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Ad00341 03 052a/freMélanges XIX. Vol. III. No. 50.
ANATOMIE DU BOIS.
Le bois le plus ferme et le plus dure n'est pas aussi massif et compacte qu'une pierre ou que da
métal. Comme il est une plante, qui croit, on trouve dans son intérieur beaucoup de vaisseaux d'une construction très régulière, qui par leurs fonctions mécaniques opèrent la croissance et la végétation de l'arbre. Chaque arbre est composé de trois parties principales, qui sont: 1) la moëlle, qui en est le milieu; 2) le bois, qui entoure la moelle et fait la partie la plus épaisse de l'arbre; 3) l' écorce, ou la partie extérieure et la plus mince qui entoure tout l'arbre, Chacune de ces trois parties principales a ses vaisseaux particuliers et ne consiste que dans un nombre prodigieux de fibres, de tuyaux de sève et de canaux d'air, qui sont tous arrangés dans l'ordre le plus parfait. La figure suivante nous en donne la preuve.
No. 1.b. Profil d'une branche de Pin.
Quand elle est grossie par le microscope on y remarque très distinctement toutes ses parties ou couches circulaires, ainsi que le vaisseaux dont elles sont composées. Fig. g. nous montre la moëlle, qni est d'une contexture molle et légère; Fig. f.f.f.f. sont des cercles condensés produits par les crûs annuels de l'arbre; on peut y'recounoitre son âge, et ils consistent dans des vaisseaux d'une contexture beaucoup plus serrée. Les Fig. i.i.i., marquent les séparations principales qui se trouvent entre les tuyaux de sève et qui sont autant de canaux d'air; elles se prolongent depuis Técorce jusqu'à la moëlle, Fig. b.b. sont les tuyaux de sève avec leurs fibres de bois.
No. 1.a. Un petit coupeau de bois fendu en long.
No. 2. Le même grossi.
No. 3. Un petit morceau du même grossi encore d'avantage.
Dans ces trois figures, qui représentent le bois coupé en long, on peut remarquer encore plus distinctement les différens vaisseaux- dont il vient d'être parlé. Fig. 1.a. montre le petit coupeaa de Pin dans sa grandeur naturelle, et sous Fig. 2. et. 3. il est représsenté fort grossi. Dans cet état,on y voit très distinctement les parties et vaisseaux suivans. Fig. a.a.a.a. sont des cordes horizontales de vaisseaux, qui entrelacent les cordes perpendiculaires et se lient avec elles très étroitement. Fig. b.b.b. sont les vaisseaux perpendiculaires, qui consistent en deux espèces, savoir en canaux d'air et en tuyaux de sève. Fig. c.c. sont ces canaux d'air, qui contiennent une quantité de petites boules semblables à des bouillons d'air, et Fig. d.d. sont les tuyaux de sève, dans lesquels le suc nourricieux de l'arbre monte en haut. Fig. k.k. sont des trous, ou des ouvertures plus grandes, qui se trouvent éparses dans les canaux d'air, et qui sont peutetre des sonpirails. que la nature y a placés, pour respirer l'air, ou pour quelque autre but utile. Combien cette construction intérieure du bois ne met-elle pas au grand jour la sagesse du créateur!
Ad00341 03 053aGrosser Feuer-Ausbruch im Jahre 1794.~~Unter den noch jetzt brennenden drey feuerspeyenden Bergen in Europa ist der Vesuv bey Neapel der wüthendste und gefährlichste für das umliegende Land. Er vergrub nicht allein schon zu Zeiten der alten Römer mehrere Orte, und unter andern die beyden Städte Herkulanum und Pompeja, unter seiner glühenden Asche, sondern verwüstet auch anjezt noch oft durch seine Feuer-Aschen- und Lava-Ausbrüche die ganze schöne Gegend um sich her. Er hat zwey Gipfel, nemlich, den eigentlicben Vesuv, auf dessen oberstem Kegel der jetzige Crater, oder die brennende Mündung des Vulkans ist; und zweitens die linker Hand liegende Somma, welche durch ein kleines Thal vom Vesuv geschieden ist, und jetzt keine brennende Mündung hat.~~Der Vesuv, dessen Merkwürdigkeiten wir hier auf etlichen Tafeln kennen lernen, hat in den neuern Zeiten mehr und heftigere Ausbrüche als sonst. Einer der neuesten und schrecklichsten war der im Iahre 1794 am 15ten Juny, dessen Anblick bey Nacht gegenwärtige Tafel zeigt. Er ist hier abgebildet, wie man ihn von Neapel aus welches 4 Meilen entfernt liegt, von dem Hafendamme über den Meerbusen, ohne Gefahr sah.~~Eine ungeheure Feuersäule steigt aus dem Gipfel gerade in die Höhe, schleudert Bimssteine und andere Felsenstücke weit umher, und durchbricht die schwarzen Dampfwolken, welche die ganze Gegend einhüllen, und aus welchen unaufhörlich weisse Blitze fahren. Ein beständiges Erdbeben erschütterte das Land viele Meilen weit umher. Dies grosse Schauspiel der Natur war fürchterlich und grausend. Mehrere Tage lang war der obere Theil des Berges ganz mit schwarzem Dampfe umhüllet; als aber das Toben etwas nachgelassen und der Dampf sich verzogen hatte, sahe man dass der sonst höhere Gipfel des Vesuvs mit dem Crater in die innern Schlünde des Berges eingestürzt, der Vesuv ganz flach worden, und nicht mehr höher als die Somma war.~~51
Ad00341 03 053a/freMélanges. XX. Vol. III. 51.
LE VESUVE.
Grande Eruption de feuen 1794.
Parmi les trois Volcans qui fetrouvent dans l'Europe et qui brûlent encore de nos jours, le Vésuve près de Naples, est le plus terrible et le plus désastreux pour les pays circonvoisins. Il ensevelit non seulement du tems des anciens Romains plusieurs endroits sons la cendre ardente, p.e. les deux villes d' Herculanum et de Pompeja, mais aussi de nos jours il dévaste fréquemment les beaux pays qu'il entoure par les' éruptions de feu, dé cendre et de lave. La montagne a deux cimes, dont l'une est le Vésuve proprement dit, sur le haut duquel se trouvela bouche du Volcan, ou le Grater; l'autre cime, qui s'appelle la Somma, est séparée du Vésuve par un petit vallon, et ne jette plus de feu aujourd'hui. On voit le Vésuve représenté fur les tableaux fuivans avec les phénomènes qui lui sont propres. Dans les tems modernes il a eu plus d'éruptions et de plus violentes qu' anciennement. Une des plus récentes et aussi des plus terribles unelieu en 1794 dans le mois de Juin; elle est représentée sur la Table ci-jointe, telle qu'on a pu la voir sans danger sur le rempart du port de Naples qui en est éloigné de 4 lieues. Une Colonne immense de feu qui sortit de la cime et s'éleva droite en l'air, lança au loin de tous cotés des pierres ponces et des rochers immenses, et perça les nuages de fumée épais et noires qui enveloppoient le pays et qui étoient sillonnés continuellement par des éclairs blancs. Un tremblemeut de terre ébranla sans cesse le pays à une distance de plusieurs milles à la ronde, et toute la nature parût frernir à ce spectacle horible. Pendant plusieurs jours la partie supèrieure de la montagne resta enveloppée dans un nuage épais de fumée noire; mais l'orsque la fureur de l'éruption eût un peu cessée et que la fumée fùt passée, on s'apperçut que le sommet du Vésuve, ou se trouve le Crater, s'étoit écroulé et tombé dans le sein de la montagne, de forte que le Vésuve étoit devenu plus applati et que sa hauteur ne furpassoit plus celle de la Somma.
Ad00341 03 054aLava- und Aschen-Ausbrüche desselben.~~No. 1. Grosser Lava-Ausbruch im Jahre 1760.~~Diese Abbildung zeigt einen grossen Lava-Ausbruch des Vesuvs im Jahr 1760 am Fusse des Berges. Unter Lava versteht man das grobe Gemengsel von Mineralien, nemlich Steinen, Erdarten, Schwefelkiesen, Eisen-Erzen u dergl. welches durch die innere Gluth des Berges geschmolzen durch irgend eine Oeffnung des Vesuvs ausbricht, und sich wie ein glühender dicker Brey, in einem breiten Strome, langsam fortwälzt und alles was es auf seinem Wege antrifft schrecklich verheeret. Diesen Lavaströmen kann man blos durch die Flucht entgehen, entgegen zu setzen ist ihnen aber nichts; denn sie füllen die tiefsten Gruben aus, werfen Mauern und Häuser um, und vernichten sie durch ihre Gluth. Sie bleiben oft Jahre lang glühend, ob gleich ihre äussere Rinde ganz erkaltet scheint. Ein solcher Lavastrom giebt des Nachts einen fürchterlich prächtigen Anblick bey seinem Ausbruche, denn er bildet oft ein ganzes Feuer-Meer, Feuer-Cascaden und dergleichen. Nach langer Zeit giebt die Lava, wenn sie ganz verwittert und wieder urbar gemacht ist, einen guten Pflanzen-Boden.~~No. 2. Grosser Aschen-Ausbruch im Jahre 1794.~~Oft wirft der Vesuv auch anstatt der Lava eine ungeheure Menge leichter vulkanischer Asche aus, welche sich viele Meilen weit umher verbreitet und das ganze Land bedecket. Diese Aschen-Ausbrüche sind weit gefährlicher als die Feuer und Lava-Ausbrüche; denn man kann diesen dichten oft glühenden Aschenregen gar nicht entgehen. Der Tag verwandelt sich in die finsterste Nacht, und an vielen Orten nahe um den Berg bedeckt diese Asche oft 4 Ellen hoch das Land. Oft sind auch Ausbrüche von siedendem Meerwasser, das durch unterirdische Höhlen in den Berg gedrungen ist, mit solchen Aschenregen verbunden. Vermuthlich war es auch ein solcher ungeheurer Aschen-Ausbruch der vorzeiten die beyden Städte Herkulanum und Pompeja am Fusse des Vesuvs bedeckte, und ihnen den Untergang brachte.~~51
Ad00341 03 054a/freMélanges XXI. Vol. III. No. 52.
LE VESUVE.
Eruptions de Lave et de Cendres.
No. 1. Grande éruption de Lave en 1760.
Cette table représente une grande éruption de Lave, qui eut lieu en 1760 au pied de la montagne. On entend sous le nom de Lave cette matière fondue par le feu intérieur de la montagne qui consiste dans un mélange de toutes espèces de minéraux, favoir de pierres, de terre, de pyrites sulfureuses, de mines de fer ete. Dans le tems de l'éruption des Volcans elle sort de leur sein par quelque ouverture; femblable à un large ruisseau en flammes, dont les ondes embrasés sont comme une bouillie' épaisse, elle avance lentement et dévaste tout le pays qu'elle rencontre dans son chemin. Ce n'est qnela fuite qui peut soustraire les habitans à ces torrens de feu, il n'y a aucun moyen de les arrêter, car ils remplissent les fossés les plus profonds, renversent des murs et des maisons et les détruisent par leurs flammes. Il se passe quelquefois des années entières, avant que dans leur intérieur le feu foit éteint, quoiqu' en dehors ils aient l'air d'être entièrement refroidis. Un pareil torrent de Lave, s'il tombe surtout la nuit, donne un coup d'oeil horrible mais magnifique, car il semble être un mer de feu etc. Après une longue suite d'années, lorsque la Lave est tombée en eflorescence et décomposée par l'air et les acides, elle donne une bonne terre qui est avantageusement employée à la culture.
No. 2. Grande éruption de cendres en 1794.
Il arrive aussi qu' an lien de cette Lave Ie Vésu ve jette des masses énormes d'une cendre volcanique fort légère, qui se répand à une distance de beaucoup de milles à la ronde et couvre tout le pays. Ces éruptions de cendres sont plus dangereuses que celles de feu et de Lave; car il est absolument impossible d'échapper à cette forte pluie de cendres qui très souvent sont tout à fait ardentes. Le jour fe change alors dans la nuit la plus sombre, et aux environs de la montagne on trouve des endroits ou la terre est couverte de cette cendre de la hauteur de 4 pieds. Quelquefois ces pluies de cendre sont accompagnées d'une éruption d'eau de mer bouillonnante, qui étoit pénétrée par des souterrains dans l'intérieur de la montagne. Il est aussi très probable, que ce fut une pareille éruption de cendre, qui du tems des anciens abhna les deux villes d' Herculanum et de Pompeja situées au pied du Vésuve, en les couvrant de masses énormes de cendres embrasées.
Ad00341 03 055aAnsicht seiner Mündung.~~Die Mündung oder der Crater des Vesuvs ändert sich, weil sie aus lauter verbrannten vulkanischen Materialien besteht, fast immer nach jedem Ausbruche. Wir wollen hier zwey Abbildungen davon betrachten, die uns einen ziemlich anschaulichen Begriff davon geben.~~No. 1. Das Innere des Craters im Iahre 1751.~~Nach dem Ausbruche des Vesuvs im Iahre 1751 änderte sich der Gipfel desselben auf eine merkwürdige Art. Sein Crater wurde fast ganz mit ausgeworfenen verbrannten Steinen, Asche und dergleichen Materialien ausgefüllt, in der Mitte aber blieb ein Loch, aus welchem fortwährend Rauch, Feuer, Asche und Bimsteine hervorbrachen, und nach und nach im Crater selbst um diese Mündung einen kleinen Berg bildeten, aus welchem auch ein kleiner Lava Bach kam, und um diesen Hügel herum floss. Nun konnte man sicher in den sonst so schrecklichen Feuer-Schlund selbst hinein und rund um den kleinen Hügel herum gehen, und Alles in der Nähe betrachten.~~No. 2. Das Innere des Craters im Iahre 1775.~~Hier sieht das Innere des Craters wieder ganz anders aus als oben. Er hat sich mehr ausgefüllt, und innerhalb einen gedoppelten Hügel gebildet, der fast den ganzen Crater ausfüllt. Aus demselben brechen, unterhalb der immer fortbrennenden Mündung, aus dem Hügel verschiedene kleine Ströme glühender Lava hervor, welche weiss-graue kleine Rauchwolken bilden, und den Berg herab fliessen. Die Aussenseite des Craters hat einen scharfen abgebrochenen Rand, und ist wie immer mit Schlacken tiefer Asche und ausgeworfenen Bimssteinen bedeckt.~~51
Ad00341 03 055a/freMélanges XXII. Vol III. No. 53.
LE VESUVE.
Vue de sa bonche, ou du Crater.
Comme la bouche du Vésuve, ou le Crater, ne consiste que de matières Volcaniques calcinées, il est aisé à concevoir que chaque éruption lui doit faire changer de forme. Nous allons fournir ici deux tableaux qui en donneront une idée asses claire.
No. 1. L'intérieur du Crater en 1751.
Après l'éruption, formidable du Vésuve, qui eut lieu en 1751, il se fit un changement très remarquable à la cime de la montagne. Le Crater fut presqu' entièrement rempli de pierres calcinées, de cendres et d'autres matières Volcaniques; dans son milieu cependant il resta un trou, dont il sortit continuellement de la fumée, du feu, de la cendre et de pierres ponces, qui formèrent petit a-petit une colline autour de ce trou dans l'intérieur du Crater même. Il en coula aussi un petit ruisseau de Lave, qui se répandit autour de cette colline. On pouvoit entrer alors avec sûreté dans ce gouffre naguères si horrible; il étoit facile de se promener autour de la petite colline et de I' examiner de près.
No. 2. L'intérieur du Crater en 1775.
Sur le tableau présent l'intérieur du Crater a tout un autre aspect que sur le précédent. On voit que le Crater s'est rempli encore d' avantage, et qu'il est presqu' entièrement comblé par une double colline qui s'est formée dans son intérienr. Au dessous de la bouche, qui ne cesse de jetter du feu, il sort de la colline plusieurs petits ruisseaux de Lava embrasée, qui en coulant en bas de la montagne, forment de nuages de fumée d'une couleur grise-blanchâtre. Le bord extérieur du Crater est inégal, cassé et raboteux, et continuellement couvert de cendre, de scories et ào pierres ponces.
Ad00341 03 056aNo. 1. Plan des Bergs Vesuv.~~Nichts ist so vielen Veränderungen unterworfen als die äussere Form eines Vulkans. Fast jeder Ausbruch verändert sie, entweder durch Ausbrüche von Lava und Asche, welche die umliegende Gegend bedecken, verschütten und erhöhen; oder durch Einsturz des Gipfels, oder das Aufschwellen neuer kleiner Berge und Mündungen, welche Thäler und Hügel bilden. Eben so ist es mit dem Vesuv gegangen; denn man vermuthet mit Grunde dass er in frühern Zeiten, als unsere Geschichte hinreicht, weit grösser und höher als jetzt gewesen sey. Anjetzt ist sein Umkreis 4 Meilen, und bis zum Iahr 1794, wo sein Gipfel, bey dem grossen Ausbruche wieder einstürzte und wenigstens um 800 Fuss niedriger wurde, war er 3834 über das Meer erhaben. Dieser Plan zeigt die ganze Gegend rund um den Vesuv, und wie nahe man ihn, der äusserst gefährlichen Nachbarschaft ungeachtet angebauet hat. Die äusserliche Fruchtbarkeit des vulkanischen Bodens reitzt die Bewohner der Gegend immer aufs neue dazu an, dass sie der Gefahr trotzen, und ohngeachtet sie an den verschütteten Städten Herkulanum und Pompeji so wie an der i. J. 1794 durch einen Lavastrom verbrannten Stadt, Torre del Greco einen Beweiss der höchsten Gefahr vor Augen haben, hell doch, sobald nur ein Ausbruch vorüber ist, aufs neue anbauen.~~No. 2. Plan von Torre del Greco.~~Torre del Greco welche am Fusse des Vesuvs und hart am Meere liegt wurde bey dem letzten grossen Ausbruche des Vesuvs i. J. 1794 durch einen Lavastrom gröstentheils verheert. Man sieht auf dem oberen Plane No. 1. wie dieser brennende Lavastrom an der Seite des Berges ausgebrochen und herabgeflossen ist, auf dem untern Plane aber, an seiner schrecklichen schwarzen Bahn wie er sich glühend durch die Stadt fortwälzte, und endlich in das Meer ergoss, welches ihm Grenzen setzte. Ein Theil der Stadt blieb stehen, und es wird nicht lange dauern so sind wieder neue Häusser auf denselben Lava Grund aufgebauet. So vertraut ist der verwegne Mensch mit den grössten Gefahren, und so wenig schreckt ihn ein erlittener Verlust ab, Eins und dasselbe noch einmal zu wagen.~~51
Ad00341 03 056a/freMélanges XXIII. Vol. III. No. 54.
LE VESUVE avec le pays d'á l'entour.
No. 1. Plan du Mont Vésuve.
Il n'existe rien qui soit plus exposé à des changemens que la forme extérieure d'un Volcan. Elle est altérée presque à chaque éruption tant par les ruisfeaux de Lave qui en sortent et par les cendres qui couvrent et exhaussent le pays d'à l'entour, que par l'éboulement de la cime et par des nouveaux Volcans qui s'élèvent et forment des petites montagnes et des vallées. Le Vésuve a eu le même sort, et c'est une conjecture bien fondée, que dans les teins antérieures â l' histoire il a été beaucoup plus haut que de nos jours. Il a aujourd'hui 4 Milles de circonférence, et jusqu' en 1794, óu par la grande éruption qui fit écrouler sa cime, sa hauteur fut diminuée de 800 pieds pour le moins, son élévation au dessus de la mer etoit de 3034 pieds. Le Plan ci-joint représente tout le pays qui entoure le Vésuve, et fait voir en même tems, combien les habitans se sont approchés de son pied pour cultiver la terre, malgré le danger imminent, dont ils sont continuellement menacés. C'est la fertilité extraordinaire du sol Volcanique qui excite les habitans d'affronter le péril, et quoique les deux villes détruites d' Herculanum et de Pompeji, ainsi que la ville de Torre del Greco, réduite en cendre par un torrent de Lave, leur fournissent les preuves visibles du danger énorme qu'ils courent, ils ne Iaissent cependant pas s'intimider, et aussi tôt qu' une éruption est passé, ils recommencent a cultiver la terre.
No. 2. plan de Torre del Greco.
Cette petite ville fituée au pied du Vésuve et tout proche de la mer, fut presque toute entière la proie des Flammes par un torrent de Lave qui sortit du Volcan à la dernière grande éruption an 1794. Sur le plan No. 1. on peut voir, comment ce torrent embrasé de Lave sortit par une ouverture sur la pente de la montagne et coula en bas; sur le Plan No. 2. on remarque la voie noire et terrible qu'il se fraya en répandant ses flots embrasés â travers la ville et les jettant ensuite dans la mer qui lui mit des barrières. Une partie de la ville fut sauvée et il ne durera pas long tems qu'on verra de nouvelles maisons conftrnites sur le fond même de Lave. Cest ainsi que l'homme hardi ose braver les plus grands dangers; il ne se laisse pas décourager par les pertes les plus sensibles, et se jette toujours de nouveau dans le même péril.
Ad00341 03 057aDie Wasserhosen und Wirbelwinde sind Natur-Erscheinungen, welche man sowohl auf dem Meere als auf dem festen Lande zuweilen beobachtet. Sie sind meistentheils von einem heftigen Gewitter begleitet, und verursachen auf dem Lande die verheerenden Wolkenbrüche; denn das ganze Wasser der zusammengedrängten und verdichteten Wolke stürzt, sobald sich die Wasserhose durch einen Blitz auflöst und zerreisst, auf einmal herab, und überschwemmt Alles.~~Naturforscher geben, mit sehr wahrscheinlichen Gründen, die Electricität als die Grund-Ursach der Wasserhosen, die durch Wirbelwinde entstehen, an, und leiten ihre Entstehung von einer mit Electricität überladenen Wolke und der gegenseitigen Anziehung zwischen ihr und dem Erdboden oder der See her. Man beobachtet nemlich immer vor der Entstehung einer Wasserhose, dass sich eine dicke finstre, dunkelschwarz-blau oder kupferfarbig aussehende Wolke tief zur Erde oder über die Oberfläche des Meeres herabsenkt, und dass aus derselben Wolken-Säcke, wie in Fig. 1. bey b. herabhängen, die in beständiger schleudern der Bewegung sind, und endlich, wie bey Fig. 1.c. oder Fig. 2. d. u. e. die Erde oder das Wasser erreichen, fortziehen und Alles mit schrecklicher Gewalt in ihren Wirbel hinreissen. Zu gleicher Zeit erhebt sich auf dem Meere, aus dem Puncte wo der Wolkenzipfel dasselbe berührt, oder noch frey über demselben schwebt, eine hohe Wassersäule, welche sich oben in Schaum und Dunst auflöset, das Wasser weit umherschleudert, und überhaupt die sonderbarsten Gestalten annimmt. Man hört dabey ein Fürchterliches Brausen und Rasseln in der Luft. Ueberhaupt gehören diese Orkane zu den schrecklichsten Natur-Erscheinungen; und besonders werden die Küsten der West- und Ostindischen Inseln häufig durch dieselben verwüstet. Die hier in Fig. 1. u. 2. abgebildeten Erscheinungen von grossen Wasserhosen auf dem Meere beobachtete ein französischer Naturforscher, Herr Michaud, auf dem mittelländischen Meere an der Küste von Nizza im Januar 1789, und sie haben daher das Verdienst, ein treues Bild der Natur darzustellen.~~51
Ad00341 03 057a/freMélanges. XXIV. Vol. III. No. 55.
DES TROMBES.
Les trombes et les tourbillons sont des phénomènes de la nature, qu'on remarque sur la mer et
quelquefois aussi sur la terre. Ils sont ordinairement accompagnés d'orages violens, et sur la terre ils occasionnent les ondées qui de terns à autre désolent des pays; car lorsque la trombe est iorupue par un éclair, toute la masse d'eau contenue dans une pareille niie condensée et comprimée, se jette en'bas toute à la fois et inonde des pays entiers. C'est avec un grand fond de probabilité que les physiciens croient trouver dans l' électricité la raison fondamentale des trombes causées par des tourbillons; ils croient voir leur origine dans une niie surchargée d'électricité et dans l'attraction réciproque qui a lieu entre celle-ci et la terre ou la mer. On remarque effectivement toutes les fois qu'il se forme une trombe, qu' une niie épaisse, sombre, d'un bleu, noir très foncé ou de couleur de cuivre, s'abaisse profondement vers la terre ou vers la surface de la mer, et qn' alors il en descend des sacs de nuages, tels qu' on les voit Fig, 1. b. qui sont continuellement dans un mouvement tournoyant, jusqu' a cet ayant à la fin atteint la terre ou l'eau, comme on voit sous Fig. 1. c. et sous Fig. 2. d. et e. ils entraînent tout avec une force irrésistible dans leut tourbillon formidable. Dans le même tems il e'éléve de la mer, du même endroit que ce sac de nuages vient d'atteindre, au dessus duquel il se soutient encore dans l'air, une grande colonne d'eau, dont la partie supérieure se dissout en écume, jette l'eau avec violence fort loin à l'entour et forme les figures les plus finguliéres. Ou entend en même tems un bruit et un mugissement épouvantables dans l'air. Ces ouragans sont du nombre des phénomènes de la nature les plus dangereux, et on les voit principalement dans les deux Indes, où les cotes des isles en sont fréquemment désolées. Les trombes qui se trouvent représentées sous Fig 1. et 2. de la Table ci-jointe, furent observées de la côte de Nice sur la Méditerranée dans le mois de Janvier 1789 par un savant françois» nommé Micbaud; ces Tables ont par conséquent le mérite de représenter une image Bdele de ifr. nature.
Ad00341 03 058aNo. 1. Der Huth-Affe. (Simia Sinica.)~~Nicht China, sondern eigentlich Bengalen und die Insel Ceylon sind das Vaterland des zierlichen Huth-Affen, der von daher auch häuffig nach Europa gebracht wird, und wegen seiner Artigkeit und Gelehrigkeit sehr beliebt ist. Er ist ohngefähr 12 Zoll lang, sein Schwanz aber länger als der Leib; von Farbe auf dem Rücken, den Armen und Schenckeln rostfarben braun, Kehle, Brust und Bauch aber weissgrau. Auf dem Kopfe hat er einen Büschel Haare, der ihm wie ein zirkelrunder, platter Huth den Scheitel bedeckt, und davon er seinen Nahmen hat. Seine Nahrung besteht vorzüglich in Früchten, süssen Wurzeln und Reis.~~No. 2. Der Buschschwanz-Affe. (Simia trepida.)~~Dieser Affe, welcher etwas kleiner als der vorige ist, lebt vorzüglich iu (sic) Guiana, und hat seinen Nahmen von seinem dicken buschigt behaarten Wickelschwanze, der weit länger als sein Leib ist, und womit er sich an den Baumästen fest schlingen kann. Sein Haar ist dunkelbraun; Gesicht, Brust und Bauch sind fast ganz nackt; Hände und Füsse schwarz. Er wird auch nach Europa gebracht und nähret sich vorzüglich von Früchten.~~No. 3. Der Mohren-Affe. (Simia Maura.)~~Der Mohren-Affe ist weit kleiner als die vorigen beyden Gattugen, und kaum 7 Zoll lang; der Schwanz aber länger. Er findet sich sowohl in den Ostindischen Inseln als auch in Süd-Amerika. Er hat einen runden Kopf etwas spitzige Schnauze, und sehr dünne Arme und Schenkel. Von Farbe ist er fast ganz schwarzgraubraun, und hat schwarze Hände und Füsse. Er lässt sich leicht zahm machen, und in der Gefangenschaft erhalten.~~No. 4. Der Tamary. (Simia Midas.)~~Diess Aeffchen ist eben so gross als das vorige, hat einen sehr langen Schwanz, und grosse nackte Ohren, davon er auch der Midas im Lateinischen heisst. Sein Kopf ist rund, und das Gesicht nackt. Das Haar am Kopfe, Rücken Bauch, Oberarmen und Schenkeln ist schwärzlich und zottig; die Hände und Beine hingegen glatt und fast Orangengelb. Er lebt in ganzen Schaaren in den heissesten Strichen von Südamerika, nähret sich theils von Früchten, theils von Muscheln und Seeschnecken, die er am Meeres-Ufer auflieset.~~52
Ad00341 03 058a/freQuadrupèdes LVII. Vol. III. No. 56.
QUATRE ESPECES DE SINGES.
No. 1. Le Bonnet Chinois.
Le Chine n'est pas la patrie de ce joli singe, mais bien le Bengale et Pisle de Ceylon. On en transporte beaucoup en Europe, où il est aime et recherché à cause de sa gentillesse et de sa docilité. Sa longueur est d'environ i pied, mais sa queue est plus longue que tout le corps son poil est d'un brun-roussâtre sur le dos, les bras et les cuisses, et d'un gris blanchâtre sur la gorge, la poitrine et le ventre. II a une touffe de poils sur la tète, qui lui en couvre tout le sommet en Forme d'un chapeau rond et plat. Il se nourrit principalement de Fruits d'arbres, de racines douces et de ris.
No. 2. Le Singe à queue touffue.
Ce singe est un peu plus petit que le précédent, et se trouve principalement dans la Guiana. Il a reçu son nom de sa grosse queue prenante, qui, plus longue que tout le corps, est couverte d'un poil touffu et lui sert pour s'attacher aux branches d'arbres. Le poil de son corps est d'un brun foncé, celui de ses mains et de ses jambes est noir, et son visage, sa poitrine et son ventre en sont absolument dégarnis. Il se nourrit de fruits d'arbres, et on en transporte beaucoup en Europe.
No. 3. Le Singe Nègre.
Le singe nègre est plus petit que les deux précédens; sa longueur n'est que de 7 pouces, mais sa queue est plus longue. Il se trouve non seulement dans les isles des Indes Orientales, mais aussi dans l'Amérique méridionale. Il a la tête ronde, le museau un peu pointu et les bras ainsi que les jambes très menus. Sa couleur est d'un brun grisâtre tirant sur le noir; ses mains et ses pieds sont tout-à-fait noirs. Il s'apprivoise aisément et endure très bien l'état de servitude.
No. 4. Le Tamarin.
Ce petit singe est de la même longueur que le précédent. Sa queue est fort longue, et ses grandes oreilles dépourvues de poil, lui ont fait donner en latin le nom de Midas. Il a la tête ronde, et le visage tout nud. Le poil de sa tête, du dos, du ventre, des bras et des cuisses est noirâtre et vélo, mais les mains et les pieds sont lissés et de couleur presque d'orange. On le trouve en grandes troupes dans les pays brùlans de l'Amérique méridionale, où il se nourrit de fruits d'arbres, de moules et de limaçons de mer.
Ad00341 03 059a

Pflanzen. LXIV. B. III. No. 57.

MERKWÜRDIGE PFLANZEN.

No. 1. Der Butter-Baum.

Der Butterbaum wächst im Innern von Afrika, vorzüglich um die Gegend des Nigerflusses, und heisst in der Landes-Sprache Schib. Er wurde erst vor Kurzem durch den Englischen Reisenden Mungo Park in Europa bekannt, und abgebildet. Er wird nicht sehr gross, hat eine gegitterte schwammige Schale, und an den Spizen seiner Zweige steht ein Büschel langer, schmaler, vorn abgerundeter, und fast zungenförmiger Blätter. Er trägt eine kleine Nuss, davon Fig. a. und b. die Abbildung zeigt, fast von der Grösse und Form einer Olive, deren Kern, wenn er au [sic] der Sonne getrocknet und hernach in Wasser ausgekocht wird, die Butter giebt. Diese Pflanzen-Butter ist überaus wohlschmeckend, und besser als Küh-Butter, hält sich über ein Jahr lang gut, und macht für das innere Afrika einen wichtigen Handels Artickel.

No. 2. Der Beenuss-Baum. (Guilandia moringa.)

Der Beennuss-Baum wächst vorzüglich in Ägypten, Syrien, Arabien, Aethiopien und auf der Insel Ceylan. Er wird ziemlich gross, oft bis 30 Fuss hoch, hat doppelt gefiederte Blätter an seinen reichbelaubten Zweigen, und blühet gelb in sehr grossen Büscheln. Nach der Blüthe entstehen fast anderthalb Fuss lange braune Samen-Schoten (Fig. c.) worinn die dreyeckigten geflügelten Samenkerne oder die Beennüsse (Fig. d. e.) liegen. Sie sind fast so gross wie unsere Haselnüsse, und diese geben, wenn man sie ausgepreist, das in den Apotheken sehr wohl bekannte, und gebrauchte, ganz weisse geschmack- und geruchlose Beenöl, welches vorzüglich zu wohlriechenden Pommaden und Salben angewendet wird, und als ein Handels Artickel aus der Levante kommt.

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Plantes LVII. Vol. III. No. 57.

PLANTES REMAQUARBLES.

Ne. [sic.] 1. Le Schih ou l'arbre à beurre.

Cet arbre croit dans l'intérieur de l'Afrique et surtont vers les bords du Niger; dans la langue du pays il s'appelle Schib. Il n'est connu en Europe que depuis peu de tems par la description et le dessin que le voyageuranglois, Mungo Park vient de nous en donner. Sa hauteur n'est pas considérable; son écorce est treillissée et spongieuse, et au bout des branches il se trouve des touffes de feuilles longues, étroites, arondies et approchant de la forme d'une langue. II porte une petite nuix représentée sous Fig. a. et b. qui ressemble á l' olive par la forme et la grandeur. Du noyau de cette noix, séché au soeil et bouilli dans l'eau, on prépare le beurre. Ce beurre végétal est très agréable au goût et meilleur qu' aucun beurre de lait de vache; il a d'ailleurs l'avantage de se conserver tonte l'année san sel. Il fait un des principsux articles du commerce intérieur de l'Afrique.

No. 2. Le Noyer de Ben.

Cet arbre croit principalement dans l'Egypte l'Arabie, la Syrie, l'Ethiopie, et dans l'isle de Ceylon. II atteint une hauteur assés considérable, quelque fois de 30 pieds. Ses branches sont très touffues et les feuilles doublement empennées; les fleurs qu'il porte sont jaunâtres et disposées en grappes. A ces fleurs succèdent des gousses, qui sont d'une longueur d'un pied et demi, et de couleur brune, Fig. c. Elles contiennent les graines de semence ou les noix de Ben qui sont ailées et triangulaires, Fig. d. e. Ces noix sont à peu près de la grosseur d'uue noissette et par expression'on retire de leur amande une huile toute blanche, sans goût et sans odeur, qu' on connoit chez nous sous le nom d'huile de Ben. On en fait usage dans les pharmacies, mais elfe est principalement employée à des pommades parfumées. On nous l'apporte du Levant comme un article de commerce.

