. La chrysalide (/;), est d'un rouge brun-clair avec de petits yeux.:
Fig. 4. Carte géographique fauve. (Papilio Levana. L.)
Ce papillon beaucoup plus rare que le précédent, se distingue en plusieurs espèces, tant par la grandeur que par la couleur. C'est en automne qu'on le trouve sur plusieurs sortes de fleurs. La chenille (a) vit en société* sur les orties mortes ainsi que sur les orties jaunes. Elle est toute noire et armée de plusieurs épines. La chrysalide (b) est absolument formée comme la précédente, et elle ne s'en distingue que par des taches en forme de points, qui lui sont particulières..
Ad00341 06 048aFig. 1. Der Wolfs-Bär oder die Wolverene. (Ursus luscus. L.)~~Dieses listige und verwegene Raubthier, dessen Pelz aus sehr langen und dichten, verschiedentlich braunen, Haaren besteht, misst von der Schnauze bis zum Schwanze 28 Zoll, und mit letzterem 1 Fuss mehr. Es bewohnt die Wälder des kälteren Nordamerica's, z. B. von Canada und an der Hudsonsbai, und ist selbst in neueren Zeiten von Pallas, so wie früher von Büffon, mit dem Vielfrase (siehe Bilderb. Bd. I. No. 32) irrig für einerlei gehalten worden, weil es letzterem in der äusseren Gestalt und Lebensweise sehr nahe kommt; durch den abweichenden Bau seines Gebisses unterscheidet es sich aber wesentlich von demselben, wie schon Linné richtig bemerkte. Da der Wolfs-Bär nicht schnell laufen, aber wegen seiner scharfen Klauen gut klettern und bei seiner Stärke sehr fest damit eingreifen kann, so lauert er vielerlei Thieren, besonders dem Rothwildpret und auch den Bibern auf Bäumen hinterlistig auf, stürzt sich plötzlich auf solche herab, klammert sich auf deren Rücken fest, und beisst sich mit seinem scharfen Gebisse so lange in den Nacken der mit ihm fortlaufenden Thiere ein, bis sie verblutet und ermattet todt hinfallen, wonach er solche dann vollends auffrisst.~~Fig. 2. Das weissrückige Stinkthier oder der Chinche. (Viverra mephitis. L.)~~Diese Art der Stinkthiere lebt von Peru und Chili an durch ganz Südamerica bis in Canada in Nordamerica, und darf nicht mit dem im Bilderbuche (Band I. No. 43.) abgebildeten gestreiften Stinkthiere, dem Skunk oder Conepatl verwechselt werden, mit welchem es übrigens gleiche Eigenschaften und Lebensweise hat. Es giebt Spielarten der Farbe, die statt braun-schwarz völlig schwarz sind, so wie auch der langhaarige Schweif zwar gewöhnlich braun oder schwarz, zuweilen aber auch ganz weiss getüpft befunden wird. Die Benennungen Skunk oder Chinche werden als trivial und nicht streng wissenschaftlich bald diesem, bald noch andern Stinkthieren ebenfalls beigelegt. -~~130
Ad00341 06 048a/freQuadrupèdes LXXX. Vol. VII. No. 46.
ANIMAUX RARES ET CURIEUX
Fig. 1. Le Carcajou ou le Volverène. (Ursus luscus. L.)
C>et animal rapace, aussi rusé que téméraire, dont la fourrure est à poils longs, épais et diversement coloriés de brun, a du museau jusqu'à la queue 28 pouces de long, et avec cette dernière, un pied déplus. Il habite les bois des contrées les plus froides de l'Amérique septentrionale, telles que le Canada et la baie de Hudson. Il a été confondu de nos jours par Pallas , -et auparavant par Buffon, avec le glouton, (voyez P. d. Enfans Vol. L No. 32.) parcequ'il en approche beaucoup, soit par son extérieur, soit par le genre de vie qu'il mène; mais il s'en distingue caractérïstiquement par la conformation de la bouche, comme Hnné l'a très-judicieusement observé. Le CarcajOU n'étant pao prompt à la rmitie, mais grimpant avec beaucoup de facilité et «'attachant fortement, par le moyen de ses griffes, qui sont très-acérées, il se met sur des arbres à l'affût de beaucoup d'animaux, et surtout des bêtes fauves et des bièvresi, se jette soudainement sur l'animal, se crarn^ ponne sur son dos, le mord avec ses dents aiguës en se laissant emporter, jusqu'à ce que celuici, épuisé de fatigue et par la perte d« son sang, tombe; alors il le dévore.
et animal rapace, aussi rusé que téméraire, dont la fourrure est à poils longs, épais et diversement coloriés de brun, a du museau jusqu'à la queue 28 pouces de long, et avec cette dernière, un pied déplus. Il habite les bois des contrées les plus froides de l'Amérique septentrionale, telles que le Canada et la baie de Hudson. Il a été confondu de nos jours par Pallas , -et auparavant par Buffon, avec le glouton, (voyez P. d. Enfans Vol. L No. 32.) parcequ'il en approche beaucoup, soit par son extérieur, soit par le genre de vie qu'il mène; mais il s'en distingue caractérïstiquement par la conformation de la bouche, comme Hnné l'a très-judicieusement observé. Le CarcajOU n'étant pao prompt à la rmitie, mais grimpant avec beaucoup de facilité et «'attachant fortement, par le moyen de ses griffes, qui sont très-acérées, il se met sur des arbres à l'affût de beaucoup d'animaux, et surtout des bêtes fauves et des bièvresi, se jette soudainement sur l'animal, se crarn^ ponne sur son dos, le mord avec ses dents aiguës en se laissant emporter, jusqu'à ce que celuici, épuisé de fatigue et par la perte d« son sang, tombe; alors il le dévore.
Fig. 2. Le Chinche. (Viverra mephitis. L.)
Cette espèce de Mouffettes se trouve, dans toute l'Amérique méridionale, depui» le Pérou, le Chili, jusqu'en Canada, dan» l'Amérique septentrionale; il ne doit pas être confondu avec le Skunk ou Putois rayé, Fig. uré dans le I. Vol. P. d. Enfansî No. 43., dont il a les qualités et le genre de vie. Il y a des variétés dans la couleur, qui, au lieu d'être d'un brun noirâtre, sont absolument unir«, et la queue, qui pour l'ordinaire est brune ou noire, est quelque fois toute tachetée de blanc. Les noms de Chinche ou de Skunk sont donnés indifféremment en langage vulgaire, à tous les Mouffettes.'
