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Eine Liste aller Seiten, die das Attribut „Beschreibungstext“ mit dem Wert „Architecture, I. T. I. No. 39.“ haben. Weil nur wenige Ergebnisse gefunden wurden, werden auch ähnliche Werte aufgelistet.

Hier sind 251 Ergebnisse, beginnend mit Nummer 1.

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Liste der Ergebnisse

  • Ad99999 08 027a/fre  + (Amphibies XXXIV. Vol. VIII. No. 25.)
  • Ad00341 07 031a/fre  + (Amphibies XXXV. Vol. VIII. No. 29.)
  • Ad99998 08 031a/fre  + (Amphibies XXXV. Vol. VIII. No. 29.)
  • Ad99999 08 031a/fre  + (Amphibies XXXV. Vol. VIII. No. 29.)
  • Ad99999 09 019a/fre  + (Amphibies, XXXVII. Vol. IX. No. 17.)
  • Ad99998 09 019a/fre  + (Amphibies, XXXVII. Vol. IX. No. 17.)
  • Ad99999 01 022a/fre  + (Amphibies. I. T. I. No. 20.)
  • Ad00341 01 022a/fre  + (Amphibies. I. T. I. No. 20. == AMPHIBIES.Amphibies. I. T. I. No. 20.</br></br>== AMPHIBIES. ==</br></br>On appelle de ce nom les animaux, qui peuvent aussi bien vivre dans l'eau que sur la terre, mais qui, malgré cela, sont leur sejour le plus ordinaire dans l'eau ou sur les bords de lamer. Il en existe quantité d'espèces et de races. Je me bornerai à donner ici les images de quelques uns des plus grands qui se trouvent dans le grand Océan, et sont tous du genre des chiens marins.</br></br>==== No. 1. Le Lion marin velu. ====</br>Cet animal se trouve sur les côtes occidentales de toute l'Amérique, et les cotes orientales du Kamtschatka. Il est rouge brun de couleur; a la tèi e et la Jubé d'un lion, tout le corps couvert de poils lisses et courts, semblables à ceux du chien marin, et deux pieds de devant, fort courts et garnis de griffes; les orteils en sont réunis par une membrane qui aide l'animal à nager. Il a 25 pieds de long, et souvent 18 à20 pieds de circonférence, se nourrit de poissons, de chiens marins, et d'oiseaux de mer, et mugit comme un boeuf. Il craint l'homme, Ta chair et sa graille sont douces au goût. </br></br>==== N. 2. Le Lion marin lisse. ====</br>Cette espèce de lions marins appartient à l'hémisphère méridional de notre globe. On les trouve surtout dans le voisinage de l'Amérique, où ils se tiennent dans les roseaux sur le bord de la mer. Ils ont 15 à 18 pieds de longueur, sont d'un brun clair, et couverts de petits poils comme le chien marin; le mâle a sur le nez une espèce de crête qui n'est autre chose que la peau même boursoufflé du nez. Lorsqu'ils sont à terre et aperçoivent quelque chose, ils se dressent, prennent l'attitude, qu'on voit ici fig. 2., ouvrent la gueule d'un pied de largeur environ, boursoufflent leur crête et rugissent. Leur voix varie; tantôt ils rugissent comme des lions, tantôt ils rugissent comme des boeufs, tantôt enfin ils grognent comme des cochons; les petits beuglent comme des veaux. Ils se nourrirent d'herbes, de poissons et d'autres animaux marins, et sont extrêmement gras; aussi les tue-t-on pour en avoir l'huile. On employe leur peau à toutes sortes d'ouvrages de fellier, et l'on en fait des bottes et des habits pour les sauvages. </br></br>==== No. 3. Le Morse. ====</br>Les Morses vivent dans les mers et sur les côtes aux environs du pole arctique, près du Spiztberg, du Groenland et du Kamtschatka. Ils ont 16 à 18 pieds de longuer, sont d'un gris noir rougeâtre, et leur peau, qui n'est garnie que d'un très petit nombre de poils roides et courts, est de l'épaisseur du doigt. Ils se servent de deux longues defenses du plus bel yvoire, pour chercher dans la fange leur nourriture, qui consiste en moules et en plantes marines. Ils ne mangent point de chair. Ils mugissent avec force, comme le boeuf. Ceux qui frequente les côtes du Grönland, les tuent pour en avoir les dents, le lard et la peau. On tanne cette dernière, qui pése souvent jusqu'à 400 livres, et les aiguilletiers l'employent aux ouvrages les plus grossier. </br></br>==== No. 4. L'Ours marin. ====</br>Sa tête ressemble à celle d'un ours. Il est d'un brun noir; et a de longs poils roules. Il ne se trouve que dans la partie septentrionale de la mer pacifique; il a 10 pieds de long, nage avec beaucoup d'agilité, beugle comme une vache, ou gronde comme un ours. On le tue, de même que le chien marin, à cause de sa graisse et de sa peau. Il est très courageux et hardi, lorsqu'il se bat avec les autres. </br></br>==== No. 5. Le chien marin ordinaire. ====</br>Le Chien marin vit dans les mers glaciales, aux environs des deux poles; on le trouve fréquemment sur la glace et les rochers, dans le mer Baltique, près du Spizberg, du Groenland, de l'Islande, de la Norvège et de la Russie. Il a 5 à 6 pieds de longueur, est en partie d'un blanc jaunâtre, et en partie d'un noir brun, son poil est court, luisant et épais. Cet animal se nourrit de poissons, et surtout de harengs. Son cri est un aboyement rauque. Il fait la principale nourriture des Groenlandais, des Esquimaux, des Kamtschadales et d'autres peuples maritimes des Zones glaciales, qui vivent de leur pèche; car sa chair leur sert d'aliment; son huile leur tient lieu d'autre graisse, et entretient leurs lampes; sa peau leur fournit des habits, des canots, et des tentes; ses intestins sont les matériaux de leurs chemises et de leurs fenêtres; ses os leur procurent des armes et des instrumens pour la chasse; ses boyaux même leur servent encore à coudre. Plusieurs navires vont chaque année à la chasse des chiens marins, à cause de leur peau et de leur graisse dont on fait un três grand commerce.aisse dont on fait un três grand commerce.)
  • Ad99998 09 085a/fre  + (Amphibies. LXII. Vol. IX No. 83.)
  • Ad99999 09 085a/fre  + (Amphibies. LXII. Vol. IX No. 83.)
  • Ad99998 12 069a/fre  + (Amphibies. LXVII. Vol. XII. No. 67.)
  • Ad00341 02 078a/fre  + (Amphibies. VI. Vol. II. No. 75.)
  • Ad99999 02 077a/fre  + (Amphibies. VI. Vol. II. No. 75.)
  • Ad99998 02 077a/fre  + (Amphibies. VI. Vol. II. No. 75.)
  • Ad00341 02 081a/fre  + (Amphibies. VII. Vol. II. No. 78.)
  • Ad99999 02 080a/fre  + (Amphibies. VII. Vol. II. No. 78.)
  • Ad99998 02 080a/fre  + (Amphibies. VII. Vol. II. No. 78.)
  • Ad00341 03 041a/fre  + (Amphibies. VIII. B. III. No. 39.)
  • Ad99998 03 041a/fre  + (Amphibies. VIII. B. III. No. 39.)
  • Ad99999 03 041a/fre  + (Amphibies. VIII. B. III. No. 39.)
  • Ad00341 03 087a/fre  + (Amphibies. X. Vol. III. No. 85.)
  • Ad99998 03 087a/fre  + (Amphibies. X. Vol. III. No. 85.)
  • Ad99999 03 087a/fre  + (Amphibies. X. Vol. III. No. 85.)
  • Ad99999 04 100a/eng  + (Amphibies. XIX. Vol. IV. No. 98.)
  • Ad99999 04 100a/fre  + (Amphibies. XIX. Vol. IV. No. 98.)
  • Ad99998 04 100a/eng  + (Amphibies. XIX. Vol. IV. No. 98.)
  • Ad99998 04 100a/fre  + (Amphibies. XIX. Vol. IV. No. 98.)
  • Ad99999 09 054a/fre  + (Amphibies. XLI. Vol. IX. No. 52.)
  • Ad99998 09 054a/fre  + (Amphibies. XLI. Vol. IX. No. 52.)
  • Ad00341 08 024a/fre  + (Amphibies. XLIII. Vol. X. No. 22.)
  • Ad99999 10 024a/fre  + (Amphibies. XLIII. Vol. X. No. 22.)
  • Ad99998 10 024a/fre  + (Amphibies. XLIII. Vol. X. No. 22.)
  • Ad99998 12 054a/fre  + (Amphibies. XLIX. Vol. XII. No. 52.)
  • Ad99999 11 026a/fre  + (Amphibies. XLVI. Vol XI. No. 24.)
  • Ad99998 11 026a/fre  + (Amphibies. XLVI. Vol XI. No. 24.)
  • Ad99999 11 038a/fre  + (Amphibies. XLVII. Vol. XI. Nr. 36.)
  • Ad99998 11 038a/fre  + (Amphibies. XLVII. Vol. XI. Nr. 36.)
  • Ad99998 12 044a/fre  + (Amphibies. XLVIII. Vol. XII. No. 42.)
  • Ad99999 04 090a/eng  + (Amphibies. XVI. Vol. IV. No. 88.)
  • Ad99999 04 090a/fre  + (Amphibies. XVI. Vol. IV. No. 88.)
  • Ad99998 04 090a/eng  + (Amphibies. XVI. Vol. IV. No. 88.)
  • Ad99998 04 090a/fre  + (Amphibies. XVI. Vol. IV. No. 88.)
  • Ad99999 04 095a/eng  + (Amphibies. XVII. Vol. IV. No. 93.)
  • Ad99999 04 095a/fre  + (Amphibies. XVII. Vol. IV. No. 93.)
  • Ad99998 04 095a/eng  + (Amphibies. XVII. Vol. IV. No. 93.)
  • Ad99998 04 095a/fre  + (Amphibies. XVII. Vol. IV. No. 93.)
  • Ad99999 04 096a/eng  + (Amphibies. XVIII. Vol. IV. No. 94.)
  • Ad99999 04 096a/fre  + (Amphibies. XVIII. Vol. IV. No. 94.)
  • Ad99998 04 096a/eng  + (Amphibies. XVIII. Vol. IV. No. 94.)
  • Ad99998 04 096a/fre  + (Amphibies. XVIII. Vol. IV. No. 94.)
  • Ad99999 04 101a/fre  + (Amphibies. XX. Tom. IV No. 99.)
  • Ad99998 04 101a/fre  + (Amphibies. XX. Tom. IV No. 99.)
  • Ad99999 04 101a/eng  + (Amphibies. XX. Vol. IV. No. 99.)
  • Ad99998 04 101a/eng  + (Amphibies. XX. Vol. IV. No. 99.)
  • Ad00341 04 019a/fre  + (Amphibies. XXIII. Vol. V. No. 17.)
  • Ad99998 05 019a/fre  + (Amphibies. XXIII. Vol. V. No. 17.)
  • Ad00341 05 063a/fre  + (Amphibies. XXV. Vol. VI. No. 61.)
  • Ad99999 06 063a/fre  + (Amphibies. XXV. Vol. VI. No. 61.)
  • Ad99998 06 063a/fre  + (Amphibies. XXV. Vol. VI. No. 61.)
  • Ad00341 05 075a/fre  + (Amphibies. XXVI. Vol. VI. No. 73.)
  • Ad99999 06 075a/fre  + (Amphibies. XXVI. Vol. VI. No. 73.)
  • Ad99998 06 075a/fre  + (Amphibies. XXVI. Vol. VI. No. 73.)
  • Ad00341 07 067a/fre  + (Amphibies. XXXVI. Vol. VIII. No. 63.)
  • Ad99998 08 067a/fre  + (Amphibies. XXXVI. Vol. VIII. No. 63.)
  • Ad99999 08 067a/fre  + (Amphibies. XXXVI. Vol. VIII. No. 63.)
  • Ad99998 09 025a/fre  + (Amphibies. XXXVIII. Vol. IX. No. 23.)
  • Ad99999 09 025a/fre  + (Amphibies. XXXVIII. Vol. IX. No. 23.)
  • Ad00341 05 063a/eng  + (Amphibious animals. XXV. Vol. VI.No. 61.)
  • Ad99999 06 063a/eng  + (Amphibious animals. XXV. Vol. VI.No. 61.)
  • Ad99998 06 063a/eng  + (Amphibious animals. XXV. Vol. VI.No. 61.)
  • Ad00341 05 020a/eng  + (Misc. Subj. LXXX.)
  • Ad99998 06 020a/eng  + (Misc. Subj. LXXX.)
  • Ad99999 06 020a/eng  + (Misc. Subj. LXXX.)
  • Ad00341 07 056a  + (An der Gränze der ungeheuren Wüste, welcheAn der Gränze der ungeheuren Wüste, welche das Innere Island's ausmacht, an der Ostseite eines etwa 300 Fuss hohen Hügels finden sich eine Menge heisser Springquellen. Die merkwürdigsten sind die sogenannten Geyser; der grosse, (den wir schon im LXXVI. Hefte unsers Bilderbuchs dargestellt haben,) der brüllende, der kleine, der neue Geyser. Der neue Geyser unterscheidet sich von den übrigen besonders dadurch, dass er springt, ohne dass ein unterirdisches Knallen den Ausbruch desselben ankündigt. Gewöhnlich wirft er zuerst in 3 oder 4 kurzen, und dann einigen langen Strahlen das Wasser aus der Röhre empor, wo es etwa 20 Fuss unter der Mündung in beständigem heftigen Kochen ist. Sobald die Haupt-Wassermasse herausgeworfen ist, bricht mit erstaunlicher Gewalt und einem lautdonnernden Getöse der Brodem hervor, und wirft das Wasser oft bis zu einer Höhe von 60 bis 132 Fuss. Das prachtvolle Spiel dauert oft länger als eine halbe Stunde. Vom Dampfe fällt ein leichter Regenschauer nieder, der einen äusserst schönen Effect macht. Wenn man Steine in die Röhre wirft, während der Brodem herausbricht, so werden sie sofort wieder herausgeworfen, gewöhnlich in Stücke zerbrochen, und bis zu einer erstaunlichen Höhe geschleudert.~~Theorie des neuen Geysers.~~Diese wunderbare Erscheinung ist sehr schwer, und nur durch die Annahme einer plötzlich entstehenden Hitze zu erklären.~~Eingeschlossener Brodem in einer unterirdischen Höhle (c), hält die niedrige Wassersäule in der Röhre schwebend. Die Hitze unter der Höhlung (c) vermehrt sich plötzlich. Ein Theil des dadurch ausserordentlich vermehrten Dampfes steigt durch das Wasser (und zwar, weil der Widerstand nicht gross ist, ohne Explosion) und führt etwas davon mit sich. Durch wiederhohlte Dampfentwickelungen wird immer mehr Wasser herausgeworfen; zuletzt erfolgt keine Unterbrechung mehr, der Brodem steigt rauschend und heftig heraus, bis die Hitze nachlässt, der Ausbruch dadurch schwächer, endlich erschöpft wird, und die Erscheinung aufhört.~~höpft wird, und die Erscheinung aufhört.~~)
  • Ad99998 08 056a  + (An der Gränze der ungeheuren Wüste, welcheAn der Gränze der ungeheuren Wüste, welche das Innere Island's ausmacht, an der Ostseite eines etwa 300 Fuss hohen Hügels finden sich eine Menge heisser Springquellen. Die merkwürdigsten sind die sogenannten Geyser; der grosse, (den wir schon im LXXVI. Hefte unsers Bilderbuchs dargestellt haben,) der brüllende, der kleine, der neue Geyser. Der neue Geyser unterscheidet sich von den übrigen besonders dadurch, dass er springt, ohne dass ein unterirdisches Knallen den Ausbruch desselben ankündigt. Gewöhnlich wirft er zuerst in 3 oder 4 kurzen, und dann einigen langen Strahlen das Wasser aus der Röhre empor, wo es etwa 20 Fuss unter der Mündung in beständigem heftigen Kochen ist. Sobald die Haupt-Wassermasse herausgeworfen ist, bricht mit erstaunlicher Gewalt und einem lautdonnernden Getöse der Brodem hervor, und wirft das Wasser oft bis zu einer Höhe von 60 bis 132 Fuss. Das prachtvolle Spiel dauert oft länger als eine halbe Stunde. Vom Dampfe fällt ein leichter Regenschauer nieder, der einen äusserst schönen Effect macht. Wenn man Steine in die Röhre wirft, während der Brodem herausbricht, so werden sie sofort wieder herausgeworfen, gewöhnlich in Stücke zerbrochen, und bis zu einer erstaunlichen Höhe geschleudert.~~Theorie des neuen Geysers.~~Diese wunderbare Erscheinung ist sehr schwer, und nur durch die Annahme einer plötzlich entstehenden Hitze zu erklären.~~Eingeschlossener Brodem in einer unterirdischen Höhle (c), hält die niedrige Wassersäule in der Röhre schwebend. Die Hitze unter der Höhlung (c) vermehrt sich plötzlich. Ein Theil des dadurch ausserordentlich vermehrten Dampfes steigt durch das Wasser (und zwar, weil der Widerstand nicht gross ist, ohne Explosion) und führt etwas davon mit sich. Durch wiederhohlte Dampfentwickelungen wird immer mehr Wasser herausgeworfen; zuletzt erfolgt keine Unterbrechung mehr, der Brodem steigt rauschend und heftig heraus, bis die Hitze nachlässt, der Ausbruch dadurch schwächer, endlich erschöpft wird, und die Erscheinung aufhört.~~höpft wird, und die Erscheinung aufhört.~~)
  • Ad99999 08 056a  + (An der Gränze der ungeheuren Wüste, welcheAn der Gränze der ungeheuren Wüste, welche das Innere Island's ausmacht, an der Ostseite eines etwa 300 Fuss hohen Hügels finden sich eine Menge heisser Springquellen. Die merkwürdigsten sind die sogenannten Geyser; der grosse, (den wir schon im LXXVI. Hefte unsers Bilderbuchs dargestellt haben,) der brüllende, der kleine, der neue Geyser. Der neue Geyser unterscheidet sich von den übrigen besonders dadurch, dass er springt, ohne dass ein unterirdisches Knallen den Ausbruch desselben ankündigt. Gewöhnlich wirft er zuerst in 3 oder 4 kurzen, und dann einigen langen Strahlen das Wasser aus der Röhre empor, wo es etwa 20 Fuss unter der Mündung in beständigem heftigen Kochen ist. Sobald die Haupt-Wassermasse herausgeworfen ist, bricht mit erstaunlicher Gewalt und einem lautdonnernden Getöse der Brodem hervor, und wirft das Wasser oft bis zu einer Höhe von 60 bis 132 Fuss. Das prachtvolle Spiel dauert oft länger als eine halbe Stunde. Vom Dampfe fällt ein leichter Regenschauer nieder, der einen äusserst schönen Effect macht. Wenn man Steine in die Röhre wirft, während der Brodem herausbricht, so werden sie sofort wieder herausgeworfen, gewöhnlich in Stücke zerbrochen, und bis zu einer erstaunlichen Höhe geschleudert.~~Theorie des neuen Geysers.~~Diese wunderbare Erscheinung ist sehr schwer, und nur durch die Annahme einer plötzlich entstehenden Hitze zu erklären.~~Eingeschlossener Brodem in einer unterirdischen Höhle (c), hält die niedrige Wassersäule in der Röhre schwebend. Die Hitze unter der Höhlung (c) vermehrt sich plötzlich. Ein Theil des dadurch ausserordentlich vermehrten Dampfes steigt durch das Wasser (und zwar, weil der Widerstand nicht gross ist, ohne Explosion) und führt etwas davon mit sich. Durch wiederhohlte Dampfentwickelungen wird immer mehr Wasser herausgeworfen; zuletzt erfolgt keine Unterbrechung mehr, der Brodem steigt rauschend und heftig heraus, bis die Hitze nachlässt, der Ausbruch dadurch schwächer, endlich erschöpft wird, und die Erscheinung aufhört.~~höpft wird, und die Erscheinung aufhört.~~)
  • Ad00341 05 093a  + (An der Stelle der heutigen Stadt Mexiko, wAn der Stelle der heutigen Stadt Mexiko, welche nach Eroberung jenes Landstriches der neuen Welt von den Spaniern gebaut wurde, lag in früheren Zeiten die Stadt Tenochtitlan, die Residenz eigener Könige der alten Einwohner. Nach einer hartnäckigen Belagerung wurde im J. 1521 diese Stadt von den Spaniern eingenommen, gänzlich zerstört, und Cortez, der Spanische Heerführer, liess auf europäische Art eine neue Stadt Mexiko anlegen, welche jetzt an 140,000 Einwohner zählt, und an Schönheit den berühmtesten Städten in Europa nicht nachsteht.~~Wir sehen hier den grossen Platz (la plaza major) abgebildet, auf dem sonst der grosse Tempel des Mexitili, oder des Kriegsgottes der Ureinwohner des nachher so benannten Amerika's stand.~~Jetzt ziert diesen Platz die prächtige Statue zu Pferde des Spanischen Königs Carl IV., welche von einem geschickten Spanischen Künstler, Don Manuel Dolsa in Mexiko von Metall ausgeführt, und im Jahre 1803 errichtet wurde. Der Platz um die Statue ist mit Porphyr- Quadern gepflastert, mit einem Geländer eingefasst, und durch vier Thore verschlossen. Hinter dem Hauptplatze im Mittelpunkte unserer Abbildung sehen wir die prächtige Hauptkirche (2), von der ein Theil (3) noch ganz im moreskischen oder maurischen Style erbaut ist. Links von der Hauptkirche sieht man den einfach gebauten Pallast (1), den Wohnsitz des Vicekönigs von Neu-Spanien.~~Wohnsitz des Vicekönigs von Neu-Spanien.~~)
  • Ad99998 06 093a  + (An der Stelle der heutigen Stadt Mexiko, wAn der Stelle der heutigen Stadt Mexiko, welche nach Eroberung jenes Landstriches der neuen Welt von den Spaniern gebaut wurde, lag in früheren Zeiten die Stadt Tenochtitlan, die Residenz eigener Könige der alten Einwohner. Nach einer hartnäckigen Belagerung wurde im J. 1521 diese Stadt von den Spaniern eingenommen, gänzlich zerstört, und Cortez, der Spanische Heerführer, liess auf europäische Art eine neue Stadt Mexiko anlegen, welche jetzt an 140,000 Einwohner zählt, und an Schönheit den berühmtesten Städten in Europa nicht nachsteht.~~Wir sehen hier den grossen Platz (la plaza major) abgebildet, auf dem sonst der grosse Tempel des Mexitili, oder des Kriegsgottes der Ureinwohner des nachher so benannten Amerika's stand.~~Jetzt ziert diesen Platz die prächtige Statue zu Pferde des Spanischen Königs Carl IV., welche von einem geschickten Spanischen Künstler, Don Manuel Dolsa in Mexiko von Metall ausgeführt, und im Jahre 1803 errichtet wurde. Der Platz um die Statue ist mit Porphyr- Quadern gepflastert, mit einem Geländer eingefasst, und durch vier Thore verschlossen. Hinter dem Hauptplatze im Mittelpunkte unserer Abbildung sehen wir die prächtige Hauptkirche (2), von der ein Theil (3) noch ganz im moreskischen oder maurischen Style erbaut ist. Links von der Hauptkirche sieht man den einfach gebauten Pallast (1), den Wohnsitz des Vicekönigs von Neu-Spanien.~~Wohnsitz des Vicekönigs von Neu-Spanien.~~)
  • Ad99999 06 093a  + (An der Stelle der heutigen Stadt Mexiko, wAn der Stelle der heutigen Stadt Mexiko, welche nach Eroberung jenes Landstriches der neuen Welt von den Spaniern gebaut wurde, lag in früheren Zeiten die Stadt Tenochtitlan, die Residenz eigener Könige der alten Einwohner. Nach einer hartnäckigen Belagerung wurde im J. 1521 diese Stadt von den Spaniern eingenommen, gänzlich zerstört, und Cortez, der Spanische Heerführer, liess auf europäische Art eine neue Stadt Mexiko anlegen, welche jetzt an 140,000 Einwohner zählt, und an Schönheit den berühmtesten Städten in Europa nicht nachsteht.~~Wir sehen hier den grossen Platz (la plaza major) abgebildet, auf dem sonst der grosse Tempel des Mexitili, oder des Kriegsgottes der Ureinwohner des nachher so benannten Amerika's stand.~~Jetzt ziert diesen Platz die prächtige Statue zu Pferde des Spanischen Königs Carl IV., welche von einem geschickten Spanischen Künstler, Don Manuel Dolsa in Mexiko von Metall ausgeführt, und im Jahre 1803 errichtet wurde. Der Platz um die Statue ist mit Porphyr- Quadern gepflastert, mit einem Geländer eingefasst, und durch vier Thore verschlossen. Hinter dem Hauptplatze im Mittelpunkte unserer Abbildung sehen wir die prächtige Hauptkirche (2), von der ein Theil (3) noch ganz im moreskischen oder maurischen Style erbaut ist. Links von der Hauptkirche sieht man den einfach gebauten Pallast (1), den Wohnsitz des Vicekönigs von Neu-Spanien.~~Wohnsitz des Vicekönigs von Neu-Spanien.~~)
  • Ad99999 04 082a/eng  + (Miscell. Subj. XLVI. Vol. IV. No. 80.)