Ad00341 03 060aNo. 1. Der Schimpanse. (Slmia troglodytes)~~Unter allen Affen-Arten kommt der Schimpanse, sowohl an Grösse und äusserer Gestalt, als auch in seinen Sitten dem Menschen am nächsten. Er lebt im Innern von Afrika, wird bis 5 Fuss gross, hat einen starken muskulösen Körper, und ein ziemlich menschenähnliches Gesicht, welches so wie die Vorderhände und Füsse nackt, und nicht behaart ist. Er hat gewöhnlich schwärzliches oder dunkelgraues Haar; nur die Brust, Schenkel, Knie und der Bauch sind weniger behaart, und fallen ins Fleischfarbene. Der Schimpanse heisst auch sonst noch der Afrikanische Waldmensch, der Pongo, Joko, Barris u.s.w. und eben von ihm kommen die Fabeln her, die man sonst von wilden Waldmenschen hatte, und glaubte. Erst vor Kurzem haben wir richtigere Abbildungen sowohl von ihm, als von dem Orang-Outang erhalten. Der Schimpanse ist sehr stark und kühn, so dass er nicht allein mit Menschen, sondern auch sogar mit Elephanten kämpft. Er lässt sich jung eingefangen zähmen, lernt allerley Hausarbeiten, und ahmt den Menschen fast in allen Verrichtungen nach.~~No. 2. Der Orang-Outang. (Simia Satyrus)~~Wir haben zwar schon in diesem Bilderbuche im 1 Bande, Taf. 8. Fig. 1. den Orang Outang kennen gelernet, allein da wir seitdem, gegenwärtige bessere und richtigere Abbildung von diesem Affen erhalten haben, so ist es werth jene Figur dadurch zu berichtigen. Er heist auch sonst der Ostindische Waldmensch, weil er nur in Ostindien und vorzüglich auf der Insel Borneo lebt. Er wird höchstens nur 4 Fuss hoch; Gesicht, Hände und Füsse sind nackt und dunkelgrau, so wie die ganze Haut unter dem Haar, welches braungelb und an manchen Stellen fuchsig ist.~~No. 3. Der Wald-Pavian. (Simia Sylvatica)~~Der Wald Pavian hat ein wildes Ansehn, ein schwarzes Hundsgesicht, kahle schwarze Hände und Füsse, schwarzbraunes Haar, und wird nicht über 1 Fuss hoch. Er lebt in Guyana in den Wäldern, und lebt vorzüglich von Früchten.~~No. 4. Der Schweinsköpfige-Affe. (Simia porcaria)~~Dieser hässliche Affe hat einen bärenähnlichen Kopf, mit einem völligen Schweinsrüssel, ist ohngefähr 3 Fuss hoch, schmutzig grau von Farbe, hat zottiges Haar und einen nackten Bauch. Er ist nicht längst erst entdeckt worden und sein eigentliches Vaterland noch unbekannt.~~No. 5. Der Alouate. (Simia Seniculus)~~Der Alouate wohnt in den heissern Strichen von Amerika, und ist ohngefähr 2 Fuss lang, hat einen eben so langen Wickelschwanz, und ist von Farbe dunkel fuchsroth. Er geht meist auf 4 Füssen, hat ein sehr menschliches Gesicht, mit einem Barte und eine Löwen-Mähne. Er lässt sich nicht leicht zahm machen.~~No. 6. Der Hundsaffe. (Simia Cynocephalus)~~Dieser ebenfalls neuentdeckte Affe ist 19 Zoll lang, hat einen völligen schwarzen Hundskopf schwarze Hände und Füsse, und ist gelb und dunkelbraun gesprengt. Sein Vaterland so wie auch seine Lebensart sind gleichfalls noch unbekannt.~~52
Ad00341 03 060a/freQudrupédes LVIII. Vol. III. No. 58.
ESPECES REMARQUABLES DE SINGES.
No. 1. L'homme des bois d'Afrique.
Parmi toutes les espèces de finges l'Homme des bois ressemble le plus à l'homme par la grandeur, la figure et les moeurs. Il vil dans l'intérieur de l'Afrique; sa taille est de 5 pieds, son corps est fort et musculeux, et son visage, qui ressemble assésà celui de l'homme, est mut et dépourvu de poils ainsi que ses mains et ses pieds. Son poil est ordinairement noirâtre ou d'un gris foncé; celui de la poitrine, des cuisses, des genoux et du ventre, où cependant il en a moins qu' aux autres parties du corps, approche de la couleur de chair. Il est encore connu sous d'autres noms, p. e. sous celui de Pongo, de Jocko, de Baris etc. et c'est lui qui a donné lieu à tant de fabies d'hommes sauvages des bois qu'on a débité autre fois. Ce n'est que de puis peu que nos avons reçu des desseins plus exacts de cette espèce de singes ainsi que de l'Orang-Outang. L'Home des bois d' Afrique est doué d'une telle force et si hardi, que non seulement il se bat contre les' hommes, mais aussi contre les Eléphans. Etant pris jeune il se laise apprivoiser, comme il imite l'homme dans tout ce qui fait il apprend facilement plusieurs ouvrages domestiques.
No. 2. L'Orang-Outang.
Dans le 1er Volume de ce Portefenille, Tab. 8 Fig. 1. il a déjà été question de l'Oraug-Outang; mais comme depuis ce téras là nous avons reçu des desseins plus exacts de cette espèce de singes, nous en profitons pour rectifier le tableau qui fut joint alors à la description. Il s'appelle aussi l'homme des bois des Indes Orientales, parce qu'il ne se trouve que dans les Indes et principalement dans lisle de Bornéo. Il ne devient pas plus grand qua de 4 pieds au plus son vsiage, ses mains et ses pieds sont nuds et d'un gris foncé, ainsi que la peau de tout le corps en dessous du poil, qui est d'un brun jaunâtre et dans quelques eudroits rousâtre.
No. 3. Le Papion, ou le Babouin proprement dit.
Le Papion, a la physnionomie extrêmement sauvage; son visage est noir et ressemble à celui d'un chien; ses mains et ses pieds sont noirs et nuds; la couleur de son poil est d'un brun-noir ràtre et sa longueur est de deux pieds. II vit dans les forêts de la Guiana, et se nourrit principalement de fruits d'arbres.
No. 4. Le singe à tête de cochon.
La tête de ce vilain singe ressemble celle de l'ours et se termine en un grouin de cochon. La longueur de son corps est de trois pieds, sa cou, leur est d'un gris sale, son poil est touffu et son ventre est nud. Il n'y a pas long tems qu' on a déconvert cette espèce, et on n'en connoit pas encore sa véritable patrie.
No. 5. L'Alouate.
L'Alouate habite les régions brûlantes de l'Amérique; sa longueur est d'environ deux pieds sa queue prenante est de la même longueur et sa couleur est du'n roux foncé. II marche ordinairement à quatre pieds; il a une longue bsrbe et son visage ressemble à celui de l'homme; auteur du col il a une jubé de lion. Il est extrêmement farouche, et difficile d' apprivoiser.
No. 5. [sic.] Le Magot ou le Cynocéphale.
C'est aussi' une espèce de singes nouvellement découverte. Sa longueur est de 19 pouces et sa tête noire ressemble absolument à celle d'un chien. Ses mains et ses pieds sont noirs; le reste du corps est jaune et tacheté en noir. On ne confloit pas encore ses moeurs ni sa P.atrie.
Ad00341 03 061aDie berühmten Höhlen bey Mastricht gehören unter die bewunderungswürdigsten Gegenstände der Natur und des menschlichen Fleisses. Sie beginnen unter dem Petersberge, auf welchem die Fortresse St. Peter liegt, und gehen soweit unter dem Berge und der umliegenden Gegend fort, dass niemand jetzt ihr Ende kennt, und man gewiss glaubt, dass sich diese ungeheuren unterirdischen Galerien bis Visè, d. i. 3. starke französische Meilen weit erstrecken. Die ganze Gegend, und vorzüglig der St. Petersberg besteht aus einem Seetuff des uralten Meergrundes, und enthält daher ausser den grossen ungeheuern Massen des von Natur weichen und lockeren Tuffsteins, ganze Lagen von Kieseln, Sand und eine erstaunliche Menge von versteinerten bekannten und unbekannten See- und Land-Thieren und deren Ueberbleibsel, welche gewöhnlich nur in südlichen heissen Ländern leben, und also blos durch eine grosse Revolution der Erde hieher kommen konnten. Wir wollen erst ihre Lage von aussen, und dann auch ihr merkwürdiges Inneres kennen lernen.~~No. 1. Charte von einem Theile des St. Petersberges.~~Diese kleine Charte zeigt uns die Lage der berühmten Höhlen. Sie haben zwey Eingänge, einen grossen und einen kleinen aus dem Thale worinn die Jaar fliesset. Der grosse ist fast unter den äussersten Werken der Fortresse; der kleine nicht weit davon. Oben auf der geraden Fläche des Berges ist ein runder Schacht, 55 Fuss im Durchmesser weit, welcher bis hinab in die Höhle geht, und durch eine Mine entstanden ist, welche die Oesterreichische Besatzung springen liess, als die Franzosen im jetzigen Kriege Mastricht belagerten. Zur rechten Seite an der steilen Wand des Berges fliesst die Maas.~~No. 2. Der grosse Eingang der Höhlen.~~Dieser von der Hand der Natur geformte, und aus lauter enormen Sandstein-Massen gewölbte Eingang, ist gleichsam das ungeheure und majestätische Thor zu dem unterirdischen Wunder Palaste. Er ist vorn 52 Fuss weit, und beynahe 44 Fuss hoch. Das Gestein ist gelblich von Farbe, und man sieht dazwischen Lagen von versteinerten Muscheln, Korallenschwämmen, und andern Seekörpern. Im Hintergrunde erblickt man die Oeffnungen zu den innern Säulengängen und Galerien dieser Höhlen, deren Abbildung wir auf der folgenden Tafel finden werden.~~52
Ad00341 03 061a/freMélanges. XXV. Vol. III. No. 59.
LES CAVERNES DE MAESTRICHT.
Les fameuses Cavernes près de Mastricht doivent être comptées parmi les objets les plus mer
veilleux de la nature et de l'industrie de l'homme. Leur entrée se trouve au pied de la montagne de St. Pierre; elles s'étendent si loin en dessous de la montagne et de ses environs, que personne n'en connoit encore la fin, et qu'on prétend, que ces immenses galeries souterraines vont jusqu'à Visé, ce qui est éloigné de la montagne de trois bonnes lieues de France. Tout ce pays, et nommément la montagne de St. Pierre, ne consiste absolument que dans un Tuf, qui doit avoir fait l'ancien fond de mer; cette pierre, dont on trouve des masses énormes, est de la nature poreuse et molle, et outre des coures entières de gravier et de cailloux on y trouve aussi en grande quantité des pétrificati ons d'animaux connus et inconnus de terre et de mer. Comme tous ces animaux ne vivent ordinairement que dans les pays méridionaux et très chauds, ce n'est qu'une grande révolution delà erre qui peut les avoir transportés dans ces régions septentrionales. Nous examinerons d'abord I' Fxtérieur de ces Cavernes remarquables, et ensuite nous en feons aussi connoitre l'Intérieur.
No. 1. Carte géographique d'une partie de la Montagne de St. Pierre.
Cette petite Carte représente la situation géorapltiquede ces fameuses Cavernes. Elles ont deux entrées, une grande et une petite, mais toutes les deux se trouvent du coté de,la vallée, à travers laquelle coule la Jaar. La grande entrée est presque en dessous des ouvrages extérieures de la Fortresse, et la petite n'en est pas très éloignée. Sur la cime de la montagne il y a un puits rond d'une largeur de 55 pieds en diamètre, qui descend jusqu' à la Caverne; il tire son origine d'une mine que la Garnison Autrichinne a fait sauter, lorsque dans la guerre présente Mastricht fut assiégé par les François La Meuse coule du coté droit et tout au pied du mur escarpé de la montagne.
No. 2. La grande Entrée des Cavernes.
Cette Entrée, qui est formée par la main de la Nature et voûtée dans des masses énormes de pierre de grais, semble être la porte majestueuse qui conduit dans ce palais souterrain. Sa largeur est de 52 pieds et sa hauteur de 41; la pierre est d'une couleur jaunâtre et entremêlée de couches de coquilles, de matrepores et d'autres corps de mer. Au fond de cette grande entrée on apperçoit différentes autres qui conduissent dans les galeries intérieures de la Caverne, qu'on verra représentées sur la Table suivante.
Ad00341 03 062aNo. 1. Ansicht der innern Säulengänge.~~Die vordere Höhle, welche als eine Fortsetzung des grossen Eingangs betrachtet werden kann, zieht sich ganz unter dem St. Petersberge, nach dem Ufer der Maas, höchstens 1/2 französische Meile lang hin, und ist mit ihren prächtigen Gewölben ganz ein Werk der Natur. Aus dieser Höhle aber laufen eine unzählige Menge anderer Höhlen, oder mit einander verbundener hoher und auf lauter Ungeheuern Säulen ruhender Gewölbe weit unter der Erde fort, und bilden gleichsam ein unendlich weites Säulen-Labyrinth. Seit undenklichen Zeiten hat man nemlich diese Höhlen immer als Steinbrüche gebraucht, aus ihnen vortreffliche Bausteine geholt, welche man auf der schiffbaren Maas sehr weit verfährt, und beym Ausbrechen zur Unterstützung des Dachs immer einzelne Säulen stehen lassen, woraus endlich dieses wundernswürdige Säulen-Labyrinth entstanden ist, dessen Umfang und Zweige wenigstens jetzt selbst von den Leuten, die täglich darinn arbeiten, niemand kennt. Es ist gefährlich sich ohne sichere Führer und vorsichtige Anstalten in die Tiefe derselben zu wagen; weil man sich leicht darinn verirren und umkommen kann. Die Ansicht dieses ungeheuren unterirdischen Tempels der Natur wenn man ihn mit Fackeln erleuchtet, ist gross und erhaben; und diese Höhlen sind gleichsam eine Schatzkammer der Naturgeschichte der Vorwelt; denn es finden sich darinn noch immer versteinerte Ueberbeibsel von theils jetzt ganz unbekannten und verlohren gegangenen Thierarten, theils von Thieren aus den heissesten Südländern, die nie in unserm Clima lebten.~~No. 2. Ein versteinerter Crocodil-Kopf aus der Höhle.~~Im Jahr 1770 entdeckten die Arbeiter welche in der Höhle Steine brachen, in dem Felsen einen grossen versteinerten Fischkopf, und meldeten ihren Fund dem Doct. Hoffmann in Mastricht, der als Naturforscher ihn bald für den Kopf eines grossen Crocodils erkannte, und mit grosser Vorsicht herausarbeiten liess. Wir sehen hier, wie eben dieser Stein, der 4 Fuss lang, 2 Fuss 6 Zoll breit, und 8 Zoll dick war, in welchem der Kopf liegt, und welcher 6 Centner wog, von den Arbeitern herausgeschafft wird. Ausser diesem kostbaren Stücke, fanden sich auch versteinerte Schildkröten, grosse Fisch- und andere Landthierknochen, Hirsch- und Elenns-Geweihe, und dergleichen mehr; im Sande aber die zartesten und feinsten Muscheln und Schnecken, alle aufs schönste erhalten.~~52
Ad00341 03 062a/freMélanges. XXVI. Vol. III. 60.
L'INTÉRIEUR DES CAVERNES DE MASTRICHT.
No. 1. Vue des galeries intérieures.
La partie antérieure de la Caverne, qui peut être regardée pour une continuation de la grande entrée, se tourne au dessous de la montagne de St. Pierre dans une direction oblique vers les bords de la Meuse. Sa longueur est tout au plus d'une demie lieue, et ses voûtes magnifiques sont entièrement l'ouvrage de la nature. Dans cette caverne antérieure on trouve les entrées d'un grand nombre d'autres cavernes, dont les voûtes fort élevées sont jointes l'une à l'autre et posées sur des colonnes prodigieuses; elles s'étendent fort loin au dessous de la terre et forment pour ainsi dire un labyrinthe immense de galeries. Dépuis un teras immémorial ces cavernes ont servi de cariéres, dont on a continuellement exploité d'excellentes pierres de taille, qu'on a ensuite transportées fort loin sur la Meuse; enks arrachant on a toujours eu soin de ménager des colonnes isolées pour le soutien du toit, et c'est ce qui a donné origine a ce labyrinthe merveilleux de galeries, dont personne ne connoit maintenant l'étendue et les ramifications, pas même les ouvriers qui y travaillent journellement. Il est très dangereux de s'y enfoncer à moins qu' on n'y soit conduit par des guides très sûres et que par-dessus encore on ne prenne beaucoup de mesures de précaution; car il est très aisé de s'y égarer, et alors on périroit infailliblement. Lorsque cet immense temple sousterrain de la Nature est éclairé par des flambeaux, il présente un coup d'oeil grand et sublime. Toutes ces cavernes enfin renferment un trésor inestimable pour l'historié naturelle du monde primitif; car on ne cesse d'y trouver non seulement des fragmens pétrifiés d'animaux qui nous sont absolument inconnus ou dont les races se sont perdus, mais aussi d'autres qui ne se trouvent jamais dans nos climas et qui ne vivent que dans les pays les plus méridionaux.
No. 2. Une tété pétrifiée de Crocodile, trouvée dans ces Cavernes.
Eu 1770 les ouvriers, en tirant des pierres de la Caverne, y découvrirent une grosse tête de poisson pétrifiée; ils en avertirent le Docteur Hoffmann à Mastricht, qui en savant connoisseur de l'historié naturelle la reconnut aussitôt pour la tète d'un grand Crocodile et prit des mesurespour qu' elle fût arrachée avec toutes les précaur tions possibles. Le Tableau ci-joint nous représente la pieree, dans laquelle cette tête fut trouvée, au moment oû les ouvriers la tiroieut de la Caverne; sa longueur étoit de 4 pieds sur une largeur de 2 1/2, et son poids montoit à 4 quinteaux. Outre ce monument précieux on y découvrit encore des tortues pétrifiées, des ossemens fort grands de poissons et d'animaux de terre, des feois de cerfs et d'élans, et beaucoup d'autres objets non moins intéressaus. Le sable renferme une quantité de moules et de coquilles très fins et élegans et qui sont tous supérieurement bien conservés.
Ad00341 03 063aNo. 1. u. 2. Der langnasige Affe. (Simia nasica.)~~Der langnasige Affe ist 3 bis 4 Fuss hoch, lebt in Ost-Indien auf mehreren Inseln, gehört zu dem Geschlechte der Meerkatzen, und zeichnet sich durch seine lange dünne, und fast rüsselförmige Nase von allen andern Affen-Gattungen aus. Diese beyden Figuren zeigen ihn von hinten und von vorne.~~No. 3. Der Peruquen-Affe. (Simia polycomos.)~~Dieser Affe bewohnt Guinea und andere Länder von Afrika, ist etwas grösser als der vorige, und gehört gleichfalls zu den Meerkatzen. Er ist beynahe am ganzen Leibe schwarzgrau; besonders aber merkwürdig wegen seiner langen gelblichen Kopf- und Barthaare, die ihm, wie eine altväterische Alongen-Perücke über die Schultern herabhangen; davon er auch seinen Nahmen bekommen hat.~~No. 4. Der Affe mit der Löwen-Mähne. (Simia leonina.)~~Dieser Affe, welcher fast immer auf vier Füssen, oder seinen vier Händen geht, wohnt gleichfalls in der südlichen Hälfte von Afrika. Er hat die Grösse eines mittelmässigen Hundes, und hat fast am ganzen Leibe schmutzig schwarzes Haar, die dicke weisslich graue Löwen-Mähne ausgenommen, welche er um den Kopf und Hals bis an die Schultern hat.~~No. 5. Der schwarze Brüll-Affe. (Simia Beelzebul.)~~Der schrwarze Brüll-Affe lebt im südlichen America, und gehört zu den Meerkatzen mit Wickelschwänzen. Er ist ohngefähr 2 Fuss lang, hat schwarzes, glattes und glänzendes Haar, und einen rauchen Bart. Er lebt schaarenweise in den Wäldern, wo er des Abends ein fürchterliches Geschrey macht, wovon er auch seinen Nahmen hat.~~No. 6. Der Affe mit dem Flügel-Barte. (Simia cephalopterus.)~~Diese Meerkatze lebt auf der Insel Ceylon. Sie gleicht dem vorigen Affen an Grösse, hat schwarzes kurzes Haar, einen langen Schwanz der an der Spitze einen weissen Büschel hat, Gesicht und Hände sind dunkel violett; ihr Bart aber, welcher sich bis über die Stirn hinaufzieht und an den Ohren wie zwey ausgebreitete Flügel aussieht, ist weiss. Diess giebt diesem Affen, der auch davon seinen Nahmen hat, ein sonderbares Ansehen. Er ist sanft, und leicht zu zähmen.~~53
Ad00341 03 063a/freQuatruédes LIX. Vol. III. No. 61.
DIFFERENTES ESPECES DE SINGES.
No. 1 et 2. La Guenon à long nez.
La Guenon à long nez est d'une longueur de 3 à 4 pieds, et se trouve dans plusieurs isles des Indes Orientales. Elle appartient dans le genre des Babouins et fe distingue de toutes les autres espéces de linges par son nez long, mince et presque femblable à une trompe. Les deux Figures ci-jointes la rep ré feulent par devant et par derrière. No.3. La Guenon à Camail. Ce singe est également une espèce de babouins; il est un peu plus grand que le précédent et se trouve dans la Guiane et quelques autres contrées de l'Afrique. Presque tout son corps est d'un gris foncé, mais' ce qui le rend principalement remarquable, c'eft le poil tréslong et jaunâtre'de fa tête et de fa barbe, qui en tombant fur les épaules comme un Camail, ou comme une perruque allongée, les couvre entièrement. Yoilà aussi l'origine de son nom.
No. 4. Le Singe à jube de Lion.
Cette espèce de singes qui marche presque continuellement fur fes quatre pattes, fe trouve aufsi dans la partie méridionale de l'Afrique. II a la grandeur d'un chien médiocre, et la couleur de son poil est presque par tout le corps d'un noir sale, à la jubé do lion près qui entoure sa tête et son cou jusqu'aux épaules et qui est d'un gris blanchâtre.
No. 5. Le Hurleur noir.
Le Hurleur noir appartient dans le genre des Babouins à queues prenantes, et fe trouve dans l'Amérique méridionale. Sa longueur est, a peu prés de deux pieds; il a le poil noir lissé et luisant et fa barbe est velue. Il vit par troupeaux dans les forêts, où le matin et le soir il poufse des' hurlemens affreux, ce qui lui a fait dorai er son nom.
No. 6. La Guenon à face pourpre.
Cette espèce de babouins fe trouve fur l'ifle de Ceylon. Elle ressemble pour la grandeur à l'espéce précédente. Son poil est court et noir, mais sa queue est longue jet garnie au bout d'une touffe blanche. Sa figure et ses mains sont de couleur violette très foncée, mais sa barbe, qui lui va jusque par dessus le front et ressemble assés aux environs des oreilles à deux ailes déployées, est entièrement blanche. C'est ce qui lui donne un air tout-à-fait singulier. Il est d'ailleurs très doux et se laisse aisément apprivoiser.
Ad00341 03 064aNo. 1. Die Apotheker-Euphorbie. (Euphorbia officinalis.)~~Die Euphorbien sind fast alle Giftpflanzen, und haben einen Milchsaft, mit welchem die Afrikaner häufig ihre Pfeile und Wurfspiese vergiften. Indessen ist doch eine Gattung davon, die hier abgebildete Apotheker-Eupborbie, eine Arzney-Pflanze. Sie wächst in den heissesten Gegenden von Afrika. Ihr Stamm ist 3 bis 4 Fuss hoch, eckigt, grün und weisslich, ohne Blätter und mit vielen Dornen besetzt. Er treibt hie und da Aeste unordentlich aus, und die Blüthen dringen zwischen den Dornen gleich aus dem Stamme heraus. Der Milchsaft, welcher aus dem Stamme quillt, wenn man ihn rizt, verdickt sich zu einem Gummi, welcher in der Arzney als ein scharfes Aezmittel, jedoch nur äusserlich gebraucht wird.~~No. 2. Der weisse Zimt. (Canella alba.)~~Die weisse Zimt-Rinde, welche sonst als ein, dem Würznägelein ähnliches Gewürz gewöhnlich war, anjetzt aber bloss als ein stärkendes Arzney-Mittel in der Medizin gebraucht wird, kömmt von einem Baume, welcher in den westindischen Inseln wächst, und ohngefähr 20 bis 30 Fuss hoch ist. Er hat lang-ovale, kurzgestielte und einzeln stehende Blätter, orangengelbe Blüthen, welche in Büscheln wachsen und violette Saamen-Beere tragen. Die Rinde welche man in den Apotheken braucht, wird von den jüngsten Aesten abgeschält, als Röhrchen zusammengerollt und getrocknet. Sie hat einen brennend beissenden gewürzhaften Geschmack, und ist sehr erhitzend.~~53
Ad00341 03 064a/frePlantes LXV. Vol. IIl. N.62.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. L'Euphorbier officinal.
Presque tous les Euphorbiers sont des plantes vénèneufes, et remplis d'un suc laiteux, avec lequel beaucoup d'Africains ont l'usage d'empoisonner leurs flèches et leurs javelots. Une efpéce cependant, l'Euphorbier officinal, qu'on voit repréfentc fur le tableau ci-joint, est une plante médicinale. Elle croit dans les contrées les plus brulantes de l'Afrique. Sa tige est hante d'environ 3 à 4 pieds et d'une couleur verte et blanchâtre; elle a des angles ondes, est dénuée de feuilles et munie de beaucoup d'épines. Elle pousse des branches éparses et saus aucun ordre, et les fleurs naissent de la tige même et du milieu des épines. Quand on y sait des incifions, il en découle uu fuc laiteux, qui se coudense et devient une gomme-résine, qu'on emploie dans la Médecine comme un ruptoire très violent; on ne l'en sert pas intérieurement.
No. 2. La Canelle blanche.
La Canelle blanche, dont autrefois on s'est servi fréquemment comme d'une épice semblable aux doux de girofle, n'est plus employée aujourdhui que dans la Médecine comme un corroboratif. Elle provient d'un arbre, qui croit dans les Indes occidentales et dont la hauteur monte à 20 jusqu' à 30 pieds. Il a des feuilles ovales a pédicules courtes et isolées; ses fleurs sont de couleur d'orange, viennent par bouquets et portent des bayes de femence de couleur violette. L'ècorce employée dans les pharmacies est prise des branches les plus tendres; elle est roulée en tuyaux et sechée; sou goût est aromatique, mais cuifant et corrosif, et elle échauffe extrêmement.
Ad00341 03 065aDie Schiffe der Alten waren, wie mehrere ihrer Maschinen, noch sehr unvollkommen. Ihre Schifffahrt musste sich, da sie den Gebrauch des Compasses noch nicht kannten, nur auf die Küstenfahrt und sehr nahe liegende Länder und Inseln einschränken. Indessen kannten sie doch schon den Gebrauch der Ruder, Seegel, Steuer-Ruder und Anker, und hatten sowohl Fracht- als auch Kriegsschiffe, ja sogar auch Prachtschiffe, deren einige uns nach alte Schriftsteller beschreiben. Folgende 3 Abbildungen zeigen uns Schiffe von allen drey Gattungen.~~No. 1. Ein Phönicisches Fracht-Schiff.~~Die Phönicier waren bekanntlich die berühmtesten Kaufleute und Schiffer der alten Welt. Sie hohlten ihre Waaren fernher, und mussten also dazu Frachtschiffe haben. Diese waren nicht gross, oben offen, ohne Verdeck, hatten 1 oder 2 kleine Seegel an kurzen Masten, oft auch Ruder noch dazu, und unten einen platten Boden, welches ihnen einen unsichern Gang auf dem Wasser machte.~~No. 2. Ein Kriegsschiff der Alten.~~Die Kriegsschiffe der Alten hatten keine Seegel, sondern 2 bis 3 Reihen Ruder über einander, damit sie nach Willkühr und Bedürfnisse der Krieger auf demselben bewegt werden konnten. Sie waren daher auch nicht gross, und ihr Vordertheil meistens mit langen eisernen Spitzen, oder einem krummen eisernen Schiffs-Schnabel, bewaffnet, um andere Schiffe damit anbohren zu können. Ihre Böden waren gleichfalls platt. Zu Ruder-Knechten brauchten sie meistens Sclaven und Kriegsgefangene.~~No. 3. Das Pracht-Schiff des Königs Hiero.~~Hiero war König; von Syrakus in Sicilien, und liess sich unter Aufsicht und nach Angabe des Archimedes ein Prachtschiff bauen, von dem uns die alten Schriftsteller, und besonders Athenäus, der es genau beschrieben hat, Wunderdinge erzählen. Nach dieser Beschreibung ist es hier auch abgebildet. Dreyhundert Werkleute arbeiteten ein ganzes Jahr daran. Es war ein ganzes schwimmendes Schloss, und so gross, dass es in keinem einzigen Hafen des Königs Hiero einlaufen konnte, wesshalb er es endlich auch seinem Freunde, dem Könige Ptolomäus Philadelphus in Egypten schenkte, in dessen Hafen es liegen konnte.~~53
Ad00341 03 065a/freMélanges XXVII. Vol. III. No. 63.
VAISSEAUX DES ANCIENS.
Les vaisseaux des Anciens étoient encore très imparfaits, comme en général la plupart de leurs
machines. Ne connoissant pas l'usage de la bouffole, ils n'étoient pas capables de s'éloigner des cotes, et toute leur navigation fe bornoit aux pays et isles les plus proches. Ils favoient cependant se servir des rames, du gouvernail, des voiles et des ancres, et ils poûedoient non seulement des vaisseaux de transport ou marchand, mais aussi des vaisseaux de guerre, et même des vaisseaux de pure faste. Des auteurs anciens nous ont transmis la description de plusieurs de ces derniers. On voit ces trois espèces de vaisseaux repréfentées fur le tableau ci-joint.
No. 1. Un vaisseau marchand Phénicien.
On fait que les Phéniciens étoient les Negocians et Mariniers les plus célèbres de l'Antiquité. Ils cherchoient leurs marchandises de l'étranger, et il leur falloit par conséquent des vaisseaux de transport. Ces vaisseaux n'étoient pas grands, découverts par en haut et sans tillacs; ils avoient 1. ou 2. pe ites voiles soutenues par des mâts très courts, et souvent encoro des rames. Leur carèue étoit platte; ce qui rendoit leur allure mal assurée.
No. 2. Un vaisseau de guerre des Anciens.
Les vaisseaux de guerre des Anciens étoient sans voiles; mais ils avoient deux ou trois rangées de rames l'une par dessus l'autre, par le moyen desquelles ils pouvoient être dirigés à la volonté et selon le besoin des guerriers qu'ils portoient; pour cet effet iis n'étoient pas grands non plus. Leur proue étoit ordinairement armée de pointes de fer très longues ou d'un éperon courbé da même métal, dont ils fe fervoient pour percer les vaisseaux ennemis. Ils avoient également, la carène platte. Les rameurs n'étoient pour la plupart que des esolaves ou des prisonniers de guerre.
No. 3. Un vaisseau de falle du Roi Hieron.
Hiéron, Roi de Syracuse en Sicile, fit construire un vaisseau de faste sous la direction et sélon le dessein du fameux Archimède. Les anciens auteurs nous en racontent des merveilles, et surtout Athenée, qui nous en a laisse une déscription détaillée, d'après laquelle le tableau ci-joint a été compose. Trois cents ouvriers y trayailloient pendant une année entière; c'étoit un véritable château flottant et d'une grandeur si immense, qu'il ne pouvoit pas entrer dans aucun port du Roi Hiéron. Celui-ci en sit présent à la fin à son ami le Roi d'Egypte, Ptoloméé Philadelphe, qui possédoit un port asses spaçieux pour l'y placer.
Ad00341 03 066aDer Hund (Canis familiaris) ist mit seinen verschiedenen Haupt-und Spiel-Arten, deren wir mehr als 30 zählen, über die ganze Erde verbreitet. Grösstentheils hält er sich zum Menschen, und ist ein Hausthier geworden; obgleich es auch noch in Südamerika und Africa wilde, oder doch verwilderte Hunde giebt. Der Hund ist ein fleischfressendes Thier; doch nährt er sich auch von Fischen, Brod, Wurzeln und Früchten. Er ist mit dem Wolfe und Fuchse so nahe verwandt, dass er sich mit beyden sogar fruchtbar begattet, und Junge zeugt. Wegen der zu groben Verschiedenheit der Hunde-Racen untereinander, wie z.E. des Windspiels, des Bullenbeissers und des Dachshundes - ist es nicht wahrscheinlich, dass alle von einer und derselben Gattung entsprungen seyen. Wir werden auf diesem und etlichen der folgenden Blätter die Haupt-Racen der Hunde kennen lernen.~~No. 1. Der Haus- oder Bauer-Hund. (Canis familiaris domesticus.)~~No. 2. Der Schäferhund oder Rüde. (Canis famil. pastoralis.)~~Der Hr. von Buffon hält den Haus- und Schäfer-Hund für die Stammväter und Urahnherrn sämmtlicher Hunde-Racen, welches aber nicht wahrscheinlich ist. Beyde haben in ihrer Grösse und äusseren Gestalt viel Ähnlichkeit mit einander; nur dass der Haushund meistens kurzhaarig und der Schäferhund langhaarig und zottig, und letzterer auch weit gelehriger als jener ist; denn man kann ihn auch zum Jagdhunde abrichten.~~No. 3. Der Bullenbeisser. (Canis famil. Molossus.)~~No. 4. Die Dogge. (Canis famil. Anglicus.)~~Der Bullenbeisser oder Bärenbeisser und die Englische Dogge haben gleichfalls viel Ähnlichkeit mit einander. Beyde sind gross, stark und glatthaarig, die Dogge nur noch grösser und starker als der Bullenbeisser. Den Bullenbeisser braucht man meistens als Haus-Wach- und Kettenhund, wo er sehr böse ist; die Dogge hingegen meistens als Hetzhund auf Bären, wilde Schweine, Ochsen u.s.w. Die Englische Dogge ist unter allen Hunde-Racen die grösste, denn es giebt Doggen die bis 3 Fuss hoch sind.~~No. 5. Der Hühner-oder Wachtelhund. (Canis fam. Avicularis.)~~Der Hühner- oder Wachtelhund ist blos für die kleine Jagd, neml. zum Aufspüren der Hasen und Rebhühner im Felde und Getraide-Fluren brauchbar, und daher unsern Jägern unentbehrlich. Er ist mittler Grösse, glatthaarig, und meistens braun oder weiss und braun gefleckt von Farbe, sanft, gutmüthig und sehr gelehrig.~~No. 6. Der Amerikanische Wasserhund. (Canis fam. Terrae novae.)~~Dieser schöne Hund ist eigentlich in Neufoundland zu Hause, wird aber auch inTeutschland oft bey grossen Herrn gefunden. Er ist beynahe so gross als die Dogge, sein Haar lang, zottig und seidenartig weich, zwischen den Zehen hat er eine eigne Art von Schwimmhaut, welche ihm das Schwimmen und Untertauchen unter das Wasser sehr erleichtert. Er liebt das Wasser so sehr, dass er oft von selbst hinein springt und schwimmt; und er hohlt hineingeworfene Sachen tief vom Grunde herauf und bringt sie heraus.~~53
Ad00341 03 066a/freQuadrupèdes. LX. Vol. III. No. 64.
DIFFERENTES ESPECES DE CHIENS.
On trouve les Chiens répandus sur toute la terre; nous en connoissons plus de 30 espèces, y
compris les variétés. S'étant attachés à l'homme ils sont devenus des animaux domestiques; on trouve cependant encore dans l'Amérique méridionale et dans l'Afrique des chiens fauvages ou qui le sont redevenus. Les chiens sont des carnisores, mais ils mangent aussi des poissons, des racines, du pain et des fruits. Ils ont un si grand rapport avec le loup et le renard, qu'ils s'accouplent même avec eux et produisent des petits. La trop grande variété qui se trouve dans les différentes races des chiens, p. e. dans celles du lévrier, du dogue et du bauet, le rend probable qu'ils ne proviennent pas toutes d'une seule et même espèce. Nous en ferons connoitre les races principales fur le tableau ci-joint et sur quelques suivans.
No. 1. Le Matin.
No. 2. Le chien de berger.
Mr. de Buffon prétend que ces deux chiens approchent le plus de la race primitive, qu'ils sont les vrais chiens de la nature et la souche de toutes les autres races connues. Mais cette opinion n'est pas prouvée et paroit peu vraisemblable. Ces deux chiens se ressemblent beaucoup pour la grandeur et la conformation extérieure; le premier cependant se trouve ordinairement à poil ras, et le sécond à poil long et velu; ce dernier est aussi plus docile et on peut le dresser même à la chasse.
No. 3. Le Dogue allemand.
No. 4. Le Dogue anglais.
Il y a aussi beaucoup de ressemb'ance entre ces deux races. Tous les deux sont grands, forts et à poil ras, mais le dernier suspasse encore îe premier en grandeur et en force. Le Dogue allemand est ordinairement employé comme chien d'attache et de garde, où il est très vigilant, mais hargneux et dangereux d'approcher. Le Dogue anglais au contraire sert communément comme chien courant à la chasse des ours, des sangliers, des taureaux sauvages etc. Le Dougue d'Angleterre est la plus grande de toutes les races de chiens, car on en trouve qui ont jusqu'à 3 pieds de hauteur.
No. 5. L'Epagneul ou le chien couchant.
Ce chien quête les lièvres et les perdrix; s'il les surprend, il se tient en arrêt et annonce au chasseur l'endroit où est l'animal; ce qui rend cette race de chiens tellement estimée de nos chasseurs, qu'ils ne sauroient s'en passer. Ils sont de moyenne grandeur; leur poil est lisse et presque toujours de couleur brune ou tacheté en brun et blanc; ils sont enfin très doux et dociles.
No. 6. Le grand Barbet Américain.
Cette belle race de chiens est originaire dans la Nouvelle Foundlande, mais on en trouve beaucoup en Allemagne chez des grands Seigneurs. Ils sont presque de la grandeur du Dogue, et leur poil est long, foyeux et frisé. Les doigts de leurs pieds sont unis par une membrane, qui les fait nager et plonger sons l'eau. Ils aiment beaucoup l'eau, y sautent et nagent souvent de plein gré, et en rapportent aussi des chofes qu'on, y a jettées.
Ad00341 03 067aDie Termiten gehören unter die wunderbarsten und schädlichsten Insecten die man kennt. Sie leben nur in den heissesten Gegenden von Asien, Afrika, und in Neuholland. Man nennte sie sonst weisse Ameisen, wegen der Aehnlichkeit des Baues ihrer Hügel und Wohnungen; allein sie gehören nach der Naturgeschichte nichts weniger als zu den Ameisen, sondern zum Geschlechte der Florfliegen.~~Sie leben wie die Ameisen oder vielmehr wie die Bienen zusammen in grossen Gesellschaften, haben Männchen, Weibchen, Geschlechtslose, wie auch einen König und eine Königin unter sich. Auf dieser Tafel sehen wir~~Fig. 1. a. Ein Männchen in natürl. Grösse.~~Fig. 1. b. Dasselbe beträchtlich vergrössert.~~Fig. 2. a. Eine geschlechtslose Termite in natürl. Grösse.~~Fig. 2. b. Die selbe vergrössert.~~Fig. 3. Ein Weibchen, geflügelt und vergrössert.~~Fig. 4. Ein trächtiges Weibchen.~~Es ist noch nicht bekannt ob alle Weibchen befruchtet werden, und Eyer legen, oder ob dies nur die Königin thut, wie bey den Bienen. In diesem Zustande wird ein solches Weibchen wohl 2000 mal grösser, als zuvor, und legt dann binnen 24 Stunden über 80.000 Eyer, woraus die Larven als kleine Maden entstehen. Männchen und Weibchen bekommen nach ihrer Verwandlung Flügel, vermöge deren sie sich in ungeheuern Schwärmen in die Luft erheben. Diese Flügel aber behalten sie nur einen Tag, dann ermatten sie, fallen herunter und sterben.~~Das Merkwürdigste von diesen Insecten ist der grosse und künstliche Bau ihrer Wohnungen. Diess sind oft 10 bis 12 Schuh hohe, aus Thon und Sande aufgeführte Hügel, welche von Aussen viele emporstehende Spitzen und Zacken haben, wie Fig. 5. zeigt, inwendig aber hohl, und mit einer Menge von Gängen, Zellen und Wohnungen versehen sind. Diese Hügel sind so fest, dass mehrere Menschen darauf stehen können, ohne sie einzudrücken. Von ferne sehen sie aus wie Negernhütten.~~Die Termiten sind desshalben äusserst schädliche Insecten, weil sie in den von Menschen bewohnten Gegenden Alles zerfressen und vernichten, Häuser, Meublen, Kleider, Bücher, Alles vernichten sie in kurzer Zeit, und kaum Stein und Metall ist ihnen zu hart; ja man hat Beispiele, dass sie ganze Schiffe zernagt haben, auf welche sie mit andern Waaren gekommen waren.~~53
Ad00341 03 067a/freInsectes XVII. Vol. III. No. 65.
LES TERMES.
Les Termes sont du nombre des Insectes les pins merveilleux et les plus nuisibles que nous
connoissons. On ne les trouve que dans les Régions les plus brûlantes de l'Asie, de l'Afrique, et dans la nouvelle Hollande. Autrefois ils avoient le nom de Fourmis blanches, parcequ'ils ressemblent aux fourmis pour la construction de leurs habitations; mais dans l'histoire naturelle ils n'appartiennent nullement dans le genre des fourmis, mais bien dans celui des Hémérobes. Ils vivent ensemble en grandes sociétés, tout comme les fourmis et les abeilles; on trouve dans leurs terriers des males, des femelles, et des ouvriers sans sexe, ainsi qu'un Roi et une Reine. Nous voyons fur la table ci-jointe :
Fig. 1 a.) Un mâle dans sa grandeur naturelle.
Fig. 1 b.) Le même grossi.
Fig. 2 a.) Un Terme ouvrier sans sexe en grandeur naturelle.
Fig. 2 b.) Le même grossi.
Fig. 3) Une Femelle, ailée et grossie.
Fig. 4) Une Femelle pleine.
On n'a pas encore pu découvrir, si toutes les femelles pondent des oeufs, et contribuent â la propagation de l'espéce, ou si comme parmi les abeilles il est reservé aux seules Reines d'être fù condées. Dans l'état de grossesse une pareille femelle devient souvent 2000 fois plus grosse qn' anparavant; elle dépose ensuite dans l'espace de 24 heures plus de 80.000 eoufs, dont il fort des petits vers, qui après quelque tems passent à l'état de nymphes. Après le dernier développement les mâles et les femelles acquièrent des ailes, parle moyen des queues ils s'élèvent dans lair et voltigent en essaims innombrables. Ce n'est cependant qu'un seul jour qu'ils ont â jouir de ces ailes, car ensuite ils deviennent foibles, tombent á terre et périssent. Ce qui rend ces Insectes principalement remarquables, c'est la construction ingenieuse de leurs habitations. Elles sont ordinairement d'une hauteur de 10 jusqu à 12 pieds et bâties de terre glane et de Sable. En dehors elles sont garnies de beaucoup de pointes et d'aiguilles droites, comme on peut voir sous Fig. 5.; mais leur intérieur est creux et rempli de cellules, d'allées et de galeries. Ces terriers sont tellement solides, que plusieurs grands hommes peuvent y monter à la fois, sans qu'ils soient écrasés. Vus de loin on les prend pour des huttes de Nègres. Ces Termes sout des Insectes extrêmement nuisibles, parcequ'en venant dans les habitations de l'homme ils rongent tout, et détruisent en peu de tems les maisons, les meubles, les habits, les livres, enfin tout ce qu'ils rencontrent; â peine les pierres et les métaux leur sont trop dures, et on a des exemples, qu'ils ont rongé dps vaisseaux entiers, fur lesquels ils avoient été transportes avec des marchandifes.
Ad00341 03 068aNo. 1. Der grosse Bärenkrebs. (Cancer ursus major.)~~Dieser sonderbare Krebs Iebt in der See bey Japan, und seine rauhe wilde Gestalt hat ihm den Nahmen der grosse Bär gegeben. Er wird oft bis 1 Fuss lang, und halb so breit. Seine Farbe ist am Leibe und Schwanze rothbraun, und an den ganz platten, kurzen und rauhen Scheeren graublau. Sein Fleisch ist essbar.~~No. 2. Die See-Heuschrecke. (Cancer Homarus.)~~Die See-Heuschrecke ist von Farbe einer der schönsten Krebse, denn sie ist schön hellblau, gelb und braun colorirt. Sie lebt an den Küsten von Südamerika, und ist eine sehr wohlschmeckende gute Speise. Ihr Leib ist mit dem Schwanze oft 12 bis 15 Zoll lang. Sie hat 2 sehr lange unten aber sehr starke und stachlichte Fühlhörner, mit denen sie theils ihre Nahrung sucht, theils sich vertheidigt.~~No. 3. Der Jamaiksche Krebs. (Cancer Jamaicensis.)~~Jamaika ist das Vaterland dieses Krebses, wo er in den Flüssen lebt. Er ist mit Inbegriff der Scheeren ohngefähr 1 Fuß Iang, Er ist ganz gelb von Farbe, und hat doppelte Fühlhörner und Scheeren. Die äussern Scheeren sind sehr gross, und ungleich, denn die rechte ist immer grösser als die linke. Sein Fleisch ist essbar und wohlschmeckend.~~No. 4. Der Elephanten-Krebs. (Cancer Elephas.)~~Dieser schöne Krebs lebt im Mittelländischen und Adriatischen Meere, an den Küsten von Italien, und wird sehr häufig gefangen und gegessen, weil er ein wohlschmeckendes Fleisch hat. Er ist bis zu den Augen 16 Zoll lang, und eben so lang sind auch die 2 grossen spitzigen Hörner die ihm vor der Stirn stehen. Auf dem Rückenschilde, so wie an den Hörnern, hat er viele Stacheln, welche seinen Angriff gefährlich machen. Von Farbe ist er violett, citron-gelb und pommeranzenfarbig, welches ihm, bey seiner Grösse, zugleich ein überaus schönes Ansehen giebt.~~54
Ad00341 03 068a/freInsectes XVIII. Vol. III. No. 66.
CANCRES SINGULIERS.
No. 1. Le grand Cancre-Ours.
Cette fingulière espéce de Cancres vit dans la mer et proche des côtes du Japon. Elle doit son nom de grand Ours à sa figure informe et velüe. Ce Cancre est souvent de la longueur d'un pied, et d'une largeur de fix pouces. La couleur de son corps et de sa queue est d'un brun-roussàtre; ses mordans sont courts, plats, velüs et d'un bleugrisàtre. Sa chair est mangeable.
No. 2. La Cigale de Mer.
La Cigale de mer est une des plus belles espèces de Cancres; fes couleurs sont un mélange de jaune, de brun et d'un beau bleu-clair. On la trouve aux côtes de l'Amérique méridionale. Sa chair est mangeable et d'un très bon goût. Sa longueur est fouvent d'un pied jusqn' à 15 pouces, y compris la queue. Elle a deux Antennes fort longues, qui sont pointues et très grosses à l'endroit où elles sortent de la tête; l'Insecte s'en sert pour chercher sa nourriture et pour fe défendre.
No. 3. Le Cancre de la Jamaïque.
La Jamaïque est la patrie de cette espèce de Caucres; elle y vit dans les rivières. Sa longueur est d' à peu près un pied, y compris les mordans. Tout son corps est de couleur jaune, et ses antennes ainsi que ses mordans se trouvent au double. Les mordans extérieurs sont très, grands et de longueur inégale, celui du côté droit étant toujours plus long que l'autre. Sa chair est mangeable et de bon goût.
No. 4. Le Cancre-Eléphant.
Ce beau Cancre vit dans la Méditerranée et dans la mer Adriatique, aux côtes de l'Italie. Sa chair étant d'un goût excellent et fort recherchée, il en est pris en grande quantité. Sa Iongueur est de 16 pouces depuis le bout de la queue jusqu'aux yeux, et les deux antennes qui lui sortent du front, ont encore la même longueur. Ces antennes ainsi que l'écaillé du dos sont garnies d'une quantité de piquans, qui rendent son atiaque très dangereuse. Sa grandeur jointe au mélange de ses couleurs, qui sont violette, jaune de citron et d'orange, rend cet Insecte d'une beauté admirable.
Ad00341 03 069aNo. 1. Der Schlangenholz-Baum. (Strichnos colubrina.)~~Das Schlangenholz, wurde sonst häufiger, jetzt aber weniger in den Apotheken als eine Arzney gebraucht. Es sieht weissgelb, sehr schwammig, löcherig aus, und hat einen äusserst bittern Geschmack. Der Baum wächst in Ostindien, ist ziemlich gross, dornig, und hat ovale vorn zugespitzte Blätter, welche drey starke Ribben haben. Er trägt eine gelb-röthlichte Frucht, fast wie die vom Krähen-Augenbaume, (Fig. a) in welcher drey ziemlich grosse Kerne (Fig. b) liegen. Die Frucht ist nicht essbar.~~No. 2. Der Sebesten-Baum. (Cordia Sebestana.)~~Der Sebestenbaum wächst in Ost- und Westindien, und ist eine Art von Obstbaum; denn seine fleischigten Früchte (Fig. c und d) gleichen sehr unsern süssen Pflaumen, und haben auch mit ihnen fast einerley Geschmack. Diese Früchte sind gewöhnlich weiss, oft aber auch braun. Die Blätter sind ziemlich gross, oval und ein wenig rauch. An den Spitzen der Zweige stehen die schönen hochgelben Blüthen in ganzen Büscheln, welches ihm ein schönes Ansehn giebt. Das Holz dieses Baums hat eine schwärzliche Farbe, oft auch braune und rothe Adern, wesshalb es auch sehr von den Tischlern und Ebenisten geschätzt wird. In den Apotheken kennt man es unter dem Nahmen Aloeholz, und braucht es sowohl als ein stärckendes Arzney-Mittel, als auch seines lieblichen Geruchs wegen zum Räuchern.~~54
Ad00341 03 069a/frePlantes LXVI. Vol. III. No. 67.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. Le Bois de Couleuvre. On a fait autrefois dans nos pharmacies un usage beaucoup plus fréquent du bois de Couleuvre qu' on n' en fait aujourd'hui. La couleur de ce bois est d'un blanc-jaunâtre; il est spongieux, poreux et d'un goût acre et très amer. L'arbre croit dans les Indes Orientales et atteint une hauteur assés confidérable. Il est garni d'épines et ses feuilles ovales et pointues ont trois nerfs très forts. Son fruit est d'un jaune rougeâtre et ressemble a la noix vomique ordinaire (Fig. a); il contient trois amandes d'une grosseur considérable. Ce fruit n'eft d'ailleurs pas mangeable.
No. 2. Le Sebestier. Le Sebestier croit dans les Indes Orientales et Occidentales; il est une espèce d'arbre fruitier, car il porte des fruits charnus {Flg. c et d) qui ressemblent beaucoup à nos prunes douces et en ont, aussi à peu prés le même goût. Ces fruits sont ordinairement blancs, mais souvent aussi bruns. Les feuilles sont ovales, asses grandes et un peu veloutées. Les fleurs sont d'un jaune vif et foncé, ramassees en grappes et placées à l'extrémité des rameaux; ce qui donne à l'arbre un air de grande beauté. Le bois de cet arbre étant d'une couleur noirâtre et très souvent parfémé de veines brunes et rouges, nos menuisiers et tabletiers en sont grand cas et le recherchent beaucoup. Dans les pharmacies on le connoit sous le nom de bois d'Aloè, et on s'en sert non feulement comme d'un remède confortatif, mais aussi comme d'un excellent parfum à cause de son odeur suave et aromatique.
Ad00341 03 070aNo. 1. Der Spitz, oder Wolfshund. (Canis famil. domesticus.)~~No. 2. Der Sibirische Hund. (Canis famil. Sibiricus.)~~Der Spitz, hat seinen Namen wohl von seiner zugespitzten Schnautze und spitzigen in die Höhe stehenden Ohren bekommen. Er gleicht an Form dem Fuchse am meisten. Er ist meistens weiss von Farbe, und entweder ganz glatthaarig, oder hat doch nur kurze und schlichte Haare. Der Spitz ist ein sehr guter Haus- und vorzüglich Stall-Hund, weil er die Pferde sehr liebt.~~Der Sibirische Hund ist vom Spitze sehr wenig, und blos dadurch unterschieden, dass er längeres und zottigeres Haar hat als jener. Man hat 2 Sorten davon, eine grosse und eine kleine. In Sibirien leben sie den Sommer über wild, im Winter aber fangen die Russen sie ein, und spannen sie vor ihre Schlitten.~~No. 3. Der Isländische Hund. (Canis famil. Islandicus.)~~Der Isländische Hund ist dieser Insel ganz eigen. Er ist von mittlerer Grösse, glatthaarig, ziemlich dick von Leibe, und hat einen langen buschigten Schwanz. Er hat viele Ähnlichkeit mit dem grossen glatten Spitze, und ist ein guter Haushund.~~No. 4. Der Tiegerhund. (Canis famil. pantherinus.)~~Der Tiegerhund hat die meiste Ähnlichkeit mit dem Hühner- oder Wachtelhunde, kann auch eben so wie dieser zur Jagd gebraucht werden. Er ist von Farbe immer weiss mit kleinen schwarzen Flecken getiegert. Sein Vaterland soll Bengalen seyn.~~No. 5. Der grosse Budel. (Canis famil. aquaticus.)~~Der Budel, der sich durch seinen dicken runden Kopf und kurzen Leib, so wie durch sein dickes krauses und lockiges Haar, vor allen andern Hunde-Rassen auszeichnet, ist ein sehr treues und gelehriges Thier. Man kann ihn zu allerhand Künsten abrichten; sonderlich geht er gern ins Wasser, schwimmt vortreflich, und hohlt geschossene Enten und andere Wasservögel aus dem Wasser und Schilfe heraus. Es giebt weisse, schwarze, braune und gefleckte Budel.~~No. 6. Der Windhund. (Canis famil. Grajus.)~~Das Vaterland des Windhunds ist Griechenland und die Levante. Seine schöne, schlanke und leichte Gestalt zeigt seine Schnelligkeit und eigentliche Bestimmung zur Jagd auf den ersten Blick an. Es giebt Windhunde von verschiedenen Sorten, sehr grosse und starke, welche als Hatz-Hunde auf wilde Schweine und Hirsche, mittelgroße aber, welche zur Haasen- und Fuchshetze gebraucht werden, und ganz kleine, welche bloss als Schoosshündchen dienen. Ihre Farbe ist, wie bey den meisten Hunden, sehr verschieden.~~54
Ad00341 03 070a/freQuadrupèdes LXI. Vol. III. No. 68.
DIFFERENTES ESPECES DE CHIENS.
No.1. Le Chien-Loup.
No. 2. Le Chien de Sibérie. Le Chien-Loup a le museau effilé et les oreilles droites et pointues. Sa taille et sa figure tiennent de celle du Renard. Il est à poil ras ou n'a pas de poils du tout; sa couleur ordinaire est blanche. Il est un excellent chien demestique et se tient de préférence dans les écuries, par ce qu'il aime beaucoup les chevaux. Le Chien de Sibérie ne diffère du précédent que par ce qu'il a le poil plus long et plus touffu. On en connoit deux éspèces, une grande et une petite. Dans la Sibérie ils vivent pendant l'été dans l'état sauvage, mais à l'approché de l'hiver les Russes les prennent et s'en servent pour tirer des fardeaux sur des traineaux, en les y attelant comme des chevaux.
No. 3. Le Chien d'Islande. Le Chien d'Islande ne se trouve nulle part que dans cette isle. Il est de moyenne taille, à poil ras, et assés gros; sa queue est longue et garnie d' un poil touffu.
No. 4. Le Chien tacheté' ou tigre. Le Chien tigré a beaucoup de ressemblance avec le chien couchant et avec l'épagneul; on peut l'employer à la chasse aussi bien que ces derniers. Il est toujours de couleur blanche, et a de petites taches noirs sur le fond blanc. On le dit originaire du Bengale.
No. 5. Le grand Barbet. Les Barbets de la grande espèce se distinguent de toutes les autres races de chiens par leur corps raccourci, la tète ronde et grosse, et le poi épais, cotonneux et frisé; ils sont très aisés à dresser et les plus attachés de tous les chiens. Ils vont très bien à l'eau, nagent parfaitement et sont excellens pour la chasse des oiseaux aquati ques. Il y a des Barbets blancs, noirs, bruns et tigrés.
No. 6. Le Lévrier. Les Lévriers viennent du Levant; leur belle figure déliée et élégante fait deviner au premier coup d'oeil leur légèreté et leur disposition naturelle pour la chasse. Il y en a différentes espéces sélon la grandeur et la force. L'espéce la plus grande fert à la chasse des faugliers et des cerfs, la moyenne â celle des lièvres et des renards, et les lévriers les plus petits ne sont recherchés que pour leur figure élégante. Ils varient beaucoup pour les couleurs, comme toutes les races de chiens.
Ad00341 03 071aNo. 1. Der Buchstaben-Hummer. (Cancer Norvegicus.)~~Dieser Krebs lebt an den Küsten von Norwegen und Schweden, ist ohne die Scheeren etwa eine Spanne lang, sieht .gelb, die Scheeren orangenfarb, und das Brustschild purpurroth aus. Auf dem Schwanze hat dersselbe verschiedene Figuren, welche wie Buchstaben von alter Mönchsschrift aussehen, desswegen er auch der Buchstaben-Hummer heisst. Sein Fleisch ist essbar.~~No. 2. Die Langscheere. (Cancer carcinus.)~~Diess schöne Thier ist ein Flusskrebs, und lebt in Amerika und Ostindien. Er ist vom Schwanze bis an die Augen 8 bis 10 Zoll, die Scheeren aber eben so lang. Sein Brustschild verlängert sich in ein 3 1/2 Zoll langes ausgezacktes Horn, neben welchem seine langen Fühlhörner stehen. Er hat die schönsten Farben; neml. sein Brustschild und Schwanz ist blassgelb und blau, das Horn blau und braun, die Schwanzflossen braun, die Scheeren dunkel und hellblau, gelb und braun, die Füsse blasblau. Sein Fleisch ist essbar.~~No. 3. Der Fingerkrebs.~~Der Fingerkrebs ist wegen seiner sonderbaren Bildung äusserst merkwürdig. Er hat sehr wenig Aehnlichkeit mit dem gewöhnlichen Krebse. Sein Leib ist fast cylindrisch rund, grüngelblich von Farbe, hat nur einen kurzen stachlichten Schwanz, 6 Paar Füsse, und hinten 2 Paar Schwimm-Füsse. Das Sonderbarste an ihm ist die Gestalt seiner Scheren, welche wie 2 gekrümmte Finger gegen einander liegen, und so schön weiss und polirt aussehen, als wenn sie von EIfenbein wären. Er lebt in den Ostindischen und Adriatischen Meer, und sein Fleisch ist wohlschmeckend und gesund.~~No. 4. Die Sand-Squille. (Cancer arenarius.)~~Dieser sonderbare Krebs lebt im Mittelländischen Meere, im Sande an den Mündungen der Flüsse wo er kleine Hügel aufwirft, und sich oft 3 bis 4 Fuss tief darunter in eine Höhle vergräbt. Er ist beynahe so gestaltet wie der Fingerkrebs, hat auch eben solche sägeförmige Scheeren mit denen er alles zerschneidet, was zu seiner Nahrung dient. Seine Schaale ist sehr dünn, und mehr nur eine blosse Haut; dem ungeachtet hat er in den Scheeren eine solche Kraft, dass er damit in den Grund bohren, auch kleine Fische todt schlagen kann, welche er dann eben damit zerschneidet, und zum Maule bringt. Er ist schön gelb mit dunkelblauen Flecken gezeichnet. Sein Fleisch ist essbar, aber etwas eckel.~~54
Ad00341 03 071a/freInfectes XIX. Vol. III. No. 69.
ECREVISSES REMARQUABLES.
No. 1. Le Homard à lettres. Cette espèce d'écrevisses se trouve aux côtes de la Norvège et de la Suède. Elle est à peu près de la longueur d'un empas, sans compter les mordans; son corps est jaune, ses mordans sont de couleur d'orange et l'écaillé de son dos est pourpre. Sa queue est marquée de différentes figures, qui ressemblent à des caractères gothiques et qui lui ont fait donner son nom. Sa chair est mangeable.
No. 2. L'Ecrevisse à longs mordans. Cette belle Crustacée est une écrevisse de rivière, et se trouve dans l'Amérique et dans les Indes Orientales. Sa longueur est de 8 à 10 pouces depuis le bout de la queue jusqu' aux yeux, et ses mordans ont la même longueur. L'écaillé de son dos se termine en une corne dentelée et longue de 3 1/2 pouces; à coté d'elle se trouvent des longues antennes. Elle est supérieurement bien colorée; l'écaillé du dos et la queue sont bleue et d'un jaune pâle, la corne est également bleue et de moitié brune, les nageoires de la queue sont brunes, les mordans jaunes, bruns, et d'un bleu foncé et clair, et les pieds sont d'un bleu très clair. La chair en est mangeable.
No. 3. L' Ecrevisse à doigts plies. Cette espéce d'écrevisses est très remarquable par la singularité de sa structure. Elle a très peu de ressemblance avec notre écrevisse ordinaire; son corps a presque la forme d'un cylindre et sa couleur est d'un vert-jaunâtre. Sa quené est courte et aimée d'aiguillons; elle a fix paires de pieds et deux autres propres à nager sur le derrière du corps. Ce qu'ils y a de plus singulier dans fa structure, c'est la forme de ses mordans, qui se tiennent l'un vis à vis de l'autre comme deux doigts plies, et qui sont tellement blancs et lissés qu'on les prendroit pour de l'ivoire. Cette singuliére espèce d'écrevisses vit dans la mer Adriatique et dans celle des Indes Orientales; sa chair, est d'un bon goût et très salutaire.
No. 4. La Squille de fable. Cette écrevisse fe trouve dans la Méditerranée et vit dans le fable aux embouchures des rivières; elle y construit des petites élévations, au dessous des quelles elle creuse souvent des caveaux de 3 à 4 pieds de profondeur et s'y tient en foncé. Sa structure ressemble presque à celle de l'espèce précédente; elle a aussi les mêmes mordans en forme de soies, avec lesquels elle coupe tout ce qu'il lui faut pour sa nourriture. Son écaille est extrêmement molle, et ressemble plutôt à une simple peau; mais cela n'empêche pas que ses mordans ne soient doués d'une telle force, qu' à leur aide l'animal peut creuser dans la terre et tuer aussi des petits poissons qu'il coupe ensuite en morceaux et les porte dans la bouche avec ces. mêmes mordans. Sa couleur est d'un beau jaune parfemé de taches d'un bleu foncé. Sa chair est mangeable, mais trop grasse.
Ad00341 03 072aNo. 1. Ein männliches Skelet von vorn.~~No. 2. Dasselbe von hinten.~~Unser Leib, der vollkommenste und edelste aller organischen Körper, ist wegen seines bewundernswürdigen Baues, und seiner höchst vollkommenen Composition so zu sagen das Meisterstück der Schöpfung. Er besteht aus festen und weichen Theilen; zu jenen gehören die Knochen, zu letzteren, das Fleisch, die Adern, Eingeweide, Flechsen, Nerven u.s.w. So wenig ein Haus ohne innere Zimmerung denkbar ist, so wenig kann der menschliche Leib ohne Knochen bestehen. Diese geben ihm Grösse, Gestalt, Schönheit des Wuchses, Fertigkeit und Stärke.~~Wenn wir ein Skelet und seine einzelnen Glieder und Theile recht genau betrachten, so müssen wir die unendliche Weisheit des Schöpfers bewundern und anbeten, welche das schöne Beingerüste unseres Leibes so unaussprechlich künstlich zusammensetzte, dass er dadurch zu allen möglichen Bewegungen, Verrichtungen, Arbeiten und Künsten fähig wurde. Es ist daher lächerlich und unvernünftig, vor diesem grossen Kunstwerke der Natur, welches wir unaufhörlich bewundern und studiren sollten, um unsern eigenen Leib, seine Theile und ihre Verrichtungen recht kennen zu lernen, einen Abscheu und Widerwillen zu haben oder es den Tod zu nennen, und sich davor als vor einem grausenvollen Popanze zu fürchten.~~Wir sehen ein Skelet von vorn und von hinten, in seinem schönsten Ebenmaasse. Es bestehet aus unzählig vielen grossen und kleinen Knochen, welche alle durch Gelenke und Bänder miteinander fest verbunden sind, und dabey doch die grösste Beweglichkeit haben. Die Haupttheile desselben sind 1. der Kopf; 2. der Hals; 3. das Rückgrad; 4. die Ribben; 5. das Brustbein; 6. die Schlüsselbeine; 7. die Schulterblätter; 8. die Ober- und Unter-Arme; 9. die Hände; 10. das Becken; 11. die Schenkel; 12. die Schienbeine; 13. die Füsse. Fast jeder dieser Theile hat wieder mehr oder weniger einzelne Knochen, davon jeder wieder zu einer Verrichtung und Bedürfniss unsers Lebens dient.~~Die Anatomie ist diejenige Wissenschaft, welche uns alle Theile des menschlichen Leibes kennen lernt, und wird eben darum als die Grundlage der ganzen Arzeney und Heilkunde betrachtet.~~54
Ad00341 03 072a/freMélanges. XXVIII. Vol. III. No. 70.
SQUELETTES DU CORPS HUMAIN.
No. 1. Un Squelette mâle vu par devant.
No. 2. Le même, vu par derrière. Notre corps est d'une forme si admirable et d'une eompofltion fi fagement combinée, qu'il est sans contredit l'oeuvre le plus parfait et le plus digne d'admiration de tous ceux qui sont sortis de la main du Créateur. Il est composé de parties solides et dures, et de parties molles. Les premières sont les ossemens et les autres sont la chair, les veines, les intestins, les nerfs, les tendons etc. Tout comme une maison ne peut exister sans charpente intérieure, de même les ossemens sont indispenfableraent necessaires pour le soutien de la machine animale. Ils constituent sa grandeur, et lui donnent la beauté de la taille, la fermeté et la force. Quand on regarde avec attention un squelette et ses différentes parties, on ne peut s'empêcher d'admirer et d'adorer la sagesse infinie du Créateur, qui a composé cette charpente osseuse de notre corps avec une habileté si sublime, qu'il en est devenu capable de faire non seulement toute espèce de mouvemens et d'ouvrages, mais de vaguer aussi à toutes les affaires imaginables et de s'appliquer aux arts avec le succès le plus complet. Il n'y a par conséquent rien dé plus déraisonnable et de plus risible, que d'avoir en horreur cette merveille da la nature, de la regarder comme le symbole de la mort, et d'en avoir peur comme du monstre le plus affreux. Nous devrions plutôt ne point cesser de l'admirer et même de l'étudier, pour bien apprendre à connoitre notre propre corps avec ses diverses parties et leurs fonctions. La table ci-jointe nous représente un Squelette par devant et par derrière dans toutes ses proportions. Il consiste d'un nombre presqu' infini de grands et de petits os, qui tous sont joints ensemble par des vertèbres et des ligamens, et conservent cependant la plus grande mobilité. Les parties principales d'un Squelette sont: 1) la tête, 2) le cou, 3) l'épine do dos, 4) les côtes, 5) le thorax ou la poitrine, 6) les clavicules, 7) les omoplattes, 8) les bras et les avant-bras, 9) les mains, 10) Ie bassin, 11) les cuisses, 12) les jambes, 13) les pieds. Dans toutes ses différentes parties il se trouve encore plus ou moins d'os particuliers, dont chacun sert à quelque fonction ou à quelque besoin de la vie. L'anatomie est la science, qui nous fait conoitre en detail toutes les parties du corps humain; on la regarde avec raison comme la base de Medicine et de ia Chirurgie.
Ad00341 03 073aFig. 1. Der Zittwer. (Amomum Zedoaria L.)~~Der Zittwer ist eine Gewürzpflanze, welche in den Gebirgen des südlichen Asiens, vorzüglich in Cochinchina und China wächst. Sie wird 2 Fuss hoch, und hat breite ovale Blätter, (Fig. b.) und eine weisse Blüthe, (Fig. a.) welche wie Violen riecht. Vorzüglich wird die Wurzel davon als ein gewürzhaftes und stärkendes Arzneymittel gebraucht, und in den Apotheken geführt. Sie kommt getrocknet aus Ostindien durch den Handel nach Europa.~~Fig 2. Die Paradieskörner. (Amomum Grana Paradisi.)~~Die Paradieskörner sind die Saamenkörner (Fig. d.) einer Pflanze welche gleichfalls zu den Amomen-Geschlechte gehört, und sowohl in Afrika, in Guinea und Madagaskar als auch in Ostindien, auf Ceylon, Borneo und andern Inseln wächst. Sie liegen in einer Feigenähnlichen Frucht, welche ein säuerliches Fleisch hat. Die Paradieskörner haben viel Aehnlichkeit mit dem Pfeffer in Geschmak und Wirkung; daher auch die Gewürzkrämer den gemahlenen Pfeffer oft damit verfälschen. Man braucht sie in der Medizin als ein reizendes Arzneymittel.~~55
Ad00341 03 073a/frePlantes LXVII. Vol. III. No. 71.
PLANTES MEDICINALES.
Fig. 1. La Zèdoaire. La Zèdoaire est une plante aromatique, qui croit dans les montagnes de l'Asie méridionale, et furtout dans la Chine et la Cochinchine, Elle atteint une hauteur de deux pieds; ses feuilles sont assés larges et de forme ovale (Fig. b.), les fleurs, qu'elle porte, sont blanches (Fig. a.) et ont une odeur de violettes. Sa racine est employée dans la medicine, comme un remède corroboratif. Elle fait un article de Commerce et vient, toute fecbée, des Indes Orientales en Europe.
Fig. 2. La Maniguette, ou Graine de Paradis. Les Graines de Paradis sont la femence (Fig. d.) d'une plante, qui appartient dans la famille des Amomes; elle croit non seulement dans l'Afrique, la Guinée, et dans l'ifle de Madagascar, mais aussi dans les Indes Orientales, à Ceylon, Bornéo et dans d'autres ifles. Le fruit qui les contient ressemble aux figues et sa chair est d'un goût acre et mordicant. Les graines de paradis ressemblent au poivre pour le goût et l'effet; c'est pourquoi les épiciers s'en servent souveut pour falsisier le poivre moulu. On en fait usage dans la médecine comme d'un remède irritant.
Ad00341 03 074aFig 1. Der Dachshund. (Canis famil. vertagus.)~~Es giebt zweyerley Arten von Dachshunden, nemlich krumbeinigte und geradbeinigte. Sie haben sehr kurze Beine, einen langgezogenen Leib, und dicken Kopf. Ihre gewöhnliche Farbe ist braun oder schwarz mit gelbbraunen Flecken. Man braucht sie vorzüglich zur Jagd, um die Dächse und Füchse aus ihren unterirdischen Höhlen zu jagen, als wohinein diese Hunde sehr leicht kriechen können.~~Fig. 2. Der spanische Wachtelhund. (Canis famil. aviarius terrestris.)~~Das Vaterland dieser Hunde ist Spanien. Man schäzt sie blos wegen ihrer zierlichen Schönheit, und hält sie in den Häusern der Vornehmen als Stubenhunde zum Vergnügen. Ihre Farbe ist meistens weiss, mit schwarzen Ohren; zuweilen auch schwarz mit braunen Ohren und Kehle.~~Fig. 3. Der türkische Hund. (Canis fam. Aegyptius.)~~Diese Hunde-Art ist in der Türkey vorzüglich aber in Aegypten einheimisch, wo sie haufenweise in den Städten herumirrt und sich von allem, was sie findet, nährt. Diese Hunde zeichnen sich von allen übrigen durch ihr gänzlich haarloses Fell aus, welches von Farbe fleischfarben, gefleckt oder schwarz ist.~~Fig. 4. Der Mops. (Canis famil. fricator.)~~Der Mops, den man wegen seiner grossen Aehnlichkeit in der Gestalt den Bullenbeisser im Kleinem nennen könnte, ist fahlgelb von Farbe mit schwärzlicher Schnauze und Ohren. Man liebt ihn als Stubenhund, wo er aber seiner Trägheit wegen oft ungewöhnlich fett wird.~~Fig. 5. Das Bologneser Hündchen. (Canis fam. Melitensis.)~~Das eigentliche Vaterland dieses allerliebsten Hündchens ist die Insel Maltha, von wo es seiner Zierlichkeit wegen nach Italien, und von da weiter verpflanzt wurde. - Diese Hündchen sind oft nicht grösser als ein gemeines Eichhörnchen; ihr langes seidenartiges Haar, welches zottig herabhängt, ist gewöhnlich weiss, doch oft auch von anderer Farbe.~~Fig. 6. Das Löwenhündchen. (Canis famil. Italicus.)~~Das Löwenhündchen ähnelt in Ansehung der Grösse, des seidenartigen Haars, der Verschiedenheit der Farbe beynahe ganz dem Bologneser Hündchen, nur unterscheidet es sich von ihm durch die kürzern Haare, womit der Hintertheil des Körpers, und der grösste Theil de Schwanzes besetzt ist.~~55
Ad00341 03 074a/freQuadrupèdes LXII. Vol. III. No. 72.
DIFFERENTES ESPECES DE CHIENS.
Fig. 1. Le Basset. Il y a deux espèces de Bassets, dont l'une est à jambes torses, et l'autre à jambes droites. Ils sont bas sur pattes; leur corps est long et la tète grosse. On les trouve ordinairement de couleur brune ou noire, et marqués de taches d'un brun-jaunâtre. Ils sont bons pour la chasse des blaireaux et des renards; car la construction de leur corps leur permet de pouisuivre ces animaux dans leur terriers et de les en chasser.
Fig. 2. Le Braque, ou le Chien couchant d'Espagne. Cette eapéce de chiens est originaire dans l'Espagne. On ne les recherche que pour leur figure élégante, et comme ils sont très chères, ils se trouvent fréquemment dans les maisons des riches, où on les tient dans les appartemens des maîtres comme des objets de luxe. Leur corps est ordinairement de couleur blanche et leurs oreilles sont noires; quelquefois cependant on en trouve aussi qui sont noirs, et dont les oreilles et la gorge sont brunes. Fig 3. Le Chien Turc. Cette espèce se trouve dans la Turquie et surtout dans l'Egypte, où ils rodent par troupeaux dans les rues des villes et se nourrissent de tout ce qu'ils trouvent dans leur chemin. Ils se distinguent de toutes les autres espèces de chiens par ce qu'ils sont tout nus et sans poil; leur peau est noire ou de couleur de chair et marquée de taches.
Fig. 4. Le Doguin, ou le Mopse. Le Doguin a reçu son nom par la grande ressemblance de sa figure avec celle du Dogue d'Angleterre. Il est de couleur fauve; son museau et ses oreiles sont noires. On aime à le tenir dans les chambres, mais sa grande paresse le rend fouvent si excessivement gras qu'il a de la peine á se remuer.
Fig. 5. Le Bichon, ou chien de Malthe. Le nom de cette jolie espèce de chiens fait deviner sa patrie. L'élégance de sa figure l'a fait transplanter del'isle de Malthe dans l'Italie, et de la dans les autres pays de l'Europe. Il est très petit, et on en trouve souvent qui ne sont pas plus gros qu' un écureuil. Tout son corps est recouvert de grandes soies lisses et pendantes, dont la couleur ordinaire est blanche; il y en a cependant qui ont différentes autres couleurs.
Fig. 6. Le Chien-Lion. Le Chien-lion ressemble parfaitement au chien de Malthe par la grandeur, les soies pendantes et la diversité des couleurs; il n'en diffère que par ce que la partie postérieure du corps est garnie de poils plus courts, et que sa queue forme un beau panache, ce qui lui donne une petite ressemblance avec le lion.
Ad00341 03 075aFig. 1. Ansicht der Insel Staffa.~~Die Insel Staffa (oder die Säulen-Insel) welche mit zu den Hebriden oder West-Schotischen Inseln gehört, ist eine der merkwürdigsten Erscheinungen in der Natur. Sie ist etwa 1 Engl. Meile lang und 1/2 Meile breit, und besteht aus lauter bräunlich grauen Basaltsäulen, welche theils abgebrochen am Ufer in der See, theils dicht aneinander, wie eine prächtige aus lauter eckigten Säulen zusammengesetzte Mauer stehen, über sich mit einer Lage von gelblichem See-Tuffstein gedeckt sind, und die drey berühmten Höhlen oder Grotten, nemlich die Fingals-Höhle, die Cormorants oder Wasser-Raben-Höhle und die Shags-Höhle bilden. Die berühmteste und prächtigste darunter ist~~Fig. 2. Die Fingals-Höhle.~~welche auf der Nordwestlichen Seite der Insel, nicht weit von der Wasser-Raben-Höhle liegt, welche linker Hand weiter hin sich öffnet. Hier zeigen sich die gerade stehenden Basaltsäulen in ihrer größten Schönheit, Die ganze Höhle ist durch die ausgebrochenen Basalt-Säulen formirt, davon viele aussen vor der Höhle abgebrochen stehen, und gleichsam einen Damm bilden. Sie sind drey-vier fünf-sechs bis siebeneckigt, scharf und glatt, und die grössten bis 4 Fuss 5 Zoll im Durchmesser dick. Die Fingals Höhle ist 371 Fuss lang oder tief, 53 Fuss vorn im Eingange und 20 Fuss hinten am Ende weit, vorn in ihrem ersten Bogen aber 117 Fuss und hinten 70 Fuss hoch. Da sie innerhalb lauter Basalt-Säulen zu ihren Wänden, und dergleichen abgebrochene kühn herabhängende zur Decke hat, so gewährt diess den prächtigsten und grössten Anblick den man sich nur denken kann. Sie empfängt ihr Licht von aussen, durch ihr ungeheures Portal, so dass man bis an ihr tiefstes Ende, mit einem Boote, weil ihr Fussboden ganz unter dem Wasser liegt, hineinfahren, und unter dem klaren Wasser lauter abgebrochene Basaltsäulen stehen sehen kann. Die Decke über der Höhle bildet einen kleinen Berg, und besteht aus einem groben Tuffstein, aus welchem ganze Schichten von kurzen schrägliegenden Basaltsäulen hervorragen.~~55
Ad00341 03 075a/freMélanges XXIX. Vol. III. No. 73.
LA CAVERNE DE FINGAL dans l'Isle de Staffa.
Fig. 1. Vue de l'Isle de Staffa. L' isle de Staffa, une des isles Hébrides à l'ouest de l'Ecosse, est une des merveilles de la Nature les plus dignes d'admiration. Sa longueur est à peu près d'un mille d'Angleterre et sa largueur d'un demi mille. Elle est composée toute entière de Colonnes de Basalte d' une couleur grise et brunâtre; on ne les trouve pas seulement brisées dans la mer, où elles couvrent les côtes, mais dans l'isle même elles sont tellement ferrées l'une près de l'autre qu' elles forment un mur magnifique et qui par la figure angulaire des Colonnes a un caractère unique. Par dessus ces Colonnes il y a une forte couche d'un Tuf jaunâtre, dont elles sont couvertes par en haut; dans leur intérieur elles contiennent trois Cavernes fameuses, favoir la Caverne de Fingal, celle des Cormorans ou des Corbeaux de mer, et celle de Schag, La plus fameuse et qui surpasse les deux autres en beauté est
Fig. 2. La Caverne de Fingal, qui se trouve au Nord-ouest de l'isle et dans le voisinage de la Caverne des Cormorans fituée plus à gauche. C'est dans cette Caverne que les Colonnes de Basalte empilées perpendiculairement et unes sur les autres se présentent dans leur plus grande beauté. La Caverne doit son origine à ce que les Colonnes de Basalte se sont fuccessivement brisées; une grande partie de ces fragmens casses se trouve hors de l'entrée de la Caverne et forme une espéce de digues. Le nombre de leur pane varie depuis trois jusqu' à sept; leur surface est unie et très lisse et les plus grands ont une grosseur de 4 pieds, 5 pouces de diamètre. La longueur, ou plutôt la profondeur de la Caverne est de 371 pieds; la largeur de son entrée est de 53 pieds et celle de son fond de 20 pieds; la hauteur enfin est de 117 pieds à fa première Arcade et de 70 a fa dernière. L'intérieur de la Caverne n' ayant d'autres murs que des Colonnes de Basalte ni d'autre toit que de pareilles Colonnes brisées et suspendues d'une manière hardie, il offre le coup d'oeil la plus magnifique et le plus grand qu'on puisse f'imaginer. Elle reçoit le jour par dehors, et comme son portail est d'une grandeur immense, on peut y entrer dans une barque. Son fond étant en dessus de l'eau jusqu' à son bout, on voit encore sous cette eau extrêmement limpide les Co. lonnes brisées de Basalte. La surface extérieure de la Caverne forme une petite montagne, qui consiste dans un Tuf grossier ou l'on voit des couches entières de Colonnes de Basalte pofees obliquement.
Ad00341 03 076aDie Rebhühner, von denen wir hier fünf Arten aufgestellt sehen, gehören auch zu den weitläufigen Geschlechte der Waldhühner, die 67 Arten zählen, und wovon wir im II. Bande No. 49 schon mehrere Arten haben kennen lernen.~~Das gemeine Rebhuhn. (Tetrae perdix.)~~Fig. 1. Das Männchen. Fig. 2. Das Weibchen.~~Das gemeine Rebhuhn, welches seines schmackhaften Fleisches wegen überall beliebt ist, lebt in den gemässigten Himmelsstreichen fast von ganz Europa, nährt sich von grüner Saat, Körnern, mehrern Pflanzen und verschiedenen Insekten, worunter es die Eyer der Ameisen vorzüglich liebt. Seine Länge beträgt 12 Zoll. Die Farbe des Männchens ist eine schöne Mischung von Aschgrau und Schwarz, .welches am Kopf, Rücken, auf den Flügeln und am Schwanze mit Rothbraun wechselt; auf der Brust hat es einen grossen kastanien braunen Fleck in Form eines Hufeisens. Das Weibchen unterscheidet sich vom Männchen durch ein dunkleres, weniger ausgezeichnetes Gefieder, auch fehlt ihm der Hufeisenförmige Fleck auf der Brust.~~Fig. 3. Das Europäische Rothhuhn. (Tetrao rufus.)~~Das rothe Rebhuhn oder Rothhuhn findet sich nur hie und da in Deutschland, desto häufiger ist es aber in Frankreich, Italien, und mehrern Ländern von Asien und Afrika, wo man es Heerdenweise antrifft. Es ist grösser als das gemeine Rebhuhn, hat ein noch viel schmackhafteres Fleisch, nährt sich übrigens aber mit ihm auf einerley Art. Seines Gefieders wegen rechnet man das Rothhuhn unter die schönen Vögel. Schnabel und Füsse sind roth, Rücken, Flügel und Schwanz aschgrau-braun, Kehle weiss, mit einer schwarzen Binde umgeben; auf den Seiten zieren es weiss-schwarze organgefarbene Halbmondförmige Flecken.~~Fig. 4. Das griechische Rebhuhn. (Tetrao rufus Graeca.)~~Das Griechische Rebhuhn, welches in Menge in Griechenland, vorzüglich aber auf der Insel Candia lebt, ist eine Spiel-Art des vorigen, unterscheidet sich aber von ihm durch die Farbe seines Kopfes, Rückens, der Flügel und des Schwanzes, die ein bläuliches Aschgrau ist.~~Fig 5. Das geperlte Rebhuhn. (Tetrao perlatus.)~~Das Vaterland dieses schönen Rebhuhns, welches grösser als das gemeine Rebhuhn ist, ist China, wo man es The-kou nennt. Scheitel, Fügel und Schwanz sind rothbraun, Hals, Brust und Bauch schwärzlich braun mit runden weissen Flecken. Die Füsse des Männchens sind mit einem Sporn versehen.~~Fig. 6. Das rothhälsige Rebhuhn. (Tetrao rubcricollis.)~~Diese Gattung lebt in Afrika, ist so groß als ein kleines gemeines Rebhuhn, hat ein braunes, am Bauche und den Seiten mit Weiss untermischtes Gefieder und zeichnet sich durch die rothe Farbe seines Halses aus, wovon es auch den Namen trägt.~~55
Ad00341 03 076a/freOiseaux XL. Vol. III. No. 74.
DIFFERENTES ESPECES DE PERDRIX
On trouve cinq espéces différentes de Perdrix représentées sur la Table ci-jointe. Ces oiseaux appartiennent dans la famille des Gelinottes, qui est tellement nombreuse qu on en compte 67 espéces; nous en avons fait connoitre plusieurs dans le second Volume de ce Porte-feuille N. 49. La Perdrix commune. Fig. 1. Le Mâle. Fig. 2. La femelle. La Perdrix commune est généralement récherchée à cause du bon goût de sa chair, et elle se trouve dans les régions tempérées de presque toute l'Europe. Elle se nourrit de la pointe verte du blé, de graines, de plusieurs plantes et de différentes insectes; la nourriture cependant qu'elle paroit aimer de préférence sont les chrysalides de fourmis, appellées impropremeut oeufs. Elle a 12 pouces de longueur; la couleur du mâle est un beau mélange de gris-cendré et de noir, qui est varié de roux à la tête, au dos, aux ailes et à la queue; la poitrine est marquée d'une grande tache brunâtre en forme de fer à cheval. La femelle diffère du mâle en ce qu'elle n' a pas à la poitrine cette tache en forme de fer à cheval, et que son plumage est plus foncé et moins coloré.
Fig. 3. La Perdrix rouge d'Europe. Cette espèce de Perdrix ne se trouve que dans quelques parties de l'Allemagne, mais d'autant plus fréquemment en France, en Italie et dans plusieurs contrées del'Asie et de l'Afrique, où elle vit réunie en bandes ou vol' es. Elle estpîus grande que la perdrix commune, et sa chair est encore plus délicate; sa nourriture est la même. A cause de son plumage elle est comptée parmi les beaux oiseaux. Son bec et ses pieds sont rouges; le dos, les ailes et la queue sont d'un gris-cendré tirant sur le brun; sa gorge est blanche et entourée d'un bord noir; les plumes des cotés sont joliment colorées de taches blanches, noires et de jaune d'orange en forme de croissant.
Fig. 4. La Perdrix de Grèce ou la Bartavelle. La Bartavelle qu'on trouve en grande quantité dans la Grèce et surtout dans l'isle de Candie, n'est qu'une variété de l'espéce précédente; elle n'en diffère que par la couleur de la tête, du dos, des ailes et de la queue, dont les plumes sont d'un gris cendré tirant sur le bleu.
Fig. 5. La Perdrix perlée. La Chine est la véritable patrie de la Perdrix perlée et les habitans l'appellent Tche-cou. Elle est un peu plus grosse que la Perdrix commune; le plumage du sommet de la tête, des ailes et de la queue est d' un roux-brun, celui du col, de la poitrise et du ventre d'un brun-noirâtre, mais varié de taches ou raies blanchâtres de différentes figures. Les pieds des mâles sont garnis d'ergots.
Fig. 6. La Perdrix rouge d'Afrique. Cette espèee, qui fe trouve surtout dans l'Afrique, est de la grosseur d'une petite Perdrix commune. Son plumage est d'un brun foncé, mais éclairci sur le bord de chaque plume au ventre et aux cotés; elle se distingue principalement par la couleur rouge de sa gorge, qui lui a donné aussi son nom.
Ad00341 03 077aFig, 1. Der Amerikanische Strauss. (Struthio Rhea.)~~Wir lernten im ersten Bande No. 3. den Afrikanischen Strauss kennen, den man sonst für den einzigen seiner Art hielt. Vor nicht langer Zeit aber hat man auch noch in der Neuen Welt in Südamerika die zweyte Art gefunden, so dass wir nun jetzt einen Strauss der Alten und einen der Neuen Welt kennen. - Von letzterm liefern wir hier eine getreue Abbildung. Der Amerikanische Strauss, der ausgewachsen eine Höhe von 6 Fuss erreicht, und mit ausgespannten Flügeln 8 Fuss misst, bewohnt in Südamerika vorzüglich die Guiana, das Innere von Brasilien, Chili, die unermesslichen Wälder an der Nordseite des la Plato Flusses und die weiten Sandstriche südwärts von diesem Flusse. Er nährt sich so wie der Afrikanische Strauss von mehrern Früchten und Körnern. Die Farbe seines Gefieders ist erdbraun, welches heller und dunkler abwechselt; die langen innern Rückenfedern sind weiss. Er fliegt eben so wenig als der Afrikanische, und hat anstatt der Flügel an beyden Seiten nur Büschel schmaler dünner Federn; darunter erheben sich längere, die sich über den Rücken hinkrümmen, und den After bedecken; denn einen eigentlichen Schwanz hat er nicht. Von den Federn ist bis jetzt noch kein Gebrauch gemacht worden. Die Füsse haben drey vorwärts flehende Zehen, welches ihn vorzüglich von dem Afrikanischen unterscheidet, der nur zwey Zehen hat. Er läuft so schnell dass ihn kein Jagdhund einholen kann; doch fängt man ihn mit List in aufgestellten Netzen. Sein Fleisch isst man in Amerika.~~Fig. 2. Der schwarze Schwan von Neuholland. (Anas plutonia.)~~Seit der Entdeckung dieses merkwürdigen Vogels kommt das Sprüchwort: schneeweiss wie ein Schwan diesem Vogel nicht mehr ausschliessend zu, denn man hat seit einem Jahrzehend gerade das Gegentheil davon, einen glänzendschwarzen Schwan entdeckt, der die Seen in Neuholland und die benachbarten Inseln bewohnt. Dieser seltene Vogel der im Ganzen die Grösse und die Lebens-Art des weissen Schwans hat, unterscheidet sich durch sein ganz schwarzes Gefieder, das nur an den Schwungfedern gelblich weiss ist; auch hat er einen schlankern Hals, als der weisse Schwan. Der etwas längere Schnabel ist schön hoch roth gefärbt, und die kahle Haut davon erstreckt sich bis hinter die Augen.~~55
Ad00341 03 077a/freOiseaux. XLI. Vol. III. No. 75.
OISEAUX SINGULIERS.
Fig. 1. L'Autruche d'Amérique. Dans le 1er Vol. de ce Porte-feuille N. 3. nous avons fait, connoitre l'Autruche d'Afrique, qui sut regardée àutre fois comme unique dans son genre; mais il n'y a pas longtemps qu' on en a découvert une séconde espéce dans l'Amérique méridionale. On connoit donc maintenant une Autruche du vieux Continent et une autre du nouveau. C'est cette dernière qui fe trouve representée sur la Table ci-jointe. L' Autruche d'Amérique atteint une hauteur de 6 pieds, et ses ailes déployées forment une envergure de 8 pieds. On ne la trouve que dans l'Amérique méridionale, où elle habite principalement la Guiana, l'Intérieur du Brésil, le Chili, les forets immenses au Nord de la rivière de la Plata et les contrées vastes et sablonncuses qui f étendent au sud de cette rivière. Sa nourriture est la même que celle de l' Autruche d'Afrique et cousiste dans différentes espéces de fruits et de graines. La couleur de son plumage est d'un brun-terreux qui est tantôt plus clair, tontôt plus foncé; les grandes pennes fur le dos sont blanches au coté inférieur. Cette espèce d'Autruche ne peut pas voler, aussi peu que celle d'Afrique; car à la place des ailes elle a sur les deux cotés de barbes touffues dont les fils sont flottans et flexibles. Le dos est couvert de plumes longues qui fe replient par dessus le derrière et remplacent la queue qui lui manque. Jusqu' à présent on n'a pas encore fait usage de ses plumes. L'Autruche d'Amérique a drois doigts â chaque pied, ce qui la distingue principalement de celle d'Afrique qui n'en a que deux. Elle court avec une telle rapidité qu' un chien de chasse ne peut jamais l'atteindre; pour la prendre il faut donc avoir recours à la rufe et lui tendre des filets. Dans l'Amérique on est dans l'usage de manger sa chair.
Fig. 2. Le Cygne noir de la Nouvelle Hollande. Le Proverbe: blanc comme un cygne, ne convient plus exclusivement à cet oiseau, car ily a environ dix ans qu'on a découvert dans las mers de la Nouvelle Hollande et des isles voisines une espèce de cygnes d'un noir luisant. C'eft un oiseau aussi rare que remarquable; il ressemble au Cygne blanc par la grandeur et la manière de vivre, mais il en diffère en ce que son cou est plus long, et que son plumage est noir, excepté aux ailes, dont les plumes sont d'un blanc-jaunâtre. Le bec est aussi un peu plus long que celui du cygne blanc; il est d'un rouge très vif et très foncé, et la peau nue dont il est récouvert s'étend jusque derrière les yeux.
Ad00341 03 078aFig. 1. Der Mangostan Baum. (Garcinia mangostana.)~~Das Vaterland des Mangostan-Baums, oder der Mangostan Garcinie ist Ostindien, und die nahgelegenen Inseln Sumatra, Java, Amboina u.s.w. wo er eine Höhe von 20 Fuss erreicht. Er hat handlange kurzgestielte, einandergegenüberstehende Blätter, eine dunkelrothe an den Spitzen der Zweige sitzende Blüthe, und trägt eine Frucht die an Grösse und Gestalt der gemeinen Pomeranze gleicht, anfangs weiss-grün aussieht, bey völliger Reife aber sich tief dunkelbraun färbt. Unter der äussern Schale, die scharf, und bitter ist, und von den Chinesen zum Schwarzfärben gebraucht wird, liegt ein weisses saftiges Fleisch von säuerlichen äuserst angenehmen Geschmack, so dass nicht bloss die Indianer, sondern auch alle Europäische Reisende die Mangoste für eine der schmackhaftesten Früchte halten. Auch in der Medicin rühmt man ihre Heilbringenden Kräfte besonders in allen Ruhrartigen Krankheiten.~~Fig. 2. Der Rotang od. Drachenblutbaum. (Calamus rotang.)~~Der Rotang oder Roting ist ein strauchartiges Gewächs, welches ebenfalls in Ostindien, und einigen nahgelegenen Inseln wächst. Aus seiner Mitte treibt er erstaunlich lange rohrförmige Stengel die oft die Länge von 200 bis 300 Klaftern erreichen. Sie sind mit langen gefiederten Blättern besetzt, die an ihrer Ribbe mit einer Menge kleiner Stacheln versehen sind. Diese langen biegsamen Ranken laufen auf der Erde fort, theilen sich wieder in mehrere Gelenke, aus denen von neuem Zweige hervorschiessen, die sich an nahe stehende Bäume und Sträuche anlegen, so dass manche Gegenden, wo der Rotang häufig wächst, dadurch ganz unzugängig werden. Aus seiner weiblichen Blüthe entstehen birnförmige kastanienbraune Früchte (Fig. 3), die sich büschelweisse ansetzen und einen säuerlichen Brey enthalten, der essbar ist. Kocht oder presst man diese Früchte aus, so erhält man (eben so wie auch aus einigen andern Gewächsen) eine flüssige harzige Substanz, die in Formen gedruckt wird, und erhärtet unter den Namen Drachenblut bekannt ist. Sonst brauchte man das Drachenblut auch in der Medicin, wo es aber ganz unwirksam ist. Jetzt wendet man es vorzüglich zu Lack-Firnissen und Saft-Farben an.~~Mit den schlanken Ranken und Zweigen des Rotangs wird ein beträchtlicher Handel nach Europa getrieben. Die stärkern Zweige nemlich, zumal diejenigen die sich gerade an andern Bäumen hinaufgezogen haben, nimmt man zu Handstöcken, die unter dem Nahmen der spanischen Röhre ehemals besonders einen beträchtlichen Handelsartikel ausmachten. Die dünnern Ranken, die man haufenweisse als Schiffsballast mit nach Europa bringt, werden zu verschiedenen geflochtenen Arbeiten, als Körben, Rohrstühlen, u. s. w, verbraucht.~~56
Ad00341 03 078a/frePlantes LXVIII. Vol. III. No. 76.
PLANTES MÉDICINALES.
Fig. 1. Le Mangoustan. Cet arbre est originaire des Indes Orientales et des isles de Sumatra, de Java, d'Amboina etc. Il s'élève à la hauteur de 20 pieds; fes feuilles sont de la longueur d'une main, court-pendues et opposées; ses fleurs viennent aux extrémités des branches et sont d'un beau rouge foncé. Le fruit qu'il porte ressemble aux Oranges tant par la grosseur que par la forme; il est d'abord d'un verd blanchâtre, mais à sa maturité il devient d'un brun très foncé et presque noir. Sous sa peau extérieure qui est amère et dont les teinturiers Chinois sont la base et le fondement d'une couleur noire, il se trouve une chair blanche remplie de suc et d' un goût suave et rafràichissant. Ce fruit est généralement reconnu, non seulement par les Indiens mais aussi par les voyageurs Européens, pour le meilleur et le plus délicieux qui soit dans l'Inde. On fair aussi l'éloge de fes vertus dans la Médecine, et surtout dans les maladies dyssenderiques.
Fig. 2. Le Rotin ou Rotang. Le Rotin est une espece de builfons, qui croit également dans les Indes Orientales et les Isles voifines. De son milieu il pousse des tiges qui ressemblent à des roseaux et dont la longueur s'élève souvent à 200 jusqu' à 300 toises. Elles porteur des feuilles longues, empennées et dont les côtes sont très-garnies de petites epines. Ces tiges longues et flexibles rampent sur la terre, se divifent encore en plusieurs articulations, dont chacune pousse de nouvelles tiges, qui s'attachent aux arbres et buissons voisins, de manière quo des contrées où le Rotin croit en abondance, en deviennent absolument inactessibles. De fes fleurs blanchâtres il nait des fruits de couleur châtain et en forme de poires; (Fig. 3) ils viennent en bouquets et contiennent une espéce de bouillie d'un goût aigre doux, et bonne â manger. Par l'expression ou par la cuisson on retire de ces fruits, ainsi que de quelques autres plantes, une Substance liquide et résineuse, qu'on verfe dans des moules et qui étant fechée porte le nom de Sang de dragon. On en faisoit usage outre fois dans la medicine, mais il est prouvé aujourd' hui qu'il ne produit point dr effet. Il n'est donc plus emploie que dans la préparation de vernis et de couleurs faites du suc d'herbes. Avec les branches flexibles du Rotin il se fait un Commerce considérable en Europe, car les plus fortes, et furtout celles qui en s'attachant aux arbres ont poussé des jets tout droits, servent de bâtons pour l'appuyèr en marchant; elles sont connues sous le nom de Cannes et faisoient autrefois un Article de Commerce très important. Les branches plus foibles et menues, dont les vaisseanx qui partent pour l'Europe chargent des quantités énormes pour du lest, sont fendues par lanières et on en fait des corbeilles, des chaises et diiférentes autres meubles.
Ad00341 03 079aFig. 1. Wilder Hund aus Cayenne.~~Diese merkwürdige Art wilder oder vielmehr verwilderter Hunde lebt in den Wäldern von Cayenne, wo sie in kleinen Rotten umherstreifen, sich von mehrern kleinen Thieren nähren, in deren Ermangelung aber auch Früchte fressen. Sie haben kurze aufrechtstehende Ohren, spitzigen Kopf, dicken Leib, kurze Beine, und einen nicht gar langen dünnhaarigen Schwanz. Die Länge des Cayennischen Hundes beträgt 2 Fuss 4 Zoll. Die Farbe seiner-Haare, die 2 Zoll lang sind, ist auf dem Rücken schwarz, und geht nach und nach in das Fahlgelbe über, welches an den Füssen am lichtesten ist. Der Kopf ist oben rothbraun, die Backen und Kehle weiss, die Schnauze schwarz. Er lässt sich übrigens nur sehr schwer zähmen.~~Fig. 2. Der grosse Wolfshund.~~Das Vaterland dieses schönen Hundes ist Spanien, und den Namen Wolfshund hat er von der Ähnlichkeit mit diesem Raubthiere. Das zottige Haar, welches hier schwarzbraun und weiss erscheint hat eine ungleiche Länge. Am Schwanze, wo es am längsten ist, blähen sich die 6 Zoll langen weichen Haare gleich einem schönen Federbusche auf.~~Der grosse Russische Hund. Fig. 3. Der Hund. Fig 4. Die Hündin.~~Der sogenannte Russische Hund übertrifft an Grösse selbst den grossen Dänischen. Sein Leib ist wie beym Windhunde lang gestreckt, und verdünnt sich nach hinten zu. Er hat für seine Grösse einen sehr kleinen Kopf, mit dünner zu gespitzter Schnauze; die Beine sind schlank, und den dick behaarten Schwanz trägt er gewöhnlich halb aufgeschlagen. Der Hund (Fig. 3.) ist ganz weiss, bis auf die Ohren, und einige darunter liegende Flecken, die grau sind. Die Hündin, (Fig. 4.) hat einen schlankern dichter behaarten Leib als der Hund, und ist auch etwas kleiner. Die weisse Grundfarbe ihres Haars ist häufig mit grossen aschgrauen Flecken untermischt.~~Der Wolfs Bastard Hund. Fig. 5. Der Hund. Fig. 6. Die Hündin.~~Diese merkwürdige Abart von Hunden hat zum Vater einen Jagdhund, zur Mutter eine Wölfin, die sie 1773 in Frankreich warf. Der Hund (Fig. 5.) war ausgewachsen 3 Fuss lang, und 22 Zoll hoch, vom Fusse bis an die Schulter nemlich. Vom Vater hatte er den ganzen Hundskopf, von der Mutter aber die aufrechtstehenden Ohren, und den förmlichen Wolfsschwanz. Seine Farbe war eine Abwechselung von Hellbraun und Fahlgelb. Seine Stimme glich mehr dem Wolfsgeheul als dem Bellen eines Hundes. Er besass eine außerordentliche Gefrässigkeit, und war so wild und umbändig, dass ihm nichts als die Freyheit fehlte, um ein vollkommener Wolf zu seyn. Die Hündin (Fig. 6.) hingegen besass, ob sie gleich dem Kopfe und übrigen Bau nach völlig der Wölfin glich, und vom Jagd-Hund, nur den kurzen abgestuzten Schwanz hatte, ungleich mehr Sanftheit und Geselligkeit. Ihre Stimme glich den Bellen eines heisern Hundes. Die Hauptfarbe ihres Fells war schwarzbraun, welches am Bauche in das Graue überging. Sie zeigte übrigens grosse Gewandheit, und sprang mit Leichtigkeit über ziemlich hohe Mauern.~~56
Ad00341 03 079a/freQuatrupèdes LXIII. Vol. III. No. 77.
DIFFERENTES ESPECES DE CHIENS.
Fig. 1. Le Chien Sauvage de Cayenne. Ces chiens naturellement sauvages, ou qui le sont devenus, se trouvent dans les forêts de Cayenne, ou-ils se rassemblent par troupes et se nourrissent de plusieurs petits animaux; à leur défaut cependant ils mangent aussi des fruits. Ils ont les ure illes petites et droites, la tête alongée, le corps très gros, les jambes courtes et une queue de moyenne longueur et peu garnie de poils. La longueur de la taille est de 2 pieds 4 pouces et celle de ses poils de 2 pouces; leur couleur est noire sur le dos, varie petit à petit dans le fauve et devient très claire aux pieds. Le sommet de la tête est d'un brun-rougeâtre, les joues et la gorge sont blanches et le museau noir. Il est très difficile de les apprivoiser, à moins qu'on ne les prenne fort jeunes.
Fig. 2. Le grand Chien-Loup. Cette belle espece de chiens est originaire dans l'Espagne et doit son nom à sa ressemblance avec le loup. Son poil long et rude est d'une longueur inegale; la couleur est blanche et d'un brun-noir; à la queue ce poil est le plus long et souvent de 6 pouces; il est très foyeux et frise comme le plus beau panache. Le grand Chien de Russie.
Fig. 3. Le Chien. Fig. 4. La Chienne. Cette espèce surpasse toutes les autres en grandeur, et même le grand Danois. Son corps est effile comme celui du Lévrier, et devient plus mince à sa partie posterieure. Il a la tète trop petite en proportion de sa taille, et son museau est mince et alonge. Les pieds sont longs; sa queue est garnie d'un poil touffu et il la porte ordinairement de moitié retrousseé. Le Chien (Fig. 3.) est tout à fait blanc, excepté les oreilles et quelques taches à coté d'elles, qui sont grises. La Chienne (Fig. 4.) a le corps encore plus effilé et plus richement garni de poils que le Chien; mais sa taillé est un peu plus petite. Le fond blanc du poil est entremêlé de beaucoup de grandes taches d'un gris cendré. Le Chien-Loup bàtart.
Fig. 5. Le Chien. Fig. 6. La Chienne. Cette variété remarquable de chiens provient d'un chien de chasse et d'une louve, qui l'a mis bas en france en 1773, Le Chien (Fig. 5.) ayant achevé de croître etoit d'un longueur de 3 pieds et d'une hauteur de 22 pouces, à compter depuis les pieds jusqu' au sommet de la tête. II avoit reçu du père une véritable tête de chien, et de la mère les oreilles droites et la queue de loup. Sa couleur etoit un mélange de brun clair et de fauve. Sa voix ressembloit plutôt au hurlement des loups qu'ai'aboiement des chiens. Il etoit d'une voracité tout-à fait extraordinaire et tellement féroce et indomptable qu'il ne lui manquoit que la liberté pour être loup dans la force du terme. La Chienne (Fig. 6.) ressembloit absolument à la louve par la tête et toute la forme du corps, et ne tenoit du chien de chasse que la queue écourtée, mais malgré cela eile étoh beaucoup plus traitable, douce, sociable et amie del'homme. Sa voix ressembloit à l'aboiement d'un chien ranque. Le fond de sa peau étoit d'un brun noir, qui au ventre varioit dans le gris. Elle possedoit d'ailleurs une grande agilité et pouvoit franchir fans peine des murs assés élevés.
Ad00341 03 080aDie Wachteln gehören auch zum Geschlechte der Waldhühner, wie die Rebhühner, die wir im 55. Hefte kennen lernten, und in ihrem ganzen Bau, Lebensart und Aufenthalte zeigen sie mit den Ieztern eine nahe Verwandschaft.~~Fig. 1. Die gemeine Wachtel. (Tetrao coturnix.)~~Die gemeine Wachtel, als schmackhafte Speise und als angenehmer Stubenvogel allgemein bekannt, bewohnt fast die ganze alte Welt; denn vom Vorgebürge der guten Hoffnung an bis nach Island, vom weltlichen Ende von Europa bis nach China hin findet man sie. Ihre Länge beträgt 8 Zoll, und die Farbe ihres Gefieders besteht aus einer angenehmen Mischung von schwarzbraun, rostbraun, bald heller bald dunkler, gelblich- und schmutzig weiss. Sie hält sich vorzüglich gern in Weizenfeldern auf, wo sie auch nistet, und 8 bis 14 Eyer ausbrütet. Ihre Nahrung besteht, wie die des Rebhuhns, in Körnern, mehrerley Gesämen und Insecten. Sie gehört in Teutschland zu den Zugvögeln, denn gegen Ende des Septembers und Anfang Octobers zieht sie des Nachts in Schaaren weg, bringt den Winter in Afrika zu, und kehrt erst mit Anfang des Maies zu uns zurück. Auf ihrer Reise wird die gemeine Wachtel an den Küsten des Mittelländischen Meeres und auf den nahegelegenen Inseln, wo sie zweymal des Jahrs in ungeheuren Schaaren ankommt, und ermattet von der weiten Seereise ausruht, tausendweise gefangen.~~Fig. 2. Die Haubenwachtel. (Tetrao cristatus.)~~Die Hauben-Wachtel bewohnt Mexico und Guiana, hat die Grösse und Gestalt unserer Wachtel, unterscheidet sich aber von ihr durch den zolllangen Federbusch am Oberkopfe, und durch die verschiedene Färbung ihres Gefieders, welches am Halse und Bauche rothbraun ist. Die schmuzigbraunen Flügelfedern sind weiss gesäumt.~~Fig. 3. Die Chinesische Wachtel. (Tetrao sinensis.)~~Diese kleine Wachtelart ist nur 4 Zoll lang und bewohnt China nebst den Philippinischen Inseln. Die Hauptfarbe ihres Gefieders ist dunkel roth, braun; der Hals ist weiss, und hat an der Kehle ein schwarues (sic) Band. Die Chinesen tragen sie im Winter mit sich, um die Hände daran zu wärmen.~~Fig. 4. Die schwarzhälsige Wachtel. (Tetrao nigricollis.)~~Sie lebt auf der Insel Madagaskar, hat die Grösse unserer Wachtel, ist auf den Rücken schwarzbraun, auf den Flügeln aber rothbraun und weiss geschäckt. Bauch, Schenkel und After sind aschfarben. Die Seiten der Brust gelbroth, die Kehle schwarz. An den Füssen fehlt ihr die Hinterzehe.~~Fig. 5. Die Louisianische Wachtel. (Tetrao Mexicanus.)~~Hat die Grösse der vorigen, lebt in Mexico, Luisiana und andern Amerikanischen Ländern. Sie hat einen rothen Schnabel und Füsse, unter dem Auge einen schwarzen Streif; Rücken und Flügel sind roth- und gelbbraun. Hals und Bauch weiss, mit wellenförmigen Flecken geziert.~~Fig. 6. Die Maluinische Wachtel. (Tetrao Falklandicus.)~~Sie bewohnt die Maluinischen oder Falklands-Inseln, und ist so gross wie die gemeine Wachtel. Der Schnabel ist bleyfarben, die Füsse sind rothbraun, der Bauch weiss, und der übrige Körper bräunlich gelb gefärbt.~~56
Ad00341 03 080a/freOiseaux. XLII. Vol. III. No. 78.
DIFFERENTES ESPECES DE CAILLES.
LesCailles appartiennent dans l'Ordre des Gelinottes aussi bien que les Perdrix, que nous avons fait connoitre dans le 55 me Cahier de ce Porte feuille, et avec lesquelles les Cailles ont bien des rapports dans l'extérieur, le genre de vie et le séjour.
Fig. 1. La Caille ordinaire. La Caille ordinaire, qui est généralement estimée par sa chair succulente et son ramage agréable, est originaire dans tout l'ancien monde, et le trouve dans presque tous les pays depuis le Cap de Bonne Esperance jusqu' en Islande, et depuis les extrémités Occidentales de l'Europe jusqu'en Chine. Sa longueur est de 8 pouces et la couleur de son plumage est un mélange agréable de brun noir, de roux, qui est tantôt plus foncé, tantôt plus pâle, de jaune et d'un blanc-sale. On la trouve préférablement dans les blèds froments, dans lesquels elle sait aussi son nid et couve 8 â 14 oeufs. Sa nourriture est la même que celle des perdrix et consiste en blé, quelquesautres graines et en Insectes. Les Cailles ordinaires sont des oiseaux de passage; vers la fin du mois de Septembre et au commencement de l'Octobre el les s'en vont en quantité passer l'hiver en Afrique, et n'en reviennent chez nous qu' au commencement du Mai. Elles voyagent toujours la nuit et fe réposent pendant le jour. Dans les deux voyages, en allant et en revenant, elles arrivent en très grand nombre, fatiguées du long chemin, sur les côtes et les isles de la Méditerranée pour s'y réposer, et y sont prises alors par milliers dans des filets.
Fig. 2. La Caille huppée. Elle habite le Mexique et la Guyane. Sa grandeur et fa forme sont les mêmes que celles de la nôtre, mais elle en diffère par une huppe, longue d'un pouce q'elle a sur le sommet de la tête, ainsi que par les couleurs du plumage, qui eu cou et au ventre sont d'un brun-sale et entourées d'un bord blanc.
Fig. 3. La Caille de la Chine. Cette petite espéce de Cailles n'a que 4 pouces de longueur et habite la Chine et les Philippines. Le fond de son plumage est d'un brun-rougeâtre très foncé; son cou est blanc et la gorge entourée d'une bande noire. Les Chinois ont l'usage de les porter avec eux pendant l'hiver pour s'en chauffer les mains.
Fig. 4. La Caille â gorge noire. Elle se trouve â Madagascar et sa longueur est celle de la Caille ordinaire. Le plumage de son dos est d'un brun-noirâtre, mais celui des ailes d'un brun rou eàtre et moucheté de blanc. Le ventre, les cuisses et le derrière sont d'un griscendré, les cotés de la poitrine d'un rouge-jaunâtre et la gorge est noire. Ses pieds n'ont que trois doigts et celui de derrière lui manque.
Fig. 5. La Caille de la Louisiane. Elle a la grandeur de la précédente et vit dans le Mexique, la Louisiana et d'autres contrées de l'Amérique. Son bec et fes pieds sont rouges; an dessous des yeux elle a une bande noire, le dos et les ailes sont d'un brun rongeâtre. Le cou et le veutre sont blancs et parsemés de tache ondoyantes.
Fig. 6. La Caille des Isles Malouines. Elle habite les isles Malouines et sa grandeur est la même que celle de la Caille ordinaire. Le bec est de couleur de plomb, les pieds sont d'un brun-rougeâtre, le ventre est blanc et tout le reste du corps est d'un brun-jaunâtre.
