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Ad00341 02 093a/freInsectes. XI. Vol. II. No. 90.
INSECTES NUISIBLES.
No. 1. et 2. Le Puceron.
Cet Insecte, qui est une pelte pour nos jardins, est un petit animal très admirable, et ton histoire aiaturelle mérite toute notre attention. Il est à peine de la grandeur d'une puce, comme on Voit sous fig. 1. mais regardé par mi microscope, il le présente dans différentes formes lingulières, telles qu'on les voit sous fig. a. b. c. d. e. f. Presque chaque plante a ses espèces particulières de-pucerons, que les gens mal- instruits nomment de la Nielle, on de la Rouille, on les trouve surtout aux jeunes poulies des Rollers, du sureau, des choux, des cerisiers, des pêchers etc. où ils s'attachent fortement aux tiges et aux feuilles, comme on le voit sous fig. 2. à une jeune feuille de roher. Il y a des pucerons de toutes les couleurs, des verts, fig. a. des rouges, fig, b., et des noirs fig. c. Ils ont fix pattes, des antennes articulées, une trompe pointue; et de certaines espèces ont aux cotés deux gousses, qui renferment des ailes. On remarque encore à leur partie postérieure àeux cornes ou tubercules, par lesquelles ils donnent pailage à une liqueur sucrée, que les fourmis et les abeilles recherchent beaucoup. Dans l'espace de peu de jours un puceron peut mettre au monde plus de 90 jusqu' à 100 petits vivans. Chacun de ces petits, s'étant dépouillé cinq fois de sa peau, commence à son tour à mettre bas; de cette manière on en voit dans un seul été neuf générations, qui d'un seul puceron en produisent des millions. Quelques sois ils rendent de leur corps une humeur blanche, qu'on connoit sous le nom de Nielle; comme la liqueur sucrée, qui transpire de leur corps, est nommée Milat. Il y a des pucerons ailés, fig, e. d. et qui ne le sont pas. On soupçonne que ces Insectes sout vivipares en été et ovipares en automne; car ayant mis bas pendant tout l'été de petits vivans, comme on voit sous fig. a. il paroit des mâles vers l'automne, avec lesquels ils s'accouplent et rendent ensuite sies oeufs, qui endurent l'hiver, ce que ne feroient pas les petits. La fécondité pronigieuse de cet insecte le rend extrêmement nuisible aux plantes; car ils en pompent le suc avec leurs trompes et les sont souvent périr.
No. 3. La Mite.
Les mites sont des Insectes infiniment petits, qui s'engendrent tant sur d'autres animaux et sur les hommes, que dans le frommage, la sarine, le pain, des vailïeaux au lais mal-propres, aux touneaux à bierre etc. On distingne beaucoup d'espèces de mites, qui sont très différentes les unes des autres. Elles sont à peine visibles pour nos yeux et ne paroissent être qu' une pousilèrè grisàtre, comme on les voit fig. 3. Mais étant mises dans un bon Microscope, elles présentent la figure de scarabées et sont couvertes de poils. Dans de certaines maladies de l'homme, qui donnent des humeurs acides, les tintes s'engendrent souvent sur la peau, et même en dessous de sa surface; on voit arriver cela très fréquemment aux gens pauvres, qui ont la phtisie ou la gale.
Ad00341 02 094aKein vierfüssiges Thier vermehrt sich so schnell und so häufig als die Mäuse; so dass sie, sowohl in Feldern als Häusern, oft selbst zur Landplage werden. Man hat über 40 Arten davon. Folgende aber sind die bekanntesten.~~No. 1. Die Hausmaus. (Mus musculus. L.)~~Die Hausmaus lebt in ganz Europa und in dem gemässigten Theile von Asien und Amerika. Sie ist 3 1/2 Zoll, ohne Schwanz, lang, auf dem Rücken gelblichgrau, und am Bauche weissgrau. Sie ist ein unvertilgbares Hausthier, das oft grossen Schaden thut; denn sie frist fast alles, was sie mit ihren Zähnen zernagen kann. Es giebt auch weisse Mäuse mit rothen Augen.~~No. 2. Die Brandmaus. (Mus agravius.Pall.)~~Diese Maus ist etwas kleiner als die Hausmaus, und in Teutschland seltener als in Russland und Ungarn. Sie lebt auf den Aeckern, ist von Farbe rothgelb, und weiss am Bauche. In manchen Jahren zieht sie schaarenweise aus einer Gegend in die andere.~~No. 3. Die Zwergmaus. (Mus minutus. Pall.)~~Ist kaum halb so gross als die Hausmaus, fuchsgelb von Farbe und am Bauche weiss. Sie wägt nur 1 1/2 bis 2 Quentchen, und lebt vorzüglich in Russland mit der Brandmaus auf den Aeckern und in den Scheunen.~~No. 4. Die Birkmaus. (Mus betulinus. Pall.)~~Diess Mäuschen ist noch kleiner als das vorige, nur 2 Zoll lang, lebt im südlichen Russland in lichten Birkengehölzen, von deren Saamen es sich nährt. Sie ist auf dem Rücken gelbbraun am Bauche weiss.~~No. 5. Die Streifmaus. (Mus vagus. Pall.)~~Sie ist eben so gross als die Birkmaus, mit welcher sie auch einerley Heimath und Nahrung hat. Sie ist graugelb und über den Rücken mit schwarzen Querstriemen gewässert; und lebt unter hohlen Steinen, unter welchen sie schon bey geringer Kälte erstarret, und wie eine Kugel zusammen gezogen gefunden wird. Zu manchen Zeiten ziehen zahlreiche Heere dieser Mäuse von einem Orte zum andern.~~No. 6. Die Klippmaus. (Mus saxatilis. Pall.)~~Diese Maus lebt in Sibirien in den Felsen-Klippen. Sie ist 4 Zoll lang, von Farbe braungrünlich und am Bauche weiss. Ihre Nahrung sind Wurzeln und Sämerei.~~No. 7. Die rothe Sibirische Maus. (Mus rutilus. Pall.)~~Diese Maus lebt im östlichen Sibirien und Kamtschatka, theils auf dem Felde und im Gebüsch, theils in den Häusern. Sie ist 4 Zoll lang, rothgelb und bräunlich gestriemt, am Bauche weiss, und hat einen kurzen behaarten Schwanz. Sie nährt sich von Körnern und Fleischwerk.~~No. 8. Die kleine Feldmaus. (Mus arvatis. Pall.)~~Sie bewohnt durch ganz Europa bis in den kälteren Norden die Felder, Wiesen, Gärten und Gebüsche, und nährt sich von Getraide, Nüssen, Eicheln und dergleichen, wovon sie Vorräthe für den Winter einträgt. Sie ist 3 Zoll lang, von Farbe lichtbraun und am Bauche weiss, hat rothe Füsse und einen kurzen stumpfen Schwanz. Sie vermehrt sich zuweilen so stark, dass sie der Feld-Saat grossen Schaden thut; wird aber von Füchsen, lltissen, Ratten, der grossen Feld-Maus, and von Raben und Saat-Krähen aufgerieben.~~No 9. Die Jaik-Maus. (Mus accedula. Pall.)~~Sie lebt im östlichen Russland am Jaik-FIusse, ist 4 Zoll lang, gelbgrau von Farbe, hat Backen-Taschen wie der Hamster, einen kurzen Schwanz, und nährt sich wie der Hamster von Getraide.~~
Ad00341 02 094a/freQuadrupèdes. XLVII. Vol. II. No. 91.
DIFFÉRENTES ESPÈCES DE SOURIS.
Il n'y a point de Quadrupède qui se multiplie aussi vite et avec tant d'excès que les souris; par cette prodigieuîe propagation, dans les champs et dans les maisons, elles deviennent Couvent une calamité publique, il en existe plus de 40 espèces; les suivantes en sout les. plus counues.
No. 1. La Souris domestique.
La Souris domestique vit dans toute l'Europe et dans les parties tempérées de l'Me et de l'Amérique. Sa longueur est de 3 1/2 pouces sans compter la queue; le poil de son dos est d'uii gris jaunâtre, et celui du ventre d'un gris blanchâtre. Il n'est gueres possible de purifier entièrement les maisons de ces animaux; ils y causent souvent de grands degats, car ils mangent presque tout ce pe'ils peuvent ronger de leurs dents. Il y a aussi de souris blanches à yeux rouges.
No. 2. La Souris agraire.
Elle est plus petite que la précédente et moins frequente en Allemagne que dans la Russie et la Hongrie. Elle vit dans les champs; sa couleur est é'nn rouge-jaunâtre et blanche an ventre. Il y a des années où elte passe en grandes, troupes d'une contrée dans l'autre.
No. 3. La Souris naine.
C'est la petitesse de cette espèce de souris quî bui a fair donner son nom; car elle n'est guères de la moitié aussi grande que la souris doméstique et ne pése qu' 1 1/2 ou 2 drachmes. La couleur de son poil est d'un jatine-roux et blanche au ventre. Elle se trouve principalement dans la Russie, où elle vit dans les granges et dans les champs comme la souris agraire.
No. 4. La Souris de bouleaux.
Cette espèce de souris est encoxe plus petite que la fouris naine, et n'a que deux pouces de longueur. Elle vit dans la Russie méridionale où elle habite dans des bois eclaircis de bouleaux, dont la semence lui sert de nourriture. Le poil de son dos est de'couleur brune tirant sur le jaune, celui du ventre est blanc.
No. 5. La Souris rayée.
Elle est de la même grandeur que la souris de bouleaux, et a aussi la même patrie et la même nourriture. Son poil est d'un gris-jaunâtre, et sur le dos elle a des rayes noires qui se tirent horisantalement vers le ventre. Elle vit sous des pierres ereuses, où elle s'engourdit au plus léger degré de sroid; on la trouve alors biottie comme une boule. Il arrive quelques fois que de nombreux troupeaux de ces souris paisent d'une contrée dans une autre.
No. 6. La Souris de roche.
Cette espèce de souris vit dans la Sibérie et choisit son habitation dans les roches. Sa longueur est de 4 pouces, sa couleur est d'un brun-verdâtre et blanche au ventre. Sa nourriture confiste en racines et semences.
No. 7. La Souris rouge de Sibérie.
Elle se trouve dans la Sibérie orientale et la Presqu'isle de Kamtschatka, où elle vit non seulement dans les champs et les broussailles, mais aussi dans les maisons. Elle est longue de 4. pouces; son poil est d'un rouge-jaunâtre rayé en brun, le ventre est blanc, et la queue est petite et garnie de poils. Elle se nourrit de grains et de toute espèce de chair.
No. 8. Le petit Campagnol.
On le trouve par toute l'Europe jusque dans les contrées les plus septentrionales; il habite les champs, les prairies, les jardins et les broussailles, et se nourrit de grains, de noix, de glands etc. dont il sait des provisions pour l'hiver. Il est long de 3 pouces, sa couleur est d'un brun-clair, et blanche au veutre; ses pieds sont rouges et sa queue est petite et écourtée. Il s'augmente quelquefois là sort, qu'il cause des dégâts considérables dans, les champs ensemencés; mais il a des ennemis qui Iui sont une guerre continuelle: tels sont les renards, les furets, les chats, les grands Campagnols, les corbeaux et les corneilles.
No. 9. La Souris de Jaik.
Elle vit dans la Russie Orientale aux bords de la rivière de Jaik; sa longueur est àe 4 pouces et la couleur d'une jaune-grisàtre. Sa queue est petite; elle a des bajoues comme le Hamster, et se nourrit comme lui de graine.
Ad00341 02 095aDer Schimmel, den wir gewöhnlich nur für ein Zeichen der Fäulniss, und mit blossen Augen betrachtet, für einen fleckigten Staub halten, gehört allerdings zum Pflanzenreiche, und zwar zur Classe der Schwämme, die erstaunlich schnell wachsen, Saamen tragen, und sich ungeheuer vermehren. Durch ein Vergrösserungsglas betrachtet, erblickt man z.E. auf einem Stückchen schimmlichten Brode einen ganzen Wald von Gewächsen, die ihre Wurzeln, Stengel, Zweige, Blüthe und Saamen und die schönsten Gestalten haben; wie wir diess hier an etlichen Arten von Schimmel sehen werden.~~No. 1. u. 2. Gemeiner Schimmel (Mucor mucedo. L.)~~Der gemeine Schimmel wächst gemeiniglich auf saftigen und gährenden Dingen. Fig. 1. zeigt ein Stückchen Schimmel von einer faulenden rothen Weinbeere, in seiner natürlichen Grösse, und Fig. 2. dasselbe durch ein Vergrösserungsglas betrachtet. Da erblickt man eine Menge durchsichtige Stengel, welche schuppige Köpfe wie eine hohle Halbkugel (a) haben, die theils glatt (c), theils mit einer Menge kleiner Saamenkügelchen (d) besetzt sind. Zwischen den Stengeln laufen wieder eine Menge Ranken (b), welche ganz mit dergleichen Staubkügelchen besetzt sind.~~No. 3. u. 4. Der Huthwerfer. (Mucor pilobolus. L.)~~Dieser Schimmel (davon Fig. 3. ein wenig von einer welschen Nuss genommen in natürlicher Grösse, und Fig. 4. denselben vergrössert zeigt) wächst mit langen gelben Stielen, welche nach und nach oben aufschwellen, und indem sie zerplatzen, ihren breiten braunen und schwarzpunktirten Kopf oder Huth abwerfen.~~No. 5. Grüner Schimmel (Mucor mucedo. L.)~~Dieser Schimmel, der übrigens zum gemeinen Schimmel gehört, entstand auf einer kleinen Fliege, welche, wie Fig. 5.c. zeigt, in einem Glase ins Wasser gefallen war, und in Fäulniss übergieng. Die Fliege selbst überzog erst ein weisser Schimmel, den Fig. g. vergrössert zeigt; und dann bildete sich rund um die Fliege her eine kleine schwimmende Insel Fig. b. b. b. von grünem Schimmel, welcher besonders einen schöngebildeten Rand Fig. f. von dergleichen Schimmel-Schwämmchen hatte, der in Fig. 1. vergrössert zu sehen ist, und die wahre Gestalt der Schimmel-Schwämmchen sehr gut zeigt.~~No. 6. u. 7. Kugel-Schimmel. (Mucor sphaerocephalus. L.)~~Oft entstehen auf den Blättern, sorderlich der Obstbäume, der Birnen und Pflaumen gelbe rostfarbene Flecken, mit Erhöhungen, welche man gemeinlich Mehlthau nennt. Diess ist nichts als Kugel-Schimmel, welcher auf kranken Birnblättern, die durch Kälte gelitten haben, und in denen ihr Saft stockt, sogleich wächst. Fig. 7. zeigt ein solches krankes Birnblatt in natürlicher Grösse, und Fig. 6. vergrössert, mit dem Kugel-Schimmel. Dieser besteht aus lauter kleinen graubraunen, trocknen, kugelförmigen Köpfchen, ohne Stil, wie sie Fig. 1. vergrössert zeigt, die einen mehligten Saamenstaub in sich haben, den sie, wenn sie zerplatzen, von sich streuen.~~
Ad00341 02 095a/frePlantes. XLVIII. Vol. II. No. 92.
MOISISSURES.
La moisissures, prise ordinairement pour une simple marque de pourriture et qui paroit à l'oeil nud une poussiere composée de flocons, est sans doute au regne végétal et se range spéeialeinent ions la classe de Mousses, qui croissant d'une vitesse étonnante et portant des sémences, s'augmentent d'une manière prodigieuse. Le microscope sait découvrir sur un petit aiorceau de paiu moisie un forêt de plantes pourvues de racines, de tiges, de branches, de fleurs, et de sémences et revêtues d'une beauté brillante, comme nous allons remarquer dans le petit nombre d'espèces que voici.
No. 1. et 2. Moisissure ordinaire.
C'est principalement la fermentation des choses succulentes qui favorise la végétation de la Moisissure ordinaire. La figure 1. représente d'après nature un petit morceau de moisissure prise d'un raisin rouge et pourrinant, et la figure 2. fait voir cette moisissure grossie par le microscope. On y remarque quantité de tiges transparentes, qui portent des têtes écailleuses à forme d'hémispères creuses (a); ces têtes sont en partie polies (c), en partie hérissées d'un quantité de petites graines de femence (d). Les branches qui eutortillent les tiges, (b) sont aussi toutes parsemées de ces petites graines.
No. 3. et 4. Le Pilobole.
Cette moisissure, dont la figure 3. représente en grosseur naturelle un peu, qu'on a pris de la surface d'une noix, et dont la figure 4., montre le grossissement microscopique, croît à tiges longues et jaunes dont le dessus se goufle peu à peu et met à bas en crevant une tête ou chapeau large, brune et marquée de points noirs.
No. 5. Moisissure verte.
Celle-ci, qui n'est que de l'espèce de la moisissure ordinaire, se développa sur une petite mouche qui commença de se corrompre, après être tombée dans de l'eau contenue dans uri verre (Fig. 5. c.). La mouche fut d'abord couvert d'une chancissure que l'on voit grossie Fig. g. ensuite il se mit à former autour de la mouche une petite isle flottante Fig. b. b. b. d'une moisissure verte, bordée d'une formation déjà parfaite de pareilles petites moisissures (Fig. f.), dont figure 1. représente le grossissement, qui en montre bien exactement la forme.
No. 6. et 7. Moisissure globuleuse.
Il arrive souvent que sur les feuilles des arbres de fruits, et surtout sur feuilles des poiriers et des pruniers, se forment des taches rouges et jaunàrtrès, avec des élévations que l'on nomme ordinairement nielle ou rouille; ce u'est que de la moisissure globuleuse, croissant suries feuilles sitôt que le froid les a touché. La figure 7. représente d'après nature une feuille de cette espèce, et la figure 6. montre la même grossie par le microscope. Cette moisissure est composée de petites têtes seches, globuleuses, gris brunes et sans tiges, ayant une poussiere farineuse de sémences qu'elles répandent après avoir crevé. En voici le grossissement Fig. 1.