Ad00341 06 049a

Verm. Gegenst. CLIV. Bd. VII. No. 47.

DIE GROSSE GLOCKE IN MOSKAU.

Die Einführung der Glocken, deren man sich, zuerst bei den Gebräuchen der christlichen Kirche in Freude und Leid bediente, geht wahrscheinlich nicht über das sechste Jahrhundert nach Christi Geburt hinauf. Die grösseren Kirchenglocken wurden zuerst in Italien zu Nola in der Provinz Campanien, heut zu Tage terra di Lavoro, gegossen, welche Stadt selbst einen ansehnlichen Handel damit trieb. Zuerst bedienten sich die Klöster der Glocken, von wo sie auf die übrigen Kirchen kamen. Es gehörte zu den vorzüglichsten Zierden von Haupt- oder Domkirchen, ausserordentlich grosse Glocken zu haben. In Teutschland ist die grösste. Glocke zu Wien, welche 1711 gegossen wurde, über 10 Schuh hoch ist, und mit den anhängenden Theilen 514 Centner wiegt. Nach ihr kommen die Glocken von Berlin und Erfurt. - Zu den grössten und merkwürdigsten Glocken, die wir kennen, gehört aber die hier abgebildete, welche sich im Kreml, der vormaligen Residenz der Czare, zu Moskau befindet, und in einer grossen tiefen Grube, zu der man hinabsteigt, gezeigt wird. Nach der Messung des englischen Reisenden Clarke beträgt ihre senkrechte Höhe 21 Fuss 4 1/2 Zoll; der Umkreis, 2 Fuss von dem äussersten Rande (da sie um so viel verschüttet liegt), 67 Fuss 5 Zoll; ihr ungeheueres Gewicht wird auf 4437 Centner geschätzt. Der Sage nach soll sie bei einer Feuersbrunst herabgestürzt, und davon gesprungen seyn. Wahrscheinlicher ist es, dass sie bei ihrer so ungeheueren Schwere nie aufgehängt, sondern nur so aufbewahrt wurde; und vielleicht bei einem entstandenen Feuer, durch Einwirkung des Feuers und Wassers nachher zerborsten ist.

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Ad00341 06 049a/freMélanges CLIV. Vol. VII. No. 47.
LA GROSSE CLOCHE DE MOSCOU.
L'introduction dés cloches, dont la religion chrétienne a'fait le premier usage, soit pour exprimer la joie, soit pour exprimer les souffrances, ne remonte vraisemblablement pas au delà du sixième siècle après la naissance de Jesus- Christ. C'est en Italie,, à iVoZ«, ville de Ja-province de Capoue, uoinm^ ^
Ad00341 06 050aIn Sevilla, der Hauptstadt der spanischen Provinz Andalusien, prangt, nebst andern Gebäuden, auch die berühmte Cathedrale oder Hauptkirche, welche eine Mischung des gothischen mit dem maurischen Style oder Bauart enthält. Diese Kirche wurde auf Kosten des Dom-Capitels im Jahre 1482 zu bauen angefangen, und im J. 1519 geendigt. Der Thurm wurde schon im J. 1000 von den Arabern errichtet, hatte damals aber nur 172 Fuss Höhe und endigte sich in einen Pavillon, auf dem auf einem eisernen Pfeiler vier vergoldete Kugeln ruhten. Im Jahr 1568 wurde dieser Pavillon abgerissen, und der Thurm um 86 Fuss erhöht. Seine Spitze ziert die berühmte Giralda oder Wetterfahne; es ist eine Statue von Bronze, den Glauben vorstellend, welche mit den Verzierungen 34 Centner wiegt, von Bartholomäus Morel gefertigt wurde, und sich als Wetterfahne dreht. Deswegen heisst er auch der Thurm der Giralda. Die auf gothische Art reich verzierte Kirche ist 262 Fuss lang; das Innere ist in fünf Schiffe getheilt; die kostbaren gemalten Glasfenster haben allein 90,000 Ducaten gekostet. Diese Kirche gehört zu den reichsten in Spanien; merkwürdige Grabmäler zieren das Innere. Neben den Monumenten der Könige steht auch das Grabmal von Christoph Columbus, des Entdeckers von America; doch seine sterblichen Ueberreste wurden von Sevilla nach der Primatialkirche von Santo Domingo gebracht.~~130
Ad00341 06 050a/freMélanges CLV. Vol. VII. No. 48.
LA CATHÉDRALE DE SÉVILLE.
Sevilla, capitale de l'Andalousie, province d'Espagne; est ornée de maints beaux édifi- ' ces, parmi lesquels se distingue l'église métropolitaine, bâtie dans un genre gothique, tenant du mauresque. Cette Cathédrale fat commencée en 1482 et finie en 1519 aux frais du chapitre. L'an icoo les Arabes construisirent la tour, mais ils- ne lui donnèrent que 172 pie'ds d'élévation; elle se terminait alors par un pavillon, sur iequels'élevait un pilier de fer, qui portait quatre globes dorés. On abatit ce pavillon en 1568; on exhaussa la tour de 86 pieds.' La flèche de cette tour est surmontée d'une statue allégorique de la foi, en bronze, connue sous le nom de Giralda, qui, avec ses ornemens, pèse 34 quintaux. Elle est de* Barthèlemi Morel, .et tourne comme une girouette; aussi lui a-t-on donné le nom de tour de la Giralda. L'église, richement ornée dans le genre gothique a 262 pieds de longueur; l'intérieur est divisé en 5 nefs; les vitraux, couverts de belles peintures, ont coûté seuls 90,000 ducats. Cette Cathédrale est uns nas plue viches de l'Espagne; des monumens curieux en décorent l'intérieur. A côté des tombeaux des rois, est celui de Christophe Colomb,, qui a découvert l'Amérique; cependant ses dépouilles mortelles ont été transférées de Séville dans l'église prirnatiale de Santo-Domingo.