Ad00341 03 081aViele Quellen und Bäche unseres Erdbodens lösen, indem sie über Kalkgebirge hinströmen, eine grosse Menge Kalkerde auf, und führen sie im aufgelössten Zustande fein zertheilt mit sich fort. Treffen nun diese Gewässer in ihrem Laufe auf Felsenhöhlen, die im Innern der Erde so häufig sind, und werden da in mehrere dünnere Strahlen zertheilt, so setzt das herunterströmende und herabträufelnde Wasser feine Kalktheilchen an den Seiten-Wänden, an der Decke, und am Boden der Höhle in den mannichfaltigsten Formen, als Zapfen, Röhren, Trauben u.s.w. wieder ab, und dieses ist der sogenannte Tropfstein.~~Können diese senkrecht herabfallenden feinen Wasserstrahlen dieses Absetzen ihrer Kalktheilchen Jahrhunderte lang ungestört verfolgen, so setzt sich der Tropfstein, der Anfangs nur eine kleine Erhabenheit an der Decke bildete, nach und nach durch das fortdauernde Hinzukommen neuer Kalktheilchen in Form eines ungeheuren Zapfens an, der bisweilen selbst den Boden der Höhle erreicht.~~Oft stossen eine Menge solcher Zapfen die nahe an einander liegen, zusammen, und bilden nun majestätische Säulen; d (sic) Felsengewölbe zu unterstützen scheinen. Unter den auf diese Art durch die Natur selbst verzierten Höhlen nimmt die auf gegenwärtiger Tafel abgebildete~~Tropfstein Höhle bey Slains in Nordschottland~~einen vorzügl. Platz ein. Diese Bewunderungswürdige Höhle liegt in dem nördlichen Theile von Schottland, neben den Ruinen des alten Familienschlosses Slain, welches vor Zeiten die Grafen von Huntly besassen.~~Ein gefährlicher steiler Abhang führt in das Innere der Hökle (sic). Hier erblickt man am hohen Felsen Gewölbe unzählige Tropfstein-Zapfen, die senkrecht neben einander gereiht herabhängen, und den Eindruck, den man beym ersten Eintritt in die Höhle empfängt, noch vermehren.~~Hie und da stehen gewaltige Tropfstein Pfeiler, die vom Boden bis zur Decke der Höhle ununterbrochen fortlaufen, und in einiger Entfernung den täuschenden Anblick cannelirter Säulen gewähren. Eine schwache Beleuchtung, die bloss vom Eingang in die Höhle herrührt, vermehrt noch das Grausenvolle dieser erhabenen Naturschönheit.~~56
Ad00341 03 081a/freMélanges. XXX. Vol. III. No. 79.
LA CAVERNE DE STALACTITES près de Slain, dans l'Ecossè Septentrionale.
Il y a beaucoup de ruisssaux et sources sur notré Globe, qui, en traversant des montagnes de pierres calcaires, en détachent une grande quantité de particules, les décomposent, et les emportent dans leur cours. Lorsque ces eaux charient ces parties calcaires dans des cavités souterraines, qui sont si fréquentes dans l'intérieur de la terre, et que l'eau, étant filtrée à travers des terres ou pierres poreuses, se divise dans de petits filets, elle dépose ses parties calcaires aux parois, aux voûtes et sur le fonds de la Caverne, où elles s'attachent, prennent de la consistance et admettent différentes formes, telles que des tuyaux, des grapes, des quilles etc. C'eft a ces Concrétions de figure variée et bizarre qu' on donne le nom de Stalactites. Quand ces cristallifations commencent a se former, elles ne sont pas pins grosses qu' une goutte d'eau, qui en est la mesure; mais si ces petits filets d'eau, suspendus perpendiculairement aux vôutes, peuvent continuer fans interruption, pen dant une suite de fiécles, à déposer leurs partiescalcaires, les Stalactites s'élargissent et s'alongent successivement, et forment souvent des quilles immenses, dont la pointe gagne â la fin le sol inférieur de la Caverne. II n'est pas rare de voir plusieurs de ces quilles réunies ensemble; elles forment alors des colonnades imposantes, qui semblent soutenir la vôute de la Caverne. Parmi les Cavernes décorées de cette manière par les mains même de la Nature, celle qui est représentée sur la Table ci-jointe et qui est la fameuse Caverne de Stalactites, près de Slain dans l'Ecosse Septentrionale, tient un rang des plus distinguée. Elle se trouve, dans la partie septentrionale de l'Ecosse, près des ruines du vieux château de Slain, qui avoit appartenu auicefois aux Comtes de Huntly. Une pente rapide et dangereuse conduit dans l'intérieur de la Caverne. L'étonnement et la surprise, dont en est frappé à la première entrée, augmentent encore par la vüe du nombre infini de Stalactites qui pendent perpendiculairement aux voûtes immenses de la Caverne rangées l'une à coté del' autre. On y trouve aussi plusieurs Colonnes de Stalactites, qui s'étendent sans interruption depuis la voûte jusqu' au sol, et que dans quelque éloignement en est tenté de prendre pour des Colonnes cannelées. Un jour foible qui vient seulement par l'entrée, augmente sa frayeur dont on est saisi en admirant cette production merveilleuse de la Nature.
Ad00341 03 082aFig. 1. Das Schnabelthier. (Ornithorhynchus paradoxus.)~~Man hielt es in der Naturgeschichte immer für durchaus unmöglich, dass es ein vierfüssiges Thier geben könne, welches einen Vogelkopf oder Vogelschnabel hätte. Doch das vor einigen Jahren entdeckte und hier abgebildete sogenannte Schnabelthier zeigte auf einmal die Nichtigkeit jener Behauptung, und lehrt uns von neuem, dass man über den unerforschlichen Gang der Natur nie zu gewagte Urtheile fällen müsse.~~Das merkwürdige Schnabelthier entdeckte man in Menge in einem Landsee auf Neuholland. Es hat, den Schnabel ausgenommen, die Gestalt einer kleinen Fischotter, und ist 17 Englische Zoll lang. Sein ziemlich langes glänzendes Haar ist auf dem Rücken schwarzbraun, am Bauche aber gelblich grau. Der breite kurze, etwas aufwärts gebogene Schwanz ist mit straffen fast borstenartigen Haaren dicht besetzt. Die kurzen Füsse haben 5 Zehen, durch eine Schwimmhaut verbunden, welche an den Vorderfüssen einige Linien über die Zehen hervorragt. Die Augen und Ohren sind unverhältnissmässig klein. Das Sonderbare dieses Thiers besteht aber nun darin, dass es statt des gezähnten Mauls, einen förmlichen 1 1/2 Zoll langen Entenschnabel hat, in den wie bei jenen Vogel eine Menge Nerven auslaufen, und so das Thier geschickt machen, auch unter dem Wasser, wo es sich meistens aufhält, durch das Tasten seine Nahrung zu suchen.~~Fig. 2. zeigt den sceletirten Kopf und Schnabel dieses Thiers um mehreremal vergrössert, wodurch sich der Einwurf mehrerer Naturforscher, als sey der Schnabel durch betrügerische Naturalienhändler an die ausgestopften Exemplare dieses Thier künstlich angesetzt worden, auf einmal hob. Die häufig auslaufenden Nerven sind mit b bezeichnet. aa bedeutet den gefurchten Rand des Unterschnabels. c. zeigt die innere Höhlung des Schädels, die durch ein weggebrochenes Knochenstück sichtbar wird.~~Fig. 3. a. und b. Der Canadische Springer. (Jaculus Canadensis.)~~Bisher war die Gattung der Springer nur in der alten Welt bekannt, von denen wir im I. B. No. 93. 4 verschiedene Arten kennen lernten. Der Engländer Thomas Davies entdeckte aber auch in der Neuen Welt, in der Provinz Canada bei Quebeck eine neue bisher unbekannte, Art davon, die wir hier abgebildet sehen. Fig. a. stellt das niedliche Thierchen aufrecht dar, wie es sich eben zum Sprunge fertig macht. Bey Fig. b. erscheint es zusammengerollt im Winterschlafe. Die Farbe des Kopfes und des Oberkörpers ist röthlichgelb. Am Halse und am Bauche ist es weiss. Vermöge seiner langen Hinterfüsse thut es 4 bis 5 Ellen weite Sätze und erhebt sich dabei 12 bis 14 Zoll hoch.~~56
Ad00341 03 082a/freQuatrupédes. LXIV. Vol. III. No. 80.
ANIMAUX SINGULIERS.
Fig. 1. L'Ornithorynche. L'es Naturalistes ont de tout tems contesté la possibilité que la Nature ait pu produire un Quatrupéde doué d'une tête ou d'un bec d'oiseau. Mais la nullité de leur afsertion a été complètement prouvée il y a quelques années par la découverte du l'Ornithorynche, qui est repressenté sur la Table cijointe, et cette circonstance peut de nouveau servir de leçon, qu'on ne doit jamais porter des jugemens trop bazardés sur les voies impénétrables de la Nature. On a trouvé cet animal remarquable dans la nouvelle Hollande, où il vit en grande quantité dans un lac. Au bec prés sa figure ressemble a cette d'une petite loutre, et sa longueur est de 17 ponces d'Angleterre. Son poil assés long et luisant est d'un brun noirsfur le dos et d'un gris-jaunâtre an ventre. Il a une queue courte, large, un peu recourbée et toute garnie de poils rudes, semblables à ceux de cochons. Ses pieds sont petits; ils ont chacun cing doigts unis cusemble par une membrane, qui aux pieds de devant passe les doigts de quelques lignes. Les yeux et les oreilles sont du'nepetitesse disproportionnée. Ce qu'il y a cependant de plus singulier dans cet animal c'eft qu' au lien de bouche dentée il a un véritable bec de canard, il aboutit un grand nombre de nerfs, ce qui met l'animal en état de chercher sa nourriture parle moyen de 1'attouchement en dessous de l'eau, où il se tient fréquemment. Sous (Fig. 2.) on voit un squelette grossi de làtête et du bec de cet animal; l'objection faite par quelques Naturalistes, comme si par une fourberie de la part des marchands de curiosités naturelles ce bec avoit été attaché adroitements aux exemplaires rembourrés qu'on en possedoit, en est souverainement refutée. Les nerfs, qui abontissent dans le bec, sont marqués de b sur le tableau cijoint; aa fignisie le bord inférieur du bec; c fait voir la cavité intérieure du crane, qu'on peut voir ici destindement, parcequ'on a arraché une partie de l'os qui le couvroit.
Fig. 3. Le Sauteur du Canada. Le genre des Sauteurs ne fut connu jusqu' ici que dans láncien monde, et nous en avons donné la description de 4 especes différentes dans le cer Vol. N. 93. Mais un anglois, nommé Thomas Davies, a découvert aussi dans le nouveau monde, savoir dans la province de Canada prés de Québec, une espèce de ces Sauteurs, qui auparavant avoit été absolument inconnue; elle se trouve representèe sur la Table ci-jointe. Sous fig. a. on voit ce petit animal élégant placé debout sur ses pieds de derrière et prêt a fauter; fig. b. le fait voir plié en rouleau et dans son àssoupissement d'hiver. La couleur de son poil est d'un jaune-rougeàtre à la tête et sur la partie supérieure du corps, mais blanche au cou et au ventre. Par le moyen de ses longues jambes de derrière il franchit d'un saut des intervalles de 4 à 5 aunes en s'élevant de 12 jusqu' à 15 pouces en l'air.
Ad00341 03 083aDas Geschlecht der Finken unterscheidet sich von andern Singvögeln vorzüglich durch den kegelförmigen, geraden und zugespitzten Schnabel. Die Arten, deren wir bis jetzt 110 kennen, empfehlen sich theils durch ihr schönes Gefieder, theils durch ihren angenehmen Gesang. Blos 13 dieser Arten leben bey uns in Teutschland.~~Fig. 1. Der gemeine Finke. (Fringilla Coelebs.)~~Der gemeine Finke ist allenthalben seines muntern Gefieders und angenehmen Gesanges wegen beliebt, und wird deswegen auch häufig als Stubenvogel gehalten. Den Namen hat er von dem Laute, Fink! Fink! den er des Tages so oft ruft, erhalten. Seine Länge beträgt 7 1/4 Zoll, die Breite mit ausgespannten Flügeln 11 Zoll. Das Weibchen unterscheidet sich von dem hier abgebildeten Männchen dadurch, dass es kleiner, und schmutziger von Farbe ist. Der gemeine Fink bewohnt ganz Europa und einige Theile von Afrika. Im October zieht er aus unsern Gegenden bis auf wenige zurückbleibende, weg, und kömmt im März zurück. - Seine Nahrung besteht aus mehrern Gesämen und Körnern.~~Fig. 2. Der Bergfink. (Fringilla montifringilla.)~~Der Bergfink ist so gross als der gemeine Fink, aber noch schöner, da sein Gefieder aus einem abwechselnden glänzenden Schwarz, Hoch- und Orangengelb besteht. Er bewohnt das nördliche Europa, kommt aber im Winter auf seinen Zügen auch in unsere Gegenden, wird da von den Vogelstellern häufig gefangen, und auch als Stubenvogel gehalten. Seine Stimme besteht in einem unangenehmen Quäken. Uebrigens nährt er sich wie der gemeine Fink.~~Fig. 3. Der Schneefink. (Fringilla nivalis.)~~Ist selten in Teutschland, und bewohnt die höchsten Gebirge der Schweiz, Frankreichs und Persiens. Sein Gefieder besteht aus einer sanften Mischung von gelblich weiss, aschgrau und braun. Er ist 8 Zoll lang.~~Fig. 4. Der Haussperling. (Fringilla domestica.)~~Dieser listige verschlagene Vogel, der sich allenthalben nah an die Wohnungen der Menschen ansiedelt, bewohnt ganz Europa, Asien, und einen Theil von Afrika. Er ist kleiner als der gemeine Fink. Da der Sperling eben sowohl von Raupen und Insekten, als von Körnern und Gesämen lebt, so möchte sein Nutzen fast eben so gross, als sein Schaden seyn. Sein Fleisch ist wie das aller hier angegebenen Finkenarten, wohlschmeckend und essbar.~~Fig. 5. Der Feldsperling. (Fringilla montana.)~~Ist kleiner als der Haussperling. Seine Farbe besteht aus abwechselnden hell rothbraun und weiss. An der Kehle hat er einen schwarzen Ring. Er bewohnt wie der vorige ganz Europa, lebt im Sommer in den an Getreidefelder stossenden Gebüschen, nistet in hohlen Bäumen, und zieht im Winter nach den Wohnungen der Menschen.~~Fig. 6. Der Graufink. (Fringilla petronia.)~~Ist der kleinste der hier abgebildeten Finkenarten, denn seine Länge beträgt nur 6 3/4 Zoll. Er lebt in mehrern Ländern von Europa, ist in Teutschland aber selten. Der Kopf und der Rücken ist rothbraun, der Bauch röthlichweiss, die untere Seite des Halses gelb.~~57
Ad00341 03 083a/freOiseaux. XLIII. T. III. No. 81.
PINCONS DE DIFFERENTES ESPECES.
Le genre des Piçons se d'istingue particulièrement des autres oiseaux à chant, par son bec conique, droit et pointu. De 110 especes que nous connoissons, les unes sont recommandables par la beauté de leur plumage, et les aurtres par leur chant agréable. Nous n'en avons que 13 de ces espèces en Allémagne.
Fig. 1. Le Pinçon ordinaire. Le Pinçon ordinaire plait par tout a cause de son joli plumage et de son agréable gosier; c'est pourquoi il est consideré comme oiseau de volière. Il a sept pouces un quart de longueur et onze d'envergure. La femelle diffère du male, qui est ici répresenté, en ce qu'elle est plus petite, et a des couleurs moins brillantes. Le Pinçon ordinaire sè trouve par toute l'Europe et dans quelques parties de l'Afrique. Excepté quelques uns qui restent en arrière, il quitte nos contrées en Octobre, pour revenir vers le mois de Mars. Il se nourrit de. plusieurs fortes nie semences, et de graines.
Fig. 2. Le Pinçon d'ardenne. Il est aussi grand que le pinçon vulgaire, mais encore plus beau, son plumage étant varié de noir, jaune clair et orange. Il habite le nord de l'Europe, passe en hiver dans nos contrées, ou les oiseleurs en sont de grandes, captures; il est aussi regardé comme oiseau de volière. Son chant consiste dans un cris desagreable. Au reste il se nourrit comme le pinçon ordinaire.
Fig. 3. Pinçon de Neige ou Niverolle. Il se trouve rarement en Allemagne et habite les plus hautes montagnes de la Suisse, de la France et de la Perse. Les Couleurs de son plumage consistent en un mélange doux de blanc jaunâtre, de gris cendré et de brun. Il a 8 pouces de long.
Fig. 4. Le Moineau. Cet oiseau fin et ruse qui ne s'eloigne jamais des habitations des hommes, se trouve dans toute l'Europe, en Asie, et dans une partie de l'Afrique. Il est plus petit quele pinçon ordinaire. Comme le moineau se nourrit autant de chenilles et d'insectes que de graines et de femences, on pourroit le regarder comme aussi utile que nuisible. Sa chair de même que celle de toutes les espéces de pinçons dont nous avons fait, mention est savoureuse et mangeable.
Fig. 5. Le Friquer. Il est plus petit que le moineau. Sa couleur est varié de brun clair, brun rougeâtre et blanc. Il a un anneau noir à la gorge; Comme le précédent on le rencontre dans toute l'Europe; il vit pendant l'e dans les brouissailles qui avoisinent les champs de bled, niche dans des creux d'arbres, et sapproche en hiver des habitations des hommes.
Fig. 6. La Soulcie. C'est la plus petite espèce de pinçon, representé ici; car sa longueur n'est que de fix pouces trois quarts. Il se trouve dans plusieura pays de l'Europe, mais il est rare en Allemagne. La tète et le dos sont d'un brun rougeâtre; leventre d'un blanc rougeâtre, la partie inférieure du cou, jaune.
Ad00341 03 084aFig. 1. Die Fliegenfalle der Venus. (Dionaea muscipula.)~~Die Fliegenfalle der Venus ist wegen der grossen Reizbarkeit ihrer Blätter eine höchst wunderbare Pflanze. Das Ende der rund um den Stengel herumsitzenden Blätter, theilt sich in zwey ovale Flügel oder Lappen mit langen spitzigen Borsten versehen. Ihre drüsigte röthliche Oberfläche schwizt ein süsses klebriges Wesen aus, welches die Insekten zu ihrem Verderben anlockt; denn so wie ein Insekt nur die Oberfläche dieser Lappen berührt, so schliessen sie sich vermöge ihrer natürlichen Reizbarkeit augenblicklich so fest zu, dass man das Inseckt, ohne die Klappen zu zerreissen, durchaus nicht lebendig wieder daraus befreyen kann. Sucht es sich selbst durch Bewegungen aus seiner Gefangenschaft zu befreyen, so zieht sich die dadurch, noch mehr gereizte Pflanze nur noch fester zu. Hat der Reiz durch den Tod des Insects aufgehört, so thun sich die Klappen von selbst wieder auf, und das Insekt fällt heraus.~~Das Vaterland dieser merkwürdigen Pflanze sind die beyden Carolinen im Nördlichen Amerika. Aus der Mitte der Blätter treibt sie einen 6 Zoll hohen Stengel, an dem die milchweissen Blüthen, jede. an einem besonderen Stengel, sitzen. Ohngefähr vor 30 Jahren wurde sie zuerst nach England gebracht, wo man sie Anfangs mit mehrern hundert Thalern bezahlte; jetzt kann man sie dort für 8 bis 10 Thaler haben.~~Fig. 2. Der bewegliche Süssklee. (Hedysarum gyrans.)~~Eben so merkwürdig, als die vorige Pflanze ist der hier abgebildete bewegliche Süssklee, der durch Cooks Erste Reise aus dem innern Bengalen zu uns kam. Diese Pflanze wird 2 bis 2 1/2 Fuss hoch, und hat scharlachrothe himmelblau gesäumte Blüthen. Auch hier ist es die Bewegung der Blätter, was diess Pflanze so sehr auszeichnet.~~Die an dem Haupt-Blattstiele sitzenden grossen Blätter nemlich zeigen vom Aufgange bis zum Untergange der Sonne eine unwillkührliche durch das Sonnenlicht hervorgebrachte Bewegung. Sie richten sich bey Sonnenaufgang aus ihrem nächtlichen Pflanzenschlafe, in welchem sie schlaff herabhängen, auf, und bleiben in zitternder Bewegung bis zu Sonnen Untergang. Noch merkwürdiger aber ist die zweyte willkührliche Bewegung der beyden am grossen Blattstiele sitzenden Seitenblättchen. Diese Seitenblättchen sind nemlich Tag und Nacht, ohne durch Veränderung des Lichts oder der Witterung zu leiden, in steter Bewegung; wenn das eine in die Höhe steigt, so sinkt das andere bis an den Blattstiel herab, und so dauert dieser Kreislauf ununterbrochen fort. - Nach Entdeckung dieser Pflanze kömmt also die willkührliche Bewegung, ausser dem Thierreiche auch noch dem Pflanzenreiche zu, woran bisher die Naturforscher zweifelten.~~57
Ad00341 03 084a/frePlantes. LXIX. Vol. III. No. 82.
PLANTES ADMIRABLES.
Fig.1. Dionée hapante. C'est un très singuliere plante, a cause de la grande irritabilité de ses feuilles. Le bout des feuilles, rangées en cercle, autour de la tige, se partage en deux lobes ovales, bordée de cils ou soies longues et pointues. Il sort de leur superficie glanduleuse et rougeâtre une substance douce et visqueuse, qui entraine les infectes a leur perte; car dés qu'uni insecte touche seulement la superficie de ces lobes, dans l'instant leur irritabilité naturelle les fait rejoindre si fortement, qu'on les romproit plutôt que de les forcer a s'ouvrir, pour en tirer l'insecte vivant. L'insecte cherche-t-il, par des efforts a sortir de captivité, la plante, alors encore plus irritée par ces mouvemens se ferme avec plus de force. L'irritabilité a-t-elle cessée par la mort de l'infecte, les lobes se separent d'eux mêmes, et l'infecte tombe. Cette plante remarquable est originaire de l'une et l'autre Caroline dans l'Amérique septentrionale. Il naît du milieu des feuilles une tige haute de fix pouces, qui en soutient d'autres, au sommet de chacune desquelles est placé une fleur d'un blanc de lait. Elle fut seulement apporté en Angleterre, il y a environ 30 ans, ou on la payoit quelques cents ecus; a présent on peut l'y acheter pour 8 ou 10 ecus.
Fig. 2. Sainfoin tremblant. Le Sainsoin tremblant; ici representé et qui nous est parvenu de l'intérieur du Bengale, lors du premier voyage de Cook, est aussi remarquable que la plante précédente. Il parvient à la hauteur de deux pieds à deux pieds et demi, et a des fleurs ecarlates, bordées de bleu celeste. C'est de même que dans l'autre le mouvement des feuilles qui diftingue si fort cette plante. Les grandes feuilles qui fe trouvent sur les tiges destinées a en porter les principales, éprouvent depuis le lever jusqu'au coucher du soleil un mouvement involontaire produit par la lumière de cet astre. Au lever du soleil, elles se redressent, et sortent de leur sommeil végétale, pendant lequel elles pendoient comme flétries, et restent dans un etat de tremblement jusqii'a son coucher. Mais le sécond mouvement arbitraire des deux petites feuilles laterales, tenantes à la tige qui soutient les grandes, est encore plus digne de remarque. Ces deux petites feuilles laterales, sans sousfrir du changement de lumière où de tems, sont unit et sont dans un mouvement continuel; quand l'une monte, l'autre baisse jusqu'à la tige a feuilles, et ce mouvement circulaire continue ainsi sans interruption. D'après la découverte de cette plante, le mouvement arbitraire appartient aussi bien au regne végétale, qu'au regne animal, ce dont les naturalistes on doutés jusqu'à present.
Ad00341 03 085aFig. 1. Der Seefaecher. (Gorgonia flabellum.)~~Diese schöne Coralle, die unter dem Namen des Seefächers bekannt ist, findet sich an den Küsten des mittelländischen Meers, und auch in den beyden Indien, wo sie mit ihrem starken lederartigen Stamme an den Felsen festsizt. Ihr Stamm theilt sich in mehrere Aeste, die wieder durch ein netzartiges Gewebe unter sich verbunden sind; so dass das ganze dadurch das Ansehen eines Baums bekömmt. Man findet diese Coralle bis zur Grösse von 5 Fuss. Ihre Farbe ist ein schönes Scharlachroth. Die Aeste sind mit kleinen Poren oder Löcherchen die Fig. 1.b. vergrössert erscheinen, gleichsam übersäet. Dieses sind die Höhlen einer Art von Polypen, welche diesen wunderbaren Bau bilden, und wovon wir einen hier vergrössert, in Fig. 1.c. erblicken.~~Fig. 2. Die Seeorgel. (Tubipora musica.)~~Die Seeorgel gehört zum Geschlecht der Röhren-Corallen, und ist gleichfalls ein Bau und die Wohnung von See-Polypen. Sie besteht aus parallel neben einander liegenden dünnen Röhrchen, die man mit Orgelpfeifen verglich, und der Coralle daher den eben angeführten Namen gab. Diese Röhrchen bewohnt ein Thier, welches man bey Fig. 2.b. in dem vergrösserten durchschnittenen Stück erblickt. Dieses Corallen Gewächs findet sich im Indischen, Amerikanischen und dem rothen Meere, wo es sich in unförmlichen Massen an die Felsen anhängt, und gleichfalls roth aussieht. Die Indianer brauchen die Seeorgel als Heilmittel gegen die Bisse giftiger Thiere.~~57
Ad00341 03 085a/freCoraux. II. Vol. III. No. 83.
DIFFERENTES ESPÈCES DE CORAUX.
Fig.1. L'Eventail de Mer. Ce beau Corail connu sous le nom d'Evantail de mer, se trouve sur les côtes de la mer mediterranée, de même que dans les deux Indes, ou il est attache aux rochers par un tronc fort et coriace. Son tronc se partage en plusieurs branches, liées entre elles par un tissu, en forme de filet; en forte que le tout a quelque ressemblance avec un arbre. On trouve de ces coraux qui ont jusqu'à ciog pieds de hauteur. Leur couleur est un beau rouge ecarlate. Les branches sont parfemées de petits pores, tels qu'ils sont representé Fig. 1.b. vu au microscope. Ce sont les demeures d'une espéce de polipes, qui forment cet admirable édifice, et dont nous en voyons un ici agrandi, Fig. 1.c.
Fig. 2. L'Orgue de Mer. L'orgue de Mer appartient a l'espece de coraux a tuyaux, et il est pareillement l'édisice et la demeure de polipes de mer. Il consiste en petits tuyaux minces, couchés paralellement l'un a côté de l'autre, qu'on compara a des tuyaux d'Orgue, d'où ce corail a pris son nom. Ces petits tuyaux sont habités par un animal, qu'on peut voir agrandi Fig. 2.b. dans un morceau coupé par le milieu. Cette production se trouve dans la mer rouge, celle des Indes et d'Amérique, ou elle s'attache aux rochers en masses informes, et est également rouge. Les Indiens se servent de l'Orgue de Mer, comme remède contre les morsures des bêtes venimeuses.
Ad00341 03 086aFig. 1. Das wandelnde Blatt. (Mantis strumaria.)~~Wir sahen schon im I. Bde. No. 40. eine andere Art des so genannten wandelnden Blattes, einer Art Insekten, die alle zum Geschlechte der Fangheuschrecken gehören. Jene Art war dort im ungeflügelten Zustande abgebildet; die gegenwärtige aber hingegen erscheint mit Flügeln; und diese Flügel sind es eben, die das Thier so merkwürdig machen. Da die Oberflügel sowohl an, Farbe, als Struktur, so ganz gewissen Arten von Blättern gleichen, so wird es schwer, das Insekt im ruhigen Zustande davon zu unterscheiden. Die Unterflügel hingegen ähneln ihrer gelben Farbe wegen, verwelkten Blättern. Die Nahrung, welche aus kleinen Insekten besteht, fängt es mit den langen Vorderfüssen.~~Fig. 2. Der chinesische Laternenträger. (Fulgora candelaria.)~~Den Surinamischen Laternenträger lernten wir schon im I Bde. No. 40. des Bilderbuchs kennen. Der hier abgebildete ist in China zu Hause, und erscheint in seiner natürlichen Grösse. Die Blasenartige Verlängerung des Kopfs in Gestalt eines Horns, leuchtet nur so lange als das Infekt lebt; bald nach seinen Tode aber hört dieses Leuchten auf. Die Oberflügel sind grün mit orangefarbnen Flecken; die Unterflügel hingegen orangefarben, und endigen sich mit einem breiten schwarzen Fleck.~~Fig. 3. Der Europäische Laternenträger. (Fulgora euopaea.)~~Dieses kleine graulich grüne Insekt erreicht höchstens die Grösse eines halben Zolls. Es gehört wegen des verlängerten spitzigen Kopfs auch zu den Laternenträgern, obgleich man noch nicht bemerkt hat, dass es leuchtet. Sein Aufenthalt ist das südliche Europa. Auch im südlichen und mittlern Teutschland finden es sich, wie wohl nicht sehr häufig.~~57
Ad00341 03 086a/freInsectes, XX. Vol. III. No. 84.
INSECTES -REMARQUABLES.
Fig. 1. La feuille ambulante. Nous avons déjà vu dans le 1. Vol. No. 40. une autre espéce d'insectes nommé feuille ambulante, espéces d'insectes qui appartiennent toutes' au genre des Sauterelles. Cette première espéce etoit representé sans ailes; cette dernière, au contraire paroit avec des ailes; et ce sont ces ailes même qui rendent cet animal si digne de remarque. Ses ailes superieures ressemblant parfaitement aussi bien par la couleur que par la forme a certaines sortes de feuilles, il est difficile d'en distinguer l'insecte, dans son etat de repos. Les ailes inférieures au contraire, ressemblent, a cause de leur couleur jaune a des feuilles fanées. Sa nourriture qui consiste en petits insectes, elle se la procure, a l'aide de ses longues pattes de devant.
Fig. 2. Le Porte Lanterne de la Chine. Nous connoissons deja le Porte Lanterne de Surinam, figuré dans le 1. Vol. No. 40. de notre Portefeuille. Celui ci se trouve a là Chine, et il est representé de grandeur naturelle. La prolongation de la tête, qui ressemble en quelque façon a une vessie, et qui a la forme d'une corne, n'est luissante qu'autant de tems que l'animal est vivant; anssitôt après sa mort elle cesse de luire. Les ailes superieures sont vertes avec des taches oranges; les inférieures au contraire sont oranges, et se terminent par une tache noire.
Fig. 3. Le porte Lanterne d'Europe. Ce petit insecte d'un vert grisàtre atteint tout au plus la grandeur d'un demi pouce. Il appartient aussi a cause de sa tête allongée et pointue, a la classe de Portes - lanterne, — quoiqu'on n'ait pas encore remarqué qu'il soit luissant. Son sejour est le midi de l'Europe. On le trouve aussi, quoique rarement dans le parties méridionales et vers le milieu de l'Allemagne.
Ad00341 03 087aDie beyden auf der vorliegenden Tafel abgebildeten Schlangen gehören zu dem Geschlechte der Riesenschlangen, die wegen ihrer ungeheuern Grösse und Kraft diesen Namen mit Recht führen. Sie sind übrigens nicht giftig.~~Fig. 1. Die Abgottsschlange. (Boa constrictor.)~~Die Abgotts oder Königsschlange ist die grösste und stärkste nicht blos ihres Geschlechts, sondern aller Schlangen überhaupt. Sie erreicht eine Länge von 40 bis 50 Fuss, und wird, ausgewachsen, Mannsdick. Süd-Amerika, Indien und die Inseln des Indischen Meers sind das Vaterland dieser furchtbaren Schlange. Ihre Nahrung, besteht aus Rehen, jungen Büffeln, Antilopen, und andern Thieren. Auf diese lauert sie auf Bäumen verdeckt, schiesst dann, so wie sie sich nähern, auf sie herab, hält sie mit dem am After befindlichen Klauen fest, und schlingt sich, so fest um sie herum, dass jene ersticken müssen. Dann saugt sie alles Blut aus, zerquetscht durch ihre erstaunliche Kraft alle Knochen des Körpers, überzieht hierauf das Thier mit einem aus ihrem Rachen fliessenden Schleim, und schlingt es dann so ganz hinunter. In Ermangelung grosser Thiere frisst sie auch Eidechsen, Vögel, und andere kleine Schlangen. Die Färbung ihrer Haut besteht aus unregelmässigen dunkelkirschrothen, gelben, weiss und aschblauen Flecken und Streifen. Wegen ihrer Schönheit wird diese Haut da die Farben überdem noch glasartig glänzen, in jenen Ländern sehr hoch geschätzt, und im Handel theuer verkauft.~~Die Südamerikaner erweisen dieser Schlange wegen ihrer Furchtbarkeit göttliche Ehre, wovon sie auch, den Namen Abgottsschlange hat.~~Fig. 2. Der Hundskopf. (Boa canina.)~~Die Hundskopfs-Schlange oder auch Bojobi gehört gleichfalls zum Geschlechte der Riesenschlangen. Den Namen hat sie von der Aehnlichkeit ihres Kopfes mit dem eines Hundes. Ausgewachsen erreicht sie beynahe die Grösse der vorigen. Ihre Farbe ist ein schönes Seladongrün mit weissen Flecken. Nahrung, Aufenthalt und übrige Lebensart hat sie mit der Abgottsschlange gemein.~~57
Ad00341 03 087a/freAmphibies. X. Vol. III. No. 85.
SERPENS REDOUTABLES.
Les deux serpens representës ici appartiennent au genre des Boa ou serpens gigantesque qui sont nommés ainsi avec raison à cause de leur force et de leur enorme grandeur. Au reste ils ne sont pas venimeux.
Fig. 1. Le Devin.
C'est le plus grand, le plus fort, non seulement de son genre, mais en général de touts les serpens. Il parvient jusqu'à là longueur de quarante a cinquante pieds, et à la grosseur d'un homme. L'Amérique méridionale, l'Inde et les Isles de la mer des Indes sont la patrie de ce terrible serpent. Il se nourrit de chevreuils, de jeunes buffles, de gazelles et d'autres animaux. Il se tient en embuscade sur des arbres, sélance sur eux lorsqu'ils s'en approchent, les tien ferme, s'entortille autour de leur corps, et les ferre avec tant de violence, qu'il les étouffe. Il en suce tout le sang, leur écrase par sa force étonnante touts les os, l'enduit, d'une salivé qui lui sort de là gueule, et l'avale ensuite tout entier. Faute de plus grands animaux, il mange des lézards, des oiseaux et d'autres petits serpens. La teinte de sa peau consiste en taches et lignes irregulieres, d'un rouge foncé, cerise, jaunes, blanches et bleues cendrées. Cette peau à cause de sa beauté, et qui, en sus est d'un poli très brillant, est eftimé, et se vent fort chere dans ces pays. Les naturels de l'Amérique méridionale rendent a ce serpent des honneurs divins, a cause de la frayeur qu'il leur inspire; d'où on lui a aussi donné le nom de Devin.
Fig. 2. Le Bojobi ou serpent a tête de chien.
Il appartient pareillement au genre des Boa ou ferpens gigantesque. Ce nom lui à été donné a cause de la réssemblance de sa tête a celle d'un chien. Lorsqu'il a achevé de croître il atteint à peu près la longueur du précédent. Sa couleur est un beau vert céladon avec des taches blanches. La nourriture, le sejour et le reste de sa manière de vivre, lui est commune avec le Devin.
Ad00341 03 088aWir sehen hier, wie im vorigen Hefte No. 81 aus dem weitläufigen Finkengeschlechte gleichfalls wieder 6 Arten, die ebenfalls durch ihr schönes Gefieder, durch ihren angenehmen Gesang oder ihre Gelehrigkeit allgemein beliebt sind, und deswegen auch insgesammt als Stubenvögel gehalten werden.~~Fig.1. Der Stieglitz. (Fringilla carduelis.)~~Der Stieglitz bewohnt ganz Europa, einige Striche von Asien und Afrika. Sein sanft gemischtes Gefieder ist auf dem Rücken olivenbraun, am Bauche röthlich weiss. Die samtschwarzen Flügel- und Schwanzfedern sind blau gesäumet, und um die Augen und den Schnabel herum läuft eine schöne scharlachrothe Binde. Seine Nahrung besteht bloss aus mehreren Sämereyen; und Insekten frisst er nie. Vorzüglich liebt er den Distelsamen, daher er auch in manchen Provinzen der Distelfink heisst.~~Fig. 2. Der Canarienvogel. (Fringilla canaria.)~~Dieser so allgemein beliebte Vogel, wurde zu Anfang des 16ten Jahrhunderts durch Schiffe aus seinem eigentlichen Vaterlande, den Canarischen Inseln mit nach Europa gebracht. Da man ihn hier bald seines lieblichen Gesanges wegen schätzen lernte, so bemühte man sich um seine Fortpflanzung, die auch so gut gelang, dass man jetzt allenthalben Canarienvögel in Zimmern findet. - Ihre ursprüngliche Farbe, die graugrünlich ist, hat man durch Cultur sehr vermannichfaltet, so dass man jetzt, auch gelbe, weisse, und gefleckte Canarienvögel findet. Ihre Nahrung besteht aus Sämereyen, worunter sie vorzüglich den Mohn, Canarien und Hanfsaamen lieben. Die Canarienvögel lernen auch mit grosser Gescicklichkeit fremde Melodien nachpfeifen.~~Fig. 3. Der Zeisig. (Fringilla spinus.)~~Der niedliche gelehrige Zeisig ist der kleinste unter den Finkengattungen, und nur 5 Zoll lang. Er bewohnt fast ganz Europa, und nährt sich von mehreren Sämereien, unter denen er vorzüglich den Erlensaamen liebt. Sein Nest baut er in Schwarzwäldern auf die äussersten Spitzen hoher Zweige, woraus die Fabel entstand, dass die Zeisignester unsichtbar wären.~~Fig. 4 und 5. Der gemeine und Bluthänfling. (Fringilla Cannabina et Linota.)~~Der gemeine Hänfling ist etwas kleiner als der Stieglitz, bewohnt ganz Europa, das südliche Russland, und Nordamerika. Er hat einen äusserst angenehmen Gesang, und nährt sich von Sämereyen. In den ersten Jahren sieht er rothbraun und schmutzigweiss aus. Im dritten Jahr ändert aber das Männchen seine Zeichnung, bekommt einen blutrothen Scheitel und Brust, und ist dann unter dem Namen des Bluthänflings Fig. 5. bekannt.~~Fig. 6. Der Flachsfink. (Fringilla linaria.)~~Ist etwas kleiner als der gemeine Hänfling; Das Vaterland des Flachsfinken sind eigentlich die Nordländer, doch kömmt er im October in grossen Zügen auch zu uns nach Teutschland. In der Farbe gleicht er ziemlich dem Bluthänfling, und nährt sich wie der gemeine Hänfling von mehreren Sämereyen. Sein Gesang ist nicht angenehm.~~58
Ad00341 03 088a/freOiseaux. XLIV. Vol. III. No. 86.
PINCONS DE DIFFERENTES ESPECES.
Nous voyons encore ici, comme dans le précédent cahier No. 81. fix autres èspeces d'oiseaux, du genre nombreux des pinçons, qui sont généralement estimés par la beauté de leur plumage leur chant agréable, ou par leur docilité, et qui par ces raisons sont tous regardés comme oiseaux de volière.
Fig. 1. Le Chardonneret.
Il habite toute l'Europe, quelques parties de l'Asie et de l'Afrique. Son plumage doucement mélangé, est d'un brun olive sur le dos, et d'un blanc rougeatre sous la ventre. Les pennes des ailes et de la queue d'un noir veluté, sont bordées de bleue, et autour des yeux et du bec, il regne une bande d'un beau rouge ecarlate. Sa nourriture consiste en plusieurs éspeces de semences; il ne mange jamais d'infectes. Il aime par dessus tout la femence de chardon; d'où lui est venu le nom de Chardonneret.
Fig. 2. Le Serin des Canaries.
Cet oiseau si généralement aimé fut apporté en Europe par des vaisseaux au commencement du feizieme fiecle des Iles Canaries, d'où il est originaire, Comme il fut bientôt recherché a cause de son charmant gosier, on se donna toutes les peines possibles pour le multiplier, ce qui reussit au point, qu'on trouve actuellement partout en cage des Serins des Canaries. Sa couleur primitive qui etoit d'un gris verdàtre, a eté tellement variée par les coisements, qu'on en voit a present des jaunes, des blancs et des tachetés. Il se nourrit de différentes espéces de graines, entre lesqu'elles il préfère celle de pavot, le bléd de canarie et le chenevis. Les Serins des Canaries faisissent aussi avec beaucoup de facilité les airs qu'on veut seurs apprendre.
Fig. 3. Le Tarin.
Le joli et docile Tarin est le plus petit du genre des pinçons; il n'a que cinq pouces de long. Il habite presque toutes les parties de l'Europe, et se nourrit de plusieurs sortes de graines, entre lesqu'elles il aime particulièrement la semence d'aune. Il construit son nid dans les forets vertes a l'extrémité des plus hautes branches; d'où vient la fable que les nids de Tarins sont invisibles.
Fig 4. et 5. La Linotte et le grand Linot des vignes.
La Linotte est un peu plus petite que le Chardonneret, et se trouve dans toutes les parties de l'Europe, dans la Russie méridionale, et l'Amérique septentrionale. Elle a un chant très agréable, et se nourrit de graines. Les premieres années son plumage est d'un brun rouillé, et d'un blanc sale; mais dans la troisieme année, le sommet de la tête et la poitrine du mâle se changent en un rouge de sang, et alors il est connu sous le nom de grand Linot des vignes (Fig. 5.)
Fig. 6. Le Sizerin.
Il est un peu plus petit que la Linotte. La patrie du Sizerin eont proprement les régions du nord, cependant dans le mois d'Octobre il passe en grandes volées en Allemagne. Il ressemble assez, par la couleur, au linot de vigne, et se nourrit comme la linotte de différente wortes de graines. Son chant n'eft pas agreable.
Ad00341 03 089aFig. 1. Der Peruanische Balsamstrauch. (Myroxylum peruiferum L.)~~Das Vaterland des Peruanischen Balsamstrauchs, der nach einigen selbst die Grösse eines ansehnlichen Baums erreicht, .ist Peru und das ganze südliche Amerika. Die länglich ovalen vorn zugespizten Blätter sind am Rande gezackt; an der Spitze der Zweige kömmt die gelbliche traubenförmige Blüthe zum Vorscheine. Der ganze Strauch ist mit einer harzigen Substanz durchdrungen, die unter den Namen des Peruanischen Balsams bekannt ist, und wovon man eine weisse und eine schwarze Sorte kennt. Die weisse Sorte gewinnt man durch Einschnitte in die Rinde, wo der Balsam als ein dickes Oel herausfliest; der sich nach und nach verhärtet, und auf Kohlen gestreut, angenehm riecht. Da dieser weisse Balsam sehr theuer ist, so kommt er selten nach Teutschland.~~Häufiger ist der schwarze Peruanische Balsam. Man erhält ihn durch Auskochen der Rinde und der Blätter. Zu uns wird er als ein dichter trockner Körper in Kürbisschalen gepackt, gebracht. In der Medicin braucht man ihn zur Heilung vor Wunden. Innerlich wird er jetzt nicht mehr gebraucht.~~Fig. 2. Das Elemiharz. (Amyris elemifera. L.)~~Der Elemiharzstrauch wächst in Brasilien, Neuspanien und Carolina, hat braune knotige Aeste, und dreyfach gefiederte Blätter. Am Ende der Zweige kommen die weisslichen Blätter um Vorschein. Aus den Einschnitten, die man in die Rinde des Strauchs macht, fliest ein heller weiss grünlicher Saft heraus, darnach 24 Stunden erhärtet, und dann grau grünlich aussieht. Dieses ist das sogenannte Elemiharz. Es wird in den Amerikanischen Provinzen in Kisten gepackt, und so zu uns geschickt. Die Aerzte wenden das Elemiharz mit Salben vermischt als Heilmittel bey Wunden an. - In Weingeist aufgelösst brauchen es die Lackierer zum Lackfirnisse.~~58
Ad00341 03 089a/frePlantes. LXX. Vol. III. No. 87.
PLANTES MEDICINALES.
Fig. 1. Le Baume de Perou.
Le Baumier de Perou, qui selon quelques uns, parvient a la grandeur d'un arbre assez considérable, croit dans le Pérou, et dans toute l'Amérique méridionale. Les feuilles sont d'un ovale alongé, pointues par le bout, ou le bord dentelé; la fleur qui est jaunâtre et en grappes, se presente a l'extrémité des branches. Tout le buisson est imprégné d'une substance résineuse, connu sous le nom de baume de Pérou; il y en a deux sortes, le blanc et le noir. On obtient le blanc par une incision faite a l'ecorce, d'où il découle comme une huile epaisse, qui se durcit peu a peu, et qui répandu sur des charbons ardents, exhale une odeur agréable. Ce baume étant très cher, nous n'en recevons que rarement en Allemagne. Le baume noir du Perou est plus commun. On l'obtient par la cuisson de l'écorce et des feuilles. On nous l'apporte en morceaux compactes et secs, empaquetés dans des coques des calebasses. On l'employé en médicine a la guérison des plaies. On ne s'en sert plus intérieurement.
Fig. 2. La Gomme Elémi.
Le buisson qui la fournit croit dans lé Brésit, dans la nouvelle Espagne et dans la Caroline; il a les branches brunes et noueuses, et les feuilles placées par trois. Les fleurs qui sont blan-chatres paroissent au bout des branches. Il découle des iucisions qu'on fait a l'écorce de ce buisson un tue d'un blaric verdatre clair, qui fe durcit dans l'efpace de vingt quatre heures, et paroit alors d'un gris verdatre. C'eft ce qu'on nomme la Gomme êlêmi. Elle nous est envoyé des provinces d'Amérique, emballée dans des caisses. Cette Gamme mêlée avec des baumes, est employé par les médecins à la guerison des plaies. Les vernisseurs s'en servent dissoute dans de l'sprit de vin.
Ad00341 03 090aFig.1. Der Papiernautilus. (Argonauta Argo.)~~Der Papiernautilus, eine Schnecke die zum Geschlechte der Schiffsboote gehört, bewohnt das Indische und Mittelländische Meer und den grossen Ocean. Da die milchweisse, halbdurchsichtige Schaale des Papiernautilus nicht stärker als gewöhnliches Papier, und folglich erstaunlich leicht ist, so wird er dadurch zum Schwimmen sehr geschickt, zumal da sein ganzer Bau dem eines Bootes gleicht. Er erreicht eine Grösse von 6 bis 8 Zoll, ist an den Seiten gefurcht, und endigt sich in eine kleine Windung. Diese Schaale wird von einem Thiere bewohnt, welches dem achtfüssigen Dintenfisch oder der Sepia gleicht. Es hat 8 fussähnliche Verlängerungen, wovon es die zwey vordersten, die breit und mit einer dünnen Haut bespannt sind, gleich Seegeln ausspannt, unterdessen ihm die sechs übrigen, die es herab in das Wasser hängt, zum rudern dienen. So schifft der Papiernautilus, wenn er aus dem Meeresgrunde auf die Oberfläche des Wassers kommt, und durch eine geschickte Seitenwendung das Wasser aus seiner Schaale heraus geschüttet hat, gleich einem Fahrzeuge mit vollen Seegeln auf der Oberfläche des Meers bey gelindem Winde herum. Droht ihm Gefahr, so legt er sich auf die Seite, dass die Schale Wasser schöpft, und sinkt so wieder auf den Boden des Meers. Es ist wahrscheinlich, dass die früheren Bewohner der Seeküsten durch solche schiffende Papiernautilen zuerst auf die Idee von Seegeln, und die Anwendung mehrerer Ruder kamen.~~Fig. 2. Die rauhe Steck- oder Seidenmuschel. (Pinna rudis.)~~Die rauhe Steckmuschel besteht aus zwey dünnen zerbrechlichen Schaalen. Diese sind der Länge nach gefurcht, schmutzig blau-grau, welches mit schwärzlich braunen Queerbändern abwechselt, und sind am spitzigen Ende, womit sie gewöhnlich im Boden des Meers stecken, (weswegen sie auch Steckmuscheln heissen) durch ein knorpeliges Band verbunden. Das darinn wohnende Thier gleicht einer Erdschnecke. Aus einer zähen Flüssigkeit, die diese Schnecke in einem eignen Canale hat, spinnt sie eine Menge holzbrauner seidenähnlicher Fäden, die wie ein Bartbüschel zwischen den Schaalen heraushängen. Mit Hülfe dieses Bartes befestiget sie sich bey Stürmen an Steine und Felsen, und trotzt so, als vor Anker liegend, jeder Gefahr. An den Italienischen und Sicilianischen Küsten, wo sich die rauhe Steckmuschel vorzüglich aufhält, macht man Handschuhe und Strümpfe, sogar auch Tücher, aus jenen seidnen Büscheln, die aber wegen der Seltenheit sehr theuer sind.~~Fig. 3. Die Auster. (Ostrea edulis.)~~Die Auster, die wegen ihres schmackhaften Fleisches allenthalben bekannt ist, findet sich vorzüglich an den Küsten von Dänemark, Schweden, Holland, England, Frankreich und Spanien. Hier liegen sie mit ihren kalkigen Schalen fest an einander gepresst in ungeheurer Menge, so dass sie ordentliche Felsenriffe ausmachen, die dann Austernbänke heissen. Von hier reissen sie die Austernfischer durch mehrere Instrumente und Geräthschaften los, und verschicken sie weit und breit, so dass damit ein beträchtlicher Handel getrieben wird. Die Auster erreicht eine Grösse von 4 Zoll; vorzüglich essbar wird sie im 3ten und 4ten Jahr.~~58
Ad00341 03 090a/freCoquilles. II. Vol. III. No. 88.
COQUILLES REMARQUABLES.
Fig 1. Le Nautile papiracé.
Le Nautile papiracé, qui est un limaçon appartenant au genre des Argonautes, habite la mer des Indes, la Méditerranée et l'Océan. La coquille d'un blanc de lait et à demie transparente du nautile papiracé, n'étant pas plus forte que du papier commun, et par conféquent ex:trernernont légère, nage avec beaucoup d'adressé, furtout à cause de sa structure, qui ressemble a une nacelle. Il parvient à la grandeur de 6 a 8 pouces; ses côtes sont sillonés; et il se termine par une petite courbure. Cette coquille est habité par un animal, qui ressemble à la feche. Il a 8 prolongations semblables a des jambes, dont les deux anterienres, larges et tendues d'une peau mince, lui tiennent lieu de voiles, pendant que les fix autres, qu'il plonge dans la mer, lui fervent à ramer. C'eft ainsi que le Nautile papiracé, lorsqu'il monte du fond de la mer sur sa surface, et après-avoir adroitement vuidé l'eau, qui'l contenoit, en se penchant décote, vogue à pleine voile, par un temps doux, sur la surface de la mer: s'il est menacé de quelque danger, il se couche sur la côté, afin que la coquille se remplisse d'eau, et que parce moyen il tombe au fond de la mer. Il est probable que c'est en voyant naviguer le nautile papiracé, que'les premiers habitants des côtes de la mer, ont conçu l'idée de se servir de voilés, et d'employer plusieurs rames.
Fig. 2. La Pinne ou le Jambon rouge.
La Pinne consiste en deux coquilles minces et fragiles; elles sont sillonnés dans leur longueur d'un bleu grisatre sale, alternant avec des bandes transversales d'un brim noirâtre., et les bouts pointus, par lesquels elles sont ordinairement attaché au fond de la mer, sont liés pat une bande cartilagineuse. L'animal qui y habite ressemble à un Escargot. D'un fluide tenace, que cet escargot conserve dans un canal particulier, il file une quantité de fils, couleur de bois, qui ont quelque ressémblance avec la soie, et qui sortent comme un paquet de cheveux d'entre les coquilles; c'eft à l'aide de ces poils, que pendant les temps orageux, il fe fixe aux pierres et aux rochers, et que semblable à un vaisseau a l'ancre, il défie touts les dangers. Sur les côtes d'Italie et de Sicile, ou la Pinne, s'arrete particulièrement, on fait de ces paquets de soie, des gands, des bas, même des Etoffes, mais qui sont très chers, à cause de leur rareté.
Fig. 3. L'Hhuitre.
L'Huître connue par tout à cause de sa chair succulente se trouve principalement près de côtes de Danemarc, de Suéde, de Hollande, d'Angleterre, d'Espagne et de France. Elles y sont entassées et pressées si fortement les unes contre les autres, avec leurs écailles calcaires; et elles s'y trouvent en fi grande quantité, qu'elles forment comme des rochers; c'eft ce qu'on nomme des bancs d'huîtres. Les pêcheurs d'huitres les en détachent avec plusieurs fortes d'instruments et d'ustensiles, et les envoyent de tout côté, de forte qu'il s'en fait un comerce très considerable. L'huitre atteint la grandeur de 4 pouces; elle est particulièrement mangeable la 3e et la 4e année.
Ad00341 03 091aFig. 1. und 2. Der Schröter. (Lucanus cervus.)~~Der Schröter oder Hirschkäfer ist nach dem Flusskrebse das grösste teutsche Insekt, denn er wird von 2 bis gegen 4 Zoll lang. Von Farbe ist er glänzend dunkel schwarzbraun. Das Männchen (Fig. 1.) zeichnet sich vorzüglich durch die lang hervorragenden hornartigen Kinnladen aus, die im Kleinen ganz die Form von Hirschgeweihen haben, weswegen dieses Insekt in vielen Gegenden auch den Namen des fliegenden Hirsches erhalten hat. Das kleinere Weibchen (Fig. 2.) hat anstatt dieser Geweihe nur kurze Fresszangen. Es legt seine Eyerchen (Fig. a.) in faules Eichenholz, woraus kleine Larven entstehen die nach 4 bis 6 Jahren wie (Fig. b.) aussehen. In diesem Zeitpunkte hüllt sich die Larve in ein Gewebe von faulen Holztheilen, und verwandelt sich in die unten Fig. c. abgebildete Nymphe oder Puppe.~~Der Schröter lebt in Eichenwäldern wo er vorzüglich im Junius und Juliuis Abends herumfliegt. Seine Nahrung besteht aus Blättern und Banmsäften (sic).~~Fig. 3. Der fliegende Stier. (Scarabaeus Actaeon.)~~Er ist der grösste aller bekannten Käfer, und hier in seiner natürlichen Grösse abgebildet. Bisweilen wird er bis 6 Zoll lang. An seinem Brustschilde sitzen am vordern Ende zwey kurze dicke kegelförmige Hörner. Der Kopf verlängert sich in ein in die Höhe gekrümmtes, am Ende gespaltenes Horn. Er lebt blos in Amerika.~~Fig. 4. Der Nashornkäfer. (Scarabaeus nasicornis.)~~Der Nashornkäfer, der in Teutschland lebt, wird 1 Zoll 4 Linien lang und beynahe 9 Linien breit. Von Farbe ist er rothbraun. Der Kopf des Männchens ist mit einem starken rükwärtsgebogenen Rhinoceroshorne versehen, woher er auch den Namen hat.~~58
Ad00341 03 091a/freInsektes. XXI. Vol. III. No. 89.
SCARABEES SINGULIERS.
Fig. 1. et 2. Le Cerf volant.
Le Cerf-volant est après l'ecrevisse, le plus grand infecte d'Allemagne; car il acquiert la longueur de a jusqu'à 4 pouces. Il est d'un brun noirâtre luisant. Le male Fig. 1. se distingue particulierement par de longues cornes, qui ressemblent en petit à des bois de cerf, ce qui à fait donner à cet insecte le nom de cerf-volant. La femelle, plus petite, n'a, au lieu de ces bois, que de courtes pinces. Elle pond ses petits oeufs, Fig. a. dans du bois de chêne pourri, d'où naissent de petits vers, qui après 4, même 6 ans, ressemblent à la Fig. b. A cette epoque le ver s'enveloppe dans un tissu de particules de bois pourri, et se metamorphose en une Chrisalide, telle qu'elle est représenté Fig. c. Le Cerf-volant vit dans les forêts de chêne, ou il vole vers le soir; particulièrement pendant le mois de Juin et de Juillet. Il se nourrit de feuilles, et de la sève des arbres.
Fig. 3. Le Scarabée Acteon.
C'est le plus grand de touts les Scarabées connus, et il est peint ici de grandeur naturelle. Il atteint quelquefois la taille de 6 pouces. Son corcelet est garni par devant de deux courtes et grosses cornea, de forme conique. La tète se prolonge en une autre corne, recourbée par en haut, et fendue par le bout. Il vit feulement en Amerique.
Fig. 4. Le Moine ou Scarabée Nasicorne.
Le Scarabée Naficorne, qui vit en Allemagne parvient à la longueur d'un pouce quatre lignes, et presqu'ala largeur de neuf lignes. Sa couleur est un brun rouge. La tête du mâle est pourvue d'une forte corne de Rhinocéros, repliée en atriere, d'où il tire son nom.
Ad00341 03 092aFig. 1. Die gehörnte Schlange. (Coluber nasicornis.)~~Unter den Schlangen giebt es auch mehrere gehörnte Arten, wodurch das fürchterliche Ansehen dieser ohnehin gefährlichen Thiere noch um vieles vermehrt wird. Wir sehen gegenwärtig eine dieser Arten, die in neuern Zeiten aus dem innern Afrika zu uns gebracht wurde. Auf ihrer Nasenspitze sitzen die zwey 1/2 Zoll langen hornartigen Verlängerungen. Sie sind rückwärts gekrümmt, und lassen sich etwas biegen. Vor jedem Hörne steht noch eine starke aufrechtstehende Schuppe, die man für ein zweytes kleineres Hörnerpaar halten könnte. Die ganze Länge der Schlange beträgt 4 Fuss. Sie ist ganz mit starken Schuppen bedeckt. Der Grund ihrer Färbung ist ein gelbliches Olivenbraun. Darauf sitzen schwarze und bräunliche Punkte, Flecken, und Streifen, Sie ist übrigens sehr giftig.~~Fig. 2. Die Ringelnatter. (Coluber Natrix.)~~Die Ringelnatter ist unter den Schlangenarten, die sich in Teutschland aufhalten, die gewöhnlichste. Man findet sie allenthalben in Hölzern und Gebüschen, auch hält sie sich in Misthaufen, Viehställen und Kellern auf, weswegen sie der gemeine Mann die Hausunke nennt. Sie wird gegen 4 Fuss lang, ist auf dem Rücken grünlichblau, am Bauche aber schwarzblau, an den Seiten befinden sich eine Menge weisser Flecken. Am Kopfe des Männchens sieht man zwey hochgelbe Flecken in Form eines Ringels. Beym Weibchen sind diese Flecken weisslich. Im Junius und Julius legt letzteres seine wie eine Perlenschnur an einander gereihten Eyer in Mist- und Erdenhaufen. Die Ringelnatter ist durchaus nicht giftig, sondern hat nur kleine spitzige Zähne, womit sie ihre Nahrung, die in Fröschen, Kröten, Eidechsen, Feldmäusen u.s.w. besteht, ergreift und festhält. Ihrer Nahrung wegen gehört sie daher wohl mehr unter die nützlichen, als unter die schädlichen Thiere.~~58
Ad00341 03 092a/frejAmphibies. XI. Vol. III. No. 90.
SERPENS REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Serpent cornu.
Parmi les Serpens, il y en a plufieurs espéces qui ont des cornes, ce que augmente de beaucoup l'air formidable de ces animaux, déjà fort dangereux sans cela. Nous en donnons ici une de ces espéces, qui nous fut apporté, il y a peu de tems, de l'intérieur de l'Afrique. Sur le bout de son nez s'elevent des prolongations, qui ont du rapport avec de la corne, et qui sont longues de deux pouces et demi.' Elles sont courbées en arrière, et peuvent un peu se plier. Il y a encore devant chaque corne, une écaille forte et herissée, qu'on pourroit regarder comme une séconde paire des cornes plus petites. Toute la longueur du Serpent se monte à 4 pieds. Il est entièrement couvert'de fortes écailles. Le fond de sa couleur est d'un olive jaunâtre, sur lequel il y a des points, des taches et des raies noires et brunâtres. Au reste il est très venimeux.
Fig. 2. La Couloeuvre à collier.
La Couloeuvre a collier est l'espéce la plus commune de Serpens qui séjournent en Allemagne. On la trouve partout, dans les bois et les buissons, dans les las de fumier et dans les étables. Elle parvient à la longueur d'environ 4 pieds. Le dos est d'un bleu verdàtre, le ventre d'un bleu noir, et les côtés parsemés d'un quantité de taches blanches. On voit à la tête du mâle deux, tâches jaunes en forme de collier. Ces taches sont blanchâtres chez la femelle. Dans le mois de Iuin et de Iuillet cette dernière pond, dans des tas de fumier et de terre, des, oeufs, qui sont comme des perles, enfilées les unes à côté des autres. La Conloeuvre à collier n'est pas du tout venimeuse; il n'a que des petites dents aigues avec lesqu'elles elle prend et tient sa nourriture, qui consiste en grenouilles, crapaux, lézards, fouris etc. etc. En égard, à sa nourriture, on doit plutôt le ranger parmi les animaux utiles, que parmi les nuisibles.
Ad00341 03 093aNo. 1. Der gemeine Geyer. (Vultur cinereus.)~~Der gemeine Geyer bewohnt eigentlich nur die höhern waldigen Gebirge von Europa, doch trifft man ihn bisweilen auch in den flachen Gegenden Teutschlands an. Seine Länge beträgt 4 Fuss, seine Breite mit ausgespannten Flügeln 9 Fuss. Die Hauptfarbe seines Gefieders ist dunkelbraun, mit hellbraunen Spitzen. Der schwarze Schnabel ist mit einer blauen Wachshaut versehen. Wenn er ruhig sitzt, so bildet die Halswolle und die darunter stehenden Federn eine förmliche Halskrause, was ihm ein sonderbares Ansehen giebt.~~No. 2. Der Aasgeyer. (Vultur percnopterus.)~~Der Aasgeyer hat die Grösse des vorigen, bewohnt Syrien und Arabien, vorzüglich aber Aegypten, wo er sich in und um Cairo in grosser Menge aufhält. Da er sich vorzüglich vom Aase nährt, so ist er für Aegypten äusserst nothwendig, weil er die von den jährlichen Nilüberschwemmungen zurückgebliebenen todten Thiere und Ungeziefer auffrisst, die ausserdem bey der Sorglosigkeit der Aegypter die ansteckendsten Krankheiten hervorbringen würden. Deswegen hält man dort auch den Aasgeyer für einen geweihten Vogel, den niemand tödten darf.~~No. 3. Der Norwegische Geyer. (Vultur leucocephalus.)~~Diese Geyerart bewohnt ausser mehreren Europäischen Gegenden vorzüglich das kalte Norwegen, und sein weisses Gefieder macht ihn zu einem schönen Vogel.~~No. 4. Der Brasilianische Geyer. (Vultur Aura.)~~Der Brasilianische Geyer oder Urubu lebt in Nord- und Süd- Amerika, und in Westindien, erreicht die Grösse eines Truthahns, und lebt vorzüglich vom Aase, das er bey seinem scharfen Geruch in grosser Entfernung auswittert. Die nakten warzigen Seiten des Kopfs sind blau und gelblich, das übrige Gefieder schwarzbraun, mit grünlichem Schiller.~~No. 5. Der Secretair. (Falco Serpentarius.)~~Den Secretair, der zur Falken-Gattung gehört, sollte man auf den ersten Blick wegen seiner langen Füsse für einen Sumpfvogel halten; doch sein gekrümmter Schnabel und die Krallen verrathen hinlänglich den Raubvogel. Er hält sich vorzüglich am Vorgebürge der guten Hoffnung und auf den Philippinischen Inseln auf, wird 3 Fuss hoch, und lebt hauptsächlich von Ratten, Mäusen, Eidechsen und Schlangen. Letztere fasst er behende mit den Krallen, und wirft sie mit Heftigkeit gegen die Erde, um sie zu tödten. Sein Gefieder am Hals, Bauch und am Rücken ist bläulich grau, der Schwanz schwarz, mit weissem Saum, und die zwey mittlern Federn haben doppelte Länge. Am Hinterkopfe hängt ein lockerer Busch schwarzer Federn, welche man mit Schreibefedern verglich, die hinter dem Ohr steckten, und ihm deswegen den Namen des Secretairs gab.~~No. 6. Der Maltheser-Geyer. (Valtur fuscus.)~~Der Maltheser-Geyer wird etwas grösser als ein Haushahn, lebt auf der Insel Maltha und an den Afrikanischen Küsten des Mittelländischen Meers. Sein ganzer Körper ist mit braunen Federn bedeckt, die bald heller, bald dunkler sind.~~59
Ad00341 03 093a/freOiseaux XLV. Vol. III. No. 91.
DIFFÉRENTES ESPÈCES D'OISEAUX DE PROIE.
No. 1. Le grand Vautour.
Le grand Vautour habite les plus hautes montagnes de l'Europe qui sont couvertes de forêts; mais quelquefois on le trouve aussi dans les plaines de l'Allemagne. Il a quatre pieds de longueur et son envergure est de 9 pieds. Tout le plumage est d'un brun sombre et le bout de chaque plume est d'un brun- clair. Le bec noir est entouré d'une peau calleuse de couleur bleue. Quand l'oiseau est assis, le long duvet qui couvre son cou et les plumes longues qui bordent de chaque coté ce duvet, forment une espèce de cravate et donnent à l'oiseau un air tout-à-fait singulier.
No. 2. Le Vautour d'Egypte.
Le Vautour d'Egypte a la même grandeur que le précédent; il habite la Syrie, l'Arabie et furtout l'Egypte, où il vit en grand nombre dans la ville de Caire et aux environs. Comme il se nourrit de charognes il rend à l'EgypIe le plus grand service en consommant les animaux morts, qui restent annuellement sur la terre après les inondations du Nil, et qui avec l'insouciance des Egyptiens à cet égard infecteroient l'air et' produiroient les maladies les plus contagieuses. C'est par cette raison que ce Vautour y est un oiseau facré, que personne n'ose tuer.
No. 3. Le Vautour de Norwege.
Cette espèce de Vautours se trouve dans plusieurs pays de l'Europe, mais surtout dans les légions septentrionales de la Norwege. La couleur de son plumage, qui est d'un blanc de neige, lui donne une grande beauté. N.[sic.] 4. Le Vautour du Brésil, ou l'Orubu. On trouve le Vautour de Brésil dans l'Amérique septentrionale et méridionale, ainsi que dans les Indes Occidentales. Sa grandeur est celle d'un Coq d'Inde; il se nourrit principalement de charogne, dont il a le vent de très Join, tant son odorat est fin. Les cotés de sa tête sont dégarnis de plumes, couverts de verrues et d'une couleur bleue et jaunâtre; tout le reste de son plumage est d'un brun - noir changeant de vert.
No. 5. Le Messager du Cap de Bonne-Espérance.
Le Messager a du rapport avec les faulcons; à cause de ses longs pieds on le prendroit au premier coup d'oeil pour un oiseau aquatique, mais à son bec arqué et à ses griffes on reconnoit bientôt l'oiseau de proie. On le trouve principalement au Cap de Bonne-Espérance et dans les Isles Philippines; sa hauteur est de 3 pieds et sa nourriture consiste en rats, souris, lézards, crapauds et serpens; il saisit les derniers avec ses griffes, les enlevé à une grande hauteur et les jette ensuite avec violence contre la terre pour les tuer. Le plumage de son cou, du ventre et du dos est d'un gris-bleuâtre, celui de la queue est noir à bords blancs et les deux plumes de son milieu ont le double des autres en longueur. Sur le derrière de la tête il porte une touffe légère de plumes noires.
No. 6. Le Vautour de Malte.
La longueur de cette espèce de Vautours est celle d'un Coq domestique; elle se trouve à Malte et dans les parties de l'Afrique voisines de Ja Méditerranée. Tout son corps est couvert de plumes brunes, qui sont plus claires dans un endroit et dans l'autre plus foncées.
Ad00341 03 094aNo. 1. Die schwarze Nieswurz. (Helleborus niger.)~~Die schwarze Nieswurz oder Christwurz wächst wild auf bergigten Gegenden von Oesterreich, Steyermark, der Schweiz und Italien, wird aber aucb in mehrern Gegenden Teutschlands in den Gärten gezogen. Aus der lockern, sehr faserigen Wurzel steigen die dicken Blattstengel in die Höbe, an deren Spitze 7 bis 9 lanzettförmige an den Seiten gezähnelte Blätter sitzen. Der Blumenschaft kömmt gleichfalls blätterlos aus der Wurzel heraus, der bisweilen zwey, gemeiniglich aber nur eine fünfblättrige rosenförmige Blume trägt. Die schwarze Nieswurz blühet im März und April, doch findet man sie auch mitten im Winter, im December und Januar in Blüthe. Die Wurzelfasern erregen in grösserer Quantität genommen Erhitzung, Angst, und können äusserst gefährlich werden. In den verständigen Händen des Arztes aber dient die Nieswurz, wenn man sie wie mehrere andere Giftpflanzen sparsam gebraucht, als gutes Arzneymittel in verschiedenen Krankheiten.~~No. 2. Das schwarze Bilsenkraut. (Hyosciamus niger.)~~Das schwarze oder gemeine Bilsenkraut ist eine äusserst giftige Pflanze, die beynahe in ganz Europa auf Schutthaufen, an Fahrwegen und Gemäuern wächst. Aus der im ersten Jahre noch niedrigen Staude schiessen im zweyten Jahre 2 Fuss hohe Blüthenstengel empor, an dessen Ende die trichterförmigen Blüthen platt aufsitzen, deren Grundfarbe erbsgelb ist, mit darauf liegender netzartiger lilaer Zeichnung. Das Innere des Trichters ist ganz violet. Die dicken haarigen Blätter haben einen stinkenden, betäubenden Geruch, so dass man sich in ihrer Nähe nicht aufhalten muss. Sowohl das Kraut als der Saame, und vorzüglich das darinnen enthaltene Oel sind äusserst giftig, und bewirken eine tödtliche Raserey, wovon man viele unglückliche Beispiele hat.- Doch auch aus diesem schädlichen Kraute haben die neuern Aerzte grossen Nutzen gezogen, indem sie es in ganz kleinen Gaben vorsichtig innerlich und äusserlich bey verschiedenen Krankheiten brauchten, und den erwünschtesten Erfolg davon sahen.~~59
Ad00341 03 094a/frePlantes LXXI. Vol. III. No. 92.
PLANTES VÉNÉNEUSES D'ALLEMAGNE.
No. 1. L'Ellébore noir.
L'Ellébore noir croit naturellement dans les parties montueuses de l'Autriche, de la Stirie, de la Suisse et de l'Italie; mais dans pluileurs pays de l'Allemagne on le cultive aussi dans les jardins. Ses racines sont poreuses et tubéreuses et il en sort un grand nombre de fibres; de leur sommet naissent des feuilles portées sur de longues queues pleines de suc, qui au nombre de 7 ou 9 sont dentelées et en forme de lancettes. La tige des fleurs est dépourvue de feuilles et sort également de la racine; les fleurs sont uniques, ou quelquefois au nombre de deux, et composées de cinq feuilles disposées en rose. L'Ellébore noir fleurit communément au printemps, mais quelquefois on le trouve aussi en fleurs au milieu de l'hiver. Les fibres de ses racines prises en trop fortes doses agitent le fang et causent des serremens de coeur, mais lorsqu'un médecin habile et sage emploie l'Ellébore avec prudence et modération, comme il faut faire aussi avec d'autres poisons, il est un bon remède dans plusieurs maladies.
No. 2. La Jusquiame ou Hanebane.
La Jusquiame noire est une plante extrêmement vénéneuse; elle croit presque par toute l'Europe sur des décombres et le long des chemins et des murs. Elle est bisannuelle; dans la première année elle reste petite, mais dans la seconde elle pousse une tige haute de deux pieds, au sommet de laquelle sont attachées des fleurs en forme d'entonnoir, de couleur jaune pâle et veinées de pourpre, ce qui leur donne l'air d'être couvertes d'un filet de foie; l'intérieur de l'entonnoir est de couleur violette. Les feuilles épaisses et cotonneuses sont d'une odeur puante et stupéfiante, de forte qu'il faut éviter de se trouver longtems dans son voisinage. L'herbe de cette plante, aussi bien que la femence et surtout l'huile qui en est exprimée, sont extrêmement vénéneuses, et produisent une démence mortelle, dont malheureusement on n'a que trop d'exemples. Les médecins modernes ont fçû cependant tirer parti de cette plante dangereuse; ils l'emploient en petites doses dans différentes maladies tant extérieurement qu'intérieurement et lui attribuent des effets très salutaires.
Ad00341 03 095aNo. 1. Das Bittersüss. (Solanum dulcamara.)~~Das Bittersüss oder die Alpranke wächst an Zäunen und schattigen Plätzen in ganz Europa wild. Es ist ein strauchartiges Gewächs, das 9 bis 10 Jahre dauert, und mehrere Fuss hoch sich an den nahstehenden Sträuchern, Mauern und Pfählen in die Höhe rankt. Aus den jungem grünen Zweigen (die ältern haben eine graue Rinde) treiben im Julius und August die violetten radförmigen Blüthen hervor, die nachher kleine, länglich runde, weiche Beeren von scharlachrother Farbe ansetzen. Die Blätter sind herzförmig, spiessartig zugespitzt. Die Wurzeln und Zweige, die man jährlich frisch einsammelt, brauchen die Aerzte mit Erfolg für die Gicht und andere Krankheiten. Auch äusserlich angewendet thut das Bittersüss bey Hautausschlägen gute Dienste. Doch muss man es sehr vorsichtig brauchen, da es als ein heftiges Mittel leicht mehr schaden als nützen kann. Für den Genuss der schönen rothen Beeren hüte man sich, denn sie sind giftartig.~~No. 2. Das Löffelkraut. (Cochlearia officinalis.)~~Das Löffelkraut oder auch Scharbockskraut genannt, wächst in England, Spanien, Holland und den Niederlanden an den Seeküsten. In Teutschland wird es häufig in den Gärten gezogen. Der 3 Zoll hohe Stengel dieser Pflanze theilt sich in mehrere langgestielte Aeste, an denen die runden herzförmigen Blätter sitzen, die glänzend grün sind, und einen bittern salzigen Geschmack haben. An dem Hauptstengel kommen im May und Junius die kleinen weissen Blüthen zum Vorschein. Das Löffelkraut ist für die Seefahrer eine kostbare Pflanze, da es eins der besten Heilmittel gegen den Scorbut oder Scharbock ist, und sich zugleich an vielen Seeküsten so häufig findet. Man isst es entweder roh als Salat, oder gebraucht den ausgepressten Saft. Auch leistet der aus dem Kraute bereitete Löffelkraut-Spiritus in mehrern Fällen gute Dienste.~~59
Ad00341 03 095a/frePlantes LXXII. Vol. III. No. 93.
PLANTES MEDICINALES.
No. 1. La Douce-amère, Dulcamara ou Morelle rampante.
Cette plante croit naturellement dans presque toute l'Europe le long des haies et dans des endroits ombragés. Elle forme un arbrisseau, qui peut durer 9 à 10 ans, et ses tiges farmenteuses rampent sur la terre ou grimpent sur des buissons ou sur des murs et ecbalas voifins. Dans les vieux farmens l'écorce est grise; dans les jeunes; au contraire elle est verte et ceux t là poussent dans les mois dé Juillet et d'Août des fleurs violettes disposées en forme de roue et en grappes. A ces Heurs succédent des petites baies ovales, molles et de couleur d'écailate. Ses feuilles sont oblongues et en manière de fer de pique. Les branches ainsi que les racines sont cueillies fraiches dans chaque année, et les médecins les emploient avec succès dans les maladies, arthritiques; on s'en sert aussi extérieurement avec avantage contre la gale et d'autres maladies de peau. Il faut en faire usage cependant avec précaution, parcequ'elles sont un remède très violent, et pourroient bien devenir plus nuisibles qu'utiles. Qu'on se garde surtout d'en manger les belles baies rouges, car elles sont vénimeuses.
No. 2. Le Cochléaria ou l'herbe aux cuilliers.
L'herbe aux cuilliers se trouve en Angleterre, en Espagne, en Hollande et dans les Pays bas, où elle croit aux côtes de la mer. En Allemagne on la voit souvént plantée, dans les jardins. La tige est haute de 3 pouces; les feuilles sont arrondies en coeur, d'un vert luisant et portées sur des queues longues; leur goût est très acre et piquant. Les fleurs, qui poussent de la tige dans les mois de Mai et de Juin, sont petites et de couleur blanche. Cette plante est d'un grand prix pour les navigateurs, car elle tient un des premiers rangs parmi les spécifiques contre le scorbut et se trouve aussi en abondance sur beaucoup de côtes. On la mange tantôt toute crue comme de la Salade, tantôt on en prend le suc ou l'insusion. On tient aussi dans les boutiques un esprit distillé' de cette plante, qui rend d'excellent services dans plusieurs maladies.
Ad00341 03 096aDer Medusenstern. (Asterias caput Medusae.)~~Der Medusenstern, den wir auf der gegenwärtigen Tafel abgebildet sehen, gehört zu den Seesternen, die ein ziemlich grosses Geschlecht der Seethiere ausmachen, und wovon wir bis jetzt 33 Arten kennen. Einige dieser Seesterne haben 10 bis 13 Strahlen oder Arme, die mehresten aber nur fünfe. Unter den letztern ist nun der hier abgebildete Medusenstern oder das Medusenhaupt vorzüglich merkwürdig. Den Namen hat dieser Wurm dadurch bekommen, dass man ihn seines vielfachen Geflechtes wegen mit dem Schlangenhaar der in der Fabellehre bekannten Medusa verglich.~~Der Körper des Medusensterns besteht aus fünf starken, gleich weit auseinander stehenden Aesten oder Armen, wovon sich jeder in zwey neue Aeste theilt, dieser wieder gleichfalls in zwey andere, so dass diese zweytheiligen Unter-Abtheilungen bis in die zartesten Aestchen fortgehen, die sich bis in die tausende erstrecken. Ja man will an einem einzigen Medusenstern bis zu 80.000 solcher kleiner Glieder gezählt haben. Sie gleichen in der Weichheit den Hörnern der Schnecken, und schlingen sich schlangenartig in einander. Er erreicht mit ausgebreiteten Aesten im Durchmesser eine Grösse von 10 Fuss. Seine Nahrung besteht in Conchilien und Gewürmen, die er durch schnelle Zusammenziehung der tausendfältigen Aeste seiner Arme, welche er wie ein Netz ausspannt, sehr geschickt zu fangen weiss, und sie mit seinem am untern Theile des Körpers befindlichen Maule, das mit Zähnen versehen ist, verzehrt.~~Die Medusensterne halten sich an den Ufern fast aller Meere auf, vorzüglich aber leben sie im Mittelländischen Meere. Von Farbe sind sie roth oder braun, seltner aber grün. Sie kriechen entweder schleichend über die Gegenstände am Meeresboden weg, oder schwimmen auf der Oberfläche des Wassers.~~59
Ad00341 03 096a/freVers IV. Vol. III. No. 94.
LA TETE DE MÉDUSE.
La tête de Méduse.
La tête de Méduse, qu'on voit répresentée sur la table ci-jointe, est une espèce d'étoiles de mer, qui sont une famille d'animaux de mer assès considérable, et dont on connoit jusqu'à présent 33 espèces différentes. Ces étoiles de mer varient par le nombre de leurs, rayons ou brandies; quelques unes en ont 10 jusqu'à 13 mais d'autres et la plupart n'en ont que cinq. L'esspèce, dont il est ici question, et qu'on nomme la tête de Méduse, est du nombre de celles qui n'ont que 5 rayons, et sa structure singulière la rend très remarquable. Le nom qu'on lui a donné vient de la quantité de ses ramifications qui ressemblent à des tresses de cheveux et qui ont été comparées avec les serpens qui remplaçoient dans la mythologie les cheveux sur la tête de la fameuse Méduse. Le corps de cet animal consistè en cinq grosses branches rangées à distance égale l'une de l'autre; chacune de ces branches se partage de nouveau en deux rameaux et ces rameaux en deux autres et ainsi successivemement en une infinité de petites ramifications dont les demie res sont aussi fines, que des cheveux. On prétend avoir compté plus de 80.000 de ces petits rameaux dans une seule tête de Méduse. Toutes ces branches et ces rameaux ressemblent pour la mollesse aux cornes de limas et ils s'entrelacent de la manière des serpens. En comptant tous ces rayons étendus l'animal peut parvenir à une grandeur de dix pieds de diamètre. Sa nourriture consistè en coquillages et en vers, qu'il sçait prendre avec une grande adresse en serrant subitement les rameaux de ses bras, après les avoir tenu étendus comme un filet. Il dévoie ensuite sa proie avec sa bouche, qui est placée sur le coté inférieur du corps et garnie de dents. On trouve des têtes de Méduse aux eûtes de presque toutes les mers; mais en plus grande quantité sur les rivages de la Méditerranée. Leur couleur est rouge ou brune; très rarement on en trouve de vertes. Elles nagent tantôt sur la surface de l'eau, tantôt elles se traînent lentement sur le fond de la mer.
Ad00341 03 097aWir sehen hier und im folgenden Hefte No. 99. in mehrern Abbildungen die hauptsächlichsten innern Theile des menschlichen Körpers, welche die mehrsten Menschen aus thörigtem Eckel kennen zu lernen sich scheuen. Und doch würden sie, da von diesen Theilen der gesunde oder kranke Zustand unsers Körpers abhängt, durch deren nähere Kenntniss eine Menge Krankheiten vermeiden oder schneller zu heben wissen.~~No. 1. Die Lage der Eingeweide, der Brust und des Unterleibes.~~Hier erblicken wir die Brust und den Unterleib geöffnet. Alle Eingeweide liegen in ihrer natürlichen Lage. Blos das Brustbein und die vordern Theile der Rippen sind weggenommen.~~Fig. 1) Die Rippen. 2) Die Schilddrüse. 3) Die Brustdrüse mit Fett bedeckt. 4) Der Herzbeutel. 5) und 6) Die rechte Lunge. 7) und 8) Die linke Lunge. 9) Das Zwerchfell (sondert die Brusthöhle von der Bauchhöhle). 10) und 11) Die Leber. 12) Der Boden der Gallenblase. 13) Das Hängeband der Leber. 14) Das runde Leberband. 15) Der Magen. 16) Der Pförtner oder untere Theil des Magens. 17) Der erste Anfang des Zwölffingerdarms. 18) Ein Theil der Milz. 19) Das Magen- und Grimmdarmnetz.~~No. 2. Zweyte Ansicht der geöffneten Brust - und Bauchhöhle.~~In dieser Figur sind die Rippen (1. 1.) weiter als in Fig. 1. weggebrochen worden; die Lungen sammt der Luftröhre, das Fett so wie der Herzbeutel sind weggeschnitten. Hierdurch kömmt Fig. 2) das Herz zum Vorschein. Fig. 3) zeigt das Herzohr. 4) Die Aortenkammer oder linke Herzkammer. 5) Der Anhang des linken Vorhofs. 6) Die obere Hohlvene (Venen oder Blutadern sind Blutgefässe, die das Blut aus dem übrigen Körper ins Herz zurückführen). 7) u. 8) Die rechte und linke Drosselvene der Brust. 9) Die Lungen-Arterie; führt das Blut in die Lungen (Arterien oder Pulsadern sind Blutgefässe, die das Blut vom Herzen aus durch den ganzen Körper verbreiten, so wie es hernach die Venen wieder zum Herzen zurückführen). 10) Der Bogen der Aorta oder der grossen Pulsader, wodurch alles Blut in den Körper geht. 11) Gemeinschaftlicher Stamm der rechten Kopf- und Schlüssel-Arterie. 12) Die linke Kopf-Arterie. 13) Die linke Schlüssel-Arterie. 14) Die Schilddrüse. 15) Der Leerdarm nebst 16) und 17) dem gewundnen Darme gehört zu den sogenannten dünnen Därmen. 18) 19) 20) Der Grimmdarm, der hier in die Höhe geschlagen erscheint, gehört zu den sogenannten dicken Därmen. 21) Ein Theil der Darmbeinkrümmung. 22) Das vordere Band des Grimmdarms. 23) 24) und 25) Das Gekröse des Grimmdarms. 26) Ein Theil davon.~~59
Ad00341 03 097a/freMélanges XXXIi. Vol. III. No. 95.
SITUATION DES ENTRAILLES DANS LE CORPS HUMAIN.
La Tableau ci-joint ainsi que celui N. 99. contenu dans le cahier suivont réprésentent les Entrailles principales qui sont renfermées dans le corps humain; le vulgaire des hommes est assès imbécille pour qu'il lui répugne de les étudier dans jours détails, mais ces gens - là ne lavent pas que l'état de santé et de maladie de notre corps dépend principalement de ces différentes parties et que par conséquent leur connoissance particulière peut non feulement faire éviter un grand nombre de maladies, mais aussi les guérir avec plus de facilité. 1. La situation des Entrailles de la poitrine et du bas ventre. Nous voyons ici la poitrine et le bas ventre ouverts et toutes leurs Entrailles dans leur situation naturelle; il n'en manque que le brechet et la partie antérieure des côtes. Fig. 1) Le reste des côtes. 2) Une partie de la grande thyroide. 4) Le thymus couvert de graisse. 4) Le péricarde. 5) et 6) Le poumon droit. 7) et 8) Le poumon gauche. 9) Le diaphragme, qui sépare la cavité de la poitrine de celle du bas ventre. 10) et 11) Le foie. 12) Le fond de la véficule du fiel. 13) Le ligament suspensoire du foie. 14) Le ligament rond du foie. 15) L'estomac. 16) Le pylore ou la partie inférieure de l'estomac. 17) Le commencement du duodénum. 18) Une partie de la rate. 19) L'épiploon gastro-colique.
No. 2. Second aspect des cavités ouvertes de la poitrine et du bas ventre.
Dans cette figure on a oté une plus grande partie des côtes, que dans Fig. 1) et plus encore les poumons, la trachée-artère, la graisse et le péricarde; de sorte qu'on voit Fig. 2) le coeur. Fig. 3) l'oreillette du coeur. 4) Le ventricule gauche du coeur. 5) L'appendice de l'oreillette gauche du coeur. 6) La veine cave supérieure. (Les veines sont des vaisseaux sanguins, par lesquels le taug distribué jusqu'aux extrémités du corps est rapporté au coeur.) 7) et 8) La veine jugulaire droite et gauche de la poitrine. 9) L'artère pulmonaire, qui porte le sang aux poumons. (Les artères sont des vaisseaux sanguins, qui distribuent le sang jusqu'aux extrémités du corps où il est reçu par les ramifications des veines qui le rapportent au coeur.) 10) La crosse (ou courbure) de l'aorte par laquelle le sang est poussée dans le corps. 11) Le tronc commun de la carotide et sous-clavière droite. 12) L'artère carotide gauche. 15) L'artère sous -clavière gauche. 14) La glande thyroïde. 15) Le jéjunum, qui appartient aux boyaux déliés ainsi que 16) et 17) L'iléon. 18) 19) et 20) Le colon qui paroit ici renversè en dessus et qui fait partie des gros boyaux. 21) Une partie du colon iliaque ou de l's du colon. 22) Le ligament antérieur du colon. 23) 24) et 25) Le mésocolon. 26) Une partie du mésocolon.
Ad00341 03 098aDer Seeadler. (Falco ossifragus.)~~No. 1. Das Männchen. No. 2. Das Weibchen.~~Der Seeadler gehört mit zu den grössten Raubvögeln, denn er erreicht eine Länge von 3 Fuss 10 Zoll, und misst mit ausgespannten Flügeln 8 Fuss. Man findet ihn ausser einigen Gegenden Teutschlands, fast in ganz Europa, in Asien und Nord-Amerika. Er hält sich gewöhnlich am Meeresufer, an fischreichen Landseen und Flüssen auf, wo er seiner Lieblings-Nahrung, den Fischen, nachstellt. Da er weniger scharf als die übrigen Raubvögel sieht, und seine Schwingen auch Kürzer sind, so fliegt er nicht hoch, und streicht nur über die Erde und Wasserflächen hin. Sein Nest baut er in entlegene Waldungen auf die höchsten Bäume aus Reisig. Das Gefieder des Seeadlers besteht aus einer Mischung von roth-schwarz-und graubraun. Die Beine oder Fänge sind gelb und geschuppt. Das Männchen ist etwas kleiner als das Weibchen, und sein Gefieder ist viel heller und hie und da mit weissen Stellen untermischt.~~No. 3. Der französische Adler. (Falco gallicus.)~~Dieser Adler wird 2 Fuss lang, 5 Fuss breit, und lebt vorzüglich in Frankreich. Der Hinterkopf, Nacken, Rücken und die Flügel sind graulich braun; der Hals, die Brust und Bauch weiss mit rothbraunen Flecken. Er lebt von mehreren kleinen Thieren, als Ratten, Mäusen, Hamstern u.s.w. Doch verachtet er auch Frösche nicht.~~No. 4. Der Fisch-Aar. (Falco haliaëtos.)~~Der Fisch-Aar oder die Moosweihe ist den Fischereyen sehr nachtheilig, da Fische seine hauptsächlichste Nahrung sind. Er erblickt sie wegen seines scharfen Gesichts in der großen Höhe, und schiesst dann schnell auf sie herab. Seine Länge beträgt 2 Fuss 5 Zoll, seine Flügelbreite 6 Fuss 6 Zoll. Das Gefieder ist am Hals und Bauch weiss, mit rothen und braunen Flecken. Die Flügel sind schwarzbraun, weiss gesäumt, die Füsse gelb, der Obertheil des Kopfes gelblich und weiss. Man trifft den Fisch-Aar ausser Europa, auch in mehrern Theilen von Asien, Afrika und Amerika an. In Teutschland ist er nicht selten.~~No. 5. Der Falke mit rother Kehle. (Falco aquilinus.)~~Dieser schöne Falke wird 1 Fuss 11 Zoll lang, und findet sich vorzüglich in Cayenne in Amerika. Sein Gefieder ist glänzend Indigoblau, die Füsse sind gelb, der Schnabel bläulich mit einer dunkelgelben Wachshaut. Die Kehle und Seiten des Kopfs sind mit kleinen purpurroten Federchen besetzt.~~No. 6. Der Bussard. (Falco Buteo.)~~Der Bussard oder Mäusefalk ist ein in ganz Teutschland bekannter Raubvogel; lebt aber ausserdem auch noch in den übrigen Ländern Europa's und in Nord-Amerika. Er ist 2 Fuss 3 Zoll lang und 5 Fuss breit. Sein Gefieder ist ein abwechselndes rostbraun und graubraun, die Schwungfedern schwarzbraun; doch ist das Farbenspiel beym Bussard oft sehr verschieden. Er nistet in Wäldern auf den höchsten Fichten und legt in ein aus Reisig unordentlich zusammengebautes Nest 3 bis 4 weissliche Eyer. Seine Nahrung besteht ausser mehreren kleinen Säugethieren hauptsächlich aus Eidechsen, Fröschen, Kröten, Ringelnattern und andern Amphibien.~~60
Ad00341 03 098a/freOiseaux XLVI. Vol. III. No. 96.
DIFFÉRENTES ESPÈCES D'OISEAUX DE PROIE.
L'Orfraie ou l'Ossifrage.
No. 1. La mâle. No. 2. La femelle.
L' Orfraie est une des espèces des plus grands oiseaux de proie; il a 3 pieds et 10 pouces de longueur et 8 pieds d'envergure. Il se trouve dans presque toute l'Europe, l'Asie, l'Amérique septentrionale et même dans quelques contrées de l'Allemagne; il se tient volontiers près des Lords de la mer et assès souvent dans le milieu des terres à portée des étangs et des rivières poissonneuses, où il peut trouver facilement des poissons, qui sont sa nourriture ordinaire. Comme il a la vue moins perçante que les autres oiseaux de proie, et que ses ailes sont aussi plus courtes il ne s'élève pas à une grande hauteur et plane toujours à une petite distance au dessus de la terre ou de la surface de l'eau. Son nid est fait de broussailles et toujours placé sur les plus grands arbres dans des forêts écartées. La couleur de son plumage est un mélange de rouge, de noir et d'un brun-grisâtre. La peau nue de ses jambes est jaune et couverte de petites écailles. Le mâle est un peu plus petit que la femelle; son plumage est aussi plus clair et entremêlé de taches blanches.
No. 3. Le Jean - le - Blanc.
Cet oiseau a deux pieds de longueur et 5 pieds d'envergure. Sa tête, le dessus de son cou, son dos et ses ailes sont d'un brun cendré; la gorge, la poitrine et le ventre sont blancs varies de taches d'un brun-ioux. Il est surtout très commun en France, et se nourrit de plusieurs petits animaux, tels que de rats, de souris, de hamsters etc.; au besoin il se contente aussi de grenouilles.
No. 4. Le Balbuzard.
Le Balbuzard est très nuisible aux eaux poissonneuses, parceque sa nourriture consiste principalement en poissons; comme il a la vue extrêmement perçante, il les apperçoit d'une très grande hauteur et fond sur eux avec rapidité. Il a 2 pieds 5 pouces de longueur, et 6 pieds 6 pouces d'envergure. Son cou et son ventre sont de couleur blanche à taches rouges et brunes; ses ailes sont d'un noir brunâtre et bordées en blanc, ses jambes sout jaunes et le dessus de la tête est blanc et jaunâtre. Cet oiseau est assès commun en Allemagne et répandu en général par toute l'Europe s il se trouve aussi dans plusieurs parties de l'Asie, de l'Afrique et de l'Amérique.
No. 5. Le petit aigle d'Amérique.
Ce bel oiseau a une longueur de 2 pieds et se trouve surtont à Cayenne en Amérique. Son plumage est de couleur d'azur foncé et très brillant; ses pieds sont jaunes et le bec est bleuâtre avec un cercle d'un jaune foncé autour des yeux. Sa gorge et les cotés de sa tête sont décorés de petites plumes de couleur de pourpre.
No. 6. La Buse.
Cet oiseau de proie est généralement connu en Allemagne, et se trouve aussi dans d'auties pays de l'Europe et dans l'Amérique septentrionale. Il a 2 pieds 3 pouces de longueur et 5 pieds d'envergure. Son plumage est mêlé de couleur de rouille et d'un brun-grisâtre; les plumes des ailes sont d'un brun-noir; il est cependant sujet à varier et on en trouve à peine deux bien semblables et dont les couleurs ne soient mélangées différemment. Son nid est construit de petites branches et placé fur les pins les plus élevés; il pond 2 ou 3 oeufs blanchâtres. Sa nourriture principale consiste en plusieurs petits animaux à mammellet, mais à leur défaut il ne dédaigne pas non plus les lézards, les grenouilles, les crapauds, les serpens d'eau et quelques autres amphibies.
Ad00341 03 099aNo. 1. Der Giftsumach. (Rhus toxicodendron.)~~Der Giftsumach oder eichenblättrige Giftbaum ist ein baumartiger Strauch, der eine Höhe von 4 bis 5 Fuss erreicht. Er wächst in Nordamerika, vorzüglich in Virginien und Canada wild auf den Wiesen, dauert aber auch in Teutschland aus, und kann da in den Gärten gezogen werden. Er hat dreygestielte eyförmig zugespitzte und an den Seiten gezähnelte Blätter, die auf der obern Seite glatt, unten aber wollig sind. Die gelblich grünen Blüthenbüschel kommen im Julius zum Vorschein, und hinterlassen eine trockne gestreifte Beere, wodurch dieser Strauch fortgepflanzt wird. Seine giftigen Eigenschaften äussert er, vorzüglich in heissen Sommertagen dadurch, dass der Saft, wenn er die blosse Haut berührt, Blasen erregt, die aber nicht tödtlich sind. - In neuern Zeiten haben ihn die Aerzte, behutsam angewendet, mit Erfolg bey Lähmungen und andern Krankheiten gebraucht.~~No. 2. Der Firniss-Sumach. (Rhus vernix.)~~Der Firniss-Sumach wächst als Baum in Japan und Nordamerika, und erreicht eine Höhe von 15 bis 20 Fuss. Die hellgrünen gefiederten Blätter sind länglich zugespizt, und haben einen hellrothen Blattstiel. Im Herbst werden die ganzen Blätter röthlich, und fallen dann ab. Die gelb-grünlichen Blüthen kommen im Julius zum Vorschein, und setzen dann gelbliche Beeren an. Diese Sumachart kömmt auch in Teutschland im Freyen fort, allein nicht so gut als die vorige Art, und hält strenge Winter nicht aus. Doch pflanzt man ihn wegen seiner giftigen Eigenschaften nicht gern an, sondern zieht ihn meistens nur in botanischen Gärten. Seine giftigen Eigenschaften äussert er stärker als die vorige Art. In heissen Sommertagen ist seine Ausdünstung schon in der Entfernung von 3 bis 10 Fuss gefährlich, noch giftiger ist er aber beym Berühren, wo man sich vorzüglich vor dem weissen übelriechenden Milchsaft, der unter der Rinde sitzt, hüten muss. Dieser erregt die heftigsten Blasen und Geschwülste, die oft unheilbar sind. Noch gefährlicher wirkt der Firniss Sumach, wenn man ihn anbrennt. Leute, die es aus Unverstand thaten, und dabey standen, schwollen schnell am ganzen Leibe, und würden gestorben seyn, wenn man nicht schnell durch Arzneyen zu Hülfe gekommen wäre. Doch äussert er seine giftigen Eigenschaften auf mehrere Personen verschieden, so dass man selbst Beyspiele hat, dass ihn einige ohne Schaden angreifen konnten. In Japan bereitet man einen guten Lackfirniss daraus, wovon er auch den Namen hat.~~60
Ad00341 03 099a/frePlantes LXXIII. Vol III. No. 97.
PLANTES VÉNÉNEUSES ÉTRANGÈRES.
No. 1. Le Toxicodendron, ou l'herbe à la puce.
Le Taxicodendron est un grand arbuste, qui atteint une hauteur de 4 ou 5 pieds. Dans l'Amérique septentrionale, et surtout dans la Virginie et au Canada il croit naturellement dans les prairies, mais il endure aussi le clima de l'Allemagne, où il est cultivé dans, les jardins. Ses feuilles sont composés de trois, folioles ovales, dentelées et attachées à rextrêmité d'une queue commune; elles sont liffes en dessus et velues en dessous. Les fleurs paroissent dans le mois de juillet; elles viennent en bouquets, et sont d'un jauneverdàtre. Il leur succède des baies séches et striées qui contiennent la semence. Sa qualité vénéneufe se montre furtout dans les grandes chaleurs de l'été, où son suc appliqué sur l'épiderme de la peau, y cause des pustules, qui ne sont cependant pas mortelles. Des médecins modernes l'ayant employé avec précaution dans les paralyfïes et d'autres maladies de cette nature, en ont obtenu de grands succés.
No. 2. L'Arbre du Vernis.
Cet arbre croit au Japon et dans l'Amérique septentrionale; il atteint une hauteur de 15 jusqu'à 20 pieds. Ses feuilles sont impennées, ovoides avec une pointe courte, d'un vert-jaunâtre et soutenues par des péduncules courts et rougeâtres; dans l'automne les feuilles entiers deviennent rouges avant de tomber. Les fleurs sont d'un jaune verdâtre et viennent dans le mois de juillet; il leur succède des baies jaunâtres. Cet arbre vient dans l'Allemagne en plein vent tout comme le précédent, mais lans cependant y endurer aussi bien les hivers rigoureux. A cause de fes vapeurs vénéneuses on n'aime pas en faire des plantations et on ne le cultive que dans les jardins des plantes. Il est plus dangereux que l'arbre précédent, et dans les grandes chaleurs de l'été on est même atteint dans un éloignement de 8 ou 10 pieds de l'effet venimeux de fes exhalaisons. Mais c'eft au contact surtout qu'il produit des effets très dangereux et il faut principalement se garder du suc laiteux qui se trouve en dessous de l'écorce et qui a une odeur très désagréable. Appliqué sur la peau il y cause des pustules et des erysipelés très fâcheux et souvent même incurables. Quand il est allumé, ses effets sont encore plus formidables, et des perfonnes qui en firent l'essai sans en connoitre les fuites, et qui réstèrent présens à l'opération, eurent subitement toutes les parties du corps enflées et seraient morts infailliblement, si on ne leur avoit pas bien vite porté des secours. Ce suc n'exerce cependant pas cette propriété venimeuse sur tout le monde avec une force égale, et on a des exemples, que des personnes ont pu le toucher impunément. Les habitans du Japon préparent de ce suc un très bon Vernis, dont l'arbre a aussi. reçu son nom.
Ad00341 03 100aNo. 1. Die Zirbelnusskiefer. (Pinus Cembra.)~~Die Zirbelnusskiefer wächst ausser Sibirien in Tyrol, auf den Carpathen, den schweizerischen Alpen und kommt auch in Teutschland gut fort. Sie gehört zu den Nadelholz-Arten, wie man auf den ersten Blick sieht, und erreicht bisweilen eine ziemliche Höhe. Die dunkelgrünen 3 Zoll langen Nadeln (a) stehen zu fünfen in einer Scheide. Die buschigten Aeste umgeben den Stamm im Kreise, so dass der Baum dadurch ein pyramidalisches Ansehn bekömmt. Die länglichrunde Frucht oder der Zapfen (b) dieses Baums, wird etwas grösser als ein Hühnerey, und ist braunroth. Unter den hohlen Schuppen liegen harte keilförmige Nüsse (c), deren weisser Kern wie Mandeln schmeckt, und deswegen häufig gegessen wird. Auch presst man ein gutes Oel daraus. Das weisse Holz wird mit Nutzen zu allerhand Tischlerarbeiten verbraucht. Aus den harzigen Theilen des Baums wird auf den Carpathen ein Balsam bereitet. - In Teutschland pflanzt man die Zirbelnusskiefer oft in englischen Garten-Anlagen an.~~No. 2. Die Pineolenkiefer. (Pinus Pinea.)~~Die Pineolenkiefer oder der Pinien-Baum, gleichfalls eine Nadelholzart, wächst vorzüglich in Spanien, Italien und im südlichen Frankreich. In Teutschland kann sie nicht im Freyen gezogen werden, da sie zu zärtlich ist, blos hie und da trifft man sie in Gewächshäusern an. Sie erreicht eine ziemliche Höhe. Ihre steifen spitzigen Nadeln (a) stehen zwey und zwey zusammen in einer Scheide, und sind dunkelgrün. Sie trägt gelbe Blüthen oder sogenannte Käzchen, und setzt einen 4 1/2 Zoll langen, länglich runden braunen Zapfen (b) an. Die dicken, erhabenen Schuppen schliessen fest an einander, so dass man den Pinienapfel (so nennt man den Zapfen) nur mit Mühe öffnen kann. Unter ihnen liegen die bohnenförmigen 1/2 Zoll langen Saamen mit einer schwarzen Schaale umgeben. Der innliegende weisse Kern schmeckt mandelartig, ist sehr gesund, und wird gewöhnlich verspeiset. Deswegen bauet man auch die Pinie in den südlichen Ländern häufig an, und sie gewährt überdies in Gärten wegen ihrer Zweige, die sich wie ein natürlicher Sonnenschirm ausbreiten, und ein dichtes grünes Gewölbe bilden, einen angenehmen Anblick. In Italien und Frankreich macht man die essbaren Kerne mit Zucker ein, und verschickt sie in das übrige Europa.~~60
Ad00341 03 100a/frePlantes LXXIV. Vol. III. No. 98.
ARBRES À FEUILLES ACICULAIRES ET À FRUITS MANGEABLES.
No. 1. Le Pin-Cimbre.
On reconnoit cette espèce de pin au premier coup d'oeil pour un arbre à feuilles aciculaires; il croit dans la Sibérie, le Tirol, sur les monts Carpatlies, les Alpes suisses et même en Allemagne il est cultivé avec succès; il atteint quelquefois une hauteur assès considérable. Ses feuilles (a) sont d'un vert foncé, longues de 3 pouces et rassemblées cinq-à-cinq dans une gaine commune. Les branches touffues s'étendent circulairement autour de la tige, ce qui donne à l'arbre une forme pyramidale. Les fruits oblongs, qu'on appelle cônes ou pommes (b) sont ara peu plus gros que des oeufs de poules et de couleur brune-rougeâtre. Sous chacune de ses écailles creuses il se trouve un noyau dure en forme de coin (c), qui contient une amande blanche bonne à manger. On en retire aussi par expression une très bonne huile. Le bois blanc de cet arbre est employé avec avantage à différens ouvrages de ménuiserie, et sur les Carpathes on prépare un baume des parties résineuses de cet arbre. En Allemagne on le voit fouvent cultivé dans les jardins Anglois.
No. 2. Le Pin-Pignier.
Le Pin-Pignier croit principalement dans l'Espagne, l'Italie et la France méridionale. En Allemagne on ne peut pas le cultiver en plein vent, parcequ'il est trop délicat, mais on le trouve quelquefois dans les serres. Il atteint une hauteur assès considérable; ses feuilles roides et pointues (a) sont d'un vert foncé et poussées deux-à-deux dans une gaine commune. Les fleurs sont jaunes et en forme de bouquets; il leur succède des cônes ou pommes brunes, ovales et d'une longueur de 4 1/2 pouces (b). Les écailles épaisses et concaves de ces cônes sont tellement serrées les unes sur les autres qu'on a de la peine à les ouvrir. En dessous de ces écailles il y a des noyaux noirs en forme de fèves et de la longueur d'un 1/2 pouce, qui renferment des amandes blanches, bonnes à manger et réputées salutaires. Dans les pays méridionaux le Pin-Pignier est fréquemment cultivé pour en retirer les fruits; il est d'ailleurs très propre à être mis dans des jardins à cause de l'agrément de son feuillage et de ses branches touffues qui s'étendent comme un parasol naturel et forment une espèce de voûtes toujours vertes. En France et en Italie ces amandes mangeables sont confites dans du sucre et transportées dans les autres pays de l'Europe.
Ad00341 03 101aWir sahen No. 95. dieses Bandes schon die hauptsächlichsten Theile des menschlichen Körpers in 2 Figuren; auf gegenwärtiger Tafel wollen wir mehrere davon noch genauer betrachten.~~No. 1. Die geöffnete Brust- und Bauchhöhle nach Wegnehmung mehrerer Eingeweide.~~Durch Wegnahme der übrigen Eingeweide der Brusthöhle sieht man hier das Herz mit den daraus entspringenden Arterien und Venen, wie es in seiner natürlichen Lage zwischen den beyden Lungen, die aber hier weggeschnitten sind, liegt. Man kann das Herz als einen hohlen grossen Muskel betrachten, dessen Fasern in verschiedenen Richtungen mit einander verwebt sind, wodurch es äusserst reizbar ist, und in beständiger Thätigkeit erhalten wird. Es ist das Hauptbehältniss des Bluts für den ganzen Körper. Ohne Unterlass strömt dieses aus dem Herzen in die Arterien oder Pulsadern, ergiesst sich von da in die Venen oder Blutadern, die es dann wieder in das Herz zurückführen. Dieses ist der so äusserst merkwürdige Kreislauf des Blutes. 11) Die Luftröhre. 12) Die Schilddrüse. Aufgetrieben entsteht daraus eine Krankheit, der Kropf. 13) Der Schildknorpel oben an der Luftröhre befindlich. 14) Die Schlüsselbeine. 15) und 16) Die äussern Rippen. 17) Ueberreste des weggeschnittenen Zwerchfells. 20) Ein Theil des Magens. 21) Die Milz. 22) Die rechte Niere. Die fehlenden Nummern erklären sich aus No. 95. im vorigen Hefte dieses Bandes.~~No. 2. Die geöffnete Brust- und Bauchhöhle in einer andern Ansicht.~~Hier sind die Eingeweide der Brust und des Unterleibes ganz herausgenommen.~~1) Ein Stück der Luftröhre. Die Luftröhre besteht aus knorpeligen Ringen, und dient theils zum Athemholen, theils zur Hervorbringung von Tönen, die durch die Beyhülfe der Zunge zur vernehmbaren Sprache werden. 2) zeigt die Speiseröhre, die die verschluckten Speisen durch den Magenmund (3) in den Magen (4) bringt. Der Magen selbst bildet einen länglichen aus mehreren Häuten bestehenden Sack, in dem die Speisen verdauet werden, und dann durch den Pförtner (5) in den Grimmdarm (6) übergehen. 7) Die Bauchspeicheldrüse oder das Pankreas, welche beständig einen Saft absondert, der die Verdauung befördert. 8) Die Milz. Sie hilft dem Blute zur Absonderung der Galle. 9) und 10) Die Nieren. 11) Rest des weggeschnittenen Zwerchfells. 12) Die mit dem Herzen abgeschnittene Aorta oder grosse Pulsader. 13) Arteriöser Kanal. 14) und 15) Die herabsteigende Aorta. 16 und 17) Die linke und rechte Hüftvene. 18) Die Hohlader. 19) Der Ueberrest vom Mastdarm. 20) Das Rückgrad.~~60
Ad00341 03 101a/freMélanges XXXII. Vol. III. No. 99.
SITUATION DES ENTRAILLES DU CORPS HUMAIN.
Une partie des Entrailles principales du corps humain a été repésentée dans les deux figures
jointes au N. 95. de ce Volume; le tableau présent nous en fait voir encore d'autres.
No. 1. Les cavités ouvertes de la poitrine et du bas-ventre, dont on a ôté plusieurs Entrailles.
Après avoir ôté plusieurs Entrailles de la cavité de la poitrine, on y appercoit le Coeur avec les Artéres et les Veines qui en partent; il est placé dans sa situation naturelle entre les deux poumons, qui cependant ne se trouvent plus dans la figure présente. On peut regarder le coeur comme un grande muscle creux composé d'une suite continue de fibres différemment entrelacées ; c'est ce qui le rend extremenent irritable et le soutient aussi dans son mouvement continuel. Il forme pour ainsi dire le reservoir général du sang pour tout le corps. Par un mouvement continuel le sang est chasse du coeur dans les artéres, qui le distribuent dans toutes les parties du corps ; il est recu ici par les ramifications des veines qui le rapportent dans le coeur. Telle est la circulation non interrompue du sang, qu'on ne se lasse pas d'admirer. 11) La trachée-artére. 12) La gland thyroide, dont le gouflement est une maladie appelée le goitre. 13) Le cartilage thyroide. 14) Les clavicules. 15) et 16) lec cotes extérieures. 17) Restes du diaphragme coupé. 20) Une partie de l'estomac. 21) La rate. 22) Le Rein droit. Les Numeros qui manquent ici peuvent etre expliqués du N. 95. du Cahier precedent de ce Volume.
No. 2. Les cavités ouvertes de la poitrine et du bas-ventre sous un autre aspect.
On a ôté ici entièrement les entrailles de la poitrine et du bas-ventre. 1) Une partie de la trachée-artère. La trachée-artère est un canal composé de cercles cartilagineux; elle porte l'air aux poumons et deux poumons et donne issue à celui qui en sort, et qui par l'intervention de la langue forme la parole. 2) L'œsophage, qui conduit les alimens avalés, dans 4) l'estomac à travers 3) le cardia ou l'orisice supérieur de l'estomac. L'estomac est unde espèce de sac de forme oblongue et composé de plusieurs tuniques, dans le quel les alimens sont digérés et dont ils passent ensuite par le pylore 5) dans 6) le Colon. 7) Le pancréas, qui filtre continuellement la liqueur nécessaire pour faciliter la digestion. 8) La rate, daus laquelle le sang se d´veloppe de manière à devenir plus propre à la sécrètion de la bile. 9) et 10) Les Reins. 11) Reste du diaphragme coupé. 12) La grosse – artére ou l'aorte; séparée du cœur. 13) Lecanal artériel. 14) et 15) L'aorte descendante. 16) et 17) La veine iliaque gauebe et droite. 18) La veine cave. 19) Reste du Rectum. 20) L'épine du dos.
Ad00341 03 102aDie purpurrote Rudbeckie. (Rudbeckia purpurea. L. )~~Die purpurrote Rudbeckie ist eine schöne Zierpflanze, welche in Nordamerika wild auf den Bergen von Virginia, Carolina und Florida wächst; bei uns aber auch wegen ihres vorzüglichen Aussehens in Gärten zur Verzierung gepflanzt wird. Den Namen hat sie zu Ehren eines verdienten schwedischen Botanikers, Olaus Rudbeck erhalten.~~Diese Pflanze treibt einen 3 bis 4 Fuss hohen Stängel, an welchem wechselweise die lang gespitzten und gezähnten Blätter sitzen. Die grossen schönen purpurroten Blüten, welche am Ende des Stängels sitzen, sind strahlenförmig gebildet, und hängen mit den an der Spitze gespaltenen Blättern abwärts.~~120
Ad00341 03 102a/eng