Ad00341 02 096aDer innere Bau der Pflanzen und ihrer Blumen ist, wenn wir ihn durch ein Vergrösserungsglas betrachten, so schön und regelmässig, dass er uns zur Bewunderung hinreisst. Ja, man kann mit Wahrheit sagen, jedes Blatt, jeder Strohhalm ist ein Wunder Gottes. Wir wollen diess einmal an einem Strohhalme selbst sehen.~~No. 1. u. 2. Durchschnitt eines Strohhalms.~~Der Durchschnitt des Knotens eines Strohhalms, Fig. 1. der in Fig. 2. vergrössert ist, zeigt hier die herrlichste und regelmässigste Ordnung von einer ungeheuren Menge kleiner Gefässe an, die alle ihre besimmte Form haben. In zwey Kreisen stehen eine Menge Saft-Röhrchen dicht zusammen; dazwischen wieder einzelne Bündel davon, regelmässig zwischen grössern sechseckigten Nahrungs-Gefässen vertheilt, und in der Mitte ist eine grosse weite Oeffnung für das Mark des Halms. Eben so wunderbar erscheint~~No. 3. 4. u. 5. Ein Stückchen vom Blatte eines Korn-Halms,~~Welches sich Fig. 3. in natürlicher Grösse, und Fig. 4 u. 5. in zwei verschiedenen Vergrösserungen zeigt. Hier sehen wir schmale und breite Streifen, von ganz verschieden geformten Saftgefässen, geschuppte, geschlängelte, runde u.s.w. und alle mit einander und unter sich aufs genaueste verbunden. Und diess Alles auf der Oberfläche eines so höchst kleinen Stückchens vom Blatte eines Kornhalms; der Pflanze, die uns unser tägliches Brod giebt. Welche Wunder, die Gott alle in so unbegreiflicher Anzahl, nur auf unserer Welt geschaffen hat, und durch sein grosses Werk, die Natur, noch immer täglich und augenblicklich hervorbringt! Welches menschliche Wesen sollte einen solchen Gott nicht bewundern, anbetend verehren, und ihn nicht über Alles lieben?~~
Ad00341 02 096a/freMelanges. IX. Vol. II. No. 93.
No. 93. ANATOMIE D'UN TUYAU DE BLÉ.
No. 1. 2. Profil d'un tuyau de blé.
Le profil an noeud d'un tuyau de blé Fig. 1. répresenté grossi Fig. 2. fait remarquer l'ordre le plus admirable et îe plus régulier d'une quantité prodigicuse de petits vaissaux tous d'une forme déterminée. On voit un grand nombre de petits tuyaux rangés en deux cercles et serrement placés l'un à l'autre; il y a entre eux des fascicules d'autres tuyaux régulièrement disposés entre des vaissaux d'aliment plus grands. Au milieu paroit une large ouverture destnée à la moelle an tuyau.
No. 3. 4. 5. Petit morceau de la feuille d'un tuyau de blé.
Ce morceau, non moins merveilleux, se fait voir Fig. 3. en grossieur naturelle, et Fig. 4. Et 5. en deux groississemens différens. Nous voyons ici des rayes larges et étroites de vaisseaux d'aliment d'une sormation trùs-diverse, quelques-uns étant écaillée, d'autres entortillés, ronds etc., et tous enseinble sont le plus étroitement liés entre eux. Tous ces rapports admirables paroissent sur la sur sa ce d'un morceau très-petit d'une feuille détachée d'un tuyau de blé; détachée d'une plante qui nous fournit notre pain quotidien! Quelles merveilles inombrabîes sorties de la main créatrice d'un Dieu, et sùv 3e ï'guI point insinement petit que nous habitons ! Merveilles que ce Dieu produit d'un jour, d'un instant à l'autre, et toutes par sou grand ouvrage, la Nature! Quel être pensant et sensible ne doit pas admirer, révérer, chérir, adorer un tel Dieu?
Ad00341 02 097aNo. 1. Der Storaxbaum. (Liquidamber styraciflua. L.)~~Der Storaxbaum wächst vorzüglich in Westindien und Mexico, wird ein grosser Baum wie Eichen, hat fünflappige Blätter wie der Ahorn, und gelbrothe kugelförmige wollige Blüthen an den Spitzen der Zweige. Er trägt hernach einen kugelförmigen braunen Saamen. Er hat eine aschgraue Rinde, und darunter ein weiches weisses Holz, das sich gut verarbeiten lässt, und wie unser Tannenholz zu verschiedenem Hausgeräthe gebraucht wird. Zwischen dem Holze und der Rinde, in welche Einschnitte gemacht worden, fliesst das wohlriechende Gummiharz hervor, welches Storax heisst, bräunlich aussieht, einen vortrefflichen Geruch hat, besonders zu Räucherwerk gebraucht wird, und eben deswegen in Spezerei-Handlungen einen guten Handels-Artikel ausmacht.~~No. 2. Der Mastix-Baum. (Pistatia Lentiscus. L.)~~Der Mastix-Baum ist, wie der Lorbeer, ein immer grüner Baum, der in den warmen Morgenländern, so wie auch im unteren Italien, Griechenland u.s.w. wächst, und wohl an 50 Fuss hoch wird. Er blüht gelb, und trägt eine gelbe Frucht wie eine kleine Pflaume, welche sehr süss schmeckt und essbar ist. In den heissen Ländern schwitzt aus seiner Rinde ein Harz aus, welches weissgelb aussieht, aus kleinen trocknen Körnern besteht, und theils in der Medizin, theils auch zu Räuchern und zu leichten weichen Lackfirnissen über Oehlgemälde und dergleichen gebraucht wird; daher es auch einen Handels-Artikel ausmacht.~~
Ad00341 02 097a/frePlantes. XLIX. Vol. II. No. 94.
PLANTES DE DROGUERIES.
No. 1. Le Storax.
Cet arbre croit principalement dans les Indes occidentales et dans le Mexique. II atteint la hauteur des chênes; ses feuilles sont divisées en cinq lobes comme celles de l'érable, et an bout des branches il porte des rieurs laineuses d'un rouge-jaunâtre et en forme de boules. A ces fleurs il succéde une sernence de la rnênae forme et de couleur brune. L'écorce de l'arbre est d'un gris cendré; son bois est blanc, comme le bois de nos piris; il se laisse travailler facilement, et on remploie avec avantage à difsérents meubles et usi ensiles. Entre l'écorce et le bois il se trouve une gomme résiue odoriférante, qui est connue sous le nom de Storax, et qu'on gagne par le moyen des incisions faites dans l'écorce. Elle est de couleur brunâtre et d'une odeur aromatique; on s'en sert comme d'une encens, et elle-fait un article très important dans le commerce de drogueries.
No. 2. Le Lentisque.
Le Lentisque a des feuilles toujours renies comme le laurier; il croit dans les Climats hauds de l'Oriest, 'dans laorèce, dans l'Italie insérieure etc. et peut atteindre une hauteur de 50 pieds. Il porte des fleurs jaunes, auxquelles succédent des fruits jaunes, semblables à des petites prunes, d'un-goût très doux et sort agréables à manger. Dans les Climats chauds de l'Orient il s'écoule de son ecorce une résime d'un couleur jaune tirant sur le blanc; elle consiste dans de petits grains secs, dont on se sert non seulement dans la médecine et comme d'un parfum, mais qu'on emploie aussi comme un vernis léger pour enduire les tableaux peints en huile etc. Elle fait par conséquent un article estimable de commerce.
Ad00341 02 098aDie Ente findet sich in Norden und Süden in allen drei Theilen der alten Welt. Sie bewohnt mehr stehende Wasser, Land-Seen, Sümpfe und Teiche, als die Flüsse, und nährt sich von Fischen, Fröschen, Schnecken, Insecten und Feldfrüchten. Es giebt überaus viele und sehr schöne Arten davon, sowohl unter den wilden, als auch zahmen Haus-Enten, welche von jenen abstamnen.~~Die gemeine wilde Ente. (Anas Boschas. L.) No. 1. Das Männchen. No. 2. Das Weibchen.~~Die wilde Ente ist bey uns einheimisch. Das Männchen (der Entrich oder Erpel) ist etwa 20 Zoll lang, hat einen glänzend-grünen Kopf und Hals, braune Brust, und ist übrigens fein grau gesprenkelt. Das Weibchen (die Ente) ist kleiner, nur 18 Zoll lang, und braun, weiss und schwarz gezeichnet.~~Nr. 3. Die Fasan-Ente. (Anas caudacuta.)~~Die Fasan-Ente, welche auch unter die wilden gehört, ist auch in Teutschland zu Hause, aber selten. Sie ist an 24 Zoll lang, sehr schön grau, weiss und schwarz gezeichnet, hat braune Schwingen, einen hellrothen Spiegel auf den Flügeln, und einen spitzigen Fasanen-Schwanz, wovon sie auch ihren Namen hat.~~No. 4. Die Löffel-Ente. (Anas clypeata. L.)~~Die Löffel-Ente ist wegen ihres vorn breiten, zugerundeten und umgekrümmten Schnabels wegen merkwürdig. Sie bewohnt das ganze nördliche Europa, Asien und Amerika; nährt sich von Fliegen und andern Wasser-Insecten; legt rothe Eyer und ist auf mancherlei Art sehr schön bunt gezeichnet und colorirt.~~No. 5. Die Schnarr-Ente. (Anas strepera. L.)~~Die Schnarr- oder Kracht-Ente hat ihren Namen von ihrem sonderbar schnarrenden Geschrei. Sie hat einen schwarzen Kopf, Hals und Schnabel, der aufwärts gebogen ist, schwarzen Rücken, weisse und braune Brust und Fügel; lebt in Europa und Nord-Asien, und verbirgt sich fast immer im Schilfe der Landseen.~~No. 6. Die Kreuz-Ente.~~Die Kreuz-Ente ist 18 Zoll lang, lebt gleichfalls wild in Europa, und ist schwarz und weiss sonderbar gezeichnet, indem sie auf ihrem weissen Rücken und Flügeln ein schönes schwarzes Kreuz hat. Auf dem Kopfe hat sie eine schwarz und weisse Kuppe.~~Die zahme Haus-Ente. (Anas domestica. L.) No. 7. Das Männchen. No. 8. Das Weibchen.~~Der zahmen Haus-Enten giebt es gar vielerlei Gattungen von Zeichnung uud Farben, ohne und mit Kuppen. Die Männchen (Fig. 7.) gleichen meistens den wilden, sonderlich wegen ihres grünen Kopfes, braunen Brust, und des Spiegels auf den Flügeln. Sie gehören unter das nützliche Hausgeflügel; weil sowohl ihr Fleisch wohlschmeckend ist, als auch ihre Federn brauchbar sind.~~Die Bisam Ente. (Anas moschata. L.) No. 9. Das Männchen. No. 10. Das Weibchen.~~Die Bisam-Ente, welche auch oft die türkische oder indische Ente genannt wird, stammt aus Brasilien her, lebt in Europa unter dem zahmen Hausgeflügel, ist 24 Zoll lang, und hat sehr wohlschmeckendes Fleisch, ausser dem Kopf, welcher nach Bisam schmeckt; wovon sie auch ihren Namen hat. Die Männchen sind braunschwarz vom Farbe, mit weissen Flügeln, und haben eine nackte rothe, warzigte Haut um die Augen. Die Weibchen sind kleiner und braun, weiss und schwarz gezeichnet.~~
Ad00341 02 098a/freOiseaus. XXVI. Vol. II. No. 93.
CANARDS DE PLUSIEURS ESPÈCES.
Le canard se trouve dans le nord et dans le sud de toutes les parties du monde ancien. Il aime plus les eaux dormantes, des lacs, des marais et des étangs, que les rivières, et se nourrit de coissons, de grenouilles, de limaces, d'insectes et de fruits de la campagne. Il y a un très - grand nombre d'elpèees très-belles de canards sauvages et de canards domestiques. Les derniers ne sont en partie que les defcendauts des premier.
Le canard sauvage ordinaire.
No. 1. Le mâle.
No. 2. La femelle.
Le canard sauvage est de nos pays. Le mâle au lé cannrdy long environ, de vingt pouces, est sinement tacheté de gris, et a la tête et le couornés d'un verd lin Gant et la poitrine brune. La femelle ou le cane plus petite, n'a que dix-huit pouces de longueur, et est marquée de brun, de blanc, et de noir.
No. 3. Le canard faisan.
Le canard faisan quii est du nombre de canards sauvages, est rarement naturel en Allemagne. Il est long de vingt-quatre pouces, très-joliment marqué de gris de blanc et de noir, a lés pointes des ailes brunes, les ailes miraillées d'un rouge-clair, et la queue pointue à la manière des Laisans, dont il a auiss le nom.
No. 4. Le canard cuillère.
Le canard cuillère est remarquable par son bec dont le devant est large arrondi et courbé enbas. Il est; naturel dana tout le Nord de l'Europe, dans l'Asie et dans l'Amérique, se nourrit de mouches et d'autres insectes aquatiques, et est marqué et coloré d'une manière très-variée.
No. 5. Le canard crieur.
Le canard crièur a tiré son nom du craquemant de fou cri bien singulier. Il a la tête, le cou et le bec noirs s le bec est courbé en haut le dos noir, la poitrine blanche et brune, de même que les ailes. Il vit en Europe, et dans le Nord de l'Asie, et se cache presque toujours sous les jones des lacs.
No. 6. Le canard croisé.
Le canard croisé ayant dix-huit pouces de longueur est pareillement sauvage en Europe. Il est marqué de noir et de blanc mais d'une manière bien singulière, ayant sur le dos blanc, et sur les ailes de la même couleur, une belle croix noire. La tête est ornée d'un huppe noire et blanche.
Le canard domestique.
No. 7. Le mâle.
No. 8. La femelle.
Les marques et les couleurs des canards varient beaucoup, il y en a de huppés et ete non-huppés. Les mâles (Fig. 7.) ressemblent pour la pluspart aux canards sauvages, surtout par leur tète verte, leur poitrine brune, et le miroir sur les ailes. On les met an nombre de la volaille bien utile de la baffe-epur, leur chair étant de bon goût, et Leur duvet non. laus utilité dans le ménage.
Le canard musqué.
No. 9. Le mâle.
No. 10. La femelle.
Le canard musque est originairement du Bresil et vit en Europe parmi la volaille dormftique. Il est long de vingt-quatre pouces, et a une chair d'an très-bon goût, excepté celle de la tete, qui sent le musc, dont cette espèce a tire le nom. Les màles sont couverts d'un noir-brunâtre, out les ailes blanches, et autour des yeux une peau nude rouge et pleine de verrues. Les femelles plus petites sont marquées de brun de blanc et de noir.
Ad00341 02 099aNo. 1. Die Knoblochs-Maus. (Mus alliarius. Pall.)~~Sie lebt in Russland und Sibirien, ist dunkelgrau gelblich von Farbe, über 4 Zoll lang, und nährt sich von den Zwiebeln des wildwachsenden Knoblauchs, welche sie einträgt; wesswegen die Russen ihren Höhlen nachgraben, und ihre Vorräthe aufsuchen.~~No. 2. Die Zwiebel-Maus. (Mus gregalis. Pall.)~~Die Zwiebel-Maus lebt im östlichen Sibirien auf Gebürgen, wo sie sich unter dem Rasen ein Nest mit vielen Oeffnungen gräbt, welches immer eine ganze Jahres-Familie bewohnt. Sie ist 4 Zoll lang, von Farbe gelbgrau, und nährt sich von den Zwiebeln verschiedener Kräuter-Arten, welche sie ausgräbt und einträgt.~~No. 3. Die Wurzel-Maus. (Mus oeconomus. Pall.)~~Diese Maus hat mit der vorigen an Grösse, Gestalt und Farbe viele Aehnlichkeit. Sie lebt in Sibirien und Kamtschatka in feuchtem Boden, wo sie grosse Vorräthe essbarer und sauber gereinigter Wurzeln einträgt, welche die Kamtschadalen zur Speise aufsuchen. Merkwürdig an diesen Mäusen ist ihr Hang grosse Wanderungen in ganzen Schaaren in gerader Linie gegen Nordwesten anzustellen. Sie schwimmen kühn durch Flüsse und Seen; diess geschieht immer im Frühjahre, und im October kommen sie auf eben diese Art wieder nach Kamtschatka zurück; unterwegs aber werden viele von Vögeln, Füchsen und Fischen aufgefressen.~~No. 4. Die Tulpen-Maus. (Mus socialis. Pall.)~~Lebt gleichfalls im südlichen Russland in ganzen Familien in der Erde, und nährt sich vorzüglich von den Zwiebeln der gemeinen wilden Tulpe; davon sie auch den Nahmen hat.~~No. 5. Die Schwertel-Maus. (Mus Lagurus. Pall.)~~Hat mit der vorigen grosse Aehnlichkeit, lebt in Sibirien, und nährt sich vorzüglich von den Zwiebeln des wilden Schwertels. Sie wandert ebenso wie die Wurzel-Maus in grossen Zügen.~~No. 6. Die Ural-Maus. (Mus torquatus. Pall.)~~Die Ural-Maus wohnt am Ural-Gebirge in Russland, ist 3 Zoll lang, braungelb von Farbe, auf dem Rücken wie gewässert, und sehr schön gezeichnet. Sie nährt sich von Rennthier-Moose und Wurzeln.~~No. 7. Der Norwegische Lemming.~~No. 8. Der Russische Lemming. (Mus Lemmus.)~~Diese merkwürdige Mäuse-Art theilt sich in zwey Gattungen, in die Norwegische und in die Russische ab. Beyde sind gleich groß, ohngefähr 4 Zoll lang. Der Norwegische ist von Farbe gelbbraun gewässert, mit schwarzen Flecken; der Russische aber fuchsgelb, mit einzelnen eingesprengten schwarzen Haaren. Die Lemminge wohnen auf mittelhohen Gebirgen, wo sie sich von Rennthier-Moos und Wurzelwerk nähren. Sie leben in der Erde, und graben sich Röhren unter und durch den Schnee. Sie vermehren sich ungeheuer, und riechen zur Begattungszeit nach Bisam. Alle 10 Jahre wandern die Lemminge schaarenweise in gerader Linie von einer Gegend in die andere, mehrentheils in solchen Herbsten, auf welche ein harter Winter folgt. Der Zug geht des Abends und die Nacht hindurch; am Tage liegen sie stille. Diejenigen, welche nicht auf solcher Wanderung umkommen, kommen im folgenden Sommer wieder zurück.~~
Ad00341 02 099a/freQuadrupèdes. XLVIII. Vol. II. No. 96.