Ad00341 06 051aDer Lauch ist eine ansehnliche Pflanzen-Gattung, welche bis jetzt sechzig Arten zählt. Zu seinen Eigenschaften gehört, dass die Blätter und Zwiebeln, weniger die Blüten und Saamen, einen beissenden flüchtigen Geruch und Geschmack haben. Deswegen dienen auch viele Laucharten als Würze an den Speisen, und werden als Küchengewächse häufig gebauet,~~Fig. 1. Der Porre oder gemeine Lauch. (Allium Porrum. L.)~~Das Vaterland ist unbekannt, doch stammt der Porre wahrscheinlich aus dem Oriente her. Jetzt wird er als Speisegewächs in Gärten allenthalben gebauet, und diente auch sonst als Arzneimittel. Er ist ein zweijähriges Zwiebelgewächs. Die walzenförmige weisse Zwiebel besteht aus glatten, etwas fleischigen Häuten, und endigt sich in lange zugespitzte Blätter. Aus der Mitte schiesst der 3 bis 4-Fuss lange, feste und dichte Stängel in die Höhe. Im Junius und Julius kömmt an der Spitze die kugelförmige Blüte hervor, welche langgestielte, weisse oder röthliche Blumen trägt. Der Porre wird gewöhnlich aus Saamen gezogen. -~~Fig. 2. Der Allermannsharnisch. (Allium Victorialis. L.)~~Diese Lauchart findet sich ursprünglich in feuchten grasreichen Gegenden der italienischen, schweizerischen, österreichischen und schlesischen Alpen oder höheren Gebirge. Die Wurzel besteht aus mehreren, an einander liegenden Zwiebeln, welche inwendig weiss, von aussen aber mit braunen Häuten bedeckt sind. Die äussersten bilden Fasern, und bedecken die Oberfläche netzartig, oder wie ein Panzerhemde. Diese sonderbare Bildung benutzte der Aberglaube, machte diese Wurzel zu einem Beschützungsmittel gegen Hieb und Stich und Krankheiten, und nennte sie deswegen Allermannsharnisch. Quacksalber verkauften sie auch unter dem Namen Alrunwurzel als Bewahrungsmittel gegen böse Geister, und betrogen damit die leichtgläubige Menge. Jetzt wissen wir recht gut, dass Alles dieses nur Täuschung oder Betrug ist.- Dieser netzwurzeliche Lauch treibt einen anderthalb Fuss hohen Blumenschaft, dessen unterste Blätter breit und eiförmig sind. Die Blumenkrone besteht aus vielen, auf halb Zoll langen Stielchen sitzenden, grünlich weissen Blüten.~~130
Ad00341 06 051a/frePlantes CXXVI. Vol. VII. No. 49.
DIVERSES ESPÈCES D’AILS.
On compte jusqu'à nos jours soixante espèces d'ails. Une àes propriétés de cette plante, - c'est que les feuilles et les bulbes ont une odeur et une saveur très-fortes, qui sont cependant moindres dans les fleurs et dans les graines. Aussi emploi.e-t- on comme épicerie* plusieurs espaces d'ail, ce qui fait qu'on les cultive beaucoup.*
Fig. 1. Le poireau. (Allium Porrum. L.)
On ignore la patrie du poireau, mais on présume qu'il est originaire de l'Orient. On le cultive maintenant dans les jardins comme plante potagère, mais autrefois on l'employait comme remède. Il est bisannuel. La gousse cylindrique est composée de tuniques blanches, lisses, un peu charnues. Du milieu de ses feuilles s'élève une tige haute de 3 à 4 pieds, ferme et pleine de suc. Au mois de juin et de juillet il sort au sommet des fleurs blanches ou rougeâtres en ombelle. Le poireau est ordinairement ensemencé.
Fig. 2. L'ail serpentin des Alpes. (Allium Victorialis. L.)
Cette espèce d'ail se trouve originairement dans les parties humides des montagne» d'Italie, de Suisse, d'Autriche et de Siîésie. La racine est composée de plusieurs bulbes, réunis par des. membranes communes, blanches en dedans et brunes en d.ehors. Les tuniques extérieures sont filandreuses et couvrent la surface en forme, de cotte de maille. La superstition profita de cette singulière formation, et fit de cette racine un préservatif contre les maladies et les blessures, ce qui lui a fait donner le huhi a au sferpéntïn. Les empiriques lui attribuèrent même là vertu de chasser les démons, et se jouèrent ainsi de la crédulité de la multitude. On sait de nos jours que tout cela n'était qu'une supercherie. > La tige de la fleur de l'ail serpentin a ïlpiefl de haut. Les feuilles inférieures sont larges et ovaires". L'ombelle est composée de fleurs d'un blanc verdâtre, sur des tiges d'un « pouce.
Ad00341 06 052aFig. l. 2. 3. Die roth u. schwarze Heuschrecke. (Gryllus stridulus. L.)~~Es ist dies die in Teutschland gemeinste Art der Heuschrecken, welche man gewöhnlich Klapperheuschrecke nennt. Sie wird jedoch sowohl bei uns, als auch im übrigen Europa weit häufiger in und nahe bei Wäldern, so wie auf Haiden und auf Bergen, weit seltener in tiefer liegenden fruchtbaren Getreidefeldern im August und September angetroffen. Fig. 1. zeigt das Männchen in fliegender, Fig. 2. in ruhig sitzender Stellung. Beide Abbildungen zeigen, dass beim männlichen Geschlechte die Flügel länger sind, als der Hinterleib; bei dem Fig. 3. abgebildeten Weibchen verhält sich's umgekehrt; auch sind die Weibchen grösser, und ihr Leib dicker. Alle Figuren geben die natürliche Grösse an. Bei a und b sieht man die Eier dieser Heuschrecke.~~Fig. 4. u. 5. Die bläulichgrüne Heuschrecke. (Gryllus caerulescens. L.)~~Diese Fig. 4. in natürlicher Grösse fliegend abgebildete Art wird im südlichen Teutschlande, so wie in noch südlicheren Ländern, auf mageren Feldern und Haiden ziemlich häufig angetroffen. Die Unterflügel sind bis über die Hälfte schön bläulichgrün, nach vorn durch eine schwärzliche Querbinde begränzt. Die äussere Spitze aber ist hell und durchsichtig. Zuweilen findet man auch Spielarten in der Farbe des Leibes und der Oberflügel; so zeigt Fig. 5. eine solche Spielart dieser Heuschrecke mit gelbbraunen, statt gelbgrauen Oberflügeln, Kopfe und Leibe. Die Farbe der Unterflügel bleibt aber standhaft bei jeder Art immer dieselbe.~~Fig. 6. Die rosenfarbige Heuschrecke. (Gryllus Italicus. L.)~~Diese findet sich ausser den südlich teutschen, auch noch in allen warmen europäischen Ländern, und selbst auch auf dem Vorgebirge der guten Hoffnung. Sie hält sich lieber, als die vorigen Arten, in gut angebauten fruchtbaren Gegenden auf. Die Unterflügel sind nach hintenzu schön rosenfarbig, nach vorn zu aber sehr blassbräunlich und zugleich durchscheinend. Auch der dünne Theil der Spring- oder Hinterfüsse ist rosenfarbig; die dicken Oberschenkel derselben haben aber eine braune gesprenkelte Farbe. Die schmalen Oberflügel zeigen braune Flecken auf einem gelblichen Grunde.~~130
Ad00341 06 052a/freInsectes LX. Vol. VII. No. 50.