Plants CXVIII. Vol. VI. No. 100.

ORNAMENTAL PLANTS.

The purple-coloured Rudbeckia.

(Rudbeckia purpurea. L.)

The purple-coloured Rudbeckia is a beautiful ornamental plant, which grows wild in North-America, on the mounts of Virginia, Carolina and Florida, being likewise cultivated in our gardens for ornament, on account of its singular appearance. It has been thus denominated in honour of the deserving Swedish botanist, Olaus Rudbeck.

This plant shoots a stalk of 3 in 4 feet in height, to which alternately stick the long-pointed and dented leaves. The large and beautiful purple flowers, that adhere to the top of the stalk, are formed like rays, hanging loose together with the leaves cloven on the extremity.

Ad00341 03 102a/frePlantes CXVllI. Vol. VI. No. 100.
PLANTES D'ORNEMENT.
Le Rudbeck pourpré. (Rudbeckia purpurea. L.)
Le Rudbeck pourpré est une très-jolie plante qui croît d'elle-même dans l'Amérique septentrionale sur les montagnes de la Virginie, de la Caroline et de la Floride; aussi l'a-t-on transplantée dans nos jardins, dont elle est un des plus beaux ornement. On lui a donné ce nom en l'honneur de Mr. Olaus Rudbeck, célèbre botaniste suédois.
Cette plante a une tige de 3 à 4 pieds de haut, à laquelle alternent les feuilles lancéolées et dentelées. Les grandes fleurs couleur de pourpre, placées au sommet de la tige, sont en forme de rayons, et déversent avec les feuilles fendues à l'extrémité.
Ad00341 03 102a/ita

Piante CXVllI. Tom. VI. No. 100.

PIANTE ORNAMENTALI.

La Rudbechia porporina. (Rudbeckia purpurea. L.)

La Rudbechia porporina è una bella pianta ornamentale, che cresce salvatica nell' America settentrionale, sui monti della Virginia, Carolina e Florida; si coltiva anche ne' nostri giardini per ornamento', a motivo della sua appariscenza singolare. Essa è stata così denominata in onore del meritissimo botanico svezzese, Olao Rudbeck.

Da questa pianta sorte uno stelo di 3 in 4 piedi d'altezza, a cui alternamente sono attaccate le foglie dentate che terminano in lunghe punte. I larghi e bei fiori porporini, appiccate all' estremità dello stelo, sono in forma di raggi, e penzolano al pari delle foglie intagliate alla cima.

Ad00341 04 003aFig. 1. Das Afrikanische Nashorn (Rhinoceros Africanus.)~~Von dem Asiatischen Nashorn, welches wir im 1sten Bd. No. 2. des Bilderbuchs kennen lernten, unterscheidet sich das Africanische hier abgebildete zweihörnige Nashorn in mehreren Stücken. Seine Haut ist nicht so panzerähnlich wie bei dem Asiatischen Nashorn, sondern liegt glatt an dem Körper an, fast wie bei dem Elephanten; auch fehlen ihm die Vorder- oder Schneidezähne. Auf der Nase hat es zwei nach hinten zu gebogene Hörner, die sich bewegen lassen. Ist das Thier aber zornig, so stehen die Hörner wie angewurzelt, und sind eine gefährliche Waffe gegen seine Feinde. Unser Nashorn bewohnt das südliche Africa, und nährt sich von Vegetabilien. Am Tage bleibt es ruhig liegen, doch des Nachts geht es seiner Nahrung nach. Es sucht auch die in der Nähe liegenden Sümpfe und Moräste auf, worinnen es sich wälzt. Wird es verfolgt und verwundet, so stösst es ein fürchterliches Geschrei aus. Seine Länge beträgt 12 Fuss, und die Höhe 7 Fuss. - Das zweihörnige Africanische Nashorn war es wahrscheinlich auch, welches die Römer bei ihren Thiergefechten und öffentlichen Aufzügen vorbrachten.~~Fig. 2. Das Nashorn von Sumatra. (Rhinoceros bicornis Sumatricus.)~~Das Nashorn von Sumatra, die dritte bis jetzt bekannte Art dieser Thiergattung kennen wir erst seit kurzer Zeit. Er unterscheidet sich von den beiden übrigen durch die Lage seiner Hörner; das eine grössere steht auf der Nase, das zweite kleinere nur 4 Zoll lange über den Augen.~~Die rauhe aber dünne Haut ist bräunlich aschfarben, und das ganze Thier gleicht an Gestalt einem Schweine. Bis jetzt hat man es nur auf der Ostindischen Insel Sumatra gefunden; es wird lange nicht so gross als die vorher beschriebene Africanische Art. -~~81
Ad00341 04 003a/eng

Quadrupeds LXIX. Vol. V. No. 1.

SUCKLING QUADRUPEDS.

Fig. 1. The African Rhinoceros.

(Rhinoceros Africanus.

The two-horned Rhinoceros of Africa which we see exhibited on the present plate, differs in various respects from the Asiatick Rhinoceros represented in the second Number of the first Volume of this work.

Its skin is by no means so like armour as in the single-horned Rhinoceros of Asia, but appears like that of the Elephant lying flat on the body.

The two-horned Rhinoceros is destitute of the front or cutting teeth, but its nose is furnished with two lightly curved horns, which stand loose when the animal is in a quiet state, but become firm and a dangerous weapon when it is enraged. It inhabits the Southern regions of Africa and feeds on vegetables. During the day time it generally lies still going only in the night in quest of its nourishment: residing in wet and marshy places it delights in rolling in the mud. When pursued or wounded it cries in a dreadful manner. It measures 12 feet in length and 7 in height. This species seems to have been the kind known to the Romans and exhibited by them in their publick shows and combats of Animals.

Fig. 2. The Sumatra-Rhinoceros.

(Rhinoceros bicornis Sumatricus.)

The Sumatran double-horned Rhinoceros is the third of the different species of Rhinoceros. It differs from the two others in the situation of its horns, the larger being placed immediately above the nose and the small one, which is but four inches long, standing in the same line above the eyes.

The skin is rough but no more than a third or a quarter of an inch in the thickness, and of a brownish ash-colour. The Shape is much like that of a hog. This species has as yet only been met with in the isle of Sumatra. In size it is much inferior to the African two-horned Rhinoceros.