DIFFÉRENTES ESPÈCES DE SOURIS.
No. 1. La Souris d'ail.
Elle vit dans la Russie et la Sibérie; sa couleur est d'un gris jaunâtre très foncé et la longueur est de 4 pondes. Elle se nourrit des oignons de l'ail sauvage, et en amasse de grandes provisions dans ses trous; les Russes recherchent ces derniers et en enlèvent les provisions.
No. 2. La Souris d'oignons.
Cette espèce de Souris se trouve dans la Sibérie orientale, et vit sur les montagnes, où elle fe creuse des nids sous le gazon avec une quantité d'ouvertures, et dont chacun contient toujours la famille d'une seule année. Sa longueur est de 4 pouces, sa couleur d'un jaune grisâtre, et la nourriture consiste dans les oignons de différentes espèces d'herbes, qu'elle cherche sous la terre et dont elle sait des provisions.
No. 3. La Souris économe.
Cette espèce ressemble beaucoup à la précédente pour la longueur, la figure et la couleur. Elle se trouve dans la Sibérie, et en Kamtschatka; elle vit dans des terrains humides où elle ressemble dans l'es trous de grands provisions de racines douces, qu'elle se donne le foin de nettoyer très proprement; les habitans du pays recherchent beaucoup ces racines et s'en servent pour leur nourriture. Ce qui eit le plus remarquable dans cette espèce de fouris, c'est l'instinct irrésistible qui les porte à faire en grands troupes de longs voyages, et toujours en ligne droite vers le Nord-Ouest. Elles traversent alors à la nage, avec beaucoup de hardiesse, les rivières et les lacs qui s'opposent à leur passage. Ces voyages sesont toujours au prîntems, et dans le mois d'Octobre elles retournent de la mème manière en Kamtschatka; mais un grand nombre en devient pendant la route la proie des oiseaux, des renards et des poissous.
No. 4. La Souris sociale, ou de Tulipe.
Elle se trouve dans la Russie méridionale et vit paieillement réunie en familles sous la terre; sa nourriture principale consiste dans les oignons de la. Tulipe sauvage; c'est aussi ce, qui lui a donné sou nom.
No. 5. La Souris d'Iris.
Elle ressemble beaucoup à la précédante; on la trouve aussi dans la Sibérie, où elle se nourrit principalement des oignons de l'Iris sauvage. Elle sait aussi, comme la fouris économe, des voyages, en grands troupeaux.
No. 6. La Souris d'Ural.
Cette espèce de souris habite les montagnes d'Ural en Russie. Sa longueur est de 3 pouces, sa couleur d'un brun jaunâtre, tachetée sur le dos et blanche au ventre. Elle se nourrit de la mousse de rennes et de racines.
No. 7. Le Leming de Norvègue.
No. 8. Le Leming de Russie.
Cette sorte de souris est une des plus remarquables; il y en a d'eux espèces différentes, celle de Norvège et celle de Russie. Toutes les deux sont de la même longueur, d'à peu près de 4. pouces. La couleur du Leming de Norvègue est jaune tirant sur le brun, et tachetée en noir; celle du Leming de Russie est d'un jaune-roux avec des poils noirs ifolés et jettes au hasard. Les deux espèces de Lemings habitent des montagnes d'une hauteur médiocre, et fe nourrissent de racines et de mousse de rennes. Ils vivent sous la terre, et se creusent des tuyaux à travers la neige. Ils fe multiplient prodigieusement, et dans le tems de l'accouplement ils ont une odeur de mule. Les Lemings passent ordinairement tous les 10 ans en troupeaux d'une contrée dans l'autre. Dans, ces voyages ils fuivent toujours la ligne droite, et ne les entreprennent que dans les automnes qui sont fuivis d'un hiver rigoureux, lis commencent toujours le foir à voyager et continuent pendant la' nuit, mais pendant le jour ils le répofent. Tous ceux qui ne périssent pas dans. ces. voyage, reviennent régulièrement dans l'été prochain.
Ad00341 02 100aInfusions-Thierchen nennt man die unendlich kleinen Thierchen, welche sich entwickeln und zum Vorschein kommen, wenn man Wasser auf Pflanzen, Mehlkleister oder alten Sauerteig giesst, und diese faulen, oder Bieressig alt und dick werden lässt. Sie gehören mehr zu den Würmern als den Insecten, sind dem blossen Auge fast gar nicht sichtbar, und können nur durch gute Mikroscope beobachtet werden. Es giebt, sonderlich in stehenden Wassern, gar viele Arten davon; und wir wollen hier nur ein Paar Gattungen davon kennen lernen.~~No. 1. Der Schlauch-Wurm. (Vibrio utriculus. L.)~~Der Schlauch-Wurm entsteht sogleich, wenn man nur eine Hand voll Heu in ein Zuckerglas thut, Wasser darüber giesst, und etliche Tage im Zimmer stehen lässt, so zeigt sich auf der Oberfläche des Wassers ein brauner Schaum, der, wenn man ihn mit dem Mikroscope untersucht, eine unzähliche Menge dieser Infusions-Thierchen enthält. Sie sind halb durchsichtig, und haben weder eine bestimmte Form noch Farbe; sondern erscheinen bald mit einer Gabel, wie Fig. a. zeigt, bald länglichbreit, bald lang, bald rund; können sich sehr ausdehnen, und bewegen sich sehr munter und schnell im Wasser, meistens in einer Spirallinie, wie Fig. b. zeigt.~~No. 2. 3. u. 4. Der Kleister-Aal. (Vibrio glutinis. L.)~~Die Kleister-Aelchen, welche Fig. 2. in einen Tropfen Kleister-Wasser in ihrer natürlichen Grösse, und Fig. 3. vergrößert zeigt, sind fadenförmige kleine Schlängelchen, mit kolbig zugerundetem Kopfe. Sie sind durchsichtig, haben aber innerlich meistens einen dunkeln Streifen. Sie leben in dünnem Buchbinder-Kleister und vertrocknen mit demselben; wenn man aber dergleichen vertrockneten Kleister nach etlichen Jahren mit lauem Wasser wieder aufweichet und flüssig macht, so leben diese Thierchen auch wieder auf, und sind so munter als zuvor. Sie gebähren ihre Jungen lebendig, wie man aus der Vergrösserung Fig. 4. sehen kann, wo sich einige befruchtet und zerschnitten zeigen.~~
Ad00341 02 100a/freInsectes. XII. Vol. II. No. 97.
ANIMALCULES D'INFUSION.
On nomme Animalcules d' infusion les animaux d'une petitesse extrême, qui se développent et paroisent quand on a sait pourrir de l'eau versée sur des plantes, sur de la colle de sarine, ou sur du levain vieux, ou qu'on fait viellir et épaissir du vinaigre de bierre. Ils tiennent plus de la nature des vers que de celle des insectes ne sont presque point visibles à l'oeil nud, et ne se découvrent que par le moyen d'un bon microscope. C'est principalement dans les eaux donnantes où il y en a grand nombre d'espèces. En voici quelques-unes que nous allons observer.
No. 1. Le Ver Utricule.
Quand on met une poignée de soin dans un verre vuide, et qu'on y verse de l'eau, il paroit après quelques jours un écume brun où le microscope fait découvrir une foule innombrable d'animalcules demi-transparentes, dont la forme et la couleur ne sont pas fixées, mais qui paroissent tantôt fourchues, comme nous fait voir la figure que voici (Fig. a.), tantôt oblongues, larges, longues, tantôt rondes; ils peuvent bien s'étendre et se remuent dans l'eau avec une grande agilité et vitesse, et ordinairement en spirale comme on voit Fig. b.
No. 2. 3. et 4. L'Anguillette de colle d'amidon.
Ces animalcules que la Figure 2. représente en grosseur naturelle dans une goutte d'eau de colle d'amidou, et la Figure 3. en grosseur microscopique, sont, pour ainii dire, de filets, dont la têteest arrondie en forme de masse. Elles sont transparentes, mais elles ont ordinairement dans l'intérieur une raye obscure. Elles vivent dans la colle liquide d'amidon et se désechent avec celle-ci. Mais elles revivent et reprennent toute leur agilité même après quelques années dès, que la colle d'amidon désechée a été détrempée et rendue liquide avec de l'eau tiède. Elles sont vivipares, comme fait voir le grossissement microscopique, Fig. 4. où il y en a quelques-unes de sécondées et de coupées.
Ad00341 02 101aDie Erfindung des Mikroscops oder Vergrösserungs-Glases ist für die Naturkunde und Naturgeschichte erstaunlich wichtig; denn dadurch haben wir eine Menge Dinge, die wir mit blossen Augen gar nicht sehen konnten, entdeckt, und sind in die unendlich feine Organisation und Zusammensetzung der Thiere, Pflanzen und Mineralien eingedrungen, deren Wunder uns tausendfaches Vergnügen gewähren. Man hat Mikroscope von mancherley Art, einfache und zusammengesetzte; das wuderbarste (sic) unter allen aber, und welches die sonderbarsten Erscheinungen giebt, ist das Sonnen-Mikroscop, das wir in der Folge hier auch kennen lernen wollen, wodurch man die Gegenstände in einem dunkeln Zimmer nach Belieben vergrössern, und einen Floh z.E. so gross als ein Pferd darstellen kann. Durch das Mikroscop betrachtet erscheinen alle natürliche Gegenstände immer schön und vollkommner, alle Werke der Kunst und des menschlichen Fleisses hingegen immer schlechter und roher, als das blosse Auge sie erblickt, wie wir gleich an dem Bienenstachel und der feinen Nähnadelspitze sehen werden.~~No. 1. u. 2. Feuerfunken.~~Wir hätten wohl nicht geglaubt, dass Feuerfunken, die wir so schnell entstehen und verschwinden sehen, einen wirklichen Körper haben, und doch sehen wir diess hier an Fig. 1. u. 2. Feuerfunken vom Stahle sind nämlich nichts anders, als unendlich kleine Theilchen oder Spänchen Stahl, die durch sein Zusammenschlagen mit dem scharfen Feuersteine losgerissen, glühend geworden, und hernach in eine Metallschlacke verwandelt sind. Wenn man also über einem weissen Bogen Papier Feuer aufschlägt, so erscheinen auf dem Papiere äusserst feine schwarze Pünktchen, wie Fig. 1. zeigt. Diese nun, unter das Mikroscop gebracht, erscheinen in allerhand Gestalten, wie Fig. 2. zeigt; und man sieht gleich, dass a.a.a.a. die abgeschlagenen Stückchen Feuerstein, und b.b.b.b. die losgerissenen und glühend gewesenen Stahltheilchen waren, die halb geschmolzen sind, und diese krausen Formen angenommen haben.~~No. 3. u. 4. Bienenstachel und Nähnadelspitze.~~Hier zeigt Fig. 3. die natürliche Grösse beyder höchst feinen Spitzen, und Fig. 4. vergrössert hingegen, wie weit immer die Kunst hinter der Natur zurück bleibt; denn die fein polirte Spitze der feinsten Englischen Nähnadel, Fig. n. erscheint gegen den vergrösserten, aber noch immer glatten und äusserst spitzigen Bienenstachel Fig. m., als ein rauher löcherigter Pfahl; und doch hat dieser höchst feine Bienenstachel wieder noch feinere Theile und Glieder, wie wir gleich sehen werden.~~No. 5. Die inneren Theile eines Bienen-Stachels.~~Der Bienen-Stachel, den wir in der vorigen Figur nur von aussen sahen, theilt sich, sobald die Biene sticht, in zwey Hälften oder Scheiden (Fig. c. c.), aus welchen der eigentliche Stachel Fig. e. in die Wunde dringt, und durch welchen aus dem Giftblässchen Fig. d., vermöge der Muskeln Fig. g.g.g.g. ein Tröpfchen ätzender Saft in die Wunde gespritzt wird. Damit diess aber geschehen kann, hat der Stachel viele Widerhaken Fig. f.f., wodurch er in der Wunde stecken bleibt, und sie entzündet.~~No. 6. Die Zunge oder der Saugrüssel der Biene.~~Dieser ist nicht minder fein und wundernswürdig, als ihr Stachel. Fig. h.h. ist seine äusserste Scheide; Fig. i.i. die zweyte Scheide; Fig. k.k. die innerste Scheide der Zunge, und Fig. l. die Zunge oder der Saugrüssel selbst, womit die Bienen den Honig aus dem Honigbehälter der Blumen saugt.~~
Ad00341 02 101a/freMélanges. X. Vol. II. No. 98.
OBJETS MICROSCOPIQUES.
L'invention du Microscope est de îa dernière importance pour la Physique et pour I'Histoire naturale. C'est elle qui nous a fait découvrir une infinité de chöses hors de la portée de l'oeil nud: c'est eile qui nous a fait pénétrer la finesse infime de l'organisation, de la structuré des animaux, des plantes et des minéraux; merveilles, dont l'observation devient pour nous une source intarillable d'amusemens et de pîaifirs. On a plusieurs sortes de Microscopes; il y en a de. limples et de cotnposés; mais le plus merveilleux de tous, et qui expose à nos yeux étonnés les phénomènes les plus singuliers, c'est le Microscope solaire, dont nous verrons le detail dans la suite. Ce Microscope groflit les objets à notre gré" de sorte que dans une chambre obscure on peut donner à une puce la grosseur d'un cheval. A mesure que le Microfcope grossit les objets, il fait éclater la perfection souveraine des moindres ouvrages de la nature, et disparoître les sausses apparences dont le parent même les chef-d'oeuvres de l'art et de l'industrie, pour dérober à l'oeil nud leur grossiereté, et leur peu de valeur. Nous en verrons une preuve dans raignilîou de l'abeille et dans la pointe d'une aiguille très fine.
No. 1. et 2. Etincelles.
Qui auroit cru que les étincelles que nous voyons naître et s'évanouir au même instant, aient un corps réel et visible? C'est ce que nous fait pourtant remarquer la Figure 1. et 2. Les étincelles sorties d'un susil ne sont autre chose que des parties infiniment petites d'acier, détachées, et échaussées jusqu'à rougir parle coup d'une pierre à feu, et puis changées en scories de métal. Ainsi ayant battu le fusil au dessus d'une feuille dé papier blanc, on y aperçoit de petits points noirs d'une finesse extrême (Fig. 1.). Ces points mis sous le Microscope paroissent en formes très variées (Fig. 2.); on voit bien clairement que les figures a. a. a. a. ne sont que les petits morceaux détachées de la pierre à fusil, et une les formes b. b. b. b. sont les petites parties détachées de l'acier, qui s'étant enstammées et à demi fondues ont pris les formes frisées que voici.
No. 3. et 4. Aiguillon d'abeille et pointe d'Aiguille.
La Figure. montre la grosseur naturelle de l'une et de l'autre pointe très-sine; la Fig. 4. eu représente le grossissment microscopique et fait voir jusqu'à quel point l'art le cède à la nature; car la pointe extrêmement polie d'une aiguille d'Angletere, même de la sorte la plus fine, n'est qu'un pieu grossier et troué, comparée a l'aiguillon grossi, mais toujours poli et extrêmement pointu; et qui plus est, cet aiguillon très-fin et délié a des parties et des membres encore plus, sins, comme nous allons voir tantôt.
No. 5. Parties intérieures de l'Aiguillon d'Abeille.
La figure précédente ne nous a montre que l'enveloppe de cet aiguillon. Dès que l'abeille pique, cette enveloppe se separe en deux moitiés on gaines (Fig. c. c.); c'est de là que la playe est percée par l'aiguillon, qui moyennant les muscles Fig. g. g. g. g. seringue dans cette playe une goutte d'une humidité caustique, qui sort de la petite vessie de venin (Fig. d.); l'aiguillon muni de quantité de crochets (Fig. f. f.) tient à la playe, et sert à l'enflammer.
No. 6. Langue ou trompe de l'Abeille.
La trompe de l'abeille n'est pas moins sine et admirable que son aiguillon. Fig. b. b. en est la gaine extérieure; Fig. i. i. la gaine séconde; Fig. k. k. la gaine intérieure, et Fig. l. la langue où ta trompe même dont l'abeille se sert a sucer le miel du nectaire.