CRIQUETS D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. 2. 3. Criquet stridule. (Gryllus stridulus. L.)
Cette espèce de Criquet est la plus commune en Allemagne. On le trouve au mois d'Août et de Septembre, beaucoup plus généralement cependant dans les bois, dans les bruyères et sur les montagnes, que dans les vallons fertiles et cultivés. La 1 figure représente le mâle volant, la 2 fig. ., en état de repos. Les deux figures nous montrent que, dans l'un et l'autre état, les élytres du mâle dépassent le derrière du corps. Le No. 3. qui nous figure la femelle, nous prouve au contraire que les élytres ne-dépassent pas l'abdomen. Les femelles sont aussi plus grandes, et elles ont le corps plus gros, Toutes les figures reps\ésen-, tent la grandeur naturelle. Nous voyons à « et b les oeufs de ces. criquets.
Fig. 4. 5. Criquet bleuâtre. (Gryllus caerulescens. L.)
Cette espèce de CriqUet, représentée fig. 4. dans sa grandeur naturelle, est assez commune dans le sud,de l'Allemagne, ainsi que dans les contrées plus méridionales encore de l'Europe. Ce Criquet se plaît dans les landes et les terres maigres. Les aîles sont d'un céladon bleuâtre, avec une large bande noire au delà du milieu, et l'extrémité transparente. On trouve quelque fois des variétés dans la couleur du corps et des élytres; fig. 5. nous montre ici une de ces variétés-, un criquet, dont les élytres, la tête, le corps sont d'un brun jaunâtre, au lieu d'être d'un gris jaunâtre. Mais la couleur des aîles reste dans chaque variété la même.
Fig. 6. Criquet italique. (Gryllus Italicus. L.)
Cette espèce se trouve non seulement tlans le midi de l'Allemagne, mais encore dans tous les pays chauds de l'Europe,, et même au Cap de bonne espérance. Elle se plaît, beaur coup plus que les/-espèces précédentes, dans les terres fertiles et cultivées. Les aîles sont d'un beau rose vers le derrière, et sur le devant d'un brun pâle et transparent. La partie mince des jambes postérieures est également couleur de rose; mais les cuisses sont brunes avec des taches.. Ses élytres sont d'un fond jaunâtre tacheté de brun.
Ad00341 06 053a(Nais serpentina. Müller.)~~In stillstehenden und in schwach abfliessenden süssen Gewässern von Europa, besonders in solchen, wo Wasser- oder Meerlinsen wachsen, findet man in den wärmeren Monaten des Jahres die hier bei Fig. 1. und 2. in natürlicher Grösse abgebildete geschlängelte Naide, welche, wie die ganze Gattung, zu den Würmern gehört. Diese Naiden bilden schlangenförmig gestaltete, dünne, durchsichtige Würmer, ungefähr 21 Zoll lang. Theils findet man sie einzeln wie Fig. 1., theils auch mehrere um einen Stamm der Meerlinse herumgewunden, wo sie einem Merkurstabe gleichen. (Fig. 2.) Bei Fig. 3. 4. und 5. sehen wir die geschlängelte Naide mit sammt einer Meerlinsenwurzel stark vergrössert abgebildet; bei der Durchsichtigkeit des Körpers erscheinen die Eingeweide wie ein gewundenes Band. Unterhalb des Kopfes sitzt eine zungenähnliche Saugwarze (Fig. 4.), mit der sie die Pflanze benagen, um sich davon, so wie von kleinen Infusionsthierchen, zu nähren. Diese Naide vermehrt sich gewöhnlich durch Theilung ihres Körpers, wie Fig. 5. zeigt, wo in der Mitte der Leib wie unterbunden, und nur noch wenig zusammen hängend erscheint. Nach völliger Trennung des hinteren Stücks, wächst an diesem ein neuer Kopf hervor, wie Fig. 7. und 8. weniger vergrössert zeigen. Eben so sieht man bei Fig. 4. eine dünnere hintere, erst frisch nachgewachsene Körperhälfte, wo die lebende Naide quer durchgeschnitten worden war, wornach jedes Stück der Naide nach und nach in wenig Tagen sich durch Reproductionsvermögen wieder völlig ergänzte.~~131
Ad00341 06 053a/freVers. XIX. Vol. VII. No. 51.
LA NAYADE SERPENTINE. (Nais serperitina. Müller.)
On trouve pendant les mois les plus chauds de l'été , dans les eaux douces, stagnantes ou qui ont un écoulement insensible, et celles surtout où croissent les lenticules, la Nayade serpentine, représentée Fig. 1. et 2. dans sa grandeur naturelle, qui, comme toute l'espèce, est du genre des vers aquatiques. Ces Nayades sont des vers grêles, transparents, de 21 pouces de long à peu près, ayant la forme de serpent. Tantôt on les trouve isolées comme Fig. I., tantôt réunies et entortillées autour d'une lenticule comme Fig. 2. où elles ressemblent à un caducée. Les Fig. 3. 4. et 5. nous représentent la Nayade entortillée, ainsi que la racine de la lenticule, l'une et l'autre très-grossies. Les intestins ont l'air, à travers le corps, ' d'un ruban tordu. Au dessous de la tête se trouve une trompe Fig. 4. avec laquelle elle ronge les plantes, dont elle se nourrit, ainsi que d'animacules infusoires. Cette Nayade se reproduit ordinairement par la division du corps en plusieurs morceaux, comme le montre la Fig. 5. où le corps paraît lié au milieu, et ne tenir que faiblement. Après l'entière séparation du morceau de derrière, il/vient une tête à ce morceau, comme le montrent les Fig. 6 et 7. moins grossies. C'est ainsi que l'on voit aussi Fig. 4. la moitié du derrière du corps beaucoup plus grêle, qui s'est formé de nouveau, parcequ'on avait coupé la Nayade en deux, après quoi chaque morceau par la force reproductive devint peu à peu et en peu de jours un animal parfait.