  • Ad99998 04 082a/eng  + (Miscell. Subj. XLVI. Vol. IV. No. 80.)
  • Ad00341 04 019a/ita  + (Anfibi XXIII. T. V. No. 17.)
  • Ad99998 05 019a/ita  + (Anfibi XXIII. T. V. No. 17.)
  • Ad99999 04 090a/ita  + (Anfibi. XVI. Tom. IV. No. 88.)
  • Ad99998 04 090a/ita  + (Anfibi. XVI. Tom. IV. No. 88.)
  • Ad99999 04 096a/ita  + (Anfibi. XVIII. Tom. IV. No. 89. [sic])
  • Ad99998 04 096a/ita  + (Anfibi. XVIII. Tom. IV. No. 89. [sic])
  • Ad99999 04 011a/ita  + (Anfibj XIII. T. IV. No. 9.)
  • Ad99998 04 011a/ita  + (Anfibj XIII. T. IV. No. 9.)
  • Ad99999 04 016a/ita  + (Anfibj XIV. T. IV. No. 14.)
  • Ad99998 04 016a/ita  + (Anfibj XIV. T. IV. No. 14.)
  • Ad99999 04 021a/ita  + (Anfibj XV. T. IV. No. 19.)
  • Ad99998 04 021a/ita  + (Anfibj XV. T. IV. No. 19.)
  • Ad99999 04 005a/ita  + (Anfibj Xll. T. IV. No. 3.)
  • Ad99998 04 005a/ita  + (Anfibj Xll. T. IV. No. 3.)
  • Ad00341 08 043a/fre  + (Quadrupèdes. CIII. Vol. X. No. 41.)
  • Ad99999 10 043a/fre  + (Quadrupèdes. CIII. Vol. X. No. 41.)
  • Ad99998 10 043a/fre  + (Quadrupèdes. CIII. Vol. X. No. 41.)
  • Ad99998 12 058a/fre  + (Mammifères. CXXXII. Vol. XII. No. 56.)
  • Ad99998 12 068a/fre  + (Mammifères. LXVI. Vol. XII. 66.)
  • Ad99999 04 062a  + (Ansicht des Montblanc.~~Bis zu einer gewisAnsicht des Montblanc.~~Bis zu einer gewissen Höhe in unserer Atmosphäre bleibt der auf die Gebirge gefallene Schnee in allen Welttheilen immer liegen, welche daher auch die Schneelinie heisst. Dieser ewige Schnee thauet aber, durch die natürliche Wärme der Erde, unten auf dem Grunde immer weg, und erzeuget Wasserquellen, dass also nach der weisen Einrichtung der Natur die Schneegebirge unserer Erde allenthalben die grossen Wasserbehälter sind, als welchen alle Flüsse entstehen.~~Eines der grössten und höchsten Schneegebirge der Erde sind die Schweizer Alpen, und unter denselben der Montblanc, der höchste Berg der alten Welt, dessen Ansicht wir hier haben. Das kleine liebliche Thal, aus dem wir ihn hier sehen, liegt bei dem Kirchdorfe Chede, und der kleine spiegelhelle See im Vorgrunde ist der See von Chede. Rund umher und ganz in der Nähe dieses fürchterlichen Schneegebirges sind grüne fette alpenweiden, und in diesem kleinen Thale ist die Witterung so warm und milde, dass Obst und Weintrauben da wachsen und reifen.~~Der Montblanc oder weisse Berg selbst besteht aus mehreren Bergspitzen, kleinen Thälern und Felsenrücken, die man alle erst mit Lebensgefahr übersteigen muss, ehe man zu seinem höchsten Gipfel gelangen kann. Der Fuss des Montblanc läuft in dem Thale von Chamouny, das wir aus der vorigen Tafel kennen, aus, und man rechnet von Chamouny bis zum Gipfel noch 18 Stunden.~~Bis zum Jahre 1775 hatte es noch kein Sterblicher gewagt, den Gipfel dieses Berges zu besteigen; denn die Gefahren, entweder in Abgründe des ewigen Schnees zu versinken, oder aus Kraftlosigkeit unterwegs umzukommen, oder in der verdünnten Luft dieser entsetzlichen Höhe nicht mehr athmen zu können und zu ersticken, hatten auch die Kühnsten davon abgeschrökt. Erst vom Jahre 1775 an wurden durch Veranlassung des berühmten Naturforschers Herrn von Saussure mehrere Versuche gemacht, davon viele misslangen, bis es endlich dem Dr. Paccard, Arzte zu Chamouny, den 8. Aug. 1786 zuerst, und hernach dem Herrn von Saussure und mehreren Anderen wirklich gelang, ihn zu besteigen, und die höchsten Alpen unter ihren Füssen wie Hügel liegen zu sehen.~~ ihren Füssen wie Hügel liegen zu sehen.~~)
  • Ad99998 04 062a  + (Ansicht des Montblanc.~~Bis zu einer gewisAnsicht des Montblanc.~~Bis zu einer gewissen Höhe in unserer Atmosphäre bleibt der auf die Gebirge gefallene Schnee in allen Welttheilen immer liegen, welche daher auch die Schneelinie heisst. Dieser ewige Schnee thauet aber, durch die natürliche Wärme der Erde, unten auf dem Grunde immer weg, und erzeuget Wasserquellen, dass also nach der weisen Einrichtung der Natur die Schneegebirge unserer Erde allenthalben die grossen Wasserbehälter sind, als welchen alle Flüsse entstehen.~~Eines der grössten und höchsten Schneegebirge der Erde sind die Schweizer Alpen, und unter denselben der Montblanc, der höchste Berg der alten Welt, dessen Ansicht wir hier haben. Das kleine liebliche Thal, aus dem wir ihn hier sehen, liegt bei dem Kirchdorfe Chede, und der kleine spiegelhelle See im Vorgrunde ist der See von Chede. Rund umher und ganz in der Nähe dieses fürchterlichen Schneegebirges sind grüne fette alpenweiden, und in diesem kleinen Thale ist die Witterung so warm und milde, dass Obst und Weintrauben da wachsen und reifen.~~Der Montblanc oder weisse Berg selbst besteht aus mehreren Bergspitzen, kleinen Thälern und Felsenrücken, die man alle erst mit Lebensgefahr übersteigen muss, ehe man zu seinem höchsten Gipfel gelangen kann. Der Fuss des Montblanc läuft in dem Thale von Chamouny, das wir aus der vorigen Tafel kennen, aus, und man rechnet von Chamouny bis zum Gipfel noch 18 Stunden.~~Bis zum Jahre 1775 hatte es noch kein Sterblicher gewagt, den Gipfel dieses Berges zu besteigen; denn die Gefahren, entweder in Abgründe des ewigen Schnees zu versinken, oder aus Kraftlosigkeit unterwegs umzukommen, oder in der verdünnten Luft dieser entsetzlichen Höhe nicht mehr athmen zu können und zu ersticken, hatten auch die Kühnsten davon abgeschrökt. Erst vom Jahre 1775 an wurden durch Veranlassung des berühmten Naturforschers Herrn von Saussure mehrere Versuche gemacht, davon viele misslangen, bis es endlich dem Dr. Paccard, Arzte zu Chamouny, den 8. Aug. 1786 zuerst, und hernach dem Herrn von Saussure und mehreren Anderen wirklich gelang, ihn zu besteigen, und die höchsten Alpen unter ihren Füssen wie Hügel liegen zu sehen.~~ ihren Füssen wie Hügel liegen zu sehen.~~)
  • Ad00341 03 055a  + (Ansicht seiner Mündung.~~Die Mündung oder Ansicht seiner Mündung.~~Die Mündung oder der Crater des Vesuvs ändert sich, weil sie aus lauter verbrannten vulkanischen Materialien besteht, fast immer nach jedem Ausbruche. Wir wollen hier zwey Abbildungen davon betrachten, die uns einen ziemlich anschaulichen Begriff davon geben.~~No. 1. Das Innere des Craters im Iahre 1751.~~Nach dem Ausbruche des Vesuvs im Iahre 1751 änderte sich der Gipfel desselben auf eine merkwürdige Art. Sein Crater wurde fast ganz mit ausgeworfenen verbrannten Steinen, Asche und dergleichen Materialien ausgefüllt, in der Mitte aber blieb ein Loch, aus welchem fortwährend Rauch, Feuer, Asche und Bimsteine hervorbrachen, und nach und nach im Crater selbst um diese Mündung einen kleinen Berg bildeten, aus welchem auch ein kleiner Lava Bach kam, und um diesen Hügel herum floss. Nun konnte man sicher in den sonst so schrecklichen Feuer-Schlund selbst hinein und rund um den kleinen Hügel herum gehen, und Alles in der Nähe betrachten.~~No. 2. Das Innere des Craters im Iahre 1775.~~Hier sieht das Innere des Craters wieder ganz anders aus als oben. Er hat sich mehr ausgefüllt, und innerhalb einen gedoppelten Hügel gebildet, der fast den ganzen Crater ausfüllt. Aus demselben brechen, unterhalb der immer fortbrennenden Mündung, aus dem Hügel verschiedene kleine Ströme glühender Lava hervor, welche weiss-graue kleine Rauchwolken bilden, und den Berg herab fliessen. Die Aussenseite des Craters hat einen scharfen abgebrochenen Rand, und ist wie immer mit Schlacken tiefer Asche und ausgeworfenen Bimssteinen bedeckt.~~e und ausgeworfenen Bimssteinen bedeckt.~~)
  • Ad99998 03 055a  + (Ansicht seiner Mündung.~~Die Mündung oder Ansicht seiner Mündung.~~Die Mündung oder der Crater des Vesuvs ändert sich, weil sie aus lauter verbrannten vulkanischen Materialien besteht, fast immer nach jedem Ausbruche. Wir wollen hier zwey Abbildungen davon betrachten, die uns einen ziemlich anschaulichen Begriff davon geben.~~No. 1. Das Innere des Craters im Iahre 1751.~~Nach dem Ausbruche des Vesuvs im Iahre 1751 änderte sich der Gipfel desselben auf eine merkwürdige Art. Sein Crater wurde fast ganz mit ausgeworfenen verbrannten Steinen, Asche und dergleichen Materialien ausgefüllt, in der Mitte aber blieb ein Loch, aus welchem fortwährend Rauch, Feuer, Asche und Bimsteine hervorbrachen, und nach und nach im Crater selbst um diese Mündung einen kleinen Berg bildeten, aus welchem auch ein kleiner Lava Bach kam, und um diesen Hügel herum floss. Nun konnte man sicher in den sonst so schrecklichen Feuer-Schlund selbst hinein und rund um den kleinen Hügel herum gehen, und Alles in der Nähe betrachten.~~No. 2. Das Innere des Craters im Iahre 1775.~~Hier sieht das Innere des Craters wieder ganz anders aus als oben. Er hat sich mehr ausgefüllt, und innerhalb einen gedoppelten Hügel gebildet, der fast den ganzen Crater ausfüllt. Aus demselben brechen, unterhalb der immer fortbrennenden Mündung, aus dem Hügel verschiedene kleine Ströme glühender Lava hervor, welche weiss-graue kleine Rauchwolken bilden, und den Berg herab fliessen. Die Aussenseite des Craters hat einen scharfen abgebrochenen Rand, und ist wie immer mit Schlacken tiefer Asche und ausgeworfenen Bimssteinen bedeckt.~~e und ausgeworfenen Bimssteinen bedeckt.~~)
  • Ad99999 03 055a  + (Ansicht seiner Mündung.~~Die Mündung oder Ansicht seiner Mündung.~~Die Mündung oder der Crater des Vesuvs ändert sich, weil sie aus lauter verbrannten vulkanischen Materialien besteht, fast immer nach jedem Ausbruche. Wir wollen hier zwey Abbildungen davon betrachten, die uns einen ziemlich anschaulichen Begriff davon geben.~~No. 1. Das Innere des Craters im Iahre 1751.~~Nach dem Ausbruche des Vesuvs im Iahre 1751 änderte sich der Gipfel desselben auf eine merkwürdige Art. Sein Crater wurde fast ganz mit ausgeworfenen verbrannten Steinen, Asche und dergleichen Materialien ausgefüllt, in der Mitte aber blieb ein Loch, aus welchem fortwährend Rauch, Feuer, Asche und Bimsteine hervorbrachen, und nach und nach im Crater selbst um diese Mündung einen kleinen Berg bildeten, aus welchem auch ein kleiner Lava Bach kam, und um diesen Hügel herum floss. Nun konnte man sicher in den sonst so schrecklichen Feuer-Schlund selbst hinein und rund um den kleinen Hügel herum gehen, und Alles in der Nähe betrachten.~~No. 2. Das Innere des Craters im Iahre 1775.~~Hier sieht das Innere des Craters wieder ganz anders aus als oben. Er hat sich mehr ausgefüllt, und innerhalb einen gedoppelten Hügel gebildet, der fast den ganzen Crater ausfüllt. Aus demselben brechen, unterhalb der immer fortbrennenden Mündung, aus dem Hügel verschiedene kleine Ströme glühender Lava hervor, welche weiss-graue kleine Rauchwolken bilden, und den Berg herab fliessen. Die Aussenseite des Craters hat einen scharfen abgebrochenen Rand, und ist wie immer mit Schlacken tiefer Asche und ausgeworfenen Bimssteinen bedeckt.~~e und ausgeworfenen Bimssteinen bedeckt.~~)
  • Ad99998 12 076a  + (Antelopenjagd mit Leopaden.~~Diese Jagd wiAntelopenjagd mit Leopaden.~~Diese Jagd wird noch jetzt in Vorderindien betrieben. Der Jagdleopard, welcher hierzu benutzt wird, hat einen langgestreckten, dünnen, an den Seiten abgeplatteten Körper und einen sehr kleinen, zierlichen Kopf. Der Leopard sitzt mit den Wärtern oder Jägern auf der Plattform eines zweirädrigen, von zwei Stieren gezogenen Karrens, und ist mittels eines Halsbands und Seils an das Hintertheil des Karrens gebunden. Ueber den Augen hat er eine lederne Kappe. Capitän Mundy , welcher in der Nähe von Agra einer solchen Jagd beiwohnte, hat das Nähere derselben beschrieben. Man fährt auf einem solchen Karren nach der Gegend hin, in welcher sich Antelopen aufhalten, und sucht sich, sobald man welche erblickt, denselben soviel als möglich zu nähern. Diess ist nicht so leicht, da die Antelopen ausserordentlich scheu und wachsam sind; allein mit einem solchen Karren gelingt es doch leichter, ihnen beizukommen, da sie schon an dessen Anblick gewöhnt sind. Als man sich in dem hier abgebildeten Falle den Antelopen auf 150 Schritte genähert hatte, wurde dem Leoparden, nachdem er losgekoppelt worden, die Kappe abgenommen, worauf er bei Erblickung des Wildes, sachte auf der entgegensetzten Seite des Karrens herunterstieg, und sich beständig duckend, im kurzen Galopp, den Antelopen sich näherte, als aber diese flüchtig wurden, in weiten Sprüngen ihnen nacheilte und sich nach wenigen Sätzen mitten unter dem Rudel befand. Als er eins dieser Thiere erreicht hatte, warf er es mit einem Schlag seiner Tatze zu Boden, und saugte ihm sogleich das Blut aus der Kehle. Sobald aber das Thier niedergerissen war, lief sogleich einer der Wärter hin, warf dem Leoparden die Kappe über, schnitt dem Wilde die Gurgel ab und fing einen Theil des Bluts in einen hölzernen Löffel auf, welches er dann den Leoparden schlürfen liess. Dieser letztere bekam auch noch ein Bein von dem Thiere, für seine Mühe. Auf der obern Abtheilung unserer Kupfertafel sieht man einen solchen Karren nebst dem dazu gehörigen Leoparden und den Jägern, wie sie sich dem Wilde zu nähern suchen; auf der untern hat der Leopard die Antelope erreicht und würgt sie.~~ard die Antelope erreicht und würgt sie.~~)
  • Ad00341 04 028a/ita  + (Antichita XIV. Tom. V. No. 26.)
  • Ad99998 05 028a/ita  + (Antichita XIV. Tom. V. No. 26.)
  • Ad99999 04 063a/ita  + (Antichità X. Tom. IV. No. 61.)
  • Ad99998 04 063a/ita  + (Antichità X. Tom. IV. No. 61.)
  • Ad00341 04 036a/ita  + (Antichità XIX. Tom. V. No. 34.)
  • Ad99998 05 036a/ita  + (Antichità XIX. Tom. V. No. 34.)
  • Ad00341 04 029a/ita  + (Antichità XV. Tom. V. No. 27.)
  • Ad99998 05 029a/ita  + (Antichità XV. Tom. V. No. 27.)
  • Ad00341 04 033a/ita  + (Antichità XVI. Tom. V. No. 31.)
  • Ad99998 05 033a/ita  + (Antichità XVI. Tom. V. No. 31.)
  • Ad00341 04 034a/ita  + (Antichità XVII. Tom. V. No. 32.)
  • Ad99998 05 034a/ita  + (Antichità XVII. Tom. V. No. 32.)
  • Ad00341 04 035a/ita  + (Antichità XVIII. Tom. V. No. 33.)
  • Ad99998 05 035a/ita  + (Antichità XVIII. Tom. V. No. 33.)
  • Ad00341 04 037a/ita  + (Antichità XX. Tom. V. No. 35.)
  • Ad99998 05 037a/ita  + (Antichità XX. Tom. V. No. 35.)
  • Ad00341 04 038a/ita  + (Antichità XXI. Tom. V. No. 36.)
  • Ad99998 05 038a/ita  + (Antichità XXI. Tom. V. No. 36.)
  • Ad00341 04 039a/ita  + (Antichità XXII. Tom. V. No. 37.)
  • Ad99998 05 039a/ita  + (Antichità XXII. Tom. V. No. 37.)
  • Ad99999 04 056a/ita  + (Antichità. IX. Tom. IV. No. 54.)
  • Ad99998 04 056a/ita  + (Antichità. IX. Tom. IV. No. 54.)
  • Ad99999 04 051a/ita  + (Antichità. VIII. Tom. IV. No. 49.)
  • Ad99998 04 051a/ita  + (Antichità. VIII. Tom. IV. No. 49.)
  • Ad99999 04 064a/ita  + (Antichità. XI. Tom. IV. No. 62.)
  • Ad99998 04 064a/ita  + (Antichità. XI. Tom. IV. No. 62.)
  • Ad99999 04 069a/ita  + (Antichità. XII. Tom. IV. No. 67.)
  • Ad99998 04 069a/ita  + (Antichità. XII. Tom. IV. No. 67.)
  • Ad99999 04 077a/ita  + (Antichità. XIII. Tom. IV. No. 75.)
  • Ad99998 04 077a/ita  + (Antichità. XIII. Tom. IV. No. 75.)
  • Ad99999 04 064a/eng  + (Antiquities XI. Vol. IV. No. 62.)
  • Ad99998 04 064a/eng  + (Antiquities XI. Vol. IV. No. 62.)
  • Ad00341 04 028a/eng  + (Antiquities XIV. Vol. V. No. 26.)
  • Ad99998 05 028a/eng  + (Antiquities XIV. Vol. V. No. 26.)
  • Ad00341 04 036a/eng  + (Antiquities XIX. Vol. V. No. 34.)
  • Ad99998 05 036a/eng  + (Antiquities XIX. Vol. V. No. 34.)
  • Ad00341 04 029a/eng  + (Antiquities XV. Vol. V. No. 27.)
  • Ad99998 05 029a/eng  + (Antiquities XV. Vol. V. No. 27.)
  • Ad00341 04 033a/eng  + (Antiquities XVI. Vol. V. NO. 31.)
  • Ad99998 05 033a/eng  + (Antiquities XVI. Vol. V. NO. 31.)
  • Ad00341 04 034a/eng  + (Antiquities XVII. Vol. V. No. 32.)
  • Ad99998 05 034a/eng  + (Antiquities XVII. Vol. V. No. 32.)
  • Ad00341 04 035a/eng  + (Antiquities XVIII. Vol. V. No. 33.)
  • Ad99998 05 035a/eng  + (Antiquities XVIII. Vol. V. No. 33.)
  • Ad00341 04 037a/eng  + (Antiquities XX. Vol. V. No. 35.)
  • Ad99998 05 037a/eng  + (Antiquities XX. Vol. V. No. 35.)
  • Ad00341 04 038a/eng  + (Antiquities XXI. Vol. V. No. 36.)
  • Ad99998 05 038a/eng  + (Antiquities XXI. Vol. V. No. 36.)
  • Ad00341 04 039a/eng  + (Antiquities XXII. Vol. V. No. 37.)
  • Ad99998 05 039a/eng  + (Antiquities XXII. Vol. V. No. 37.)
  • Ad99999 04 056a/eng  + (Antiquities. IX. Vol. IV. No. 54.)
  • Ad99998 04 056a/eng  + (Antiquities. IX. Vol. IV. No. 54.)
  • Ad99999 04 051a/eng  + (Antiquities. VIII. Vol. Im. No 49.)
  • Ad99998 04 051a/eng  + (Antiquities. VIII. Vol. Im. No 49.)
  • Ad99999 04 063a/eng  + (Antiquities. X. Vol. IV. No. 61.)
  • Ad99998 04 063a/eng  + (Antiquities. X. Vol. IV. No. 61.)
  • Ad99999 04 069a/eng  + (Antiquities. XII. Vol. IV. No. 67.)
  • Ad99998 04 069a/eng  + (Antiquities. XII. Vol. IV. No. 67.)
  • Ad99999 04 077a/eng  + (Antiquities. XIII. Vol. IV. No. 75.)