Ad00341 04 003a/freQuadrupèdes LXIX. Vol. V. No. I.
GRANDS QUADRUPÉDES.
Fig. 1. LE Rhinocéros africain. (Rhinoceros Africanus.)
Fig. 2. Le Rhinocéros de Sumatra. (Rhinoceros biconis Sumatricus.)
Ad00341 04 003a/itaQuadrupedi LXIX. Tom. V. No. 1.
QUADRUPEDI ALLANTANTI.
Fig. 1. Il Rinoceronte Africano. (Rhinoceros Africanus.)
Fig. 2. Il Rinoceronte di Sumatra. (Rhinoceros bicornis Sumatricus.)
Ad00341 04 004aFig. 1. Der gemeine Seidenschwanz. (Ampelis garrulus.)~~Dieser schöne Vogel, der von seinem zarten weichen Gefieder den Namen erhalten hat, bewohnt den Norden von Europa, und kömmt nur in dem Winter auf seinen Zügen zu uns nach Teutschland. Er ist 9 Zoll lang, und sein Gefieder ist von sanfter röthlicher graulicher und braunlicher Farbe. An den hintern Schwungfedern sitzen zinnoberrothe hornartige Puncte. Der Seidenschwanz ist ein träger dummer Vogel, der von den Vogelstellern leicht gefangen wird. Er nährt sich von wilden Beeren und Gewürmen, und sein Fleisch ist sehr wohlschmeckend.~~Fig. 2. Der gemeine Staar. (Sturnus vulgaris.)~~Unser Staar, der sich äufig durch ganz Teutschland findet, ist ein munterer gelehriger Vogel, der kleine Melodien nachpfeifen, und selbst Worte nachsprechen lernt. Er hält sich meistens auf Wiesen und Triften auf, wo er von Gewürmen lebt, und zieht am Abend in Schaaren von mehreren Tausenden in die nahliegenden Gebüsche, wo er übernachtet. Im September und October werden die Staare häufig in Netzen gefangen; doch ist ihr Fleisch nicht sehr wohlschmeckend.~~Der Gimpel. (Loxia pyrrhula.) Fig. 3. Das Männchen. Fig. 4. Das Weibchen.~~Der Gimpel heisst auch häufig der Dompfaffe wegen seiner schwarzen Sammtmütze und wohlbeleibten Gestalt. Er bewohnt die Wälder, wo er sich von mehreren Sämereien und Beeren nährt. Als träger dummer Vogel, lässt er sich leicht fangen. Das Männchen unterscheidet sich durch seine hochrothe Rust, die bei dem Weibchen graulich ist. Die jungen Gimpel kann man durch das Vorspielen auf einer kleinen Orgel mehrere Melodien lehren, die sie mit flötenartigem Ton sehr gut nachpfeifen. Ein guter gelernter Gimpel wird oft mit zwei bis drei Louis-d'or bezahlt.~~Fig. 5. Der gemeine Kernbeisser. (Loxia coccothraustes.)~~Der Kernbeisser gehört mit dem Gimpel zu einem Geschlechte, das sich durch den kurzen dicken Schnabel auszeichnet. Er ist ein plumper aber dabei scheuer listiger Vogel, der sich in allen Waldungen Teutschlands findet. Den Kirschgärten ist er sehr gefährtlich; er liebt diese Frucht vorzüglich, und weiss durch mannichfache List die Aufmerksamkeit der Wächter zu hintergehen. - Wie die drei vorher beschriebenen Gattungen Teutscher Völgel lässt er sich leicht zahm machen, und dauert mehrere Jahre im Käfig in den Zimmer aus, wo man ihn mit Hanf, Mohn und andern Sämereien füttert.~~Fig. 6. Der Rothschwanz. (Motacilla phoenicurus.)~~Dieser lustige muntere Vogel hält sich in den Dörfern meistens nahe bei den Wohnungen der Menschen auf, und hat einen kurzen angenehmen Gesang. Er nährt sich von kleinen Würmern und Insecten, und ist deswegen den Gärten sehr nützlich. In den Zimmern hält er sich nicht lange. Im Herbste zieht er aus Teutschland in südlichere Gegenden, und kömmt erst im April wieder zu uns zurück.~~81
Ad00341 04 004a/engBirds LXVI. Vol. V. No. 2.
GERMAN WARBLERS.
Fig. 1. The Silktail. (Ampelis garrulus.)
Fig. 2. The Starling. (Sturnus vulgaris.)
The Bullfinch. (Loxia pyrrhula.)
Fig. 3. The Male.
Fig. 4. The Female.
Fig. 5. The Grosbeak. (Loxia coccothraustes.)
Fig. 6. The Redstart. (Motacilla phoenicurus.)
Ad00341 04 004a/freOiseaux LXVI. Vol. V. No. 2.
OISEAUX DE CHANT D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Jafeur de Bohème. (Ampelis garrulus.)
Fig. 2. L’étourneau commun. (Sturnus vulgaris.)
Le Vivoine ou le Bouvreuil. (Loxia pyrrhula.)
Fig. 3. Le Mâle.
Fig. 4. La Femelle.
Fig. 5. Le gros-bec ou pinson royal. (Loxia coccothraustes.)
Fig. 6. La Fouge – queue ou le Rossignol de muraille. (Motacilla phoenicurus.)
Ad00341 04 004a/itaUccelli LXVI. Tom. V. No. 2.
UCCELLI CANTAIUOLI DI GERMANIA.
Fig. 1. Il becco-frisone. (Ampelis garrulus.)
Fig. 2. Il Storno. (Sturnus vulgaris.)
Il Monachino. (Loxia pyrrhula.)
Fig. 3. Il Maschio.
Fig. 4. La Femina.
Fig. 5. Il Frisone. (Loxia coccothraustes.)
Fig. 6. Il Codirosso. (Motacilla phoenicurus.)
Ad00341 04 005aFig. 1. Die Seeleier. (Callionymus Lyra.)~~Die Seeleyer ist ein Bewohner der mittelländischen See, wo sie sich von Seesternen und Seeigeln nährt, die langen Strahlen der Rückenflosse, die man mit den Saiten einer Leier verglich, haben diesem Fische seinen Namen gegeben. Er wird gegen drei Fuss lang, und erhebt sich mit seinen grossen Flossen oft über das Wasser, und fliegt eine kurze Strecke fort. Blau, gelb und weiss sind die herrschenden Farben seines Körpers, sein zartes Fleisch hat einen angenehmen Geschmack.~~Fig. 2. Der Seedrache. (Callionymus Dracunculus.)~~Der Seedrache gleicht in der Lebensart und Aufenthalt dem vorigen Fische, die flügelähnliche Bildung seiner Flossen gaben ihm den Namen. Der dicke Kopf hat einen weit geöffneten Rachen.~~Fig. 3. Der Elephantenrüssel. (Ophidium aculeatum.)~~Der Elephantenrüssel ist ein Bewohner der Indischen Gewässer, wo er sich von Würmern und Seeinsecten nährt, und seines wohlschmeckenden Fleisches wegen, häufig gegessen wird. Er gehört zu den Kahlbäuchen, weil ihm die Brustflossen fehlen. Merkwürdig ist die Bildung seines Oberkiefers. Dieser ragt nämlich weit über den Unterkiefer hinaus, und bildet eine Art von Rüssel, der im zur Aufsuchung seiner Nahrung dient. Der Oberkörper ist röthlich braun, der Unterkörper aber silberweiss von Farbe.~~Fig. 4. Der gestachelte Odontognath. (Odontognathus mucronatus.)~~Dieser sonderbar gestaltete Fisch, unterscheidet sich von allen übrigen durch seine Kiefern. Der Unterkiefer nämlich ragt über dem Oberkiefer hervor; letzterer aber hat zwei schwerdtförmige Fortsätze, die sich nach vorn zu krümmen, und dem Fische ein drohendes Ansehen geben. Will dieser Fisch das Maul schliessen, so muss er den Unterkiefer in die Höhe ziehen. Unser Odondognath wird einen Fuss lang; er lebt an der Küste von Südamerica bei Cayenne, wo man ihn Sardelle nennt.~~Sein Fleisch ist vortrefflich von Geschmack.~~81
Ad00341 04 005a/engFish XL. Vol. V. No. 3.
REMARKABLE FISHES.
Fig. 1. The Gemmeous Dragonet. (Callionymus Lyra.)
Fig. 2. The Sordid Dragouet. (Callionymus Dracunculus.)
Fig. 3. The rostrated Ophidium. (Ophidium aculcatum.)
Fig. 4. The aculeated Odontognathus. (Odontognathus mucronatus.)
Ad00341 04 005a/frePoissons XL. Vol. V. Nr. 3.
POISSONS DE FIGURE SINGULIÈRE.
Fig. 1. Le Callionyme Lyre ou Lacert. (Callionymus Lyra.)
Fig. 2. Le Callionyme Dragonneau ou simplement Dragonneau. (Callionymus Dracunculus.)
Fig. 3. La Douzelle trompe ou Le Macrognatze aiguillonné. (Ophidium aculeatum.)
Fig. 4. L’Odontognathe aiguillonné. (Odontognathus mucronatus.)
Ad00341 04 005a/itaPesci XL. Tom. V. No. 3.
PESCI DI FORMA SINGOLARE.
Fig. 1. Il Dragoncello Lira. (Callionymus Lyra.)
Fig. 2. Il Pesce ragno. (Callionymus Dracunculus.)
Fig. 3. Il Pentophtalme. (Ophidium aculeatum.)
Fig. 4. L’Odontognato mucronato. (Odontognathus mucronatus.)
Ad00341 04 006aAegypten, das unter allen Ländern der Erde am frühsten mit cultivirt wurde, zeichnete sich in den Zeiten seines Flors vorzüglich auch durch seine riesenhaften Monumente der Baukunst aus, deren Ueberreste noch jetzt der zerstörenden Zeit trotzen, und Denkmäler des vormaligen Glanzes jenes Landes sind. Unsere Tafel zeigt uns zwei der berühmtesten, die wir jetzt kennen lernen wollen.~~Fig. 1. Die Momnons Bildsäulen.~~Unter den Trümmern von Theben, der alten Hauptstadt Oberägyptens, findet man in der Gegend des heutigen Medinet Abu, d.i. Stadt des Vaters die colossalen Memnon's Bildsäulen, von denen das Alterthum erzählte, dass sie bei Aufgang der Sonne, so bald die ersten Strahlen auf sie fielen, lieblich Töne von sich gäben. Die Grösse dieser ungeheuern Bildsäulen, lässt sich aus den daran stehenden menschlichen Figuren beurtheilen. Sie sind von Granit gearbeitet, un stellen sitzende Figuren vor, wie man gewöhnlich angiebt, zu Ehren des Königs Memnon errichtet. Dieser Memnon soll ein König von Aethopien gewesen seyn. Er kam dem Könige Priamus bei der Belagerung von Troja z Hülfe, wurde aber durch den Griechischen Heiden Achilles übewunden und getödtet. - Von den beiden Statuen, die seinen Namen führen, ist die eine etwas verstümmelt und besteht aus 5 Lagen. Die andere ist unversehrt, und besteht aus einem einzigen Steine. Mehrere Griechische und Lateinische Inschriften von Personen, die die Bildsäule besucht haben, findet man an dem Fussgestelle.~~Fig. 2. Der Aegyptische Sphinx.~~Das Aegyptische Thierbild, der Sphinx - aus einem Weiberkopfe und Löwenkörper zusammengesetzt, war bei den Aegyptiern eine Sinnbild der Fruchtbarkeit, die der Nil dem Lande bringt. Man führte die Bildsäulen des Sphinx oft in ungeheurer Grösse aus. Eine Abbildung davon, die uns Denon geliefert hat, sehen wir hier Fig. 2. Der ganze Körper des Sphinx ist vom Sande verschüttet; nur der Kopf steht noch frei da. Welch ungeheure Masse mag das Ganze dem Kopfe nach zu urtheilen, gewesen seyn! Bloss um auf den Scheitel des Kopfes zu kommen, muss man eine lange Leiter haben. Merkwürdig ist es, dass man die Augen hohl fand; eine weite bequeme Oeffnung vom Scheitel des Kopfes führte dahin. Wahrscheinlich benutzten die Aegyptischen Priester diese Oeffnungen zu Orakelsprüchen und Weisagungen, die sie dem abergläubischen Volke mit Schallröhren von oben herabriefen, und es so täuschten.~~81
Ad00341 04 006a/engMiscellanies XLVII. Vol. V. No. 4.
ANTIQUITIES OF EGYPT.
Fig. 1. The Statues of Memnon.
Fig. 2. The Egyptian Sphinx.
Ad00341 04 006a/freMélanges XLVII. Vol. V. No. 4.
ANTIQUITES EGYPTIENNÉS.
Fig. 1. Les Statues de Memnon.
Fig. 2. Le Sphynx Egyptien.
Ad00341 04 006a/itaMiscell. XLVII. Tom. V. No. 4.
ANTICHITA DELL EGITTO.
Fig. 1. Le Statue di Memnone.
Fig. 2. Le Sfinge.
Ad00341 04 007aDie Zwillingsrose. (Rosa gemella.)~~Dies ist eine unsrer schönsten und lieblichsten Rosenarten, theils wegen ihres äusserst delikaten Colorits, theils wegen ihres schönen Baues und sonderbaren Wuchses. Der Strauch hat nämlich die besondere Eigenschaft, dass er zweierlei Rosen, rothe und weisse zugleich, und zwar auf einerlei Zweigen trägt. Oft sehen sie sogar beinahe auf einem Stängel, als welcher sich bloss ein wenig unten in eine Gabel theilt. So stehen nun diese zwei Rosen wie ein Paar Zwillingschwestern, in zarter Vereinigung neben einander, als wollten sie sich umarmen. Sie hat von dieser sonderbaren Eigenschaft auch ihren Namen, die Zwillingsrose, erhalten.~~In England, als woher diese Rosenart stammt, nennt man sie auch die York- und Lancasterrose, weil diese beiden, aus Englands politischer Geschichte bekannten Häuser, sich durch eine rothe und eine weisse Rose in ihren Wappen unterscheiden.~~Der Strauch dieser schönen Rose wird vier bis fünf Fuss hoch, hat zartes Holz, wenig Dornen, und ziemlich grosse, dunkelgrüne fünflappige Blätter. Sie blühet im Junius. Das rothe und weisse Colorit ihrer Blume ist äusserst delicat und angenehm; ihr Geruch aber schwach. Sie ist sehr empfindlich gegen unser kaltes Clima, daher auch der Strauch bei sehr kalten Wintern bis auf die Erde erfriert.~~81
Ad00341 04 007a/engRoses IX. Vol. V. No. 5.
ROSES.
The Twinrose. (Rosa gemella.)
Ad00341 04 007a/freRoses IX. Vol. V. No. 5.
ESPÈCES DE ROSES.
La Rose jumelle. (Rosa gemella.)
Ad00341 04 007a/itaRose IX. Tom. V. NO. 5.
SPECIE DI ROSE.
La Rosa Gemella. (Rosa gemella.)
Ad00341 04 008aFig. 1. Das kurzgeschwänzte Schuppenthier. (Manis pentadactyla.)~~Wir kennen die Schuppenthiere bereits schon aus unserm Bilderbuche. Die hier abgebildete merkwürdige Art bewohnt mehrere Ostindische Inseln, und wird 5 bis 6 Fuss lang. Der ganze Oberkörper ist mit grossen harten gelblichen Schuppen besetzt. Der Unterleib und Schwanz sind behaart. Die Füsse sind mit grossen scharfen Klauen besetzt, womit das Thier die Erde aufwühlt. Seine Nahrung besteht aus Insecten und Eidechsen, welche erstere es mit seiner klebrichten Zunge fängt. Rollt sich das Thier zusammen, so ist es beinahe unverwundbar, und kann nur mit Keulen todtgeschlagen werden. Da es sehr fett wird, und sein Fleisch wohlschmeckend ist, so wird es häufig gegessen.~~Fig. 2. Das Gürtelthier mit acht Gürteln. (Dasypus octocinctus L.)~~Auch von den Gürtelthieren lernten wir früher schon mehrere Arten kennen. Dieses hier lebt in Brasilien, und wird, den Schwanz mitgerechnet nur zwei Fuss lang. Der ganze Körper ist mit einem knöchernen Panzer umgeben, und nur die in der Mitte des Körpers sich befindlichen acht Gürtel sind beweglich, damit sich das Thier umwenden kann. Sein Fleisch ist essbar.~~Fig. 3. Das Gürtelthier mit achtzehn Gürteln. (Dasypus octodecim cinctus.)~~Dieses Gürtelthier bewohnt gleichfalls Südamerica, und wird etwas grösser als das vorige. Achtzehn Gürtel umgeben die Mitte des Leibes.~~Fig. 4. Der Igel von Malacca. (Erinaceus Malaccensis.)~~Dieser Igel bewohnt die Halbinsel Malacca in Ostindien, und ist über und über mit langen scharfen Stacheln besetzt. In der Lebensweise gleicht er den übrigen Arten seines Geschlechts.~~Fig. 5. Das büschelförmige Stachelschwein. (Hystrix fasciculata.)~~Das büschelförmige Stachelschwein ist gelbraun von Farbe, findet sich in Ostindien und wird anderthalb Fuss lang. Der Schwanz endigt sich in einen Haarbüschel, wovon das Thier den Namen hat, den ganzen Körper bedecken Stacheln, die mit Borstenhaaren untermengt sind.~~82
Ad00341 04 008a/engQuadrupeds LXX. Vol. V. No. 6.
LORICATED AND ACULEATED ANIMALS.
Fig. 1. The Short-tailed Manis. (Manis pentadactyla.)
Fig. 2. The eightbanded Armadillo. (Dasypus octocinctus L.)
Fig. 3. The eighteenbanded Armadillo. (Dasypus octodecim cinctus.)
Fig. 4. The Malacca-Hedge-hog. (Erinaceus Malaccensis.)
Fig. 5. The bundled Porcupine. (Hystrix fasciculata.)
Ad00341 04 008a/freQuadrupèdes LXX. Vol. V. No. 6.
ANIMAUX À CUTRASSES ET À AIGUILONS.
Fig. 1. Le Pangolin ou lézard écailleux. (Manis pentadactyla.)
Fig. 2. L’Armadille à huit ceintures. (Dasypus octocinctus L.)
Fig. 3. L’Armadille à 18 ceintures (Dasypus octodecim cinctus.)
Fig. 4. Le Hérisson de Malacca. (Erinaceus Malaccensis.)
Fig.5. Le Porc-épic à queue de brosse. (Hystrix fasciculata.)
Ad00341 04 008a/itaQuadrupedi LXX. Tom. V. No. 6.
ANIMALI CON LORICHR E SPINE.
Fig. 1. Manis con Coda corta. (Manis pentadactyla.)
Fig. 2. La Tatufa ottocinta. (Dasypus octocinctus L.)
Fig. 3. La Tatufa a dieciotto enigoli. (Dasypus octodecium cinctus.)
Fig. 4. Il Riccio Malacca. (Erinaceus Malaccensis.)
Fig. 5. Il porco spinoso fasciculato. (Hystrix fasciculata.)
Ad00341 04 009aFig. 1. Der königliche Kuckuk. (Cuculus regius.)~~Dieser schöne Vogel ist ein Bewohner des inneren Africa, und bis jetzt noch sehr selten. An Grösse gleicht er unserm gemeinen Kukuk. Der grosse gelbrothe Schnabel giebt ihm eine Aehnlichkeit von einem Geier. Der Hinterkopf und die Schwungfedern der Flügel sind carmoisinroth, das Gefieder übrigens gänzlich stahlblau.~~Fig. 2. Der Pompadur-Seidenschwanz. (Ampelis Pompadora.)~~Der Pombadur-Seidenschwanz hat ein prächtiges purpurfarbenes Gefieder mit seidenartigem Glanze. Seine Länge beträgt achthalb Zoll; er lebt von allerhand Früchten, und gleicht in der Lebensart übrigens dem gemeinen Seidenschwanze.~~Fig. 3. Der rothbrüstige Seidenschwanz. (Ampelis Cotinga.)~~Der Cotinga bewohnt wie der vorige mehrere Gegenden von Südamerica. Er wird 8 3/4 Zoll lang, und zeichnet sich durch sein schönes Gefieder aus. Der Kopf und Rücken ist glänzend himmelblau. Die Brust und der Bauch sind purpurfarben mit einer blauen Querbinde.~~Fig. 4. Der Papagei-Schnabel. (Loxia Carlsonii rubra.)~~Der Papagei-Schnabel gehört zum Geschlechte der Kernbeisser, und verdankt seinem Namen der Aehnlichkeit seines Schnabels mit dem eines Papageien. Sein ganzes Gefieder ist prächtig scharlachroth; bloss um den Schnabel herum sind die Federn sammtschwarz gefärbt.~~Fig. 5. Der Isländische Kernbeisser. (Loxia Islandica.)~~Dieser Kernbeisser ist im hohen Norden zu Hause, denn er findet sich nur auf der grossen Insel Island. Die Hauptfarbe seines prächtigen Gefieders ist carmoisinroth. Die Deckfedern der Flügel sind schwarz mit weissen Rändern; die Beine aber fleischfarben.~~Fig. 6. Der Dominikaner-Kernbeisser mit dem Federbusche. (Loxia Dominicana.)~~Der Dominikaner-Kernbeisser lebt wie seine übrigen Geschlechtsverwandten von allerhand Sämereien und bewohnt Brasilien. Der Kopf und die Brust sind scharlachroth; die auf dem Obertheile des Kopfes aufrechtstehenden Federn bilden einen kammförmigen Busch. Ein Engländer Tunstell ernährte 14 Jahre lang einen solchen Kernbeisser im Bauer.~~82
Ad00341 04 009a/engBirds LXVII. Vol V. No. 7.
BEAUTIFUL FOREIGN BIRDS.
Fig. 1. The Royal Cuckow. (Cuculus regius.)
Fig. 2. The Pompadour-Chatterer. (Ampelis Pompadora.)
Fig. 3. The purple beasted Chatterer. (Ampelis Cotinga.)
Fig. 4. The Parrot-Bill. (Locia Carlsonii rubra.)
Fig. 5. The Iceland-Grosbeak. (Loxia Islandica.)
Fig. 6. The Dominican Grosbeak. (Loxia Dominicana.)
Ad00341 04 009a/freOiseaux LXVII. Vol. V. No. 7.
BEAUX OISEAUX ETRANGERS.
Fig. 1. Le Coucou royal. (Cuculus regius.)
Fig. 2. Le Pacapac ou le Cotinga pourpre de Cayenne. (Ampelis Pompadora.)
Fig. 3. Le Cordon bleu ou Cotinga du Brésil. (Ampelis Cotinga.)
Fig. 4. Le Gros-bec Perroquet. (Loxia Car sonii rubra.)
Fig. 5. Le Verdier d’Islande. (Loxia Islandica.)
Fig. 6. Le Cardinal dominicain. (Loxis Dominicana.)
Ad00341 04 009a/itaUccelli LXVII. Tom. V. No. 7.
UCCELLI FORESTIERI.
Fig. 1. Il Cuculo Regio. (Curculus regius.)
Fig. 2. Il Cotinga Purpureo. (Ampelis Pompadora.)
Fig. 3. Il Cotinga di Petto Rosso. (Ampelis Cotinga.)
Fig. 4. Il Becco Papagallo. (Loxia Carlsonii rubra.)
Fig. 5. Il Frison d’Islanda. (Loxia Islandica.)
Fig. 6. Il Frisone Dominicano. (Loxia Dominicana.)
Ad00341 04 010aFig. 1. Der Mutterzimmt. (Laurus Cassia.)~~Der Mutterzimmt, oder unächte Zimmtbaum wächst in Ostindien auf der Malabarischen Küste, und auf den Inseln Sumatra und Java. Er wird einige 20 Fuss hoch, und gehört zum Geschlechte der Lorbeerbäume, weswegen er auch Cassien-Lorbeerbaum genannt wird. Wie der ächte Zimmt hat er eine kleine weisse Blüte A, nur sind die Blätter des Baums länger zugespitzter. Die länglichen, schwärzlichen Beeren B gleichen denen des gemeinen Lorbeerbaums und enthalten einen rothen Kern C. Die kastanienbraune Rinde D der jungen Zweige wird abgeschält, und häufig unter die ächte Zimmtrinde gemischt, und für solche verkauft. Doch hat der Mutterzimmt lange nicht die Güte des ächten Zimmts. Der Geschmack des erstern ist viel schwächer, und nicht so lieblich wie der des ächten Zimmts. Die Rinde des Mutterzimmts ist härter und dunkler, und bricht in kleinere Stücke. Sie enthalten überdies einen schleimichen Stoff, den man beim Kauen bemerkt. - Alle dieser Eigenschaften wegen, ist der Mutterzimmt viel wohlfeiler als der ächte, und wird daher aus Gewinn von betrügerischen Gewürzhändlern häufig unter den ächten Zimmt gemischt. -~~Fig. 2. Der Galgant. (Alpinia Galanga.)~~Der Galgant oder die Galgant-Alpinie ist eine mehrjährige Pflanze, die in Ostindien und China wild wächst; doch wird sie auch angebaut und liebt einen sumpfigen Boden. Die weissen Blüten der Pflanze a sitzen traubenförmig am Ende der Zweige. Die länglich runde scharlachrothe Frucht enthält einen eirunden länglichen Saamen. Die fingerdicke dunkelbraune Wurzel (b) dieser Pflanze wird getrocknet, und in China und Ostindien als Gewürz an die Speisen gethan. Auch wird sie in der Medicin als ein starkes magenstärkendes Mittel gebraucht. Die getrocknete Wurzel behält ihre Kraft sehr lange bei, die man durch einen blossen Aufguss von Wasser auszieht.~~82
Ad00341 04 010a/engPlants XCL. Vol. V. No. 8.
AROMATICK PLANTS.
Fig. 1. The Cassia-Tree. (Laurus Cassia.)
Fig. 2. The Galangal. (Alpinia Galanga.)
Ad00341 04 010a/frePlantes XCI. Vol. V. No. 8.
PLANTES AROMATIQUES ÈTRANGÈRES.
Fig. 1. Le Laurier-Casse. (Laurus Cassia.)
Fig. 2. Le Galanga officinal. (Alpinia Galanga.)
Ad00341 04 010a/itaPiante XCL. Tom. V. No. 8.
PIANTE AROMATICHE.
Fig. 1. La Cassia. (Laurus Cassia.)
Fig. 2. La Galanga. (Alpinia Galanga.)
Ad00341 04 011aFig. 1. Die schwarze Blindschleiche. (Anguis ater.)~~Die schwarze Blindschleiche wird gegen 2 Fuss lang, und bewohnt die Insel Ceylon. Die Grundfarbe des Körpers ist schwarz mit weissen ringförmigen Querbinden. Die kleinen rundlichen Schuppen sitzen fest über einander. Sie gleich in der Lebensweise unserer gewöhnlichen Blindschleiche.~~Fig. 2. Die blaugeringelte Blindschleiche. (Anguis caerulea.)~~Diese Blindschleiche hat mit der vorigen viele Aehnlichkeit, nur ist die Hauptfarbe des Körpers weiss, über die sich himmelblaue Bänder ziehen, die der Schlange ein sehr schönes Ansehen geben. Sie hat einen schlanken Bau als die vorige Art, und wird über zwei Fuss lang. - Von der Lebensart dieses Theires wissen wir sehr wenig.~~Fig. 3. Der rustfarbige Ringler. (Amphisbaena fuliginosa.)~~Die Ringler sind ein eigenes merkwürdiges Schlangengeschlecht, deren ganzer Körper mit schuppigen Ringen umgeben ist, wodurch sie fähig werden, fast eben so gut rückwärts als vorwärts zu kriechen. Deswegen heissen sie auch Amphisbänen oder Doppelwandler.~~Die hier Fig. 3. abgebildete Art war die erste die man fand. Dieser Ringler bewohnt die Insel Ceylon. Er wird gegen zwei Fuss lang; die Grundfarbe des Körpers ist russbraun mit weissen Querbinden und Flecken.~~Regenwürmer und Insecten sind seine Nahrung. Er ist nicht giftig.~~Fig. 4. Der weisse Ringler. (Amphisbaena alba.)~~Der weisse Ringler ist ein harmloses Thier, das in den Wäldern von Südamerica lebt, und sich vorzüglich von Ameisen nährt. Am ganzen Körper hat er 139 Ringel, die ihm viele Gelenkigkeit geben. Die Hauptfarbe des ganzen Ringlers ist röthlich weiss, er wird gegen 2 Fuss lang. -~~82
Ad00341 04 011a/engAmphibies XXI. Vol. V. No. 9.
DIFFERENT KINDS OF SLOW-WORMS.
Fig. 1. The black-banded Slow-Worm. (Anguis ater.)
Fig. 2. The Azure Slow-Worm. (Anguis caerulea.)
Fig. 3. The variegatet Amphisboena. (Amphisbaena fuliginosa.)
Fig. 4. The white Amphisboena. (Amphisbaena alba.)
Ad00341 04 011a/freAmphibies XXI. Vol. V. No. 9.
DIFFERENTES ESPÈCES DE SERPENS.
Fig. 1. L’Orvet noir. (Anguis ater.)
Fig. 2. L’Orvet bleu. (Anguis caerulea.)
Fig. 3. L’Amphisbène couleur de suie. (Amphisbaena fuliginosa.)
Fig. 4. L’Amphisbène blanche. (Amphisbaena alba.)
Ad00341 04 011a/itaAmfibi XXI. B. V. No. 9.
VARIE SPECIE DI CICIGNE.
Fig. 1. La Cicigna nera. (Anguis ater.)
Fig. 2. La Cicigna erulea. (Anguis caerulea.)
Fig. 3. L’Amphisboena Fuliginosa. (Amphisbaena fuliginosa.)
Fig. 4. L’Amphisboena bianoa. (Amphisbaena alba.)
Ad00341 04 012aDas Stiergefecht, gehört leider noch immer zu den Volkslustbarkeiten der Spanier, und Tausende von Zuschauern weiden sich an dem Schauspiele, einen armen Stier auf das erbärmlichste zu Tode martern zu sehen. - Man hört so oft von dieser Feierlichkeit sprechen, so dass es nicht ohne einiges Interesse seyn wird, hier eine Abbildung und Beschreibung davon zu geben.~~Die Stiergefechte werden in Madrid und in andern Städten Spaniens auf eigends dazu bestimmten länglichrunden Schauplatzen gehalten. Rings herum läuft eine Wand als Einfassung, und dahinter sind die erhöhten Sietze für die Zuschauer. Die Kampfstiere, die meistens von dunkelbrauner Andalusischer Raçe sind, werden in eigenen festen Behältnissen unter den Sitzen der Zuschauer aufbewahrt, und kurz vor dem Kampfe durch Pikenstiche wüthend gemacht. Nun wird der gereizte Stier auf den Kampfplatz gelassen; die Picadores oder Pikenire zu Pferde (Fig. 1.) erwarten ihn. Voller Wuth rennt der Stier auf sie an, doch mit grosser Behendigkeit weichen sie ihm mit ihren leichten Pferden aus, und verwunden ihn mit ihren langen Piken. Oftmals aber rennt der Stier das Pferd zu Boden; alsdann springen andere Kämpfer herzu, werfen dem Stiere ein rothes Tuch über den Kopf, wodurch der Picador Zeit gewinnt, sich zu retten und ein anderes Pferd zu besteigen. - Jetzt verlassen nun die Pikenire den Kampfplatz, und die Bandilleros (Fig. 2.) treten auf. Diese leichten Fusskämpfer werden dem wüthenden Stiere kleine eiserne Wurfspiesse mit Wiederhaken, woran bunte Streifen und Fähnchen befestigt sind, auf den Körper, und entgehen durch geschickte Seitensprünge seinen Angriffen; ist der von Blut triefende Stier nun beinahe matt, so tritt der Matador, d. i. der Todtstecher, auf. Mit geübter Hand hält er dem Stiere, der ganz geblendet vor Wuth ist, ein rothes Tuch vor. Verzweifelnd stürzt das unglückliche Thier darauf zu, und in demselben Augenblicke giebt ihm der Matador einen tödtlichen Stoss mit einem kurzen Schwerdte in den Nacken. So bald der Stier todt ist, so kommen Zugpferde in den Kampfplatz; man spannt sie vor den Stier, und so schleift man ihn unter grossem Jubel der Zuschauer aus der Bahn.~~Die Stiergefechte werden von eignen Unternehmen besorgt, und die Kämpfer zu Pferd und zu Fuss dazu gemiethet.~~82
Ad00341 04 012a/engMiscellanies XLVIII. Vol. V. NO. 10.
BULL-FEASTS IN SPAIN.
Ad00341 04 012a/freMélanges XLVIII. Vol. V. No. 10.
COMBATS DE TAUREAUX EN ESPAGNE.
Ad00341 04 012a/itaMiscell. XLVIII. TOM. V. No. 10.
IL COMBATTIMENTO DI TORI IN SPAGNA.
Ad00341 04 013aDie Beutelthiere, deren wir schon mehrere in den früheren Heften unseres Bilderbuchs kennen lernten, und die wegen der Art, wie sie ihre Jungen in dem, zwischen den Hinterfüssen sich befindlichen Beute, erziehen, unsere Aufmerksamkeit verdienen, sind durch die neuesten Entdeckungsreisen in die Südsee ein zahlreiches Thier-Geschlecht geworden. Wir kennen bereits 30 Arten davon, von denen wir auf gegenwärtiger Tafel mehrere abgebildet finden.~~Fig. 1. Das Virginische Beutelthier. (Didelphis virginiana.)~~Der Manicou oder das Virginische Beutelthier bewohnt mehrere Theile des nördlichen Amerika, und hat die Grösse einer gewöhnlichen Hauskatze. Der ganze Körper ist mit gelblichen und bräunlichen struppigen Haaren bedeckt, und der glatte Wickelschwanz dient dem Thiere, um sich mit Leichtigkeit von einem Aste zum andern zu schwingen. Der zugespitzte Kopf gleicht dem eines Hundes, und der Rachen ist mit scharfen spitzigen Zähnen besetzt. Wir sehen hier deutlich, wie die Jungen in dem Beutel am Unterleibe sich befinden, und wenn sie reif sind, nach Belieben aus und ein hüpfen. Unserer Beutelthier ist wie alle seine Geschlechtsverwandten fleischfressend, und nährt sich von allerhand kleinen Vögeln; doch nimmt es auch mit Früchten und Wurzeln vorlieb und lässt sich leicht zähmen.~~Fig. 2. Das graue Beutelthier. (Didelphis Lemurina.)~~Neuholland ist das Vaterland des grauen Beutelthiers, welches in der Grösse und Gestalt beinahe einer Katze gleicht. Der ganze Körper und Schwanz ist mit dichten feinen Haaren von eisengrauer Farbe besetzt, die am Bauche und an den Seiten des Kopfes gelblich sind. An den Zehen sizzen starke Klauen, und die Augen sind voller Feuer. Man hat dieses artige Thier schon einigemal lebendig nach England gebracht.~~Fig. 3. Das gefleckte Beutelthier. (Didelphis viverrina.)~~Es gleicht seinem ganzen Körper nach den Viverren oder Stinkthieren. Die Hinterfüsse sind von auffallender Länge, und scheinen das Thier zum Springen sehr geschickt zu machen; das harte Haar ist schwarz und weiss gefleckt. Auch dieses Beutelthier ist wie das vorige von Neuholland.~~Fig. 4. Das langschwänzige Beutelthier. (Didelphis macroura.)~~Dieses kleine Beutelthier ist nicht grösser, als eine gemeine Hauskatze. Mit dem Schwanze, der viel länger als der Körper ist, schlingt es sich an die Aeste, und besteigt so mit Leichtigkeit die Bäume. Neuholland ist sein Vaterland.~~Fig. 5. Das rattenähnliche Känguruh. (Kangurus minor.)~~Das grosse Känguruh ist uns bereits bekannt - das hier abgebildete ist erst vor wenigen Jahren in Neuholland entdeckt worden und wird so gross als ein Kaninchen, gleicht aber seinem Kopfe, seiner Farbe und seinem schwanze nach mehr einer Ratte. Die kurzen Vorderfüsse und die langen Hinterfüsse, womit es so grosse Sprünge macht, hat es wie das grosse Känguruh.~~83
Ad00341 04 013a/engQuadrupeds LXXI. Vol. V. No. 11.
The OPOSSUM.
Fig. 1. The Virginian Opossum. (Didelphis virginiana.)
Fig. 2. The grey Opossum. (Didelphis Lemurina.)
Fig. 3. The Viverrine Opossum. (Didelphis viverrina.)
Fig. 4. The long tailed Opossum (Didelphis macroura.)
Fig. 5. The Kanguroo Rat. (Kangurus minor.)
Ad00341 04 013a/freQuadrupèdes. LXXI. Vo. V. No. 11.
SARIGUES OU DIDELPHES.
Fig. 1. Le Manicou ou Sarigue à long poil. (Didelphis virginiana.)
Fig. 2. Le Sarigue gris. (Didelphis Lemurina.)
Fig. 3. Le Sarigue tacheté. (Didelphis viverrina.)
Fig. 4. Le Sarigue à longue queue. (Didelphis macroura.)
Fig. 5. Le Kangouron-Rat. (Kangurus minor.)
Ad00341 04 013a/itaQuadrupedi LXXI. Tom. V. No. 11.
L’OPOSSUM.
Fig. 1. L’Opossum della Virginia. (Didelphis virginiana.)
Fig. 2. L’Opossum grigio. (Didelphis Lemurina.)
Fig. 3. L’Opossum Viverriono. (Didelphis viverrina.)
Fig. 4. L’Opossum di coda lunga. (Didelphis macroura.)
Fig. 5. Il Kanguroo minore. (Kangurus minor.)
Ad00341 04 014aDa wir uns oft mit den Merkwürdigkeiten des alten Aegyptens beschäftigt haben; so wird es jetzt interessant seyn, uns mit den heutigen Bewohnern dieses merkwürdigen Landes, ihren Gebräuchen und Trachten, bekannt zu machen. Ausser den Kopten, oder den Abkömmlingen der alten Einwohner, bewohnen jetzt Aegypten vorzüglich Türken, Araber und Mamelucken - Von allen dreien finden wir hier mehrere abgebildet. -~~Fig. 1. Ein Aegyptischer Bey mit seinen Sklaven.~~Die Bey's sind als die Vornehmsten und Reichsten die Beherrscher des ganzen Landes, mehr noch als der Pascha, der im Namen des Gross-Sultans Aegypten gouvernirt. Sie sind keine eingebohrnen Aegyptier, sondern weisse Sclaven, die Mamelucken wurden, und nun durch Glück bis zur Würde eines Bey's stiegen. Ihr grösster Reichthum besteht in einer Menge weisser Sclaven, die so zu sagen ihre Leibwache bilden, und wovon sie stets einer begleitet, wie wir hier sehen. Die Kleidung der Bey's ist sehr prächtig. Sie tragen einen grossen orangefarbenen Turban, ein Kleid von Mousselin oder Seide mit Silber und Gold gestickt, und darüber einen Kaftan mit goldnen Schnuren besetzt und mit kostbarem Pelzwerk verbrämt. Die weiten Beinkleider sind meistentheils vom feinsten Scharlach.~~Fig. 2. Eine Dame von Cahira mit ihrer Sklavin.~~Die Weiber der vornehmen Aegytier sind meistens gekaufte Sclavinnen aus Gorgien oder Gircassien, die wegen ihrer Schönheit so berühmt sind. Die Eifersucht der Männer verbirgt sie vor den Augen jedes Fremden in dem Harem, wo sie, auf ihre Poster gelagert, sich bloss mit der Sorgfalt für ihren Körper und ihren Putz beschäftigen, und ihr Leben übrigens unthätig hinbringen. Ihre Kleidung ist äusserst kostbar. Sie tragen einen platten Turban von Indianischem Zeug mit Diamanten und Perlen bedeckt; über das seine gestickte Hemde ziehen sie einen seidnen Rock mit weiten Aermeln. Zu ihrer Bedienung haben sie stets mehrere Sclavinnen.~~Fig. 3. Ein Mameluck.~~Die Mamelucken sind weisse Sclaven, die aus Europa und Asien zum Verkauf an die Bey's gebracht, und von diesen im Mahomedanischen Glauben und zu Kriegern erzogen werden. Sie beherrschen mit den Bey's, welche aus ihnen ihre Leibwache bilden, das ganze Land, und viele von Ihnen schwingen sich selbst zum Bey empor. - Sie üben sich beständig in kriegerischen Spielen, vorzüglich im Lanzenwerden, wie unsere Abbildung zeigt.~~Fig. 4. Eine Aegyptische Fellahs oder Bauernfamilie.~~Die Fellahs oder die Aegyptischen Bauern, sind ursprünglich Araber, ein armes rohes Volk, das unter der Despotie der Mamelucken seufzt, für die sie das Land bauen müssen. Die Kleidung des Mannes besteht aus Beinkleidern von Leinwand, und einem Mantelähnlichen Rock von Baumwolle. Die Frau trägt ein blaues baumwollenes Hemd ohne Aermel, und hat das Gesicht nach Aegyptischer Sitte halb verhüllt.~~Fig. 5. Eine Beduinenfamilie.~~Die Beduinen-Araber sind ein nomadisches Volk, welche ohne feste Wohnplätze mit ihren Viehherden Hordenweis in den Wüsten Aegyptens herumziehen, sich als die Herrn des Landes betrachten, und alle Reisende, die sich ihnen nähern, plündern. Die Kleidung der braunrothen Beduinen besteht aus einem Hemde und Mantel von schlechtem grauen Tuche. - Sie sind äusserst mässig und nähren sich gewöhnlich nur von einigen Datteln, und in Wasser gerührtem Gerstenmehl.~~83
Ad00341 04 014a/engMiscellanies XLIX. Vol. V. No. 12.
EGYPTIAN DRESS.
Fig. 1. A Bey with his attendant.
Fig. 2. A Lady of Cairo with her attendant.
Fig. 3. The Mamalukes.
Fig. 4. The Fellahs.
Fig. 5. A Family of Beduins.
Ad00341 04 014a/freMélanges XLIX. Vol. V. No. 12.
COSTUMES EGYPTIENS.
Fig. 1. Un Bey Egyptien fuivi de son Esclave.
Fig. 2. Une Dame du Caire avec son Esclave.
Fig. 3. Un Mamelouc.
Fig. 4. Une Famille de Fellahs ou payfans égyptiens.
Fig. 5. Une Famille de Bédouins.
Ad00341 04 014a/itaMiscellanes XLIX. Tom. V. No. 12.
ABITI DEGLI ABITANTI DELL EGITTO.
Fig. 1. Un Bey col fuo schiavo.
Fig. 2. Una Donna di Cairo colla sua schiava.
Fig. 3. I Mammalucchi.
Fig. 4. I Fellah.
Fig. 5. Una Famiglia di Beduini.
Ad00341 04 015aFig. 1. Ansicht des Gipfels der grossen Pyramide von Ghizé und der umliegenden Gegend.~~Unvergleichlich ist der Blick, den man von der Spitze der grossen Pyramide, deren Ansicht wir schon im Bd. I. No. 68. unseres Bilderbuchs kennen lernten, hat. Die Stadt Cahira, die Pyramiden von Sakkara und viele andere merkwürdige Gegenstände überschaut man von da mit einem einzigen Blicke. - Man kann sich aus unserer Abbildung hier einen deutlichen Begriff machen, wie die Pyramiden aus grossen einzelnen Quadersteinen zusammengesetzt sind, die die Zeit zum Theil beschädigte, so dass man nur mit Mühe bis auf den Gipfel klettern kann. Dennoch haben ihn viele Europäische Reisende erstiegen, deren Namen man oben angeschrieben findet. Der Gipfel besteht jetzt aus sieben ungleich neben einander liegenden Werkstücken, die durch Menschenhände scheinen verschoben zu seyn. Da der Reisende Pokocke, als er den Gipfel erstieg, noch 9 Steine nebeneinander fand, so scheinen seitdem zwei aus Muthwillen durch Menschen in die Tiefe hinabgestürzt worden zu seyn.~~Fig. 2. Durchgang aus der zweiten in die dritte Etage der grossen Pyramide.~~Merkwürdig ist die Art, wie man im Innern der grossen Pyramide durch die düstern Gänge beim Fackelschein aus einem Stockwerk in das andere steigt. Durch Araber geleitet, muss man ohne Leitern bloss in den in die Mauern weitläufig gehauenen Löchern sich festhalten, und aufwärts steigen. Der Dampf der Fackeln, die in den engen Gängen verdorbene Luft, die drükkende Hitze des Landes, machen diese sonderbare Reise höchst beschwerlich; und da man nirgends im Innern der Pyramide interessante Alterthümer findet, so wird sie von Reisenden auch sehr selten unternommen.~~83
Ad00341 04 015a/engMiscellanies L. Vol. V. No. 13.
CURIOSITIES OF EGYPT.
Fig. 1. The Summit of the great Pyramid of Ghizé and the adjacent country.
Fig. 2. The inner passage from one floor to the other.
Ad00341 04 015a/freMélanges L. Vol. V. No. 13.
FURIOSITES EGYPTIENNES.
Fig. 2. [sic.] Vue de la cime de la grande Pyramide de Gizé et de ses environs.
Fig. 2. Passage du second au troisième étage de la grand Pyramide.
Ad00341 04 015a/itaMiscellanea L. Tom. V. No. 13.
CURIOSITA D’EGITTO.
Fig. 1. La Cima della gran Piramide di Ghizza, colle sue viste.
Fig. 2. Passagio dal secondo al terzo piano nell‘ interno della Piramide.
Ad00341 04 016aFig. 1. Der Feuerschwamm. (Boletus igniarius.)~~Der Feuerschwamm oder Zunderschwamm, macht in Teutschland einen eignen kleinen Handels-Artickel aus, und verdient daher wohl näher von uns gekannt zu werden. Er gehört zu den Löcherschwamm, und wächst in Form eines Pferdefusses an Buchen, Birken und andern Bäumen, gar nicht selten. Die Farbe ist weisslich und halb bräunlich. Um aus ihm nun den eigentlichen Zündschwamm zu bereiten, so beizt man diese Schwämme in einer scharfen Aschenlauge. Hierauf werden sie getrocknet und weich geklopft. Nun taucht man sie von neuem in eine Lauge von Asche, Salz und Salpeter, und trocknet sie von neuem. So zubereitet ist der Schwamm ganz braun und locker, und lederartig geworden, und fängt am Stahle leicht Feuer. - Um diese Schwamm-Art in Menge zu gewinnen, so beugt man die jungen Buchen zur Erde nieder, und bedeckt sie mit Rasen. Auf diese Weise erzeugt sich der Feuerschwamm in Menge.~~Fig. 2. Der Lerchenschwamm. (Boletus Laricis.)~~Der Lerchenschwamm wächst in den Lerchenwäldern von Kärnthen, dem ehemaligen Piemont und dem südlichen Frankreich. Da er sich hauptsächlich nur an dem Stamme der Lerchenbäume findet, so hat er daher den Namen erhalten. Seine weissgraue Oberfläche hat viele Erhabenheiten und Risse, die innere Masse aber ist Korkartig. Die Landleute sammeln diese Schwämme, schälen die obere Rinde ab, bleichen ihn an der Sonne, schlagen ihn breit, und treiben einen kleinen Handel damit, da er als Arzneymittel in einigen Krankheiten gebraucht wird. Von Geschmack ist er bitter und scharf.~~83
Ad00341 04 016a/engPlants. XCII. Vol. V. No. 14.
REMARKABLE SPUNGES.
Fig. 1. The Touchwoodor Tinder Boletus. (Boletus igniarius.)
Fig. 2. The Larch-tree Boletus. (Boletus Laricis.)
Ad00341 04 016a/frePiantes. XCII. Vol. V. No. 14.
DES BOLETS REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Bolet-amadou ou l’Amadouier. (Boletus igniarius.)
Fig. 2. Le Bolet du Mélèse. (Boletus Laricis.)
Ad00341 04 016a/itaPiante. XCII. Tom. V. No. 14.
FUNGHI RIMARCHEVOLI.
Fig. 1. Il Boletto Esca. (Boletus igniarius.)
Fig. 2. L’Agarico. (Boletus Laricis.)
Ad00341 04 017aFig. 1. Die rothe Millefolie. (Rosa millefolia rubra.)~~Diese schöne Rose ist unter allen Rosenarten die blätterreichste, und heist eben deshalb Millefolie, die Tausendblättrige. Der Stock ist nicht über 2 bis 3 Fuss hoch, die Blume aber von ansehnlicher Grösse, karmesinroth von Farbe, und ist gebaut wie eine Ranunkel. Sie blüht sehr reichlich und hält unsere Winter recht gut im freien Lande aus. Wegen ihrer übermässigen Fülle trägt sie keine Früchte.~~Fig. 2. Die Hangerose. (Rosa pendulina inermis.)~~Die Hange- oder hängende Rose hat ihren Namen von der besonderen Eigenschaft erhalten, dass ihre Blumen, Blätter und Früchte, wegen ihrer langen und dünnen Stiele alle gekrümmt abwärts hängen. Sie ist in mehreren Rücksichten merkwürdig, und zeichnet sich von allen Rosenarten besonders dadurch aus, dass sie durchaus Dornenlos ist, weswegen das Sprüchwort keine Rosen ohne Dornen - auf sie nicht anwendbar ist. Ihr Vaterland ist Dalmatien und Ungarn. Der Strauch wird 4 bis 6 Fuss hoch, und hat sehr feines, zartes zimmtbraunes Holz. Die Blume ist nicht gross, höchstens anderthalb Zoll im Durchschnitte, dunkelroth von Farbe, und die Blätter sind Herzförmig gestaltet. Sie blüht im Junius, und trägt lange hochrothe fleischige Früchte, welche sehr wohlschmeckend sind.~~83
Ad00341 04 017a/engRoses X. Vol. V. No. 15.
TWO SPECIES OF ROSES.
Fig. 1. The red Millefolia Rose. (Rosa millefolia rubra.)
Fig. 2. The pendent Rose. (Rosa pendulina inermis.)
Ad00341 04 017a/freRoses X. Vol. V. No. 15.
ESPECES DE ROSES.
Fig. 1. Le Rosier à mille feuilles. (Rosa millefolia rubra.)
Fig. 2. Le Rosier à fruits pendans. (Rosa pendulina inermis.)
Ad00341 04 017a/itaRose. X. Tom. V. No. 15.
DUE SPECIE DI ROSE.
Fig. 1. La Rosa millefolia rossa. (Rosa millefolia rubra.)
Fig. 2. La Rosa pendente. (Rosa pendulina inermis.)
Ad00341 04 018aFig. 1. Der schwarze Tieger. (Felis discolor.)~~Der schwarze Tieger findet sich in Brasilien und Guiana im südlichen America. Er erreicht die Grösse eines einjährigen Kalbes, und ist wie sein Geschlechts-Verwandter, der Bengalische gestreifte Tieger, ein grausames gefährliches Raubtier, das die Viehheerden, und selbst Menschen anfällt, und würgt. Die Hauptfarbe des Körpers ist schwarzbraun. Der Unterleib aber weisslich. Die Ohren sind sehr gespitzt.~~Fig. 2. Die gefleckte Hyäne. (Canis crocuta.)~~Diese Hyäne ist noch grösser und stärker als die gestreifte, die wir im Bd. I. No. 63. bereits kennen lernten, und die beide zum Hunde-Geschlechte gehören. Sie bewohnt mehrere Theile Süd-Africa's, und bricht oft des Nachts als Raubthier in die Wohnungen der Cap-Colonisten ein. Der röthlich-gelbe Körper ist mit dunkeln Flecken besetzt, der kurze Schwanz so wie die struppige Mähne sind schwarz. Die gefleckte Hyäne hält sich den Tag über in Höhlen auf und geht bloss des Nachts nach Raub aus, wo sie als ein raubgieriges Thier oft 2 bis 3 Schaafe in einer einzigen Nacht würgt.~~Fig. 3. Der Capsche Schakal. (Canis mesomelas.)~~Der Capsche Schakal gleicht dem Fuchse und dem Hunde, und wird gegen 4 Fuss lang. Er ist ein schön gezeichnetes Thier. Von dem Kopfe bis zum Schwanze läuft ein schwarzer Schildförmiger Fleck mit weissen Zeichnungen. Der übrige Oberkörper ist röthlichbraun gefärbt, der Unterleib aber weisslich. Er nährt sich von der Jagd anderer Thiere.~~Fig. 4. Die Capkatze. (Felis capensis.)~~Die sogenannte Cap-Katze ist ein reissendes Thier, welches die südlichen Theile von Africa, vorzüglich die Gegend des Caps, so wie der eben beschriebene Schakal bewohnt. Sie wird ohne den Schwanz 3 Fuss lang, ist rostbraun mit schwarzen Flecken gezeichnet, und hat lange aufrechtstehende Ohren. Ihre vorzüglichste Nahrung sind Antilopen und Gazellen.~~Fig. 5. Der Aragua. (Felis tigrina.)~~Der Maragua oder die Cayennische Katze ist ein artiges behendes Thier, von der Grösse unserer Hauskatze. Mit Schnelligkeit springt sie von Ast zu Ast und fängt kleine Thiere und Vögel. Sie ist gelblichbraun von Farbe mit schwarzen Streifen. In Süd-America, wo sie sich findet, zähmt man sie wie unsere Teutsche Haus-Katze.~~84
Ad00341 04 018a/engQuadrupeds LXXII. Vol. V. No. 16.
WILD BEASTS.
Fig. 1. The black Tiger. (Felis discolor.)
Fig. 2. The spotted Hyena. (Canis crocuta.)
Fig. 3. The Jackal of the Cape. (Canis mesomelas.)
Fig. 4. The Cat of the Cape. (Felis capenfis.)
Fig. 5. The Maragua. (Felis tigrina.)
Ad00341 04 018a/freQuadrupèdes. LXXII. Vol. V. No. 16.
BETES SAUVAGES CARUASSIERES:
Fig. 1. Le Jaguarète ou Tigre noir. (Felis discolor.)
Fig. 2. La Hyène tachetée. (Canis crocuta.)
Fig. 3. Le Chacal du Cap ou le Tenlie. (Canis mesomelas.)
Fig. 4. Le Chat du Cap. (Felis capensis.)
Fig. 5. Le Chat-Tigre ou le Maragua. (Felis tigrina.)
Ad00341 04 018a/itaQuadrupedi LXXII. Tom. V. No. 16.
ANIMALI FEROCI.
Fig. 1. La Tigra nera. (Felis discolor.)
Fig. 2. La Jena macchiata. (Canis crocuta.)
Fig. 3. Il Jackal del Capo. (Canis mesomelas.)
Fig. 4. Il Gatto del Capo. (Felis capeusis.)
Fig. 5. Il Maragua. (Felis tigrina.)
Ad00341 04 019aFig. 1. Der gemeine Gecko. (Lacerta Gekko.)~~Die Geckonen (von ihrem Geschrei so genennt) unterscheiden sich vorzüglich dadurch von den übrigen Eidechsen, dass ihre Zehen unten mit grossen übereinander liegenden Schuppen bedeckt sind. Der gemeine Gecko lebt in Aegypten, und Ostindien. Er wird 6 bis 8 Zoll lang, und ist grün von Farbe mit rothen Puncten besetzt. Sein Mund ist mit scharfen spitzigen Zähnen besetzt, die selbst im Eisen Spuren des Bisses zurücklassen. Der gemeine Gecko ist äusserst giftig, und sein Biss tödtet in kurzer Zeit. Sogar die Speisen über die er läuft, vergiftet er schon durch seine Berührung, weswegen er ein äusserst gefährliches Thier ist. Mit dem Schaume, der ihm, wenn er gereizt wird, aus dem Munde fliest, vergiften die Indianer ihre Pfeile.~~Fig. 2. Der plattschwänzige Gecko. (Lacerta platurus.)~~Dieser Gecko bewohnt Neuholland, und hat ein seltsames hässliches Ansehn. Der Kopf und der Schwanz sind breit gedrückt, und der ganze graubraune Körper ist mit warzenförmigen Knötchen bedeckt. Von seiner Lebensweise ist noch nichts bekannt.~~Fig. 3. Die Schlangeneidechse oder der Seps. (Lacerta Seps.)~~Ein sonderbares Thier, das den Uebergang der Eidechsen zu den Schlangen macht. Der ganze Körper gleich dem einer Schlange, nur die Ohröffnungen und die kleinen Füsse setzen es unter die Eidechsen. Der Seps wird 12 bis 14 Zoll lang, findet sich in dem mittäglichen Frankreich und in Sardinien, und ist nicht giftig.~~Fig. 4. Der Chalcide. (Lacerta Chalcides.)~~Der wurmförmige Chalcide ist ein Bewohner warmer Länder. Sein bronzefarbner Körper ist ganz mit kleinen rigelförmigen Schuppen bedeckt. Er macht gleichfalls den Uebergang zu den Schlagen.~~Fig. 5-8. Der Wassersalamander. Männchen und Weibchen. (Lacerta Salamandra.)~~Der Wasser-Salamander ist ein völlig unschädliches artiges Thierchen, das sich in Teutschland in waldigen Gegenden in Quellen und Brunnen häufig findet. Der Körper des Männchens Fig. 5. ist von oben bläulich und bräunlich mit kleinen Wärzchen bedeckt; der untere Körper Fig. 6. ist orangefarben und glatt. Das Weibchen Fig. 7. und 8. ist grösser als das Männchen, und wird 4 Zoll lang. Der ganze Körper ist plumper, dicker und dunkler von Farbe.~~84
Ad00341 04 019a/engAmphibies XXIII. Vol. V. No. 17.
DIFFERENT SPECIES OF LIZARDS.
Fig. 1. The common Gekko. (Lacerta Gekko.)
Fig. 2. The flat-toiled Gekko. (Lacerta platurus.)
Fig. 3. The Seps. (Lacerta Seps.)
Fig. 4. The Chalcide. (Lacerta Chalcides.)
Fig. 5-8. The WaterSalamander. The Male and Female. (Lacerta Salamandra.)
Ad00341 04 019a/freAmphibies. XXIII. Vol. V. No. 17.
DIFFERENTES ESPECES DE LEZARDS.
Fig. 1. Le Gecko. (Lacerta Gekko.)
Fig. 2. Le Lézard ou Gecko à queue plate. (Lacerta platurus.)
Fig. 3. Le Seps. (Lacerta Seps.)
Fig. 4. Le Chalcide. (Lacerta Chalcides.)
Fig. 5-8. Le Lézard d’eau ou le Salamandre. Le mâle et la Femelle. (Lacerta Salamandra.)
Ad00341 04 019a/itaAnfibi XXIII. T. V. No. 17.
DIVERSE SPECIE DI LUCERTE.
Fig. 1. Il Gekko comune. (Lacerta Gekko.)
Fig. 2. Il Gekko di coda appiattata. (Lacerta platurus.)
Fig. 3. Il Seps. (Lacerta Seps.)
Fig. 4. Il Chalcide. (Lacerta Chalcides.)
Fig. 5-8. La Salamandra aquatica. Il maschia e la femmina. (Lacerta Salamandra.)
Ad00341 04 020aFig. 1. Der gefleckte Aron. (Arum maculatum.)~~Der gefleckte Aron oder der Teutsche Ingwer wächst in mehrern Gegenden Teutschlands wild. Aus der knolligen Wurzel B, die mehrere Jahre dauert, schiesst im Frühjahr die Blüte, die einem zusammengerollten Blatte gleicht, zuerst hervor. An dem braunen Kolben setzen sich die rothen Beeren C. an, welches der Saame ist. - Nach der Blüte schiessen aus der Wurzel vier bis fünf spondonförmige Blätter A. hervor. Diese Blätter sowohl als die Wurzel des gefleckten Arons, enthalten einen scharfen ätzenden Saft, der auf der Haut Blasen macht, und frisch eingenommen, gefährliche Zufälle erregt. - Doch wie viele giftige Plfanzen, ist sie in kleinen Gaben gebraucht, in manchen Krankheiten heilsam. Man trocknet nämlich die Wurzel, und braucht sie in Brustverschleimungen. - Auch bereitet man aus der Wurzel in Frankreich eine Art Seife.~~Fig. 2. Die Zeitlose. (Colchicum autumnale.)~~Die Zeitlose, die auch Wiesensafran genannt wird, treibt aus der Zwiebelartigen Wurzel im Herbste eine blass lila Blüte, die sich als die letzte Zierde der Wiesen recht gut ausnimmt; doch duldet man sie ihrer giftigen Eigenschaften wegen nicht gern, denn der Genuss der Wurzel, des Saamens und auch der Blätter ist gefährlich, und verursacht in manchen Fällen sogar den Tod. Die Zeitlose findet sich vorzüglich auf niedrigen feuchten Wiesen in etwas gebirgigten Gegenden in mehrern Theilen Teutschlands.~~Als Medicin bereitet man aus der Wurzel den Zeitlosen-Essig, der bei Podagra und in einigen andern Krankheiten sonst gebraucht wurde.~~84
Ad00341 04 020a/engPlants. XCIII. Vol. V. NO. 18.
GERMAN POISONOUS PLANTS.
Fig. 1. The common Arum or Wakerobin. (Arum maculatum.)
Fig. 2. The common Meadow-Saffron. (Colchium autumnale.)
Ad00341 04 020a/frePlantes. XCIII. Vol. V. No. 18.
PLANTES VENENEUSES D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Gouet commun, ou le pied de veau. (Arum maculatum.)
Fig. 2. Le Colchique. (Colchicum autumnale.)
Ad00341 04 020a/itaPiante. XCIII. Tom. V. No. 18.
PIANTS VELENOSE DELLA GERMANIA.
Fig. 1. Il Gichero taceato. (Arum maculatnm.)
Fig. 2. Il Colchico d’Autunno. (Colchium autumnale.)
Ad00341 04 021aDie Erklärung der Entstehung und Bildung unsers Erdkörpers gehört noch immer zu den Aufgaben, die der menschliche Geist nicht löst, und vielleicht nie lösen wird. Der Kern unserer Erde besteht aus festen granitischen Felsenmassen, die man Ur- oder Grundgebirge nennt. In ihnen, so wie in den drauf folgenden Ganggebirgen, deren Risse oder Spalten (Gänge genannt) zum Teil die Erze füllen, findet man durchaus keine Ueberreste von Thieren oder Pflanzen. Die ganze organische Welt existirte damals also auf unserm Erdkörper noch nicht. Nun kommen die später gebildeten Flöz- und aufgeschwemmten Gebirge. Sie bilden die jetzige Oberfläche unseres Erdkörpers, und beweisen, dass bei ihrer Entstehung aus dem Wasser der Erde mit Pflanzen und Thieren schon bestzt war, denn allenthalben in allen Welttheilen, auf den höchsten so wie in den tiefsten Puncten dieser Gebirge finden sich Abdrücke und Versteinerungen von Pflanzen, von See- und Landthieren. Dieses sind die Petrefacten, die als älteste Urkunden der Bildungsgeschichte unserer Erdoberfläche den grössten Werth haben. Die Versteinerungen aus dem Thierreiche nennt man Zoolithen, die aus dem Planzenreiche Phytolithen. Unter den Zoolithen trifft man Ueberreste von Säugethieren (selbst von Elephanten an Orten wo sie jetzt nicht mehr leben), Vögeln und Amphibien an. Die Fischversteinerungen sind sehr häufig. Wir sehen auf unserer Tafel Fig. 4. einen solchen Fischabdruck in Solenhofer Schiefer. Aus der Klasse der Würmer finden wir Abdrücke von Polypen Fig. 2. und eine ungeheuere Menge von See-Schneckenhäuser, selbst auf den höchsten Gebirgen. Merkwürdig ist es, dass sich die mehrsten dieser versteinerten Conchylien in der lebenden Natur nicht mehr finden. So z.B. die so häufigen Ammonshörner Fig. 3. welches die Gehäuse einer besondern Art von Seeschnecken sind, die nicht mehr existieren. Man findet welche, die 1 bis 2 Fuss im Durchmesser haben.~~Unter den Phytolithen findet man vorzüglich eine Menge versteinten Holzes, woran man zum Theil noch deutlich die Holzstructur bemerken kann. Seltener sind die eigentlichen Pflanzenabdrücke. Unter ihnen finden sich noch am häufigsten mehrere Arten von Schilf und Farrenkraut; letzteres vorzüglich im Schieferthon der Steinkohlengebirge. So sehen wir bei Fig. 1. einen schwarzen Schiefer von Kammerberg im Thüringer Walde mit einem deutlichen Abdruck von Farrenkraut.~~84
Ad00341 04 021a/engMiscellanies LI. Vol. V. No. 19.
REMARKABLE FOSSILS AND PETRIFICATIONS.
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Ad00341 04 021a/freMélanges LI. Vol. V. No. 19.
PETRIFICATIONS REMARQUABLES.
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Ad00341 04 021a/itaMiscellanea LI. Tom. V. No. 19.
FOSSILI E PETRIFICAZIONI RIMARCHEVOLL.
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Ad00341 04 022aFig. 1. Der Baumweissling. (Papilio Heliconius crataegi.)~~Dieser Schmetterling ist für die Obstbäume sehr schädlich, und seine Raupe frisst sie im Frühjahr oft ganz kahl ab. Der weisse schwarzgeäderte Schmetterling C, der im Junius und Julius oft in ganzen Schaaren herumfliegt, legt seine kleinen kegelförmigen Eier oben auf die Blätter des Schwarz- und Weissdorns, der Aepfel- und Birnbäume. Nach einigen Wochen brütet die Sonnenhitze die Eier aus, und die kleinen Räupchen nähren sich bis zum späten Herbst von den weichen Theilen der Blätter. Im Anfange des Winters spinnen sie sich in die jungen Triebe der Zweige ein, bringen denselben in erstarrtem Zustande zu, und wenn sie die Kälte nicht tödtet, oder kluge Hauswirthe vertilgen, so kommen sie im Mai wieder zum Vorschein, und fressen die jungen Blätter ganz weg. Die ausgewachsene orangefarbene Raupe A verpuppt sich an den Zweigen der Bäume. Die weiss und gelbliche Puppe B ist mit einem Faden an den Ast geheftet, und nach 16 bis 20 Tagen erscheint der Schmetterling.~~Fig. 2. Der grosse Kohlweissling. (Papilio Danaus brassicae.)~~Der grosse Kohlweissling, den wir hier in natürlicher Grösse abgebildet sehen, ist für die Kohlgärten ein verderblicher Vogel. Er fliegt im Julius häufig in den Gärten und auf den Feldern herum, und legt seine Eier (a) auf die Blätter der Kohlpflanzen. Im August schlüpft die olivengrüne Raupe (b) aus, und verheert oft ganze Kohlfelder, weswegen man sie fleissig ablesen und tödten muss. Im Herbste kriecht diese Raupe allenthalben hin, selbst bis in die Häuser. Sie verwandelt sich endlich in die weissliche Puppe (c) die sich mit einem Faden in vertikaler Richtung fest hängt. So bleibt sie den ganzen Winter über, und erst im Julius schlüpft der weiss und schwarze Schmetterling aus.~~Fig. 3. Der kleine Kohlweissling (Papilio Danaus rapae.)~~Dieser Schmetterling D ähnelt dem vorigen, nur ist er kleiner, das Weibchen hat auch auf den Oberflügeln schwarze Flecke, und die untere Seite bei Männchen und Weibchen ist gelb gefärbt. Er fliegt gleichfalls im Julius herum, und legt seine Eier A auf die Blätter der weissen Rüben und der Spanischen Kresse. Nach einer Zeit kömmt die apfelgrüne Raupe zum Vorschein, die wegen der Farbe von den Gewächsen schwer zu unterscheiden ist. Sie thut gleichfalls viel Schaden, und muss vertilgt werden. Im Herbst verwandelt sie sich in eine braungrüne Puppe C.~~84
Ad00341 04 022a/engInsects XXXII. Vol. V. No. 20.
NOXIOUS BUTTERFLIES.
Fig. 1. The white Tree-Papilio. (Papilio Heliconius crataegi.)
Fig. 2. The great Cole-Moth. (Papilio Danaus brassicae.)
Fig. 3. The Little Cole-Moth. (Papilio Danaus rapae.)
Ad00341 04 022a/freInsectes XXXII. Vol. V. No. 20.
PAPILLONS NUISIBLES.
Fig. 1. Le Papillon Héliconien de l’Alisier. (Papilio Heliconius crataegi.)
Fig. 2. Le Papillon Danaïde des choux. (Papilio Danaus brassicae.)
Fig. 3. Le Papillon Danaïde des raves. (Papilio Danaus rapae.)
Ad00341 04 022a/itaInsetti XXXII. Tom. V. No. 20.
FARFALLE NOCEVOLI.
Fig. 1. Farfalla bianca d’Albero. (Papilio Heliconius crataegi.)
Fig. 2. La Farfalla tarma di cavolo. (Papilio Danaus brassicae.)
Fig. 3. La Farfalla tarma di navoni. (Papilio Danaus rapae.)
Ad00341 04 023aFig. 1. Der Capsche Ameisenfresser. (Myrmecophaga capensis.)~~Die Ameisenfresser leben nicht bloss in Amerika, wie man bisher glaubte, sondern es finden sich auch welche in Afrika, wie wir aus dem Capschen Ameisenfresser sehen. Dieses Thier wird 3 Fuss 5 Zoll lang, und lebt meistens in Höhlen unter der Erde, die es sich mit seiner Schnauze gräbt. Der Körper ist mit kurzen röthlichgrauen Haaren dicht besetzt. Seine Nahrung besteht in Ameisen, die er mit seiner langen klebrigen Zunge fängt. Er bewohnt die Südspitze von Afrika, wird sehr fett, und von den Eingebornen gegessen.~~Fig. 2. Der stachlichte Ameisenfresser. (Myrmecophaga aculeata.)~~Dieses sonderbare Thier, welches man für ein Stachelschwein halten sollte, ist ein wirklicher Ameisenfresser, der erst vor 10 Jahren in Neuholland entdeckt wurde. Er wird 1 Fuss lang, und der ganze Körper ist mit bräunlichen, nicht sehr starken Stacheln bedeckt. Aus der rüsselartigen Schnauze geht die vier Zoll lange wurmförmige Zunge heraus, womit er die Ameisen fängt. Die Hinterfüsse haben 5 Zehen, und sind ganz nach aussen zugedreht.~~Fig. 3. Das Bärenartige Faulthier. (Bradypus ursinus.)~~Dieses Faulthier, welches vollkommen einem Bären gleicht, wurde im Jahre 1799 zuerst nach England gebracht, und unter dem Namen Löwen-Ungeheuer (Lion monstre) gezeigt. Es hat die Grösse eines kleinen Bären, und ist am Oberkörper mit struppigen 12 Zoll langen schwarzen Haaren bedeckt. Die starken Füsse haben 5 Klauen, woran die an den Vorderfüssen sehr lang sind, und dem Thiere zum Graben dienen. Das Gebiss hat es wie die Faulthiere, und wird daher zu ihnen gerechnet. - Es ist ein gutmüthiges träges Thier, welches nicht beisst, und durchaus nicht wild ist. Bengalen ist sein Vaterland.~~Fig. 4. Das Amerikanische Grossthier im Skelett. (Megatherium Americanum.)~~Das Amerikanische Grossthier, welches 12 Fuss lang, und 6 Fuss hoch war, kennen wir bis jetzt nur aus einigen Skeletten, die sich hundert Fuss tief im Sandboden am Plata-Strom in Südamerika gefunden haben, und jetzt im Königlichen Naturalienkabinette in Madrid aufbewahrt werden. Dieses ausserordentlich grosse Thier hat vor gar keine Zähne, sondern nur Backenzähne. Hiernach und nach der Bildung seiner Klauen zu schliessen, hat das Megatherium wahrscheinlich zu den Gürtelthieren (Armadillen) oder Faulthieren gehört, und nährte sich ohne Zweifel von Blättern und Baumzweigen. Diese Thierart scheint auf dem Erdboden gänzlich ausgestorben zu seyn, denn bis jetzt hat man sie noch nicht lebend gefunden.~~85
Ad00341 04 023a/engQuadrupeds LXXII. Vol. V. No. 21.
REMARKABLE QUADRUPEDS.
Fig. 1. The Cape Ant-Eater. (Myrmecophaga capensis.)
Fig. 2. The aculeated or spiny Ant-Eater. (Myrmecophaga aculeata.)
Fig. 3. The Ursine Sloth. (Bradypus ursinus.)
Fig. 4. The Skeleton of the American Megatherium. (Megatherium Americanum.)
Ad00341 04 023a/freQuadrupèdes LXXII. Vol. V. No. 21.
MAMMIFERES RARES.
Fig. 1. Le Fourmilier du Cap. (Myrmecophaga capensis.)
Fig. 2. L’Echidné ou le Fourmilier épineux. (Myrmecophaga aculeata.)
Fig. 3. Le Paresseux-Ours. (Bradypus ursinus.)
Fig. 4. Le Mégathère Americain en Squelette. (Megatherium Americanum.)
Ad00341 04 023a/itaQuadrupedi LXXII. Tom. V. No. 21.
QUADRUPEDI NOTABILI.
Fig. 1. Il Mangia – Formiche del Capo. (Myrmecophaga capensis.)
Fig. 2. Il Mangia – Formiche spinoso. (Myrmecophaga aculeata.)
Fig. 3. L’animale pigro Ursino. (Bradypus ursinus.)
Fig. 4. Il Scheletro del Megatherium d’America. (Megatherium Americanum.)
Ad00341 04 024aFig. 1. Die schwarze Wegschnecke. (Limax ater.)~~Die Schnecken gehören zur Klasse der Würmer, und zeichnen sich durch ihren länglichen oben runden, unten aber platten Körper aus. Die Natur gab ihnen mehrere Fühlfäden, oft mit zwei Fühlpuncten an den beiden grössern, die ihnen statt der Augen dienen. - Die schwarze Wegschnecke, die hier, so wie die übrigen Arten in natürlicher Grösse abgebildet ist, findet sich häufig in feuchten Laubhzölzern, und nährt sich von kleinen Pflanzen. Aus der gekörnten Haut des Körpers dringt aus vielen Drüschen ein weisslicher Schleim heraus, mit dem sie die Gegenstände, über die sie kriecht, überzieht, und so ihre zarte Haut nicht verletzt.~~Fig. 2. Die Weinbergschnecke. (Helix pomatia.)~~Diese und einige der folgenden Arten sind eigentliche Schnecken, denn ihr Körper steckt in einer kalkigen Schale oder Schneckengehäuse, das sich aus dem Schleim des Körpers absetzt. Die Weinbergschnecke findet sich allenthalben in Teutschland in Weinbergen und Gärten. Sie wird sehr fett, wird an vielen Orten als Leckerbissen gespeist, und deswegen in eigenen Schneckengärten oder Schneckenbergen gezogen und gemästet. Nach der Begattung legen sie Eier, die von der Sonne ausgebrütet werden.~~Fig. 3. Die Baumschnecke. (Helix arbustorum.)~~Die Baumschnecke ist viel kleiner, als die vorhergehende Art, ist hellbraun mit einem gesprenkelten Bande gefärbt und findet sich in Gebüschen und Hecken. Sie thut wie die Weinbergschnecke den Pflanzen vielen Schaden, und dient den Vögeln zur Nahrung.~~Fig. 4. Die graue Ackerschnecke. (Limax agrestis.)~~Diese Schnecke ist nackt und ohne Gehäuse wie Fig. 1., graulich von Farbe, und hat dunkle Fühlfäden. Sie geht am Abend erst ihrer Nahrung nach, und thut in Menge den Pflanzen vielen Schaden.~~Fig. 5. Die Entenmiesmuschel. (Mytilus anatinus.)~~Findet sich in den süssen Gewässern Teutschland, und dient den Enten zur Nahrung. Die Schale ist durch dunkle concentrische Streifen ausgezeichnet.~~Fig. 6. Das grosse Spitzhorn. (Buccinum stagnale.)~~Diese Schnecke gehört zu den Trompetenschnecken, ist spindelförmig gewunden, und findet sich in stehenden Gewässern. Das Thier hat zwei kolbenförmige Fühlhörner, und Augen.~~Fig. 7. Das bauchige Spitzhorn. (Buccinum auriculatum.)~~Das bauchige Spitzhorn hat ein marmorartig gezeichnetes Gehäuse, wovon die erste Windung gross und bauchig ist, und die übrigen sich in eine scharfe Spitze endigen. Diese Schneckenart lebt gleichfalls in süssen Gewässern.~~85
Ad00341 04 024a/engReptiles VII. Vol. V. No. 22.
GERMAN SNAILS.
Fig. 1. The black Slug. (Limax ater.)
Fig. 2. The Vineyard-Snail. (Helix pomatia.)
Fig. 3. The tree Snail. (Helix arbustorum.)
Fig. 4. The grey Field-Snail. (Limax agrestis.)
Fig. 5. The Duck Muscle (Mytilus anatinus.)
Fig. 6. The spiral pool-Shell. (Buccinum stagnale.)
Fig. 7. The marbled belly-Whelp. (Buccinum auriculatum.)
Ad00341 04 024a/freVers. VII. Vol. V. No. 22.
LIMAçONS D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. La Limace noire. (Limax ater.)
Fig. 2. L’Hélice Vignerone ou le Vigneron. (Helix pomatia.)
Fig. 3. L’Hélice des Jardins. (Helix arbustorum.)
Fig. 4. La Limace agreste. (Limax agrestis.)
Fig. 5. La Moule de rivière. (Mytilus anatinus.)
Fig. 6. Le Buccin des étangs. (Buccinum stagnale.)
Fig. 7. Le Buccin renflé. (Buccinum auriculatum.)
Ad00341 04 024a/itaRettili VII. Tom. V. No. 22.
LUMACHE TEDESCHE.
Fig. 1. La Lumaca nera. (Limax ater.)
Fig. 2. La Lumcaca vigna. (Helix pomatia.)
Fig. 3. La Lumaca d’Albero. (Helix arbustorum.)
Fig. 4. La Lumaca grigia del campo. (Limax agrestis.)
Fig. 5. Il Mitilo di Fiume. (Mytilus anatinus.)
Fig. 6. La Buccina chiocciola spirale. (Buccinum stagnale.)
Fig. 7. La Chiocciola marezzata. (Buccinum auriculatum.)
Ad00341 04 025aFig. 1. Die blaue Seerose. (Nymphaea caerulea.)~~Die schöne blaue Seerose, die viel Aehnlichkeit mit der berühmten Lotusblume hat, wächst in Aegypten am Nil, und an der Südspitze von Afrika, und ist seit kurzem erst bekannt. Sie treibt aus der Wurzel lange Blattstiele, an denen auf der Oberfläche des Wassers die grossen breiten herzförmigen pergamentartigen Blätter schwimmen, die glänzend dunkelgrün von Farbe sind. An eigenen Blütenstielen sitzt die schöne himmelblaue Blume, die drei bis vier Tage blüht, und aus langen lanzetförmigen Blättchen besteht. Den Tag über ist die Blume geöffnet, des Nachts verschliesst sie sich aber.~~Fig. 2. Die Aya-Pana. (Eupatorium Aya-Pana.)~~Die Aya-Pana ist eine merkwürdige wohlthätige Pflanze, die sich an den Ufern des Amazonenflusses in Südamerika findet. Nach den neuesten Erfahrungen ist sie nämlich das beste schnell wirkendste Mittel gegen den Biss giftiger Insekten und vielleicht auch Schlangen, und verdient deswegen in alle südliche Gegenden verpflanzt zu werden. Bei dem Gebrauche zerquetscht man die Pflanze, und legt sie mit dem Safte auf die verwundete Stelle, wo man bald Linderung verspürt. - Die Aya-Pana ist eine Art von Alpkraut, wird gegen 2 Fuss hoch, und dauert mehrere Jahre lang. Die langzetförmigen Blätter stehen an den röthlichen Stängeln einander gegenüber. Die purpurrothen Blüten sitzen straussförmig bei einander. Nach Frankreich ist die Aya-Pana für die Gewächshäuser bereits gebracht worden. -~~85
Ad00341 04 025a/engPlants XCIV. Vol. V. No. 23
REMARKABLE PLANTS.
Fig. 1. The Azur Water-Lilly. (Nymphaea caerulea.)
Fig. 2. The Aya-Pana. (Eupatorium Aya-Pana.)
Ad00341 04 025a/frePiantes XCIV. Vol. V. No. 23
PLANTES REMARQIABLES.
Fig. 1. Le Nénufar bleu. (Nymphaea caerulea.)
Fig. 2. L’Eupatoire Aya-Pana. (Eupatorium Aya-Pana.)
Ad00341 04 025a/itaPiante XCIV. Tom. V. No. 23
PIANTE SINGOLARI.
Fig. 1. La Ninfea azzurrina. (Nymphaea caerulea.)
Fig. 2. L’Aya-Pana. (Eupatorium Aya-Pana.)
Ad00341 04 026aWir hören so oft von der berühmten Bergfestung Gibraltar sprechen, dass es nicht ohne Interesse seyn wird, auf gegenwärtiger Tafel eine getreue Abbildung davon, nebst Beschreibung kennen zu lernen. - Die Stadt und Festung Gibraltar (Fig. 2.2.) liegt am Mittelländischen Meere auf der Südspitze der Spanischen Provinz Sevilla auf einem grossen Felsenberge, der 5200 Klaftern lang und 1500 Klaftern breit ist. Die kleine Stadt Gibraltar hat ohngefähr 3000 Einwohner, die aus Engländern, Irländern und Spaniern bestehen. Das Clima ist sehr heiss, und fast alle Zufuhr, da auf dem steilen Felsen nichts wächst, erhalten die Einwohner von der Seeseite. Vor Gibraltar macht das Mittelländische Meer eine grosse Bucht, wo dem Felsen gegenüber die Spanische Stadt Algeciras liegt. Das Mittelländische Meer ist bei Gibraltar am schmälsten, denn seine Breite bis zur gegenüberliegenden Afrikanischen Küste beträgt nur 4 bis 5 Stunden. Deswegen beherrscht dieser Felsen so zu sagen den Eingang des Meeres, und wird für den Seehandel von der grössten Wichtigkeit. Bis zum Jahre 1704 besassen die Spanier diese wichtige Festung. Da wurde sie aber von der Englischen Flotte des Admirals Rooc erobert, und seitdem sind die Engländer, trotz allen Versuchen der Wiedereroberung von Seiten der Spanier im Besitz geblieben. Die Engländer haben die Festungswerke von der Südspitze (4) bis zur Seiten nach Spanien zu (3) vergrössert und vermehrt. Dagegen haben die Spanier quer über die Erdzunge, die Gibraltar mit dem übrigen Spanien verbindet, starke Befestigungswerke (5) gezogen, worinne sie beständig Besatzung halten, damit die Engländer in Kriegszeiten von dieser Seite nicht so leicht in Spanien eindringen können. - Da wurde die Stadt Gibraltar durch die von dem Französischen Ingenieur Arçon erfundenen schwimmenden Batterien bombardirt, und ganz eingeäschert.~~Die schwimmenden Batterien (Fig. 1.) bestanden I. aus Flossschiffen von 210 Kanonen in doppelter Reihe übereinander, wo die Mannschaft durch das Dach geschützt wurde, II. aus ähnlichen Flossschiffen mit einer Reihe Kanonen. Beide Arten wurden durch vier grosse Ruder dirigirt. - Ausserdem brauchte man zur Beschiessung Kanonenbarquen mit einer Kanone (3) und Bomardirbarquen mit ein und zwei Mörsern (4 und 5).~~85
Ad00341 04 026a/engMiscell. Subj. LII. Vol. V. No. 24.
GIBRALTAR AND THE FLOATING BATTERIES.
Ad00341 04 026a/freMélanges LII. Vol. V. No. 24.
GIBRALTAR ET LES BATTERIES FLOTTANTES.
Ad00341 04 026a/itaMiscellanea LII. Tom V. No. 24.
GIBILTERRA E LE BATTERIE NOTANTI.
Ad00341 04 027aFig. 1. Die Mai-Rose (Rosa Majalis.)~~Die Mai-Rose heisst auch sonst noch die Zimmt-Rose, wegen ihres schönen zimmtbraunen Holzes, welches am ein- und zweijährigen Triebe wie die lichte Zimmtrinde aussieht. Sie blüht vor allen andern Rosen zuerst im Mai, davon sie auch die Mai-Rose heisst. Ihre Blume ist gefüllt, nicht über 2 Zoll im Durchmesser gross, dunkel carmesinroth getuscht, so dass es sich oft auf den Blättern bis ins Weisse verläuft. Ihr Strauch ist 5 bis 6 Fuss hoch, steigt gern in die Höhe, und bildet kleine Bäumchen von 7 bis 8 Fuss hoch. Sie ist einheimisch in Teutschland, wächst häufig wild in den Zäunen und auf Ackerrainen, und dauert unsere Winter sehr gut aus.~~Fig. 2. Die fleischfarbene Büschelrose. (Rosa umbellata, flore carneo.)~~Dies ist eine der schönsten Rosen, die man nur sehen kann. Ihre Blume ist gewöhnlich 4 Zoll im Durchmesser, oft noch weit grösser, stark gefüllt, aber unregelmässig gebaut, und von der höchst delicaten reizenden Fleischfarbe. Sie wächst büschelweise zu drei bis vier Blumen auf einem Stängel, daher sie auch die Büschelrose heist. Ihre Schönheit zeigt sich nur einen Tag, gleich nach dem Aufblühen, und sie verbleicht und zerflattert sehr bald. Ihr Strauch wird nicht über 4 Fuss hoch, hat zartes grünes Holz, und ist nicht sehr zärtlich in unsern Wintern.~~85
Ad00341 04 027a/engRoses. XI. Vol. V. No. 25.
TWO SPECIES OF ROSES.
Fig. 1. The May-Rose. (Rosa Majalis.)
Fig. 2. The umbellated incarnate Rose. (Rosa umbellata flore carneo.)
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Ad00341 04 027a/freRoses XI. Vol. V. No. 25.
ESPÈCES DE ROSES.
Fig. 1. La Rose de Canelle. (Rosa Majalis.)
Fig. 2. Le Rosier multiflore. (Rosa umbellata, flore carneo.)
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Ad00341 04 027a/itaRose XI. Tom. V. No.25.
DUE SORTE DI ROSE.
Fig. 1. La Rosa di Maggio (Rosa Majalis.)
Fig. 2. La Rosa moltiflora incarnata. (Rosa umbellata flore carneo.)