Ad00341 02 102aNo. 1. Das Atlas-Holz.~~Der Atlasholz-Baum wächst vorzüglich in Jamaica, wird sehr hoch und dick, hat Blätter wie die Acacie, eine weisse wolligte Blume, und trägt seinen Saamen in platten schwärzlichen und meistens halbgedrehten Schoten. Er ist vorzüglich berühmt wegen seines überaus schönen gelben Holzes, welches einen gewässerten Glanz wie Atlas hat, und eben darum häufig nach England geht, wo es dann, eben so wie das Mahagony, zu den schönsten Meublen verarbeitet wird. Von dem spielenden Atlas-Glanze seines Holzes hat eben der Baum seinen Nahmen Atlas-Holz (im Englischen Satin-wood-tree) erhalten.~~No. 2. Der Acajou-Baum. (Anacardium occidentale. L.)~~Der Acajou- oder Anacardien-Baum (der auch sonst der Nierenbaum, oder Elephantenlaus-Baum heisst) ist in doppelter Rücksicht merkwürdig; erstlich wegen seiner sonderbaren Frucht; und dann wegen seines schönen rothbraunen geäderten Holzes, welches zu schönsten Tischler-Arbeit, nebst andern feinen Hölzern, gebraucht wird. Dieser Baum wächst in Jamaica, und auf mehreren westindischen Inseln. Er wird ohngefähr 20 Fuss hoch, hat ovale dunkelgrüne Blätter, und an den Spitzen der Zweige rothe Blüthen in Büscheln, welche sehr angenehm riechen. Seine sonderbar gebildete Frucht besteht gleichsam aus zwey Theilen, nämlich aus einer fleischigten roth und gelben Frucht in der Grösse eines Gänse-Eyes, welche innerlich ein weisses Fleisch hat, dessen angenehm säuerlichen Saft man auszusaugen, das Fleisch selbst aber nicht zu essen pflegt. An dieser fleischigten Frucht hängt unten eine schwarze Nuss in Form einer Haasen-Niere, deren äussere harte Schaale aus zwey Hälften besteht, und einen mandelartigen wohlschmeckenden Kern einschliesst, der meistens gebraten gegessen wird. Die Schaale aber enthält ein scharfes Gift. Sobald ein Stengel verblühet hat, kommt zuerst die nierenförmige Nuss hervor und zu ihrer Vollkommenheit, und alsdann erst wächst die fleischigte Frucht hintennach. Meistens hängen drey Früchte an einem Stiele zusammen.~~
Ad00341 02 102a/frePlantes. L. Vol. II. No. 99.
ARBRES REMARQUABLES.
No. 1. Le Bois satiné.
L'arbre qui nous fournit le Bois satiné, croit principalement dans la Jamaïque et parvient à une hauteur et à une grosseur très considérables. Ses feuilles ressemblent à celles de l'Acacie, ses fleurs sont blanches et laineuses, et sa semence est enfermée dans des gousses plattes, noirâtres et ordinairement contorses au milieu. Cet arbre est remarquable par la beauté toute particulière de son bois, qui a un lustre moiré comme du satin. Oa le transporte en quantité immense dans l'Angleterre, où l'on s'en sert comitfe du bois d'Acajou pour en faire les meubles les plus superbes. De ce luftre satiné du bois l'arbre a reçu sen nomj les Anglois l'appellent Satin wood tree.
No. 2. Le Bois d'Acajou.
L'arbred'Acajou ou d'Anacarde est remarquable à deux égards; d'abord par la singularité de son fruit, et ensuite par son bois superbe qui est de couleur rouge-brunâtre, parsemé de veines et dont on fait les plus belles menuiseries et tabletteries; L'arbre croit dans la Jamaïque, et dans plusieurs isles das Indes occidentales. II atteint une hauteur de 20 pieds et une grosseur de deux pieds. Ses feuilles sont d'une figure ovale et d'une couleur verde très foncée; aux bouts des branches il porte des fleurs rouges en bouquets, qui exhalent une odeur fort agréable. Son fruit est d'une structure tout - à fait singulière; il cohsiste en deux parties; dans le fruit proprement dit, qui est charnu, de couleurs rouge et jaune et de la grosseur d'un oeuf d'oie, il renferme une chair blanche dont on tire le suc, qui est d'un goût aigrelet et très agréable; on ne mange pas la chair même. Au bout de ce fruit charnu il se trouve une noix noire en forme de roignon de lièvre, dont l'écaillé extérieure est dure et compose de deux moitiés. Cette noix renferme un noyau, semblable à une amande, d'un goût excellent et qu'ordinairement on mange grillé. L'écaillé cependant contient un poison violent. Aussitôt que les fleurs commencent à se fanner à une branche de cet arbre, il se montre d'abord la noix, et lorsque celle-ci est parvenue à sa maturité, elle est suivie du fruit charnu. Il se trouve pour la plupart trois fruits à une seule tige.
Ad00341 02 103aNo. 1. Feiner holländifcher Zwirnsfaden.~~Die Holländer und Niederländer haben es in ihren Flachsgeweben bis zu einem hohen Grade von Vollkommenheit gebracht , so dass ihr feiner Zwirn (den man entweder zum Nähen, oder zu feinen Zeugen, als z.B. Spitzen, Battist, Mousselin u.s.w. braucht), mit blossen Augen angesehen (a), nur aus einem einzigen äusserst fein gesponnenen Faden zu bestehen scheint. Doch wie ganz anders erscheint derfelbe Faden, wenn wir ihn unter einem beträchtlichen Vergrösserungsglase betrachten (b). Hier sieht man nichts mehr von jener Zartheit und Glätte, sondern die Fäden erscheinen als grob zusammengedrehte Stricke, mit groben unordentlichen Fasern.~~No. 2. Zwey Goldfäden.~~Das Gold wird unter andern Verarbeitungen auch zu Verfertigung der goldnen Tressen gebraucht. Dazu wendet man aber das Gold nicht rein oder pur an, sondern vergoldet mittelst gewisser Handgriffe und Vortheile dünne Stangen von feinem Silber damit, und zieht sie dann durch verschiedene Löcher bis zu dem feinsten Haardrath aus. Doch wegen der erstaunlich grossen Dehnbarkeit des Goldes erscheinen auch diese feinen Silberfäden noch immer auf der Oberfläche vergoldet. Dann plattet man diese feinen Dräthe mit stählernen Walzen breit, spinnt sie auf der Spinnmühle über seidene Fäden, und verbraucht sie so zu Tressen und andern Arbeiten. Mit blossen Augen angesehen (a), sehen diese Goldfäden wie feine massive Goldstreifen aus. Allein unter dem Mikroscope erblicken wir es (b) ganz anders. Der dünne seidene Faden erscheint als ein dicker Strang, um den ein Band von Goldblech läuft, wo man aber allenthalben die darunter liegende Seide durchsehen kann.~~
Ad00341 02 103a/freMélanges XXXIII. Vol. III. No. 100.
DES OBJETS GROSSIS PAR LE MICROSCOPE.
No. 1. Deux fils de lin déliés de Hollande.
Les Hollandois et les habitans des Pays-bas ont poussé l'art de filer le lin à un tel degré de perfection, que leur fil délié (dont on se sert pour coudre ou pour en fabriquer des toile» ci autres ouvrages très fins, comme p. e. de la Mousseline, de la Batiste, des dentelles etc.), quand on le regarde à oeil nud ne semble consister, que dans un seul fil extrêmement fin (a). Mais quel changement prodigieux remarque-t-on dans ce même fil, quand on le regarde par un bon microscope (b). Toute la finesse et l'égalité, qu'on y a tantôt admiré, ont disparu, et le fil se présente comme une forte corde mal tordue qui semble être composée de filainens Inen grossiers.
No. 2. Deux fils d'or.
L'Or est employé à un très grand nombre d'ouvrages, et entre autres à des galons. A cet usage cependant on ne le prend pas tout pur ou tel qu'il est, mais par un procédé particu« lier on en recouvre des lingots très minces d'argent pur, et les passe enduite par la filière pour en faire rlu trait fin. A cause de la duc- tilité étonnante de l'or ces fils d'argent sont tous exactement dorés. On applatit ensuite ce trait entre deux rouleaux d'acier poli, les file dans un moulin particulier sur des fils de soie et les emploie alors dans les fabriques des galons et des étoffes. Quand ces fils d'or sont regardés à oeil nud (a), ils semblent être des fils d'or tout - à fait maffif; mais vus sous le microscope ils fe préfentent (b) d'une manière bien diffé- rente. Le fil de foie, quelque fin qu'il foit, a l'air d'une groffe corde entourée de plaques d'or en forme de ruban, à travers des quelles on voit partout le fil de foie.
Ad00341 03 003aWenn wir in einer hellen Nacht den vollen Mond betrachten, so sehen wir auf seiner erleuchteten Scheibe schon mit blossen Augen viele helle und dunkle Flecken; durch stark vergrössernde Fernröhre aber entdeckt man im Monde eben solche landschaftliche Schattirungen und Abwechselungen von Ebenen, Bergen, ThäIern, Bergketten, einförmigen Gebirgen, und tiefen Schatten-Puncten; hingegen bemerkt man keine Spur von Flüssen, Meeren, und es ist sehr wahrscheinlich, dass der Mond weder Wasser noch einen Dunstkreis wie unsre Erde hat. Die Astronomen haben uns durch ihre häufigen Beobachtungen des Mondes eine Charte davon geliefert, weil wir von der Erde aus numer nur eine und dieselbe Mondfläche sehen, welche wir hier näher kennen lernen wollen.~~No. 1. Die Mond-Charte.~~Die Mond Charte zeigt uns auf der Mondfläche eine Menge heller und dunkler Flecken. Die ganz hellen Flecken und Puncte sind wahrscheinlich die höchsten Berge, vermuthlich vulkanischen Ursprungs; die grauen Flecken sind mittlere Gebirge, und die grossen dunkleren Flächen wahrscheinlich flache Ebenen, wo vielleicht einige Vegetation Statt hat. Da die Astronomen allen diesen Flecken und Gegenden bestimmte Nahmen gegeben haben, um sie bey ihren Beobachtungen der Mondfinsternisse nennen zu können, so wollen wir diese auch, nach RiccioIi's Benennung, als welches die jetzt gewöhnlichste ist, kennen lernen. Es sind vorzüglich folgende mit Zahlen und Buchstaben bezeichnete 51 Puncte.~~1) Grimaldi. 2) Galilaeus. 3) Aristarchus. 4) Keppler. 5) Gassendi. 6) Schickard. 7) Harpalus. 8) Heraclides. 9) Lansberge. 10) Reinold. 11) Copernicus. 12) Helicon. 13) Capuanus. 14) Bouliand. 15) Eratosthenes. 16) Timochares. 17) Plato. 18) Archimedes. a Aratus. 19) Insula Sinus Medii. 22) Pilatus. 21) Tycho. 22) Eudoxus. 23) Aristoteles. 24) Manilius. 25) Menelaus. 26) Hermes. 57) Posidonius. 25) Dionysius. b. Vulcan. d. Albategnius. 29) Plinius. 30) Cyrillus. 31) Fracastor. 32) Promontorium acutum. 33) Messala. 34) Promontorium Somnii. 35) Proclus. 36) Cleomedes. 37) Snellius. 38) Pelau. 39) Langrenus. 40) Taruntius. A. Mare humorum. B Mare nubium. C. Mare imbrium. D. Mare nectaris. E. Mare tranqtillitatis. F. Mare ferenitatis. G. Mare foecunditatis. H. Mare erisium.~~No. 2. 3. 4. Durchschnitte der Höhen der Erd- Mond- und Venus-Berge.~~Durch viele astronomische Beobachtungen und Messungen hat man gefunden, dass die Berge des Mondes weit höher, und die Berge der Venus noch unendlich weit höher als die unserer Erde sind. Nach dem Verhältnisse des Mondes zu unserer Erde, dessen Durchmesser nur 3/11 der Erde ist, sind die höchsten Mondberge über 4 1/2 mal so hoch als die höchsten Erdberge; nach einerley Maassstabe aber gemessen würden sich die Höhen der Berge der Erde, des Mondes und der Venus, nach Hr. O. A. Schröters neuesten Beobachtungen, ohngefähr so gegeneinander verhalten, als ihre Durchschnitte in Fig. 2. 3. und 4. zeigen, und der höchste Berg der Erde also ungefähr 3000, der höchste Berg des Mondes 4000 und der höchste Berg der Venus 22500 französische Toisen, der dichtere Dunstkreis der Erde aber über 4000 und der von der Venus über 6500 Toisen hoch seyn. Welche erstaunliche Wunder der Natur!~~
Ad00341 03 003a/freMélanges d'objets. XI. [sic] Vol. III. No. 1.
LA LUNE ET SES MONTAGNES.
En regardant dans une nuit bien claire la pleine une, nous y appercevons à l'oeil nud bien des taches claires et obfcures. Mais des téléfeopes bien grossissants nous y sont entrevoir des payfages nuancés et variés de plaines, de montagnes, de vallées, de chaînes de montagnes, de montagnes annulaires et de points ombrés, tout comme fur la furface de notre globe: mais on n'y peut distinguer ni des marques de rivières ni de mers, et il est bien vraisemblable que la lune n'a ni eau ni atmosphère. Comme nous voyons toujours la même face de la lune, les obfervations réitérées des afîronomes nous en ont procuré une carte, dont nous allons cpnnoitre le détail.
No. 1. Carte de la lune.
La carte de la lune nous répréfente une quantité de taches et de points clairs et obfcurs. Ceux qui en. sont les plus clairs, sont probablement les montagnes les plus hautes, qui félon toutes les apparences tirent leur origine de volcans. Les taches grifes sont des montagnes d'une hauteur médiocre, et celles qui sont groffes et plus obfcures, sont apparemment des plaines, où il y a peut-être quelque végétation. Comme les astronomes ont donné des noms à toutes ces taches et contrées pour pouvoir les défigner dans leurs observations des éclipses de la lune, nous en ferons l'énumération suivant la nomenclature de Riccioli laquelle est aujourd'hui la plus usitée. Ce sont principalement les points suivants marqués de nombres et de lettres. 1) Grimaldi. 2) Galilée. 3) Aristarche. 4) Keppler. 5) Gassendi. 6) Schickard. 7) Harpale. 8) Heraclide. 9) Landsberge. 10) Reinold. 11) Copernic, 12) Hélicon. 13) Capuane. 14) Bouliaud, 15) Eratosthène, 16) Timachores, 17) Platon. 18) Archimède. a. Ârate. 19) Isle de la baye moyenne. 20) Pilate. 21) Tycho. 22) Eudose. 23) Aristote. 24) Manilius. 25) Meneläus. 26) Hermes. 27) Posidonius. 28) Dionyse. b. Vulcain. d. Albategnius. 29) Pline. 30) Cyrille. 31) Fracastor. 32) Promontoire aigu. 33) Messala. 34) Promontoire de fommeil. 35) Procle. 36) Cléomède. 37) Snell. 33) Pelau 39) Langrène. 40) Taruntius. A. Mer d'humeurs. B. Mer de nuages. C. Mer de pluyes. D. Mer de nectar. E. Mer de tranquilité. P. Mer de ferénité. G. Mer de fécondité. H. Mer d'Eris.
No. 2. 3. 4. Profils des hauteurs des montagnes de la terre, de la lune et de Vénus.
Une infinité d'observations et de calculs astronomiques ont fait trouver que les montagnes de la lune surpassent de beaucoup en hauteur celles de notre globe, et que celles de Vénus sont infinement plus hautes que celles de notre terre. Comme le diamètre de la lune ne fait que 3/11 de celui de notre terre, les plus hautes montagnes de la lune sont, suivant ce rapport, plus de 4 1/2 fois plus hautes que le pins hautes montagnes de la terre. Mais mesurées fur une mésure commune, les hauteurs des montagnes de Ja terre, de la lune et de Vénus auroient, suivant les observations les plus nouvelles de Mr. Schröter, à peu près les rapports répréfentés par leurs profils fig. 2, 3, 4, et a montagne la plus haute de la terre seroit haute environ de 3000 toises; la montagne la plus haute de la lune de 4000, et celle de Vénus de 22500; mais l'atmosphère la plus deuse de la terre plus de 4000 toises, et celle de Vénus de 6500. Quelles, merveilles étonnantes de la nature!
Ad00341 03 004aNo. 1. Die gemeine Aloe. (Alve vulgaris. L.)~~Das ursprüngliche Vaterland der Aloe ist eigentlich Afrika und Ost-Indien, allein sie wächst jetzo auch häufig wild im südlichen Europa. Aus einer Staude sehr dicker fleischichter und stachlichter Blätter treibt ein 3 Fuss hoher Stengel hervor, welcher gelbe röhrenfömigte Blumen trägt. Es giebt mehrere Sorten der Aloe, aus deren abgeschnittenen Blättern ein harzigter Schleimsaft träufelt, welcher in Afrika häufig gesammelt, getrocknet und nach Europa, als das bekannte Aloe-Harz, in die Apotheken verkauft wird. Eine andere und ganz von dieser verschiedene Gattung der Aloe ist die Amerikanische grosse oder sogenannte Agave (Agave améric.), welche aber auch in Italien und Spanien wächst, und auch oft in Teutschland in Gewächshäusern gefunden wird. Diese ist sehr gross, hat fast handdicke, sehr dornichte Blatter, blüht zwischen dem 20 und 30sten Jahre, und treibt alsdann einen beinahe 4 Zoll dicken bis 15 Fuss hohen Stengel, der oben traubenförmige Büschel gelber Blumen oft bis 4000 Stück trägt. Aus den Fasern der Blüthen, welche man wie Flachs verarbeitet, werden in Italien, Spanien und Amerika sehr schöne Zeuche, der sogenannte Baumbast, gemacht, die wie Seide glänzen, nur etwas rascher sind.~~No. 2. Der stinkende Asant. (Ferula Assa foetida. L.)~~Das bekannte Schleimharz, welches wegen seines durchdringenden hässlichen Gestanks gewöhnlich Teufelsdreck genannt wird, kommt von einer Pflanze, die in Persien wild wächst und der stinkende Asant heisst. Die Wurzel, deren verdickter Milchsaft eben das obgedachte stinkende Harz ist, sieht schwarz aus, und treibt aus einer Staude von Wurzelblättern einen drey Fuss hohen Stengel mit weissen Blüthen. Der Saame davon (fig. a.) besteht in braunen breiten Körnern. Die Perser brauchen diess Harz als Gewürz zu ihren Speisen, welches wohl auch hier und da in Europa in den Küchen der Grossen gewöhnlich ist. Es ist aber vorzüglich ein sehr wirksames Arzneimittel, und daher ein beträchtlicher Handelsartikel nach Europa. Wegen seines unleidlichen Gestankes pflegt man auf den Schiffen, die dergleichen laden, die damit angefüllten Säcke an die Masten zu hängen, weil die Schiffsleute es sonst nicht aushalten könnten.~~
Ad00341 03 004a/frePlantes. LI. Vol. III. No. 2.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. L'aloës vulgaire.