  • Ad99998 04 077a/eng  + (Antiquities. XIII. Vol. IV. No. 75.)
  • Ad99999 01 070a/fre  + (Antiquités I. T. I. No. 68.)
  • Ad00341 01 070a/fre  + (Antiquités I. T. I. No. 68.)
  • Ad99998 01 070a/fre  + (Antiquités I. T. I. No. 68.)
  • Ad00341 01 071a/fre  + (Antiquités II. T. I. No. 68.)
  • Ad99999 01 071a/fre  + (Antiquités II. T. I. No. 68.)
  • Ad99998 01 071a/fre  + (Antiquités II. T. I. No. 69.)
  • Ad99999 01 072a/fre  + (Antiquités III. T. I. No. 70.)
  • Ad99998 01 072a/fre  + (Antiquités III. T. I. No. 70.)
  • Ad99999 02 009a/fre  + (Antiquités IV. T. II. No. 7.)
  • Ad07761 02 009a/fre  + (Antiquités IV. T. II. No. 7.)
  • Ad99998 02 009a/fre  + (Antiquités IV. T. II. No. 7.)
  • Ad99999 02 014a/fre  + (Antiquités V. Vol. II. N. 12.)
  • Ad07761 02 014a/fre  + (Antiquités V. Vol. II. N. 12.)
  • Ad99998 02 014a/fre  + (Antiquités V. Vol. II. N. 12.)
  • Ad00341 02 028a/fre  + (Antiquités VI. Vol. II. No. 25.)
  • Ad99999 02 027a/fre  + (Antiquités VI. Vol. II. No. 25.)
  • Ad07761 02 027a/fre  + (Antiquités VI. Vol. II. No. 25.)
  • Ad99998 02 027a/fre  + (Antiquités VI. Vol. II. No. 25.)
  • Ad00341 02 038a/fre  + (Antiquités VII. Vol. II. No. 35.)
  • Ad99999 02 037a/fre  + (Antiquités VII. Vol. II. No. 35.)
  • Ad07761 02 037a/fre  + (Antiquités VII. Vol. II. No. 35.)
  • Ad99998 02 037a/fre  + (Antiquités VII. Vol. II. No. 35.)
  • Ad99999 04 064a/fre  + (Antiquités XI. Vol. IV. No. 62.)
  • Ad99998 04 064a/fre  + (Antiquités XI. Vol. IV. No. 62.)
  • Ad00341 04 028a/fre  + (Antiquités XIV. Vol. V. No. 26.)
  • Ad99998 05 028a/fre  + (Antiquités XIV. Vol. V. No. 26.)
  • Ad00341 04 036a/fre  + (Antiquités XIX. Vol. V. No. 34.)
  • Ad99998 05 036a/fre  + (Antiquités XIX. Vol. V. No. 34.)
  • Ad00341 04 029a/fre  + (Antiquités XV. Vol. V. No. 27)
  • Ad99998 05 029a/fre  + (Antiquités XV. Vol. V. No. 27)
  • Ad00341 04 033a/fre  + (Antiquités XVI. Vol. V. No. 31.)
  • Ad99998 05 033a/fre  + (Antiquités XVI. Vol. V. No. 31.)
  • Ad00341 04 034a/fre  + (Antiquités XVII. Vol. V. No. 32.)
  • Ad99998 05 034a/fre  + (Antiquités XVII. Vol. V. No. 32.)
  • Ad00341 04 035a/fre  + (Antiquités XVIII. Vol. V. No. 33.)
  • Ad99998 05 035a/fre  + (Antiquités XVIII. Vol. V. No. 33.)
  • Ad00341 04 037a/fre  + (Antiquités XX. Vol. V. No. 35.)
  • Ad99998 05 037a/fre  + (Antiquités XX. Vol. V. No. 35.)
  • Ad00341 04 038a/fre  + (Antiquités XXI. Vol. V. No. 36.)
  • Ad99998 05 038a/fre  + (Antiquités XXI. Vol. V. No. 36.)
  • Ad00341 04 039a/fre  + (Antiquités XXII. Vol. V. No. 37.)
  • Ad99998 05 039a/fre  + (Antiquités XXII. Vol. V. No. 37.)
  • Ad00341 02 010a/fre  + (Antiquités. IV. T. II. No. 7.)
  • Ad99999 04 056a/fre  + (Antiquités. IX. Vol. IV. No. 54.)
  • Ad99998 04 056a/fre  + (Antiquités. IX. Vol. IV. No. 54.)
  • Ad00341 02 015a/fre  + (Antiquités. V. Vol. II. N. 12.)
  • Ad99999 04 051a/fre  + (Antiquités. VIII. Vol. IV. No. 49.)
  • Ad99998 04 051a/fre  + (Antiquités. VIII. Vol. IV. No. 49.)
  • Ad99999 04 063a/fre  + (Antiquités. X. Vol. IV. No. 61.)
  • Ad99998 04 063a/fre  + (Antiquités. X. Vol. IV. No. 61.)
  • Ad99999 04 069a/fre  + (Antiquités. XII. Vol. IV. No. 67.)
  • Ad99998 04 069a/fre  + (Antiquités. XII. Vol. IV. No. 67.)
  • Ad99999 04 077a/fre  + (Antiquités. XIII. Vol. IV. No. 75.)
  • Ad99998 04 077a/fre  + (Antiquités. XIII. Vol. IV. No. 75.)
  • Ad00341 06 087a/fre  + (Mélanges CLXVII. Vol. VII. No. 85.)
  • Ad99998 07 087a/fre  + (Mélanges CLXVII. Vol. VII. No. 85.)
  • Ad99999 07 087a/fre  + (Mélanges CLXVII. Vol. VII. No. 85.)
  • Ad00341 07 005a/fre  + (Mélanges. CLXXV. Vol. VIII. No. 3.)
  • Ad99999 08 005a/fre  + (Mélanges. CLXXV. Vol. VIII. No. 3.)
  • Ad99998 08 005a/fre  + (Mélanges. CLXXV. Vol. VIII. No. 3.)
  • Ad99998 12 083a/fre  + (Mélanges. CCCLXXIV. Vol. XII. No. 80.)
  • Ad99999 09 022a/fre  + (Mélanges. CCXXVI. Vol. IX. No. 20.)
  • Ad99998 09 022a/fre  + (Mélanges. CCXXVI. Vol. IX. No. 20.)
  • Ad00341 05 066a/fre  + (Mélanges CX. Vol. VI. No. 64.)
  • Ad99999 06 066a/fre  + (Mélanges CX. Vol. VI. No. 64.)
  • Ad99998 06 066a/fre  + (Mélanges CX. Vol. VI. No. 64.)
  • Ad00341 03 101a/fre  + (Mélanges XXXII. Vol. III. No. 99.)
  • Ad99998 03 101a/fre  + (Mélanges XXXII. Vol. III. No. 99.)
  • Ad99999 03 101a/fre  + (Mélanges XXXII. Vol. III. No. 99.)
  • Ad00341 03 055a/fre  + (Mélanges XXII. Vol III. No. 53.)
  • Ad99998 03 055a/fre  + (Mélanges XXII. Vol III. No. 53.)
  • Ad99999 03 055a/fre  + (Mélanges XXII. Vol III. No. 53.)
  • Ad99998 02 055a/fre  + (Poissons XXI. Vol. II. No. 53.)
  • Ad00341 02 056a/fre  + (Poissons XXI. Vol. II. No. 53.)
  • Ad99999 02 055a/fre  + (Poissons XXI. Vol. II. No. 53.)
  • Ad00341 07 057a/fre  + (Mélanges. CC. Vol. VIII. No. 55.)
  • Ad99998 08 057a/fre  + (Mélanges. CC. Vol. VIII. No. 55.)
  • Ad99999 08 057a/fre  + (Mélanges. CC. Vol. VIII. No. 55.)
  • Ad00341 01 046a/fre  + (Quadrupèdes XII. T. I. No. 44.)
  • Ad99999 01 046a/fre  + (Quadrupèdes XII. T. I. No. 44.)
  • Ad99999 04 029a/ita  + (Insetti XXII. Tom. IV. No. 27.)
  • Ad99998 04 029a/ita  + (Insetti XXII. Tom. IV. No. 27.)
  • Ad99999 04 019a/ita  + (Pesci XXXI. T. IV. No. 17.)
  • Ad99998 04 019a/ita  + (Pesci XXXI. T. IV. No. 17.)
  • Ad00341 06 003a/eng  + (Misc. Subj. CXXXVI. Vol. VII. No. 1.)
  • Ad99999 07 003a/eng  + (Misc. Subj. CXXXVI. Vol. VII. No. 1.)
  • Ad99998 07 003a/eng  + (Misc. Subj. CXXXVI. Vol. VII. No. 1.)
  • Ad00341 05 009a/eng  + (Worms XI. Vol. VI. No. 7.)
  • Ad99998 06 009a/eng  + (Worms XI. Vol. VI. No. 7.)
  • Ad99999 06 009a/eng  + (Worms XI. Vol. VI. No. 7.)
  • Ad99999 04 089a/ita  + (Quadrup. LXVI. Tom. IV. No. 87.)
  • Ad99998 04 089a/ita  + (Quadrup. LXVI. Tom. IV. No. 87.)
  • Ad00341 01 079a  + (Asien ist in Ansehung seiner Einwohner derAsien ist in Ansehung seiner Einwohner der merkwürdigste Theil der Erde. Asien ist die Wiege des ganzen Menschen-Geschlechts, denn hier treffen wir zuerst die Menschen an. Von Asien aus wurde der ganze Erdboden bevölkert. Unsere Weltgeschichte nimmt in Asien ihren Anfang. Hier wurden die ersten Reiche gegründet. Künste, Wissenschaften und Religion giengen zuerst von Asien aus. Dieser Welttheil enthält, wegen seiner erstaunlichen Grösse und verschiedenen Climaten auch eine grosse Menge Nationen von höchst verschiedener Art, Farbe, Bildung, Lebensart, Sitten und Trachten; cultivirte Völker, Nomaden und rohe Wilden, die wir alle in der Folge näher kennen lernen wollen. Hier sind nur 4 Asiatische Nationen aus 4 verschiedenen Himmelsstrichen, die sich also auch durch ihre Kleidungen sehr auszeichnen.~~Fig. 1. Ostindier.~~Ihre Hautfarbe ist gelbbraun, die Haare schwarz. Der Mann ist ein vornehmer Hindostaner. Seine Kleidung ist ein langer seidner Kaftan, mit einer Leibbinde, und ein kleiner Turban, der alle Haare fasst. Um den Hals und die Arme trägt er Juwelen und Perlenschnüre. Die Frau ist eine vornehme Benjaleserin. Sie trägt lange weite Hosen von Goldstoff, und darüber einen Rock von Musselin. Vom Gürtel herauf zur Brust ist der Leib, so wie die Arme, nackt. Sie trägt die Brüste in einem Futteral von leichtem Holze, und darüber ein kleines Leibchen von Goldstoff; über dem Kopf einen sehr langen Schleyer von Flor; in den Haaren, Ohren und um den Hals, Arme und Knöchel, so wie an den Fingern und Zehen, eine Menge Perlen, Ringe und Juwelen. In der Hand hält sie ein silbernes Fläschchen mit Rosenessenz.~~Fig. 2. Sibirier.~~Die nördlichsten Nationen von Asien, die meistens Nomaden oder Wilde sind. Ihre Hautfarbe ist schutzig gelbweis und ihre Haare sind schwarzbraun. Der Mann ist ein Jakut; seine Kleidung ist von Rennthierfellen mit anderm Pelzwerk besetzt, und seine Waffen sind Bogen und Pfeile und ein Spiess. Die Frau ist eine Tschuktschin, von dem wildesten und rohesten Volke im Norden am Eismeere. Ihre ganze Kleidung ist eine Kutte und Strümpfe von Rennthierfellen, und eine Bärenhaut.~~Fig. 3. Kalmücken.~~Die Kalmücken, ein mongolisches Volk, sind Nomaden, und wohnen weiter herunter nach Süden an den Grenzen von Tibet. Sie haben weisse Haut, schwarze Haare, und ein etwas breites Gesicht. Die Männer tragen weite Hose, rothe Stiefeln, eine lange Weste, keine Hemden, einen Kaftan, und eine flache Pelzmütze. Die Weiber tragen gelbe Stiefeln, Hosen und Pelzmütze wie die Männer, eine sehr lange Weste ohne Aermel, die bis auf die Füsse geht, über welche sie einen Kaftan, mit Pelz gefüttert, umhängen. Ihre schwarze Haare sind gescheitelt, und in zwey lange Zöpfe geflochten.~~Fig. 4. Araber.~~Da diese im heisseren Clima von Asien wohnen, so ist auch die Hautfarbe bräunlich und ihr Haar schwarz. Der Mann ist ein vornehmer Araber. Diese tragen Pantoffeln an den nackten Füssen, lange Hosen, das Hemd über den Hosen, darüber eine lange Weste mit einer Leibbinde, einen weiten Rock und grossen weissen Turban. In der Leibbinde steckt ein krummes Messer, ihr Gewehr, über welchem gemeiniglich ein Rosenkranz hängt. Die Frau ist eine gemeine Araberin, und ihre Kleidung besteht in langen bunten Hosen, einem Hemd mit sehr weiten Aermeln, einem Schleyer über den Kopf, mit goldnen oder metallnen Ringen in den Ohren und um die Arme, und einigen Schnüren Glasperlen um den Hals. In das Gesicht beitzen sie sich schwarze Streifen.~~icht beitzen sie sich schwarze Streifen.~~)
  • Ad99999 01 079a  + (Asien ist in Ansehung seiner Einwohner derAsien ist in Ansehung seiner Einwohner der merkwürdigste Theil der Erde. Asien ist die Wiege des ganzen Menschen-Geschlechts, denn hier treffen wir zuerst die Menschen an. Von Asien aus wurde der ganze Erdboden bevölkert. Unsere Weltgeschichte nimmt in Asien ihren Anfang. Hier wurden die ersten Reiche gegründet. Künste, Wissenschaften und Religion giengen zuerst von Asien aus. Dieser Welttheil enthält, wegen seiner erstaunlichen Grösse und verschiedenen Climaten auch eine grosse Menge Nationen von höchst verschiedener Art, Farbe, Bildung, Lebensart, Sitten und Trachten; cultivirte Völker, Nomaden und rohe Wilden, die wir alle in der Folge näher kennen lernen wollen. Hier sind nur 4 Asiatische Nationen aus 4 verschiedenen Himmelsstrichen, die sich also auch durch ihre Kleidungen sehr auszeichnen.~~Fig. 1. Ostindier.~~Ihre Hautfarbe ist gelbbraun, die Haare schwarz. Der Mann ist ein vornehmer Hindostaner. Seine Kleidung ist ein langer seidner Kaftan, mit einer Leibbinde, und ein kleiner Turban, der alle Haare fasst. Um den Hals und die Arme trägt er Juwelen und Perlenschnüre. Die Frau ist eine vornehme Benjaleserin. Sie trägt lange weite Hosen von Goldstoff, und darüber einen Rock von Musselin. Vom Gürtel herauf zur Brust ist der Leib, so wie die Arme, nackt. Sie trägt die Brüste in einem Futteral von leichtem Holze, und darüber ein kleines Leibchen von Goldstoff; über dem Kopf einen sehr langen Schleyer von Flor; in den Haaren, Ohren und um den Hals, Arme und Knöchel, so wie an den Fingern und Zehen, eine Menge Perlen, Ringe und Juwelen. In der Hand hält sie ein silbernes Fläschchen mit Rosenessenz.~~Fig. 2. Sibirier.~~Die nördlichsten Nationen von Asien, die meistens Nomaden oder Wilde sind. Ihre Hautfarbe ist schutzig gelbweis und ihre Haare sind schwarzbraun. Der Mann ist ein Jakut; seine Kleidung ist von Rennthierfellen mit anderm Pelzwerk besetzt, und seine Waffen sind Bogen und Pfeile und ein Spiess. Die Frau ist eine Tschuktschin, von dem wildesten und rohesten Volke im Norden am Eismeere. Ihre ganze Kleidung ist eine Kutte und Strümpfe von Rennthierfellen, und eine Bärenhaut.~~Fig. 3. Kalmücken.~~Die Kalmücken, ein mongolisches Volk, sind Nomaden, und wohnen weiter herunter nach Süden an den Grenzen von Tibet. Sie haben weisse Haut, schwarze Haare, und ein etwas breites Gesicht. Die Männer tragen weite Hose, rothe Stiefeln, eine lange Weste, keine Hemden, einen Kaftan, und eine flache Pelzmütze. Die Weiber tragen gelbe Stiefeln, Hosen und Pelzmütze wie die Männer, eine sehr lange Weste ohne Aermel, die bis auf die Füsse geht, über welche sie einen Kaftan, mit Pelz gefüttert, umhängen. Ihre schwarze Haare sind gescheitelt, und in zwey lange Zöpfe geflochten.~~Fig. 4. Araber.~~Da diese im heisseren Clima von Asien wohnen, so ist auch die Hautfarbe bräunlich und ihr Haar schwarz. Der Mann ist ein vornehmer Araber. Diese tragen Pantoffeln an den nackten Füssen, lange Hosen, das Hemd über den Hosen, darüber eine lange Weste mit einer Leibbinde, einen weiten Rock und grossen weissen Turban. In der Leibbinde steckt ein krummes Messer, ihr Gewehr, über welchem gemeiniglich ein Rosenkranz hängt. Die Frau ist eine gemeine Araberin, und ihre Kleidung besteht in langen bunten Hosen, einem Hemd mit sehr weiten Aermeln, einem Schleyer über den Kopf, mit goldnen oder metallnen Ringen in den Ohren und um die Arme, und einigen Schnüren Glasperlen um den Hals. In das Gesicht beitzen sie sich schwarze Streifen.~~icht beitzen sie sich schwarze Streifen.~~)
  • Ad99998 01 079a  + (Asien ist in Ansehung seiner Einwohner derAsien ist in Ansehung seiner Einwohner der merkwürdigste Theil der Erde. Asien ist die Wiege des ganzen Menschen-Geschlechts, denn hier treffen wir zuerst die Menschen an. Von Asien aus wurde der ganze Erdboden bevölkert. Unsere Weltgeschichte nimmt in Asien ihren Anfang. Hier wurden die ersten Reiche gegründet. Künste, Wissenschaften und Religion giengen zuerst von Asien aus. Dieser Welttheil enthält, wegen seiner erstaunlichen Grösse und verschiedenen Climaten, auch eine grosse Menge Nationen von höchst verschiedener Art, Farbe, Bildung, Lebensart, Sitten und Trachten; cultivirte Völker, Nomaden und rohe Wilden, die wir alle in der Folge näher kennen lernen wollen. Hier sind nur 4 Asiatische Nationen aus 4 verschiedenen Himmelsstrichen, die sich also auch durch ihre Kleidungen sehr auszeichnen.~~No. 1. Ostindier.~~Ihre Hautfarbe ist gelbbraun, die Haare schwarz. Der Mann ist ein vornehmer Hindostaner. Seine Kleidung ist ein langer seidener Kaftan, mit einer Leibbinde, und ein kleiner Turban, der alle Haare fasst. Um den Hals und die Arme trägt er Juwelen und Perlen-Schnuren. Die Frau ist eine vornehme Benjaleserin. Sie trägt lange weite Hosen von Goldstoff, und darüber einen Rock von Musselin. Vom Gürtel herauf zur Brust ist der Leib, so wie die Arme, nackt. Sie trägt die Brüste in einem Futteral von leichtem Holze, und darüber ein kleines Leibchen von Goldstoff. Ueber dem Kopf einen sehr langen Schleyer von Flor; in den Haaren, Ohren und um den Hals, Arme und Knöchel, so wie an den Fingern und Zeehn (sic), eine Menge Perlen, Ringe und Juwelen. In der Hand hält sie ein silbernes Fläschchen mit Rosen-Essenz.~~No. 2. Sibirier.~~Die nördlichsten Nationen von Asien, die meistens Nomaden oder Wilde sind. Ihre Hautfarbe ist schutzig gelbweis und ihre Haare sind schwarzbraun. Der Mann ist ein Jakut; seine Kleidung ist von Rennthierfellen mit anderm Pelzwerk besetzt, und seine Waffen sind Bogen und Pfeile und ein Spiess. Die Frau ist eine Ischuktschin, von dem wildesten und rohesten Volke im Norden am Eismeere. Ihre ganze Kleidung ist eine Kutte und Strümpfe von Rennthierfellen, und eine Bärenhaut.~~No. 3. Kalmücken.~~Die Kalmücken, ein mongolisches Volck, sind Nomaden, und wohnen weiter herunter nach Süden an den Gränzen von Tibet. Sie haben weisse Haut, schwarze Haare, und ein etwas breites Gesicht. Die Männer tragen weite Hose, rothe Stiefeln, eine lange Veste, keine Hemden, einen Kaftan, und eine flache Pelzmütze. Die Weiber tragen gelbe Stiefeln, Hosen und Pelzmütze wie die Männer, eine sehr lange Veste ohne Aermel, die bis auf die Füsse geht, über welche sie einen Kaftan mit Pelz gefüttert umhängen. Ihre schwarze Haare sind gescheitelt, und in zwey lange Zöpfe geflochten.~~No. 4. Araber.~~Da diese im heisseren Clima von Asien wohnen, so ist auch die Hautfarbe bräunlich und ihr Haar schwarz. Der Mann ist ein vornehmer Araber. Diese tragen Pantoffeln an den nackten Füssen, lange Hosen, das Hemd über den Hosen, darüber eine lange Veste mit einer Leibbinde, einen weiten Rock und grossen weissen Turban. In der Leibbinde steckt ein krummes Messer, ihr Gewehr, über welchem gemeiniglich ein Rosenkranz hängt. Die Frau ist eine gemeine Araberin; und ihre Kleidung besteht in langen bunten Hosen, einem Hemd mit sehr weiten Aermeln, einem Schleyer über den Kopf, mit goldnen oder metallnen Ringen in den Ohren und um die Arme, und einigen Schnuren Glasperlen um den Hals. In das Gesicht beitzen sie sich schwarze Streifen.~~icht beitzen sie sich schwarze Streifen.~~)
  • Ad99998 04 081a/fre  + (Mélanges. XLIII. Vol. IV. No. 79.)
  • Ad99999 04 081a/fre  + (Mélanges. XLIII. Vol. IV. No. 79.)
  • Ad99999 04 012a/eng  + (Miscellaneous Subjects XXXIV. Vol. IV. No. 10.)
  • Ad99998 04 012a/eng  + (Miscellaneous Subjects XXXIV. Vol. IV. No. 10.)
  • Ad99999 04 051a/eng  + (Antiquities. VIII. Vol. Im. No 49.)
  • Ad99998 04 051a/eng  + (Antiquities. VIII. Vol. Im. No 49.)