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Ad00341 04 028aDer Glaube an höhere Wesen, als Schöpfer und Erhalter des Weltalls wurde wohl bei den frühesten Völkern in Asien und Afrika zuerst durch die Betrachtung der himmlischen Körper, und vorzüglich durch den Einfluss der Sonne und des Mondes auf die Erde veranlasst. So war es auch bei den alten Aegyptiern, und hieraus entstand die Isis, Osiris, und sofort mehrere davon abgeleitete Gottheiten.~~Fig. 1. Isis~~Die Isis war eine weibliche Gottheit der Aegyptier, unter der sie sich den Mond oder die seegensreiche fruchtbringende Natur überhaupt dachten. - Die alte Fabel veradelte sie auch in ein wirkliches Weib, gab ihr zum Gemahl den Osiris, welche beide Aegypten glücklich beherrschten und aufklärten. Man bildete sie gewöhnlich als eine weibliche Figur ab, mit einer Binde auf dem Kopfe, deren Zipfel bis auf die Brust herabhängen. Dazu trägt sie einen kurzen Schurz. - Der Isisdienst verbreitete sich aus Aegypten nach Griechenland und Rom. Die ihr geheiligten Thiere waren die Kuh und die Pasan Antilope (Antilope Oryx.).~~Fig. 2. Isis und Horus.~~Orus oder Horus war der Sohn der Isis und des Osiris, und stellte das Symbol der Sonne zur Zeit der Sommerwende vor. Er wurde immer als Knabe vorgestellt, und erscheint hier auf dem Schoose seiner Mutter Isis. Fig. 3. Sehen wir ihn mit einem Discus oder einer Wurfscheibe auf dem Kopfe als Terme.~~Fig. 4. und 5. Osiris.~~Osiris, der Gemahl der Isis und Vater des Horus. In ihm verehrten die Aegyptier die Sonne, und nachher den Befruchter, den Vater der Natur. Dieses alles wurde auch auf das Steigen und Fallen des Nils, wovon Aegypten seine Furchtbarkeit erhält, angewenet. - Nach andern war er ein König, der mit der Isis Aegpten glücklich beherrschte. Osiris (als Princip des Guten) war im ewigen Kampf mit dem Typhon (Princip des Bösen). - Die gewöhnlichste Abbildung von Osiris ist Fig. 4. Hier scheint er mit einem Adler- oder Habichtskopfe, Ochenhörnern, und dazwischen auf einer Scheibe das Bild der Sonne. Bei Fig. 5 hat er einen Sperberkopf mit der Kappe bedeckt.~~Fig. 6. Serapis.~~Serapis, einer der ersten Aegyptischen Götter, war zuerst der Nilmesser, und dann das Symbol des fruchtbringenden Nils. Andere nehmen ihn für das Zeichen der Sonne unter einer gewissen Stellung. Der Serapisdienst war in Aegypten nur auf gewisse Gegenden eingeschränkt. Gewöhnlich wird er als eine bekleidete Juptiers-Statue mit dem Modius oder Scheffel auf dem Kopfe dargestellt.~~Fig. 7.und 8. Harpokrates.~~Harpokrates war gleichfalls eine Symbol der Sonne in dem Winter-Solstitium. Weil im Winter alle Kräfte der Natur zu ruhen oder zu schweigen scheinen, so bildete man ihn als Jüngling ab, mit dem Finger am Mund; hieraus entstand der Gott des Stillschweigens. Als fruchtbringendes Bild der Sonne hatte er oft das Füllhorn Fig. 7. Auch sah man ihn mit Lotusblumen umgeben (Fig. 8.), der ersten Blume, die nach dem Winter im Frühjahr sich zeigt.~~86
Ad00341 04 028a/engAntiquities XIV. Vol. V. No. 26.
EGYPTIAN DEITIES.
Fig. 1. Isis.
Fig. 2. Isis and Horus.
Fig. 4. and 5. Osiris.
Fig. 6. Serapis.
Fig. 7. and 8. Harpocrates.
Ad00341 04 028a/freAntiquités XIV. Vol. V. No. 26.
DIVINITÉS ÉGYPTIENNES.
Fig. 1. Isis.
Fig. 2. Isis et Horus.
Fig. 4. et 5. Osiris.
Fig. 6. Sérapis.
Fig. 7. et 8. Harpokrates.
Ad00341 04 028a/itaAntichita XIV. Tom. V. No. 26.
DIVERSI NUMI DELL‘ EGITTO.
Fig. 1. Iside.
Fig. 2. Oro.
Fig. 4. e 5. Osiride.
Fig. 6. Serapi.
Fig. 7. e 8. Arpocrate.
Ad00341 04 029aDer Götzendienst der Aegyptier gieng so weit, dass man verschiedene Thierarten als Götter verehrte, und ihnen Tempel erbauete. Beispiele davon sehen wir auf gegenwärtiger Tafel.~~Fig. 1. Apis.~~Apis, der geheiligte Stier, war das Bild des fruchtbringenden Nils. Man verehrte ihn unter einem lebendigen Stiere, der zu Memphis einen prächtigen Tempel hatte. Dieser Stier musste ganz schwarz mit einigen weissen Flecken seyn. In seinem Tempel hatter er zwei Kapellen, wo er auf köstlichen Decken ruhte, und das beste Futter bekam. Er hatte seine eigenen Priester, und diente dem Volke als Orakel. Starb der Apis, so legte das ganze Land Trauer an, bis ein anderer gleichgezeichneter Stier sich fand. Dieser wurde zuerst nach Heliopolis, und von da in einem vergoldeten Käfich nach Memphis gebracht.~~Fig. 2. und 3. Bubastis.~~Bubastis oder die heilige Katze hatte zu Bubastus ihren Tempel. Sie war wie die Isis ein Symbol des Mondes, und man gab sie dahr für eine Tochter der Isis an. Das ganze Katzengeschlecht war daher den Aegyptiern heilig. Man verehrte die Bubastis als Göttin unter der Gestalt einer Katze (Fig. 2.) oder sie war als eine weibliche Figur mit einem Katzenkopfe angebildet.~~Fig. 4. Anubis.~~Anubis soll ein Sohn des Osiris und der Mephthys gewesen seyn, und galt für ein Sinnbild der Sonne. Im war das Hundegeschlecht geheiligt, weswegen er gewöhnlich als ein staatlicher Mann mit einem Hundskopfe abgebildet wurde. Durch den Anubis bezeichneten die Aegyptier auch den Planeten Merkur, und er erhielt bei den Römern, die seinen Dienst auch annahmen, oft den Merkurstab.~~Fig. 5. Canopus.~~Zu Canopus oder Canobus, einer Aegyptischen Stadt am Ausflusse des Nils, verehrte man eine Gottheit, die als ein bauchiger Krug zum Filtriren des Nilwassers mit einem menschlichen Kopf und Händen abgebildet wurde. Wahrscheinlich war das Ganze ein Sympbol des fruchtbringenden Nils.~~Fig. 6. Der Ibis.~~Der Ibis, aus dem Geschlechte der Sumpfvögel, genoss bei den Aegyptiern auch göttliche Ehre, und erscheint mit ausgebreiteten Flügeln auf Denkmälern abgebildet. Nach dem Tode balsamirte man diese heiligen Vögel ein, und setzte sie in den Grabgewölben bei. In neuern Zeiten hat man viele solcher Ibis-Mumien in Aegypten gefunden.~~86
Ad00341 04 029a/engAntiquities XV. Vol. V. No. 27.
EGYPTIAN DEITIES.
Fig. 1. Apis.
Fig. 2. et 3. Bubastis.
Fig. 4. Anubis.
Fig. 5. Canopus.
Fig. 6. Ibis
Ad00341 04 029a/freAntiquités XV. Vol. V. No. 27
DIVINITÉS ÉGYPTIENNES.
Fig. 1. Apis.
Fig. 2. et 3. Bubastis.
Fig. 4. Anubis.
Fig. 5. Canopus.
Fig. 6. L’Ibis.
Ad00341 04 029a/itaAntichità XV. Tom. V. No. 27.
DIVERSI NUMI DELL EGITTO.
Fig. 1. Apis.
Fig. 2. et 3. Bubasti.
Fig. 4. Anubi.
Fig. 5. Canopo.
Fig. 6. L’Ibi
Ad00341 04 030aDie sogenannten Naturspiele dürfen nicht mit den Versteinerungen verwechselt werden. Letztere sind ursprünglich im Mineralreiche fremdartige Körper, die durch frühere Erdrevolutionen in die damals noch weiche Steinmasse kamen, und in ihr jetzt von dem Steinkörper umschlossen oder auch durchdrungen gefunden werden. - Die Naturspiele hingegen sind wahre Mineralien, die nur durch mancherlei Zufälle Formen aus den zwei organisirten Naturreichen nachahmen, oder wohl gar menschlichen Kunstwerken gleichen. Dahin gehören die Dendriten, die Tropfsteinhöhlen, der Florentiner Ruinen-Marmor u.a.m.~~Von den Tropfsteinbildungen sehen wir auf folgender Tafel No. 29. ein merkwürdiges Beispiel, auf gegenwärtiger wollen wir einige andere Naturspiele kennen lernen.~~Fig. 1. und 2. Dendriten.~~Die Dendriten sind Zeichnungen, die sich in Form von kleinen zierlichen Bäumchen und Pflanzen auf mehreren Mineralien finden. Am häufigsten sieht man sie aber auf dem sogenannten Mergelschiefer, einer Mischung von Kalk, Thon und Sand, der Flöze in der Erde bildet, und sich in schieferige Platten spaltet. Auf diesen bemerkt man häufig die bei Fig. 1. und 2. angegebenen dendritischen Zeichnungen, die bald röthlich, braun oder schwarz aussehen. - Die Entstehung dieser Zeichnungen ist noch sehr räthselhaft; die wahrscheinlichste Erklärung ist folgende: Es sind metallische (meistens Eisen-) Auflösungen, die sich in der Erde bilden, und in die Klüfte des schieferartigen Steins dringen, wo sie aus eigenthümlicher Kraft und Eigenschaft jene zierlichen Zeichnungen bilden, wie wir dieses auch am Silber- oder Dianenbaum sehen.~~Fig. 3. Florentiner Ruinen Marmor.~~Der Ruinen-Marmor, der in der Gegend der Stadt Florenz in Italien gebrochen wird, gehört zu den interessantesten Naturspielen, denn er ahmt in seinen Zeichnungen die Ruinen alter Burgen, Schlösser und Städte so nach, dass man ihn für ein Kunstproduct halten sollte, was er nicht ist. Wir sehen hier ein schönes angeschliffenes Stück davon. Der Ruinen-Marmor ist mergelartig, denn er besteht aus Thon und Kalk, und dieses gab zu seiner Bildung Anlass. Da sich nämlich diese Steinmasse aus dem Wasser absetzte, und verhärtete, so zerspaltete sie sich in viele Blätter und Risse. Durch diese zog nachher eine bräunliche Eisenauflösung, verband sie mit einander, und bildete so diese ruinenähnlichen Zeichnungen. - Der Ruinen-Marmor bildet keine Felsenmassen, sondern findet sich bloss in dünnen Schichten zwischen grauem dichtem Kalkstein.~~86
Ad00341 04 030a/engMiscell. Sub. LIII. Vol. V. No. 28.
LUSUS NATURAE.
Fig. 1 and 2. Dendrites.
Fig. 3. The Florence Marble.
Ad00341 04 030a/freMélanges LIII. Vol. V. No. 28.
JEUX DE LA NATURE.
Fig. 1. und 2. Des Dendrites.
Fig. 3. Le Marbre figuré de Florence.
Ad00341 04 030a/itaMiscellanea LIII. Tom V. No. 28.
LUDI DELLA NATURA.
Fig. 1. e 2. Dendrite.
Fig. 3. Il Marmo di Firenza.
Ad00341 04 031aFig. 1. Eine Parthie der Rosenmüllers-Höhle bei Muggendorf.~~In der Nähe des Ortes Muggendorf im Bambergischen in Franken finden sich mehrere merkwürdige Höhlen, in welchen der Tropfstein, ein durch das Wasser abgesetzter Kalksinter, viele sonderbare Naturspiele bildet, wie wir in der vorhergehenden Nummer sagten. Die grösste und schönste dieser Höhlen wurde erst vor 12 Jahren von einem Einwohner von Muggendorf entdeckt, und nach dem ersten Reisenden, der sie besuchte, dem Hrn. Professor Rosenmüller dem jüngern aus Leipzig, benannt. Durch eine enge Oeffnung an einer Felsenwand steigt man auf einer Leiter in die Höhle hinab. Man wandert nun bergan 150 Schritt bis an das Ende der Höhle. Allenthalben bildet der Tropfstein Säulen, Pyramiden und Zapfen, die von oben herab hängen, und durch das Licht des Führers schauerlich beleuchtet, einen sonderbaren grauenvollen Anblick gewähren. - Allein der Führer führt den Reisenden noch weiter durch eine Schlucht, die so eng ist, dass man auf dem Bauche hindurch schlüpfen muss, in die Wachskammer (fig. 2.) In diesem 18 Fuss langen und 8 Fuss breiten Gewölbe hat nun die Natur in gelblichen Tropfstein (daher der Name Wachskammer) die schönsten Stalaktiten-Figuren gebildet. Dem erstaunten Blicke zeigen sich ganze Massen übereinander gethürmter Säulen. Von der Decke hängen zahllose Tropfstein-Zapfen herab, die verbunden wie drohende Wolken auf den Zuschauer herabzustürzen scheinen. Rechts hat sich eine Tropfsteinsäule der Decke mit dem Boden vereinigt, und in der Mitte glänzt eine grosse runde Masse, vom heruntertropfenden Wasser benetzt, bei dem Fackelscheine wie Crystall. Hierzu kömmt noch das musikalische Getön, welches die auf den klingenden Tropfstein herabfallenden Wassertropfen hervorbringen. Alles dieses macht auf den Fremden einen überraschenden bleibenden Eindruck.~~86
Ad00341 04 031a/engMiscell. Sub. LIV. Vol. V. No. 29.
REMARKABLE CAVES.
Fig. 1. The remarkable Rosenmüller’s Cave of Muggendorf.
Ad00341 04 031a/freMélanges LIV. Vol. V. No. 29.
GROTTES RAMARQUABLES.
Fig. 1. Une Partie de la Grotte de Rossenmüller près Muggendorf.
Ad00341 04 031a/itaMiscellanea LIV. Tom V. No. 29.
REMARCHEVOLI CAVERNE.
Fig. 1. La Caverna di Rosenmüller vicino di Mussendorf.
Ad00341 04 032aFig. 1. Die gemeine Montsrose. (Rosa Damascena communis.)~~Die Damascener-Rose, davon wir mehrere Sorten haben, heisst auch gewöhnlich die Monatsrose, nicht etwa weil sie alle Monate blüht, sondern weil sie oft in verschiedenen Monaten blüht, und sich auch im Winter sehr gut treiben lässt. Sie hat einen kleinen zarten Strauch, grünes Holz, und ziemlich grosse dunkelgründe gefiederte Blätter. Ihre Blume hält ohngefähr 3 Zoll im Durchmesser, ist flatterig gebaut, und blassroth von Farbe. Sie ist die wohlriechendste unter allen Rosenarten, und deswegen sehr beliebt. Wir werden noch mehrere Sorten von dieser schönen Rose kennen lernen.~~Fig. 2. Die gestreifte Bandrose. (Rosa versicolor.)~~Die gestreifte Bandrose gehört zu den halbgefüllten Rosen, und ist eine schöne sehr ansehnliche Blume, 4 bis 5 Zoll im Durchmesser gross, und ist karmesinroth und weiss gestreift; daher sie auch ihren Namen, die Brandrose, erhalten hat. Ihr Strauch ist nicht über 3 Fuss hoch, hat grünes Holz, und ziemlich grosse dunkelgrüne gefiederte Blätter. Sie ist etwas zärtlich für unsere Winter, und erfriert leicht bei starkem Froste.~~86
Ad00341 04 032a/engRoses XII. Vol. V. No. 30.
TWO SPECIES OF ROSES.
Fig. 1. The common Damask-Rose. (Rosa Damascena communis.)
Fig. 2. The striped Ribbandrose. (Rosa versicolor.)
Ad00341 04 032a/freRoses XII. Vol. V. No. 30.
ESPÈCES DE ROSES.
Fig. 1. Le Rosier de Damas. (Rosa Damascena communis.)
Fig. 2. La Rose rayée. (Rosa versicolor.)
Ad00341 04 032a/itaRose XII. Tom V. NO. 30.
DUE SORTE DI ROSE.
Fig. 1. La Rosa commune Damaschina. (Rosa Damascena communis.)
Fig. 2. La Rosa rigata. (Rosa versicolor.)
Ad00341 04 033aDie alten Griechen und Römer verehrten in ihren Tempeln zweierlei Wesen; erstens, eigentliche Götter, welches bloss idealische Wesen, und Halbgötter oder Heroen, welche vergötterte Menschen waren. Von beiden hatten sie eine beträchtliche Anzahl, und jede ihrer Gottheiten hatte ihre bestimmte Gestalt und Attribute, die sie characterisirten, und von allen andern auszeichneten, wie wir aus folgenden Abbildungen sehen werden.~~Fig. 1. Kronos und Rhea.~~Kronos und Rhea sind, nach der Fabellehre, die Urältern der Griechischen und Römischen höheren Götter. Kronos heisst und ist ein Sinnbild der Zeit, und Rhea der Natur. Kronos, (der bei den Römern auch Saturnus hiess) vermählte sich mit seiner eignen Schwester, der Rhea, und erzeugte mir ihr die Hauptgottheiten, Vesta, Ceres, Juno, Pluto, Neptun und Jupiter. Kronos beherrschte die ganze Welt; weil er aber befürchtete, von seinen Kindern entthronet zu werden, so verschlung er selbst jedes seiner neugebornen Kinder. Rhea betrübte sich über diese Grausamkeit ihres Gemahls, und als sie den Jupiter geboren hatte, versteckte sie ihn in eine ferne Höhle, und reichte dem Kronos einen in Wendeln gewickelten Stein, den er statt des Jupiters verschlung. Eine symbolische Andeutung, dass die Zeit (Kronos,) Jahre, Monate und Tage etc. verschlingt und wieder erzeugt und gebiert.~~Fig. 2. Rhea.~~Rhea, die Götter-Mutter, sitzt hier als Göttin der Erde auf dem Throne, hat in der rechten Hand den Götterstab, und in der linken eine runde Scheibe, wie sich die Alten die Form der Erde dachten. Neben ihr sitzen zwei Löwen, als ihr geheiligte Thiere, und auf dem Kopfe hat sie eine Krone, in Form einer runden Mauer mit Thürmen, weil sie die Menschen zuerst lehrte Häuser zu bauen, und Städte anzulegen.~~Fig. 3. 4. 5. Jupiter.~~Die Alten dachten sich, und verehrten den Jupiter - oder Zeus der Griechen - als den höchsten Gott, und obersten Herrscher der ganzen Welt. Er war nach der Mythologie ein Sohn des Kronos und der Rhea. Als Herrscher der Welt hat er auch mancherlei Attribute. Hier sitzt er auf dem Throne, zu seinen Füssen der ihm geheiligte Adler, der auch sonst Jupiters Blitze in seinen Klauen trägt; in der linken hält er den Herrscherstab, und auf der rechten das kleine Bild einer krönenden Victoria.~~In fig. 4. ist Jupiter im Kampfe mit den Giganten oder Riesen, welche den Himmel stürmen wollten, abgebildet; wie er sie auf seinem Donnerwagen fahrend, mit seinen Blitzen zerschmettert. - Als Jupiter-Ammon wurde er in Lybien und Egypten als Beschützer des Getraidebaues und der Schaafszucht verehrt, und ihm die Attribute davon gegeben; nämlich auf dem Kopfe ein Getraide-Maass, (Modius) und an beiden Schläfen Widderhörner, und eine Strahlenkrone, wie fig. 5. zeigt.~~Fig. 6. 7. Juno.~~Juno, die Gemahlin Jupiters, wurde als die Götter-Königin betrachtet und verehrt, und mit mancherlei Attributen abgebildet. Hier erscheint sie stehend, reich bekleidet, mit dem Diademe auf dem Haupte, in der rechten Hand den Herrscherstab, und in der linken eine Nectarschaale. Unter den Vögeln war ihr vorzüglich der Pfau geheiligt.~~So wie man der Juno verschiedene Geschäfte und Bestimmungen zuschrieb, unter so vielerlei Gestalten erschienen auch ihre Bildsäulen in ihren Tempeln. So hatte sie als Göttin Erhalterin (Juno-Sospita) eine ganz andere Gestalt, wie fig. 7. zeigt. Ihre Kleidung ist kriegerisch, in der rechten Hand eine Lanze, am linken Arme einen Schild, und über den Kopf und Rücken ist ein Ziegenfell geschlagen, welches auf der Brust und im die Hüften fest gebunden ist. Lauter Attribute ihrer Bestimmung als Juno Sospita.~~87
Ad00341 04 033a/engAntiquities XVI. Vol. V. NO. 31.
GREEK AND ROMAN DEITIES.
Fig. 1. Chronos and Rhea.
Fig. 2. Rhea.
Fig. 3. 4. and 5. Jupiter.
Fig. 6. and 7. Juno.
Ad00341 04 033a/freAntiquités XVI. Vol. V. No. 31.
DIVINITÉS DES GRECS ET DES ROMAINS.
Fig. 1. Chronos et Rhéa.
Fig. 2. Rhéa.
Fig. 3. 4. et 5. Jupiter.
Fig. 6. et 7. Junon
Ad00341 04 033a/itaAntichità XVI. Tom. V. No. 31.
DEITA DE‘ GRECI E ROMANI.
Fig. 1. Crono e Rea.
Fig. 2. Rea.
Fig. 3. 4. e 5. Giove.
Fig. 6. e 7. Junone.
Ad00341 04 034aFig. 1. Neptunus.~~Neptun, welchen die Griechen Poseidon nannten, war der Gott des Meeres, ein Sohn des Kronos und der Rhea, und Bruder des Jupiter. Er führt als Herrscherstab einen langen Dreizack, und wird oft abgebildet, wie er nackend in einem Muschelwagen stehend, von Pferden mit Fischschwänzen gezogen, auf dem Meere hinfährt. Er schuf das Ross, welches ihm auch als Thier geheiligt ist.~~Fig. 2. Ceres.~~Ceres - bei den Griechen Demeter - war die Göttin des Acker- und Getraidebaues, und gleichfalls eine Tochter des Kronos und der Rhea. Sie wurde als Beschützerin der Saat und Aerndte allenthalben verehrt, und gewöhnlich als eine reichgekleidete Matrone, in der rechten Hand einen Büschel Kornähren, in der linken aber einen Herrscherstab haltend, abgebildet.~~Fig. 3. 4. 5. Apollo.~~Apollo war ein Sohn des Jupiter und der Latona, und hatte nach der Mythologie mancherlei Verrichtungen, von welchen er auch verschiedene Namen, Abbildungen und Attribute erhielt. Er war der Erfinder der Leier und Musik, der Gott der Dichtkunst und der Musen, der Führer des Sonnenwagens, und der Erfinder des Bogens und der Pfeile. Die Mythologie hat von ihm eine Menge schöner allegorischer Fabeln und Dichtungen.~~Fig. 3. zeigt ihn als Apollo Pythius nackt, wie er, einen Bogen in der linken Hand haltend, mit dem ungeheurn Drachen Python kämpft, und ihn mit seinen Pfeilen erlegt.~~In fig. 4. ist er reich bekleidet, als Gott der Künste und Wissenschaften, auf einer Griechischen Leier spielend, mit einem Lorbeerkranze auf dem Haupte, abgebildet. Als solcher war ihm unter den Bäumen der Lorbeerbaum, und unter den Thieren der Rabe besonders geheiligt.~~In fig. 5. erscheint er als Sonne (Sol, Phöbus Apollo, Titan, Helios) oder Führer des Sonnenwagens, halbbekleidet, mit einer Strahlenkrone um das Haupt, in der linken Hand eine Kugel, und in der rechten ein Füllhorn haltend, neben ihm aber zwei Köpfe der Pferde, welche den Sonnenwagen zogen, abgebildet.~~87
Ad00341 04 034a/engAntiquities XVII. Vol. V. No. 32.
GREEK AND ROMAN DEITIES.
Fig. 1. Neptune.
Fig. 2. Ceres.
Fig. 3. 4. And 5. Apollo.
Ad00341 04 034a/freAntiquités XVII. Vol. V. No. 32.
DIVINITÉS DES GRECS ET DES ROMAINS.
Fig. 1. Neptune.
Fig. 2. Cerès.
Fig. 3. 4. 5. Apollon.
Ad00341 04 034a/itaAntichità XVII. Tom. V. No. 32.
DEITA DE‘ GRECI É ROMANI.
Fig. 1. Nettuno.
Fig. 2. Cere.
Fig. 3. 4. 5. Apollo.
Ad00341 04 035aFig. 1. 2. 3. Diana.~~Diana, bei den Griechen Artemis, war die Tochter Jupiters und Latonens, und Zwillingsschwester des Apollo. Sie hatte nach der Mythologie verschiedene Bestimmungen und Namen; denn 1) verehrte man sie als Göttin der Jagd. Als solche heisst sie immer Diana, und erscheint als im Laufe fortschreitend, mit einem aufgeschürzten kurzen Kleide, auf dem Rücken einen Köcher voll Pfeile, oft eine Lanze oder Bogen in der Hand, und neben ihr ein springender Hirsch, wie fig. 1. hier zeigt. 2) Als Führerin des Mondwagens, oder als Mond selbst, heisst sie Luna, und wird bekleidet, mit einem halben Monde auf dem Kopfe, auf einem Wagen stehend, dessen Pferde sich ins Meer stürzen, abgebildet (fig. 2.). 3) Als Diana von Ephesus scheint sie mit der Rhea einerlei, ein Sinnbild der fruchtbringenden Natur, und Aegyptischen Ursprungs zu sein. Dies zeigt auch fig. 3. ihre Abbildung; denn sie erscheint hier mit einer Menge Brüsten, als Ernährerin, unten als ein Bildstock, mit Hieroglyphen verziert, auf dem Kopfe das Getraide-Maass, den Modius, in beiden Händen Stäbe, und an jeder Seite steht ein Hirsch.~~Fig. 4. Vulcanus.~~Vulkan, der bei den Griechen Hephaestos hiess, war der Gott des Feuers, und aller Schmiede- und Metallarbeiten, welche durch das Feuer gemacht werden. Er war der Sohn Jupiters und der Juno, und der hässlichste unter den Göttern. Er wird gewöhnlich abgebildet als ein gemeiner Grobschmied, baarfuss, mit einem kurzen aufgeschürzten Gewande, einer Mütze auf dem Kopfe, und mit einem Schmiedehammer und Zange in den Händen. Obgleich er so hässlich und hinkend war, so war er doch der Gemahl der Venus, der schönsten unter den Göttinnen.~~Fig. 5. Minerva.~~Minerva bei den Griechen Pallas oder Athene, war das Kind Jupiters, und hatte eine wundervolle Geburt. Jupiter fühlte einen heftigen Schmerz im Gehirne, liess sich daher vom Vulkan den Kopf öffnen, und das sprang ein völlig mit Helm, Panzer und Lanze gerüstetes Mädchen heraus. Sie war die Göttin der Wissenschaften und eigentlichen Gelehrsamkeit, und der höheren Kriegskunst; und blieb ewig eine reine Jungfrau. Sie wird stets reich bekleidet, und mit Helm, Brustharnisch, Schild und Lanze abgebildet. Unter den Thieren war ihr besonders die Eule, als ein Bild der gelehrten Nachtwachen, geheiligt.~~87
Ad00341 04 035a/engAntiquities XVIII. Vol. V. No. 33.
DEITIES OF THE GREEKS AND ROMANS.
Fig. 1. 2. and 3. Diana.
Fig. 4. Vulcan.
Fig. 5. Minerva.
Ad00341 04 035a/freAntiquités XVIII. Vol. V. No. 33.
DIVINITÉS DES GRECS ET DES ROMAINS.
Fig. 1. 2. 3. Diane.
Fig. 4. Vulcain.
Fig. 5. Minerve.
Ad00341 04 035a/itaAntichità XVIII. Tom. V. No. 33.
DEITA DE‘ GRECI E ROMANI.
Fig. 1. 2. e 3. Diana.
Fig. 4. Volcano.
Fig. 5. Minerva.
Ad00341 04 036aFig. 1. Mars~~Mars, welcher sonst auch bei den Römern Mavors, und bei den Griechen Ares hiess, ist der Gott des Krieges, des wilden kriegerischen Muthes und der Schlachten; und wurde vorzüglich in Rom verehrt, weil die Römer von ihm abzustammen glaubten. Er wird meistens nackend, oder doch nur im kurzen Kriegsrocke, mit dem Helme auf dem Kopfe, und einer Lanze in der einen Hand, in der andern aber eine Trophee auf der Schulter tragend, vorgestellt. Er war Jupiters und der Juno Sohn, und hatte wegen seines heftigen, wilden Jähzornes immer eine Menge Händel und Kämpfe. Von den Thieren war ihm besonders der Hahn geheiligt.~~Fig. 2. u. 3. Venus.~~Venus, die Göttin der weiblichen Schönheit und der Liebe, hiess bei den Griechen Aphrodite, wurde vorzüglich in Griechenland hoch verehrt, und hatte besonders auf den Griechischen Inseln Knidos, Cythere und Cypern berühmte Tempel. Nach der Mythologie hatte sie keine Aeltern, sondern ward aus dem Schaume des Meeres geboren. Tritonen und andere Meergötter empfiengen sie, entzückt von ihrer Schönheit, sogleich, als sie den Fluten entstieg, und trugen sie auf einer grossen Muschel sitzend, und ihre schönen langen Haare trocknend, an das Ufer von Knidos, wie dies die Abbildung fig. 3. zeigt. Als Göttin und Ideal der weiblichen Schönheit und Reize wird Venus fast immer nackend, und in verschiedenen Stellungen abgebildet, und darnach benennt. Fig. 2. zeigt sie als die Schamhafte, oder sogenannte Mediceische Venus, weil die Familie Medicis in Florenz diese schöne und berühmte Statue von ihr besass. Gewöhnlich sieht man neben ihr ein Paar Turteltauben, oder eine Delphin, als die ihr gewiedmeten Thiere. Von allen ihren Kindern ist Amor, als Knabe der Gott der unschuldigen Liebe, am berühmtesten.~~Fig. 4. Amor.~~Amor, bei den Griechen Eros, der Sohn und Begleiter der Venus, war der Gott der Liebe, und wurde stets als ein geflügelter Knabe mit Bogen und einem Köcher voll Pfeile abgebildet. Nach der Mythologie beherrschte er alle Götter und Menschen, um die Allgewalt der Liebe dadurch anzuzeigen. Die gegenwärtige Abbildung ist von einer antiken Statue Amors genommen, wo er als ein grösserer Knabe seinen Bogen spannt.~~Fig. 5. Mercurius.~~Mercur, den die Griechen Hermes nannten, war Jupiters und der Maja Sohn, und wurde wegen seiner ausserordentlichen Schlauheit als der Gott des Handels und der Kaufleute, auch als der Götterbote verehrt. Seine Bildsäulen zeigen ihn gewöhnlich halbnackt, mit einem Flügelhute auf dem Kopfe und Flügelschuhen an den Füssen, einem geflügelten Heroldsstabe, mit 2 Schlangen umschlungen, in der einen, und einem Geldbeutel in der anderen Hand. Der Hahn und Widder sind die ihm geheiligten Thiere.~~87
Ad00341 04 036a/engAntiquities XIX. Vol. V. No. 34.
DEITIES OF THE GREEKS AND ROMANS.
Fig. 1. Mars.
Fig. 2. and 3. Venus.
Fig. 4. Cupid.
Fig. 5. Mercury.
Ad00341 04 036a/freAntiquités XIX. Vol. V. No. 34.
DIVINITÉS DES GRECS ET DES ROMAINS
Fig. 1. Mars.
Fig. 2. et 3. Vénus.
Fig. 4. L’Amour.
Fig. 5. Mercure.
Ad00341 04 036a/itaAntichità XIX. Tom. V. No. 34.
DEITA DE GRECI E ROMANI.
Fig. 1. Marte.
Fig. 2. e 3. Venere.
Fig. 4. Cupido.
Fig. 5. Mercurio.
Ad00341 04 037aFig. 1. u. 2. Pluto.~~Pluto war bei den Griechen und Räumern der Gott der Unterwelt, der abgeschiedenen Seelen, und des Geldes und Reichthums. Er war Saturns und der Rhea Sohn, und Jupiters Bruder. Sein ungeheurer Palast stund im Erebus oder Im Schattenreiche, vor welchem der dreiköpfige Höllenhund Cerberus Wache hielt. Vor demselben flossen die schwarzen Höllenflüsse, der Styx und Acheron vorbei, über welche der Höllenschiffer Charon die Verstorbenen übersetzte. Seine Gemahlin war die Proserpina, eine Tochter der Ceres, welche er raubte, und sie zur Königin der Unterwelt machte. Merkur führte ihm die Seelen der Abgeschiedenen aus der Oberwelt zu, wie das antike Basrelief fig. 2. zeigt, wo er mit Proserpinen auf dem Throne sitzt, und die Seelen empfängt. Man bildet ihn fast wie den Jupiter mit ernster Miene auf dem Throne sitzend, mit dem Herrscherstabe in der Linken, und neben ihm Cerberus mit einer Schlange umgürtet, ab.~~Fig. 3. Vesta.~~Vesta, welche bei den Griechen Hestia hiess, war Saturns und der Rhea Tochter, hatte eine ewige Jungfrauenschaft und Keuschheit gelobt, und war die Göttin des ewigen heiligen Feuers, welches daher auch stets von reinen Jungfrauen, ihren Priesterinnen, (welche daher Vestalinnen hiessen) auf dem Altare in ihren Tempeln erhalten wurde. Sie wird daher stehend, reich bekleidet, in der linken Hand den Herrscherstab, und in der rechten eine Lampe, als Sinnbild des heiligen Feuers, haltend, abgebildet.~~Fig. 4. u. 5. Bacchus.~~Bacchus war bei den Alten der Gott des Weins und Weinbauens, und nach der Fabellehre ein Sohn Jupiters. Man hatte aber einen doppelten Bacchus, nämlich den Griechischen und den Indischen. Der Griechische Bacchus war eigentlich der Gott des Weins, und der Indische mehr ein weiser Gesetzgeber und Regent. Jener wurde als ein schöner nackter Jüngling, das Haupt mit Weinlaube bekränzt, um die Schultern ein Ziegenfell hängend, und neben ihm ein Weinstock stehend, abgebildet; letzterer aber als ein älterer Mann, von hoher Würde, mit langem Barte, einem Diademe in den Haaren, und einer Rolle in der Hand, weil er den Indiern zuerst Gesetze und Cultur gegeben haben soll. Die Faunen und Bacchantinnen, so wie auch der alte Silenus waren seine Begleiter, so wie auch die Panther und Tiger die ihm geheiligten Thiere.~~87
Ad00341 04 037a/engAntiquities XX. Vol. V. No. 35.
GREEK AND ROMAN DEITIES.
Fig. 1. and 2. Pluto.
Fig. 3. Vesta.
Fig. 4. and 5. Bacchus.
Ad00341 04 037a/freAntiquités XX. Vol. V. No. 35.
DIVINITÉS DES GRECS ET DES ROMAINS.
Fig. 1. et. 2. Pluton.
Fig. 3. Vesta.
Fig. 4. et 5. Bacchus.
Ad00341 04 037a/itaAntichità XX. Tom. V. No. 35.
DEITA DE‘ GRECI E ROMANI.
Fig. 1. e 2. Plutone.
Fig. 3. Vesta.
Fig. 4. e 5. Bacco.
Ad00341 04 038aFig. 1. Hercules.~~Der Erste und berühmteste der Römischen und Griechischen Halbgötter, oder Heroen, ist Hercules, der bei den Griechen Herakles hiess. Er war der Sohn Jupiters und der Alkmene, einer Sterblichen, und bei den Alten, die ihm eine Menge grosser Thaten zuschreiben, eigentlich das Symbol der grössten männlichen Kraft, körperlichen Stärke, und höchsten Muthes. Er wird daher in seinen Bildsäulen als ein grosser starker Mann, fast nackend, um die Schultern eine Löwenhaut hängend, und in der einen Hand eine starke knotige Keule, sein beständiges Zeichen, führend, vorgestellt. Oft trägt er auch ein Kind auf dem linken Arme.~~Fig. 2. Aesculapius.~~Aesculap, Apolls und der Sterblichen, Coronis, Sohn, gehörte gleichfalls zu den Halbgöttern, und war bei den Alten der Gott der Heilkunde und Aerzte. Die Schlange, als das Symbol der Genesung oder Gesundheit, war ihm geheiligt; daher man auch den Aesculap nie anders als mit einem Stabe, oder einer Keule, von einer Schlage umschlungen, abgebildet findet. Uebrigens stellte man ihn als einen alten starken bärtigen Mann, mit einem schönen weiten Gewande bekleidet, aber immer mit dem Schlangenstabe in der Hand, vor.~~Fig. 3. Hygiea.~~Hygiea, die Göttin der Gesundheit, war Aesculaps Tochter, und fast immer seine Gefährtin. Sie wird als eine schöne reichbekleidete Jungfrau, mit einem Diademe in den Haaren, und einer Schlange um den linken Arm gewunden, welche sie aus einer Schaale füttert (denn auch ihr Symbol war die Schlange) abgebildet. Oft wurden auch ihre Altäre bloss mit einer Schlange bezeichnet, und sie selbst unter diesem Sinnbilde verehrt.~~Fig. 4. Vertumnus.~~Vertumnus war bei den Römern der Gott der wechselnden Jahreszeiten, besonders aber des Herbstes. Man stellte ihn daher auch als einen bärtigen Mann, fast ganz nackend, mit einem Schilfkranze um den Kopf, einem Thierfelle um die Schultern, in welchem er reife Obstfrüchte trug, in der rechten Hand ein Winzermesser, und in der linken einen Hirtenstock haltend, vor. Pomona, die Göttin des Obstes, war seine Gemahlin.~~Fig. 5. Flora.~~Flora, die Göttin der Blumen, und des Frühlings, bei den Römern, wurde als eine schöne, reichbekleidete Nymphe, mit einem Blumenkranze in der einen Hand, vorgestellt. Sie hatte in Rom einen eigenen Tempel, und im Frühjahre besondere ihr geweihte Feste, welche die Floralien hiessen.~~88
Ad00341 04 038a/engAntiquities XXI. Vol. V. No. 36.
GREEK AND ROMAN DEITIES.
Fig. 1. Hercules.
Fig. 2. Esculapius.
Fig. 3. Hygieja.
Fig. 4. Vertumnus.
Fig. 5. Flora.
Ad00341 04 038a/freAntiquités XXI. Vol. V. No. 36.
DIVINITÉS DES GRECS ET DES ROMAINS.
Fig. 1. Hercule.
Fig. 2. Esculape.
Fig. 3. Hygièe.
Fig. 4. Vertumne.
Fig. 5. Flore.
Ad00341 04 038a/itaAntichità XXI. Tom. V. No. 36.
DEITA DE‘ GRECI E ROMANI.
Fig. 1. Ercole.
Fig. 2. Esculapio.
Fig. 3. Hygieja.
Fig. 4. Vertunno.
Fig. 5. Flora.
Ad00341 04 039aDie neun Musen.~~Die Musen waren Töchter des Jupiter und der Mnemosyne, die Göttinen der Wissenschaften und schönen Künste, und beständige Begleiterinnen des Apollo, als ihres Führers. Sie wurden als schöne reichbekleidete Jungfrauen vorgestellt, deren jede die Vorsteherin einer eignen Kunst war, davon sie ihr Kennzeichen trug.~~Fig. 1. Clio.~~Die Muse der Geschichte sitzt hier auf einem Felsenstücke, und hat eine halbgeöffnete Bücherrolle, als ihr Attribut, in den Händen.~~Fig. 2. Euterpe.~~Die Muse der Musik, gleichfalls sitzend, mit einem reichen weiten Gewande bekleidet, trägt eine Flöte in der einen Hand.~~Fig. 3. Thalia.~~Die Muse des Lustspiels, sitzt, reichbekleidet, auf einem Felsen, auf welchem neben ihr eine komische Theater-Maske liegt. In der Rechten hat sie einen Hirtenstock und in der Linken eine kleine Schellentrommel, als Zeichen des ländlichen Ursprungs des Lustspiels.~~Fig. 4. Melpomene.~~Die Muse des Trauerspiels, steht, mit einer langen Tunika, und einem Mantel bekleidet, in einer edlen Stellung, und trägt eine tragische Maske in der einen Hand.~~Fig. 5. Terpsichore.~~Die Muse des Tanzes, sitzt hier, und ist wie die übrigen Musen bekleidet; macht aber auf einer antiken Lyra die Musik zum Tanze.~~Fig. 6. Erato.~~Die Muse der Poesie überhaupt, besonders aber der Liebeslieder. Sie steht, und spielt zu ihrem Gesange auf einer Cithara.~~Fig. 7. Polyhymnia.~~Die Muse der dramatisch-lyrischen Poesie, wird von den Alten, ohne äusseres Kennzeichen und Attribut, bloss, in ein langes reiches Gewand gekleidet, welches die rechte aufgehobenen Hand trägt, und mit einem Lorbeerkranze um den Kopf, abgebildet.~~Fig. 8. Urania.~~Die Muse der Sternkunde, ist sitzend, oberhalb sehr leicht bekleidet, hat auf dem Kopfe ein Paar Federn in die Haare gesteckt, und trägt in der linken Hand eine Himmelskugel, in der Rechten aber ein Stäbchen, mit welchem sie auf die Kugel zeigt.~~Fig. 9. Calliope.~~Die Muse des Heldengedichts oder der Epopee. Die Alten hielten sie für die Vornehmste der Musen, und bildeten sie sitzend ab, mit aufgestütztem Arme, und in der andern Hand eine Tuba, oder ein Buch so haltend, als läse sie darinne. Dies sind ihre gewöhnlichen Attribute.~~88
Ad00341 04 039a/engAntiquities XXII. Vol. V. No. 37.
GREEK AND ROMAN DEITIES.
The nine Muses.
Fig. 1. Clio.
Fig. 2. Euterpe.
Fig. 3. Thalia.
Fig. 4. Melpomène.
Fig. 5. Terpsichore.
Fig. 6. Erato.
Fig. 7. Polyhymnia.
Fig. 8. Urania.
Fig. 9. Calliope.
Ad00341 04 039a/freAntiquités XXII. Vol. V. No. 37.
DIVINITÉS DES GRECS ET DES ROMAINS.
Les neuf Muses.
Fig. 1. Clio.
Fig. 2. Euterpe.
Fig. 3. Thalia.
Fig. 4. Melpomène.
Fig. 5. Terpsichore.
Fig. 6. Erato.
Fig. 7. Polyhymnie.
Fig. 8. Uranie.
Fig. 9. Calliope.
Ad00341 04 039a/itaAntichità XXII. Tom. V. No. 37.
DEITA DE‘ GRECI E ROMANI.
Le nove Muse.
Fig. 1. Clio.
Fig. 2. Euterpe.
Fig. 3. Thalia.
Fig. 4. Melpomène.
Fig. 5. Terpsichore.
Fig. 6. Erato.
Fig. 7. Polyhymnia.
Fig. 8. Urania.
Fig. 9. Calliope.
Ad00341 04 040aFig. 1. Die violette Anemone. (Anemone pulsatilla. L.)~~Die violette Anemone ist allerdings eine Giftpflanze, die, obgleich sie auch den Aerzten als eine Arznei dient, bei unvorsichtigem Gebrauche sehr gefährlich werden kann. Sie wächst in ganz Teutschland, so wie im nördlichen Europa wild, auf dürren sonnigen Plätzen in Wäldern, und dauert mehrere Jahre hindurch. Im Frühjahre kommen zuerst die Blumen, und hernach die Blätter hervor. Die Blume ist schön dunkelviolett, und hat fast die Gestalt einer kleinen Tulpe, innerhalb aber hat sie einen grossen Büschel goldgelber Staubgefässe, welches ihr ein schönes Ansehen giebt. Stengel und Blumenkelche sind mit einem feinen silbergrauen Filze überzogen. Im Herbste verschwindet die ganze Pflanze über der Erde, und bloss die Wurzel bleibt gut, und schlägt im Frühjahre wieder aus.~~Fig. 2. Der Gift-Lattich. (Lactuca virosa. L.)~~Der Giftlattich gehört zum Geschlechte der Sallate, und wächst wild in Teutschland an de Zäunen und Gräben. Er blühet im Julius und August gelb, wie der Garten-Salat, und hat einen weissen scharfen Milchsaft, welcher hervordingt, wenn man ein Blatt zerreisst, bitter schmeckt, und einen starken betäubenden Geruch hat. Man muss sich daher vor dieser Pflanze sehr hüten.~~88
Ad00341 04 040a/engPlants XCV. Vol. V. No. 38.
GERMAN POISONOUS PLANTS.
Fig. 1. The Violet-Anemone. (Anemone pulsatilla.)
Fig. 2. The venomous Lettice. (Lactuca virosa.)
Ad00341 04 040a/frePlantes XCV. Vol. V. No. 38.
PLANTES VÉNÉNEUSES D’ALLEMANGE.
Fig. 1. L’Anémone violette. (Anemone pulsatilla.)
Fig. 2. La Latue vénéneuse. (Lactuca virosa.)
Ad00341 04 040a/itaPiante XCV. Tom V. No. 38.
PIANTE VELENOSE DELLA GERMANIA.
Fig. 1. L’Anemone violetto. (Anemone pulsatilla.)
Fig. 2. IL latuga velenoso. (Lactuca virosa.)
Ad00341 04 041aFig. 1. Die schnakenfüssige Rüsselmilbe (Trombidium phalangioides.)~~Diese Rüsselmilbe, welche hier in ihrer natürlichen Grösse, und sehr vergrössert abgebildet ist, lebt im Walde unter dem Moose und trocknen Laube; hat 8 Beine und einen roth und schwarzen haarigen Leib.~~Fig. 2. Die Gauckler-Wasserspinne (Hydrachne histrionica.)~~Ist in der Natur so klein, dass man sie kaum mit blossen Augen erkenne kann. Sie sieht roth und schwarz aus, und lebt im Sommer in schlammigen Wassergraben.~~Fig. 3. Die scheerenfüssige Milbe. (Acarus chelopus.)~~Dies Insect ist ebenfalls unendlich klein, aschgrau und schwarz von Farbe, und hat an seinen beiden Hinterfüssen Scheeren, mit welchen es sich festhält. Es lebt auf der Haut kleiner Vögel.~~Fig. 4. Die Tauben-Sägemilbe. (Rhynchoprion columbae.)~~Die Tauben-Sägemilbe ist ziemlich gross, violetbraun und schön gezeichnet. Sie findet sich auf den Haustauben, und besonders auf den Jungen derselben, oft in so grosser Menge, dass diese davon sterben.~~Fig. 5. Der rothgelbe Schnakenfuss. (Phalangium rufum.)~~Dies kleine Insect lebt in Wäldern an den Stämmen alter Bäume, hat einen rothgelben Leib, und 8 sehr lange dünne Beine, und sieht fast aus wie eine langbeinige Spinne.~~Fig. 6. Der Schmarotzer-Scheerenträger. (Chelifer parasita.)~~Dies Insect, welches viele Aehnlichkeit mit dem Scorpione hat, heisst auch sonst der Bücher-Scorpion, weil man es häufig in alten Büchern findet. Es sieht rothbraun aus, hat 8 Beine, einen länglich runden Leib, und vorn ein Paar lange Scheeren, wie der Scorpion.~~Fig. 7. Die zweigliedrige Flohmilbe. (Phthiridium biarticulatum.)~~Diese Milbe lebt als ein Schmarotzerthier vorzüglich auf den Fledermäusen, hat 6 Beine, und an diesen doppelte scharfe Haaken, und ist sehr sonderbar gestaltet.~~Fig. 8. Das Stöhr-Scheermaul. (Dichelesthium Sturionis.)~~Dies Schmarotzerinsect lebt vorzüglich auf der Haut des Stöhrs, sieht gelb röthlich aus, und hat fast gar keine sichtbaren Beine und Kopf. Demungeachtet bewegt es sich sehr lebhaft und leicht.~~Fig. 9. Der Delphin-Schiffer. (Argulus Delphinus.)~~Auch dies Insect lebt im Wasser und auf der Haut, besonders der Flussfische. Es hat 8 Doppelbeine, einen runden scheibenförmigen Körper, welcher grünlich aussieht, und schwarz punctirt ist. Es schwimmt gut, und setzt sich daher sehr leicht an alle Fische an.~~88
Ad00341 04 041a/engInsects XXXIII. Vol. V. No. 39.
REMARKABLE INSECTS.
Fig. 1. The Tant. (Trombidium phalangioides.)
Fig. 2. The Scarlet Water-mite. (Hydrachne histrionica.)
Fig. 3. The louse of the birds. (Acarus chelopus.)
Fig. 4. The dove’s Tick. (Rhynchoprion columbae.)
Fig. 5. The Carter. (Phalangium rufum.)
Fig. 6. The Scorpion-Tick (Chelifer pratsita.)
Fig. 7. The bat’s Tick. (Phthiridium biarticulatum.)
Fig. 8. The sturgeion’s Louse. (Dichelesthium Sturionis.)
Fig. 9. The Water-flea. (Argulus Delphinus.)
Ad00341 04 041a/freInsectes XXXIII. Vol. V. No. 39.
DES INSECTES SINGULIERS:
Fig. 1. La Mitte satinée terrestre. (Trombidium phalangioides.)
Fig. 2. La Mitte aquatique rouge. (Hydrachne histrionica.)
Fig. 3. La Mitte des moineaux. (Acarus chelopus.)
Fig. 4. La tique des pigeons. (Rhynchoprion columbae.)
Fig. 5. Le faucheur rouge. (Phalangium rufum.)
Fig. 6. Le faux Scorpion. (Chelifer parasita.)
Fig. 7. La Tique de la Chauvesouris. (Phthiridium biarticulatum.)
Fig. 8. La Mitte de l’acipe. (Dichelesthium Sturionis.)
Fig. 9. Le Monocle à coquille. (Argulus Delphinus.)
Ad00341 04 041a/itaInsetti XXXIII. Tom. V. No. 39.
INSETTI RIMARCHEVOLI.
Fig. 1. L’Acaro di color rosso. (Trombidium phalangioides.)
Fig. 2. La Zecca aquatica. (Hydrachne histrionica.)
Fig. 3. L’Acaro degli uccelli. (Acarus chelopus.)
Fig. 4. La Zecca vicina. (Rhynchoprion columbae.)
Fig. 5. Il Falangio. (Phalangium rufum.)
Fig. 6. Il Falangio Scorpione. (Chelifer parasita.)
Fig. 7. L’Acaro die pipistrelli. (Phthiridium biarticulatum.)
Fig. 8. La Zecca di Sturione. (Dichelesthium Sturionis.)
Fig. 9. Il Monoculo. (Argulus Delphinus.)
Ad00341 04 042aFig. 1. Der blaue Schillervogel. (Papilio Nymphalis gemmata, Iris.)~~Dieser Schmetterling lebt in Teutschland, und ist einer unsrer schönsten Tagfalter. Er ist mit ausgebreiteten Flügeln 4 Zoll breit. Fig. A zeigt ihn auf der Ober- und B auf der Unterseite. Auf der Oberseite ist die Grundfarbe der Flügel braun, und der eine Flügel schillert, wenn man den Schmetterling etwas schief betrachtet, immer sehr schön himmelblau. Dies kommt von dem sonderbaren Bau seiner kleinen Farbenfedern oder Schüpchen her, welche beinahe wie Tulpenblätter aussehen (fig. D) wie ein Fächer gefältelt, und so gestaltet sind, dass die eine Seite der Fältchen braun, und die andere blau aussieht, wie fig. E zeigt. Die Unterseite der Flügel schillert nicht, sondern ist braun, gelb und weiss sehr schön gezeichnet. Die Raupe (fig. C.) sieht grün aus, hat am Kopfe ein Paar Spizzen, und lebt auf den Sahlweiden. Dieser Schmetterling heisst auch die Iris.~~Fig. 2. Der Apollo. (Papilio eques Heliconius, Apollo.)~~Dieser Tagfalter heisst der Teutsche Apollo, und ist beinahe eben so gross, als die Iris. Er ist sehr schön gezeichnet, die Grundfarbe der Flügel blassgelb, mit schwarzen und rothen Flecken. Man findet ihn gewöhnlich auf hohen Bergen, und daher vorzüglich in der Schweiz auf den Alpen. Seine Raupe ist schwarz, stark behaart, mit orangefarbnen Puncten (fig. e) und nährt sich von den feste Blättern der Steinbrechs-Arten.~~88
Ad00341 04 042a/engInsects XXXIV. Vol. V. No. 40.
BEAUTIFUL BUTTERFLIES.
Fig. 1. The blue Iris-Papillon. (Papilio Nymphalis gemmata, Iris.)
Fig. 2. The Helicon-Papillon. (Papilio eques Heliconius, Apollo.)
Ad00341 04 042a/freInsectes. XXXIV. Vol. V. No. 40.
DE BEAUX PAPILLONS.
Fig. 1. Le Changeant. (Papilio Hymphalis gemmata, Iris.)
Fig. 2. L’Apollon. (Papilio eques Heliconius, Apollo.)
Ad00341 04 042a/itaInsett XXXIV. Tom. V. No. 42.
FARFALLE BELLISSIME.
Fig. 1. La Farfalla Iride. (Papilio Nymphalis gemmata, Iris.)
Fig. 2. La Farfalla Apollo. (Papilio eques Heliconius, Apollo.)
Ad00341 04 043aFig. 1. Der Greifadler.~~Dieser grosse Adler, der mit ausgebreiteten Flügeln 8 bis 9 Fuss misst, lebt in mehreren Theilen von Süd-Africa, und nährt sich von Antilopen, Hasen und anderen Thieren, die er mit seinen starken Klauen fängt. Er hat ein weiss und braun gesprengtes Gefieder, und am Hinterkopfe einen lang herabhängenden Federbüschel.~~Fig. 2. Der Haubenadler.~~Der Hauben-Adler bewohnt Paarweise das Kafferland, gleicht an Grösse unserm teutschen Bussard, übertrifft ihn aber sehr an Kühnheit und Muth. Von dem langen haubenähnlichen Federbüschel am Kopfe erhielt er den Namen Hauben-Adler. Seine Nahrung besteht in Enten, Rebhünern und anderem Flügelwerke. Die Hauptfarbe seines Körpers ist dunkelbraun.~~Fig. 3. Der Weissling.~~Dieser zierliche Falke gefällt uns sogleich durch sein sanftes weisses Gefieder, welches mit Gelb und Braun geflammt ist. Er findet sich in den Wäldern des Hutniqua-Landes, wo er auf hohen Bäumen nistet. Mit grösster Behendigkeit und Schnelligkeit verfolgt er die wilden Tauben und andere Waldvögel, die selten seinen Klauen entkommen.~~Fig. 4. Der Singadler.~~Dieser Adler, den uns le Vaillant, so wie die vorigen von seiner Reise durch Africa mitbrachte, ist eine seltene Erscheinung unter den Raubvögeln, da er mehrere gesangvolle Töne von sich giebt. Er hat die Grösse von unserem See-Adler, und nährt sich gewöhnlich von Fischen, die er, aus der Luft herabschiessend, fängt. Da er sehr scheu ist, so wird er selten von denen, die ihm nachstellen, erlegt.~~Fig. 5. Der Wasseraar.~~Der Wasser-Aar, der gleichfalls von Fischen lebt, hält sich am Ufer fischreicher Flüsse nahe am Meere auf, und lauert da auf seinen Fang. Sein Gefieder ist dicht und stark, und braun und weiss gefärbt.~~Fig. 6. Der Kaffervogel.~~Dieser im Kaffer-Lande sich findende Adler wird so gross als unser Gold-Adler, nährt sich vom Aase, und gleicht hierin, und durch den Schnabel und die platteren Füsse mehr dem Geier. Der ganze Körper ist mit schwarzen Federn überdeckt, und die langen Flügel ragen noch über den Schwanz hinaus.~~89
Ad00341 04 043a/engBirds LXVIII. Vol.V.No. 41.
AFRICAN BIRDS.
Fig. 1. The Griffin-Eagle.
Fig. 2. The crested Buzzard.
Fig. 3. The White-Hawk.
Fig. 4. The Singing-Eagle.
Fig. 5. The Ospray.
Fig. 6. The Caffree-Eagle.
Ad00341 04 043a/freOiseaux LXVIII. Vol. V. No. 41.
OISEAUX AFRICAINS.
Fig. 1. Le Griffard.
Fig. 2. Le Huppard.
Fig. 3. Le Blanchard.
Fig. 4. Le Vocifere.
Fig. 5. Le Blagre.
Fig. 6. Le Caffre.
Ad00341 04 043a/itaUccelli LXVIII. Tom. V. No. 41.
UCCELLI D’AFRICA.
Fig. 1. L’Aquila Griffone.
Fig. 2. L’Aquila-Cresta.
Fig. 3. Il Falconce biano.
Fig. 4. L’Aquila Musico.
Fig. 5. L’Aquila aquatica.
Fig. 6. L’Aquila Avoltojo.
Ad00341 04 044aDer Riesen-Apfel.~~Dieser Apfel ist vielleicht die grösste Baumfrucht, welche in unseren Gärten wächst, und verdient daher seinen Namen, der Riesenapfel mit Recht, weil wir Alles, was verhältnismässig in der Natur ausserordentlich gross ist, riesenhaft nennen. Was also der Riese unter den Menschen ist, das ist dieser Apfel unter den Aepfeln; denn Alles ist an ihm gross und dick; Baum, Holz, Blätter, Blüten und Frucht, welche 5 1/2 Zoll breit und 4 Zoll hoch ist.~~Dieser Baum ist in seiner Blüte eine der schönsten Zierden unserer Obstgärten und im Herbste, wenn seine ungeheuern Früchte reifen, ist er kaum fähig seine Last zu tragen; so dass man auch seine Aeste unterstützen muss, damit sie nicht brechen.~~Der Apfel selbst, wenn er reif ist, sieht hell grüngelb aus, und hat an der Sonnenseite einen rothen Backen, welches ihm ein sehr schönes Ansehen giebt. Er ist wohlschmeckend, obgleich er nicht zum Tafelobste, welches man roh isst, sondern vielmehr zum Wirthschaftsobste, welches zu Backwerke und anderen Küchenspeisen gebraucht wird, zu rechnen ist.~~89
Ad00341 04 044a/engFruit I. Vol. V. No. 42. REMARKABLE FRUITS. The Giant’s Apple.
Ad00341 04 044a/freFruits I. Vol. V. No. 42. FRUITS REMARQUABLES. La Pomme géante.
Ad00341 04 044a/itaFrutti I. Tom. V. No. 42. FRUTTO REMARCHEVOLE. La Mela-Gigante.
Ad00341 04 045aDas empörendste Unrecht, welches der Mensch begehen kann, ist, seinen Mitmenschen zu seinem niedrigen Sclaven zu machen, und gleich einem Thiere Handel damit zu treiben. Und doch geschieht dieses heutigen Tages noch immer mit den unglücklichen Negern in Africa. Den Europäern, die sich zum Theil zu Herren des festen Landes von America und von den westindischen Inseln gemacht haben, fehlt es in den dortigen Gegenden an Arbeitern zu ihren Plantagen und Bergwerken; denn die Eingebornen sind zu schwächlich und auch in zu geringer Anzahl, und Europäer lassen sich zu solchen niedrigen Sclavendiensten nicht brauchen. Sie schicken daher jährlich eine Menge von Schiffen nach der Westküste von Africa, vorzüglich nach der Küste von Guinea ab, die von den dortigen Sclavenhändlern auf Menschenmärkten, die armen Neger wie Schlachtvieh kaufen. Diese unglücklichen Geschöpfe werden durch List oder mit Gewalt in dem Inneren von Africa weggefangen, oder von ihren Familien weggerissen, Paarweise zusammengekuppelt, und so Scharrenweise nach den Sclavenmärkten getrieben. Wir sehen auf Fig. 1. solch' ein schreckliches Schauspiel, wo die schwarzen Sclavenhändler einen Vater von seinen Kindern losreissen, und nach den Transportschiffen, die man in der Ferne sieht, schleppen. Ein solches Schiff (Fig. 2.) ist ein wahrer Kerker für die armen Gefangenen, da der Capitain aus Gewinnsucht den Raum möglichst zu benutzen sucht. Die Sclaven liegen deswegen in engen drittehab Fuss hohen Behältnissen Paarweise zusammen gefesselt, so enge nebeneinander, (Fig. 2. A. B. C.) dass sie sich nicht rühren können. Nur selten werden sie auf das Verdeck an die Luft geführt, und ihre Nahrung besteht in einem dickgekochten Brei. Viele sterben daher aus Verzweiflung lieber Hungers, um sich nur von ihrem gränzenlosen Elende zu befreien. Die meisten werden aber durch ansteckende Krankheiten, die bei dem heissen Klima aus der verdorbenen Luft in den engen Behältnissen entstehen, dahin gerafft. Kömmt das Sclavenschiff an Ort und Stelle, so macht der Capitain öffentlich seine Ankunft bekannt, und verkauft nun den herzuströmenden Pflanzern oder ihren Mäklern seine Sclaven. Der Preis eines gesunden männlichen Sclavens in Westindien ist gewöhnlich 300 Thaler; die Weiber kosten etwas weniger. Die gekauften Sclaven werden von dem Pflanzer nun auf seine Plantagen getrieben, und da hängt ihr gutes oder schlechtes Loos von der Willkühr ihres neuen Herrn ab.~~89
Ad00341 04 045a/engMISCELL. Subj. LIV. Vol. V. No. 43. THE SLAVE-TRADE.
Ad00341 04 045a/freMélanges LIV. Vol. V. No. 43. ENLEVEMENT D’HOMMES ET TRAITE DES NEGRES.
Ad00341 04 045a/itaMISCELL. LIV. Tom. V. No. 43. IL TRAFFICO DI SCHIAVI.
Ad00341 04 046aFig. 1. Die Felsenbrücke in Virginien.~~In der nordamericanischen Provinz Virginien findet sich, nicht weit von den blauen Bergen, eine seltene Erscheinung; nämlich eine ungeheure Felsenbrücke, die die Natur selbst bildete. Der englische Reisende Weld beschreibt sie uns folgendermaassen. Durch eine gewaltsame Erschütterung riss die Natur diesen Felsen auseinander, so dass ein Spalt vom Gipfel bis zum Fusse des Berges entstand, der sich eine teutsche Meile weit erstreckt. Bei der Erschütterung trennte sich wahrscheinlich der obere Theil des Felsens, und viel so queer über den Spalt, dass er eine natürliche Bogenbrücke bildete. Dieser Bogen ist 80 Fuss breit, 40 Fuss dick, und oben an der einen Seite mit Nadelholz bewachsen. Unbemerkt kommt man aus dem dicken Walde dahin; man ahndet nicht auf einer Brücke zu seyn, bis man an den Rand gelangt, und in eine schauerliche Tiefe von einigen hundert Fuss hinabsieht. Ist man über die Brücke gelangt, so führt ein steiler Fusssteig zwischen Felsen und Bäumen hinab in den Abgrund.~~Fig. 2. Hänge- und Zugbrücken in Süd-Amerika.~~Als Gegenstück zu der vorigen riesenhaften Naturbrücke, sehen wir hier einige leichte Brücken, durch deren Hülfe die Spanier in Südamerica leicht über die Flüsse setzen. Die erste besteht aus einem queer über den Fluss gezogenen starken Seile, an das ein leichter Nachen befestigt ist, in den sich der Ueberzuschiffende legt, und so wird der schwimmende Kahn von einem einzigen Menschen leicht herübergezogen. Auf gleiche Art transportirt man auch Pferde, indem man sie durch ein Tragband an das Hauptseil befestigt, und durch das zweite Seil dann schwimmend herüberzieht. Die dritte Art ist die hängende Brücke. Sie besteht aus an einander gefügten Bretern, die von unten durch zwei Stricke oder Ketten verbunden sind, und an den Ufern an starke Pfähle befestigt werden. Die Brücke biegt sich bis zum Wasserspiegel, und so geht der Reisende, indem er sich an den Seitenstricken anhält, leicht darüber weg.~~89
Ad00341 04 046a/engMiscell. Sub. LV. Vol. V. No. 44. REMARKABLE BRIDGES. Fig. 1. The Bridge of Rocks in Virginia. Fig. 2. Hanging and drawing bridges in South-America.
Ad00341 04 046a/freMélanges LV. Vol. V. No. 44. PONTS REMARQUABLES. Fig. 1. Le Pont de rochers en Virginie. Fig. 2. Ponts suspendus et à trinants dans l’Amérique méridionale.
Ad00341 04 046a/itaMiscell. LV. Tom. V. No. 44. PONTI RUMARCHEVOLI. Fig. 1. Il ponte di rupe in Virginia. Fig. 2. Ponti pendenti ed altrinell America Meridionale.
Ad00341 04 047aDie grosse dunkle Damascener-Rose. (Rosa Damascena grandiflora.)~~Unter allen Rosen-Arten ist diese Sorte die grösste und prächtigste. Wir haben oben einen Riesenapfel kennen gelernt, der wegen seiner ausserordentlichen Grösse diesen Namen führte; und wir könnten eben so diese Blume die Riesen-Rose nennen, denn ihr Durchmesser ist 5 Zoll; und sie macht ebenwegen ihrer ausserordentlichen Grösse, eine vorzügliche Zierde unserer Gärten. Ihre Farbe ist karmoisinroth, oft sehr dunkel, und in der Mitte hat sie ein goldgelbes Auge; ihr Strauch wird 3 Fuss hoch, und ist sehr bedornt. Unsere strenge Winterkälte kann sie nicht wohl vertragen.~~89
Ad00341 04 047a/engRoses XIII. Vol. V. No. 45. ROSES. The great Damason Rose. (Rosa Damascena grandiflora.)
Ad00341 04 047a/freRoses XIII. Vol. V. No. 45. ESPECES DE ROSES. La grande Rose de Damas. (Rosa Damascena grandiflora.)
Ad00341 04 047a/itaRose XIII. Tom. V. No. 45. Rose. La Rosa grande Damaschina. (Rosa Damascena grandiflora.)
Ad00341 04 048aDie Venetianische Traube oder der bunte Wein. (Vitis vinifera bicolor.)~~Dieser sonderbare Weinstock gehört unter die, zur Zeit noch seltnen schönen Zierpflanzen unserer Gärten, denn seine karmesinroth und grün geschäckten Blätter, geben an dem Espalier einer Wand den fröhlichsten Anblick. Noch sonderbarer aber sind im Herbste seine bunten Trauben, welche theils ganz blaue, theils ganz grüne, theils halb grüne und halb blaue, theils blau und grün gestreifte Beeren haben. Man solle glauben, die grünen Beeren wären noch nicht reif; allein dies ist nicht der Fall, und die grünen Beeren sind eben so reif und wohlschmecken, als die blauen.~~Man hat diese schöne Spielart des Weinstocks die venetianische Traube deshalb betitelt, weil ein teutscher Gartenliebhaber die erste Pflanze davon aus einem Garten im venetianischen Gebiete mitbrachte.~~90
Ad00341 04 048a/engFruit II. Vol. V. No. 46. REMARKABLE FRUITS. The Venitian two-coloured grape. (Vitis vinifera bicolor.)
Ad00341 04 048a/freFruits II. Vol. V. No. 46. FRUITS REMARQUABLES. Le Raisin de Venise ou la vigne bicolore. (Vitis vinifera bicolor.)
Ad00341 04 048a/itaFrutti II. Tom. V. No. 46. FRUTTO REMARCHEVOLE. Il Grappolo Veneto. (Vitis vinifera bicolor.)
Ad00341 04 049aFig. 1. Der Ohren-Geier.~~Dieser Geier bewohnt Süd-Africa, und ist so gross, dass er mit ausgespannten Flügeln zehn Fuss misst. Seinen Namen hat er von den rothen Fleischlappen, womit die Ohren umgeben sind. Der Kopf ist, wie bei den übrigen Geierarten, kahl. Um den kahlen Hals steht eine Krause von steifen Federn: das übrige Gefieder ist dunkelbraun. Seine Nahrung besteht in Aas, und er wittert durch seinen feinen Geruch die todten Körper in weiter Entfernung aus.~~Fig. 2. Der Struntgeier.~~Der Struntgeier findet sich am Vorgebirge der guten Hoffnung allenthalben. Er bewohnt felsige Gebirge, und lebt vom Aase, das er auch an der Meeresküste aufsucht. Er ist etwas kleiner als der Ohren-Geier, und isabellgelb gefärbt. Sein Nest macht er in den Felsenklüften.~~Fig. 3. Der Schogun.~~Der Schogun ist eine Geierart aus Ostindien, die uns le Vaillant beschreibt. Dieser Vogel erreicht die Grösse eines Truthahns. Die Hauptfarbe seines Gefieders ist schmutzigbraun, der nackte Hals ist weislich, und eine Federkrause von ähnlicher Farbe umgiebt ihn da, wo der Leib anfängt. Von der Lebensweise dieses Vogels wissen wir noch gar nichts.~~Fig. 4. Der Gaukler.~~Der Gaukler findet sich im Hutniqua-Lande, und an der ganzen Ostküste von Süd-Africa, sehr häufig. Er zeichnet sich durch seinen sehr kurzen Schwanz aus, über den die Flügel noch hinausragen. Im Fluge wendet er sich sehr schnell, schiesst eine Strecke herab, und steigt dann wieder in die Höhe. Dieses Spiels wegen nannte ihn le Vaillant den Gaukler. Er nährt sich vom Aase, doch stösst er auch auf Antilopen.~~Fig. 5. Der Urigurap.~~Dieser weissgelbe Geier, der die Grösse einer Truthenne hat, bewohnt das ganze südliche Africa, und lebt ganz friedlich neben den herumziehenden Heerden der Hottentotten, die ihn Urigurap nennen. Da nährt er sich vom Fleische gefallener Thiere und anderen Abgängen. Der Schnabel ist lang und schmal, und der Hintertheil das Halses mit langen Federn besetzt.~~90
Ad00341 04 049a/engBirds LXIX. Vol. V. No. 47. VULTURES OF AFRICA AND ASIA. Fig. 1. The red-eared Vulture. Fig. 2. Dung-hunter. Fig. 3. The Shegoun Fig. 4. The Tumbler. Fig. 5. The Ourigourap.
Ad00341 04 049a/freOiseaux LXIX. Vol. V. No. 47. VAUTOURS AFRICAINS ET ASIATIQUES. Fig. 1. L’Oricou. Fig. 2. Le Chassefiente. Fig. 3. Le Chaugoun. Fig. 4. Le Bateleur. Fig. 5. L’Ourigourap.
Ad00341 04 049a/itaUccelli LXIX. Tom. V. No. 47. AVOLTOJI d’AFRICA E D’ASIA. Fig. 1. L’Oricou. Fig. 2. Il Cassiastronzo. Fig. 3. Il Shegun. Fig. 4. Il Giocolare. Fig. 5. L’Urigurap.
Ad00341 04 050aAls der Spanier Pizarro im Anfange des sechszehnten Jahrhunderts (1525) das goldreiche Peru entdeckte, und bald unterjochte, war dies südamericanische Land von einer ziemlich gebildeten Nation bewohnt, deren Abkömmlinge mit einigen dortigen Spaniern auf dieser Tafel abgebildet sind. Ausser diesen findet man hier Mulatten, welche aus der Verbindung der Europäer mit Negern entstehen, und die sich zahlreich in Peru befinden.~~Fig. 1. Einwohner von Lima.~~Ein Spanier und ein Spanierin aus den mittleren Ständen in Peru. Sie sind nicht in Spanien geboren, wie ihre dunkle Gesichtsfarbe zeigt, sondern eingeborne Peruaner, von spanischen Vorfahren, oder sogenannte Creolen. Sie sind im Sonntagsstaate, wie mehrere der hier vorgestellten Personen, die bei Gelegenheit eines feirlichen Festes abgebildet sind. Der mit einem scharlachnen Mantel bekleidete Bürger, trägt sein langes Haar in einem Netze oder einer Redesilla, welche an der Stirne zusammengeschnürt wird. Sein weiter Mantel zeichnet ihn vor dem Mulatten No. 5. aus.~~Fig. 2. Vornehme Frau aus Lima.~~Eine Dame aus den höheren Ständen in Peru - auch eine Spanierin im vollen Putze, mit einem in viele Falten gelegten Reifrocke, Spitzenärmeln, einer Mautille von Scharlachrother Vigogne mit Selber gestickt, Perlenschmuck um den Hals, und einer Spitzenhaube.~~Fig. 3. Indianer aus Peru.~~oder eingeborne Peruaner in häuslicher Tracht. Sie gehören zu der zimmetfarbenen Abart der Menschen, welche die ursprünglichen Bewohner America's grösstentheils bilden. Die Kleidung der Frau ist der unserer Bäuerinnen, wie sie nicht völlig angezogen sind, ähnlich. Der hinter ihr stehende Mann hat den Pongo an, ein Ueberhängekleid, fast nach der Art der Hemden, welche unsere Fuhrleute in Teutschland über ihre Kleider ziehen, nur dass es an beiden Seiten offen ist.~~Fig. 4. Landleute aus Peru~~oder eingeborne Peruaner im Sonntagsputze. Der Mann trägt über den Pongo noch ein schwarzes Skapulier, welche aber mit einem überhängenden, mit Tressen eingefassten Kragen versehen ist. Von der spitzigen Mütze der Frau, dem einzigen Ueberbleibsel ihrer alten peruanischen Tracht, hängen breite gestreifte Bänder herab.~~Fig. 5. Einwohner von Quito.~~Ein Paar Mulatten, deren Anzug sich dem der peruanischen Creolen näert. Ihre Hauptfarbe fäll in das kaffeebraune. Quito ist eine andere grosse Stadt im Königreiche Quito, welche beinahe unter der Linie liegt.~~90
Ad00341 04 050a/engDresses VI. Vol. V. No. 48. PERUVIAN DRESSES. Fig. 1. Inhabitants of Lima. Fig. 2. A Lady of Lima. Fig. 3. Indians of Peru. Fig. 4. Country people. Fig. 5. Inhabitants of Quito.
Ad00341 04 050a/freCostumes VI. Vol. V. No. 48. COSTUMES PERUVIENS. Fig. 1. Habitans de Lima. Fig. 2. Dame de condition de Lima. Fig. 3. Indiens du Péron. Fig. 4. Habitans de la campagne du Pérou. Fig. 5. Habitans de Quito.
Ad00341 04 050a/itaVestimenti VI. Tom. V. No. 48. VESTIMENTI DIE PERUVIANI. Fig. 1. Abitanti di Lima. Fig. 2. Una Dama di Lima. Fig. 3. Indiani di Peru. Fig. 4. Contadini. Fig. 5. Abitanti di Quito.
Ad00341 04 051aFig. 1. Die Teufelsbrücke auf dem St. Gotthard.~~Um aus der Schweiz nach Italien zu kommen, wählt man gewöhnlich den Gebirgsweg über den St. Gotthard, ein hohes Gebirge, in dem kleinen Schweizer Canton Uri. Diese Reise muss man wegen der steilen Gebirge entweder zu Fuss oder auf Maulthieren machen. Man steigt von dem Schweizer Städtchen Altorf immer aufwärts längs der Reuss, die eine Menge von Wasserfällen bildet. Schon hat man acht Brücken passirt; jetzt kommt man auf einmal zu einer fürchterlichen Felsenschlucht, in die sich die Reuss tosend und schäumend hinabstürzt. Ein einziger kühn gesprengter Bogen führt darüber, und dieses ist - die so bekannte Teufelsbrücke. Rings umher sieht man nichts als grosse, öde Felsenmassen, die das schauerliche des ganzen Bildes noch vermehren. Ist man über die Brücke hinüber, so zeigt sich der Teufelsberg, eine aus grossen Granitblöcken, von der Natur kühn aufgethürmte Felsenmasse. Hier muss man einen langen dunkeln Gang durch das Gebirge passiren, welches das Urner oder Ursener Loch genannt wird. Dieses führt zu einem angenehmen freundlichen Thale mit den schönsten Alpenwiesen - ganz das Gegentheil der unwirthbaren Gegend der Teufelsbrücke. Man braucht zur Reise über den Gotthardt von Altorf bis Bellinzone auf der italienischen Seite drei Tage. Da dieses zugleich eine Handelstrasse ist, die in vorigen Zeiten stark besucht wurde, so war auf der Höhe sonst ein Capuciner-Kloster errichtet. Hier erquickten sich die Reisenden, fanden frische Maulthiere für ihre Waaren, und die gutmüthigen Klosterbrüder suchten mit Hülfe grosser abgerichteter Hunde, selbst die im Schnee verunglückten Passagiere zu retten.~~Fig. 2. Die Rhone-Brücke zu St. Moritz.~~Bei dem Flecken St. Moritz im Walliser Lande, treten die Gebirge so nahe zusammen, dass sich hier der Rhonefluss durch ein enges Felsenthor wüthend und brausend durchdrängt. In einiger Entfernung von dem eben erwähnten Felsenthore steht dann die hier abgebildete berühmte Brücke. Sie besteht aus einem einzigen Bogen, dessen Enden sich auf die beiden Berge, den Dent de Mocle und Dent zu Midi stützen.~~90
Ad00341 04 051a/engMiscell. Subj. LVI. Vol. V. No. 49. REMARKABLE BRIDGES. Fig. 1. The Devi’s bridge upon St. Gotthard. Fig. 2. The Bridge over the Rohone at St. Maurice.
Ad00341 04 051a/freMélanges LVI. Vol. V. No. 49. PONTS REMARQUABLES. Fig. 1. Le Pont du diable dans la montagene de S. Gothard. Fig. 2. Le Pont du Rhone à S. Maurice.
Ad00341 04 051a/itaMiscell. LVI. Tom V. NO. 49. PONTI RIMARCHEVOLI. Fig. 1. Il Ponte di Diavolo ful Gotthard. Fig. 2. Il Ponte sopra il Rodano a St. Maurizio.
Ad00341 04 052aSo wie wir oben auf Taf. XIII. die grösste aller Rosen, die Riesenrose bewunderten, lernen wir hier die beiden kleinsten und niedlichsten Rosensorten, die man eben so im Gegensatze die Zwergröschen nennen könnte, kennen. Dies sind folgende zwei Sorten.~~Fig. 1. Die kleine Provencer-Rose. (Rosa provincialis minima.)~~Die kleine Provencer Rose - welche auch die Ranunkel-Rose heist, weil sie an Grösse und dem Baue ihrer Blume völlig der Ranunkel gleicht - führt den Namen von ihrem Vaterlande, der Provence, im südlichen Frankreich, und ist ein überaus liebliches Röschen. Ihr Strauch wird selten über 1 Fuss hoch, hat überaus zartes grünes Holz, kleine niedliche Blätter, und nur wenige zarte Dornen. Ihre Blume hat selten über 1 Zoll im Durchmesser, ist dunkel, oft auch hellkarmoisinroth, und sieht völlig aus wie eine Ranunkel, so dass man sie auch in der Ferne für eine dunkelrothe Ranunkel halten könnte.~~Fig. 2. Das Dijon-Röschen. (Rosa Damascena Dijonensis.)~~Dies kleine allerliebste Miniaturröschen ist die lieblichste und zierlichste Blume, die man nur sehen kann. Sie führt ihren Namen von der Stadt Dijon in Frankreich, woher wir sie zuerst erhielten. Ihr kleiner noch keinen Fuss hoher Strauch, ihr zartes hellgründes, fast dornenloses Holz, ihre kleinen drei- und fünflappigen Blätter, ihre noch keinen Zoll grosse blassrothe Blume, die im Aufblühen der Centfolie gleicht, alles ist äußerst zierlich und elegant an ihr. Sie gehört, nach der Characteristik ihres länglichen Fruchtknoten, zu den Damascener Rosen.~~90
Ad00341 04 052a/engRoses XIV. Vol. V. No. 50.
TWO DIFFERENT KINDS OF ROSES.
Fig. 1. The little Provence-Rose. (Rosa provincialis minima.)
Fig. 2. The Dijon Damason-Rose. (Rosa Damascena Dijonensis.)
Ad00341 04 052a/freRoses XIV. Vol. V. No. 50.
ESPECES DE ROSES.
Fig. 1 La petite Rose de Provence. (Rosa provincialis minima.)
Fig. 2. La petite Rose de Dijon. (Rosa Damascena Dijonensis.)
Ad00341 04 052a/itaRose XIV. Tom. V. No. 50.
DUE SORTE DI ROSE.
Fig. 1. La piccola Rosa di Provenza. (Rosa provincialis minima.)
Fig. 2. Rosa Damaschina di Digion. (Rosa Damascena Dijonensis.)
Ad00341 04 053aFig. 1. Der Schukuhuh.~~Diese Eulenart lebt im südlichsten Afrika, jagt zwar nur bei Nacht, kann aber, wenn sie am Tage aufgejagt wird, doch auch bei Sonnenscheine fliegen. - Sie ist fast von der Grösse der gemeinen Ohreule, hat aber einen längeren Leib und auch längere Füsse. Die gefalteten Flügel reichen bis auf drei Viertheil der Länge des Schwanzes hinab. Füsse und Zehen sind mit grauweissen, seidenartigen Federn bedeckt. Schnabel und Klauen sind schwarzbraun, und die Augen dunkel topasengelb. Die Grundfarbe des Gefieders ist braun von allen Tiefen und Höhen der Farbe mit weissen Flecken. Der Unterleib ist lichter und regelmässiger geschuppt. Der Schwanz ist dunkelbraun und röthlichweiss in die Queere gestreift.~~Fig. 2. Der Huhul.~~Der Huhul ist eine noch wenig bekannte, schöne Eule, welche sich im westlichen Südamerika findet. Er geht gegen die Gewohnheit der Eulen auch am Tage auf seinen Raub aus, wie er sich denn durch seinen ganzen Bau sehr den Tag-Raubvögeln nähert. Sein fast ganz unbedeckter Schnabel ist, so wie Zehen und Krallen, schön gelb. Der Schwanz hat zwei Drittheil der Länge des Körpers, und wenn die Flügel gefaltet sind, reichen sie bis auf die Hälfte desselben. Das ganze Gefieder des Körpers ist schwärzlich und weiss geschuppt. Die Füsse sind kamaschenartig mit schwarzen Federchen bedeckt. Die Flügel sind kaffeebraun, mit einzelnen, weiss eingefasten Federn. Der Schwanz ist noch dunkler braun und weiss geadert, fast wie manche Marmorarten. - Der Huhul hat die Grösse der gemeinen Steineule.~~Fig. 3. Die Steineule mit dem Ringkragen.~~Diese seltene Eulenart ist grösser wie die gemeine Eule, und kleiner, als der Uhu. Das ganze Ober- und Hintertehil derselben ist dunkel chokoladebraun, eben so das Gesicht. Brust, Bauch und Seiten sind weiss. Ueber den Augen zeichnen sich zwei weisse Augenbraunen, und eben so auf der weissen Brust ein brauner Ringkragen aus. Der oben dunkelbraune Schwanz ist mit weissen Queerstreifen und solcher Einfassung versehen. Der Schnabel ist an der Spitze gelb, und an der Wurzel bläulicht. Füsse und Zehen sind mit seinen hochweissen Federn eingefasst. Die Krallen sind schwarz.~~Fig. 4. Die Steineule mit dem Federbusche.~~Der blendend weisse Federbusch, welcher diese in Guyana einheimische Eule auszeichnet, erhebt sich nicht wie bei den Uhus ohrenförmig auf dem Kopfe, sondern entspringt an der Wurzel des Schnabels, läuft um die Augen her und schwankt, indem sich die anfangs kurzen und sehr biegsamen Federn immer verlängern, dann auf beiden Seiten des Halses hinab. Diese Eulenart ist von der Grösse der gemeinen Ohreule, hat einen gelben Schnabel und braune Krallen. Vorder- und Untertheil des Leibes sind weisslich mit seinen dunkeln Streifen durchzogen, das Obertheil des Körpers, Rücken, Flügel und Schwanz düster rothbraun, hier und da weiss gefleckt. Die Füsse sind bis zu den Zehen mit bräunlichen Feder bedeckt.~~Fig. 5. Die Steineule mit schwarzer Maske.~~Eine seltene Eulenart, die aus dem südlichen Amerika stammen soll, und wenig bekannt ist. Die beiden grossen schwarzen Flecken des Gesichts stechen lebhaft gegen das zarte Weiss, mit dem der ganze Vordertheil des Körpers, so wie auch der übrige Kopf, das Hintertheil des Halses und der Achseln bedeckt ist, ab. Flügel und Schwanz sind bräunlich, erstere mit zerstreuten weissen oder schwarzen Flecken hier und da bedeckt. Schnabel und Krallen sind schwärzlich, und die Füsse, so wie die Zehen mit Federn bedeckt.~~Fig. 6. Die weisse Steineule.~~Wahrscheinlich ist diese ganz schneeweisse Eulenart (mit Ausnahme einiger schwarzen Flecken auf den Flügeln) unter dem kalten Himmelsstriche einheimisch. Wenn die Fügel ruhen, reichen sie einige Zolle über den Schwanz hinweg. Die Füsse und Zehen sind durchaus mit seidenartigen, sehr dichten Federn bedeckt, so dass man kaum die Spitzen der schwarzen Krallen sehen kann. Der Schnabel ist gleichfalls schwarz.~~91
Ad00341 04 053a/engBirds. LXX. Vol. V. No. 51.
DIFFERENT KINDS OF FOREIGN OWLS.
Fig. 1. The Chocouhou.
Fig. 2. The Huhul.
Fig. 3. The Collar-Owl.
Fig. 4. The crested owl.
Fig. 5. The black mask.
Fig. 6. The white Church-owl.
Ad00341 04 053a/freOiseaux. LXX. Vol. V. No. 51.
DIFFÉRENTES ESPÉCES DE HIBOUX ÉTRANGERS.
Fig. 1. Le Choucouhou.
Fig. 2. Le Huhul.
Fig. 3. La Chouette à collier.
Fig. 4. La Chouette à aigrette.
Fig. 5. La Chaouette à masque noir.
Fig. 6. La Chouette blanche.
Ad00341 04 053a/itaUccelli. LXX. Tom V. No. 51.
GUFI DI VARIA SPEZIE.
Fig. 1. Il Chocouhou.
Fig. 2. L’Ululo.
Fig. 3. La Civetta con Collare.
Fig. 4. La Civetta con cresta.
Fig. 5. La Maschera nera.
Fig. 6. Il Gufo bianco.
Ad00341 04 054a