La patrie de l'aloës est originairement l'Afrique tt les Indes orientales; mais aujourd'hui on le trouve mètne dans les parties méridionales de l'Europe où il croit naturellement. Un arbrisseau à feuilles bien épaiffes, charnues et épineufes pouffe une tige de 3 pieds de hauteur qui porte des fleurs jaunes à forme de tuyaux. Il y a plufieurs fortes d'aloës qui laiffent dégoutter de leurs feuilles un suc réfineux et pitniteux, qui est fréquemment recueilli et féché en Afrique et transporté enfui te en Europe, où on le vend atix droguiftes sous le nom bien connu de résine d'aloës. L'Agave, autre espèce d'aloës bien différente de la précédente, est naturelle en Amérique; elle croit pourtant aussi en Italie et en Espagne, et fe trouve sonvent même dans les serres d'Allemagne. Elle est bien grande, porte des seuilles très épineufes et à peu près de Pépaiffeur d'une main, est en fleurs entre le 20 ieme et 30 ieme année de son age, et pousse alors une tige grosse environ de 4 pouces et haute de 15 pieds. Cette tige porte dans la partie supérieure des bouquets en grappes compofés de fleurs dont le nombre va souvent jusqu'à 4000. Des filaments de ces fleurs que l'on traite en lin, fe sont en Italie, en Espagne et en Amérique de très-belles étoffes, dites écor.ce d'arbre, qui ont le luisant de la l'oie, mais qui sont pourtant un peu plus roides.
No. 2. Le laser ou l'assa foetida.
Cette résine pitnitense bien connue, et nommée en allemand Merde de diable à cause de sa puanteur pénétrante, vient d'une plante qui croit naturellement en Perse et se nomme laser. La racine laiteuse de cette plante, dont le fuc condensé fait la résine puante en queftion, est noire et pouffe par un arbriffeau de feuilles de racines une tige de 3 pieds de hauteur, qui porte des fleurs blanches, et des graines de fem en ce brunes et larges. Les Perfans fe fervent de la résine mentionnée pour en affaiffonner quelques uns de leurs mets, ce qui se fait de même ça et et là dans les cuifines des grands de l'Europe. Mais elle est principalement employée comme un névritique bien excellent; et c'elt pourquoi elle fait un article fort considérable de commerce. Dans les vaisseaux qui en portent, les facs remplis de cette drogue sont suspendus aux mâts, parçeque les mariniers ne sauroient en supporter la mauvaise odeur.
Ad00341 03 005aDie Waldschnepfe. (Scolopax rusticola. L.) No. 1. Das Männchen. No. 2. Das Weibchen.~~Die Waldschnepfe (Becasse oder Holzschnepfe) ist ohngefähr so gross als ein Rebhuhn, rostfarbig braun, schwarz, weiss und gelblich gezeichnet, hat einen langen Schnabel, liebt sumpfige Wälder und Brüche, und nährt sich von Gewürmen, welche sie mit ihrem langen Schnabel aus der Erde zieht. Sie wandert im Winter schaarenweise aus Teutschland nach Frankreich, Italien bis nach Afrika, und kommt im Frühlinge mit feuchtem Westwinde wieder. Ihr Fleisch und Eingeweide mit dem darin befindlichen Unrathe, werden für eine hohe Delicatesse gehalten, und eben desswegen macht man im Frühjahre und Herbste starke Jagd auf sie.~~No. 3. Die Heerschnepfe. (Scolopax gallinago. L.)~~Die Heerschnepfe (Becassine oder Sumpfschnepfe) ist kleiner als die vorige, etwa 10 Zoll lang, braun und lichtgrau von Farbe, und lebt fast in ganz Europa und Asien, in den gemilderten Strichen, an Sümpfen, Schilf und Torfmooren, wo sie sich gleichfalls von Sumpfgewürmen nährt. Sie wandert im Herbste gleichfalls in wärmere Gegenden. Ihr Fleisch ist eben so delikat als das von der Waldschnepfe.~~Die Streitschnepfe. (Tringa pugnax. L.) No. 4. Das Männchen No. 5. Das Weibchen.~~Die Streitschnepfe (der Kampfhahn, Renomist) gehört eigentlich zu den sogenannten Strandläufern, ist ohngefähr 12 Zoll lang, und bewohnt gleichfalls die sumpfigten Ufer der Flüsse, wo er sich von Insecten nährt. Er ist außerordentlich hitzig und kampfsüchtig, sonderlich zur Brutzeit. Beym Kämpfen sträubt sich sein langer Federkragen wie ein umgekehrter Teller vorwärts empor, welches ihm ein furchtbar wildes Ansehn giebt. In der Farbe und Zeichnung variirt die Streitschnepfe so sehr als unsere Haushühner und Tauben.~~No. 6. Der Kiebitz. (Tringa Vanellus. L.)~~Der Kiebitz ist gleichfalls ein Strandläufer, und lebt fast in ganz Europa auf sumpfigen Wiesen. Er ist von der Grösse einer Taube, 14 Zoll lang, Rücken, Flügel und Brust braun-grünlich schillernd, Kehle und Bauch weiss, und hat auf dem Kopfe einen niederhängenden Federbusch. Er brütet in Binsen-Stauden, und verräth sein Nest immer selbst, indem er in weiten Zügen darum herum fliegt, und Kibitz Kibitz schreyt. Sein Fleisch ist essbar, aber noch mehr werden seine Eyer als eine Delikatesse geschätzt.~~No. 7. Der Sandläufer. (Tringa arenaria. L.)~~Der Sandläufer (Sandschnepfe, Sandhuhn) ist ohngefähr 12 Zoll hoch, dunkelgrau mit etwas Weiss gedeckt, von Farbe, und wohnt in Europa auf sandigen Ufern, wo er mit seinen langen dünnen Beinen schaarenweise herumläuft.~~No. 8. Der Goldregenpfeifer. (Charadarius pluvialis. L.)~~Der Goldregenpfeifer, oder sogenannte Brachvogel, ist 11 Zoll lang, grau und braungrünlich von Farbe, und lebt bey uns auf sumpfigen Wiesen und im Ackerfelde. Sein Fleisch ist eine Delicatesse.~~
Ad00341 03 005a/freOiseaux, XXVIII. T. III. No. 3.
OISEAUX DE MARAIS REMARQUABLES.
La bécasse de forèts. No. 1. Le mâle. No. 2. La femelle.
La bécasse de forêt est à peu près de la grandeur d'un perdrix, marquée de la couleur de rouille, d'un brun noir et de jaune. Elle a le bec long, aime les marais et les forêts marécageufes et se nourrit de vers qu'elle tire de la terre au moyen de son bec bien long. En hiver elle passe en troupes d'Allemagne en France, en Italie, même en Afrique, et au printems le vent humide d'ouest la fait repasser. Sa viande et fes boyaux avec l'ordure qui s'y trouve est eltimée une friandise d'un goût exquis, et c'eft pourquoi on les pourluit fort au printems et en antomne.
No. 3. La chovrette volante.
Cette bécasse plus petite qne la précédente est environ io pouces de longueur, d'une couleur brune et grise claire, et vit dans les contrées plus tempérées de presque toute l'Europe!et de l'Asie aux lieux marécageux, couverts de jonc et de tourbe. Elle se nourrit de même de vers de marais. En automne elle passe aussi dans des climats plus chauds-. Sa viande est trouvée aussi délicieuse que celle de la bécasse de forets.
Le coq de combat. No. 4. Le mâle. No. 5. La femelle.
Le coq de combat est de l'espèce de cheva, a environ 12 pouces, de longueur et vit aussi aux rivages marécageux des rivières, où il se nourrit d'insectes. Il aime extrêmement à combattre, surtout au tems d'accouplement. Dans le combat son long collet de plumes se dresse en avant comme une assiette retournée, ce qui lui donne un air bien farouche et terrible. La couleur et le dessein du coq île combat varient autant que ceux de nos poules et pigeons domestiques.
No. 6. Le vanneau.
Le vanneau, aussi de l'espèce de chevaliers, vit presque dans toute l'Europe aux prés marécageux; il est de la grandeur d'un pigeon, long de 4 pouces, a le dos, les ailes, la poitrine changeants d'un brun verciàtre, la gorge et le ventre blancs, et sur la tête un plumet penchant. Il couve dans les joncs, et en volant en grands détours autour de son nids et criant Kibits - Kibits, il le fait découvrir lui même. Sa chair est mangeable; ses oeufs sont pourtant plus recherchés comme une friandise.
No. 7. Le coureur de sable
Cet oiseau a environ 12 pouces de hauteur est gris soncé tacheté un peu de blanc, et vit en Europe sur des rivages fablonneux, où de fes jambes longues et déliées il court en troupes.
No. 8. Le pluvier verd.
Le pluvier verd est long de 11 pouces, gris et brun verdàtre de couleur, et vit chez nous aux champs et aux prés marécageux. Sa viande est d'un gout exquis.
Ad00341 03 006aNo. 1. Die Labradorische Maus. (Mus hudsonius. Pall.)~~Die Labradorische Maus wohnt im Lande Labrador an der Hudsonsbay, im nördlichsten Amerika, gräbt nach Wurzeln in der Erde, und ist 5 Zoll lang. Kopf und Rücken sind dunkelbraun, das übrige Fell grau schillernd. Das Haar ist fein, dicht und ziemlich lang, und ihr Fell giebt daher ein gutes Pelzwerk.~~No. 2. Die Sand-Maus. (Mus arenarius. Pall.)~~Die Sand-Maus ist beynahe 4 Zoll lang, der Rücken graubraun, Bauch und Füsse weiss von Farbe. Sie lebt in den Sibirischen Sandsteppen, in kleinen Hügeln, und nährt sich von allerhand Wurzelwerk.~~No. 3. Die Reis-Maus. (Mus phaeus. Pall.)~~Sie ist kaum so gross als die vorhergehende, und mit ihr fast von gleicher Farbe. Sie wohnt im südlichen Russland auf Gebirgen, und nährt sich vorzüglich vom Reise, daher sie auch ihren Nahmen hat.~~No. 4. Die Fleck-Maus. (Mus songarus. Pall.)~~Diese kleine niedliche Maus lebt auch in Sibirien im Sande, und nährt sich von allerhand Grassaamen. Sie ist 3 Zoll lang, Kopf und Rücken grau und braun gestriemt, Hals und Seiten haben graulich gelbe mit Braun eingefasste Flecken.~~No. 5. Die Ob-Maus. (Mus furunculus. Pall.)~~Die Ob-Maus lebt an den Ufern des Ob-Flusses, ist 3 Zoll lang, und sehr schön gezeichnet. Kopf und Rücken sind lichtbraun, mit einem schwarzen Streifen, der von den Ohren bis zum Schwanze geht, Kehle und Bauch sind weiss. Sie nährt sich gleichfalls von Kräutersaamen.~~No. 6. Die Maulwurfs-Maus. (Mus talpinus. Pall.)~~Die Maulwurfs-Maus gehört zu den Erdmäusen, die keine Ohren und Schwanz, und einen dicken Kopf haben. Sie ist beynahe 4 Zoll lang, von Farbe auf dem Rücken braun, an der Seite gelblich. Sie lebt im südlichen Russland, wühlt unter dem Rasen wie der Maulwurf, und nährt sich von allerhand Wurzeln.~~No. 7. Der Blesmoll. (Mus Capensis. Pall.)~~Diess Thier wohnt vorzüglich auf dem Vorgebürge der guten Hoffnung, wo es in der Erde Röhren gräbt, und den Gärten Schaden thut. Es ist beynahe 6 Zoll lang, lichtbraun und gelblich von Farbe, und ist an den Ohren und der Schnautze hellgelb gefleckt. Es nährt sich von süssen Wurzeln und Gartenfrüchten, und ist schwer zu vertilgen.~~
Ad00341 03 006a/freQuadrupèdes, XLIX. T. III. No. 4.
SOURIS DE PLUSIEURS ESPECES.
No. 1. Le souri de Labrador.
Ce souri vit dans la terre de Labrador aux environs de la bay d'Hudson dans l'Amérique le plus septentrionale, où il cherche des racines en souillant dans la terre. Il a 5 pouces de longueur, la tète et le dos gris foncés et le reste changeant d'un gris clair. Sa peau dont le poil est fin, serré et bien long, fournit une fourrure assez bonne.
No. 2. Le souri de landes.
Le souri de landes a à peu près 4 pouces de longueur, le dos gris brun, le ventre et les pieds gris. Cet habitant des landes de Sibérie demeure dans de petites collines et se nourrit de plusieurs fortes de racines.
No. 3. Le mangeur de ris.
Il a à peine la grandeur du précédent et est presque de la même couleur. Il vit sur les montagnes de la Russie méridionale et se nourrit principalement de ris, d'où il a tiré le nom.
No. 4. Le souri tacheté.
Ce souriceau bien poli est aussi habitant de Sibérie, où il demeure sous le sable et se nourrit de plusieurs sortes de graines d'herbe. Il a 3 pouces de longueur., la tête et lo dos gris et rayés de brun, le cou et les côtés tachetés d'un jaune grisâtre, bordé de brun.
No. 5. Le souri furoucle.
Ce souri, vivant près de rivages d'Ob, long de trois poncés et très joliment marqué, a la tète et le dos d'un brun clair avec une raye noire qui va des oreilles jusqu'à la queue. Il se nourrit de graines d'herbe comme le précédente.
No. 6. Le taupe -fouri.
Le taupe-souri est de l'espèce de rats de champs à tète grosse qui n'ont, ni oreilles ni queue. Il a à peu près 4 pouces de longueur, le dos brun et les côtés jaunâtres. Il vit dans la Russie méridionale, fouille sous le gazon comme la taupe, et se nourrit de plusieurs fortes de racine.
No. 7. Le Blessmoll.
Cet animal est surtout naturel au Cap de bonne espérance, où creusant des tuyaux dans la terre, il fait des dommages aux jardins. Il est à peu près long de 6 pouces, gris brun et jaunâtre de couleur, et a les oreilles et le museau tachetés d'un jaune clair. II se nourrit de racines douces et de fruits de jardins. On a bien, de la peine à l'extirper.
Ad00341 03 007aDie schönen Farben, welche wir auf den Flügeln der bunten Schmetterlinge glänzen sehen, und die uns wie ein farbiger Staub vorkommen, den man leicht mit den Fingern abwischen kann, sind lauter kleine Federn von verschiedenen Formen, welche mit ihren kurzen Kielen in der Haut des Flügels sitzen, und wie Dachziegeln übereinander liegen. So erscheint ein Schmetterlings-Flügel, wenn wir ihn durch ein Microscop betrachten; wie folgende Figuren zeigen.~~No. 1a. Ein Schmetterlings-Flügel in natürlicher Grösse.~~No. 1b. Derselbe vergrössert.~~Hier erscheinen schon die farbigen kleinen Federn in ihrer schuppenartigen Lage über den ganzen Flügel, und die Haare am Rande desselben.~~No. 2. Ein anderer Schmetterlings-Flügel, natürlicher Grösse.~~No 3. Das kleine farbige Auge auf demselben Flügel vergrössert.~~Diess ist das kleine runde rothe Fleck c, dessen Farbenfedern hier als spitzige Schuppen erscheinen.~~N. 4a. Der Flügel einer Stubenfliege, in natürlicher Grösse.~~No. 4b. Derselbe vergrössert.~~Die Flügel der Stubenfliege haben keinen farbigen Feder-Staub, sondern bestehen blos aus einer blaulich grün und roth schillernden Haut, die zwischen starken Sehnen ausgespannt, und mit unendlich kleinen feinen Haaren besetzt ist.~~No. 5. Ein kleines Mikroscop-GIas, worauf bunter Schmetterlings-Staub liegt.~~Diese bunten Schmetterlings-Staubfedern erscheinen durch das Mikroscop betrachtet, in folgenden ganz verschiedenen Formen:~~Fig. d. Oben mit 3 stumpfen Spitzen und 2 Bogen.~~Fig. e. Mit 4 stumpfen Spitzen.~~Fig. f. Mit 2 stumpfen Spitzen und 3 Bogen.~~Fig. g. Mit einem einzigen Bogen zugewölbt.~~Fig. b. Wellenförmig.~~Fig. i. Schlangenlinigt.~~Fig. k. Ausgezackt.~~Fig. l. u. m. Lang und schmal gestreckt.~~Fig. n. Oben ausgezahnt, die Fläche aber fächerartig gefältelt, so dass die linke Seite der Falten alle blau, und die andere Seite braun colorirt ist. Diess ist der Bau des Federstaubes des sogenannten blauen Schiller-Vogels unter den Papillonen, dessen Ober-Flügel daher von der linken Seite betrachtet glänzend blau, und von der rechten braun aussehen.~~
Ad00341 03 007a/freInsecte XIII. Vol. III. No. 5.
AILES DE PAPILLONS.