  • Ad00341 08 062a  + (Athen, jene so berühmte, durch Künste und Athen, jene so berühmte, durch Künste und Wissenschaften so blühende Stadt des Alterthums, war, nachdem es durch die erobernden Türken aller seiner Grösse beraubt worden war, endlich, noch vor 100 Jahren fast gänzlich in Vergessenheit begraben. Erst in neuern Zeiten haben forschbegierige Reisende einiges Licht über den Zustand dieser Stadt verbreitet. Das jetzige Athen erinnert bloss durch die Trümmer, auf denen es steht, an seine ehemalige Grösse. Es enthält jetzt 10,000 Einwohner, und gleicht zwei oder drei schlecht gebauten zusammengedrängten Dörfern. Die Einwohner sind grösstentheils Griechen, deren christliche Kirchen zum Theil auf den Ueberresten der alten Tempel bestehen. Durch zwei Collegien ist für die Wiederauflebung der altgriechischen Sprache gesorgt. Die Griechen haben dort noch das Recht, jährlich vier eigene Magistratspersonen zu wählen, die zwar durch den stolzen Namen "Archonten" an Athen's ehemalige Grösse erinnern, denen aber jene Macht fehlt.~~Wir sehen auf unserer Kupfertafel den kleinern Theil der Stadt von der Südostseite. Im Vordergrund erheben sich die Trümmer des Ungeheuern Tempels, welcher dem olympischen Jupiter geheiligt war, zu dem auch die drei einzelnen Säulen gehören. Hinter demselben sieht man den Triumphbogen des Adrian, und im Hintergrund die Citatelle der Stadt, die sonstige Acropolis, mit den Ruinen des prächtigen Minervatempels, des Parthenon.~~rächtigen Minervatempels, des Parthenon.~~)
  • Ad99999 10 062a  + (Athen, jene so berühmte, durch Künste und Athen, jene so berühmte, durch Künste und Wissenschaften so blühende Stadt des Alterthums, war, nachdem es durch die erobernden Türken aller seiner Grösse beraubt worden war, endlich, noch vor 100 Jahren fast gänzlich in Vergessenheit begraben. Erst in neuern Zeiten haben forschbegierige Reisende einiges Licht über den Zustand dieser Stadt verbreitet. Das jetzige Athen erinnert bloss durch die Trümmer, auf denen es steht, an seine ehemalige Grösse. Es enthält jetzt 10,000 Einwohner, und gleicht zwei oder drei schlecht gebauten zusammengedrängten Dörfern. Die Einwohner sind grösstentheils Griechen, deren christliche Kirchen zum Theil auf den Ueberresten der alten Tempel bestehen. Durch zwei Collegien ist für die Wiederauflebung der altgriechischen Sprache gesorgt. Die Griechen haben dort noch das Recht, jährlich vier eigene Magistratspersonen zu wählen, die zwar durch den stolzen Namen "Archonten" an Athen's ehemalige Grösse erinnern, denen aber jene Macht fehlt.~~Wir sehen auf unserer Kupfertafel den kleinern Theil der Stadt von der Südostseite. Im Vordergrund erheben sich die Trümmer des Ungeheuern Tempels, welcher dem olympischen Jupiter geheiligt war, zu dem auch die drei einzelnen Säulen gehören. Hinter demselben sieht man den Triumphbogen des Adrian, und im Hintergrund die Citatelle der Stadt, die sonstige Acropolis, mit den Ruinen des prächtigen Minervatempels, des Parthenon.~~rächtigen Minervatempels, des Parthenon.~~)
  • Ad99998 10 062a  + (Athen, jene so berühmte, durch Künste und Athen, jene so berühmte, durch Künste und Wissenschaften so blühende Stadt des Alterthums, war, nachdem es durch die erobernden Türken aller seiner Grösse beraubt worden war, endlich, noch vor 100 Jahren fast gänzlich in Vergessenheit begraben. Erst in neuern Zeiten haben forschbegierige Reisende einiges Licht über den Zustand dieser Stadt verbreitet. Das jetzige Athen erinnert bloss durch die Trümmer, auf denen es steht, an seine ehemalige Grösse. Es enthält jetzt 10,000 Einwohner, und gleicht zwei oder drei schlecht gebauten zusammengedrängten Dörfern. Die Einwohner sind grösstentheils Griechen, deren christliche Kirchen zum Theil auf den Ueberresten der alten Tempel bestehen. Durch zwei Collegien ist für die Wiederauflebung der altgriechischen Sprache gesorgt. Die Griechen haben dort noch das Recht, jährlich vier eigene Magistratspersonen zu wählen, die zwar durch den stolzen Namen "Archonten" an Athen's ehemalige Grösse erinnern, denen aber jene Macht fehlt.~~Wir sehen auf unserer Kupfertafel den kleinern Theil der Stadt von der Südostseite. Im Vordergrund erheben sich die Trümmer des Ungeheuern Tempels, welcher dem olympischen Jupiter geheiligt war, zu dem auch die drei einzelnen Säulen gehören. Hinter demselben sieht man den Triumphbogen des Adrian, und im Hintergrund die Citatelle der Stadt, die sonstige Acropolis, mit den Ruinen des prächtigen Minervatempels, des Parthenon.~~rächtigen Minervatempels, des Parthenon.~~)
  • Ad00341 08 062a/fre  + (Mélanges. CCLXXIII. Vol. X. No. 60.)
  • Ad99998 10 062a/fre  + (Mélanges. CCLXXIII. Vol. X. No. 60.)
  • Ad99999 10 062a/fre  + (Mélanges. CCLXXIII. Vol. X. No. 60.)
  • Ad99999 04 019a/eng  + (Fish XXXI. Vol. IV. No. 17.)
  • Ad99998 04 019a/eng  + (Fish XXXI. Vol. IV. No. 17.)
  • Ad99999 04 035a/fre  + (Insectes. XXV. Vol. IV. No. 33.)
  • Ad00341 08 066a/fre  + (Melanges. CCLXIV u. CCLXV. Vol. X. No. 64 u. 65.)
  • ad99998 10 066a/fre  + (Melanges. CCLXIV u. CCLXV. Vol. X. No. 64 u. 65.)
  • ad99998 10 067a/fre  + (Melanges. CCLXIV u. CCLXV. Vol. X. No. 64 u. 65.)
  • Ad99998 01 061a/fre  + (Mélanges. III. T. I. No. 59.)
  • Ad99999 01 061a/fre  + (Melanges. III. T. I. No. 59.)
  • Ad99999 04 027a/fre  + (Objets mélés. XXXVI. Vol. IV. No. 25.)
  • Ad99998 04 027a/fre  + (Objets mélés. XXXVI. Vol. IV. No. 25.)
  • Ad99999 04 042a/fre  + (Mélanges. XXXIX. Vol. IV. No. 40.)
  • Ad99999 04 033a/fre  + (Oiseaux. LIII. Vol. IV. No. 31.)
  • Ad99998 04 033a/fre  + (Oiseaux. LIII. Vol. IV. No. 31.)
  • Ad99999 09 030a/fre  + (Vers. XXIV. Vol. IX. No. 28.)
  • Ad99998 09 030a/fre  + (Vers. XXIV. Vol. IX. No. 28.)
  • Ad00341 08 048a/fre  + (Mammifères. CIV. Vol. X. No. 46.)
  • Ad99999 10 048a/fre  + (Mammifères. CIV. Vol. X. No. 46.)
  • Ad99998 10 048a/fre  + (Mammifères. CIV. Vol. X. No. 46.)
  • Ad00341 03 052a  + (Auch das härteste und dichteste Holz einesAuch das härteste und dichteste Holz eines Baums ist nie so ganz und dicht als ein Stein oder Metall, sondern hat, als eine Pflanze, welche wächst, seinen innern regelmässigen Bau verschiedener Gefässe, die durch ihre mechanischen Verrichtungen das Wachsen des Baums bewirken. Jeder Baum besteht aus drey Haupttheilen, nemlich; 1) dem Marke, welches den Kern ausmacht; 2) dem Holze, welches den Kern umgiebt, und die dickste Lage macht; und 3) der Rinde, welche das Holz umschliesst, und die äusserste und dünnste Lage ist. Jeder dieser 3 Haupttheile hat seine eignen Gefässe, und besteht aus unzählichen aber sehr schön geordneten Fibern, Saft- und Luft-Röhren. Diess zeigt folgende Figur.~~No. 1.b. Der Durchschnitt eines kleinen Fichtenastes,~~wo man durch Hülfe der mikroscopischen Vergrösserung, alle seine ringförmigen Lagen und die Gefässe in denselben sehr deutlich sieht. Nemlich: Fig. g. ist das Mark, welches aus einem lockeren zelligten Gewebe besteht. Fig. f.f.f.f. sind die verdichteten Jahres-Ringe, welche das Alter und den jährlichen Wuchs des Baums anzeigen, und aus enger verflochtenen Gefässen bestehen. Fig. i.i.i. sind die zwischen den Saftröhren stehenden Hauptschiede, welche aus lauter Luftröhren bestehen, und von der Rinde bis zu dem Marke fortgehen. Fig. b.b.b. sind die dazwischen stehenden Saftröhren mit ihren Holzfiebern.~~No. 1.a. Ein kleiner Holzspahn, der Länge nach geschnitten.~~No. 2. Derselbe im Ganzen vergrössert.~~No. 3. Ein Stükchen davon noch mehr vergrössert.~~In diesen 3 Figuren zeigen sich die obgedachten Gefässe des Holzes, nach einem Längenschnitte noch deutlicher. Fig. 1. a. zeigt das Spähnchen von Fichtenholze in seiner natürlichen Grösse, und Fig. 2 u. 3. dasselbe sehr vergrössert. In dieser Vergrösserung zeigen sich nun folgende Gefässe und Theile sehr deutlich.~~Fig. a.a.a.a. sind horizontal laufende Bänder von Gefässen, welche die perpendikularen durchflechten und innigst zusammen verbinden.~~Fig. b.b.b. sind die perpendikularen Gefässe, welche von zweyerley Art, neml. Luftröhrchen und Saftröhrchen sind;~~Fig. c.c. sind diese Luftröhrchen, welche innerlich lauter Luftblasen - ähnliche Kügelchen enthalten; und Fig. d.d. sind die Saftröhrchen, in welchen der Nahrungssaft des Baumes aufsteigt.~~Fig. k.k.k. sind grössere Löcher und Oeffnungen, welche sich hie und da in den Luftröhrchen finden, und vielleicht Dunstlöcher sind, welche die Natur zu Einsaugung der Luft, oder andern Zwecken bestimmt hat.~~Welche Weisheit des allmächtigen Schöpfers beweisst nicht dieser innere Bau des Holzes der Bäume!~~ dieser innere Bau des Holzes der Bäume!~~)
  • Ad99998 03 052a  + (Auch das härteste und dichteste Holz einesAuch das härteste und dichteste Holz eines Baums ist nie so ganz und dicht als ein Stein oder Metall, sondern hat, als eine Pflanze, welche wächst, seinen innern regelmässigen Bau verschiedener Gefässe, die durch ihre mechanischen Verrichtungen das Wachsen des Baums bewirken. Jeder Baum besteht aus drey Haupttheilen, nemlich; 1) dem Marke, welches den Kern ausmacht; 2) dem Holze, welches den Kern umgiebt, und die dickste Lage macht; und 3) der Rinde, welche das Holz umschliesst, und die äusserste und dünnste Lage ist. Jeder dieser 3 Haupttheile hat seine eignen Gefässe, und besteht aus unzählichen aber sehr schön geordneten Fibern, Saft- und Luft-Röhren. Diess zeigt folgende Figur.~~No. 1.b. Der Durchschnitt eines kleinen Fichtenastes,~~wo man durch Hülfe der mikroscopischen Vergrösserung, alle seine ringförmigen Lagen und die Gefässe in denselben sehr deutlich sieht. Nemlich: Fig. g. ist das Mark, welches aus einem lockeren zelligten Gewebe besteht. Fig. f.f.f.f. sind die verdichteten Jahres-Ringe, welche das Alter und den jährlichen Wuchs des Baums anzeigen, und aus enger verflochtenen Gefässen bestehen. Fig. i.i.i. sind die zwischen den Saftröhren stehenden Hauptschiede, welche aus lauter Luftröhren bestehen, und von der Rinde bis zu dem Marke fortgehen. Fig. b.b.b. sind die dazwischen stehenden Saftröhren mit ihren Holzfiebern.~~No. 1.a. Ein kleiner Holzspahn, der Länge nach geschnitten.~~No. 2. Derselbe im Ganzen vergrössert.~~No. 3. Ein Stükchen davon noch mehr vergrössert.~~In diesen 3 Figuren zeigen sich die obgedachten Gefässe des Holzes, nach einem Längenschnitte noch deutlicher. Fig. 1. a. zeigt das Spähnchen von Fichtenholze in seiner natürlichen Grösse, und Fig. 2 u. 3. dasselbe sehr vergrössert. In dieser Vergrösserung zeigen sich nun folgende Gefässe und Theile sehr deutlich.~~Fig. a.a.a.a. sind horizontal laufende Bänder von Gefässen, welche die perpendikularen durchflechten und innigst zusammen verbinden.~~Fig. b.b.b. sind die perpendikularen Gefässe, welche von zweyerley Art, neml. Luftröhrchen und Saftröhrchen sind;~~Fig. c.c. sind diese Luftröhrchen, welche innerlich lauter Luftblasen - ähnliche Kügelchen enthalten; und Fig. d.d. sind die Saftröhrchen, in welchen der Nahrungssaft des Baumes aufsteigt.~~Fig. k.k.k. sind grössere Löcher und Oeffnungen, welche sich hie und da in den Luftröhrchen finden, und vielleicht Dunstlöcher sind, welche die Natur zu Einsaugung der Luft, oder andern Zwecken bestimmt hat.~~Welche Weisheit des allmächtigen Schöpfers beweisst nicht dieser innere Bau des Holzes der Bäume!~~ dieser innere Bau des Holzes der Bäume!~~)
  • Ad99999 03 052a  + (Auch das härteste und dichteste Holz einesAuch das härteste und dichteste Holz eines Baums ist nie so ganz und dicht als ein Stein oder Metall, sondern hat, als eine Pflanze, welche wächst, seinen innern regelmässigen Bau verschiedener Gefässe, die durch ihre mechanischen Verrichtungen das Wachsen des Baums bewirken. Jeder Baum besteht aus drey Haupttheilen, nemlich; 1) dem Marke, welches den Kern ausmacht; 2) dem Holze, welches den Kern umgiebt, und die dickste Lage macht; und 3) der Rinde, welche das Holz umschliesst, und die äusserste und dünnste Lage ist. Jeder dieser 3 Haupttheile hat seine eignen Gefässe, und besteht aus unzählichen aber sehr schön geordneten Fibern, Saft- und Luft-Röhren. Diess zeigt folgende Figur.~~No. 1.b. Der Durchschnitt eines kleinen Fichtenastes,~~wo man durch Hülfe der mikroscopischen Vergrösserung, alle seine ringförmigen Lagen und die Gefässe in denselben sehr deutlich sieht. Nemlich: Fig. g. ist das Mark, welches aus einem lockeren zelligten Gewebe besteht. Fig. f.f.f.f. sind die verdichteten Jahres-Ringe, welche das Alter und den jährlichen Wuchs des Baums anzeigen, und aus enger verflochtenen Gefässen bestehen. Fig. i.i.i. sind die zwischen den Saftröhren stehenden Hauptschiede, welche aus lauter Luftröhren bestehen, und von der Rinde bis zu dem Marke fortgehen. Fig. b.b.b. sind die dazwischen stehenden Saftröhren mit ihren Holzfiebern.~~No. 1.a. Ein kleiner Holzspahn, der Länge nach geschnitten.~~No. 2. Derselbe im Ganzen vergrössert.~~No. 3. Ein Stükchen davon noch mehr vergrössert.~~In diesen 3 Figuren zeigen sich die obgedachten Gefässe des Holzes, nach einem Längenschnitte noch deutlicher. Fig. 1. a. zeigt das Spähnchen von Fichtenholze in seiner natürlichen Grösse, und Fig. 2 u. 3. dasselbe sehr vergrössert. In dieser Vergrösserung zeigen sich nun folgende Gefässe und Theile sehr deutlich.~~Fig. a.a.a.a. sind horizontal laufende Bänder von Gefässen, welche die perpendikularen durchflechten und innigst zusammen verbinden.~~Fig. b.b.b. sind die perpendikularen Gefässe, welche von zweyerley Art, neml. Luftröhrchen und Saftröhrchen sind;~~Fig. c.c. sind diese Luftröhrchen, welche innerlich lauter Luftblasen - ähnliche Kügelchen enthalten; und Fig. d.d. sind die Saftröhrchen, in welchen der Nahrungssaft des Baumes aufsteigt.~~Fig. k.k.k. sind grössere Löcher und Oeffnungen, welche sich hie und da in den Luftröhrchen finden, und vielleicht Dunstlöcher sind, welche die Natur zu Einsaugung der Luft, oder andern Zwecken bestimmt hat.~~Welche Weisheit des allmächtigen Schöpfers beweisst nicht dieser innere Bau des Holzes der Bäume!~~ dieser innere Bau des Holzes der Bäume!~~)
  • Ad99998 04 079a/fre  + (Insectes. XXX. Vol. IV. No. 77.)
  • Ad99999 04 079a/fre  + (Insectes. XXX. Vol. IV. No. 77.)