Ad00341 06 054aFig. 1. Der gemeine Epheu. (Hedera Helix. L.)~~Der gemeine Epheu oder Eppich, welcher in den meisten Theilen von Europa wild wächst, bildet in den südlichen Ländern bisweilen einen baumartigen Strauch. Gewöhnlich ranken aber die oft zwanzig bis dreissig Fuss langen Zweige an andern Gegenständen, an Mauern oder Bäumen fort, und bedecken sie auf malerische Weise. Die Stängel treiben allenthalben kleine Wurzeln hervor, mit denen sie sich an die Erde, in die Baumrinde, oder in die Ritzen der Mauern befestigen, und so fortklimmen. Die dicken, glänzenden, immergrünen Blätter sind nach dem verschiedenen Alter erst lanzetförmig, dann fünf-, nachher dreilappig, und zuletzt oval ohne Ecken oder Lappen. Ihre Farbe ist dann dunkelgrün. An den Enden der Zweige kommen im September oder October die grünen, fünf- oder sechsblättrigen Blüthen hervor, welche kugelrunde, aufrechtstehende Dolden bilden. Die Frucht besteht aus grünlichen Beeren, welche erst bei der Reifung im folgenden Jahre schwärzlich werden, - Das leichte schwammige Holz des Epheu kann zu einigen Drechslerarbeiten gebraucht werden. Das Harz, so wie die Blätter und Beeren wurden sonst als Arzneimittel gebraucht.~~Fig. 2. Das kleine Sinngrün. (Vinca minor. L.)~~Das kleine Sinngrün oder gemeine Wintergrün wächst wie der Epheu wild in den meisten Theilen Europa's, und ist ein niedriges Strauchgewächs, mit fortrankenden holzigen Zweigen, welches sich an schattigen Orten in Laubhölzern findet, aber auch gern in die Gärten verpflanzt wird. Die Blätter sind lanzetförmig eirund, glänzend dunkelgrün, und sitzen an kurzen Stielen. Sie fallen im Herbste nicht ab, und dauern mehrere Jahre hindurch. Die schönen blauen, aber geruchlosen Blumen sitzen an längeren Stielen. Auch das Sinngrün besitzt Arzneikräfte, welche noch hier und da angewendet werden. Am leichtesten pflanzt man das Sinngrün durch Einlegung von Zweigen fort, welche sogleich Wurzel schlagen.~~131
Ad00341 06 054a/frePlantes CXXVII. Vol. VII. No. 52.
PLANTES D'ALLEMAGNE, qui ne perdent jamais leur verdure.
Fig. 1. Le Lierre. (Hedera Helix. L.)
Le Lierre, qui croit sans culture dans la plus grande partie des contrées de l'Europe, devient quelque fois dans les pays méridionaux un petit arbre ; mais ses rameaux de 20 à 30 pieds de haut s'attachent .communément à d'autres objets, comme aux arbres, aux vieilles murailles, et les couvrent d'une manière pittoresque. Les tiges poussent de petites vrilles rameuses, par lesquelles elles s'implantent dans la terre, dans l'écorce des arbres et les fentes des murailles'. Ses feuilles luisantes, épaisses et toujours vertes sont, d'après la diversité de l'âge, d'abord lancéolées, puis à cinq, ensuite à trois lobes, enfin ovales et entières, et sont alors d'un vert foncé. Au mois de Septembre ou d'Octobre paraissent à l'extrémité des rameaux les fleurs vertes, réunies en petite ombelle ou en grappe courte. Le fruit est une baie verdâtre qui ne mûrit qu'au.commencement de l'année suivante, et qui devient noire dans sa maturité. Le bois léger et spongieux peut être employé par le? tourneurs. On faisait autrefois usage dans la médecine de la résine ainsi que des feuilles et des baies du Lierre,
Fig. 2. La petite Pervenche. (Vinca minor. L.)
La petite Pervenche, comme le Lierre, se propage d'elle-même dans presque toute l'E,urope, et c'est un sous-arbrisseau rampant, qui se plaît à l'ombre de nos bois touffus, mais que l'on transplante facilement dans les jardins. ' Ses feuilles sont ovales, lancéolées, luisantes, d'un vert-foncé, et sont attachées à de courts pétioles; elles ne tombent point en automne, et se conservent plusieurs années. Ses belles fleurs bleues, mais privées d'odeur, sont portées par des pédoncules. La médecine fait un usage peu fréquent de la Pervenche. On transplante le pins facilement la Pervenche en mettant en terre ses tiges, qui prennent aussitôt racine.
Ad00341 06 055aFig. 1. Das Pantheon oder die Rotonda.~~Das Pantheon, gemeiniglich die Rotonda genannt, in den späteren Zeiten unter dem Papste Bonifacius IV. in die christliche Kirche S. Maria ad Martyres verwandelt, ist einer der schönsten Ueberreste des Alterthums, welchen man in dem heutigen Rom erblickt. Das Pantheon wurde nach der Meinung Vieler von M Agrippa zur Zeit August's erbaut, und dem rächenden Jupiter, so wie allen Göttern, (daher der Name Pantheon) geweihet. Es enthielt damals im Inneren eine grosse Anzahl von Statuen und kostbaren Bronze-Arbeiten, welche aber zu verschiedenen Zeiten daraus entführt wurden. Unter Papst Bonifacius IV. wurde, wie oben gesagt, das Pantheon in die christliche Kirche S. Maria ad Martyres verwandelt, und so glücklicherweise gegen jede weitere Zerstörung gesichert.~~Von aussen erblickt man zuerst eine prächtige Vorhalle, von sechszehn corinthischen Säulen von polirtem Granit. Von da tritt man durch die grosse Hauptthüre von Bronze in das Innere des Tempels, welches durch corinthische Säulen und Pilaster von gelbem Marmor (giallo antico) verziert ist, und durch eine einzige grosse Oeffnung von oben herrlich erleuchtet wird. Ringsum erblickt man acht Altäre und dazwischen die Gräber und Denkmäler grosser Künstler und Gelehrten, unter denen wir vorzüglich nennen wollen, Raphael von Urbino, Hannibal Caracci, Poussin, Metastasio, Mengs und Winkelmann.~~Fig. 2. Das Theater des Marcellus.~~Dieses zu seiner Zeit grosse und prächtige Gebäude liess der Kaiser August zu Ehren seines Vetters Marcellus errichten; es war nach dem des Pompejus das zweite stehende Theater in Rom. Bei der Einweihung liess man 600 wilde Thiere darin kämpfen, und zuerst erschienen auch Tieger dabei. - Das Gebäude hat 378 Fuss im Durchmesser; und war in das Theater und die Bühne getheilt. Vom ersteren erblickt man bloss noch Ueberreste, vorzüglich von aussen zwei Reihen Arkaden, die untere von dorischer, die obere von ionischer Ordnung.~~Auf und in die Ueberreste dieses Theaters ist in neuerer Zeit der Pallast Savelli Orsini gebaut worden, wie wir hier abgebildet sehen. In der Entfernung zeigt sich die Kuppel der Kirche S. Maria in Campitelli.~~131
Ad00341 06 055a/freMélanges CLVI. Vol. VII. No. 53.