Les belles couleurs que nous voyons briller sur les ailes des papillons et qui nous paroissent une poussière colorée que l'on peut facilement ôter avec les doigts, sont autant de petites plumes très-variées, dont les tuyaux bien courts tiennent à la peau de l'aile et lesquelles sont placées Finie »ur l'autre comme les tuiles sur les toits des maisons. C'est ainsi que se réprésente une aile de papillon regardée par le microscope, comme sont voir, les figures suivantes.
No. 1a. Une aile dé papillon en grosseur naturelle.
No. 1b. La même grossie par le microscope.
Les petites plumes colorées y paroissent déjà papelonnées où rangées en écailles, et s'étendent sur toute la surface de l'aile; les poils au bord de cette aile se découvrent de même.
No 2. Autre aile de papillon réprésentée d'après nature.
No. 3. Le petit oeil coloré sur la même aile grossi par le microscope.
C'est la petite tache ronde et rouge c, dont les petites plumes colorées se montrent ici couvme des écailles, pointues.
No. 4a. Aile d'une' mouche ordinaire en grosseur naturelle.
No. 4b. La même grossie.
Les ailes de la mouebe ordinaire n'ont point de poussière colorée, et ne sont qu'une peau ornée d'un verd bleuâtre changeant de rouge, étendue entre des nerfs bien forts, et garnie de petits poils d'une finesse infinie.
No. 5 Une petite glace parsemée de poussière colorée de papillon.
Ce duvet coloré de papillon vu par le microscope, paroit en formes très-diverses. On le voit Fig. d. en haut avec trois points obtus et avec deux arcs.
Fig. e. avec 4 points obtus.
Fig. f. avec 2 points obtus et 3 arcs.
Fig. g. fermé d'un seul arc.
Fig. b. ondoyé.
Fig. i. en ligne serpentante.
Fig k. dentelé.
Fig. l. et m. marqué de rayes longues et étroites.
Fig. n. dentelle en haut,
la surface pliée en éventail de manière que le côté gauche des plis est bleu, et l'autre côté coloré. Voilà la structure du duvet du papillon bleu et changeant, et de ceux dont les ailes supérieures, vues du côte gauche, sont d'une couleur bleue luisante et d'une couleur brune, vues du côte droit.
Ad00341 03 008aDes englischen Astronomen Herrn Herschels ungeheures Telescop, welches zu Slough, 20 engl. Meilen von London, steht, ist das erstaunliche Instrument, wodurch dieser grosse Mann den neuen Planeten Uranus und noch viele andere neue Sterne am Himmel entdeckte. Es ist ein sogenanntes Spiegel-Telescop, dem Herschel eine ganz neue Einrichtung gab; und da es wegen seiner erstaunlichen Grösse und des Mechanismus seiner Behandlung in kein Gebäude gebracht werden konnte, so steht es mit seinem ungeheuren und eben so künstlichen Gerüste unter freyem Himmel, wie wir hier sehen.~~Dies Gerüste selbst ist 50 Fuss hoch, und sein runder Fussboden hat 40 Fuss im Durchmesser. Sein Grundgestell C bewegt sich auf starken Rollen, auf einer sehr ebenen steinernen Grundlage A die der Erde fast gleich ist. Auf diesem Grundgestelle und Fussboden stehen nun 2 Paar Doppelleitern CC, BH und DC. welche oben durch den Queerbalken CB, und durch die übrigen Streben, Bänder und künstliche Verzimmerung fest zusammen verbunden sind, und eine Art von Pyramide bilden. Zwischen diesen beyden Paar Leitern hängt die ungeheure grosse Röhre des Telescops, von geschmiedetem Eisenblech J 39 Fuss 4 Zoll lang, und 4 Fuss 10 Zoll weit, an Ketten und Seilen, welche durch mehrere Kloben laufen, und unten mit den mechanischen Winden G. u. H in Verbindung stehen; so dass man dadurch diese enorme Röhre, welche über 4000 Pfund wägt, und in welcher man inwendig durch Stufen hinabsteigt, mit nur einer Hand sehr leicht hoch und niedrig, nach dem Stande der Sterne, richten kann.~~Unten im Grunde dieser Röhre steht der metallene Spiegel, welcher 49 Zoll im Durchmesser hält, 2118 Pfund wägt, und bey jedem Observiren frisch hinein gesetzt wird. In dem Korbe K, welcher durch die krumme Zahnstange L bey jeder Neigung der Röhre, immer horizontal gestellt wird, sitzt der Astronom, und sieht durch sein am Rande der Röhre stehendes Ocular hinab in den grossen Spiegel. M u. N sind noch zwey andere Sitze für den Astronomen, welche er bey gewissen Gelegenheiten braucht, und von denen er durch die Kurbel Q das Telescop sehr leicht selbst richten kann. C ist eine kleine Gallerie für den König, oder einige andere Liebhaber der Astronomie, die eine Erscheinung am Himmel mit beobachten wollen; in welchem Falle man diese Gallerie hinauf an die Mündung des Telescops winden kann.~~Unten auf dem Fussboden des Gerüstes sind zu beyden Seiten des Telescops die zwey Kabinets O u. G angebracht in welche oben von dem Sitze K und dem Munde des Astronomsn herab zwey Sprachröhren gehen, durch die derselbe seine Beobachtungen oder Directionen seinen Gehülfen herabsagen kann. In dem Kabinette 0 sitzt der eine Gehülfe, vor zwey Astronomischen Pendel-Uhren, und schreibt sogleich, mit Bemerkung der Zeit, die fortgehenden Beobachtungen des Astronomen nieder. Im Kabinette G aber sitzt der andere Gehülfe, und giebt dem Telescop durch einen Mechanismus die feinsten Richtungen nach der Direction des Astronomen. Die Wirkungen dieses ungeheuren Telescops sind erstaunlich und haben der neuen Sternkunde unendlich genutzet.~~
Ad00341 03 008a/freMélanges, XII. Vol. III. No. 6.
TELESCOPE DE MR. HERSCHEL.
Le télescope prodigieux de Mr. Herschel, celèbre astronome Anglois, est établi a Slough à vingt lieues angloises de Londres. C'est par cet instrument étonnant que ce grand homme découvrit la nouvelle planète Uranus et quantité d'autres nouvelles étoiles. C'est un des télescopes à miroir, comme on les appelle, auquel Mr. Herschel donna une toute nouvelle construction, et comme à cause de sa grandeur énorme et pour le méchanisme de le traiter, il ne pouvoit être transporté en aucun bâtiment, il se trouve à l'air avec son echaffaudage également énorme et ingénieux, comme nous le voyons ici. Pour l'échaffaudage, il a 50 pieds de hauteur et sa base ronde à 40 pieds de diamètre. Son piédestal C se meut sur de forts rouleaux au dessus d'un fondarnent fort uni de pierres A et presque au rez de chaussée. C'est sur ce piédestal et sur se fondement, qu'il y a deux couples d'eschelles doubles, CC, BB et DC, affermies en haut par la traverse CB et par le reste des arcs boutans des liens, et de la charpenterie ingénieuse qui forment une espèce de pyramide. Entre ces deux couples d'échelles se trouve le tube prodigieux da télescope fait de fer battu J long de 39 pieids 4 pouces, large de 4 pieds 10 pouces, suspendu par le moyen de chaines et de cordes qui passent, par plusieurs poulies, et ont de la communication en bas avec les guindas F, G et H, méchaniques, de sorte que c'eft par là qu'on peut très facilement et par une seule main dresser, baisser et hausser, selon la situation des étoiles, ce tube énorme qui pese au de-là de 4000 livres, et de l'intérieur duquel on descend par des dégres. En bas, dans le fond du tube, se trouve le miroir de métal avant 49 pouces de diamètre et pesant. 2118 livres, qui à l'occasion de chaque obfservation y est mis de nouveau. Dans le pannier K qui à chaque inclination du tube est place horizontalement par la perche courbée à dents L est assis l'astronome voyant en bas dans le grand miroir par l'oculaire placé au bord du tube. M et N sont encore deux autres fièges pour l'astronome desquels il a besoin en de certaines occasions. De là il peut lui-meine très facilement régler le télescope par la manivelle Q. É est une petite galerie pour, le roi ou pour quelques autres amateurs de l'astronomie qui veulent observer quelque phénomène au ciel. En ce cas cette galerie peut être haussée en guindant jusqu'à l'ouverture du télescope. Sur le fondement de l'échaffaudage il y a à l'un et à l'autre côté du télescope deux cabinets. 0 et G, où du siege K et de la bouche de l'astronome descendent deux porte-voix, par lesquelles il peut dire à ses aides ses observations ou ses directions. Dans le cabinet 0 l'un des aides, assis vis à vis de deux pendules astronomiques, met aussitôt par écrit les obfervaiions suivies de l'astronome en y notant précisément le tems. L'autre aide assis dans le cabinet G donne au télescope par quelque méchanisme les situations les plus délicates sur la direction de l'astronome. Les effets étonnants de ce télescope prodigieux ont infinement avancé les progrès de l'astronornie moderne.
Ad00341 03 009aNo. 1. Der Pisang. (Musa paradisiaca L.)~~Der Pisang, diess prächtige Gewächs, ist mehr ein Schilf als ein Baum; denn sein Saft ist nicht holzig, sondern weich, und besteht aus lauter grünen Blättern wie ein Schilf. Er ist in dem heissen Afrika, in Ost- und West-Indien zu Hause, treibt einen bis 20 Fuss hohen Stamm, und hat ungeheuer grosse, oft 10 Fuss lange und 4 Fuss breite papierartige hellgrüne Blätter. Aus seinem Gipfel treibt ein langer schwanker Stengel hervor, dessen Spitze fahlröthlich und gelb immerfort blüht, und an welchem sich hernach hinter der Blüthe traubenförmige Klumpen von langen gelbgrünen Früchten ansetzen, die wie Gurken aussehen (Fig. a.), inwendig ein grüngelbes Fleisch und schwarze aber taube Kerne haben und vor treflich schmecken. Die Pflanze selbst dauert nur ein Jahr, und stirbt ab, sobald die Früchte reif sind. Aus dem Safte der Früchte, die den Bewohnern der heissen Länder zur gewöhnlichen Nahrung dienen, wird auch durch Gährung ein geistiges Getränk bereitet; der Stamm aber, der viele Fasern hat, wird wie Flachs verarbeitet. Man findet die Pisangs auch in Teutschland häufig in den Treibhäusern der Gärten.~~No. 2. Der Papay- oder Melonen-Baum. (Carica Papaya. L.)~~Der Papay- oder Melonen-Baum wächst in Ost- und Westindien, und trägt ziemlich grosse gelbgrüne Früchte, die wie Melonen aussehen, und eben auch roh oder gesotten gegessen werden. Sie haben innerlich gelbes Fleisch und schwarze Kerne (Fig. b). Der Baum selbst wird 18 bis 20 Fuss hoch, hat einen grünen, innerlich hohlen Stamm, und keine Aeste, sondern treibt, wie die Palmen, seine grossen Fächerförmigen Blätter unmittelbar aus seinem Gipfel hervor. Zwischen den Blättern kommen aus dem Stamme kleine weissliche Blüthen hervor, und von diesen setzen sich hernach die Früchte rund um den Stamm herum an. Der Bast des vertrockneten Baumes dient zu Stricken, und der hohle Stamm zu Dachrinnen. Die Negern brauchen die Blätter statt der Seife zum Waschen, die Stiele der Blätter aber, welche auch hohl sind, zu Tabaks-Pfeifen-Röhren.~~
Ad00341 03 009a/frePlantes. LII. Vol. III. No. 7.
PLANTES DES PAYS CHAUDS.
No. 1. Le Pisang.
Le Pisang, cette plante superbe, tient plus de la nature des roseaux que des arbres, sa lige n'étant pas ligneuse et ayant des feuilles vertes comme le roseau. Il nait en Afrique et dans les deux Indes, pouffe une tige jusqu'à 20 pieds de hauteur et a des feuilles d'une grandeur prodigieuse, qui sont fouvent longues de 10 pieds, et larges de 4 pieds, feinblables à du papier et d'une couleur verte claire. De son sommet il pouffe une flèche longue et flexible dont l'extrémité fauve rougeâtre et jaune est toujours en fleurs; derrière la fleur se forment ensuite des masses à forme de grappes composées de fruits longs d'un verd jaune, qui ont l'air des concombres (Fig. a.). Les fruits ont une chair d'un verd jaune, des graines noires et creuses, et sont d'un goût excellent. Cette plante ne dure qu'un an et s'éteint dès que les fruits en sont mûrs. Du suc de ces fruits qui sont la nourriture ordinaire des habitans des pays chauds, se prépare aussi par la fermentation une boison fpiritueuse, et la tige de cette plante qui a quantité de fibres, est traitée en lin; On trouve les pisangs même fréquemment en Allemagne dans les serres des jardins.
No. 2. Le Papayer.
Le Papayer nait dans les deux Indes et porte des fruits affez grands d'une couleur verte jaune, qui ont l'air des mêlons et sont mangés de même cruds ou cuits. Ces fruits ont une chair jaune et des graines noires (Fig. b.) Le Papayer prend une hauteur de 18 à 20 pieds, a une tige verte et creuse et point de branches. Il pousse ses grandes feuilles en éventait immédiatement de son sommet comme le palmier. De ses fleurs petites et blanches, qui sortent de la tige entre les feuilles, se forment les fruits tout autour de cette tige. De l'écorce de l'arbre déseché se sont des cordes, et le. tronc creux fert à en faire des gouttières. Les feuilles servent aux négres de savon pour laver, et les queues creuses de ces feuilles à on faire des tuyaux de pipes à fumer.
Ad00341 03 010aDer Hase lebt fast in allen Welttheilen in den gemässigten Zonen. Sein Fleisch, ist ein wohlschmeckendes Wildpret, und sein Balg giebt zwar kein vorzügliches Pelzwerk, aber die Haare davon sind für die Hutmacher zu feinen Filzen eine sehr schätzbare Handelsware. Es giebt mehrere Arten von Hasen.~~No. 1. Der gemeine Hase. (Lepus timidus. L.)~~Der gemeine Hase ist ohngefähr 2 Fuss lang, graugelb von Farbe, und lebt vorzüglich in Europa. Er nährt sich in den Feldern vorzüglich von junger Saat und Gemüse. Er ist scheu und furchtsam, und kann nie ganz zum Hausthiere gemacht werden. Eine seltene und wunderbare Spielart von dem gemeinen Hasen ist~~No. 2. Der gehörnte Hase.~~Man findet zuweilen, obgleich selten, allerdings dergleichen Hasen, jedoch nur einzeln, und nicht als eine eigene Gattung. Ihr Gehörn, das wahrscheinlich ein blosses Naturspiel ist, ist ohngefähr so gross als das Gehörn von einem Rehbocke. Man zeigt dergleichen Hasen-Gehörne in Naturalien-Kabinetten als eine Seltenheit.~~No. 3. Der nördliche weisse Hase. (Lepus variabilis. L.)~~Der weisse Hase ist um den vierten Theil grösser als der gemeine, nur im Winter weiss, im Sommer aber grau. Er bewohnt Schottland, Schweden, Liefland und überhaupt die kältern Gegenden von Europa, Asien und Amerika. Sein weisser Winter-Balg ist ein mittelmässiges Pelzwerk; sein Fleisch aber schlechter als vom gemeinen Hasen.~~No. 4. Der Wabasch. (Lepus Americanus. L.)~~Der Wabasch oder Amerikanische Hase ist nur von der Grösse eines Kaninchens, und lebt vorzüglich in Nord-Amerika an der Hudsonsbay. Er ist im Sommer graubraun, wird aber auch im Winter weiss, und wohnt meistens in hohlen Bäumen.~~No. 5. u. 6. Das Kaninchen. (Lepus Caniculus. L.)~~Das Kaninchen ist eigentlich in wärmeren Gegenden, und sonderlich in Spanien und Italien zu Hause, hat sich aber über ganz Europa verbreitet, weil es sich erstaunlich schnell vermehrt. Es ist nur 13 Zoll lang und man findet es sowohl wild (Fig. 5.), wo es braungrau aussieht, und in Steinklüften und Erdröhren, die es sich gräbt, lebt; als auch zahm (Fig. 6.) schwarz, weiss und schäckigt, wo es in den Häusern gehalten und genährt wird. Die nutzbarste Gattung davon ist~~No. 7. Das Angorische Kaninchen, oder der Seidenhase.~~Diese Kaninchen-Art stammt aus Angora in Syrien ab, hat langes seidenartiges Haar, welches dasselbe fast alle Monate abwirft, und woraus die schönsten und weichsten Tücher, Strümpfe, Handschuhe, Hüthe und andere dergl. Waaren gemacht werden. Man hat sie gelb, grau, schwarz, weiss und bunt, und zieht sie dermalen schon allenthalben in Teutschland mit Sorgfalt; weil ihr vortreffliches Seidenhaar als einheimisches Product vollkommen die theure Amerikanische Vigogne Wolle ersetzt.~~
Ad00341 03 010a/freQuadrupèdes. L. Vol. III. No. 8.
LIEVRES ET LAPINS.
Le lièvre se trouve dans les Zones tempérées de presque toutes les parties du monde. Sa viande est un gibier de bon gout. Sa peau ne fournit pas une fourrure bien précieuse, mais le poil en est une marchandise très eftimable pour ]ps chapeliers qui s'en fervent pour en faire de fins feutres. Il y a plusfieurs espèces de lièvres.
No. 1. Le lièvre ordinaire.
Le lièvre ordinaire d'une couleur gris jaune a environ deux pieds de longueur et vit principalement en Europe. 11 se nourrit dans les champs, et surtout de jeunes bleds et légumes en herbe. Il est timide et peureux, et il n'y a pas moyen d'en faire un animal parfaitement domeftique.
No. 2. Le lièvre cornu.