  • Ad00341 04 064a  + (Auf Taf. LXI. sahen wir die Abbildung zweiAuf Taf. LXI. sahen wir die Abbildung zweier geistlichen Ritterorden. Auf der gegewärtigen findet sich noch einer derselben (fig. 1.); die anderen drei Figuren stellen weltliche Ordens-Ritter dar. Mehrere Souverains haben nämlich zu besonderer Auszeichnung und Belohnung des Verdienstes Orden gestiftet, deren Glieder gewisse bestimmte Insignien (Kreuze, Sterne, Bänder u.s.w.), auch wohl bei feierlichen Gelegenheiten einen eigenen Anzug, die Ordenskleidung, tragen. Diese Orden erben nicht fort und unterscheiden sich darin von dem hohen und niederen Adel. Die Ritter sind auch zu keinen mönchischen Gelübden verpflichtet, wie die geistlichen Ordensritter.~~Fig. 1. Ritter des teutschen Ordens.~~Dieser Orden war zu der Zeit der Kreuzzüge aus gleicher Absicht im J. 1199 begründet, wie die Orden der Tempelherren und der Johanniter. Er eroberte in der Folge Preussen, was er durch die Folgen der Reformation wieder verlor, und behielt bis auf unsere Zeit ansehnliche Besitzungen in Teutschland, die zusammen das teutsche Hochmeisterthum machen. Der Sitz des Hochmeisters ist Mergentheim in Franken. Das Ordenszeichen ist ein stehende schwarzes Kreuz mit silberner Einfassung auf der linken Seite des weissen Mantels. Ein ähnliches emaillirtes Kreuz können auch die Ritter an einem schwarzen Bande am Halse tragen.~~Fig. 2. Ritter des goldenen Vliesses.~~Philipp der Gute, Herzog von Burgund, stiftete diesen weltlichen sehr angesehenen Orden im J. 1429, daher ihn jetzt Östreich und Spanien verleihen, weil sie die burgundischen Länder ehemals errerbten. Das Ordenszeichen ist ein goldenes hängendes Widerfell und über demselben ein runder Feuerstein mit goldenen Flammen. Gewöhnlich tragen es die Ritter an einem ponceau Farbenen Bande um den Hals, bei Feierlichkeiten aber an einer goldenen Kette auf der Brust.~~Fig. 3. Ritter des heil. Stephans.~~Im J. 1759 hatte Kaiserin Maria Theresia den nach ihr benannten Orden zur Belohnung verdienter Offiziere gestiftet, und stiftete den Sanct-Stephansorden im J. 1764, um verdiente adliche Civilbeamte auszuzeichnen. Den Namen führt der Orden dem ersten christlichen Könige von Ungarn zu Ehren. Im Ganzen dürfen nur 100 Ritter seyn, davon die ersten 20 Grosskreuze, die nächsten 30 Commandeurs und die übrigen Kleinkreuze sind. Hier ist ein Grosskreuz in seinem vollen Anzuge abgebildet. Das Ordenszeichen ist ein achteckiges grünemaillirtes Kreuz mit einem rothemaillirten Schilde in der Mitte, und wird an einem rothen Bande mit grünem Rande getragen.~~Fig. 4. Ritter des heil. Huberts.~~Dieser zum Andenken eines am St. Huberstage erhaltenen Siegs vom Herzog Gerhard V. von Jülich und Berg im J. 1444 gestiftete Orden, ward 1709 vom Kurfürsten J. Wilhelm von der Pfalz wieder erneuert. Bloss Personen aus fürstlichem, gräflichem freiherrlichem Geblüte (letztere müssen 16 Ahnen aufweisen) können aufgenommen werden. Das Ordenszeichen ist ein goldenes achtspiziges weiss emaillirtes Kreuz mit goldenen Knöpfen auf den Spitzen; in dem goldenen Mittelfelde befinden sich auf beiden Seiten Devisen und Embleme, die auf die Stiftung und Erneuerung des Ordens Bezug haben. Dies Kreuz wird an einem ponceaufarbenen grün eingefassten Bande von der linken Achsel gegen die rechte Hüfte zu, getragen, bei Solennitäten aber an einer goldenen Ordenskette um den Hals. Überdies tragen die Ritter noch einen mit mattem Silber auf die Kleidung gestickten Stern auf der linken Brust.~~g gestickten Stern auf der linken Brust.~~)
  • Ad99998 05 064a  + (Auf Taf. LXI. sahen wir die Abbildung zweiAuf Taf. LXI. sahen wir die Abbildung zweier geistlichen Ritterorden. Auf der gegewärtigen findet sich noch einer derselben (fig. 1.); die anderen drei Figuren stellen weltliche Ordens-Ritter dar. Mehrere Souverains haben nämlich zu besonderer Auszeichnung und Belohnung des Verdienstes Orden gestiftet, deren Glieder gewisse bestimmte Insignien (Kreuze, Sterne, Bänder u.s.w.), auch wohl bei feierlichen Gelegenheiten einen eigenen Anzug, die Ordenskleidung, tragen. Diese Orden erben nicht fort und unterscheiden sich darin von dem hohen und niederen Adel. Die Ritter sind auch zu keinen mönchischen Gelübden verpflichtet, wie die geistlichen Ordensritter.~~Fig. 1. Ritter des teutschen Ordens.~~Dieser Orden war zu der Zeit der Kreuzzüge aus gleicher Absicht im J. 1199 begründet, wie die Orden der Tempelherren und der Johanniter. Er eroberte in der Folge Preussen, was er durch die Folgen der Reformation wieder verlor, und behielt bis auf unsere Zeit ansehnliche Besitzungen in Teutschland, die zusammen das teutsche Hochmeisterthum machen. Der Sitz des Hochmeisters ist Mergentheim in Franken. Das Ordenszeichen ist ein stehende schwarzes Kreuz mit silberner Einfassung auf der linken Seite des weissen Mantels. Ein ähnliches emaillirtes Kreuz können auch die Ritter an einem schwarzen Bande am Halse tragen.~~Fig. 2. Ritter des goldenen Vliesses.~~Philipp der Gute, Herzog von Burgund, stiftete diesen weltlichen sehr angesehenen Orden im J. 1429, daher ihn jetzt Östreich und Spanien verleihen, weil sie die burgundischen Länder ehemals errerbten. Das Ordenszeichen ist ein goldenes hängendes Widerfell und über demselben ein runder Feuerstein mit goldenen Flammen. Gewöhnlich tragen es die Ritter an einem ponceau Farbenen Bande um den Hals, bei Feierlichkeiten aber an einer goldenen Kette auf der Brust.~~Fig. 3. Ritter des heil. Stephans.~~Im J. 1759 hatte Kaiserin Maria Theresia den nach ihr benannten Orden zur Belohnung verdienter Offiziere gestiftet, und stiftete den Sanct-Stephansorden im J. 1764, um verdiente adliche Civilbeamte auszuzeichnen. Den Namen führt der Orden dem ersten christlichen Könige von Ungarn zu Ehren. Im Ganzen dürfen nur 100 Ritter seyn, davon die ersten 20 Grosskreuze, die nächsten 30 Commandeurs und die übrigen Kleinkreuze sind. Hier ist ein Grosskreuz in seinem vollen Anzuge abgebildet. Das Ordenszeichen ist ein achteckiges grünemaillirtes Kreuz mit einem rothemaillirten Schilde in der Mitte, und wird an einem rothen Bande mit grünem Rande getragen.~~Fig. 4. Ritter des heil. Huberts.~~Dieser zum Andenken eines am St. Huberstage erhaltenen Siegs vom Herzog Gerhard V. von Jülich und Berg im J. 1444 gestiftete Orden, ward 1709 vom Kurfürsten J. Wilhelm von der Pfalz wieder erneuert. Bloss Personen aus fürstlichem, gräflichem freiherrlichem Geblüte (letztere müssen 16 Ahnen aufweisen) können aufgenommen werden. Das Ordenszeichen ist ein goldenes achtspiziges weiss emaillirtes Kreuz mit goldenen Knöpfen auf den Spitzen; in dem goldenen Mittelfelde befinden sich auf beiden Seiten Devisen und Embleme, die auf die Stiftung und Erneuerung des Ordens Bezug haben. Dies Kreuz wird an einem ponceaufarbenen grün eingefassten Bande von der linken Achsel gegen die rechte Hüfte zu, getragen, bei Solennitäten aber an einer goldenen Ordenskette um den Hals. Überdies tragen die Ritter noch einen mit mattem Silber auf die Kleidung gestickten Stern auf der linken Brust.~~g gestickten Stern auf der linken Brust.~~)
  • Ad99999 10 007a  + (Auf der Insel Egg, einer an der Westküste Auf der Insel Egg, einer an der Westküste Schottlands gelegenen sogenannten Westlichen Inseln, liegt der hier abgebildete sonderbare Berg Skuir, welcher wie ein von Riesenhänden gebaueter Thurm, hoch in die Wolken ragt. Der nackte Felsen sieht ganz aus, wie eine Mauer, und steigt fast 500 Fuss in die Höhe.~~r, und steigt fast 500 Fuss in die Höhe.~~)
  • Ad00341 08 007a  + (Auf der Insel Egg, einer an der Westküste Auf der Insel Egg, einer an der Westküste Schottlands gelegenen sogenannten Westlichen Inseln, liegt der hier abgebildete sonderbare Berg Skuir, welcher wie ein von Riesenhänden gebaueter Thurm, hoch in die Wolken ragt. Der nackte Felsen sieht ganz aus, wie eine Mauer, und steigt fast 500 Fuss in die Höhe.~~r, und steigt fast 500 Fuss in die Höhe.~~)
  • Ad99998 10 007a  + (Auf der Insel Egg, einer an der Westküste Auf der Insel Egg, einer an der Westküste Schottlands gelegenen sogenannten Westlichen Inseln, liegt der hier abgebildete sonderbare Berg Skuir, welcher wie ein von Riesenhänden gebaueter Thurm, hoch in die Wolken ragt. Der nackte Felsen sieht ganz aus, wie eine Mauer, und steigt fast 500 Fuss in die Höhe.~~r, und steigt fast 500 Fuss in die Höhe.~~)
  • Ad99998 12 037a  + (Auf der beifolgenden Kupfertafel sind die Auf der beifolgenden Kupfertafel sind die Ueberreste dieser merkwündigen Ruine des Alterthums abgebildet, wie sie sich, von den vier Weltgegenden betrachtet, ausnehmen. Dem Nimrod wird die erste Begründung Babylon's und dieses bergförmigen Thurmes in der Stadt, nicht ganz 200 Jahre nach der Sündfluth, zugeschrieben. Dass dieser erstaunliche Bau vor der vollendung plötzlich gestört wurde, lesen wir nicht allein in der heiligen Schrift, sondern auch auf das Bestimmteste in mehrern alten Classikern, und auch die Ueberlieferungen entfernter heidnischer Nationen unterstützen diese Thatsache auf manichfache Weise.~~Im zerrütteten und verlassenen Zustande blieb wahrscheinlich der Thurm, bis Babylon, welches der Sohn des Cusch verlassen hatte, von der Semiramis wieder aufgebaut wurde, bei welcher Gelegenheit auch neue Gebäude den zerschmetterten Gipfel der Pyramide bedeckten, und vielleicht Belus oder Baal auf dieser Höhe seinen Altar bekam.~~Nebucadnezar verwandelte diese erstaunliche Ruine in eine Hauptzierde seiner Residenz, indem er auf die alten festen Grundlagen einen Tempel baute. Da er aber in allen Zusätzen, welche er für nöthig hielt, den ursprünglichen Zweck des Gebäudes beibehielt, so lassen sich noch immer Spuren auffinden, in Folge welcher die jetzigen Ueberbleibsel zum Theil dem höchsten Alterthume zugeschrieben werden müssen. Und da sich kaum daran zweifeln lässt, dass Xerxes bei seiner Zerstörung des Tempels alles zertrümmert habe, was von dem Babylonischen Monarchen herrührte, so scheint es nicht ganz unwahrscheinlich zu seyn, dass, was wir jetzt auf dem verbrannten Gipfel der Pyramide sehen, d.h. die zerrissene Mauer und die umhergeschleuderten Bruchstücke nebst ihren zum Theil verglas'ten Massen, ein Theil des Stockwerkes des ursprünglichen Thurmes sind, der vom göttlichen Blitze zerschmettert wurde, und auf dessen demantene Substanz der König seinen prächtigen, aber minder dauerhaften Bau gründete.~~Nach Strabo hatte dieser bergartige Thurm 500 Fuss in's Gevierte, 500 Fuss Höhe und bestand aus 8 Stockwerken, zu welchen man auf Stufen gelangte, die an der Aussenseite angebracht waren.~~Gegenwärtig ist kaum noch die Hälfte der vorigen Höhe Übrig, nämlich drei Stockwerke, und ein Rest des vierten in dem Stück Backsteinmauer, welches jetzt den Gipfel der Pyramide einnimmt.~~Wir theilen auf der Kupfertafel noch den Aufriss des Thurmes oder Tempels mit, wie ihn die Schriftsteller beschrieben haben. Die Höhe der gegenwärtigen Ueberbleibsel desselben ist mit einer punctirten Linie bezeichnet. Von hieraus mögen die Bauten der Semiramis und des Nebucadnezar's begonnen haben.~~Der ganze künstliche Berg ist theils aus in der Sonne getrockneten, theils aus gebrannten Backsteinen aufgeführt.~~Der Birs Nimrod liegt etwas über eine Deutsche Meile südwestlich von der Stadt Hillah entfernt, in der Ebene von Schinar, wie sie in der Bibel genannt wird.~~inar, wie sie in der Bibel genannt wird.~~)
  • Ad99998 12 006a  + (Auf der höchsten Spitze der Kuppe der PaulAuf der höchsten Spitze der Kuppe der Paulskirche hatte, wie wir Bilderb. X. Bd. 95. Taf. erzählt und abgebildet haben, ein Maler Horton ein Gerüste und eine Hütte aufgeführt, wo er mehrere Monate hindurch unter mannigfaltigen Beschwerden und Gefahren ein colossales Panorama der Stadt London zeichnete. Um dieses Rundgemälde aufzustellen, bedurfte es auch eines colossalen Raumes, da die vorhandenen Panoramen-Gebäude dazu lange nicht gross genug waren. Zu diesem Behuf hat man nun in dem bekannten und sehr besuchten Regents-Park, im westlichen Theile von London, das neue Colosseum gebaut und eingerichtet, und hiervon giebt unsere Tafel eine Abbildung.~~Das Gebäude bildet ein Vieleck von 16 Facaden, oben mit einer Kuppel überwölbt, deren obere Hälfte ein ungeheures Glasfenster von 75 Fuss Durchmesser hat, durch welches das Innere des Gebäudes und das auf der Wand befindliche Gemälde sein volles Licht erhält. Der Durchmesser des Innern des Gebäudes ist 126 Fuss und die Höhe bis an das Kuppelfenster beträgt 112 Fuss. In der Mitte des Gebäudes befindet sich ein ungeheurer Pfeiler-Thurm, welcher zwei übereinanderlaufende Wendeltreppen und eine, Fallthür ähnliche Vorrichtung enthält, in welcher man sitzend auf- und abfahren kann. Diese Treppen führen zu zwei Galerien, von welchen man das Gemälde in Augenschein nimmt, und zu einem Versammlungs- und Erfrischungsraum, von welchem aus man zu dem von der Paulskirche abgenommenen Knopfe und zu einer Copie des Kreuzes und zuletzt zu einer auf dem Gipfel des Gebäudes befindlichen, offenen Galerie gelangt, von wo man einen Theil Londons in der Wirklichkeit überschauen kann.~~Die untere Hälfte unserer Tafel zeigt das Colosseum im Durchschnitt und ist vollkommen geeignet, die Beschreibung dieser merkwürdigen Unternehmung zu erläutern. Parterre, unterhalb des Gemäldes, findet sich ein grosser gewölbter, fast ringförmiger Saal, welcher zu Kunstausstellungen dient.~~Von den zur Erläuterung auf der Abbildung befindlichen Buchstaben beziehen sich die meisten auf die zu dem Gebäude gehörigen Theile, nämlich A. der Pfeilerthurm mit der Wendeltreppe; B. der Eingang; D. der zu den Galerientreppen führende Gang; E.F. die zwei ganz getrennten Treppen; G.H.I. die Galerien, von welchen das Gemälde gesehen wird; K. das Erfrischungs-Local; L. eine Musikhalle; M. der alte Knopf der Paulskirche; N. die zu der äussern Galerien oben auf der Kuppel führende Treppe; a. und b. das Kuppelfinster.~~Die übrigen kleinen Buchstaben bezeichnen Vorrichtungen, welche man nur für die Zeit und zum Zweck des Malens angebracht und nach Vollendung wieder weggenommen hat. Da diese nicht allein fest und sicher und doch auch leicht und zu gleicher Zeit so eingerichtet werden mussten, dass sie doch dem Künstler einigermaassen gestatteten, das Ganze des Gemäldes vor Augen zu haben, um sich bei der Ausführung darnach richten zu können, so ist es interessant, zu sehen, auf welche einfache Weise diese Zwecke erreicht wurden.~~c. ist die mit Gyps überzogene Wölbung, auf welche der Himmel gemalt ist;~~d. ist die Leinewand, womit das ganze Gebäude ausgekleidet und worauf das Panorama gemalt ist, was man zwischen dem Gerüste erblickt;~~e. eine an Stricken hängende Galerie, auf welcher die entfernten Theile des Gemäldes gemalt wurden;~~f. eine nur auf einige Zeit angebrachte Brücke zur Verbindung der Galerie;~~gg. funfzehn dreieckige Plattformen, auf welchen die verschiedenen Theile des Himmels gemacht wurden;~~h. Platform, die an der Galerie hängt, zur Vollendung der von der Galerie angefangenen Theile des Gemäldes;~~k. Vorrichtungen, um tiefer unten zu malen;~~l. Körbe, um Farben zu- und abzuführen;~~m. Krempe aus zwei Stangen, um zu vollenden, was nach Wegschaffung der Gerüst noch nöthig ist.~~Wegschaffung der Gerüst noch nöthig ist.~~)
  • Ad99999 09 027a  + (Auf der oberen Abtheilung dieser Tafel sehAuf der oberen Abtheilung dieser Tafel sehen wir die Insel Volcano, eine von den Liparischen Inseln im Mittelländischen Meere, von der Insel Lipari her angesehen, von welcher sie nur eine halbe Meile entfernt liegt. Volcano ist vulcanischen Ursprungs, und aus einem, noch feuerspeienden Krater steigt ununterbrochen eine Menge Rauch empor. Die Insel ist unbewohnt. Auch kommen nur an der südlichen Seite Gesträuche zum Vorschein. Der auf der Insel häufig vorkommende Schwefel, wird für die Eigenthümer gesammelt und ein dort sich aufhaltender Hüther hat dafür zu sorgen, dass nicht unberufene Sammler sich einstellen.~~Die zweite Abbildung zeigt den das Innere des Kraters auf der Insel Volcano, wie er in der Nähe erscheint. Die Höhe des Vulcans bildet oben eine kleine Ebene, aus welcher fast überall ein schweflichter Dunst hervordringt und in dessen Mitte sich der Krater, von 200 Fuss Umfang findet, von Asche, Schlacken und Lava umgeben. Aus der Tiefe wälzt sich der Rauch mit grossem Getösse herauf. - In einiger Entfernung sieht man den Hügel Volcanello, die Inseln Lipari Salino u.s.w. und ganz im Hintergrunde Alicudi und ihr zur Rechten Felicudi.~~de Alicudi und ihr zur Rechten Felicudi.~~)
  • Ad99998 09 027a  + (Auf der oberen Abtheilung dieser Tafel sehAuf der oberen Abtheilung dieser Tafel sehen wir die Insel Volcano, eine von den Liparischen Inseln im Mittelländischen Meere, von der Insel Lipari her angesehen, von welcher sie nur eine halbe Meile entfernt liegt. Volcano ist vulcanischen Ursprungs, und aus einem, noch feuerspeienden Krater steigt ununterbrochen eine Menge Rauch empor. Die Insel ist unbewohnt. Auch kommen nur an der südlichen Seite Gesträuche zum Vorschein. Der auf der Insel häufig vorkommende Schwefel, wird für die Eigenthümer gesammelt und ein dort sich aufhaltender Hüther hat dafür zu sorgen, dass nicht unberufene Sammler sich einstellen.~~Die zweite Abbildung zeigt den das Innere des Kraters auf der Insel Volcano, wie er in der Nähe erscheint. Die Höhe des Vulcans bildet oben eine kleine Ebene, aus welcher fast überall ein schweflichter Dunst hervordringt und in dessen Mitte sich der Krater, von 200 Fuss Umfang findet, von Asche, Schlacken und Lava umgeben. Aus der Tiefe wälzt sich der Rauch mit grossem Getösse herauf. - In einiger Entfernung sieht man den Hügel Volcanello, die Inseln Lipari Salino u.s.w. und ganz im Hintergrunde Alicudi und ihr zur Rechten Felicudi.~~de Alicudi und ihr zur Rechten Felicudi.~~)
  • Ad99998 12 015a  + (Auf der obern Hälfte der beigegebnen KupfeAuf der obern Hälfte der beigegebnen Kupfertagel ist der Palast so dargestellt, wie man ihn vom Triumphbogen des Generalstabes aus erblickt. Dieses grosse und inposante (sic) Gebäude nimmt ein Areal von 400,000 Q.F. ein. Der Haupteingang befindet sich in der Mitte der südlichen Fronte, die einen grossen freien Platz beherrscht. Zu beiden Seiten befinden sich kleinere Eingänge, mit einem hohen Porticus bedeckt. Der gewöhnliche Eingang befindet sich im Mittelpunct der westlichen Fronte, die 560 F. lang ist. Derselbe ist ebenfalls mit einem Porticus versehen. Die Nordseite des Palastes, welche ihre Fronte der Newa zuwendet, ist 721 F. lang. Das Gebäude besteht aus einem Erdgeschoss mit Ionischer Säulenordnung, aus dem Hauptstockwerk, und einem zweiten Stockwerke mit Corinthischer Säulenordnung.~~Unter den 90 bis 100 Zimmern und Säulen, die das obere Stockwerk enthält, sind der grosse Ballsaal, die S. Georg's Halle und der weisse Saal die ausgezeichnetsten.~~Die untere Hälfte der Kupfertafel giebt eine Ansicht des Triumphbogens, welcher vor dem Rigaer-Thore zu St. Petersburg zum Andenken der Rückkehr der kaiserlich russischen Garden aus Paris errichtet worden ist. Durch diesen Triumphbogen gelangt man in eine lange Vorstadt und am Ende derselben an die Barrieren des Haupteinganges zur Stadt.~~ Barrieren des Haupteinganges zur Stadt.~~)
  • Ad99999 04 045a  + (Auf der untersten Stufe der thierischen ScAuf der untersten Stufe der thierischen Schöpfung stehen unter den Würmern die Polypen die man auch Thierpflanzen nannte, weil sie gleichsam den Uebergang vomThierreiche zum Pflanzenreiche machen. Viele Gattungen dieser Wasserbewohner leben in steinartigen Gehäusen, die sie nie verlassen. Einige davon zeigt uns gegenwärtige Tafel. -~~Fig. 1. Der prächtige Seeköcher. (Tubularia magnifica.)~~Die Tubularien, Seeköcher, Kammpolypen, Meerröhren, sind eine Gattung von Gallertartigen Würmern, die theils im Meere, theils im süssen Wasser leben. Sie haben gefiederte Arme, und sitzen mit ihrem untern Ende in einer hornartigen Röhre. - Eine der schönsten und grössten Arten, den prächtigen Seeköcher, sehen wir hier Fig. I. abgebildet. Er findet sich auf den Westindischen Inseln in hohlen Felsen. Der röhrenförmige mit Einschnitten versehene Körper endigt sich in eine Menge weiss und roth gezeichneter Fühlfäden, die der Wurm, wenn alles ruhig ist, wie eine sternartige Blume ausbreitet. Ahndet er die geringste Gefahr, so schlägt er den Fühlfädenbusch nach oben zu zusammen, und zieht sich schnell in sein Felsenloch zurück.~~Fig. 2. Die Finder-Alcyonie. (Acyonium digitatum.)~~Die Alcyonien oder Seekorke sind weiche schwammartige oder korkartige Körper, deren Oberfläche mit vielen kleinen Oeffnungen übersäet ist, durch welche die Polypen, die Bewohner dieser Körper, hervorkommen. - Die hier abgebildete Art, die sich an den Englischen Küsten findet, benannte man nach ihrer Aehnlichkeit, die sie mit Menschenfingern hat. Sie sitzen häufig auf andern Körpern, wie z. B. hier auf einer Auster, fest. Ihre rothgrauliche Oberfläche ist mit achtspitzigen Sternchen bedeckt, wie man an dem vergrösserten Stücke (b) deutlich sieht. Aus diesen Sternöffnungen kommen die Polypen allenthalben hervor. Sie haben acht Arme (c), die an beiden Seiten gefiedert oder mit kurzen Fasern versehen sind.~~Fig. 3. Die kriechende steinige Sertularie. (Sertularia scruposa.)~~Die Sertularien sind hornartige, steinigte Gehäuse, die astförmig gegliedert find, und gleichfalls von Polypen bewohnt werden. Sie machen ein ziemlich zahlreiches Geschlecht aus. Die hier in natürlicher Grösse (Fig. 3.) abgebildete Sertularie sollte man auf den ersten Bück für ein kleines, zartes Pflänzchen halten. Doch vergrößert erblickt man ein weissliches, steinartiges, ästiges Gehäuse, das leicht zerbrechlich ist. Dieses Gehäuse ist im Innern in lauter kleine Zellen getheilt, welche einer Art von Polypen zur Wohnung dienen. Durch die Oeffnungen der abgeplatteten Seitenflächen kommen sie zum Vorschein. Körper verbreitet.~~en sie zum Vorschein. Körper verbreitet.~~)