Insekten XXXV. Bd. V. No. 52.

AUSLÄNDISCHE SCHMETTERLINGE.

Die hier abgebildeten schönen Schmetterlinge sind sämmlich Bewohner fremder heisser Länder. Dort scheint die ganze Natur schöner zu seyn; Fische, Vögel, Insecten glänzen von tausend herrlichen Farben, und setzen das Auge der Reisenden, die aus nördlichen Gegenden dahin kommen, in Erstaunen.

Fig. 1. Der Grün-Marmor.

Dieser seltene Tagvogel hat die Farbe von grün und schwarzem Marmor, wovon er auch den Namen hat. Nach seiner äussern Gestalt und den Ausschnitten an den Flügeln hat er viel Aehnlichkeit mit unserm Schwalbenschwanze oder Seegelvogel, ist aber grösser als letzterer.

Fig. 2. Der Harlekin.

Der Harlekin ist ein schöner Nachtvogel, der von seiner buntfleckigen Zeichnung, die man mit der Harlekins-Kleidung verglich, genannt wurde. Der goldgelbe Körper hat eben zur Hälfte blaue Vorderflügel mit weissen Flecken. Die goldfarbigen Hinterflügel sind schwarz gefleckt.

Fig. 3. Die Indianische Goldborde.

Dieser prächtige Schmetterling ist gleichfalls über und über goldgelb gefärbt, mit einem hochgoldgelben Flecke auf den Vorderflügeln.

Fig. 4. Der Feuerfleck.

Die langgezogenen Flügel sind rauchbraun von Farbe, und auf den Vorderflügeln in der Mitte sitzt ein grosser, hochrother Fleck.