ÉDIFICES REMARQUABLES DE ROME.
Fig. 1. Le Panthéon, ou la Rotonde.
Le Panthéon, dit vulgairement la Rotondej converti plus fard par le pape Boniface IV. en église, nommée l'église de Ste. Marie ad martyres, est un des plus beaux restes de l'antiquité, que l'on trouve dans la Rome moderne. D'après l'opinion de plusieurs antiquaires il fut élevé par M. Agrippa sous le régne d'Auguste, et consacré à Jupiter vengeur, ainsi qu'à tous les Dieux,' de là le nom de Panthéon. L'intérieur était décoré d'un grand nombre de "statues et d'autres ouvrages précieux en bronze, mais qui en ont été enlevés à différentes reprises. Le pontife Boniface convertit, comme nous l'avons déjà dit, le Panthéon en église, et la consacra à la vierge et aux SS. martyrs; et par là ce précfeux monument est heureusement à couvert de toute destruction ultérieure. En dehors on aperçoit d'abord un superbe portique'de 16 colonnes corinthiennes de granit du plus beau poli. Delà on entre par le grand portail de bronze dans l'intérieur du temple, décoré par des colonnes et des pilastres de marbre jaune (giallo antiço), et qui est admirablement éclairé par une seule ouverture pratiquée au haut de la voûte. Tout autour on voit huit autels, et dans les intervalles les tombeaux et monumens de plusieurs artistes et auteurs célèbres, parmi lesquels nous nommerons de préférence Raphaël A'Urbin, Hannihal Caracci , le Poussin, Métastase, Mengs et Winkelmann.
Fig. 2. Le théâtre de Marcellus.
Auguste fit élever en l'honneur de Marcellus, son neveu, ce riche et somptueux théâtre; ce fut le premier théâtre fixe que Rome vit dans ses murs après celui de Pompée ; six cents bêtes féroces y furent sacrifiées lors de la dédicace, et c'est là qu'on apporta pour la première fois des tigres. L'édifice a 378 pieds de diamètre, et l'intérieur était divisé en deux parties, savoir, le théâtre et là scène. Il ne reste du premier que 12 ou 13 arcades doriques et autant «le joniques. On a bâti de nos jours au milieu des débris de ce théâtre le palais Savtih Orsini, tel ■ que nous le voyons figuré ici. A quelque distance on remarque la coupole de l'église S. Maria in Campitelli,
Ad00341 06 056aFig. 1. Die Kirche zu Axum.~~Zu Axum, der ehemaligen Hauptstadt von Tigre und vielleicht von ganz Abyssinien, sieht man eine der schönsten Kirchen in diesem christlichen Lande. Sie liegt an dem Nord-Ende der jetzigen Stadt und scheint die Stelle eines alten hinduischen Tempels einzunehmen; wenigstens deuten die Ruinen von Obelisken und ägyptischen Säulen auf eine ursprünglich von der christlichen Andacht verschiedene Bestimmung. Schon im 7ten Jahrhundert n. C. G. soll hier eine Kirche erbaut worden seyn; sie wurde aber in einem Kriege mit den Mohamedanern im Jahre 1526 zerstört. Die jetzige Kirche, die wir hier abgebildet sehen, ist im Jahre 1657 erbaut worden. Ihr gothisches Ansehen macht es wahrscheinlich, dass arabische oder portugiesische Baumeister, die sich damals im Lande aufhielten, den Riss dazu entworfen haben. Die Kirche ist 40 Fuss hoch, 111 Fuss lang und 51 Fuss breit. An der Vorderseite bemerkt man 5 Fuss dicke, massive viereckige Pfeiler, zwischen welchen drei Eingänge in das Innere der Kirche führen. Das Dach ist, wie bei italienischen Gebäuden, flach und mit einfachen gothischen Zierrathen versehen; in der Mitte erhebt sich eine kleine Kuppel. Der Thurm an der Seite ist unansehnlich.~~Fig. 2. Der Königssitz zu Axum.~~Dicht bei der vorigen Kirche, innerhalb ihrer Mauern, bemerkt man ein altes Monument, das sich nur durch seine Einfachheit auszeichnet. Es besteht aus vier ägyptischen achteckigen Säulen, zwischen denen ein viereckiger Stein liegt. Auf diesem sassen bei der Krönung ehemals die Könige von Abyssinien, daher auch der Name: Königssitz. Bruce fand hier eine griechische Inschrift zu den Füssen des Sitzes, welche anzuzeigen schien, als hätte der König Ptolemäus Evergetes dieses Denkmal errichtet. Herr Salt, der Secretär des Lord Valentia, dem wir die neueste, so wichtige, Reise durch Abyssinien verdanken, sah nichts mehr davon. Die Form der Säulen lässt allerdings auf ägyptische Kunst schliessen; aber ob man deswegen bis zum Ptolemäus Evergetes zurück gehen müsse, dürfte schwer zu entscheiden seyn.~~131
Ad00341 06 056a/freMélanges CLVI. Vol. VII. No. 54.
MONUMENS CURIEUX DE L'ABYSSINIE.
Fig. 1. L'église d'Axum.
On trouve à Axum, ancienne capitale de Tigre et peut être même de VAbyssinie entière, une des plus belles églises qu'il y ait dans ce pays chrétien. Elle est située à l'extrémité septentrionale de la ville actuelle, et paraît avoir remplacé une ancienne pagode; du moins les ruines des obélisques et des statues, égiptiennes semblent-elles annoncer une destination différente, dans son origine, du culte chrétien. Il doit y avoir eu dans le septième siècle avant la naissance de JesusChrist une église de bâtie, mais qui fut détruite en 1526 dans la guerre avec les Mahomëtans. L'église, Fig. urée ici, a été construite en 1657. A en juger par son air gothique, il est vraisemblable que le plan en a été fait par des architectes arabes ou portugais, qui habitaient alors ce pays Cette église a 40 pieds de haut, sur 111 de long, et 51 de large. On voit sur le devant des piliers carrés, massifs,, de 5 pieds d'épaisseur, entre lesquels sont les portes de l'église. Le toit est, comme dans les édifices italiens, plat et décoré d'ornemens gothiques et simples; au milieu s'élève une petite coupole. De côté le clocher n'a pas la moindre apparence.