  • Ad99998 04 045a  + (Auf der untersten Stufe der thierischen ScAuf der untersten Stufe der thierischen Schöpfung stehen unter den Würmern die Polypen die man auch Thierpflanzen nannte, weil sie gleichsam den Uebergang vomThierreiche zum Pflanzenreiche machen. Viele Gattungen dieser Wasserbewohner leben in steinartigen Gehäusen, die sie nie verlassen. Einige davon zeigt uns gegenwärtige Tafel. -~~Fig. 1. Der prächtige Seeköcher. (Tubularia magnifica.)~~Die Tubularien, Seeköcher, Kammpolypen, Meerröhren, sind eine Gattung von Gallertartigen Würmern, die theils im Meere, theils im süssen Wasser leben. Sie haben gefiederte Arme, und sitzen mit ihrem untern Ende in einer hornartigen Röhre. - Eine der schönsten und grössten Arten, den prächtigen Seeköcher, sehen wir hier Fig. I. abgebildet. Er findet sich auf den Westindischen Inseln in hohlen Felsen. Der röhrenförmige mit Einschnitten versehene Körper endigt sich in eine Menge weiss und roth gezeichneter Fühlfäden, die der Wurm, wenn alles ruhig ist, wie eine sternartige Blume ausbreitet. Ahndet er die geringste Gefahr, so schlägt er den Fühlfädenbusch nach oben zu zusammen, und zieht sich schnell in sein Felsenloch zurück.~~Fig. 2. Die Finder-Alcyonie. (Acyonium digitatum.)~~Die Alcyonien oder Seekorke sind weiche schwammartige oder korkartige Körper, deren Oberfläche mit vielen kleinen Oeffnungen übersäet ist, durch welche die Polypen, die Bewohner dieser Körper, hervorkommen. - Die hier abgebildete Art, die sich an den Englischen Küsten findet, benannte man nach ihrer Aehnlichkeit, die sie mit Menschenfingern hat. Sie sitzen häufig auf andern Körpern, wie z. B. hier auf einer Auster, fest. Ihre rothgrauliche Oberfläche ist mit achtspitzigen Sternchen bedeckt, wie man an dem vergrösserten Stücke (b) deutlich sieht. Aus diesen Sternöffnungen kommen die Polypen allenthalben hervor. Sie haben acht Arme (c), die an beiden Seiten gefiedert oder mit kurzen Fasern versehen sind.~~Fig. 3. Die kriechende steinige Sertularie. (Sertularia scruposa.)~~Die Sertularien sind hornartige, steinigte Gehäuse, die astförmig gegliedert find, und gleichfalls von Polypen bewohnt werden. Sie machen ein ziemlich zahlreiches Geschlecht aus. Die hier in natürlicher Grösse (Fig. 3.) abgebildete Sertularie sollte man auf den ersten Bück für ein kleines, zartes Pflänzchen halten. Doch vergrößert erblickt man ein weissliches, steinartiges, ästiges Gehäuse, das leicht zerbrechlich ist. Dieses Gehäuse ist im Innern in lauter kleine Zellen getheilt, welche einer Art von Polypen zur Wohnung dienen. Durch die Oeffnungen der abgeplatteten Seitenflächen kommen sie zum Vorschein. Körper verbreitet.~~en sie zum Vorschein. Körper verbreitet.~~)
  • Ad99999 09 059a  + (Auf dieser Tafel sehen wir Insecten abgebiAuf dieser Tafel sehen wir Insecten abgebildet, welche im gemeinen Leben unter dem Namen Wasserjungfern bekannt sind, weil sie in der Nähe des Wassers herumfliegen und als Larven in demselben leben.~~Fig. 1. Die riesenartige Petalure. (Petalura gigantea).~~Diess ist eine Wasserjungfer aus Neuholland, eine der grössten Arten, die es giebt. Der Name Petalura bedeutet Blätterschwanz, wegen der langen Biätter am Ende des Hinterleibes. Die Farbe des Körpers ist braungelb, die Flügel durchsichtig mit schwarzer Aderzeichnung. Der Kopf ist kuglicht und nach oben zu blasig aufgetrieben; die Augen sind ebenfalls gross und so zur Seite gestellt, dass der Kopf beinahe wie drei Blasen aussieht.~~Fig. 2. a und b. Die schlanke Wassernymphe. (Agrion puella).~~Diese Wassernymphe findet sich an stehendem Wasser; die Eier dieser Insecten werden auf Wasserpflanzen gelegt, aus ihnen kommen kleine Larven, welche im Wasser selbst leben, sich nähren und wachsen, sich häuten (Fig. 2. b.) und nach und nach dem ausgebildeten Insect immer ähnlicher werden, bis sie nach ihrer letzten Häutung, die ausser dem Wasser geschieht, auch Flügel erhalten. So lange sie im Wasser leben, ziehen sie die Luft, die zum Athmen dient, durch den Hinterleib ein und geben die gebrauchten Luftblasen ebendaselbst von sich. Sie nähren sich von andern Insecten, haben im Larvenzustande eine sonderbare ausstreckbare Zange am Munde, als ausgebildetes Insect aber ein Paar Kinnladenzangen. Fig. 2. a. ist ein Männchen, was man an den beiden, am Ende des Hinterleibs befindlichen Haken erkennt. Die Augen sitzen ganz an den Seiten des Kopfes, von einander getrennt, und sind von hellblauer Farbe. Die Farbe des Körpers ist grün oder dunkelblau metallisch glänzend, der Hinterleib mit schwarzen Ringen. Die Flügel durchsichtig, zuweilen am Rande mit einem schwarzen Fleck.~~Fig. 3. a u. b. Die plattgedrückte Wasserjungfer. (Libellula depressa).~~Diess ist eine in Europa sehr häufig. vorkommende Art von Libellen. Sie lebt auch als Larve und Nymphe (b) im Wasser; als ausgebildetes Insect, wird sie etwa 1 1/2 Zoll lang. Der Kopf trägt grosse, dicht aneinander sitzende Augen, das Bruststück ist braun, oben mit grünlich gelben Flecken. Die Flügel sind durchsichtig, an der Basis mit einem grossen braunen und an der Spitze mit einem kleinen schwarzen Fleck gezeichnet. Der Hinterleib ist etwas platt und breit und unten vor schwarzer, oben von bläulicher Farbe.~~Fig. 4. Die Tagfliege. (Ephemera vulgaris.)~~Die Tagfliege oder Uferhaft, auch Haft genannt, ist wegen ihrer kurzen Lebensdauer gleichsam zum Sprichwort geworden. Aus den in's Wasser gelegten kleinen Eiern dieser Insecten, kommen kleine Larven, welche im Wasser leben und allmählich grösser werden. Diese Larven haben zuletzt sechs Füsse, der Hinterleib ist in 10 Ringe getheilt, an den Seiten kurze Fransen und am hintersten Ende drei lange gefiederte Borsten tragend. Figur 4. b. Die Nymphen unterscheiden sich von den Larven bloss durch Flügeldecken auf dem Bruststück. Die Lebensdauer der Ephemeren als Larve und als Nymphe dauert 2-3 Jahr, während welcher Zeit sie sich von schlammiger Erde zu nähren scheinen. Wenn sie endlich aus dem Nymphenzustande heraus treten, verlassen sie das Wasser, ihre Haut spaltet sich auf dem Rücken und sie fliegen davon, worauf die Männchen noch eine Häutung zu bestehen haben, um als ganz vollkommenes Insect Fig. 4. a zu erscheinen. Als solches ist der Körper braun und gelb und die Flügel glänzend weissbraun, die gelblichen Faden am Ende des Körpers sind länger als die Flügel. Das Insect nimmt nun keine Nahrung mehr zu sich, auch bemerkt man keinen Mund. Die Männchen sterben unmittelbar nach der Begattung, die Weibchen, nachdem sie die Eier gelegt haben. Die vollständigen Insecten erscheinen zuweilen in ganz ungeheurer Menge an einem Tage, so dass sie oft ganze Wolken bilden, überleben aber nicht 24 Stunden, und bedecken dann in ganzen Massen, wie Schnee, die Ufer der Flüsse, deren Fischen sie zum Theil zur Nahrung dienen.~~Fig. 5. Die gelbe Köcherjungfer. (Friganea lutea).~~Diese Insecten gleichen auf den ersten Anblick den Nachtschmetterlingen, bei genauer Betrachtung sieht man aber wie nahe sie den Wasserjungfern verwandt sind. Die Larven und Nymphen wohnen im Wasser, wo sie sich von kleinen Steinchen, Holzstückchen etc. mittelst einer klebrigen Substanz ihres Körpers Röhren bilden, die sie oft mit verschiedenen Substanzen bedecken und immer mit sich schleppen, und wenn sie ihnen zu eng wird, durch eine grössere ersetzen Fig. 5 b und 5 c. Die Larve hat sechs Füsse, die an dem ersten von den zwölf Ringen sitzen, aus welchen der Körper besteht. Der Kopf ist mit starken Kinnladen bewaffnet. Wenn die Larve sich in die Nymphe verwandelt, so verschliesst sie die beiden 0effnungen der Röhre, bleibt 14-20 Tage in dem Nymphenzustande, wenn sie dann aus der Röhre hervorbricht, sucht sie einen trocknen Aufenthalt, streift die Oberhaut ab und erscheint als vollständiges Insect Fig. 5 a, welches mit leichtem Fluge sich vorzüglich nach Sonnenuntergange. bewegt. Die Farbe ist gelblich braun.~~Fig. 6 u. 7. Der Fadenflügel. (Nemopteryx Africana et Lusitanica)~~Diess sind gar sonderbar gebildete Insecten, deren untere Flügel unverhältnissmässig lang und fadenförmig sind. Die eine, hier abgebildete Art Fig. 6. ist in Afrika zu Hause, hat einen gelben Körper, ganz durchsichtige Vorderflügel und die gelben Hinterflügel mit einer breiten Queerbinde und weisser Spitze. Die andere Art, Fig. 7. aus Portugal, unterscheidet sich durch die schwarzbraunen Flecken auf Körper und Vorderflügeln und durch die dunkeln Queerstreifen der Hinterflügel.~~Fig. 8. 9 u. 10. Die Rüsseljungfern. (Panorpa).~~diese Insecten haben ihren Namen davon, dass sich der Kopf in einen hornartigen Schnabel verlängert.~~Fig. 8. Die gewöhnliche Rüsseljungfer (panorpa communis), ist gelblich-braun mit schwarzen Flecken, und an den Vorderflügeln mit schwarzen kleinen Queerstreifen.~~Fig. 9. Die verwandte Rüsseljungfer (panorpa affinis), unterscheidet sich nur durch die mangelnden Queerstreifen.~~Fig. 10. Die Scorpion-Rüsseljungfer(panorpa scorpio), in America zu Hause, ist schwarz mit weissen Flecken und hat einen Scorpion ähnlichen Hinterleib.~~hat einen Scorpion ähnlichen Hinterleib.~~)
  • Ad99998 09 055a  + (Auf dieser Tafel sehen wir Insecten abgebiAuf dieser Tafel sehen wir Insecten abgebildet, welche im gemeinen Leben unter dem Namen Wasserjungfern bekannt sind, weil sie in der Nähe des Wassers herumfliegen und als Larven in demselben leben.~~Fig. 1. Die riesenartige Petalure. (Petalura gigantea).~~Diess ist eine Wasserjungfer aus Neuholland, eine der grössten Arten, die es giebt. Der Name Petalura bedeutet Blätterschwanz, wegen der langen Biätter am Ende des Hinterleibes. Die Farbe des Körpers ist braungelb, die Flügel durchsichtig mit schwarzer Aderzeichnung. Der Kopf ist kuglicht und nach oben zu blasig aufgetrieben; die Augen sind ebenfalls gross und so zur Seite gestellt, dass der Kopf beinahe wie drei Blasen aussieht.~~Fig. 2. a und b. Die schlanke Wassernymphe. (Agrion puella).~~Diese Wassernymphe findet sich an stehendem Wasser; die Eier dieser Insecten werden auf Wasserpflanzen gelegt, aus ihnen kommen kleine Larven, welche im Wasser selbst leben, sich nähren und wachsen, sich häuten (Fig. 2. b.) und nach und nach dem ausgebildeten Insect immer ähnlicher werden, bis sie nach ihrer letzten Häutung, die ausser dem Wasser geschieht, auch Flügel erhalten. So lange sie im Wasser leben, ziehen sie die Luft, die zum Athmen dient, durch den Hinterleib ein und geben die gebrauchten Luftblasen ebendaselbst von sich. Sie nähren sich von andern Insecten, haben im Larvenzustande eine sonderbare ausstreckbare Zange am Munde, als ausgebildetes Insect aber ein Paar Kinnladenzangen. Fig. 2. a. ist ein Männchen, was man an den beiden, am Ende des Hinterleibs befindlichen Haken erkennt. Die Augen sitzen ganz an den Seiten des Kopfes, von einander getrennt, und sind von hellblauer Farbe. Die Farbe des Körpers ist grün oder dunkelblau metallisch glänzend, der Hinterleib mit schwarzen Ringen. Die Flügel durchsichtig, zuweilen am Rande mit einem schwarzen Fleck.~~Fig. 3. a u. b. Die plattgedrückte Wasserjungfer. (Libellula depressa).~~Diess ist eine in Europa sehr häufig. vorkommende Art von Libellen. Sie lebt auch als Larve und Nymphe (b) im Wasser; als ausgebildetes Insect, wird sie etwa 1 1/2 Zoll lang. Der Kopf trägt grosse, dicht aneinander sitzende Augen, das Bruststück ist braun, oben mit grünlich gelben Flecken. Die Flügel sind durchsichtig, an der Basis mit einem grossen braunen und an der Spitze mit einem kleinen schwarzen Fleck gezeichnet. Der Hinterleib ist etwas platt und breit und unten vor schwarzer, oben von bläulicher Farbe.~~Fig. 4. Die Tagfliege. (Ephemera vulgaris.)~~Die Tagfliege oder Uferhaft, auch Haft genannt, ist wegen ihrer kurzen Lebensdauer gleichsam zum Sprichwort geworden. Aus den in's Wasser gelegten kleinen Eiern dieser Insecten, kommen kleine Larven, welche im Wasser leben und allmählich grösser werden. Diese Larven haben zuletzt sechs Füsse, der Hinterleib ist in 10 Ringe getheilt, an den Seiten kurze Fransen und am hintersten Ende drei lange gefiederte Borsten tragend. Figur 4. b. Die Nymphen unterscheiden sich von den Larven bloss durch Flügeldecken auf dem Bruststück. Die Lebensdauer der Ephemeren als Larve und als Nymphe dauert 2-3 Jahr, während welcher Zeit sie sich von schlammiger Erde zu nähren scheinen. Wenn sie endlich aus dem Nymphenzustande heraus treten, verlassen sie das Wasser, ihre Haut spaltet sich auf dem Rücken und sie fliegen davon, worauf die Männchen noch eine Häutung zu bestehen haben, um als ganz vollkommenes Insect Fig. 4. a zu erscheinen. Als solches ist der Körper braun und gelb und die Flügel glänzend weissbraun, die gelblichen Faden am Ende des Körpers sind länger als die Flügel. Das Insect nimmt nun keine Nahrung mehr zu sich, auch bemerkt man keinen Mund. Die Männchen sterben unmittelbar nach der Begattung, die Weibchen, nachdem sie die Eier gelegt haben. Die vollständigen Insecten erscheinen zuweilen in ganz ungeheurer Menge an einem Tage, so dass sie oft ganze Wolken bilden, überleben aber nicht 24 Stunden, und bedecken dann in ganzen Massen, wie Schnee, die Ufer der Flüsse, deren Fischen sie zum Theil zur Nahrung dienen.~~Fig. 5. Die gelbe Köcherjungfer. (Friganea lutea).~~Diese Insecten gleichen auf den ersten Anblick den Nachtschmetterlingen, bei genauer Betrachtung sieht man aber wie nahe sie den Wasserjungfern verwandt sind. Die Larven und Nymphen wohnen im Wasser, wo sie sich von kleinen Steinchen, Holzstückchen etc. mittelst einer klebrigen Substanz ihres Körpers Röhren bilden, die sie oft mit verschiedenen Substanzen bedecken und immer mit sich schleppen, und wenn sie ihnen zu eng wird, durch eine grössere ersetzen Fig. 5 b und 5 c. Die Larve hat sechs Füsse, die an dem ersten von den zwölf Ringen sitzen, aus welchen der Körper besteht. Der Kopf ist mit starken Kinnladen bewaffnet. Wenn die Larve sich in die Nymphe verwandelt, so verschliesst sie die beiden 0effnungen der Röhre, bleibt 14-20 Tage in dem Nymphenzustande, wenn sie dann aus der Röhre hervorbricht, sucht sie einen trocknen Aufenthalt, streift die Oberhaut ab und erscheint als vollständiges Insect Fig. 5 a, welches mit leichtem Fluge sich vorzüglich nach Sonnenuntergange. bewegt. Die Farbe ist gelblich braun.~~Fig. 6 u. 7. Der Fadenflügel. (Nemopteryx Africana et Lusitanica)~~Diess sind gar sonderbar gebildete Insecten, deren untere Flügel unverhältnissmässig lang und fadenförmig sind. Die eine, hier abgebildete Art Fig. 6. ist in Afrika zu Hause, hat einen gelben Körper, ganz durchsichtige Vorderflügel und die gelben Hinterflügel mit einer breiten Queerbinde und weisser Spitze. Die andere Art, Fig. 7. aus Portugal, unterscheidet sich durch die schwarzbraunen Flecken auf Körper und Vorderflügeln und durch die dunkeln Queerstreifen der Hinterflügel.~~Fig. 8. 9 u. 10. Die Rüsseljungfern. (Panorpa).~~diese Insecten haben ihren Namen davon, dass sich der Kopf in einen hornartigen Schnabel verlängert.~~Fig. 8. Die gewöhnliche Rüsseljungfer (panorpa communis), ist gelblich-braun mit schwarzen Flecken, und an den Vorderflügeln mit schwarzen kleinen Queerstreifen.~~Fig. 9. Die verwandte Rüsseljungfer (panorpa affinis), unterscheidet sich nur durch die mangelnden Queerstreifen.~~Fig. 10. Die Scorpion-Rüsseljungfer(panorpa scorpio), in America zu Hause, ist schwarz mit weissen Flecken und hat einen Scorpion ähnlichen Hinterleib.~~hat einen Scorpion ähnlichen Hinterleib.~~)
  • Ad00341 06 067a  + (Auf dieser Tafel sehen wir zwei getreue NaAuf dieser Tafel sehen wir zwei getreue Nachbildungen von dem Ansehen des grossen Kometen vom Jahr 1811, welcher sich mehrere Monate lang unsern blossen Augen so schön darstellte, und um so besser beobachtet werden konnte, da wir in dem vorigen Jahre so anhaltend vortreffliche und heitere Witterung genossen. Wir erblicken diesen letztern Kometen bei Fig. 1. so, wie sich derselbe einige Tage vor seiner grössten Sonnen-Nähe den 10. September Abends im Sternenbilde des grossen Bären darstellte; und bei Fig. 2., wie derselbe zur Zeit seiner grössten Erdnähe am 15. October oberhalb der nördlichen Krone zu sehen war.~~Dieser Komet war nicht bloss wegen seiner Grösse und langen Sichtbarkeit für's blosse Auge, sondern noch vielmehr wegen des Umstandes merkwürdig, dass der Schweif desselben, dessen Arme sich auf der Sonnenseite des Kometen um diesen herum zu einem Bogen vereinigten, nicht unmittelbar - wie bei dem Kometen von 1807- mit der leuchtenden Scheibe des Kometen in Eins zusammenfloss, sondern beträchtlich weit, von dieser Scheibe abstand, so dass zwischen der leuchtenden Kometen-Scheibe und dem leuchtenden Kometen-Schweife ein dunkelerer Raum zu sehen war, welcher zu verschiedenen Zeiten ab- und zunahm; welches Verhältniss der ausführliche Text unseres Bilderbuchs besonders erläutert. - Auch zeigt die Tafel, dass sowohl durch den leuchtenden Kometenschweif, als durch den dunkeleren Zwischenraum zwischen dem Schweife grössere und kleinere Sterne noch sehr deutlich zu sehen waren; so wie, dass zu verschiedenen Zeiten der Schweif ein verschiedenes Ansehen hatte.~~Schweif ein verschiedenes Ansehen hatte.~~)
  • Ad99998 07 067a  + (Auf dieser Tafel sehen wir zwei getreue NaAuf dieser Tafel sehen wir zwei getreue Nachbildungen von dem Ansehen des grossen Kometen vom Jahr 1811, welcher sich mehrere Monate lang unsern blossen Augen so schön darstellte, und um so besser beobachtet werden konnte, da wir in dem vorigen Jahre so anhaltend vortreffliche und heitere Witterung genossen. Wir erblicken diesen letztern Kometen bei Fig. 1. so, wie sich derselbe einige Tage vor seiner grössten Sonnen-Nähe den 10. September Abends im Sternenbilde des grossen Bären darstellte; und bei Fig. 2., wie derselbe zur Zeit seiner grössten Erdnähe am 15. October oberhalb der nördlichen Krone zu sehen war.~~Dieser Komet war nicht bloss wegen seiner Grösse und langen Sichtbarkeit für's blosse Auge, sondern noch vielmehr wegen des Umstandes merkwürdig, dass der Schweif desselben, dessen Arme sich auf der Sonnenseite des Kometen um diesen herum zu einem Bogen vereinigten, nicht unmittelbar - wie bei dem Kometen von 1807- mit der leuchtenden Scheibe des Kometen in Eins zusammenfloss, sondern beträchtlich weit, von dieser Scheibe abstand, so dass zwischen der leuchtenden Kometen-Scheibe und dem leuchtenden Kometen-Schweife ein dunkelerer Raum zu sehen war, welcher zu verschiedenen Zeiten ab- und zunahm; welches Verhältniss der ausführliche Text unseres Bilderbuchs besonders erläutert. - Auch zeigt die Tafel, dass sowohl durch den leuchtenden Kometenschweif, als durch den dunkeleren Zwischenraum zwischen dem Schweife grössere und kleinere Sterne noch sehr deutlich zu sehen waren; so wie, dass zu verschiedenen Zeiten der Schweif ein verschiedenes Ansehen hatte.~~Schweif ein verschiedenes Ansehen hatte.~~)
  • Ad99999 07 067a  + (Auf dieser Tafel sehen wir zwei getreue NaAuf dieser Tafel sehen wir zwei getreue Nachbildungen von dem Ansehen des grossen Kometen vom Jahr 1811, welcher sich mehrere Monate lang unsern blossen Augen so schön darstellte, und um so besser beobachtet werden konnte, da wir in dem vorigen Jahre so anhaltend vortreffliche und heitere Witterung genossen. Wir erblicken diesen letztern Kometen bei Fig. 1. so, wie sich derselbe einige Tage vor seiner grössten Sonnen-Nähe den 10. September Abends im Sternenbilde des grossen Bären darstellte; und bei Fig. 2., wie derselbe zur Zeit seiner grössten Erdnähe am 15. October oberhalb der nördlichen Krone zu sehen war.~~Dieser Komet war nicht bloss wegen seiner Grösse und langen Sichtbarkeit für's blosse Auge, sondern noch vielmehr wegen des Umstandes merkwürdig, dass der Schweif desselben, dessen Arme sich auf der Sonnenseite des Kometen um diesen herum zu einem Bogen vereinigten, nicht unmittelbar - wie bei dem Kometen von 1807- mit der leuchtenden Scheibe des Kometen in Eins zusammenfloss, sondern beträchtlich weit, von dieser Scheibe abstand, so dass zwischen der leuchtenden Kometen-Scheibe und dem leuchtenden Kometen-Schweife ein dunkelerer Raum zu sehen war, welcher zu verschiedenen Zeiten ab- und zunahm; welches Verhältniss der ausführliche Text unseres Bilderbuchs besonders erläutert. - Auch zeigt die Tafel, dass sowohl durch den leuchtenden Kometenschweif, als durch den dunkeleren Zwischenraum zwischen dem Schweife grössere und kleinere Sterne noch sehr deutlich zu sehen waren; so wie, dass zu verschiedenen Zeiten der Schweif ein verschiedenes Ansehen hatte.~~Schweif ein verschiedenes Ansehen hatte.~~)
  • Ad99999 09 097a  + (Auf gegenüber stehender Tafel sehen wir daAuf gegenüber stehender Tafel sehen wir das Innere des Erbbegräbnisses der Familie des Königs Georg III. von England. Diess majestätische Gewölbe, ist von dem Cardinal Wolsey gebaut, von Georg III. aber zum Begräbnissort für die Glieder seiner Familie eingerichtet. Es ist ein grosses Gewölbe, was auf sehr massiven Säulen ruht; an den Seitenwänden sind vier Reihen über einander angebrachter Plattformen, zur Aufnahme der Särge. Auf der zweiten, linker Hand, befindet sich vorn der Sarg des Herzogs von Kent, weiter hinten der Sarg der Prinzess Charlotte von Wales-Coburg mit dem neugeborenen Prinzen. Unter dieser der Sarg einer Schwester Georg des III. Auf der im Hindergrunde befindlichen Estrade stehen fünf Särge. In der Mitte der Hei Königs Georgs III., links der der letzt Verstorbenen Königin, rechts der Prinzess Amalie, Tochter des Königs, zu beiden Seiten die Särge zweier, als Kinder verstorbenen Prinzen, Söhne Georgs III, Alfred und Octavius.~~, Söhne Georgs III, Alfred und Octavius.~~)
  • Ad99998 09 098a  + (Auf gegenüber stehender Tafel sehen wir daAuf gegenüber stehender Tafel sehen wir das Innere des Erbbegräbnisses der Familie des Königs Georg III. von England. Diess majestätische Gewölbe, ist von dem Cardinal Wolsey gebaut, von Georg III. aber zum Begräbnissort für die Glieder seiner Familie eingerichtet. Es ist ein grosses Gewölbe, was auf sehr massiven Säulen ruht; an den Seitenwänden sind vier Reihen über einander angebrachter Plattformen, zur Aufnahme der Särge. Auf der zweiten, linker Hand, befindet sich vorn der Sarg des Herzogs von Kent, weiter hinten der Sarg der Prinzess Charlotte von Wales-Coburg mit dem neugeborenen Prinzen. Unter dieser der Sarg einer Schwester Georg des III. Auf der im Hindergrunde befindlichen Estrade stehen fünf Särge. In der Mitte der Hei Königs Georgs III., links der der letzt Verstorbenen Königin, rechts der Prinzess Amalie, Tochter des Königs, zu beiden Seiten die Särge zweier, als Kinder verstorbenen Prinzen, Söhne Georgs III, Alfred und Octavius.~~, Söhne Georgs III, Alfred und Octavius.~~)
  • Ad00341 06 055a/fre  + (Mélanges CLVI. Vol. VII. No. 53.)
  • Ad99998 07 055a/fre  + (Mélanges CLVI. Vol. VII. No. 53.)
  • Ad99999 07 055a/fre  + (Mélanges CLVI. Vol. VII. No. 53.)