Le lièvre qui se trouve bien rarement et par individus, est une variété bien singulière de l'espèce précédente, Ses cornes qui ne sont probablement qu'un jeu de nature, sont à peu près de la grandeur de celles d'un chevreuil. On en fait voir comme des raretés dans des cabinets de curiosités de la nature.
No. 3. Le lièvre blanc du Nord.
Le lièvre blanc, qui passe d'un quart en grandeur le fièvre ordinaire, est blanc en hiver et gris pendant l'été. Il se trouve en Ecosse, en Suède, en Livonie et généralement dans les climats plus froids de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique. Sa peau à poil blanc est une fourrure d'un valeur médiocre, mais la viande en est inférieure à celle d'un lièvre ordinaire.
No. 4. Le lièvre d'Amérique.
Le lièvre d'Amérique qui n'est pas plus grand que le lapin, se trouve principalement dans l'Amérique feptentrionaîe aux environs de la bay d'Hudfon. Il est gris-brun pendant l'été, et en hiver il prend aussi une couleur blanche. Ce sont ordinairement des arbres creuses où il aime à demeurer.
No. 5. et 6. Le lapin.
Le lapin est originairement naturel dans les climats plus chauds, principalement en Espagne et en Italie; mais se multipliant d'une vileue étonnante son espèce se trom è répandue dans toute l'Europe. Il n'a que 18 pouces de longueur. Le lapin fauvage (Fig. 5.) est d'une couleur grise brune et demeure dans des cavernes de rochers et dans des tuyaux de terre qu'il creuse. Le lapin domestique (Fig. 6.) qui est noir blanc et tacheté, est entretenu et nourri dans les maisons.
No. 7. Le lapin d'Angore.
Le lapin de cette espèce, qui est la plus utile, vient originairement d'Angore en Syrie. II a un poil soyeux, qu'il jette presque tous les mois, et dont se sont les draps les plus beaux, des bas, des gants, des chapeaux et d'autres marchandises semblables. Il y en a de jaunes, de gris, de noirs, de blancs et de piufieurs couleurs. Depuis quelque tems on les entretient avec foin en tous les lieux d'Allemagne, parce que son poil excellent sert à remplacer parfaitement la Vigogne bien chère d'Amérique.
Ad00341 03 011aDie Schwalben zeichnen sich unter allen Vögeln durch ihren sehr schnellen Flug, durch ihre Bildung und Lebensart besonders aus. Sie gehen fast gar nicht, als wozu ihre kleinen Füsse, gleichsam nur Haken, um sich anzuklammern, gar nicht gemacht sind. Sie halten sich gern am Wasser auf, nähren sich von Insecten, die sie im Fluge fangen, und leben fast im beständigen Fluge. Ihre Nester bauen sie aus nassen Lehm, Mist und Stroh, und kleben sie zum Theil an die Häuser unter die Dächer. Im Winter ziehen sie theils in grossen Schaaren fort in warme Länder, theils bleiben sie auch bey uns, und erstarren klumpenweise in hohlen Bäumen, alten Mauerwerk, oder im Wasser. Im Frühlinge wird ihre Wiederkunft für ein Kennzeichen des angehenden guten Wetters gehalten. Man kennt bis jetzt 37 Gattungen in- und ausländischer Schwalben. Die bekanntesten bey uns sind folgende.~~No. 1. Die Rauchschwalbe. (Hirundo rustica. L.)~~Die Rauchschwalbe ist 6 Zoll lang, Kopf, Rücken und Brust sind schwarz, der Bauch weiss, Flügel und Schwanz dunkel stahlblau schillernd, Kehle und Stirn rothbraun. Sie baut ihr offenes Nest an die Dachgiebel und auf den Dörfern in die Vorhäuser und Ställe, weil sie gerne bey Menschen lebt. Sie brütet jährlich zweymal, und die Stimme der Männchen ist ein schwaches angenehmes Zwitschern.~~No. 2. Die Mauerschwalbe. (Hirundo apus. L.)~~Die Mauerschwalbe (Steinschwalbe, Thurmschwalbe) ist 8 Zoll lang, schwärzlich von Farbe, mit weisslichter Kehle und Stirn, lebt einsam in Thürmen, und hohen alten Gemäuern und Ruinen, wo sie nistet und meistens nur Abends und Morgens ausfliegt. Sie fliegt pfeilschnell, und brütet jährlich nur einmal.~~No. 3. Die Hausschwalbe. (Hirundo urbica. L.)~~Die Hausschwalbe (Mehlschwalbe) lebt gern in den Städten, wo sie ihr rund zugewölbtes Nest an den Häusern, unter die Dächer meist über die obersten Fenster macht. Sie ist nur 5 1/2 Zoll lang, und kleiner als die Rauchschwalbe. Kopf, Nacken, Flügel und Schwanz sind bräunlich schwarz, Kehle, Brust, Rücken und Füsse aber weiss. Sie brütet des Jahres 3 mal, und kommt im Frühlinge zuerst bey uns an.~~No. 4. Die Uferschwalbe. (Hirundo riparia. L.)~~Die Uferschwalbe (Erdschwalbe) ist 4 3/4 Zoll lang, grau, Kehle und Bauch weiss, hält sich an den Ufern der Flüsse auf, und nistet in ihren hohen Ufern in Löchern in der Erde. Sie brütet jährlich nur einmal, und zieht im Herbste in wärmere Gegenden, oder überwintert bey uns im Schlamme. Das Fleisch der Jungen ist sehr wohlschmeckend.~~No. 5. Die Nachtschwalbe. (Caprimulgus Europaeus. L.)~~Die Nachtschwalbe oder der Ziegenmelker, ist weit grösser als alle andere Schwalben, 10 Zoll lang, bewohnt finstere Wälder bey uns, versteckt sich am Tage, weil sie wie die Eulen, wegen ihrer weiten Augen, das Tageslicht scheuet, fliegt daher bloss des Abends herum, und nährt sich von Nachtschmetterlingen, die sie mit ihrem weit geschlitzten Schnabel fängt. Sie ist grau, gelb und schwarz gesprenkeIt von Farbe. Die Sage, dass sie den Ziegen die Milch aussauge (woher sie auch den Nahmen der Ziegenmelker bekommen hat) ist ein lächerliches Mährchen.~~
Ad00341 03 011a/freOiseaux. XXIX. T. III. No. 9.
HIRONDELLES DE DIFFERENTES ESPECES
Parmi tons les oiseaux les hirondelles se signalent le pins par la rapidité cle leur vol, par leur ftmeture et par leur manière de vivre. Elles ne marchent presque point du.tont, à quoi leurs petits pieds, comme talons propres à ne faire que s'accrocher, ne sont nullement faits. Elles aiment à demeurer près des eaux, se nourrissent d'infectes qu'elles prennent en volant, et vivent presque toujours en vol. Pour leurs nids, elles les construisent avec de la terre graisse humectée, avec fumier et avec paille; elle les attachent en les cimentant au défions des toits des maisons. En hiver elles pailent en troupes confidérables dans les pays plus chauds. Mais il y en a qui restent chez nous et s'engourdissent en monceaux dans des arbres creux, dans des masures, ou dans les eaux. An printems leur rétour est pris pour un heureux présage de beau teins. On connoit jusqu'à préfent 37 espèces d'hirondelles exotiques et de nos climats, des quelles les fnivantes sont les plus connues.
No. 1. L'Hirondelle des prés.
Cette hirondelle a 6 pouces de longueur, la tète, le dos et la poitrine noirs, le ventre, les ailes et la queue changeants dç la couleur de l'acier bleu, la gorge et lé front bruns rouges. Elle bâtit ton nid ouvert aux faites, et dans les villages aux entrées des roaifons et aux étables, aimant à, vivre avec les hommes. Elle couve deux fois par an et le gazouillement feible du mâle n'eft nullement desagréable.
No. 2. L'Hirondelle de murailles.
L hirondelle de murailles a 8 pouces de longueur; elle est noirätre et a la gorge et le front blanchâtre. Elle vit solitaire dans les tours et dans les hautes masures et ruines, où elle fait son nid et d'où pour la plupart du tems elle ne sort que le matin et le soir. Elle vole rapidement et ne couve qu'une fois par an.
No. 3. Le Martinet.
Le martinet fe plait aux villes, où il établit son nid en voûte ronde au dessous des toits et pour la plupart au dessus des plus hautes fenêtres. Il na que 5 pouces et demi de longueur, et est plus petit que l'hirondelle des prés, il a la tète, le chignon, les ailes et la queue brunâtres noirs, mais la gorge, la poitrine, le dos et les pieds blanc. Il couve trois fois par an, et arrive le premier chez nous au printems.
No. 4. L'Hirondelle d' au.
L'hirondelle d'eau est longue de 4 3/3 pouces. Elle est grise et a la gorge et la ventre blanc. Séjournant sur les rives des fleuves, elle y fait son nid dans des trous de la terre et ne couvé qu'une fois par an. En automne elle passe dans les climats plus chauds ou demeure chez nous dans le limon pendant l'hiver. La viande des petits est de très-bon gout.
No. 5. Le Crapaud volant ou la Tette-chèvre.
Le crapeaud volant ou la grande hirondelle est infiniment plus grand que le reste des hirondelles, ayant 10 pouces de longueur. Chez nous il habite dans des forêts fombres, où il se cache pendant la journée, craignant le jour comme les chouettes pour l'es yeux fendus et ne volant pour cela que le foir. Il 'se nourrit de papillons de nuit qu'il Taisit avec son bec largement fends. Il est gris, tacheté de jaune et de noir. La tradition qu'il tette les chèvres, d'où il a pris son nom, n'est qu'un conte.
Ad00341 03 012aDer Kopf einer Stuben-Fliege ist ein so bewundernswürdiger Gegenstand, als alle Werke des Schöpfers in der unermesslichen Natur. Wir wollen ihn hier zergliedert, und mit Hülfe des Mikroscops vergrössert genauer betrachten, und seinen wunderbaren Bau kennen lernen.~~No. 1. Die Stuben-Fliege, natürliche Grösse. (Musca domestica. L.)~~No. 2. Der Kopf einer Fliege, vergrössert dargestellt.~~Diese Figur zeigt die beyden hemisphärischen Augen der Fliege, welche unbeweglich stehen, und eigentlich, wie alle Insecten-Augen, aus einer ungeheuren Menge, in einem rautenförmigen Netze, nebeneinander stehender einzelner Augen, bestehen, so dass vermittelst derselben die Fliege vor sich, über sich, neben sich und hinter sich zugleich sehen kann.~~No. 3. Der Kopf einer Fliege, noch mehr vergrössert.~~Diese Figur zeigt den Kopf der Fliege, wie er durchaus mit stachlichten Haaren besetzt ist; ihre Fühlhörner, und ihren Saugrüssel oder Zunge.~~No. 4. u. 5. Die Zunge der Fliege in doppelter Gestalt.~~Der Rüssel oder die Zunge hat in der Mitte ein Gelenk, und ihre Spitze besteht aus einem fleischigten Lappen mit einem beweglichen Haken, mit welchem sie allerhand Dinge fassen und halten kann, wie Fig. 4. zeigt. Dieser fleischigte Lappen thut sich durch ein neues Gelenk auf, und wird noch einmal so lang, wenn sie etwas auffangen will. In diesem Falle legt sie diese Zunge breit an die Flüssigkeit, wie man Fig. 5. sieht.~~No. 6. Die Hornhaut eines Fliegen-Auges, natürl. Grösse.~~No. 7. Dieselbe beträchtl. vergrössert.~~Die vergrösserte Figur zeigt deutlich welch eine Menge einzelner Augen, oder Seh-Organe, in einer netzförmigen Verbindung auf dem halbkugelförmigen Auge einer Fliege stehen. Diese Augen putzt die Fliege sehr oft mit ihren beyden borstigen Vorderfüssen ab, um sie immer klar und hellsehend zu erhalten. Diese Hellsichtigkeit von allen Seiten sichert wiederum die Fliege und andere Insecten dafür, dass sie nicht so leicht von ihren Feinden überrascht werden können.~~
Ad00341 03 012a/freInsectes. XIV. Vol. III: No. 10.
LA TÊTE D'UNE MOUCHE.
La tête d'une mouche ordinaire est un objet aussi admirable que tous les ouvrages du créateur,
répandus dans l'immensité de la nature. Nous allons la regarder analisée et grossie pour en connoître la structure merveilleuse.
No. 1. La mouche ordinaire en grosseur naturelle.
No. 2. La tête d'une mouche réprésentée grossie.
Cette figure fait voir les deux yeux hémisphériques et immobiles delà mouche, composés, comme tons ceux des insectes, d'un nombre étonnant d'yeux, l'un rangé h côté de l'autre, dans un filet à facettes, de sorte que la mouche peut voir en toute direction possible.
No. 3. Tète d'une mouche grossie davantage.
Cette figure représente la tète de la mouche partout hérissée de poils, puis ses antennes et sa trompe.
No. 4. 5. Trompe de la mouche représentée d'une manière double.
La trompe a au milieu une jointure et l'extrémité en est composée d'un lobe charnu à Crochet mobile, dont elle peut prendre et tenuferme plusieurs sortes de choses, comme fait voir Fig. 4. La longueur de ce lobe charnu, lequel s'ouvre par le moyen d'une jointure intérieure, va se doubler quand la mouche veut sucer quelque chose; alors elle élargit la trompe en l'appliquant à la fluidité, comme on voit Fig. 5.
No. 6. La cornée d'une mouche réprésentée d'après nature.
No. 7. La même grossie.
La figure grossie montre bien clairement quel nombre prodigieux d'organes optiques est léuni dans un filet à facettes sur l'oeil hémisphérique. La mouche aime à nettoyer souvent ces yeux par ses deux pieds de devant hérissés, pour avoir toujours la vue bien éclaircie. Cette clairvoyance qui s'étend de tous côtés, fert très bien à défendre la mouche et d'autres sortes d'insectes, contre l'attaque de leurs ennemis.
Ad00341 03 013aDas Bisamthier. (Moschus moschiferus L.)~~No. 1. Das Männchen. No. 2. Das Weibchen.~~Das Bisamthier hat die Gestalt und Grösse eines halbwüchsigen Rehes; doch hat es einen etwas dickern und runderen Kopf, kein Gehörn, und das Männchen zwey lange abwärts stehende, hervorragende krumme Zähne. Es ist braun, gelblich, weiss und schwarz gezeichnet und sehr zierlich gebauet. Es lebt einsam in den Nadelwäldern und hohen bergigten Gegenden von Tibet und dem südlichen Sibirien, ist sehr schüchtern, wild und schnell, verkriecht sich in den höchsten Felsenklippen, und nährt sich von Laube und Moose. Von diesem Thiere kommt die bekannte kostbare Spezerey, der Moschus, welcher sowohl als Arzney als auch zum Parfümiren gebraucht wird. Diesen führt allein das Männchen in einem Beutel von der Grösse eines Hühner-Eyes hinter dem Nabel. Es sind lauter schwarze Körnchen, die wie geronnenes Blut aussehen, einen scharfen bitteren Geschmack, und einen erstaunlich starken und unendlich theilbaren Geruch haben; so dass man es viele Jahre lang noch nachher riechen kann, wo nur ein unendlich kleines Stückchen gelegen hat. Der Tibetanische Moschus ist der beste; er wird aber häufig verfälscht.~~No. 3. Das Indianische Moschus. (Moschus Indicus.)~~Diess Moschus-Thier ist weit kleiner als das vorige, kaum 1 1/2 Fuss lang, sehr schön braun, weiss und gelb gefleckt, und hat keine krummen Stosszähne, wie das grössere Bisamthier Es lebt in der wärmeren Gegend von Ostindien, und nährt sich übrigens wie das vorige.~~No. 4. Das Zwerg-Moschus. (Moschus Pygmaeus. L.)~~Diess kleine überaus zierliche Thierchen lebt sowohl in Guinea in Afrika als auch in Ostindien. Es hat die Gestalt eines Rehes, ist aber kaum 9 1/2 Zoll lang, und dabey so zart, dass seine Beine kaum einen kleinen Finger lang sind, und ohngefähr die Dicke einer schwachen Federspule haben. Man fasst daher auch diese kleinen Rehfüsschen in Silber oder Gold, und braucht sie als Tabacksstopfer.~~
Ad00341 03 013a/freQuadrupèdes. LI. Vo. III. No. 11.
LE MUSC.
Le Musc de Tibet.
No. 1. Le mâle. No. 2. La femelle.
Le Musc a la figure et la grandeur d'un chevreuil, qui n'a que la moitié de son accrossement; il a pourtant la tête un peu plus grosse et ronde que celui-ci, et il n'a point de cornes. Le mâle a deux dents longues, avancées et courbées en bas. Il est marqué de brun, de jaunâtre, de blanc, et de noir, et la structure de son corps est; très-élégante. Il vit solitairement dans les forêts de sapin et dans les contrées montagneuses de Tibet et de la Sibérie méridionale. Il est: fort timide, sauvage et agile, se cache dans les fentes des rochers les plus hauts, et se nourrit de feuilles et de mousses. Ce n'est que du mâle que l'on tire la drogue précieuse et bien connue, le musc, dont on fait usage dans la médecine et dans les parfums. Il porte cette drogue dans une bourse de la grandeur d'un oeuf de poule, derrière le nombril. Ce ne sont que de petits grains noirs, qui ont l'air du fang coagulé, sont d'un goût piquant et amer, et ont une odeur extrêmement forte et infiniment divisible, de sorte que même après un grand nombre d'années on peut sentir où il y en a eu un morceau infiniment petit. Le meilleur musc est celui de Tibet, mais il est très-souvent falsisié.
No. 3. Le Musc d'Inde.
Ce Musc est beaucoup plus petit que le précédent, ayant à peine 1 1/2 pieds de longueur. Il est très-joliment; tacheté de brun, de blanc et de jaune, et n'a point de dents avancées et courbées comme le musc de Tibet. Il vit dans les contrées les plus chaudes des Indes orientales, et se nourrit comme le précédent.
