Semantische Suche

Wechseln zu: Navigation, Suche
 BeschreibungstextHeftDatei
Ad00341 06 035aAusserordentlich merkwürdig sind die Höhlen von Carli. Sie liegen zwischen Bombai und Punah; es läuft hier eine Hügelkette von Osten nach Westen, aus welcher der Hügel, der diese merkwürdigen Denkmäler enthält, hervorspringt. Die Haupthöhle liegt nach Westen. Ein jäher Pfad führt hinauf, aber eingehauene Stufen erleichtern die Schritte. Der ganze Hügel ist mit Gebüsch bedeckt, das die Höhlen versteckt; endlich kommt man zu einem offnen Platze, wo der Hügel abgetragen und geebnet ist, bis man eine perpendiculäre Oberfläche von etwa 50 Fuss auf dem nackten Felsen fand. In demselben ist eine Reihe von Höhlen ausgegraben; zuerst kommt man in einen Vorhof von länglich viereckiger Gestalt, der zu dem Tempel selbst, der gewölbt ist, und von Säulen getragen wird, führt. Die beifolgende Abbildung giebt einen deutlichen Begriff von dieser wunderbaren Anlage. Einen sonderbaren Anblick geben die auf den Säulen ruhenden Elephanten. In dem Tempel selbst finden sich keine Figuren von Gottheiten, aber die Wände des Vorhofs sind mit Figuren von Elephanten, männlichen und weiblichen Figuren, und der Gestalt des Buddha bedeckt. Wahrscheinlich ist dieser Tempel dem Götte Buddha geweiht gewesen, dessen Verehrung aber die Braminen vernichteten. Daher ist auch die Sage des Volks, dass böse Geister in diesen Höhlen ihre Wohnung hätten.~~127
Ad00341 06 035a/freMélanges. CXLVIII. Vol. VII. No. 33.
LES CAVERNES DE CARLI DANS LES INDES.
Ces Cavernes de Carli, situées entre Bombai et Punah sont extrêmement remarquables. C'est d'une chaîne de collines, laquelle se prolonge de l'orient à l'occident, que s'élève la colline, qui renferme ses monumens. La caverne principale est à l'ouest. On y parvient par un sentier escarpé, mais des marches qui y sont pratiquées en facilitent l'approche. Toute la colline est couverte de broussailles qui cachent les cavernes ; enfin on parvient à une place ouverte, où la colline a été abaissée et nivelée et l'on trouve une surface perpendiculaire d'environ 50 pieds sur le rocher, dans lequel ont été creusées plusieurs cavernes. • On commence par arriver dans une espèce d'avant-cour quadrangulaire, qui conduit au temple, qui est voûté et soutenu par des colonnes. La planche ci jointe donne une idée claire de cet édifice. Les éléphants qui réposent sur les colonnes font un effet particulier. Le dedans du temple n'est pas äoonvo n'imagoo clc clivisait60 , mais les parois de l'avant-cour sont,ornées de figures d'éléphants, de figures mâles et femelles et couvertes d'images de Buddha. ' Il est vraisemblable que ce temple a été consacré à ce dieu, dont les bramines ont détruit le culte; c'est pour cela que le peuple pense que ces cavernes servent de demeure aux esprits malfaisans.
Ad00341 06 036aDiese Tafel giebt uns die Vorstellung eines grossen Gastmahls bei den Abyssiniern, welches Volk wir bereits bei No. 31. kennen lernten. Dieses Gastmahl gab der Ras von Tigré (der Statthalter einer beträchtlichen Provinz) bei Gelegenheit einer grossen Musterung am 26. Septbr. 1805. Der Ort des Festes ist der grosse Audienzsaal des Ras, wo derselbe oben an der Tafel auf einem verzierten Polster seinen Sitz hat. Die übrigen Gäste sitzen mit untergeschlagenen Beinen umher; doch waren deren so viel, dass sie nicht alle sitzen konnten, und umherstehend assen. Die Speisen bestanden aus Teftkuchen von drittehalb Fuss im Durchmesser, welche über einander geschichtet waren. Sie werden aus dem Teft (Boa abyssiniensis), einer abyssinischen Kornart, bereitet. Die Schüsseln in der Mitte des Tisches enthalten ein Ragout von Hühnern, Hammelfleisch, Ghi (eine Art Oel) und geronnener Milch. Sclavinnen tauchen die Teft-Brode in die Schüsseln mit den Speisen, und reichen sie dann den Gästen hin. Doch ein Hauptleckerbissen bei den abyssinischen Gastmählern ist rohes Fleisch, welches so frisch als möglich genossen wird. Zu diesem Behufe sehen wir auch hier in dem Platze vor dem Saal ein Thier schlachten. Die Gäste erhalten das rohe Fleisch am Ende des Gastmahls, und schneiden die grossen Stücke mit ihren krummen Messern sehr geschickt in dünne Scheiben. Zu dieser Lieblingsspeise trinkt man Maisi, eine Art Meth, aus Honig, Wasser, etwas gerösteter Gerste und der Wurzel Taddo bereitet.~~Der Abyssinier mit dem Kreuze muss wegen eines religiösen Gelübdes fasten. Der Mann mit dem langen Stabe ist der Ceremonienmeister. Unter dem Tische sitzt ein Knabe, dem man erlaubt hat, die Brodsamen aufzusammeln.~~127
Ad00341 06 036a/freMélanges CXLIX. Vol. VII. No. 34.
GRAND FESTIN DONNÉ PAR LE RAS DE TIGRÉ EN ABYSSINIE.
Cette planche nous représente un grand festin chez les Abyssiniens, peuple dont nous avons déjà parlé au 31." Numéro. Ce festin fut donné le 26. Septembre 1805 par le Ras de Tigré, (Gouverneur d'une grande province),-à l'occasion d'une grande revue. Le festin a lieu dans la salle d'audience du Ras, où il est assis au haut de la table sur un carreau décoré. Les autres convives sont assis autour de la tahle les jambes croisées, mais il y en avait un si grand nombre que plusieurs furent obligés de manger debout. Ils avaient pour mets des gâteaux de teft, de deux pieds et demi de diamètre, placés par couches les uns sur les autres. Ils étaient faits de Teft (Boa ayssiniensis), espèce de blé d'Aby'ssinie.. Les plats du milieu contiennent un ragoût de poulets, du mouton, du Ghi, (espèce d'huile) et du lait caillé. Des femmes esclaves trempent les gâteaux de Teft dans les plats où sont les mets, et les présentent alors aux convives. Mais la plus grande friandise des Abyssiniens, c'est de la viande crue qu'ils mangent aussi fraiche que possible. Aussi voyons-nous tuer devant la salle un animal. ' Cette viande crue se distribue à la fin du repas, et les convives coupent très- adroitement par petites tranches avec leurs couteaux courbés en serpe les plus grands morceaux. On boit avec ce mets favori du Maisi, espèce d'hyiromel préparé avec du miel, de l'eau, de-l'orge un peu grillé et la. racine de Taddo. L'Abyssinien orné de la croix doit jeûner à cause d'un voeu religieux. L'homme au long bâton est le maître de cérémonies. Sous la table est un garçon, qui a eu la permission de ramasser les miettes de pain.
Ad00341 06 037aWir lernen hier nach den Abbildungen, welche die wichtige Reise des Lords Valentia begleiten, mehrere Küsten-Bewohner des rothen Meeres kennen, von denen wir bisher keine Darstellungen besassen.~~Fig. 1. Ein Samalie.~~Die Samalies sind ein afrikanischer Volksstamm, welcher den südlichen Theil der Westküste des rothen Meeres vom Cap Guardafui an bewohnt, und vorzüglich Handel mit den Producten des Landes nach arabischen Handelsplätzen treibt. Ob sie gleich schwarzes wolliges Haar und dunkle Haut haben, so gleichen sie doch übrigens in der Gesichtsbildung nicht den Negern, sondern haben einen gefälligeren Aurdruck. - Sie sind Muhammedaner.~~Fig. 2. Ein junger vornehmer Araber.~~Dieses ist das Portrait des Sohnes vom Dola oder Statthalter von Musa, einer kleinen Stadt im glücklichen Arabien. Die Araber haben in der Jugend eine ausdrucksvolle, aber sanfte Miene, welche sich jedoch im späteren Alter unvorteilhaft ändert. Die Araber sind theils Nomaden (d. h. einem herumziehenden Hirten-Leben ergeben), theils wohnen sie in Städten. Die Kleidung besteht aus einem Turban und weiten flatternden Kleidern, welche bei den Vornehmen aus seidnen indischen Zeuchen gefertigt wird.~~Fig. 3. Ein Suakin.~~Die Suakins (nach einer kleinen Insel so genannt) sind Beduinen-Araber, welche sich auf der afrikanischen Küste des rothen Meeres ausgebreitet haben, und einen mächtigen Stamm ausmachen. Sie sind schön vom Körperbau, und von guter Gesichtsbildung. Ihre Haut ist dunkel kupferfarbig; das gekräuselte Haar schmieren sie mit Fett ein, pudern es roth, und stecken oben durch den Busch, um den sie einen Theil der Haare wegscheeren, einen hölzernen Stock. - Der Mann, dessen getreue Gesichtsbildung wir hier geben, war 6 Fuss hoch.~~127
Ad00341 06 037a/freMélanges CL. Vol. VII. No 35.
HABITANS DES DEUX COTES DE LA MER ROUGE.
C'est aux représentations qui sont jointes au voyage important du Lord Valentia, que nous devons la connaissance de plusieurs habitans des côtes de la nier rouge, dont nous n'avions pas jusqu'ici le costume et les usages figurés .
Fig. 1. Un Samalien.
Les Samaliens sont un peuple africain, qui habite la partie méridionale de la côte occidentale de la mer rouge, depuis le cap de Guardafui, et qui fait un grand commerce des productions du pays avec les Arabes/ Quoiqu'ils aient les cheveux laineux et noirs et la peau basanée, ils ne ressemblent pourtant pas pour la forme de la figure aux autres nègres, ils ont quelque chose de prévenant dans la figure. — Ils professent la religion mahométane.
Fig. 2. Un jeune seigneur arabe.
Voilà le portrait du fils du Dola ou gouverneur de Mousa, petite ville de l'Arabie heureuse. Les Arabes ont dans leur jeune âge l'air expressif quoique doux,, mais qui dans l'âge viril change à leur désavantage. Les Arabes sont ou Nomades, c'est- à- dire mènent comme pasteurs une vie errante, ou vivent dans des villes. Leur vêtement consiste en un turban et une longue robe flottante, qui est de soierie indienne pour les personnes de condition.
Fig. 3. Un Arabe Suakin.
Les Suakîns, ainsi nommés d'après une petite île, sont des Arabes bédouins, qui se sont répandus sur la côte africaine de la mer rouge, et forment un peuple puissant. Ils sont bien faits et d'une figure régulière. lié ont la peau couleur de cuivre ; ils graissent. leurs cheveux avec du suif, se servent d'une poudre rouge, et passent un morceau de bois au milieu de la touffe, autour de laquelle ils rasent une partie des cheveux. L'homme, dont nous avons ici figuré fidèlement les traits du visage, avait 6 pieds.
Ad00341 06 038aDie Gewohnheit des Tatowirens, oder das Einstechen beliebiger Figuren in die Oberhaut des Körpers, um solchen, gleich wie mit einem modischen Putze dadurch zu zieren, findet sich schon unter mehreren Völkern des Alterthums. Am vollkommensten treiben aber diese Kunst die Bewohner der Marquesas- oder Washingtons-Inseln in der Südsee, namentlich die Nukahiwah-Insulaner, wie es uns die neueste russische Weltumseglung unter dem Capitän v. Krusenstern berichtet. Dort in Nukahiwah giebt es eigentliche Künstler, welche sich mit dem Tatowiren beschäftigen, und jeden Theil des Körpers mit regelmässigen und malerisch schönen Verzierungen zu bedecken wissen. Die Operation geschieht mit einem kammartigen Instrumente, aus den Knochen der Tropik-Vögel gebildet, womit die Figuren durch feine Stiche in die Haut gegraben werden. Hierauf wird das Ganze mit einer schwarzen Farbe aus Kokoskernen eingerieben, und vergeht nun nie wieder. Bei den Männern wird der ganze Körper, wie wir an dem Brustbilde eines Kriegers (Fig. 1.) sehen, - bei den Frauen werden aber bloss die Hände tatowirt. So sehen wir bei Fig. 2. als vollkommenes Muster dieser Art die Abbildung der Hand der Königin Katanuäh von Nukahiwah, die wie mit einem kunstvollen Handschuh bedeckt zu seyn scheint.~~Je vornehmer der Mann, desto mehr ist er punctirt. So sind der König und die Prinzen über den ganzen Körper tatowirt, sogar die Augenlieder nicht ausgenommen.~~Im zwölften oder dreizehnten Jahre wird bei den Knaben mit dem Tatowiren der Hauptverzierungen angefangen. Von Jahr zu Jahr werden dann einige der Nebenverzierungen hinzugefügt, so dass erst im 30. oder 35. Jahre der ganze Hautschmuck vollendet ist. -~~128
Ad00341 06 038a/freMélanges. CLI. Vol. VII. No. 36.
ART DU TATOUAGE DES INSULAIRES DE NUKAHIWAH.
Il y a eu, parmi les ancien«; plusieurs peuples noyaux de Coco, et cela ne passe jamais. Les qui ont eu l'habitude de tatouer, ou de bario- hommes se font tatouer tout le corps, comme 1er le corps avec diverses figures, imprégnées nous le représente le buste ci-joint d'un guerdans la peau, qui devaient leur servir d'orne-, rier, fig. I. Mais quant aux femmes, on ne ment, et qui étaient de mode. Mais ceux leur tatoue que la main; La Fig. . 2. nous offre qui excellent dans cet art, ce sont les habi- un modèle parfait de ce genre dans la reprétans des îles de Marquesas ou de Washinglon sentation de la main de la reine Katanuäh. dans la mer du sud, et nommément les insu- de Nukahiwah, laquelle semble être recoulaires de Nukahiwah, comme nous l'apprend verte du gant le plus artistement travaillé. le capitaine de Krusenstern dans lé rapport _., , ,..,,-, , qu'-i l à f a i t d e s o n v o y a g e a u t o u r d u m o n d e .
P.,lu,.s. la c o .n d it i o n .d, un homme est élevée, I^l v a d a n s c e t t e î l e d e s a r t i s t e s , o u i e n f o n t ,p lu .s i l a '. d e l i g u r e s s u r l e . c,-o.-r'ps. Aussi le roi leuJr s e u l e o c c u p a t io n , e t q u i s o n t p a r v e n u .s à e t l e s p r i n c e s e, n o n t - i l s . , sur-tout le corps " sans en excepter les sourcils.
empreindre sur chaque partie du corps des figures régulières et extrêmement jolies. C'est On commence les ornemens principaux avec un instrument en forme de peigne, et quand les garçons ont atteint leur 12. ou 13. fait avec les os des oiseaux du tropique, que année, et tous les ans on ajoute quelques orl'on empreint les figures en faisant de petites nemens accessoires, de sorte que la parure piqûres dans l'épidémie. . Le tout ensuite est de la peau n'est achevée et parfaite que dans induit d'une couleur noire, frotté avec des leur 30. à 35 année.
Ad00341 06 039a(Psophia crepitans. s. ventriloqua. L.)~~Dieser merkwürdige Vogel, welcher in den warmen und wasserreichen Ländern von Süd-Amerika, so wie auf den Caraibischen Inseln lebt, verdient in dreifacher Hinsicht unsere Aufmerksamkeit. - Einmal, weil er ein Mittelglied bildet zwischen den Sumpfvögeln und den hühnerartigen Vögeln, da er sowohl am Wasser, als fern von demselben lebt, sowohl Körner, als kleine Fische frisst; sodann weil er leicht zahm wird, und fast unter allen Vögeln am meisten die Menschen und ihre Gesellschaft zu lieben scheint, und seinem Herrn überall nachfolgt wie ein Hund. Endlich ist er unter den Vögeln der stärkste Bauchredner. Ausser seiner gewöhnlichen Stimme, welche den grellen Tönen des Truthahns gleicht, pflegt er oft, ohne den Schnabel zu öffnen, bloss durch Brust- und Bauchbewegungen dumpfe innere Töne hören zu lassen, die wie ein vielmal wiederholtes Tou, Tou, Tou, lauten. Davon hat er auch den Namen Trompetenvogel erhalten.~~Der Körper dieses Vogels ist zwar nicht grösser, als der eines Haushuhns, allein die sehr langen Beine und der lange Hals geben ihm ein gestreckteres Ansehen. Der grösste Theil der Federn des Körpers ist schwarz; aber die Hals- und Brustfedern sind glänzend grün, blau und violet, wie man es öfters an den Tauben bemerkt. Die Rückenfedern sind sehr lang und fein und hängen über die Flügel her; an den Schultern rostfarbig, und weiter nach hinten licht aschgrau. Der Schwanz ist kurz und schwarz. Der Trompetenvogel läuft sehr schnell, doch fliegt er selten, und nicht weit. Seine Eier, deren das Weibchen jährlich dreimal 10 bis 16 Stück legt, sind grösser als Hühnereier, und von Farbe blaugrün.~~128
Ad00341 06 039a/freOiseaux LXXXII. Vol. VII. No. 37.
L'AGAMI OU L'OISEAU TROMPETTE D'AMÉRIQUE. (Psophia crepitans. s. ventriloqua.)
Oet oiseau qui se trouve dans les contrées chaudes et marécageuses de l'Amérique méridionale, ainsi que dans les îles caraïbes, mérite à trois égards notre attention. D'abord parcequ'il forme un genre intermédiaire entre les oiseaux de rivage et les gallinacés, puis qu'il vit indistinctement dans l'eau et Hors de l'eau et qu'il se juuuxrît de Wé et de iiuiaäuui en second lieu, parcequ'il s'apprivoise facilement, et que de tous les oiseaux il est celui qui paraît le plus aimer les hommes et se plaire auprès d'eux, et qu'il suit partout son maître comme le chien le plus fidèle. Enfin de tous les oiseaux il est le plus fort ventriloque. Outre son cri ordinaire, semblable au cri du din-' don, il fait entendre souvent, sans ouvrir le hec, et par les seuls mouvemens du ventre et du jabot, les sons intérieurs et sourds de tou, tou, tou, plusieurs fois répétés. C'est ce qui lui a fait donner le nom a'oiseau trompette. Il est aussi gros que la poule ordinaire,•• mais la hauteur de ses jambes et la longueur de son cou le font paraître beaucoup plus effilé. Les plumes du corps sont pour la plupart noires , mais celles du cou et de la poitri-y ne oon* a'ni» «eu luisant, bleues et violettes, telles que les pigeons en ont souvent. Les plûmes du dos sont longues et fines et tombent sur les ailes; celles du milieu du dos sont rouges , et plus bas d'un cendré clair. . La queue est courte et noire. Cet oiseau est très- rapide à la course, mais il vole rarement, encore ne vole-t-il pas loin. La femelle fait par an trois pontes de 10 â 16 oeufs qui sont beaucoup plus gros que ceux des poules et d'un vert nuançant le bleu.
Ad00341 06 040aFig. 1. Der Caciken-Metallkäfer. (Cetonia Cacicus. Fabric.)~~Dieser schöne Metallkäfer ist in Süd-Amerika einheimisch; das Kopfschild ist in zwei seitwärts und rückwärts gekrümmte breite, schaufelförmige Hörner getheilt. -Kopf und Schulterschild haben eine rothgelbe Grundfarbe, auf welcher sich die schwarzen Längsstreifen stark auszeichnen. Die Flügeldecken haben eine weisse, in das Bläuliche spielende Grundfarbe; die Ränder derselben sind schwarz.~~Fig. 2. Der Herkules-Scharrkäfer. (Scarabacus Hercules. L.)~~Diese Abbildung des Herkuleskäfers zeichnet sich von der frühern (Bilderb. Bd. I. No. 40) sehr merkwürdig durch oliven- oder gelbgrüne Flügeldecken aus; eine Spiel-Art der Farbe, die sehr wahrscheinlich durch Verschiedenheit des Futters entspringt, mit welchem die Larve des Käfers sich nährte. Es giebt daher Käfer mit olivengrünen und meergrünen Flügeldecken.~~Fig. 3. Der Goliath-Metallkäfer. (Cetonia Goliath. Fabric.)~~Dieser grosse Metallkäfer hier in natürlicher Grösse vorgestellt, ist in Sierra Leona in Afrika einheimisch; das Kopfschild zeichnet sich, wie bei Fig. 1, durch vier hornartige Auswüchse aus, von welchen zwei vorn am Kopfe, und zwei kürzere weiter zurück, nach den Augen hin sich befinden. Das grosse, dunkel pechbraune Schulterschild hat stark abstechende, schmutzig röthiich- weisse Ränder, und eben dergleichen zackige Längsstreifen. Die Flügeldecken sind, wie wir sehen, braun, an der Grundfläche aber schmuzig weiss, stark in das Gelbe fallend gefärbt. Der hier nicht wahrzunehmende Unterleib ist dunkelgrün.~~128
Ad00341 06 040a/freInsectes. LVIII. Vol. VII. No. 38.
SCARABÉS ÉTRANGERS TRÈS-RARES.
Fig. 1. La Cetoine Cacique. (Cetonia Cacicus. Fabric.)
Ce joli Scarabé est indigène à l'Amérique méridionale. Sa tête est ornée, à sa partie antérieure, de deux cornes larges, divergentes et recourbées en dehors. La tête et le corselet sont d'un jaune rougeâtre avec des raies longitudinales, qui contrastent parfaitement avec la couleur principale. Les élytres sont d'une couleur blanche, nuancée de bleu, et les bords sont noirs.
Fig. 2. Le Scarabé Hercule. (Scarabaeus Hercules. L.)
Ce Scarabé se distingue avantageusement de celui dont nous avons parlé, Portef. d'Enf. Vol. I. No. 40.) par la couleur olive ou glauque de ses élytres, variété, qui provient vraiseoeblablement de la diverse nourriture qu'a prise la larve. D'après cela il y a des Scarabés, dorit les élytres sont couleur olive, et d'autres vert de mer.
Fig. 3. La Cetoine Goliath. (Cetonia Goliath. Fabric.)
Cette grosse Cétoine, qui est ici figurée dans sa grandeur naturelle, se trouve à SierraLéon en Afrique. Sa tête est armée de quatre cornes, comme à la 1. figure, dont deux se trouvent à la partie antérieure, et deux plus courtes sont placées au- dessous des yeux. Le corselet est d'un brun noirâtre, avec les bords latéraux et les raies longitudinales dentelées d'un blanc Sale. Les élytres sont, comnie nous le voyons ici, brunes avec un peu de blanc à leur base, tirant sur le jaune. Le ventre est d'un vert foncé.
Ad00341 06 041aAllgemein bekannt ist diese wohlschmeckende und saftige Frucht, deren Genuss in den heissen Sommer-Monaten eine so angenehme Erfrischung gewährt. Die Melone (Cucumis Melo L.) ist aus südlichern Gegenden zu uns nach Teutschland gebracht worden, und muss wegen ihrer zärtlichen Natur auch unter den Glasfenstern der Mistbeete gezogen werden. Ihr eigentliches Vaterland soll die Kalmuckey seyn; auf alle Fälle stammt sie aus Asien ab, von wo sie sich nach Italien, und in fast alle übrigen Theile von Europa verbreitete. Die schmackhaftesten findet man auf den griechischen Inseln und auf Malta. Die Melone ist eine einjährige Pflanze, welche zum Gurkengeschlechte gehört. Sie hat rauhhaarige, auf der Erde fortrankende Stängel, an denen die Blätter sitzen, welche kleiner und weniger zugespitzt, als die der gemeinen Gurke sind. An den Blattwinkeln kommen die gelben Blüten zum Vorschein, welche fünfmal getheilte Blumenkronen haben. Die Früchte sind nach den Arten, welche die Kunst der Gärtnerei nach und nach hervorgebracht hat, verschieden. Sie sind länglich oder auch beinahe rund von Form, und entweder von glatter, rauher oder gerippter Oberfläche. Unter der ziemlich dicken Rinde liegt ein weissliches, grünes oder gelbes Fleisch, meistens von angenehmem Geruche und Geschmack. In der Mitte der Frucht liegen in dem wässerigen, aber gut schmeckenden Mark die Kerne vertheilt, welche als Saamen zur Hervorbringung neuer Pflanzen dienen, und auch in den Apotheken als ein kühlendes und linderndes Arzneimittel gebraucht werden.~~128
Ad00341 06 041a/frePlantes. CXXIII. Vol. VII. No. 39.
LE MELON.
Ce fruit succulent et d'une saveur agréable est généralement connu; il est extrêmement rafraîchissant, aussi en fait-en un grand usage en été. Le Melon {Cucumis Melo L.) a été transporté en Allemagne des contrées méridionales, où il est indigène, aussi ne mûrit-il chez nous que dans des couches vitrées. Il est proprement originaire de la Kalmoukie. Dans tous les cas il vient de l'Asie, d'où il s'est répandu en Italie et dans les autres contrées de l'Europe. Les meilleurs sont ceux des îles grecques et de Malthe. Le Melon est une plante annuelle du genre des concombres. Il a des tiges rampantes et rudes au toucher, auxquelles tiennent les feuilles, plus petites et moins anguleuses que celles du concombre commun. A chaque aisselle des feuilles paraissent les fleurs qui ont des corolles à cinq angles. Les fruits sont divers d'après la' culture qu'on leur donne. Ils sont ovoïdes ou presque ronds, à surface unie ou raboteuse ou à côtes. L'écorce qui est assez épaisse recouvre Une pulpe ou chair blanche, verte on jaune, d'une saveur agréable et d'une odeur suave.' Au milieu du fruit est une moelle très aqueuse, mais de bon goût, qui contient les pépins destinés à la semence, et dont les apothicaires? font un remède rafraîchissant et calmant.
Ad00341 06 042aFig. 1. Der Zuckertang. (Fucus saccharinus. L.)~~Dieses Seegewächs findet sich fast an allen Küsten des Atlantischen Oceans, und ist hier sehr verjüngt, und zwar nur seiner untern Hälfte nach abgebildet. Oberhalb des kurzen runden Stängels ist dieser Tang einen halben Fuss breit, läuft aber nach oben immer schmäler zu, und erreicht so eine Höhe von 8 Fuss. Der obere, hier fehlende, Theil ist gleichfalls ausgeschweift. In den vielen Runzeln und Vertiefungen, welche der Wedel bildet, befindet sich ein Schleim, welcher bei'm Austrocknen ein Anfangs süsslich schmeckendes Salz absetzt, woher die Benennung Zuckertang entnommen ist. Mehrere Küstenbewohner benutzen diese Tangart frisch zum Verspeisen, theils als Gemüse, theils als Salat, theils mit Milch gekocht als Brei.~~Fig. 2. Der Blasentang. (Fucus vesiculosus. L.)~~Diese Tangart ist an den Küsten des Atlantischen Oceans noch häufiger, als die vorige. Hier ist nur ein Theil eines Wedels in natürlicher Grösse abgebildet. Die Benennung ist hergenommen von den blasenförmigen ansehnlichen Höhlungen, welche dieses Seegewächs in seinen Blattwinkeln enthält. Diese Blasen sind mit einem fadigen Gewebe, in welchem die Befruchtungstheile versteckt liegen, angefüllt. Dieser Tang wird theils zum Dachdecken (gleich Rohr und Stroh) benutzt; theils zum Düngen der Felder, da das Gewächs sowohl Kochsalz, als auch Kalkerde enthält; oder auch mit beigemengtem Mehl als Viehfutter. Sowohl der salzige Saft dieses Tanges, als auch die in verschlossenen Gefässen daraus bereitete und gepulverte, sehr salzige Kohle wird als Heilmittel gegen Drüsen-Verhärtungen und Kröpfe häufig in den nordischen Küstenländern angewendet.~~128
Ad00341 06 042a/frePlantes. CXXIV. Vol. VII. No. 40.
ESPÈCES DE VARECS.
Fig. 1. Le Varec saccharin. (Fucus saccharinus. L.)
Oette plante se trouve le long des côtes de l'océan atlantique; elle n'est Fig. urée ici que très-réduite et même dans sa moitié inférieure. Audessus de la tige courte et cylindrique , ce Varec a 6 pouces de largeur, il s'élève en cône à la hauteur de 8 pieds. La partie supérieure,, qui manque ici, est également échancrée. • Dans les sinuosités et cavités des rameaux est contenue une matière gélatineuse, qui séchée, dépose un sel doux dans le commencement, . ce qui lui a fait donner le nom de Varec sucré. . Plusieurs habitans des côtes mangent ce Varec frais, tantôt en légumes, tantôt en salade, tantôt en bouillie avec du lait.
Fig. 2. Le Varec vésiculeux. (Fucus vesiculosus. L.)
Cette espèce est encore plus commune sur les côtes de l'océan atlantique que la précédente. Il,n'y a ici dé
Fig. urée dans sa grandeur naturelle qu'une partie d'une tige. Gé Varec tient son nom des grandes vésicules creuses qu'il a à ses aisselles. Elles sont rem« plies d'un, tissu, qui contient les parties géminales.' On se sert pour la toiture des maisons, de ce Varec aussi bien que des roseaux et de la paille ; on l'emploie aussi à l'engrais des. terres, pareeque s'il contient dû sel commun il contient aussi une terre calcaire j en le mêlant avec de la farine, il sert de nourriture aux bestiaux. Sur les côtes du nord on fait usage pour les glandes enflées et les goitres, non seulement du suc salé de ce Varec, mais du. Varec même, que l'on réduit en charbon dans des vases fermés et que l'on a soin de pulvériser. —
Ad00341 06 043aDen Löwen, diesem König der Thiere, lernten wir schon früher in unserem Bilderbuche (Bd. I. No. 19.) kennen. Hier betrachten wir die Löwin mit ihren Jungen, einen nicht minder merkwürdigen Gegenstand. Die Löwin hat nicht den Ausdruck des Stolzes und der Würde, wie der Löwe, dafür hat sie aber mehr Leichtigkeit und Geschmeidigkeit, und einen schlankeren Körperbau. Sie ist kleiner als der Löwe, ihr fehlen die Mähnen, auch besitzt sie weniger Stärke, doch grössere Schnelligkeit. Wie der Löwe thut sie Sprünge von 12 bis 16 Fuss, um ihre Beute zu erreichen, und ist eben so muthvoll, als der Löwe. Ihr Körper ist einförmig mit braunrothen Haaren ohne alle Flecken bedeckt.~~Unsere Löwin mit den Jungen, wie sie hier getreu nach der Natur abgebildet worden sind, befand sich im Jahr 1801 in der Menagerie des Jardin des plantes zu Paris. Sie war damals 6 Jahre alt. Ihr Wärter, Felix Cassal kaufte sie früher auf der Nordküste von Afrika, wo sie in einem Walde nahe bei Constantine gefangen wurde, und brachte sie nach Paris. Im November 1801, als sie sechs Jahr alt war, brachte sie drei junge Löwen zur Welt, die wir hier um die Mutter herum spielen sehen. Fünf Tage nach der Geburt waren diese jungen Löwen, jeder von der Stirne bis zur Wurzel des Schwanzes, ungefähr 1 Fuss lang; der Schwanz mass 6 Zoll. Sie waren mit wollenartigen Haaren bedeckt, den Rücken hinunter lief ein dunkler Streif. Im achten Monate waren diese jungen Löwen schon sehr böse und wild. Mähnen zeigten sich bei ihnen nicht, und hierdurch wurde die Beobachtung bestätigt, dass die Mähnen bei dem Löwen erst später (im dritten Jahre) zum Vorschein kommen. -~~129
Ad00341 06 043a/freQuadrupèdes LXXIX. Vol. VII. No. 41.
LA LIONNE ET SES PETITS.
Nous avons décrit au 19. No. du premier volume de notre porte feuille d'enfants le Lion, ce roi des animaux. La planche cijointe nous figure la Lionne avec ses petits, objet tout aussi digne de notre attention. La Lionne n'a pas l'expression de la fierté et de la dignité, propres au lion, mais elle a, en récompense, plus d'agilité, de souplesse et le corps mieux bâti'. Elle est plus petite, moins forte que le lion, elle n'a point ces poils longs et touffus qui parent la face du mâle, mais elle a plus de vitesse. Comme le lion, elle bondit, elle franchit des espaces de 12 à 16 pieds pour atteindre sa proie, et ell» ott =ueei courageuse. Son corps offre une couleur uniforme, avec des poils rousses ou fauves sans taches. Notre lionne était en igoi à Paris dans la ménagerie du jardin des plantes, avec les petits, tels qu'ils sont ici fidèlement représentés, et elle avait 6 ans. Son gardien, Felix Cassai, l'ayant achetée peu auparavant sur la côte septentrionale d'Afrique , où elle avait été prise dans une forêt, voisine de Constantine, la conduisit à Paris. Lorsqu'elle eut atteint sa sixième année, elle mit bas les trois lionceaux, que nous voyons jouer autour,de.la mère, au mois de novembre de l'année 1801. Cinq jours après leur naissance, chacun de ces jeunes lions avait depuis le devant du front jusqu'à l'origine de la queue environ un pied f et la queue avait 6'pouces. Ils étaient couvert « ri'un prvil laineux, et ils avaient sur le dos une raie longitudinale brune. A huit mois ils étaient déjà très-méchants et farouches. Ils n'avaient point de crinière, ce qui confirme l'observation qu'on a faite qu'elle ne commence à paraître que dans leur troisième année.
Ad00341 06 044aWir lernen auf dieser und der folgenden Tafel, wie früher (Bd. VI. No. 78.), die Krimmischen Tataren, Bewohner der Taurischen Halbinsel oder der Krimm, in ihren Sitten und Gebräuchen näher kennen.~~Der nördliche grössere Theil der Krimm besteht grösstentheils aus trocknen und salzhaltigen Ebenen oder Steppen, nur durch einige Bäche durchschnitten, und durch einige Salzseen merkwürdig. Die Bewohner dieser Steppen wohnen in weit aus einander liegenden Dörfern. Die Wohnungen dieser Tataren sind entweder von leichtem Fachwerk oder ganz von Lehm aufgeführt, die Dächer mit Stroh gedeckt; nur in wenigen Dörfern findet man Minarets (Thürme) an den Moscheen. Diese Gegenden sind nur der Viehzucht und dem Ackerbaue einigermassen günstig. Ausser dem Rindvieh, den Schafen, so wie den Pferden, werden auch Kameele, und zwar zum Ziehen, gehalten. Das Getraide wird auf einem erhabenen Platze oder Tenne durch Pferde, welche an einander gekuppelt sind, ausgetreten, dann gesäubert, und in Gruben unter der Erde verwahrt. Der Ackerbau ist wegen des lehmigen Bodens, und da das Feld lange Brache liegt, sehr mühsam, und oft müssen 4 bis 6 Paar Ochsen vor den Pflug gespannt werden. Da die Kühe die Unart haben, ohne das Kalb keine Milch zu geben, so brauchen, wenn das Kalb gestorben ist, die Tatarischen Frauen die List, der Kuh ein ausgestopftes Kalb vorzuhalten.~~129
Ad00341 06 044a/freMélanges CLII. Vol. VII. No 42.
HABITANTS DES LANDES DE LA PÉNINSULE TAURIQUE.
Ce No et.le suivant trous donnent, ainsi que certes de minarets. ..Ces contrées ne sont fale jß. du sixième volume, des détails sur les vorables qu'à l'agriculture, eraa bétail Qn.y moeurs et les usages des tartafes de la élève, outre les bêtes à cornes, des brébiç, Crimée. des chevaux, et des chamaux. pour le trait.,,Ai lieu de^ battre le blé, lestartares le font fouLa plus grande partie septentrionale de la 1er sur une aire par des chevaux accoupiés, puis (primée n'a que des plaines ou landes, sèches ï\s le -criblent et le conservent dans-des fosses et riches en sel, arrosées par un très petit qu'ils pratiquent dans ..la terre. Le terrain .nombre de ruisseaux, et remarquables par argileux, et les champs qui demeurent longplusieurs lacs d'eau salée. .Dans ces lances les terris en friche, rendent le labourage si pénivillages sont très éloignés les uns des autres. ble, qu'on est souvent obligé d'atteler jusqu'à Les habitations sont construites, ou avec des six paires de boeufs à ;la ebarrue. Les vache? bois très-minces, ou seulement avec, de l'ar- ne. donnant pas de lait, sans le veau, les fern,gile et recouvertes de paille; il n'y a que quel- mes. tartares , en cas que celui-ci vienne à ques villages, où les mosquées soient recou- mourir, en présentent un empaillé à la vache.
Ad00341 06 045aDie Bewohner der schönen Thäler der Krimm, welche auch jetzt noch grösstentheils aus Tataren bestehen, unterscheiden sich sehr vortheilhaft von denen der Steppen. Ihnen fehlt es weder an Holz, noch an Steinen, um ihre Wohnungen besser einzurichten; ihre Häuser sind daher, nach der Landesart, entweder von Stein oder Holz, oder beides zugleich. Ausser der Bienenzucht und dem Ackerbaue legen sie sich vorzüglich auf die Obstcultur, und ziehen aus den Baumfrüchten den meisten Gewinn. Aus den Pflaumen und Corneliuskirschen wird ein starker Branntwein bereitet, die abgefallenen Aepfel und Birnen werden unter einer Presse ausgedrückt, der gewonnene Saft zur Stärke eines dicken Syrups eingekocht und unter dem Namen Beckmess in kleinen Fässerchen verkauft.~~Wir sehen hier die Wirthschaft eines solchen Tataren. Es ist eben Obstärndte; man brennt Branntwein aus Früchten. Die Aepfel unter freiem Himmel werden der Witterung Preis gegeben, um als Leckerei dem Winter zu trotzen; in der Nähe derselben steht eine Presse für den Beckmess, daher ein Fass voll Pflaumen oder Corneliuskirschen, welche für den Fruchtbranntwein gähren sollen. Ein Tatar besorgt im Vordergrunde das Brenngeschäft, ein anderer, welcher Obst abnehmen will, steht daneben. - Zu ihnen gesellt sich ein vorbeireisender Küsten-Tatar, welcher Weintrauben nach der Stadt bringt. Diese ganze Scene wurde von dem Begleiter des berühmten Pallas, dem geschickten Künstler Hrn. Geissler, gezeichnet und in Kupfer gestochen.~~129
Ad00341 06 045a/freMélanges CLIII. Vol. VII. No. 43.
HABITANTS DES VALLÉES DE LA PÉNINSULE TAURIQUE.
Les habitants des belles vallées de la Crimée, dont les tartares forment encore le plus grand nombre, se distinguent très - avantageusement de ceux des landes. Ils ont assez de bois et de pierres pour bâtir.leur maisons; aussi sont- elles construites, ou en bois, ou en pierres, et même y fait-on entrer souvent ces deux matériaux. Outre, les ruches à miel et l'agriculture, ils cultivent avec soin des arbres fruitiers, dont les fruits leur rapportent le plus grand bénéfice. Ils tirent des prunes et des cornouilles une eau de vie très-forte; ils mettent sous le pressoir les pommes et les poires qui tombent de l'arbre ; ils en font bouillir le suc, jusqu'à ce qu'il ait atteint la consistence d'un sirop très-épais; et le vendent par baril sous le nom de Beckmefs.
La planche ci-jointe nous Fig. ure le ménage d'un de ces tartares. On cueille les fruits, et l'on fait l!eau de vie susmentionnée. -Les pommes qui restent sur l'arbre, sont livrées aux intempéries de la saison ; après avoir bravé l'hiver, elles sont regardées comme dey friandises. Tout près de là est une presse pour le Beckmefs; à côté un tonneau plein de prunes et de cornouilles, qui doivent fermenter pour l'eau de vie. Sur le devant, un tartare s'occupe de la brasserie; à côté de lui il y en a un autre qui va cueillir des fruits. Ils sont abordés par un tartare des côtes'qui conduit des raisins à la ville. Toute cette scène a été dessinée et gravée par Mr. Geisler, habile artiste, compagnon dé voyage du célèbre Pallas;
Ad00341 06 046aFig. 1. Der gemeine Eibisch. (Althaea officinalis. L.)~~Der gemeine Eibisch gehört zu den teutschen einheimischen Arzenei-Pflanzen, welche wild an feuchten Orten wachsen, doch auch häufig in Gärten gebaut werden. Aus der weissen dicken und perennirenden Wurzel schossen die, bis sechs Fuss hohen Stängel empor, welche mit weisslichem Filze umgeben sind, und an denen die herzförmigen ausgezackten Blätter sitzen. Im Julius und August zeigen sich in den Blattwinkeln die bleichrothen Blumen, welche sich in runde, abgeplattete Saamenköpfe verwandeln. Als Arzeneimittel ist dieser Eibisch von vielfachem Nutzen. Er enthält, vorzüglich in der Wurzel, süsslich-schleimige Bestandtheile, welche in inneren und äusseren Krankheiten mit Nutzen gebraucht werden. - In ökonomischer Hinsicht kann man die Stängel dieser Pflanze, welche faserig sind, wie den Hanf benutzen. -- Als Zierde pflanzt man sie auch häufig in die Gärten.~~Fig. 2. Der jüdische Beifuss oder Wurmsaamen. (Artemisia judaica. L.)~~Der jüdische Beifuss, dessen Saame ein so kräftiges Mittel gsgen die Würmer ist, ist ursprünglich in Palästina, Numidien und Arabien zu Hause, und bildet einen anderthalb Fuss hohen Strauch. Bei uns dauert er nicht im Freien aus, sondern muss im Winter in das Gewächshaus gebracht werden. Die Stängel der Pflanze sind mit zugespitzten, drei- und fünfläppigen Blättern besetzt. An der Spitze der Stängel sitzen die gelben rundlichen Blüten traubenförmig an einander.~~Der Saame dieses Gewächses, welcher bitter und scharf und ekelhaft gewürzhaft schmeckt, ist sehr hitzig und treibend, und deswegen ein Haupt-Mittel gegen Würmer. Doch werden in den Apotheken diesem abgebildeten Wurmsaamen oft mehrere andere, gleichfalls wirksame Saamen von Beifuss-Arten beigemischt.~~129
Ad00341 06 046a/frePlantes CXXV. Vol. VII. No. 44.
PLANTES MÉDICINALES.
Fig. 1. La Guimauve officinale. (Althaea officinalis. L.)
La guimauve officinale est du nombre des plantes médicinales indigènes à l'Allemagne, qui croissent sans culture dans les endroits humides, mais que l'on cultive aussi fréquemment dans les jardins. De la racine blanche, épaisse et vivace s'élèvent les tiges hautes de 6 pieds, cotonneuses et blanchâtres, qui portent des feuilles ovales. C'est au mois de juillet et d'août que naissent, aux aisselles des feuilles, les fleurs purpurines, qui se métamorphosent en graines rondes et applaties. On en fait un usage très-varié dans la médecine.. Sa racine a surtout des propriétés mucilagineuses qui sont d'une très-grande utilité pour les maladies intérieures et extérieures. On peut même se servir des tiges fibreuses .de cette plante au lieu dé chanvre. Cetts guimauve est aussi un bel ornement de nos jardins.
Fig. 2. Absinthe de Judée. (Artemisia judaica. L.)
Uabsinthe de Judée, dont la semence est employée avec tant de succès contre les vers, originaire de Palestine, de Numidie et d'A-j rabie, forme un arbuste d'un pied et demi de haut. En Allemagne elle ne saurait résister au froid, aussi la place-t^on pendant l'hiver, dans une serre- chaude. Les feuilles des tiges sont plus ou moins palmées. A la pointe des tiges sont les fleurs jaunes et rondes en formé de grappe. La semence qui a un goût amer, une odeur aromatique, nauséabonde, fortifie l'estomac, chasse les vents, et est un excellent vermifuge. Cependant, dans les pharmacies, on mêle avec succès la semence d'autres espèces d'Absinthe avec celle de l'arbuste, dont la planche ci-jointe nous donne la représea^ tation.
Ad00341 06 047aFig. 1. Der grosse Kirschen-Tagfalter. (Papilio Polychloros. L.)~~Dieser in Teutschland fast allenthalben vorkommende Schmetterling, wird insgemein der grosse Fuchs oder auch die grosse Schildkröte genannt. Von der kleinen Schildkröte zeichnet er sich nicht nur durch die Grösse aus, sondern auch durch längere Zacken und Verschiedenheit der Gestalt und Farbe mancher Flecken seiner Flügel; von welchen man bei C die obere, bei D die untere Seite sieht. Er legt seine Eier vorzüglich gern an die zartesten Aeste der Kirschbäume, daher auch die, mit gelben dreispitzigen Dornen bewaffneten, Raupen diesen Bäumen zuweilen beträchtlichen Schaden zufügen. Die Puppe B endigt sich in vielfache Spitzen, ist von Farbe schwach röthlichbraun, und hat meistentheils unten an der Brust vier goldfarbige Flecken.~~Fig. 2. Der Geissklee-Tagfalter. (Papilio Hyale. L.)~~In den südlicheren teutschen Ländern ist dieser Tagfalter nicht so selten, als in den nördlicheren. Die Farben der Oberseite seiner Flügel a, stechen sehr gegen die der Unterseite b, ab, und machen diesen Schmetterling unterhaltend für's Auge. Man nennt ihn insgemein den pommeranzengelben Heuvogel. Seine Raupe soll sich vom Geissklee (Cytisus) nähren.~~Fig. 3. Der Waldnessel-Tagfalter. (Papilio Prorsa. L.)~~Man nennt ihn insgemein den braunen Gittervogel, so wie das schwarze Landchärtchen. Er gehört zu den schön gezeichneten teutschen Schmetterlingen und ist nicht gemein. Die mit schwarzen, vielspitzigen Dornen besetzte Raupe a desselben, lebt auf gelben Waldnesseln (Galeopsis Galeobdolon). Die Puppe b ist hellbraun-röthlich mit dunkeln Flecken.~~Fig. 4. Der Hafernessel-Falter. (Papilio Levana. L.)~~Dieser Schmetterling wird insgemein der gelbe Gittervogel, der Wetterstrahl oder auch das Netz genannt, und ist noch seltener, als der vorige, bildet auch mancherlei Spiel-Arten der Grösse und Farbe nach. Am öftersten trifft man ihn zur Herbstzeit auf mehreren Blumen-Arten an. Die Raupe A lebt gesellschaftlich, besonders auf Hafernesseln (Galeopsis cannabina), doch auch auf der gelben Waldnessel; sie ist ganz schwarz mit vielen Dornen. Die Puppe B hat denselben Bau, wie die der vorigen Art, und unterscheidet sich nur durch besondere, ihr eigentümliche Punctflecken.~~129
Ad00341 06 047a/freInsectes LIX. Vol. VII. No. 45.
PAPILLONS D'ALLEMAGNE.
Fig. 1. La grande tortue. (Papilio Poiychloros. L.)
CePapill°n» Fig. 2. Le Souci. (Papilio Hyale. L.)
Ce papillon abonde plus dans le midi que dans le nord de l'Allemagne. .La couleur du dessus (à) de ses aîles contraste parfaitement avec celle du dessous (6), et rend ce papillon très-agréable à la vue. On le nomme généralement le piéris citron. La chenille se nourrit de citise.
Fig. 3. Carte géographique brune. (Papilio Prorsa. L.)
Ce papillon, nommé généralement la carte géographique brune, estj du nombre de ceux qui sont le plus joliment tachetés; il n'est pas commun en Allemagne. La chenille,' (a) armée d'épines noires à plusieurs pointes, se tient sur les orties jaunes. La chrysalide (/;), est d'un rouge brun-clair avec de petits yeux.:
Fig. 4. Carte géographique fauve. (Papilio Levana. L.)
Ce papillon beaucoup plus rare que le précédent, se distingue en plusieurs espèces, tant par la grandeur que par la couleur. C'est en automne qu'on le trouve sur plusieurs sortes de fleurs. La chenille (a) vit en société* sur les orties mortes ainsi que sur les orties jaunes. Elle est toute noire et armée de plusieurs épines. La chrysalide (b) est absolument formée comme la précédente, et elle ne s'en distingue que par des taches en forme de points, qui lui sont particulières..
Ad00341 06 048aFig. 1. Der Wolfs-Bär oder die Wolverene. (Ursus luscus. L.)~~Dieses listige und verwegene Raubthier, dessen Pelz aus sehr langen und dichten, verschiedentlich braunen, Haaren besteht, misst von der Schnauze bis zum Schwanze 28 Zoll, und mit letzterem 1 Fuss mehr. Es bewohnt die Wälder des kälteren Nordamerica's, z. B. von Canada und an der Hudsonsbai, und ist selbst in neueren Zeiten von Pallas, so wie früher von Büffon, mit dem Vielfrase (siehe Bilderb. Bd. I. No. 32) irrig für einerlei gehalten worden, weil es letzterem in der äusseren Gestalt und Lebensweise sehr nahe kommt; durch den abweichenden Bau seines Gebisses unterscheidet es sich aber wesentlich von demselben, wie schon Linné richtig bemerkte. Da der Wolfs-Bär nicht schnell laufen, aber wegen seiner scharfen Klauen gut klettern und bei seiner Stärke sehr fest damit eingreifen kann, so lauert er vielerlei Thieren, besonders dem Rothwildpret und auch den Bibern auf Bäumen hinterlistig auf, stürzt sich plötzlich auf solche herab, klammert sich auf deren Rücken fest, und beisst sich mit seinem scharfen Gebisse so lange in den Nacken der mit ihm fortlaufenden Thiere ein, bis sie verblutet und ermattet todt hinfallen, wonach er solche dann vollends auffrisst.~~Fig. 2. Das weissrückige Stinkthier oder der Chinche. (Viverra mephitis. L.)~~Diese Art der Stinkthiere lebt von Peru und Chili an durch ganz Südamerica bis in Canada in Nordamerica, und darf nicht mit dem im Bilderbuche (Band I. No. 43.) abgebildeten gestreiften Stinkthiere, dem Skunk oder Conepatl verwechselt werden, mit welchem es übrigens gleiche Eigenschaften und Lebensweise hat. Es giebt Spielarten der Farbe, die statt braun-schwarz völlig schwarz sind, so wie auch der langhaarige Schweif zwar gewöhnlich braun oder schwarz, zuweilen aber auch ganz weiss getüpft befunden wird. Die Benennungen Skunk oder Chinche werden als trivial und nicht streng wissenschaftlich bald diesem, bald noch andern Stinkthieren ebenfalls beigelegt. -~~130
Ad00341 06 048a/freQuadrupèdes LXXX. Vol. VII. No. 46.
ANIMAUX RARES ET CURIEUX
Fig. 1. Le Carcajou ou le Volverène. (Ursus luscus. L.)
C>et animal rapace, aussi rusé que téméraire, dont la fourrure est à poils longs, épais et diversement coloriés de brun, a du museau jusqu'à la queue 28 pouces de long, et avec cette dernière, un pied déplus. Il habite les bois des contrées les plus froides de l'Amérique septentrionale, telles que le Canada et la baie de Hudson. Il a été confondu de nos jours par Pallas , -et auparavant par Buffon, avec le glouton, (voyez P. d. Enfans Vol. L No. 32.) parcequ'il en approche beaucoup, soit par son extérieur, soit par le genre de vie qu'il mène; mais il s'en distingue caractérïstiquement par la conformation de la bouche, comme Hnné l'a très-judicieusement observé. Le CarcajOU n'étant pao prompt à la rmitie, mais grimpant avec beaucoup de facilité et «'attachant fortement, par le moyen de ses griffes, qui sont très-acérées, il se met sur des arbres à l'affût de beaucoup d'animaux, et surtout des bêtes fauves et des bièvresi, se jette soudainement sur l'animal, se crarn^ ponne sur son dos, le mord avec ses dents aiguës en se laissant emporter, jusqu'à ce que celuici, épuisé de fatigue et par la perte d« son sang, tombe; alors il le dévore.
et animal rapace, aussi rusé que téméraire, dont la fourrure est à poils longs, épais et diversement coloriés de brun, a du museau jusqu'à la queue 28 pouces de long, et avec cette dernière, un pied déplus. Il habite les bois des contrées les plus froides de l'Amérique septentrionale, telles que le Canada et la baie de Hudson. Il a été confondu de nos jours par Pallas , -et auparavant par Buffon, avec le glouton, (voyez P. d. Enfans Vol. L No. 32.) parcequ'il en approche beaucoup, soit par son extérieur, soit par le genre de vie qu'il mène; mais il s'en distingue caractérïstiquement par la conformation de la bouche, comme Hnné l'a très-judicieusement observé. Le CarcajOU n'étant pao prompt à la rmitie, mais grimpant avec beaucoup de facilité et «'attachant fortement, par le moyen de ses griffes, qui sont très-acérées, il se met sur des arbres à l'affût de beaucoup d'animaux, et surtout des bêtes fauves et des bièvresi, se jette soudainement sur l'animal, se crarn^ ponne sur son dos, le mord avec ses dents aiguës en se laissant emporter, jusqu'à ce que celuici, épuisé de fatigue et par la perte d« son sang, tombe; alors il le dévore.
Fig. 2. Le Chinche. (Viverra mephitis. L.)
Cette espèce de Mouffettes se trouve, dans toute l'Amérique méridionale, depui» le Pérou, le Chili, jusqu'en Canada, dan» l'Amérique septentrionale; il ne doit pas être confondu avec le Skunk ou Putois rayé, Fig. uré dans le I. Vol. P. d. Enfansî No. 43., dont il a les qualités et le genre de vie. Il y a des variétés dans la couleur, qui, au lieu d'être d'un brun noirâtre, sont absolument unir«, et la queue, qui pour l'ordinaire est brune ou noire, est quelque fois toute tachetée de blanc. Les noms de Chinche ou de Skunk sont donnés indifféremment en langage vulgaire, à tous les Mouffettes.'
Ad00341 06 049a

Verm. Gegenst. CLIV. Bd. VII. No. 47.

DIE GROSSE GLOCKE IN MOSKAU.

Die Einführung der Glocken, deren man sich, zuerst bei den Gebräuchen der christlichen Kirche in Freude und Leid bediente, geht wahrscheinlich nicht über das sechste Jahrhundert nach Christi Geburt hinauf. Die grösseren Kirchenglocken wurden zuerst in Italien zu Nola in der Provinz Campanien, heut zu Tage terra di Lavoro, gegossen, welche Stadt selbst einen ansehnlichen Handel damit trieb. Zuerst bedienten sich die Klöster der Glocken, von wo sie auf die übrigen Kirchen kamen. Es gehörte zu den vorzüglichsten Zierden von Haupt- oder Domkirchen, ausserordentlich grosse Glocken zu haben. In Teutschland ist die grösste. Glocke zu Wien, welche 1711 gegossen wurde, über 10 Schuh hoch ist, und mit den anhängenden Theilen 514 Centner wiegt. Nach ihr kommen die Glocken von Berlin und Erfurt. - Zu den grössten und merkwürdigsten Glocken, die wir kennen, gehört aber die hier abgebildete, welche sich im Kreml, der vormaligen Residenz der Czare, zu Moskau befindet, und in einer grossen tiefen Grube, zu der man hinabsteigt, gezeigt wird. Nach der Messung des englischen Reisenden Clarke beträgt ihre senkrechte Höhe 21 Fuss 4 1/2 Zoll; der Umkreis, 2 Fuss von dem äussersten Rande (da sie um so viel verschüttet liegt), 67 Fuss 5 Zoll; ihr ungeheueres Gewicht wird auf 4437 Centner geschätzt. Der Sage nach soll sie bei einer Feuersbrunst herabgestürzt, und davon gesprungen seyn. Wahrscheinlicher ist es, dass sie bei ihrer so ungeheueren Schwere nie aufgehängt, sondern nur so aufbewahrt wurde; und vielleicht bei einem entstandenen Feuer, durch Einwirkung des Feuers und Wassers nachher zerborsten ist.