  • Ad99999 11 015a  + (Aus der Familie der Sägehörner (SerricorneAus der Familie der Sägehörner (Serricornes); die hierher gehörigen Käfer haben 4 Fressspitzen, fadenartige, kammförmige, sägezähnige, oder federartige Fühlhörner. Diese Gattung der Brandkäfer enthält meist sehr schön gezeichnete Arten, welche sich durch Folgendes auszeichnen. Der Kopf ist schmal und in einen Rüssel verlängert, die Fühlhörner sehr zusammengedrückt, die Flügeldecken nach dem Ende zu breiter, besonders bei dem männlichen Geschlecht. Der Körper ist schmal und lang, der Kopf nach unten gebogen. Die meisten sind ausländisch; die Europäischen finden sich auf Blumen.~~Fig. 1. Der blutrothe Brandkäfer (Lycus sanguineus, Fabr.)~~Wird 3 bis 4 Linien lang. Er ist, die Brustseite und die gestreiften Flügeldecken ausgenommen, welche schön blutroth sind, ganz schwarz, häufig in Deutschland und Frankreich auf Schirmpflanzen. Die Larve lebt unter Eichenrinde.~~Fig. 2. Der abgestutzte Brandkäfer. (Lycus praemorsus, Dalman.)~~Kopf und Körper sind schwarz, klein, vorn gerundet, hinten breiter, die Mittelscheibe schwarz, die Seitenränder gelb ziegelfarben, die Flügeldecken breit, gelb ziegelfarben, an der Spitze schwarz und haben an den Rändern schwarze Flecken. Die Flügel sind dunkel. Er ist in Sierra Leone zu Hause.~~Fig. 3. Der blattähnliche Brandkäfer. (Lycus foliaceus, Dalman.)~~Ist bedeutend grösser, als der vorige. Er ist ganz gelb ziegelfarben, Kopf, Rüssel und Fühlhörner ausgenommen, die Füsse pechbraun und die Flügelspitzen schwarz.~~Fig. 4. Der Glanzkäfer mit schwarzer Nath. (Omalysus suturalis, Fabricius.)~~Ist meist schwarz, die Flügeldecken mit eingedrückten Puncten gezeichnet, schmutzig dunkelroth; an der Nath zieht sich ein schwarzer Streif herunter. Er lebt in Deutschland und Frankreich auf jungen Eichen.~~Fig. 5. Der nächtliche Leuchtkäfer. (Lampyris noctiluca, Fabricius.)~~Das Männchen (Fig. 5 b.) ist geflügelt, 4 Linien lang, schwärzlich mit 2 halbmondförmigen durchsichtigen Puncten, der Hinterleib desselben schwarz, die leuchtenden Ringe blassgelb. Das Weibchen (Fig. 5.a) ist ungeflügelt, schwarzbraun mit hellern Flecken an den Seiten. Ist in Deutschland nicht selten.~~Fig. 6. Der Afterleuchtkäfer mit rothem Bauch. (Cantharis abdominalis, Fabricius.)~~Der Kopf ist schwarz, das Brustschild roth mit schwarzen Rändern, die Flügeldecken blauschwarz, der Hinterleib gelbroth. Er ist in den Alpen einheimisch.~~Fig. 7. Der blaue Dasytes. (Dasytes caeruleus, Fabricius.)~~Ist dunkelgrün, oder dunkelblau, weich behaart, die Fühlhörner und Füsse schwarz. Ist in Deutschland und Frankreich sehr gemein.~~Fig. 8. Der broncirte Warzenkäfer. (Malachius aëneus, Fabricius.)~~Ist broncegrün glänzend, der Vorderkopf gelb, die Flügeldecken mit breitem hochrothen Rand. Er ist in Deutschland, Frankreich etc. einheimisch.~~eutschland, Frankreich etc. einheimisch.~~)
  • Ad99998 11 015a  + (Aus der Familie der Sägehörner (SerricorneAus der Familie der Sägehörner (Serricornes); die hierher gehörigen Käfer haben 4 Fressspitzen, fadenartige, kammförmige, sägezähnige, oder federartige Fühlhörner. Diese Gattung der Brandkäfer enthält meist sehr schön gezeichnete Arten, welche sich durch Folgendes auszeichnen. Der Kopf ist schmal und in einen Rüssel verlängert, die Fühlhörner sehr zusammengedrückt, die Flügeldecken nach dem Ende zu breiter, besonders bei dem männlichen Geschlecht. Der Körper ist schmal und lang, der Kopf nach unten gebogen. Die meisten sind ausländisch; die Europäischen finden sich auf Blumen.~~Fig. 1. Der blutrothe Brandkäfer (Lycus sanguineus, Fabr.)~~Wird 3 bis 4 Linien lang. Er ist, die Brustseite und die gestreiften Flügeldecken ausgenommen, welche schön blutroth sind, ganz schwarz, häufig in Deutschland und Frankreich auf Schirmpflanzen. Die Larve lebt unter Eichenrinde.~~Fig. 2. Der abgestutzte Brandkäfer. (Lycus praemorsus, Dalman.)~~Kopf und Körper sind schwarz, klein, vorn gerundet, hinten breiter, die Mittelscheibe schwarz, die Seitenränder gelb ziegelfarben, die Flügeldecken breit, gelb ziegelfarben, an der Spitze schwarz und haben an den Rändern schwarze Flecken. Die Flügel sind dunkel. Er ist in Sierra Leone zu Hause.~~Fig. 3. Der blattähnliche Brandkäfer. (Lycus foliaceus, Dalman.)~~Ist bedeutend grösser, als der vorige. Er ist ganz gelb ziegelfarben, Kopf, Rüssel und Fühlhörner ausgenommen, die Füsse pechbraun und die Flügelspitzen schwarz.~~Fig. 4. Der Glanzkäfer mit schwarzer Nath. (Omalysus suturalis, Fabricius.)~~Ist meist schwarz, die Flügeldecken mit eingedrückten Puncten gezeichnet, schmutzig dunkelroth; an der Nath zieht sich ein schwarzer Streif herunter. Er lebt in Deutschland und Frankreich auf jungen Eichen.~~Fig. 5. Der nächtliche Leuchtkäfer. (Lampyris noctiluca, Fabricius.)~~Das Männchen (Fig. 5 b.) ist geflügelt, 4 Linien lang, schwärzlich mit 2 halbmondförmigen durchsichtigen Puncten, der Hinterleib desselben schwarz, die leuchtenden Ringe blassgelb. Das Weibchen (Fig. 5.a) ist ungeflügelt, schwarzbraun mit hellern Flecken an den Seiten. Ist in Deutschland nicht selten.~~Fig. 6. Der Afterleuchtkäfer mit rothem Bauch. (Cantharis abdominalis, Fabricius.)~~Der Kopf ist schwarz, das Brustschild roth mit schwarzen Rändern, die Flügeldecken blauschwarz, der Hinterleib gelbroth. Er ist in den Alpen einheimisch.~~Fig. 7. Der blaue Dasytes. (Dasytes caeruleus, Fabricius.)~~Ist dunkelgrün, oder dunkelblau, weich behaart, die Fühlhörner und Füsse schwarz. Ist in Deutschland und Frankreich sehr gemein.~~Fig. 8. Der broncirte Warzenkäfer. (Malachius aëneus, Fabricius.)~~Ist broncegrün glänzend, der Vorderkopf gelb, die Flügeldecken mit breitem hochrothen Rand. Er ist in Deutschland, Frankreich etc. einheimisch.~~eutschland, Frankreich etc. einheimisch.~~)
  • Ad99998 07 032a  + (Ausser dem eigentlichen Ibis, den man gewöAusser dem eigentlichen Ibis, den man gewöhnlich für den, von den alten Aegyptiern heilig verehrten, Vogel hält, und den wir im I. Bd. No. 100 unseres Bilderbuches kennen lernten, giebt es von diesem Geschlechte noch mehrere schöne Arten, wie wir hier sehen.~~Fig. 1. 2. Der scharlachrothe Ibis.(Tantalus ruber.)~~Dieser schöne Vogel findet sich in mehreren Theilen von Amerika, wo er sich an Gewässern aufhält, und von kleinen Fischen und Insecten lebt. Er wird 21 Zoll lang, und ist über und über schön scharlachroth von Farbe, bis auf die Spitzen der äussersten Schwungfedern, welche schwarzblau sind. Doch ist die rothe Farbe nach dem dritten Jahre erst in ihrer Vollkommenheit, vorher ist das Gefieder noch mit Grau vermischt. (Fig. 2).~~Fig. 3. Der Ibis mit schwarzem Gesicht. (Tantalus melanopis.)~~Wird grösser als der vorige, und wurde von Forster auf den Neujahrs-Inseln bei Staatenland entdeckt, wo er auf unzugänglichen Felsen nistet. Die Augen umgiebt ein kahler schwarzer Fleck, und ein häutiger Sack sitzt unter dem Schnabel. Der Hals und die Brust sind gelb; von den Flügeln läuft ein graues Querband über letztere.~~Fig. 4. Der Cayennische Ibis. (Tantalus Cayennensis.)~~Der Cayennische Ibis wird 22 Zoll lang, und findet sich paarweise, jedoch nicht häufig, in Cayenne, wo er gewöhnlich an den Flüssen sitzt und auf Fische lauert. Sein dunkles Gefieder hat, gegen das Licht betrachtet, einen grünlichen Glanz.~~Fig. 5. Der sichelschnäbliche Ibis. (Tantalus falcinellus.)~~Dieser Ibis bewohnt die Gegenden des caspischen und schwarzen Meers, auch mehrere Theile von Italien, und wird bisweilen auch in Teutschland gefunden. Von seinem langen gebognen Schnabel hat er den Namen erhalten.~~gnen Schnabel hat er den Namen erhalten.~~)
  • Ad99999 07 032a  + (Ausser dem eigentlichen Ibis, den man gewöAusser dem eigentlichen Ibis, den man gewöhnlich für den, von den alten Aegyptiern heilig verehrten, Vogel hält, und den wir im I. Bd. No. 100 unseres Bilderbuches kennen lernten, giebt es von diesem Geschlechte noch mehrere schöne Arten, wie wir hier sehen.~~Fig. 1. 2. Der scharlachrothe Ibis.(Tantalus ruber.)~~Dieser schöne Vogel findet sich in mehreren Theilen von Amerika, wo er sich an Gewässern aufhält, und von kleinen Fischen und Insecten lebt. Er wird 21 Zoll lang, und ist über und über schön scharlachroth von Farbe, bis auf die Spitzen der äussersten Schwungfedern, welche schwarzblau sind. Doch ist die rothe Farbe nach dem dritten Jahre erst in ihrer Vollkommenheit, vorher ist das Gefieder noch mit Grau vermischt. (Fig. 2).~~Fig. 3. Der Ibis mit schwarzem Gesicht. (Tantalus melanopis.)~~Wird grösser als der vorige, und wurde von Forster auf den Neujahrs-Inseln bei Staatenland entdeckt, wo er auf unzugänglichen Felsen nistet. Die Augen umgiebt ein kahler schwarzer Fleck, und ein häutiger Sack sitzt unter dem Schnabel. Der Hals und die Brust sind gelb; von den Flügeln läuft ein graues Querband über letztere.~~Fig. 4. Der Cayennische Ibis. (Tantalus Cayennensis.)~~Der Cayennische Ibis wird 22 Zoll lang, und findet sich paarweise, jedoch nicht häufig, in Cayenne, wo er gewöhnlich an den Flüssen sitzt und auf Fische lauert. Sein dunkles Gefieder hat, gegen das Licht betrachtet, einen grünlichen Glanz.~~Fig. 5. Der sichelschnäbliche Ibis. (Tantalus falcinellus.)~~Dieser Ibis bewohnt die Gegenden des caspischen und schwarzen Meers, auch mehrere Theile von Italien, und wird bisweilen auch in Teutschland gefunden. Von seinem langen gebognen Schnabel hat er den Namen erhalten.~~gnen Schnabel hat er den Namen erhalten.~~)
  • Ad00341 06 032a  + (Ausser dem eigentlichen Ibis, den man gewöAusser dem eigentlichen Ibis, den man gewöhnlich für den, von den alten Aegyptiern heilig verehrten, Vogel hält, und den wir im I. Bd. No. 100 unseres Bilderbuches kennen lernten, giebt es von diesem Geschlechte noch mehrere schöne Arten, wie wir hier sehen.~~Fig. 1. 2. Der scharlachrothe Ibis.(Tantalus ruber.)~~Dieser schöne Vogel findet sich in mehreren Theilen von Amerika, wo er sich an Gewässern aufhält, und von kleinen Fischen und Insecten lebt. Er wird 21 Zoll lang, und ist über und über schön scharlachroth von Farbe, bis auf die Spitzen der äussersten Schwungfedern, welche schwarzblau sind. Doch ist die rothe Farbe nach dem dritten Jahre erst in ihrer Vollkommenheit, vorher ist das Gefieder noch mit Grau vermischt. (Fig. 2).~~Fig. 3. Der Ibis mit schwarzem Gesicht. (Tantalus melanopis.)~~Wird grösser als der vorige, und wurde von [[Person:_Georg_Forster|Forster]] auf den Neujahrs-Inseln bei Staatenland entdeckt, wo er auf unzugänglichen Felsen nistet. Die Augen umgiebt ein kahler schwarzer Fleck, und ein häutiger Sack sitzt unter dem Schnabel. Der Hals und die Brust sind gelb; von den Flügeln läuft ein graues Querband über letztere.~~Fig. 4. Der Cayennische Ibis. (Tantalus Cayennensis.)~~Der Cayennische Ibis wird 22 Zoll lang, und findet sich paarweise, jedoch nicht häufig, in Cayenne, wo er gewöhnlich an den Flüssen sitzt und auf Fische lauert. Sein dunkles Gefieder hat, gegen das Licht betrachtet, einen grünlichen Glanz.~~Fig. 5. Der sichelschnäbliche Ibis. (Tantalus falcinellus.)~~Dieser Ibis bewohnt die Gegenden des caspischen und schwarzen Meers, auch mehrere Theile von Italien, und wird bisweilen auch in Teutschland gefunden. Von seinem langen gebognen Schnabel hat er den Namen erhalten.~~gnen Schnabel hat er den Namen erhalten.~~)
  • Ad00341 05 081a  + (Ausserordentlich grosse Menschen nennt manAusserordentlich grosse Menschen nennt man Riesen, so wie ungewöhnlich kleine mit dem Namen Zwerge belegt werden. - Beides sind eigentlich Ausnahmen von der gewöhnlichen Menschen-Grösse, denn ob gleich gegen Norden kleinere Menschen Geschlechter, so wie in Süd-Amerika den grossen Stamm der Patagonier giebt, so kann man doch nicht eigentlich sagen, dass man ganze Nationen von Riesen oder Zwerge auf dem Erdball finde.~~Ungewöhnlich grosse Menschen oder Riesen lassen sich der Seltenheit wegen öfters für Geld sehen, wie wir wissen. Auch aus in Amerika ist dieses der Gebrauch, und wir sehen hier einen Peruanischen Riesen, der im Jahre 1792 aus der Stadt lka nach Lima, der Hauptstadt von Peru gebracht wurde, um sich zu zeigen. Sein Name war Basilio Huaylas; in einem Alter von 24 Jahren mass er über sieben Fuss. Die Glieder des Körpers waren unverhältnissmässig dick und plump, vorzüglich die des obern Theiles. - Gewöhnlich erschien Huaylas in der sonderbaren Kleidung, wie wir ihn hier abgebildet sehen. Zur Vergleichung steht ein Mann von gewöhnlicher Statur neben ihm, wodurch seine riesenmässige Figur noch auffallender sich heraushebt.~~Figur noch auffallender sich heraushebt.~~)
  • Ad99998 06 081a  + (Ausserordentlich grosse Menschen nennt manAusserordentlich grosse Menschen nennt man Riesen, so wie ungewöhnlich kleine mit dem Namen Zwerge belegt werden. - Beides sind eigentlich Ausnahmen von der gewöhnlichen Menschen-Grösse, denn ob gleich gegen Norden kleinere Menschen Geschlechter, so wie in Süd-Amerika den grossen Stamm der Patagonier giebt, so kann man doch nicht eigentlich sagen, dass man ganze Nationen von Riesen oder Zwerge auf dem Erdball finde.~~Ungewöhnlich grosse Menschen oder Riesen lassen sich der Seltenheit wegen öfters für Geld sehen, wie wir wissen. Auch aus in Amerika ist dieses der Gebrauch, und wir sehen hier einen Peruanischen Riesen, der im Jahre 1792 aus der Stadt lka nach Lima, der Hauptstadt von Peru gebracht wurde, um sich zu zeigen. Sein Name war Basilio Huaylas; in einem Alter von 24 Jahren mass er über sieben Fuss. Die Glieder des Körpers waren unverhältnissmässig dick und plump, vorzüglich die des obern Theiles. - Gewöhnlich erschien Huaylas in der sonderbaren Kleidung, wie wir ihn hier abgebildet sehen. Zur Vergleichung steht ein Mann von gewöhnlicher Statur neben ihm, wodurch seine riesenmässige Figur noch auffallender sich heraushebt.~~Figur noch auffallender sich heraushebt.~~)
  • Ad99999 06 081a  + (Ausserordentlich grosse Menschen nennt manAusserordentlich grosse Menschen nennt man Riesen, so wie ungewöhnlich kleine mit dem Namen Zwerge belegt werden. - Beides sind eigentlich Ausnahmen von der gewöhnlichen Menschen-Grösse, denn ob gleich gegen Norden kleinere Menschen Geschlechter, so wie in Süd-Amerika den grossen Stamm der Patagonier giebt, so kann man doch nicht eigentlich sagen, dass man ganze Nationen von Riesen oder Zwerge auf dem Erdball finde.~~Ungewöhnlich grosse Menschen oder Riesen lassen sich der Seltenheit wegen öfters für Geld sehen, wie wir wissen. Auch aus in Amerika ist dieses der Gebrauch, und wir sehen hier einen Peruanischen Riesen, der im Jahre 1792 aus der Stadt lka nach Lima, der Hauptstadt von Peru gebracht wurde, um sich zu zeigen. Sein Name war Basilio Huaylas; in einem Alter von 24 Jahren mass er über sieben Fuss. Die Glieder des Körpers waren unverhältnissmässig dick und plump, vorzüglich die des obern Theiles. - Gewöhnlich erschien Huaylas in der sonderbaren Kleidung, wie wir ihn hier abgebildet sehen. Zur Vergleichung steht ein Mann von gewöhnlicher Statur neben ihm, wodurch seine riesenmässige Figur noch auffallender sich heraushebt.~~Figur noch auffallender sich heraushebt.~~)
  • Ad00341 06 035a  + (Ausserordentlich merkwürdig sind die HöhleAusserordentlich merkwürdig sind die Höhlen von Carli. Sie liegen zwischen Bombai und Punah; es läuft hier eine Hügelkette von Osten nach Westen, aus welcher der Hügel, der diese merkwürdigen Denkmäler enthält, hervorspringt. Die Haupthöhle liegt nach Westen. Ein jäher Pfad führt hinauf, aber eingehauene Stufen erleichtern die Schritte. Der ganze Hügel ist mit Gebüsch bedeckt, das die Höhlen versteckt; endlich kommt man zu einem offnen Platze, wo der Hügel abgetragen und geebnet ist, bis man eine perpendiculäre Oberfläche von etwa 50 Fuss auf dem nackten Felsen fand. In demselben ist eine Reihe von Höhlen ausgegraben; zuerst kommt man in einen Vorhof von länglich viereckiger Gestalt, der zu dem Tempel selbst, der gewölbt ist, und von Säulen getragen wird, führt. Die beifolgende Abbildung giebt einen deutlichen Begriff von dieser wunderbaren Anlage. Einen sonderbaren Anblick geben die auf den Säulen ruhenden Elephanten. In dem Tempel selbst finden sich keine Figuren von Gottheiten, aber die Wände des Vorhofs sind mit Figuren von Elephanten, männlichen und weiblichen Figuren, und der Gestalt des Buddha bedeckt. Wahrscheinlich ist dieser Tempel dem Götte Buddha geweiht gewesen, dessen Verehrung aber die Braminen vernichteten. Daher ist auch die Sage des Volks, dass böse Geister in diesen Höhlen ihre Wohnung hätten.~~er in diesen Höhlen ihre Wohnung hätten.~~)
  • Ad99998 07 035a  + (Ausserordentlich merkwürdig sind die HöhleAusserordentlich merkwürdig sind die Höhlen von Carli. Sie liegen zwischen Bombai und Punah; es läuft hier eine Hügelkette von Osten nach Westen, aus welcher der Hügel, der diese merkwürdigen Denkmäler enthält, hervorspringt. Die Haupthöhle liegt nach Westen. Ein jäher Pfad führt hinauf, aber eingehauene Stufen erleichtern die Schritte. Der ganze Hügel ist mit Gebüsch bedeckt, das die Höhlen versteckt; endlich kommt man zu einem offnen Platze, wo der Hügel abgetragen und geebnet ist, bis man eine perpendiculäre Oberfläche von etwa 50 Fuss auf dem nackten Felsen fand. In demselben ist eine Reihe von Höhlen ausgegraben; zuerst kommt man in einen Vorhof von länglich viereckiger Gestalt, der zu dem Tempel selbst, der gewölbt ist, und von Säulen getragen wird, führt. Die beifolgende Abbildung giebt einen deutlichen Begriff von dieser wunderbaren Anlage. Einen sonderbaren Anblick geben die auf den Säulen ruhenden Elephanten. In dem Tempel selbst finden sich keine Figuren von Gottheiten, aber die Wände des Vorhofs sind mit Figuren von Elephanten, männlichen und weiblichen Figuren, und der Gestalt des Buddha bedeckt. Wahrscheinlich ist dieser Tempel dem Götte Buddha geweiht gewesen, dessen Verehrung aber die Braminen vernichteten. Daher ist auch die Sage des Volks, dass böse Geister in diesen Höhlen ihre Wohnung hätten.~~er in diesen Höhlen ihre Wohnung hätten.~~)
  • Ad99999 07 035a  + (Ausserordentlich merkwürdig sind die HöhleAusserordentlich merkwürdig sind die Höhlen von Carli. Sie liegen zwischen Bombai und Punah; es läuft hier eine Hügelkette von Osten nach Westen, aus welcher der Hügel, der diese merkwürdigen Denkmäler enthält, hervorspringt. Die Haupthöhle liegt nach Westen. Ein jäher Pfad führt hinauf, aber eingehauene Stufen erleichtern die Schritte. Der ganze Hügel ist mit Gebüsch bedeckt, das die Höhlen versteckt; endlich kommt man zu einem offnen Platze, wo der Hügel abgetragen und geebnet ist, bis man eine perpendiculäre Oberfläche von etwa 50 Fuss auf dem nackten Felsen fand. In demselben ist eine Reihe von Höhlen ausgegraben; zuerst kommt man in einen Vorhof von länglich viereckiger Gestalt, der zu dem Tempel selbst, der gewölbt ist, und von Säulen getragen wird, führt. Die beifolgende Abbildung giebt einen deutlichen Begriff von dieser wunderbaren Anlage. Einen sonderbaren Anblick geben die auf den Säulen ruhenden Elephanten. In dem Tempel selbst finden sich keine Figuren von Gottheiten, aber die Wände des Vorhofs sind mit Figuren von Elephanten, männlichen und weiblichen Figuren, und der Gestalt des Buddha bedeckt. Wahrscheinlich ist dieser Tempel dem Götte Buddha geweiht gewesen, dessen Verehrung aber die Braminen vernichteten. Daher ist auch die Sage des Volks, dass böse Geister in diesen Höhlen ihre Wohnung hätten.~~er in diesen Höhlen ihre Wohnung hätten.~~)
  • Ad00341 02 010a/fre  + (Antiquités. IV. T. II. No. 7.)
  • Ad07761 02 009a/fre  + (Antiquités IV. T. II. No. 7.)
  • Ad99999 02 009a/fre  + (Antiquités IV. T. II. No. 7.)
  • Ad99999 04 082a/fre  + (Mélanges. XLVI. Vol. IV. No. 80.)
  • Ad99998 04 082a/fre  + (Mélanges. XLVI. Vol. IV. No. 80.)
  • Ad00341 05 011a/fre  + (Mélanges LXXll. Vol. VI. No. 9.)