No. 4. Le Musc nain.
Ce petit animal d'une taille extrêmement mince et jolie vit dans la Guinée en Afrique, et dans les Indes orientales. Il a la figure d'un chevreuil, mais il est à peine long de 9 1/2 pouces. Ses jambes ont la longueur d'un petit doigt et à peu près l'epaisseur d'un tuyau de plume; c'est pourquoi on en fait des tampons de pipe garnis d'or et d'argent.
Ad00341 03 014aNo. 1.-6. Menschenhaut.~~Unsere Haut ist, wenn wir sie genau untersuchen, ein wunderbares Gewebe von einer unzählichen Menge der feinsten Fibern, und zeigt uns, wenn wir sie durch ein Vergrösserungsglas betrachten, lauter Linien, Risse, Falten, Schweisslöcher und Schuppen. Schon mit blossen Augen können wir die gröbere Bildung der Haut sehen, wie z.E. Fig. 1. das obere Glied eines Zeigefingers hier darstellt; welches vergrössert in Fig. 2. schon ganz anders erscheint. Bringt man aber ein kleines Stückchen der feinsten Oberhaut (Epidermis) Fig. 3. unter ein Mikroscop, so zeigt es sie wie Fig 4., mit einer unzählichen Menge kleiner Schuppen besetzt, die, noch mehr vergrössert, länglicht und alle doppelt Fig. 5. erscheinen. Auf dem noch mehr vergrösserten Stückchen Haut Fig. 6. aber, das aus der innern Hand genommen, und in der Natur auch nicht grösser als Fig. 3. war, zeigen sich die Schweisslöcher nach ihrer Ordnung und Stellung überaus schön; und man muss den allmächtigen Schöpfer bewundern und anbeten, der auch an unserm Körper Alles so schön und weise ordnete.~~No. 7. 8. 9. Menschenblut.~~Unser Blut, der edelste Theil der Säfte unseres Leibes, besteht aus einer Mischung von zwey ganz verschiedenen Substanzen, nemlich aus dem rothen eigentlichen. Blute (Cruor) und dem Blutwasser (Serum), welche sich, sobald das Blut ausser den Adern ist, leicht von einander trennen. Der rothe Theil des Blutes besteht aus lauter unendlich kleinen Kügelchen, wie wir in der Vergrösserung eines Tröpfchen Bluts, Fig. 7. sehen, und gerinnt leicht, in welchem Falle sich das Blutwasser von ihm trennt, wie eben diese Figur zeigt, wo das Blutwasser sich in gelbe Aeste zusammen gezogen hat. - Das Blutwasser hingegen, davon Fig. 8. ein Tröpfchen in natürlicher Grösse, und Fig. 9. vergrössert zeigt, sieht flüssig blassröthlich aus, und enthält Salze, besonders Salmiak und Kochsalz-Theilchen, welche sich sogleich in angeschossenen Krystallen zeigen, wenn man ein Tröpfchen Blutwasser auf einer Glasscheibe auftrocknen lässt, und hernach durch ein Mikroscop betrachtet, wo es sich dann wie Fig. 9. zeigt.~~
Ad00341 03 014a/freMélanges. XVIII. Vol. III. No. 12.
PEAU ET SANG D'HOMME.
No. 1.-6. Peau d'homme.
La Peau de notre corps exactement observée,paroit comme un tissu merveilleux d'un nombre incroyable des fibres les plus fins; et vue par le microscope, elle nous répréfente un ensemble composé de lignes, de gerçures, de plis, de pores et d'écaillés. C'ert même à l'oeil nud que s'observe la formation de la peau, quoique d'une manière superficielle et grossière, comme par exemple Fig. 1. represente celle de la jointure supérieure d'un doigt; mais grossi en Fig. 2. elle paroit bien autrement. Un petit morceau de l'épiderme Fig. 3. se montre sous le microscope comme Fig. 4. convert d'un nombre infini de petites écailles, qui grossies par un microscope plus fort, paroissent oblongues et doubles, Fig. 5. Mais sur le petit morceau de peau grossi plus encore, Fig. 6., et pris des l'intérieur de la main, se montrent les pores dans leur ordre admirable et dans leur arrangement excellent, de forte qu'on ne peut f empêcher d'admirer et d'adorer le Créateur tout-puissant, qui même dans la texture extérieure de notre corps, a su disposer tout d'une manière si belle et si sage.
No. 7. 8. 9. Sang d'homme.
Notre Sang, la partie la plus précieuse des humeurs de notre corps, est composé d'une mélange de deux substances bien différentes; c'eit à dire, de la partie rouge, dit proprement fang, et de la partie plus pale, nommée Serum. Lorsque le sang n'est plus dans le corps, ces deux parties constituantes se séparent facilement. La partie rouge est composée de globules infiniment petits, comme nous voyons dans le grossissement microscopique d'une petite goutte, Fig. 7. Elle se coagule très-aisement, et dans ce cas le serum s'en sépare, comme fait voir la même figure, où le serum paroit concentré et réduit en forme de branches jaunes. Mais le serum dont se montre une goutte en grosseur naturelle Fig. 8, et grossie Fig. 9. paroit fluide, rouge, morte de couleur, et contient des parties de sel, principalement du sel ammoniac et du sel commun, qui se montrent d'abord sous la forme de cristaux, quand on régarde par le microscope une goutte de serum fechée sur un vitre, ou elle paroit comme la Figure 9.
Ad00341 03 015aDie Meilen sind kleine, muntere und sehr nützliche Vogel, weil sie sich vorzüglich von Insecten und ihren Eyern nähren, und daher Sommer und Winter hindurch eine unglaubliche Anzahl Raupen und ihre an den Baumrinden klebenden Eyer vertilgen. Sie scheinen eben vom Schöpfer dadurch, dass sie sehr fruchtbar sind, 18 bis 20 Eyer legen, und sich also sehr vermehren, dazu bestimmt zu seyn, die allzu grosse Vermehrung der schädlichen Insecten zu verhindern, und hierinn das Gleichgewicht im Gange der Natur erhalten zu helfen. Die vorzüglichsten bey uns bekannten Arten sind folgende.~~No. 1. Die Kohlmeise. (Parus major. L.)~~Ist nicht allein bey uns, sondern fast in der ganzen alten Welt zu finden. Sie ist 5 1/2 Zoll lang. Kopf und Bauch sind schwarz, die Schläfe weiss, Nacken und Seiten gelb, Rücken und Schwanz blaugrau. Sie bleibt über Winter bey uns, und brütet jährlich dreymal.~~No. 2. Die Blaumeise. (Parus coeruleus. L.)~~Sie bewohnt ganz Europa, und ist sehr schön gezeichnet. Stirn und Backen weiss, Scheitel und Flügel hochblau, der Bauch gelbgrau. Sie brütet jährlich nur einmal, legt aber bis 22 Eyer und vertilgt sonderlich die an den Aesten der Fruchtbäume klebenden Eyer der schädlichen Ringel-Raupe.~~No. 3. Die Sumpfmeise. (Parus palustris. L.)~~Ist so gross als die vorige; der Kopf schwarz, Rücken und Schwanz braun-grau, Hals und Brust gelblich-weiss. Sie lebt einsam, mehr in Wäldern als Gärten, und liebt sumpfigte Orte.~~No. 4. Die Schwanzmeise. (Parus caudatus. L.)~~Sie ist 5 1/2 Zoll lang, der Schwanz länger als der Körper; Scheitel weiss, und der übrige Körper gelb, schwarz und grau gezeichnet. Sie bewohnt Europa und Westindien, ist sehr unruhig und lebhaft, klettert an den Bäumen wie ein Specht, und baut ein sehr kunstreiches freyhangendes Nest.~~No. 5. Die Tannenmeise. (Parus ater. L.)~~Sie bewohnt in Europa und Nordamerika Wälder und Gärten, ist 4 Zoll lang; der Kopf schwarz, Nacken und beyde Seiten der Brust weiss, Rücken, Flügel und Schwanz grau.~~No. 6. Die Haubenmeise. (Parus cristatus. L.)~~Bewohnt ganz Europa, ist 4 Zoll lang, ihre Farbe röthlich-grau; um den Hals hat sie einen schwarzen Ring, und auf dem Kopfe einen schwarz und weissen Federbusch. Sie hält sich nur in grossen Fichtenwäldern auf, lebt einsam, und lässt sich nie zahm machen.~~No. 7. Die Bartmeise. (Parus biarmicus. L.)~~Lebt in Europa und im mittlern Asien, an den Ufern der Flüsse im Schilfe, von dessen Saamen sie sich nährt. Sie ist 6 Zoll lang, der Kopf grau, die Brust weiss, Rücken und Schwanz gelbbraun. Unter beyden Augen hat sie herabhängende schwarze dreyeckigte Federbüsche, welche wie ein Knebelbart aussehen.~~
Ad00341 03 015a/freOiseaux. XXX. Vol. III. No. 13.
MÉSANGES DE PLUSIEURS ESPÈCES.
Les Mésanges sont dés oiseaux petits, alertes et bien utiles, parce qu'elles le nourrissent
principalement d'insectes et d'oeufs d'insectes, et detruisent par là un nombre incroyable de chenilles et de leurs oeufs attachés a l'écorce des arbres. Comme elles pondent dix-huit à vingt oeufs et se multiplient d'une fécondité étonnante, le créateur semble les avoir destinées à empêcher la production trop grande des insectes nuisibles, et pour soutenir la balance dans la marche de la nature. Les espèces les plus connues chez nous sont les suivantes.
No. 1. La Charbonniere.
La Charbonnière ne se trouve pas feulement chez nous; elle vit dans tout le monde ancien. Elle a 5 1/2 pouces de longueur; la tête et le ventre sont noirs, les tempes blanches, la nuque et les côtes sont jaunes, le dos et la queue d'un gris bleu. Elle séjourne chez nous pendant l'hiver et couve trois fois par an.
No. 2. La mésange bleue.
Elle fe trouve dans toute l'Europe et est trèsjoliment marquée, le front et les joues étant blanches, le sommet de là tête et les ailes d'un beau bleu d'azur et le ventre gris-jaune. Elle ne couve qu'une fois par an; mais elle pond jusqu' à vingtdeux oeufs, et détruit principalement les oeufs de la chenille annullaire, si nuisiblés, collés aux arbres fruitiers.
No. 3. La Nonnette cendrée.
Elle est aussi grande que la précédente. La tête est noire, le dos et la queue sont gris bruns, le gosier et la poitrine d'une couleur blanche jaunâtre. Elle vit solitairement, préfère les sorets aux jardins, et se plait dans des lieux marécageux.
No. 4. La mésange a longue queue.
Elle est longue de 5 1/2 pouces; la queue en est plus longue que le corps; le sommet de la tête est blanc, et le reste du corps marqué de jaune, de noir et de gris. Elle est naturelle en Europe et dans les Indes occidentales, est bien vive et agile, grimpe aux arbres comme le pic, et fait son nid librement suspendu avec beaucoup d'art.
No. 5. La petite Charbonnière.
Elle habite les forets et les jardins de l'Euro pe et de l'Amérique septentrionale, a quatre pouces de longueur, la tête noire, la nuque et les deux côtés de la poitrine blancs; le dos, les ailes et la queue sont grises.
No. 6. La méfange huppée.
Cette espèce se trouve dans toute l'Europe; elle est longue de quatre pouces et d'une couleur gris rougâtre; autour du cou elle a un anneau noir, et sur la tête une huppe noire et blanche. Elle paroit seulement dans des pinaies grandes, vit solitairement, et ne s'apprivoise jamais.
No. 7. La Moustache.
Elle vit en Europe et au fond de l'Asie moyenne, où elle se trouve aux rivages des fleuves dans le jonc, des graines duquel elle se nourrit Elle a 6 pouces de longueur, la tête grise, la poitrine blanche, le dos et la queue d'un brun jaune Sous l'un et l'autre oeil elle a des houppes penchantes, noires et triangulaires, femblables à une moustache.
Ad00341 03 016aNo. 1. Der Tulpenbaum (Liriodendron tulipifera. L.)~~Der Tulpenbaum ist ein Nordamerikanischer Baum, von ziemlicher Grösse und Dicke. Er ist besonders durch die Englische Garten-Anlagen und Pflanzungen in Deutschland berühmt worden, weil seine Tulpen-ähnlichen, grün-gelb und rothen Blüthen diesem Baume ein prächtiges Ansehn geben. Seine grünen Blätter gleichen zwar einigermassen den Ahorn-Blätter, sind aber vorn breit abgestutzt, und sehen aus als wenn man die Spitze mit einer Scheere gerade abgeschnitten hätte. Die Blüthen sind ohne Geruch. Der Saame bildet kleine, schuppigte Zapfen Fig. a. und liegt wie Dachziegeln übereinander. Der Baum selbst hat ein leichtes, weisses Holz, welches aber nicht sonderlich zu brauchen ist. Seine Rinde hingegen hat eine Arzneykraft, und wird wie Chinarinde gebraucht.~~No. 2. Der Sternanis. (Illicium anisatum. L.)~~Der Sternanis ist mehr Strauch als Baum, wächst in Japan und China, und trägt in braunen sternförmigen Kapseln (Fig. b.) einen braunen eyförmigen und mehligten Saamen, der ein angenehmes, süsses, und wie Anis schmeckendes Gewürz ist, und davon der Aufguss theils als ein angenehmer Thee getrunken, der Saame selbst aber besonders in Brandweinbrennereyen gebraucht wird. Der Baum blüht roth, und hat weidenähnliche Blätter. Der Sternanis ist eine Handelswaare, die theils über England, theils über Russland zu uns kommt, und besonders in den Apotheken als ein Arzneymittel für Brustkrankheiten geführt wird.~~
Ad00341 03 016a/frePlantes. LIII. Vol. III. No. 14.
PLANTES RÈMARQUABLES.
No. 1. Le Tulipier.
Le Tulipier croissant originairement dans l'A'meriqué septentrionale, est un arbre d'une hauteur et d'une grosseur assez considérable. C'eft principalement la culture des jardins et des plantations angloises, qui l'a fait connoître en Allemagne. Des fleurs vertes jaunes et rouges, en forme de tulipes, donnent à cet arbre un air superbe. Ses feuilles vertes ressemblent en quelque manière à celles de l'érable; mais leurs extrémités supérieures largement écourtées paroissent comme coupées tout net avec des cifeaux. Ses fleurs n'ont point d'odeur; fa sémence forme de petits tampons écailleux (Fig. a.) rangés les uns sur les autres, comme des tuiles. Cet arbre a un bois leger et blanc, qui est de peu d'utilité; mais l'écorce en est une drogue médicinale dont on se sert comme du Quinquina.
No. 2. L'arbre d'Anis des Indes.
L'Anisier des Indes est moins arbre qu'arbrisseau; il croit au Japon et dans la Chine et porte dans des capsules brunes et formées en étoiles, Fig. b., une fémence ovale et farineuse, laquelle est un arôme d'un goût agréable et doux, semblable à celui de l'anis. L'infusion en est prise comme un thé agréable; la sémence de cet arbre sert principalement aux distilateurs; ses fleurs sont rouges, et ses feuilles ressemblent à celles des saules. L'anis des Indes, venant cbez nous et par l'Angleterre et par la Russie, se vend dans les boutiques d'apothicaire, comme un de remèdes qui servent contre les maux de poi trine.
Ad00341 03 017aEine der merkwürdigsten Erscheinungen am Himmel zeigt uns der Planet Saturn, welcher ausser dem Uranus einer der entferntesten Planeten von der Sonne ist. Er ist 1030 mal grösser als die Erde, steht fast zehnmal weiter von uns ab als die Sonne, und vollendet seinen Kreislauf um die Sonne erst in ohngefähr 30 Jahren. Um in der grossen Entfernung von der Sonne noch das nöthige Licht zu seiner Beleuchtung zu erhalten, hat ihn der Schöpfer nicht allein 7 Monde, sondern auch zwey breite flache Ringe, welche seine Kugel frey umschweben, und sich um dieselbe bewegen, gegeben. Man kann diesen doppelten Ring des Saturns zwar nicht mit blossen Augen, wohl aber durch gute astronomische Fernröhre sehr deutlich sehen.~~No. 1. Saturn mit seinem Doppelringe.~~Wenn man den Saturn von unsrer Erde aus betrachtet, so erscheint er zuweilen ganz rund, hernach zeigt sich der Ring, als eine gerade Linie zu beyden Seiten des Planeten. Diese Linie wird immer breiter, bis sie sich endlich öfnet, und wie zwey Handhaben bildet, so dass man in ihrer grössten Breite sowohl zwischen dem innern Ringe und dem Körper des Planeten als auch zwischen den beyden Ringen selbst hindurch, und das dunkle Firmament sehen kann. Der grosse Englische Astronom Herschel entdeckte erst vor kurzem, dass es nicht ein einfacher sondern doppelter Ring, nemlich ein breiter und schmaler sey, welche neben einander liegen; so, dass wenn wir den Saturn von obenherab betrachten könnten, er mit seinen beiden flachen Ringen eigentlich wie Fig. 2. aussehen würde.~~Dass dieser Doppelring ein fester dunkler und blos von der Sonne erleuchteter Körper sey, beweist sein doppelter Schatten, den er auf den Körper des Saturns wirft, wie Fig. 1. zeigt. Seine Grösse ist sehr beträchtlich, denn sein ganzer Durchmesser ist fast 26 mal grösser als der Erddurchmesser. Seine Dicke hingegen ist sehr gering, und wegen der grössten Entfernung von der Erde nicht zu messen. Beyde Ringe sind auch von ungleicher Breite, denn der äussere ist kaum halb so breit als der innere.~~