130
Ad00341 06 049a/freMélanges CLIV. Vol. VII. No. 47.
LA GROSSE CLOCHE DE MOSCOU.
L'introduction dés cloches, dont la religion chrétienne a'fait le premier usage, soit pour exprimer la joie, soit pour exprimer les souffrances, ne remonte vraisemblablement pas au delà du sixième siècle après la naissance de Jesus- Christ. C'est en Italie,, à iVoZ«, ville de Ja-province de Capoue, uoinm^ ^
Ad00341 06 050aIn Sevilla, der Hauptstadt der spanischen Provinz Andalusien, prangt, nebst andern Gebäuden, auch die berühmte Cathedrale oder Hauptkirche, welche eine Mischung des gothischen mit dem maurischen Style oder Bauart enthält. Diese Kirche wurde auf Kosten des Dom-Capitels im Jahre 1482 zu bauen angefangen, und im J. 1519 geendigt. Der Thurm wurde schon im J. 1000 von den Arabern errichtet, hatte damals aber nur 172 Fuss Höhe und endigte sich in einen Pavillon, auf dem auf einem eisernen Pfeiler vier vergoldete Kugeln ruhten. Im Jahr 1568 wurde dieser Pavillon abgerissen, und der Thurm um 86 Fuss erhöht. Seine Spitze ziert die berühmte Giralda oder Wetterfahne; es ist eine Statue von Bronze, den Glauben vorstellend, welche mit den Verzierungen 34 Centner wiegt, von Bartholomäus Morel gefertigt wurde, und sich als Wetterfahne dreht. Deswegen heisst er auch der Thurm der Giralda. Die auf gothische Art reich verzierte Kirche ist 262 Fuss lang; das Innere ist in fünf Schiffe getheilt; die kostbaren gemalten Glasfenster haben allein 90,000 Ducaten gekostet. Diese Kirche gehört zu den reichsten in Spanien; merkwürdige Grabmäler zieren das Innere. Neben den Monumenten der Könige steht auch das Grabmal von Christoph Columbus, des Entdeckers von America; doch seine sterblichen Ueberreste wurden von Sevilla nach der Primatialkirche von Santo Domingo gebracht.~~130
Ad00341 06 050a/freMélanges CLV. Vol. VII. No. 48.
LA CATHÉDRALE DE SÉVILLE.
Sevilla, capitale de l'Andalousie, province d'Espagne; est ornée de maints beaux édifi- ' ces, parmi lesquels se distingue l'église métropolitaine, bâtie dans un genre gothique, tenant du mauresque. Cette Cathédrale fat commencée en 1482 et finie en 1519 aux frais du chapitre. L'an icoo les Arabes construisirent la tour, mais ils- ne lui donnèrent que 172 pie'ds d'élévation; elle se terminait alors par un pavillon, sur iequels'élevait un pilier de fer, qui portait quatre globes dorés. On abatit ce pavillon en 1568; on exhaussa la tour de 86 pieds.' La flèche de cette tour est surmontée d'une statue allégorique de la foi, en bronze, connue sous le nom de Giralda, qui, avec ses ornemens, pèse 34 quintaux. Elle est de* Barthèlemi Morel, .et tourne comme une girouette; aussi lui a-t-on donné le nom de tour de la Giralda. L'église, richement ornée dans le genre gothique a 262 pieds de longueur; l'intérieur est divisé en 5 nefs; les vitraux, couverts de belles peintures, ont coûté seuls 90,000 ducats. Cette Cathédrale est uns nas plue viches de l'Espagne; des monumens curieux en décorent l'intérieur. A côté des tombeaux des rois, est celui de Christophe Colomb,, qui a découvert l'Amérique; cependant ses dépouilles mortelles ont été transférées de Séville dans l'église prirnatiale de Santo-Domingo.
Ad00341 06 051aDer Lauch ist eine ansehnliche Pflanzen-Gattung, welche bis jetzt sechzig Arten zählt. Zu seinen Eigenschaften gehört, dass die Blätter und Zwiebeln, weniger die Blüten und Saamen, einen beissenden flüchtigen Geruch und Geschmack haben. Deswegen dienen auch viele Laucharten als Würze an den Speisen, und werden als Küchengewächse häufig gebauet,~~Fig. 1. Der Porre oder gemeine Lauch. (Allium Porrum. L.)~~Das Vaterland ist unbekannt, doch stammt der Porre wahrscheinlich aus dem Oriente her. Jetzt wird er als Speisegewächs in Gärten allenthalben gebauet, und diente auch sonst als Arzneimittel. Er ist ein zweijähriges Zwiebelgewächs. Die walzenförmige weisse Zwiebel besteht aus glatten, etwas fleischigen Häuten, und endigt sich in lange zugespitzte Blätter. Aus der Mitte schiesst der 3 bis 4-Fuss lange, feste und dichte Stängel in die Höhe. Im Junius und Julius kömmt an der Spitze die kugelförmige Blüte hervor, welche langgestielte, weisse oder röthliche Blumen trägt. Der Porre wird gewöhnlich aus Saamen gezogen. -~~Fig. 2. Der Allermannsharnisch. (Allium Victorialis. L.)~~Diese Lauchart findet sich ursprünglich in feuchten grasreichen Gegenden der italienischen, schweizerischen, österreichischen und schlesischen Alpen oder höheren Gebirge. Die Wurzel besteht aus mehreren, an einander liegenden Zwiebeln, welche inwendig weiss, von aussen aber mit braunen Häuten bedeckt sind. Die äussersten bilden Fasern, und bedecken die Oberfläche netzartig, oder wie ein Panzerhemde. Diese sonderbare Bildung benutzte der Aberglaube, machte diese Wurzel zu einem Beschützungsmittel gegen Hieb und Stich und Krankheiten, und nennte sie deswegen Allermannsharnisch. Quacksalber verkauften sie auch unter dem Namen Alrunwurzel als Bewahrungsmittel gegen böse Geister, und betrogen damit die leichtgläubige Menge. Jetzt wissen wir recht gut, dass Alles dieses nur Täuschung oder Betrug ist.- Dieser netzwurzeliche Lauch treibt einen anderthalb Fuss hohen Blumenschaft, dessen unterste Blätter breit und eiförmig sind. Die Blumenkrone besteht aus vielen, auf halb Zoll langen Stielchen sitzenden, grünlich weissen Blüten.~~130
Ad00341 06 051a/frePlantes CXXVI. Vol. VII. No. 49.
DIVERSES ESPÈCES D’AILS.
On compte jusqu'à nos jours soixante espèces d'ails. Une àes propriétés de cette plante, - c'est que les feuilles et les bulbes ont une odeur et une saveur très-fortes, qui sont cependant moindres dans les fleurs et dans les graines. Aussi emploi.e-t- on comme épicerie* plusieurs espaces d'ail, ce qui fait qu'on les cultive beaucoup.*
Fig. 1. Le poireau. (Allium Porrum. L.)
On ignore la patrie du poireau, mais on présume qu'il est originaire de l'Orient. On le cultive maintenant dans les jardins comme plante potagère, mais autrefois on l'employait comme remède. Il est bisannuel. La gousse cylindrique est composée de tuniques blanches, lisses, un peu charnues. Du milieu de ses feuilles s'élève une tige haute de 3 à 4 pieds, ferme et pleine de suc. Au mois de juin et de juillet il sort au sommet des fleurs blanches ou rougeâtres en ombelle. Le poireau est ordinairement ensemencé.
Fig. 2. L'ail serpentin des Alpes. (Allium Victorialis. L.)
Cette espèce d'ail se trouve originairement dans les parties humides des montagne» d'Italie, de Suisse, d'Autriche et de Siîésie. La racine est composée de plusieurs bulbes, réunis par des. membranes communes, blanches en dedans et brunes en d.ehors. Les tuniques extérieures sont filandreuses et couvrent la surface en forme, de cotte de maille. La superstition profita de cette singulière formation, et fit de cette racine un préservatif contre les maladies et les blessures, ce qui lui a fait donner le huhi a au sferpéntïn. Les empiriques lui attribuèrent même là vertu de chasser les démons, et se jouèrent ainsi de la crédulité de la multitude. On sait de nos jours que tout cela n'était qu'une supercherie. > La tige de la fleur de l'ail serpentin a ïlpiefl de haut. Les feuilles inférieures sont larges et ovaires". L'ombelle est composée de fleurs d'un blanc verdâtre, sur des tiges d'un « pouce.
Ad00341 06 052aFig. l. 2. 3. Die roth u. schwarze Heuschrecke. (Gryllus stridulus. L.)~~Es ist dies die in Teutschland gemeinste Art der Heuschrecken, welche man gewöhnlich Klapperheuschrecke nennt. Sie wird jedoch sowohl bei uns, als auch im übrigen Europa weit häufiger in und nahe bei Wäldern, so wie auf Haiden und auf Bergen, weit seltener in tiefer liegenden fruchtbaren Getreidefeldern im August und September angetroffen. Fig. 1. zeigt das Männchen in fliegender, Fig. 2. in ruhig sitzender Stellung. Beide Abbildungen zeigen, dass beim männlichen Geschlechte die Flügel länger sind, als der Hinterleib; bei dem Fig. 3. abgebildeten Weibchen verhält sich's umgekehrt; auch sind die Weibchen grösser, und ihr Leib dicker. Alle Figuren geben die natürliche Grösse an. Bei a und b sieht man die Eier dieser Heuschrecke.~~Fig. 4. u. 5. Die bläulichgrüne Heuschrecke. (Gryllus caerulescens. L.)~~Diese Fig. 4. in natürlicher Grösse fliegend abgebildete Art wird im südlichen Teutschlande, so wie in noch südlicheren Ländern, auf mageren Feldern und Haiden ziemlich häufig angetroffen. Die Unterflügel sind bis über die Hälfte schön bläulichgrün, nach vorn durch eine schwärzliche Querbinde begränzt. Die äussere Spitze aber ist hell und durchsichtig. Zuweilen findet man auch Spielarten in der Farbe des Leibes und der Oberflügel; so zeigt Fig. 5. eine solche Spielart dieser Heuschrecke mit gelbbraunen, statt gelbgrauen Oberflügeln, Kopfe und Leibe. Die Farbe der Unterflügel bleibt aber standhaft bei jeder Art immer dieselbe.~~Fig. 6. Die rosenfarbige Heuschrecke. (Gryllus Italicus. L.)~~Diese findet sich ausser den südlich teutschen, auch noch in allen warmen europäischen Ländern, und selbst auch auf dem Vorgebirge der guten Hoffnung. Sie hält sich lieber, als die vorigen Arten, in gut angebauten fruchtbaren Gegenden auf. Die Unterflügel sind nach hintenzu schön rosenfarbig, nach vorn zu aber sehr blassbräunlich und zugleich durchscheinend. Auch der dünne Theil der Spring- oder Hinterfüsse ist rosenfarbig; die dicken Oberschenkel derselben haben aber eine braune gesprenkelte Farbe. Die schmalen Oberflügel zeigen braune Flecken auf einem gelblichen Grunde.~~130
Ad00341 06 052a/freInsectes LX. Vol. VII. No. 50.
CRIQUETS D’ALLEMAGNE.
Fig. 1. 2. 3. Criquet stridule. (Gryllus stridulus. L.)
Cette espèce de Criquet est la plus commune en Allemagne. On le trouve au mois d'Août et de Septembre, beaucoup plus généralement cependant dans les bois, dans les bruyères et sur les montagnes, que dans les vallons fertiles et cultivés. La 1 figure représente le mâle volant, la 2 fig. ., en état de repos. Les deux figures nous montrent que, dans l'un et l'autre état, les élytres du mâle dépassent le derrière du corps. Le No. 3. qui nous figure la femelle, nous prouve au contraire que les élytres ne-dépassent pas l'abdomen. Les femelles sont aussi plus grandes, et elles ont le corps plus gros, Toutes les figures reps\ésen-, tent la grandeur naturelle. Nous voyons à « et b les oeufs de ces. criquets.
Fig. 4. 5. Criquet bleuâtre. (Gryllus caerulescens. L.)
Cette espèce de CriqUet, représentée fig. 4. dans sa grandeur naturelle, est assez commune dans le sud,de l'Allemagne, ainsi que dans les contrées plus méridionales encore de l'Europe. Ce Criquet se plaît dans les landes et les terres maigres. Les aîles sont d'un céladon bleuâtre, avec une large bande noire au delà du milieu, et l'extrémité transparente. On trouve quelque fois des variétés dans la couleur du corps et des élytres; fig. 5. nous montre ici une de ces variétés-, un criquet, dont les élytres, la tête, le corps sont d'un brun jaunâtre, au lieu d'être d'un gris jaunâtre. Mais la couleur des aîles reste dans chaque variété la même.
Fig. 6. Criquet italique. (Gryllus Italicus. L.)
Cette espèce se trouve non seulement tlans le midi de l'Allemagne, mais encore dans tous les pays chauds de l'Europe,, et même au Cap de bonne espérance. Elle se plaît, beaur coup plus que les/-espèces précédentes, dans les terres fertiles et cultivées. Les aîles sont d'un beau rose vers le derrière, et sur le devant d'un brun pâle et transparent. La partie mince des jambes postérieures est également couleur de rose; mais les cuisses sont brunes avec des taches.. Ses élytres sont d'un fond jaunâtre tacheté de brun.
Ad00341 06 053a(Nais serpentina. Müller.)~~In stillstehenden und in schwach abfliessenden süssen Gewässern von Europa, besonders in solchen, wo Wasser- oder Meerlinsen wachsen, findet man in den wärmeren Monaten des Jahres die hier bei Fig. 1. und 2. in natürlicher Grösse abgebildete geschlängelte Naide, welche, wie die ganze Gattung, zu den Würmern gehört. Diese Naiden bilden schlangenförmig gestaltete, dünne, durchsichtige Würmer, ungefähr 21 Zoll lang. Theils findet man sie einzeln wie Fig. 1., theils auch mehrere um einen Stamm der Meerlinse herumgewunden, wo sie einem Merkurstabe gleichen. (Fig. 2.) Bei Fig. 3. 4. und 5. sehen wir die geschlängelte Naide mit sammt einer Meerlinsenwurzel stark vergrössert abgebildet; bei der Durchsichtigkeit des Körpers erscheinen die Eingeweide wie ein gewundenes Band. Unterhalb des Kopfes sitzt eine zungenähnliche Saugwarze (Fig. 4.), mit der sie die Pflanze benagen, um sich davon, so wie von kleinen Infusionsthierchen, zu nähren. Diese Naide vermehrt sich gewöhnlich durch Theilung ihres Körpers, wie Fig. 5. zeigt, wo in der Mitte der Leib wie unterbunden, und nur noch wenig zusammen hängend erscheint. Nach völliger Trennung des hinteren Stücks, wächst an diesem ein neuer Kopf hervor, wie Fig. 7. und 8. weniger vergrössert zeigen. Eben so sieht man bei Fig. 4. eine dünnere hintere, erst frisch nachgewachsene Körperhälfte, wo die lebende Naide quer durchgeschnitten worden war, wornach jedes Stück der Naide nach und nach in wenig Tagen sich durch Reproductionsvermögen wieder völlig ergänzte.~~131
Ad00341 06 053a/freVers. XIX. Vol. VII. No. 51.
LA NAYADE SERPENTINE. (Nais serperitina. Müller.)
On trouve pendant les mois les plus chauds de l'été , dans les eaux douces, stagnantes ou qui ont un écoulement insensible, et celles surtout où croissent les lenticules, la Nayade serpentine, représentée Fig. 1. et 2. dans sa grandeur naturelle, qui, comme toute l'espèce, est du genre des vers aquatiques. Ces Nayades sont des vers grêles, transparents, de 21 pouces de long à peu près, ayant la forme de serpent. Tantôt on les trouve isolées comme Fig. I., tantôt réunies et entortillées autour d'une lenticule comme Fig. 2. où elles ressemblent à un caducée. Les Fig. 3. 4. et 5. nous représentent la Nayade entortillée, ainsi que la racine de la lenticule, l'une et l'autre très-grossies. Les intestins ont l'air, à travers le corps, ' d'un ruban tordu. Au dessous de la tête se trouve une trompe Fig. 4. avec laquelle elle ronge les plantes, dont elle se nourrit, ainsi que d'animacules infusoires. Cette Nayade se reproduit ordinairement par la division du corps en plusieurs morceaux, comme le montre la Fig. 5. où le corps paraît lié au milieu, et ne tenir que faiblement. Après l'entière séparation du morceau de derrière, il/vient une tête à ce morceau, comme le montrent les Fig. 6 et 7. moins grossies. C'est ainsi que l'on voit aussi Fig. 4. la moitié du derrière du corps beaucoup plus grêle, qui s'est formé de nouveau, parcequ'on avait coupé la Nayade en deux, après quoi chaque morceau par la force reproductive devint peu à peu et en peu de jours un animal parfait.
Ad00341 06 054aFig. 1. Der gemeine Epheu. (Hedera Helix. L.)~~Der gemeine Epheu oder Eppich, welcher in den meisten Theilen von Europa wild wächst, bildet in den südlichen Ländern bisweilen einen baumartigen Strauch. Gewöhnlich ranken aber die oft zwanzig bis dreissig Fuss langen Zweige an andern Gegenständen, an Mauern oder Bäumen fort, und bedecken sie auf malerische Weise. Die Stängel treiben allenthalben kleine Wurzeln hervor, mit denen sie sich an die Erde, in die Baumrinde, oder in die Ritzen der Mauern befestigen, und so fortklimmen. Die dicken, glänzenden, immergrünen Blätter sind nach dem verschiedenen Alter erst lanzetförmig, dann fünf-, nachher dreilappig, und zuletzt oval ohne Ecken oder Lappen. Ihre Farbe ist dann dunkelgrün. An den Enden der Zweige kommen im September oder October die grünen, fünf- oder sechsblättrigen Blüthen hervor, welche kugelrunde, aufrechtstehende Dolden bilden. Die Frucht besteht aus grünlichen Beeren, welche erst bei der Reifung im folgenden Jahre schwärzlich werden, - Das leichte schwammige Holz des Epheu kann zu einigen Drechslerarbeiten gebraucht werden. Das Harz, so wie die Blätter und Beeren wurden sonst als Arzneimittel gebraucht.~~Fig. 2. Das kleine Sinngrün. (Vinca minor. L.)~~Das kleine Sinngrün oder gemeine Wintergrün wächst wie der Epheu wild in den meisten Theilen Europa's, und ist ein niedriges Strauchgewächs, mit fortrankenden holzigen Zweigen, welches sich an schattigen Orten in Laubhölzern findet, aber auch gern in die Gärten verpflanzt wird. Die Blätter sind lanzetförmig eirund, glänzend dunkelgrün, und sitzen an kurzen Stielen. Sie fallen im Herbste nicht ab, und dauern mehrere Jahre hindurch. Die schönen blauen, aber geruchlosen Blumen sitzen an längeren Stielen. Auch das Sinngrün besitzt Arzneikräfte, welche noch hier und da angewendet werden. Am leichtesten pflanzt man das Sinngrün durch Einlegung von Zweigen fort, welche sogleich Wurzel schlagen.~~131
Ad00341 06 054a/frePlantes CXXVII. Vol. VII. No. 52.
PLANTES D'ALLEMAGNE, qui ne perdent jamais leur verdure.
Fig. 1. Le Lierre. (Hedera Helix. L.)
Le Lierre, qui croit sans culture dans la plus grande partie des contrées de l'Europe, devient quelque fois dans les pays méridionaux un petit arbre ; mais ses rameaux de 20 à 30 pieds de haut s'attachent .communément à d'autres objets, comme aux arbres, aux vieilles murailles, et les couvrent d'une manière pittoresque. Les tiges poussent de petites vrilles rameuses, par lesquelles elles s'implantent dans la terre, dans l'écorce des arbres et les fentes des murailles'. Ses feuilles luisantes, épaisses et toujours vertes sont, d'après la diversité de l'âge, d'abord lancéolées, puis à cinq, ensuite à trois lobes, enfin ovales et entières, et sont alors d'un vert foncé. Au mois de Septembre ou d'Octobre paraissent à l'extrémité des rameaux les fleurs vertes, réunies en petite ombelle ou en grappe courte. Le fruit est une baie verdâtre qui ne mûrit qu'au.commencement de l'année suivante, et qui devient noire dans sa maturité. Le bois léger et spongieux peut être employé par le? tourneurs. On faisait autrefois usage dans la médecine de la résine ainsi que des feuilles et des baies du Lierre,
Fig. 2. La petite Pervenche. (Vinca minor. L.)
La petite Pervenche, comme le Lierre, se propage d'elle-même dans presque toute l'E,urope, et c'est un sous-arbrisseau rampant, qui se plaît à l'ombre de nos bois touffus, mais que l'on transplante facilement dans les jardins. ' Ses feuilles sont ovales, lancéolées, luisantes, d'un vert-foncé, et sont attachées à de courts pétioles; elles ne tombent point en automne, et se conservent plusieurs années. Ses belles fleurs bleues, mais privées d'odeur, sont portées par des pédoncules. La médecine fait un usage peu fréquent de la Pervenche. On transplante le pins facilement la Pervenche en mettant en terre ses tiges, qui prennent aussitôt racine.
Ad00341 06 055aFig. 1. Das Pantheon oder die Rotonda.~~Das Pantheon, gemeiniglich die Rotonda genannt, in den späteren Zeiten unter dem Papste Bonifacius IV. in die christliche Kirche S. Maria ad Martyres verwandelt, ist einer der schönsten Ueberreste des Alterthums, welchen man in dem heutigen Rom erblickt. Das Pantheon wurde nach der Meinung Vieler von M Agrippa zur Zeit August's erbaut, und dem rächenden Jupiter, so wie allen Göttern, (daher der Name Pantheon) geweihet. Es enthielt damals im Inneren eine grosse Anzahl von Statuen und kostbaren Bronze-Arbeiten, welche aber zu verschiedenen Zeiten daraus entführt wurden. Unter Papst Bonifacius IV. wurde, wie oben gesagt, das Pantheon in die christliche Kirche S. Maria ad Martyres verwandelt, und so glücklicherweise gegen jede weitere Zerstörung gesichert.~~Von aussen erblickt man zuerst eine prächtige Vorhalle, von sechszehn corinthischen Säulen von polirtem Granit. Von da tritt man durch die grosse Hauptthüre von Bronze in das Innere des Tempels, welches durch corinthische Säulen und Pilaster von gelbem Marmor (giallo antico) verziert ist, und durch eine einzige grosse Oeffnung von oben herrlich erleuchtet wird. Ringsum erblickt man acht Altäre und dazwischen die Gräber und Denkmäler grosser Künstler und Gelehrten, unter denen wir vorzüglich nennen wollen, Raphael von Urbino, Hannibal Caracci, Poussin, Metastasio, Mengs und Winkelmann.~~Fig. 2. Das Theater des Marcellus.~~Dieses zu seiner Zeit grosse und prächtige Gebäude liess der Kaiser August zu Ehren seines Vetters Marcellus errichten; es war nach dem des Pompejus das zweite stehende Theater in Rom. Bei der Einweihung liess man 600 wilde Thiere darin kämpfen, und zuerst erschienen auch Tieger dabei. - Das Gebäude hat 378 Fuss im Durchmesser; und war in das Theater und die Bühne getheilt. Vom ersteren erblickt man bloss noch Ueberreste, vorzüglich von aussen zwei Reihen Arkaden, die untere von dorischer, die obere von ionischer Ordnung.~~Auf und in die Ueberreste dieses Theaters ist in neuerer Zeit der Pallast Savelli Orsini gebaut worden, wie wir hier abgebildet sehen. In der Entfernung zeigt sich die Kuppel der Kirche S. Maria in Campitelli.~~131
Ad00341 06 055a/freMélanges CLVI. Vol. VII. No. 53.
ÉDIFICES REMARQUABLES DE ROME.
Fig. 1. Le Panthéon, ou la Rotonde.
Le Panthéon, dit vulgairement la Rotondej converti plus fard par le pape Boniface IV. en église, nommée l'église de Ste. Marie ad martyres, est un des plus beaux restes de l'antiquité, que l'on trouve dans la Rome moderne. D'après l'opinion de plusieurs antiquaires il fut élevé par M. Agrippa sous le régne d'Auguste, et consacré à Jupiter vengeur, ainsi qu'à tous les Dieux,' de là le nom de Panthéon. L'intérieur était décoré d'un grand nombre de "statues et d'autres ouvrages précieux en bronze, mais qui en ont été enlevés à différentes reprises. Le pontife Boniface convertit, comme nous l'avons déjà dit, le Panthéon en église, et la consacra à la vierge et aux SS. martyrs; et par là ce précfeux monument est heureusement à couvert de toute destruction ultérieure. En dehors on aperçoit d'abord un superbe portique'de 16 colonnes corinthiennes de granit du plus beau poli. Delà on entre par le grand portail de bronze dans l'intérieur du temple, décoré par des colonnes et des pilastres de marbre jaune (giallo antiço), et qui est admirablement éclairé par une seule ouverture pratiquée au haut de la voûte. Tout autour on voit huit autels, et dans les intervalles les tombeaux et monumens de plusieurs artistes et auteurs célèbres, parmi lesquels nous nommerons de préférence Raphaël A'Urbin, Hannihal Caracci , le Poussin, Métastase, Mengs et Winkelmann.
Fig. 2. Le théâtre de Marcellus.
Auguste fit élever en l'honneur de Marcellus, son neveu, ce riche et somptueux théâtre; ce fut le premier théâtre fixe que Rome vit dans ses murs après celui de Pompée ; six cents bêtes féroces y furent sacrifiées lors de la dédicace, et c'est là qu'on apporta pour la première fois des tigres. L'édifice a 378 pieds de diamètre, et l'intérieur était divisé en deux parties, savoir, le théâtre et là scène. Il ne reste du premier que 12 ou 13 arcades doriques et autant «le joniques. On a bâti de nos jours au milieu des débris de ce théâtre le palais Savtih Orsini, tel ■ que nous le voyons figuré ici. A quelque distance on remarque la coupole de l'église S. Maria in Campitelli,
Ad00341 06 056aFig. 1. Die Kirche zu Axum.~~Zu Axum, der ehemaligen Hauptstadt von Tigre und vielleicht von ganz Abyssinien, sieht man eine der schönsten Kirchen in diesem christlichen Lande. Sie liegt an dem Nord-Ende der jetzigen Stadt und scheint die Stelle eines alten hinduischen Tempels einzunehmen; wenigstens deuten die Ruinen von Obelisken und ägyptischen Säulen auf eine ursprünglich von der christlichen Andacht verschiedene Bestimmung. Schon im 7ten Jahrhundert n. C. G. soll hier eine Kirche erbaut worden seyn; sie wurde aber in einem Kriege mit den Mohamedanern im Jahre 1526 zerstört. Die jetzige Kirche, die wir hier abgebildet sehen, ist im Jahre 1657 erbaut worden. Ihr gothisches Ansehen macht es wahrscheinlich, dass arabische oder portugiesische Baumeister, die sich damals im Lande aufhielten, den Riss dazu entworfen haben. Die Kirche ist 40 Fuss hoch, 111 Fuss lang und 51 Fuss breit. An der Vorderseite bemerkt man 5 Fuss dicke, massive viereckige Pfeiler, zwischen welchen drei Eingänge in das Innere der Kirche führen. Das Dach ist, wie bei italienischen Gebäuden, flach und mit einfachen gothischen Zierrathen versehen; in der Mitte erhebt sich eine kleine Kuppel. Der Thurm an der Seite ist unansehnlich.~~Fig. 2. Der Königssitz zu Axum.~~Dicht bei der vorigen Kirche, innerhalb ihrer Mauern, bemerkt man ein altes Monument, das sich nur durch seine Einfachheit auszeichnet. Es besteht aus vier ägyptischen achteckigen Säulen, zwischen denen ein viereckiger Stein liegt. Auf diesem sassen bei der Krönung ehemals die Könige von Abyssinien, daher auch der Name: Königssitz. Bruce fand hier eine griechische Inschrift zu den Füssen des Sitzes, welche anzuzeigen schien, als hätte der König Ptolemäus Evergetes dieses Denkmal errichtet. Herr Salt, der Secretär des Lord Valentia, dem wir die neueste, so wichtige, Reise durch Abyssinien verdanken, sah nichts mehr davon. Die Form der Säulen lässt allerdings auf ägyptische Kunst schliessen; aber ob man deswegen bis zum Ptolemäus Evergetes zurück gehen müsse, dürfte schwer zu entscheiden seyn.~~131
Ad00341 06 056a/freMélanges CLVI. Vol. VII. No. 54.
MONUMENS CURIEUX DE L'ABYSSINIE.
Fig. 1. L'église d'Axum.
On trouve à Axum, ancienne capitale de Tigre et peut être même de VAbyssinie entière, une des plus belles églises qu'il y ait dans ce pays chrétien. Elle est située à l'extrémité septentrionale de la ville actuelle, et paraît avoir remplacé une ancienne pagode; du moins les ruines des obélisques et des statues, égiptiennes semblent-elles annoncer une destination différente, dans son origine, du culte chrétien. Il doit y avoir eu dans le septième siècle avant la naissance de JesusChrist une église de bâtie, mais qui fut détruite en 1526 dans la guerre avec les Mahomëtans. L'église, Fig. urée ici, a été construite en 1657. A en juger par son air gothique, il est vraisemblable que le plan en a été fait par des architectes arabes ou portugais, qui habitaient alors ce pays Cette église a 40 pieds de haut, sur 111 de long, et 51 de large. On voit sur le devant des piliers carrés, massifs,, de 5 pieds d'épaisseur, entre lesquels sont les portes de l'église. Le toit est, comme dans les édifices italiens, plat et décoré d'ornemens gothiques et simples; au milieu s'élève une petite coupole. De côté le clocher n'a pas la moindre apparence.
Fig. 2. Le siège des rois d'Axum.
Près de l'église sus-mentionnée, en dedans de ses murs, se voit un monument remarquable par sa seule simplicité. Il est aussi formé par quatre colonnes égyptiennes octogones , entre lesquelles se trouve une pierre carrée. C'était là -dessus que s'asseyaient les anciens rois VAbyssinie, lors de leur couronnement; de là vient le nom Siège des Rois. Bruce trouva au bas de ce siège une inscription grecque', qui semblait annoncer que c'était le roi Ptolomée Everget.es, qui arait érigé ce monument. Monsieur Sait, secrétaire du. Lord Valentia, à qui nous devons l'important voyage de VAbyssinie et le plus récent, n'en a rien vu. La forme des colonnes annonce sans doute quelques rapports avec l'art égyptien, mais il serait téméraire de décider, si' l'on doit le faire remonter jusqu'à Ptolomée Evergetes..
Ad00341 06 057aUnter den ausgebreiteten merkwürdigen Ruinen von Axum in Abyssinien bemerkt man auf einem grossen Platze mehrere umgestürzte und einige noch stehende Obelisken, an denen die ägyptischen Formen unverkennbar sind. Unter den stehenden Obelisken ist der höchste der hier auch abgebildet ist, 80 Fuss hoch, und aus einem einzigen Granitblocke gebildet; übrigens sorgfältig mit ausgehauenen Linien, Quadraten und Zirkeln, die wohl keine Hieroglyphen sind, geschmückt von den schönsten Verhältnissen. Eine solche Masse in die Höhe zu richten, hat Maschinen erfordert, von denen man bei den heutigen Abyssiniern keinen Begriff mehr hat; wie denn überhaupt das ganze Denkmal von einem besseren Zustande der Künste und der Cultur zeugt, als man gegenwärtig in diesem Lande antrifft. Neben diesem colossalen Kunstwerke steht ein Daru-Baum, dessen Riesenhaftigkeit das tropische Vaterland anzeigt. Wenn dieser Obelisk errichtet worden, ist unbekannt. Er steht jetzt da, als ein Denkmal der Grösse und Pracht der alten Stadt Axum, welche ehemals die Hauptstadt von hat Abyssinien gewesen zu seyn scheint.~~131
Ad00341 06 057a/freMélanges CLVIII. Vol. VII. No. 55.
L'OBÉLISQUE D'AXUM.
On remarque, parmi les diverses belles ruines les Abyssiniens actuelsVont plus aucune idée. à'Axutn, en Abyssiaie, sur une grande place, En général ce "Monument prouve que les arts plusieurs obélisques renversés,: et quelques- et la culture -y ont été dans un ç*tat beaucoup uns encore sur pied,qui décèlentl'art égyptien, plus florissant, que ne l'est celui de nos jours. Celui qui est figuré ici est le plus haut de A côté de ce chef-d'oeuvre colossal est un tous ceux qui sont encore debout; il a gopieds arbre,nommé Daru, dont le volume démesuré , de haut; il est fait d'un seul bloc de granit annonce que le tropique est sa patrie. On et soigneusement orné de lignes, de carrés et ignore quand cet obélisque a été érigé. Mainde cercles qui y sont taillés, parfaitement pro- tenant il est là pour attester la grandeur et la portionnés, et qu'on ne saurait prendre pour magnificence de l'antique ville tfAxum, qui des hiéroglyphes. Pour lever et placer une paraît avoir été autrefois la capitale de toute pareille masse, il a fallu des machines, dont VAbyssinie.
Ad00341 06 058aFig. 1. Der Hollunder-Spanner. (Phalaena Geometra Sambucaria. L.)~~Der hier abgebildete schöne schwefelgelbe Nachtfalter ist unter den teutschen, und fast auch unter den übrigen europäischen Spannern der grösste; es ist ein Weibchen; die Männchen dieser Art sind etwas kleiner gestaltet. Den Namen Spanner hat er wegen dem auffallend sonderbaren Gange, den er als Raupe befolgt; man sehe solchen bei b linker Hand auf der Tafel. Wegen Gestalt und gerader Haltung werden diese Raupen auch Ast-Raupen genannt. Sie nähren sich zwar von mehrerlei Pflanzen, am meisten aber von den Hollunder-Blättern, daher der Beiname dieses Spanners. Die verschiedenen Figuren der Raupe zeigen solche theils im ganz jugendlichen Alter, wie bei b rechts, wo sie an Fäden sich aufgehängt halten, theils im mittleren Wachsthume, und theils ganz erwachsen. Die geschmeidige rothbraune Puppe (c) hält sich in einem Gewebe auf, welches die Raupe vor der Verpuppung an einem Aste aufhängt.~~Fig. 2. Der kurzrüssliche Spanner. (Phal. Geom. Elinguaria. L.)~~Dieser bald mehr ledergelbe, bald mehr strohgelbe ansehnliche Spanner mit breiter röthlichbrauner Querbinde hat einen so äusserst kurzen Rüssel, dass man solchen nicht bemerken kann; daher sein Beiname. Die Raupen desselben bei A zeichnen sich hinlänglich als Spanner- und Astraupen aus; sie werden zwar sehr oft auf Birnbäumen angetroffen, leben und nähren sich aber auch ebenfalls von den Blättern der Eichen, Schlehen und der Geissblattarten. Im August schlüpfen sie aus den Eiern hervor, und verkriechen sich im Herbst zum Winterschlafe, kommen im Frühjahre wieder hervor, und erreichen erst zu Ende des Mai ihre volle Grösse von 2 Zoll. Sie verwandeln sich sodann, wie die untere Abbildung bei B zeigt, in einem Blatte zu einer glänzenden rothbraunen Puppe, aus welcher nach 14 Tagen der Nachtfalter hervorgeht.~~132
Ad00341 06 058a/freInsectes LXI. Vol. VII. No. 56.
PHALÈNES GEOMÈTRES D'ALLEMAGNE.
Fig. 1. Phalène souffrée. (Phal. Geom. Sambucaria. L.)
Cette Phalène souffrée, figurée ici, est un des plus grands Géomètres de l'Allemagne et même de presque tous ceux du reste de l'Europe; c'est une femelle. Les mâles de cette espèce sont d'une forme plus petite. On lui donne le nom de Géomètre à cause des pas singuliers qu'elle fait dans l'état de chenille ; voyez la à b à gauche sur la planche. On la nomme aussi arpenteuse en bâton tant à cause de sa forme que de sa tenue droite. Cette chenille se nourrit, il est vrai, des feuilles de plusieurs plantes, mais principalement de celles du sureau. Les différentes formes de cette chenille sont figurées à b à droite, soit lorsqu'elle est encore jeune et qu'elle est suspendue à des fils; soit lorsqu'elle a atteint là moitié de sa croissance, soit lorsqu'elle est parvenue à sa grandeur naturelle. La Nimphe souple et d'un brun rougeâtre se tient dans un tissu que la cnënilïe attache à une branche avant de se changer eu chrysalide.
Fig. 2. Phalène aglosse. (Phal. Geom. Elinguaria. L.)
Cette belle Phalène, tantôt d'un jaune de peau, tantôt d'un jaune de paille, avec une bande transversale, large et d'un brun, rougeâtre, a la trompe-si petite qu'on peut à peine l'apercevoir. Sa chenille se qualifie suffisamment à ^comme arpenteuse en bâton, et géomètre. On la trouve souvent sur des poiriers, mais, elle vit de préférence sur les chênes, les prunelliers et les aubépines, et se nourrit de leurs feuilles. Elle sort des oeufs au mois d'août, se met en chrysalide à l'automne, reparaît au printems, et atteint à la fin de mai sa grandeur naturelle, qui est de 2 pouces. Elle se métamorphose alors, comme le montre la figure inférieure à B, dans une feuille, en chenille d'un brun rougeâtre, qui 1.6 jours après se métamorphose en phalène.
Ad00341 06 059aDer Schneeball bildet eine Pflanzengattung von 27 Arten, welche aus lauter Sträuchen besteht. Von diesen sind aber nur zwei in Teutschland einheimisch, welche wir auf gegenwärtiger Tafel kennen lernen wollen.~~Fig. 1. Der wollige Schneeball. (Viburnum Lantana. L.)~~Der wollige Schneeball oder Schlingstrauch wächst ausser Teutschland in Frankreich, Italien und mehreren Theilen von Europa wild. Er bildet einen schönen 10-12 Fuss hohen Strauch. Die eirund länglichen Blätter, am Grunde etwas herzförmig, sind leicht gezähnt, und auf der oberen Fläche wollig oder haarig. Die weissen Blumen, welche im Mai und Junius erscheinen, sitzen an den Enden der Zweige, und bilden ästige Afterdolden. Die eirunden, plattgedrückten Beeren sind Anfangs grün, dann werden sie roth und zuletzt schwarz. In der Schweiz macht man Dinte daraus. Die jungen Zweige werden zu Pfeifenrohren, und wegen ihrer Biegsamkeit zu Schlingen und Bändern gebraucht; auch besitzen die Blätter Arzeneikräfte. - Wegen seines guten Ansehens, wegen seiner häufigen Blüten und bunten Früchte, pflanzt man diesen Strauch auch häufig in Gartenanlagen an.~~Fig. 2. Der gemeine Schneeball. (Viburnum Opulus. L.)~~Der gemeine Schneeball oder Wasserholder wächst durch ganz Europa auf nassem festem Boden, und bildet einen Strauch von der Höhe des vorigen. Die Blätter sind in drei spitzige, gezähnte Lappen getheilt. Im Mai kommen an den Enden der Zweige in grossen flachen Afterdolden die weissen Blumen zum Vorschein; die äussersten Blüten sind um sechsmal grösser, als die inneren, und gleichen in der Form denen der Hortensie, die inneren kleineren bloss bringen im September die rothen Beeren hervor.~~Durch Verpflanzung in die Gärten und fortgesetzte Cultur hat man aus dem gemeinen einfachen Schneeballe eine schöne Varietät gezogen, welche aus grossen, weissen, unfruchtbaren Blüten besteht, die einen kugelrunden Ball bilden, und eigentlich den Namen Schneeball verdienen.~~132
Ad00341 06 059a/frePlantes CXXVIII. Vol. VII. No. 57.
DIFFERENTES ESPÈCES DE VIORNES.
La Viorne forme un genre de plantes de 27 espèces, qui comprend des arbrisseaux à feuilles opposées; mais comme il n'y en a que deux espèces d'indigènes à l'Allemagne, nous les avons figurées sur la planche ci-jointe.
Fig. 1. La Viorne cotonneuse.(Viburnum Lantana. L.)
La Viorne cotonneuse est un bel arbrisseau de 10 à 12 pieds de haut, qui croît sans culture en Allemagne, en France, en Italie et dans plusieurs parties de l'Europe» Ses; feuilles sont pétiolées, en coeur, légèrement dentées, blanchâtres en dessous et cotonneuses en dessus. Les fleurs blanches, qui paraissent au mois de mai et de juin, sont placées à l'extrémité des rameaux en corymbes, ayant l'apparence d'ombelles. Les baies ovoï des applaties sont d'abord vertes , puis elles deviennent rouges et enfin noires. En Suisse on en fait de l'encre. On se sert des rameaux pour tuyeaux de pipe; et ils sont si souples qu'on en fait des noeuds coulants et des rubans. Les feuilles sont bonnes en médecine. On la plante aussi dans les jardins tant à cause de la beauté de l'arbre, de ses fleurs abondantes, que de la diversité des couleurs de ses fruits.
Fig. 2. La Viorne obier. (Viburnum Opulus. L.)
Cet arbrisseau, qui parvient à la hauteur du précédent, se trouve dans toute l'Europe; il aime les terrains marécageux. Les feuilles sont- divisées en trois lobes pointues et denter lées. Au mois de mai paraissent au sommet des rameaux les fleurs blanches,, formant de fausses ombelles; celles de la circonférence sontsixfois plus grandes,;que celles du centre, et ressemblent de loin aux fleurs deThortensie. Il n'y a que les petites fleurs du centre qui produisent au mois de septembre des baies rouges. Cette Viorne, transplantée et cultivée avec soin de^ns les jar.iins-, produit une jolie variété, ayant de grandes fleurs blanches stériles,, qui forment une boule sphérîque, et qui lui ont fait donner le nom de boule de neige ou pelote de neige.
Ad00341 06 060aFig. 1. Ansicht der Stadt Macao.~~Macao liegt auf einer kleinen Insel gegenüber der Stadt Canton, und ist die einzige Besitzung, welche irgend einer europäischen Macht im Gebiete des chinesischen Reichs gehört. Die Portugiesen erhielten das kleine Stück Land, auf welchem sie 1585 die Stadt Macao erbauten, vom Kaiser Chy-Tsong, zur Belohnung ihrer Dienste gegen die Rebellen und Seeräuber.~~Der Anblick der Stadt ist lachend und schön; sie ist amphitheatralisch auf einer Anhöhe erbaut und macht sich schon von weitem durch die weiss angestrichenen, im europäischen Geschmack erbauten, Häuser bemerklich. Man sieht eine Menge schöner Gebäude, welche auf grossen Plätzen stehen, und mit ansehnlichen Höfen und Gärten umgeben sind; die meisten von ihnen aber sind unbewohnt, denn Macao ist von seiner ehemaligen Bedeutsamkeit herabgesunken, seitdem die Portugiesen von Japan verbannt wurden, und den Handel mit diesem Reiche, dessen Haupt-Niederlage Macao war, verloren haben. -~~Die Stadt hat bedeutende Festungswerke, die aber jetzt zum Theil verfallen, und nur von einer schwachen Besatzung von 150 Mann Sepoy's oder indischen Soldaten vertheidigt werden. -~~Fig. 2. Die Höhle des Camoens.~~Der berühmte Dichter Camoens, der Homer der Portugiesen, lebte, während seiner Verbannung aus dem Vaterlande, in Macao. In der Grotte eines Gartens, (hier abgebildet) der gegenwärtig dem Director der englischen Factorei gehört, soll er seine berühmte Lusiade (ein Heldengedicht, welches die Entdeckungen der Portugiesen in Ostindien besingt) gedichtet haben. Die Aussicht aus diesem Garten auf das Meer und die Stadt Macao ist reizend genug, um, besonders unter jenem schönen Himmel, einen Dichter zu begeistern.~~132
Ad00341 06 060a/freMélanges CLIX. Vol. VII. No. 58.
LA COLONIE PORTUGAISE DE MACAO EN CHINE.
Fig. 1. Coup d'oeil de la ville de Macao.
Macao, situé dans une petite île, vis-à vis de la ville de Canton, est la-seule.possession, qui appartienne à une puissance quelconque de l'Europe dans le territoire chinois. Cette petite portion de pays fut donnée par l'Empereur Chy-Tsong&ux Portugais en récompense des services, qu'ils lui avaient rendus contre les rebelles et les pirates. Ils y bâtirent en 1585 la ville de Macao. On ne voit rien de plus beau ni de plus jriant que le site de cette ville, qui, bâtie en amphithéâtre sur une hauteur, attire de loin l'attention par la blancheur de ses maisons construites à l'Européenne. On trouve sur de grandes places de beaux édifices, pourvus de cours et de jardins; mais la plupart sont inhabités, car Macao a beaucoup perdu de son importance, depuis que les Portugais ont été chassés du Japon, et qu'ils ont perau le commerce de cet empire, dont Macao était le principal magasin. La ville a des foTtifications importantes, mais qui sont maintenant en très-mauvais état et qui ne sont défendues que par une faible garnison de !5oCipayes ou soldats indiens.
Fig. 2. La grotte de Camoens.
Camoens, célèbre poète, l'Homère des Portugais, vécut, pendant son exil, h Macao.' C'est dans la grotte d'un jardin, ici figuré, et dont le directeur de la factorerie anglaise est maintenant possesseur, qu-il doit avoir composé sa célèbre Lusiade, poëme épique, où il chante les découvertes des Portugais dans les Indes orientales. La perspective de ce jardin, qui donne sur la mer et la ville, est vraiment assez attrayante pour inspire* «a. poète, surtout sous un si beau ciel.
Ad00341 06 061aFig. 1. Der schwimmende Courier.~~In den gebirgigen Gegenden von Quito, wo reissehde Ströme die Schiffahrt und den Brückenbau erschweren, ist man zur Unterhaltung der Correspondenz auf den Ausweg gerathen, schwimmende Couriers abzufertigen, welche die Briefe von Quito nach Jaen bringen. Man bedient sich dazu gewöhnlich der Indianer. Dieser Wasser -Courier schwimmt zwei Tage lang über drei grosse Ströme, wo er häufig sich vom Strome abwärtstragen lässt, bisweilen aber bei gefährlichen Wasserfällen ans Land steigt und seinen Weg durch die Wälder fortsetzt. Er wickelt seine Briefe in ein Schnupftuch oder in ein Paar Beinkleider, und befestigt das Paket gleich einem Turbane um den Kopf; daneben steckt er noch sein großes Messer, womit jeder Indianer versehen ist, um sich in den dichten Wäldern Bahn zu machen. Da die Ströme sehr reissend sind, so muss der arme Courier sich mit grosser Anstrengung flott zu erhalten suchen. Um weniger zu ermüden, nimmt er einen Ast von leichtem Holze unter die Arme. Zur Unterhaltung begleitet ihn bisweilen ein Gefährte. Beide reisen ohne Lebensmittel, und finden ihre Wohnung in den gastfreien Hütten an den Ufern der Ströme.~~Fig. 2. Das Haus der Incas.~~Auf den grossen Landstrassen hatten die Incas oder einheimischen Könige, Gebäude für sich und ihr Gefolge errichten lassen. Der festen Bauart wegen haben sich mehrere noch bis auf unsere Zeiten erhalten. Die Figur a zeigt den Plan oder Grundriss eines solchen Gebäudes, c einen Theil der inneren Mauer eines Zimmers, und b den nämlichen Theil von aussen. Bei d und e ist die Zusammenfügung der Theile sichtbar gemacht.~~132
Ad00341 06 061a/freMélanges CLX. Vol. VII. No. 59.
CURIOSITÉS DE L'AMÉRIQUE MÉRIDIONALE ESPAGNOLE.
Fig. 1. Le Courier-nageur.
La rapidité des fleuves rend, dans les contrées montagneuses de Quito , la navigation et la construction des ponts si difficiles, que, pour l'entretien de la correspondance , on s'est avisé d'établir des comiers-nageurs, qui portent les lettres de Quito à Jaën; ce sont ordinairement les Indiens, qui font ce service. Ce Courier nage pendant deux, jours sur trois grands fleuves, où il se laisse souvent aller au torrent; mais quelquefois, •lorsqu'il se trpuve des cataractes ou chûtes d'eau périlleuses, il descend à terre, et continue sa.route à travers les forêts. Il enveloppe ses lettres dans un mouchoir, ou une culotte, qu'il atr tache autour de sa tête en forme de turban; il place à côté son grand couteau, dont tout Indien est pourvu, pour.se frayer une route dans les épaisses forêts, qu'il traverse. Comme les fleuves sont extrêmement rapides, le pauvre Courier, a besoin-défaire tousrses. efforts pour n'être pas. submergé; mais pour semoins fatiguer, il prend sotis le bras une branche de bois;3éger; il a aussi quelquefois un compagnon de voyage. Us partent l'un et l'autre sans secharger d'aucune espèce de vivres, et se logent dans les huttes hospitalières situées sur les bords des fleuves.
Fig. 2. La maison des Incas.
Les Incas, ou rois indigènes, avaient fait construire pour eux et leur suite des édifices sur les grands chemins. Us étaient bâtis avec tant de solidité qu'il y en a quelques uns qui existent encore. La figure a montre le plan d'un pareil édifice; c, une partiedu mur intérieur d'un appartement; b, la même partie en dehors. L'encastrement des parties, est. visible à cl et à e.
Ad00341 06 062aDer Chimborasso (sprich Tschimborasso) ist der höchste Gipfel der Cordilleren, jener riesenhaften Gebirgskette im spanischen Süd-America, welche sich von der Südspitze der neuen Welt bis an die Landenge von Panama erstreckt, welche Nord- und Süd-America scheidet.~~Die Abbildung dieses höchsten Berges der Erde ist aus Herrn von Humboldts Reisen genommen. Die untere Region ist hier nicht sichtbar, weil die Ansicht des Chimborasso auf der, 9000 Fuss über der Meeresfläche erhaben liegenden, Ebene von Tapiau genommen ist. Die ganze Höhe dieses Riesenberges beträgt 19,632 Fuss über der Spiegelfläche der Südsee. - Auf den hohen Ebenen von Tapiau sieht man hier nur solche Pflanzen, welche in der kühlen Region noch ausdauern können, als den peruanischen Mastix-Baum (Schinus molle), Cactus u.s.w. Einige Lama's weiden auf der vorderen Fläche, und Indianer ziehen hinüber auf den Markt nach dem hohen Dorfe Lican. Auch die Luftschichten lassen sich deutlich auf den verschiedenen Höhen des Berges unterscheiden; während sich der Fuss in dünne durchsichtige Nebel hüllt, wird höher hinauf die Bläue des Himmels tiefer und der schneebedeckte Gipfel macht scharfe Umrisse in der reinen Luft auf dem völlig indigofarbigen Himmel, wodurch der Anblick an Majestät und Schönheit erhöht wird.~~Die abgestumpfte Kegelform des Gipfels macht es nicht unwahrscheinlich, dass dieser Berg durch ein Erdbeben aufgeworfen worden, oder unterirdischen Feuern seinen Ursprung verdanke.~~132
Ad00341 06 062a/freMélanges CLXI. Vol. VII. No. 60.
LE CHIMBORASSO DANS L'AMÉRIQUE MÉRIDIONALE.
Le Chimborasso (prononcez Tschimborasso) est le sommet le plus élevé des Cordillères, cette chaîne de montagnes gigantesques, située dans l'Amérique méridionale espagnole, qui s'étend de la pointe du sud du nouveau monde jusqu'à l'isthme de Panama, et qui sépare l'Amérique du Nord de l'Amérique du Sud. C'est aux voyages de Mr. de Humboldt que nous devons la représentation de la montagne la plus élevée de la terre. On ne voit point ici la basse région,. parceque la perspective du Chimborasso est prise de la plaine de Tapiau, élevée de 90OO pieds audessus de la surface de la mer. La hauteur totale de cette montagne gigantesque est de 19,632pieds. On ne trouve sur les plateaux que les plantes qui résistent aux régions froides, telles.que le Molle, le Cactus etc. On voit paître sur le plateau de devant quelques Lamas, et des Indiens se rendent au marché du village Lican. On distingue aussi facilement, des différentes hauteurs, les couches de l'air; car pendant que le pied est enveloppé d'un brouillard fin et transparent, l'azur du ciel est, en remontant, plus foncé, et le sommet couvert de neige forme de fortes disparates avec le ciel d'un bleu d'indigo, ce qui donne au coup d'oeil plus d'éclat et de majesté. Il est très-vraisemblable, à en juger par la forme conique émoussée du sommet, que cette montagne a été produite par un tremblement de terre, ou par quelque feu souterrain.
Ad00341 06 063aDie auf gegenwärtiger Tafel abgebildeten prachtvollen Gebäude sind unter der Regierung des jetzigen Kaisers Alexander I. ausgeführt worden, und sind hauptsächliche Zierden jener grossen Residenzstadt.~~Fig. 1. Die neue Kathedral-Kirche zur Mutter Gottes von Kasan.~~Die erste Idee zu dieser prächtigen Hauptkirche fasste schon der Kaiser Paul I. im Jahr 1800, und liess den Plan dazu vom Architekten, dem Hofrath Woronichin machen. Am 27. August 1801 legte der jetzt regierende Monarch Alexander I. an der Newskischen Perspective den Grundstein, und unter Leitung des Grafen Strogonow wurde nach dem ersten Plane vom Hofrath Woronichin der Bau binnen 10 Jahren geendigt. Durch eine im Halbzirkel vorspringende Colonnade (nach der der Peterskirche in Rom gebildet), an deren äusserem Ende die kolossalen bronzenen Statuen der Erzengel Gabriel und Michael stehen, gelangt man zum Hauptgebäude, welches die Form eines Kreuzes hat, und sich oben in eine Kuppel endigt. Die ganze Höhe beträgt 217 Fuss Rheinl. Das Innere hat 3 grosse reiche Altäre, und wird durch 56 Säulen getragen, welche jede bei 35 Fuss Höhe aus einem einzigen Stück des schönsten Granits aus Finnland besteht. Ausserdem ist das Innere der Kirche mit Marmor, Jaspis und Bronze noch auf das reichste verziert. -~~Fig. 2. Das neue Börsengebäude auf Wassili-Ostrov.~~Eben sowohl zur Zierde, als zum Nutzen dient das neue Börsengebäude auf Wassili-Ostrov, welches nach dem vom Minister Grafen Romanzov im Jahr 1804 vorgelegten und genehmigten Plane gebaut wurde, und bereits geendigt ist. Nach den Angaben des französischen Architekten Thomon bildet dieses neue Börsengebäude auf einer erhabenen Basis ein prachtvolles längliches Viereck mit einem Säulengang umgeben, und ist im Inneren von oben her beleuchtet.~~Die vordere Façade, welche wir hier erblicken, liegt dem kaiserl. Winterpallaste gegenüber, und davor bildet das schöne Granitufer einen grossen geräumigen Halbzirkel, von wo man zur Newa gelangen kann. Zu beiden Seiten stehen 120 Fuss hohe kolossale Rostral-Säulen, inwendig hohl, so dass man hinauf steigen kann. Nach ihnen können die von Kronstadt heraufkommenden Schiffe ihren Lauf richten.~~Dieses neue Börsengebäude bildet mit den vorstehenden Rostral-Säulen auf dem freien Platz einen ungemein grossen und schönen Anblick.~~133
Ad00341 06 063a/freMélanges CLXII. Vol. VII. No. 61.
ÉDIFICES REMARQUABLES À ST. PÉTERSBOURG.
Les magnifiques édifices Fig. urés sur ïa planche ci-jointe, ont été bâtis sous le règne de l'empereur actuel, Alexandre I. et sont les principaux ornemens de cette grande capitule.
Fig. 1. La nouvelle cathédrale de notre Dame de Kasan.
L'empereur Paul I. avait déjà conçu le projet en 1800 de faire bâtir cette superbe cathédrale, et en avait fait faire le plan parle conseiller aulique Woronichin, célèbre architecte. Le 27 août Igor, l'empereur actuel, Alexandre I. en posa la première pierre sur la perspective Nevski, et cet ouvrage a été achevé en 10 ans sous la conduite du comte de Sirogonow, d'après le plan donné par le conseiller aulique Woronichin. Une colonnade en demi-ceicle, exécutée d'après celle de St. Pierre à Rome, ayant à son extrémité extérieure les statues colossales en bronze des archanges Gabriel et Michel, conduit au bâtiment principal, qui a la forme d'une croix, et se termine en haut par un dôme. La hauteur totale est de 217 pieds. L'intérieur contient 3 grands autels très-riches, et est soutenu par 56 colonnes, dont chacune, quoique haute de 35 pieds, est formée d'un seul morceau du plus beau granit de Finnlande. L'intérieur outre cela est. richement décoré en marbre, jaspe et en bronze.
Fig. 2. La nouvelle bourse sur le Wassili-Ostrov.
La nouvelle bourse, bâtie sur le WassiliOstrov, d'après le plan qui en fut présenté en 1804- par le ministre comte de Romanzov, et qui fut adopté, est autant pour l'ornement que pour l'utilité de la capitale; cet édifice est déjà terminé. D'après le plan de M. Thomon, architecte françois, cette nouvelle bourse forme sur une base élevée un superbe quarré-long, entouré d'une colonnade, et l'intérieur est éclairé par en haut. La façade de devant, ici figurée, est située vis-à-vis du palais d'hiver; et sur le devant, le beau rivage de granit forme un grandi demi-cercle très-spdcieux, d'où l'on peut arriver à la Neva. Des deux côtés sont des colonnes rostrales colossales de 120 pieds de haut, creuses en dedans, de sorte qu'on peut y monter. Les vaisseaux qui remontent la Neva, en venant de Cronstadt, peuvent diriger leur course d'après elles. Cette nouvelle salle offre avec les colonnes rostrales, qui la devancent, un coup d'oeil magnifique et majestueux sur la place qui est ouverte de tous côtés.
Ad00341 06 064a(Ptychosperma gracilis. Labill.)~~Diese merkwürdige Palmen-Art entdeckte der französische Naturforscher Labillardière, welcher die, zu Auffindung des unglücklichen La Perouse bestimmte, See-Expedition begleitete, in der Südsee auf der Insel Neu-Ireland.~~Erstaunungswürdig wird dieser Baum dadurch, dass der Schaft bei einer Höhe von 60 bis zu 65 Fuss Höhe (man muss sich das, wegen Mangel des Raums herausgeschnittene und mit * und ** bezeichnete Stück zu dem ganzen Schaft hinzudenken) nur 2 bis 3 Zoll im Durchschnitt hat. Das äussere Holz des Schaftes besteht aus schwärzlichen Längsfasern, und ist von solcher Härte, dass sie nur schwer mit der Axt durchhauen werden können. Dadurch bilden diese festen Längsfasern, die sonst mehr nach der Mitte zu liegen, eine solche starke Hülse um den Baum, dass sie ihn nicht bloss in der beträchtlichen Höhe aufrecht erhalten, sondern dass der Schaft auch noch eine blätterreiche Krone tragen kann.~~Die acht bis zehn Blätter, welche, wie bei den wahren Palmen, bloss auf der Spitze des Schaftes sitzen, sind gefiedert, und haben eine Länge von 4 bis 5 Schuhen. Die Fiederblättchen sind unregelmässig gezahnt, der Länge nach gestreift, und die Spitze mehr oder weniger schief abgestutzt. Die Blüten haben einen sechsblättrigen Kelch, sitzen auf einem ästigen Blütenkolben, welcher in den Ansatzwinkeln der Stiele entspringt, und drei Fuss lang wird. Die Frucht besteht aus einer länglich-rothen fleischigen Beere. Inwendig sitzt eine eirunde, von aussen kastanienbraune, von innen weisse harte Nuss, welche Aehnlichkeit mit der der Areka-Palme hat, und auch wohl zur Bereitung des Betels gebraucht werden könnte. Der Schaft ist seiner Festigkeit wegen zu mehreren Arbeiten gut zu gebrauchen.~~133
Ad00341 06 064a/frePlantes CXXIX. Vol VII. No. 62.
LE FRÊLE PALMIER DE LA NOUVELLE IRLANDE. (Ptychosperma gracilis. Labill.)
Ce genre de Palmier si remarquable a été dé- mais qu'il porte une couronne formée de beaucouvert par le naturaliste françois La Biliar- coup de feuilles. dièrekla Nouvelle Irlande, dans la mer du Les 8 à 10 feuilles qui couronnent la sömsud, lors du voyage entrepris pour la recherche mité du tronc, comme celle du véritable Pal. de l'infortuné La Pérouse. mier, sont ailées. Leur longeur est de 4 à 5 pieds. Les folioles sont irrégulièrement denCet arbre est étonnant en ce que le tronc tées, striées Iongitudinalement, et leur exn'a d'épaisseur que 2 à 3 pouces, quoiqu'il trémité est plus ou moins obliquement trons'élève à la hauteur de 60 à 65 pieds [il faut quée. Les fleurs ont pour calice 6 folioles, et ajouter à la totalité du ;ronc le morceau mar- sont portées par un répirne très- rameux, sorti que * et **, qu'on a été obligé d'en séparer' d'un spathe, et qui parvient à la longueur de faute d'espace], La circonférence du tronc 3 pieds. Le fruit consiste en une baie ovale, est composée de fibres noirâtres d'une telle rouge et charnue. Elle contient une amande dureté, qu'ils opposent beaucoup de résistance ovaire, en dehors couleur de marron, blanaux coups redoublés de la hache. Ces fibres, châtre intérieurement, qui a beaucoup d'ana:qui dans les autres cas se concentrent vers le logie avec celle de l'Arec, et dont on pourrait milieu, forment autour de l'arbre une écorce probablement se servir dans la préparation du si forte, que non seulement le tronc se sou- bétel. On met ce bois à plusieurs usages à tient très-droit malgré sa hauteur prodigieuse, cause de sa farce prodigieuse.
Ad00341 06 065aFig. 1 u. 2. Der Priamus-Tagfalter. (Pap. E. T. Priamus. L.)~~Es ist dieses einer der grössten und prachtvollsten Tagschmetterlinge, welcher jedoch nur selten in europäischen Insekten-Sammlungen anzutreffen ist, und theuer bezahlt wird. Er .ist auf der ostindischen Insel Amboina zu Hause, und auch da nicht häufig zu finden.~~Die Fig. 1. zeigt solchen in fliegender Stellung auf der Oberseite, so wie Fig. 2. in sitzender Stellung von der unteren Seite. Im Natursysteme steht dieser Tagfalter an der Spitze der trojanischen Ritter, und führt den Namen des unglücklichen trojanischen Königs Priamus; ferner nennt man ihn auch den amboinischen grünen Sammet-Vogel.~~Der Pinsel vermag nicht, die Lebhaftigkeit und den Seidenglanz der grünen, so wie der Sammetartige der schwarzen Farbe seiner Flügel nachzuahmen. Doch dient die Richtigkeit der Grösse, so wie der Umrisse und Flecken der Flügel dazu, sich eine genaue Vorstellung des prächtigen Priamus zu machen.~~133
Ad00341 06 065a/freInsectes LXII. Vol. VII. No. 63.
PAPILLONS EXOTIQUES D'UNE GRANDEUR EXTRAORDINAIRE.
Fig. 1. et 2. Le Priam, ou le Velouté d'Amboine. (Papilio E. T. Priamus. L.)
Ce Priam est nxx des plus grands et Aes plus magnifiques papillons; on ne le trouve que rarement dans nos collections d'Insectes, aussi est-il très-cher. Il est indigène à l'île d'Amboine, et même n'y est-il pas très-commun. La première figure représente le dessus de son corps dans l'état de vol, et la seconde, le dessous en état de repos. Ce papillon tient dans le système de la nature le premier rang parmi les chevaliers troyens, aussi porte-1-il le nom du malheureux Priam roi de Troie, ou celui de Velouté A'Amheino. Le pinceau ne peut imiter ni l'éclat ni la vivacité du vert, ni le velouté du noir de ses aîles. Cependant la justesse de la grandeur, les contours et les taches des aîles servent à donner une idée précise de ce superbe Priam.
Ad00341 06 066aWir staunen, wenn wir den Bau unserer gemeinen Bohne durch das Mikroscop vergrössert betrachten, über die kunstvolle Einrichtung, welche der Schöpfer den inneren Theilen gegeben hat. Unsere Kupfertafel zeigt bei Fig. 1. das unterste Stück mit den zwei untersten, zuerst entstandenen Blättern eines Stängels von der gemeinen Bohne. Fig. 2. ist derjenige Theil des Bohnenstängels, welcher zwischen den zwei ersten Blättern und bis zur Linie a b der Fig. 1. sich befindet, sehr stark vergrössert und sowohl von oben herab, als quer durchgeschnitten vorgestellt, um den Bau der inneren Theile desselben vor Augen zulegen. Die gleichen Buchstaben zeigen sowohl auf dem Vertikal, als auf dem Horizontal-Durchschnitte die gleichen organischen Theile an. Bei a sieht man einen Durchschnitt des untersten Blattstiels, bei b den Durchschnitt eines Zweiges, der aus dieser Blattachsel herausgetrieben worden ist. In der Mitte dieser beiden Durchschnitte sieht man die sechseckigen Zellen des Markes, desgleichen auch bei dem Buchstaben c der Durchschnitte des Hauptstängels. Zwischen c und d befindet sich ein engmaschigeres Zellgewebe aus Splint: zwischen diesen und den Markzellen stehen ringsum bei f Bündel von Schraubengefässen, deren Schraubenfäden sich aufrollen lassen, wie man bei g sieht. Mit der Zeit füllen sich die Höhlungen der Schraubengefässe aus; dergleichen verstopfte Gefässe sieht man bei dem Buchstaben i. Zwischen dem engen Zellgewebe des Splintes befinden sich ringsum bei k Bündel von Treppengefässen und bei l Bündel von halsbandförmigen (angeblich porösen) Gefässen. Bei m sieht man die zuletzt entstandene Splintlage, die an das Zellgewebe d der Rinde gränzt. Auf der grünen Oberhaut des Stängels sieht man einzelne Härchen und in den kleinen Rundungen die Saugöffnungen der Oberhaut. Das Ausführlichere über Alles dieses findet man im Commentar zu dieser Tafel.~~133
Ad00341 06 066a/freMélanges CLXIII. Vol. VII. No. 64.
STRUCTURE INTÉRIEURE D'UN PIED DE FÈVE.
Lorsque par le moyen du microscope nous lettre c le diamètre de la tige principale.' considérons la structure de notre fève ordi- Entre c et d se trouve un tissu à cellules sernaire, nous sommes surpris de l'ordre ingé- rées d'aubier. Entre celui-ci et les cellules nieux dans lequel le créateur en a classé les de la moelle sont tout autour à / des faisparties intérieures. Notre planche représen- ceaux de trachées, ou vaisseaux spirales, dont te Fig. . I. le bas de la tige de notre fève avec les files se déroulent, comme on le voit à g. les deux feuilles primordiales. La Fig. . 2. est Avec le tems les cavités des vaisseaux spirales la partie de la-tige qui se trouve entre les s'obstruent; la lettre i nous les figure dans cet deux feuilles primordiales et descend jusqu'à état. Entre le tissu cellulaire de l'aubier se la ligne a b de la première figure, mais qui trouvent tout autour à k des faisceaux de fausest représentée très-grossie, coupée aussi bien . ses trachées, et à l des faisceaux de vaisseaux par en haut que transversalement, pour don- en chapelet. On remarque à m la dernière ner une idée claire de sa structure intérieure, couche d'aubier, qui touche au tissu cellulaiLes lettres égales désignent, aussi bien dans re de l'écorce. On découvre sur l'épiderme un diamêire vertical qu' horisontal, les par- vert de la tige quelques poils epares, et dans ties organiques égales. On voit à a le dia- les petites cavités rondes les porses de l'épimêtre d'un pétiole, à B le diamètre d'un rejeT derme. Le commentaire de cette planche ton, sorti de l'aissèle de cette fnuiUo a« «tonnt. «». a
Ad00341 06 067aAuf dieser Tafel sehen wir zwei getreue Nachbildungen von dem Ansehen des grossen Kometen vom Jahr 1811, welcher sich mehrere Monate lang unsern blossen Augen so schön darstellte, und um so besser beobachtet werden konnte, da wir in dem vorigen Jahre so anhaltend vortreffliche und heitere Witterung genossen. Wir erblicken diesen letztern Kometen bei Fig. 1. so, wie sich derselbe einige Tage vor seiner grössten Sonnen-Nähe den 10. September Abends im Sternenbilde des grossen Bären darstellte; und bei Fig. 2., wie derselbe zur Zeit seiner grössten Erdnähe am 15. October oberhalb der nördlichen Krone zu sehen war.~~Dieser Komet war nicht bloss wegen seiner Grösse und langen Sichtbarkeit für's blosse Auge, sondern noch vielmehr wegen des Umstandes merkwürdig, dass der Schweif desselben, dessen Arme sich auf der Sonnenseite des Kometen um diesen herum zu einem Bogen vereinigten, nicht unmittelbar - wie bei dem Kometen von 1807- mit der leuchtenden Scheibe des Kometen in Eins zusammenfloss, sondern beträchtlich weit, von dieser Scheibe abstand, so dass zwischen der leuchtenden Kometen-Scheibe und dem leuchtenden Kometen-Schweife ein dunkelerer Raum zu sehen war, welcher zu verschiedenen Zeiten ab- und zunahm; welches Verhältniss der ausführliche Text unseres Bilderbuchs besonders erläutert. - Auch zeigt die Tafel, dass sowohl durch den leuchtenden Kometenschweif, als durch den dunkeleren Zwischenraum zwischen dem Schweife grössere und kleinere Sterne noch sehr deutlich zu sehen waren; so wie, dass zu verschiedenen Zeiten der Schweif ein verschiedenes Ansehen hatte.~~133
Ad00341 06 067a/freMélanges CLXIV. Vol. VII. No. 65.
LA GRANDE COMÈTE DE 1811.
Cette planche donne deux représentations fidèles de la forme de la grande Comète de l8t r, visible pendant plusieurs mois à la seule vue, et qu'on a pu d'autant mieux observer, que la tems a été dans cette année constamment beau et serein. La Fig. 1. la représente au moment, où elle entra, quelques jours avant son périhélie, qui eut lieu dans la soirée du lO Septembre, dans la constellation du grand ours, et la Fig. 2., telle qu'elle était le 15 Octobre au dessus de la couronne boréale, lors de son périgée. Cette Comète est remarquable non seulement pap rapport à sa grandeur et à sa longue visibilité, mais encore par la particularité que sa queue, dont les faisceaux, en se reunissant formaient autour de la Comète, du côte' du soleil, un demi cercle, ne touchait pas immédiatement au noyau lumineux de la Comète — comme ce fut le cas en »807 — mais s'en éloignait considérablement, de sorte qu'entre le noyau lumineux on distinguait dans la queue lumineuse un espace ténébreux, qui croissait et décroissait en differens tems. -— Voyez dans les explications détaillées dé notre portefeuille d'enfant les détails que nous donnons de ce phénomène. — Notre planche montre aussi qu'on apercevoit distinctement des étoiles plus ou moins grandes, tant à travers la queue lumineuse de la Comète que dans l'espace ténébreux, et que la queue, vue de divers côtés, avait un tout autre aspect.
Ad00341 06 068aDer Meissner im Königreiche Westphalen ist ein sehr ausgebreitetes Flötzgebirgs-Hochland, welches sich bis in die Nähe der Residenz Cassel hinzieht, so dass die dortige Napoleonshöhe als eine Fortsetzung des Meissners zu betrachten ist. Dieses Hochland ist durch viele, auf seinem Rücken eingefurchte, Thäler in eine Menge Berghöhen zerschnitten, die von unten auf alle vorzüglich aus Flötzkalkstein und Sandstein bestehen, und in so weit sie daraus bestehen, auch alle ziemlich einerlei Höhe haben. - Auf diese gemeinschaftliche Unterlage sind aber noch mancherlei andere weichere und härtere Steinschichten aufgesetzt, unter welchen sich auch mächtige Lager von Braunkohlen, und grosse Massen von Basalt befinden, welche besondere Berge bilden. Der auf unserer Tafel, nach einer Original-Zeichnung abgebildete sogenannte Kitzkammer-Berg, ist ein solcher Basaltberg, welcher aus unzähligen, dicht neben und über einander liegenden, Basaltsäulen besteht, deren dunkele Farbe mit der grünen Pflanzen-Bekleidung, die sich hier und da zwischen ihrer Oberfläche angesiedelt hat, eine sehr angenehme Wirkung auf das Auge macht. Die Benennung Kitzhammer oder Kautzkammer rührt von einer, linker Hand am Abhange befindlichen, auf der Tafel angedeuteten Höhle her, welche der Aufenthalt vieler Eulen oder Käutze ist.~~134
Ad00341 06 068a/freMélanges CLXV. Vol. VII. No. 66.
BASALTES PRISMATIQUES DE LA CAVERNE DES CHOUETTES SUR LE MEISNER.
Le Meisner, situé dans le royaume de West- vent de fortes couches de charbons de terre plialie, est un terrein élevé de la troisième brunâtres, et d'énormes masses de prismes formation très-étendu, qui se prolonge jus- basaltiques, qui forment des montagnes parque dans le voisinage de la résidence Casse], ticulières. La caverne des chouettes, figurée de sorte que la Napoléons-Höhe doit en être d'après un dessin original sur notre planche, considérée comme une continuation. Ce ter- est une montagne de basalte, formée d'un rein élevé est coupé par des vallons sillonnés nombre infini de basaltes prismatiques placés sur son dos en montagnes* qui d'en bas sont les uns sur les autres et très-serrés,' dont la formées surtout de chaux carbonates de la couleur foncée mariée à la verdure de queltroisième formation et de grès; et elles ont ques plantes, qui se sont fixées ça et là sur assez la même hauteur, chaque fois que-ces leur surface, produit un effet très-agréable à matériaux les constituent, Mais sur cette base la vue. Le nom de Caverne des chouettes générale reposent plusieurs espèces de cou- provient d'une caverne située sur le penchant ches pierreuses superposées beaucoup plus à gauche, et désignée sur notre planche, parriches et plus dures, sous lesquelles se trou- cequ'elle sert d'asyle à beaucoup de chouettes.
Ad00341 06 069aFig. 1. Die Speisefrucht-Eiche. (Quercus Esculus. L.)~~Die Speisefrucht-Eiche ist in wärmeren europäischen Ländern, vorzüglich in Griechenland, Dalmatien, Italien, Spanien etc. einheimisch. Sie ist von niedrigem Wuchse; die jungen Zweige derselben sind schön purpurroth; die halbgefiederten, zum Theil gezahnten Blätter sind im Alter oberhalb glatt, und nur unterhalb behaart. Die Eichelfrüchte (bei a und b) sind wie die gemeinen Eicheln gestaltet, haben aber keinen herben, sondern süssen Geschmack, und werden in den genannten Ländern theils gebraten oder geröstet, theils gekocht verspeist, theils zu Mehl gemahlen, um Brod daraus zu backen. Die Kelche (a), welche die Eicheln unterhalb umfassen, sind mit Schuppen besetzt, und werden im Alter braun.~~Fig. 2. Die Knopper-Eiche. (Quercus Aegilops. L.)~~Die Knopper-Eiche ist, ausser Spanien, ebenfalls auf den griechischen Inseln, auch in der asiatischen Türkei einheimisch, hat weniger tief ausgeschnittene, breitere, oberhalb glatte hellgrüne, unterhalb aber filzige Blätter. Die Eicheln B sind 2 Zoll lang, dunkelbraun, und. der Länge nach zart gestreift. Sie werden fast gänzlich von einem sehr grossen, mit bräunlichen Schuppen besetzten, fast runden Kelche (A) umschlossen und versteckt. Diese Kelche heissen im Morgenlande Velanede, und sind ein sehr geschätzter Handelsartikel zur Färberei, statt der Galläpfel. Im Teutschen nennt man sie jedoch auch Knoppern.~~134
Ad00341 06 069a/frePlantes CXXX. Vol. VII. No. 67.
CHÊNES ÉTRANGERS DIGNES DE REMARQUE.
Fig. 1. Le chêne grec ou petit chêne. (Quercus Esculus. L.)
Le chêne grec, indigène aux pays chauds de l'Europe, mais particulièrement à la Grèce, à la Dalmatie, à l'Italie, à l'Espagne, ne parvient qu'à une hauteur médiocre. Les jeunes pousses sont d'un beau pourpre; les feuilles à demi plumassées, en partie dentées, sont unies en haut, et couvertes de poil en bas. Les glands, à a et b conformés comme les ordinaires, sont très-doux et non âpres, et on les mange dans les pays sus-mentionnés, rôtis, grillés, ou cuits dans l'eau; on les fait aussi moudre pour en faire du pain. La coupe (a) qui contient le gland, est recouverte d'écailles et brunit en mûrissant.
Fig. 2. Le chêne à grosses cupules. (Quercus Aegilops. L.)
Ce chêne, indigène non seulement à l'Espagne, mais aux îles de la Grèce, et à la Turquie asiatique a les feuilles moins échancrées, plus larges, d'un vert clair, unies en haut mais pointues en bas. Les glands B, ayant 2 pouces de long, sont d'un brunfoncé, et ont de légères raies longitudinales. Ils sont presque entièrement renfermés dans une cupule A, presque ronde, très-grande, recouverte d'écaillés brunâtres. Ces cupules se nomment dans l'Orient Velanède et sont un grand objet de commerce, parcequ'elles remplacent dans la teinture la noix de galle. L
Ad00341 06 070aFig. 1. a. Der Remus-Tagfalter. (Pap. E. T. Remus. L.)~~Der auf der Tafel Fig. a abgebildete, sehr grosse ausländische Tagfalter ist auf der ostindischen Insel Amboina zu Hause, und gehört zu den trojanischen Rittern, ob ihm gleich zuweilen die rothen Flecken an der Brust fehlen, welche sonst das charakteristische Kennzeichen dieser Abtheilung ausmachen. Die hier nicht abgebildete Unterseite der Flügel ist fast durchaus eben so beschaffen, wie die Oberseite. Graulich weisse, mit schwarzen Adern durchzogene Stellen auf schwarzem Grunde sind bei den Vorderflügeln, und eine schöne gelbe, durch schwarze Adern in Felder abgetheilte Mittelscheibe, in welcher schwarze Flecken stehen, sind bei den Hinterflügeln dieses Schmetterlings der Hauptcharakter. Manche Weibchen dieser Art haben, statt der schwarzen Grundfarbe der Flügel ein tiefes Braun. Das hier bei a abgebildete Exemplar ist jedoch ebenfalls ein Weibchen.~~Bei Fig. b ist hier bloss vorläufig die Unterseite des Panthous-Tagfalters abgebildet; das nächste Blatt wird auch die Oberseite abgebildet liefern, und da soll die Beschreibung dieses sehr grossen Amboinischen Tagfalters nachfolgen.~~134
Ad00341 06 070a/freInsectes LXIII. Vol. VII. No. 68.
PAPILLONS EXOTIQUES D'UNE GRANDEUR EXTRAORDINAIRE.
Fig. 1 a. Le Rémus. (Papilio E. T. Remus. L.)
Ce Papillon exotique d'une grandeur énorme, figuré à a, indigène à l'île d'Amboine dans les Indes orientales, appartient à la famille des chevaliers troyens, quoique souvent il n'ait pas sur la poitrine les taches rouges, qui forment la caractéristique de ce genre. Le dessous des aîles, non représenté ici, est à peu près comme le dessus. Des bandes d'un blanc grisâtre, entremêlé de veines noires, sur un fond noir, forment le caractère distinctif des aîles de devant ; Un disque central, d'un beau jaune, tacheté de noir, divisé en compartiments par des veinés noires, est le caractère principal des aîles de derrière de ce papillon. Il y a des femelles de eé genre qui, au lieu du fond noir des aîles, ont un brun foncé. Cependant l'exemplaire qûenous avons sous les yeux à a est une femelle. La
Fig. b. ne représente ici préalablement que le dessous du Pahthous ; la planche suivante figurera aussi le dessus et sera accompagnée de la description de ce très-grand papillon à'Amboine.
Ad00341 06 071aDer Panthous-Tagfalter. (Papilio Panthous. L.)~~Wir sehen auf gegenwärtiger Tafel das Weibchen des Panthous von der oberen Seite, von dem wir die untere bereits auf voriger Tafel No. 68. kennen lernten. Dieser überaus grosse prächtige Tagfalter findet sich, wie wir bereits erwähnten, auch auf der Insel Amboina. Die Grundfarbe aller Flügel ist kastanienbraun; alle Flügel sind oberhalb mit einem breiten schwarzen Rande versehen, und mit einer Menge weiss und röthlicher Flecken geziert. - Der Kopf, so wie der Rumpf, sind schwarz; der Hinterleib aber gelb.~~Das Männchen, welches wir nicht abgebildet haben, ist in der Farbe mit dem Weibchen ganz übereinstimmend, nur ist es kleiner, als letzteres. - Die Raupe und die Puppe des Panthoust sind bis jetzt noch nicht bekannt geworden.~~Die Raupe und die Puppe des Panthous sind bis jetzt noch nicht bekannt geworden.~~134
Ad00341 06 071a/freInsectes LXIV. Vol. VII. No. 69.
PAPILLONS EXOTIQUES D'UNE GRANDEUR. EXTRAORDINAIRE.
Le Panthous. (Papilio Pauthous. L.)
La planche ci-jointe figure le dessus de. la femelle àa.'Panihous, dont nous avons vu le dessous,- à la planche précédente, No. 68- Ce superbe et énorme papillon se trouve aussi, comme nous l'avons déjà observé, dans l'île tfAmboine. Le fond de la couleur de toutes ses ailes est d'un brun de marron; toutes les aîles sont pourvues par en haut d'un bord large et noir; et ornées d'une quantité de taches blanches et rougeâtres. La tête et le tronc sont noirs, mais le derrière du corps est jaune. La couleur du mâle, que nous n'avons point figuré-ici, est absolument la même que celle de la femelle; mais il est plus petit que ïa dernière. , On ne connaît encore ni la chenille ni la chrysalide du Pantkous.
Ad00341 06 072aFig. 1. Der knollige Tang. (Fucus bulbosus. Esper. F. palmatus. L.)~~Es ist dies eine der grössten Tangarten, indem die Wedel derselben bis zu 30 Fuss Länge wachsen; die Abbildung giebt daher nur eine Vorstellung nach einem sehr verjüngten Massstabe. Die Wurzel besteht aus einem Knollen, der in der Jugend von Haselnuss Grösse, im Alter von Kopf Grösse und inwendig hohl ist. Der Stamm ist in der Mitte der Länge nach aufgeschwollen, an den beiden Seitenkanten läuft aber derselbe schmal zu, und ist daher zweischneidig. Oberhalb breitet er sich aus, und treibt viele Wedel hervor, welche von ungleicher Länge und Breite gekrümmt sind, und an ihren Spitzen oft in Zacken und Lappen sich weiter zertheilen. Die Farbe ist im Alter dunkelröthlich-braun. Die Substanz Anfangs hautartig, zuletzt zähe und lederartig. Dieser Tang wächst sehr häufig an den westlichen Küsten von England.~~Fig. 2. Der gefranzte Tang. (Fucus ciliatus. L.)~~Dieser findet sich in vielen Gegenden des nördlichen Oceans, besonders häufig an den Klippen der Küsten von Gross- Britannien. Es giebt eine grosse Menge von Abänderungen desselben, indem die Gestalt der Wedel, nach Verschiedenheit der Standorte der Pflanzen, sich bald mehr, bald weniger abändert. Die auf der Tafel dargestellte Form dieses Tanges kann man als die Grundform desselben betrachten. Die Wurzel besteht aus einem sehr kleinen Knollen, der mit Fasern umkleidet ist. Aus ihr geht ein kurzer Stamm hervor, welcher sich in viele unregelmässige Wedel ausbreitet, die sich wieder in Seitenzweige zertheilen, nach oben spitz zulaufen, und ringsum an den Seiten mit kurzen Franzen besetzt sind. Die Farbe derselben geht aus Rosenroth in dunkel Cochenilleroth über. - Die Schottländer und Isländer kochen und essen die jungen Wedel dieses Tanges. -~~134
Ad00341 06 072a/frePlantes CXXXI. Vol. VII. No. 70.
ESPÈCES DE VAREC REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Varec à tubercules. (Fucus bulbosus. Esper.)
Ce Parée est un des plus grands, puisque ses expansions sont quelquefois de 30 pieds; notre planche ne le figure que d'après une échelle très-resserrée. Il a pour racine un Tubercule, gros dans l'enfance comme une noisette, et dans la vieillesse, comme la tête, et fistuleux en dedans. Le tronc, enflé par le milieu, se rétrécit des deux côtés, de sorte qu'il est à deux tranchants. Il s'élargit par en haut et pousse plusieurs expansions de diverses longueur et largeur, qui sont courbées, et qui se divisent souvent à leur extrémité en pointes et en lambeaux. 11 est d'un brun tirant sur le rouge foncé. Sa substance, qui d'abord tient de la peau, devient coriace peu à peu et finit par ressembler à du cuir. Ce Varec se trouve en abondance sur les côtes occidentales de l'Angleterre.
Fig. . 2. Le Varec frangé. (Fucus ciliatus. L)
Ce Varec croît dans plusieurs contrées de l'Océan septentrional, mais il est le plus abondant dans les écueils des côtes de la grandeBretagne. Il y en a un grand nombre de modifications, en ce que la forme des expansions se diversifie plus ou moins, d'après la diversité des lieux où croissent les Varecs. La forme de celui qui est figuré sur notre planche peut en être regardée comme le type fondamental. La racine consiste en un tubercule, qui est recouvert de filaments, dont sort une tige" très-courte, portant plusieurs expansions'irrégulières, qui se subdivise t en d'autres branches. Vers le haut elles sont pointues et frangées tout autour. La couleur est d'un rose qui se perd dans un rouge de cochenille foncé. Les Ecossais et les Irlandais font cuire et mangent les jeunes expansions de ce Varec.
Ad00341 06 073aWir liefern in gegenwärtigem und folgendem Hefte eine Reihe interessanter Darstellungen aus der Türkei, um daraus die Sitten, Gebräuche und Lebensart der Bewohner kennen zu lernen.~~Auf vorliegender Tafel sind verschiedene türkische National-Trachten und Scenen aus dem Serail oder der Wohnung des Sultans abgebildet. Die Kleidung ist asiatisch, wie die Türken selbst Asiaten sind, welche sich in Europa nur eingedrängt haben. Die weiten, meistens mit Pelz verbrämten Gewänder der Männer, die Turbans von verschiedener Form und Farbe findet man bei keiner andern europäischen Nation.~~Fig. 1. Der Sultan und Grossvezier.~~Wir sehen hier den Sultan oder türkischen Kaiser nach morgenländischer Sitte mit kreuzweis unterschlagenen Beinen sitzen. Er ist in weite Beinkleider und in einen reich mit Brillanten besetzten Pelz gekleidet. Den grünen, ebenfalls mit grossen Brillanten geschmückten Turban umgiebt eine weisse Binde und ziert eine prächtige Reiherfeder. Vor dem Sultan steht der Grossvezier oder erste Minister, dem er seine Befehle ertheilt. Der Turban des Veziers hat eine andere Form, denn in der Türkei wird der Rang vorzüglich an den Turbans erkannt.~~Fig. 2. Die erste Gemahlin des Sultans und der Thronerbe.~~Die erste Gemahlin des Sultans ertheilt ihrem Sohne, dem Thronerben, mütterliche Lehren. Unter den sechs oder sieben wirklichen Frauen des Kaisers erhält diejenige den Vorrang, welche ihm den ersten Sohn giebt, und behält diesen Rang so lange, als letzterer lebt. Kommt dieser zur Regierung, so erhält sie als Sultanin Mutter, wenn sie will, nicht selten bedeutenden Einfluss auf die Staatsgeschäfte.~~Fig. 3. Der Schwerdt- und Turbanträger des Sultans.~~Sie sind beide kaiserliche Hofbeamte, gehören zu den Grosswürdeträgern des Serails, und werden aus den kaiserl. Pagen erwählt. Der Schwerdträger hat zugleich das Amt eines Oberhofmeisters und Obermundschenks, und ist, des nahen Umgangs mit dem Sultan wegen, eine bedeutende Person.~~Der Turbanträger hat einen weniger hohen Rang, und ist eine Art von Garderobemeister.~~Fig. 4. Oberaufseherin der Sclavinnen.~~Die Dame mit dem Stock und der Peitsche in den Händen ist die Usta-Kadin oder Oberaufseherin der Sclavinnen des Harems; sie bekleidet eine hohe Würde, zu welcher gewöhnlich abgedankte Favoritinnen gelangen. Die Instrumente in ihren Händen zeigen die Art der Zucht, welche sie ausübt.~~Die andern beiden Frauen sind Sclavinnen, welche zur Belustigung der Damen bestellt sind; die eine spielt ein türkisches Saiteninstrument, und die andere tanzt zu dieser Musik.~~135
Ad00341 06 073a/freCostumes XIII. Vol. VII. No. 71.
COSTUMES TURCS.
Le Cahier et le suivant fournissent une série de représentations intéressantes de la Turquie; elles doivent familiariser le lecteur avec les moeurs, les usages et le genre de vie de ses habitants. La planche ci-jointe offre divers costumes / nationaux et des scènes du Sérail, ou palais du Sultan. Les Turcs étant dés Asiates, qui se sont impatronisés en Europe, le costume est asiatique. On ne trouve chez aucune autre nation européenne pour les hommes ni ces habits larges bordés de pelleterie, ni les turbans diffarens en forme et couleur.
Fig. 1. Le Sultan et le grand Visir.
Ici est figuré le Sultan ou Empereur turc assis les jambes croisées d'aprè« l'usage, de. l'Orient. Il a des pantalons très-larges et une fourrure richement garnie de diamants. Le turban vert également orné de pierreries est entouré d'un bandeau blanc et surmonté d'une . aigrette. Devant le Sultan est le grand Visir ou premier ministre; il reçoit debout les ordres de son souverain. Le turban du Visir a une toute autre forme; car en Turquie c'est le turban surtout qui distingue les rangs.
Fig. 2. La première épouse du Sultan et l'héritier du trône.
La première épouse du Sultan donne à son fils des leçons maternelles. Celle des six ou sept véritables épouses du Sultan, qui la première lui donne un fils, a le rang sur les autres et le conserve aussi longtems que vit ce. fils.-Et si celui-là parvient au trône, il n'est pas rare qu'en qualité de Sultanne mère elle ait beaucoup d'influence.dans les affaires.
Fig. 3. Le Porte-glaive et le Porte-turban du Sultan.
Ces deux officiers de la cour impériale sont du nombre des grands dignitaires du Sérail, et sont choisis parmi les pages. Le Porteglaive réunit les dignités de grand-maître de la cour et de grand-écharison; c'est une personne très-irhportante parcequ'il approche le Sultan de très-près. Le Porte-turban est d'un rang moins élevé et fait les fonctions de grand-maître de la garde-robe.
Fig. 4. La Surintendante des esclaves.
La Dame qui a un bâton et un fouet à la main est la Usta-Kadinau Surintendante des esclaves du Sérail; c'est une haute dignité, dont sont ordinairement revêtues les favorites disgraciées. Les instruments dont ses mains sont armées désignent l'espèce de discipline qu'elle exerce. Les deux autres femmes sont des esclaves, commandées pour amuser les dames. L'une joue d'un instrument à cordes turc, et l'autre danse au son de cette musique. '
Ad00341 06 074aFig. 1. Der Kislar-Aga und eine Odahlic.~~Der Kislar-Aga ist der Befehlshaber der schwarzen Verschnittnen, welche die innere Wache in dem Harem des Sultans ausmachen. Ihr Chef, der Kislar-Aga, obgleich selbst ein Sclave, ist eine bedeutende Person, und gewöhnlich leitet er, im Einverständniss mit der Sultanin Mutter, die Hofintriguen. Wir sehen ihn hier in seiner gewöhnlichen Staatskleidung, die sich durch einen weiten Pelz mit langen Aermeln und einen grossen Turban auszeichnet.~~Die Dame, die neben dem Kislar-Aga abgebildet ist, gehört zu den Odahlic's oder dienstthuenden Frauen des Serails, deren es eine grosse Menge giebt.~~Fig. 2. Conditor und Musiker des Serails.~~Wir sehen hier zuerst einen Musiker und neben ihm einen Conditor des Serails; beide gehören zu dem Pagencorps des Sultans, das aus mehreren Hundert jungen Leuten besteht, die zum Dienst des Herrschers im Serail erzogen werden. Sie sind in verschiedene Kammern oder Departements getheilt, deren jedes seine eigenen, ihm angewiesenen Geschäfte hat; einige sind für die Musik; andere für die Garderobe; andere für die Zuckerbäckerei, andere für die Schreiberei bestimmt.~~Fig. 3. Der Staats-Secretair der Pforte.~~Der Tschauch-Baschy oder Staats-Secretair der Pforte ist einer der höchsten Staats-Beamten, welcher der Justizverwaltung vorsteht, die fremden Gesandten dem Grossherrn präsentirt, und Sitz im Staatsrath oder Divan hat. Der silberne Stab in seiner Hand ist eine Art von Heroldstab, den er bei feierlichen Audienzen führt. Der gewöhnliche Tshauch an seiner Seite ist ein Staatsbothe, und Unterceremonienmeister, der die Befehle des Sultans überbringt, und die Gesandten bei der Audienz begleitet.~~Fig. 4. Capydschi-Baschy's.~~Diese Figur stellt zwei Capydschi-Baschy's vor, welche man kaiserliche Kammerherrn nennen könnte. Das Corps der Capydschi's, deren Vorsteher sie sind, besteht nur aus etwa 400 Mann, welche die Thürhüter des Pallastes, und gewöhnlich die Ueberbringer der fatalen Schnur sind, wodurch der Sultan seine Diener erwürgt zu werden verurtheilt.~~Fig. 5. Der Reis-Effendi und ein Dragoman.~~Der Reis-Effendi oder Minister der auswärtigen Angelegenheiten erscheint hier in gewöhnlicher Tracht, mit einem Papier in der Hand, um sein Amt als Chef der Schreiber anzudeuten. Neben ihm steht ein Dragoman oder Dolmetscher, der jederzeit ein Christ ist, aber das Vorrecht geniesst, wie die Türken gelbe Pantoffeln tragen zu dürfen.~~Fig. 6. Ein Kaiserlicher Page, nebst seinem Lehrer.~~Bei Fig. 6 sehen wir einen Pagen, der mit dem Calam oder einer Rohrfeder nach den Dictaten seines neben ihm sitzenden Lehrers schreibt. So wie die Musik-Pagen in der Tonkunst, so werden die Pagen einer andern Kammer, auf Kosten des Kaisers, im Lesen und Schreiben unterrichtet.~~135
Ad00341 06 074a/freCostumes XIV. Vol. VII. No. 72.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1. Le Kislar-Aga et une Odalisque.
Le Kislar - Aga est le chef des eunuques ïioirs destinés à la garde de l'iatérieur du Sérail. Quoique esclave, le Kislar- Aga est un personnage de conséquence, et c'est ordinairement lui, qui, de concert avec la Sultanemère, conduit les intrigues de la cour. Nous le voyons dans ses vêtements ordinaires, irèscaractérisés par une pelisse large à longues manches et par un turban très-élévé. La femme figurée près du Kislar-Aga, est une Odalhque, c'est-à-dire une femme de service au Sérail; il y en a un grand nombre.
Fig. 2. Confiseur et musicien du Sérail.
Le premier qui se présente ici est le musicien, et le confiseur est à côté de lui. Ils font partie dû corps des pages du Sultan. Ce corps est composé de plusieurs centaines de jeunes gens que l'on élève dans l'intérieur du Sérail pour le service de l'empereur. Ils sont divisés en plusieurs chambres ou classes, dont chacune a ses fonctions particulières. Les uns s'occupent de la musique, les autres de la pâtisserie, ceux-là de l'écriture et ceux-ci sont destinés à la garde-robe.
Fig. 3. Le secrétaire d'état de la Porte.
Lé Tschauch- Baschy ou secrétaire d'état est un des premiers dignitaires de la Porte, très-versé dans l'exercice de la justice; il présente au Sultan les ambassadeurs étrangers, et siège au divan; La canne d'argent qu'il tient à la main est une espèce de caducée qu'il porte dans les audiences solennelles. Le Tschauch ordinaire à côté de lui est un messager d'état et sous-maître de cérémonies, qUi porte les ordres du Sultan et accompagne les ambassadeurs à l'audience.
Fig. 4. Capydschi-Baschy's.
Cette figure représente deux CapydschiBaschy's, à qui l'on pourroit donner,le nom de chambellans impériaux. Le corps deà Capydschis, dont ils sont les chefs, n'est que de 400 hommes à peu près. Ce sont eux qui gardent les portes du palais, et qui sont les porteurs ordinaires du fatal cordo,n à ceux des serviteurs, que le Sultan a condamnés à mort.
Fig. 5. Le Reis-Effendi et un Dragoman.
Le Reis-Effendi, ou Mrnistre des affaires étrangères est figuré ici dans son costume ordinaire, tenant un papier à la main, qui désigne qu'il est le chef des écrivains. A côté de lui est un dragoman ou interprête, qui est toujours chrétien, mais qui, comme les turcs, a le droit de porter des pantoufles jaunes.
Fig. 6. Un page avec son maître.
Nous voyons ici un page écrivant avec le. Calam, ou une plume de bambou, sous la dictée. de son précepteur. Comme les pages destinés à la musique l'apprennent aux dépens de l'empereur, de même bs pages d'une autre classe sont instruits dans la lecture et l'écriture. '
Ad00341 06 075aFig. 1 u. 2. Das Oberhaupt der Ulema's, und der Cadi.~~Fig. 1. giebt uns die Abbildung des Oberhauptes der Ulema's, welches die Schriftgelehrten der Türken sind. Die Ulema's bilden einen einzigen gelehrten Körper oder Stand, der aber aus 3 Classen von Mitgliedern besteht. 1) Aus denjenigen, welche den Gottesdienst verrichten. 2) Aus den Gesetzauslegern, welche Mufty's heissen, und 3) Aus den Richtern, welche in bürgerlichen Rechtshändeln entscheiden, und Cadhy's genannt werden. Ehedem wurde der Cadhy der Hauptstadt für das Haupt der Ulema's angesehen; der Sultan Solyman I. aber erklärte den Mufty von Constantinopel für das Oberhaupt aller Schriftgelehrten. Da der Koran oder die heilige Schrift der Mahomedaner das einzige bürgerliche Gesetzbuch der Türken ist, so sind bei ihnen alle Rechtsgelehrte zugleich Gottesgelehrte. Fig. 2 zeigt den Cadhy oder Oberrichter von Constantinopel.~~Fig. 3. Der Grossvezier, wie er vor der Armee herreitet.~~Fig. 4. Der Sekban-Baschy~~oder dritte Offizier der Janitscharen. Die Janitscharen sind der Kern der türkischen Infanterie; sie sind in Ortas oder Cohorten getheilt, und ihr oberster Anführer heisst Aga. Ein Theil bildet gewissermassen die Garde des türkischen Kaisers; die übrigen sind im Reiche vertheilt.~~Fig. 5. Ein Janitschar in Galla-Uniform.~~Fig. 6. Einer der untern Offiziere der Janitscharen.~~Er hat den türkischen Rosenkranz in der Hand, welcher aus 90 Kügelchen besteht, welche die 90 Eigenschaften Gottes, wie sie der Koran angiebt, vorsteilen.~~Fig. 7. Der Sergeant-Major der Janitscharen,~~der ihre Namen in das Register einträgt.~~Fig. 8, 9 u. 10. Türkische Reiterei.~~Fig. 8 zeigt einen Spahi in Galla. Die Spahi's sind kühne Reiter, und bilden die Garde zu Pferde des Sultans. Ihr oberster Offizier ist der Seliktar.~~Fig. 9 ein Dehly, oder leichter Cavalerist von der Garde des Grossveziers.~~Bei Fig. 10 sehen wir einen Mamelucken. Das Corps ist aus den kühnsten Reitern der Gebirgsvölker des türkischen Reichs zusammengesetzt.~~135
Ad00341 06 075a/freCostumes XV. Vol. VII. No. 73.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1 et 2. Le chef des Ulémas, et le Cadi.
Fig. 1 représente le chef des Ulémas ou lettrés turcs. Les Ulémas forment un seul corps de savants, qui cependant est composé de 3 ordres; 1) de ceux qui font l'office divin; 2) des interprêtes des lois, nommés Mouftis; .3) des juges, qui décident des affaires civiles et que l'on nomme Cadis. Autrefois le Cadi de la capitale étoit réputé chef suprême des Ulémas, mais Solyman I. accorda, ce glorieux titre au Moufti de Constantinople. L'alcoran étant le^seul code civil des mahométans, les jurisconsultes sont chez eux aussi théologiens. Fig. . 2 représente le Cadi ou. juge suprême de Constantinople.
Fig. 3. Le grand Visir à cheval à la tête de l'armée.
Fig. 4. Le Sekban-Bachy
ou troisième officier des Janissaires. Les Janissaires spnt l'élite de l'infanterie turque ; ils sont divisés en ortas ou cohortes et leur chef se nomme Aga. Plusieurs de leurs cohortes forment la garde à pied du Sultan, les autres sont réparties dans tout l'empire.
Fig. 5. Un Janissaire dans son uniforme de parade.
Fig. 6. Un officier subalterne des Janissaires.
Il tient a la main un chapelet de 90 grains, qui figurent les 90 qualités que l'alcoran attribue. à Dieu.
Fig. 7. Le Sergeant major des Janissaires,