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Ad00341 04 054a/engInsects XXXV. Vol. V. No. 52.
BUTTERFLIES OF FOREIGN COUNTRIES.
Fig. 1. The green Marble Papilion.
Fig. 2. The Harlequin.
Fig. 3. The Indian Gold-Butterfly.
Fig. 4. The Scarlet spot.
Ad00341 04 054a/freInsectes XXXV. Vol. V. No. 52.
PAPILLONS ÉTRANGERS.
Fig. 1. Le Marbre vert.
Fig. 2. L’Arlequin.
Fig. 3. Le Galon d’or des Indes.
Fig. 4. La tache de feu.
Ad00341 04 054a/itaInsetti XXXV. Tom. V. No. 52.
FARFALLE STRANIERE.
Fig. 1. Il Papilione verde marmo.
Fig. 2. La Falena Arlecchino.
Fig. 3. La Farfalle d’oro.
Fig. 4. La Farfalla a macchia di Scarlatto.
Ad00341 04 055aUnser so wohlschmeckender, allgemein bekannter Flusskrebs ist ein Insect, das sich nicht bloss in allen Theilen von Europa findet, sondern auch in mehreren Theilen von Afrika, Asien und Amerika abgetroffen wird. Seine gewöhnliche Länge beträgt 4 bis 6 Zoll, doch giebt es bisweilen auch Flusskrebse, die einen Fuss lang sind. Seine Farbe ist sehr verschieden, denn bisweilen giebt es auch blaue und rothe Krebse; doch gewöhnlich erscheint er wie hier bei Fig. 1. schwarzgrün gefärbt. Die Männchen unterscheiden sich von den Weibchen durch breitere Scheeren und einen schmälern Schwanz. Erstere werfen ihre Schale ab, oder mausern sich im Frühjahr, letztere im Herbste, und heissen alsdann Butterkrebse. Sie paaren sich im Herbste, und das Weibchen trägt ihre Eier bis zum Frühjahr unter dem Schwanze, bis dann im Junius oder Julius die kleinen Krebschen zum Vorschein kommen. Sie wachsen viele Jahre fort, und werden im Ganzen gegen 20 Jahr alt. Merkwürdig ist es, dass wenn die Krebse ihre Scheeren verlieren, diese von neuem wachsen; manchmal erhalten sie dann wie bei Fig. 2 und 3. eine monströse Gestalt.~~Der Krebs lebt in Flüssen, Bächen und Teichen der süssen Gewässer, und seine liebste Nahrung sind todte Körper, denen er im Wasser weit nachgeht. Wir wollen jetzt auch etwas von seinem innern Bau kennen lernen. Fig. 4. stellt das vergrösserte aus einer schwarzen Halbkugel bestehende Auge vor. - Wenn man die äusseren Schalen wegbricht, so sehen wir die innere Structur des Krebses. Der Magen aa liegt im Kopfe, von ihm geht der Mastdarm f durch den ganzen Schwanz fort. Das Herz c ist weiss, mit vier grossen Gefässen. Fig. 6. dd sind Muskeln, die den starken Zahn im Maule in Bewegung setzen, womit der Krebs seine Nahrung zermalmt. Bei ee sind Oeffnungen, wodurch der Krebs Wasser und Luft aus- und einathmet.~~91
Ad00341 04 055a/engInsects XXXVI. Vol. V. No. 53.
THE COMMON CRAWFISH.
Ad00341 04 055a/freInsectes XXXVI. Vol. V. No. 53.
L’ECRÉVISSE ORDINAIRE D’EAU DOUCE.
Ad00341 04 055a/itaInsetti XXXVI. Tom. V. No. 53.
IL GAMBERO COMMUNE.
Ad00341 04 056aUnter die Naturschauspiele, welche selbst das roheste Herz mit unwillkührlicher Ehrfurcht und Bewunderung ergreifen, gehören Wasserfälle, wenn in ihnen eine etwas bedeutende Wassermasse eine beträchtliche Höhe herabstürzt. Sie entstehen, wenn das Bette eines Flusses plötzlich viel tiefer wird, als es vorher war. Seltener geschieht der Wassersturz ganz senkrecht, wie bei dem Falle des Teverone im Kirchenstaate, dem Staubbach in der Schweiz und einigen andern. Gewöhnlicher ist die Fläche des Sturzes nur sehr stark gegen die Horizontallinie geneigt.~~Unter die merkwürdigsten Wasserfälle der alten und neuen Welt gehören die auf Taf. 54. abgebildeten Fälle des Niagara und des Rheins bei Lauffen.~~Fig. 1. Fall des Niagara.~~Das innere Nordamerika ist voll beträchtlich grosser Landseen, deren Wassermenge der St. Lorenz-Strom, einer der grössten der Welt, abführt. Zwei jener Seen, der Erie und der Ontario, sind durch einen an 8 teutsche Meilen langen natürlichen Canal, den Niagara-Strom verbunden, der anfänglich bei seinem Austritte aus dem See Erie mit unbeträchtlicher Schnelligkeit fortströmt, bald aber durch Aufnahme beträchtlicher Flüsse verstärkt und zwischen felsigten Ufern eingeengt, dem merkwürdigen Falle zueilt, wo ein Strom von fast 4000 Fuss Breite in eine Tiefe 150 Fuss lothrecht hinabstürzt. Zwei Inseln auf dem Bette des Catarakts theilen ihn in drei Abttheilungen. Der östliche, auf dem Kupfer recht liegende Theil des Falls hat ein um 18 Fuss niedrigeres Bette, als die beiden andern. Aber eben aus diesem Grunde strömt ihm die grösste Wassermasse zu, und sein Anblick ist der erhabenste unter den drei Fällen. Der dichte, weisse Wasserdampf, der unausgesetzt von ihm emporsteigt, wird auf 12 teutsche Meilen weit gesehen, und bei stillem Wetter hört man sein Toben auf 3 bis 4 Meilen weit. Den Totaleindruck des Ganzen fasst keine Auge und erreicht keine Beschreibung.~~Fig. 2. Rheinfall bei Lauffen.~~Dieser nicht so grosse, als der vorhergehende, aber gleichfalls sehr sehenswürdige Fall eines der prächtigsten Ströme Europa's findet bei dem Schlosse Lauffen, eine kleine Stunde unterhalb Schaffhausen, auf der Gränze zwischen Teutschland und der Schweiz statt. Auf dem Kupfer liegt dieses Schloss rechts, und unterhalb demselben bemerkt man fast mitten im Falle ein kleines Gerüst, die Fischez, von dem man zwar den ganzen Fall nicht übersieht, allein gerade die drei Fälle desselben, welche den grössten Eindruck machen. Mehrere Felsen, die sich theils im Falle, theils im Rande desselben erheben, theilen ihn nämlich in fünf Fälle. Der höchste und mächtigste ist unter dem Schlosse Lauffen. Seine Höhe beträgt bei niedrigem Wasser 50-60, bei hohem Wasser aber 80 Fuss. Dann ist das Donnern des Falls so fürchterlich, dass die Stimme des Menschen verhallt. Bei sehr stillem Wetter hört man den Fall auf 2 Stunden weit. - Von dem auf dem Kupfer links liegenden Schlösschen im Wörth, wo die über dem Falle ausgeladenen Waaren wieder eingeschifft werden, kann man den ganzen Fall übersehen. Bei sehr niedrigem Wasser ist man schon von Neuhausen, was links über Wörth am Falle liegt, bis zu dem zweiten Felstrümmer, der den Fall, von Lauffen aus gerechnet, abtheilt, gelangt.~~91
Ad00341 04 056a/engMiscell. Subj. LVIII. Vol. V. No. 54.
CATARACTS.
Fig. 1 The falls of Niagara.
Fig. 2. The cataract of the Rhine near Lauffen.
Ad00341 04 056a/freMélanges. LVIII. Vol. V. No. 54.
CHUTES D’EAU.
Fig. 1. La Chûte du Niagara.
Fig. 2. La Chûte du Rhin près de Lauffen.
Ad00341 04 056a/itaMiscell. LVIII. Tom V. NO. 54.
CATARATTE.
Fig. 1. La Cataratta di Niagara.
Fig. 2. La Cataratta del Reno apresso di Lauffen.
Ad00341 04 057aDie zum Theil sehr rauhe, aber durchaus von hohen Naturschönheiten erfüllte Schweiz, wird von einem friedlichen und arbeitsamen Volke bewohnt, bei dem sich ähnliche Volksfeste erhielten, wie wir solche in der Geschichte bei den Griechen, und gegenwärtig noch hier und da in Europa und auf einigen der glücklichen Inseln finden, die in dem grossen Oceane (dem stillen Meere, der Südsee) liegen. Der Stifter dieses Fests, von dem einzelne Scenen auf dieser Tafel abgebildet sind, war der Schultheis von Müllinen in Bern, und es war am 17then August 1805 zum erstenmale vor einer beträchtlichen Anzahl fröhlicher und friedlicher Zuschauer gefeiert. Kunstfertigkeiten und Körperstärke und Gewandtheit waren der Gegenstand des Fests. Wer den andern in einer oder der andern dieser Kraftäusserungen übertraf, dem ward ausser dem Beifalle der versammelten Menge ein Preis zu Teil. Der Platz dieses Festes war äusserst glücklich in einem anmuthigen Thale zwischen dem Thuner und Brienzer See gewählt, und die Witterung begünstigte das Fest sehr.~~Fig. 1. Schwinger.~~Beide Kämpfer haben einen ledernen Gürtel um die Hüften geschlungen. Jeder sucht seinen Gegner vermittelst desselben empor zu heben, und dann rücklings auf das Gras zu werden. Die Stellungen dieser Kämpfer sind oft sehr drollig. Zuweilen scheinen sie einen Walzer zu tanzen, zuweilen bewegungslos einander gegenüber den Moment der Schwäche des Gegner zu erlauern. Wer hingeworfen wird, ist besiegt.~~Fig. 2. Alphornbläser.~~Das Alphorn ist kein meldodisches Instrument, allein in der Höhe der Alpen, wenn der Hirte seine zerstreute Heerde damit zusammenruft von herzergreifendem Tone. Ihm passt kein Concertsaal, wenn nicht das freie hohe Gewölbe des Himmels seine Decke und schroffe Klippen und tiefe Agründe sein Boden sind. Jeder Schweizer fühlt auch in der Ferne von seinem Lande sein Herz durch den Ton des Alpenhorns unwiderstehlich zur Heimath gezogen, und ehemals musste deshalb das Blasen des Alphorns den Schweizern untersagt werden, die im französischen Solde standen. Sie wären sonst alle in ihre friedliche Heimath zurückgekehrt. Bei diesem Feste konnten also auch die Alphörner nicht fehlen.~~Fig. 3. Steinstosser.~~Wenn das Schwingen oder Ringen besondere Gewandtheit voraussetzt, so erfordert das Steinstossen (Steinwerfen) ausgezeichnete Muskelkraft. Beides, Gewandtheit und Muskelkraft, sind dem Alpenbewohne, der oft halbe Jahre lang in Wildnissen nur bei seiner Heerde lebt, in hohem Grade nötig. Bei dem Steinstossen hebt der Mann den Stein mit der rechten Hand auf seine rechte Schulter, und giebt ihm dann, ohne sich von der Stelle zu bewegen, durch einen plötzlichen Schwung des Körpers einen Stoss, so dass er mehrere Schritte weit fort fliegt. Bei diesem Feste war ein Appenzeller einen 184 Pfund schweren Stein auf diese Art 10 Schritte weit. Gewiss! ein seltenes Beispiel von Muskelkraft.~~Fig. 4. Preiss-Vertheilung.~~Das Fest hatte den Morgen durch gedauert, und nach dem fröhlichen Mahle theilten die Stifter desselben nach Gutachten der Kampfrichter die Preise aus. Sie bestanden in spanischen Widdern zu Veredlung der schweizerischen Schaafzucht, Medaillen, Kühertaschen (Ränzeln der Kuhhirten auf den Alpen), Schwingergürteln, Stutzen (gezogenen Büchsen), Waidmesser, Kappen von englischem Leder fein gestickt usw. Die meisten dieser Belohnungen sieht man auf dem Kupfer theils auf dem Tische, theils an dem glücklichen Siegen, dem eben die junge Dame noch eine Medaille umhängt.~~91
Ad00341 04 057a/engMiscell. Sub. LIX. Vol. V. No. 55.
PUBLICK GAMES IN THE ALPS NEAR UNTERSEEN IN THE CANTON OF BERN.
Fig. 1. Wrestling.
Fig. 2. The Alp-horns.
Fig. 3. Stone-flinging.
Fig. 4. The Distribution of prices.
Ad00341 04 057a/freMélanges. LIX. Vol. V. No. 55.
FêTE DES PATRES DES ALPES PRÉS D’UNTERSEEN DANS LAPARTIE SUPÉRIEURE DU CANTON DE BERNE.
Fig. 1. La Lutte.
Fig. 2. Les Joueurs du cornet des Alpes.
Fig. 3. Le Jet des pierres.
Fig. 4. La Distribution des prix.
Ad00341 04 057a/itaMiscell. LIX. Tom. V. No. 55.
GIUOCHI PUBBLICI SULLE LPE APPRESSO UNTERSEE NEL CANTONE DI BERN.
Fig. 1 La Lotta.
Fig. 2. I Corni Alpini.
Fig. 3. Il Gettar pietre.
Fig. 4. Distribuzione die premj.
Ad00341 04 058aDie prächtige Nelumbo. (Nelumbium speciosum.)~~Die prächtige Nelumbo, welche auch die geheiligte Indische und Aegyptische Bohnenblume genannt wird, ist eine merkwürdige Wasserpflanze, die von den alten Aegytiern und den Bewohnern von Indien als heiliges Gewächs betrachtet wurde, welches sie auf ihren Hieroglyphen und heiligen Denkmälern abbildeten. Die Ursache war folgende: In Aegypten hieng bekanntlich die Fruchtbarkeit des Landes von den Ueberschwemmungen des Nils ab. Wenn diese Gewässer stiegen, so zeigten sich auch die Lotosblumen, die blaue Seerose (siehe No. 23 dieses Bandes), und die rosenrothe prächtige Nelumbo als Wasserpflanzen auf der Oberfläche des Wassers, und wurden als heilige Boten der befruchtenden Fluthen betrachtet. - Die prächtige Nelumbo findet sich jetzt nicht mehr in Aegypten, sondern vorzüglich in Persien, Indien und China in Sümpfen und stehenden Wassern. Die hier in natürlicher Grösse abgebildete Blume ist schön rosenroth gefärbt, und sitzt auf 8 Fuss langen Blumenstielen. Die schildförmigen, oft 2 Fuss im Durchmesser haltenden Blätter haben eben so lange Stiele, die sie auf der Oberfläche des Wasser halten. Der gelbe Stempel sitzt wie eine halbe Citrone in der Mitte der Blume, und enthält 20 bis 30 Saamenkörner.~~Die starken Wurzeln, so wie die Saamenkörner werden von den dortigen Völkerschaften gegessen. - die prächtige Nelumbo nannten die Aegyptier auch oft die rosenrothe Lotusblume.~~92
Ad00341 04 058a/engPlants XCVI. Vol. V. No. 56.
MAGNIFIC FLOWER.
The beautiful Nelumbo. (Nelumbium speciosum.)
Ad00341 04 058a/frePlantes. XCVI. Vol. V. No. 56.
FLEURS DE PARADE.
La superbe Nélumbo. (Nelumbium speciosum.)
Ad00341 04 058a/itaPiante XCVI. Tom. V. No. 56.
FIORI DI POMPA.
Il Nelumbo superbo. (Nelumbium speciosum.)
Ad00341 04 059aDie Mollusken oder Weichwürmer machen eine besondere Classe der Würmer aus, die sich durch ihren gallertartigen, weichen, unbedeckten Körper auszeichnen, auch haben sie Fühlfäden oder Arme, die ihnen zum Fang ihrer Nahrung und zum Fortbewegen dienen. Ihre Gestalt ist sehr verschieden. - Zu den merkwürdigsten Mollusken gehört das Geschlecht der Sepien oder der Tintenwürmer, die sich im Meere aufhalten, und von kleinen Thieren leben. - Wir lernen auf dieser Tafel einige der Merkwürdigsten Arten kennen.~~Fig. 1. und 2. Der gemeine Tintenwurm. (Sepia officinalis.)~~Die gemeine Sepie oder der Kuttelwurm ist ein höchst sonderbares Thier. Wir sehen ihn bei fig. 1. Von der obern, bei fig. 2. von der untern Seite. Der längliche runde Leib steckt in einem häutigen Sacke, in den sich der Tintenwurm ganz zurückziehen kann. Am Kopfe sitzen acht Arme, womit er seinen Fang, der in Seekrebsen und kleinen Seegeschöpfen besteht zum Maule bringt. Dieses liegt (fig. 2.) zwischen den Armen, und hat einen hornartigen Schnabel, womit er den Fang klein macht. Ausser den 8 Armen sehen wir am Kopf noch zwei starke keulenförmige Fühlfäden, mit zahllosen Saugwärzchen bedeckt. Hiermit saugt er sich an Felsen fest, liegt gleichsam vor Anker, und lauert auf seinen Fang. In der Mitte des Leibes hat er, wie alle Tintenwürmer, einen Beutel mit einer tintenähnlichen Flüssigkeit, womit er das Wasser trübt, theils um seinen Feinden zu entgehen, theils um seinen Fang besser zu bekommen. Diese Flüssigkeit brauchen die Maler unter den Namen Sepia zum Tuschen. Auch findet sich im Rücken ein weisser poröser Knochen, der zum Poliren der Metalle, auch zu Zahnpulvern gebraucht wird, und weisses Fischbein oft genennt wird.~~Der gemeine Tintenwurm wird bis zu 2 Fuss lang, und findet sich fast in allen Meeren.~~Fig. 3. Der warzigte Tintenwurm. (Sepia tuberculata.)~~Diese Sepie lebt am Vorgebirge der guten Hoffnung, wird 1 Fuss lang, und der ganze gelbgrauliche Körper ist mit Wärzchen bedeckt.~~Fig. 4. Der gefleckte Tintenwurm. (Sepia maculata.)~~Der rosenroth gefleckte Tintenwurm bewohnt die ostindischen Gewässer, hat die Grösse des vorigen, und ebenfalls 8 Arme.~~Fig. 5. Der kleine Tintenwurm. (Sepia sepiola.)~~Der kleine Tintenwurm wird nicht über einen Zoll lang, und findet sich in zahlloser Menge an der Küste des mittelländischen Meeres. An den Seiten breitet sich der Sack zu flossenähnlichen Flügeln aus. -~~92
Ad00341 04 059a/engWorms VIII. Vol. V. No. 57.
THE MOLLUSKS OR SMOOTH-WORMS.
Fig. 1. and 2. The Common cuttle-fisch. (Sepia officinalis.)
Fig. 3. The Tuberous cuttle-fish. (Sepia tuberculata.)
Fig. 4. The spotted cuttle-fisch. (Sepia maculata.)
Fig. 5. The small cuttle-fish. (Sepia sepiola.)
Ad00341 04 059a/freVers. VIII. Vol. II. No. 57.
MOLLUSQUES.
Fig. 1. et 2. La Sèche commune. (Sepia officinalis.)
Fig. 3. La Sèche tuberculeuse. (Sepia tuberculata.)
Fig. 4. La Sèche tachetée. (Sepia maculata.)
Fig. 5. La petite Sèche. (Sepia sepiola.)
Ad00341 04 059a/itaVermi. VIII. Tom V. No. 57.
I MOLLUSCHI.
Fig. 1. et 2. La Sepia commune. (Sepia officinalis.)
Fig. 3. La Sepia tuberosa. (Sepia tuberculata.)
Fig. 4. La Sepia macchiata. (Sepia maculata.)
Fig. 5. La Sepia piccola. (Sepia sepiola.)
Ad00341 04 060aFig. 1. Der Pappelfalter (Papilio Nymph. Populi.)~~Der Pappelfalter oder grosse Eisvogel gehört unter die seltenen Schmetterlinge Teutschlands, und findet sich bloss in Waldungen, wo es Espen oder Zitterpappeln giebt. Da fliegt er im Junius und Julius herum. Die schwarzbraunen Flügel sind weiss, blau und roth gar schön gezeichnet. Die grüngelbe Raupe (A) lebt auf hohen Espen und Rothbuchen; sie verwandelt sich in die Puppe (B) aus der nach 2 bis 3 Wochen der Schmetterling ausfliegt.~~Fig. 2. Der Kressweissling. (Papilio Dan. Cardamines.)~~Der Kressweissling oder Aurora-Falter (c) findet sich im April und Mai auf waldigen Wiesen, und zeichnet sich durch seine schönen aurorafarbenen Oberflügel aus, welche aber dem Weibchen gänzlich fehlen. Die kleine grüne Raupe (a) lebt auf dem glatten Thurmkraut und der Wiesenkresse im Junius und Julius. Sie verwandelt sich in die nachenförmige Puppe (b), aus der im folgenden Frühjahr der Schmetterling kömmt.~~Fig. 3. Der Citronfalter. (Papilio D. Rhamni.)~~Ein schöner Schmetterling, der uns an den ersten warmen Frühlingstagen erfreut. Das Männchen (C) ist citronengelb, das Weibchen aber milchweiss gefärbt. Die Raupe (A) nährt sich von den Blättern des Faulbaums. Ehe sie sich verpuppt, zieht sie einen Faden um den Leib, und befestigt sich auf diese Art an ein Aestchen. Nach einigen Wochen erscheint der Schmetterling, der allenthalben in Gärten und auf Wiesen herumfliegt.~~Fig. 4. Der C Falter. (Papilio N. C. album.)~~Der braungelbe C Falter oder C Vogel ist, so wie alle Schmetterling dieser Tafel, in natürlicher Grösse abgebildet. Auf der Rückseite der Flügel (d) sieht man die Zeichnung eines c, wovon er den Namen hat. Er findet sich den ganzen Sommer hindurch an Mauern, Zäunen und an Wegen, denn selten setzt er sich auf Blumen. Die dornige Raupe (a) findet sich auf den Johannisbeersträuchern, Heckenkirschen und Ulmen.~~Fig. 5. Der Nesselfalter. (Papilio N. urticae.)~~Dieser bekannte Schmetterling, den man auch den kleinen Fuchs, die kleine Blaukante oder den kleinen Schildkrötenvogel nennt, ist einer der ersten Boten des Frühlings, und schön feuergelb, blau und schwarz gezeichnet. Er überwintert häufig in Schlupfwinkeln, deswegen zeigt er sich im Frühjahre so bald.~~Die gelbliche Dornenraupe (A) lebt auf der Nessel, die Puppe (B) hängt nur an der Spitze fest, und im Julius schlüpft der Schmetterling aus, denn die zeitigen Frühlings Blaukanten sind vom vorigen Jahre, die überwintert haben.~~92
Ad00341 04 060a/engInsects. XXXVII. Vol. V. No. 58.
GERMAN BUTTERFLIES.
Fig. 1. The Poplar Butterfly. (Papilio Nymph. Populi.)
Fig. 2. The white marbled Butterfly. (Papilio Dan. Cardamines.)
Fig. 3. The brimstone Butterfly. (Papilio D. Rhamni.)
Fig. 4. The Silver Comma. (Papilio N. C. album.)
Fig. 5. The lesser Tortoise Shell. (Papilio N. urticae.)
Ad00341 04 060a/freInsectes. XXXVII. Vol. V. No. 58.
DE BEAUX PAPILLONS ALLEMANDS.
Fig. 1. Le Papillon du tremble. (Papilio Nympf. Populi.)
Fig. 2. L’Aurore. (Papilio Dan. Cardamines.)
Fig. 3. Le Citron. (Papilio D. Rhamni.)
Fig. 4. Le Papillon C blanc. (Papilio N. C. album.)
Fig. 5. La petite Tortue. (Papilio N. urticae.)
Ad00341 04 060a/itaInsetti. XXXVII. Tom. V. No. 58.
FARFALLE DI GERMANIA.
Fig. 1. La Farfalla alberella. (Papilio Nymph. Populi.)
Fig. 2. La Farfalla crescione. (Papilio Dan. Cardamines.)
Fig. 3. La Farfalla Cedro. (Papilio D. Rhamni.)
Fig. 4. La Farvalla C. (Papilio N. C. album.)
Fig. 5. La Farfalla ortica. (Papilio N. urticae.)
Ad00341 04 061aNicht nur unsere Flüsse und Teiche und Seen auf dem festen Lande, sondern auch das grosse Weltmeer ist in den kältern Himmelsstrichen mit Eise bedeckt, welches merkwürdig genug, bei dem Aufthauen, süsses, trinkbares Wasser giebt, ohnerachtet es wirklich in dem salzigen und bittern Meere gefror. Man findet das Eis im Oceane entweder in grossen Massen, die Eisbänke, Eisinseln, Eisberge heissen, oder in kleinen Stücken, die man Eisschollen, Treibeis nennt. Eisfelder heissen ganze Strecken bald mehr, bald weniger verbundenen Eises in einer sehr grossen Ausdehnung. Unter den einzelnen schwimmenden Eismassen gegen die Pole zu giebt es welche von ungeheurer Grösse. Sie ragen oft weit aus der Fläche des Meeres hervor, bilden weite Ebenen, auf denen wieder Eisberge ruhen, und der getäuschte Schiffer glaubt hier oft Inseln mit Hügeln und Thälern, Thürmen und Häusern zu erblicken. Manche Seefahrer geben den höchsten solcher Eisberge eine Höhe von 1500 bis 1800 Fuss. Oft sind die Gestalten dieser Eisinseln sehr sonderbar, und zuweilen sehr malerisch. Dass sie eine so beträchtliche Höhe erreichen können, rührt theils dahr, dass sie, wie auch oft der Augenschein lehrt, aus auf- und untereinander geschobenen Schollen entstehen, theils aber durch den Schnee von Jahr zu Jahr Zuwachs erhalten, bis sie durch Strömungen und Winde in wärmere Gegenden geführt werden. Grosse Eisinseln und Eisfelder geben schon von fern ihr Daseyn durch einen hellen Widerschein am Horizont zu erkennen, den man den Eisblick nennt. Die Farbe dieser Eismassen ist mehrentheils weiss, zuweilen auch meergrün, und hier und das in das Blaue spielend.~~Fig. 1. Eisinseln.~~Diese schwimmenden Eisinseln traf des Admirals Murray Geschwader im Junius 1794 auf der Fahrt von England nach Amerika im nördlichen atlantischen Meere an. Wahrscheinlich waren sie aus der Baffinsbay oder dem Hudsonsbusen herunter getrieben. Einige davon waren so hoch, als der Mastbaum einer Fregatte, und hatten da, wo sie aus dem Meere hervorragten, an 800 Fuss im Umfange.~~Fig. 2. Eisfelder.~~Diese Figur giebt eine Abbildung des Eisfeldes, in welchem Capitain Phipps im August 1773 auf seiner Reise nach dem Nordpol mit seinen beiden Schiffen unsern der Küste von Spitzbergen festfror. Da es unmöglich gefinden war, sich mit den Schiffen auch bei allen aufgespannten Seegeln durch das Eis zu drängen, und das Durchsägen des Eises viel zu langsam von Statten gieng, so wurden die Boote der Schiffe ausgesetzt, und sollten von der Mannschaft bis zur offenen See über das Eis gezogen werden, wie dies hier auf der Figur vorgestellt ist, um im Nothfalle die Schiffe ganz verlassen zu können. Glücklicher Weise brach aber das Eis noch zu rechter Zeit, und die Schiffe wurden frei.~~92
Ad00341 04 061a/engMiscell. Subj. LX. Vol. V. No. 59.
FIELDS AND MOUNTAINS OF ICE.
Fig. 1. The Rock or Mountain ice.
Fig. 2. The Field ice.
Ad00341 04 061a/freMélanges. LX. Vol. V. No. 59.
CHAMPS ET ILES DE GLACE.
Fig. 1. Iles de Glace.
Fig. 2. Champs de glace.
Ad00341 04 061a/itaMiscellanca. LX. Tom. V. No. 59.
GHIACCI PIANI E SCOGLI DI GHIACCIO.
Fig. 1. Scogli e Montagne di Ghiaccio.
Fig. 2. Un Ghiaccio piano.
Ad00341 04 062aDie weisse Monats-Rose. (Rosa Damascena flor, alba.)~~Die weisse Monats-Rose gehört gleichfalls zu dem grossen Geschlechte der Damascener-Rosen, welche sich durch ihren vortrefflichen und äusserst balsamischen Geruch vor allen andern Rosenarten auszeichnen.~~Die gegenwärtige Sorte ist eine der schönsten unter ihnen. Sie ist von Farbe mehr silbergrau als weiss, und ihr schönes grossblätteriges Laub oberhalb dunkel- und unterhalb weissgrün von Farbe. Sie blühet ausserordentlich reich, so dass oft 8 bis 10 Rosen an einem einzigen Zweige sitzen. Die Blume wird gross, und hat oft 4 Zoll im Durchmesser. Ihr Fruchtknoten ist, wie an allen Damascener-Rosen, lang und flaschenförmig gezogen, und verläuft sich sanft in den Stiel herab.~~Ihr Strauch ist klein, nicht über 2 Fuss hoch, und ziemlich dornenreich. Sie ist gegen unsern harten Winter etwas zärtlich, und liebt sehr einen etwas warmen bedeckten Stand, und guten fetten Boden. Sie blüht gewöhnlich im Junius und Julius in Teutschland, und gehört unter die seltneren Rosenarten.~~92
Ad00341 04 062a/engRoses XV. Vol. V. No. 60.
DIFFERENT KINDS OF ROSES.
The white Rose of Damas. (Rosa Damascena flor. alba.)
Ad00341 04 062a/freRoses. XV. Vol. V. No. 60.
ESPECES DE ROSES.
La Rose blanche de Damas. (Rosa Damascena flor. Alba.)
Ad00341 04 062a/itaRose XV. Tom. V. No. 60.
SPECIE DI ROSE.
La Rosa bianca di Damas. (Rosa Damascena flor. alba.)
Ad00341 04 063aEhemals wurden die durch Tapferkeit im Kriege vorzüglich verdienten Offiziere, grösstentheils nur die Adlichen, höchstens die Freien zum Lohn durch den Ritterschlag ausgezeichnet, wodurch sie geehrter wurden und manche Vorrechte genossen, die aber auf ihre Nachkommen nicht forterbten. Zu häufige Ertheilung dieser Ehrenbezeugung schwächte in der Folge ihren Werth. Wie im Mittelalter die katholische Christenheit lange blutige Kriege mit den Muhamedanern wegen des Besitzes des heiligen Landes führte, bildeten sich mehrere Ritterorden, die ursprünglich unter dem Papste standen und die gewöhnlichen Gelübde: der Armuth, des Gehorsams und der Ehelosigkeit, wie die Mönche ablegten, zugleich aber auch die damals nach Jerusalem häufig wallfahrenden Pilger zu schützen, versprachen. - Diese Orden nannte man geistliche Ritterorden und sie haben sich grösstentheils in der Geschichte sehr berühmt gemacht. - Gegenwärtige Tafel stellt Abbildungen von zweien derselben vor.~~Fig. 1. und 2. Tempelherrn.~~Der Orden der Tempelherren ward im J. 1118 zu Jerusalem gestiftet und sehr bald mit ansehnlichen Gütern in und ausser Europa beschenkt. Ihr Unterscheidungszeichen war ein rothes Kreuz auf dem weissen Gewande. Fig. 1. stellt einen Ritter in seiner Hauskleidung und Fig. 2. einen in seiner Rüstung dar, mit einem Panzerhemde unter der Ordenskleidung. Wie die Saracenen Jerusalem wieder erobert hatten, erhielt sich der Orden zwar noch einige Zeit in Palästina, musste aber sich endlich völlig nach Europa zurückziehen. Er hatte heftige Feinde, und endlich ward seine Ausrottung beschlossen und auch im J. 1312 vollführt. Man hatte die Ritter sehr hässlicher Verbrechen beschuldigt. Viele hatten sie eingestanden, und ein beträchtlicher Theil ward öffentlich hingerichtet. Ihre Güter erhielten theils andere Orden, theils kam sie an die Landesfürsten.~~Fig. 3. und 4. Johanniter-Ritter.~~Dieser Orden, dessen Zeichen ein achteckigtes Kreuz auf der schwarzen Ordenskleidung ist, war zu gleichen Zwecken, wie der Tempelherren im J. 1113 gestiftet. Auch er ward bald mächtig und gross, eroberte, nachdem er aus dem gelobten Lande endlich durch die Übermacht der Saracenen 1298 verdrängt war, die Insel Rhodus im J. 1309, und blieb einige Jahrhunderte in dem Besitze derselben. Daher heissen diese auch Rhodiser Ritter. Im J. 1522 vertrieb sie der türkische Sultan Soliman II. aber gänzlich von dieser Insel, und der Orden hatte eine Zeitlang keinen souverainen Besitz. Endlich ertheilte ihm Carl V. Malta, wo die Ritter mehrere heftige Belagerungen von den Türken aushielten. In den neuesten Zeiten wurde aber diese Insel erst von den Franzosen und dann von den Engländern besetzt, die dieselbe noch jetzt behaupten. Auch verlor der Orden durch die Revolution, und die Auflösung des römisch-teutschen Reichs einen grossen Theil seiner auswärtigen, mittelbaren Besitzungen, die unter Gross Prioren standen. Der Grossmeister ist der Oberherr des Ordens. Nach ihm folgen die acht Conventual-Balleien, gleichsam die Grossbeamten des Ordens. - Fig. 3. stellt den eigentlichen Stifter des Ordens den ersten Grossmeister Raimund du Puy vor, der im J. 1160 starb. Fig. 4. zeigt einen zu dem protestantischen Herrmeisterthum Sonnenburg (welches sich durch die Reformation in manchen Stücken von den anderen Ordensrittern trennt, z.B. dass die Mitglieder sich verheurathen können) gehörenden Ritter in seiner Ordenskleidung.~~93
Ad00341 04 063a/engGarments VII. Vol. V. No. 61.
ORDERS OF KNIGHTS.
Fig. 1. and 2. Templars.
Fig. 3. and 4. Knights of the Order of S. John.
Ad00341 04 063a/freCostumes VII. Vol. V. No. 61.
ORDRES DE CHEVALERIE.
Fig. 1. et 2. Des Templiers.
Fig. 3. et 4. Chevaliers de l‘Ordre de St. Jean.
Ad00341 04 063a/itaVestimenti VII. Tom. V. No. 61.
ORDINI MILITARI.
Fig. 1. e 2. Tempieri.
Fig. 3. e 4. Cavalieri dell’ordine di S. Giovanni.
Ad00341 04 064aAuf Taf. LXI. sahen wir die Abbildung zweier geistlichen Ritterorden. Auf der gegewärtigen findet sich noch einer derselben (fig. 1.); die anderen drei Figuren stellen weltliche Ordens-Ritter dar. Mehrere Souverains haben nämlich zu besonderer Auszeichnung und Belohnung des Verdienstes Orden gestiftet, deren Glieder gewisse bestimmte Insignien (Kreuze, Sterne, Bänder u.s.w.), auch wohl bei feierlichen Gelegenheiten einen eigenen Anzug, die Ordenskleidung, tragen. Diese Orden erben nicht fort und unterscheiden sich darin von dem hohen und niederen Adel. Die Ritter sind auch zu keinen mönchischen Gelübden verpflichtet, wie die geistlichen Ordensritter.~~Fig. 1. Ritter des teutschen Ordens.~~Dieser Orden war zu der Zeit der Kreuzzüge aus gleicher Absicht im J. 1199 begründet, wie die Orden der Tempelherren und der Johanniter. Er eroberte in der Folge Preussen, was er durch die Folgen der Reformation wieder verlor, und behielt bis auf unsere Zeit ansehnliche Besitzungen in Teutschland, die zusammen das teutsche Hochmeisterthum machen. Der Sitz des Hochmeisters ist Mergentheim in Franken. Das Ordenszeichen ist ein stehende schwarzes Kreuz mit silberner Einfassung auf der linken Seite des weissen Mantels. Ein ähnliches emaillirtes Kreuz können auch die Ritter an einem schwarzen Bande am Halse tragen.~~Fig. 2. Ritter des goldenen Vliesses.~~Philipp der Gute, Herzog von Burgund, stiftete diesen weltlichen sehr angesehenen Orden im J. 1429, daher ihn jetzt Östreich und Spanien verleihen, weil sie die burgundischen Länder ehemals errerbten. Das Ordenszeichen ist ein goldenes hängendes Widerfell und über demselben ein runder Feuerstein mit goldenen Flammen. Gewöhnlich tragen es die Ritter an einem ponceau Farbenen Bande um den Hals, bei Feierlichkeiten aber an einer goldenen Kette auf der Brust.~~Fig. 3. Ritter des heil. Stephans.~~Im J. 1759 hatte Kaiserin Maria Theresia den nach ihr benannten Orden zur Belohnung verdienter Offiziere gestiftet, und stiftete den Sanct-Stephansorden im J. 1764, um verdiente adliche Civilbeamte auszuzeichnen. Den Namen führt der Orden dem ersten christlichen Könige von Ungarn zu Ehren. Im Ganzen dürfen nur 100 Ritter seyn, davon die ersten 20 Grosskreuze, die nächsten 30 Commandeurs und die übrigen Kleinkreuze sind. Hier ist ein Grosskreuz in seinem vollen Anzuge abgebildet. Das Ordenszeichen ist ein achteckiges grünemaillirtes Kreuz mit einem rothemaillirten Schilde in der Mitte, und wird an einem rothen Bande mit grünem Rande getragen.~~Fig. 4. Ritter des heil. Huberts.~~Dieser zum Andenken eines am St. Huberstage erhaltenen Siegs vom Herzog Gerhard V. von Jülich und Berg im J. 1444 gestiftete Orden, ward 1709 vom Kurfürsten J. Wilhelm von der Pfalz wieder erneuert. Bloss Personen aus fürstlichem, gräflichem freiherrlichem Geblüte (letztere müssen 16 Ahnen aufweisen) können aufgenommen werden. Das Ordenszeichen ist ein goldenes achtspiziges weiss emaillirtes Kreuz mit goldenen Knöpfen auf den Spitzen; in dem goldenen Mittelfelde befinden sich auf beiden Seiten Devisen und Embleme, die auf die Stiftung und Erneuerung des Ordens Bezug haben. Dies Kreuz wird an einem ponceaufarbenen grün eingefassten Bande von der linken Achsel gegen die rechte Hüfte zu, getragen, bei Solennitäten aber an einer goldenen Ordenskette um den Hals. Überdies tragen die Ritter noch einen mit mattem Silber auf die Kleidung gestickten Stern auf der linken Brust.~~93
Ad00341 04 064a/engGarments VIII. Vol. V. No. 62.
DIVERS ORDERS OF KNIGHTS.
Fig. 1. Knights of the Teutonic Order.
Fig. 2. Knights of the golden Fleece.
Fig. 3. Knights of S. Stephan
Fig. 4. Knights of S. Hubert.
Ad00341 04 064a/freCostumes VIII. Vol. V. No. 62.
DIFFÉRENS ORDRES DE CHEVALERIE.
Fig. 1. CHEVALIER de l’Ordre teutonique.
Fig. 2. CHEVALIER de la Toison d’or.
Fig. 3. Chevalier de St. Etienne.
Fig. 4. Chevalier de S. Hubert.
Ad00341 04 064a/itaVestimenti VIII. Tom V. No. 62.
DIVERSI ORDINI MILITARI.
Fig. 1. Cavalieri dell’ordine teutonico.
Fig. 2. Cavalieri dell’ordine del tosone.
Fig. 3. Cavalieri dell’ordine di S. Staffano.
Fig. 4. Cavalieri dell’ordine di S. Uberto.
Ad00341 04 065aFig. 1. Der Bascha.~~Der Bascha ist eine Art von Falken, welche in den ödesten Felsengegenden des südlichen Afrika vorzüglich von den dort häufigen Klippdachsen und anderen kleinen Thieren einsam lebt. Mit grösster Geduld und völlig unbeweglich lauert er oft mehrere Stunden lang von dem Gipfel eines Felsens herab auf eine Beute. Auf dem Kopfe trägt er einen Busch von weissen Federn mit schwarzen Spitzen horizontal gegen den Rücken ausgebreitet. Die Hauptfarbe des Gefieders ist erdbraun, hier und da weiss gefleckt. Ueber den Schwanz geht ein breiter, weissgelber Streif. Der Schnabel ist bleifarben, das Auge rothbraun, Flüsse, Zehen und Klauen sind schwärzlich.~~Fig. 2. Der Singfalke.~~Der Singfalke ist so gross, als unser gewöhnlicher Falke und zeichnet sich vor allen Raubvögeln durch seinen Gesang aus, den das Männchen in der Paarungszeit hören lässt. Er hat ein sehr schönes perlenfarbenes, graublau gestreifes Gefinder, schwarze Flügel, Schnabel und Klauen. Er ist sehr gefrässig und jagt Hasen, Repphüner, Wachteln und dergl. Bis jetzt hat man ihn nur im südlichen Afrika gefunden.~~Fig. 3. Der Corbivau.~~Dieser Vogel, der zwischen dem Geier und dem Raben mitten innen steht, ist gleichfalls in Süd-Afrika zu Hause. Seine Flügel reichen weit über den Schwanz, was sonst bei den Raben nicht der Fall ist. Er ist ganz schwarz mit Ausnahme eines grossen weissen Flecks im Nacken, von dem sich ein weisser Streifen um die Brust herum zieht. Seine Hauptnahrung besteht zwar in todten Thieren, doch fällt er auch junge Lämmer, junge Gazellen u.s.w. an.~~Fig. 4. Der Geismelker mit dem Gabelschwanze.~~Durch den gabelförmigen Schwanz zeichnet sich dieser Geismelker vor den anderen Arten dieser Gattung aus. Man hat ihn bis jetzt nur in Süd-Afrika und selten gefunden. Er ist etwa so gross, als unsere Steinaule und von braunem Gefieder; das mit Schwarz, Rothbraun und Weiss artig gefleckt ist. Wenn der Schnabel dieses Vogels geschlossen ist, so bemerkt man nur den kleinen Haken, der dessen Spitze bildet, und er scheint dann sehr klein. So wie er ihn aber öffnet, erstaunt man über die Grösse desselben. Bei Tage kann dieser Geismelker wenig sehen, ist aber in der Nacht um so lebhafter.~~Fig. 5. Der Hauben-Falke.~~Dieser kleine Raubvogel ist von der Grösse einer gewöhnlichen Taube und lebt in Afrika an den Gewässern vorzüglich von Fischen. Auf dem Kopfe trägt er eine stattliche Haube, die er im Zorn oder in der Freude emporzuheben und auszubreiten pflegt. Der Rücken ist schieferblau, der Bauch schmutzigweiss und schwarz gestreift. Die Spitze des Unterschnabels ist bei dieser, wie bei folgender Art, wie senkrecht abgeschnitten.~~Fig. 6. Der Chicquera.~~Eine kleine in Hindostan lebende, noch nicht sehr bekannte Falkenart, die dem Haubenfalken sehr ähnlich ist, nur dass sie keine Haube hat. Kopf und Hals sind oberhalb rostbraun, Rücken, Flügel und Schwanz graublau und letztere beide gestreift. Ueber das Ende des Schwanzes geht ein breiter schwarzer Streifen. Quer über den weissen Unterleib gehen gleichfalls leichte schwarzgraue Linien. Füsse und Augen sind schön hochgelb.~~93
Ad00341 04 065a/engBirds LXXI. Vol. V. No. 63.
AFRICAN BIRDS.
Fig. 1. The Bacha.
Fig. 2. The Singing Falcon.
Fig. 3. The Corbivau.
Fig. 4. The Forktailed Goat-Sucker.
Fig. 5. The Crested Falcon.
Fig. 6. The Chivquera.
Ad00341 04 065a/freOiseaux LXXI. Vol. V. No. 63.
OISEAUX AFRICAINS.
Fig. 1. Le Bacha.
Fig. 2. Le Faucon Chanteur.
Fig. 3. Le Corbivau.
Fig. 4. L’Engoulevent à queue fourchue.
Fig. 5. Le Faucon huppé.
Fig. 6. Le Chicquera.
Ad00341 04 065a/itaUccelli LXXI. Tom. V. No. 63.
UCCELLI AFRICANI.
Fig. 1. Il Bassà.
Fig. 2. Il Falcone cantatore.
Fig. 3. Il Corbivone.
Fig. 4. Il Caprimulgo.
Fig. 5. Il Falcon cappelluto.
Fig. 6. Il Chicquera.
Ad00341 04 066aFig. 1. Der Windenschwärmer. (Sphinx convolvali.)~~Der Windig oder Windenschwärmer ist einer der grösten teutschen Dämmerungsfalter der manche Jahre sich ziemlich häufig findet. Da er stark nach Bisam riecht, so hat man ihm auch den Namen Bisamvogel gegeben. Er misst 4 Zoll in der Breite, und wir sehen ihn hier in natürlicher Grösse abgebildet. Der Windig findet sich an Sommerabenden in Gärten an den Blüten des Seifenkrauts, der Windenblumen und des Geisblatts, wo er mit erstaunlicher Schnelligkeit von Blüte zu Blüte fliegt, und ein schnurrendes Geräusch macht. Die Hauptfarbe des Körpers ist grau und bräunlich, und der Leib ist durch roth und schwarze Querstreifen schön gezeichnet. Die Raupe, die anfangs grün gefärbt ist, (B) wird zuletzt braun (C). Sie lebt auf verschiedenen Arten von Winden. Im Herbste spinnt sie sich in lockere Erde ein, wird zur braunen Puppe (D), in welchem Zustande sie den Winter über bleibt.~~Fig. 2. Der Ligusterschwärmer. (Sphinx Ligustri.)~~Dieser schöne Dämmerungsfalter findet sich im Frühjahre in der Dämmerung am blühenden Geisblatt. Die Oberflügel sind gelblich und bräunlich geflammt; die rosenrothen Unterflügel haben, so wie der Leib schwarze Querstreifen.~~Die gelbgrüne Raupe (b) hat weiss und violette Querstreifen, die ihr ein schönes Ansehen geben. Sie lebt im Julius und August auf den Blättern des gemeinen Hartriegels und des spanischen Hollunders Nachdem sie sich mehreremal gehäutet hat, verwandelt sie sich in die Puppe (c), liegt den Winter über unbeweglich, und erst im folgenden Jahre im Mai oder Junius kömmt der schöne Dämmerungsfalter zum Vorscheine.~~93
Ad00341 04 066a/engInsects XXXVIII. Vol. V. No. 64.
BEAUTIFUL GERMAN BUTTERFLIES.
Fig. 1. The bindweed Sphinx. (Sphinx convolvuli.)
Fig. 2. The privet Sphinx. (Sphinx Ligustri.)
Ad00341 04 066a/freInsectes XXXVIII. Vol. V. No. 64.
DE BEAUX PAPILLONS D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Sphinx du Liseron. (Sphinx convolvuli.)
Fig. 2. Le Sphinx du Troëne. (Sphinx Ligustri.)
Ad00341 04 066a/itaInsetti XXXVIII. Tom. V. No. 64.
BELLE FARFALLE DI GERMANIA.
Fig. 1. La Sfinge di velucchi. (Sphinx convolvuli.)
Fig. 2. La Sfinge de Ligustro. (Sphinx Ligustri.)
Ad00341 04 067aDie ägyptische Seerose oder ächte Lotuspflanze. (Nymphaea Lotus.)~~Wir lernten in unserem Bilderbuche in diesem Bande bereits die blaue und die rosenrothe Seerose kennen; hier sehen wir nun die ägyptische Seerose oder ächte Lotuspflanze, die die alten Ägyptier als heilige Blume verehrten, und auf ihren heiligen Denkmälern abbildeten. Diese schöne Wasserpflanze findet sich in Ägypten vorzüglich in den stehenden Gewässern, durch die Überschwemmung des Nils gebildet. Da von diesen Überschwemmungen die Furchtbarkeit jenes Landes abhängt und die Lotuspflanze sie verkündigte, so entstand daraus eines Theils ihre Verehrung; ferner bemerkte man, dass die Lotuspflanze am Morgen, (wo die Blume ganz geöffnet ist), sich über das Wasser erhebe, am Abend aber (wo die Blätter sich schlissen) sich in das Wasser zurückzöge. Hieraus schloss man, dass diese Pflanze im Bezug mit der Sonne stehen müsse, und weihte sie diesem Gestirn. Daher findet man auf den ägyptischen Hieroglyphen, den Horus, Osiris u.s.w. mit dieser heiligen Blume so wohl aufgeblüht, als auch als Knospe, abgebildet.~~Die ächte Lotuspflanze hat eine grosse weiss und in das Rosenrothe spielende Blume. Die breiten schildförmigen Blätter sind ausgezahnt, oben dunkelgrün, unten leberbraun gefärbt. Sie sitzen an langen Stielen, und schwimmen auf der Oberfläche des Wassers. Die knolligen Wurzeln sind wie die Saamenkörner mehlig und wurden von den alten Ägyptiern ämsig gesammelt und gegessen. Doch da der Geschmack nicht vorzüglich ist, so achtet man jetzt wenig mehr darauf.~~93
Ad00341 04 067a/engPlants XCVII. Vol. V. No. 65.
THE GENUINE LOTOS PLANT.
The Egyptian Sea-rose or genuine Lotos-plant. (Nymphaea Lotus.)
Ad00341 04 067a/frePlantes XCVII. Vol. V. No. 65.
LE VÉRITABLE LOTOS D’EGYPTE.
Le Nénuphar Lotus ou le véritable Lotos d’Egypte. (Nymphaea Lotus.)
Ad00341 04 067a/itaPiante XCVII. Tom. V. No. 65.
IL LOTO SCHIETTO.
Il Loto Schietto. (Nymphaea Lotus.)
Ad00341 04 068aDiese Tafel stellt die vornehmsten Ritterorden der vier nördlichen europäischen Reiche dar.~~Fig. 1. Ritter des schwarzen Adler-Ordens.~~Wie Kurfürst Friedrich III., Markgraf zu Brandenbrug sich im J. 1701 zum Könige von Preussen erhob, stiftete er diesen berühmten Orden am Tage vor seiner Krönung. Das Ordenszeichen ist ein goldenes, blauemaillirtes, dem maltesischen ähnliches Kreuz, in dessen Mitte der Name des Königs F.R. verschlungen, und in jeder der vier Mittel-Ecken ein schwarzer Adler mit ausgebreiteten Flügeln gebildet ist. Es wird gewöhnlich an einem orangefarbenen Bande von der rechten Schulter gegen die linke Hüfte zu getragen; bei Anlegung der völligen Ordenskleidung aber an der grossen goldenen Ordenskette. An der linken Seite tragen die Ritter einen auf den Rock gestickten silbernen Stern mit einem fliegenden Adler in der Mitte, der in einer Klaue einen Lorbeerkranz und in der andern einen Donnerkeil hält, und der Unterschrift: Suum cuique! (Jedem das Seine!) Der König ist allemal Grossmeister und ausser den Personen der königlichen Familie sollen nicht mehr als 30 Ritter seyn. Ihre Zahl ist gewöhnlich grösser.~~Fig. 2. Ritter des Andreas Ordens.~~Zaar Peter der Grosse stiftete diesen Orden im J. 1689, vorzüglich um die Tapferkeit gegen die Türken zu belohnen. Kaiserin Anna erneuerte ihn. Das Ordenszeichen ist ein goldener, schwarz emaillirter Adler mit zwei Köpfen. Auf dessen Brust ist ein blau emaillirtes Andreas- oder Burgundisches Kreuz (wie ein X) und auf diesem der Schutzpatron Russlands, St. Andreas in erhabener Arbeit, angenagelt vorgestellt. Bei feierlichen Gelegenheiten trägt man dieses Kreutz an der Ordenskette, sonst aber an einem blauen Bande von der rechten Schulter nach der linken Hüfte. In der Mitte des achteckigen, silbernen, auf der linken Seite des Mantels und Rocks gestickten Sterns, steht gleichfalls der heil. Andreas gekreuzigt.~~Fig. 3. Ritter des Seraphinen-Ordens.~~Man kennt weder Stifter noch Stiftungsjahr dieses vornehmsten schwedischen Ordens genau. Wahrscheinlich aber stiftete ihn Magnus III. (Erickson oder Smek) zwischen den Jahren 1433-36. Sein ursprünglicher Zweck war vornämlich Vertheidung der Religion und ihrer Diener. König Friedrich I. stellte ihn nach langer Vergessenheit im J. 1748 in seiner jetzigen Gestalt wieder her. Das Ordenszeichen ist ein goldenes, emaillirtes achtspitziges Kreutz, in dessen Mitte der Name: Jesus steht. In den Winkeln des Kreutzes sind vier Engel- oder Seraphinenköpfe angebracht. Gewöhnlich wird es an einem blauen Bande, bei Feierlichkeiten an der goldenen Ordenskette getragen. Der Stern auf der linken Brust und dem Mantel ist achtspitzig, dessen Mitte und vier Ecken eben so wie das Kreutz verziert sind.~~Fig. 4. Ritter vom weissen Eleplanten.~~König Kanut IV. von Dänemark soll diesen Orden um 1190 nach seiner Rückkehr von einem Kreutzzuge in das gelobte Land gestiftet haben. Christian I. erneuerte ihn im J. 1458. Sein Hauptzweck war Vertheidung der Kirche. Nach der Reformation erhielt er eine andere Einrichtung. Das Ordenszeichen ist ein weiss emallirter Elephant mit einem goldenen Thurme auf dem Rücken. Es wird an einem blauen Bande von der linken gegen die rechte Seite getragen. Bei öffentlichen Festen hängt es aber an der grossen Ordenskette um den Hals. Auf der linken Brust haben die Ritter einen silbernes Kreuz auf einer rothen Sammetfläche befindet.~~94
Ad00341 04 068a/engGarments IX. Vol. V. No. 66.
DIVERS ORDERS OF KNIGHTS.
Fig. 1. Knights of the order of the black eagle.
Fig. 2. Kinights of the order of S. Andrew.
Fig. 3. Kinights of the Seraphins order.
Fig. 4. Knights of the white Elephant.
Ad00341 04 068a/freCostumes IX. Vol. V. No. 66.
DIFFÉRENS ORDRES DE CHEVALERIE.
Fig. 1. Chevalier de l’ordre de l’Aigle noire.
Fig. 2. Chevalier de l’Ordre de St. André.
Fig. 3. Chevalier de l’Ordre du Séraphins.
Fig. 4. Chevalier de l’Ordre de l’Eléphant blanc.
Ad00341 04 068a/itaVestimenti IX. Tom. V. No. 66.
DIVERSI ORDINI MILITARI.
Fig. 1. Cavalieri dell’ordine dell’Aquila nera.
Fig. 2. Cavalieri dell’ordine di Sant Andrea.
Fig. 3. Cavalieri dell’ordine Serafico.
Fig. 4. Cavalieri dell’ordine dell’Elefante bianco.
Ad00341 04 069aFig. 1. Die Escheneule oder das blaue Ordensband. (Phalaena noctua fraxini.)~~Dieser schöne Nachtfalter ist sehr selten. Er findet sich im August und September in dunkeln Hainen. Die Oberflügel sind grau marmorirt, die Unterflügel aber schwarz und mitten durch läuft ein blaues Band, weswegen er auch das blaue Ordensband genannt wird. Die graue Raupe wird im Mai, Junius auf Eichen und Eschen gefunden. -~~Fig. 2. Die Ampfer-Eule. (Phalaena noctua paranympha.)~~Die Ampfer-Eule oder die Brautjungfer gehört zu den seltenen Nachtvögeln. Die grauen Oberflügel sind marmorirt, die oraniengelben Unterflügel aber mit schwarzen Streifen durchzogen. Dieser Nachtvogel, so wie die übrigen dieser Tafel, sind in natürlicher Grösse abgebildet. Die Raupe findet sich auf Pflaumen-, Schlehen- und Zwetschenbäumen.~~Fig. 3. Der russische Bär. (Phalaena noctua Hera.)~~Gleichfalls selten. Ein schöner Nachtvogel, mit dunkel-olivengrünen Oberflügeln, und hochrothen Unterflügeln. Die gelbe Raupe A ist ganz mit Haaren besetzt.~~Fig. 4. Die Rotheichen-Eule. (Phalaena noctua Sponsa.)~~Dieser Nachtfalter führt auch die Namen das rothe Ordensband, die Motte aller Motten, und findet sich im Julius und August in Wäldern, und an Strassen die mit Bäumen besetzt sind, wo er selbst am Tage herumfliegt. Die Unterflügel sind schön roth gefärbt mit schwartzen Queerbändern. Die höckerige Raupe (a) findet sich im Mai, Junius und Julius auf den Eichen. Sie verwandelt sich in die graue Puppe (b). -~~94
Ad00341 04 069a/engInsects XXXIX. Vol. V. No. 67.
RARE GERMAN MOTHS.
Fig. 1. The clifton Non pareil. (Phalaena noctua fraxini.)
Fig. 2. The orange underwing Moth (Phalaena noctua paranympha.)
Fig. 3. The high red underwing Moth. (Phalaena noctua Hera.)
Fig. 4. The crimson underwing Moth. (Phalaena noctua Sponsa.)
Ad00341 04 069a/freInsectes XXXIX. Vol. V. No. 67.
DE RARES PAPILLONS NOCTURNES D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Cordon bleu. (Phalaena noctua fraxini.)
Fig. 2. La Phalène de l’oseille. (Phalaena noctua paranympha.)
Fig. 3. L’Ours russe. (Phalaena noctua Hera.)
Fig. 4. Le Cordon rouge. (Phalaena noctua Sponsa.)
Ad00341 04 069a/itaInsetti XXXIX. Tom. V. No. 67.
FALENE RARE DELLA GERMANIA.
Fig. 1. La Falena de’frassini, ossia la tracolla azzurra. (Phalaena noctua fraxini.)
Fig. 2. La Falena delle Acetose. (Phalaena noctua paranympha.)
Fig. 3. La Falena russa (Phalaena noctua Hera.)
Fig. 4. La Falena della quercia salvatica. (Phalaena noctua Sponsa.)
Ad00341 04 070aFig. 1. Die Europäische Linde. (Tilia Europaea.)~~Die gemeine Linde findet sich ausser Teutschland, fast durch ganz Europa verbreitet. Häufig ist sie aber im Norden, vorzüglich in Russland. Sie bildet einen schönen majestätischen Baum, den man seiner breiten Aeste und schönen Krone wegen, gern zu Alleen braucht, und in Lustgärten häufig pflanzt. Im April kommen die herzförmigen, ausgezahnten, vorn zugespitzen Blätter zum Vorschein, und um Johannis die süssduftenden Blüthenbüschel, welche eine Hauptnahrung der Bienen sind. Das Holz dieses Baums ist weiss, sehr leicht und weich, und wird vorzüglich zu Drechsler- und Schnitzarbeiten gebraucht; zum Brennen und zum Bauen taugt es nicht. Die daraus gebrannte Kohle dient zum Zeichnen, und aus dem zähen Bast zwischen dem Splint und der äussern Rinde, werden die bekannten braunen Bastmatten gefertigt, die zum Einpacken der Kaufmannsgüter so häufig verraucht werden.~~Fig. 2. Die Stieleiche. (Querucus pedunculata.)~~Unter den 30 Arten von Eichen, die man jetzt kennt, ist die Stiel oder Sommereiche eine der bekanntesten und nutzbarsten und findet sich wildwachsend in allen Wäldern von Europa sehr häufig. Die Eiche wächst zweihundert Jahre lang, dauert aber dann wohl bis zu 1000 Jahren, das Holtz ist bekanntlich von ausserordentlicher Festigkeit und Dauer, und lässt sich zum Bauen und zu Geräthschaften aller Art vortrefflich anwenden. - Die Sommereiche hat tief eingeschnittene, an einem längern Stiele sitzende Blätter. Aus der Blüthe (a) entsteht die Frucht oder Eichel. Der Fruchtkern (d) sitzt in einer napfförmigen Hülfe (e). Durch den Stich der Gallwespe setzen sich die Eichäpfel (b und c) an, die aber nicht so gut als die ausländischen sind.~~94
Ad00341 04 070a/engPlants XCVIII. Vol. V. No. 68.
GERMAN FOREST TREES.
Fig. 1. The European Lime-tree. (Tilia Europaea.)
Fig. 2. The common Oak. (Quercus pedunculata.)
Ad00341 04 070a/frePlantes XCVIII. Vol. V. No. 68.
ARBRES FORESTIERS D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Tilleul d’Europe. (Tilia Europaea.)
Fig. 2. Le Chêne commun à longs pédoncules. (Quercus pedunculata.)
Ad00341 04 070a/itaPiante XCVIII. Tom. V. No. 68.
ALBERI BOSCARECCI DI GERMANIA.
Fig. 1. Il Tiglio. (Talia Europaea.)
Fig. 2. La Quercia. (Quercus pedunculata.)
Ad00341 04 071aFig. 1. Der Kalmar-Dintenwurm. (Sepia Loligo.)~~Der Kalmar gehört zu den Dintenwürmern, die wir schon auf Taf. 57 kennen lernten. Er wird 3 Fuss lang, und findet sich fast in allen Meeren. Den Körper umgiebt eine hornartige Haut, die gelbweiss und röthlich ist, und unten zwei Flügel oder Flossen hat. Am Kopfe sitzen zehn Arme, und zwischen ihnen der Mund. Die Dintenblase befindet sich im obern Theile des Körpers. Der Kalmar wird in Italien gegessen.~~Fig. 2. Der pfeilförmige Dintenwurm. (Sepia sagittata.)~~Dieser findet sich im atlantischen Ocean, und hat von seinen pfeilförmigen Flossen den Namen. Der Körper ist weissgelblich, und mit kleinen Punkten bedeckt. Er wird übrigens 5 Fuss lang.~~Fig. 3. und 4. Der Riesen-Dintenwurm. (Sepia octopodia.)~~Dieses ist der berüchtigte Meerpolyp der Alten, von dem sie so viele Fabeln verbreiteten. Er ist aber allerdings auch ein gefährliches Thier, das mit den Armen sieben bis acht Fuss lang wird. Wir sehen ihn hier bei Fig. 3. Auf dem Rücken und bis Fig. 4. Auf der Bauchseite abgebildet. Seine acht Arme sind auf der untern Seite mit zahllosen kleinen Saugwärtzchen besetzt, womit er sich an alle Gegenstände, die er ergreift, festsaugt. Er ist sehr gefrässig, und fällt mit Wuth über seine Beute, die in allen Thieren, die er bezwingen kann, besteht, her. Man trifft ihn fast in allen Meeren an, wo er sich durch Eier fortpflanzt.~~Fig. 5. Der gekörnelte Dintenwurm. (Sepia granulata.)~~Er gleicht dem vorigen an Grösse, Farbe und Lebensart, und unterscheidet sich bloss dadurch, dass der ganze Körper mit kleinen Wärtzchen besetzt ist.~~94
Ad00341 04 071a/engWorms IX. Vol. V. No. 69.
MOLLUSKS OR SMOOTH WORMS.
Fig. 1. The Fleeve. (Sepia Loligo.)
Fig. 2. The Harpoon Calmory. (Sepia sagittata.)
Fig. 3. and 4. The Preke Pour contrel. (Sepia octopodia.)
Fig. 5. The grained Ink-fish. (Sepia granulata.)
Ad00341 04 071a/freVers IX. Vol. V. No. 69.
DES MOLLUSQUES.
Fig. 1. Le Calmar, Casseron ou Cornet. (Sepia Loligo.)
Fig. 2. Le Calmar flêche. (Sepia sagittata.)
Fig. 3. et 4. Le Poulpe commun ou la Sèche octipode. (Sepia octopodia.)
Fig. 5. Le Poulpe fraisé ou granuleux. (Sepia granulata.)
Ad00341 04 071a/itaVermi IX. Tom. V. No. 69.
I MOLLUSCHI.
Fig. 1. La Sepia, detta il Calmar. (Sepia Loligo.)
Fig. 2. La Sepia in Forma di Saetta. (Sepia sagittata.)
Fig. 3. e 4. La Sepia di otto piedi. (Sepia octopodia.)
Fig. 5. La Sepia granosa. (Sepia granulata.)
Ad00341 04 072aFig. 1. Das Nordlicht.~~Die wohlthätigste Naturerscheinung für die nach dem Nordpole zu liegenden Länder ist das Nordlicht. Hiedurch werden die ungewöhnlich langen Winternächte erhellet, und minder traurig für die Bewohner jener Gegenden. Das Nordlicht ist nichts anders als eine elektrische Lufterscheinung. In den Polarländern des Nordens, wo Schnee und Eis die Erde fast immer bedeckt, kann sich die Electricität weder durch Gewitter noch durch unmerkliche Strömungen in die Erde entladen. Sie häuft sich daher in der Luft ungewöhnlich an, bricht endlich nach oben zu aus, und bildet am Himmel grosse feurige Lichtstrahlen, wie wir sie bei Fig. 1. Abgebildet sehen. Hierdurch wird die Nacht so hell, dass man jeden Gegenstand genau unterscheiden kann. Wenn sich das Nordlicht bis zur Höhe von 150 bis 200 Meilen über die Oberfläche der Erde erhebt, so sehen wir es dann auch in unsern Gegenden. Am Südpol heisst diese Erscheinung das Südlicht.~~Fig. 2. Die Sonne um Mitternacht.~~Aus der Umdrehung der Erde um ihre Axe, und ihrer Stellung gegen die Sonne entsteht die Verschiedenheit des Tags und der Nacht, und ihrer Dauer. Gegen die Pole zu kommt man endlich zu einem Punkt, wo die Sonne am längsten Tage gar nicht untergeht, sondern wenn sie sich um Mitternacht dem Horizont so weit genähert, dass sie untergehen will, so fängt sie an wieder zu steigen, so dass sie also 48 Stunden über dem Horizonte bleibt. An dem äussersten Punkte an den Polen, wo sich die Erde um ihre Axe dreht, läuft die Sonne sechs Monate im Kreise herum, ohne zu verschwinden, und sechs Monate dagegen ist es fortdauernd Nacht. - Wir sehen auf gegenwärtiger Tafel diese merkwürdige Erscheinung, wie die Sonne um Mitternacht, dem Reisenden Skjöldebrand am Nordcap, dem nördlichen Vorgebirge von Europa, erschien.~~94
Ad00341 04 072a/engMiscellaneous Subjects LXI. Vol. V. No. 70.
NOTHERN APPEARANCES.
Fig. 1. The norhern Light.
Fig. 2. The Sun at midnight.
Ad00341 04 072a/freMélanges LXI. Vol. V. No. 70.
PHÉNOMÈNES DU NORD.
Fig. 1. L’Aurore boréale.
Fig. 2. Le Soleil à minuit.
Ad00341 04 072a/itaMiscellanea LXI. Tom. V. No. 70.
FENOMENI SETTENTRIONALI.
Fig. 1. L’Aurora boreale.
Fig. 2. Il Sole di mezza notte.
Ad00341 04 073aFig. 1. Die Canadische Ratte. (Mus bursarius.)~~Diese sonderbar gebildete Ratte kennen wir erst seit dem Jahr 1798, wo sie von den Einwohnern von Canada gefunden wurde. An den Seiten des Kopfes sitzen zwei hautige Beutel von grauer Farbe, die ihr ein gar sonderbares Ansehen geben. Wozu diese Beutel dienen, wissen wir nicht. Der Körper ist mit graubraunen Haaren bedeckt, der Kopf sitzt ganz dicht am Rumpf und ist mit einem starken scharfen Gebiss versehen. Die Vorderpfoten haben starke Klauen, und scheinen sehr geschickt zu seyn in der Erde zu wühlen. Von der Lebensweise dieser merkwürdigen Ratte ist uns noch gar nichts bekannt.~~Fig. 2. Die weisse Hausmaus. (Mus musculus. Var. alba.)~~Es ist eine bekannte Sache, dass die Thiere, die man zähmt, oder zu Hausthieren macht, öfters auch die weisse Farbe annehemen; vorzüglich ist dieses bei den Kaninchen der Fall. Hierzu kann man nun gewissermassen auch unsere Hausmaus rechnen, die sich stets in den Wohnungen der Menschen aufhält. Oefters findet man unter ihnen auch weisse Mäuse, die zur Seltenheit in kleinen Käfichen gehalten werden. Sie sind aber, wie alle ausgearteten weissen Thiere, sehr zärtlich. Als Merkwürdigkeit wollen wir noch das Haar der Mäuse unter dem Microscope vergrössert betrachten. - Es zeigen sich nämlich inwendig spiralförmige Abtheilungen, die durch ihre Regelmässigkeit in Erstaunen setzen, und wahrscheinlich zur Circulation der Säfte, wodurch die Haare ihre Nahrung erhalten, dienen.~~95
Ad00341 04 073a/engQuadrupedes LXXIV. Vol. V. No. 71.
REMARKABLES SUCKING ANIMALS.
Fig. 1. The Canada Rat. (Mus bursarius.)
Fig. 2. The Common mouse, white var. (Mus musculus. Var. alba.)
Ad00341 04 073a/freQuadrupèdes LXXIV. Vol. V. No. 71.
MAMMIFÈRES RAMARQUABLES.
Fig. 1. Le Rat du Canada. (Mus bursarius.)
Fig. 2. La Souris domestique blanche. (Mus musculus. Var. alba.)
Ad00341 04 073a/itaQuadrupedi LXXIV. Tom V. No. 71.
ANIMALI LATTANTI.
Fig. 1. Il Topo della Canada. (Mus bursarius.)
Fig. 2. Il Sorcio bianco. (Mus musculus. Var. alba.)
Ad00341 04 074aDie grösste Heuschrecke. (Gryllus cristatus.)~~Im Morgenlande, in Syrien, Palästina und Klein-Asien findet sich diese grösste aller Heuschrecken, die wir hier in natürlicher Grösse abgebildet sehen. Sie ist schön bunt gefleckt, denn der Leib ist roth, die Flügel aber gelb und olivengrün gezeichnet, und mit den Flügeln macht sie ein starkes schnarrendes Geräusch. - Wegen ihrer starken Vermehrung sammeln sich oft zahllose Schwärme dieser Heuschrecken, die wie eine Wolke die Luft fast verdunkeln, und ganze Landstriche, wo sie sich niederlassen, verheeren. Sie fressen alle Pflanzen bis auf das Gras rein auf. - In den Morgenländern werden sie ihrer Grösse wegen gegessen, und dieses ist der einzige Nutzen, den man von ihnen ziehen kann.~~95
Ad00341 04 074a/engInsects. XL. Vol. V. No. 72.
REMARKABLE INSECTS.
The gigantic Grasshopper. (Gryllus cristatus.)
Ad00341 04 074a/freInsectes. XL. Vol. V. No. 72.
INSECTES REMARQUABLES.
La Sauterelle géante. (Gryllus cristatus.)
Ad00341 04 074a/itaInsetti XL. Tom. V. No. 72.
INSETTI RIMARCHEVOLI.
Il Grillo cristato. (Gryllus cristatus.)
Ad00341 04 075aFig. 1. Der Pappelschwärmer. (Sphinx populi.)~~Dieser Abendvogel ist hier in natürlicher Grösse abgebildet. Die Ober- und Unterflügel sind von grauer und brauner Farbe, was in sanften marmorartigen Schattirungen in einander übergeht. Die hellgrüne Raupe (A) findet sich auf Pappeln und Weisen, und ist mit schrägliegenden gelben Querlinien gezeichnet. Sie verwandelt sich in die dunkelbraune Puppe (B).~~Fig. 2. Der Lindenschwärmer. (Sphinx tiliae.)~~Schöner als der vorige ist der grüne Lindenschwärmer. Die eckigen blassröthlichen Ober-Flügel sind mit verschiedenen dunkelgrünen Flecken bedeckt. Die Unter-Flügel sind Ockergelb. Die Meergrüne Raupe (a) trifft man auf Aepfel- und Birnbäumen, am meisten aber auf den Linden an. Ihre chagrinartige Haut ist nach der Quere mit gelb und rothen Binden bedeckt. Die schwarzbraune Puppe (b), in die sich die Raupe gegen den Herbst verwandelt, bleibt bis zum nächsten Frühling liegen, wo dann unser Dämmerungs-Falter auschlüpft. -~~3. Der mittlere Weinschwärmer (Sphinx Elpenor.)~~Der Weinschwärmer ist vortrefflich gezeichnet. Seine grünen Oberflügel haben drei rosenfarbene Streifen. Die Unterflügel sind halb schwarz, halb rosenroth. Die grosse braune Raupe (A), deren Kopf sich ganz spitzig endet, lebt vorzüglich auf dem Weinstock, dem Weiderich und dem Spring-Saamenkraut. Sie verwandelt sich in die Puppe (B), aus welcher im Rühling unser Weinschwärmer zum Vorschein kommt, und auf den Blüten der Linden, des Jelänger-Jelieber, und andern blühenden Gesträuchen angetroffen sind. -~~95
Ad00341 04 075a/engInsects XLI. Vol. V. No. 73.
BEAUTIFUL GERMAN HAWK-MOTHS.
Fig. 1. The Poplar Sphinx. (Sphinx populi.)
Fig. 2. The lime-tree Sphinx. (Sphinx tiliae.)
Fig. 3. The trunked Sphinx. (Sphinx Elpenor.)
Ad00341 04 075a/freInsectes XLI. Vol. V. No. 73.
DE BEAUX SPHINX D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Sphinx du peuplier. (Sphinx populi.)
Fig. 2. Le Sphinx du tilleul. (Sphinx tiliae.)
Fig. 3. Le Sphinx des vignes. (Sphinx Elpenor.)
Ad00341 04 075a/itaInsetti XLI. Tom. V. No. 73.
BELLE SFINGI DELLA GERMANIA.
Fig. 1. La Sfinge del pioppo. (Sphinc populi.)
Fig. 2. La Sfinge del tiglio. (Sphinx tiliae.)
Fig. 3. La Sfinge della vite. (Sphinx Elpenor.)
Ad00341 04 076aFig. 1. Die gemeine Zwetsche. (Prunus domestica.)~~Die gemeine Zwetsche oder Pflaume (A) ist eine länglich runde blaue Frucht, die man in ganz Teutschland, und auch nach Norden zu findet. Ursprünglich mag aber der Zwetschenbaum aus dem Orient herstammen. Er wird 20, selten 30 Fuss hoch, trägt im April fünfblättrige weisse Blüten (B), und die wohlschmeckenden Früchte, die man auch gedörrt mehrere Jahre lang aufbewahren kann, reifen im September. Dieser Baum pflanzt sich durch Kerne und Wurzelschösslinge ohne grosse Mühe fort, doch liebt er etwas feuchten Boden. Das rothbraune Holz nimmt eine schöne Politur an, und wird zu feinen Tischler-Arbeiten gebraucht.~~Fig. 2. Die gemeine Stammkirsche. (Prunus avium.)~~Es giebt viele Arten von Kirschen, dieser so wohlschmeckenden runden Steinfrucht. Doch alle sind durch Veredlung aus der gemeinen Stammkirsche entstanden, von der es hellrothe (a) und dunkelrothe (c) giebt. Der gemeine Kirschenbaum findet sich wild in Teutschland, wächst sehr schnell, und wird 50 bis 60 Fuss hoch. Die schneeweissen Blüten sitzen Straussförmig zusammen. Die Frucht ist sehr klein, süss von Geschmack, und wird häufig genossen. Von der dunkelrothen Art (c) stammt die vortreffliche Herzkirsche, und von der hellrothen Stammkirsche (a) die Frühherzkirsche ab. Das Holz ist gelbröthlich von Farbe, lässt sich poliren, und wird von den Tischlern verarbeitet.~~95
Ad00341 04 076a/engPlants XCIX. Vol. V. No. 74.
GERMAN FRUIT-SORTS.
Fig. 1. The common plum (Prunus domestica.)
Fig. 2. The common cherry. (Prunus avium.)
Ad00341 04 076a/frePlantes. XCIX. Vol. V. No. 74.
FRUITS D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. La Prune commune. (Prunus domestica.)
Fig. 2. La Mérise. (Prunus avium.)
Ad00341 04 076a/itaPiante XCIX. Tom. V. No. 74.
FRUTTA DELLA GERMANIA.
Fig. 1. La Prugna. (Prunus domestica.)
Fig. 2. Il Visciolo. (Prunus avium.)
Ad00341 04 077aFig. 1. Die gemeine Zucker-Rose (Rosa gallica. L.)~~Diese Rose hat ihre Namen, die Zucker-Rose davon erhalten, dass man in den Apotheken den sogenannten Rosen-Zucker, auch Rosen-Syrup davon macht, weil sie von allen Rosenarten am besten Geruch und Geschmack mittheilt. Sie wächst ziemlich hoch und findet sich häufig in unsern Gärten, weil sie den Winter sehr gut ausdauert. Ihre Blume ist nicht ansehnlich, etwas flatterig, und hat ein ins Carmesin fallendes dunkles Rosenroth.~~Fig. 2. Die grosse fleischfarbne Rose. (Rosa truncata carnea major.)~~Diese schöne Rose ist eine der reizendsten Blumen, welche man nur sehen kann. Ihre ansehnliche Grösse, ihre Fülle der Blätter, und ihre delicateste blasse Fleischfarbe, verbunden mit einem sehr angenehmen Geruche, machen sie zum Lieblinge aller Damen, so wie der Blumenliebhaber. Ihr Strauch ist niedrig und wird nicht über 3 Fuss hoch, hat ein lebhaftes Dunkelgrün, und viele starke gelbe Dornen. Er dauert sehr gut unsre Winter aus. Griechenland soll das Vaterland dieser schönen Rose seyn.~~95
Ad00341 04 077a/engRoses XVI. Vol. V. No. 75.
VARIETIES OF ROSES.
Fig. 1. The French-Rose. (Rosa gallica. L.)
Fig. 2. The large flesh-coloured Rose. (Rosa truncata carnea major.)
Ad00341 04 077a/freRoses XVI. Vol. V. No. 75.
ESPÈCES DE ROSES.
Fig. 1. Le Rosier de France. (Rosa gallica. L.)
Fig. 2. La Rose belle-fille. (Rosa truncata carnea major.)
Ad00341 04 077a/itaRose. XVI. Tom. V. No. 75.
SPECIE DI ROSE.
Fig. 1. La Rosa zuccherina. (Rosa gallica. L.)
Fig. 2. La Rosa scarnatina. (Rosa truncata carnea major.)
Ad00341 04 078aFig. 1. Die Nachtigall mit ihrem Neste.~~Wir lernten die Nachtigall, den lieblichsten Sänger des Waldes, schon früher kennen. Hier sehen wir das Männchen und Weibchen, die fast nicht zu unterscheiden sind, bei ihrem Nest abgebildet. Dieses baut die Nachtigall aus dürren Blättern, Grashalmen und Würzelchen locker zusammen, gewöhnlich nahe an der Erde in Hecken und Gebüschen. Sie legt hierein vier bis fünf Eier von schmutzig grüner Farbe, daraus nach 18 bis 20 Tagen die Jungen ausschlüpfen. Jetzt höret die Nachtigall auf zu singen, und scheint ihre ganze Sorgfalt auf die Ernährung der Jungen zu wenden. Die Nachtigall pflanzt sich wohl auch in der Gefangenschaft fort, allein nur selten.~~Fig. 2. Die Bastard-Nachtigall. (Motacilla Hippolais.)~~Die Bastard-Nachtigall macht eine eigne Art aus, sieht aber der gewöhnlichen Nachtigall sehr ähnlich, nur dass das Gefieder mehr in das Graue fällt. Das Weibchen unterscheidet sich vom Männchen durch die gelbliche Brust. Diese Nachtigall hat gleichfalls einen sehr angenehmen Gesang; sie findet sich in vielen Gegenden Teutschlands, zieht aber im Winter in wärmere Himmelsstriche. Ihr künstliches Nest, das aus Wolle und Grashalmen zusammengeflochten ist, macht sie zwischen den Zweigen niedriger Bäume, und legt 4 bis 5 dunkelfleischfarbene roth punctirte Eier darein.~~96
Ad00341 04 078a/engBirds LXXII. Vol. V. No. 76.
GERMAN SINGING BIRDS.
Fig. 1. The Nightingale with ist nest.
Fig. 2. The petti-chaps. (Motacilla Hippolais.)
Ad00341 04 078a/freOiseaux LXXII. Vol. V. no. 76.
OISEAUX DE CHANT D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Rossignol et son nid.
Fig. 2. Le Rossignol bâtard. (Motacilla Hippolais.)
Ad00341 04 078a/itaUccelli LXXII. Tom V. No. 76.
UCCELLI CANTATORI DELLA GERMANIA.
Fig. 1. Il Russignolo e’l suo nido.
Fig. 2. Il Beccafico cinerizio. (Motacilla Hppolais.)
Ad00341 04 079aFig. 1. Die gemeine Buche. (Fagus sylvatica.)~~Die gemeine oder Roth-Buche (zum Unterschied der Weissbuche) ist ein sehr nützlicher Baum, der in Teutschland allenthalben wild wächst, und 3 bis 400 Jahre alt wird. Er wird 70 bis 80 Fuss hoch, hat einen glatten, völlig cylinderischen Stamm, und ein röthliches Holz, welches zum Brennen, so wie zur Verfertigung vieler Geräthschaften vortrefflich taugt. Die Blätter sind eirund; im Mai erscheinen die Blüten, aus welchen die viertheilige Saamenkapsel entsteht, welche einen zimmtbraunen Kern, die Buchnuss enthält, woraus ein sehr wohlschmeckendes Oel geschlagen wird. Auch kann man die Buchnüsse essen.~~Fig. 2. Die gemeine Ulme. (Ulmus campestris.)~~Die gemeine Ulme oder Rüster findet sich durch ganz Europa, und ist ihres weissen harten Holzes wegen ein sehr nützlicher Baum, der in gutem Boden sehr hoch, und über hundert Jahre alt wird. Die eirunden vorn zugespitzten Blätter kommen nach der Blüte hervor. Der Saamen sitzt in seiner Kapsel Büschelweise zusammen, und wird schon im Junius reif. Hierdurch pflanzt sich die gemeine Ulme von selbst fort.~~96
Ad00341 04 079a/engPlants C. Vol. V. No. 77.
GERMAN FOREST-TREES.
Fig. 1. The common beech. (Fagus sylvatica.)
Fig. 2. The common Elm. (Ulmus campestris.)
Ad00341 04 079a/frePlantes C. Vol. V. No. 77.
ARBRES FORESTIERS D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Hétre commun. (Fagus sylvatica.)
Fig. 2. L’Orme commun. (Ulmus campestris.)
Ad00341 04 079a/itaPiante. C. Tom. V. No. 77.
ALBERI BOSCHERCICE DELLA GERMANIA.
Fig. 1. Il Faggio. (Fagus sylvatica.)
Fig. 2. L’olmo. (Ulmus campestris.)
Ad00341 04 080aFig. 1. Der Johannisbeerstrauch. (Ribes rubrum.)~~Die Johannisbeere ist eine bekannte teutsche Frucht, die in unsern Gärten häufig gezogen wird, und auf niedrigen Sträuchern wächst, die auch hie und da wild angetroffen werden. Die gelbgrünen Blütentrauben (A) kommen im Frühjahre noch vor den Blättern zum Vorschein; die Frucht, die gegen Johannis reif ist, besteht aus einer vielsaamigen Beere, die im wilden Zustande klein und hochroth von Farbe ist. Durch die Veredlung wird sie weit grösser, und man zieht weisse und fleischrothe Arten. Die Johannisbeere hat einen weinsäuerlichen guten Geschmack, man speist sie häufig roh; mit Zucker eingemacht, wird sie noch wohlschmeckender, auch bereitet man daraus einen guten Wein, der sich mehrere Jahre hält.~~Fig. 2. Der Stachelbeerstrauch. (Ribes grossularia.)~~Die Stachelbeere, auch Klosterbeere, wächst wild auf einem niedrigen mit Stacheln besetzten Strauche in ganz Teutschland, wird aber ihrer Nutzbarkeit wegen, da sie wohlschmeckend ist, auch allenthalben wie der Johannisbeerstrauch in Gärten gezogen. Die röthlichen Blüten (a) sitzen zu zweien und dreien zusammen an den Zweigen, und die eigentliche wilde Beere ist rund, klein und grün von Farbe. Durch die Cultur erhält man aber auch hell- und dunkelrothe Früchte, bis zu der Länge eines Zolls.~~96
Ad00341 04 080a/engPlants CI. Vol. V. No. 78.
GERMAN FRUIT-SORTS.
Fig. 1. The garden-currant tree. (Ribes rubrum.)
Fig. 2. The goose-berry-bush. (Ribes grossularia.)
Ad00341 04 080a/frePlantes CI. Vol. V. No. 78.
FRUITS D’ALLMAGNE.
Fig. 1. Le groseiller. (Ribes rubrum.)
Fig. 2. Le Gradelier ou Gorseillier vert. (Ribes grossularia.)
Ad00341 04 080a/itaPiante CI. Tom. V. No. 78.
FRUTTA DELLA GERMANIA.
Fig. 1. Il Ribes rosso. (Ribes rubrum.)
Fig. 2. L’uva spina. (Ribes grossularia.)
Ad00341 04 081aFig. 1. Der Brustbeer-Spinner. (Phalaena Bombyx Paphia.)~~Dieser schöne Nachtfalter ist hier in seiner ganzen Grösse abgebildet, und findet sich in Bengalen. Die hochgelben Flügel sind mit 4 grossen Augenflecken geziert, und ausserhalb läuft ein weiss und bräunlichrother Streifen über sämmtliche Flügel. Die grosse gelbgrüne Raupe (a), die so unförmlich gestaltet ist, findet man in Bengalen auf den Jujuben oder Brustbeeren-Kreuzdorn. Sie spinnt sich bei ihrer Verpuppung in einem Coccon von dicken, festen Seidenfaden ein. Hieraus verfertigt man in Indien, wie aus dem Gespinnste des ächten Seidenspinners, dauerhafte seidene Zeuche, worein sich vorzüglich die Braminen kleiden.~~Fig. 2. Der Claretwein-Schwärmer. (Sphinx Labruscae.)~~Der Claretwein-Schwärmer ist gleichfalls ein vorzüglich schöner Schmetterling, dessen Raupe in Südamerika auf den Blättern des Claret- oder wilden Weinstocks wächst.~~Die Oberflügel unseres Dämmerungsfalters sind glänzend Olivengrün, mit schwärzlichgrüner marmorirter Zeichnung. Die bläulichweissen Hinterflügel haben einen gelben Rand und dunkelblaue Flecken.~~96
Ad00341 04 081a/engInsects XLII. Vol. V. No. 79.
MAGNIFICENT FOREIGN BUTTERFLIES.
Fig. 1. The Iujube-tree Moth. (Phalaena Bombyx Paphia.)
Fig. 2. The Claret-Sphinx. (Sphinx Labruscae.)
Ad00341 04 081a/freInsectes XLII. Vol. V. No. 79.
PAPILLONS ÉTRANGERS MAGNIFIQUES.
Fig. 1. La Phalène du Jujubier. (Phalaena Bombyx Paphia.)
Fig. 2. Le Sphinx du Clairet. (Sphinc Labruscae.)
Ad00341 04 081a/itaInsetti XLII. Tom. V. No. 79.
BELLE FARFALLE FORESTIERI.
Fig. 1. La Falena del’giuggiolo. (Phalaena Bombyx Paphia.)
Fig. 2. La Sfinge del claretto. (Sphinx Labruscae.)
Ad00341 04 082aDie Erdmannshöhle bei Hasel.~~Hasel ist ein grossherzogl. Badensches Dorf, am Fusse des Schwarzwaldes, und steht, so wie die Gegend umher, auf Schichten von sehr zerrissenen Kalklagern. Unter dem Dorfe weg fliesst ein unterirdischer Bach, dessen Auswaschungen in diesen Kalklagern von Zeit zu Zeit gefährliche Einstürze der Oberfläche veranlassten, die in den neuesten Zeiten (1799 und 1800) so stark wurden, dass sie dem Dorfe den Untergang drohten. Man bemühte sich daher die Ursachen davon zu erfroschen, und bei dieser Gelegenheit ward die nicht weit von dem Dorfe entfernte, sehr merkwürdige Höhle genau untersucht. Sie wird von den dortigen Einwohnern das Erdmännleinsloch genannt, weil sie solche für den Wohnsitz von Erdgeistern oder Erdmännlein (chimärischen Wesen, die einem rohen Aberglauben ihren Ursprung danken,) hielten.~~Dieses Erdmännleinsloch, oder wie man diese merkwürdige Höhe jetzt passender nennt, die Erdmannshöhle besteht, wie die meisten ähnlichen in Kalkflözgebirgen vorkommenden Höhlen, aus mehrern unter einander in bald engerer, bald weiterer Verbindung stehenden Gewölben, deren Decke hier fast durchaus flach ist. Auf unserer Kupfertafel ist eine derselben, nämlich die sogenannte Todtengruft, eine höchst interessante Tropfsteinhöhle abgebildet. Fig. 1. zeigt sie von der Seite, wo man in sie von aussen hineinkommt und Fig. 2. umgekehrt, wenn man ihr Ende erreicht hat und wieder zurückkehren will. Vorzüglich merkwürdig sind die beiden Tropfstein-Colossen, welche als Säulen von dem Boden bis zur Decke reichen, und so wie die übrigen, oft seltsam genug geformten Tropfsteinformationen durch das Herabträufeln kalkhaltigen Wassers von der Decke erzeugt sind. Die in letzterer Figur angegebene schiefliegende Brücke mit einem Geländer führt über eine Tiefe, in der Eingänge zu weitern Höhlen sind. Die Todtengruft ist gegen 9 Ellen hoch und 14 Ellen weit.~~In den Tiefen der Erdmannshöhle strömt ein starker Bach, welchem man mit vielem Grund, die häufigen Versinkungen der Erdoberfläche, Erdfälle, Erdbrüche) in dortiger Gegend zuschreibt.~~96
Ad00341 04 082a/engMiscell. Subj. LXII. Vol. V. No. 80.
REMARKABLE CAVERNS.
The Gnome’s (Erdmanns) cavern near Hasel.
Ad00341 04 082a/freMélanges LXII. Vol. V. No. 80
GROTTES REMARQUABLES.
La Grotte dite Erdmannshöhle, ou le trou des genomes près de Hasel.
Ad00341 04 082a/itaMiscellanea LXII. Tom V. No. 80.
GROTTE RIMARCHEVOLI.
La Grotta d l’demonio vicina a Hasel (Erdmannshöhle.)
Ad00341 04 083aFig. 1. Die Gold-Merle. (Tanagra violacea.)~~Die Gold-Merle findet sich häufig in Cayenne, Surinam und Brasilien, wo sie in Käfichen gehalten wird, und sich vorzüglich von Reis nährt. Das Männchen ist von oben schwarz mit bläulichem Stahlglanz; der untere Theil des Körpers ist goldgelb.~~Fig. 2. Die Bischoffs-Merle. (Tanagra Episcopus.)~~Dieser Vogel bewohnt die Gegenden von Cayenne, wo er von Früchten lebt, und etwas über 6 Zoll lang wird. Er sieht über und über schön grün und bläulich aus.~~Fig. 3. Die Paradies-Merle. (Tanagra Tatac.)~~Ein herrlicher Vogel, dessen buntes Gefieder sieben verschiedene Farben zählt. Er ist so gross als unserer Stieglitz, und ist sehr häufig in Guiana, wo er in Käfichen gehalten wird. Schade, dass er nicht singt.~~Fig. 4. Der Pomeranzengelbe Kernbeisser. (Loxia aurantia.)~~Findet sich auf der Insel Bourbon und am Vorgebirge der guten Hoffnung. Der Kopf, der Schwanz, die Flügel sind schwarz; der übrige Theil des Körpers ist orangegelb.~~Fig. 5. Der Reiskernbeisser. (Loxia oryzivora.)~~Den Reisfeldern thut dieser Kernbeisser grossen Schaden. Er hat die Grösse unsers Sperlings, lebt häufig auf der Insel Java, auch am Vorgebirge der guten Hoffnung, und wird von den Verkäufern fremder Thiere und Vögel von dort auch nicht selten zu uns gebracht.~~97
Ad00341 04 083a/engBIRDS LXXIII. Vol. V. No. 81.
BEAUTIFUL FOREIGN BIRDS.
Fig. 1. The Golden Tanager. (Tanagra violacea.)
Fig. 2. The Bishop Tanager. (Tanagra Episcopus.)
Fig. 3. The Paradise Tanager. (Tanagra Tatao.)
Fig. 4. The Orange Grosbeack. (Loxia aurantia.)
Fig. 5. The Java Grosbeack. (Loxia oryzivora.)
Ad00341 04 083a/freOiseaux LXXIV.[sic.] Vol. V. No. 81.
DE BEAUX OISEAUX ÉTRANGERS.
Fig. 1. Le Tangara du Brésil. (Tanagra violacea.)
Fig. 2. L’Evêque. (Tanagra Episcopus.)
Fig. 3. Le Speticolor. (Tanagra Tatao.)
Fig. 4. Le Bouveret. (Loxia aurantia.)
Fig. 5. Le Padda ou l’Oiseau du riz. (Loxia oryzovora.)
Ad00341 04 083a/itaUccelli LXXIII. Tom. V. No. 81.
BELLI UCCELLI STRANIERI.
Fig. 1. Il Merlo d’Oro. (Tanagra violacea.)
Fig. 2. Il Merlo di Vescovo. (Tanagra Episcopus.)
Fig. 3. Il Merlo die Paradiso. (Tanagra Tatao.)
Fig. 4. Il Frisone ranciato. (Loxia aurantia.)
Fig. 5. Il Frisone di riso. (Loxia oryzivora.)
Ad00341 04 084aWir sehen auf gegenwärtiger Tafel die einheimische teutsche Birn und den Apfel abgebildet, aus welchen Stammfrüchten durch Veredlung gewiss mehrere unserer schönen Aepfel- und Birnsorten entstanden sind, obgleich es auch wahrscheinlich ist, dass mehrere derselben aus dem schönen Himmelsstrich des mittlern Asiens zu gekommen sind.~~Fig. 1. Die wilde Birn. (Pyrus communis.)~~Den wilden Birnbaum finden wir auch ausser Teutschland in allen gemässigten Theilen von Europa, wo er in gutem Boden einen schönen grossen Baum bildet. Die weissen straussförmigen Blüten (A) kommen im Mai zum Vorschein. Die kleine unschmackhafte Birn (B) wird im September reif; sie dient dem Wilde zur Nahrung, auch wird guter Essig daraus gemacht. Das Holz giebt vortreffliche Tischler-Arbeiten.~~Fig. 2. Der wilde Apfel. (Pyrus malus.)~~Dieser Stamm-Apfel wächst, wie die Birn, wild in unsern Waldungen, hat röthliche Blüten (a) und trägt einen grünlichen Apfel, der sauer von Gechmack ist, dem Wilde bloss zur Nahrung dient, aber einen guten Essig giebt. Das Holz ist hart, lässt sich gut poliren, und zu schönen Tischler-Arbeiten verbrauchen.~~97
Ad00341 04 084a/engPlants CII. Vol. V. No. 82.
WILD FRUIT-KINDS.
Fig. 1. The wild pear. (Pyrus communis.)
Fig. 2. The wild apple. (Pyrus malus.)
Ad00341 04 084a/frePlantes CII. Vol. V. No. 82.
ESPÈCES DE FRUITS SAUVAGES.
Fig. 1. La Poire sauvage. (Pyrus communis.)
Fig. 2. La Pomme sauvage. (Pyrus malus.)
Ad00341 04 084a/itaPiante CII. Tom. V. No. 82.
SPECIE DI FRUTTE SALVATICHE.
Fig. 1. La pera salvatica. (Pyrus communis.)
Fig. 2. Il pomo salvatico. (Pyrus malus.)
Ad00341 04 085aWir kennen de kunstreichen Ameisen-Löwen schon aus einer frühern Abbildung unseres Bilderbuchs. Hier sehen wir die Art, wie er durch seinen Trichterbau im Sande seinen Fang erhält, in dem kleine Insecten, wenn sie an die steilen Wände desselben kommen, sich nicht halten können, herunter rutschen, und dem Ameisen-Löwen zur Beute werden. Ist der Ameisen-Löwe noch ganz jung, so fertigt er wie bei Fig. 1. einen kleinen Trichter; nur ganz kleine Insecten werden seine Beute. So wie er grösser wird, so vergrössert sich auch sein Fangkreis (Fig. 2.) Im Mittepunct lauert er auf seine Beute, der ganze Körper ist im Sande verborgen, und bloss die ausgebreiteten Fresszangen sieht man hervorragen. So wie der Ameisen-Löwe ausgewachsen ist; so vergrössert sich der Trichter, wie wir bei Fig. 3. und 4. sehen. Bei Fig. 4.b. sehen wir eine grosse Ameise, die ihrem Feinde entgangen ist, und bereits den Rand des Trichters erreicht hat. Die kleinere Ameise (Fig. 5.d.) hingegen ist zu schwach; sie gleitet im lockeren Sande rückwärts, und wird dem Ameisen-Löwen nicht entgehen. Das Räupchen (Fig. 6f.) hat er schon gefangen. Er saugt es aus, wirft den leeren Balg aus dem Trichter hinaus, und stellt den durch den Fang beschädigten Trichter wieder her. Bei Fig. 7. Sehen wir, wie der Ameisen-Löwe seinen ganzen Trichter bauet. Er bildet nämlich mit seinem Körper, der wie ein Pflugschaar geformt ist, rückwärts durch den Sand eine Schneckenlinie. Dann setzt er sich in die Mitte, und wirft, um die Seitenwände des Trichters zu ebenen, allen überflüssigen Sand hinaus (Fig. 8.).~~97
Ad00341 04 085a/engInsects XLIII. Vol. V. No. 83.
THE LION-ANT IN IST PIT-FALL.
Ad00341 04 085a/freInsectes XLIII. Vol. V. No. 83.
LE FOURMILION DANS SA TANIÉRE.
Ad00341 04 085a/itaInsetti XLIII. Tom V. No. 83.
IL FORMICAJO NELLA SUA TRAPPOLA.
Ad00341 04 086aWir betrachteten bereits im III. Bd. Taf. 10 unseres Bilderbuchs den künstlichen Bau eines Fliegenkopfs, und wollen jetzt die Fliege überhaupt im vergrösserten Zustande kennen lernen, die wir in natürlicher Grösse bei Fig. 1. sehen. Fig. 2. zeigt vergrössert den unteren Theil. Ausser dem Kopfe besteht der Fliegenkörper aus der Brust und dem Hinterleibe. An der Brust sitzen oben die Flügel, unten die 6 Füsse. In den Winkeln zwischen der Brust und dem Hinterleibe sitzen die Schallhäutchen, und darunter die keulenförmigen Springkölbchen, welche während des Flugs an die Schallhäutchen anschlagen, und so das Sumsen hervorbringen.~~Auf der oberen Seite Fig. 3. ist der Hinterleib stahlgrün, und in acht Felder mit schwarzen runden Flecken getheilt. Der Fuss (Fig. 4. ) besteht aus 7 künstlich eingelenkten Gliedern. Das letzte Glied hat ein Paar runde Ballen, die eine Feuchtigkeit ausschwitzen, wodurch die Fliege auf Glas und anderen glatten Körpern fusst. Auf rauhen Gegenständen hält sich die Fliege mit den zwei Seitenklauen fest. - Das unbewegliche Auge hat nach allen Seiten sechsseitige Facetten (Fig. 5.), damit die Fliege von allen Seiten jeden Gegenstand bemerken könne. -~~97
Ad00341 04 086a/engMiscell. Objects LXIII. Vol. V. No. 84.
THE COMMON FLY MICROSCOPICALLY CONSIDERED.
Ad00341 04 086a/freMélanges LXIII. Vol. V. No. 84.
LA MOUCHE COMMUNE CONTEMPLÉE MOYENNANT LE MICROSCOPE:
Ad00341 04 086a/itaMiscellan. LXIII. Tom V. No. 84.
LA MOSCA DOMESTICA CONSIDERATA NEL MODO MICROSCOPICO.
Ad00341 04 087aDie blassgelbe Schottische Rose. (Rosa spinosissima flore flavo.)~~Diese Rose zeichnet sich vor allen durch ihr schönes kleinblätteriges und dicht wachsendes Laub, und durch den Reichthum ihrer Blüten aus. Ihre Blumen sind zwar nur einfach, aber von einer ausserordentlich zarten blassgelben Farbe, und ihre Früchte plattrund, beynahe wie eine Zwiebel gestaltet, und schwarzroth.~~Ihr Strauch ist niedrig, wird nicht über 3 Fuss hoch, und ihr Holz ist mit ausserordentlich vielen Dornen besetzt; deshalb sie auch die dornenreiche Rose heisst. Ihr Vaterland ist Schottland; sie dauert daher auch bey uns im härtesten Winter aus, und vermehrt sich durch Wurzel-Ausläufer sehr häufig.~~97
Ad00341 04 087a/engRoses XVII. Vol. V. No. 85.
DIFFERENT SORTS OF ROSES.
The pale yellow Scotish Rose. (Rosa spinosissima flore flavo.)
Ad00341 04 087a/freRoses XVII. Vol. V. No. 85.
ESPÉCES DE ROSES.
La Rose jaunâtre écossaise. (Rosa spinosissima flore flavo.)
Ad00341 04 087a/itaRose XVII. Tom. V. No. 85.
SPECIE DI ROSE.
La Rosa Scozzese gialla dilavata. (Rosa spinosissima flore flavo.)
Ad00341 04 088aFig. 1. Der Azurblaue Fliegenfänger. (Muscicapa caerulea.)~~Dieser schöne Fliegenfänger ist auf den Philippinen zu Hause. Ein Azurblaues Gefieder bedeckt den Oberkörper. Bloss am Hinterkopfe und an der Brust sitzt ein schwarzer Fleck.~~Fig. 2. Die schwarzköpfige Merle. (Tanagra atricapilla.)~~Man findet diesen Vogel in Guiana, doch ist er auch da selten. Er wird 7 Zoll lang; Kopf, Flügel und Schwanz sind glänzend schwarz; der übrige Körper dunkelgelb roth (Mordoré Farbe.)~~Fig. 3. Die schöne Merle. (Tanagra capitalis.)~~Ein schöner Vogel, dessen Vaterland noch unbekannt ist. Der Kopf und die Brust sind schwarz; der Nacken und Bauch gelb, in das Röthliche spielend, und der Rücken Olivengrün.~~Fig. 4. Der Paradies-Fliegenfänger. (Muscicapa paradisi.)~~Er lebt auf Madagaskar, am Vorgebirge der guten Hoffnung und am Senegal, wo er sich in letzterer Gegend einsam am Gambia aufhält. Die Länge beträgt 8 Zoll; die dunkeln Federn des Hinterkopfs bilden einen Federbusch.~~Fig. 5. Der Fächerschwänzige Fliegenfänger. (Muscicapa flabellifera.)~~Dieser niedliche Vogel findet sich auf Neu-Seeland. Er nährt sich von Insecten, und fliegt ihnen beständig nach, wobei sein Schwanz fächerartig ausgebreitet ist. Es ist ein sehr geselliger Vogel, der sich leicht zähmen lässt.~~98
Ad00341 04 088a/engBirds LXXIV. Vol. V. No. 86.
BEAUTIFUL FOREIGN BIRDS.
Fig. 1. The Azur flycatcher. (Muscicpa caerulea.)
Fig. 2. The black headed Tanager. (Tanagra atricapilla.)
Fig. 3. Cital Tanager. (Tanagra capitalis.)
Fig. 4. The Paradise flycatcher. (Muscicapa paradisi.)
Fig. 5. The fan-tailed flycatcher. (Muscicapa flabellifera.)
Ad00341 04 088a/freOiseaux LXXIV. Vol. V. No. 86.
DE BEAUX OISEAUX ÉTRANGERS.
Fig. 1. Le petit Azur. (Muscicapa caerulea.)
Fig. 2. Le Tangara jaune à tête noire de Cayenne. (Tanagra atricapilla.)
Fig. 3. Le beau Merle. (Tanagra capitalis.)
Fig. 4. Le Gobemouche blanc huppé du Cap de bonne Espèrance. (Muscicapa paradisi.)
Fig. 5. Le Gobemouche à queue d’éventail. (Muscicapa flabellifera.)
Ad00341 04 088a/itaUccelli LXXIV. Tom V. No. 86.
BELLI UCCELLI STRANIERI.
Fig. 1. Il Pigliamosche azzurro. (Muscicapa caerulea.)
Fig. 2. Il Merlo colla testa nera. (Tanagra atricapilla.)
Fig. 3. IL bello Merlo. (Tanagra capitalis.)
Fig. 4. IL Pigliamosche di Paradiso. (Muscicapa paradisi.)
Fig. 5. Il Pigliamosche colla coda di ventaglio. (Muscicapa flabellisera.)
Ad00341 04 089aFig. 1. Der Cornelkirschbaum. (Cornus mascula.)~~Der Cornelkirschbaum, welcher auch häufig Horlitzenbaum genannt wird, bildet im freien Zustande, sich selbst überlassen, gewöhnlich nur einen Strauch von 8 bis 10 Fuss; in Gärten mit Sorgfalt gezogen, wächst er aber zu einem Baume von 20 und mehreren Fuss. Im Frühjahre bei der ersten Sonnenwärme kommen die gelben Blüten (A) noch vor den Blättern heraus. Die länglich runde Frucht oder Corneliuskirsche wird im September reif, sieht erst grün, und dann schön roth aus. Sie hat einen angenehmen weinsäuerlichen Geschmack; man kann sie frisch essen, ober auch mit Zucker und Essig einmachen.~~Fig. 2. Der Mispelbaum. (Mespilus germanica.)~~Der Mispelbaum findet sich in Frankreich, Teutschland und Italien wild, wächst nicht sehr hoch, und wird seiner Frucht (B) wegen häufig in Gärten angepflanzt. Die bräunliche Frucht muss erst liegen und teigig werden; dann bekömmt sie einen angenehmen weinsäuerlichen Geschmack, weswegen sie gern gegessen wird.~~98
Ad00341 04 089a/engPlants CIII. Vol. V. No. 87.
GERMAN FRUIT SORTS.
Fig. 1. The cornel tree. (Cornus mascula.)
Fig. 2. The german medlar. (Mespilus germanica.)
Ad00341 04 089a/frePlantes. CIII. Vol. V. No. 87.
FRUITS ALLEMANDS.
Fig. 1. Le Cornouiller. (Cornus mascula.)
Fig. 2. Le neflier. (Mespilus germanica.)
Ad00341 04 089a/itaPiante CIII. Tom V. No. 87.
SPECIE DI FRUTTE TEDESCHE.
Fig. 1. Il Corniolo. (Cornus mascula.)
Fig. 2. Il Nespolo (Mespilus germanica.)
Ad00341 04 090aFig. 1. Der Grosskopf-Spinner. (Phalaena Bombyx dispar.)~~Dieser teutsche Nachtvogel zeichnet sich durch die Verschiedenheit des Männchens vom Weibchen aus. Ersteres (C) ist viel kleiner, grau und braun gezeichnet, letzteres (D) einigemal grösser, gelblich weiss von Farbe mit braunen Adern, und hat einen dicken plumpen Körper. Die Raupe (A) findet sich an Obstbäumen und Weisen, und thut in manchen Jahren durch ihre Menge grossen Schaden. Sie verwandelt sich in die roth-schwarze Puppe (B) aus der im August unserer Nachvogel ausschlüpft.~~Fig. 2. Der Kupfervogel. (Phalaena Bombyx quercifolia.)~~Der Kupfervogel, von seiner Farbe so genannt, entsteht aus der grossen grau und braunen Raupe (A), welche einzeln an Pflaumen-Birn- und Apfelbäumen lebt, und sich in der Erde zur Puppe (B) verwandelt.~~Fig. 3. Der Fischschwanz. (Phalaena Bombyx Pruni.)~~Die Raume (a) von deren unterem Theile, welcher einem Fischschwanze gleicht, dieser Nachtvogel genannt wird, lebt einzeln auf Birken, Schlehen und Linden, verwandelt sich Ende des Juni in die Puppe, (b) woraus nach drei Wochen der oraniengelbe Nachtvogel ausschlüpft, der auf den Oberflügeln herzförmige weisse Flecken hat.~~98
Ad00341 04 090a/engInsects XLIV. Bd. V. No. 88.
GERMAN MOTHS.
Fig. 1. The gipsey moth. (Phalaena Bombyx dispar.)
Fig. 2. The quercifoliated Moth. (Phalaena Bombyx quercifolia.)
Fig. 3. The Fish-tailed Moth. (Phalaena Bombyx Pruni.)
Ad00341 04 090a/freInsectes XLIV. Vol. V. No. 88.
PHALÈNES D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. La Phalène disparate. (Phalaena Bombyx dispar.)
Fig. 2. La Feuille-morte. (Phalaena Bombyx quercifolia.)
Fig. 3. La Phalène du prunier. (Phalaena Bombyx Pruni.)
Ad00341 04 090a/itaInsetti XLIV. Vol. V. No. 88.
FARFALLE NOTTURNE TEDESCHE.
Fig. 1. Il Capone filatore. (Phalaena Bombyx dispar.)
Fig. 2. La Farfalla die rame. (Phalaena Bombyx quercifolia.)
Fig. 3. Coda di pesce. (Phalaena Bombyx Pruni.)
Ad00341 04 091aDa, wo die Gebirge so dicht beisammen stehen, dass sie eine ununterbrochene Kette bilden, wie dies der Fall ist bei der helvetischen Alpenkette, welche die Schweiz von Italien scheidet, da müssen, um die nöthige Verbindung zwischen beiden Ländern zu erhalten, Wege in den Gebirgen angebracht werden, um sie an den zugänglichsten Orten zu übersteigen.~~Die beiliegende Tafel stellt uns zwei helvetische Alpenpässe von der italienischen Seite dar.~~Fig. 1. Der Weg über den grossen St. Bernhardsberg~~Wir sehen hier den sogenannten grosse St. Bernhardsberg auf der Seite von Italien und den Weg, der dahin führt, im Momente, wo die französische Armee unter den Befehlen des ersten Consuls (am 14. Mai 1800) denselben herabzieht, um nach Italien zu marschiren. Das an diesem Wege erbaute und von Augustiner-Mönchen bediente Hospiz ist für die Aufnahme der Reisenden bestimmt, welche diesen schrecklichen und gefährlichen Weg ziehen und hier allen nöthigen Beistand finden. Das Kloster liegt am Ende eines kleinen Sees.~~Fig. 2. Der Weg über den St. Gotthardsberg.~~Der Weg über den St. Gotthardsberg ist nicht minder merkwürdig, als der über den St. Bernhard, ja noch interessanter, aber weniger gefährlich. Nachdem man über die berühmte Teufels-Brücke und durch das Urner-Loch von der Schweizer Seite hergekommen ist, ersteigt man den Berg bis zu der Stelle, wo vormals ein Kapuziner-Hospiz demjenigen auf dem St. Bernhard gleich stand. Von da steigt man in den Canton Tessino, auf einem schmalen und steilen Wege hinab, der eine Strecke lang sich längs dem Flusse Tessino hinzieht, welcher sich von diesem Gebirge herabstürzt.~~98
Ad00341 04 091a/engMiscell. Objects LXIV. Vol. V. No. 89.
REMARKABLE MOUNTAINOUS PASSAGES IN SWITZERLAND.
Fig. 1. The Road over the great mountain of St. Bernard.
Fig. 2. The Road over the mountain of St. Gotthard.
Ad00341 04 091a/freMélanges LXIV. Vol. V. No. 89.
DEUX DES PASSAGES LES PLUS REMARQUABLES DES ALPES HELVÉTIQUES.
Fig. 1. Le Passage du Grand-St. Bernard.
Fig. 2. Le Passage du Mont St. Gothard.
Ad00341 04 091a/itaMiscellan. XLIV. Tom. V. No. 89.
RIMARCABILI PASSI FRAU LE ALPI SUIZZERE.
Fig. 1. La Strada ful gran monte di S. Bernardo.
Fig. 2. La Strada ful monte di S. Godardo.
Ad00341 04 092aFig. 1. Die Glanz-Rose. (Rosa lucida.)~~Diese Rose hat zwar nur eine einfache Blume von heller Karmesin-Farbe, sie ist aber auf mehrerley Art eine Zierde der Gärten. Ihr Laub ist glänzend grün, als wenn es lackirt wäre, und eben deshalb heist sie die Glanz-Rose; im Herbste aber wird es dunkel purpurroth, so dass dadurch der ganze Strauch, der oft 4 bis 5 Fuss hoch wird, ein ganz fremdes und überaus schönes Ansehen bekommt. Sie blüht sehr reich, und gewöhnlich erst im Julius und August, wenn die andern Rosen-Sorten zu blühen aufgehört haben.~~Fig. 2. Die grosse Zwerg-Rose. (Rosa truncata major.)~~Es giebt mehrere Arten der Zwerg-Rose, darunter diese die grösste ist. Ihr Strauch wird nicht über 2 Fuss hoch, ihre schöne und sehr gefüllte Blume aber ist oft 2 bis 3 Zoll im Durchmesser gross, und flach gebaut. Sie hat eine sehr zarte blasse Fleischfarbe, welches ihr mit ihrem dunkelgrünen Laube, ein überaus schönes Ansehn giebt.~~98
Ad00341 04 092a/engRoses XVIII. Vol. V. No. 90.
DIFFERENT KINDS OF ROSES.
Fig. 1. The lucid Rose. (Rosa lucida.)
Fig. 2. The large truncated Rose. (Rosa truncata major.)
Ad00341 04 092a/freRoses. XVIII. Vol. V. No. 90.
ESPÈCES DE ROSES.
Fig. 1. La Rose reluisante. (Rosa lucida.)
Fig. 2. La grande Rose tronquée. (Rosa truncata major.)
Ad00341 04 092a/itaRose XVIII. Tom. V. No. 90.
SPECIE DI ROSE.
Fig. 1. La Rosa lucida. (Rosa lucida.)
Fig. 2. La Rosa nana maggiore. (Rosa truncata major.)
Ad00341 04 093aFig. 1. Der Nashornvogel. (Buceros Rhinoceros.)~~Der eigentliche Nashorn- oder Rhinoceros-Vogel findet sich in den heissen Ländern von Africa, und hat seinen Namen von dem hornähnlichen Aufsatze auf dem Oberschnabel. Der ganze Schnabel ist leicht, und besteht aus einer pergamentartigen Haut, so dass er dem Vogel nicht beschwerlich wird. Unser Nashorn-Vogel hat die Grösse eine Truthhahns, und ist ganz mit einem schwarzblauen Gefieder bedeckt.~~Fig. 2. Der Abyssinische Hornvogel. (Buceros Abyssinicus.)~~Ein schwerfälliger Vogel, der an Gestalt unserem Raben gleicht, aber die Grösse des vorigen erreicht. Auf dem Schnabel sitzt eine dritthalb Zoll hohe Erhöhung oder Horn. Eine violette kahle Haut umgiebt die Augen und die Kehle; der übrige Körper bis auf die weissen grossen Schwungfedern ist dunkel russschwarz. Er nährt sich von Insecten.~~Fig. 3. Der sechsfädige Paradiesvogel. (Paradisea aurea.)~~Dieser Paradiesvogel findet sich in Neu-Guinea, und zeichnet sich durch die sechs langen kahlen Federn aus, die zu beiden Seiten des Kopfs sitzen. Die Brust schillert goldgrün.~~Fig. 4. Der stahlblaue Paradiesvogel. (Paradisea viridis.)~~Bewohnt wie der vorige Neu-Guinea, und ist ein schöner Vogel, dessen Gefieder eine glänzend stahlblaue Farbe hat. -~~99
Ad00341 04 093a/engBirds. LXXV. Vol. V. No. 91.
REMARKABLE EXOTICK BIRDS.
Fig. 1. The Rhinoceros-bird. (Buceros Rhinoceros.)
Fig. 2. The Abyssinian Horn-bill. (Buceros abyssinicus.)
Fig. 3. The gold-breasted Paradise-bird. (Paradisea aurea.)
Fig. 4. The blue green Paradise-bird. (Paradisea viridis.)
Ad00341 04 093a/freOiseaux LXXV. Vol. V. No. 91.
OISEAUX ÉTRANGERS REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Calao-Rhinoceros. (Buceros Rhinoceros.)
Fig. 2. Le Calao d’Abyssinie. (Buceros abyssinicus.)
Fig. 3. Le Manucode à fix filets. (Paradisea aurea.)
Fig. 4. L’oiseau du Paradis verd. (Paradisea viridis.)
Ad00341 04 093a/itaUccelli LXXV. Tom. V. No. 91.
UCCELLI STRANIERI RIMARCHEVOLI.
Fig. 1. Il Calao Rinoceronte. (Buceros Rhinoceros.)
Fig. 2. Il Calao dell’Abissinia. (Buceros abyssinicus.)
Fig. 3. L’uccello aureo del Paradiso. (Paradisea aurea.)
Fig. 5. L’uccello verde del Paradiso. (Paradisea viridis.)
Ad00341 04 094aWir wollen auf dieser und der folgenden Tafel die merkwürdige Kreuzspinne (Aranea diadema) kennen lernen, die keineswegs giftig und den Menschen schädlich ist, wie Viele fälschlich glauben. Es giebt zweierlei Arten der Kreuzspinne, die schwarzbraune (Fig. 1.) und die röthlichbraune, die wir von oben und von unten (Fig. 2. und 3.) an den Faden hängend, abgebildet sehen. Beide Arten haben auf ihrem dicken, herzförmigen Körper Zeichnungen von weissen, regelmässigen Strichen und Punkten, die bald ein einfaches, bald ein doppeltes Kreuz bilden. - Bei Fig. 4. erscheint der Vordertheil des Kopfes vielmals vergrössert; unten sitzen die acht Augen, oben bemerken wir die merkwürdigen Fangklauen, welche hornartig, auf der äussern Seite eingelenkt sind, und sich wie ein Taschenmesser zwischen den Zähnen einschlagen. Mit ihnen hält die Spinne die gefangenen Insecten fest, durchbohrt sie mit den Spitzen, und flösst ihnen einen ätzenden Saft ein, von dem sie sogleich sterben, der aber den Menschen nicht gefährlich werden kann. Am hintern Theile des Körpers (Fig. 3.) sitzen die Spinnwarzen, die wir bei Fig. 5. vergrössert sehen. Diese sind mit lauter kleinen Spinnröhrchen (Fig. 6.) bedeckt. Die Spinne hat nun in den Warzen eine zähe, klebrige Feuchtigkeit, voraus der Faden entsteht. Will sie daher einen Faden spinnen, so drückt sie die Warzen an einen festen Körper an. Etwas Feuchtigkeit klebt an, und so wie die Spinne fortgeht, so ziehen sich aus allen Röhrchen unendlich feine Fäden heraus, die vereinigt nun den Faden bilden, den wir mit blossen Augen sehen (Fig. 2. und 3.), und woraus die Kreuzspinne ihr kunstvolles Gewebe bildet, welches wir auf der folgenden Tafel näher betrachten wollen.~~99
Ad00341 04 094a/engInsects XLV. Vol. V. No. 92.
NATURAL HISTORY OF THE CROSS-SPIDER.
Ad00341 04 094a/freInsectes XLV. Vol. V. No. 92.
HISTOIRE NATURELLE DE L’ARAIGNÉE PORTE-CROIX.
Ad00341 04 094a/itaInsetti XLV. Tom. V. No. 92.
STORIA NATURALE DELLA CROCERAGNA.
Ad00341 04 095aWir wollen die Kreuzspinne und ihr kunstvolles Gewebe weiter kennen lernen. Im Sommer legt das Weibchen einige hundert Eier in einem Klumpen, den sie an Fäden aufhängt. (Fig. 1.) Hier sieht man viele kleine ausgeschlüpfte Spinnen, die, ohne Ordnung, noch verworrene Fäden durch einander spinnen. Doch bald trennen sich die feindselig gesinnten Spinnen, und jede kleine Künstlerin fängt an ihr eigenes Netz sich zu bereiten. Dieses richtet sich nach ihrer noch unbeträchtlichen Grösse und wenigen Säften. Das Netz ist klein und die Maschen enge, um kleine Insecten zu fangen, die das Spinnchen überwältigen kann. So wie sie wächst, so vergrössert und erweitert sich auch das Netz. Gewöhnlich sitzt die Kreuzspinne in der Mitte, um sich schnell nach jeder Seite, wo sich etwas gefangen hat, bewegen zu können. Doch bisweilen lauert sie in einem nahen Schlupfwinkel, und kömmt ungesäumt hervor (Fig. 3.), das gefangene Insect auszusaugen. Fig. 4. sehen wir die halb ausgewachsene Spinne mit der Verfertigung ihres Netzes beschäftigt. Zuerst befestiget sie einige Seile an einen Balken oder Zweig. Dann spinnt sie geradlaufende Fäden, die sich all in einem Mittelpunkte vereinigen. Diese Strahlen verbindet die Spinne dann durch Querfäden, die die Kreise bilden, indem sie von einem Strahle zum andern kriecht, und mit den Klauen den gesponnenen Faden anklebt. - So bildet die Kreuzspinne ihr kunstvolles, scheibenförmiges Netz, was bei der ausgewachsenen Spinne oft 1 bis 1 1/2 Fuss im Durchmesser hält.~~99
Ad00341 04 095a/engInsects XLVI. Vol. V. No. 93.
NATURAL HISTORY OF THE CROSS-SPIDER. (Continuation.)
Ad00341 04 095a/freInsectes XLVI. Vol. V. No. 93.
HISTOIRE NATURELLE DE L’ARAIGNÉE PORTE-CROIX. (Continuation.)
Ad00341 04 095a/itaInsetti XLVI. Tom. V. No. 93.
STORIA NATURALE DELLA CROCERAGNA. (Continuazione.)
Ad00341 04 096aDie metallischen Auflösungen sind geeignet, unter gewissen Umständen die zierlichsten Crystalle zu bilden, die man häufig auch Metallbäume nennt. So lernten wir im XLVI. Heft bereits den Silberbaum kennen. Hier finden noch vier andere schöne crystallinische Bildungen von Metallen, unter dem Mikroskop betrachtet.~~Fig. 1. Der Kupferbaum.~~Wenn man Kupfer in Scheidewasser auflöst, einen Tropfen Kochsalz-Säure zusetzt, und einen Eisenstab in diese Flüssigkeit lebt, so wetzen sich die Kupfertheile als schöne rothe Dendriten oder Bäumchen an, wie wir sie hier vergrössert sehen.~~Fig. 2. Der Bleybaum.~~Legt man in eine Auflösung von Bleizucker etwas Zink, so schiessen die Crystalle in mannichfaltigen Formen als Stängel und Laubwerk an. Dieses nennt man den Bleibaum.~~Fig. 3. Der Zinnbaum.~~Diesen erhält man, indem man etwas Zinnsalz in siedendem Wasser auflöst und darein ein Stückchen Zinn legt. Sogleich bilden sich eine Menge silberweisser Crystallen, die zacken- und hakenförmig durch einander laufen.~~Fig. 4. Der Zinkbaum.~~Der Zinkbaum bildet sich, wenn man Zinkkalk in Kochsalzsäure auflöst, woraus sich dann die zierlichen Crystallen ansetzen.~~99
Ad00341 04 096a/engMiscell. Sub. LXV. Vol. V. No. 94
MICROSCOPICK OBSERVATIONS UPON THE CRYSTALLIZATION OF METALS.
Fig. 1. The Tree of copper.
Fig. 2. The Tree of lead.
Fig. 3. The Tree of tin.
Fig. 4. The Tree of Zinc.
Ad00341 04 096a/freMélanges. LXV. Vol. V. No. 94.
OBSERVATIONS MICROSCOPIQUES SUR LES CRYSTALLISATIONS DES MÉTAUX.
Fig. 1. L’Arbre des Venus ou de cuivre.
Fig. 2. L’Arbre de Saturne ou de plomb.
Fig. 3. L’Arbre des Jupiter.
Fig. 4. L’Arbre de Zinc.
Ad00341 04 096a/itaMiscellanea LXV. Tom. V. No. 94.
OSSERVAZIONI MICROSCOPICHE SULLA CRISTALLISAZIONE DE’METALLI.
Fig. 1. L’Albero di Rame.
Fig. 2. L’Albero di Saturno.
Fig. 3. L’Albero di Stagno.
Fig. 4. L’Albero di Zinco.
Ad00341 04 097aUnter den alten, der Aufmerksamkeit der Reisenden würdigen Gebäuden, darf auch der Pallast der Czare von Moskau, den wir auf der beiliegenden Tafel abgebildet sehen, nicht vergessen werden. Dieser alte Pallast, oder vielmehr diese sonderbaren Haufen von Gebäuden und vergoldeten Thürmen, im gothisch-maurischen Styl, würde schon darum merkwürdig seyn, weil er der Ort ist, an welchem Peter der Grosse, der erste russische Kaiser, geboren wurde; doch er enthält auch noch einige andere Merkwürdigkeiten, wie z.B. den grossen Audienz-Saal, die kaiserliche Schatzkammer, in welcher die Krone und andere Kleinodien, die nur bei Kaiser-Krönungen gebraucht werden, aufbewahrt sind, u.s.w. Dieser grosse Pallast ist aber weder schön noch bequem, und alle Zimmer sind klein. Die Façaden der einzelnen Gebäude sind auf mancherlei Weise, aber mit wenig Geschmack, gemalt und geschmückt.~~Dieser Pallast liegt in dem Umfange des Kremls, oder der alten Festung von Moskau, der Hauptstadt des Russischen Reichs, und vormaligen Residenzstadt der Czare oder der Beherrscher von Moskau und von Russland.~~99
Ad00341 04 097a/engMiscellaneous Subjects LXVI. Vol. V. No. 95.
THE OLD PALACE OF THE CZARS OF MOSCOW.
Ad00341 04 097a/freMélanges LXVI. Vol. V. No. 95.
LE VIEUX PALAIS DES ANCIENS CZARS DE MOSCOU.
Ad00341 04 097a/itaMiscellanea LXVI. Tom. V. No. 95.
IL VECCHIO PALAZZO DEGLI ZARI IN MOSCOVIA.
Ad00341 04 098aVon dem Condor, oder dem bisher noch so wenig bekannten grossen americanischen Geier sahen wir im LXXVIII. Hefte unseres Bilderbuchs die bis dahin beste Abbildung. Der berühmte Reisende, Hr. v. Humbold, hat aber richtigere von dem Männchen bekannt gemacht, die wir hier liefern. - Der Condor bewohnt die hohe Gebirgskette der Anden in Süd-America, wo er gewöhnlich auf den Felsenspitzen sitzt, und nur der Hunger treibt ihn die Ebenen herab. Er ist ein kühner wilder Vogel, der in den Klauen, so wie in den Flügeln, ungewöhnliche Stärke besitzt. Das Guanaco, das Vicognethier, den Hirsch der Anden verfolgt er, und hackt diese Thiere so lange, bis die athemlos niederstürzen, und ihm zur Beute werden. Man fängt die Condors, indem man todte Thiere hinwirft, deren Geruch sie schnell herbeilockt. Sie fressen dann so unmässig, dass, wenn sie gesättigt sind, sie nicht fliegen können, und dann von den Einwohnern verfolgt, und durch übergeworfene Schlingen gefangen werden. - Oft ist die Federbekleidung der Condors so dick, dass mehrere Flintenkugeln abprallen, ohne einzudringen.~~100
Ad00341 04 098a/engBirds LXXVI. Vol. V. No. 96.
THE CONDUR.
Ad00341 04 098a/freOiseaux LXXVI. Vol. V. No. 96.
LE CONDOR.
Ad00341 04 098a/itaUccelli LXXVI. Tom. V. No. 96.
IL CONDORE.
Ad00341 04 099aFig. 1. Das Galban-Bubon. (Bubon galbanum.)~~Das Galban-Bubon ist ein heilbringendes Gewächs, welches sich in der Türkei, Persien und in mehreren Ländern von Africa findet. Es wird 6 bis 10 Fuss hoch, trägt im Julius oderAugust gelbe Blüthen, und wenn man die Stängel einige Fuss über der Erde aufritzt, so quillt ein milchigter Saft heraus, der an der Luft trocknet. Dieses ist das Galban-Gummi, ein hitziges Arzneimittel, welche mit Erfolg in mehreren Krankheiten gebraucht wird.~~Fig. 2. Der östreichische Enzian. (Gentiana pannonica.)~~Diese Art von Gentian wächst auf den Alplen, in Östreich, Kärnthen und Steyermark. - An dem Fuss hohen, geraden Stängel sitzen die eirund-lanzetförmigen Blätter, und die purpurrothen, glockenförmigen Blumen. Die gelbe lange Wurzel ist sehr bitter, und von grosser Wirksamkeit bei fauligten und nervigten Krankheiten.~~100
Ad00341 04 099a/engPlants CIV. Vol. V. No. 97.
MEDICINAL PLANTS:
Fig. 1. The lovage leav’d Galbanum. (Bubon galbanum.)
Fig. 2. The Gentian of Austria. (Gentiana pannonica.)
Ad00341 04 099a/frePlantes CIV. Vol. V. No. 97.
PLANTES MÈDICINALES.
Fig. 1. Le Bubon galbanifère. (Bubon galbanum.)
Fig. 2. La Gentiane autrichienne. (Gentiana pannonica.)
Ad00341 04 099a/itaPiante CIV. Tom. V. No. 97.
PIANTE MEDICINALI.
Fig. 1. Il Galbano. (Bubon galbanum.)
Fig. 2. La Genziana Pannonica. (Gentiana pannonica.)
Ad00341 04 100aFig. 1. Der grosse Perlenmuttervogel. (Papilio Paphia.)~~Dieser schöne Tagfalter findet sich in Teutschland, vorzüglich in den südlichen Gegenden, wo wir ihn im Julius und August auf Disteln antreffen. Das Männchen (A), welches hier von beiden Seiten zugleich vorgestellt erscheint, ist blässer von Farbe als das Weibchen (B). Die Unterflügel haben glänzende perlenmutterfarbige Streifen. Die dornige Raupe lebt von den Blättern des Veilchens. Aus der Puppe schlüpft nach 14 Tagen der Schmetterling aus.~~Fig. 2. Das grosse Vielauge. (Papilio Arion.)~~Wird wegen der vielen dunkeln Puncte auf den grauen Unterflügeln so genannt: die Oberflügel hingegen sind dunkelblau. Im Junius und Julius findet er sich in lichten Gehölzen.~~Fig. 3. Das Nierenfleck. (Papilio betulae.)~~Ein artiger braun und gelber Schmetterling mit geschwänzten Hinterflügeln, der sich den ganzen Sommer hindurch in Gärten und auf Wiesen findet. Die grüne, träge Raupe (b) lebt auf den Birken.~~Fig. 4. Der kleine Feuervogel. (Papilio Phlaeas.)~~Diesen goldglänzenden niedlichen Schmetterling sieht man im Mai und Junius oft zahlreich auf feuchten Wiesen umherfliegen.~~100
Ad00341 04 100a/engInsects XLVII. Vol. V. No. 98.
BEAUTIFUL GERMAN BUTTERFLIES.
Fig. 1. The great streak’d Fritillary. (Papilio Paphia.)
Fig. 2. The great Argus. (Papilio Arion.)
Fig. 3. The brown-hair streak. (Papilio betulae.)
Fig. 4. The small Tortoise-shell. (Papilio Phlaeas.)
Ad00341 04 100a/freInsectes XLVII. Vol. V. No. 98.
DE BEAUX PAPILLONS ALLEMANDS.
Fig. 1. Le Tabac d’Espagne. (Papilio Paphia.)
Fig. 2. Le Papillon Arion. (Papilion Arion.)
Fig. 3. Le Porte-queue fauve. (Papilio betulae.)
Fig. 4. Le Bronzé. (Papilio Phlaeas.)
Ad00341 04 100a/itaInsetti XLVII. Tom. V. NO. 98.
ALCUNE BELLE FARFALLE DI GERMANIA.
Fig. 1. La madreperla grande. (Papilio Paphia.)
Fig. 2. L’rgo turchino. (Papilio Arion.)
Fig. 3. La porta-coda fosca. (Papilio betulae.)
Fig. 4. La picciola Tartaruga. (Papilio Phlaeas.)
Ad00341 04 101aDie Quallen gehören zu dem Geschlechte der Mollusken oder Weichthiere, die alle das Meer bewohnen. Der Körper der sonderbaren Quallen besteht ganz aus einer gallertartigen Substanz; sie haben einen plattgedrückten, unten ausgehöhlten Körper, und lange Fühlfäden.~~Die hier in natürlicher Grösse abgebildete geöhrte Qualle (Medusa aurita) findet sich vorzüglich häufig in der Ostsee. Der ganze Körper besteht aus einer durchsichtigen Gallerte; in der Mitte sitzen vier rothe Höhlungen, und von unten laufen vier faserige Arme hervor, mit denen die Qualle ruhig auf der Oberfläche des Meeres herumschwimmt, welches, da oft mehrere Hunderte beisammen sind, einen angenehmen Anblick gewährt. - Die Nahrung der Quallen besteht aus kleinen Würmern; sie selbst dienen den grossen Raubfischen zur Nahrung.~~100
Ad00341 04 101a/engWorms X. Vol. V. No. 99.
THE EAR’D MEDUSA (SEA-NETTLE.)
Ad00341 04 101a/freVers X. Vol. V. No. 99.
LA MÉDUSE OREILLÉE.
Ad00341 04 101a/itaVermi X. Tom. V. No. 99.
LA MEDUSA AURICOLATA.
Ad00341 04 102aDer Münster in Strassburg ist eins der sonderbarsen und merkwürdigsten Gebäude der Erde, sowohl wegen seiner schönen gothischen Bauart, als auch wegen der beträchlichen Höhe seines Thurs, dessen Spitze 574 Fuss vom Boden an beträgt. Das Schiff der Kirche ist ein ungemein hohes Gewölbe; das Dach ist mit Kupfer gedeckt. Der Thurm, der auf der Vorderseite des Gebäudes sich befindet, besteht aus zwei Theilen. Der untere ist eine länglich viereckige Masse, von grossen Quadersteinen erbaut, und mit den mannichfaltigsten Verziehungen bekleidet; er macht gerade die Hälfte der Höhe des Ganzen aus, und endigt sich in eine grosse Platteforme oder Altane, die rings umher mit einem Brustgeländer versehen ist. Auf der einen Seite dieser Altane erhebt sich der obere Theil des Thurms in Pyramidenform ganz durchbrochen, auf das künstlichste gearbeitet. - Von der Altane herab geniest man die herrlichste Aussicht über die Stadt Strassburg, über den Rhein, und einen grossen Theil des ehemaligen Elsasses. Je höher man hinaufsteigt, desto weiter verbreitet sich dieselbe, bis sie sich endlich in den Wolken und in den Gebirgen, welche das Becken des Rheins begränzen, verliert.~~Der Erbauer des kunstvollen Thurms war Erwin von Steinbach im 13ten Jahrhundert, und man brachte 160 Jahre bis zur Vollendung damit zu. -~~100