Fig. 2. Le siège des rois d'Axum.
Près de l'église sus-mentionnée, en dedans de ses murs, se voit un monument remarquable par sa seule simplicité. Il est aussi formé par quatre colonnes égyptiennes octogones , entre lesquelles se trouve une pierre carrée. C'était là -dessus que s'asseyaient les anciens rois VAbyssinie, lors de leur couronnement; de là vient le nom Siège des Rois. Bruce trouva au bas de ce siège une inscription grecque', qui semblait annoncer que c'était le roi Ptolomée Everget.es, qui arait érigé ce monument. Monsieur Sait, secrétaire du. Lord Valentia, à qui nous devons l'important voyage de VAbyssinie et le plus récent, n'en a rien vu. La forme des colonnes annonce sans doute quelques rapports avec l'art égyptien, mais il serait téméraire de décider, si' l'on doit le faire remonter jusqu'à Ptolomée Evergetes..
Ad00341 06 057aUnter den ausgebreiteten merkwürdigen Ruinen von Axum in Abyssinien bemerkt man auf einem grossen Platze mehrere umgestürzte und einige noch stehende Obelisken, an denen die ägyptischen Formen unverkennbar sind. Unter den stehenden Obelisken ist der höchste der hier auch abgebildet ist, 80 Fuss hoch, und aus einem einzigen Granitblocke gebildet; übrigens sorgfältig mit ausgehauenen Linien, Quadraten und Zirkeln, die wohl keine Hieroglyphen sind, geschmückt von den schönsten Verhältnissen. Eine solche Masse in die Höhe zu richten, hat Maschinen erfordert, von denen man bei den heutigen Abyssiniern keinen Begriff mehr hat; wie denn überhaupt das ganze Denkmal von einem besseren Zustande der Künste und der Cultur zeugt, als man gegenwärtig in diesem Lande antrifft. Neben diesem colossalen Kunstwerke steht ein Daru-Baum, dessen Riesenhaftigkeit das tropische Vaterland anzeigt. Wenn dieser Obelisk errichtet worden, ist unbekannt. Er steht jetzt da, als ein Denkmal der Grösse und Pracht der alten Stadt Axum, welche ehemals die Hauptstadt von hat Abyssinien gewesen zu seyn scheint.~~131
Ad00341 06 057a/freMélanges CLVIII. Vol. VII. No. 55.
L'OBÉLISQUE D'AXUM.
On remarque, parmi les diverses belles ruines les Abyssiniens actuelsVont plus aucune idée. à'Axutn, en Abyssiaie, sur une grande place, En général ce "Monument prouve que les arts plusieurs obélisques renversés,: et quelques- et la culture -y ont été dans un ç*tat beaucoup uns encore sur pied,qui décèlentl'art égyptien, plus florissant, que ne l'est celui de nos jours. Celui qui est figuré ici est le plus haut de A côté de ce chef-d'oeuvre colossal est un tous ceux qui sont encore debout; il a gopieds arbre,nommé Daru, dont le volume démesuré , de haut; il est fait d'un seul bloc de granit annonce que le tropique est sa patrie. On et soigneusement orné de lignes, de carrés et ignore quand cet obélisque a été érigé. Mainde cercles qui y sont taillés, parfaitement pro- tenant il est là pour attester la grandeur et la portionnés, et qu'on ne saurait prendre pour magnificence de l'antique ville tfAxum, qui des hiéroglyphes. Pour lever et placer une paraît avoir été autrefois la capitale de toute pareille masse, il a fallu des machines, dont VAbyssinie.
Ad00341 06 058aFig. 1. Der Hollunder-Spanner. (Phalaena Geometra Sambucaria. L.)~~Der hier abgebildete schöne schwefelgelbe Nachtfalter ist unter den teutschen, und fast auch unter den übrigen europäischen Spannern der grösste; es ist ein Weibchen; die Männchen dieser Art sind etwas kleiner gestaltet. Den Namen Spanner hat er wegen dem auffallend sonderbaren Gange, den er als Raupe befolgt; man sehe solchen bei b linker Hand auf der Tafel. Wegen Gestalt und gerader Haltung werden diese Raupen auch Ast-Raupen genannt. Sie nähren sich zwar von mehrerlei Pflanzen, am meisten aber von den Hollunder-Blättern, daher der Beiname dieses Spanners. Die verschiedenen Figuren der Raupe zeigen solche theils im ganz jugendlichen Alter, wie bei b rechts, wo sie an Fäden sich aufgehängt halten, theils im mittleren Wachsthume, und theils ganz erwachsen. Die geschmeidige rothbraune Puppe (c) hält sich in einem Gewebe auf, welches die Raupe vor der Verpuppung an einem Aste aufhängt.~~Fig. 2. Der kurzrüssliche Spanner. (Phal. Geom. Elinguaria. L.)~~Dieser bald mehr ledergelbe, bald mehr strohgelbe ansehnliche Spanner mit breiter röthlichbrauner Querbinde hat einen so äusserst kurzen Rüssel, dass man solchen nicht bemerken kann; daher sein Beiname. Die Raupen desselben bei A zeichnen sich hinlänglich als Spanner- und Astraupen aus; sie werden zwar sehr oft auf Birnbäumen angetroffen, leben und nähren sich aber auch ebenfalls von den Blättern der Eichen, Schlehen und der Geissblattarten. Im August schlüpfen sie aus den Eiern hervor, und verkriechen sich im Herbst zum Winterschlafe, kommen im Frühjahre wieder hervor, und erreichen erst zu Ende des Mai ihre volle Grösse von 2 Zoll. Sie verwandeln sich sodann, wie die untere Abbildung bei B zeigt, in einem Blatte zu einer glänzenden rothbraunen Puppe, aus welcher nach 14 Tagen der Nachtfalter hervorgeht.~~132
Ad00341 06 058a/freInsectes LXI. Vol. VII. No. 56.
PHALÈNES GEOMÈTRES D'ALLEMAGNE.
Fig. 1. Phalène souffrée. (Phal. Geom. Sambucaria. L.)