qui inscrit leurs noms dans son registre.
Fig. 8, 9 et 10. Cavalerie turque.
Nous voyons à la Fig. 8 un Sp.âhi en grand uniforme. Les Spahis sont des cavaliers trèsdéterminés, et forment la garde à cheval du Sultan. Ils sont commandés par le Sélictar.
À Fig. 9 un Dèly, de la cavalerie légère de la garde du grand Visir.
À Fig. 10 un Mamelüuc. Ce corps est composé des cavaliers les plus hardis des peuples montagnards de l'empire turc.
Ad00341 06 076aDer grösste Staat der Türken besteht in einem zahlreichen Gefolge, das sie bei feierlichen Aufzügen hinter sich herziehen lassen. Fig. 1 zeigt daher zwei Hausoffiziere oder Bediente des Grossveziers, die zu seinem Staate gehören. Solche schön gekleidete Leute folgen ihm oft in grosser Anzahl, denn es hat Grossveziere gegeben, die gegen 2000 Bediente unterhielten.~~Fig. 2. u. 3. Der Oberkoch der Janitscharen und seine Begleiter.~~Fig. 2 stellt den Oberkoch der Janitscharen vor, der einen höhern Rang behauptet, als sein Titel anzuzeigen scheint. Er ist eine Art von Richter der Armee, und auf seinen Befehl erhalten die Janitscharen ihre Strafen. Sein Kleid ist von braunem Leder und so sehr mit seltsamen metallnen Zierathen versehen, dass er sich selbst kaum forttragen kann, und bei feierlichen Aufzügen von zwei Personen unterstützt werden muss.~~Bei Fig. 3 sehen wir zwei gemeine Janitscharen, welche den Kochkessel tragen, worinnen die Speisen in den Casernen gekocht werden. Der Offizier, der den grossen Kochlöffel trägt, hat den Rang eines Kapitäns. Eine Janitscharen-Compagnie, welche im Kriege ihre Kessel verliert, wird so für entehrt angesehen, als bei uns ein Regiment, welches seine Fahne verliert.~~Fig. 4. Seeleute.~~Der erste mit dem Mantel ist ein griechischer Matrose, der andere ein Seesoldat.~~Fig. 5. Soldaten, nach dem Nizam-Dschedid gekleidet.~~Sie sind von dem neuen, auf europäische Art exercirten Corps, das unter dem unglücklichen Sultan Selim III. errichtet wurde, und. so grosse Unruhen unter dem übrigen türkischen Militär verursachte. Diese neue Einrichtung wurde Nizam-Dschedid .genannt. Wir sehen hier einen Kanonier mit der Lunte und einen gemeinen Soldaten darnach gekleidet.~~135
Ad00341 06 076a/freCostumes XVI. Vol. VII. No. 74.
COSTUMES TURCS.
Le plus grand luxe des Turcs consiste en une suite nombreuse , qu'ils traînent après eux dans les grandes cérémonies. Fig. 1 représente deux officiers de la maison du grand Visir, lesquels font partie de sa pompe. Il a souvent à sa suite un très-grand nombre de ces "gens richement vêtus, car il y a eu des Visits qui ont entretenu au delà de 20OO domestiques.
Fig. 2 et 3. Le premier cuisinier des janissaires et ses assistants.
Fig. 2 représente le premier cuisinier des Janissaires,- il est revêtu d'une plus haute dignité que son titre ne paroît l'annoncer. C'est une espèce de juge de l'armée, et d'après ses ordres les janissaires reçoivent leur punition. Son habit est de peau d'une couleur brune, et si surchargé de bizarres ornements de métal, qu'il peut à peine se traîner lui-même, et äans les solennités il est toujours soutenu par deux personnes. À Fig. 3 nous voyons deux simples janissaires, qui portent le chaudron où l'on fait cuire les aliments dans les casernes. L'officier qui porte la grande cuillère a le rang de Capitaine. Une compagnie de janissaires, qui perd en campagne sa marmite,, est .aussi déshonorée que l'est chez nous le régiment qui perd son, drapeau. "
Fig. 4. Marins.
Celui qui a le manteau est un matelot grec, et le second un soldat de la marine.
Fig. 5. Soldats vêtus à la Nizam-Dschedid.
Ceux-ci font partie du nouveau corps exercé à l'européenne, qui fut formé sous le règne du malheureux Sultan Sélim III. et qui causa de si terribles séditions dans les autres corps militaires. On donna à cette nouvelle création le nom de Nizam-Dschedid. Nous voyons ici un canonnier avec la mèche et un simple soldat habillés d'après leur destination.
Ad00341 06 077aDiese Tafel versinnlichet uns einige religiöse Gebräuche der Türken.~~Fig. 1. Eine Moschee.~~Wir sehen hier eine Moschee oder ein mahomedanisches Bethaus, von aussen dargestellt. Man sieht zuerst einen viereckigen, mit Steinen gepflasterten Hof, wo sich die Andächtigen, in dem in der Mitte befindlichen Brunnen waschen und die Schuhe ausziehen, ehe sie in den Tempel gehen. Diesen umgiebt eine Säulengallerie, wo man die Gebete verrichten kann. Hier beten vorzüglich die Frauenzimmer, denen der Zugang in das Innere des Tempels nicht gestattet ist. Das Dach hat eine Hauptkuppel und kleine warzenförmige Nebenkuppeln, nach dem wunderlichen Geschmack der Muselmänner. Sie dienen nur zur Verzierung. Ein wesentlicher Bestandteil jeder Moschee aber ist der Thurm oder Minaret, der ungefähr in 2/3 seiner Höhe mit einer Gallerie umgeben, und auf seiner Spitze mit dem halben Monde geziert ist. Von Innen des Thurmes führt eine Treppe zur Gallerie, durch eine Thür, die allemal nach Mecca hin, der heiligen Stadt des Mahomed gerichtet ist. Aus dieser Thüre tritt zu gewissen Stunden des Tages ein Geistlicher, und ruft die Zeit aus, wenn die vorgeschriebenen Gebete von allen Muselmännern verrichet werden müssen.~~Fig. 2. Der Mufty.~~Fig. 2 zeigt den Mufty, oder das Haupt der geistlichen Gesetzausleger, der neben dem Grabe eines Sultans aus dem Koran das Todtengebet liesst. Nur bei dem Tode eines Sultans verwaltet der Mufty dieses Amt.~~Fig. 3. Betende Türken.~~Die fünf betenden Türken erscheinen in verschiedener Stellung; jede derselben ist durch den Koran vorgeschrieben, und das gewöhnliche Gebet Namaz, das die Muselmänner täglich fünfmal hersagen müssen, kann nicht vollendet werden, ohne dass diese Stellungen der Reihe nach angenommen werden.~~Fig. 4 u. 5. Derwische oder mahomedanische Mönche.~~Die Derwische theilen sich in sehr verschiedene, fast unzählbare Classen oder Orden. Sie sollen sich durch strenges Fasten und ein eingezogenes Leben zu frommen Menschen bilden, wissen aber wenig mehr als den Aberglauben des Volks durch alle Arten Betrügereien zu unterhalten. Durch den Genuss des Opiums setzen sie sich oft in eine Art von Entzückung, drehen sich taumelnd im Kreise herum und behaupten, dadurch zu ausserordentlichen Visionen zu gelangen.~~135
Ad00341 06 077a/freCostumes XVII. Vol. VII. No. 75.
COSTUMES TURCS.
Cette planche offre quelques cérémonies religieuses des Turcs.
Fig. 1. Une Mosquée.
Nous voyons ici-les dehors d'une Mosquée ou temple mahométan. On. aperçoit d'abord une cour carrée, pavée en piètres; dans laquelle se trouve la fontaine, où se lavent les fidèles avant de pénétrer dans le temple; ils quittent leurs souliers et les laissent dans cette cour, qui est entourée d'une colonnade où ils peuvent faire leurs prières. C'est ici surtout que prient les femmes, à qui l'accès de l'intérieur est interdit. Le toit a une coupole principale, et plusieurs autres petites de la forme d'une verrue, d'après le goût bizarre des Musulmans, lesquelles ne servent que d'ornements. Ce. qui forme une partie essentielle d'une mosquée c'est la tour ou le Minaret, pourvue d'une galerie aux deux tiers à peu près de sa hauteur, et ornée à sa pointe d'un croissant. Un escalier conduit de l'intérieur du clocher à la galerie par une porte qui est toujours tournée vers la Mecque, qui est la ville sainte de Mahomet. C'est à cette porte que paroît à certaines heures du jour un ecclésiastique, qui désigne le moment où les Musulmans doivent faire les prières prescrites par l'alcoran.
Fig. 2. Le Mufti.
Cette figure représente le Mufti ou chef des ecclésiastiques, lisant dans l'alcoran la prière des morts auprès du tombeau d'un Sultan, et ce n'est qu'à la mort d'un Sultan que le Mufti s'acquitte de cet office.
Fig. 3. Turcs en prières.
Les cinq turcs qui prient dieu ont chacun une posture différente; et chacune de ces postures est prescrite par le Coran. Le Narnaz, prière ordinaire que les Turcs doivent répéter cinq fois par jour , ils ne sauroient la finir sans avoir pris chacune de ces postures l'une après l'autre.
Fig. 4 et 5. Derviches ou moines mahométans.
Les Derviches forment divers ordres de religieux presque, innombrables. Ils doivent se former à la piété par le jeûne et une vie retirée , mais ils ne savent guère qu'entretenir la superstition du peuple par leurs fourberies. L'usage de l'opium les jette dans une espèce d'extase; ils font alors des contorsions et dansent en tournant. Us prétendent que par ce moyen ils ont des visions extraordinaires.
Ad00341 06 078aUnter den Turbans oder der Kopfbekleidung der Türken herrscht eine grosse Verschiedenheit, und man kann daraus, sowohl die Stände, als die Völker und Religionsverwandten erkennen.~~Fig. 1 zeigt den Turban oder Caouc eines Christen aus Natolien in. Klein-Asien.~~Fig. 2 ist eine Drusin vom Libanon; ihre wunderliche Mütze besteht aus Pappendeckel, Messing oder Silberblech.~~Fig. 3 zeigt den Kopfputz einer Griechin aus Natolien. Wenn der Schleier darüber geworfen wird, so hindert der grosse Rand des Hutes, dass er nicht unmittelbar das Gesicht berührt.~~Bei Fig. 4 bemerkt man eine Mütze von rothem Tuche mit schwarzem Sammt eingefasst, wodurch sich die persischen Armenier kenntlich machen, die sich in Natolien niedergelassen haben.~~Fig. 5 ist der messingene Kopfputz der christlichen oder jüdischen Frauen von Diarbekir im alten Mesopotamien, zwischen dem Euphrat und Tigris.~~Fig. 6 zeigt den Kopfputz einer vornehmen Frau aus dem Thale Faran in der Nähe des Berges Sinai. Die ägyptischen Frauen tragen sich auf ähnliche Weise.~~Bei Fig. 7 sehen wir den Turban oder Caouc eines vornehmen Geistlichen aus Cairo, der Hauptstadt in Aegypten.~~Fig. 8 stellt den Turban einiger griechischen Kaufleute aus dem Archipel vor.~~Fig. 9 zeigt die Mütze der griechischen Popen; sie ist gewöhnlich von schwarzem Filz.~~Fig. 10 der Turban der Gesetzausleger in Cairo.~~Fig. 11 die Mütze, oder der Kuloh eininger Derwische oder türkischen Mönche.~~Fig. 12 ein Turban, den die Bewohner von Cutahyeh tragen.~~Fig. 13 zeigt zwei gewöhnliche Kleidungen der türkischen Männer. Der eine ist in einen schönen Pelz gekleidet; bei dem andern bemerkt man den Shawl, den die Türken oft sehr malerisch um Kopf und Hals wickeln.~~Bei Fig. 14 ist eine türkische Mahlzeit vorgestellt.~~Fig. 13 zeigt zwei gewöhnliche Kleidungen der türkischen Männer. Der eine in einen schönen Pelz gekleidet; bei dem andern bemerkt man den Shawl, den die Türken oft sehr malerisch um Kopf und Hals wickeln.~~Bei Fig. 14 ist eine türkische Mahlzeit vorgestellt.~~136
Ad00341 06 078a/freCostumes XVIII. Vol VII. No. 76.
COSTUMES TURCS.
Il y a dans les turbans une grande diversité, qui sert à distinguer non seulement les états, mais encore les peuples et ceux qui sont de la même confession.
Fig. . 1 représente le turban ou Caouc d'un chrétien de Natolie dans l'Asie mineure. -
Fig. . a est une femme Druse du Libanon; son singulier bonnet est fait de carton et de feuilles de laiton ou d'argent.
No; 3 Fig. ure le chapeau d'une grecque de Natolie. Quand on jette le voile pardessus, le grand rebord du chapeau empêche qu'il ne touche immédiatementau visage. ;
A No. 4 on aperçoit uri bonnet de drap louge bordé de velours noir, par lequel se font reconnoître les Arméniens persans qui se sont établis en Natolie.
Fig. . 5 représente- la coiffure des femmes chrétiennes ou juives de Oiarbekir dans l'ancienne Mésopotamie entre l'Euphrate et le Tigre.
No. 6 Fig. ure la'coiffure d'une damé de la vallée1 de -Faran, près du'mont Sinaï.- Les égyptiennes ont aussi le'même costuma.
Fig. . 7 nous voyons1 le turban d'un prêtre du Caire, capitale, de l'Egypte. A
Fig. . 8 le turban de quelques négociants grecs de l'Archipel.
Nu. 9 Fig. ure' le bonnet des pôpé's grecs} il est ordinairement de feutre noir.' No. 10 le turban des interprètes des lois du Caire.
su No. 11 le bonnet ou Kul'oh de quelques derviches ou moines -turcs. No. 12 le turban que portent leshabitants de'Cutahyeh.
No. 13 Fig. ure les vêtements' ordinaires des Turcs. L'un a Une très-belle fourrure, et l'autre est orrié'd'un shavvl, que les turcs savent passer très-artistement autour de la tête et du cou.
No. 14 représente un repas turc.
Ad00341 06 079aFig 1 zeigt uns eine Türkin von Constantinopel, und Fig. 2 eine andere Frau dieser Nation aus der Provinz, beide, wie man sie auf öffentlicher Strasse sieht. Da die strengste Eingezogenheit den mahomedanischen Frauen zum Gesetz gemacht ist, so dürfen sie öffentlich nur so dicht verschleiert erscheinen, wie wir sie hier abgebildet sehen. Ueber ihrer Hauskleidung trägt die erstere einen weiten Tuchrock, Feredjeh genannt, in welchen sie sich völlig einwickeln kann, und über dem Kopf einen Schleier Hedjaz, von weissem Musselin, der die Stirn bedeckt. Die Frauen aus der Provinz verhüllen sich statt dessen in einen weiten Shawl oder Mantel.~~Fig. 3 u. 4 sind reiche und angesehene Griechinnen aus der Insel Andros, einem der schönsten und fruchtbarsten Eilande des Archipelagus. Als Christinnen gehen sie unverschleiert.~~Fig. 5 ist eine Griechin von der Insel Simia.~~Fig. 6 eine Bürgersfrau aus Pera, einer Vorstadt von Constantinopel, in welcher die fremden Gesandten wohnen. In dieser Tracht zeigen sich die Frauen nur in ihren Häusern, weil sie öffentlich verschleiert einhergehen.~~Fig. 7 ist eine Frau von der Insel Naxos, der grössten und schönsten der Cycladen. Die Frauen der Hauptstadt von Naxos sollen sehr eitel seyn. Ihre Tracht ist gefällig und artig.~~Fig. 8 zeigt uns eine Frau von der Insel Marmora mit ihrem Kinde.~~Fig. 9 stellt eine Frau von der Insel Argentiera vor. Die Frauen sollen schön seyn, entstellen sich aber durch ihre schwer beladene Kleidung.~~Bei Fig. 10 fallen besonders die Armschienen in der Tracht einer Frau von der Insel Scio auf; die Weiber dieser herrlichen Insel sind ihrer Schönheit und Leutseligkeit wegen berühmt, schaden aber, wie die vorigen, ihren natürlichen Reizen durch ihre seltsame Kleidung. Ihre Halsbänder, die aus an einander gereihten Ducaten bestehen, sind eine allgemeine Mode bei den Griechinnen.~~Fig. 11 zeigt eine Frau aus Spra, und Fig. 12 eine von der Insel Cypern. Die Kleidung beider Frauen hat viel Aehnlichkeit, doch zeigt der Schleier der ersten die Mahomedanerin und das unbedeckte Gesicht der andern die Christin an.~~136
Ad00341 06 079a/freCostumes XIX. Vol. VII. No. 77.
COSTUMES TURCS.
Fig. r montre une femme turque de Constan-
Fig. . 7 est une femme de l'Ile de:Naxos, la tinopie, et
Fig. . 2 une provinciale de la même plus belle et la plus grande d
(.s Cvclades. Ou nation, mises toutes deux comme on les voit attribue aux femmes de la capitale de Naxos dans les rues. Comme la loi leur prescrit une beaucoup de vanité. Leur costume est joli et vie extrêmement retirée, elles n'osent paroi- gracieux. * tre que très-soigneusement voilées, telles que .
Fig. . 8 représente une femme de l'île de nous les voyons ici. La première porte sur Marmora avec son enfant. ses habits ordinaires une robe de drap, large,
Fig. 9 nous fait voir une femme de l'île nommée Feredjeh j dont elle peut s'enye- d'Argentiera. C.es femmes sont jolies, mais lopper en entier, et sur la tête un voile, Hed- elles se dé
Fig. urent par les habits dont elles se jaz
(de mousseline blanche,)
qui lui couvre le surchargent. front. Les femmes des provinces, au lieu de
Fig. . 10. Les brassards sont ce que les femcette robe, se couvrent d'un Shawl ou d'un mes de l'île de Scio ont de plus saillant dans manteau. leur costume. Les femmes y sont célèbres
Fig. . 3 et 4 représentent des femmes grec- pour la beauté et l'affabilité, mais elles nuiques, riches et de distinction, de l'île d'An- sent à leurs charmes naturels par fa bizarerie dros, l'une des plus riches et des plus fertiles de leur accoutrement. Leurs colliers formés de l'Archipel. En qualité de chrétiennes elles de ducats enfilés sont d'une mode générale sortent dévoilées. chez les grecques.
Fig. . 5 est une grecque de l'île de Simia.
Fig. . Il représente une femme de Spra et
Fig. . 6 une bourgeoise de Pera, faux-bourg
Fig. . 12 une de l'île de Cypre. Leur costume de Constantinople, qu'habitent les ambassa- a beaucoup de ressemblance, cependant le deurs étrangers. Les femmes ne sont costu- voile de la première désigne la mabométanne, mées ainsi que dans l'intérieur de leurs et le . visage découvert de l'autre la chrémaisons, car elles ne sortent jamais sans être tienne, voilées.
Ad00341 06 080aFig. 1. Drei Frauen von den griechischen Inseln.~~Wir sehen drei Frauen von den benachbarten Inseln Scio, Samos und Mitylene (ehemals Lesbos), deren Tracht gleichwohl auffallend von einander abweicht. Die mittlere Frau ist von Samos und hat eine fast türkische Kleidung, wie man aus den weiten Beinkleidern sieht; dagegen glaubt man in der Mitylenerin, ihr zur Rechten, ein artig gekleidetes europäisches Landmädchen zu sehen. Die Sciotin in dieser Gruppe ist in gewöhnlicher Haustracht, während ihre Landsmännin auf voriger Tafel Fig. 10. sich in vollem Staate zeigt. Auf diesen Inseln massen sich die griechischen Frauen das Recht an, gelbe Pantoffeln zu tragen, was sich eigentlich die Türken allein vorbehalten haben.~~Fig. 2. Türkische Frauen.~~Diese Figur zeigt uns eine andere Gruppe, welche den Unterschied zwischen den türkischen und griechischen Frauen deutlich macht. Beide sind hier neben einander in der Kleidung dargestellt, wie sie sich in den Städten öffentlich auf der Strasse sehen lassen. Die Türkinnen sind ganz um Stirn und Kinn verschleiert; die Griechin dagegen erhält ihr Gesicht frei.~~Fig. 3. Drusische Frauen.~~Diese zwei drusischen Frauen sind aus der Gegend des Libanon. Die Drusen sind eine, von den ächten Muselmännern verschiedene Sekte, deren Stifter Hakem, ein grausamer Reformator war. Die Drusen sind Ackerbebauer. Die Frauen sind in der abgebildeten Gruppe beschäftiget, Korn in einer Handmühle zwischen zwei Steinen zu mahlen.~~Fig. 4. Asiatische Türkinnen mit Brodbacken beschäftiget.~~Ihr Brod ist ungesäuert, und besteht aus flachem Fladen, der auf die erhitzten Steine gelegt wird, und wenn er gebacken ist, sich von selbst ablös't. Die fleissige Bäckerin raucht Tabak, wie fast alle Türkinnen.~~136
Ad00341 06 080a/freCostumes XX. Vol. VII. No. 78.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1. Trois Femmes des îles de la Grèce.
Vous voyons ici trois femmes de Chio, Samos et Mitylene (autrefois Lesbos) ; ces îles sont voisines l'une de l'autre, et toutefois le costume de ces femmes est bien différent. Celle du milieu, qui est de Samos, a à-peuprès, le costume turc, comme le démontrent les pantalons larges dont elle est vêtue ; on croit voir au contraire dans celle de Mitylene, qui est à droite, une paysanne européenne joliment habillée, Celle de Chio est figurée ici, en habits ordinaires, pendant que celles que représente la planche précédente sont figurées dans leurs plus beaux atours. Dans ces îles les femmes grecques s'arrogent le droit de porter des pantouffles jaunes, privilège que les turcs se sont en quelque sorte réservé.
Fig. 2. Femmes turques.
Lé second groupe représenté ici rend très»ensible la différence qu'il y a entre les femmes grecques et les femmes turques. Elles sont figurées à côté l'une de l'autre dans les vêtements ordinaires qu'elles portent dans les villes, lorsqu'elles sortent publiquement. Les femmes turques ont le front et le menton voilés, pendant que la femme grecque a le visage entièrement découvert.
Fig. 3. Femmes Druses.
Ces deux femmes Druses sont des environs du Libanon. Les Druses forment une secte séparée de la vraie musulmane; le ]uge Hakem en fut un cruel réformateur. Les Druses sont un peuple cultivateur. Les femmes
Fig. urées ici sont occupées à moudre du blé entré deux pierres dans un moulin à main,
Fig. 4. Femmes turques d'Asie occupées à faire du pain.
Leur pain est sans levain ; c'est une tourte platte que l'on place sur les pierres brûlantes et qui se détache d'elle-même lorsqu'elle est cuite. La boulangère fume du tabac, ainsi que presque toutes les femmes turques.
Ad00341 06 081aFig. 1 u. 2. Tänzer und Tänzerin.~~Wir sehen hier einen Tänzer und eine Tänzerin, wie solche im Serail des Gross-SuItans, zur Belustigung der Damen des Harems ihre Künste zeigen. Diese Tänzer sind gewöhnlich Griechen, bisweilen auch Franzosen oder Italiener, welche in einem wohlbewahrten Hofe eingeführt werden. Die Damen sitzen dabei in verschlossenen Logen hinter Gittern, und sehen den Sprüngen der Possenreisser zu. Die Kleidung, besonders der Frauen, ist dem kunstvollen Tanz gewiss nicht vortheilhaft. In den Händen haben beide Tänzer Castagnetten, womit sie den Tact schlagen. Ausserdem werden ihre Sprünge gewöhnlich auch noch von Musik begleitet.~~Fig. 2. Frauen aus Syrien.~~Die eine Frau ist aus Aleppo, der Hauptstadt eines Paschaliks in Syrien, und die andere aus Antiochien, eine andere alte und berühmte Stadt, ebenfalls in Syrien, welche einen anschaulichen Begriff von der Kleidung asiatischer Türkinnen geben. Aleppo ist der Mittelpunkt des türkischen Handels mit Persien und Indien, daher die schönsten Stoffe hier zu haben sind.~~Fig. 3. Albanier oder Arnauten.~~Diese Gruppe macht uns mit der Tracht der Albanier bekannt, welche Nation das alte Epirus und Illyrien bewohnt. Sie werden von den Türken Arnauten genannt, sind ein tapferes kriegerisches Volk und scheinen, ihrer Sprache nach, ein Gemisch sehr verschiedener Völkerschaften zu seyn. In Cattaro, welches gegenwärtig an Frankreich gehört, wohnen gleichfalls Albanier; auch in Sicilien findet man eine Colonie derselben.~~Fig. 4. Zwei Verkäufer aus Constantinopel.~~Diese Figur stellt zwei Krämer aus den Gassen von Constantinopel vor. Der eine verkauft Caimac, welches eine eingedickte Milch ist, die sich schneiden lässt, und mit Honig, Zucker und Salz gegessen wird. Der andere trägt Gemüse zu Markt.~~136
Ad00341 06 081a/freCostumes XXI. Vol. VII. No. 79.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1 u. 2. Un Danseur et une Danseuse.
lia Danseuse et le Danseur, figurés ici, font dans le Sérail du Sultan leurs farces, pour amuser les dames du Harem. Ces Danseurs sont ordinairement grecs d'origine; mais aussi quelque fois françois ou italiens; on les introduit dans une cour bien close. Les dames, placées dans des loges grillées, voient sans être aperçues les tours de ces bateleurs. Le costume, surtout celui des femmes, est loin de favoriser une danse dirigée par l'art. Ils .ont dans les mains des Castagnettes, avec lesquelles ils battent la mesure. D'ailleurs ils exécutent ordinairement leurs sauts au son de la musique.
Fig. 2. Femmes de Syrie.
L'une, de ces femmes est d'Aleppo, capitale d'un Bachalic en Syrie, et l'autre est d'Antiochie, ville ancienne et célèbre, également située en Syrie; elles nous donnent une idée claire du costume des femmes turques en Asie. Aleppo est le centre du commerce que font les Turcs avec la Perse et les Indes, aussi y trouve-1-on les plus belles étoffes.
Fig. 3. Albaniens ou Arnautes.
Le groupe ci-joint nous figure le costume des Albaniens, nation qui habite l'ancienne Epire et l'IUyrie. Les Turcs les nomment Arnautes. C'est une nation guerrière trèsbrave, qui, à en juger par son langage, doit être un mélange de diverses peuplades. Il y a aussi des Albaniens à Cattaro, qui appartient maintenant à la France; on en trouve même une colonie en Sicile.
Fig. 4. Deux revendeurs ou colporteurs de Constantinople.
Cette figure représente deux merciers des rues de Constantinople. L'un vend du Cai* mac, ou lait caillé que l'on peut couper à morceaux, et que l'on mange avec du miel, du sucre et du sel. L'autre porte des légumes au marché.
Ad00341 06 082aFig. 1. u. 2. Ein Wasser- und Lastträger.~~Fig. 1. ist ein Saccas oder militärischer Wasserträger, wie es deren bei der Armee eine grosse Anzahl giebt; sie haben den niedrigsten Rang beim Militär, stehen nicht unter besonderen Offizieren, sondern sind den Compagnien zugetheilt. Das Wasser, das sie den Soldaten nachführen, dient nicht bloss zum Trinken, sondern auch, um sich bei den vorgeschriebenen, selbst im Felde unerlässlichen Gebeten jederzeit waschen zu können.~~Die zweite Figur zeigt einen gemeinen Lastträger aus Pera, der Vorstadt von Constantinopel. Diese Leute, welche gewöhnlich Armenier sind, können unglaubliche Lasten fortbringen.~~Fig. 3. Ein griechischer Hochzeitwagen.~~Diese Wagen oder Karren, welche Arabal heissen, sind bestimmt, die weiblichen Gäste zur Feier der Festlichkeit abzuholen. Man schmückt sie zu diesem Behufe, so wie das Zugvieh, wozu man gewöhnlich Ochsen nimmt, mit Blumen und Blättern. Ueber dem Geschirre hängt man wohl auch Schellen, wodurch der Staat noch erhöhet wird.~~Fig. 4. Ein türkisches Grab.~~Wir sehen hier die Abbildung eines türkischen Grabes. Der Turban auf dem Leichensteine zeigt den Rang des Verstorbenen an. Die Türken suchen ihre Gräber so zierlich als möglich auszuschmücken, und mit Bäumen und Blumen zu bepflanzen, daher auch, nach dem Berichte aller Reisenden, die türkischen Kirchhöfe ein ungemein freundliches Ansehen haben. Auf unserer Abbildung steht eine Wittwe vor dem Denkmale ihres Gatten und ein Knabe reicht ihr eine, vom Grabe abgepflückte Rose.~~136
Ad00341 06 082a/freCostumes XXII. Vol. VII. No. 80.
COSTUMES TURCS.
Fig. 1. et 2. Un porteur d'eau et un porte-faix.
Fig, i. représente un Saccas ou porteur d'eau militaire, et il y en a un grand nombre à l'armée, c'est le moindre grade militaire, ils n'ont point d'officiers particuliers, mais ils sont distribués dans les compagnies, L'eau qu'ils conduisent ne sert pas seulement à la boisson des soldats; ceux-ci s'en lavent aussi dans les prières, qu'ils sont obligés de faire chaque jour, quoique en campagne.
Fig. , 2, est un porte-faix ordînair- de Pera f faux-bourg de Constantinople. Ces gens, pour l'ordinaire Arméniens d'origine, peuvent porter des fardeaux incroyabes.
Fig. 3. Une voiture nuptiale grecque.
Ces voitures, nommées Arabal- sont destinées à aller chercher les femmes cui doivent assister à la célébration des* noces. On les pare de fleurs et de feuillages, ainsi que les bestiaux qui les traînent, et ce sont ordinairement des boeufs. On attache même aux harnois des sonnettes, pour relever la pompe du convoi. .
Fig. 4. Un tombeau turc.
Ici est figuré un tombeau turc; le turban placé sur la pierre sépulchrale, désigne 1» rang du défunt. Les Turcs tâchent de décorer aussi agréablement que possible leurs tombeaux; ils y plantent même des fleurs et des arbres, aussi les rapports de tous les voyageurs s'accordent-ils à donner aux cimetières turcs un air trës-riant. Notre planche figure ici une veuve devant le mausolée de son époux,, et un enfant lui offre une rose qu'il vient de cueillie sur le tombeau.
Ad00341 06 083aFig. 1. Die Riesenschildkröte. (Testudo Mydas. L.)~~Die merkwürdige sehr grosse Riesenschildkröte lebt und findet sich an den Küsten der Inseln, zwischen den Wendekreisen. Sie erreicht eine Länge von 7 Fuss, 4 Fuss Breite, und wiegt, ausgewachsen, oft 7 bis 800 Pfund. Ihre Schale, in der sie gleich einem Panzer steckt, ist in mehrere Schilder getheilt, und so fest, dass ein Wagen darüber gehen kann, ohne ihr zu schaden. Kopf, Füsse und Schwanz sind mit Schuppen, wie bei den Eidechsen, bedeckt. Die Zehen der Beine sind mit Schwimmhaut versehen, so dass das Thier fertig schwimmt. - Der Mund ist nicht mit Zähnen, wohl aber mit harten ausgezackten Kinnladen versehen. Ihre Nahrung besteht aus Meergewächsen, denen sie in friedlicher Ruhe scharrenweise an den Meeresküsten nachgehen. Das Weibchen setzt seine Eier, deren es des Jahrs zu drei verschiedenen Malen, zusammen bis gegen 300 Stück legt, in den reinen Ufersand der Meeresküsten, und lässt dieselben von der Sonne ausbrüten. Die Eier sind rund, 2 Zoll im Durchmesser, und sehr schmackhaft. - Das Fleisch der Riesenschildkröte ist wohlschmeckend, sehr gesund und wird als grosser Leckerbissen nach Europa, vorzüglich nach England gebracht. Der Nutzbarkeit wegen wird diesen Thieren sehr nachgestellt. Man fängt sie gewöhnlich, wenn die Weibchen zur Legezeit an das Land kommen. Da lauert man ihnen auf, schlägt sie todt, oder dreht sie um, wo sie, auf dem Rücken liegend, sich nicht fortbewegen können.~~Des grünlichen Fettes wegen heisst sie häufig, vorzüglich in England, die grüne Schildkröte (green turtle).~~Fig. 2. Die Cauane. (Testudo Caretta. L.)~~Die Cauane giebt der vorigen Schildkröte an Grösse nichts nach, und findet sich vorzüglich unter der heissen Zone in den Küsten-Ländern von America; doch auch im mittelländischen Meere an den Küsten von Sardinien kömmt sie vor. Sie nährt sich nicht von Pflanzen, sondern von Muscheln und kleinen Thieren, und greift mit grossem Muth in den Flüssen America's selbst die Jungen des dortigen Crocodils an. Der Nahrung wegen ist das Fleisch der Cauane ölig, ranzig, grobfaserig, von unangenehmem Geschmack, und man stellt daher diesen Thieren nicht so nach, als der Riesenschildkröte.~~Ob sie gleich auch bisweilen den Namen Carettschildkröte führt, so ist ihre Schale doch zu feinen Schildkrötarbeiten wenig tauglich, sondern diese liefert die eigentliche Carettschildkröte (Testudo imbricata. L.), welche wir im Bilderb. Bd. I. Taf. 23 kennen lernten, die aber mit gegenwärtiger oft verwechselt wird.~~137
Ad00341 06 083a/freAmphibies XXVII. Vol. VII. No. 81.
TORTUES D'UNE GRANDEUR COLOSSALE.
Fig. 1. Tortue franche ou Mydas. (Testudo Mydas. L.)
La Tortue franche, si remarquable par son volume gigantesque, se trouve communément et vit sur les rivages des îles entre les. tropiques; elle a jusqu'à 7 pieds de long, 4de large, et pèse alors de 7 à g quintaux. Sa carapace, qui lui sert de cotte d'armes ; est divisée en plusieurs plaques, et elle a tant de consistance qu'une voiture peut passer dessus sans l'endommager. La tête, la queue, et les pieds sont recouverts d'écaillés comme ceux des lézards. ' Lés ongles des pieds sont pourvues de nageoires, de sorte que cet animal nage. avec beaucoup de facilité. La bouche n'est point munie de dents, mais d'une mâchoire très - ferme et dentelée. Elle se nourrit de plantes marines, qu'elle cherche paisiblement et par troupes sur les côtes de la-mer. Dans les trois différentes pontes annuelles, la femelle dépose jusqu'à 300 oeufs dans le sable du rivage, pour que le soleil les fasse éclore. Ces oeufs sont ronds, de deux pouces dé diamètre, et bons à manger. La chair de la tortue franche e"t d'unrgoût exquis et est trèsrecherchée en Europe sur-tout en Angleterre. Sa grande utilité fait qu'on lui dresse toute sorte de pièges. On les prend le plus communément lorsque les femelles se rendent, pour la ponte, à terre, où on les attend pour les tuer, ou bien on les tourne sur îe dos, position où elles ne peuvent plus se mouvoir. On lui donne aussi le nom de Tortue verte (green turtle). surtout en Angleterre,' parcequ'eîle sa graisse est d'ua vert plus ou moins foncé.
Fig. 2. La Tortue Caouane. (Testudo Caretta. L.)
La Caouane ne le cède en rien pour le volume à la précédente; elle se plaît particulièrement dans les régions brulantss de l'Amérique sous la zone torride; cependant elle se trouve dans la. méditérranée sur les côtes de Sardaigne; elle est très-couràgeuse et attaque les jeunes crocodiles qui se trouvent dans les fleuves de l'Amérique. Elle se nourrit, non de plantes, mais de coquillages, ce qui rend sa chair huileuse, rance, coriace et de mauvais goût; aussi ne lui donne-t-on pas la chasse comme à l'autre. > Quoiqu'on lui donne quelquefois le nom de Caret, sa carapace est peu propre aux ouvrages fins d'écaillé.- C'est au contraire la carapace du Caret, '(Testudo imbricata L.) dont nous avons donné la description dans notre Porte - feuille d'enfants, (Vol. I. i\o. 23) que l'on travaille avec beaucoup de succès. On a eu donc grand tort de confondre ces deux espèces.
Ad00341 06 084aFig. 1. Die aloëblättrige Yukka. (Yucca aloëfolia. L.)~~Die aloëblättrige Yukka findet sich in den warmen Ländern von America, von wo man sie nach Europa in unsere Orangerie-Häuser gebracht hat. Aus der dicken ästigen Wurzel erhebt sich in ihrem Vaterlande der starke Stamm in gleicher Dicke bis zu einer Höhe von 15 bis 20 Schuhen. An seinem obern Ende sitzt eine Krone von langen steifen Blättern, welche sich in eine Spitze endigen. Aus der Mitte bricht der Blütenstängel hervor, an welchem die schönen tulpenähnlichen Blüten traubenförmig sitzen. Diese sind von innen weiss, von aussen purpurroth, also schön für das Auge, aber unangenehm von Geruch. Nach dem Verblühen kommen Beeren zum Vorschein, welche aber bei uns nie zur Reife gedeihen; auch kommt diese Yukka hei uns nur sehr selten zur Blüte, und erreicht weder die Höhe noch Stärke, als wie in ihrem Vaterlande. Dort benutzt man die Fasern der Blätter zu Stricken, deren sich die Indianer bedienen.~~Fig. 2. Die schäckige Aloë. (Aloë variegata. L.)~~Diese kleine artige Aloë wurde zuerst durch Samen im Jahr 1700 nach Europa gebracht, und findet sich ursprünglich am Vorgebirge der guten Hoffnung. Die dicken, wenig fleischigen Blätter sind 3 bis 6 Zoll lang, haben eine dreieckig zugespitzte Form, und sind dunkelgrün mit Flecken von weisser Farbe. Aus ihnen kömmt der 12 Zoll lange Blumenschaft zum Vorschein, welcher rothe schöne Blüten trägt, die wie bei den andern Aloë-Arten einen süsslichen Saft enthalten. In unsern Gewächshäusern blüht diese Aloë, wie die meisten Cap-Pflanzen, um die Winterzeit. Wegen der buntgefleckten Blätter erhält sie bisweilen auch den Namen der Papagey-Aloë.~~137
Ad00341 06 084a/frePlantes. CXXXII. Vol. VII. No. 82.
PLANTES D'ORNEMENT.
Fig. 1. Yucca à feuilles d'Aloès. (Yucca aloëfolia. L.)
L' Yucca à feuilles d'Aloès , originaire de l'Amérique méridionale, a été transporté en Europe dans nos serres-chaudes. De la racine grosse et rameuse s'élève la tige droite et également forte qui dans sa patrie parvient jusqu'à la hauteur de (5 à 20 pieds. À la pointe supérieure est un bouquet de feuilles longues, roides et lancéolées. Les fleurs sont disposées en une grappe longue et droite au sommet de la tige, blanches en dedans, couleur dé pourpre en dehors, ainsi belles à la vue, maïs désagréables à l'odorat. La floraison terminée, il paroît des graines, qui ne parviennent jamais chez nous à leur parfaite maturité. Cette plante ne fleurit que rarement chez nous, et de plus elle n'atteint jamais la même hauteur, ni la même grosseur que dans sa patrie. Des filaments des feuilles on fait des cordes, dont les Indiens se servent.
Fig. 2. Aloès panaché. (Aloë variegata. L.)
Ce petit Aloès panaché est originaire du Cap de bonne Espérance, d'où sa graine a été apporté en Europe en 1700. Les feuilles serrées, peu charnues, ont de 5 à 6 pouces de long, trois bords cornés, d'un vert foncé et sont marquées de taches blanches, Audessus d'elles s'élève le pédoncule de 12 pouces de long, portant de très-jolies fleurs rouges, qui, comme dans les autres espèces d'Aloès, contiennent un suc assez doux. Cet Aloès, de même que les autres plantes du Cap, ne fleurit dans nos orangeries qu'en hiver. Ces feuilles diversement tachetées lui font donner quelquefois le nom d'Aloès perroquet.
Ad00341 06 085aWir sehen hier mehrere seltene ausländische Baumläufer nach den Abbildungen und Beschreibungen des französischen Naturforschers Vieillot. -~~Fig. 1. Der schwarzkappige Baumläufer. (Certhia cucullata. Shaw.)~~Dieser Baumläufer findet sich auf Neuholland, und misst mit dem Schnabel 6 Zoll an Länge. Von dem Kopfe ziehen sich die schwarzen Federn zu beiden Seiten des Halses in Form einer Kappe herunter: die Brust ist weiss, der Bauch orangeroth, und die Flügel graublau. Aus dem langen gekrümmten Schnabel tritt die Zunge hervor, welche sich in eine pinselförmige Spitze endigt, womit er seine Nahrung bequemer fasst.~~Fig. 2. Der getropfte Baumläufer. (Certhia guttata. Bechst.)~~Diese etwas kleinere Art misst nur vier Zoll, und bewohnt gleichfalls Neuholland. Mehrere Theile des Oberkörpers sind mit schwarzen Flecken, gleich Tropfen bedeckt. Ueber den hell kastanienbraunen Oberhals liegen auf dem Scheitel längere Federn, wodurch nach Willkür ein Federbusch gebildet wird.~~Fig. 3. Der gelböhrige Baumläufer. (Certhia chrysootos. Bechst.)~~Der grössere gelböhrige Baumläufer findet sich gleichfalls auf Neuholland, vorzüglich in der Gegend von Botany-Bay. Sein Gefieder ist grösstentheils olivengrün, die Kehle gelb, und hinter den Ohren sitzt ein Busch beweglicher, nach hinten zu liegender Federn.~~Fig. 4. Der Baumläufer Goruck. (Certhia Goruck.)~~Der Name dieses Vogels ist in seinem Vaterlande Neusüdwallis eigentlich Gu-gwarruck. Mit grosser Lebhaftigkeit verfolgt er lnsecten, und ist dabei beständig in Bewegung. Die Hauptfarbe des Körpers ist grün; die Augen umgiebt ein kahler rother Fleck.~~Fig. 5. Der mondfleckige Baumläufer. (Certhia lunata. Shaw.)~~Ist 5 1/2 Zoll lang, und wie die vorigen Arten in Neuholland zu Hause. Der Rücken hellbraun, der Bauch weiss und den schwarzen Hinterkopf ziert ein weisses, halbmondförmiges Fleck.~~Fig. 6. Der fünffarbige Baumläufer. (Certhia quinquicolor. Bechst.)~~Dieser kleine, 3 3/4 Zoll lange Baumläufer findet sich an der Küste der Sierra Leona in Afrika. An seinem Gefieder finden sich fünf Farben, violet, blau, grün, braun und gelbroth, woher er seinen Namen hat.~~137
Ad00341 06 085a/freOiseaux LXXXIII. Vol. VII. No. 83.
ESPÈCES ÉTRANGÈRES TRÈS-RARES DE GRIMPEREAUX.
Cette planche nous représente divers grimpereaux étrangers très-rares tels que les a ligules et décrits le naturaliste françois Vieillot.
Fig. 1. Le Cap-noir. (Certhia cucullata. Shaw.)
Ce Grimpereau indigène à la NouvelleHollande, a 6 pouces de long, y compris le bec. Il a des deux côtés de la tête deux plumes noires qui descendent le long du cou en forme de cape. La poitrine est blanche, le ventre d'un rouge d'orange, et les ailes d'un bleu grisâtre. On voit sortir de son bec recourbé la langue terminée en une pointe figurant un pinceau, avec laquelle il saisit facilement sa nourriture.
Fig. 2. L'Héoro-taire moucheté. (Certhia guttata. Bechst.)
Cette espèce plus petite de deux pouces que la précédente habite également la NouvelleHollande. Plusieurs parties du corps supérieur sont marquées de taches noires sem' blables à des gouttes. Audessus de la partie supérieure du cou d'un brun- châtain- clair se trouvent sur le sommet de la tête des plumes plus longues, dont il forme à volonté une huppe.
Fig. 3. L'Héoro-taire à oreilles jaunes. (Certhia chrysootos. Bechst.)
Cet Héoro-taire à oreilles jaunes, plus grand que les précédents, se trouve également à la Nouvelle-Hollande, surtout dans les environs de Boiany B.ty. Son plumage est en grande partie d'un vert d'olive, son gosier jaune, et derrière les oreilles est placé un faisceau de plumes mobiles.
Fig. 4. Le Go-ruck. (Certhia Goruck.)
Cet oiseau se nomme proprement Gu~ gwarruck. Il poursuit avec la plus grande vivacité les insectes, et est continuellement en mouvement. Le vert est la couleur saillante de son corps, et les yeux sont entourés d'une tache rouge et chauve.
Fig. 5. Le Tuscalbin. (Certhia lunata. Shaw.)
Ce Tuscalbin, indigène, comme les autres espèces, à la Nouvelle- Hollande a 5* pouces de long. Le dos est d'un brun-clair, le ventre blnnc, et le derrière de la tête n»ire est orné d'une tache blanche en forme de croissant.
Fig. 6. Le Souï-Manga de Sierra Leona, ou le Quintilor. (Certhia quinquicolor. Bechst.)
Ce Grimpereau de 33. pouces se trouve en Afrique sur les côtes de la Sierra Leona. Son plumage est de 5 couleurs, savoir violet, bleu, vert, brun, et d'un rouge jaunâtre. C'est de là que lui vient le nom de Quintilor.
Ad00341 06 086aDie mitten in der, östlich von Syrien sich nach Persien erstreckenden, Sandwüste befindlichen prachtvollen Trümmern, von denen zwei Gruppen auf dieser Tafel abgebildet sind, rühren von der, ehemals durch ausgebreiteten Handel sehr blühenden und reichen Stadt Palmyra her, die der jüdische König Salomo gründete, und die der römische Kaiser Aurelian im Jahr 272 nach Chr. G. zerstörte. Zur Zeit ihres Wohlstandes gieng der Handel aus dem östlichen Asien durch sie nach dem mittelländischen Meer und Europa umgekehrt, wodurch ihre Bewohner sehr reich wurden; daher sie ihre Stadt zu einer der prächtigsten in Asien erheben konnten, wie dies ihre Ruinen noch jetzt beweisen.~~Fig. 1. Der Sonnentempel.~~Diese Figur stellt den prachtvollen Sonnentempel vor, da die Palmyrener die Sonne, als ihre Gottheit verehrten. Man erblickt ihn im Hintergrunde rechts. Er ist 92 Fuss lang und 40 breit. Ihn umgeben korinthische Säulen, die an 50 Fuss hoch sind. In einiger Entfernung von ihm war er von einer hohen Mauer im Viereck umgeben, die gegen den Tempel sowohl, als gegen die Aussenseite mit Pilastern verziert war, und in der gewölbte Gänge angebracht waren. Von diesen stehen nur noch 16. Jetzt dient dieser Tempel den dort lebenden Beduinen zur Moskee, und ist von ihnen mit einigen Sprüchen aus dem Koran verziert worden. Den Raum zwischen dem Tempel und der Ringmauer nehmen schlechte Steinhütten ein, in denen sich die Ueberreste der Palmyrener aufhalten.~~Fig. 2. Die grosse Galerie~~ist ein prachtvoller Porticus von korinthischen Säulen, der von fern das Ansehn hat, als wenn er wie ein Circus gebogen wäre. Man nennt ihn die grosse Galerie von Palmyra. Von hier aus kann man den Euphrat erblicken, da Palmyra höher liegt, als die Wüste, die es von diesem Flusse trennt.~~137
Ad00341 06 086a/freMélanges CLXVI. Vol. VII. No. 84.
RUINES DE PALMYRA.
Les superbes débris, dont la planche présente nous figure deux groupes, se trouvent dans le désert sablonneux, qui s'étend à l'est de la Syrie vers la Perse. Ils proviennent de Palmyra, ville autre-fois très-florissante et trèsopulente par un commerce: très-étendu. Elle fut fondée par Salomon, Roi des juifs, et détruite 272 ans après la naissance de JesusChrist par l'Empereur romain Aurelien. Lors de sa prospérité, elle étoit le centre du commerce que l'Asie orientale faisoit dans la mer Méditerranée et avec l'Europe, et l'Europe avec l'Asie, commerce qui, en enrichissant ses habitants , les mit à même de rendre leur ville la plus magnifique de l'vAsie? comme le prouvent ces ruines.
Fig. 1. Le temple du Soleil.
Cette figure représente le magnifique Temple du Soleil, divinité qu'adoroient les Palmyriens. On l'aperçoit dans le fond à droite. H a 92 pieds de long, 40 de large} et il est entouré de colonnes corinthiennes de 50 pieds de haut. A quelque distance il étoit entouré d'une haute muraille, formant un carré, ornée, tant en dehors que versle temple, de pilastres, et attenante aux souter* rauis. Il ne reste plus que 16 de ces pilastres. Ce temple sert maintenant de Mosquée aux Béduins qui se sont établis dans la contrée, et qui l'ont décorée de quelques passages du Coran. L'espace entre le temple et le mur de clôture est couvert de mauvaises cabanes en pierres, qui servent d'asile aux restes des Palmyriens.
Fig. 2. La grande Galerie
est un superbe portique de colonnes corinthiennes, qui de loin paroît avoir la forme d'un cirque, et porte le nom de.grande galerie dePalmyra. Cette ville dominant le désert, qui la sépare del'Euphrate, on peut de là découvrir facilement ce fleuve.
Ad00341 06 087aNächst Rom und Neapel verdient Florenz den ersten Platz unter den Städten von Italien. Die darin noch jetzt vorhandenen Werke der Kunst, die vorzüglichen Gebäude, das Andenken an seine grossen Regenten, welche Wissenschaften und Künste schützten und beförderten, machen sie jedem Reisenden werth. Wir wollen daher auf gegenwärtiger Tafel einige der merkwürdigsten Gebäude dieser Stadt kennen lernen.~~Fig. 1. Der Dom von Florenz, Santa Maria del Fiore genannt.~~Der Bau des prächtigen Doms von Florenz, dessen hintere Seite wir hier abgebildet sehen, wurde im September 1298 begonnen. Den ersten Plan dazu machte der berühmte Baumeister Arnolfo di Lapo (ein Schüler des gleichfalls berühmten Malers Cimabue), und während 150 Jahre bis zu der Vollendung baueten viele Architekten daran. Die Kuppel fertigte im Jahr 1448 Filippo Brunellesco Lapi; diese, so wie die ganze Aussenseite des Doms ist mit schwarzem und weissem Marmor überkleidet. Das Innere zieren Malereien, Bronze- und Marmor-Arbeiten der älteren Florentinischen Künstler; die Höhe des Doms beträgt 380 Fuss. Der links stehende Glockenthurm (il campanile) mit schwarzem, weissem und rothem Marmor bekleidet, ist 280 Fuss hoch, und vortrefflich ausgeführt.~~Fig. 2. Der alte Pallast mit seinen Umgebungen.~~Der alte Pallast (1) Palazzo Vecchio genannt, gehört zu den ältesten Gebäuden in Florenz, und ist in den unruhigen Zeiten dieser Stadt mannigfach berühmt worden. Der davor liegende Platz enthält die schönsten Statuen in Marmor und Bronze der grössten Meister. So sieht man in den drei Hallen der Loggia (2) Meisterwerke von Donatello, Benvenuto Cellini und Giovanni di Bologna. Nicht minder merkwürdig ist das in der Ferne stehende Gebäude (3); es enthält die weltberühmte Gemälde- und Statuen-Galerie. -~~137
Ad00341 06 087a/freMélanges CLXVII. Vol. VII. No. 85.
BEAUX ÉDIFICES DE FLORENCE.
Après Rome et Naples, Florence mérite la première place entre les villes d'Italie. Les chefs-d'oeuvre qui y sont encore, ses pompeux édifices, le souvenir de ses grands souverains, qui ont protégé et favorisé les arts et les sciences, en font les délices de tous les étrangers. Aussi avons-nous figuré sur la planche cijointe les édifices les plus remarquables de cette ville.
Fig. 1. Le Dôme de Florence, appellé Santa-Maria del Fiore.
C'est au mois de 7bre 1298 que l'on corn» mença la construction de ce magnifique Dôme, dont le derrière est
Fig. uré 'ici. Le premier plan en fut jeté par le célèbre architecte A'rnùljo di Lapo, disciple de Cimàbue, peintre également très-distingué. Plusieurs architectes y travaillèrent jusqu'à sa confection l'espace de 150 ans-. La coupole fut faite en I448 par Filippo "Brunellesco Lapi. Elle*est, ainsi que tout le dehors de l'église, incrustée de marbres blanc et noir. L'intérieur est décoré de peintures et d'ouvrages en bronze et en marbre des premiers anciens artistes de Florence. Le Dôme a 380 pieds de haut. Le clocher ou campanile, qui est à gauche, est incrusté de marbres noir, blanc et rouge; il a 280 pieds de haut, et il est très- artistement construit.
Fig. 2. Le Vieux Palais avec ses alentours.
Le Vieux Palais (1), nomme Palazzo Vecchio, est un des plus anciens édifices de Florence, et a acquis une grande célébrité dans les troubles de cette ville. La cour contient les plus belles statues des plus grands maîtres, tant en bronze qu'en marbre. On voit aussi dans les trois halles de la Loggia (2) les chefs-d'oeuvre de Donatello, Benpenuta Cellini et de Giovanni di Bologna. L'édifice (3) placé dans le lointain n'est pas moins remarquable, c'est la célèbre Galerie de tableaux et de statues.
Ad00341 06 088aFig. 1. Die fürchterliche Natter. (Coluber atrox. L.)~~Diese Natter findet sich in Ostindien, vorzüglich auf der Insel Ceylan. Sie wird etwas über einen Fuss lang, und ihre obere Kinnlade ist mit grossen beweglichen Giftzähnen versehen. Der Kopf ist gegen den Körper sehr breit; die Farbe ist aschgrau mit dunkelbraunen Querbanden bezeichnet.~~Fig. 3. (sic) Die Schleppen-Natter. (Coluber stolatus. L.)~~Die Schleppen-Natter zeichnet sich durch zwei gelbliche Streifen aus, welche über den graubraunen Körper der Länge nach laufen. Das Männchen hat längs dem Halse schwarze Flecken, welche dem Weibchen fehlen. Diese Natter, welche in Asien lebt, hat in der obern Kinnlade drei Reihen kleiner scharfer Zähne, welche aber keineswegs giftig sind.~~Fig. 2. (sic) Die Japanische Natter. (Coluber severus. L.)~~Auf dem rothbraunen Oberkörper sieht man 11 bis 13 gelbe Sparren, mit dunkler Einfassung. Man verglich diese mit hebräischen Buchstaben, und gab ihr daher im Französischen den Namen der hebräischen Natter. Der untere Körper ist gelblich weiss, ohne Flecken. Nach Seba findet sich diese Natter in Asien, und zwar in Japan.~~Fig. 4. Die Corallen-Natter. (Coluber corallinus. L.)~~Den Namen erhielt diese Natter von der Stellung ihrer Rücken-Schuppen, welche nach vorn abgerundet und hinten spitz wie Glieder der weissen Coralle über einander stehen, und in 16 etwas getrennten Reihen über den ganzen Körper laufen. Die Corallen-Natter bewohnt Ostindien, und wird über 3 Fuss lang. Wir sehen hier, wie sie eine Eidechse verschlingt, und bemerken daraus, auf welche ausserordentliche Weise sich die Mundöffnung bei den Schlangen erweitert, um den Fang ganz zu sich zu nehmen.~~138
Ad00341 06 088a/freAmphibies XXVIII. Vol. VII. No. 86.
ESPÈCES DE VIPÈRES.
Fig. 1. La Vipère atroce. (Coluber atrox. L.)
Cette Vipère habite dans les Indes orientales, surtout dans l'île de Ceylan. Elle a au delà d'un pied de long; là mâchoire supérieure est armée de deux grands crochets à venin mobiles. Sa tête est très-applatie en dessus, et la couleur est d'un gris blanchâtre avec le dessus • marqué de taches transversales d'un brun sombre.
Fig. 3. Le Chayque. (Coluber stolatus. L.)
Le Chayque se distingue par deux bandes jaunâtres, qui se prolongent le long du corps, qui est d'un brun grisâtre. Le mâle a le long du cou des taches noires, que n'a point là femelle. Cette Vipère a la mâchoire supérieure armée de trois,rangs de petites dents aiguës, mais qui ne contiennent aucun venin.
Fig. 2. La Vipère hébraïque. (Coluber severus. L.)
La couleur du dessus du corps est d'un roussâtre un peu rembruni, avec onze à treize chevrons jaunes, entourés d'une couleur un peu rembrunie. Comme on la compare à des lettres hébraïques, on lui a donné-en françois le nom. d'hébraïque. Le dessous de cette Vipère est d'un blanc jaunâtre sans aucune tache. Seba prétend que cette Vipère, vit en Asie au Japon.
Fig. 4. La Vipère coralline. (Coluber corallinus. L.)
Cette Vipère a le nom de Coralline à cau-se de ses écailles dorsales, arrondies en devant, aiguës en arrière, imbriquées et disposées sur seize rangées longitudinales un peu. séparées les unes des autres, comme des tiges de corail déliées et articulées. Cette Vipère habite dans les Indes orientales, et atteint 3 pieds de.long. Nous la voyons ici avaler un lézard , ce qui nous donne l'occasion d'observer la manière extraordinaire, dont les serpents ouvrent la bouche pour saisir leur proie.
Ad00341 06 089aFig. 1. Der gemeine Wunderbaum. (Ricinus communis. L.)~~Der gemeine Wunderbaum ist in Afrika, so wie in mehreren Theilen von Asien, vorzüglich in Ostindien zu Hause, wo er zu der Höhe eines beträchtlichen Baums emporwächst. Doch findet er sich auch in den südlichen Theilen Europa's, so wie einzeln in unsern Gärten, wo er aber nur 4 bis 5 Fuss hoch wird, und nicht über zwei Jahre dauert. Der Stängel ist grün und hohl; die schildförmigen, und in ihren Lappen gezähnten Blätter sitzen auf langen Blattstielen. Ihnen gegenüber erscheint der lange Blüten-Stängel, (a) welcher weissliche Blüten trägt von runder Form. Die darauf folgenden Saamenkapseln (b) sind stachlich, und enthalten in ihren drei Abtheilungen einen länglichen glänzenden Saamen, welcher ein treffliches Arzneimittel ist, vorzüglich bei Verstopfungen. Aus den Saamen-Kernen wird nämlich häufig ein dickes, sehr fettes Gel gewonnen, welches die obigen heilsamen Eigenschaften hat, und häufig den Namen Castoröl führt. In Indien braucht man dieses Oel zum Brennen.~~Fig. 2. Der gemeine Sinau. (Alchemilla vulgaris. L.)~~Der gemeine Sinau, auch Frauenmantel, oder Löwenfuss, wegen der Form der Blätter, genannt, wächst in Teutschland wild auf feuchten Viehtriften und auf fetten Waldwiesen. Er ist ein perennirendes, Fuss hohes Gewächs. Die rundlichen Blätter sind in mehrere Lappen getheilt und gezähnt. An den Spitzen der zottigen Stängel sitzen die Blumensträusse, deren gelbliche Blüten im April erscheinen, und den Sommer hindurch den Bienen Nahrung gewähren. Die Blätter haben einen gelind zusammenziehenden Geschmack, und wurden sonst in den Apotheken als adstringirendes Mittel gebraucht, doch sind sie jetzt ausser Wirksamkeit. Wegen der erwähnten Eigenschaften kann diese Pflanze auch als Gärbemittel gebraucht werden. Die Alchimisten schrieben sonst dieser Pflanze geheime Kräfte zu, und brauchten sie häufig. Deswegen erhielt sie den Namen Alchemille.~~138
Ad00341 06 089a/frePlantes CXXXIII. Vol. VII. No. 87.
PLANTES OFFICINALES.
Fig. 1. Le Ricin ordinaire. (Ricinus communis. L.)
Le Ricin ordinaire indigène à l'Afrique, ainsi qu'à plusieurs parties de l'Asie, mais surtout aux Indes orientales, y atteint la grandeur naturelle d'un arbre considérable. On le trouve aussi dans les contrées méridionales de l'Europe, comme aussi dans nos jardins, mais isolé. Ils n'ont que 4 à 5 pieds de haut, et ne durent que deux ans. Le tronc est verd et creux; les feuilles en forme de bouclier et laciniées tiennent à de longs pédicules. Vis-à-vis paraît le grand pédoncule (a), sur lequel reposent des fleurs blanchâtres d'une forme circulaire. Les capsules (ft) qui leur succèdent sont charnues et contiennent dans leurs trois compartiments une semence oblongue et luisante, qui est un excellent remède surtout contre les obstructions. On extrait fréquemment de ces graines une huile épaisse et très-grasse, douée des vertus salutaires susmentionnées, et à laquelle on donne souvent le nom d'huile de Castor} 0» btûle même cette huile aux Indes.
Fig. 2. L'Alchimille commune. (Alchemilla vulgaris. L.)
L’Alchimille commune, nommée aussi patte de lion à cause de la forme de ses feuilles , croît en Allemagne sans culture dans les pacages humides et dans les prairies grasse». Les feuilles circulaires sont divisées en plusieurs pièces et dentelées. Au haut des pédicules chevelus, sont les. bouquets, dont les fleurs jaunâtres paraissent au mois d'Avril, et fournissent aux abeilles pendant tout l'été Une agréable nourriture. Les feuilles ont un goût un peu corrosif, et autrefois on les employait pouf les remèdes astringens; mais maintenant les pharmacieus n'eu font plus usage. Les qualités susdites rendent cette plante pro« pre à la tannerie. Les Alchimistes lui attri« buaient autrefois des propriétés particulières, et l'employaient fréquemment; aussi la nom» ment-ils l'Alchimille.
Ad00341 06 090aFig. 1. Der afrikanische Wiedehopf. (Upupa africana.)~~Dieser Wiedehopf, welcher dem in Europa und Nord-Afrika lebenden sehr ähnlich ist, unterscheidet sich von demselben dadurch, dass sein rostfarbener Federbusch kleiner ist, als bei jenem und dass die Federn desselben nicht den weissen Fleck unter ihrer schwarzen Spitze haben, welche der gemeine Wiedehopf hat. Die Hauptfarbe dieses Thiers ist die Rostfarbe. Auf dem Rücken sind zwei schwarze Bänder, und auf den schwarzen Deckfedern der Flügel ein weisses.~~Fig. 2. Der graue Wiedehopf. (Upupa capensis. Gmelin Lin.)~~Dieser im südlichen Afrika und auf Madagaskar lebende Wiedehopf ist 10 Zoll lang und trägt einen schönen weissen, nach vorn übergebeugten Federbusch auf dem Kopfe. Die Hauptfarbe ist graubraun; Unterleib und Hals sind weiss und die Schwungfedern sind gleichfalls mit einem weissen Fleck gezeichnet. Die Füsse sind gelb, die Krallen braun.~~Fig. 3. Der langschwänzige Wiedehopf. (Upupa Promerops. Lin.)~~Er wohnt gleichfalls auf der Südspitze Afrika's, und obgleich sein Körper nicht grösser ist, als der einer Feldlerche, so misst er doch mit seinen mittelsten sehr langen Schwanzfedern 18 Zoll. Rücken und Flügel sind schwarzbraun; der Bauch ist oberhalb braunroth, unterhalb, so wie Schenkel, Schwanz, Füsse und Zehen blass schwarz-röthlich. Die Federn am After sind gelb.~~Fig. 4. Der blaue Wiedehopf. (Upupa indica. Latham.)~~Er lebt in Ostindien. Sein ganzes Gefieder ist schön blau, das aber an dem untern Theile weniger lebhaft ist. Der Schwanz ist 4 1/3 Zoll lang und die Flügelspitzen bedecken den 4ten Theil desselben. Die Füsse sind blass bleifarben.~~Fig. 5. Der rothschnablige Wiedehopf. (Upupa erythrorhynchos. Latham.)~~Diese Art lebt in Süd-Afrika und ist 12 Zoll lang. Sein rother Schnabel hat 20 Linien Länge. Kopf, Rücken und Kehle haben eine glänzende Stahlfarbe, die an letzterer ins Violette spielt. Flügel, Brust und Bauch sind goldgrün. Die Schwungfedern sind blaustahlfarben.~~Fig. 6. Der olivenfarbige Wiedehopf. (Upupa olivacea, Bechst)~~Er ist auf den Südseeinseln zu Hause und 7 1/2 Zoll lang. Kopf und Oberleib sind dunkel, die Brust und der vordere Unterleib hell olivengrün, in das Gelbliche spielend.~~138
Ad00341 06 090a/freOiseaux LXXIV. Vol. VII. No. 88.
DIFFÉRENTES ESPÈCES DE HUPPES ÉTRANGÈRES.
Fig. 1. La Huppe d'Afrique. (Upupa africana.)
Cette Huppe assez semblable à celle qui se trouve communément en Europe et dans l'Afrique septentrionale, s'en distingue cependant, en ce que son faisceau de plumes rouge est plus petit que celui de l'autre, et que les plumes n'ont pas à leur extrémité noire, la tache blanche qu'a la huppe commune. La couleur «3e rouille est la dominante. Il a sur le dos deux bandes noires, et une blanche sur les plumes qui couvrent les alles.
Fig. 2. La Huppe grise. (Upupa capensis. Gmelin Lin.)
Cette Huppe qui se trouve dans l'Afrique méridionale et à Madagascar, a io pouces de long; sa tête est ornée d'un faisceau dé plumes blanches penchées en avant. La couleur principale est d'un brun grisâtre,- le dessus du corps et le cou sont blancs ; et les pennes sont pareillement tachetées de blanc. Les pieds «ont blancs, les ongles sont brunes.
Fig. 3. Le Promerops à longue queue. (Upupa Promerops. Lin.)
Ce Promerops habite également la pointe méridionale de l'Afrique, et quoique son corps ne soit pas plus grand que celui d'une alouette, il a pourtant, y compris sa longue queue du milieu, ig pouces de long. Le dos et les alles sont d'un bruii noirâtre. La partie supérieure du ventre est d'un rouge brunâtre. ; la partie inférieure, ainsi que les cuisses, la queue, les pieds et les orteils, est d'un rouge uoir pâle. Les plumes do-derrière sont jaunes.
Fig. 4. Le Promerops bleu. (Upupa indica. Latham.)
Le plumage de ce Promerops, qui se trouve aux Indes orientales, est d'un beau bleu, plus foncé cependant dans le dessous du corps; L'extrémité de ses alles couvre le' quart de sa queue, qui a 4I pouces de long. Les pieds sont couleur de plomb pâle.
Fig. 5. Le Promerops à bec rouge. (Upupa erythrorhynchos, Lath.)
Cette espèce indigène à l'Afrique méridionale a 12 pouces de. long, et son bec rouge Qo lignes. La tête et le dos sont couleur d'acier luisant, mais la couleur du gosier tire sur le violet. Les alles, la poitrine et le ventre sont d'un vert jaunâtre. Les pences sont couleur d'acier tirant sur le bleu.
Fig. 6. Le Promerops olivâtre. (Upupa olivacea. Bechst.)
Il habite les îles de la mer du sud, et a 7§ pouces de long. La tête et la partie supérieure du corps sont foncées, la poitrine et le devant du dessous du corps sont d'un vert-olivâtre clair, tirant sur le jaunâtre.
Ad00341 06 091aAlle drei Arten Schmetterlinge, welche auf dieser Tafel abgebildet sind, halten sich in den mittlern Gegenden America's, in Surinam, auf.~~Fig. 1. Der Amphinomus. (Papilio Amphinomus. L.)~~Die Grundfarbe der oberen Fläche der Ober-und Unterflügel (A) ist schwarz. Beide sind mit vielen grünen Zeichnungen geziert. Die Mitte der Oberfläche der oberen Flügel, wird von einer breiten, weissen Binde gedeckt. Die Grundfarbe der unteren Fläche (B) der Oberflügel ist braun, und bei den Unterflügeln tiefbraun. Die Erstern haben auf ihrer unteren Fläche eben die weisse Binde, wie auf der oberen, die Unterflügel haben schöne scharlachrothe strahliche Flecken. Der Schmetterling findet sich in Surinam, wo die Raupe auf indischem Jasmin lebt.~~Fig. 2. Der Polycaon. (Papilio Polycaon. L.)~~Die Oberflügel (A) haben auf dem dunkeln Grunde eine breite gelbe Binde, die aber nicht bis zu dem Vorderrande geht. Diese gelbe Binde erstreckt sich auch über die obere Fläche der Unterflügel, wo sie noch etwas breiter ist. Die Unterflügel (B) haben 6 starke Ausschnitte, über denen von beiden Seiten halbmondförmige Flecken stehen, die auf den Unterflügeln drei Reihen bilden, die erste grünlichgelb, die zweite hellblau, die dritte ziegelroth. Die blassbraune Raupe lebt in Surinam auf der Althea.~~Fig. 3. Der hellbraune surinamische Schmetterling. (Pap. Lena. L.)~~Die Oberflügel (a) sind oberhalb hellbraun, nach dem Rande zu dunkelbrauner gefärbt; der untere Theil gegen den Leib schmutzig violet, dann blau, dann dunkel violet mit himmelblauen Tropfen, die zum Theil ein weisses Auge haben. Die Unterflügel (b) sind braun mit mehreren Flecken und Augen geziert.~~138
Ad00341 06 091a/freInsectes LXIV. Vol. VII. No. 89.
PAPILLONS EXOTIQUES.
Les 3 espèces de Papillons, Fig. urées sur cette planche, habitent les contrées mitoyennes de l'Amérique, telles que Surinam.
Fig. 1. L'Amphinome. (Papilio Amphinomus. L.)
Le dessus des alles supérieures et inférieures {A) est fond noir, orné de plusieurs taches vertes. Au milieu des grandes ailes est une bande large et blanche. Le dessous (.B) des ailes supérieures est brun, et celui des ailes inférieures est d'un brun foncé. Le dessous des premières a la même bande que le dessus; pendant que celui des alles inférieures a de belles marques d'un rouge de pourpre en forme de rayon. Ce Papillon se trouve, comme nous l'avons dit, à Surinam, où la chenille vit sur les jasmins des Indes.
Fig. 2. Le Policaon. (Pap. Polycaon. L.)
Les aîles supérieures (A) ont sur un fond foncé une bande jaune et large, mais qui ne s'étend pas jusqu'au bord. Cette même bande jaune embellit aussi le dessu; des ailes inférieures et même est-elle un peu plus large. Les aîles de dessous (B) ont 6 fortes écjbancrures, parées des deux côtés de taches eri.forme de croissant, formant sur les aîles de dessous 3 lignes, dont la 1ère est d'un jaune verdâtre, la 2e d'un bleu clair $ la 3e d'un rouge de-tuile. La chenille d'un brun clair se trouve à Surinam sur l'Althée.
Fig. 3. Le Papillon brun clair de Surinam. (Pap. Lena. L.)
Les aîles supérieures (a) sont en dehors d'un brun clair, mais plus foncé vers le bord. Le dessous, en tirant »ers le corps, est d'un violet sale, puis bleu, ensuite violet foncé, avec des gouttes bleu de ciel, qui en partie ont un oeil blanc. Les aîles inférieures (&) sont brunes ornées de taches et d'yeuy.
Ad00341 06 092aMan trifft in dem, im südlichen Nord-America liegenden Vicekönigreich Neu-Spanien oder Mexico häufig noch so ziemlich erhaltene Trümmer von grossen Gebäuden, die ehemalige Völker errichteten, an. Von dieser Art sind die auf dieser Tafel abgebildeten Pyramiden.~~Fig. 1. Die Pyramide bei Cholula.~~Diese Pyramide, welche östlich vor der kleinen Stadt Cholula liegt, besteht aus vier gleich hohen Absätzen, hat 172 Fuss senkrechter Höhe und an ihrer Grundlage ist die Seite von 1355 Fuss horizontaler Länge. Sie ist aus getrockneten Lehmziegeln erbauet, deren Lagen durch Thon mit einander verbunden sind. Wie die Spanier in diese Gegend kamen, führten 120 Stufen auf die obere Fläche derselben, welche jetzt auf jeder Seite 230 Fuss misst. Gegenwärtig steht statt des alten Tempels, der dem Gotte der Luft, Quetzalcoatl, geweiht war, eine mit Cypressen umpflanzte katholische Kirche darauf.~~Fig. 2. Die Pyramide bei Papantla.~~Die Grundfläche dieses alten Gebäudes ist ein ganz genaues Quadrat, dessen Seite 77 Fuss lang ist. Die senkrechte Höhe beträgt 54 Fuss. Sie ist nach 6 Absätzen, wie die vorige abgestüzt, und von ungeheuern Porphyr-Quadern aufgeführt, welche sich durch die sorgfältigste Bearbeitung und die grösste Regelmässigkeit ihres Schnittes auszeichnen. Eine breite Treppe von 57 Stufen mitten auf der östlichen Seite führt auf die Fläche der stumpfen Spitze. Die Bekleidung der Absätze ist mit einer Menge kleiner viereckigter Nischen versehen, deren Zahl wahrscheinlich Beziehung auf den Kalender eines, einst dort wohnenden Volks, der Tulteken hatte.~~Die oberen Flächen dieser abgestuzten Pyramiden dienten zur Verehrung der Gottheiten der in Neuspanien damals lebenden Völker; das Innere zu Begräbnissen für Könige und Grosse. Sie waren mit einer hohen Ringmauer umgeben, in der, ausser der Wohnung für die Priester, Magazine für Lebensmittel und Waffen waren, daher eine solche Pyramide bei der damaligen Art Krieg zu führen, zugleich die Stelle einer Festung vertrat.~~Dieses merkwürdige Pyramiden-Gebäude wurde erst vor 30 Jahren von Spaniern, welche auf Jagd-Streifereien dahin kamen, entdeckt. Es liegt nicht weit von dem grossen indianischen Dorfe Papantla, in dem nördlichen Theile der Intendantschaft Veracruz.~~138
Ad00341 06 092a/freMélanges CLXVIII. Vol. VII. No. 90.
PYRAMIDES DU MEXIQUE.
V-/n trouve encore fréquemment dans la nouvelle "Espagne, ou Mexique, des débris assez bien conservés de grands édifices, construits par les anciens habitants. Telles sont les Pyramides
Fig. urées sur cette planche.
Fig. 1. La Pyramide de Cholula.
Cette Pyramide, située à l'Est de la petite ville Cholula, a quatre sommets égaux et 172 pieds de hauteur perpendiculaire. A sa base, la,face latérale a 1355 pieds de longueur horizontale. Elle est en briques de terre glaise séchées, liées ensemble avec de l'argile. Au moment où les Espagnols pénétrèrent dans cette contrée, 120 degrés conduisoient au faîte de cette pyramide, qui a encore de chaque côté 230 pieds. Au lieu du temple consacré au dieu de l'air Quetzalcoatl qui s'y trouvait, il y a une église catholique couronnée de cyprès.
Fig. 2. La Pyramide de Papantla.
La base de cet antique édifice forme un carré parfait, dont la face latérale a 77 pieds de -long., La hauteur perpendiculaire est de 5} pieds. Elle a 6 plates-formes diverses, elle est bâtie en énormes pierres détaille de porphire, qui se distinguent, par un travail parfait et par la grande régularité de leur coupe. Un escalier très-large de 57 degrés, dans le milieu du côté tourné vers l'orient, conduit au plan du sommet applati. Le revêtement des plates • formes est orné d'une grande quantité de petites niches carrées, dont le nombre a vraisemblablement rapport à un calendrier en usage chez un peuple, les Tulteques, qui habitait cette contrée, x C'était sur la plate-forme la plus élevée de ces pyramides tronquées que les anciens habitants de la Nouvelle-Espagne adoraient leurs divinités. L'intérieur servait de lieu de sépulture pour les rois et les grands. Elles étaient ceintes d'une très-haute muraille; cette enceinte, outre les habitations des prêtres, contenait des magasins pour les vivres et les armes; de sorte qu'une pareille, pyramide tenait lieu dans ces temps- là de forteresse. Il n'y a que 30 ans que des Espagnols en allant à la chasse découvrirent ce magnifique édifice pyramidal. Il n'est pas loin de Papantla, grand village indien, dans la partie septentrionale de l'intendarice de Veiacmz.
Ad00341 06 093aFig. 1. Der Domplatz in Pisa.~~Die alte ansehnliche Stadt Pisa am Arno, im ehemaligen Grossherzogthume Florenz, hat ausser ihren, in der Nähe liegenden berühmten Bädern auch noch viele merkwürdige Gebäude, die den Reisenden interessiren. Mehrere davon zeigt uns der hier abgebildete Dom-Platz.~~Links erblicken wir zuerst mit spitzig zulaufender Kuppel den Dom Johannes des Täufers, die Taufkirche oder das Battisterio di San Giovanni genannt, welche in den Jahren 1152 bis 1264 durch Geschenke des Königs Ruggieri von Sicilien, so wie durch freiwillige Beiträge von 34,000 Pisaner Familien gebauet wurde. Er ist ganz mit Marmor überdeckt. In der Mitte des Platzes erhebt sich, in Form eines lateinischen Kreuzes, der Haupt Dom, der Mutter Gottes gewidmet, im 11. und 12. Jahrhundert ganz von Marmor gebaut, mit den kostbarsten Thüren von Bronze. Die grössten Künstler Italiens haben sich beeifert, ihn durch Mosaiken, Gemälde, Basreliefs und Statuen zu schmücken. Rechts schliesst sich unsere Ansicht mit dem weltberühmten hängenden Thurm, il Campanile genannt, dessen obere Peripherie 14 bis 15 Fuss nach der Stadt zu über die Basis hinaus fällt. Er ist 142 Fuss hoch; auf lockern Boden gebauet senkte sich der Thurm schon während des Baues, und so steht er noch. An ihm bemerkt man die schönsten Marmorsäulen von zerstörten griechischen alten Tempeln und Gebäuden.~~Fig. 2. Der grossherzogliche Pallast, Pitti genannt, in Florenz.~~Er wurde von einem Florentiner Edelmann, Lucca Pitti erbauet, nach dessen Tode er an das Haus Medicis kam, die ihn bewohnten, und seit dieser Zeit ist er das Residenzschloss der Herrscher von Florenz geblieben. In den Sälen dieses merkwürdigen Pallastes befinden sich die schönsten Kunstwerke älterer italienischer Meister, wodurch der Pallast Pitti gleichfalls weltberühmt geworden ist.~~139
Ad00341 06 093a/freMélanges CLXIX. Vol. VII. No. 91.
BEAUX ÉDIFICES D'ITALIE.
Fig. 1. La place du Dôme à Pise.
Outre les bains célèbres, qui sont dans son voisinage, l'ancienne ville de Pise, située sur l'Arno, dans le ci-devant grand Duché de Florence, a des édifices très-dignes de fixer l'attention des voyageurs. La place de la cathédrale nous en offre ici plusieurs. A gauche nous remarquons d'abord le dôme de St. Jean Baptiste, nommé il battisterio di San Giovanni, dont la coupole se termine en pointe. Il fut bâti depuis 1152 jusqu'en 1264. Les présents du roi Ruggieri de Sicile ainsi que les dons gratuits de 34,000 familles de Pise fournirent à cette bâtisse. Il est tout recouvert de marbre. Au milieu de la place s'élève, en forme de croix latine, la cathédrale, consacrée à la St. Vierge, construite dans son entier en marbre, ayant les plus belles portes en bronze. Les premiers artistes de l'Italie se sont empressés de l'orner de mosaïques,-de tableaux, de bas-reliefs et de statues. La vue donne à droite sur le clocher nommé il Campanile, tour inclinée, dont la périphérie supérieure dépasse du côté de la ville, la base de 14 à 15 pieds. Il a 142 pieds de haut; bâti sur un terrain mouvant, ce clocher s'affaissa pendant qu'on le construisait et il est resté tel. On y voit les plus belles statues de marbre, qu'on a tirées des anciens temples grecs, qui ont été détruits.
Fig. 2. Le palais grand-ducal, nommé Pitti, à Florence.
Il fut bâti par un gentilhomme florentin, Luca Pitti. Après sa mort, les Médicis en firent l'acquisition, l'habitèrent, et depuis ce tems les souverains de Florence en ont fait ; ,leur palais de résidence. Les Salles de ce superbe palais renferment les plus beaux chefsd'oeuvre des anciens artistes d'Italie, ce qui a rendu ce palais célèbre dans tout l'univers.
Ad00341 06 094aFig. 1. (A. B.) Die Hekuba. (Papilio Hecuba. L.)~~Dieser hier in natürlicher Grösse abgebildete prachtvolle Schmetterling ist in der Gegend von Cayenne in Süd-Amerika einheimisch. Wenige Schmetterlinge nur übertreffen ihn an Grösse und Schönheit. Der grössere Theil der Oberseite der Vorderflügel ist dunkel orangenfarbig. Vom Flügelgelenk läuft ein fahler, sich schwarz endender Streifen längs dem obern Rande gegen die Flügelspitzen hin. Der untere Theil der Vorderflügel ist grösstentheils schwarz und an dem äussern Rande ausgebognet. Die Rückseite der Flügel (Fig. 1. B.) ist noch prachtvoller und kann leichter aus der Abbildung ersehen, als mit Worten beschrieben werden. Nur bemerken wir, dass alle Flecken den schönsten Silberglanz haben. Der Leib ist oberhalb fleischfarben und unterhalb braun.~~Fig. 2. Die Astarte. (Papilio Astarte.)~~Die Grundfarbe der Flügel ist schwarz. Auf den Vorderflügeln befinden sich zwei carminrothe Flecken; auf der der Hinterflügel nur einer derselben. Der Leib ist violet, die Augen roth. Man trifft diesen Schmetterling zu Surinam in Süd-America an.~~Fig. 3. Die Junia. (Papilio Junia.)~~Dieser artige Schmetterling ist durchaus von einer lasurblauen, seidenartigen Farbe, mit Ausnahme der Mitte der Unterfläche der Flügel, wo das Blaue in das Violette spielt, und der Augen, die roth sind. Die Fühlhörner sind aber gleichfalls blau. - Das Vaterland ist, wie bei dem vorigen, Surinam.~~139
Ad00341 06 094a/freInsectes LXVI. Vol. VII. No. 92.
BEAUX PAPILLONS EXOTIQUES.
Fig. 1. (A. B.). L'Hécube. (Papilio l’Hecuba. L.)
Ce magnifique papillon, figuré ici dans sa grandeur naturelle indigène aux environs de Cayejme, située dans l'Amérique méridionale, ne le cède qu'à un très-petit nombre de papillons pour la grandeur et la beauté. La partie supérieure des aîles de devant est pour la plupart couleur d'orange foncé. De la jointure des aîles vers l'extrémité se prolonge le long du bord supérieur un bande fauve qui se perd dans le noir. La partie inférieure des aîles de devant est en grande partie noire et échancrée à l'extrémité. Le dessous des aîles, (Fig. . i.B.) est encore bien plus brillant, et la représentation en donne une biers plus juste idée que des paroles; nous remarquerons'seulement que toutes les taches ont le plus bel éclat a-rgenté. Le haut du corps est couleur de chair et le bas brun. ,
Fig. 2. L'Astarte. (Papilio Astarte.)
Les aîles sont d'un fond noir. Sur les aîles de devant se trouvent deux bandes d'un rouge de carmin, et une seule sur celles de derrière. Il a le corps violet et les yeux rouges; Surinam est la patrie de ce papillon.
Fig. 3. La Junie. (Papilio Junia)
Ce joli papillon est absolument d'un bleu d'azur, à l'exception du-milieu du dessous des aîles, où le bleu tire sur le'violet, et des yeux, qui sont rouges. '.Mais les cornes sont égaler ment bleues. 11 est comm'e le précédent indigène à Surinam.
Ad00341 06 095aDie auf dieser Tafel abgebildeten beiden Schildkröten-Arten leben grösstentheils im süssen Wasser, legen aber ihre Eier an das Land, an dem sie sich auch oft lange aufhalten.~~Fig. 1. Die gelbe Schildkröte. (Testudo flava.)~~Sie ist in den südlichen Theilen von Europa, in Italien, Sardinien, Ungarn, ja selbst in mehreren Theilen von Teutschland einheimisch. Die Grundfarbe ihres 8 Zoll langen Rückenschildes ist dunkel grasgrün, mit gelben Puncten, die sich strahlenförmig ausbreiten, angenehm gezeichnet. Wie die Schlamm-Schildkröte lebt sie in morastigen Gewässern, und nährt sich von kleinen Fischen, Insekten, und auch Wasserpflanzen. Die Oberschale besteht aus 13 grossen Mittelschildern, 25 Randschilder umgeben sie. Die Füsse sind auch mit Schuppen bedeckt.~~Fig. 2. Die beissige Schildkröte. (Testudo ferox. L.)~~Diese Schildkröten-Art ist in den Flüssen des südlichen Nord-America's zu Hause und die grösste aller Flussschildkröten, da sie oft ein Gewicht von 70 Pfunden erreicht. Ihr Fleisch ist sehr fett und wohlschmeckend. Die Oberschale ist grünlich; die Mitte derselben hart und knochig, die Ränder aber sind mehr knorpelig, weich und lassen sich nach allen Richtungen biegen. Vorn und hinten ist das Schild mit glatten, länglichen Buckeln besetzt.~~Der kleine Kopf ist nach vorn zugespitzt, und die Nase bildet, wie bei dem Maulwurf, eine Art von Rüssel. Der Schwanz ist kurz, dick und breit. Die Eier sind kugelrund und halten fast 1 Zoll im Durchmesser; an Zahl legt sie deren gewöhnlich 30.~~Die beissige Schildkröte ist stark und muthig. Greift man sie an, so erhebt sie sich auf ihre Hinterfüsse, schwingt sich wüthend gegen ihren Feind und beisst heftig.~~139
Ad00341 06 095a/freAmphibies XXIX. Vol VII. No. 93.
TORTUES D'EAU DOUCE.
Les Tortues figurées ici vivent presque toujours dans l'eau douce, mais elles déposent leurs oeufs sur le sable, où elles se plaisent à rester longtems.
Fig. 1. La Tortue jaune. (Testudo flava.)
Cette Tortue habite les parties tempérées de l'Europe, l'Italie, la Sardaigne, la Hongrie, et même quelques contrées de l'Allemagne. Sa carapace de 8 pouces de long, est d'un vert d'herbe foncé, et très-agréablement tachetée de points jaunes, disposés sur des lignes rayonnées. Elle vit comme la tortue bourbeuse dans les marais, et s'y nourrit de petits insectes, de buccins d'eau, de petits poissons et d'herbes. La carapace est composée de 13 grandes plaques, et le bord en a 35. Les pieds «ont aussi couverts d'écaillés.
F. 2. La Tortue molle ou féroce. (Testudo ferox. L.)
Cette espèce de Tortue, qui se trouve dans les rivières da sud de la Caroline, est la plus grande des Tortues d'eau douce, puisqu'elle pèse souvent 70 livres. La chair est grasse et agréable au goût. La carapace est verte, et le milieu en est dur et osseux, mais les bords en sont cartilagineux et flexibles. Sur le devant et le derrière de la carapace il y a des tubercules lisses et oblongs. La petite tête est un peu amincie en avant, et le nez forme, comme dans la taupe, une espèce de trompe. La queue est courte, épaisse et large. Les oeufs sphéroïdes ont 1 pouce de diamètre; et elle en pond ordinairement 30. La Tortue féroce est robuste et courageuse; dès qu'on l'attaque, elle se redresse sur ses pieds, s'élance contre son ennemi et le mord avec violence.
Ad00341 06 096aFig. 1. Die prächtige Schotie. (Schotia speciosa. Juss.)~~Die prächtige Schotie findet sich in mehreren Theilen von Afrika, und wurde gegen das Jahr 1760 zuerst nach England, und von da weiter nach den übrigen Theilen von Europa gebracht, wo man sie in den Glashäusern wegen ihrer prächtigen Blumen, als Zierpflanze zieht. Die gefiederten Blättchen stehen einander gegenüber, und sind glatt, steif, und glänzend. Die Blüten sind einen Zoll lang, dunkelrosenroth, der Kelch mehr scharlachroth, und sitzen an einem holzigen Stiele. Die gekochten Saamen werden von den Hottentotten gegessen.~~F. 2. Der gemeine Catappenbaum. (Terminalia Catappa. Linn.)~~Er bildet einen schönen Baum, welcher in Indien regelmässig in den Gärten angepflanzt wird, und in der Pyramidenform unserer Fichte ähnlich ist. Die 10 Zoll langen, vorn breiter werdenden Blätter haben keinen Geruch, aber einen bittern Geschmack. Die Blütchen (welche a vergrössert zeigt) sitzen traubenförmig an einem längeren Stiel. Die längliche, 3 Zoll lange Frucht enthält eine wohlschmeckende Mandel, welche auf den ersten Tafeln Indiens roh gespeist wird. Auch presst man aus diesen Mandeln ein gutes Oel, welches nie ranzig wird. Den Saft der Blätter, mit Reiss-Wasser gemischt, brauchen die Indianer als heilsames Mittel in mehreren Krankheiten.~~139
Ad00341 06 096a/frePlantes CXXXIV. Vol. VI. No. 94.
PLANTES EXOTIQUES.
Fig. 1. La magnifique Schotie. (Schotia speciosa. Juss.)
La magnifique Schotte, indigène à plusieurs contrées de l'Afrique, fut d'abord transportée en Angleterre l'an "1760, et delà dans les .autres parties de l'Europe, où on la cultive dans les serres-chaudes comme une plante de parade à cause de l'éclat de ses fleurs. Les- petites feuilles plumassées sont placées vis-à- vis les unes des autres, et sont unies, roides et luisantes. Les fleurs d'un ,pouce delong sont d'une couleur de rose foncé, et tiennent à un pédoncule ligneux 5 mais le calice est d'un rouge d'écarlate. Les Hottentots en font cuire la semence et la mangent.
Fig. 2. Le Badamier de Malabar. (Terminalia Catappa. Linn.)
On fait dans les jardins de l'Inde des plan* rations régulières de ce Badamier, qui forme1 un bel arbre, et ressemble pour la forme pyramidale à notre pin. Lee feuilles de dix pouces de long, qui s'élargissent en avant, pri-, vées d'odeur, sont amères. Les fleurs, grossies à a tiennent en forme de grappe à un pédicule plus long. Le fruit, de 3. pouces de long et ovale contient une amande, que l'on sert toute crue sur les meilleures tables do l'Inde, on en retire aussi une bonne bulle, qui ne rancit jamais. Las Indiens emploient le suc de ses feuilles mêlé avec de l'eau de ris, comme un remède très »salutaire dans plussieurs maladies.
Ad00341 06 097aDie neueste Reise des Hrn. v. Langsdorf, der den russischen Capitän v. Krusenstern, in den Jahren 1803-1807 auf seiner Weltumsegelung begleitete, hat uns auch mit den Bewohnern der nordwestlichen Küste von America näher bekannt gemacht, wie wir auf gegenwärtiger Tafel sehen werden.~~Fig. 1. Die Einwohner von San José.~~Die Eingebornen der spanischen Mission von S. José (Joseph) in Neu-Californien sind wohlgebauet, von starker Muskelkraft, dunkel von Farbe und schwarz von Haar. Spanische Mönche haben ihrer viele zum Christenthume bekehrt, getauft, und mehr an einen geselligen Zustand gewöhnt. Diese bekehrten Bewohner von S. José, so wie die Wilden, lieben Alle leidenschaftlich den Tanz, der in ausdrucksvollen Bewegungen besteht. Sie bemalen sich dazu mit schwarzer, rother und weisser Farbe; andere bekleben sich den ganzen Körper und die Haare mit weissen Pflaumfedern; noch andere malen sich auf den blossen Körper die Kleidung spanischer Soldaten.~~Fig. 2. Die Kaluschen in Sitcha bei einem Tanz.~~Die Kaluschen sind die Ureinwohner von Norfolksund, von gedrungenem Körperbau, schwarzem Haare, und schmuziger Farbe, welche durch das Einreiben mit bunten Erden noch vermehrt wird. Sie gehen gewöhnlich nackt, und bekleiden sich nur bei grosser Kälte, zum Staat und beim Tanz, mit Decken oder Kitteln nach europäischem Schnitt, die sie im Handel eintauschen. Auch bei ihnen ist der Tanz eine Lieblingsbeschäftigung, und sie bereiten sich Stundenlang darauf vor. Sie malen dazu die Gesichter mit bunten Erden an, besetzen die Kleider mit Hermelinfellchen, und bestreuen und bestecken die Köfpe (sic) mit den Federn des weissköpfigen Adlers (Falco leucocephalus). In eine Reihe gestellt, besteht der Tanz bloss in heftigen Sprüngen, ohne sich von der Stelle zu bewegen; einer mit einem dicken Stabe, womit er auf den Boden stampft, giebt den Tact an. Die Weiber sitzen umher und singen dazu. Ihre Unterlippen werden von Jugend auf durchbohrt, und durch eingesteckte Stückchen Holz unförmlich verlängert.~~139
Ad00341 06 097a/freMélanges CLXX. Vol. VII. No. 95.
HABITANTS DE LA COTE NORD-OCCIDENTALE DE L'AMÉRIQUE.
Nous avons puisé des notions plus certaines sue les peuples qui habitent le Nord-ouest de l'Amérique dans le voyage récent de Mr. de £ahgsdorf, qui accompagna le capitaine russe de Krusenstern en 1803 et 1807 dans son voyage autour du monde. La planche cijointe figure quelques-unes de ces nations.
Fig. 1. Habitants de St. José.
Les indigènes de la mission espagnole de St.. José (Joseph) dans la nouvelle Californie, sont bien bâtis, forts, basanés et ont les cheveux noirs. Les moines espagnols en ont converti plusieurs au christianisme, qu'ils ont baptisés, et à qui ils ont fait adopter la vie sociale. Les habitants de St. José, ainsi que les sauvages, sont passionnés pour la danse, qui consiste dans des mouvements expressifs. Pour cela ils se peignent, en noir, rouge et blanc; quelques-uns collent sur le corps et les cheveux de l'édredon blanc; d'autres en- I fin peignent sur leur corps nu les vêtements des soldats espagnols.
Fig. 2. Les Caluches de Sitcha à.une danse.
Les Caluches sont les habitants originaires deNorfolksound; ils sont ramassés, ils ont les cheveux noirs et sont d'une couleur de crasse, qui augemente encore par le- frottement de terres de diverses couleurs. Ils sont ordinairement nus, et ne mettent que quand il fait un froid rigoureux, ou pour se parer, ou à la danse, des sarraux faits à l'Européenne qu'ils achettent ou échangent. La Danse est aussi leur occupation favorite, et ils s'y pré» parent des heures entières. Ils se peignent le visage avec des terres de couleur, bordent leurs souquenilles de peaux d'hermeline et placent dans leurs cheveux les plumes de l'aigle à tête chauve (Falco leueocephalus)Formés sur une ligne, leur danse ne consiste qu'à -faire de grands sauts sans bouger de leur place. L'un d'eux, armé d'un grand bâton, en frappe la terre pour marquer la mesure. Les femmes placées tout autour les accompagnent de leur chant. Leurs lèvres de dessous sont percées dès leur bas âge et difforrnement alongées par des morceaux de bois qu'on place dans ces trous.
Ad00341 06 098aDie merkwürdigen Pagoden von Mavalipuram liegen unfern der Küste von Koromandel zwischen Madras und Govelong auf einem Felsen, von dem sie selbst einen Bestandtheil bilden. Sie sind nämlich, wie mehrere Gebäude der frühern Hindus, mit unglaublicher Geduld und Arbeit aus dem Felsen selbst gehauen. Man gab ihnen erst ihre äussere Gestalt und höhlte sie dann von innen nach den Regeln der Baukunst aus. Zuerst kommt man zu dem behauenen Felsen, der unter dem Namen der sieben Pagoden bekannt ist; weiter hin nach der Südseite des Hügels, findet man die beiden hier abgebildeten Pagoden, die gegen 30 Fuss lang, 20 Fuss breit und eben so hoch aus dem harten Felsen gehauen sind. - In ihrer Structur haben sie wegen der zugespitzten Bogen Aehnlichkeit mit der gothischen Bauart. Bei der kleineren Pagode sieht man einen ausgehauenen Elephanten in natürlicher, und vorn einen Löwen in colossaler Grösse.~~Beide Pagoden sind innerhalb nicht vollendet. Sehr wahrscheinlich war ein Erdbeben die Ursache davon, wie man aus einer 4 Zoll breiten Spalte, die das aus einem Stück bestehende Gebäude der niedlichen Pagode vom Gipfel bis zum Boden, und wahrscheinlich auch den untern Felsen bis auf eine beträchtliche Tiefe trennt, urtheilen kann. Hierzu kommen noch andere Beweise, als z. B. dicht an dieser Küste in das Meer versunkene Gebäude, welche wahrscheinlich dasselbe Erdbeben, was die Beendigung der Pagoden hinderte, auch zerstörte.~~140
Ad00341 06 098a/freMélanges CLXXI. Vol. VII. No. 96.
LES PAGODES DE MAVALIPOURAM.
Ces Pagodes indiennes de Mavalipouram sont situées, non loin de la côte de Coromandel, entre Madras et Covelong, sur un rocher, dont elles font même partie intégrante. Comme plusieurs autres édifices des premiers Hindous, elles sont taillées dans le roc, ce qui a exigé une patience et un ouvrage incroyable. Ce n'est qu' après leur avoir donné leur forme extérieure, que l'on creusa le dedans d'après les règles de l'architecture. On arrive d'abord au roc taillé, connu sous le nom des sept pagodes; plus loin sur le côté méridional de la colline se trouvent les deux pagodes, figurées ici, taillées dans le roc, ayant près de 30 pieds de long, 20 de large et à peu près autant de haut. Elles ont dans leur structure, à cause des angles aigus, quelque ressemblance avec le style gothique. On voit près delà petite pagode un éléphant taillé dans sa grandeur naturelle, et devant, un lion d'une grandeur colossale. L'intérieur des deux pagodes n'est pas achevé. On en attribue avec beaucoup de vraisemblance la cause à un tremblement de terre, comme on peut en juger par une fente de 4 pouces de large, qui coupe du haut en bas l'édifice de la jolie pagode, composé d'une seule pièce, et vraisemblablement aussi jusqu'à une certaine profondeur, le rocher qui lui sert de base. On peut en donner encore d'autres preuves. Il y avoit des édifices, sur cette côte, qui furent renversés dans la mer^ et il est très-probable que le même tremblement de terre, qui les a détruits, ait empêché d'achever les pagodes.
Ad00341 06 099aFig. 1. Achates. (Papilio Achates.)~~Hier ist das Weibchen dieses schönen Schmetterlinges abgebildet, da seine Farben ausgezeichneter, als die des Männchens sind. Die Oberseite der Vorderflügel hat eine grünlich braune Farbe. Die dreieckigen hochrothen Flecken an den Flügelgelenken, und die unter ihnen liegende schwarzen keilförmigen Flecken sind bei dem männlichen Falter gelb und weiss. Die Unterseite der Vorderflügel hat eine schwarze Grundfarbe und 7 weisse, 2 gelbrichrothe Schilder, und 6 rothe Randmonde. Dieser Schmetterling ist in Ost-Asien, wie in China, der Insel Java und auf Coromandel einheimisch.~~Fig. 2. Berecynthia. (Papilio Berecynthia.)~~Dieser in Surinam einheimische, Schmetterling hat eine dunkelbraune Grundfarbe, die nicht weit vom Aussenrande der Flügel von einer schmalen, rothgelben Binde durchschnitten wird.~~Fig. 3. Philocles. (Papilio Philocles.)~~Er ist gleichfalls aus Surinam. Die Grundfarbe der obern Vorderflügel ist schwarz. Gegen den Rand hin steht ein gebogener lichtblauer Flecken mit weisser Einfassung und zwischen diesem und dem Flügelgelenke ein ovaler, himmelblauer Ring, der einige weisse Puncte umschliesst.~~Fig. 4. Pretus. (Papilio Pretus.)~~Er ist auf dem Vorgebirge der guten Hoffnung einheimisch. Die obere Seite der Flügel ist schwarz und mit vielen grünen, seidenartig glänzenden Flecken geziert. Die Hinterflügel sind braunröthlich mit mattweissen Flecken.~~140
Ad00341 06 099a/freInsectes LXVII. Vol. VII. No. 97.
BEAUX PAPILLONS ÉTRANGERS.
Fig. 1. I’Achate. (Papilio Achates.)
On a figuré ici la femelle de ce charmant papillon parceque ses couleurs sont beaucoup mieux distinguées que celles du mâle. «Le dessus des aîles de devant est d'un brun verdâtre. Les taches triangulaires, d'un rouge ponceau à la jointure des aîles, et les taches coniques noires qui servent de fond aux premières, sont dans le mâle jaunes et blanches. Le dessous des aîles de devant est d'un fond noir, tacheié de 7 écussons blancs,, de 2 rouges, tirant sur le jaune; il y a 6 échancrures rouges. Ce papillon est indigène à l'Asie occidentale, comme à la Chine, à l'île de Java et au Corornandel.
Fig. 2. La Bérécynthie. (Papilio Berecynthia.)
La couleur de ce papillon, indigène à Surinam, est d'un brun foncé, coupé non loin du bord des aîles, par une bande peu large d'un jaune rougeâtre.
Fig. 3. Le Philocles. (Papilio Philocles.)
Ce papillon est également indigène à Surinam. Le fond de la couleur des aîles de devant supérieures est noir. Vers le bord est une tache en cerceau d'un bleu-clair, bordée de blanc, et entre celle-ci et la jointure des aîles se trouve un cercle ovale, qui contient quelques points blancs.
Fig. 4. Le Pretus. (Papilio Pretus.)
Le Cap de bonne espérance est sa patrie. Le dessus des aîles est noir, et orné de beaucoup de taches vertes, laisantes comme de la . soie. Les aîles de derrière sont d'un farua rougeâtra avec des taches d'an blanc pâle.
Ad00341 06 100aFig. 1. Der Syrische Eibisch. (Hibiscus Syriacus. L.)~~Dieser schöne Blütenstrauch ist ursprünglich in Syrien zu Hause, wird aber jetzt auch in unsern Gärten gezogen, die er durch seine angenehmen und häufigen Blumen ziert. Er blüht vom August bis zum Herbst, und hält sich bei einer warmen Lage, und im Winter eingebunden, auch im Freien. Die Blätter sind zugespitzt und dreilappig; in den Winkeln derselben sitzen die grossen schönen Blüten. Die hochrothe Knospe entfaltet sich in 6 bis 7 Blätter, welche röthlich weiss mit rothen Adern gezeichnet sind, und einen dunkeln Kern haben. Der späten Blüte wegen werden die Saamen selten reif, und man pflanzt diesen schönen Strauch am leichtesten durch Absenker oder Schnittlinge fort.~~Fig. 2. Der chinesische Apfelbaum. (Pyrus spectabilis.)~~Der chinesische Apfelbaum, welcher erst seit 1780 in Europa bekannt ist, zeichnet sich durch seine röthlichen halbgefüllten Blüten aus, welche wie kleine Rosen aussehen, und ihm ein prächtiges Ansehen geben. Der Stamm wird 20 bis 30 Fuss hoch; er kommt zwar bei uns im Freien fort, doch will er Schutz gegen die Winde, auch werden seine Früchte selten reif. Seine Schönheit besteht, wie gesagt, in den Blüten. Man kann ihn daher, wie die andern Obstsorten, im Winter im Zimmer in Töpfen ziehen, wo er blühend einen ungemein schönen Anblick gewährt.~~140
Ad00341 06 100a/frePlantes CXXXIV. Vol. VII. No. 98.
PLANTES DE PARADE.
Fig. 1. La Guimauve syrienne. (Hibiscus syriacus. L.)