  • Ad99998 06 011a/fre  + (Mélanges LXXll. Vol. VI. No. 9.)
  • Ad99999 06 011a/fre  + (Mélanges LXXll. Vol. VI. No. 9.)
  • Ad99998 12 020a/fre  + (Mélanges. CCCXXXVI. Vol. XII. No. 18.)
  • Ad99999 11 094a/fre  + (Plantes. CLXXIX. Vol. XI. No. 92.)
  • Ad99998 11 094a/fre  + (Plantes. CLXXIX. Vol. XI. No. 92.)
  • Ad99999 11 024a/fre  + (Mammifères. CXVI. Vol. XI. No. 22.)
  • Ad99998 11 024a/fre  + (Mammifères. CXVI. Vol. XI. No. 22.)
  • Ad99999 04 033a/eng  + (Birds. LIII. Vol. IV. No. 31.)
  • Ad99998 04 033a/eng  + (Birds. LIII. Vol. IV. No. 31.)
  • Ad00341 07 016a/fre  + (Amphibies XXXI. Vol. VIII. No. 14.)
  • Ad99998 08 016a/fre  + (Amphibies XXXI. Vol. VIII. No. 14.)
  • Ad99999 08 016a/fre  + (Amphibies XXXI. Vol. VIII. No. 14.)
  • Ad99999 04 086a/fre  + (Poissons. XXXVII. Vol. IV. No. 84.)
  • Ad99998 04 086a/fre  + (Poissons. XXXVII. Vol. IV. No. 84.)
  • Ad99999 04 086a/ita  + (Pesci. XXXVII. Tom. IV. No. 84.)
  • Ad99998 04 086a/ita  + (Pesci. XXXVII. Tom. IV. No. 84.)
  • Ad99999 11 052a/fre  + (Mélanges. CCC. Vol. XI. No. 50.)
  • Ad99998 11 052a/fre  + (Mélanges. CCC. Vol. XI. No. 50.)
  • Ad00341 06 068a/fre  + (Mélanges CLXV. Vol. VII. No. 66.)
  • Ad99998 07 068a/fre  + (Mélanges CLXV. Vol. VII. No. 66.)
  • Ad99999 07 068a/fre  + (Mélanges CLXV. Vol. VII. No. 66.)
  • Ad99999 11 036a/fre  + (Mélanges. CCXCII. Vol. XI. No. 34.)
  • Ad99998 11 036a/fre  + (Mélanges. CCXCII. Vol. XI. No. 34.)
  • Ad99999 11 047a/fre  + (Mélanges. CCXCVIII. Vol. XI. Nro. 45.)
  • Ad99998 11 047a/fre  + (Mélanges. CCXCVIII. Vol. XI. Nro. 45.)
  • Ad00341 05 008a/eng  + (Plants CV. Vol. VI. No. 6.)
  • Ad99998 06 008a/eng  + (Plants CV. Vol. VI. No. 6.)
  • Ad99999 06 008a/eng  + (Plants CV. Vol. VI. No. 6.)
  • Ad00341 04 042a/eng  + (Insects XXXIV. Vol. V. No. 40.)
  • Ad99998 05 042a/eng  + (Insects XXXIV. Vol. V. No. 40.)
  • Ad00341 05 013a/eng  + (Insects XLVIII. Vol. VI. No. 11.)
  • Ad99998 06 013a/eng  + (Insects XLVIII. Vol. VI. No. 11.)
  • Ad99999 06 013a/eng  + (Insects XLVIII. Vol. VI. No. 11.)
  • Ad00341 04 009a/eng  + (Birds LXVII. Vol V. No. 7.)
  • Ad00341 04 083a/eng  + (BIRDS LXXIII. Vol. V. No. 81.)
  • Ad00341 04 088a/eng  + (Birds LXXIV. Vol. V. No. 86.)
  • Ad99998 05 009a/eng  + (Birds LXVII. Vol V. No. 7.)
  • Ad99998 05 083a/eng  + (BIRDS LXXIII. Vol. V. No. 81.)
  • Ad99998 05 088a/eng  + (Birds LXXIV. Vol. V. No. 86.)
  • Ad00341 04 066a/eng  + (Insects XXXVIII. Vol. V. No. 64.)
  • Ad00341 04 100a/eng  + (Insects XLVII. Vol. V. No. 98.)
  • Ad99998 05 066a/eng  + (Insects XXXVIII. Vol. V. No. 64.)
  • Ad99998 05 100a/eng  + (Insects XLVII. Vol. V. No. 98.)
  • Ad00341 04 075a/eng  + (Insects XLI. Vol. V. No. 73.)
  • Ad99998 05 075a/eng  + (Insects XLI. Vol. V. No. 73.)
  • Ad00341 05 046a/eng  + (Insects LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad99999 06 046a/eng  + (Insects LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad99998 06 046a/eng  + (Insects LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad99999 04 096a/eng  + (Amphibies. XVIII. Vol. IV. No. 94.)
  • Ad99998 04 096a/eng  + (Amphibies. XVIII. Vol. IV. No. 94.)
  • Ad00341 05 088a/fre  + (Plantes CXVI. Vol VI. No. 86.)
  • Ad99998 06 088a/fre  + (Plantes CXVI. Vol VI. No. 86.)
  • Ad99999 06 088a/fre  + (Plantes CXVI. Vol VI. No. 86.)
  • Ad00341 04 009a/fre  + (Oiseaux LXVII. Vol. V. No. 7.)
  • Ad99998 05 009a/fre  + (Oiseaux LXVII. Vol. V. No. 7.)
  • Ad00341 08 064a/fre  + (Oiseaux. CX. Vol. X. No. 62.)
  • Ad99999 10 064a/fre  + (Oiseaux. CX. Vol. X. No. 62.)
  • Ad99998 10 064a/fre  + (Oiseaux. CX. Vol. X. No. 62.)
  • Ad00341 06 094a/fre  + (Insectes LXVI. Vol. VII. No. 92.)
  • Ad99998 07 094a/fre  + (Insectes LXVI. Vol. VII. No. 92.)
  • Ad99999 07 094a/fre  + (Insectes LXVI. Vol. VII. No. 92.)
  • Ad00341 05 013a/fre  + (Insectes XLVIII. Vol. VI. No. 11.)
  • Ad99998 06 013a/fre  + (Insectes XLVIII. Vol. VI. No. 11.)
  • Ad99999 06 013a/fre  + (Insectes XLVIII. Vol. VI. No. 11.)
  • Ad00341 06 099a/fre  + (Insectes LXVII. Vol. VII. No. 97.)
  • Ad99998 07 099a/fre  + (Insectes LXVII. Vol. VII. No. 97.)
  • Ad99999 07 099a/fre  + (Insectes LXVII. Vol. VII. No. 97.)
  • Ad00341 07 063a/fre  + (Insectes. LXXV. Vol. VIII. No. 61.)
  • Ad99998 08 063a/fre  + (Insectes. LXXV. Vol. VIII. No. 61.)
  • Ad99999 08 063a/fre  + (Insectes. LXXV. Vol. VIII. No. 61.)
  • Ad00341 05 046a/fre  + (Insectes LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad99999 06 046a/fre  + (Insectes LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad99998 06 046a/fre  + (Insectes LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad99999 04 073a/fre  + (Oiseaux. LXII. Vol. IV. No. 71.)
  • Ad99998 04 073a/fre  + (Oiseaux. LXII. Vol. IV. No. 71.)
  • Ad99998 12 019a/fre  + (Poissons LXXVI. Vol. XII. No. 17.)
  • Ad00341 06 093a/fre  + (Mélanges CLXIX. Vol. VII. No. 91.)
  • Ad99998 07 093a/fre  + (Mélanges CLXIX. Vol. VII. No. 91.)
  • Ad99999 07 093a/fre  + (Mélanges CLXIX. Vol. VII. No. 91.)
  • Ad00341 06 087a/fre  + (Mélanges CLXVII. Vol. VII. No. 85.)
  • Ad99998 07 087a/fre  + (Mélanges CLXVII. Vol. VII. No. 85.)
  • Ad99999 07 087a/fre  + (Mélanges CLXVII. Vol. VII. No. 85.)
  • Ad00341 05 088a/ita  + (Piante CXVI. Tom. VI. No. 86.)
  • Ad99998 06 088a/ita  + (Piante CXVI. Tom. VI. No. 86.)
  • Ad99999 06 088a/ita  + (Piante CXVI. Tom. VI. No. 86.)
  • Ad00341 04 066a/ita  + (Insetti XXXVIII. Tom. V. No. 64.)
  • Ad99998 05 066a/ita  + (Insetti XXXVIII. Tom. V. No. 64.)
  • Ad00341 04 081a/ita  + (Insetti XLII. Tom. V. No. 79.)
  • Ad99998 05 081a/ita  + (Insetti XLII. Tom. V. No. 79.)
  • Ad00341 05 046a/ita  + (Insetti LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad99999 06 046a/ita  + (Insetti LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad99998 06 046a/ita  + (Insetti LI. Vol. VI. No. 44.)
  • Ad00341 04 075a/ita  + (Insetti XLI. Tom. V. No. 73.)
  • Ad99998 05 075a/ita  + (Insetti XLI. Tom. V. No. 73.)
  • Ad99999 04 096a/ita  + (Anfibi. XVIII. Tom. IV. No. 89. [sic])
  • Ad99998 04 096a/ita  + (Anfibi. XVIII. Tom. IV. No. 89. [sic])
  • Ad99998 09 074a/fre  + (Oiseaux. XClX. Vol IX. No. 72.)
  • Ad99999 09 074a/fre  + (Oiseaux. XClX. Vol IX. No. 72.)
  • Ad99998 12 024a/fre  + (Vers. XL. Vol. XII. No. 22.)
  • Ad00341 04 083a/ita  + (Uccelli LXXIII. Tom. V. No. 81.)
  • Ad00341 04 088a/ita  + (Uccelli LXXIV. Tom V. No. 86.)
  • Ad99998 05 083a/ita  + (Uccelli LXXIII. Tom. V. No. 81.)
  • Ad99998 05 088a/ita  + (Uccelli LXXIV. Tom V. No. 86.)
  • Ad99999 11 037a/fre  + (Mélanges. CCXCIII. Vol. XI. Nr. 35.)
  • Ad99998 11 037a/fre  + (Mélanges. CCXCIII. Vol. XI. Nr. 35.)
  • Ad00341 01 028a/fre  + (Quadrupèdes VII. T. I. No. 26.)
  • Ad99999 01 028a/fre  + (Quadrupèdes VII. T. I. No. 26.)
  • Ad00341 04 018a/fre  + (Quadrupèdes. LXXII. Vol. V. No. 16.)
  • Ad99998 05 018a/fre  + (Quadrupèdes. LXXII. Vol. V. No. 16.)
  • Ad00341 02 020a/fre  + (Quatrupèdes. XXVIII. Vol. II. N. 17.)
  • Ad99999 02 019a/fre  + (Quatrupèdes XXVIII. Vol. II. N. 17.)
  • Ad99999 02 016a/fre  + (Quatrupèdes XXVII. Vol. II. N. 14.)
  • Ad07761 02 016a/fre  + (Quatrupèdes XXVII. Vol. II. N. 14.)
  • Ad07761 02 019a/fre  + (Quatrupèdes XXVIII. Vol. II. N. 17.)
  • Ad99998 02 019a/fre  + (Quatrupèdes XXVIII. Vol. II. N. 17.)
  • Ad99998 02 016a/fre  + (Quatrupèdes XXVII. Vol. II. N. 14.)
  • Ad00341 02 017a/fre  + (Quadrupèdes. XXVII. Vol. II. N. 14.)
  • Ad00341 07 051a/fre  + (Plantes. CXLIV. Vol. VIII. No. 49.)
  • Ad99998 08 051a/fre  + (Plantes. CXLIV. Vol. VIII. No. 49.)
  • Ad99999 08 051a/fre  + (Plantes. CXLIV. Vol. VIII. No. 49.)
  • Ad00341 07 058a/fre  + (Plantes. CXLV. Vol. VIII. No. 56.)
  • Ad99998 08 058a/fre  + (Plantes. CXLV. Vol. VIII. No. 56.)
  • Ad99999 08 058a/fre  + (Plantes. CXLV. Vol. VIII. No. 56.)
  • Ad99999 02 028a/fre  + (Quadrupèdes XXXII. Vol. II. No. 26.)
  • Ad99999 02 029a/fre  + (Quadupèdes, XXXIII. Vol. II No. 27.)
  • Ad07761 02 028a/fre  + (Quadrupèdes XXXII. Vol. II. No. 26.)
  • Ad07761 02 029a/fre  + (Quadupèdes, XXXIII. Vol. II No. 27.)
  • Ad99998 02 029a/fre  + (Quadupèdes, XXXIII. Vol. II No. 27.)
  • Ad99998 02 028a/fre  + (Quadrupèdes XXXII. Vol. II. No. 26.)
  • Ad00341 02 029a/fre  + (Quadrupèdes XXXII. Vol. II. No. 26.)
  • Ad00341 02 030a/fre  + (Quadupèdes XXXIII. Vol. II. No. 27.)
  • Ad99999 04 048a/fre  + (Oiseaux. LVII. Vol. IV. No. 46.)
  • Ad99998 04 048a/fre  + (Oiseaux. LVII. Vol. IV. No. 46.)
  • Ad00341 04 012a/eng  + (Miscellanies XLVIII. Vol. V. NO. 10.)
  • Ad99998 05 012a/eng  + (Miscellanies XLVIII. Vol. V. NO. 10.)
  • Ad99999 04 030a/eng  + (Insects XXIII. Vol. IV. No. 28.)
  • Ad99998 04 030a/eng  + (Insects XXIII. Vol. IV. No. 28.)
  • Ad00341 04 054a/eng  + (Insects XXXV. Vol. V. No. 52.)
  • Ad99999 04 074a/eng  + (Insects. XXIX. Vol. IV. No. 72.)
  • Ad99999 04 079a/eng  + (Insects. XXX. Vol. IV. No. 77.)
  • Ad99998 04 074a/eng  + (Insects. XXIX. Vol. IV. No. 72.)
  • Ad99998 04 079a/eng  + (Insects. XXX. Vol. IV. No. 77.)
  • Ad99999 04 029a/eng  + (Insects XXII. Vol. IV. No. 27.)
  • Ad99999 04 031a/eng  + (Insects XXIV. Vol. IV. No. 29.)
  • Ad99998 04 029a/eng  + (Insects XXII. Vol. IV. No. 27.)
  • Ad99998 04 031a/eng  + (Insects XXIV. Vol. IV. No. 29.)
  • Ad99999 04 069a/eng  + (Antiquities. XII. Vol. IV. No. 67.)
  • Ad99998 04 069a/eng  + (Antiquities. XII. Vol. IV. No. 67.)
  • Ad99999 11 021a  + (Bauchpilze. (Gasteromyci.)~~Bei diesen PilBauchpilze. (Gasteromyci.)~~Bei diesen Pilzen, welche zu der zweiten Ordnung der Pilze gehören, bildet sich eine häutige Blase aus einer schleimigen Masse, welche schnell gerinnt; der Inhalt dieser Blase oder Hülle (Peridium) besteht aus Körnern (Sporuln) mit oder ohne Fäden. Man unterscheidet Luftbauchpilze, welche sich über, und Erdbauchpilze, welche sich unter der Erde entwickeln.~~Fig. 1. Der Nachtstäubling. (Licea strobilina.)~~Dieser Pilz besteht aus einer eiförmigen oder runden, glatten, braunen Hülle (Peridium), in welcher schwefelgelbe Körner enthalten sind, und wächst auf der innern Seite faulender Tannenzapfen von Pinus Abies und picea. a. natürliche Grösse; b. vergrössert.~~Fig. 2. Der Hufpilz; Hufstäubling. (Onygena equina.)~~An verwitterten Pferdehufen und Hufeisen, auch zwischen beiden. a. zeigt die vergrösserten Körner; b. den vergrösserten Pilz; c. derselbe im Durchschnitt.~~Fig. 3. Der Becherstäubling. (Craterium vulgare.)~~Hat eine braune Hülle mit einem weissen Deckel. Der ganze Pilz ist kaum 1/2 Linie hoch und hat einen hochgelben Stiel. a. natürliche Grösse; b. vergrössert.~~Fig. 4. Der Schnellpilz. (Sphaerobolus stellatus.)~~Hat die Gestalt einer festsitzenden Kugel und eine doppelte Hülle, ist blassgelb, in's Braune fallend, und wächst auf faulem Holze. a. zeigt die natürliche Grösse; b. den vergrösserten; c. den von der Seite geöffneten Pilz.~~Fig. 5. Die Hirschbrunst. (Scleroderma cervinum.)~~Von der Grösse einer kleinen Castanie, anfangs weich, späterhin steinhart, findet sich unter der Erde, in Wäldern. a-b. natürliche Grösse; c. aufgeschnitten.~~Fig. 6. Der Riesenbovist. (Bovista gigantea.)~~Ist blendend weiss, glatt, leicht, straff gespannt, wird später gelblich, oft zwei Fuss im Durchmesser, grünlich und platzt in Lappen auf, wobei innen ein faseriges, wolliges Gewebe erscheint, welches zu Stillung der Blutungen gebraucht wird. Er findet sich im Spätsommer oft auf Getreidefeldern oder auch auf Grasplätzen in hohen Gegenden.~~Fig. 7. Der gemeine Bovist. (Lycoperdon Bovista.)~~Ist rund, bauchig, zuweilen nach unten gedehnt und faltig, jung blendend weiss, im Alter bleigrau, die Körner sind rund. Im Alter zerplatzt er und wird dann, gehörig zubereitet, zu Feuerschwamm benutzt. a. zeigt ihn jung; d. älter; b. zerplatzt, alt, c. einzelne Körner in den Fäden.~~Fig. 8. Der Wiesenbovist. (Lycoperdon pratense.)~~Ein weicher, weisser, breiter, flachconvexer Pilz mit einem ganz kurzen Stiel. Er findet sich im Sommer nach dem Regen, auf grasreichen Hügeln, fast zur Hälfte in die Erde gesenkt.~~Fig. 9a. Der gefässförmige Bovist. (Lycoperdon excipuliforme.)~~Ist weiss, gross, von verschiedener Gestalt; sein Peridium mit spitzigen Warzen besetzt. Im Spätherbst, in Fichtenwäldern. b. aufgeschnitten.~~Fig. 10. Der stachliche Bovist. (Lycoperdon echinatum.)~~Ist kreisförmig, blassbraun, mit stachlichen Warzen besetzt und hat unten lange, weisse Wurzeln. Findet sich einsam in Buchenwäldern.~~ln. Findet sich einsam in Buchenwäldern.~~)
  • Ad99998 11 021a  + (Bauchpilze. (Gasteromyci.)~~Bei diesen PilBauchpilze. (Gasteromyci.)~~Bei diesen Pilzen, welche zu der zweiten Ordnung der Pilze gehören, bildet sich eine häutige Blase aus einer schleimigen Masse, welche schnell gerinnt; der Inhalt dieser Blase oder Hülle (Peridium) besteht aus Körnern (Sporuln) mit oder ohne Fäden. Man unterscheidet Luftbauchpilze, welche sich über, und Erdbauchpilze, welche sich unter der Erde entwickeln.~~Fig. 1. Der Nachtstäubling. (Licea strobilina.)~~Dieser Pilz besteht aus einer eiförmigen oder runden, glatten, braunen Hülle (Peridium), in welcher schwefelgelbe Körner enthalten sind, und wächst auf der innern Seite faulender Tannenzapfen von Pinus Abies und picea. a. natürliche Grösse; b. vergrössert.~~Fig. 2. Der Hufpilz; Hufstäubling. (Onygena equina.)~~An verwitterten Pferdehufen und Hufeisen, auch zwischen beiden. a. zeigt die vergrösserten Körner; b. den vergrösserten Pilz; c. derselbe im Durchschnitt.~~Fig. 3. Der Becherstäubling. (Craterium vulgare.)~~Hat eine braune Hülle mit einem weissen Deckel. Der ganze Pilz ist kaum 1/2 Linie hoch und hat einen hochgelben Stiel. a. natürliche Grösse; b. vergrössert.~~Fig. 4. Der Schnellpilz. (Sphaerobolus stellatus.)~~Hat die Gestalt einer festsitzenden Kugel und eine doppelte Hülle, ist blassgelb, in's Braune fallend, und wächst auf faulem Holze. a. zeigt die natürliche Grösse; b. den vergrösserten; c. den von der Seite geöffneten Pilz.~~Fig. 5. Die Hirschbrunst. (Scleroderma cervinum.)~~Von der Grösse einer kleinen Castanie, anfangs weich, späterhin steinhart, findet sich unter der Erde, in Wäldern. a-b. natürliche Grösse; c. aufgeschnitten.~~Fig. 6. Der Riesenbovist. (Bovista gigantea.)~~Ist blendend weiss, glatt, leicht, straff gespannt, wird später gelblich, oft zwei Fuss im Durchmesser, grünlich und platzt in Lappen auf, wobei innen ein faseriges, wolliges Gewebe erscheint, welches zu Stillung der Blutungen gebraucht wird. Er findet sich im Spätsommer oft auf Getreidefeldern oder auch auf Grasplätzen in hohen Gegenden.~~Fig. 7. Der gemeine Bovist. (Lycoperdon Bovista.)~~Ist rund, bauchig, zuweilen nach unten gedehnt und faltig, jung blendend weiss, im Alter bleigrau, die Körner sind rund. Im Alter zerplatzt er und wird dann, gehörig zubereitet, zu Feuerschwamm benutzt. a. zeigt ihn jung; d. älter; b. zerplatzt, alt, c. einzelne Körner in den Fäden.~~Fig. 8. Der Wiesenbovist. (Lycoperdon pratense.)~~Ein weicher, weisser, breiter, flachconvexer Pilz mit einem ganz kurzen Stiel. Er findet sich im Sommer nach dem Regen, auf grasreichen Hügeln, fast zur Hälfte in die Erde gesenkt.~~Fig. 9a. Der gefässförmige Bovist. (Lycoperdon excipuliforme.)~~Ist weiss, gross, von verschiedener Gestalt; sein Peridium mit spitzigen Warzen besetzt. Im Spätherbst, in Fichtenwäldern. b. aufgeschnitten.~~Fig. 10. Der stachliche Bovist. (Lycoperdon echinatum.)~~Ist kreisförmig, blassbraun, mit stachlichen Warzen besetzt und hat unten lange, weisse Wurzeln. Findet sich einsam in Buchenwäldern.~~ln. Findet sich einsam in Buchenwäldern.~~)
  • Ad99999 11 015a/fre  + (Insectes. XCVIII. Vol. XI. No. 13.)
  • Ad99998 11 015a/fre  + (Insectes. XCVIII. Vol. XI. No. 13.)
  • Ad99998 12 028a/fre  + (Oiseaux. CXXXIII. Vol. XII. No. 26.)
  • Ad99998 12 063a/fre  + (Oiseaux. CXXXIX. Vol. XII. No. 61.)
  • Ad99998 12 059a/fre  + (Oiseaux. LXXXVIII. Vol. XII. No. 57.)
  • Ad99998 12 033a/fre  + (Oiseaux. CXXXIV. Vol. XII. No. 31.)
  • Ad99998 12 034a/fre  + (Poissons. LXXVIII. Vol. XII. Nr[sic.]o. 32.)
  • Ad99998 12 029a/fre  + (Poissons. LXXVII. Vol. XII. No. 27.)