Cette Phalène souffrée, figurée ici, est un des plus grands Géomètres de l'Allemagne et même de presque tous ceux du reste de l'Europe; c'est une femelle. Les mâles de cette espèce sont d'une forme plus petite. On lui donne le nom de Géomètre à cause des pas singuliers qu'elle fait dans l'état de chenille ; voyez la à b à gauche sur la planche. On la nomme aussi arpenteuse en bâton tant à cause de sa forme que de sa tenue droite. Cette chenille se nourrit, il est vrai, des feuilles de plusieurs plantes, mais principalement de celles du sureau. Les différentes formes de cette chenille sont figurées à b à droite, soit lorsqu'elle est encore jeune et qu'elle est suspendue à des fils; soit lorsqu'elle a atteint là moitié de sa croissance, soit lorsqu'elle est parvenue à sa grandeur naturelle. La Nimphe souple et d'un brun rougeâtre se tient dans un tissu que la cnënilïe attache à une branche avant de se changer eu chrysalide.
Fig. 2. Phalène aglosse. (Phal. Geom. Elinguaria. L.)
Cette belle Phalène, tantôt d'un jaune de peau, tantôt d'un jaune de paille, avec une bande transversale, large et d'un brun, rougeâtre, a la trompe-si petite qu'on peut à peine l'apercevoir. Sa chenille se qualifie suffisamment à ^comme arpenteuse en bâton, et géomètre. On la trouve souvent sur des poiriers, mais, elle vit de préférence sur les chênes, les prunelliers et les aubépines, et se nourrit de leurs feuilles. Elle sort des oeufs au mois d'août, se met en chrysalide à l'automne, reparaît au printems, et atteint à la fin de mai sa grandeur naturelle, qui est de 2 pouces. Elle se métamorphose alors, comme le montre la figure inférieure à B, dans une feuille, en chenille d'un brun rougeâtre, qui 1.6 jours après se métamorphose en phalène.
Ad00341 06 059aDer Schneeball bildet eine Pflanzengattung von 27 Arten, welche aus lauter Sträuchen besteht. Von diesen sind aber nur zwei in Teutschland einheimisch, welche wir auf gegenwärtiger Tafel kennen lernen wollen.~~Fig. 1. Der wollige Schneeball. (Viburnum Lantana. L.)~~Der wollige Schneeball oder Schlingstrauch wächst ausser Teutschland in Frankreich, Italien und mehreren Theilen von Europa wild. Er bildet einen schönen 10-12 Fuss hohen Strauch. Die eirund länglichen Blätter, am Grunde etwas herzförmig, sind leicht gezähnt, und auf der oberen Fläche wollig oder haarig. Die weissen Blumen, welche im Mai und Junius erscheinen, sitzen an den Enden der Zweige, und bilden ästige Afterdolden. Die eirunden, plattgedrückten Beeren sind Anfangs grün, dann werden sie roth und zuletzt schwarz. In der Schweiz macht man Dinte daraus. Die jungen Zweige werden zu Pfeifenrohren, und wegen ihrer Biegsamkeit zu Schlingen und Bändern gebraucht; auch besitzen die Blätter Arzeneikräfte. - Wegen seines guten Ansehens, wegen seiner häufigen Blüten und bunten Früchte, pflanzt man diesen Strauch auch häufig in Gartenanlagen an.~~Fig. 2. Der gemeine Schneeball. (Viburnum Opulus. L.)~~Der gemeine Schneeball oder Wasserholder wächst durch ganz Europa auf nassem festem Boden, und bildet einen Strauch von der Höhe des vorigen. Die Blätter sind in drei spitzige, gezähnte Lappen getheilt. Im Mai kommen an den Enden der Zweige in grossen flachen Afterdolden die weissen Blumen zum Vorschein; die äussersten Blüten sind um sechsmal grösser, als die inneren, und gleichen in der Form denen der Hortensie, die inneren kleineren bloss bringen im September die rothen Beeren hervor.~~Durch Verpflanzung in die Gärten und fortgesetzte Cultur hat man aus dem gemeinen einfachen Schneeballe eine schöne Varietät gezogen, welche aus grossen, weissen, unfruchtbaren Blüten besteht, die einen kugelrunden Ball bilden, und eigentlich den Namen Schneeball verdienen.~~132
Ad00341 06 059a/frePlantes CXXVIII. Vol. VII. No. 57.
DIFFERENTES ESPÈCES DE VIORNES.
La Viorne forme un genre de plantes de 27 espèces, qui comprend des arbrisseaux à feuilles opposées; mais comme il n'y en a que deux espèces d'indigènes à l'Allemagne, nous les avons figurées sur la planche ci-jointe.
Fig. 1. La Viorne cotonneuse.(Viburnum Lantana. L.)
La Viorne cotonneuse est un bel arbrisseau de 10 à 12 pieds de haut, qui croît sans culture en Allemagne, en France, en Italie et dans plusieurs parties de l'Europe» Ses; feuilles sont pétiolées, en coeur, légèrement dentées, blanchâtres en dessous et cotonneuses en dessus. Les fleurs blanches, qui paraissent au mois de mai et de juin, sont placées à l'extrémité des rameaux en corymbes, ayant l'apparence d'ombelles. Les baies ovoï des applaties sont d'abord vertes , puis elles deviennent rouges et enfin noires. En Suisse on en fait de l'encre. On se sert des rameaux pour tuyeaux de pipe; et ils sont si souples qu'on en fait des noeuds coulants et des rubans. Les feuilles sont bonnes en médecine. On la plante aussi dans les jardins tant à cause de la beauté de l'arbre, de ses fleurs abondantes, que de la diversité des couleurs de ses fruits.
Fig. 2. La Viorne obier. (Viburnum Opulus. L.)
Cet arbrisseau, qui parvient à la hauteur du précédent, se trouve dans toute l'Europe; il aime les terrains marécageux. Les feuilles sont- divisées en trois lobes pointues et denter lées. Au mois de mai paraissent au sommet des rameaux les fleurs blanches,, formant de fausses ombelles; celles de la circonférence sontsixfois plus grandes,;que celles du centre, et ressemblent de loin aux fleurs deThortensie. Il n'y a que les petites fleurs du centre qui produisent au mois de septembre des baies rouges. Cette Viorne, transplantée et cultivée avec soin de^ns les jar.iins-, produit une jolie variété, ayant de grandes fleurs blanches stériles,, qui forment une boule sphérîque, et qui lui ont fait donner le nom de boule de neige ou pelote de neige.