Cette belle plante originaire de Syrie, est cultivée maintenant dans nos jardins, qu'elle décore par le nombre et la beauté de ses fleurs. Elle fleurit depuis le mois d'août jusqu'en automne; placée à l'abri des rigueurs de la saison, elle se conserve en plein air, pourvu qu'on ait soin de la couvrir en hiver. Les feuilles pointues sont à 3 bouts, et dans leurs angles sertrouvent les grandes et belles fleurs. Le bouton d'un rouge foncé s'épanouit en 6 à 1 feuilles d'un blanc rougeâtre avec des veines rouges, mais le milieu est plus foncé. Sa se_ mence parvenant rarement à sa maturité à cause de sa fleuraison tardive, on la propage par des marcottes ou des boutures.
Fig. 2. Le pommier chinois. (Pyrus spectabilis.)
Le pommier chinois, connu en Europe depuis 1780, est remarquable par ses fleurs rougeâtres à demi doubles, qui ont l'air de petites roses, etjjui le rendent très-agréable à la vue. Le tronc parvient à la hauteur »de 20 à 30 pieds, il prospère chez nous en plein air, cependant il demande un abri contre le vent; ses fruits mûrissent rarement. Sa beauté consistant, comme on l'a dit, dans ses fleurs,' on peut le cultiver pendant l'hiver, comme les autres espèces de fruits, dans les appartements, où sa fleuraison procure le plus beau coup - d'oeil.
Ad00341 06 101aGegenwärtige Tafel zeigt uns auf eine geschmackvolle Weise geordnet Waffen und Hausgeräthe der Bewohner von Nukahiwa, einer Insel der Südsee, deren wir schon im CXXVIII. Hefte erwähnten.~~Fig. 1. zeigt einen Streitkolben, der am Ende mit Flechten aus den Haaren eines erschlagenen Feindes verziert ist. Fig. 2. einen Ringkragen aus mehreren an einander gelegten kleinen Stäbchen aus leichtem Brodbaumholze von der Form eines Hufeisens und mit aufgeklebten schwarzen und rothen Erbsen verziert. Fig. 3. zwei mit Schnitzwerk versehene Stelzen; Fig. 4. einen Angelhaken aus Perlmutter gefertigt; Fig. 5. eine mit geflochtenen Streifen umgebene Kalebasse; Fig. 6. ein steinernes Beil mit hölzernem Griff; Fig. 7. einen künstlich geflochtenen Sonnen- oder Windfächer; Fig. 8. zwei verschiedene Arten von Rudern; Fig. 9. eine aus Cocosnussfasern verfertigte Schleuder; Fig. 10. einen aus Federn bestehenden Schmuck der Hand- und Fussgelenke; Fig. 11. zwei Ohrverzierungen, aus einer Muschel und einem Schweinszahne bestehend; Fig. 12. zwei Wurfspiese, unterhalb mit Verzierungen versehen, und endlich Fig. 13. zeigt einen Todtenkopf mit Schweinszähnen besteckt, als Andenken an einen von dem Besitzer errungenen Sieg über seinen Feind.~~140
Ad00341 06 101a/freMélanges CLXXII. Vol. VII. No. 99.
ARMES ET USTENSILES DES HABITANTS DE NUKAHIVA.
La planche ci-jointe représente les armes et les ustensiles des habitants de Nukahiva, île de la mer du sud, dont nous avons déjà fait mention dans le CXXVIII. cahier. Ces armes et ustensiles sont ici figurés avec beaucoup de goût.
Fig. . I. nous fait voir une massue d'armes, dont le bout est décoré de tresses faites des cheveux d'un ennemi vaincu. Fig. . 2. un hausse- col composé de plusieurs petites barres d'un "bois très-léger, en forme d'un fer à cheval, et orné de pois noirs et rouges, qui y sont collés; Fig. . 3. deux échasses avec des sculptures; Fig. . 4. un hameçon de nacre de perles; Fig. . 5. une Calebasse clissée; Fig. . 6. une hache de pierre avec un manche de.bois; Fig. . 7, un éventail arlistement natté; Fig. . g. deux diverses espèces de rames. Fig. . 9. une fronde faite de filaments de cocos; Fig. . 10. un ornement des jointures de la main et du pied en plumes; Fig. . il. deux pendants d'oreille formés d'une moule et d'une dent de cochon ;. Fig. . 12. deux javelots avec des ornements au ba3 et enfin Fig. . 13. représente une tête de mort garnie dé dents de cochon, en mémoire d'une victoire remportée par le possesseur: sur un ennemi.
Ad00341 06 102aFig. 1. Die Semiramis. (Papilio Semiramis.)~~Diese sehr seltne Schmetterlingsart ward auf dem Zuckerrohre zu Surinam auf der Plantage Zoelen gefangen. Sie gehört unter die Atlas-Phalänen, hat fedrige Fühlhörner und einen kaum wahrzunehmenden Saugrüssel. Der seidenartige Pflaum des Hintern zeigt, dass hier das Männchen abgebildet ist. Die drei eckigen und halbmondförmigen Flecken der vordern Flügel sind, wie die runden der hintern, durchsichtig, gleich den Flecken auf den Flügeln der Spiegelschmetterlinge. Die ungemein grossen Verlängerungen der hintern Spitze der Hinterflügel sind so zart und schmal, dass schwer zu begreifen ist, wie dies Thier sie durch den Flug nicht beschädigt.~~Fig. 2. Die Lima. (Papilio Luna.)~~Dieser Schmetterling hat auf der untern Seite dieselbe Zeichnung, wie auf der obern. Die ovalen Augenspiegel, von denen sich auf jedem Flügel einer befindet, sind durchsichtig wie Glas. Er ist in Jamaika, Neu-York, Carolina, in Maryland einheimisch und seine Raupe nährt sich von dem Laube des Sassafrasbaumes. Auf Koromandel und in Ceylan findet sich eine Abart desselben von blässerer, fast weisser Farbe und mit breitern, braunen Rändern der Vorderflügel.~~Fig. 3. 4. Der Imperialis. (Papilio Imperialis.)~~Dieser, in Surinam einheimische, mit FIügelschwänzen versehene Schmetterling zeichnet sich ganz vorzüglich durch die Pracht seiner Farben aus. Die Oberseite der Vorderflügel ist azurblau, so wie die der Hinterflügel. Erstere sind mit einer schwarzen Randbinde umgeben und haben jeder zwei schwarze Flecke. Die Unterseite ist grösstentheils grün. Bei den Vorderflügeln findet sich ein hellblauer runder Fleck bei dem Flügelgelenke. Die Flügel sind bis auf den vordern Bug der Vorderflügel mit schwarzen Härchen eingefasst und die Unterseite der Hinterflügel spielt in das Goldgrüne.~~Fig. 5. Die Progne. (Papilio Progne.)~~Dieser prachtvolle, in Jamaika und Neu-York einheimische, Schmetterling ist unterhalb fast eben so gezeichnet, wie oberhalb und gleicht dem bandirten Eckflügler Europa's, den die Franzosen: Robert le Diable und die Holländer: de gehakkelde Aurelia nennen, sehr. Nur sind die Flügel nicht so tief eingeschnitten. Auch fehlt am untern Theile der untern Flügel das silberne C, welches den europäischen Schmetterling auszeichnet.~~140
Ad00341 06 102a/freInsectes LXVIII. Vol VII. No. 100.
DIVERSES ESPÈCES DE PAPILLONS ÉTRANGERS.
Fig. 1. La Sémiramis. (Papilio Semiramis.)
Cette espèce de papillon, extrêmement rare, fut trouvée sur une canne à sucre dans je plantage de Zoelen h Surinam. Elle appartient aux phalènes veloutées. Elle a les antennes plumassées, et une trompe presque imperceptible. Au duvet soyeux du derrière on "reconnaît aisément que c'est le mâle qui est figuré ici. Les taches triangulaires et en forme de. croissant des aîles de devant sont, comme les taches rondes-du derrière, transparentes, et semblables aux taches dès porte-miroirs. Les aîles de derrière ont à. leur extrémité un prolongement extraordinaire si fin et si mince, qu'il est étonnant que cet animal ne le- gâte pas en volant.
Fig. 2. La Lune. (Papilio Luna.)
Le dessus et le dessous de ce papillon ont les mêmes dessins. Les,yeux, dont il y en a un sur chaque aîle, sont transparents comme le verre; Il est indigène à la Jamaïque à NeuYork, à la Caroline, ait Mailand; sa chenille se nourrit des feuilles de Sassafras. Au Coromandel, et dans l'île de Ceylan il s'en trouve une variété d'une couleur plus pâle et prèsque blanche, et dont les aîles de devant ont des bords larges et bruns.
Fig. 3. et 4. L'Impériale. (Papilio Imperialis.)
Ce papillon, indigène à Surinam, dont les aîles se terminent en queue, se distingue surtout par la magnificence de ses couleurs- Le dessus de ses aîles est d'un bleu d'azur, cependant les aîles de devant ont de plus une large bordure noire, et deux taches de la même couleur. Le dessous est poui la plupart vert, cependant les aîles supérieures ont à la jointure une tache ronde d'un bleu clair. Les aîles ont jusqu'à la première courbure des aîles de devant de petites pointes noires et le dessous des aîles inférieures joue le vert-d'or,
Fig. 5. Le Progne. (Papilio Progne.)
Ce superbe papillon, indigène à Neu York et à la Jamaïque, est tacheté à peu près en bas comme en haut, et ressembla au Robert le Diable des françois et au de gehakkel'de Aurélia des hollandais; les aîles ne sont pon;tant pas si échancrées, et le dessous des ailes inférieures n'a pas non plus le C argenté, qui distingue le papillon d'Europe.
Ad00341 07 003aBei Gelegenheit der 36 Tafel des VII. Bandes unseres Bilderbuchs sprachen wir bereits von der Gewohnheit der Bewohner vieler Südsee-Inseln, ihren Körper zu tatowiren, oder durch das Einstechen beliebiger Figuren in die Oberhaut des Körpers, zu zieren. Diese, und die zwei folgenden Tafeln, werden uns diesen sonderbaren Gebrauch in allen seinen Abstufungen genau kennen lernen.~~Die Geschicklichkeit des Tatowirens wird auf jenen Inseln als eine ordentliche Kunst getrieben, deswegen erblicken wir auf~~Fig. 1. Einen Tatowir-Meister.~~Er kniet auf dem linken Knie vor einer jungen Frau und tatowirt ihr linkes Vorderarm-Gelenk, das auf seinem rechten Knie ruht, mittelst des kammförmig ausgezackten Flügelknochens des Tropikvogels (Phaeton aethereus,) welches in einem Bambusstäbchen unter einem spitzen Winkel befestigt ist, auf dessen Endspitze leise Schläge mittelst eines ähnlichen Stäbchens geschehen, so dass nur das oberste Häutchen des Körpers mittelst dieser Schläge auf das kammartige Werkzeug durchstochen wird. Da auf der Haut die Figuren vorgezeichnet sind, so geht gewöhnlich die Operation sehr schnell von statten, wenn nämlich der Tatowirer hinreichend geschickt ist. In die leichte Verwundung wird die mit Wasser angemachte Kohle eines Kokosnusskerns eingerieben, worauf eine leichte Entzündung und Borke folgt, nach deren Abfall die Figur unvertilglich der Haut eingeätzt ist. Der in die Hütte tretende Nukahiwer bringt für den Tatowir-Meister einen Schweinskopf zum Lohne.~~Fig. 2. Einige der gewöhnlichsten Tatowirungs-Figuren.~~Jede derselben hat ihren eigenen Namen und manche eine eigene Bedeutung. Mehrere der vorzüglichsten wollen wir jetzt nach von Langsdorf's Reise kennen lernen.~~1. 2. Kake. Wird auf der innern Armseite und auf den Rippen eingeätzt.- 3. 4. 5. Enata, Männer. Wahrscheinlich werden diese Figuren nach Erschlagung eines Feindes bei Verzehrung seiner Leiche der Haut eingeprägt. - 6. 7. Kake-opogo, Querband über dem Auge, die Arme, die Brust, die Schenkel u.s.f. wird vorzüglich bei Schmausereien gemacht. - 8) Matta-Comor. Die Figur stellt einen Menschenkopf vor und ist mit Enata (3. 4 5) umgeben und wahrscheinlich das Emblem eines ausgezeichneten Kriegers, dessen Brust, Schenkel oder Rücken es ziert. - 9 10. Niho Piata, Hayfischzähne. Diese Figur wird als ausfüllende Verzierung, so wie die folgende (11) angebracht. - 12. Ehowa, Schildkröte. Dient zu gleicher Absicht, so wie auch die Figuren von Eidechsen und anderen Thieren. - 13. Tumaima findet nur auf der oberen Handseite Platz, und 14., deren Namen den Reisenden unbekannt blieb, nur am innern Arme und den Schenkeln.~~141
Ad00341 07 003a/freMélanges CLXXIII. Vol. VIII. No. 1.
MANIÈRE DE TATOUER À NUKAHIVA.
Nous avons déjà parlé, à l'occasion de la planche 36 du VIL Volume de notre Porte- . seuille d'Enfans, de l'habitude où sont les habitants de plusieurs îles de la mer du Sud de se tatouer le corps, c'est-à-dire de barioler le corps avec des Fig. ures imprégnées dans la peau. Cette planche, ainsi que les deux suivantes, nous fera connoître cet étrange usage avec toutes ses gradations. Dans ces îles le tatouage est un art véritable, aussi voyons-nous
Fig. 1. Un maître de tatouage.
Il est à genoux devant une jeune femme, dont il tatoue la jointure de l'avant - bras gauche, qui repose sur son genou droit. Il se sert pour cela de l'os de l'aile du Paille en queue (Phaeton aetkereus.) dentelé et pointu en forme de,peigne, attaché à une baguette de bambou sous un angle obtus, sur l'extrémité de la-quelie il frappe avec une autre baguette, de sorte qu'il n'y a que l'épiderme de percé par cet instrument en sorme de peigne. Comme on commence par dessiner sur la peau les Figures, l'opération se fait ordinairement avec beaucoup de célérité, lorsque le maître de tatouage a de l'adresse. On srotte la légère blessure avec le charbon d'un noyeau de coco détrempé dans de l'eau, après quoi il y a une légère inflammation, et il se forme une croûte, et dèsquelle est tombée, la Figure est imprégnée pour toujours. Le Nukahivien qui entre dans la cabane apporte au maître de tatouage la tête d'un cochon pour sorr salaire.
Fig. 2. Figures ordinaires de tatouage.
Chacune a son nom et une signification qui lui est propre, et nous allons donner les principales d'après les renseignemens donnés par M. de Langsdorf dans son intéressant voyage, r. 2. Kake —- est imprégnée en dedans du bras. — 3. 4. 5. Enata, hommes. Il y a apparence qu'on imprègne ces Figures lorsqu'un homme a tué un ennemi et qu'on le mange. — 6. 7. Kake-opogo bande transversale sur l'oeil, les bras, la poitrine, les cuisses, s'imprègne surtout dans les festinj. - 8v Matta- Comor. Cette Figure représente la tête d'un homme et est entourée A'Enata 3. 4. 5., et est apparemment l'emblème d'un guerrier distingué, dont il décore la poitrine, les cuisses ou le dos. — 0. 10. Niho-Piata, dents de requin. Cette Figure ne sert qua d'ornement ainsi que la suivante, n. 12 Ehowa, tortue, sert au même objet ainsi que les Figures de lézard etd'autres animaux. __. 13. Tumaima ne se trouve que sur le dessus de la main, et 14, dont le voyageur ignore le nom, en dessous du bras et sur les cuisses.
Ad00341 07 004aDie Bewohner von Nukahiwa tatowiren ihren Körper Stellenweise viele Jahre hindurch, so dass er erst im reiferen Alter seine ganze punktirte Zierde erhält. Im zwölften oder dreizehnten Lebensjahre wird bei den Knaben der Anfang gemacht, einige Hauptfiguren zu tatowiren; jedes Jahr kommen neue Zierrathen dazu, und erst im 30 bis 35sten Jahre ist der ganze Putz vollendet. Je älter der Nukahiwer wird, desto mehr Veranlassung geben ihm friedliche und kriegerische Vorfälle, die ihn betrafen, das Andenken derselben auf seiner Haut durch bestimmte Figuren zu erhalten. Der hier von der Rückseite dargestellte Nukahiwer ist noch jung, wie man aus den vielen, noch nicht tatowirten Stellen seines Leibes, vorzüglich an den Füssen sehen kann. Er führt einen Speer in der rechten, und den Schädel eines erschlagenen Feindes, der mit Schweinshauern geziert ist, an einem Strick in der linken Hand. Merkwürdig ist sein, so wie seines Nachbars Kopfputz. Schweinshauer, an Muscheln gekittet, dienen zum Ohrenschmuck, und den ganz nackt geschornen Scheitel zieren zwei, sich über den Ohren erhebende, schneckenförmig zusammengedrehte Haarzöpfe, welche den Anschein von ein Paar Hörnern geben.~~Die mit der Streitkeule, an deren hinterem Ende ein Büschel Haare eines erschlagenen Feindes befestigt ist, ausgestattete Figur stellt einen etwa 30jährigen Nukahiwer dar, der in der linken Hand einen Windfächer von Federn hält. Die ganze, durch Tatowiren vollendete, Körperzeichnung könnte wohl die Rüstung der alten Ritter Teutschlands zurückrufen, da sich Achsel-, Brustblätter und Ringkragen auch hier finden.~~141
Ad00341 07 004a/freMélanges CLXXIV. Vol. VIII. No. 2.
NUKAHIVIENS AVEC UN TATOUAGE TOUT DIFFÉRENT.
Les habitants de Nukahiva tatouent plusieurs années de suite leur corps par partie ,. de sorte que ce n'est que dans l'âgé mûr que ces baliolements se trouvent achevés. Lorsqu'un garçon a atteint sa douzième ou treizième année , on^ commence à tatouer quelques -Figures principales; on y en ajoute, tous les ans de nouvelles, et la parure entière n'est sinie qu'à 30 ou 35 ans. Plus le Nukahivien vieillit, pins les événements militaires ou pacisiques, qui le regardent, lui fournissent l'occasion d'en conserver le souvenir par des , Figures particulières imprégnées tsur sa peau. Celui, dont le dos est Figuré ici est encore jeune, comme on peut le voir facilement par les endroits de son corps qui ne sont pas encore tatoués, surtout aux pieds. Il tient dans la main droite une lance et dans la gauche une corde à laquelle pend la tête d'un ennemi qu'il a tué, laquelle est décorée avec les défenses d'un sanglier. Sa coiffure est remarquable ainsi que celle de son voisin. Il a pour pendants d'oreille des défenses de sanglier attachées à des moules avec du ciment ; et deux tresses de'cheveux, tournées en forme d'escargot, qui s'élèvent au dessus des oreilles, et ne ressemblent pas mal à des cornes, parent la tête qui d'ailleurs est entièrement r&sée. L'autre sigure, armée d'une masse d'armes, à l'extrémité de laquelle tient un faisceau des cheveux d'un ennemi qu'il a tué, représente un Nukahivien de 30 ans, qui tient à la main un éventail panaché. Ce tatouage complet rappelé l'armure des anciens chevaliers allemands, puisqu'il y a brassards, corselets, et hausse-col.
Ad00341 07 005aNachdem wir auf den beiden vorhergehenden Tafeln die Verfahrungsart des Tatowirens, so wie die verschiedenen Grade desselben haben kennen lernen, wollen wir auf gegenwärtiger Tafel diesen Gegenstand damit beschliessen, einen durch seine schöne Gestalt sich auszeichnenden Begleiter des Königs von Nukahiwa, wie ihn der russische Weltumsegler, Capitän von Krusenstern hat abbilden lassen, zu betrachten. Diese Figur ist durch die, in die Haut eingeätzten, höchst symmetrischen Formen merkwürdig. Mancher europäische Künstler würde Mühe haben, sie aus einer gutgeformten Bildsäule nachzubilden. Fast alle eingeätzten Figuren unterscheiden sich von den aus der vorigen Tafel abgebildeten. Die linke Hand trägt eine, mit Schnuren regelmässig umgebene Kalebasse, eine Kürbisart; die Rechte hält eine Streitkeule. Den Hals umgiebt ein Ringkragen, aus Holzstäbchen des Brodbaums gefertigt, und mit rothen Bohnen geschmückt. Den Ohrenschmuck bilden an Muscheln gekittete Schweinshauer, und die Kopfdecke ist unterhalb mit eben solchen Schweinshauern eingefasst, und oberhalb aus zusammengeleimten Brodbaumholzstäbchen gebildet. Auf der Spitze befindet sich der Haarbusch eines erschlagenen Feindes.~~141
Ad00341 07 005a/freMélanges. CLXXV. Vol. VIII. No. 3.
UN NUKAHIVIEN AVEC UNE MASSUE ET UNE CALEBASSE.
Après avoir appris à connoître dans les deux celles de la planche précédente. Il tient de planches précédentes l'art du tatouage et ses la main gauche une calebasse parfaitement gradations, nous terminerons cet objet par la entrelacée de cordons, et de la droite une planche présente, qui Figure un homme de massue. Il a au cou un hausse-col sait avec la suite duroi de Nukahiva, qui se distingue des baguettes de l'arbre à pain. Des défenpar la beauté de sa Figure; tel que l'a fait ses de sanglier attachées à des moules avec dépeindre le Capitaine de Krusenstern. Cette du ciment parent ses oreilles ; le bas de son Figure est surtout remarquable par les formes bonnet est aussi garni de défenses et le haut symmétriques imprégnées dans la peau. Il est est sait de petites baguettes de l'arbre à pain, bien des artistes en Europe qui auroient beau- La pointe est ornée d'une tousfe de cheveux coup de peine à les imiter sur une belle sta- d'un ennemi vaincu, tue. Presque toutes ces Figure difsèrent de
Ad00341 07 006aFig. 1. Die gehaubte Taube. (Columba cristata. Temminck.)~~Sie ist eine der wenigen Taubenarten, deren Kopf durch eine Haube geziert wird. Ihre Länge beträgt etwas über 13 Zoll. Kopf, Hals, Brust und Bauch sind grau und etwas ins Purpurfarbne schillernd. Auf Kehle und Brust sieht man Flecken von metallischem Glanz, und unter den Augen und der Kehle ockergelbe Flecke. Die Flügeldecken sind violet-purpurfarben, und die Flügelspitzen dunkelblau; der Rücken und die Schwanzfedern schwarz-grün; der Unterleib und die untere Schwanzseite rostfarben und die Schwungfedern der Flügel mennigroth. Dieses schöne Thier lebt auf den freundschaftlichen Inseln des grossen Oceans.~~Fig. 2. Die gegürtelte Taube. (Columba cincta. Temminck.)~~Sie ist 13 Zoll lang. Ihr Kopf und ihr Hals sind ganz weiss und die Brust oberhalb weissgelblicht, unterhalb aber mit einem breiten, schwarzen, sammtartigen Gürtel überdeckt. Der Rücken, die grossen Fügelfedern und der Schwanz sind schwarzgrün, letztrer an seiner Unterseite aschgrau. Ober- und Unterbauch, so wie die Schenkel sind schön gelb. Ihr Wohnsitz ist Südasien.~~Fig. 3. Die struppige Taube. (Columba Franciae. Latham.)~~Sie ist 12 bis 13 Zoll lang. Vom Schnabelgelenke bis hinter die Ohrenöffnung geht eine zinnoberrothe, von Federn entblösste Haut. Kopf, Hals und Brust sind schon weissgrau; der übrige Theil des Leibes, die Flügel und die untere Seite des Schwanzes dunkelvioletblau. Die obere Seite des letztern ist hochroth. Man hat sie zuerst aus der, unfern Afrika liegenden, Insel Frankreich gefunden.~~Fig. 4. Die Taube mit dem Ringkragen. (Columba armillaris. Tem.)~~Sie ist 15 1/2 Zoll lang. Ihr Rücken und Vorderhals sind schieferblau, sowie der über beide Seiten der Brust gehende, aber unterhalb nicht zusammenhängende, Gürtel. Ein ganz weisser Ringkragen geht von oberhalb der Ohröffnungen oval um die Brust her. Stirne und Kehle sind weissgrau; alle untere Theile weiss, die grossen Flügelfedern dunkelbraun. Die untern Deckfedern des Schwanzes und die Seitenfedern des Bauchs haben einen schwarzen, speerförmigen Fleck in der Mitte, sind aber sonst weiss. - Diese Taube lebt in Südasien.~~Fig. 5. Die Ufertaube. (Columba littoralis. Tem.)~~Sie bewohnt die Küsten der Inseln des indischen Archipelagus von Java bis Neuguinea, ist 13 Zoll lang und, mit Ausnahme der grossen Flügelfedern, die ganz schwarz sind und der äussersten Spitzen der Schwanzfedern, die halbmondförmige schwarze Flecken haben, ganz weiss. Schnabel und Füsse sind graublau.~~Fig. 6. Die Oriku-Taube. (Columba auricularis. Tem.)~~Sie ist wahrscheinlich auf den Inseln des grossen Oceans zu Hause, 11 1/3 Zoll lang und fast ganz weiss. Der Schwanz ist nur bei seinem Ursprunge grau und bei seinem Ende schwarz, eben so die äusserste Feder jedes Flügels. Die grossen und mittlern Federn der Flügel sind an ihrem Ursprunge grau, und an ihrem Ende schwarz. Die Wangen sind bis hinter die Ohrenöffnungen ohne Federn, und ihre nackende Haut dehnt sich gegen den Vorderhals, und bildet drei Anhänge oder bewegliche fleischerne Bärtchen, fast wie bei den Truthähnen. Ihre Farbe ist schön roth. Die Nasenlöcher sind gleichfalls mit einem kirschrothen Fleischklumpen bedeckt.~~141
Ad00341 07 006a/freOiseaux. LXXXV. Vol. VIII. No. 4.
DIFFÉRENTES ESPÈCES DE PIGEONS ÉTRANGERS.
Fig. 1. La Colombe Largup. (Columba cristata. Temminck.)
Elle est du petit nombre dés Colombes, dont la' tête est ornée d'une huppe, et peut avoir environ 1,3 pouces de long. La lête, le cou, la poitrine et le ventre sont d'un gris nuancé en teintes rie pourpre clair, et le cou et la poitrine sont à ressets métalliques ; au dessous des yeux ainsi que sur la gorge est une tache de jaune terreux. Les aîles sont d'un pourpreviolet, et les extrémités d'un bleu foncé; le dos et les plumes caudales d'un verd noirâtre; la partie intérieure du corps et le dessous de, la queue, couleur de rouille, et les pennes sont d'un rouge de vermillon. Cette charmante Colombe se trouve aux îles des Amis, dans la mer du Sud.
Fig. 2. La Colombe à ceinturon noir. (Columba cincta. Tem.)
Cette Colombe mesure 13 pouces. La tête et le cou sont d'un blanc pur; la poitrine est, en haut, d'un blanc jaunâtre, et en bas, recouT verte d'un large ceinturon noir et à angles Le croupion, lr-s grandes plumes des aîles et la queue sont d'un verd noirâtre, mais cette dernière est en desrous cendrée. Le ventre, l'abdomen et les cuisses sont d'un beau jaune, Elle habite l'Asie australe;
Fig. 3. La Colombe hérissée. (Columba Franciae. Latham.)
Elle a aussi 13 pouces de long. Depuis la jointure du bec jusque derrière l'orifice des oreilles est une peau lisse, dépourvue de plumes, colorée d'un rouge incarnat. La tête, le cou et la poitrine sont d'un beau gris-blanchâtre ; le reste da corps, les aîles et le dessous de là queue sont d'un beau violet foncé; mais le dessus est d'un rouge cramoisi vif. On l'a. trouvée à l'île de France.
Fig. 4. La Colombe grivelée. (Columba armillaris. Tem)
Elle a 13! pouces de long. Le dos et le devant du cou sont d'un bleu d'ardoise, ainsi que le ceinturon qui descend des deux côtés de la poitrine, mais qui ne se rejoint pas en bas. Un hausse-col tout blanc s'étend ovalement depuis l'orifice de l'oreille jusqu'à là poitrine. Le front et la gorge sont d'un gris cendré; toutes les parties inférieures sont blanches, les pennes alaires d'un brun-foncé. Les couvertures inférieures rie la queùe^ et celles du ventre ont au milieu une tache noire lancéolée sur un sond blanc. Cette Colombe habite l'Asie méridionale.
Fig. 5. La Colombe marine. (Columba littoralis. Tem.)
Elle habite les côtes des îles de l'Archipel indien depuis Java, jusqu'à la Nouvelle-Guinée et elle mesure [3 pouces. Jille est d'un blanc très-pur à l'exception des pennes alaires qui sont noires, et de l'extrémité'des plumes caudules qui ont des taches noires en forme de \ croissant.. Le bec et les pieds sont d'un bleu grisâtre..
Fig. 6. Colombe Oricou. (Columba auricularis. Tem.)
Cette Colombe vraisemblablement indigène aux îles.de l'Océan pacisique a 114, pouces de long. La presque totaliié de son plumage est d'un blanc uniforme. La queue est grise à son origine et noire à son extrémité, ainsi que le ' bout de chaque aîle. Lés grandes et moyennes pennes des ailes sont à leur origine d'un grisblanc et noires à leur extrémité. Les joues jusque derrière l'orifice des-oreilles sont dénuée» de plumes, et la peau nue se dirige sûr le de vant du couetdonne naissance à trois appendices ou barbillons flottants, à peu près comme" ceux du dindon, qui sont d'un beau rouge Les narines sont surmontées d'une épaisse carnasite d'un rouge de cerise.
Ad00341 07 007aDer zweifarbige Laubfrosch. (Rana bicolor. L.) Fig. 1. Von Oben. Fig. 2. Von Unten.~~Dieses schöne, in Surinam und wahrscheinlich auch in Guinea einheimische Thier, ist 4 Zoll lang und hat einen Kopf, der eben so breit ist, als der Körper, und 1 Zoll 9 Linien misst, dreieckig und vorn etwas abgestumpft, oberhalb und an den Seiten aber platt ist. Die Nasenlöcher sind klein; das Maul ist aber sehr gross. Die Farbe des oberen Körpers ist himmelblau, unterhalb des Kopfs blassviolet, und die des übrigen Körpers weissgelblich. Eine weisse, von einem dunkelvioletten Strich begleitete, Linie scheidet die blaue Farbe des oberen Körpers von der weissgelblichen des Unteren. Auf Armen, Klauen, Brust, den unteren Gegenden der Seiten und am After stehen weisse, rundliche Flecken verschiedener Grösse. Die Füsse haben gespaltene Zehen, die sich sämmtlich in klebrichte Ballen endigen, mittelst deren das Thier seine Nahrung auf den Bäumen suchen kann.~~Der Laubfrosch mit der Kopfbinde. (Rana leucophyllata. L.) Fig. 3. Von Oben. Fig. 4. Von Unten.~~Dieser niedliche Laubfrosch ist gleichfalls in Surinam einheimisch und höchstens 1 1/2 Zoll lang. Die Augenhaut ist goldfarben, der Kopf klein und wenig abgestumpft und die Stirne ist mit einem weissen breiten, hellen Bande versehen. Am unteren Rücken findet sich ein breiter, beinahe eiförmiger weisser Flecken. Aehnliche runde Flecken sind auf jedem Arme in der Zahl zwei und eben so viel ovale auf jedem Beine. Die Grundfarbe des oberen Körpers (Fig. 3) ist braunröthlich, des unteren (Fig. 4) glatt und weisslich. Die Zehen der Füsse sind mit klebrichten Ballen versehen. Die den oberen Theil des Körpers zierenden weissen Flecken spielen in die Silberfarbe und stehen sehr symmetrisch.~~141
Ad00341 07 007a/freAmphibies XXX. Vol. VIII. No. 5.
DIVERSES ESPÈCES DE RAINETTES.
Rainette bicolore. (Rana bicolor. L.)
Fig. 1. Vue dessus.
Fig. 2. Vue dessous.
Cette jolie Rainette, indigène à Surinam et vraisemblablement à la Guine'e, a 4 pouces de long. La tête aussi large que le corps , ayant un pouce, 9 lignes de long, est trigone, un peu obtuse en avant, plate en dessus et sur les côtés. Les narines sont petites, mais la bouche est très-ample. Le dessus du corps est bleu de ciel ; le dessous de la tête d'un violet trèspâle, et le dessous du reste du corps est d'un blanc jaunâtre. Une ligne blanche bordée d'un trait violet foncé, sépare la couleur bleue du dessus du corps de la blanche-jaunâtre. Des taches blanches, de diverses grandeurs, ovales, bordées d'un trait violet sont sur les bras, les doigts, la poitrine, le bas des flancs et la région de l'anus. Les pieds sont à doigts sendus, terminés chacun par une large pelotte visqueuse, par le moyen desquelles l'animal peut chercher sa nourriture sur les arbres.
Rainette à Bandeau. (Rana leucophyllata. L.)
Fig. 3. Vue dessus.
Fig. 4. Vue dessous.
Ce charmant animal habite pareillement Surinam, et a un pouce et demi de long au plus. Il a les iris dorés ; la tête petite et uu peu obtuse, et le front ceint d'an large bandeau , blanc et luisant. Il a sur la région dorsale inférieure une tache large, un peu ovale et blanche; des taches rondes, blanches, sur chaque bras et deux autres ovales de même couleur sur chaque jambe. La couleur du dessus du corps est d'un brun - rougeâtre, celle du dessous est lisse et blanchâtre. Les doigts de pieds ont des pelottes visqueuses. Les taches blanches, luisantes et comme argentées, qui ornent le dessus de son corps, sont très-symétriquement disposées. le-rm.
Ad00341 07 008aFig. 1. Der Kreml oder die Festung in Moskwa.~~In der Mitte von Moskwa, der alten Hauptstadt des russischen Reichs, deren Einäscherung im September 1812 eine traurige Folge des Krieges war, liegt der Kreml, (ein tatarisches Wort, welches so viel als Festung bedeutet) welcher vom Brand verschont blieb. Der Kreml hat eine Stunde im Umfange, er bildet ein unregelmässiges Vieleck, das auf jedem Winkel einen Thurm hat, von einer hohen Mauer und Festungswerken umgeben, und von drei Seiten von den Flüssen Moskwa und Neplimaja umspült wird. Das Innere ist bloss mit steinernen Gebäuden besetzt, unter denen sich 32 Kirchen, durch ihre meistens vergoldete Kuppeln schon von weitem malerisch auszeichnen. Unter ihnen ragt der Thurm Iwan Weliki (der grosse Johann) der 22 Glocken trägt, vorzüglich hervor. Die grösste Merkwürdigkeit ist der alte Pallast der Czare, den wir bereits in unserm Bilderb. Bd. V. Taf. 95 kennen lernten. Zahllos waren die Kostbarkeiten, die sonst in diesem Pallaste aufbewahrt wurden.~~Der erste Ursprung des Kremls fällt in das 12te oder in den Anfang des 13ten Jahrhunderts, doch erst unter Iwan Wassljewitch I. im Jahr 1488 wurden durch den italienischen Baumeister Ridolfo Fioravanti die meisten Gebäude, wie sie jetzt stehen, errichtet.~~Fig. 2. Das Kaiserl. Sommerschloss Petrowsky, unweit Moskwa.~~Dieser Sommerpallast ist, wie er jetzt steht, unter der Kaiserin Catharine II. erbaut worden und liegt etwas über eine Stunde von Moskwa entfernt an der Petersburgischen Strasse. Im gothischen Geschmack angelegt, ist er mit vielen Thürmchen und ausgezackten Mauern, bunt angemalt, umgeben, welche dem Auge einen auffallenden Anblick darbieten. Die innern Gebäude sind weitläufig, ohne eben prächtig zu seyn.~~Nach einer alten Sitte müssen die russischen Herrscher, wenn sie von Petersburg zur Krönung kommen, hier abtreten, und in diesem Pallaste verweilen, bis zum feierlichen Einzuge in Moskwa alle nöthige Vorbereitungen getroffen worden sind.~~142
Ad00341 07 008a/freMélanges CLXXVI. Vol. VIII. No. 6.
EDIFICES REMARQUABLES EN RUSSIE.
Fig. 1. Le Kremlin ou le fort de Moscou.
Le Kremlin, (mot tartare qui signifie forteresse,) est aü milieu de Moscou, ancienne capitale de l'Empire russe, dont l'embrasement, qui a-eu lieu le Septembre igi2, a été une suite funeste de la guerre. Le Kremlin, qui n'a point été la proie dès flammes, a une lieue dé circonférence; il forme un polygone irrégulier, ayant à chaque angle une tour, entouré d'une' haute muraille et de fortifications, et baigné de 3 côtés par la Moskowa et la Neplimaja. Son enceinte ne contient que des édifices de pierres de taille, parmi lesquels se distinguent de loin et d'une manière très-pittoresque 3*2 églises par leurs coupoles dorées pour la plupart. Au dessus de celles-ci s'élève le clocher Ivan Weliki, (le grand Jean) qui porte 22 cloches. Ce qu'il y a de plus curieux c'est l'ancien palais des Czars, dont nous avons donné la description, planche 95. du V. volume de notre porte-seuille d'Enfans. Les richesses, qui étoient autre-fois conservées dans ce palais, et oient immenses. Les sondements da Kremlin ont été jetés dans le 12e siècle pu au commencement du 13e; mais ce n'est qu'en 1488, sous le règne à'Iwan WasiljawitcH I., que là plupart des édifices furent bâtis par l'architecte italien Riddlso Fiorovanti, tels qu'ils sont encore.
Fig. 2. Le Palais d'été impérial Petrowsky près de Moscou.
Ce Palais d'été, tel qu'il est maintenant, a été bâti sous l'impératrice Catherine II. et est placé sur la route de Pétersbourg à environ une lieue de Moscou, Construit dans le genre gothique, il est entouré d'une infinité de tourelles et de murs fourchus, peints de diverses couleurs, qui lui donnent un aspect singulier. L'intérieur est vaste, sans être magnifique. D'après un,antique usage, c'est là que descendent les monarques russes, lorsqu'ils viennent de Pétersbourg pour se faire couronner, et ils habitent ce palais jusqu'à ce que tous les préparatifs, nécessaires pour leur entrée solennelle dans Moscou, soient terminés.
Ad00341 07 009aFig. 1 u. 2. Die St. Thomas-Taube. (Columba militaris. Temminck.)~~Fig. 1 stellt das Männchen, Fig. 2 das Weibchen dar. Ihre Länge von der Schnabel- bis zur Schwanzspitze beträgt 12 1/2 Zoll, und der Schnabel ist 11 Linien lang. Der Kopf ist licht graublau; die Brust deckt ein breiter, gelber Schild; der Oberkörper ist schmutzig apfelgrün, das Achselband des Flügelgelenks purpurbraun, die mittlern und grössern Flügelfedern schwarz, erstere weissgelb, letztere olivenfarb eingefasst. Der Bauch und die hintere Flügel-Seite sind blaugrau, die Schenkel strohgelb, die untern Deckfedern des Schwanzes kupferfarben, die Oberseite desselben halb grün und halb grau, der federlose Fuss, so wie die Zehen roth und die Klauen, so wie der gewölbte Theil des Schnabels, grau.~~Das Brustschild des Weibchens ist schmuzzig gelbgrün, der Nacken dunkel olivenfarbig und der Streif des Vorderrückens hellgrau. Der Bauch ist grünlicht und die Seitenfedern des Schwanzes ihrer ganzen Länge nach grau, die beiden mittelsten aber grün. - Der Aufenthalt dieser Taube ist Indien.~~Fig. 3. Die aromatische Taube. (Columba aromatica. Latham.)~~Ihre grösste Länge beträgt 9 1/2 Zoll. Hals, Brust, Vorderbauch und Schenkel sind schmutzig grün; die Flügeldecken, Achselbänder und der obere Rücken purpurbraun mit breiten gelben Banden. Der Steiss und die mittelsten Schwanzfedern sind olivengrün, die übrigen grau. Unterhalb ist der Schwanz von seiner Wurzel bis auf drei Viertheile seiner Länge schwarz. - Ihr Aufenthalt ist die Insel Java.~~Fig. 4. Die Muskatnuss-fressende Taube. (Columba aenea. Latham.)~~Kopf, Hals. Brust und Bauch sind blaugrau, der Rücken und die grossen und kleinen Deckfedern der Flügel schön dunkelgrün mit metallischen Blicken; die grossen Flügelfedern grünblau, der Schwanz oberhalb schön Königsblau, in das Goldgrüne spielend, unterhalb rostfarbig. Die Füsse sind roth, der Schnabel und die Klauen schwarz und die Augen orangefarben. Sie bewohnt den Indischen Archipelag von den Molucken bis Neu-Guinea. Von den Muskat-Nüssen nährt sie sich nicht, wohl aber von der diese umgebenden Haut, die man fälschlich Muskatenblüte nennt.~~Fig. 5. Die Ramron-Taube. (Columba arquatrix. Temminck.)~~Diesen Namen hat sie von dem Laute, den das Männchen während der Brutzeit des Weibchens auszustossen pflegt, erhalten. Diese Taube lebt am Vorgebirge der guten Hoffnung, ist 15 Zoll lang und auf der Stirne, dem oberen Rücken und allen untern Theilen weinröthlich, mit eben dieser Farbe, aber heller, an Halse und Brust, übrigens aber bleiblau gefärbt. Die Federn auf erst genannten Theilen haben in der Mitte schwarze Flecken und scheinen Panzer-Schuppen zu bilden. Die Deckfedern der Flügel sind mit weissen, runden Flecken und der Bauch mit eben solchen, aber dreieckigen, zerstreut gezeichnet. Der Schnabel ist dunkelgelb; die, die Nasenlöcher bedeckende, Haut orangefarben und die Augen sind orangebraun.~~Fig. 6. Die Riesen-Taube. (Columba spadicea. Latham.)~~Sie misst von der Schnabelspitze bis zu dem Ende des Schwanzes 19 Zoll. Letzterer 7 1/2 Zoll lang, besteht aus 12, oberhalb russbraunen, mit grünen und dunkelpurpurnen Schiller-Flecken besetzten, unten weissgrauen, etwas in Grün mit Metallglanz spielenden, Federn. Die grossen Flügelfedern sind dunkel flachsblütenfarbig, mit Spiegeln von leuchtendem Grün auf den äusseren Bärten; die mittleren Deckfedern goldgrün; der Oberrücken braunroth mit Metallblicken; der Hinter-Kopf und Hals grünbraun; Kopf, Vorderhals und Brust dunkelgrün mit leuchtenden Blicken; der Bauch und ganze Unterleib weiss und der Schnabel und die Füsse roth. Sie ist bis jetzt nur auf der Gruppe der freundschaftlichen Inseln im grossen Ocean gefunden worden.~~142
Ad00341 07 009a/freOiseaux. LXXXVI. Vol. VIII. No. 7.
DIVERSES ESPÈCES DE PIGEONS EXOTIQUES.
Fig. 1. et 2. Colombar Commandeur. (Columba militaris. Tem.)
Fig. 1 représente le mâle, et la 2 la femelle. Sa longueur, depuis le bout du bec à l'extrémité de la queue est de I2
Ad00341 07 010aFig. 1. Die Nachteule. (Phal. N. Stryx.)~~Dieser grosse Nacht-Schmetterling misst 6 Zoll mit ausgespannten Flügeln. Die Grundfarbe der vorderen Oberflügel ist weiss, welche Farbe sowohl an den Rändern, als im Innern durch unregelmässige, seltsam geformte schwarze Flecken unterbrochen ist. Auch ist der weisse Hauptgrund mit einer Menge kleiner schwarzer Charaktere durchschnitten, und hat hier und dort eine hellbräunliche Farbe. Diese bildet auch die Grundfarbe der hinteren Flügel, in deren Mitte sich ein grosser, unregelmässiger, braunrother Flecken befindet. - Man findet diesen Nachtfalter auf Amboina und Java.~~Fig. 2. Der Medor. (Sphinx Medor.)~~Dieser in Surinam einheimische grosse Abend-Schmetterling zeichnet sich durch seinen langen Saugrüssel aus, und hat die Grösse des vorigen. Die Grundfarbe der Flügel besteht in einer abwechselnden Mischung von Braun und Rothgrau, mit Querbändern und Streifen marmorartig gezeichnet. Kopf und Brust sind schwarz mit gelben Punkten, und der rothgraue Körper, so wie die inneren Winkel der Unterflügel mit feuergelben Flecken geziert.~~142
Ad00341 07 010a/freInsectes LXIX. Vol. VIII. No. 8.
PHALÈNES EXQTIQUES.
Fig. 1. Le Hibou. (Phal. N. Stryx.)
Fig. 2. Le Médor. (Sphinx Medor.)
Les ailes déployées de cette grande Phalène iCe grand Sphinx-, indigène à Surinam, mesurent 6 pouces. Sur un fond blanc, les et de la grandeur du précédent se distingue grandes aîles ont tant à leur bord qu'en dedans par sa longue trompe. Le fond de la couleur des taches noires irrégulières et- d'une étrange des aîles est un mélange alternatif de brun et sorme, ainsi qu'ans quantité de petits carac- de gris-rougeâtre, sur lequel sont dessinées tères, noirs pour la plupart, mais dont quel- des bandes et des raies marmorées. La tête ques-uns sont d'un brun-clair, Ce brun-clair et la poitrine sont noires et ponctuées de sorme aussi le sond de la couleur des petites jaune; et le corps d'un gris-rougéâtre, ainsi aîles, qui ont dans leur milieu une tache que les angles intérieurs des aîles inférieures, irrégulière d'un rouge brun. Cette Phalène est orné de taches de feu. habite Amboine et Java.
Ad00341 07 011aDie Josephinen-Amaryllis. (Amaryllis Josephinae. Ventenat.)~~Die hier abgebildete riesenartige Amaryllis ist die grösste unter den lilienartigen Gewächsen, und gehört bis jetzt noch zu den sehr seltenen Pflanzen, die uns in Europa zuerst von Holland aus bekannt wurde. Ein französischer Officier la Brousse, welcher sich sieben Jahre am Vorgebirge der guten Hoffnung aufgehalten hatte, kehrte 1789 von da nach Holland zurück, und brachte die erste, zehn bis zwölf Zoll lange Zwiebel mit, welche zwar in einem holländischen Treibhause gedieh, aber erst nach 16 Jahren blühte. Die Zwiebel treibt nämlich aus ihrem oberen Ende einen Büschel von zwölf bis dreizehn lanzetförmigen, graulichgrünen und ungezähnten Blättern hervor, die gegen 3 Schuh lang und acht bis zwölf Zoll breit sind. Zu Ausgang des Frühjahrs vertrocknen die Blätter, und ein zwei und zwanzig Zoll hoher Schaft schiesst empor. Die Blüthen, deren Anzahl bis auf sechzig steigt, stehen wie die Arme eines Kronleuchters um den Schaft herum. Die sechstheilige Blume ist neun bis zehn Zoll lang, und violetröthlich.~~Die oben erwähnte Zwiebel wurde aus Holland für den kaiserlich-französischen Garten zu Malmaison bei Paris gekauft, wo diese Pflanze seitdem mehrere Male geblüht hat.~~142
Ad00341 07 011a/frePlantes. CLXXXVI. Vol. VIII. No. 9.
PLANTE D'ORNEMENT TRÈS RARE.
L'Amaryllis-Joséphine. (Amaryllis Josephinae. Ventenat.)
L'Amaryllis gigantesque, figurée ici, la plus grande des plantes liliacées est encore du nombre des plantes très-rares, que la Hollande a transportées la première en Europe. Mr. la Brousse, officier françois, après nn séjour de 7 ans au cap de bonne espérance, en apporta en'i^ç le premier oignon, qui prospéra à la vérité dans une serre-chaude de Hollande, mais qui ne fleurit que 16 ans après. Il sort de l'extrémité supérieure de l'oignon une tousfe de 12 à 13 feuilles lancéolées, d'un vert-grisâtre, qui ont trois pieds de long et 8 à 12 pouces de large. Lés feuilles se dessèchent au. commencement du printems, et il sort un pédoncule de 22 pouces rie haut. Les fleurs, dont le nombre s'élève jusqu'à 60, sont placées autour du pédoncule comme les bras d'ua , lustre. La fleur sexagone a neuf à dix pouces delonget est d'un rouge-violet, L'oignon susmentionné fut acheté en Hollande pour le jardin impérial français de Malmaison, où cette plante a déjà fleuri plusieurs fois.
Ad00341 07 012aFig. 1.~~Der Mann mit den beiden Körben im Vordergrunde (1) ist ein Wallfischfleischhändler. Ausser diesem Artikel trägt er darin eine Wage, ein Messer, eine Hacke und einen Regenschirm. An dem, allen Japanern gemeinen Gürtel ist seine Tabakspfeife und sein Tabaksbeutel befestigt. - Die ihm nächste Figur (2) zeigt einen Civil-Officier von hinten. Von seinen zwei Säbeln ist nur der längere zu sehen. Auf dem Rücken hat er ein Blechschild zur Auszeichnung. - Die von der vorderen und hinteren Seite dargestellte Frau (3, 4) zeigt die Art, wie die Kinder der ärmern Stände in Japan getragen werden. Ihre Haare sind mit Metallnadeln geschmückt. - Der Mann (5.) ist mit Enthülsung der Reisskörner mittelst eines mörserartig ausgehöhlten Blocks, eines kegelförmigen, schweren, hölzernen Hammers und eines Siebes beschäftigt.~~Fig. 2.~~Die erste Figur links (1) stellt einen japanischen Bedienten vor, der mehrere Sachen und auch ein Paar Strohschuhe an einer, auf der Schulter ruhenden, Stange trägt. - Neben ihm steht (2) ein japanischer Matrose in seiner Montur, und rechts von diesem eine noch unverheirathete japanische Dame (3), welches man daran erkennt, dass die Schleife ihres Gürtels hinten und nicht vorn ist, welches letztere bei den Verheiratheten Statt findet. - Hinter dieser Dame steht ein Bedienter (4) der das Kind eines Reichen auf der Schulter trägt. Der lange, reichverzierte Mantel des Kindes ist merkwürdig; die rothe Farbe hält man für sehr gesund. - Auf ihn folgt rechts ein armer Tagelöhner (5), der statt des Regenschirms einen Regenhut von Stroh, und statt des Regenkleides einen Strohmantel um sich hat, um sich gegen üble Witterung zu decken; dessen ungeachtet aber doch auch Tabakspfeife und Beutel am Gürtel hängen hat. - Die letzte Figur (6) rechts stellt einen gewöhnlichen Bürger in seiner Winterkleidung vor. Das um den Kopf gebundne Tuch soll ihn vor der Kälte schützen. Ausser dem Tabaksbeutel und der Pfeife hat er im Gürtel sein Taschenbuch, einen Fächer und ein Dintenfass.~~Der Mann (5.) ist mit Enthülsung der Reiskörner mittelst eines mörserartig ausgehöhlten Blocks, eines kegelförmigen, schweren, hölzernen Hammers und eines Siebes beschäftigt.~~142
Ad00341 07 012a/freCostumes. XXIII. Vol. VIII. No. 10.
COSTUMES JAPONOIS.
Fig. 1.
Lrhornme aux deux corbeilles, sur le élevant, (j) vebd de la chair de baleine. Outré cet article, il, a dans ses corbeilles une balance, un couteau, une hache et un parapluie. Il a pendu à une ceinture, meuble indispensable à tous les Japons, sa pipe et son sac à tabac. —• La Fig. ure suivante (2) représente un officier civil par derrière. Il deux sabres, mais on ne voit que le plus long. Il a sur le dos , comme marque distinctive , un écusson de ser-blanc. La femme sigurée ici par devant et par derrière, (3, 4) nous montre la manière dont sont portés les enfants de la classe indigente des Japonois, Ses cheveux sont ornés d'épingles de métal. L'homme, (5) s'occupe à écossér des grains de ris; il se sert à cet effet d'un bloc creusé en mortier,, d'un marteau conique de bois très-pesant et d'un crible.
Fig. 2.
La première Figure à gauche (1) représente un domestique japonois, portant à une perche, qui repose sur ses épaules, plusieurs effets et même des souliers de paille. À côté de lui est (2) un matelot en uniforme, et à droite de celui-ci une personne non mariée (3), ce que l'on reconnoît en ce que le noeud de sa ceinture est derrière et non devant, pendant que les femmes le portent devant! Derrière cette demoiselle vient un domestique (4), portant sur ses épaules l'enfant d'un riche. Le manteau richement décoré de l'ensant est remarquable; on croit que le rouge est très-sain. Après lui, à droite, est un pau. vre journalier (5), qui au lieu de parapluie a un chapeau de paille, et au lieu d'habit pour la pluie, un manteau de paille pour se garantir du mauvais tems,; mais il n'en a pas moins sa pipe et son sac à tabac appendus à sa ceinture. La dernière Fig. ure à droite (6), représente un simple bourgeois dans son costume d'hiver. , Le mouchoir qu'il a passé autour de la tête doit le garantir du sroid. Outre le sac à tabac et la pipe, il a dans sa ceinture son livre de poche, un éventail et un. écritoire.
Ad00341 07 013aKeine andere christliche, ja! selbst keine Kirche anderer Glaubensgenossen kommt an Pracht, geschmackvoller Bauart, Reichthum der Verzierungen und Erhabenheit des Styls der St. Peterskirche in Rom bei.~~Die gegenwärtige Tafel zeigt im Hintergrunde das majestätische Gebäude der, dem heiligen Petrus (angeblich dem ersten Papste) geweiheten, Kathedrale mit den links und rechts erst in gerader, dann bogenförmiger Richtung von derselben fortlaufenden Säulengängen; auf der Mitte des Platzes erblickt man den, unter Kaiser Caligula aus Heliopolis in Aegypten hierher geführten, und vom Papst Sixtus V. 1586 von neuem errichteten Obelisk. Rechts von der Peterskirche steht der ungeheuere Pallast des Vaticans mit 11000 Zimmern und andern Behältnissen, in der Geschichte durch Versammlung der Cardinäle bei Erledigung des päpstlichen Stuhles zur Erwählung eines neuen Papstes berühmt. Er zeichnete sich ehemals auch durch eine der grössten Bücher- und Kunstsammlungen aus. Zwei Springbrunnen zieren und erfrischen den prächtigen Platz auf beiden Seiten des Obelisks.~~Papst Julius II. begann den Bau der Peterskirche 1506, unter Leitung des grossen Architekten Lazaro Bramante. Schon früher hatte Papst Nicolaus V. hier im Jahr 1447 eine neue Kirche erbauen wollen; aber kaum die Grundmauern waren bei seinem Tode vollendet. Man zählt 28 der berühmtesten Architekten aus Europa, unter denen die unsterblichen Maler Raphaël und Michel Angelo Buonarotti mit glänzen, welche in dem Zeitraume von 155 Jahren diesen Bau mit manchen Abweichungen von dem ursprünglichen Plane vollendeten. Die Kosten des Baues betrugen über 80 Millionen Thaler.~~143
Ad00341 07 013a/freMélanges CLXXXVII. Vol. VIII. No. 11.
LA BASILIQUE DE ST. PIERRE À ROME.
Il n'est point d'église chrétienne, ni d'aucun autre culte, qui approche de celle de St. Pierre à Rome, soit pour la magnificence, le goût del'architecture, soit pour la richesse des ornemens et pour la sublimité du style. La planche ci-jointe représente dans le sond le majestueux édifice de la cathédrale, .consacrée à St. Pierre, (regardé comme le premier pape; avec les colonnades qui se prolongent à droite et à gauche , d'abord «n droite ligne, puis dans une direction ovale; on aperçoit au milieu de la place l'obélisque qui fut transporté à Rome sous l'empereur Caligula de Héliopolis en Egypte, et qui fut renouvelé en 1585 par le pape Sixte-quint; à droite se trouve l'immense palais du Vatican, qui contient, HOOQ pièces, et célèbre dans l'histoire parle conclave des cardinaux, lors de la vacation de la chaire de St. Pierre, pour l'élection d'un nouveau pape ; autrefois il se distinguoitpar une des plus grandes collections délivres et de chefs-d'oeuvre des arts, qu'on, ait jamais vues. Deux fontaines , placées aux deux côtés de l'obélisque, embellissent et raffraichisseut cette magnifique place. Le pape Jules II. fit commencer en 1506 l'édisication de l'église de St. Pierre sous la .conduite du grand architecte LazaroBramunte. Déjà en ï.447 Ie pape Nicolas V. avoit voulu faire construire une église, mais la mort le surprit, lorsque les fondemens en étoient à peine jetés. Vingt-huit des plus célèbres architectes de l'Europe, parmi lesquels brillent les peintres immortels Rapkaël et Michel Angelo Buonarotti, ont achevé dans l'espace de 155 ans cette édification d'après le premier plan, qui n'a éprouvé que peu de modifications. Cette église a. coûté au-delà de80 millions d'écus.
Ad00341 07 014aFig. 1. Ansicht der Engelsburg, und der Engelsbrücke.~~Wir sehen hier die berühmte Engelsburg oder das Castello di S. Angelo, welche man wegen ihrer Befestigung die Citadelle von Rom nennen kann. Es ist ein rundes, thurmähnliches Gebäude, welches auf einer viereckigen Basis steht. Kaiser Hadrian liess es als sein Grabmal aufführen, und äusserlich auf das kostbarste mit Säulen und Statuen verzieren. Bei dem Verfalle des römischen Reichs wurde auch dieses Monument seiner äusseren Zierden beraubt, und mehrere Päpste, besonders Urban VIII. machten daraus eine kleine Festung, vorzüglich um die päpstliche Macht gegen die oft rebellirenden Römer zu schützen. Auf der Spitze steht ein grosser Engel von Bronze, woher der Name Engelsburg kommt. Im Vordergrunde erblicken wir den weltberühmten Tiberstrom, und die über ihn führende Engelsbrücke. In der Ferne erhebt sich der erhabene Dom der Peterskirche.~~Fig. 2. Die Girandola auf der Engelsburg und die Erleuchtung der S. Peters Kirche.~~Während der päpstlichen Regierung, beinahe zwei Jahrhunderte lang hatten die Römer zweimal des Jahres das Schauspiel der herrlichsten Erleuchtung, nämlich am Feste des Apostels Petrus, so wie am Krönungstage des Papstes. Alle äussern Umrisse der Peterskirche, (die wir im Hintergrunde erblicken), wurden an diesem Abende durch Tausende von Lampen erleuchtet. Gegen 10 Uhr wurde dann auf der Engelsburg ein prachtvolles Feuerwerk abgebrannt. Dieses endigte mit der hier abgebildeten Girandola oder dem Pfauenschwanz, wo 5000 Raketen zusammen in einem Augenblick in die Luft flogen, und gleich einem Vulkan ein Feuer-Meer auszuwerfen schienen.~~143
Ad00341 07 014a/freMélanges. CLXXXVIII. Vol. VIII. No. 12.
SUPERBES ÉDIFICES DE ROME.
Fig. 1. Vue du château et du pont S. Ange.
Cette planche représente le célèbre château St. Ange (ilCastello di S. Angelo) que ses fortifications font regarder comme la citadelle de Rome. C'est un édifice rond en forme de tour, qui repose sur une base carrée, construit parTEmpereur Adrien, et destiné à lui servir de tombeau. De belles colonnes et des statues magnifiques en décoroient l'extérieur. Mais lors de la chute de l'Empire.romain ce monument fut dépouillé de ses ornemens, et plusieurs papes," surtout -le pape Urbain VIII,, en sirent une petite forteresse pour mettre leur autorité à couvert des insultes des Romains, si sujets à la rébellion. Sur le sommet est placé un grand Ange en bronze, qui lui a fait donner le nom de Château St. Ange. Sur le devant s'aperçoit le fameux Tibre et le pont qui le traverse dans le lointain s'élève le. dôme majestueux de l'église de St. Pierre.
Fig. 2. La Girandole sur le château St. Ange, et l'illumination de l'église de St. Pierre.
Sous le gouvernement pontifical, les Romains ont eu pendant près de deux siècles, le spectacle de la plus brillante illumination deux fois par an',, savoir le jour de St. Pierre , et l'anniversaire du couronnement du pape. Tous les contours extérieurs de l'église de St. Pierre, (que l'on aperçoit dans le fond ,) étoient illuminés ce soir-là avec des milliers de lampions. Vers les dix heures du soir on tiroit sur le château St. Ange un magnifique feu d'artifice, qui se terminoit par la Girandole, ici Figurée, où 5000 susées, lancées à la fois, sembloient former une mer de seu.
Ad00341 07 015aFig. 1. Der Wolverlei. (Arnica montana. L.)~~Der Wolverlei, welcher auch Fallkraut, Stichkraut und mehrere andere Namen führt, ist eine heilsame Arzneipflanze von grosser Wirksamkeit. Man findet diese Pflanze vorzüglich auf den Wiesen hoher gebirgiger Gegenden fast durch ganz Europa. Sie treibt einen einzigen, 1 1/2 Fuss hohen Stängel, an dessen Ende die gelbe strahlenförmige Blume sitzt. Die Wurzelblätter, vier bis sechs an der zahl, sind eirund, aus beiden Seiten haarig wie der Stängel, und liegen auf der Erde auf. Der Wolverlei hat einen scharfen, etwas gewürzhaften Geschmack, und einen starken, nicht angenehmen Geruch. Wurzeln, Blätter und Blumen, vorzüglich die letztern, werden mit Nutzen gebraucht. Die reizenden Eigenschaften dienen in vielen Krankheiten, die aus Schwäche der Lebenskräfte entstehen. Aeusserlich wendet man die zerstossene Pflanze bei Quetschungen an.~~Fig. 2. Der weisswurzelige Diptam. (Dictamnus albus. L)~~Der weisse Diptam wächst wild in bergigen und waldigen Gegenden von Teutschland, der Schweiz, Italien und Frankreich, wird aber auch seiner schönen rothen Blüthen wegen, welche im Junius und Julius erscheinen, als Ziergewächs in Gärten gezogen. Die Blüthen, welche am Ende des zwei bis drei Fuss hohen Stängels sitzen, dünsten im Sommer sehr aus, und dieser Dunst bildet eine eigne Atmosphäre um die Pflanze, welche sich durch ein trennendes Licht an Sommer-Abenden entzünden lässt, und eine grosse Flamme bildet, ohne jedoch der Pflanze zu schaden. Die Fingers lange, inwendig weisse Wurzel, ist perennirend. Die äussere Binde ist ein gutes Stärkendes Arzneimittel, welches getrocknet und pulverisirt, in vielen Krankheiten mit Erfolg angewendet wild.~~143
Ad00341 07 015a/frePlantes. CXXXVII. Vol. VIII. No. 13.
PLANTES MÉDICINALES.
Fig. 1. L'Arnique des montagnes. (Arnica montana. L.)
Fig. 2. Le Dictame blanc. (Dictamnus albus. L.)
Cette plante, "îonnue vulgairement sous les noms de Bêtoine des montagnes, de tabac des^ Le Dictame blanc ou la Fraxinelle croît Vosges, de Doronic à feuilles de plantain, sans culture dans les contrées montueuses et offre à la médecine un des meilleurs remèdes, boisées de l'Allemagne, de la Suisse, de On la trouve sur les hautes montagnes de près- l'Italie et de la France; mais on la cultive que toute l'Europe. Elle n'a qu'une tige d'un dans les jardins pour la beauté de ses fleur« pied et demi de haut, qui porte à son sommet rouges, qui paroissent en Juin et Juillet. Les une sseur jaune étoilée. Les feuilles de la rar fleurs, qui naissent au sommet de la tige haute eine, au nombre de 4 ou de 6, sont sphéroï- de 2 à 3 pieds , répandent en été une vapeur des, chevelues des deux côtés , ainsi que la forte, qui s'enflamme le soir à l'approche tige, et rampent à terre. Elle est d'une sa- d'une bougie allumée; il paroît alors une veur mordante et un peu aromatique, et d'une grande flamme, qui se répand sur toute cette odeur forte et désagréable. On emploie avec plante, mais sans l'endommager. La racine succès les feuilles des racines et surtout les delà longueur du doigt, blanche en dedans, fleurs. Elle opère les esfets les plus heureux est vivace. L'écorce extérieure séchée et puldans les maladies qui proviennent de la foi- vérisée est un bon sortifiant, dont on se sert blesse des esprits vitaux. , Cette plante con- avec succès dans beaucoup de maladies, cassée s'emploie, aussi extérieurement trèsheureusement pour les contusions.
Ad00341 07 016aFig. 1. Der färbende Laubfrosch. (Hyla tinctoria. Daudin.) A. von oben. B von unten.C. ein Junger dieser Art.~~Dieser in Süd-America lebende Laubfrosch ist 1 Zoll lang, hat eine dunkelbraunrothe Hauptfarbe, und zwei von der Stirne aus längs beiden Seiten des Rückens bis zum After laufende, gelblich-weisse Streifen. Der Unterleib ist rothbraun und hat eine Menge schwarzbrauner runder Flecken. Die Amerikaner bedienen sich des Blutes dieses Frosches, um den dortigen blauen Papageyen rothe oder gelbe Federn zu geben. Sie raufen nämlich denselben, wenn sie noch jung sind, die Federn aus, und reiben dann die blosse Haut mit dem Blute dieses Frosches ein. Daher der Name desselben.~~Fig. 2. Der buntschenkliche Laubfrosch. (Hyla femoralis. Daud.)~~Er lebt in den Waldungen des südlichen Nord-America, ist 8 bis 14 Linien lang, auf dem grünen Rücken fein mit Braun punktirt, und hat auf den dunkelgrünen Schenkeln 6 bis 7 gelbe Flecken. Der untere Leib ist weissgelblich.~~Fig. 3. Der gelbschenkliche Laubfrosch. (Hyla squirella. Daud.)~~Er ist in Carolina einheimisch, und verbirgt sich im Winter hinter lose Rinden von Bäumen. Seine Länge beträgt 1 1/4 Zoll. Die Grundfarbe des Leibes ist dunkelgrün, unregelmässig mit Braun getüpfelt. Vier Reihen brauner Flecke erstrecken sich der Länge nach über den Leib. Der äussere Theil der Schenkel ist gelb, und sie sind kürzer als die unteren Füsse, welches eine Seltenheit ist.~~143
Ad00341 07 016a/freAmphibies XXXI. Vol. VIII. No. 14.
DIVERSES ESPÈCES DE RAINETTES EXOTIQUES.
Fig. 1. Rainette à tapirer. (Hyla tinctoria. Daudin.)
A. le dessus.
B. le dessous.
C. une jeune.
Cette Rainette, qui existe à Surinam et dans diverses parties de l'Amérique méridionale, n'a qu'un pouce de long. Sa couleur est d'un brun-rouge foncé avec deux lignes longitudinales d'un blanc-jaunâtre, partant du front et se prolongeant sur chaque côté du dos jusqu'auprès de l'anus. Le dessous du corps est d'un brun-noirâtre et parsemé de petites taches rondes, entourées d'une teinte plus pâle. Les Américains emploient le sang de ces rainettes pour tapirer les perroquets bleus en jaune ou en rouge. Pour celte opération ils arrachent les plumes de ces oiseaux encore jeunes et frottent la peau avec le sang de la Rainette; les plumes qui renaissent, sont d'une belle couleur xouge ou jaune. C'est de là que lui vient le nom de Rainette à tapirer.
Fig. 2. Rainette fémorale. (Hyla femoralis. Daud.)
Cette espèce existe dans les grands bois de l'Amérique septentrionale; elle n'a de longueur que huit à quatorze lignes. Le dos est vert et très-finement ponctué de brun; les Cuisses sont d'un vert sombre et marquées de six à sept taches jaunes. Le dessous du corps est d'un blanc légèrement jaunâtre. ,
Fig. 3. Rainette squirelle. (Hyla squirella. Daud.)
Cette Rainette, indigène à la Caroline, se retire pendant l'hiver sous les écorces des arbres. Elle a ig lignes de longueur. Le corps 1 est d'un vert obscur, pointillé irrégulièrement de brun, avec des taches brunes, disposées sur' qxiatre rangs longitudinaux. La partie exté- -. rieure des cuisses est jaune. Les jambes sont plus longues que les cuisses, ce qui est une
Ad00341 07 017aFig. A. zeigt dieses, den Getraideböden so nachtheilige Thier in natürlicher Grösse; Fig. B. dasselbe in 188maliger Vergrösserung von der oberen, und Fig. C. in eben so vielmaliger Vergrösserung von der unteren Seite. Man sieht, dass die Natur nicht vergessen hat, auch dieses kleine Insect vorzüglich auf der unteren Seite prachtvoll zu schmücken.~~Der Käfer selbst thut dem Getraide keinen Schaden, wohl aber dessen Raupe oder Made, welche aus dem, von dem Weibchen mittelst ihres Legestachels in ein Getraidekorn gelegtes Eie entsteht, und der das Korn bis zu ihrer Verwandlung in eine weisse, fast ganz durchsichtige, Puppe zur Nahrung dient. Je nachdem die Witterung kälter oder wärmer ist, bildet sich später oder früher aus ihr der Käfer. Im Durchschnitt legt ein Weibchen vom April bis in den August 188 Eier, und jedes in ein besonderes Getraidekorn. Man kann hieraus leicht ermessen, welchen Schaden diese Insecten, wenn sie sich auf einem Kornboden einmal eingenistet haben, bringen müssen.~~Das einzige Mittel gegen sie ist öfteres Umschaufeln des Getraides, Zutritt von Luftzügen auf den Getraideböden, da dieses Insekt die Kälte sehr scheuet und Versagung jedes Zufluchtsorts für dasselbe durch enggefugte Dielen, mit dicht aneinander passenden Bretern beschlagene Dachsparren und Vermeidung alles Kalks oder Mörtels auf den Getraideböden.~~143
Ad00341 07 017a/freInsectes LXX. Vol. VIII. No. 15.
INSECTES NUISIBLES.
Le Charanson du blé. (Curculio granarius. L.)
Fig. A. représente dans sa grandeur naturelle le charanson, si préjudiciable aux blés. Fig. . B. représente le dessus du corps 188 fois grossi, et Fig. . C. le dessous dans la même proportion. On voit que la nature n'a pas oublié de donner les plus belles couleurs surtout au dessous de ce petit insecte. L'insecte lui-même ne nuit point au blé, mais c'est sa larve , qui provient de l'oeuf que dépose la femelle par le moyen d'une piqûre dans un grain de blé, qui lui sert de nourriture, jusqu'à ce qu'elle se métamorphose en une nimphe blanche et presque entièrement transparente. C'est d'après le plus ou moins de chaleur que le Charanson atteint plus tôt ou plus tard son état de perfection. Une femelle dépose en général depuis le mois d'avril jusq'au mois d'août 188 oeufs, chacun dans un grain différent. On juge aisément quel dommage font ces insectes dans un tas de blé, quand ils s'y sont nichés. Le seul moyen essicace pour détruire ce Charansons , c'est de retourner souvent le blé avec une pelle, d'introduire de l'air dans les greniers, par le moyen d'un ventilateur, vu que ces animaux ne peuvent supporter le froid, de les priver de tout refuge en soignant que toutes les planches joignent bien, et éviter surtout dans les greniers la chaux ou le mortier.
Ad00341 07 018aFig. 1. Der Gipfel der Jungfrau.~~Dieses, eines der höchsten Alpengebirge des Berner Oberlandes, ist hier so dargestellt, wie man es ungefähr eine Viertelstunde davon aus dem Pfarrhause zu Lauterbrunnen erblickt. Da dieser 12,872 französische Fuss über der Meeresfläche erhobene, mit ewigem Eise und Schnee bedeckte Bergkoloss überall mit furchtaren Abgründen umgeben ist; Eisthäler, weite Einöden, und schreckliche Schluchten seine weitgedehnte Oberfläche furchen, und die Falten seines unvergänglichen Schneemantels bilden, so wagte selbst der entschlossenste Gemsenjäger sich nicht in diese einsamen und todten Gegenden. Es war aber den Hrn. Gebrüdern Meyer von Arau, den rühmlich bekannten Beförderern der Erdkunde Helvetiens, vorbehalten, den Gipfel dieses Gebirges im August 1811 zum ersten Male zu ersteigen. Die Gefährlichkeiten auf dieser Reise und die Erfahrungen, welche die Reisenden machten, können hier keine Stelle finden. Man lese darüber den ausführlichen Text oder Commentar zu dieser Tafel.~~Fig. 2. Gletscher im Grindelwald.~~Diese Figur stellt zwei der unvergänglichen Bergkolosse, nämlich das Wetterhorn links, und den Mettenberg in der Mitte, so wie einen Theil des äusseren Eigers, rechts vor. Zwischen diesem und dem Mettenberge erblickt man mit glänzend weissen Schnee bedeckte Höhen, welche die Viescherhörner heissen, und die Gränze des Cantons Bern bilden. Sowohl zwischen dem Wetterhorne und dem Mettenberge, als zwischen diesem und dem äusseren Eiger erblickt man Gletscher von der seltsamsten Bildung, theils in Spizsäulen, theils in gewellten Eisfeldern, welche mit dem frischen Grün des Grindelwald-Thales ungemein contrastiren. Das Wetterhorn, so genannt, weil die Anwohner die bevorstehende Witterung aus der Gestalt seines Gipfels abnehmen, ist 11,453, der Eiger 12,268, und das Dorf Grindelwald 3150 Pariser Fuss über das Meer erhaben. Da die Grindelwaldgletscher an dem angenehmen malerischen und keineswegs gefährlichen Wege, der aus dem Oberhaslithal über den Scheideck nach dem Lauterbrunnerthal führen, liegen, so werden sie am häufigsten von Reisenden besucht.~~144
Ad00341 07 018a/freMélanges CLXXIX. Vol. VIII. Nos 16.
VUES DE LA SUISSE.
Fig. 1. La Cime de la Jungfrau.
Fig. 2. Glaciers de Grindelwald.
Cette montagne, la plus imposante de toutes celles des Alpe.5, est Fig. urée sur celte planche telle qu'elle se présente à un quart de lieue environ du presbytère de Lauterbrunnen. Ce colosse s'élève 12;872 pieds au dessus de la surfacede la mer; de toutes parts il est entouré d'épouvantables précipices; des vallées de glace, de vastes solitudes et des abîmes asfreux sillonnent sa surface immense, et forment les replis du manteau de neiges éternelles, qui couvrent ses énormes flancs; aussi le plus intrépide chasseur de chamois n'a-t-il pas osé se bazarder dans ces solitudes qui offrent l'image de la mort. Il a été réservé aux deux messieurs Meyer d'Arau, qui ont travaillé avec tant de succès à la géographie delà Suisse, à en atteindre les premiers le sommet au mois" d'août l'gi 1. Ce n'est point le lieu de faire l mention des dangers que ces voyageurs ont courus, ni des expériences qu'ils ont faites. Lisez les commentaires sur cette planche. Cette planche représente deux des. monts redoutables des Alpes, savoir le Wetterhorn h. gauche, \e Mettenb er g au milieu, et une partie de YEiger extérieur à droite. Entre celui-ci et le Mettenberg on aperçoit des sommités couvertes d'une neige éblouissante, qui s'appellent Wiesclierhorner et qui marquent la limite du canton de Bern. Entre le Wetterhorn et le Mettenberg aussi bien qu'entre ce dernier et l'Eiger extérieur s'élèvent des glaciers de la forme la plus bizarre; les uns Fig. urent des aiguilles, d'autres des champs de glace applntis, qui forment le contraste le plus frappant avec la verdure de la vallée d-u Grindelwald. Le Wetterhorn , , ainsi nommé parceque sa cime sert de baromètre aux habitants, est élevé au dessus de la mer de 11.453 pieds, l'Eiger de 12,268. et le village du Grindelwald de 3,150. Ces glaciers sont le plus'souvent fréquentés par les voyageurs, parceque les chemins qui conduisent de la vallée d'Oberhasli à celle de Lauterbrunnen, en passant sur le Scheideck, sont très-agréables, pittoresques, et n'osfrent pas le moindre danger.
Ad00341 07 019aDie gemeine Meer-Zwiebel. (Scilla maritima. L.)~~Die Meerzwiebel, welche schon im Altertum bei den Griechen als Arzneimittel bekannt war, bildet ein Pflanzengeschlecht, welches einige zwanzig Arten zählt. Die hier abgebildete gemeine Meerzwiebel ist wohl die Merkwürdigste davon. Sie wächst an dem sandigen Meeresufer warmer Gegenden, und ist in Spanien, Portugal, Süd-Frankreich, in mehreren Theilen von Italien zu Hause. Der runde glatte Blumenschaft wird zwei bis drei Fuss hoch, die sechsblättrigen Blüthen sind sehr geöffnet, weiss oder röthlich, und kommen im Sommer zum Vorschein. Die Zwiebel besteht aus dicken rothen oder röthlichen Schuppen, und erreicht oft die Grösse eines Kinderkopfes. Diese Zwiebel enthält einen schleimigen, scharfen und bittern Saft, welcher eben diese Pflanze als Arzneimittel so wirksam und schätzbar macht. Dieser scharfe bittere Saft bewirkt häufige Absonderung der Feuchtigkeiten, weswegen die Meerzwiebel in mehreren Krankheiten, vorzüglich in der Wassersucht, ein Hauptmittel ist. Frisch gebraucht würde der Saft wegen seiner brennenden Stärke als Gift wirken, weswegen die Zwiebeln mit Vorsicht durch Wärme getrocknet, und so die nachtheilige ätzende Kraft in eine heilbringende umgewandelt wird. Auf verschiedene Art, in Substanz, als Absud, als Meerzwiebelessig, Meerzwiebelhonig, oder auch als Tinktur wird sie also in mehreren Krankheiten angewendet.~~144
Ad00341 07 019a/frePlantes. CXXXVllI. Vol. VIII. No. 17.
PLANTES MÉDICINALES.
La Scille maritime. (Scilla maritima. L.)
La Scille, que les anciens Grecs ont employée eux-mêmes comme remède, forme un genre de plantes, qui se divise en vingt espèces, dont la plus remarquable est la Scille maritime, ici dépeinte. Elle croît sur les côtes, sablonheuses des pays chauds et est indigène à l'Espagne, au Portugal, à la France méridionale et à plusieurs v contrées de l'Italie. Le pédoncule rond et lisse s'élève de 2 à 3 pieds ; les fleurs à 6 feuilles sont ouvertes,. blanches ou rouges. Cette plante fleurit en été. Sa racine, composée de tuniques épaisses, rougeâtres, est grosse comme la tête d'un enfant. Cet oignon contient un suc visqueux acre et amer qui rend cette plante très-utile en médecine. Ce suc acre et amer produit souvent la .«ecrétion des humeurs; aussi cette plante est-elle le principal remède dont on fait usage dans plusieurs maladies, surtout dans l'hydropitie. Employé dans l'état de fraicheur, ce suc deviendroit un véritable poison à cause de sa force corrosive ; c'est pourquoi on prend beaucoup de précaution pour sécher à la chaleur cet oignon, et par cette opération on transforme cette sorce nuisible en une vertu salutaire. On en sait un usage varié dans les maladies; on le donne tantôt en poudre, tantôt en miel, tantôt en vin, et tantôt en oxymel.
Ad00341 07 020aDer marmorirte Laubfrosch. (Hyla marmorata. Daudin.) Fig. 1. von oben. Fig. 2. von unten.~~Dieser schöne Laubfrosch lebt in Süd-America, z. B. in Surinam. Er ist 1 1/2 Zoll lang. Der Obertheil seines Leibes ist gelblich aschgraufarb und mit langen, hin und her gebogenen, röthlichen Streifen durchzogen. Der untere Theil des Leibes und der Schenkel ist weisslich, aber mit schwarzen, runden Punkten bestreuet.~~Fig. 3. Der Seitengestreifte Laubfrosch. (Hyla lateralis. Daud.)~~Er lebt im südlichen Nord-America und hält sich an den unteren Blattseiten der Bäume auf. Seine Länge beträgt höchstens 1 1/2 Zoll. Sein Leib ist langgestreckt. Die obere Seite ist hell-, die untere sehr blassgrün. Ein schmaler, hochgelber Streif umfasst die obere Lippe und geht von da an den Seiten herunter bis zum After.~~Fig. 4. Der doppeltgestreifte Laubfrosch. (Hyla bilineata. Daud.)~~Er lebt, aber nicht häufig, auf der Insel Java. Der Kopf und Rücken sind bis zum After braungrün, und zwei sich nach der Länge erstreckende Reihen brauner Flecke gehen über sie hin. Zwei schmale, parallellaufende, glänzend weisse Streifen gehen von den Augen aus und verlängern sich an den Seiten des Rückens bis zum Schenkel. Die Seiten sind hellgrün, und der Unterleib ist, so wie der untere Theil der Schenkel blassgrün. Seine Unterfüsse sind lägner (sic), als seine Schenkel.~~144
Ad00341 07 020a/freAmphibies XXXII. Vol. VIII. No. 18.
DIVERSES ESPÈCES DE RAINETTES EXOTIQUES.
Rainette marbrée. (Hyla marmorata. Daudin.)
Fig. 1. le dessus.
Fig. 2. le dessous.
Oette jolie Rainette existe dans diverses parties de l'Amérique méridionale * p. e. à Surinam. Elle a un pouce et demi de long. Le dessus du corps est d'un cendré-jaunâtre, veiné agréablement de taches alongées , sinueuses et rougeâtres. Le dessous du corps et des cuisses est entièrement blanchâtre, mais marqué de points noirs et ronds.
Fig. 3. Rainette flanc-rayé. (Hyla lateralis. Daud.)
Cette Rainette, indigène à l'Amérique septentrionale, s'attache au dessous des feuilles. Sa longueur est d'un pouce et demi au plus. Son corps est lisse. Le dessus est d'un vert gai, le dessous d'un vert très-pâle. Une ligne étroite d'un jaune vif borde la lèvre supérieure et se prolonge sur les flancs jusqu'à l'anus.
Fig. 4. Rainette bi-rayée. (Hyla bilineata. Daud.)
Elle existe dans l'île de Java, sans y être commune. Sa tête et le dos jusqu'à l'anus sont d'un vert brun, ayant deux rangées longitudinales de taches brunes. Deux lignes étroites, parallèles, d'un blanc luisant, partent des yeux et se prolongent sur les côtés du dos jusques vers les cuisses. Les flancs sont d'un vert-clair , et le dessous du corps est d'un vert très-pâle, ainsi que le dessous des cuisses. Ses jambes sont plus longues que ses cuisses.
Ad00341 07 021aFig. 1. Der Vulkan von Jorullo~~liegt westlich von Mexico und 22 geographische Meilen vom Meere in der Intendanz von Valladolid, und ist 263 Toisen höher, als die ihn umgebende Ebene. Er entstand in der Nacht des 29. Septembers 1759, und ist mit mehreren Tausenden kleiner Basaltkegel umgeben, welche eben so viel Feueressen sind, die einen dicken Dampf ausstossen, und der sie umgebenden Luft eine unerträgliche Hitze mittheilen. Dieser, 4 Quadratmeilen, grosse und am Fusse des Vulkans 517 Fuss hohe, Strich heisst: Malpays. Der Abhang des immerbrennenden grossen Vulkans ist mit Asche bedeckt. Hr. v. Humboldt und seine Reisegefährten stiegen, nachdem sie eine beträchliche Höhe schlackigter und zackigter Lawen erklimmt hatten, in den Krater desselben hinab.~~Fig. 2. Die Luftvulkane von Turbako.~~Während der Sommerhitze und der durch sie veranlassten Krankheiten nehmen viele, die das Klima von Neu-Spanien an den Küsten noch nicht gewohnt sind, ihre Zuflucht in das Dorf Turbako, welches 970 Fuss über der Meeresfläche liegt, und wo man besonders in den Nächten eine erquickende Kühle geniesst. Von diesem Dorfe liegen in einer Entfernung von 3300 Toisen die Volcancitos (Luftvulkane) in einem dichten Walde aus Tolubalsambäumen, Gustavien mit Nymphäablüten, und Cavanillesia mocundo mit Laternenartigen, durchscheinenden Früchten bestehend. Der Boden erhebt sich allmählich 21 bis 27 Klafter über das Dorf Turbako.~~Beigefügte Abbildung stellt den südlichsten Theil der Ebene, in welcher die Volcancitos liegen, dar. In der Mitte dieser weiten, mit der Bromelia caratas umgebenen Ebene, erheben sich 18 bis 20, aus schwarzgrauem Thone bestehende, 25 bis 30 Fuss hohe Kegel, deren Spitzen eine mit Wasser gefüllte Oeffnung haben. Bei der Annäherung an diese kleinen Krater hört man wiederholt ein dumpfes, starkes Getöse, welches 15 bis 18 Secunden vor der Entwickelung einer grossen Menge Luft, welche das im Krater befindliche Wasser springbrunnenartig emporwirft, eintritt. Oft erscheint zu gleicher Zeit ein Schlammauswurf.~~144
Ad00341 07 021a/freMélanges CLXXX. Vol. VIII. No. 19.
VUES DE QUELQUES VOLCANS DANS LE ROYAUME DE LA NOUVELLE-ESPAGNE.
Fig. 1. Volcan de Jorullo.
Ce Volcan est situé à l'ouest de la ville de Mexico, à 32 lieue» de distance de.la mer, dans l'intendance de Valladolid et il a 263 toises d'élévation au dessus dès plaines voisines. Il est sorti de terre dans la nuit du 29. Septembre 1759 et est environné de plusieurs milliers de cônes basaltiques, qui sont autant de Fuma* rôles, qui exhalent une vapeur épaisse, et communiquent à l'air ambiant une chaleur insupportable. Cet espace, qui a quatre milles car* rés d'étendue et 513 pieds de hauteur, «'appelé Malpays. La pente du grand Volcan, qui est constataient enssammé, est couverte de cendres. Mr. de Humboldt et ses compagnons de voyage parvinrent dans l'intérieur de son cratère après avoir gravi une colline de laves scorifïées et rameuses.
Fig. 2. Volcans d'air de Turbaco.
Pour éviter les chaleurs excessives de l'été et les maladies qui en proviennent, ceux qui ne sont pas acclimatés sur les côtes de la nouvelle-Espagne, se résugient au village de Turbaco, élevé de970 pieds au dessus de la sursace de la mer, où l'on jouit, surtout pendant la nuit, d'une sraîcheur délicieuse. A une di* s tance de 3300 toises de ce village sont situé» les Volcancitos (Volcans d'air) dans une soret épaisse, qui abonde en beaurniers dé Tolu, en Gustavia à sleurs de Nymphéa, et en Cavanillesia mocunda, dont les sruits membraneux et transparents ressemblent à des lanternes. Le terrain s'élève graduellerneut de 2t à »7 toises au dessus du village de Turbaco. La planche cijointe représente la partie la plus australe de Ja plaine, où se trouvent les Volcancitos. Au centre de cette vaste plaine bordée de Brome« lia caratas, s'élèvent 18 à 20 petits cônes de 25 à 30 pieds de haut, sormés d'une argile gris^noirâtre, qui ont à leur sommet une ouverture remplie d'eau. Lorsqu'on s'approche de ces petits cratères, on entend par intervalles un bruit sourd et assez sort, qui précède de 15 a 18 secondes le dégagement d'une grande quantité d'air, qui élève e» sorme de jet-d'eau l'eau qui s'y trouve. Souvent ce phénomène est accompagné d'une éjection boueuse.
Ad00341 07 022aSämmtliche hier abgebildete seltene Arten sind in Ostindien zu Hause, und mehr oder minder giftig.~~Fig. 1. Die blaugeringelte Blindschleiche. (Anguis coeruleazonata. Bechstein.)~~Die Länge dieses Thiers ist 5 Fuss, seines Schwanzes 5 Zoll, des Kopfs 1 1/2 und die stärkste Dicke des Leibes 4 1/2 englische Zolle. Die Farbe ist blau mit gelblich-weissen Binden. Die Zahl der Bauchschuppen beträgt 308, und die der Schwanzschuppen 48. Die Ostindier nennen dieses Thier Schittul. Ein von demselben in die Keule gebissener Vogel, stirbt nach 8 Minuten.~~Fig. 2. Die blaue Blindschleiche. (Anguis coerulea. Bechst.)~~Die Länge derselben beträgt 3 englische Fuss, die des Schwanzes 5 Zoll. Der Umfang des leztern ist 1 2/3 Zoll. Die Farbe des Kopfs, des Halses und des Rückens ist blau; die der Seiten und des Bauchs blassgelb. Die Zahl der Bauchschuppen beträgt 306, und die des unteren Schwanzes 52. Die Ostindier nennen sie: Hugli-pättih. Wird ein Vogel von ihr in die Keule gebissen, so stirbt er in 5 Minuten.~~Fig. 3. Die stumpfgeschwänzte Blindschleiche. (Anguis obtusccaudata. Bechst.)~~Die Länge dieses Thiers ist nahe 4 englische Fuss. Der Hals ist blau-schwarz mit gelben Querbändern. Auch der Rücken hat diese, aber etwas lichtere Farbe. Seiten und Bauch sind gelb, und von schwärzlichen Gürteln bis zur Schwanz-Spitze umgeben. Die Zahl der Bauchschuppen beträgt 338, und die des untern Schwanzes 48. In Ostindien führt sie den Namen: Kalla-Schuhtur-Sun.~~Fig. 4. Die grünblaue Blindschleiche. (Anguis prasina. Bechst.)~~Die Länge dieses Thiers beträgt nahe 4 englische Fuss; die des Schwanzes 4 1/2 , die des Kopfs 3/4, dessen Umkreis 1, und der des Leibes, wo er am dicksten, aber in einem magern Zustande ist, 4 1/4 engl. Zolle. Dunkelblau mit Grün vermischt ist seine Hauptfarbe. Den Hals umgeben grüngelbe Bänder. Breitere Bänder von eben dieser Farbe durchziehen die Oberfläche der Seiten und des Schwanzes. Ihr Ostindischer Name ist Schuhtursun.~~Fig. 5. Die bandirte Blindschleiche. (Anguis fasciata. Bechst.)~~Dies Thier ist 3 englische Fuss, 4 Zoll lang. Die Farbe ist oberhalb olivengrün, unterhalb gelb. Acht und fünfzig schwarzblaue Gürtel umkreisen den Leib, und neun den Schwanz. Die Zahl der Bauchschuppen beträgt 135, und der Schuppen unter dem Schwanze 73. Dieses Thier ist in den Salzwasserbächen, welche den Namen Sunderbunds führen, und in Bengalen liegen, zu Hause. Ein von demselben in die Keule gebissener Vogel, starb nach mehreren Verzuckungen nach 7 Minuten.~~144
Ad00341 07 022a/freAmphibies XXXIII. Vol VIII. No. 20.
COULEUVRES EXOTIQUES.
Toutes les espèces ici Fig. urées sont indigènes aux Indes orientales et plus ou moins venimeuses.
Fig. 1. Couleuvre à anneaux blancs-jaunâtres. (Anguis coeruleozonata.)
La longueur totale de l'animal est de 5 pieds, celle de la queue de 5 pouces ; celle de la tête ainsi que celle du cou i
Ad00341 07 023aDas Harzgebirge im nördlichen Teutschland ist theils wegen seiner Naturschönheiten, so wie durch die Industrie und Betriebsamkeit seiner Bewohner höchst merkwürdig. Es erstreckt sich von Westen nach Osten gegen neun, so wie von Norden nach Süden fünf geographische Meilen. Mehrere seiner merkwürdigsten Puncte wollen wir nach und nach kennen lernen.~~Fig. 1. Das neue Brockenhaus.~~Der Brocken ist der grösste und höchste Berg des Harzes. Er ist 3480 Pariser Fuss hoch, hat eine, geographische Meile von Norden gegen Süden lange und von Westen nach Osten eine halbe dergleichen breite Grundlage. Von seinem Gipfel überblickt man fast den zweihundertsten Theil von Europa, und geniesst eine der schönsten Aussichten, weswegen der Brocken jeden Sommer von Fremden zahlreich besucht wird.~~Auf seiner Spitze hat der regierende Graf von Stolberg-Wernigerode zur Bequemlichkeit für Reisende im Jahr 1800 das hier abgebildete neue Brockenhaus bauen lassen. Dieses 130 Fuss lange und 30 Fuss breite, geschmackvoll erbaute Wirthshaus gewährt alle Bequemlichkeiten, die man oft nur in den Gasthäusern grosser Städte findet. Es ist mit drei Blitzableitern und einem Thurme versehen, von dem man die weiteste Aussicht über einen grossen Theil des nördlichen Teutschlands geniessen kann.~~Fig. 2. Der Ilsenstein.~~Dieser 230 Fuss hohe, eine halbe Stunde von Ilsenburg im Ilsenthale liegende, nackte Granitfels zeichnet sich vorzüglich durch die prachtvolle Aussicht, die man von seinem Gipfel in das Ilsethal geniesst, aus.~~Fig. 3. Die Schnarcher-Klippen.~~Diese beiden merkwürdigen Granitfelsen liegen auf einer Anhöhe des Bahrenbergs und gleichen den Trümmern eines eingestürzten Bogens. Sie sind 80 Fuss hoch und 26 Fuss von einander entfernt. Der nördliche hat, wie der Ilsenstein, die besondere Eigenschaft, die Magnetnadel vom Nordpuncte auf den Südpunct zu-richten.~~145
Ad00341 07 023a/freMélanges CLXXXI. Vol. VIII. No. 21.
VUE DU HARZ.
Le Harz, situé dans le Nord de l'Allemagne, est très-remarquable tant par les beautés naturelles, qu'il ofsre, que par l'industrie et l'activité de ses habitants, Il a de l'Ouest à l?Est 9,milles géographiques et du Nord au Sud 5 milles. Nous dépeindrons succésivement les points les plus intéressants qui s'y trouvent.
Fig. 1. La nouvelle maison sur le Brocken.
Le Brocken est la montagne la plus élevée du Harz. H a 3480 pieds de Paris de haut, et sa base a un mille géographique de long «la Nord au Sud, et un -
Ad00341 07 024aDer gemeine Kastanienbaum (Aesculus Hyppocastanum L.), den wir Alle kennen, ist nicht in Europa zu Hause, sondern stammt ursprünglich aus den mitternächtlichen Theilen von Asien; er wurde nach Oesterreich im Jahr 1550, nach Frankreich im J. 1615, und nach England im J. 1633 gebracht. Seitdem ist er in allen Theilen von Europa, und auch in Teutschland allgemein verbreitert. Sein hoher pyramidenförmiger Bau, seine breiten blätterreichen Aeste eignen ihn sehr zu Anpflanzungen von Alleen, wozu er hauptsächlich angewendet wird. Zur Zeit der Blüthe gewährt dieser Baum einen vorzüglich schönen Anblick; die Blüthen kommen gewöhnlich im Mai zum Vorschein, und bilden an den Enden, der Zweige aufrechtstehende Büschel wie Kronleuchter. Die stachelichen Saamenkapseln enthalten gewöhnlich eine, selten zwei Früchte oder Kastanien, die nicht, wie bei den guten Kastanien, zugespitzt sind; auch keinen süssen, sondern bittern Geschmack haben, und daher von Menschen nicht genossen werden können. - Für das Vieh sind sie aber von mancherlei Nutzen, und werden gepülvert auch mit Erfolg in mehreren Krankheiten der Pferde in der Türkei angewendet, woher der Name Rosskastanie kommt.~~Der Rosskastanienbaum hat den Vorzug, dass er in jedem, auch dem schlechtesten Boden gedeiht. Das Holz ist keinem Wurmfrass unterworfen. Die Rinde hat fiebervertreibende Eigenschaften, und wird im Nothfall einigermaassen die China ersetzen können.~~Der Baum wird über 100 Jahr alt.~~145
Ad00341 07 024a/frePlantes CXXXIX. Vol. VIII. No. 22.
LE MARRONIER D‘INDE.
Le Châtaignier vulgaire ou Marroriièr ä'Itide {Aesculus Hippocasidnumh.), que nous connaissons tous,'n'est pas originaire de l'Europe, mais d'une contrée de l'A-sie septentrionale, et a été apporté en Autriche en 1550, enFrance en 1615, en Angleterre \en 1633. • Depuis ce tems il est introduit et naturalisé" dans toute l'Europe et par conséquent .aussi en Allemagne. Sa hauteur, sa forme.pyramidale, ses branches tousfues et larges le rendent trèspropre pour former des avenues, et. c'est le principal usage qu'on en fait. ' Dans la fleuraison l'aspect de cet arbre est de toute beauté ; les fleures naissent ordinairement dans le mois de Mai, forment des tousfes élevées qui ressemblent à un lustre et sont placées au bout des rameaux. La capsule hérissée renferme ordinairement un fruit ou une châtaigne, rarement elle en a deux. Ces fruits ne sont ni pointus comme les vrais marrons, ni cette douceur, mais au contraire une amertume dégour tante, c'est pourquoi ils ne peuvent pas servir de nourriture pour les hommes. Cependant ils sont de quelque utilité pour les animaux , et réduits en poudre on s'en sert avec succès dans la Turquie contre plùsieures maladies de chervaux, d'où se dérive le nom allemand, Rossoeastanie, (châtaigne de cheval)
Le Marronnier d'Inde a la préférence qvt'il prospère dans chaque terrain et même dans le sol le plus aride, et son bois n'est pas rongé par les vers. L'.éeoïce a une vertu fébrisuge et pourrait en cas de besoin et en quelque sorte remplacer le quinquina.
Cet arbre peut vivre plus d'un siècle.
Ad00341 07 025aFig. 1. Ansicht des Mäusethurmes bei Bingen.~~Die Gegend bei der Stadt Bingen ist berühmt durch die enge Schlucht, das Bingerloch genannt, durch welche sich der Rhein, der hier gegen eine steile Felsenwand andringt, mit wildem Geräusch Bahn macht. Da wo der Strom eine Wendung um den Rüdesheimer Berg nimmt, auf dessen Terrasse der köstliche Wein wächst, da liegt oberhalb dem Bingerloch ein alter Warththurm, von dem eine Volkssage erzählt, dass Hatto II., Erzbischof von Mainz im 10ten Jahrhundert in diesem Thurme, seines Geitzes und seiner Hartherzigkeit wegen, aus einem Strafgericht Gottes, von Mäusen gefressen worden sey. Diesen Mäusethurm erblickt man in der Mitte der Landschaft. Ihm gegenüber liegen auf dem rechten Rheinufer die Ruinen von Ehrenfels, eines alten Ritterschlosses. Auf der Höhe ragen die öden Mauern der Clemens-Kirche hervor.~~Fig. 2. Ansicht der Pfalz und der Stadt Caub.~~Eine halbe Stunde unterhalb Bacharach, erhebt sich, auf einer kleinen Felseninsel des Rheins, ein gothischer Thurm, die Pfalz genannt, in welchem, einer alten Sage nach, die Pfalzgräfinnen am Rhein ihre Niederkunft halten mussten. Zur Linken erblickt man die Ruinen von Schönberg, der Wiege eines edlen Geschlechts. Weiter unten liegt das freudliche Städtchen Oberwesel, das im Mittelalter eine Reichs-Stadt war. Rechts liegt das Städtchen Caub am Fusse eines Berges, aus welchem, an einer hervorspringenden Felsenspitze, ein Wachthaus steht, wo Gustav Adolph im 30jährigen Kriege gegen die, am andern Ufer gelagerten, Spanier Befehle ertheilte.~~145
Ad00341 07 025a/freMélanges CLXXXII. Vol. VIII. No. 23.
VUES PITTORESQUES DU RHIN.
Fig. 1. Vue de la tour des souris (Mäusethurm) près de Bingen.
Les environs de la ville de Bingen sont remarquables à cause de la gorge de montagnes, dite le trou de Bingen (Bingerloch), par. laquelle le Rhin se jette avec impétuosité contre dés rochers'escarpés en afsranchissant sa coursé avec un hurlement" "sauvage. Là où le torrent se tourne autour de la montagne de Fuidesheim, dont les terrasses produisent un vin délicieux, 'oh voit, par-delà le Bingerloch", la vieille"tour, ce monument mémorable,' 'à ce que dit une ancienne tradhïu-" ?' cl'tdx'jugeixiçai, de Dieu, par lequel Hatto IL, archevêque' de Mayence fut puni il y a 900 ans, et dévoré par des'soùris à cause de son avarice et de sa dureté. Cette tour est représentée au milieu du tableau. Vis-à-vis d'elle on voit les ruines d'un vieux château, dit Etlrrenfèls. Sulla hauteur s'élèvent les murs délabrés de l'ancienne église St. Clement.
Fig. 2. Vue du Palatinat et de la ville de Caub.
Une demie lieue au dessous de la ville de Bacharach on apperçoit une vieille tour gothique ou;un petit fort, dit le Psalz, élevé sur un récif dans le Rhin. Suivant une ancienne tradition ce fort était destiné aux couches des princesses Palatines. A gauche on veit les ruines de Schönberg, berceau d'une famille ■ illustre, et plus loin l'agréable petite ville de Oberwesel, qui dans le moyen âge était une ville libre de l*Ein
Ad00341 07 026aFig. 1. Ankunft eines Rheinflosses, eine Stunde oberhalb Bonn.~~Auf dem Rheine, gewöhnlich bei Andernach, werden grosse Holzflösse aus den Masten und andern Baumstämmen, die vom Schwarzwalde, dem Odenwalde und den Mosel- und Saarthälern herabgeschwemmt werden, zusammengesetzt. Diese Flösse sind bisweilen 1000 Fuss lang und werden wohl mit 900 Arbeitern bemannt.~~Eine solche schwimmende Colonie ist hier abgebildet.~~Auf dem grossen Flosse sieht man mehrere Wohnungen und eine unzählige Menge Ruderer an beiden Enden desselben. Diese ungeheure Maschine wird zugleich von mehreren Kähnen und Nebenflössen begleitet. Die Leitung derselben erfordert eine eigene Kunst, wegen der vielen Strudel und Wasserfälle im Rhein.~~Man schätzt die Kosten eines solchen Flosses und der Fahrt nach Holland, ihrer Bestimmung, auf 400,000 Fl. In Dortrecht werden die Masten verkauft, und gehen zum Theil nach England und Spanien.~~Fig. 2. Zweite Ansicht eines Rheinflosses.~~Diese Platte stellt denselben Gegenstand in einer andern Landschaft dar. Man erblickt hier die Ruinen von Godesberg, welches ehedem ein Römer-Castel war, das im 13ten Jahrhundert in ein neues festes Schloss umgeschaffen wurde, jetzt aber auch verfallen ist.~~Die Aussicht von hier ist reich und entzückend. Im Hintergrunde zeigt sich die schöne Stadt Bonn, die ehemalige Residenz der Kurfürsten von Cöln.~~145
Ad00341 07 026a/freMélanges. CLXXXIII. Vol. VIII. No. 24.
LES GRANDS RADEAUX DU RHIN.
Fig. 1. Vue de l'arrivée d'un Radeau du Rhin à une lieue au delà la ville de Bonn.
C'est ordinairement psès d'Andernach que s'opère la réunion de plusieurs' petits radeaux, mats et autres arbres, qu'on tire des montagnes de la forêt-noire et de l'Oden•wald, ainsi que des vallons de la Moselle et de la Saare, et qu'on en compose de grands Radeaux ou flottes de bois, qui ont quelquessois près de IOOO pieds de longueur, portant •une équipage de neuf-cent personnes. La lère
Fig. ure représente une telle Colonie flottante. Le grand radeau porte plusieurs maisons ou huttes destinées à l'oger l'équipage. Aux deux coins on voit un grand nombre de rameurs. Cette machine énorme est accompagnée de plusieurs petits radeaux et nacelles, et c'est un art particulier de la gouverner, à cause de tournants et chutes du Rhin. Les frais d'une telle flotte et du voyage jusqu'en Hollande sont évalués à 400,000 florins. C'est à Dortrecht qu'on vent les mats qui sont transportés en partie pour l'Angleterre et pour l'Espagne.
Fig. 2. Autre vue d'un Radeau du Rhin.
Cette figure représente le même objet dans un autre paysage. On voit ici les Ruines de Oodesberg, ancien sori. Romain qui fit métamorphosé en nouveau château dans le cours du 13. siècle, et qui depuis est tombé en ruines. La vue y est riche et enchanteresse. Dans le fond du tableau on apperçoit la belle, ville de Bonn, ci-devant la résidence des électeurs de Cologne.
Ad00341 07 027aFig. 1. Der milchweisse Laubfrosch. (Hyla lactea. Daudin.)~~Dieses, in America lebende, Thier ist 1 Zoll 4 Linien lang, hat eine Milchrahmfarbe und eine hellbraune Linie von den Nasenlöchern bis-zu den Augen. Die Vorderfüsse haben vier halbverbundene Zehen, und die hintern fünf derselben, an deren Spitzen sich klebrige Knöllchen befinden.~~Fig. 2. Der Seitengestreifte Laubfrosch. (Hyla hypochondrialis. Daud.)~~Der Leib dieses, in Surinam lebenden Laubfrosches ist oben graublau und unten weisslich. Die Weichen und äussern Seiten der Füsse haben auf blassgelbem Grunde braune Querstreifen. Die Zehen sind an Vorder- und Hinterfüssen gespalten. Seine Länge beträgt 1 1/2 Zoll.~~Fig. 3. Der geaderte Laubfrosch. (Hyla venulosa. Daud.)~~Dieser im südlichen Nordamerica lebende, Laubfrosch ist gegen 4 Zoll lang, und zeichnet sich durch die beiden, hinter seinen Ohren hervorstehenden, gelben Schallblasen aus, welche jedoch nur das Männchen hat. Der Oberleib ist hellroth und der untere weissgelb. Die Vorderfüsse haben 4 gespaltene und die hintern 5 halbverbundene Zehen.~~Fig. 4. Der schreiende Laubsrosch. (Hyla boans. Daud.)~~Er ist gegen 2 Zoll lang. Die obere aschfarbige Seite ist mit blassbraunrothen Querstrichen durchschnitten. Die untere Seite ist weisslich. Die vier Zehen der Vorderfüsse sind gespalten, die fünf der hintern aber halb verbunden. Man trifft ihn in Surinam.~~Fig. 5. Der rothe Laubfrosch. (Hyla rubra. Daud.)~~Dieser 14 Linien lange, auch in Surinam einheimische Laubfrosch hat einen rothbraunen Oberleib mit zwei aschfarbenen Längenstreifen, und einen weisslichen, hier und dort blassröthlichen Unterleib. Mit den Zehen verhält es sich, wie bei der vorigen Art.~~145
Ad00341 07 027a/freAmphibies XXXIV. Vol. VIII. No. 25.
DIVERS ESPÈCES DE RAINETTES EXOTIQUES.
Fig. 1. Rainette lactée. (Hyla lactea. Daud.)
Cette Amphibie existe en Amérique; elle a la "longueur d'un pouce quatre lignes ,- la peau d?un blanc de. crème, avec une ligne d'un brunâtre clair , allant des narines jusqu'aux yeux., Les pieds antérieurs ont quatre doigts demi pal-' mes, pourvus au bout dés pelpttes visqueuses.
Fig. 2. Rainette hypocondriale. (Hyla hypochondrialis. Daud.)
Cette Rainette existe à Surinam; le corps. 'est d'un gris bleuâtre en dessus, et blanchâtre en dessous. Les ssancs et les côtés extérieurs . des membres ont des bandes transversales brunes sur un fond jaune pâle. Les doigts des pieds antérieurs et postérieurs sont fendus. La longueur est de près d'un pouce et demi.
Fig. 3. Rainette réticulaire. (Rana venulosa. Daud.)
La patrie de cette Rainette est dans la partie méridionale des Etats unis de l'Amérique. Elle a la longueur de quatre pouces. Les miles se distinguent par une vessie vocale jaune et très saillante..derrière chaque oreille. , Le. dessus, du corps est d'un ï ou géâtre clair'; lé dessous--d'un blanc -jaunâtre. Les pieds antérieurs à quatre doigts fendus, les postérieurs à cinq demi-palmes.
Fig. 4. Rainette beuglante. (Hyla boans. Daud.)
Elle a la longueur de près de deux pouces, lé dessus du corps d'un blanchâtre nn peu cen-dré avecjies bandes transversales d'un brunrougeâtre pâle ; le dessous blanchâtre ;: Jes quatre doigts des pieds antérieurs fendus, ceux des postérieurs demi-palmés. Elle existera Suri»nam.
Fig. 5. Rainette rouge. (Hyla rubra. Daud.)
Cette Rainette habite également le Surinam; elle n'a que quatorze lignes, de longueur. Sa couleur est brun - rouge en dessus, avec deux lignes longitudinales d'un cendré pâle; le dessous du corps blanchâtre.,. un peu teint ça et là de rougeâtre pâle. Les^ doigts des pieds comme à l'espèce précédente.
Ad00341 07 028aFig. 1. Die Kaiserl. Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg.~~Zu den schönsten und nützlichsten Pallästen, welche sich zu Petersburg längs der Newa erheben, gehören nebst andern auch die hier abgebildeten Gebäude, welche der Sitz der Akademie der Wissenschaften sind, und ausser den Wohnungen für mehrere Professoren, auch die Hörsäle, die Bibliothek, die Sternwarte, die physikalischen, naturhistorischen und andern Sammlungen in sich enthalten. Diese Akademie-Gebäude liegen im Wasili-Ostrowschen Stadttheile, einer durch die große und kleine Newa gebildeten, Insel. Das Hauptgebäude ist von aussen durch kolossale Säulen geziert; in dem zweiten Gebäude, durch den Thurm des Observatoriums kenntlich, werden die wissenschaftlichen Sammlungen aufbewahrt. - Die Kaiserl. Akademie der Wissenschaften zu Petersburg bildet eine Vereinigung der vorzüglichsten Gelehrten, und ist der Sitz, von wo aus wissenschaftliche Kenntnisse jeder Art durch das grosse Russische Reich verbreitet werden.~~Fig. 2. Spiele der Russen auf öffentlichen Strassen.~~Der gemeine Russe ist seiner Natur nach sorgenlos, froh und lustig, und liebt leidenschaftlich Spiel, Gesang und Tanz. Wo er kann, sucht er sich von seinen mühseligen Lebensbeschäftigungen dadurch zu erholen. Er hat viele Arten von Volksspielen, die an öffentlichen Orten, wo sich Platz findet, von Alt und Jung gespielt werden.~~Auf gegenwärtiger Figur sehen wir eine der Strassen der vormals so prächtigen Stadt Moskau, welche sich jetzt wieder aus ihren Trümmern erhebt. Im Vordergrunde sind gemeine Russen mit verschiedenen ihrer beliebten Spiele beschäftigt. Die Jugend rechts spielt das Knochen-Spiel (Babki). Wirbelbeine von Kälbern oder Babki, welche, sorgfältig gereinigt und geglättet sind, werden in eine Reihe aufgestellt, und der Spielende sucht mit andern Knochen sie umzuwerfen. Wer nicht trifft, hat verloren.~~Erwachsene spielen linker Hand das Swaika-Spiel. In einen, auf der Erde liegenden, eisernen Ring muss ein grosser, schwerer, eiserner Nagel, der bei der Spitze angefasst wird, so geworfen werden, dass er in die Mitte des Rings in die Erde trifft.~~Der Gegensatz von Pallästen und Hütten, wie wir sie aus unserer Tafel gleich neben einander erblicken, gehörte zu den Eigenheiten jener alten Czaren-Stadt.~~146
Ad00341 07 028a/freMélanges CLXXXIV. Vol VIII. No. 26.
OBJETS CURIEUX DE LA RUSSIE.
Fig. 1. L'Académie Impériale des Sciences à St. Petersbourg.
Parmi les plus beaux et les plus miles-édif'ces qui embellissent les bords de la Neva à St. Per tersbourg l'Académie des Sciences,.représentée sur cette planche, est remarquable et par sa destination et par son architecture. L'Académie y tient' ses sessions, plusieurs professeurs y ont des logemens et ' on y trouve les auditoires , la bibliothèque, l'observatoire, les collections physicales, d'histoire naturelle etc. Cet édifice est situé dans la partie de la ville dite Wasili- Ostrow, ' ou- Ile 'de /Wâ'sili\ formel par la prande'et petite Neva-."-" La-façade du; bâtiment principal est ornée par des-colonnés colossales. Dans l'autre maison, distinguée par la tour dé l'observatoire, les collections mentionnées sont conservéesL'académie impéria1e-des ^sciences à St. Petersbourg est une réunion des-Sayans les plus distingués, c'est le centre d'où rayonnent les lumières sur toutes, les parties du vaste empire Russe.
Fig. 2. Jeux et amusemens des Russes sur les places publiques.
Le peuple Russe est nattirellement d'une hùirieur sans souci, .joyeuse et gaillarde ; il aime le jeu, le chant et la dame. Cherchant ganput où il le peut à se récréer par ces amu.semens il veut oublier ses occupations pénibles. Il y a plusieurs sortes de jeux nationaux, que les vieux et la jeunesse jouent dans chaque place convenable. Cette figure représente une rue de Moscou, jadis superbe ville qui commence à se relever de ses cendres. .Au devant du tableau des Russes "de la classe du peuple sont occupés à jouer leurs jeux favoris. Du côté droit on voit des ensans qui jouent aux osselets qu'on apelle Babki. On prend des .vertèbres,de.veau (babki), qu'on a soigneusement, nettoyées et polies * on les range à la file
Ad00341 07 029a(Juglans regia Lin.)~~Der Nussbaum ist ursprünglich in Persien zu Hause, aber seit undenklichen Zeiten nach Europa verpflanzt, und in den verschiedenen Theilen jetzt als einheimisch zu betrachten. Durch die Cultur hat man mehrere Spielarten gezogen, doch die gewöhnlichste Art ist der hier abgebildete gemeine Wallnussbaum. Er bildet einen prächtigen Baum mit einer breiten blätterreichen Krone. Die weit ausgebreiteten Zweige sind mit schönen, grossen dunkelgrünen Blättern besetzt. Diese bestehen aus sieben bis neun, länglich zugespitzten Blättchen. Im April erscheinen die braungrünen Blüthen, welche ungefähr drei Zoll lange Cylinder bilden, und an dem älteren Holze festsitzen. Die Frucht, welche im September reift, ist die uns allen bekannte Nuss. Sie besteht aus drei, von einander abgesonderten Theilen; zuerst die äussere grüne glatte Hülse; dann kömmt die holzige harte Schaale, welche gefurcht und unten zugespitzt ist; bricht man diese auf, so liegt in ihr die fleischige wohlschmeckende Frucht, welche sich in vier Flügel theilt. Man bereitet aus der Frucht ein gutes Oel, welches wie das Olivenöl verspeiset wird. Das von geringerer Güte wird zum Brennen gebraucht, auch braucht man es zur Oelmalerei, da es schnell trocknet. Die jungen, grünen Früchte werden mit, oder ohne äussere Schaale in Zucker eingemacht, auch bereitet man daraus einen Magen-stärkenden Liqueur. Die grünen Schaalen werden auch zum Braunfärben der Stoffe, so wie von Leder und Holz, gebraucht. Das Holz wird zu den verschiedensten Arbeiten angewendet; das von der Wurzel hat dunkle Adern, weswegen es die Kunsttischer zu mehreren Verzierungen ihrer Arbeiten nehmen.~~146
Ad00341 07 029a/frePlantes CXI. Vol. VIII. No. 27.
NOYER COMMUN (Iuglans regia Linn.)
Cet arbre originaire #.Perse 0 tr^n3gîaPts iPh Europe depuis,/un.te.ms immémorial, j. est au-, jourd'hui naturalisé ..dans., plusieurs, provinces,, L'industrie de rhomrne.en a élevé divers varié-;' tés , dont-la plus commune est. celle., .. rß_pre-; sentée sur notre planche* r Cet ai^re,a..un>port. majestueux avec.une
Ad00341 07 030aFig. 1. Die Westmünster-Abtei.~~Dieses Gebäude ist seines Alterthums, seiner Bauart und Grabmäler wegen, unstreitig eines der merkwürdigsten von London. Den Namen hat die Westmünster-Abtei von ihrer Lage an dem westlichen Theile von London, so wie von ihrer ersten Bestimmung, wo sie Klosterkirche war. Schon im Jahr 616 wurde sie vom König Sebert gegründet. Von den Dänen zerstört, wurde sie im Jahr 1065 von Eduard dem Bekenner von neuem aufgebaut. Heinrich III. vergrösserte den Bau, und Heinrich VII. liess im Jahr 1502 die prächtige Begräbniss-Capelle hinzufügen, die noch jetzt seinen Namen trägt. Die zwei prächtigen gothischen Thürme wurden zu Anfang des verflossenen Jahrhunderts von dem berühmten Baumeister Christoph Wren aufgeführt.~~Bis auf Heinrich VIII. war dieses Gebäude eine berühmte Benedictiner-Abtei, in der England's Könige gesalbt, gekrönt und auch beerdigt wurden. Ausserdem enthält das Innere der Kirche viele Grabmonumente der berühmtesten Männer Englands, von denen wir künftig sprechen wollen.~~Fig. 2. Die Westmünster-Halle.~~Sie ist ein Ueberrest des alten Pallastes der Könige England's, der unter König Heinrich VIII. durch die Flammen fast gänzlich zerstört wurde. Diese Halle oder Saal, von der wir hier die Aussenseite sehen, ist 270 Fuss lang, 74 Fuss breit, und 90 Fuss hoch; kein Pfeiler unterstützt sie, welches bei ihrer Grösse die Kühnheit des Baues vermehrt. Ehemals diente sie zur Feier von Festlichkeiten, Gastmalen u.s.f. So speisete König Richard II. in derselben 10,000 Menschen. Jetzt dient sie als Gerichtshof für das Verhör von Verbrechern aus dem ersten Englischen Adel oder den Pairs, welches mit grossen Feierlichkeiten geschieht.~~146
Ad00341 07 030a/freMélanges CLXXXV. Vol. VIII. No. 28.
ÉDIFICES REMARQUABLES DE LONDRES.
Fig. 1. Abbaye de Westmünster.
Cet édifice est sans contredit un des plusrerl marquables.de Londres et par sa vétusté, et par, son architecture et par les monumens et les tombeaux qu'il renferme. L'abbaye de Westmünster porte son nom de sa situation à côté d'ouest de Londres et de sa première destination, étant l'église d'un couvent. C'est déjà en 616 que Séhert, roi de l'Est-Saxonie en posa les fondemens. Détruite ensuite par les Da-, nois cette église fut rebâtie en 1065 par Edouard -le-Confesseur. ; Henri III; agrandit l'édifice, et Henri VII. y ajouta.la superbe chapelle^ sépulcrale, qui porte aujourd'hui son nom. Au' commencement du siècle passé le célèbre architecte Chrïstofle Wren y construisit les deux tours gothiques. \À Jusqu'au régne de Henri VIII. l'abbaye appartenait aux Bénédictins et les rois d'Angleterre y furent sacrés', couronnés et enterrés.1 L'intérieur de l'éalise renserme en .outre plusieurs monumens des hommes les plus' célèbres' de l'Angleterre. Nous enparleronsune autre fois.
Fig. 2. Salle de Westmünster.
Cette salle est une partie conservée de l'ancien palais des rois d'Angleterre, qui fut presque tout entier la proie des flammes, sousHenri Villi L'extérieur de cette salle, que nous voyons représentée sur cette planché, a 270 pieds de longueur, 71 Ae lat-genr , et 90.de ha\xteu'r. Elle n'est'soutenue par aucuns piliers, ce qui rend sa construction encore p'ius hardie. ' Autrefois elle servait à célébrer des fêtes, à donnes des repas etc. Le roi Richard IL y fit préparer un repas pour 10,000 hommes. A présent il s'y tient la cour de justice de la haute noblesse anglaise ou des pairs, qui s'étant rendu coupables y^sont jugés avec beaucoup de solennités.
Ad00341 07 031aSämmtliche, auf dieser Tafel dargestellte, Natterarten sind in Ostindien einheimisch.~~Fig. 1. Die gelbgesprenkelte Natter. (Coluber flavo-punctatus.)~~Dieses Thier misst 13 engl. Zoll in die Länge. Die Farbe seines Kopfs ist hellbraun. Der Leib ist mit dunkelgelblichten Flecken besprenkelt. Die Schuppen sind gelblichweiss, und die meisten derselben haben schwarze Ränder. Die Eingebornen nennen diese Natter: Duhblih.~~Fig. 2. Die thonblaue Natter. (Coluber argillaceo-caeruleus.)~~Die obere Seite des Kopfs und des Leibes dieses, 19 engl. Zoll langen Thieres, hat durchaus eine bläuliche Thonfarbe. Der Bauch hat eine schwarzgelbe Haut. Die Hindu's nennen es: Schittih.~~Fig. 3. Die Dora-Natter. (Coluber Dora.)~~Diese, 2 engl. Fuss, 2 Zoll lange Natter, deren Hals 1 1/2, und deren Leib an der dicksten Stelle 2 1/2 Zoll im Umfange hat, ist am Kopf und Körper Lehmfarben, die an letzterem dunkler und mit dunkel gelben Flecken hin und wieder besetzt ist. Schilde und Schuppen sind weissgelblich~~Fig. 4. Die Brillen-Natter. (Coluber Naja. Linn.)~~Wir haben, zwar schon im IIten Bande No. 52. unseres Bilderbuchs die Brillen-Natter kennen lernen, liefern hier aber noch eine zweite bessere Abbildung, indem wir in dem Commentar zu diesem Hefte viel Merkwürdiges über dieses Thier noch hinzusügen.~~Fig. 5. Die bunte Natter. (Coluber variegatus.)~~Dieses, 2 engl. Fuss, 10 Zoll lange, und im Umkreise des Leibes 1 1/2 Zoll messende, Thier ist besonders schön gezeichnet. Der glänzend schwarze Kopf wird mit orangegelben Flecken ausgehellet. Gleichfarbige Flecken erstrecken sich auf der schwarzen Grundfarbe vom Nacken bis zur Schwanzspitze. - Die Hindu's nennen sie: Kalla-Dschin.~~146
Ad00341 07 031a/freAmphibies XXXV. Vol. VIII. No. 29.
VIPÈRES EXOTIQUES.
Toutes les espèces de Vipères représentées sur cette planche sont indigènes aux Indes orientales,
Fig. 1. Vipère Duhblih. (Coluber flavo-punctatus.)
Ce reptile a 13 pouces d'Angleterre de longueur. La couleur de sa tête est d'un brun clair. Elle a le corps parsemé de taches,jaunes foncées; les écailles d'un blanc jaunâtre ont souvent un bord noix-. Cette vipère est nommée Duhblih par les Indiens.
Fig. 2. Vipère couleur bleu d'argile. (Coluber argillaceo-caeruleus.)
Cette vipère est long de 19 pouces d'Angleterre. Le dessus de la tête et du corps est d'un bleu d'argile , la peau abdominale d'un jaune noirâtre. Les Hindous l'appellent Schittih.
Fig. 3. Vipère Dora. (Coluber Dora.)
Là longueur totale de cet animal est de 2 pieds, 2 pouces d'Angleterre , celle du cou d'un pouce et demi; la circonsérence du corps Äans la partie la plus grosse est de 2J pouces. La couleur de la tête et1 du corps est brune d'argile, celle du dernier plus foncée et entremêlée de taches jaunes soncées. Les plaques et les écailles sont blanches jaunâtres.
Fig. 4. Vipère à Lunettes ou le Naja. (Coluber Naja. Linn.)
Dans le IL Vol. No. 52. de notre Portefeuille nous avons déjà fait connaître cette vipère à Lunettes; cependant nous en donnons une seconde figure faite avec plus d'accuratesse, ayant l'intention d'en parler plus amplement dans le commentaire de ce cahier et d'y ajouter des remarques curieuses sur cet animal.
Fig. 5. Vipère bigarrée. (Coluber vuriegatus.)
Ce reptile a 2 pieds , 10 pouces d'Angleterre de longueur, et un pouce et demi de circonférence. La vipère bigarrée est une de mieux colorées. La tête est d'un noir luisant parsemée des taches jaunes d'oranges. Des. taches semblables couvrent tout, le corps noirâtre, depuis le cou jusqu'à la queue. Les Indiens la nomment Kalla - Dschin.
Ad00341 07 032aFig. 1. Die grosse Seeblase. (Physalia Megalista. Péron.)~~Dieses wunderbare Geschöpf führt bei den Seefahrern den Namen Fregatte, Goelette, Galeere u. s. f., weil es mit Hülfe einer häutigen Blase bei ruhigem Wetter auf der Oberfläche des Meeres umherschwimmt. Ein häutiger und gefalteter Kamm, der sich längs der Luftblase erhebt, bildet ein wahres Segel, dessen Grösse das Thier nach Beschaffenheit der Luft, oder der Richtung, die es sich geben will, ändern kann. Die langen paternosterförmigen Fangarme, welche schön Ultramarinblau von Farbe sind, streckt es aus, um kleine Fische damit zu fangen. Die Berührung verursacht ein brennendes Jucken, als wenn man Nesseln angreift, ja noch heftiger, denn die ganze Hand ist einige Augenblicke wie gelähmt. Wahrscheinlich besitzt die Seeblase diese Eigenschaft, um sich ihres Fanges desto sicherer zu bemächtigen. Im Wasser leuchtet dieses Thier stark. Es findet sich an den Küsten Neuholland's.~~Fig. 2. Der geisselförmige Glaucus. (Glaucus flagellum. Blumenb.)~~Dieses artige Thier von schöner Ultramarin-Farbe, welches einen Silberstreif über den Rücken hat, findet sich im atlantischen und im grossen Ocean. Seine ästigen Kiemen dienen ihm zugleich als Flossfedern und als Lungen.~~Fig. 3. Das Pyrosoma des atlantischen Meeres. (Pyrosoma atlanticum. Péron.)~~Diese, einem Handschuhfinger ähnliche Molluske findet sich im grossen Ocean 3 bis 6 Zoll lang. Die äussere Oberfläche (A) ist ganz mit grossen länglichen Knoten übersäet, welche fester und durchscheinender, als die übrige Substanz sind. Sie vorzüglich geben den hellen Schein von sich, den man in der Nacht bemerkt, und-wo das Thier wie ein glühendes Eisen aussieht. - Die obere grosse Oeffnung lässt die innere Seite des Thieres (B) vollkommen betrachten; unten bemerkt man keine Oeffnung. Ueber die Art, wie sich das Thier bewegt und nährt, hat man noch keine Erfahrungen gemacht.~~146
Ad00341 07 032a/freVers. XX. Vol. VIII. No. 30.
ESPÈCES RARES DE MOLLUSQUES.
Fig. 1. La grande Pnysale. (Physalia Megalista. Péron.)
Ce singulier animal est connu des marins sons les noms de frégate, dé goélette, dé galère etc., parcequ'il flotte dans les tems calmes sur la surface des mers à l'aide d'une vessie membraneusé. Une sorte de crête membraneuse plissée, longitudinalement élevée sur le dos de la vésicule aérienne, fournit à l'animal une véritable voile, dont il peut à son gré vàriës les dimensions, suivant la force des vents et léux direction. Les tentacules longs ont là forme dû rosaire et sont d'une couleur bleu d'outre-mer. La Physale les étend pour prendre;des petits poissons. Lorsqu'on la touche, on ressent une ' démangeaison forte, et même plus sensible que 'celle'que l'on éprouve en «errant ùné: ôriië ; la main en est paralisée pendant quelques instans. Cette saculté lui est donné sans doute pour lui saciliter les moyens de s'assurer sa proie. . Dans l'eau.cet animal a Téclat du phosphore. On l'a trouvé dans les mers qui entourent la nouvelle Hollande. '
Fig. 2. Le beau Glaucus. (Glaucus flagellum. Blumenb.)
Cet animal charmant d'un beau bleu d'outremer, avec une bande cd'argent sûr le dos, se trouve dans là mer atlantique et dans le grand Océan. Ses bronchiës ramifiées comme dés iolis'arbüstes lui servent 'en.même t.éms dé nageoires et dé poumons.
Fig. 3. Le Pyrosqme de la mer atlantique. (Pyrosoma atlanticum. Péron.)
Ces mollusques qui habitent l'Océan font la, formé d'un doigt de gant et yarientcle 3 a 6 pouces de longueur. , Toute la. surface extérieure de l'animal est hérissée de gros tubercules alongés (Yoy. Fig. : A.), -plus fermes et plus diaphanes que le reste de la substance; c'est là. que se trouvé le siège principal de la phosphorescence, par laquelle le Pyrosome se distingue et qui' est. tellement brillante pendant la nuit qu'on la croirait de fer rouge sondu. La grande «ouverture 'qu'on observe dans la partie- supérieure fait voir tout l'intérieur de 1-animal (Voy. sig. B.). Dans la partie inférieure on ne trouve -Wcune trace d'ouverture. Pour ce qui concerne la faculté locomotrice et le mode de nutrition, on n'en saurait nullement juger faute d'observations précises.
Ad00341 07 033aFig. 1. u. 2. Das Thal von Meyringen und der Rosenlawin-Gletscher.~~Zu den angenehmsten Wanderungen in der Schweiz, die von jedem Reisenden mit Bequemlichkeit und ohne Gefahr gemacht werden können, gehört die kleine Reise von Bern über den Thuner und Brienzer See, von da durch das Hasli-Thal über die Scheideck nach den Grindelwald-Gletschern und dem Staubbach, welche beide letzteren Gegenstände wir in den früheren Heften unseres Bilderbuches bereits kennen lernten. Hier geben wir zwei andere Ansichten jener Gegenden.~~Wenn man nämlich von Brienz aus das schöne, in dem üppigsten Wachsthum prangende Hasliland, das Hauptthal des Berner Oberlandes durchwandert hat, so kömmt man zuletzt in das grosse schöne Dorf Meyringen (Fig. 1.). Hier sieht man sich von einer entzückenden Gegend umgeben, die ringsumher durch mehrere Wasserfälle, von denen wir hier nur den Alpbach erblicken, belebt wird. Etwas weiter entfernt von Meyringen liegt der Reichenbach, welchen malerischen Wasserfall kein Reisender unbesucht lässt.~~Nachdem man in Meyringen übernachtet hat, so setzt man seinen Weg nach Grindelwald fort. Ungefähr gegen die Mittagszeit langt man bei einer schönen Wiesenmatte an, auf der mehrere Sennhütten (Fig. 2.) liegen, von deren treuherzigen Bewohnern man Milch, Käse und Brod erhalten kann. Gelagert bei diesen friedlichen Hütten, erblickt man im Hintergrunde von dieser Seite den ersten oder Rosenlawin-Gletscher. Er hat seinen Namen von der Alpe oder Trift, die er verschlang. Dieser Gletscher, welcher ein Zweig des Gauli-Gletschers ist, erstreckt sich zwischen dem Wellhorn und Nellihorn südlich, und dem Engelhorn und Kamlihorn östlich.~~147
Ad00341 07 033a/freMélanges CLXXXVI. Vol. VIII. No. 31.
VUES DE LA SUISSE.
Fig. 1 et 2. La Vallée de Meyringen et le Glacier de Rosenlawin.
Parmi les différentes courses recommandées aux Voyageurs qui vont en Suisse, il en est une qu'ils peuvent entreprendre sans danger et avec toutes les commodités possibles. Nous voulons parler ici de la petite excursion que Ton fait, en partant de Berne, sur le lac de Thoun et celui de Brienz; de là l'on suit le vallon de Hassli qui mène par la Scheideck aux glaciers de Grindelwald et au Staubbach, Nos jeunes amis se rappelleront avoir va ces deux objets dans un de nos cahiers précédents. Cette fois - ci nous leur offrons deux autres vues de ces mêmes contrées. En sortant de Brienz, vous enfilez la principale vallée du haut-pays de Berne, nommée le Hasliland, région agreste'mais embellie par la végétation la plus abondante et la plus variée, et vous arrivez enfin au grand . village de Meyringen (Fig. , I.). ke paysage qui vous entoure, est de la plus grande beauté; de toutes parts, vous entendez le roulement et le fracas d'une quantité de cascades qui animent cette, scène ravissante. Vous faites quelques pas, un autra. spectacle vous attend, c'est celui du Reichenbach qui est encore une chute d'eau des plus pittoresques, et que les voyageurs ne manquent jamais d'aller visiter.- Du point où nous sommes., nous ne pouvons voir que celle dite Fdlpbach: &; Après: avoir passé la nuit ; dans' le : beau village de Meyringen, l'on continue-sa route pour gagner le Grindelwald ; et, vers midi, l'on arrive à des lisières d'une douce verdure, sur lesquelles sont semés des chalets (Fig. . a.)dont les bons habitans ont à vous osfrir'un champêtre repas : du pain, du sromage et du lait. Assis sur ces tapis vérdoyans, près de ces cabanes paisibles, contemplez àyotreaise de ce eôté'-ci, dans l'enfoncement, le premier glacier, appelé Rosenlawiri, c'est-à-dire VAvalanche- des- Roses. Ce beau nom était celui d'un alpe ou riant pâturage que cette mer de glace a englouti Ce glacier qui n'est qu'un bras du grand glacier, de Gauli, s'étend au sud entre le Wellhorn et le Nellihorn, et à l'est entre l'Engelhorn et le Kamlihornl (Il » faut remarquer que ce -mot de horn en allemand signifie pic en français, et qu'il sert à désigner ces pointes de 'rocher, ces aiguilles granitiques qui, dans les hautes Alpes, s'élancent au-dessus des nues.)
Ad00341 07 034a(Juniper communis.)~~Der allgemein bekannte Wachholder, welcher unsere dürren Berge bekleidet, bildet nach Verschiedenheit des Bodens und des Klima's bald nur einen Fusshohen Strauch, bald einen sehr ansehnlichen Baum, dessen Stamm dann auch verhältnissmässig stark wird. Er ist mit immergrünen, spitzigen Nadeln besetzt, und trägt auf einem Stamme Beeren, während der andere nur Blumen bringt. Diese Beeren reifen nicht, wie andere Früchte, in einem Jahre, sondern erreichen erst im dritten ihre Vollkommenheit; daher findet man denn immer ganz kleine, grosse, aber noch grüne, sowie, zugleich völlig reife, bekanntlich schwarze Beeren auf Einem Strauche beisammen. Sie haben, so wie alle Theile des Strauches einen harzig-balsamischen Geruch, und einen bitterlich-süssen, eben nicht unangenehmen Geschmack, und werden sowohl von Birkhühnern und Krammetsvögeln begierig aufgesuchet, als auch von den Menschen zu vielerlei Bereitungen, bald als Gewürz, bald als Arzenei gebraucht. Bekannt ist der Wachholdersaft als Schweisstreibendes Hausmittel, und das Wachholderöl, welche beide aus den Beeren verfertigt werden, und wem wäre wohl die vermeintliche schützende Eigenschaft der Beeren, und deren Zubereitungen als Getränk oder Räucherungsmittel für ansteckende Seuchen unbekannt? Das feine und harte, wohlriechende Wachholderholz (b) kann zu verschiedenen Arbeiten gebraucht werden, und war, so wie die Sprossen, ehedem auch ein Arzeneimittel. Jetzt dient es aber, nebst den Beeren mehr zu Räucherungen.~~147
Ad00341 07 034a/frePlantes CXLl. Vol. VIII.No. 32.
LE GENEVRIER. (Juniperus communis.)
Cet arbrisseau, qui est généralement connu, aime a couvrir nos arides montagnes. Il forme, selon la variété du soi et du climat, tantôt un arbuste ' d'un pied d'élévation au-dessus de la terre , tantôt un grand arbre dont le' tronc devient gros et fort à proportion de, sa hauteur. Il est garni de seuilles aciculaires, c'est-à-dire arrondies, un peu longues et pointues par le bout. Il est toujours vert. L'un de ses troncs porte des baies, tandis que l'autre ne porte que des fleurs. Ces baies ne mûrissent pas, comme les autres fruits, dans' l'espace d'une année ; elles ne parviennent k leur perfection que dans le cours de la troisième^ année : c'est pourquoi vous trouvez toujours sur le même arbrisseau des baies toutes petites, de grosses encore vertes,' et d'autres baies bien mûres-qui, comme l'on sait, sont noires. Elles ont, aussi bien que toutes les parties de l'arbuste, une odeur balsamique et résineuse et un goût d'aigre-'doux 'qui n'est : point désagréable. Les grives, les gelinottes' de bois en .sont friandes; et les hommes en savent tirer parti, pour toutes sortes de préparations chimiques et médicinales. Le suc du genévrier passe pour être un excellent sudorifique, ainsi que l'huile qui s'extrait dès baies comme le suc.. Tout le monde sait qu'on emplpie aussi les fruits du genévrier pour en composer une "bois-f son et, un parfum regardés comme de bons préservatifs contre les maladies contagieuses., Le bois de genévrier fin,- dur et odorisérant, s'emploie à divers ouvrages; et autrefois il. servait de médicament ainsi que ses rejetons. Mais aujourd'hui le bois et les baies ne servent guère qu'en fumigation.
Ad00341 07 035aFig. 1. Das Rothauge. (Cyprinus rutilus. Linn.)~~Die charakteristischen Kennzeichen dieser, im mittleren Europa verbreiteten, Karpfenart sind ihre rothen Flossen, Augenringe und die 12 Strahlen der Afterflosse. Der runde Rücken ist grünlich-schwarz, die Seiten und der Bauch sind silberfarben. Die, gegen den Bauch zu gebogene, Seitenlinie hat 36 Puncte. Brust-, Rücken- und Schwanzflossen haben eine braunrothe, die übrigen aber eine blutrothe Farbe.~~Fig. 2. Der Aland oder die Göse. (Cyprinus Jeses. Linn.)~~Diese Karpfenart zeichnet sich durch den starken Körper, den dicken, abgestumpften Kopf und die 14 Strahlen der Afterflosse aus. Der Augenstern ist bläulich-schwarz und ihn umgiebt ein gelber Ring. Der Kiemendeckel und der Rücken sind blau, die Seiten bläulich, und oberhalb der mit 58 gelbbraunen Puncten besetzten, Linie fallen sie in das Gelbe, und unterhalb derselben in das Silberfarbige. Die Schuppen sind am Rande blau eingefasst. Die Rückenflosse ist bläulich, die Schwanzflosse grau und blau eingefasst, und die After-, Bauch- und Brustflossen sind von hell-violetter Farbe.~~Fig. 3. Der Raapfen. (Cyprinus Aspius. Linn.)~~Der bogenförmige, bei offenem Munde hervorstehende Unterkiefer und die sechszehnstrahlige Afterflosse unterscheidet diesen Fisch, der oft ein Gewicht von 10 bis 12 Pfunden hat, von den übrigen Karpfenarten. Sein Augenstern ist schwarz, und sein, oberhalb mit einem grünlichen Streifen durchzogener, Augenring, gelb. Der breite Nacken ist dunkelblau; der Kiemendeckel bald gelb-, bald blaugrün und der Rücken schwärzlich. Die Seiten sind bläulich-weiss, die Rücken- und Schwanzflossen blau, und die Brust-, Bauch- und Afterflossen bläulich und etwas in das Rothe fallend. Er lebt von Wasserpflanzen, Würmern und kleinen Fischen, und ist wie der vorige in Flüssen des mittleren und nördlichen Europa verbreitet.~~Fig. 4. Die Zope. (Cyprinus Ballerus. Linn.)~~Diese Karpfenart unterscheidet sich von den übrigen Arten desselben Geschlechts durch 41 Strahlen in der Afterflosse. Die Stirn dieses Fisches ist braun, der Augenstern schwarz, der Augenring gelb mit zwei schwarzen Flecken. Oberhalb sind die Seiten bläulich, weiter unten gelblich und dann silberfarbig. Der Bauch ist röthlich und der Rücken schwarz. Eine blaue Einfassung umschliesst die Flossen. Dieser Fisch wird oft 3 Pfund schwer, und lebt in den Gewässern, die der Ost- und Nordsee zufliessen, und in diesen Meeren zuweilen selbst.~~147
Ad00341 07 035a/frePoissons. XLII. Vol. VIII. No. 33.
POISSONS DES RIVIÈRES D'ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Cyprin rougeâtre. (Cyprinus rutilus. Linn.)
Les lignes caractéristiques,,de .cette espèce de carpes qu'on trouve dans' nos. rivières du centre; de l'Europe sont ses nageoires rouges ainsi que l'iris de sa prunelle etdes douze rayons de son anale. /Elle nous montre un, dos d'un noir ver-1 dâtre, des; côtés et un ventre, àïg.ensin.s. La ligne latérale, inclinée vers le. ventre; :est.marquée, d'une série de trente-six points. Les: pectorales, la dorsale et la caudale du Cyprin rougeâtre sont pourprées ; les autres nageoires sont sanguines. .
Fig. 2. Le Jesse. (Cyprinus Jeses. Linn.)
Cette espèce de carpes se distingue par la sorce de son corps, par sa tête épaisse et arrondie et par les 14 rayons dé la nageoire anale. La prunelle est d'un noir bleuâtre, environnée •d'un iris jaune. Les opercules des ouies ou branchies sont bleus ainsi que le dos; les côtés sont bleuâtres; et, au dessus de la ligne marquée par une série de 58 points d'un, jaune-brun, ils sont jaunâtres , tandis qu'au - dessus de cette même ligne, ils sont argentins. Les écailles sont bordées de bleu. La dorsale est bleuâtre, la caudale grise .et bordée de bleu; les pectorales, l'anale et la thorachique, improprement dite ventrale, sont d'un violet clair, ou lilas.
Fig. 3. L'Aspe. (Cyprinus Aspius. Linn.)
Les marques distinctiyès- de ce Çyprin£soht la protubérance et,, la forme arquée de sa -ma-, choire insérieure, ainsi que les seize rayons de sa nageoire anale. On en a vu de dix à douze livres; il a laprünelle" lioiré ; "et l'iris, qui est jaUnè, est matisiié en llaut:d'ufie™ba!ndè"t'èi*dâitre. :Salâïgé:nuque:.est d'un bleu foncé; ..l'o'per* cule est d'un bleu mêlé tantôt de jaune', tan- . tôt de "vert. Le dos.est noirâtre. Les. slancs sont d'un blanc tirant sur l'azur. La dorsale et la caudale sont bleues; les pectorales, la ventrale et l'anale bleuâtres et tirant un peu sur le rouge. Ce poisson razu.ré;,se nourrit de plantes aquatiques, 3e vers et 3e petits poissons^ On le trouve, comme le' précédent, dans les rivières de l'Europe centrale et septentrionale.
Fig. 4. Le Sope. (Cyprinus Ballerus. Linn.)
Cette sorte de carpes se distingue des autres espèces du Cyprin par les 4t rayons de son anale. Le front de ce poisson est brun. L'iris est jaune et marqué de deux taches noires". Les côtés sont bleuâtres'par le haut,'jaunâtres par le bas, puis -argentins. ' Le ventre est rougeâtre et le dos noir.. Le bord des -nageoires; est bleu. Ce poisson pèse jusqu'à trois ou quatre livres. Il se plaît surtout dans les rivières qui vont se jeter dans la Baltique et la mer du nord. On le pêche aussi quelque fois dans ces deux mers.
Ad00341 07 036aFig. 1. A und B. Die rothe Rosskastanie. (Aesculus Pavia.)~~Fig. 2. a und b. Die gelbe Rosskastanie. (Aesculus flava.)~~Die rothe, so wie die gelbe Rosskastanie sind weniger bekannt, als die gemeine, aber auch weniger schätzbar, obgleich die erstere wegen der prächtiger gefärbten rothen Blüthen schöner ist. Aber ihr niedriger, fast strauchartiger Wuchs, und die geringere Menge von Blüthentrauben, bei beiden, so wie die unansehnliche Färbung der Blumen von letzterer, womit sich grössere Empfindlichkeit gegen unser rauhes Klima verbindet, mindern ihren Werth. Man pflanzt sie deshalb in grossen Anlagen nur der Mannichfaltigkeit wegen an, und vermehrt sie, da die Saamen bei uns nicht zur Reife kommen, durch Oculiren aus Stämmchen der gemeinen Art. Die rothe Rosskastanie (Fig. 1.) ist in Carolina, Florida, Pensylvanien und Brasilien zu Hause. Die gelbe Rosskastanie soll sich in Nordcarolina finden, scheint aber eine, erst neuerlich entstandene Art zu seyn. Beide unterscheiden sich noch von der gemeinen Rosskastanie durch glatte, keineswegs stachliche Früchte (Fig. 1. B. Fig. 2. b.) welche auch kleiner, als bei jener sind.~~147
Ad00341 07 036a/frePlantes. CXLII. Vol. VIII. No. 34.
ESPECES AMERICAINES DU CHATAIGNER.
Fig. 1. A et B. Le Pavie rouge. (Aesculus Pavia.)
Fig. 2. a et b. Le Pavie jaune. (Aesculus flava.)
Le Paviè roùge ainsi que le Pavie jaune sont moins connus que le Marronier d'Inde; aussi sont-ils inoins estimés, quoique le premier .soit plus beau à cause de ses superbes fleurs d'une couleur rouge et vermeille. Mais leur peu de hauteur qui n'en fait guère que de simples arbustes, leur petit nombre de bouquets ainsi que la faible teinte des sseurs du Pavie jaune en diminuent aussi de beaucoup le prix. Ajoutez à cela que ces deux espèces de marroniers sont très - tendres et trop sensibles à notre température froide et nébuleuse; elles ne s'acclimatent que disficilement dans nos pays; ! C'est- pourquoi on"ne, les, plante dans de grandes cultures qu'à cause de^la variété qu'offrent leurs fleurs; et,, comme leur semence ne peut, chez nous, venir en maturité, on-.,est obligé de les enter sur des arbrisseaux de l'espèce '.commune. Le Pavie à fleurs rouges (Fig. . i.) est indigène dans plusieurs contrées .de l'Amérique telles que la Caroline, la Floride, la Pensylvanie et le Brésil. Le Pavie à fleurs jaunes (Fig. . 2.) se trouve, dit-oh,dans la Caroline septentrionale. Mais nous soihmes portés à -croire que cette espèce de marronier est toute récente.— L'une et l'autre se distinguent' du marronier d'Inde en ce que leurs fruits (Fig. , I. B. Fig. . 2. b.) sont plus petits, sans être hérissés de piquans comme nos gros marrons.
Ad00341 07 037aDiese Tafel stellt lauter Hornfische dar, die sich von andern Fischen durch ihre rauhe Haut und den scharfzulaufenden Bauch unterscheiden. Sie sind Raubfische.~~Fig. 1. Der Stachelschwanz. (Balistes aculeatus. Linn.)~~Dieser Bewohner des rothen Meeres und der ostindischen Gewässer hat einen grossen, stumpfgeendigten Kopf, eine kleine Mundöffnung, oben zwölf, unten zehn spitze Zähne, ein schwarzes Auge mit einem rothen Augenringe, um die rothen Lippen einen blauen Streifen, über dem Auge vier, und unter demselben drei dergleichen, oberhalb braune, unterhalb lichtbraune Seiten und rothe Brust-, After-, Schwanz- und hintere Rückenflossen. Die Bauch- und vordere Rückenflosse ist braun.~~Fig. 2. Das alte Weib. (Batistes vetula. Linn.)~~Dieser Hornfisch lebt an den Ostküsten America's und China's. Sein Kopf ist mittlerer Grösse, die blaueingefasste Mundöffnung klein, der Stern des Auges schwarz, und der Augenring hellroth. Zwei blaue Streifen gehen über die Backen, zwei dergleichen finden sich unter den Augen und sieben über denselben. Der braungelbe Rücken ist mit blaugrünen Streifen durchzogen; die Seiten sind gelb, Kinn und Bauch röthlich-grau. Die Brust- und Schwanzflosse sind gelb und blau, die vordere Rückenflosse ist blau, die hintere blau mit brauner Spitze, die Bauch- und Afterflosse sind röthlich und mit blauen Streifen durchzogen.~~Fig. 3. Der gefleckte Hornfisch. (Balistes maculatus. Linn.)~~Dieser, in den americanischen und ostindischen Gewässern, lebende Fisch ist oberhalb violet, unterhalb blassgelb, und auf der ganzen Oberfläche des Körpers, auf der After- und hinteren Rückenflosse, die, so wie die vordere, eine röthlichbraune Grundfarbe haben, mit schön blauen, runden Flecken regelmässig bestreuet. Die Grundfarbe der Brust- und Schwanzflosse ist gelbbraun, bei erster aber heller, als bei letzterer.~~Fig. 4. Der chinesische Hornfisch. (Balistes chinensis. Linn.)~~Er unterscheidet sich von allen übrigen Hornfischen durch den einzigen Strahl seiner vorderen Rückenflosse. Sein Körper ist breit, rauh, von beiden Seiten stark zusammengedrückt, oberhalb orangenfarben, unterhalb blau und zwischen beiden Farben in das Grünliche spielend. Die vordere Rückenflosse ist orangefarben; die Bauch- und Schwanzflosse sind braun, und die hintere Rücken- und Afterflosse blau. Er ist an Brasiliens und Chinas Küsten einheimisch.~~147
Ad00341 07 037a/frePoissons. XLIII. Vol. VIII. No. 35.
POISSONS ÉTRANGERS.
Cette pknche né représente'que des Tîalistes qui se distinguent des autres poissons par l'aspérité de leur peau et la largeu-r.de leur, abdomen. Ce sont des poissons de proie qui s'aident, en nageant, d'une vessie à air qu'ils ont auprès du dos , et qui leur est- d'un grand secours, vu leur pesanteur spécifique-' ,Leur pea-u^s ou , plutôt leur cuirasse, offre les couleurs les plus brillantes et les plus diversifiées. ..Considérons-en quelques-uns.
Fig. 1. Le Baliste épineux. (Balistes aculeatus. Linn.)
Cet habitant de la mer Rouge et de la mer de l'Inde a la tête grossej comprimée, épaisse, un petit museau armé de douze dents en haut et de dix en bas, l'oeil'noir, l'iris rouge, une strie bleue autour.de ses lèvres rouges, quatre stries semblables au-dessus de l'oeil , trois au-dessous. Les slancs de l'animal sont bruns enhaut, d'un brun moins foncé en-bas. La caudale , l'anale, la dorsale postérieure et les pectorales sont rouges. La thorachique et la dorsale antérieure sont brunes..
Fig. 2. La Vieille. (Balistes vetula. Linn)
Ce baliste vit dans les; eaux qui baignent les côtes orientales de l'Amérique et de la.Chine. Sa tête' est de moyenne grandeur ; l'ouverture de la bouche petite et bordée de bleu, la prunelle noire, l'iris d'un rouge clair. Deux stries bleues parcourent les joues. Nous en voyons, deux semblables au dessous des yeux de l'animal et sept au - dessus. Le dos qui est d'un brun jaune, .est strié d'un bleu grisâtre. Les ■ r côtés-sont jaunes; le menton et lé ventre d'un .gris .rougeâtre. Les pectorales et la caudale sont jaunes et bleues. La première dorsale est azurée, la seconde bleue et peinte de .eouleur brune.. aux, extrémités. Les nageoires du ventre es de l'anus sont rougeâtres et striées de bleu.
Fig. 3. Le Baliste tacheté. (Balistes maculatus. Linn.)
Ce poisson qui se plaît dans les mers'chà'ùdes de l'Inde et de l'Amérique est violet, dans sa partie supérieure, d'un jaune pâle dans Tim férieure. Toute la sursace de son corps est symétriquement mouchetée de belles taches . Bleues ainsi que:-la- nageoire de l'anus et la seconde dorsale qui sont, comme la première dorsale, cPum brun rougeâtre. La couleur dès pectorales et de la nageoire de la queue est d'un jaune tirant sur le brun, avec cettexdifférence que le jaune de la caudale est plus foncé.
Fig. 4. Le Baliste chinois. (Balistes Chinensis. Linn.)
Ce baliste se distingue de tous les autres par l'unique rayon qui sorme sa première dorsale. Ha le corps large, .âpre etrude au toucher ; comprimé des deux côtés. . Sa partie supérieure est orangée, l'inférieure bleue; et,' entre ces deux couleurs, il y a une nuance de vert. L,a nageoire antérieure du dos. est orân^ gée; la thorachique-et la caudale'sont brunes ; la dorsale postérieure et l'anale sont bleues. . C'est dans la mer qui arrose les rivages de la Chine et dans celle du Brésil que l'on trouvé ce brillant poisson, qui est tout par' semé de petites taches couleur d'or.
Ad00341 07 038aZu den ausgezeichneten Monarchen, denen die Geschichte mit Recht den Beinamen der Grossen giebt, gehört auch Peter I, Kaiser von Russland. Er bildete seine Nation, und legte den Grund zu der Macht, welche das grosse Russische Reich, jetzt behauptet. Um seine grossen und kühnen Pläne desto sicherer durchzuführen, sah er Alles selbst mit eigenen Augen, gieng mit seinem Beispiele vorraus, und führte so nützliche Kenntnisse jeder Art ein. So suchte er auch eine Seemacht in Russland zu gründen, auf deren Vorbereitungen sich die gegenwärtige Tafel bezieht.~~Fig. 1. Peter des Grossen Hütte zu Saardam.~~Peter I. unternahm im Jahr 1697 die erste Reise ins Ausland, und kam auch mit seinem Gefolge nach Holland. Hier begab er sich allein, und früher als seine Gesandtschaft, nach dem schönen Dorfe Zaardam oder Saardam, durch seine Schifsswerfte berrühmt, und nordwestlich von Amsterdam liegend. Unbekannt liess sich hier der Kaiser unter dem angenommenen Namen Peter Michailoivitz als Arbeiter bei den Schiffsbauern einschreiben, und übte sich im Zimmern, in Tau- und Schmiedearbeiten. Mit den übrigen Arbeitern hatte er Kost und Kleidung gemein. Nahe bei den Schiffswerften bewohnte er ein kleines Häuschen, welches wir. bei Figur 1, wie es gegenwärtig noch steht, und zum Andenken Peter des Grossen sorgfältig erhalten wird, abgebildet sehen.~~Als S. M. der Kaiser Alexander I. am 4. Julius 1814 nach Zaardam kam, besuchte er auch das von Peter I. bewohnte Häuschen.~~Fig. 2. Peter des Grossen Boot in St. Petersburg.~~Merkwürdig für die Schaffung der Russischen Seemacht ist ein kleines vierrudriges Boot, welches zum Andenken in einem eigenen kleinen steinernen Hause in Petersburg aufbewahrt wird. Dieses Boot wurde von einem Holländer Brant gebauet. Peter machte damit auf dem Flusse Jausa bei Moskau mehrere Versuche in Bewegung der Schiffe, und schöpfte daraus, die ersten Ideen zur Gründung einer Seemacht. Zum Andenken befahl Peter der Grosse späterhin, dieses Boot auszubessern, woran er selbst mit arbeitete, liess es 1723 nach der neuerbaueten Hauptstadt Petersburg bringen, öffentlich aufstellen, und ein Fest zur Einweihung geben.~~148
Ad00341 07 038a/freMélanges. CLXXXVII. Vol. VIII. No. 36.
PIERRE LE GRAND CONSTRUCTEUR DE VAISSEAUX.
De tous les Souverains distingués, auxquels l'histoire a donné le surnom de Grand, Pierre I. est celui qui le: mérita à plus juste titre. Il forma sa nation et jeta les fonder mens de la puissance, à laquelle est parvenu le grand empire ne Russie. Pour exécuter plus sûrement ses vastes projets, il vit tout par lui-même, donna l'exemple en tout, et introduisit des connaissances utiles en tout genre; il s'attacha .aussi à établir en Russie une marine, et c'est aux préparatifs préalables de pet art que se rapporte la planche ci-jointe.
Fig. 1. Cabane de Pierre le Grand à Saardam.
Pierre I, ayant entrepris en 1697 so^ Pre" mier voyage dans les pays étrangers, arriva avec sa suite en Hollande. .11 se rendit seul et avant l'ambassade qui l'accompagnait au beau village de Saardam,j si célèbre par ses chantiers et situé au nord r ouest d'Amsterdam. L'Empereur: gardant l'incognito, se fit inscrire sur le rôle des charpentiers sous le nom de Pierre Michailawitz, et y étudia la construction des vaisseaux, les corderies et la serrurerie, mangeant avec les autres ouvriers et s'habillant comme, eux. Il occupa près du chantier une petite maison, figurée No. 1. telle qu'elle existe encore, et que l'on entretient avec soin ' en l'honneur de Pierre le Grand, L'Empereur Alexandre I. s'étant rendu le 4 Juillet 1814 à Saardam, a visité aussi la petite maison qu'avait habitée Pierre-I,
Fig. 2. Le Canot de Pierre le Grand à St. Petersbourg.
Un petit canot à 4 rames que l'on conserve dans une maison en pierres de taille à Petersbourg, bâtie pour cet objet, a beaucoup contribué à la création de la marine Russe. Pierrerse servit de ce canot,, construit jär un Hollandais, nommé Brant, sur là rivière d'Jausa prè's de Moscou, pour faire ses premiers essais dans l'art de saire mouvoir un vaisseau, et c'est delà que lui vint l'idée ,de sonder une marine. Plus tard Pierre le grand ordonna de radouber ce canot, et y travailla lui-même. Il le fit transporter en 1723a Petersbourg, sa nouvelle Capitale, le sit exposer en public et donna une sête au sujet de cette exposition.
Ad00341 07 039aFig. 1. Ansicht von Maynz.~~Die Stadt Maynz liegt in einer der schönsten Gegenden von Teutschland, am Zusammenflusse des Rheins und des Mains, und hat von den allerältesten Zeiten her einen wesentlichen Einfluss auf die Geschichte unseres Vaterlandes gehabt. Von den Römern sieht man daselbst noch mancherlei Ruinen, und in der neueren Zeit ist sie der Sitz des ersten Kurfürsten gewesen. Sie enthält eine grosse Menge alter, höchst schätzbarer Denkmäler der Baukunst, und der herrliche Dom mit seinen mancherlei Grabmälern, verdient Bewunderung. Als Festung gehört sie unter die vorzüglichsten, die gefunden werden, und es gereicht zum Ruhm unserer Tage, dass diese starke Vormauer von Teutschland den fremden Eroberern wieder entrissen worden ist. Auch die Handlung ist daselbst sehr lebhaft, und der Haven ist beständig mit einer Menge von Schiffen angefüllt. Die umliegende Gegend ist im höchsten Grade fruchtbar, und die mit Weinbergen, Schlössern und zahlreichen Dörfern bedeckten Ufer des Rheins bieten dem Auge die schönsten Ansichten dar. Diesseits des Rheins liegt Cassel, ein höchst wichtiges Fort, das durch eine 600 Fuss lange Schiffbrücke mit der Stadt verbunden ist.~~Fig. 2. Ansicht von Cölln.~~Diese Stadt ist eine der allerältesten in Teutschland, denn sie war schon die Hauptstadt der Ubier, eines germanischen Völkerstammes. In der Folge wurde sie eine römische Colonie, und die römischen Kaiser hatten daselbst einen prächtigen Pallast. In späteren Zeiten war sie der Sitz eines teutschen Erzbischofs und Kurfürsten, und im Mittelalter hatte sie eine so starke Bevölkerung, dass sie 30,000 wehrhafte Männer auf die Beine stellen konnte. Heute zu Tage ist sie jedoch sehr in Verfall gerathen, und ihre ganze Volksmenge beläuft sich jetzt auf 40,000 Seelen. Sie hat einen ungeheuern Umfang, der 6182 Schritte, jeden zu 5 Fuss gerechnet, beträgt, und ihre 11 Stifter, 58 Klöster, 19 Pfarrkirchen und 49 Capellen zeugen von ihrem ehemaligen Reichthum und der Frömmigkeit ihrer Einwohner. Die dasige Domkirche ist eines der merkwürdigsten Werke der alten Baukunst, und auch mehrere andere Kirchen enthalten unschätzbare Reste des Alterthums. Cölln ist die Vaterstadt des berühmten Malers Rubens, und man sieht daselbst noch das Haus, wo er geboren wurde. In mehreren öffentlichen und Privathäusern findet man auch eine Menge vortrefflicher Gemälde und anderer Kunstwerke.~~148
Ad00341 07 039a/freMélanges. CLXXXVIII. Vol. VIII. No. 37.
VILLES REMARQUABLES DU RHIN.
Fig. 1. Vue de Mayence.
La yil}e 4c Mayencessitu.ée.dâns une des plus belles, contrées de VAllemagne; : 'au confluent du Rhin et.: du Mein, a eu' depuis : les tems les plus reculés une inssuence très-marquée dan? les affa:ires politiques ,de. notre patrie. ,On y trouve; plusieurs ruines, qui.--.da-. lEut du. tems-des Romains,., .et dans'les tems modernes elle a été la Résidence..du premier grince Electeur de l'Empire.: .Elle contient un grand nombre de restes précieux de l'architecture gothique, et la superbe Cathédrale avec ses différens monumeas; mérite l'admira-: tion. Comme forteresse elle est une des premières quir-existent,;-:et c'est .«a.des faits-les plus glorieux: de: nos jours, que ce vieux rempart de l'Allemagne ait été arraché des mains des Conquérans étrangers. Le Commerce y est également très-animé et le port est cou-. tinuell.ement,rempli .d'une soule de vaisseaux. Les environs de la ville sont dés plus ferti-' les ; et les bords du, Rhin , couverts 1 de >vi-' ' gnes, de châteaux et de nombreux villages',; présentent les vues les plus pittoresques. En /deçà du Rhin se trouve Cassel, un fort très-important, qui communique ave,c;la ville par: un pont de bateaux de la longueur de 600 pieds. .:ITig. ;
vi-' ' gnes, de châteaux et de nombreux villages',; présentent les vues les plus pittoresques. En /deçà du Rhin se trouve Cassel, un fort très-important, qui communique ave,c;la ville par: un pont de bateaux de la longueur de 600 pieds. .:ITig. ;
Fig. 2. Vue de Cologne.
Cette: ville est; une. des .plus anciennes de toute l'Allemagne,, ear'elle était.déjà laCapi^talé des Ubiens, peuplade germanique. Plus tard elle devint une Colonie romaine, et -les Empereurs de Rome y firent bâtir un superbe palais: dans le moyeniâ^e Cologne fut la Résidence dîuh Archevêque, et Prince Electeur d'Allemagne, et- alors sa population, fut si- considérable, qu'elle, pouvait mettre sur pied 30,000 hommes armés. , Aujourd'hui1 elle est tellement tombée, en décadence, que/le nombre de tous ses: habitans ne monte plus! qu'à 40,000 ariies, La- circonférence dé' la Ville est telle, qu'on peut l'évaluer à 6182- toises;' h.. 5 pieds chacune, et ses n Collégiales, les 58 Cöuvens,19 Eglises'paroissiales et 49 Chapelles déposent en faveur de ses anciennes richesses et de la dévotion de ses habitans. La Cathédrale est un dejs nionumens les plus remarquables de l'Architecture gothique ,';ét plusieurs autres Eglises renserment encore des restes précieux de l'Antiquité, Cologne est la patrie de Rubens, et on' y voit encore la maison, où il naquit. Dans plusieurs maisons publiques et particulières on trouve: aussi une quantité d'excellens tableaux de peinturé et d'autres productions des arts.
Ad00341 07 040aFig. 1. Ansicht von Ehrenbreitstein vor der Zerstörung.~~Die Festung Ehrenbreitstein liegt am Ufer des Rheins auf einem hohen, von drei Seiten fast senkrecht abgeschnittenen Felsen. Zunächst zu ihren Füssen liegt das sogenannte Thal, das einen Theil der auf dem jenseitigen Ufer befindlichen, Stadt Coblenz ausmacht, und mit derselben durch eine fliegende Brücke verbunden ist. Während der unaufhörlichen Fehden im Mittelalter diente die Festung lange Zeit hindurch den Erzbischöfen von Trier zur Residenz, bis sie sich endlich eine eigene Burg an dem Ufer der, sich hier in den Rhein ergiessenden, Mosel erbauten. Es befindet sich in der Festung, ein Brunnen, der 280 Fuss tief in den Felsen eingehauen ist. Alle Werke bestunden aus Ungeheuern Felsenstücken, und die sämmtlichen Magazine befanden sich in unterirrdischen, gegen Bomben vollkommen gesicherten Gewölben. Auf der vierten und, schwächsten Seite führten mehrere schmale Wege in die Festung, die aber ihrer ganzen Länge nach von den Kanonen bestrichen wurde. Eine Reihe von Jahrhunderten hindurch hielt man es für unmöglich, Ehrenbreitstein zu erobern. Die Aussicht von dieser Felsenhöhe ist über allen Ausdruck vortrefflich, und man übersieht mit Einem Blicke eine weite, vom Rhein und der Mose durchschnittene, mit einer Menge blühender Städte, Schlösser und Dörfer bedeckte, höchst fruchtbare Ebene.~~Fig. 2. Ansicht von Ehrenbreitstein nach der Zerstörung.~~Höchst traurig ist es, dass auch diese Vormauer von Teutschland endlich fallen musste. Gegen Ende des Jahres 1798 wurde sie von einem französischen Armee-Corps unvermuthet eingeschlossen, und weil sie weder mit Munition noch Lebensmitteln versehen war, so wurde sie durch den drückendsten Mangel gezwungen, sich am 27. Januar 1799 zu ergeben. Nach dem Frieden von Lüneville wurde sie von den Franzosen gänzlich demolirt. Die Thürme, die Felsenwände, die Mauern und Gewölbe, Alles wurde durch die furchtbare Gewalt des Pulvers zerstört, und jetzt sind nur noch formlose Schutthaufen davon übrig.~~148
Ad00341 07 040a/freMélanges. CLXXXIX. Vol. VIII. No. 38.
VUES PITTORESQUES DU RHIN.
Fig. 1. Vue d'Ehrenbreitstein avant sa démolition.
La forteresse d'Ehrenbreitstein est située' au bord du Rhin sur un rocher très-haut et escarpé de trois côtés. A ses pieds se" trouve le Thal, qui fait partie de la ville de Coblence située sur l'antre rive, avec laquelle elle communique par un _pont volant. Pendant les guerr.es continuelles du moyen âgé la sorteresse servit de Résidence aux Archevêques de Trêves, jusqu'à ce que ces derniers se firent bâtir un château particulier au bord de la Moselle, dans l'endroit ou cette rivière se jette dans le Rhin. Il y a dans la forteresse un puits creusé dans le roc à une profondeur de 280 pieds. Tous les ouvrages étaient composés d'immenses blocs de rochers, et les magasins étaient en sûreté dans des voûtes souterraines à l'épreuve des bombes. Ce quatrième côté était le plus faible; plusieurs chemins.res^ serrés conduisoi eût à la forteresse, mais ils étoient. tous balayés par le canon dans toute leur longueur. Pendant une suite de-siècles la forteresse d'Ehrenbreitstein fût regardée comme absolu^ ment imprenable. De la "hauteur de ces rochers on jouit d'une vue ravissante ; on "apperçoït d'un même coup d'oeil une vaste plaine, extrêmement sertile, baignée par le Rhin et la Moselle, et parsemée d'une foule de villes florissantes, de châteaux et de villages.
Fig. 2. Vue d'Ehrenbreitstein après sa démolition.
Quel dommage, que ce boulevart de l'Allemagne ait été renversé! Vers la fin de l'an 1798 la sorteresse fut inopinément cernée par7 un corps d'arrnée srançois, et n'étant pourvue ni de munition ni de vivres elle se vit forcée le 27 Janv. 1799 par le besoin le"plus pressant de se. rfendre à l'ennemi; Après la paix de Luneville le Gouvernement srançais la fit entièrement démolir. Les tours, les remparts taillés dan« le roc, les murs et les souterrains, tout fut renversé par les effets terribles de la poudre, etil n'en- reste plus maintenant que des monceau»: de ruinés.
Ad00341 07 041aFig. 1. Der Fichtenfresser. (Phalaena Bombyx Pini.)~~Dieses ist ein den Fichten sehr nachtheiliger Nachtfalter. Fig. 1. C. stellt die Raupe, D. die Puppe, E. den Cocon, A. das Männchen, und B. das Weibchen dar. Die ausgewachsene Raupe wird 4 Zoll lang, hat 16 Füsse, und grau und braun punctirte Ringe. Ihr unterscheidendes Kennzeichen sind die zwei blauen Flecken zwischen den, dem Kopfe nächsten zwei Ringen, wenn sie diesen niederbeugt. Ihre Nahrung besteht aus den Nadeln des Kienbaums, und sie sind ausserordentlich gefrässig. Nach 3 Wochen verwandeln sie sich in die Puppe (D.), verlieren bei dieser Verrichtung ihre Haare, welche; sie in den gelblichen Cocon (E,) einspinnen.~~Nach drei Wochen entwickelt sich der Nachtfalter selbst, welcher vom Junius bis in den August herumfliegt, und von dem das Weibchen oft bis über 200 Eier legt.~~Fig. 2. Die Forelphalena oder Föreneule. (Phalaena noctua Piniperda.)~~Die schädliche grüne Raupe nährt sich von Fichtennadeln, und verpuppt sich im August am Fusse der Bäume oder in der Erde. Die Puppe (b.) ist dunkelbraun.~~Im Frühjahr entschlüpft die kleine bunte Phalaene (a.), deren vordere Seite der Flügel oberhalb gelb und roth geflammt, die untere braun gefärbt ist.~~Fig. 3. Der Fichtenschwärmer. (Sphinx Pinastri.)~~Die grüne Raupe (B.), welche mit rothen Streifen und Puncten geziert ist, findet sich nicht allein auf Nadel-, sondern auch auf andern Holzarten, und ist sehr gefrässig. Sie begiebt sich im September in die Erde, und verwandelt sich darin in eine rothbraune Puppe (C.), aus der im folgenden Mai oder Junius der Dämmerungsvogel, wie wir ihn hier bei A. genau abgebildet sehen, ausschlüpft.~~148
Ad00341 07 041a/freInsectes. LXXI. Vol. VIII. No. 39.
PHALÈNES NUISIBLES.
Fig. 1. Bombyx du Pin. (Phalaena Bombyx Pini.)
Ce Phalène est un de ceux qui font le plus de tort aux pins. À Fig. . I. C. représente la Chenille, D. la Chrysalide, E. le Cocon, A. le mâle et B. la femelle. Lorsque la Chenille a atteint sa croissance, elle a 4 pouces de long, 16 pattes et des anneaux tachetés de gris et de brun. La marque distirictive de cette chenille consiste en deux taches bleues, placées entre les deux anneaux les plus proches de la tête, que l'on découvre, lors qu'elle la baisse. Elle se nourrit dés feuilles aciculaires du pin, et est très - vorace. Trois semaines après elle se métamorphose en Chrysalide (D.), mais elle perd son poil, dont elle forme son cocon (E.)
Trois semaines après se développe le phalène lui-même, qui voltige depuis le mois, de juin jusque dans le mois d'août, dont la femelle pond souvent audelà de 200 oeufs.
Fig. 2. Phalène Piniperde. (Phalaena noctua Piniperda.)
La Chenille verte et très-nuisible se nourrit des feuilles aciculaires du pin et se chrisalide au mois d'août soit au pied d'un arbre ou dans la terre. La Niraphe (b.) est d'un brun foncé. .C'est au prirïtems que sort le petit Phalène bigaré (A.),: d°ut les aîles de devant sont en haut tachetées de jaune et de rouge et en bas de brun.
Fig. 3. Sphinx du Pin. (Sphinx Pinastri.)
La Chenille verte (B.), décorée de points et de bandes rouges, se trouve non seulement sur les arbres à feuilles aciculaires, mais encore sur d'autres espèces d'arbres, et est trèsvorace. Au mois de Septembre, elle s'enfonce dans la terré, où elle se transforme en Nimphe (C), d'un brun rougeâtre, dont sort au mois de mai ou de juin suivant le Papillon nocturne, tel que nous ïe voyons ici fidèlement figuré.
Ad00341 07 042aFig. 1. Der langschwänzige Dasyurus. (Dasyurus longecaudatus.)~~Hier ist die Abbildung des Weibchens des, im Vten Bande dieses Bilderbuchs No. 11. abgebildeten, gefleckten Beutelthieres (Didelphis Viverrina), welches das Männchen von jenem ist.~~Es ist von der Grösse eines Iltis und sehr lang gestreckt; seine Schnauze sehr lang und zugespitzt, die Farbe des Felles braun, mit weissen Flecken. Seine Nahrung besteht aus Insecten und Obst. Es ersteigt leicht Bäume und sorgt für seine Jungen sehr zärtlich. Sein Schwanz kommt seinem Körper in Länge gleich. Neu-Holland ist die Heimath dieses Thieres.~~Fig. 2. Das braune (a) und rothe (b) Schnabelthier. (Ornithorhynchus fuscus et ruber.)~~Das erste dieser beiden Thiere ist zwar schon im IIIten Bande dieses Bilderbuchs No. 80 dargestellt, allein da sich durch die, in den J. 1800 - 4 aus Frankreich abgesendete, Expedition eine Spielart desselben ergeben hat, so liefern wir auf beifolgender Fig. 2. beide Arten in verschiedenen Stellungen, wie sie sich zu Lande und im Wasser bewegen. Das Männchen ist über 17 Engl. Zoll lang und das Weibchen 1 Zoll kürzer; der Schnabel 2, und der Schwanz 3 1/2 Zoll lang. Der Umfang des Leibes ist 11 Zoll. Die Haare sind auf dem Rücken tiefdunkelbraun, an den Seiten lichtbraun, und am Bauche silberweiss. Seine sehr kurzen Beine sind mit fünfzehigen Schwimmfüssen versehen. Wahrscheinlich lebt es von Seegewürmen und Insecten. Die Süsswasserseen Neu-Hollands sind seine Wohnung. Fig. 2. stellt eine Familie von rothen und eine von braunen Schnabelthieren vor. Zwei derselben (a, b) erblickt man am Ufer eines Sees, während ein Drittes mit dem Kopfe vorwärts untertaucht, um Nahrung zu suchen, und ein Viertes mit dem oberen Theile des Körpers aus dem Wasser hervorragt.~~148
Ad00341 07 042a/freQuadrupèdes. LXXXLI. Vol. VIII. No. 40.
QUADRUPÈDES DE LA NOUVELLE HOLLANDE.
Fig. 1. Le Dasyure tacheté. (Dasyurus longecaudatus.)
Le No. 11. du cinquième Volume du Porteseuille d'Ensans donne la description du 'Dasyure tacheté mâle, et ce Numero nous .en sigure la femelle. Le Dasyure est de la grandeur du putois, mais d'une forme plus ' alongée ; il a le museau très-prolongé et terminé en pointe; le pelage brun et parsemé de taches blanches. 11 se nourrit d'insectes et de. sruits, il grimpe aux arbres avec facilité, et prend un soin extrême de ses petits. Sa queue est aussi Ion-; gue que son corps. * La Nouvelle-Hollande est la patrie de ce quadrupède:
Fig. 2. Bec d'oiseau brun et roux. (Ornythorhynchus fuscus et ruber.)
La première espèce de ces deax Quadrupèdes a été figurée, il est vrai, au No. 80 dit IIIe Volume de.ee Porte-seuille, niais comme dans l'expédition qui a été faite par les Français en 1800 jusqu'en 1804, on en a trouvé une autre espèce, nous représentons l'une et l'autre, sig. 2., dans les diverses positions oü elles se meuvent tant dans l'eau que sur terre. Le mâle est long de plus de 17 pouces, mesure anglaise, et la femelle est d'un pouce plus courte. , Le bec est long de 2 pouces, et là queue de 31. Le pelage a sur le dos une teinte brune très-foncée, qui s'éclaircit sur les flancs, et devient d'un blanc argenté sur lé ventre. Le Bec - d'oiseau a les jambes très-courtes et des pieds à cinq doigts avec des membranes intermédiaires. Il est vraisemblable qu'il se nourrit de vermisseaux et d'insectes aquatiques, car il n' habite que dans: les lacs d'eau douce à' la Nouvelle-Hollande. Fig. . 2. représente ùùe famille de Becsd'oiseau roux, et une de Becs-d'oiseau bruns. On en aperçoit deux (a, b) sur Je rivage d'un lac, pendant qu'un 3e plonge", la tête e» avant, pour chercher de la nourriture, ,,et qu'un quatrième sort 4e l'eau la partie supérieure du corps.
Ad00341 07 043aDie von Westnordwest nach Ostsüdost streichende, über sechs Tagereisen lange, Karreebergkette in der westlichen Hälfte des südlichen Afrika zeichnet sich eben so durch die fast gleiche Höhe ihrer einzeln stehenden, bald Kegel-, bald Thurm-, bald Tafelförmig gebildeten Berge, als durch ihren gänzlichen Mangel an Vegetabilien und Bächen aus. Nur dem Riesen unter den Vögeln, dem Strauße und seinem treuen Gefährten, dem Quagga (wildem Pferde) dienen sie zum Zufluchtsorte. Der Koth des letztern lockt grosse Käfer, die Lieblings-Nahrung des Strausses an, und das scharfe Auge des Strausses schützet das Quagga vor irgendeinem Ueberfalle. Blindlings folgt eine Heerde der Quaggas einer fliehenden Heerde von Straussen. So knüpft der Naturtrieb sehr verschiedene Thiere an einander.~~Ein Straussen-Ei wiegt gewöhnlich drei Pfund und wird 24 Hünereiern gleich geschätzt. Ein Straussennest enthält in der Regel 30 Eier und ein Ei reicht zur Sättigung vier sehr hungriger Personen vollkommen hin. In der Capstadt gilt eins einen halben Thaler. Ein Straussenei wird 36 bis 40 Tage theils durch die Weibchen, theils durch die Männchen, theils durch die Sonne bebrütet, ehe der junge, einem Huhne gleiche, Strauss herauskommt.~~Die zum Putze beliebten weissen Straussfedern kommen von dem Männchen. Am Cap zahlt man dem Jäger für das Stück der besten 3 bis 4 Schilling (8 bis 12 gute Groschen.)~~149
Ad00341 07 043a/freMélanges. CXC. Vol. VIII. No. 41.
CONTRÉE DE L'AFRIQUE MÉRIDIONALE PRÈS DU CAP DE BONNE ESPÉRANCE.
La chaîne des montagnes Karrées, qui se *pvo? longe de l'Ouest-nord-ouest vers l'Est-sudest, dans la partie . occidentale de l'Asrique méridionale, et qui a plus de six journées de chemin , se distingue autant par la hauteur presque, égale de ses montagnes, ou coniques, ou rondes, ou en forme de table , que par son manque total, de végétaux et de ruisseaux. L'Autruche, le géant des oiseaux, y fait seule sa demeure avec son fidèle, compagnon, le Guaggtz, (cheval sauvage). La fiente du dernier attire de grands escarabées, qui sont la nourriture favorite de l'Autruche; et l'oeil perçant dé celle'-ci' met' le -Guagga; à l'abri de toute surprise. Aussi voit-on un troupeau entié* de Guaggas suivre aveuglément un troupeau d'Autruches dans sa fuite. Telle -est la manière dont l'instinct naturel attache les uns aux autres des animaux de; très- diverse aaa1ture.Un oeuf d'Autruche, dont le poids ordinaire est de trois livres,! est autant estimé que 24 oeufs de poule. Le nid de l'Autruche contient en'général 30 oeufs, dont un seul suffit pour rassasier 4, personnes afsamées , aussi se vendent^ils ,dans: :Ia lyille du ,cap 12 gros la pièce. L'oeuf de l'Autruche est couvé de 36 à 40 jours tant par la femelle qjie par le mâle, ou pax jle soleil, avant qu'il en sorte une Autruche eâhi la grosseur, d'un poulet; ; ; ; .,' Les plumes blanches d'Autruche , : dont on fait tant de cas, proviennent da mâle; les meilleures se paient dans la yille du cap a« chasseur de 8 à 12 gros la pièce.
Ad00341 07 044aEngland hat seinen, im Dienste des Vaterlandes verwundeten und invalid gewordenen Kriegern, nicht minder als Frankreich durch sein Hotel des Invalides zu Paris, grosse und bequeme Versorgungs-Anstalten gewiedmet; nämlich das grosse Hospital zu Greenwich für Seeleute, die für England so wichtig sind; und zu Chelsea für invalide Landsoldaten. Die Ansicht beider Paläste zeigt gegenwärtige Kupfertafel.~~Fig. 1. Das Hospital von Greenwich.~~Die Stadt, von der es den Namen führt, liegt am Ufer der Themse, etwas über eine geographische Meile von London. Sie war lange der Lieblingssitz des Hauses Tudor und in dem dortigen Schlosse wurden die Königinnen Maria und Elisabeth geboren. Nach der letztern Tode zerfiel dasselbe in Trümmer. König Karl II. liess es ganz niederreissen und begann einen neuen Bau, der für die Residenz der königlichen Familie bestimmt war. König Wilhelm III., der Handel und Schifffahrt beleben wollte, bildete daraus einen Ruheplatz für invalide Matrosen. Erst unter gegenwärtigem Könige ward dieses Gebäude, das vielleicht das regelmässigste und majestätischste des Königreichs ist, vollendet. Es kann 2000 invalide Seeleute und 200 Söhne derselben beherbergen. Erstere haben allen Genuss des Lebens. Letztere werden in der Schifffahrtskunde unterrichtet, um einst in der königlichen Marine zu dienen. Nähere Nachrichten über die innere Einrichtung und die Schönheiten dieser gemeinnützlichen Anstalt s. m. im Ausführlichen Texte zu unserm Bilderbuche für Kinder.~~Fig. 2. Das Hospital zu Chelsea.~~Dieses, unfern London an der Themse gelegene, Hospital ist für Invaliden der Landtruppen, die entweder 20 Jahre dienten oder während derselben durch Wunden zum Dienste untauglich wurden, bestimmt. Hier werden ohne die Officiere 400 Invaliden ernährt, gekleidet und logirt. Das Nähere sehe man in obenerwähntem Texte.~~149
Ad00341 07 044a/freMélanges. CXCI. Vol. VIII. No. 42.
EDIFICES REMARQUABLES EN ANGLETERRE.
A l'instar du Dôme des invalides à Paris, l'Angleterre a consacré aux militaires blessés au service de la patrie et devenus invalides, de grands et commodes établissomens, savoir le grand Hôpital de Greenwich, destiné poulies marins, si intéressans pour l'A' gleterre, et celui de Chelsea pour les troupes déterre. La planche ci-jointe figure ces deux palais.
Fig. 1. L'Hôpital de Greenwich.
La ville, dont il porte le nom, est située sur la Tamise, à une lieue géographique environ de Londres. Elle a été longtems la résidence favorite de la maison de Tudor et c'est dans son château que naquirent ^les reines Marie et Elisabeth. Après la mort de la dernière, il tomba en ruine; le Roi Charles II. le fit démolir de fond en comble, et jela les fondemens d'un nouvel édifice, destiné à être la résidence de la famille royale. Le Roi Guillaume III, voulant vivisier le commerce et la marine, en fit un lieu, de repos pour les matelots invalides; mais ce n'est que pendant le régne du Roi actuel, qu'a été achevé cet édifice, le plus régulier et le plus majestueux-de tout le royaume. Il peut contenir 2000 marins invalides et soo de leurs enfans. Les premiers y goûtent toutes les jouissances de la vie, et les derniers y sont' instruits dans la navigation, pour servir un jour dans la marine royale. On trouve dans le texte de notre Portefeuille des détails sur l'organisation intérieure et les beautés de cet institut de bienfaisance.
Fig. 2. L'Hôpital deChelsea.
Cet hôpital, assez près de Londres, situé surla Tamise, est réservé aux invalides des troupes de terre, qui ont ou servi 20 ans, ou que des blessures ont rendus inhabiles au service. Outre les officiers., il y a 400 invalides qui y sont logés, nourris et vêtus. Quant aux détails voyez les dans le texte sus-mentionné.
Ad00341 07 045aParis, die ungeheure Hauptstadt Frankreichs, ist in sehr vielen Rücksichten so merkwürdig, dass ein Paar Ansichten davon gewiss Jeden interessiren werden. In Paris begann vor 24 Jahren die Revolution von Europa, und in Paris endigte auch dieselbe, durch dessen Einnahme und Napoleon's Entthronung. Wir wollen also Paris von zwei entgegengesetzten Seiten ansehen, um einige seiner interessanten Punkte kennen zu lernen.~~Fig. 1. Ansicht von der Höhe bei St. Cloud.~~Von da hat Paris eine sehr freundliche lachende Ansicht, und man bemerkt von hier aus folgende sehr bekannte, interessante Punkte und Gegenstände.~~1) Notre Dame, die Hauptkirche von Paris, bekannt durch viele Gegenstände der Geschichte.~~2) Das Pantheon; Begräbniss-Tempel berühmter und um die Französische Nation verdienter Männer.~~3) Die Kirche von St. Paul.~~4) Die Höhe von Montmartre, wo die letzte Schlacht von Paris vorfiel, bei welcher Paris von der Armee der Alliirten erobert und eingenommen wurde.~~Wir gehen nun auf die gegenüberliegende Seite, und haben da die~~Fig. 2. Ansicht von der Höhe von Montmartre.~~Von hier aus gewährt diese ungeheuere Stadt einen grossen und imposanten Anblick. Im Vordergrunde sieht man hier die berühmten Gipssteinbrüche von Montmartre, welche ganz Paris mit Kalk und Gips versorgen. Nun erblickt man ferner von hier aus folgende merkwürdige Gebäude in Paris:~~1) Die Tuilerien, oder das Königl. Residenz-Schloss.~~2) Das Louvre; oder den National-Palast.~~3) Den Dom des Invalidenhauses.~~4) Das Pantheon.~~5) Die Kirche Notre-Dame.~~und noch viele andere merkwürdige Punkte.~~Diese Höhe vom Montmartre hat sich auch ewig denkwürdig in der Geschichte durch die letzte entscheidende Schlacht zwischen den Alliirten und Napoleons Armee gemacht, welche hier den 31. März 1814 vorfiel, für die Franzosen verloren gieng, und worauf dann Paris eingenommen wurde.~~149
Ad00341 07 045a/freMélanges. CXCII. Vol. VIII. No. 43.
DEUX VUES DE PARIS.
Paris,; l'immense capitale" de la France est, à tant d'égards, si digne de notre attention, que chacun en verra avec beaucoup de plaisir deux points de vue. Il y a 24 ans que la révolution de l'Europe .y a commencé, et elle s'y est terminée, parla prise de cette ville et la déchéance de Napoléon. Nous allons donc considérer Paris de deux côtés opposés, pour en connaître les points les plus intéressans.
Fig. 1. Vue de la hauteur de St. Cloud.
De ce côté Paris ofsre l'aspect le plus riant, et de là on découvre les points et objets suivans très-connus déjà, et du plus grand intérêt.
1°) Notre Dame, cathédrale de Paris, célèbre par plusieurs objets historiques.
2°) Le Panthéon, temple èe sépulture pour les hommes célèbres, et qui ont bien mérité de la patrie.
30) Véglise St. Paul.
40) La Hauteur de Montmartre, où selivra la dernière bataille, qui décida du sort de Paris et en ouvrit les portes aux armées alliées. Passons maintenant au côte opposé et nous . y trouvons
Fig. 2. La vue de dessus la hauteur de Montmartre.
De ce point-là cette ville immense ofsre le coup d'oeil le plus imposant. Sur le devant oh voit les célèbres carrières déplâtre, qui fournissent à cette capitale tout le plâtre et la chaux, dont elle a besoin; et plus loin on distingue les superbes édifices suivans.
1°) Les tuileries, ouïe château royal.
2°) Le Louvre, ou le palais national.
30) Le Dôme des invalides.
40) Le Panthéon.
50) L'église Nôtre Dame, et plusieurs autres points extrêmement intéressans.
Cette hauteur de Montmartre sera à jamais célèbre dans l'histoire par la dernière bataille décisive qui s'y livra le 31 Mars 1814, entre les Alliés et l'armée de Napoléon, qui fut gagnée par ies premiers, qui par là se trouvèrent maîtres de cette capitale.
Ad00341 07 046aFig. 1. Die Felsen-Birn. (Pyrus Amelanchier.)~~Die Felsenbirn oder Alpenmispel bildet einen 6 bis 7 Fuss hohen Strauch, der wild auf Waldbergen und schroffen Felsen von Oesterreich, Baiern, Schwaben, der Schweiz und Frankreich wächst. Die Blätter sind höchstens einen Zoll lang, sägeartig gezähnt, auf der Oberfläche schön grün. Die weissen Blumen kommen im April und Mai zum Vorschein. Zu Ende Augusts reifen die kleinen runden Früchte von schwarzblauer Farbe. (Fig. B.) welche essbar sind, und aus deren Kernen ein gutes Oel bereitet werden kann. Wegen der Menge seiner Blüthen (Fig. A.) wird dieser Baum auch zu Englischen Gartenanlagen benutzt.~~Fig. 2. Die Schnee-Birn. (Pyrus nivalis.)~~Die Schneebirn findet sich gleichfalls auf niedrigen Alpen, den bergigen Gegenden von Oesterreich und in andern Gebirgen von Teutschland, wo sie ein zehn bis fünfzehn Fuss hohes Bäumchen mit ziemlich dicken Aesten bildet. Die weissen Blüthen (Fig. a.) kommen im Mai zum Vorschein. Die Kugelrunden gelbrothen Früchte, welche die Grösse eines Holzapfels haben, (Fig. b.) sind von durchdringend sauerem Geschmacke; bloss wenn man sie sehr lange liegen lässt, und sie teig worden sind, werden sie süsser und geniessbar. Die Schneebirn wird, wie die gemeine Holzbirn, für die Mutter aller unserer guten Birnsorten angesehen, und deswegen auch in die Pflanzungen der Gärten aufgenommen. -~~149
Ad00341 07 046a/frePlantes. CXLIII. Vol. VIII. No. 44.
ARBRES D'ALLEMAGNE.
Fig. 1. L'Amelanchier des bois. (Pyrus Amelanchier)
Ce poirier ou nefflier des Alpes est -un arbrisseau de 6 à 7 pieds de haut, qui croît sans culture sur les montagnes et les rochers escarpés d'Autriche, de Bavière, de Souabe , de Suisse et de France. Ses feuilles ont tout auplus un pouce de long; elles sont dentelées en forme de scie, et d'un beau vert sur leur surface. C'est aux mois d'Avril et de Mai qu'éclosent ses fleurs blanches, et à la. fin du mois d'Août que -paraît un petit fruit rond , d'un bleu noir, mangeable , et dont le pépin donne une très - bonne huile. La quantité de fleurs, que porte cet arbuste, l'a sait admettre dans les plantations des jardins.
Fig. 2. Le Poirier des Alpes. (Pyrus nivalis)
Ce poirier se trouve également sur les montagnes de la Suisse, d'Autriche et dans d'autres contrées de l'Allemagne; c'est un arbrisseau de 10 à 15 pieds de haut, dont les branches sont assez épaisses , et dont les fleurs blanches paraissent au mois de Mai. Ses fruits sphéroïdes, d'un rouge jaunâtre, de la grosseur de la pomme sauvage, sont extrêmement sûrs, et ne sont, mangeables que quand on les a conservés très - longtems, et qu'ils sont pâteux. Ce poirier est considéré, ainsi que le poirier sauvage ordinaire , comme la souche de nos diverses espèces de poiriers, aussi le trouve-t-on dans beaucoup de jardins.
Ad00341 07 047aFig. 1. Die Mond-Phaläne. (Phaläna Attaci. Linn.)~~Sie hat auf der unteren Seite der Flügel dieselbe Zeichnung und Farbe, wie auf der oberen. Die vier ovalen, mondförmigen, Spiegel auf den Flügeln sind durchsichtig, wie Glas. Ihre Gestalt, Farbe und Grösse zeigt die Abbildung, so wie dieses auch bei folgenden Schmetterlings-Arten der Fall ist. Man findet sie in Neu-York, Carolina, Maryland und auf Jamaica. Ihre Raupe nährt sich von Sassafras-Blättern.~~Fig. 2. Die Brillen-Phaläne. (Phalaena Conspicillator. Linn.)~~Dieser seltene, in Amboina einheimische Nachtfalter, zeichnet sich durch die zwei in der Mitte der Vorderflügel, einer Brille ähnlichen, befindlichen Flecken vor allen andern Arten seines Geschlechts aus.~~Fig. 3. Das goldene C. (Papilio C aureum. Linn.)~~Man trifft diesen Tagfalter auf Jamaica. Er unterscheidet sich durch die, auf der unteren Fläche der hinteren Flügel befindliche, wie Silber glänzende, einem C nahe kommende Figur von andern seiner Art. Der berühmte v. Linné hatte einen ähnlichen Tagfalter aus China erhalten, der sich von diesem nur dadurch unterschied, dass erwähntes C goldglänzend war. Daher denn obige Benennung!~~Fig. 4. Die Orithya. (Papilio Orithya. Linn.)~~Dieser reich geschmückte Tagfalter lebt in Ostindien und China. Sein tiefes Schwarz sticht gegen die Seladongrünen, mit hellrother Farbe umgränzten Augenspiegel, trefflich ab.~~149
Ad00341 07 047a/freInsectes. LXXIl. Vol. VIII. No. 45.
PAPIILLONS ÉTRANGERS.
Fig. 1. La phalène lunaire. (Phalaena Attaci. Linn.)
Le dessous des aîles a la même couleur et les mêmes marques que Iß dessus. Los quatre taches ovales et lunaires des aîles sont transparences comme du verre. La planche ci-jointe en ligure la forme,, la couleur et la grandeur, JLUe est indigène à New-York, à la Caroline, an Maryland et à.laJamaïque. La chenille se nourrit des feuilles du sassafra.
Fig. 2. La Phalène à Lunettes. (Phalaena conspicillator. Linn.)
Cette rare phalène, qui ne se trouve que dans l'île d'Amboine, se distingue de toutes les autres espèces par deux taches, place'es au milieu des ailes de devant., parfaitement sembla-* blés à des lunettes.
Fig. 3. Le C doré. (Papilio C aureum. Linn.)
La Jamaïque est lapatrie de cette phalène^ qni se distingue des autres de son espèce par une sigure en forme de C, luisante comme de l'argent, qni se trouve sur le dessous des aîles de derrière. Le célèbre Linné, .en avait reçu de la Chine une du même genre, différant pourtant de-celle-ci en ce que le C susmentionné était couleur d'or, ce qui lui a fait donner 1» dénomination ci-dessus.
Fig. 4. Le Papillon Orithya. (Papilio Orithya. Linn.)
Ce papillon, dont les couleurs sont 'si brillantes, vit aux Indes orientales et à la Chine.. Le beau noir contraste parfaitement avec les miroirs ronds, d'un Vert-seladon, bo*-" dés de rouge clair..
Ad00341 07 048aMan hat diesen Namen einer 202 Englische Fuss hohen, gerieften und inwendig hohlen Säule von Dorischer Ordnung gegeben, die mitten auf einem kleinen Platze, der sich nach der Fischstrasse, unfern des Hauses der Englisch-Ostindischen Compagnie eröffnet, steht, zum Andenken des schrecklichen Brandes, welcher im Jahr 1666 an diesem Orte entstand, und vom 2ten bis zum 6ten September wüthete. Er zerstörte 13,200 Häuser und that einen Schaden an Waaren, Mobilien u.s.f. von 7,335,000 Pfund Sterling (etwas über 44 Millionen Thaler C. M.). Doch verbrannten nur sechs Menschen dabei.~~Dieses, von dem berühmten Engl. Baumeister Christoph Wren im Jahr 1671 begonnene und 1677 vollendete Monument kostete: 14,500 Pfund Sterling (an 98,250 Thaler C.M.). Es hat 15 Englische Fuss im Durchmesser. Sein Piedestal ist 40 Fuss hoch und mit sich auf diesen Brand beziehenden Sculpturen und Inschriften verzieret. Eine Treppe von schwarzem Marmor von 345 Stufen führt im Innern der Säule auf das Capital, das an seinen vier Seiten mit einem eisernen Geländer umgeben ist, in dessen Mitte sich ein Cylinder, und dann ein Kegel erhebt, den eine Urne von Bronze endigt, aus der Flammen emporsteigen.~~150
Ad00341 07 048a/freMélanges. CXCIII. Vol VIII. No. 46.
LE MONUMENT DE LONDRES.
Tel est le nom qu'on a donné à une Colonne de l'ordre.Dorique, haute de 202 pieds d'Angleterre,.cannelée et creuse en dedans. Elle a été érigée sur une petite place, qui donné dans la rue aux poissons, non loin du palais de la Compagnie des Indes, en mémoire du terrible incendie, qui éclata dans cet endroit en 1666, et qui continua ses dévastations depuis le 2. jusqu'au 6. septembre. Il détruisit 13,200 maisons, «t la perte qu'il causa, tant en marchandises qu'en meubles et- autres effets, est de 7,335,000. Livres sterling, un peu au delà de 44 millions de Rixdalers; mais heurëse-r ment il n'y eut que 6 hommes de brûlés. Ce monument, commencé en 1671 et achevé en 1677 par le célèbre architecte anglais, Christofle JVren, coûta; 14,500 Livres,Sterling, environ 98,250 Rixdalers. Il a 15 pieds de diamètre. Le piédestal a 40 pieçls de haut j et est orne de sculptures et d'inscriptions relatives à cet incendie. - Un escalier en marbre noir de 345 degrés, conduit dans l'intérieur,;de la colonne sur le chapiteau, bordé des 4 cô;tës d'une rarnpe en fer, dans le milieu duquel s'élèvent un ciiindre , puis une quille, ter» minée par une urne de bronze, dont sortent les flammes.
Ad00341 07 049aDie grösste Insel des grossen Oceans, Neu-Holland, wird, ausser von den dort angesiedelten Europäern, noch von zwei verschiedenen Menschen-Rassen, wiewohl nur sparsam, bewohnt. Diese sind die in~~Fig. 1. und 2.~~abgebildeten von der Malaiischen Rasse und die in~~Fig. 3. und 4.~~dargestellten von der negerartigen Papuas-Rasse.~~Beide Rassen unterscheiden sich sehr durch ihre äussere Bildung. Die erstere, oder Malaiische, welche vorzüglich Neu-Holland bewohnt, hat eine olivenfarbne Haut, die sie mit weissen und rothen Figuren bemalen, garstige, hervorstehende Mäuler mit dicken Lippen, und langes dickes Haar. Die letztere oder Papuas-Rasse, welche sich in Van-Diemens-Land findet, gehört mehr zu den Negern; denn sie hat fast ganz schwarze Haut, und kurzes schwarzes krauses Haar, wie Lämmer-Wolle, welches sie häufig mit rother Erde bestreuen.~~Beides sind ganz rohe, und keiner Cultur fähige Wilde, welche auch Menschenfleisch fressen, und sich elend von Fischen, Muscheln und andern rohen Seeproducten nähren.~~Nähere Nachrichten findet man in dem: Ausführlichen Texte zu unserm Bilderbuche.~~150
Ad00341 07 049a/freMélanges. CXCIV. Vol. VIII. No. 47.
HABITANS DE LA NOUVELLE-HOLLANDE.
La Nouvelle-Hollande/ la plus considérable de toutes les îles du grand Océan, est habitée, outre les Européens qui s'y sont sixés, par deux races difsérentes d'hommes, mais en petit nombre. Ces deux races sont la Malaïque et celle des Papuas qui tient des Nègres.
Fig. 1. et 2.
Représentent les Malayes, et
Fig. 3. et 4.
Les Papuas. Ces deux races disfèrent beaucoup entre elles par leur extérieur. Les Malayes, qui habitent principalement la Nouvelle-Hollande, ont la peau olivâtre, qu'ils peignent de blanc et de rouge, la bouche saillante et assreuse, les lèvres grosses, les cheveux épais et longs. Les Papuas, qui se trouvent dans le Van DiemensLand, tiennent plutôt des Nègres; car ils ont la peau presque noire, les cheveux noirs et crépus, comme la laine des agneaux, qu'ils saupoudrent sréquemment de terre rouge. Les uns et les autres sont de véritables sauvages; ce sont des antropophages qui ne sont susceptibles d'aucune civilisation , et qui se nourrissent misérablement de poissons, de moules et d'autres productions crues de la mer. On trouvera des détails sur ce peuple encore sauvage, dans le Texte détaillé du porteseuille d'enfans..
Ad00341 07 050avon der Südseite und der Mündung des Paramatta Flusses.~~Es ist allerdings interessant die erste, auf Europäische Art gebaute Stadt, auf einem neuen Continente zu sehen; und diess ist die Stadt Sidney in Neu-Holland. Sie ist zugleich der Verbannungsort, wohin alle aus England verwiesene Verbrecher transportirt, und als Gefangene zu öffentlichen Arbeiten gebraucht werden, bis sie ihre Strafe abgebüsset haben. Zum Theil bessern sie sich auch von ihren Lastern, und werden gute Einwohner und Bürger.~~Diese Hauptstadt der Grafschaft Cumberland und aller Brittischen Besitzungen in Australien liegt unter 33° 53' 14" s. Breite und unter 169° 5' 10" östl. Länge an der Südseite des prächtigen Havens Port-Jackson. Sie zählt 250 Häuser, die zum Theil sehr schön gebauet sind, hat eine Sternwarte und 2600 Einwohner. Merkwürdig ist dort der Garten des Vicegouverneurs, Herrn Paterson, eines trefflichen Naturforschers und berühmten Reisenden, der die Pflanzen aller Zonen enthält. Diese Stadt ward im Jahre 1788 von Capitän Arthur Phillips begründet.~~Mehreres über dieselbe findet man in dem Ausführlichen Texte des Bilderbuchs.~~150
Ad00341 07 050a/freMélanges. CXCV. Vol. VIII. No. 48.
VUE DE LA VILLE DE SIDNEY, du côté du Sud et de l’Embouchure du fleuve Paramatta.
Il est sans doute très-intéressant de voir la orient, sur le côté méridional du superbe première ville, bâtie à l'Européenne, sur un Port - Jackson. Elle a 250 maisons pour la nouveau continent; telle est la ville de Sidney plupart parfaitement bien bâties, un ôbserdans la Nouvelle -Hollande. Elle sert en même vatoire, et compte 2600 habitans. Le jardin tems de lieu d'exil pour les criminels anglais, de Mr. le vice-gouverneur Pater.son, excelqu'on y transporte, et que l'on applique aux lent naturaliste et célèbre, voyageur, est exouvrages publics, jusqu'à ce qu'ils aient subi trêmernent curieux , pàrcequ'il contient les leurs peines. Souvent ils se corrigent et de- plantes de toutes les~ Zones. Cette ville a été viennent de bons citoyens.- fondée en 1788 par le Capitaine Arthur Phillips. Cette capitale du Comté de Cumberland et de toutes les possessions britanniques en On trouve àes explications plus étendues Australie est située au 330 53' 14" latitude dans le texte détaillé du porte-feuille d'enméridionale , " et au 169« 5' 10" de long. fans.
Ad00341 07 051aFig. 1. Der Mehlbeer-Baum. (Pyrus aria. od. Crataegus aria. Linn.)~~Der Mehlbeer-Baum, wächst in den Wäldern des nördlichen Europa, so wie in mehreren Gegenden Teutschland's wild, und bildet einen schönen Baum, der im Frühlinge viele weisse Blüthen, und im Herbste rothe Beeren trägt, die jedoch nicht essbar, sondern nur als Schweinsfutter, und zum Branntweinbrennen brauchbar sind. Seine Blätter sind auf der unteren Seite, so wie auch seine jungen Triebe und Blüthen-Knospen, weiss und wie mit Mehle bestreut, woher er auch seinen Namen hat. Seines schönen Ansehens wegen, wird er mit in Englische Garten-Anlagen gepflanzt. Sein Holz ist weiss, hart und schwer, und wird daher zu vielen Drechsler- und Schreiner-Arbeiten gebraucht.~~Fig. 2. Der Elsebeer-Baum. (Pyrus torminalis oder Crataegus torminalis. Linn.)~~Der Elsebeer- oder Arlesbeer-Baum ist gleichfalls ein schönblühender Baum, der in den Wäldern Teutschland's häufig wächst. Er hat ein ausgezacktes, dem Ahorn ähnliches Blatt. Seine büschelförmigen Blüthen sind weiss, und im Herbste trägt er auch büschelweise, hellbraune und weiss punktirte Beeren, welche, wenn sie erst teig werden, essbar sind, und einen angenehmen säuerlichen Geschmack haben. Sein Holz ist hart, zäh, und schön weiss und braun geflammt, und wird daher häufig zu feinen Schreiner-Arbeiten gebraucht.~~150
Ad00341 07 051a/frePlantes. CXLIV. Vol. VIII. No. 49.
BOIS D' ALLEMAGNE.
Fig. 1. Le Drouiller. (Pyrus aria. od. Crataegus aria. Linn.)
Ce joli arbre croît de lui-même dans les forêts de l'Europe septentrionale et dans plusieurs contrées de l'Allemagne. Il fleurit au printems; fes fleurs sont blanches, et son fruit, qui est mûr en automne, est une baie d'un 'brun rougeâtre qu'on ne peut pas manger, dont on se sert cependant pour faire de l'eau de vire, et pour nourrir les cochons. Ses feuilles sont en dessous , ainsi que les bourgeons et les boutons de fleurs, blanches et comme saupoudrées de farine. Sa beauté l'a fait admettre dans les parties anglaises. Son bois est blanc, dur et lourd, aussi les tourneurs et les menuisiers en sont-ils un grand usage.
Fig. 2. L'alisier commun. (Pyrus torminalis oder Cartaegus torminalis. Linn.)
L'alisier commun est aussi un arbre, remarquable par la beauté de ses fleurs, qui se plaît dans les sorêts d'Allemagne. Il a. la seuille dentelée comme celle de l'érable. Ses bouquets de fleurs sont blancs, et en automne il porte des grappes de baies d'un brun-clair avec des taches blanches. On . ne peut les manger que quand elles sont devenues pâteuses, et sont d'un aigre-doux très - agréable. Son bois est dur, tenace, et magnisiquement onde de blanc et de .brun, et les ébénistes l'emploient avec plaisir.
Ad00341 07 052aFig. 1. Der Arcesilaus. (Papilio Arcesilaus Linn.)~~Hier ist die Abbildung des Weibchens dieses schönen Tagefalters, der in Surinam einheimisch ist, dargestellt. Wegen seiner Gestalt, Farbe und Grösse sehe man diese Abbildung, wie bei den folgenden beiden Schmetterlings-Arten, so wie den ausführlichen Text zu: unserm Bilderbuche für Kinder.~~Fig. 2. Die Capsche Phaläne. (Phalaena Capensis. Linn.)~~Von diesem, am Vorgebirge der guten Hoffnung einheimischen Nachtfalter, ist hier das Weibchen abgebildet.~~Fig. 3. und 4. Die Ancäa. (Papilio Ancaea. Linn.)~~Dieser, in Surinam einheimische Tagfalter, ist in Fig. 3. von seiner oberen, und in Fig. 4. von seiner unteren Seite abgebildet.~~150
Ad00341 07 052a/freInsectes. LXXIII. Vol. VIII. No. 50.
PAPILLONS ÉTRANGERS.
Fig. 1. Le Papillon Arcesilaus. (Papilio Arcesilaus. Linn.)
Cette planche représente la semelle de ce charmant papillon, indigène à Surinam. Le papillon est figuré ici d'après nature , ainsi que lessuivans, quant à sa forme, grandeur et couleur. Le texte détaillé de notre porteseuille d'ensant donne des explications ultérieures.
Fig. 2. La Phalène du Cap. (Phalaena Capensis. Linn.)
La femelle de ce papillon indigène au Cap de bonne Espérance est sigurée sur la planche ci-jointe. Voyez la description dans le texte de notre Portefeuille.
Fig. 3. et 4. Le Papillon Ancaea. (Papilio Ancaea.)
La figure 3 représente le dessus, et figure 4 le dessous de ce charmant papillon dont Surinam est la patrie. Les couleurs en varient avec beaucoup d'élégance.
Ad00341 07 053aDie Insel Island, im Atlantischen Ocean, in nordwestlicher Richtung vom festen Lande Europa's, ist unstreitig eines der merkwürdigsten, wundervollsten Länder in der ganzen bekannten Welt. Man denke sich ein Land mit einem Flächen-Inhalte von mehr als 2100 geograph. Quadratmeilen, und zwar nahe am nördlichen Polarkreise, das vielleicht bloss durch die Gewalt unterirdischen Feuers sein Daseyn erhalten hat, um zu erstaunen. Wir wollen daher auch diese höchst merkwürdige vulkanische Insel und ihre Eigenheiten zum Gegenstande eines ganzen Hefts unsers Bilderbuchs machen; und um dieselbe gehörig übersehen, und ihre Beschreibung verstehen zu können, die Charte davon hier vorlegen.~~Wie viele Jahrhunderte vor der Kunde unserer Geschichte diese Insel durch Gewalt des unterirdischen Feuers aus dem Abgrunde des Meeres emporgestiegen, ist nicht zu bestimmen. Die ersten Entdecker dieser Wunder-Insel. (im IX. Jahrh. n. C. Geb.), von denen uns die Geschichte Kunde giebt, erzählen schon von den ungeheueren Lavastrecken, von ihren Vulkanen, heissen Springquellen und Schwefelbergen; und seitdem sind in keinem Lande der bekannten Welt vulkanische Ausbrüche so zahlreich, und über eine so grosse Oberfläche verbreitet gewesen, als in Island. Denn rechnen wir die vulkanischen Ausbrücke in der See hinzu, so bekommen wir eine Fläche von nicht weniger als 2860 geogr. Quadratmeilen, wo sich das unterirdische Feuer thätig gezeigt hat, und noch fortwährend seine zerstörenden Wirkungen äussert. -~~Das Innere Island's, eine Strecke von vielleicht 1850 geograph. Quadratmeilen, ist eine scheussliche, wilde Wüste, ohne eine einzige menschliche Wohnung, und den Eingebornen selbst beinahe völlig unbekannt. Die Bevölkerung (i. J. 1808 war sie 48,063 Seelen,) beschränkt sich auf die Küsten, und, auf die Thäler der Flüsse. Die merkwürdigsten Vulkane sind: der Hekla, Kattlagiau, Eyafialla., Eyresa, Skaptaa, Krabla, Glaama. Die merkwürdigsten heissen Springquellen sind: die Geyser, die Uxahver (Ochsenquelle), die vielen Quellen (mehr als 100) in dem Thale von Reikum, und im Reikiadal. Im Guldbringé-Syssel, einer vollkommenen Wüste von Lava, Schlacken und Sand, sind die Schwefelberge.~~151
Ad00341 07 053a/freMélanges. CXCVI. Vol. VIII. No. 51.
CARTE DE L’ILE D’ISLANDE.
Llie d'Islande,- située dans l'océan Atlantique, au Nord-Ouest du continent de l'Europe, est sans contredit un des pays les plus remarquables du monde connu, et où la nature ossre les plus grands prodiges.. »Qu'on se figure un pays d'une surface de plus de 2 roo lieues carrées géographiques, et tout près du pole arctique, qui ne doit peut-être son existence qu'à la violence-d'un feu volcanique, et l'on sera saisi d'étonnement ! Aussi cette île volcanique et ses propriétés vont-elles faire le sujet d'un Cahier entier de notre porte - seuille :d'enfans; et pour qu'on puisse en avoir un aperçu exact et en comprendre la description, nous en donnons la carte ci-jointe.
Il est impossible de déterminer combien de siècles avant l'ère de notre histoire, un feu volcanique a fait sortir de l'abîme de la mer cette Ile merveilleuse. Les premiers qui l'ont découverte, (au IX. siècle après Jesus Christ,) dont l'histoire : fait mention , parlent de masses énormes de Lave! des volcans de cette Ile, de ses sources d'eau chaude, et de ses montagnes de soufré, et depuis il n'y a eu dans aucun pays du monde connu d'éruptions volcaniques, aussi nombreuses, et qui se soient répandues sur une » aussi grande surface, qu'en Islande. Si nous -y. ajoutons encore les éruptions volcaniques qui ont lieu dans là mer, nous aurons pour le moins .une sursace de 2860 lieues carrées géographiques, où le feu souterrain a agi,: et où il continua de manifester sa puissance destructrice. r
Ad00341 07 054aDie allgemeine Art sich zu kleiden, ist in Island seit lange die nämliche geblieben. Die weibliche Kleidung ist mehr reich, als dazu geeignet, die Person vortheilhaft zu zeigen. Die männliche Kleidung ist für das Klima, die Lebensart und die Beschäftigungen in diesem Lande sehr zweckmässig.~~Fig. 1. stellt eine Frau von Stande in vollem Anzuge vor.- Die gewöhnlichsten Farben der verschiedenen Kleidungsstücke sind blau oder schwarz. Nur das Leibchen ist von scharlachenem Wollenzeuche.~~Fig. 2. Der gewöhnliche Anzug der Frauenzimmer jeder Classe.~~Fig. 3. Eine Frau von Stande in Reitkleidern.~~Fig. 4. Ein Isländer in seinem besten Anzuge. Die Schuhe sind von Seehundsfell. Die Jacken der Männer sind häufig von schwarzem Tuche (Wadmal genannt).~~Fig. 5. Der Pilot von Reikiavik in einem Schaafspelze.~~Ansicht der Stadt Reikiavik.~~Beim Anblicke dieser zwei Reihen niedriger, meist aus Holz erbauten Häuser, und der elenden, in der Nähe zerstreuten Kothen sollte wohl nicht leicht Jemand auf den Gedanken gerathen, dass er die Hauptstadt Island's vor sich sehe. Und dennoch ist sie es. - Hier wohnen der Statthalter, mehrere obrigkeitliche Personen, Kaufleute, einige angesehene, gebildete Familien, und überhaupt gegen 500 frohe, mit ihrem Schicksale, ihrer geringen Habe, bei ihren eingeschränkten Bedürfnissen, zufriedene Menschen. - Von einigen, südöstlich von der Stadt liegenden, Felsen gewährt Reikiavik die vortheilhafteste Ansicht, indem man zugleich die Aussicht des Meers, mit seinen Inseln, und der, in den Snäfell-Jokul endigenden, Bergkette im Snäfell-Syssel hat; links sieht man noch einen kleinen See.- Die nackten Berge, der schwarze Lava-Boden, das verkümmerte Gras machen die Landschaft, der es noch dazu gänzlich an Bäumen fehlt, (das höchste Birkenholz und Weidengebüsch, was auf der Insel gefunden wird, ist kaum über sechs Fuss,) traurig und öde. - Von diesem Standpuncte aus ist die Ansicht zu dem nebenstehenden Kupfer genommen.~~151
Ad00341 07 054a/freMélanges. CXCVII. Vol. VIII. No. 52.
COSTUMES ISLANDAIS.
Le costume général de l'île d'Islande n'a pas changé depuis très -longtems. L'habillement des femmes est plus riche qu'avantageux pour elles. L'habit ' des hommes est au contraire adapté au climat du pays, au genre de vie qu'on y mène, et aux occupations.
Fig. 1. Représente une semme de qualité dans toute sa parure. Les couleurs les plus ordinaires des divers objets d'habillement sont le bleu ou le noir, il n'y a que le- corset qui soit d'étosse de laine couleur d'écarlate.
Fig. 2. Le vêtement ordinaire des semmes de toutes les classes.
Fig. 3. Une semme de qualité en habit de cheval.
Fig. 4. Un Islandais en habit de sête. Les souliers sont de peau de chien marin. Les vestes longues des hommes sont'souvent de drap noir (nommé Wadmal.)
Fig. 5. Un pilote de Reikiavik avec une pelisse de peau de mouton.
Vue de la Ville de Reikiavik.
A l'aspect de ces deux ligues de maisons basses-,, pour la plupart bâties en bois, et des pauvres huttes qui sont tout près, personne rie s'imaginerait avoir devant soi la capitale de l'Island; et pourtant c'est elle. C'est là que demeurent le gouverneur, plusieurs magistrats, des marchands, dos samilles dé condition et en général près de 500 personnes, très-gaies, et très contentes de leur sort et de leur peu de sortune , parce - qu'elles ont peu dé besoins. C'est du haut de quelques rochers, qui sont au Sud-Ouest de cette ville que Reikiavik procure la plus agréable perspective, parcequ'on jouit en même tems de la vue de là mer avec ses Iles, et de la chaîne de montagnes de SnäsellJokul qui se perd dans le Snäsell-Syssel. A gauche on distingue,encore un Lac. Les montagnes stériles et nues, le terrain noir de. Lave, l'herbe desséchée, rendent sauvage et triste ce 'paysage, qui d'ailleurs est privé d'arbres. Le bouleau et le saule, qui se trouvent dans l'île , ont tout au plus 6 pieds de haut. C'est de ce point q-u'est prise la vue que ligure là planche ci-jointe.
Ad00341 07 055aSähen wir auch die überall aufsteigenden Dampfwolken, und den Kessel kochenden Schlammes im Vordergrunde nicht, so könnte schon die sonderbare Bildung und die ungewöhnliche Farbe dieser Gebirge unwillkührlich den Gedanken in uns erregen, dass diese Berge von ganz eigenthümlicher Art seyn müssten. Diese Berge sind fast allenthalben mit Schwefel und Thon, vorzüglich von weisser und gelblicher, hin und wieder aber auch von rother und blauer Farbe, bedeckt. An manchen Stellen liegt lockerer, körniger, krystallisirter Schwefel zerstreut. Wo man nur den Schwefel wegräumt, bricht augenblicklich äusserst schädlicher Brodem hervor, und an manchen Stellen ist der Schwefel ungemein heiss. Der beständig kochende Schlamm in dem Kessel, den man im Vordergrunde sieht, wird oft 6 bis 8 Fuss hoch emporgeworfen. Auf dem Gipfel des Berges ist ebenfalls ein Kessel kochenden Schlammes. Eine Quelle kalten Wassers an der Seite des Berges ist gewiss eine der überraschendsten Erscheinungen in dieser Umgebung.~~Spitze des Hekla auf Island.~~Der Berg Hekla hat von jeher unter den Vulkanen mit Recht einen hohen Grad von Auszeichnung erhalten. Vom Jahre 1004 bis 1766 haben 22 Ausbrüche desselben Statt gefunden. Im Jahre 1810 fanden sich auf diesem Berge warme, ja sogar heisse Schlacken. Er hat drei unterschiedene Gipfel. Der ganze Gipfel des Berges ist ein Streifen Schlacken, und die Höhlungen an jeder Seite sind wohl eben so viele verschiedene Oeffnungen von den Ausbrüchen, die sich von Zeit zu Zeit ereignet haben. Vom oberen Theile des Berges hat sich keine Lava ergossen. - Wasserdämpfe steigen an verschiedenen Stellen der Bergspitze heraus. An beiden Seiten sind Abgründe, mehrere Hundert Fuss tief.- Der Krater, wovon die höchste Bergspitze einen Theil ausmacht, ist am Boden mit grossen Schneemassen angefüllt, in denen sich verschiedene Höhlen gebildet haben. In diesen ist der Schnee fest und durchsichtig geworden, und wirft einen bläulichten Schein zurück.~~Von der, 4300 Fuss hohen Spitze des Hekla übersieht man mehr, als zwei Drittel der ganzen Insel.~~151
Ad00341 07 055a/freMélanges. CXCVIII. Vol. VIII. No. 53.
VUE DES MONTAGNES SULFUREUSES D'ISLANDE.
Quand même noixs n'apercevrions pas sur le devant les tourbillons de fumée qui s'élèvent de toutes parts, ainsi que la chaudière du limon bouillant; la forme bizarre et~ia couleur inaccoutumée de ces montagnes sussiraient pour nous faire -.penser- que ces montagnes doivent être d'une espèce particulier». Elles sont partout couvertes de soufre et d'une argile Manche ou jaunâtre et quelquefois rouge ou bleue. En quelques endroits se trouve répandu un soufre spongieux, gréné et cristallisé. Dès qu'on remue un tant soit peu le soufre, il s'élève sur le champ Une vapeur extrêmement nuisible, et en certains endroits le soufre est brûlant. Le limon qui bout continuellement dans la chaudière que l'on remarque sur le devant, s'élève souvent à 6 ou' 8 pieds de haut. Il se trouve aussi sur le sommet de la montagne un foyer de limon bouillant. Une source d'eau sroide du même côté de la montagne est un dés phénomènes les plus éto^nans de ces environs.
Sommité du mont Hecla en Islande.
De tous les volcans,.- le mont Hecla a toujours passé avec raison pour le plus remarquable. Depuis l'an ioo.
Ad00341 07 056aAn der Gränze der ungeheuren Wüste, welche das Innere Island's ausmacht, an der Ostseite eines etwa 300 Fuss hohen Hügels finden sich eine Menge heisser Springquellen. Die merkwürdigsten sind die sogenannten Geyser; der grosse, (den wir schon im LXXVI. Hefte unsers Bilderbuchs dargestellt haben,) der brüllende, der kleine, der neue Geyser. Der neue Geyser unterscheidet sich von den übrigen besonders dadurch, dass er springt, ohne dass ein unterirdisches Knallen den Ausbruch desselben ankündigt. Gewöhnlich wirft er zuerst in 3 oder 4 kurzen, und dann einigen langen Strahlen das Wasser aus der Röhre empor, wo es etwa 20 Fuss unter der Mündung in beständigem heftigen Kochen ist. Sobald die Haupt-Wassermasse herausgeworfen ist, bricht mit erstaunlicher Gewalt und einem lautdonnernden Getöse der Brodem hervor, und wirft das Wasser oft bis zu einer Höhe von 60 bis 132 Fuss. Das prachtvolle Spiel dauert oft länger als eine halbe Stunde. Vom Dampfe fällt ein leichter Regenschauer nieder, der einen äusserst schönen Effect macht. Wenn man Steine in die Röhre wirft, während der Brodem herausbricht, so werden sie sofort wieder herausgeworfen, gewöhnlich in Stücke zerbrochen, und bis zu einer erstaunlichen Höhe geschleudert.~~Theorie des neuen Geysers.~~Diese wunderbare Erscheinung ist sehr schwer, und nur durch die Annahme einer plötzlich entstehenden Hitze zu erklären.~~Eingeschlossener Brodem in einer unterirdischen Höhle (c), hält die niedrige Wassersäule in der Röhre schwebend. Die Hitze unter der Höhlung (c) vermehrt sich plötzlich. Ein Theil des dadurch ausserordentlich vermehrten Dampfes steigt durch das Wasser (und zwar, weil der Widerstand nicht gross ist, ohne Explosion) und führt etwas davon mit sich. Durch wiederhohlte Dampfentwickelungen wird immer mehr Wasser herausgeworfen; zuletzt erfolgt keine Unterbrechung mehr, der Brodem steigt rauschend und heftig heraus, bis die Hitze nachlässt, der Ausbruch dadurch schwächer, endlich erschöpft wird, und die Erscheinung aufhört.~~151
Ad00341 07 056a/freMélanges. CXCIX. Vol. VIII. No. 54.
LE NOUVEAU GEYSER.
Sur les frontières .de Timmense désert , qui .forme.l'intérieur de l'Islande, à Uouest d'un coteau de 30apieds de hauteur se trouvent des sources innombrables d'eau chaude. Les plus remarquables fontaines sont les soi-disants Geyser?.« Le' plus grand, (que nous avons figuré dans. le LXXVf cahier de notre porteseuille d'ënfans), le .mugissant, le petit et le nouveau Geyser. ; Le dernier se distingue des antres, en ee qu'il lance l'eau, sans qu'aucun bruit souterrain en annonce l'éruption. Ordinairement il commence par élever en 3 ou 4 jets de peu de durée et puis en de plus longs, l'eau hors du tuyau, où elle bout continuellement à 20 pieds à,peu près de l'orifice. Aussitôt que la principale masse d'eau est jetée, la vapeur s1 élance avec une force prodigieuse et un bruit de tonnerre, et porte l'eau de 60 à 132 pieds de haut. Ce magnifique spectacle dure plus d'une demi-heure. Il tombe de ces vapeurs une pluie fine, qui fait un très-bel esfet. Si lors de l'éruption de la vapeur on jette des pierres dans le tuyau, la vapeur les rejette sur le champ, en général brisées en plusieurs morceaux, et les lance à une hauteur surprenante.
Théorie du nouveau Geyser.
Cette étonnante-apparition est très-difficile à expliquer, et ne peut l'être qu'en admettant l'esset d'une chaleur soudaine. Des vapeurs, renfermées dans un souterrain (c), soutiennent dans le tuyau la colonne, d'eau suspendue, la chaleur du souterrain (c) augmente soudainement. Une partie de la vapeur, qui par là se trouve considérablement accrue, s'élève au travers de l'eau (et à la vérité sans explosion parceque la résistance n'est pas forte), et en emporte avec elle. Plus les éruptions de la vapeur se multiplient, moins il reste d'eau, et à la fin elles deviennent continues; la vapeur s'élance avec violence et en fumant, jusqu'à ce que la chaleur venant à diminuer, les éruptions s'assaiblissent, s'épuisent enfin et le prodige cesse.
Ad00341 07 057aDer Bogen bei Stappen.~~Etwa anderthalb (Englische) Meilen westlich von Stappen (an der Südküste des Snäfell-Syssel) ist dieser seltsam durchbohrte Felsen, welcher einen abgesonderten Bogen von beträchtlicher Grösse bildet, durch welchen die Aussicht in hohem Grade pittoresk wird; - im Vordergründe isolirte felsige Säulenmassen und in der Entfernung die schöne Bergkette, welche sich längs der Halbinsel nach Osten hin erstreckt. Im Ganzen mag man vielleicht nirgends *) eine seltsamere Reihe vulkanischer Felsen finden, als an der Küste in der Nachbarschaft von Stappen. Sie bietet auf einer Strecke von etwa 2 (Englischen) Meilen, sowohl in den Klippen, welche das Ufer bilden (diese hängen über die See, und über ihnen zerstieben zahlreiche Ströme), als in den zahlreichen isolirten Felsen, welche sich in verschiedenen Entfernungen vom Lande zeigen, auffallende und schöne Säulen-Erscheinungen. Die Reihen Säulen, insgemein an die 50 Fuss hoch, und von völlig regulärer Gestalt, sind durch die Gewalt der See verschiedentlich durchbrochen. An verschiedenen Stellen haben sich grosse, wunderbare Höhlen gebildet.~~Die Höhle bei Stappen~~ist hier abgebildet, wie sie von der See aus erscheint, so wie die daneben stehenden säulenförmigen Klippen. Ein grosses Thor mit vulkanischen Säulen eröffnet sie, und man kann nur zu Wasser in das Innere derselben kommen. Das Licht fällt durch Spalten in der oberen Decke und macht eine sehr sonderbare frappante Wirkung. -~~Im Durchschnitt haben diese Säulen eine verticale Richtung; aber an verschiedenen Stellen sind sie auch gekrümmt, oder gruppenweise eine über die andere gereiht. Anderwärts gehen sie vom nämlichen Mittelpuncte, wie Strahlen aus; kurz, sie nehmen jede Gestalt an, welche die Einbildungskraft solchen Felsen nur geben kann.~~*) Die Insel Staffa etwa ausgenommen: s. Bilderbuch B. III. No. 73.~~151
Ad00341 07 057a/freMélanges. CC. Vol. VIII. No. 55.
ARC ET CAVERNE VOLCANIQUE DE STAPPEN.
Arc de Stappen.
A une lieue et demie environ d'Angleterre, et à l'Ouest de Stappen, sur la côte méridionale de Snaefell- Syssel, se trouve ce rocher bizarrement percé, qui formant un arc isolé, d'une grandeur considérable, rend la perspective extrêmement pittoresque. — Sur le devant on remarque des masses de colonnes isolées et dans " l'éloignement la jolie chaîne de montagnes, qui se prolonge le long de la presqu'île vers l'Est. Il serait difficile de trouver une ligne plus bizarre de rochers volcaniques ailleurs que sur la côte voisine de Stappen; si l'on en excepte l'Ile de Stass a. (v. Porte-feuille d'enfans , Tome III. N° 73). Elle offre dans une étendue de 2 lieues tant dans les écueils qui bordent le rivage, (ceux-ci sont suspendus sur la mer , et sur eux se dissipent des torrens), que dans les nombreux rocs isolés, qui paraissent dans diverses distances, les colonnades les plus variées et les plus belles. Les séries de colonnes, de 50 pieds de haut en général, et d'une forme parfaitement régulières, sont diversement percées par la violence de la mer. En divers endroits se sont aussi formées de très-grandes et étonnantes cavernes.
Caverne de Stappen.
Elle est ici figurée telle qu'elle se présente du côté de la mer 5 ainsi que les écueils attenans, qui s'élèvent en forme de colonnes. Un grand portail, orne de colonnes, volcaniques en ouvre l'entrée, et l'on ne peut pénétrer dans l'intérieur que par eau. La lumière qui se glisse par les fentes dans le cha»; peron produit un esfet surprenant.
Ces colonnes ont en général une direction verticale, cependant ça et là elles sontcourbées, ou rangées en groupes l'une sur l'autre. Ailleurs elles partent du môme centre comme des rayons; en un mot ellespren-, nent toutes les figures que pourrait leur prêter l'imagination la plus vive.
Ad00341 07 058aZwei Loniceren-Arten.~~Die Lonicere gehört zu den angenehmen, schönblühenden Sträuchen, und wird daher häufig, als Zierpflanze, zur Pflanzung in Englische Gärten gebraucht. Sie theilt sich vorzüglich in 2 Hauptgattungen ab: nämlich~~1) in das Geissblatt, oder Je länger je lieber, wo sie eine Schlingpflanze ist, welche an Bäumen und Stangen in die Höhe läuft, und~~2) in die Hecken-Kirsche, wo sie nur als ein mittelmässiger Strauch erscheint.~~Von beiden Gattungen liefern wir hier Abbildungen.~~Fig. 1. Das gemeine Geissblatt. (Lonicera Periclymenum. Linn.)~~Das gemeine Geissblatt, oder die Teutsche Lonicere, welche auch Je länger je lieber, und die Specklilie heisst, ist eine Schlingpflanze, welche an Bäumen und andern Sträuchen bis zu 15 Fuss in die Höhe läuft, und wegen ihrer angenehmen und wohlriechenden Blüten an Häuser und Lauben gepflanzt wird, grosse Blumenbüschel, und im Herbste rothe Beeren trägt, welche nicht essbar sind.~~Fig. 2. Die gemeine Lonicere. (Lonicera Xylosteum. Linn.)~~Die gemeine Hecken-Kirsche ist ein 5 bis 6 Fuss hoher Strauch, der weiss blüht, rothe Beeren trägt, und in unsern Wäldern wild wächst. Es giebt auch ausländische, sehr schönblühende Sorten davon. Sein Holz ist weiss, sehr hart, und wird zu mancherlei Arbeiten gebraucht.~~152
Ad00341 07 058a/frePlantes. CXLV. Vol. VIII. No. 56.
BOIS D'ALLEMAGNE.
Deux espèces de Lonicère.
Le Lonicère est un des arbustes , dont les fleurs sont extrêmement agréables à la vue> aussi s'en sert-on dans les parties des jardins à l'anglaise. Il se divise en deux espèces principales; savoir, aussi s'en sert-on dans les parties des jardins à l'anglaise. Il se divise en deux espèces principales; savoir,
1) le Chèvre - Feuille, qui est une plante rampante, qui grimpe en s'attachant à des arbres ou à des perches. .
2) le Chamaecerasus, qui est un arbuste de moyenne grandeur. Ces deux espèces sont figurées sur la planche ci-jointe,
Fig. 1. Chèvre-feuille d'Allemagne. (Lonicera Periclymenum. Linn.)
Le Chèvre - Feuille est une plante qui çn s'attachent à d'autres arbres ou à des arbrisseaux parvient à la hauteur de 15 pieds. La bonne odeur et la beauté de ses fleurs sont cause qu'on le plante avec plaisir autour des- maisons et des , berceaux. Il a de gros bouquets de fleurs, et en automne il porte une baie rouge non mangeable.
Fig. 2. Le Chamaecerasus des haies. (Lonicera Xylosteum. Linn.)
C'est un arbuste de 5 à 6 pieds de haut, dont les fleurs sont blanches, et le sruit une baie rouge. Il croît sans culture dans nos forêts. Il y en ä aussi des espèces exotiques, dont les fleurs sont magnifiques., Son bois est blanc, très-dur et s'emploie avec succès dans beaucoup d'ouvrages.
Ad00341 07 059aFig. 1 und 2. Die Agrippina. (Phalaena Agrippina. Linn.)~~Fig. 1. stellt diesen prachtvollen Nachtfalter von oben, und Fig. 2. von unten in natürlicher Grösse dar. Er entspringt aus einer grossen, dicken, ganz haarlosen Raupe von schwarzer Farbe mit grünen Querbändern, die auf ihrem Hintertheile ein rückwärts gekrümmtes Hörn trägt. Man findet sie auf den Bäumen, die das Gummi Guttae (eine giftige Malerfarbe) liefern, um Surinam. Er misst von einer Flügelspitze bis zur andern gegen 9, zuweilen 10 Pariser Zolle. Die Länge seines Leibes von den Fresszangen an beträgt nahe 2 Zoll dergleichen. In Hinsicht seiner Zeichnung und Farben sehe man die Abbildung.~~152
Ad00341 07 059a/freInsectes. LXXIV. Vol. VIII. No. 57.
PAPILLONS ÉTRANGERS.
Fig. 1 et 2. L'Agrippine. (Phalaena Agrippina. Linn.)
No. 1. figure le dessus de- cette brillante phalène dans s a, grandeur /naturelle, et No. 2.(le dessous. Elle provient d'une chenille grande, grosse, ; et sans poil, noire, ornée de bandes, transversales vertes. Cette chenille porte, sur son dos une corne courbée en arrière. On la trouve autour'de'«Surira«« sur les a'rbtes, dont découle la Gummi Guttae, (une couleur vénéneuse dont les peintres font usage). D'une extrémité dé l'aîle à l'autre, la phalène a d'étendue 9 à 16 pouces de Paris, et son ' corps a près de 2 pouces de long. La planche cijointe en figure parfaitement les couleurs et la diversité des dessins.
Ad00341 07 060aDer Sanga- oder Galla-Ochse. (Bos Sanga Saltii.)~~Diese sehr edel geformte, weder durch Farbe, noch durch Grösse, sich übrigens von dem Europäischen Ochsen auszeichnende Art, unterscheidet sich jedoch von demselben durch seinen, in Gestalt einer Lyra der Alten sich senkrecht über ihre Wurzel gegen 4 Englische Fuss erhebende Hörner, die an ihrer Wurzel 21 Englische Zoll im Umkreise haben, und einen bedeutenden Handelsartikel nach Abyssinien bilden. Der Sanga ist im Lande der Galla, südlich von Abyssinien in Afrika einheimisch.~~152
Ad00341 07 060a/freQuadrupèdes LXXXIII. Vol. VIII. No. 58.
ANIMAUX ÉTRANGERS MAMIFÈRES.
Le Sanga. (Bas Sanga Saltii.)
' s'çlèvent perpendiculairement, en forme, d'une i ,; i,sh lyre des anciens, à . la, hauteur de 4 pieds d'Angleterre au-dessus de leurs racines, qui V^ette espèce de boeuf, noblement conforme, ont 21 pouces de diamètre, et dont on fait semblable, d'ailleurs par la couleur et par la un grand commerce en Abyssinie. Le Sanga grandeur.à celui de l'Europe, en disfère ce- est indigène au pays de Galla en Afrique au pendant par la forme de ses cornes. Elles Sud de Pabyssinie.'
Ad00341 07 061aDieser Baum wächst in beiden Indien und auf vielen Inseln innerhalb der Wendekreise wild, und wird zu mancherlei nützlichen Dingen gebraucht. Der gerade, einfache Stamm, der nach 5 oder 6 Monaten schon Mannshöhe, und nach 5 Jahren sein volles Wachsthum, - 15 bis 16 Fuss - erreicht, ist mit einer mehr oder weniger schuppigen Rinde bedeckt, und trägt an seinem Gipfel grosse lappige, ausgezackte Blätter, welche auf glatten, hohlen Stielen stehen. In der Nähe der Blätter sprossen, unmittelbar aus dem Stamme selbst, die Blüthen, die weisslich sind, und angenehm, aber schwach riechen. Die Früchte, bisweilen 18 Zoll lang, und 6 Zoll dick, haben die Gestalt einer Melone und werden zum Theil mit Zucker auch auf dieselbe Art benutzt; doch sollen sie nach dem Kochen zuträglicher seyn, als wenn sie roh genossen werden. Sie haben anfänglich eine graue, und zur Zeit ihrer Reife eine gelbe Farbe. Vor der Reife enthalten sie einen starken Milchsaft und werden in dieser Periode an manchen Orten eingemacht, und wie Gurken behandelt. Im Inneren der Frucht finden sich eine Menge schwarzer Saamenkerne. So wie der Baum sein volles Wachsthum erreicht hat, stirbt er ab. Der Stamm dient den Inwohnern zu Dachrinnen, und das Bast des vertrockneten Baums zu Seilen und verschiedenen Geweben. - In unsern Treibhäusern wird der Stamm dieses Baums bei weitem nicht so stark, als in seinem Vaterlande.~~152
Ad00341 07 061a/frePlantes. CXLVI. Vol. VIII. No. 59.
LE PAPAYER. (Carica Papaya. Linn.)
Cet arbre, qui croît sans culture dans les deux Indes et dans les îles des tropiques, est propre à plusieurs usages. Le tronc, qui dans l'espace de 5 à 6 mois parvient à la hauteur d'un homme, et qui dans 5 ans atteint sa parsaite croissance,- (15 à 16 pieds environ,) est couvert d'une écorcé plus ou moins écaillée, et porte à son sommet de grandes feuilles cannelées, qui tiennent à un pédicule creux et uni. Proche des feuilles sortent, immédiatement du tronc, les fleurs blanchâtres, dont l'odeur est très - agréable mais peu forte. Les sruits d'environ i$ pouces de long et 6 pouces d'épaisseur, ont la forme du melon, et se mangent comme lui avec du sucres cependant ils sont beaucoup plus sains cuits que crûs. Ils sont d'abord gris, mais mûrs ils sont jaunes. Avant la maturité ils contiennent un suc laiteux, aussi les confit-on dans plusieurs endroits avant qu'ils ne soient mûrs. Il y a dans l'intérieur du fruit une quantité de pépins noirs. A peine l'arbre a-t-il atteint sa pleine croissance qu'il périt. Les habitans font des cornières du tronc et des cordes ou d'autres tissus de l'écorce desséchée. Dans nos serres, le tronc de cet arbre n'acquiert jamais la même grosseur que dans sa patrie. —
Ad00341 07 062aFig. 1. und 2. Der gekörnte Meerstern. (Asterias granularis.)~~Die erste Figur stellt dieses Thier von der oberen, und die zweite von der unteren Seite dar. Es hält sich in den Gewässern der Nordsee, des Kattegat's. und des Baltischen Meeres, so wie die hier folgenden seines Geschlechts, auf.~~Die Farbe des Rückens ist dunkel Zinnoberroth mit einer gleichfarbigen, helleren Einsassung und einem schmalen bräunlichen Rande. Die Maulmündung zeigt sich durch fünf weisse Punkte. Die untere Seite ist graulicht grün und von ihrer Mitte laufen bis zu den Spitzen derselben fünf schmale dunkelbraune, durch weisse, kleine Augen erhellete Streifen. Man findet diesen Meerstern in den nördlichen Meeren nur selten.~~Fig. 3. Der orangefarbige Meerstern. (Asterias aurantiaca.)~~Die obere Fläche des Leibes und der Strahlen ist mit pyramidalen, dicht und aufrecht stehenden, oberhalb abgestumpften Spitzen bedeckt. Die untere ist sehr stachlicht. Der einfache, in der Mitte stehende, Mund ist mit fünf Kämmen bedeckt und sein Rand mit höchst stachlichen Schildchen besetzt. Die Grundsarbe ist orange mit vielen kleinen, weissen, regelmässigen Flecken überstreuet.~~Fig. 4. Der schwarze Meerstern. (Asterias nigra.)~~Ihn zeichnen sein fast runder Leib, seine schwarze oder dunkelbraune Farbe und seine biegsamen fünf Arme, deren Seiten mit fünf bis sechs gezähnten Kämmen besetzt sind, so wie das, an der untern Seite des Leibes befindliche, mit fünf stumpfen, sehr kurzen Stacheln besetzte Maul, von andern Arten seines Geschlechts aus.~~Fig. 5. Der stachliche Meerstern. (Asterias aculeata.)~~Seine zwischen Purpur und Gelb, und Rothbraun und Gelb wechselnde Farbe, sein an der unteren Fläche des Leibes liegendes sternförmiges, fünfeckigtes Maul und seine fünf biegsamen, vierseitigen, gegliederten, nicht röhrigen Arme, die mit fünf gezähnten Kämmen versehen sind, unterscheiden ihn von andern Arten seines Geschlechts.~~152
Ad00341 07 062a/freVers. XXI. Vol. VIII. No. 60.
DIVERSES ESPÈCES D'ASTÉRIES.
Fig. 1. et 2. L’Astérie granuliforme. (Asterias granularis.)
La première figure représente le dessus, et la seconde le ? dessous ds cette astérie, de même qdé Tes "suivantes. ' Elle se trouve dans les eaux de la mer du. Nord,' du Categat et de la mer Baltique. La couleur du dos est d'un rouge de cinabre foncé, avec une bordure de pareille couleur-, mais psns claire, terminée par un liséré brun. Cinq petits points blancs montféïit où est l'ouverture delà bouche. Le dessous est S'xxn. vert grisâtre, et du milieu jusqu'aux extrémités se prolongent 5 bandes étroites d'un brun-clair, ornées de petits points blancs.. Cette Astérie est rare dans les mers septentrionales.
Fig. 3. L'Astérie couleur d'orange. (Asterias aurantiaca.)
Le dessus du corps et des rayons est couvert de pointes pyramidales, serrées et perpendiculaires, émoussées par le haut. Le dessousest couvert de pointes aiguës. _ La bouche, qui se trouve au milieu, est recouverte de cinq peignes, et l'ouverture est garnie'd'écaillés très - pointues. . Le 7fond de la couleur est orange, parsemé de beaucoup de taches blanches régulières,
Fig. 4. L'Astérie noire. (Asterias nigra.)
Elle se distingue des autres espèces par la rondeur de son corps, par sa couleur noire ou brune et ces 5 bras pliants, dont les parties latérales sont recouvertes de.peignes à g à; 6 dents. Elle en.dissère aussi pa;r la bouche., placée au dessous,.du corps,, garnie de. cinq; dards très-courts et émoussés..
Fig. 5. L'Astérie à dards. (Asterias aculeata.)
La couleur joue le pourpre et le jaune, le bruii'rougeâtre et le jaune. Sa bouche, pentagone, sormée en étoile, est placée sous le corps. Ses cinq bras slexibles, quadrangulaires, membres, non cylindriques, sont recouverts de peignes à 5 dents. Toutes ces propriétés la distinguent des autres espèces de cette samille.
Ad00341 07 063aFig. 1. Der Diomedes. (Papilio Diomedes. Linn.)~~Dieser ungemein prächtige Tagfalter, welcher hier, so wie die übrigen in natürlicher Grösse abgebildet worden, ist in Ostindien einheimisch. Aus der schwarzen Grundfarbe hebt sich die lazurblaue, über die Ober- und Unterflügel regelmässig verbreitete Zeichnung, schön hervor. Die Unterflügel endigen sich, wie bei dem Schwalbenschwanz, und andern Tagfaltern, in eine verlängerte Spitze.~~Fig. 2 und 3. Der Cassia-Schmetterling. (Papilio Cassiae Linn.)~~Fig. 2. stellt diesen, in Surate einheimischen Tagfalter von der vorderen, und Fig. 3. von der hinteren Seite dar. Die Grundfarbe der oberen Seite ist zimmtbraun, mit einem orangefarbigen Querband; die Unterslügel sind verschiedenfarbig marmorirt, und durch 4 Augenspiegel geziert. Er hat seinen Namen daher, weil seine Raupe ihre Nahrung aus den dort wachsenden Cassia Bäumen sucht.~~Fig. 4. Die Leucippe. (Papilio Leucippe. Linn.)~~Dieser Tagfalter, dessen Ober- und Unterflügel schön roth und gelb glänzen, ist auf Amboina einheimisch und selbst dort sehr selten.~~153
Ad00341 07 063a/freInsectes. LXXV. Vol. VIII. No. 61.
BEAUX PAPILLONS ÉTRANGERS.
Fig. 1. Le Diomède. (Papilio Diomedes. Linn.)
Ce magnifique Papillon, qui, comme les suivans, est représenté dans sa grandeur naturelle, est indigène aux Indes-orientales. Le bleu d'azur , qui sorme un dessin régulier sur les aîles supérieures et insérieures, fait un charmant contraste avec le noir, qui est le fonds de sa couleur. Les aîles. de dessous se terminent, comme la queue des hirondelles, en une pointe allongée.
Fig. 2 et 3. Le Cassia. (Papilio Cassiae. Linn.)
Fig. 2. représente le devant de ce papillon, indigène à Surate, et N° 3. en figure le derrière. Le fonds de la couleur du dessus est d'un brun de cannelle avec une bande transversale orange.; les aîles de dessous sont, marbrées, de diverses couleurs et ornées de 4 yeux. On le nomme Cassia parceque sa chenille se nourrit des feuilles de cet arbre, qui y abonde.
Fig. 4. Le Leucippe. (Papilio Leucippe. Linn.)
Cet Papillon, dont les aîles supérieure* sont d'un beau rouge et les aîles inférieures d'un jaune luisant, ne se trouve qu'à Amboine, et même y est-il fort rare.
Ad00341 07 064a(Solanum mammosum.)~~Der Sodomsapfel ist eine 3 bis 4 Fuss hohe Pflanze, welche in Virginien und auf Barbados (eine von den Caraibischen Inseln) wächst. Sie trägt gelbe Früchte, welche die Gestalt einer umgekehrten Birne haben, und für Menschen und Thiere wie Gift wirken. Diese gelben Früchte sind mit Saamenkernen von dunkelbrauner Farbe angefüllt. Der Stängel ist krautartig und stachlich. Die Blätter sind auf beiden Seiten mit weichen Haaren, und auf den Ribben mit Stacheln besetzt.~~Am todten Meere wächst eine ähnliche Pflanze, von der schon die heilige Schrift unter der Benennung Sodomsapsel spricht, und von der es sich bei genauerer Vergleichung zeigen würde, dass sie mit der unsrigen eine und dieselbe ist.~~153
Ad00341 07 064a/frePlantes. CXLVII. Vol. VIII. No. 62.
POMMIER DE SODOME. (Solanum mammosum.)
Le pommier de So dôme est une, plante de 3 à 4 pieds de haut, qui croît à la Virginie et à Barbade, une des îles Caraïbes. Ses fruits sont jaunes, en sorme d'une poire renversée, et sont un véritable poison tant,pour les hommes que pour les animaux. Ces sruits, jaunes contiennent des graines d'un brun-soncé. La. tige est herbacée et épineuse. Les seuilles sont couvertes des deux côtés d'un doux duvet, et les petites côtes d'épines. 11, croît sur la Mer morte une plante pareille,; dont parle, la sainte écriture sous la dénomination de Pommier de Sodome. Si on la compare exactement avec.celle dont il est ici,question, on trouvera que c'est la mê*. me plante,
Ad00341 07 065aDer Berg Parnassus, der dem Apollo, dem Bacchus und den Musen bei den Alten geheiligt war, liegt im ehemaligen Phocis des alten Griechenlands, oder der heutigen Landschaft Livadien, welche, mit dem sonst so glücklichen, Griechenland, einen Theil der Europäischen Türkei ausmacht, und leider noch unter dem unerträglichen Joche der Osmanen schmachtet. An seinem Fusse fand man sonst die berühmte Orakelstadt Delphi, die jetzt nur ein elendes Dorf von etwa 200 Häusern bildet. Er hat drei verschiedene Spitzen, Hyamphea gegen Süden, Tithorea gegen Nordwesten und südlich von ihr die berühmte Corycische Höhle, und gegen Norden die höchste: Lycoreus benannt.~~Die berühmte Castalische Quelle entspringt zwischen den letzteren Gipfeln und sollte, nach der Meinung der alten Griechen, die Eigenschaft haben, den, der daraus trinkt, sogleich zum Dichter zu machen.~~Uebrigens ist der Parnassus der Berg, auf den, nebenbei gesagt, bei der allgemeinen Sündflut Deukalion und Pyrrha ihre Zuflucht genommen haben sollen. Er ist von dem, fünfzehn geographische Meilen von ihm entlegenen, Schlosse in Korinth sichtbar, welches eine sehr bedeutende Höhe andeutet. Sein Fuss hat einen Umfang von einer starken Tagereise und trägt allein Wein, Obst und Getraide. Seine Mitte ist stark beholzt, seine Gipfel bedeckt ewiger Schnee, und sie sind ganz rauh und unfruchtbar.~~Die hier gegebene Ansicht ist vom Wege nach Livadia gezeichnet.~~153
Ad00341 07 065a/freMélanges. CCI. Vol. VIII. No. 63.
VUE DU PARNASSEE EN GRÈCE.
Le Mont Pâmasse, consacré par les Anciens à Apollon, à Bacchus et aux Muses, est situé dans la Phocide de l'ancienne Grèce, nommée de nos jours Livadie, pays qui, avec l'ancienneGrèce, jadis si sortunée, fait partie de la Turquie européenne, et gémit encore malheureusement sous le joug des Ottomans. A ses pieds se trouve la ville de Delphes, si fameuse dans l'antiquité par ses oracles, et qui n'est plus maintenant qu'un misérable village de 200 maisons tout au plus. Ce mont a 3 différents sommets, VHyàmphea au Süd, le Tithorea au Nord-Ouest, et le Lycoreus qui est le plus élevé, au Nord. Au Sud du Tithorea se trouve la fameuse caverne de CoryceC'est entre ces deux derniers sommets que sort la fontaine de Castalie, dont les eaux selon les Anciens inspiraient un enthousiasme poëtique. D'ailleurs le Parnasse est la montagne, sur laquelle, soit dit en passant, se retirèrent Deucation et Pyrrha lovs du déluge, montagne qu'on découvre du château de Corinthe qui en est à 15 milles géographiques, ce qui dénote une élévation peu commune. Son pied a une circonsérence qu'on ne peut parcourir qu'en'une forte journée; il produit du vin, des sruits et du blé. Le milieu est couvert da. bois et le sommet d'une neige éternelle -, et par conséquent d'une aridité absolue. La vue, que nous en donnons ici, est dessinée du côté de la xoute de Livadie,
Ad00341 07 066aFig. 1. Der Taschenkrebs. (Cancer Pagurus.)~~Von diesem uns schon aus dem 1sten Band No. 74. des Bilderbuchs bekannten Taschenkrebse liefern wir hier eine grössere und bessere Abbildung, und hohlen, im ausführlichen Texte eine weitere Ausführung seiner Eigenheiten, nach. Die gegenwärtige Tafel zeigt uns noch mehrere andere Arten von Krabben, die wir jetzt kennen lernen wollen~~Fig. 2. Die Strandkrabbe. (Cancer Moenas.)~~Man findet sie in der Nordsee, im Mittelländischen und Adriatischen Meere und an Indiens Küsten. Sie ist essbar, und lebt vom Raube kleiner Seethiere, auch vom Tange. Sie läuft sehr geschwinde, aber nicht gerade aus, sondern seitwärts.~~Fig. 3. Die rauhe Krabbe. (Cancer hirtellus.)~~Man findet diese Krabbe sowohl am Englischen Ufer, als auch sehr häufig am Ufer der Insel Brazza im Adriatischen Meere. Ihre schwarzen Fingerspitzen werden von den Dalmatiern für dienlich gegen das Fieber gehalten, gepülvert und eingenommen.~~Fig. 4. Die kleine Krabbe. (Cancer parvulus.)~~Dieses Thier lebt an den mittägigen Americanischen Inseln.~~Fig. 5. Die Zipperlein-Krabbe. (Cancer Gonagra.)~~Diese Krabbe hält sich um die Westindischen Inseln und in dem Meerbusen von Mexico auf.~~Fig. 6. Die Kupfer-Krabbe. (Cancer aeneus.)~~Sie ist in Ostindien einheimisch, selten, und zum Essen untauglich. Ueber den ganzen Leib ist sie glatt, und glänzt wie Porcellan.~~Fig. 7. Die Fluss-Krabbe. (Cancer fluviatilis.)~~Sie ist die einzige Krabbe, die im süssen Wasser lebt, und giebt eine sehr gute Speise. Die Araber nennen sie Saratan.~~153
Ad00341 07 066a/freInsectes. LXXVI. Vol. VIII. No. 64.
DIVERSES ESPÈCES DE CRABES.
Fig. 1. Le Crabe Pagure. (Cancer Pagurus.)
Nous livrons ici un dessin plus grand et plus parfait de ce Crabe, que nous connaissons déjà, et idorit nous avons traité dans le premier volume de notre porte - feuille d'enfans, No. 74., et nous rapportons dans le texte détaillé les propriétés qui lui sont particulières. La planche ci-jointe représente plusieurs autres espèces de Crabes, dont nous allons assigner les qualités,
Fig. 2. Le Crabe Ménade. (Cancer Moenas.)
On trouve cette espèce de Crabe dans la mer du Nord, dans la Méditerranée, dans la mer adriatique et sur les côtes des Indes. Il est mangeable et se nourrit de petits poissons de mer.' Il marche très-vite, mais au lieu d'aller en droite ligne, il décrit une diagonale.
Fig. 3. Le Crabe hérissé. (Cancer hirtellus.)
Ce Crabe est indigène non seulement aux côtes d'Angleterre, mais encore au rivage de .l'île de Brazza dans la.mer adriatique. Les Dalmatiens considèrent les extrémités noires de sesr antennes comme un ' excellent fébrifuge, en conséquence ils les, pulvérisent et les prennent.
Fig. 4. Le petit Crabe. (Cancer parvulus.)
Ce petit animal vit dans les îles méridionales de l'Amérique.
Fig. 5. Le Crabe gonagre. (Cancer gonagra.)
Ce Crabe ne se trouvé que dans les îles de« Indes occidentales et dans le golfe du Mexique.
Fig. 6. Le Crabe cuivré. (Cancer aeneus.)
Il est indigène aux Indes orientales, mais il est rare et il n'est point mangeable. Son. corps est uni comme de la porcellaine, dont il a l'éclat.
Fig. 7. Le Crabe fluviatile. (Cancer fluviatilis.)
C'est le seul Crabe qui se tienne dans l'eau douce, et il est très-bon à manger. Les Arabes le nomment Saratan.
Ad00341 07 067a(Proteus anguinus.)~~Dieses seltene und sonderbare Thier, dessen genaue Abbildung, Beobachtung und Beschreibung wir dem Herrn von Schreibers, Director der kaiserlichen Naturalien-Cabinette zu Wien verdanken, findet sich bis jetzt bloss im Oesterreichischen zu Krain, und zwar daselbst nur an einem Paar Plätzen, bei den kleinen Quellen bei Wier, in der Gegend von Sittich, so wie in den unterirdischen Wässern in den Tropfsteinhöhlen bei Adelsberg. Die grössten Exemplare sind 13 bis 15 Zoll lang, die mittleren, von der hier (Fig. 1 u. 2.) angegebenen Grösse. Die Farbe frischer gesunder Exemplare ist ein sehr lichtes Rosenroth, das sich auf dem Rücken mehr oder weniger ins Bräunliche: oder Gräulichblaue, an den Seiten ins Gelbliehe zieht.~~Das höchst Merkwürdige dieses, einer Eidechse ähnelnden Thierchens ist, dass es, ausser den Lungen zum Athemholen, auch noch Kiemen wie die Fische hat, und also einen Uebergang von den Amphibien zu den Fischen macht. Doch diese Kiemen liegen nicht, wie bei den Fischen, in der Kiemenhöhle, sondern stehen sehr zerästelt und blutroth ganz frei nach Aussen an beiden Seiten des Hinterkopfs.~~Die Augen liegen kaum sichtbar als Punkte unter der Oberhaut (Fig. 1. a.). Die Vorderfüsse sind vollkommner, als die Hinterfüsse gebildet.~~Der Proteus lebt immer im Wasser, und da er sehr lichtscheu ist, am liebsten zwischen Steinen. Er schwimmt sehr schnell und aalartig.~~Unsere Kupfertafel zeigt dieses merkwürdige Thier bei Fig. 1. von der oberen, bei Fig. 2. von der unteren Seite, wo man Fig. 2. a das durch die Oberhaut schimmernde Herz sieht.~~Die inneren Theile des Körpers sehen wir bei Fig. 3. Wegen der Beschreibung müssen wir uns auf den ausführlichen Text beziehen.~~153
Ad00341 07 067a/freAmphibies. XXXVI. Vol. VIII. No. 63.
LE PROTÉE SERPENTINE (Proteus anguinus.)
C’est à Mr. de Schreibers, " directeur des ,cabinets d'histoire naturelle à Vienne, que nous devons l'exacte représentation et la description de cet animal rare et singulier, qui jusqu'à présent n'a été remarqué qu'en Autriche, et, ne se trouve -que dans deux endroits de la Carniole, -savoir .aux petites sources du IWier, aux environs de Sittich, et dans les .eaux souterraines des grottes de stalactites près d'Adelsherg. Les plus grands ont 13 à 15 pouces de long, et les .moyens sont figurés iqi dans leur grandeur naturelle. Quand ils sont dans un état parfait de ;santé, ils sont d'un rose clair, qui sur le dos joue plus ou moins un bleu brunâtre ou grisâtre, mais sur les côtés il se, perd dans le jaunâtre. Ce que .cette petite bête, si sembable au lézard, a de très-curieux, c'est .qu'outre les poumons pour respirer, «lie a, comme les poissons, des branchies, qui la rendent .une ^espèce d'intermédiaire entre les amphibies et les poissons. Ces branchies ne reposent cependant pas, .comme dans les poissons, dans là cave aux "branchies, au .contraire elles sont ramifiées, d'un rouge de sang et tiennent en dehors aux deux côtés du derrière de la tête. Les yeux situés sous l'épiderîtfe- sont deux points presque imperceptibles (Fig. . 1. a). Les pattes de .devant sont mieux conformées qu celles dé derrière. LeProtéeyit toujours dans l'eau, et comme il craint beaucoup le jour, il aime à se tenir rentre les pierres. Il nage très-vîtë et à la manière des anguilles. Fig. . 1. de notre planche représente le dessus de ce singulier animal, et Fig. 2. le' dessous, où l'on voit briller à travers l'épidèrme le oeur à la lettre A. Fig. 2. Fig. . 3. représente les partiel' intérieures du corps; .quant à leur description, nous renvoyons }e lecteur au Commentaire de notre Portefeuille.
Ad00341 07 068aDer Athos, von den anwohnenden Griechen: Hagios Oros, von den Italienern Monte Santo, d. i. Heiliger Berg benannt, bildet eine sehr gebirgige Halbinsel an der Küste Macedoniens in Griechenland. Durch die Erdenge, welche diese Halbinsel, die gegen 19 geographische Meilen von dieser Erdenge bis zu ihrer äussersten Spitze im Meere lang ist, und 37 1/2 geographische Meilen im Umkreise hat, führte einst ein, vom Perserkönige Xerxes gefertigter Canal, um die freien Griechen leichter, mittelst seiner Flotte, die hier einen näheren Weg fand, unterjochen zu lassen.~~Die Bewohner dieses Berges zeichneten sich von jeher durch ihre lange Lebensdauer aus. Er hat das köstlichste Wasser, und auf ihm athmet man die gesundeste Luft.~~Er trägt Wein, Oel- und Lorbeerbäume, aus deren Beeren ein Oel gepresst wird, das einen bedeutenden Handelszweig ausmacht; ferner Aepfel-, Birn-, Kirsch-, Wallnuss- und Pommeranzen-Bäume.~~Jetzt ist er der Sitz von zwei und zwanzig reich ausgestatteten Mönchsklöstern, deren Bewohner aber in der strengsten Enthaltsamkeit leben. Oft machen sie weite Reisen nach Serbien, Bulgarien, die Moldau, die Walachey, Polen und Russland zu besuchen, um Allmosen zu sammeln, die sie, nach Abzug ihres wenigen Reiseaufwandes, treulich dem Kloster, dessen Abgeordnete sie waren, entrichten. Diese Allmosen betragen oft sehr bedeutende Summen, die aber nur zur Verschönerung ihrer prachtvollen Klosterkirchen dienen.~~Es steht diesen Geistlichen frei, sich zu verheirathen. Die Meisten ziehen aber den unverehlichten Stand vor, um sich ohne Störung dem Dienste.der Religion zu überlassen.~~Zu bemerken ist es, dass diese Klöster allein im Osmanischen Reiche das Recht haben, sich der Glocken zu bedienen.~~154
Ad00341 07 068a/freMélanges. CCIII. Vol. VIII. No. 66.
VUE DU M0NT ATHOS.
Le mont Athos, nommé par les habitans de la Grèce Hagios Oros, et par les Italiens, Monte santo, forme sur la côte de Macé. doine en Grèce une presqu'île, de 19 milles géographiques de long et de 37^ milles de circonférence. Elle tient à la terre par un isthme, que fit percer Xerxès roi.de Perse pour éviter un long trajet à sa flotte, dont il voulait se servir pour subjuguer les villes libres de la Grèce. Les habitants de ce; Mont se sont distingués de tous tems par une vie très-longue. L'eau y est excellente et l'air très - salubre. Il produit dès vignes , ' des oliviers et âes lauriers, dont on pressure les baies; on en fait une huile, qui forme une branche considérable de commercé. Les pommiers, poiriers, cerisiers, noyers et orangers y croissent également. On n'y trouve plus maintenant que 22 couvens d'hommes assez riches, mais dont les habitans observent la continence la plus rigid«; Ces moines vont souvent dans la Servie, la Bulgarie, la Moldavie, la Vallachie, la Pologne et la Russie, pour y rassembler dès aumônes, qu'ils remettent fidèlement au couvent qui leur a donné cette commission, après en avoir déduit leurs frais de route , qui sont très-modiques. Ces aumônes se montent souvent à de fortes sommes,1 'qui sont toutes employées à l'embellissement; de leurs magnifiques églises. Ces religieux ont la liberté de se marier, cependant ils préfèrent en généralle célibat, pour se vouer sans obstacle au service de la religion. Il ..est encore à remarquer que ces cou» vens sont les Seuls de l'empire ottoman qui aient le droit de saire usage des cloches.
Ad00341 07 069aFig. 1. 2. Die Gewölbschild- oder Kokoskrabbe. (Cancer calappa. Lin. Gmel.)~~Fig. 1. stellt dieses Thier von oben, und Fig. 2. von unten dar. Die obige Benennung hat sie daher, weil ihre Schale der einer halben Cocosnuss, die in Indien Kalappus heisst, gleicht. Ihre schöne Bildung und Farben sieht man besser auf dem beigelegten Kupfer, als sich dieses durch Worte andeuten liesse. Dieses Thier lebt übrigens in den Ost- und Westindischen Meeren, hat wenig Fleisch, ist desshalb zum Essen untauglich, und man fängt sie bloss ihres Schildes und ihrer Scheeren wegen, die man als Seltenheiten aufbewahrt.~~Fig. 3. Das Körnerschild. (Cancer granulatus.)~~Diese Krabbenart heisst in Brasilien Guaja Apara, und lebt in den Ostindischen und Ostamericanischen Meeren in den mittleren Breiten. Sie zeichnet sich durch ihr körniges, fast chagrinartiges Schild aus, dessen Warzen mit runden, rothen Flecken bezeichnet sind.~~Fig. 4. Der Hahnenkamm. (Cancer lophos)~~Diese Krabbe ist in-Ostindien einheimisch, und zeichnet sich durch ihre Fleischfarbe mit violetten Armen und ziegelrothe, zum Theil weisspunktirte Warzen aus.~~Fig. 5. Der Laufer. (Cancer cursor.)~~Diese Krabbe hat ihren Namen wegen der ungemeinen Geschwindigkeit erhalten, mit der sie, wenn sie an ihrem Wohnsitze, dem Meere, an den sandigen Strand kommt, sich auf demselben bewegt. Sie bewohnt nicht nur Aegypten's und Syrien's Ufer, sondern auch die Küsten von Malabar und Amboina.~~Fig. 6. Das Würfelschild. (Cancer rhomboïdes.)~~Die Scheeren dieses, im Mittelländischen Meere einheimischen, Thieres zeichnen es vorzüglich aus, da sie gegen vier und einen halben Zoll Länge haben.~~Fig. 7. Die weissliche Krabbe. (Cancer albicans.)~~Die braune, kelchförmige Wurzel der Scheeren zeichnet sie vorzüglich, so wie auch, letztere aus. Sie sind bläulich grau, und gegen den Kopf zu braun punktirt. An den äusseren und inneren Schärfen sind sie mit zwölf sägeförmigen Einschnitten, die 1 1/2 Pariser Zolle Länge einnehmen, eingefasst. Sie lebt im Archipelagus, im Schwarzen und Asowschen Meere.~~154
Ad00341 07 069a/freInsectes. LXXVII. Vol. VIII. No. 67.
DIVERSES ESPÈCES DE CALAPPES ET DE CRABES.
Fig. 1. 2. Le Calappe en voute. (Cancer Calappa. Linn.)
Fig. 1. représente le dessus de cet animal et Fig. .-2. Je dessous. Il tient sa dénomination de la conformité de son écaille à la coquille d'une demi noix de coco, que les Indiens nomment Calappe La planche ci - jointe représente la beauté de sa conformation et de ses couleurs ; beaucoup mieux qu'on ne pourrait la rendre pardes paroles. Au reste cet animal vit dans les,mers des Indes orientales, et occidentales-; il est peu charnu, aussi n'est - il pas bon a manger, et l'on ne le prend qu'à cause de son éeaille et de ses pinces, que l'on conserve comme une curiosité.
Fig. 3. Le Calappe granuleux. (Cancer granulatus.)
Ce Calappe, que les Brasiliens nomment Guàsa Aparà', sa tient dans les mers' des Indes et de l'Amérique orientale, dans les largitudes moyennes. Il se distingue par son écaille granuleuse, presque semblable à du chagrin, dont les, élévations sont marquées de taches rondes et rouges.
Fig. 4. Le Calappe Lophos. (Cancer Lophos.)
Ce Crabe, indigène aux Indes orientales, est couleur d« chair, il a des bras violets, et' des verrues d'un rouge de tuile, et ponctuée« de blanc.
Fig. 5. Le Calappe coureur. (Cancer Cursor.)
Ce Crabe -doit son nom à l'agilité avec laquelle il se meut sur le. sable du rivage^ quand il quitte la mer, son séjour ordinaire. Il habite non seulement les rivages de l'Egypte et; de la Syrie, mais aussi les. côtés du Malabar et d'Amboinev
Fig. 6. Le Crabe rhomboïde. (Cancer rhomboides.)
Les pattes de ce Crabe, indigène, à la mer méditerranée, lesquelles ont 4J pouce* de long, sont le principal signe caractéristique de cet animal.
Fig. 7. Le Crabe blanchâtre. (Cancer albicans.)
La racine brune et en sorme de coupe des-pattes les distingue surtout, ainsi que cet animal. Elles sont d'un gris bleuâtre, et pointillées do. brun, vers la, tête. Les extrémités intérieures et extérieures sont bordées de douze échancrures en sorme de scie,; qui ont, un pouce et demi de long. Il vit dans l'Archipel, dans la mer noire .$1 dans, la mer :. d'Asos.
Ad00341 07 070aFig. 1. u. 2. Die Kaisersonne. (Trochus imperialis. Linn.)~~Die hier abgebildete Reichs- oder Kaisersonne ist eine der grössten und prächtigsten Arten aus der Gattung der Kräuselschnecken, welche in neueren Zeiten auf den Cookschen Reisen mit so vielen andern Pracht-Conchilien in der Südsee entdeckt, und namentlich am Eingange von Cloudy-Bay und bei der Meerenge von Neuseeland in tiefer See aufgefunden wurde. Ihrer Schönheit und Seltenheit wegen gehört die Kaisersonne zu den kostbarsten Conchilien, und wird in England mit 5 bis 10 Guineen bezahlt. Unsere Abbildung zeigt sie bei Fig. 1. von der oberen, bei Fig. 2. von der unteren Seite. Die aus den Windungen hervorstehenden Spitzen gaben Veranlassung, sie mit einer Sonne zu vergleichen und so zu benennen.~~154
Ad00341 07 070a/freCoquilles. IV. Vol. VIII. No.68.
UNE COQUILLE RARE DE LA MER DU SUD.
Fig. 1. 2. Le soleil impérial ou l'éperon royal. (Trochus imperialis. Linn.)
äu détroit de-la nouvelle Sélande, , trouva et au fond de la mer. Le soleilim^^ é" si teau " si1 rare qu'il passe avec raison pour une. coquille très-précieuse, aussi «-ei soleil impérial, Fig. uré ici, est une des les-Anglais le paient-ils de 5 à ip guinées. plus grandes-et des. plus magnifiques espèces Fig. . 1. de notre planche ,en représente le des* des trochus, -qui, dans les voyages.de :Gook, sus et Fig. . 2. le dessous. Les dards qui jallant été découverts récemment avec tant d'au- lissent des entortillemens l'ont fait comparer très csuperbes coquilles dans la mer du Sud. au soleil et lui ont mérite la dénomination C'est à l'entrée de la: baie de. Cloudy,. et près ci-dessus.
Ad00341 07 071aNapoleon Buonaparte, der merkwürdigste Mann, Tyrann und Eroberer unserer neuesten Zeit, ein geborner Corse, der sich vom gemeinen Lieutenant bis zum Kaiser der Franzosen, aufgeschwungen und ganz Europa mit seiner Alleinherrschaft bedroht hatte, wurde durch die Armeen der vereinten Europäischen Mächte zweimal nacheinander, i. J. 1814 und 1815, überwunden, und ausserhalb Frankreich verbannt. Das erste Mal, i. J. 1814, nach der kleinen Insel Elba, und zwar in die Stadt Porto-Ferrajo, das zweite Mai im August 1815, nach der kleinen Englischen Insel St. Helena, in die einzige, darauf befindliche, kleine Stadt James-Town. Die Ansicht dieser beiden merkwürdigen Plätze, und Exile des grossen überwundenen Welteroberes, zeigt diese Tafel nebeneinander gestellt, unsern jungen Lesern zu einem sinnlichen Andenken dieser grossen Weltbegebenheit.~~Fig. 1. Ansicht von Porto-Ferrajo auf der Insel Elba.~~Die kleine Insel Elba liegt im Tyrrhenischen Meere, der Küste von Toscana gegenüber, hat nur 2 kleine Städte und Häven, Porto-Ferrajo und Porto Longone, viele und vortreffliche Eisen-Gruben, Wein- und Oelbau. Die Ansicht von Porto-Ferrajo und seiner Citadelle ist von der Abendseite, vom Meere aus genommen; a.) ist das Fort Dalla Stella; b) das Gouvernements-Haus, wo Buonaparte bis zum 1. März 1815 wohnte; c) das Fort Falcone. Das Weitere giebt unser ausführlicher Text.~~Fig. 2. Ansicht von James-Town auf St. Helena.~~Die Insel St. Helena, auf welche der zum zweiten Male überwundene Buonaparte, als Gefangener der Engländer den 12. Aug. d. J. transportirt wurde, um dort, unter strenger Bewachung für immer zu leben, liegt zwischen Afrika und Süd-America, hat etwa 6 Teutsche Meilen im Umkreise, und besteht fast ganz aus lauter vulkanischen Klippen und Felsen. Desshalb hat sie auch kaum 2000 Einwohner, worunter im Jahre 1803, 500 Soldaten und 600 Neger waren. Sie gehörte bisher der Engl. Ostindischen Compagnie, welche dieselbe jetzt an die Engl. Nation abgetreten hat. James-Town, die einzige kleine Stadt der Insel, liegt in einem engen Thale zwischen zwei hohen steilen Felsen, auf deren einem die feste Citadelle liegt, in welcher Buonaparte fortan lebenwird. Sie hat einen guten Haven, den einzigen Landungsplatz auf der ganzen Insel. Eine ungeheure Menge Ratten, von denen die Insel geplagt ist, hindert den Getraidebau; hingegen wachsen bei ihrem milden Klima, in ihren engen Gründen, gute Kartoffeln, Orangen, Citronen, Feigen, Wein, und andere edle Süd-Früchte.~~154
Ad00341 07 071a/freMélanges CCIV. Vol. VIII. No. 69.
LIEUX D'EXIL DE NAPOLÉON BUONAPARTÉ.
Napoléon Buonaparté, Corse de'naissance; l'homme, le-tyran et le conquérant le plus extraordinaire des siècles modernes, qui de simple lieutenant s'était,élevé à la dignité.d'Empereur des Français et qui avait menacé l'Europe entière de la monarchie universelle, a été vaincu deux fois'de suite en 1814 et 1815 par les forces combinées des puissances européennes, et banni du territoire de France. La première soisi' ëh 1814 il fût relégué dansl'île-'d'Elbe dont Porto- Ferrajo est le chef-Mèu';' la secondefois il a été transporté au mois d'août I815 à la petite île anglaise de St. Hélène à James- Town , la seule petite ville qui s'y trouve. Notre Planche figure, à ' nos jeunes lecteurs la vue de ces deux places 'devenues si fameuses, parcequ'elles ont servi de lieux -d'exil à ce grand conquérant après sa défaite et sa chute, pour qu'un; objet sensible leur rappele le souvenir dé ces grands'événémens.
Fig. 1. Vue de Porto-Ferrajo à l’île d'Elbe.
Là petite' île d'Elbe,- située dans, la mer ; Thyrienne, vis-à-vis des.côtes de la Toscane, n'a que deux> petites villes et deux ports, PortoFerrajo. et Porto - Longone., Elle est riche en bonnes mines de ser, en vin et en huile. C'est du couchant« qu'on a pris la vue de- PortoFerràjo et de sa citadelle, a) indique le fort délia Stella; b) la maison du gouvernement que :Buonaparté arhabitée jusqu'au 1 er Mars 1815; c) le -Foj-t Fnlcone. Voyez: le reste dans le commentaire de notre porte-feuille..
petites villes et deux ports, PortoFerrajo. et Porto - Longone., Elle est riche en bonnes mines de ser, en vin et en huile. C'est du couchant« qu'on a pris la vue de- PortoFerràjo et de sa citadelle, a) indique le fort délia Stella; b) la maison du gouvernement que :Buonaparté arhabitée jusqu'au 1 er Mars 1815; c) le -Foj-t Fnlcone. Voyez: le reste dans le commentaire de notre porte-feuille..
Fig. 2. Vue de James-Town à l'île de St. Hélène.
L'île de Ste. Hélène sur laquelle Buonaparté, vaincu pour la 2e fois, a été tra'nsporté par les Anglais,, dont il est le "prison? nier, pour y vivre à jamais sous la surveilr lance la plus rigoureuse, est située entre l'Ai frique et l'Amérique méridionale. Ein général elle n'est qu'un amas de rochers et d'écueils volcaniques , et n'a L que 6 milles d'Allemagne de circonsérence; aussi ne. compte-t-relie que 2000 habitans , parmi lesquels, étaient compris, en 1803, 500 soldats et 600. Nègres. Elle à " appartenu jusqu'à présent à la cqmpagr nie anglaise des Indes orientales, qui vient de la céder aux Anglais. James-Towh, la seule petite ville qu'il y ait dans' l'île, est située dans" un vallon étroit, entre deux rochers très-hauts et escarpés:;- C'est- sur l'un d'eux qu'est construite la citadelle, qu'habitera désormais Buonaparté. :;EUe a:un port, le seul lieii de commerce de toute l'île. Une quantité prodigieuse de rats, dont l'île est infestée, nuisent sensiblement à la culture du blé; mais dans les fonds productifs il croît abondamment d'excellentes pommes de terre, des oranges, des. citrons, des figues, dés raisins et tous les fruits délicats du. Sud.
Ad00341 07 072aDie Riesentanne der Südsee wurde zuerst durch den berühmten Weltumsegler Cook auf seiner zweiten Reise entdeckt. Sie findet sich vorzüglich auf den Norfolk-Inseln, weswegen die Engländer sie auch die Norfolk-Tanne nennen. Dieser Baum erreicht die ausserordentliche Höhe von 100, 150 bis 200 Fuss, und ragt in seinem schlanken geraden Bau wie ein Riese über die übrigen Bäume hinaus.~~Die Zweige fangen erst in einer Höhe von 40 bis 60 Fuss an, und bilden dann einen pyramidalen Bau, so dass man diesen Baum bei flüchtiger Ansicht für eine Cypresse halten könnte, der auch die Zweige ähneln, wie wir aus unserer Abbildung sehen, wo wir zugleich noch eine junge Frucht, so wie auch einen reifen Tannenapfel oder Zapfen finden. Mehrere Exemplare dieser Riestentanne befinden sich bereits in den botanischen Gärten in der Nähe von London, wo sie schnell wachsen.~~Eine zweite Art der Riesentanne findet sich in Südamerica auf den Chiloe-Inseln, welche gleichfalls eine ungewöhnliche Höhe erreichet.~~154
Ad00341 07 072a/frePlantes. CXLVIII. Vol. VIII. No. 70.
LE SAPIN-GÉANT DES TERRES AUSTRALES. (Araucaria excelsa. Brown.)
Ce Sàpini-Géant de la mer du Sud ne fut découvert par Cook que dans le second voyage.: que ce célèbre,navigateur fit autour du monde. C'est surtout dans les lies de Norfolk qu'il est commun, ce qui le sait aussi nommer par les Anglais le-iSapin de Norfolk. Cet arbre parvient à la hauteur démesurée de ioo, 150 jusqu'à 200 pieds, et droit et élancé comme il l'est, il s'élève comme un géant au dessus de tous les autres arbres.' Ses branches, qui ne commencent qu'à la hauteur de 40- à ôopieds, croissent en une forme pyramidale, de sorte. qu'à ; la première vue on serait tenté de lé prendre'pour un Cyprès, .à cause de la7 res-, semblance des branches, comme le. prouve la planche ci-jointe, où sont Fig. urés en même tems un jeune fruit et une: pomme dans sa maturité» Il y a déjà dans les jardins botaniques .près de Londres: plusieurs dé ce& Sapins, qui y viennent parfaitement et très-vite. Il "se-trouve une seconde espèce de Sa» pin de la mer du Sud-dans, l'Amérique raéridionale, dans les îles de Chiloé^ qui atteint, également une hauteur, peu commune.
Ad00341 07 073aFig. 1. Der äussere Umfang der, etwas vergrössert dargestellten, Knorpel-Kirsche, in deren Schaale man die Gefässe wahrnimmt, die zur Ernährung der Frucht sowohl, als des Kernes bestimmt sind.~~Fig. 2. Dieselbe Kirsche, durchschnitten gezeichnet, um die Richtung der, von der Schaale gegen den Kern hinlaufenden, ernährenden Gefässe sichtbar zu machen.~~Fig. 3. Der durchschnittene Kern, in dessen Mittelpuncte der Anfang des Keimes zu sehen ist.~~Fig. 4. Der reife Kern in der gespaltenen äusseren Schaale, mit seiner eigentümlichen Hülle umgeben.~~Fig. 5. Innerer Bau der Augen zur Blüte und zu den Blättern der Rosskastanie. An dieser durchschnittenen Knospe sieht man fünf bis sechs, wie Schuppen übereinander liegende, Hüllen, die mit einem klebrigen, harzigen Safte überzogen sind. Die äusseren Hüllen sind braun, die folgenden grün, und die innersten weiss. In diesen Hüllen befindet sich die Anlage der Blätter, welche gleichsam den Kern der Knospe oder ihren Mittelpunct umgeben, welcher aus der, mit dichter weisser Wolle umgebenen, Blütentraube besteht.~~Fig. 6. Der durchschnittene Fruchtknoten eines Kürbisses. Bei a. sieht man Queerstreifen, welche die angehende Organisation der Eierchen, oder Saamenkerne bezeichnen. Bei b. nimmt man schon einzelne Körnchen wahr, welches einzelne Kerne sind, deren Entwickelung bereits begonnen hat.~~Fig. 7. Ein Bohnenkern mit seiner äusseren Hülle umgeben.~~Fig. 8. Derselbe Bohnenkern, im Durchschnitt und während des Keimens dargestellt. a. a. Die Saamenlappen (Cotyledones); b. das zwischen den Saamenlappen befindliche Keimchen.~~Fig. 9. Blasenförmige, mit Saft gefüllte Körperchen (a a), welche in der Bohne liegen und das Zellgewebe begründen, welches zur Ausbildung der Pflanze nothwendig ist.~~Verschiedener Zustand der Blätter der Sinnpflanze (Mimosa pudica) zu verschiedenen Tageszeiten.~~Fig. 10. Stand der Blätter im Aufwachen, wo die Blätter am meisten ausgedehnt sind, und der Blattstiel aufwärts gerichtet ist.~~Fig. 11. Stand der Blätter während des Mittagsschlafes, wo sie sich an dem, immer noch aufwärts sehenden Stiele zusammenlegen.~~Fig. 12. Stand der Blätter während des Mitternachtsschlafes, wo sie an dem gesenkten Stiele sich dicht aneinander schliessen.~~Fig. 13. Letztes Erwachen, oder Aufschliessen der Blätter, an dem herabgesunkenen Stiele, welches das völlige Absterben der Blätter zur Folge hat.~~155
Ad00341 07 073a/freMélanges. CCIV. Vol. VIII. No.71.
DÉVELOPPEMENT ET PROPAGATION DES PLANTES, ET SOMMEIL DES FEUILLES.
Fig r. j Circonférence extérieure ssu bigarreau,
Fig. urée sur échelle un peu grossie,, dans la peau duquel sont visibles tous les vaisseaux destinés à la nourriture tant du fruit que du pépin, .
Fig. . 2. La niême cerise coupée en deux, pour rendre sensible la direction des vaisseaux nourriciers, qui se portent de la peau au pépin. il
Fig. . 3. Le pépin coupé en deux, dans le, centre duqnel . on aperçoit le commencement du germe. , .
Fig. ; 4. Le noyau mûr-dans la coquille extérieure fendue, avec son enveloppe particulière.
Fig. . 5. Construction intérieure des bourgeons du marron d'Indes jusqu'au moment de la' floraison et du feuillage. -On voit à ce bourgeon coupé en deux , de 5 à 6 enveloppes, placées l'une sur l'autre comme des écailles, induites d'un suc glutineüx et résineux. Les enveloppes extérieures sont brunes, les suivantes vertes et les intérieures blanches. C'est dans ces enveloppes que se trouve le germe des feuilles qui entourent- en quelque sorte'le centre du bourgeon, composé d'un bouquet dé fleurs, qu'entoure une laine blanche et épaisse.
Fig. . 6. Le germe d'une citrouille coupée * en deux. On voit à a. des traverses, qui désignent le commencement de l'organisation des- grains de semence.' ! On- remarque à b. .des grains, qui sont les pépins, qui ont .commencé à se développer. s ; ^
Fig. . 7. Un'grain de fève entouré de son enveloppe extérieure.
Fig. . 8- Le même grain de fève
Fig. uré en diamètre et pendant qu'il germe.;: a. a., les Cotyledones; b. le germe qui se trouve entre les cotyledones.
Fig. , 9. De petits corps vésiculaires,
(a a)
pleins de suc, placés dans la fève,' et formant 'le tissu cellulaire, qui est indispensable pour la perfection de la plante.
Etat divers des feuilles de la Sensitive (Mimosa pudica) à différentes époques de la journée.
Fig. 10. État des feuilles à leur réveil, oü les feuilles sont le plus étendues et le pér dicule le plus droit.
Fig. il. Etat des feuilles pendant leur sommeil à midi, où elles se, replient vers le pédicule qui les. attire encore en haut.
Fig. . i2. Etat des feuilles pendant leur sommeil à minuit , où elles se réunissent étroitement au pédicule qui se courbe.
Fig. . 13. Dernier réveil des feuilles, pendant que le pédicule est courbé, qui entraine la destruction totale des sleurs.
Ad00341 07 074aDas Hühner-Ei.~~Fig. 1. Ein bis zum Legen ausgebildetes Hühnerei, in Verbindung mit dem Eiergange. a. Der Eiergang. b. c. Aus Gefässspitzen bestehende Zotten des Eierganges, welche in die poröse Schaale des Eies (d) hereingehen, und sich während des Legens herausziehen.~~Fig. 2. Dotter, aus einem, einige Stunden lang bebrüteten Hühnereie. a) Keim der Frucht, welcher jetzt nur noch aus einem dunkler gelben, mit weisslichen Linien umgebenen, Puncte besteht.~~Fig. 3. Dotter von einem vier und zwanzig Stunden lang bebrüteten Ei. a. b. c. Gefässkreis, welcher sich hier in der Lederhaut zeigt. d. Mittelpunct, gegen welchen sich die Gefässe des Kreises umschlagen, um das Herz der Frucht zu bilden.~~Fig. 4. Das Hühnerei nach zwölf- bis vierzehntägiger Bebrütung.~~Fig. 5. Aus dem, in der vorigen Figur abgebildeten Ei, ist hier die Frucht oder das Hühnchen, mit Zurücklassung der Lederhaut abgebildet; a. bezeichnet das junge Hühnchen; b. das Eiweiss; c. den Dottersack. d. sind gelblichweisse Gefässe des Dottersackes, welche zur Bauchhöhle der Frucht gehen, und ihr Nahrung zuführen. e. e. Blutgefässe, welche von der Lederhaut zur Frucht giengen: f. g. der Darmcanal der Frucht, der, durch ein besonderes Band mit dem Dottersack vereinigt, ausser der Bauchhöhle liegt.~~Fig. 6. Das Hühnchen, acht Tage vor seiner vollendeten Ausbrütung. Der Kopf ist, so wie die Augen, unverhältnissmässig gross. Das Herz (a) Iiegt, so wie die Gedärme, ausserhalb der Bauchhöhle: die Flügel (b.b) sind weniger vollkommen ausgebildet, als die Füsse (c. c)~~Das Tauben-Ei.~~Fig. 7. Die Frucht einer Taube, vierzehn Tage vor der vollendeten Ausbrütung; auch hier ist der Kopf (a) und das Auge (b.) verhältnissmässig zu den übrigen Theilen sehr gross: die Flügel (c. c) sind ebenfalls noch unvollendeter, als die Füsse (d. d) und der Darmcanal (e) hat sich noch nicht ganz in die Bauchhöhle zurückgezogen. Doch zeigen sich schon erhabene Puncte (f), welche die Stellen bezeichnen, wo die Federn hervorsprossen werden.~~Das Schlangen-Ei.~~Fig. 8. Das Ei der Ringelnatter. a) Die Ringelnatter, wie sie nach ihrer völligen Ausbrütung das Ei durchbricht und im Begriff ist, herauszuschlüpfen.~~Fig. 9. Die, wie ein Knaul zusammengerollte Ringelnatter, wie sie im Eie liegt.~~Fig. 10. Die aufgerollte Ringelnatter; (a) ihre gespaltene Zunge; b) die Stelle, wo sie durch die Nabelgefässe mit dem Dotter in Verbindung war.~~Die Ringelnattern sind giftlos, und ihre Eier werden nur durch die Wärme der Sonnenstrahlen ausgebrütet.~~155
Ad00341 07 074a/freMélanges. CCV. Vol. VIII. No. 72.
CROISSANCE DES POULETS DES PIGEONS ET DES SERPENTS DANS LES ŒUFS ET LEUR DÉVELOPPEMENT.
L'Oeuf de la Poulet.
Fig. 1. Un oeuf au moment .qù il est pondu avec l'ovaire. a. L'ovaire, b. c. Flocons de l'ovaire, formés des pointes de vaisseaux, qui pénètrent dans, la, coquilfe de l’oeuf, (d) et qui sortent pendant la ponte. –
Fig. 2. Jaune d'oeuf de poule couvé pendant quelques'heures, a) Germe du fruit qui ne consiste encore qu'en un point d'un jaune foncé, ceint de lignes blanchâtres.
Fig. 3. Jaunde d'oéuf, couvé depuis 24 heures, a. b. c. Le cercle des vaisseaux qui se montré ici dans la pellicule; d. centre vers lequel se plient les vaisseaux du cercle pour former le coeur du fruit.
Fig. 4. Un œuf de poule qui a été couvé de 12 à 14 jours.
Fig. 5. Le fruit ou le poulet est figuré ici sans ré' jaun'ei^e "l'oèuf, 'représenté dans la sigure précédente, a. Figure le poussin; b. le . blanc d'oeuf ; c. .le sachet du jaune; d. sont des vaisseaux du jaune d'oeuf d'un blanc jaunâtre, qui vont jusqu'au creux . de l'estomac du. poussin et lui portent la nour- riture. è. e. Lés veines, qui de la pellicule parviennent - au. sruit; s. g. le canal des viscèxe's, qui , tenant par un lien particulier au sachet, est placé hors du creux du ventre.
Fig. 6. Le poussin tel qu'il^,est huit jours, avant qu'il ne soit entièrement couvé. "La tête et les yerix sont d'une grosseur 'disproportionnée. Le coeur,' ainsi que lesviscères,, est 'hors: du 'creux du ventre: Les aîlés b. b. "sont moins'bien-conformées que.lés pieds'. '
L’Oeuf du Pigeon.
Fig. 7. Le fruit d'un pigeon 15 jours avant qu'il ne soit parfaitement couvé ; la fête (a)" et les yeux (b) sont aussi ici très'-grands eh proportion des autres parties. Lés aîles (c. c) sont encore ici plus; imparfaitë's que les pattes (d. ÛJ, et lé canal n'est pks encore rentré' dans îë creux du: ventre. 'Cependant il se montré déjà des points élevés, qui désignent Tés' "places ', où 'doivérït sortir Les plumes.
L'Oeuf de Serpent.
Fig. 8. .L'oeuf de L'amphisbène. a,) L'amphisbène, prête à éclore, casse l'oeuf et se dispose à; sp-rtir.'
Fig. 9.. L'amphisbène, en forme de peloton, dans l'oeuf.
Fig. 10. L'amphisbène déroulée, (a) Sa langue fendue; (b) la place où par les vaisseaux .du nombril elle est en communication avec le moyeu.
Les amphisbènes n'ont point de venin, , et il n'y a que la chaleur du soleil qui puisse couver leurs oeufs.
Ad00341 07 075aFig. 1. Die gemalte Krabbe. (Cancer pictus.)~~Eine sehr schöne von der Natur gezeichnete, Krabbenart mit 2 grösstentheils carminrothen Scheeren, übrigens von weisser Grundfarbe, die mit rosenrothen Puncten und geschlängelten Linien von derselben Farbe verziert ist. - Sie ist in Amboina und den Molucken einheimisch.~~Fig. 2. Die platte Wanderkrabbe. (Cancer depressus.)~~Diese, an den Küsten im Mittelländischen Meere einheimische, Krabbe hat oberhalb eine schön rothe, mit gelben Tropfen und Flecken unterschiedene Farbe. Ihre nähere Beschreibung sehe man in dem Ausführlichen Texte.~~Fig. 3. Die aschfarbige Krabbe. (Cancer cinereus.)~~Ihr Leib ist, so wie ihre Hände und Füsse, auf beiden Seiten des Körpers gelblich aschfarben, und sie lebt auch an den Küsten des Mittelländischen Meeres.~~Fig. 4. Die knotige List-Krabbe. (Cancer nodulosus.)~~Sie lebt an den Küsten von Jamaica und anderen Westindischen Inseln. Ihre Grösse ist sehr verschieden. Ihr Schild ist fast viereckig und hat eine gelbe Grundfarbe, welche mit rothen Puncten getüpfelt ist.~~Fig. 5. Der Maulaffe. (Cancer Facchino.)~~Das Schild dieser Krabbe, die man an den Küsten Ostindiens und des Mittelländischen Meeres trifft, ist mit solchen Furchen gezeichnet, welche nicht undeutlich ein Frazzengesicht vorstellen, zumal, wenn man die zwei hintersten paar Füsse als einen Zwickelbart ansehen will.~~Fig. 6. 7. Der Mascarell. (Cancer Mascarone.)~~Fig. 6 stellt die blassgelbe, und Fig. 7. die schön braunrothe Art dieser Krabbe dar, welche beide in den Meeren um Neapel leben. Beider Schilder haben solche Furchen, dass sie ein Fratzengesicht bilden. Daher ihr Name.~~155
Ad00341 07 075a/freInsectes. LXXVIII. Vol. VIII. No. 73.
DIVERSES ESPÈCES DE CRABES.
Fig. 1. Le Crabe peint. (Cancer pictus.)
L»'est une très,- belle espèce de Crabe?,1 joliment dessinée par la nature, ayant deux pinces d'un rouge de carmin; le fond de la couleur est blanc, relevé par des peints couleur de rose et des lignes qui vont en zigzags, — Il est indigène à Amboirie et aux îles Moluques, i
Fig. 2. Le Crabe applati. (Cancer depressus.)
Ce Crabe, qui se tient sur les côtes de la Méditerranée, a le dessus du corps d'un beau ronge, ponctué de jaune. Le commentaire de notre porte-seuille donne les explications ultérieures à ce sujet.
Fig. 3. Le Crabe cendré. (Cancer cinereus.)
Son corps, ainsi que les mains et les pieds, est des deux .côtés d'une couleur cendrée tirant sur le jaune. Il se tient aussi sur les côtes de la Méditerranée.
Fig. 4. Le. Crabe nodouleux. (Cancer nodulosus.)
Ce Crabe vit sur le$ côtes de te Jamaïque et d'autres îles des: Indes occidentales. Sa grandeur n'est ; pas déterminée; son: corselet est presque quadrangulaire, : et le fond ; de : s'a» couleur est. jaune, orné de. points. rouges.
Fig. 5. Le Crabe faquin. (Cancer Facchino.)
Le corselet de ce Crabe, qui se. trouva sur les côtesv de. lamer des Indes et de la Méditerranée, est si bizarrement sillonné, qu'il a Fair d'une -véritable guenon, surtout "lorsr qu'on veut considérer les pattes de'derrière comme des moustaches
Fig. 6. 7. Le Mascaron. (Cancer Mascarone.)
Figure 6 représente le Crabe d'un jaune pâle, et Fig. 7. telui d'un beau jeaune rougeâtre. On les trouve l'un et l'autre dans les mecs de Naples. Les corselets sont 'sillonnés dé sorte qu'ils forment un visage hideux, d«' là vient leur dénomination.
Ad00341 07 076a(Mytiltus pictorum.)~~Fig. 1. Der Karpfen, auf dem Rücken liegend und am Bauche so geöffnet, dass der Roogen oder das Ovarium zu sehen ist.~~a. b. Die beiden geöffneten Rauchwände. c. Der zurückgeschlagene Darm. d. Zurückgeschlagener Mastdarm. e. After, oder Ausgang des Mastdarms. f. Oeffnung für den Ausgang der Roogen-Eier des Fisches.~~g. h. Die beiden Eierstöcke, die ganz mit Eiern angefüllt sind und deren Haut sehr dünn und nachgiebig ist. i. Die Schwimmblase.~~Fig. 2. Eier aus dem Roogen oder Karpfenovarium vergrössert gezeichnet, um die Gefässvertheilung über dieselbe darzustellen.~~Fig. 3. Eier aus den Hechtovarien auf dieselbe Weise in unter derselben Absicht gezeichnet.~~Fig. 4. Ein unreifes Karpfen-Ei, das noch viele Gefässe besitzt, vergrössert dargestellt. Man siehet, wie die Gefässe die feinen Stiele bilden, mit denen es mit den andern Eiern zusammenhänget.~~Fig. 5. Ein reifes durchsichtiges Karpfen-Ei in natürlicher Grösse.~~Fig. 6. Dasselbe vergrössert dargestellt. Man siehet hier die vielen, den Stiel bildenden Gefässe verschwunden, und den jungen Fisch mit allen Theilen deutlich, nur dass er nach dem Kopfe zu noch keilförmig gebildet ist. Es ist darum an einem Blatte hangend dargestellt, weil die Fische, wenn sie laichen, gern in seichtes Wasser gehen, und ihre Eier an den Stängeln und Blättern der Wasserpflanzen abstreichen, und das Ausbrüten der äusseren Sonnen-Wärme überlassen.~~Fig. 7. Dieser junge Fisch, der in Fig. 5. in der natürlichen Grösse nur wie ein Körnchen aussiehet, ist hier ganz vergrössert dargestellt. Man entdecket schon alle Theile.~~Fig. 8. Die Malermuschel, (Mytilus pictorum), aus ihren äussern Schaalen herausgenommen, und auf den Bauch gelegt, so dass der obere Theil zu sehen ist. Die Cloake ist aufgeschnitten, um dadurch den Weg der Eier aus dem Roogen oder Ovarium sichtbar zu machen.~~a. a. Zwei Hautlappen, durch die Durchschneidung der Cloake entstanden. b. Der getrennte und zurückgeschlagene Mastdarm. c. c. Der Mantel. d. Das Innere der Cloake, welche sowohl die Darmausleerungen, als auch die Eier aufnimmt. e. e. Die beiden Ovarien oder Roogenbehälter auseinandergelegt, um ihre Mündung in die gemeinschaftlicher Cloake deutlicher zu machen. f. f. Der Ort, bis wohin die Cloake reicht, und wo der Mastdarm sich in selbigen einsenkt. g. Die Stelle, bis wohin der Schnitt geführt ist.~~Fig. 9. Die gefächerte Structur dieser Ovarien, von Innen vergrössert gezeichnet.~~Fig. 10. Die Ovarien oder Roogen-Eier der Malermuschel, auseinander gelegt, dass man ihre untere Fläche sehen kann. a. Die Kopfenden, welche mit dem Körper des Thieres verwachsen sind. b. Die Afterenden. c. d. Die äusseren, sehr fein gefranzten Ränder. e. Die neben einander liegenden Muschel-Eier nach weggenommener Haut zu sehen.~~Fig. 11. Die gefächerte Structur dieser Ovarien oder Roogen-Eier vergrössert gezeichnet.~~Fig. 12. Eier aus den Ovarien oder Roggen der Malermuschel, die schon mit blossen Augen als wirkliche Muscheln zu sehen sind; hier aber vergrössert gezeichnet.~~155
Ad00341 07 076a/freMélanges. CCVI. Vol. VIII. No. 74.
L’OVAIRE DE LA CARPE ET DE LA MOULE, OU FORMATION DU POISSON ET DE LA MOULE. (Mytilrus pictorum).
Fig 1. La carpe placée sur le dos, et dont'le ventre ôuyelï laisse apercevoir 'l'ovaire: , a.-Jj.^Jbe.s 4eu^c>orçls dq. ventre ouverts. t:es d 0LjC. t»Pyau- replie.,' 7 d., Le. boy au"; 'cuHer. re-, plié. >e. 1 ànusr ou l'issue du boyati culier, . ï,' Ôùyerture pour la sortie des oeufs du poisson. - i g. h. Les jdëujf ovaires rtout pleins d'oeufs^: et dont la;peau. est/(très »(mince et .très-élaissi-, que. î. La vessie à nager» -t[ -n^igv 2 teioètifs dé l'ovaire grossis afin sié1 Teprésesitè ssaU^stributjön des vaisseau à. lèur;!ëgard, :I ««aisosS h o-isn -3 s, orçls dq. ventre ouverts. t:es d 0LjC. t»Pyau- replie.,' 7 d., Le. boy au"; 'cuHer. re-, plié. >e. 1 ànusr ou l'issue du boyati culier, . ï,' Ôùyerture pour la sortie des oeufs du poisson. - i g. h. Les jdëujf ovaires rtout pleins d'oeufs^: et dont la;peau. est/(très »(mince et .très-élaissi-, que. î. La vessie à nager» -t[ -n^igv 2 teioètifs dé l'ovaire grossis afin sié1 Teprésesitè ssaU^stributjön des vaisseau à. lèur;!ëgard, :I ««aisosS h o-isn -3 s, e. 1 ànusr ou l'issue du boyati culier, . ï,' Ôùyerture pour la sortie des oeufs du poisson. - i g. h. Les jdëujf ovaires rtout pleins d'oeufs^: et dont la;peau. est/(très »(mince et .très-élaissi-, que. î. La vessie à nager» -t[ -n^igv 2 teioètifs dé l'ovaire grossis afin sié1 Teprésesitè ssaU^stributjön des vaisseau à. lèur;!ëgard, :I ««aisosS h o-isn -3 s,
Fig. 3 Des oeuss de .l'ovaire d'un brochet sigurés de là mémo manière et avec le môme; but,. tu; ; v .,' ' Çn."oeuf .de carpe qui n'a pas ènçose^aïtéint sa maturité: et qui a encore b'eà'uc,ou
Ad00341 07 077a(Lilium tigrinum. Kämpf.)~~Die Japanische Tiger-Lille ist eine pachtvolle Zierpflanze, welche est (sic) vor Kurzem aus Japan nach Europa, und zwar in die Englischen Gärten gekommen ist. Japan ist überhaupt das Vaterland so vieler schönen Blumen, welche die Seefahrer von daher nach Europa gebracht haben, die aber, weil sie aus einem warmen Lande herstammen, meistentheils bei uns nur in Gewächs- und Treibhäusern erhalten werden, und unser kälteres Klima nicht vertragen können.~~Diess ist aber nicht der Fall bei der prächtigen Tiger-Lilie; denn diese dauert schon in England den Winter im Freien aus, wenn sie mit dürrem Laube oder Miste bedeckt wird.~~Sie ist ein perennierendes Staudengewächs, wird 2 bis 5 Fuss hoch, und durch ihre zwiebelartige Wurzel fortgepflanzt. Im Julius und August bringt sie ihre prächtigen feuerfarbenen und schwarz gefleckten Blumen, welche einen Garten vortrefflich zieren.~~155
Ad00341 07 077a/frePlantes. CXLIX. Vol. VIII. No. 75.
LE LIS TIGRÉ DU JAPON. (Lilium tigrinum. Kämpf.)
Ce Lis est une;plante magnisique, qui n'a été transportée que depuis peu. du Japon, en Europe, et d'abord dans - les jardins d'Angleterre, En gdrMràl'WJàponesife'patrie ràeT très - belles planteSj que les navigateurs ont apportées en Europe, mais qui provenant d'un pays , chaud ,: ne- . se conserveut çh,ez- nous quç dans les serres chaudes, et ne pourraient point résister, en plein air au sroid' de> notre climat. J»» . Mais;-ce:n>srp5s;}er,ça notre climat. J»» . Mais;-ce:n>srp5s;}er,çasrp5s;}er,ça
Ad00341 07 078aDer Sinn des Geschmacks hat seinen Sitz allein in dem Munde, und besonders in der Zunge; doch haben wir auch am weichen Gaumen, an den Lippen und im Schlunde einige, obgleich nicht deutliche Empfindung des Geschmacks. Wenn wir Etwas schmecken wollen, so muss entweder die Zunge selbst, oder der Körper, den wir schmecken wollen, feucht seyn. Darum ist es eine sehr weise Einrichtung der Natur, dass sie den Mund mit Speicheldrüsen versehen hat. Die Figuren dieser Tafel stellen uns die Hauptorgane des Geschmacks bildlich dar.~~Fig. 1. Die Mundhöhle mit allen ihren Theilen, so wie sie sich zeigt, wenn beide Mundwinkel zerschnitten, und die Lippen zurückgelegt sind. Man sieht da deutlich~~1. Die Oberlippe zurückgelegt, und 2. Das Bändchen derselben. 3. Die zurückgelegte Unterlippe; und 4. Das Bändchen derselben. 5. Die innere Fläche der Backen. 6. Mündung des Speichelganges. 7. Den weichen Gaumen. 8. Den vorderen Bogen des weichen Gaumens. 9. Den hinteren Bogen. 10. Das Zäpfchen. 11. Die Mandeln. 12. Die Zunge.~~Fig. 2. Die Zunge eines Mannes. Man bemerkt daran~~1. Die obere Mündung der Luftröhre, oder die sogenannte Stimmritze. 2 und 3. Das Stimmritzen-Band. 4. Den Kehldeckel mit seiner Haut. Es sind noch viele kleine einzelne Theilchen an der Zunge zu bemerken, welche im ausführlichen Texte zu dieser Tafel erklärt werden.~~Fig. 3. Die Zunge von der rechten Seite, wo man ihre Dicke und ihre gebogene Form bemerkt; ebenso auch folgende einzelne Theile.~~1. 2. 3. Der Kehldeckel. 4. 5. Die Wurzel der Zunge. 6. Die Spitze der Zunge.~~Ausserdem erscheinen hier noch eine Menge Schmeckwärzchen und Schleimdrüschen, über die ganze Zunge verstreut. In den Schmeckwärzchen liegt hauptsächlich der Sinn des Geschmacks.~~Fig. 4. Zeigt ein solches Schmeckwärzchen, und zwar~~a. in seiner natürlichen Grösse. b. dasselbe 25mal im Durchmesser vergrössert. worüber der ausführliche Text mehr und vollständige Erläuterung giebt.~~156
Ad00341 07 078a/freMélanges. CCVII. Vol. VIII. No. 76.
LE GOÛT.
Le siège de ce sens est dans la bouche et particulièrement dans là langue; cependant nous éprouvons aussi une sensation du goût, peu distincte à la vérité, tant au palais qu'aux lèvres et an gosier. Quand nous voulons goûter une chose quelconque, il faut que la langue, ou la chose dont nous voulons avoir le goût, soit humectée. Aussi, par une sage disposition de la nature j la bouche est-elle pourvue de glandes éalivaires. Les figures de cette planche représentent d'une manière sensible les principaux organes du goût.
Fig. 1. La cavité de la bouche avec toutes ses parties telle qu'elle se présente, lorsque les deux bouts de la bouche sont fendus et les lèvres repliées. On y distingue clairement, 1. la Lèvre supérieure repliée et 2. son repli. _ 3. La lèvre inférieure repliée* et 4. son repli» . 5. La surface intérieure des joues, 6. L'ouverture du canal salivaire. 7. Le palais. 8. L'arc antérieur du palais. 9. L'arc de derrière. i •.'. 10. La Luette. - ,, 11. Les Amygdales. 12. La Langue.
Fig. 2. La Langue d'un homme. On y remarque
1. l'orisice supérieur de la trachée-artère. 2. 3, Le lien de la trachée-artère'. 4. L'épiglotte avec sa peau. Il y a encore à remarquer à la langue d'autres petites parties, qui sont expliquées dans le commentaire de notre porte-seuille, .Fig. . 3. Le côté droit de la langue, où l'on jemarque son épaisseur et sa forme courbée;, ainsi que les parties suivantes. ,. I. 2. 3. L'épiglotte. ,4. 5. La racine delà langue. 6. La pointe de la langue. Il y a de plus une quantité de petits mamelons et de glandes pituitaires répandus sur touter la langue. C'est principalement dans ces mamelons que se trouve la'sens du goût.
Fig. 4. Représente un de ces mamelons à a dans sa grosseur naturelle, et à b 25 fois grossi en diamètre. Le commentaire de notre portefeuille donne les explications ultérieures.
Ad00341 07 079aDas Gefühl pflegt man in einem doppelten Verstande zu nehmen, einestheils so, dass man darunter das Gemeingefühl verstehet, welches in jedem empfindlichen Theile des Körpers durch irgend einen Eindruck erregt wird; theils so, dass man darunter die Veränderung begreift, welche von äusseren Gegenständen in der Haut und besonders in den Fingerspitzen hervorgebracht wird. In diesem eingeschränkterem Verstande wird das Wort Gefühl, als Sinn, auch hier genommen.~~Obgleich die ganze Haut überall als Sinneswerkzeug des Gefühls angesehen werden könnte; so sind doch die Spitzen der Fusszehen, und noch mehr die Spitzen der Finger dazu besonders eingerichtet, weil an diesen vorzüglich die Nervenwärzchen vorkommen.~~Das was man im gemeinen Leben die Haut nennt, bestehet in 3 übereinander liegenden Membranen, und diese heissen~~Die Lederhaut; diese bedeckt das Fett und die Muskeln; das Malpighische Netz, ist darüber fast wie ein Schleim gezogen und dann das Oberhäutchen~~Die Lederhaut besitzet einen sehr beträchtlichen Grad von Ausdehnbarkeit, ziehet sich auch wieder zusammen, und ist mit unzählichen kleinen Löchern (Poren) No. 1 und 2. versehen. Ihre Dicke ist sehr verschieden, auch bekommt sie eine grosse Menge Arterien, Venen und zarte einsaugende Lymphgefässe No. 3. Wegen der vielen Nerven, die sie enthält, hat sie einen hohen Grad von Empfindlichkeit, hauptsächlich, wo man Nervenwärzchen wahrnimmt No. 4. 5. 6. 7. Auch hat diese Haut eigene Schmalzdrüschen No. 8. wie Körner, z. E. an der Nase No. 8. sich zeigen. Den Aussersten Ueberzug des ganzen Körpers macht das Oberhäutchen No. 10. 10. 10. Es gehet und formt sich nach der ganzen Oberfläche des Körpers, so wie in alle Falten der Hand und Finger. No. 11. 11. 11. 11. 11. 11.~~Die Haare des Menschen, sind vergrössert im Bilderbuch schon Band. III. Taf. No. 17. Fig. 1. dargestellt worden. Sie nehmen den Ursprung aus den Fettzellen unter der Lederhaut No. 12. Die natürliche Grösse der Zellen der Haare a. Die vergrösserte Figur b. und gehen durch kleine Löcher, No. 13 a. 13. b. aus der Lederhaut hervor. Säckchen des Oberhäutchens, No. 14. 14., woraus das Haar hervorgehet. Die Nägel, No. 15. 16. 17. sind nicht minder merkwürdig. An ihrer inneren Fläche haben sie ebenfalls Furchen und Streifen, No. 18, welche sich bis an die Wurzel erstrecken. Unter dem Nagel liegt das Malphigische Netz, No. 19. Die Haut des oberen Gliedes des Daumens ist sehr vergrössert, No. 20. Ebenso ein Stückchen der inneren Hand, No. 21, No. 22. ist der innere; das Fett bedeckende Theil der Lederhaut. No. 23. Das darunter liegende Fett. Und endlich No. 24. die Fleischmuskeln und Sehnen der Hand, die darunter liegen.~~Die inneren Falten der Haut in der hohlen Hand machten vor vielen Jahren eine besondere Wissenschaft, Chiromantie genannt, aus, indem man ihnen eigene Namen gab, um daraus, so wie noch die Zigeuner thun, zu wahrsagen. So hiess A. linea vitalis, die Lebenslinie. B. linea naturalis, die Naturlinie C. linea mensalis, die Tischlinie, D. linea hepatica, die Leberlinie und Magenlinie. E. linea saturnalis, die Glückslinie. F. Die Rascetta. G. Lineae discriminales, die Entscheidungslinien.~~Ein Mehreres darüber besagt der ausführliche Text.~~156
Ad00341 07 079a/freMélanges. CCVIII. Vol. VIII. No. 77.
LE TACT, OU REPRÉSENTATION DE LA PEAU HUMAINE.
Lé'tàct;on'toucher, est pris dans un double sens; savoir là sensation générale du toucher, qui'est produite- "dans- chaque partie-sensible du corps, par itn%àmpressiQiir quelconque, ou bien, le changemeîit que les objets/ extérieurs sont, éprouver ; dans la peau et surtout à la pointe des doigts. , Ce n'est que dans ce. dernier .sens que le toucher est ici considéré. Quoique la peau entière.puisse être partout regardée comme , un organe, du. toucher,, il.n'en est pas- moins, y,rai que les pointes des >orteilSv^t des doigts.en s.ont les principaux instrurnens , ; parcequ'elles sont le plus gour.ynes de marrrelons. nerveux. bUil .Ce .que l?oh: nomme la^peau dans ,1a vie .commune, est composé de 3 naembraries, placées l'une, sur l'autre, qui: s'apellent 'La. membrane cellulaire, /elle eouvrer;la ,,.,, ..graisse..et, lés muscles.; -t , 'O ?m ci La mçmbrane^rétiçulaù-e,.elle est répandue jt. . comme,des.glaires, 'on et! -1:. et ,VJpjde?iâne,.A. La membrane cellulaire a beaucoup d'élasticité et une infinité de pores, No. i._. 2. 'Son épaisseur varie beaucoup et elle reçoit quantité d'artères et de veines, et dé vaisseaux iymprjàïiqueV.j No'. 3.r "La quantité de petits héi:fs' qu'elle,: contient, lui /donnent ' un haut degré de sensibilité surtout là 'ou' (Ton decoùvreles; niarriëlons,- No. '4'/'5.;'6;' fs' Cette 'membrane a atassi ses propres'glandulé.sgraisseu'ses', qui ressemblent ' à des grains, comme au iriez p. E.' No. 8- C'est l'epiderme, No. iß. 10. iorteilSv^t des doigts.en s.ont les principaux instrurnens , ; parcequ'elles sont le plus gour.ynes de marrrelons. nerveux. bUil .Ce .que l?oh: nomme la^peau dans ,1a vie .commune, est composé de 3 naembraries, placées l'une, sur l'autre, qui: s'apellent 'La. membrane cellulaire, /elle eouvrer;la ,,.,, ..graisse..et, lés muscles.; -t , 'O ?m ci La mçmbrane^rétiçulaù-e,.elle est répandue jt. . comme,des.glaires, 'on et! -1:. et ,VJpjde?iâne,.A. La membrane cellulaire a beaucoup d'élasticité et une infinité de pores, No. i._. 2. 'Son épaisseur varie beaucoup et elle reçoit quantité d'artères et de veines, et dé vaisseaux iymprjàïiqueV.j No'. 3.r "La quantité de petits héi:fs' qu'elle,: contient, lui /donnent ' un haut degré de sensibilité surtout là 'ou' (Ton decoùvreles; niarriëlons,- No. '4'/'5.;'6;' fs' Cette 'membrane a atassi ses propres'glandulé.sgraisseu'ses', qui ressemblent ' à des grains, comme au iriez p. E.' No. 8- C'est l'epiderme, No. iß. 10. ii Vol. III. de aiptre -porte.-..feuille, les cheveux' de l'jhorbme. S Ils -sortent des; '.cellul es: graisseu.ses> à:u 'dessous' de, :1a 1 ir.émbrahe cellulaire.,: 'No. ,13. ; Grandeur naturelle. des:: cellules^ deV.ehe: veux, ay.'aggsandié; i>.% et'sortent de cette membrane'par de petits: trous'; : No. -13. a; 13. b. Petits sachets de Pépidermey No. 14. 14. par où passent.les. chev.eux.'- Les .ongles, No. 15;" 16. .i/.-me. sont 'pasimbins^rdmarquablesi. Elles ont également dans leur intérieur "des -sill'ons eï. de?s/rhies',r No. .ig-'!qui : se prolon;ge'nt jusqu?auxi racines/ 'vLa8anerabrane;réti* -éulàire,!iNo;\s;a^se trouve au 'dessous de Fongle". •La: peau'de l'articulation- 'supérieure 'du pouce est très-grossie à No. 20. Il en .est de i même de la petite partie de la paume,de la main, .Noi 21.. No. 22. est la partie .'intérieure .de la rmèmbràne cellulaire qui -.couvre :1a graisses No. 23. la graisse elie-même-et: enfin No.'24A .les; muscles e't- les tendons de ,1a >main..jmi sont audesious. : ; ;, ;,' jiiII'y a quelque terris que les plis internes de la paume de la main étaient l'objet d'une science particulière, nommée.' chiromancie,' eu .ce/qu'on-/donr-ait un nom propre .à,.'chacun .ligne /naturelle. Ç. Linea mensalis;'ligné'rnehsalê. 'D. Xmeahepaticà.; ligne'hépatique. ' % Linea saturnalis; ligne "sat.urnaïe. ' F. La Hàscetta. G. Lineae ^discriniinales ; lignes de décision.. j t On trouve "dans le,commentaire.'de notï* porteseuille de plus amples détails.
Ad00341 07 080a

Pflanzen CL. Bd. VIII. No. 78.

DER NEUSEELÄNDISCHE FLACHS. (Phormium tenax.)

Der Neuseeländische Flachs ist eine, durch die berühmten Weltumsegler Cook, Forster und La Biliardière erst vor ungefähr 30 Jahren in Neuseeland und andern Inseln der Südsee neuentdeckte Pflanze, welche den dortigen Einwohnern von grossem Nutzen ist, und in der Folge selbst für das südliche Europa wichtig werden kann. Die Südsee-lnsulaner brauchen und bearbeiten ihre Blätter, wie wir den Flachs oder Hanf, und verfertigen sich daraus Stricke, Angelschnuren, Bindfaden, und feinere oder gröbere Zeuche zu ihren Kleidern und dergl.

Die Pflanze selbst ist gross und stark, und perennirend. Die Blätter stehen an der ästigen Wurzel, gleichen den Irisarten, sind 6, 8 und mehrere Fuss lang, ziemlich breit, stark geädert, sanft anzufühlen, und haben eine schöne dunkelgrüne Farbe, und einen braunröthlichen Saum. Sie sind bis zur Hälfte der Staude zusammengewachsen, von da sie sich dann flach überhängend ausbreiten. Aus der Mitte treibt die Pflanze, wenn sie erst mehrere Jahre gestanden hat, und gehörig stark geworden ist, einen 5 bis 6 Fuss hohen Blumenstengel, dessen oberste Blume sich zuerst entwickelt, und welcher sodann die Blumen der kleinen Seitenäste folgen.

Die Blumen sind bis 3 Zoll lang, gelb und röthlich von Farbe, und so blühet die Pflanze ziemlich lange fort, und setzt dreieckige Saamenkapseln an. In Europa hat sie zuerst in Haarlem i. J. 1814 geblüht, und Saamen getragen; und es ist kein Zweifel, dass man sie auch im südlichen Europa, z. E. in Ober-Italien, an den Ufern der Flüsse, im Freien anbauen, und grossen Nutzen daraus ziehen könne.

156
Ad00341 07 080a/fre

Plantes. CL. Vol. VIII. No. 78.

LE LIN DE LA NOUVÈLLE-SÉLANDE. (Phormium tenax.)

Il y a près de 30 ans que les célèbres navigateurs Cook, Forster et La Biliardière découvrirent dans la Nouvelle-Sélande et dans les autres îles de la mer du sud cette plante, qui est de là plus grande utilité pour lés habitans de ces contrées, et qui peut procurer dans la suite des avantages infinis au midi de l'Europe. Les insulaires préparent et travaillent ses feuilles, dont ils font des cordes, des cordons, de la ficelle, des étoffes de diverses qualités, comme nous préparons le lin et le chanvre.

La plante est grande, forte et vivace. Les feuilles, qui tiennent à la racine noueuse, ont 6, 8 pieds de haut et même au delà. Elles sont assez larges, avec de fortes veines, douces à toucher, et d'un beau vert foncé avec une lisière d'un brun rougeâtre. Elles tiennent ensemble jusqu'à la moitié de la plante, où elles se divergent et s'étendent en se courbant à plat. Du milieu de la plante s'élève, quand celle-ci est assez forte et qu'elle a atteint quelques années, une tige à fleurs, de 5 à 6 pieds de haut, dont la fleur supérieure est la première à éclore, les autres fleurs ne se développent qu'après.

Les fleurs de 3 pouces de long, sont jaunes et rougeâtres, et se conservent assez long tems. La plante forme alors des calices à semence triangulaires. Elle a fleuri et porté des semences pour la première fois en Europe à Haarlem en 1814. Il n'est pas douteux qu'on ne puisse la cultiver avec succès en plein air dans le sud de l'Europe, p.E. dans la haute Italie, le long des fleuves, et qu'on ne puisse en retirer les avantages les plus précieux.

Ad00341 07 081aFig. 1. Das Haarschild. (Cancer puber.)~~Diese prachtvolle, glänzend orangenfarbige Krabbe lebt im Adriatischen Meere. Ihr Schild ist runzlich, grauhaarig und an beiden Zeiten fünfmal gezahnt.~~Fig. 2. Der Breitfuss. (Cancer depurator.)~~Diese blassviolettfarbige Krabbe war schon den Alten bekannt. In Hamburg nennt man sie den Fliegenkrebs. Wegen ihrer schönen, reinen und glänzenden Farbe nennt man sie auch oft die Porcellankrabbe. Sie frisst todte Fische und andere am Ufer zurückgebliebene Unreinigkeiten, so dass sie das Ufer von allem Aase und Kothe reinigt, wesshalb v. Linné wohl dieser Krabbe den Namen: Depurator (Reiniger) ertheilte.~~Fig. 3. Die Sammetkrabbe. (Cancer velutinus.)~~Diese Krabbenart findet man an England's Westküste. Der an den Seiten fünfmal sägenförmig gezahnte Schild ist mit kurzen sammetartigen, braunen Haaren besetzt. Daher der Name dieser Krabbe.~~Fig. 4. Die Stachelkrabbe. (Cancer aculeatus.)~~Diese, in America einheimische, Krabbe ist sehr selten. Ihre Farbe ist überall braungelblich und schmutzig. Nähere Nachricht über sie ertheilt der Ausführliche Text.~~Fig. 5. Der Held. (Cancer victor.)~~Dieser blassgelben, oberhalb mit rostfarbigen Puncten und Strichen bedeckten, Krabbe Vaterland ist unbekannt. Ihre Arme, Hände und Füsse sind weiss.~~Fig. 6. Die Rumphius-Krabbe. (Cancer Rumphii.)~~Die Farbe dieser, in Ostindien einheimischen Krabbe ist ein röthliches Gelb mit verloschenen, rothen, netzartigen Zügen. Nähere Nachrichten sehe man im Aussührlichen Texte.~~Fig. 7. 8. Der Todtenkopf. (Cancer Caput mortui.)~~Fig. 7 stellt diese, gleichfalls in Ostindien einheimische, seltsame Krabbe von oben, und Fig. 8 von unten vor. Ihre Hauptfarbe ist dunkelbraun, das aber auf beiden Seiten viele lichtbraune Stellen hat. Die Ansicht der unteren Seite dieser Krabbe (Fig. 8) bietet eine auffallende Aehnlichkeit mit einem Todtenkopfe dar. Daher auch der Name rührt.~~156
Ad00341 07 081a/freInsectes. LXXIX. Vol. VIII. No. 79.
DIVERSES ESPÈCES DE CRABES.
Fig. 1. Le Crabe velu. (Cancer puber.)
Ce superbe Crabe, couleur,d'orange vit dans la mer adriatique. Son corselet est ridé, grisâtre, velu, et a 5 dents de chaque côté,
Fig. 2. Le Crabe purificateur. (Cancer depurator.)
Ce Crabe d'un violet pâle était déjà connu des anciens. A Hambourg on le nomme Crabe aux mouches. Sa couleur unie et luisante le fait'a^ssï nommer souvent Crabe de' Porté' laine. Il se nourrit de poissons morts et des autres saletés, qui s'-arrêtent sur le rivage, de sorte qu'il le nettoie des charognes et autres ordures, ce qui a déterminé Linné à lui donner Je nom de purisicateur.
Fig. 3. Le Crabe velouté. (Cancer velutinus.)
On trouve ce Crabe sur' la côté occidentale d'Angleterre. Le corselet, pourvu des deux côtés de 5 dents en forme de scie, est recouvert dis poils bruns très-courts, et veloutés, qui lui ont fait donner la dénomination qu'il porte.
Fig. 4. Le Crabe à aiguillons. (Cancer aculeatus.)
Ce Crabe, qui n'est indigène qu'à TAmeîipue, est très-rare. Sa couleur est d'un brun jaunâtre et sale. : Voyez les détails dans'le commentaire de notre porte - feuille.
Fig. 5. Le Héros. (Cancer victor.)
On ne connaît pas la patrie de ce Crabe dont la couleur est d'un jaune pâle, tacheté cependant au dessus de points et de lignes couleur de rose. Ses bras, ses mains et ses pieds sont blanes.
Fig. 6. Le Crabe de Rumphius. (Cancer Rumphii.)
La couleur de ce Crabe, ,indigène aux Indes orientales, est d'un jaune rougeâtre avec des traits asfaiblis, rouges, et sormés en réseau. Le commentaire de notre porte-feuille donne de plus grands détails.
Fig. 7. 8. Le Crabe Tête de Mort. (Cancer Caput mortui.)
Fig. 7 représente la partie supérieure de cet étrange Crabe, pareillement indigène aux Indes orientales, et sig. g la partie inférieure. Sa couleur principale est le brun foncé, mais sur les côtés on voit des taches d'un brun-clair. Ce Crabe, regardé parle bas, figure parfaitement une tête de mort, d'où lui vient aussi sa dénomination.
Ad00341 07 082aDen Zimmerplatz, auf welchem Schiffe gebauet werden, nennt man einen Werft. Sie sind immer bei den Häven angelegt, und es gehören dazu viele Gebäude zu den Schiffbaumaterialien, Maschinen und andere grosse Vorrichtungen. Wir sehen hier ein Paar Theile eines solchen Werfts, auf welchen der angefangene Bau oder das innere Gerippe eines grossen Kriegs-Schiffs, und eine fertig gebaute Fregatte, welche eben vom Stapel laufen soll, liegt.~~Fig. 1. A. Das Gerippe eines Kriegsschiffs von 120 Kanonen.~~Der Anfang und die unterste Grundlage eines jeden Schiffs ist der Kiel (a), ein grosser dicker Grundbalken, von der Länge des ganzen Schiffs, welcher auf seinen Stapelhölzern (b. b. b. b.) als Grundlagen ruht, an welchen sich die Bauchstücken und Ribben des Schiffs anschliessen, und auf welchem die starke Säule (e) steht, an welche das bewegliche Steuer-Ruder, wodurch man das Schiff lenkt, gehängt wird. Das Innere des Schiffs hat viele künstlich zusammengefügte Theile, welche den hohlen Körper des Schiffs zusammenhalten, und die man von aussen nicht sehen kann.~~Von aussen sieht man den Spiegel, oder das Hintertheil des Schiffs, (Fig. A. c. et B. Fig. 2. C. h.) welches glatt ist, woran das Bild, wovon das Schiff den Namen führt, steht, und über welchen die grosse Schiffs-Flagge (Fig. A. k. Fig. C. i.) aufgesteckt wird. Der Vordertheil des Schiffs, oder der Schiffsschnabel, heisst das Gallion (d.). Dieses Linienschiff vom ersten Range ist ein Dreidecker, oder hat 3 Verdecke übereinander, (f. f. f.) auf welchen 3 Batterien von 120 Kanonen stehen, wie die Schiesslöcher zeigen. In dem Bauche des Schiffs befindet sich noch eine grosse Oeffnung mit einer Brücke, um die Baumaterialien hineinzuschaffem~~Fig. 2. Ein fertiges Schiff, das vom Stapel laufen soll.~~Diess fertige Schiff, welches, wie das fertige Zimmergerüste eines Hauses, mit grünen Kränzen und Sträussern geschmückt wird, ist eine Französische Fregatte nur mit einer Reihe Kanonen. Sie ruhet noch auf ihren Stapelhölzern, welche auf der Vorderseite beträchtlich erhöhet sind, weil das Schiff mit der Hinterseite vom Stapel und in's Wasser läuft. Rundherum stehen noch seine starken Stützen, damit es nicht umfallen kann. Unten ruht das Schiff mit seinem Kiel auf einem Gerüste, oder einer Art von Schlitten, welcher auf dicken eichenen Balken oder Strassbäumen liegt, die mit Seife geschmiert, sehr glatt sind und bis in's Wasser reichen. Da nun das Schiff auf diesem Gestelle hinten hoch und vorn nach dem Wasser zu tief liegt, so gleitet es, wenn die Taue, welche es fest halten, hinten abgehauen werden, schnell herab in's Meer; und läuft vom Stapel.~~156
Ad00341 07 082a/freMélanges. CCIX. Vol. VIII. No. 80.
CONSTRUCTION DE VAISSEAUX.
L'endroit où Ton construit dés vaisseaux se nomme chantier-, il est toujours près du port, et il faut divers bâtimens, tant pour les matériaux de construction, que pour les machines y attenante;. La planche-ci-jointe sigure deux parties d'un chantier, où se trouve la carcasse -d'un vaisseau de guerre en construction , et une frégate achevée et prête à être lancée à l'eau. . seau
Fig. 1. A. La Carcasse d'un vaisseau de guerre de 120 canons.
Le commencement ou la base de chaque vaisseau est.la quille; (a). C'est une pièce de bois, grande, et épaisse, qui régne depuis la proue jusqu'à la poupe dû vaisseau, et qui repose sur ses ètraves (b. b. h. b.), à laquelle se joignent les' diverses pièces de construction, et sur laquelle est placée la forte colonne, (c) à laquelle est suspendu le gouvernail, qui sert à diriger le vaisseau. L'intérieur du vaisseau a plusieurs parties artistement réunies, qui attachent la carcasse creuse du vaisseau, et que l'on ne peut voir en dehors. En dehors on aperçoit la poupe du vaisseau (A. c. et B. Fig. . 2. C. h.)."porté le nom, et sur laquelle, est arboré le'grand .pavillon du vaisseau, (Fig. . A. k. Fig. . C. i). Le bec du vaisseau se nomme la proue (d.). Ce vaisseau de ligne du premier rang est à 3. ponts , (f. f. f.) sur lesquels se trouvent 3 batteries de 120 pièces de canons, com;me .le prouvent les embrasures. Au bas se trouve encore une large ouverture pour introduire les. pièces nécessaires à son vaivrage. qui est unie et sur laquelle est l'image de ce dont le vais
Fig. 2. Vaisseau sur le chantier prêt à être lancé à l'eau.
Ce vajsseau qui comme la charpente d'une maison, est décoré de guirlandes et de bouquets , est une frégate française, ;ii'avant qu'une seule rangée ' de canons. Elle repose encore sur ses éi raves qui sur le derrière sont beaucoup plus hautes pareeque c'est par la poupe qu'on la lance à l'eau. Elle a encore ses acores, ou soutiens pour qu'elle ne se renverse pas. Son lit de la cale repose sur un berceau,, qui est posé sur de longues pièces en chêne, nommées anguilles, qui sont trèsunies et bien suiffées, et se prolongent jusque dans l'eau. La proue du vaisseau se trouvant plus, élevée que la poupe, le vaisseau glisse rapidement dans la mer^ lorsqu'on coupe le câblé qui le retient, et se trouve par là lancé à Veau.
Ad00341 07 083aDer wesentliche Theil des Geruchs-Organs ist die Schleimhaut der Nase, in welcher sich die Geruchs-Nerven ausbreitet, so dass das Geruchs-Organ zwischen den übrigen Sinneswerkzeugen in der Mitte liegt. Der ganze Raum, welcher das Geruchs-Organ aufnimmt, ist durch eine Scheidewand in zwei Höhlen, eine rechte und eine linke, getheilt.~~Wenn wir riechen wollen, so ziehen wir die mit den flüchtigen öligen und salzigen Theilchen der riechbaren Körper angefüllte Luft in die Nase; diese Theilchen berühren die Schleimhaut und die feinen Zweige der Geruchs-Nerven, und bewirken in diesen Nerven eine Veränderung, die sich bis in das Gehirn fortpflanzt. Viele Thiere haben einen schärferen Geruch als der Mensch, welchem ein gar zu scharfer Geruch nur lästig wäre. Doch lässt der Geruch sich auch durch Hebung schärfen, daher kommt es, dass manche wilde Nationen die Spur von Menschen und Thieren durch den Geruch entdecken können. Und wie gut ist es, dass die Nase sich gerade über dem Munde befindet, indem wir bei dem Essen auch durch den Geruch die geniessbaren Speisen entdecken können.~~Der höchst weise und künstliche Bau unseres Geruchs-Organes im Innern des menschlichen Kopfs, ist nun auf beiliegender Abbildung entwickelt, und alle einzelne Theile desselben in dem ausführlichen Texte angezeigt, auf deren Erklärung, welche hier zu weitläuftig seyn würde, wir unsere jungen Leser verweisen müssen.~~157
Ad00341 07 083a/freMélanges. CCX. Vol. VIII. No. 81.
L'ORGANE DE L'ODORAT OU LE NEZ DE L'HOMME.
La partie essentielle de l'organe de l'odorat est la pellicule glaireuse du nez, danslaquelle s'élargissent les nerfs de l'odorat, de sorte que cet organe se trouve au milieu des ressorts de ce sens. Tout l'espace qu'occupe l'odorat est divisé, par un paroi, en deux cavités, dont l'une à droite et l'autre à gauche. Quand nous flairo"*, irons attirons ssans le nez l'air *cinpli de particules fluides, huileuses et salées des corps particuliers; ces particules frappent la pellicule glaireuse et les tendres ramifications des nerfs de l'odorat, et opèrent dans ces nerfs un changement qui se propage jusque dans le cerveau. Il y a beaucoup d'animaux dont l'odorat est beaucoup plus fin que celui de l'homme, à qui un odoratplus délicat serait très - souvent importun. Avec de l'exercice on rend l'odorat plus subtil; aussi trouve-1-on des nations sauvages, qui découvrent à l'odorat les traces des homme» et : des animaux. Et quel bienfait n'est - ce pas que le nez soit placé précisément au des? sus de la bouche, puisque l'odorat nous met à même en mangeant de juger et nous avertit des mets que nous allons prendre. ' La structure sage et ingénieuse de cet organe dans l'intérieur de la tête de l'homme est figurée.sur là planche ci-jointe, mais toutes les, diverses parties en sont détaillées dans le commentaire de notre Portefeuille, et nous y renvoyons nos jeunes lecteurs, pour y voie les explications que la place ne nous permet pas de donner ici.
Ad00341 07 084aDiese Bewohner der südlichen Spitze von Afrika sind von bräunlich-gelber Farbe, und haben in der Bildung des Schädels, des Gesichts, der Haare, der Hände und der Füsse, manche Besonderheiten, welche in den Figuren dieser Tafel vorgestellt sind.~~Fig. 1. Der Kopf eines Buschmanns, von etwa 20 Jahren, von vorne gesehen. In dieser Ansicht sieht man am deutlichsten die Augen, die verhältnissmässig klein und hinter wulstigen Augenliedern erscheinen; der innere Augenwinkel ist mehr herabgezogen als der äussere. Die Backenknochen sind stark hervorragend, die Nase ist kurz, aber dick und stumpf, die Lippen aufgeworfen. Die Lippen und die Haut der Backenknochen sind hochroth.~~Fig. 2. Der Kopf des Buschmanns von der Seite gezeichnet. Hier sieht man, wie niedrig, im Verhältnisse zu dem ganzen Kopfe, die Stirne erscheint, und wie unbedeutend der ganze Umfang des Schädels gegen das Gesicht ist. Die Lippen und das Kinn ragen weit mehr als die zurückgezogene Nase hervor. Die Ohren sind stark ausgebildet. Die Haare erscheinen als einzelne kurze Löckchen, von denen jedes aus sehr genau verbundenen zarten Wollhaaren besteht.~~Fig. 3. Der Fuss, und zwar der Rücken desselben. Die kleine Zehe erscheint weit kürzer, als bei den Europäern.~~Fig. 4. Die Hand, von der Rückseite gezeichnet. Der kleine Finger ist nicht nur weit kürzer, als man ihn bei den Europäern findet, sondern scheint auch nur zwei Glieder zu haben.~~Fig. 5. Der kleine Finger, von der inneren Fläche gezeichnet, wo nur ein Einschnitt das einzige Gelenk an der Beugeseite bezeichnet, da bei den Europäern die beiden Gelenke des kleinen Fingers an seiner Beugeseite durch zwei Einschnitte bezeichnet sind.~~Fig. 6. Ein Haarlöckchen vom Kopfe, besonders gezeichnet, um die Verwickelung der Wollhaare in demselben darzustellen.~~Fig. 7. Zwei grössere Haarlöckchen, welche da, wo sie an der Haut sassen, unter einander gewirrt waren.~~157
Ad00341 07 084a/freMélanges. CCXI. Vol. VIII. No. 82.
LES HOTTENTOTS.
Lies habitans-de la pointe méridionale de l'Afrique sont d'un jaune brunâtre; ils ont dans la conformation du crâne, du visage, des cheveux, des mains et des pieds, des particularités, qui sont sigurées sur la planche cijointe.
Fig. 1. La tête d'un Hottentot d'environ 20 ans, vue en face. C'est le point de vue le plus favorable pour voir distinctement les yeux qui sont à proportion petits, et qui pa« laissent derrière des cils très - gonflés ; l'angle intérieur de l'oeil est plus ouvert que l'extélieur. Les os des joues sont très - saillans ; le nez est-court, mais gros et applati, les lèvres grosses. Les joues et les lèvres sont d'un rouge ponceau. . .
Fig. 2. La tête d'un Hottentot vue de profil. On voit combien le front est petit en comparaison de la tête entière, et combien toute la circonférence du crâne est insignifiante par rapport au visage.. Les lèvres et le .menton sont beaucoup plus saillans que le nez applati. Les oreilles sont fortement conformées. Les cheveux ressemblent à de petites boucles isolées, dont chacune est composée de fils de laine très-fins, liés fortement ensemble.
Fig. 3. Le pied et à la vérité le dessus. Le petit orteil paraît plus court que celui des Européens. /
Fig. 4. Le dessus de la main. ,Le petit doigt est non seulement beaucoup plus court qu'en ne le trouvé chez les Européens, mais il parait aussi n'avoir que 2 membres.
Fig. 5. Le petit doigt, vu du plat de la main, où un seul pli désigne la seule articulation à la jointure, pendant que chez les Européens les deux articulations du petit doigt sont marquées à chaque jointure, par un pli.
Fig. 6. Une boucle de cheveux, dessinée à part pour représenter la manière dont les cheveux laineux sont mêlés ensemble.
Fig. 7. Deux boucles de cheveux, qui étaient mêlées l'une dans l'autre, quand elles tenaient à la tête.
Ad00341 07 085aDie folgenden drei Vögel-Arten sind alle in Süd-America einheimisch, und bis jetzt noch sehr wenig bekannt.~~Fig. 1. Der schwarz- und rothe Grossschnabel. (Loxia torrida. Linn.)~~Dieser Vogel lebt vorzüglich in Paraguay. Er ist 5 Zoll lang, und also ungefähr so gross als unsere Europäischen Kernbeisser. Sein Gefieder ist am Kopfe, Halse, Rücken und Schwanze grösstentheils schwarz; an der Brust und dem Bauche blassroth. Auf den Flügeln hat er einige weisse Deckfedern, und über dem After einige dergleichen braune. Er nährt sich von den Kernen mehrerer Früchte und harten Sämereien.~~Fig. 2. Der Surucuo. (Trogon Curicui. Linn.)~~Der Surucuo oder Kuruku ist besonders in Brasilien einheimisch, aber auch da selten, denn er lebt nur in den dicksten Wäldern. Er ist von der Grösse einer grossen Taube und ausserordentlich schön von Farben. Kopf, Hals, Rücken, grösstentheils blau und grün; die Kehle schwarz; Brust und Bauch hochroth, und die Flügel grau mit weissen Schwungfedern. Er lebt sehr einsam in dicken Wäldern und nistet in hohlen Bäumen, wo er sich ein Nest aushöhlet. Er nähret sich von Gewürmen und grossen Insecten; sein Fleisch ist aber nicht essbar.~~Fig. 3. Der Gallita.~~Der Gallita oder kleine Hahn ist ein seltener Vogel, der vorzüglich in Brasilien lebt. Er scheint fast zu dem Hühnergeschlechte zu gehören, denn er nährt sich auch von Körnern und Sämerei. Sein Gefieder ist weiss, grau und schwarz. Er fliegt gut und sehr hoch in die Luft. Da er sich von Körnern nährt, so ist sein Fleisch auch essbar und gut.~~157
Ad00341 07 085a/freOiseaux. LXXXVlI. Vol. VIII. No. 83.
OISEAUX ÉTRANGERS.
Les trois espèces d'oiseaux figurées sur la s'enfonce dans les forêts. II ^a, la grandeur planche ci-jointe sont indigènes à l'Améri- d'un gros pigeon et son plumage est de; toute; que méridionale, et ne sont que très - peu' beauté. La tête, le cou et le dos sont bleus connues. et yerds, le gosier est noir, la poitrine et le
Fig. 1. Le Gros-bec noir et rouge. (Loxia torrida. Linn.)
ventre ponceau, et les aîles grises avec des pennes blanches. Il vit solitaire dans l'épaisC'est au Paraguay que cet oiseau vit de seur des forêts' et il creuse s°^ nid'dans les préférence. Il a 5 pouces de. long, et ainsi arbres. Il se nourrit de vers et de gros inil est à peu près aussi grand que notre gros sectes, aussi n'est-il pas bon à manger. bec d'Europe. Le plumage du cou, de la tête, du dos et de la queue est presque entièrement noir, et celui de la puitrine et du ventre d'un rouge pâle. Quelques-unes des grandes plumes de l'aile sont blanches, et quelques autres, qui se croisent sur le crou
Fig. 2. Le Surucuo. (Trogon Curicui. Linn.)
Fig. 3. Le Gallita.
Le Gallita est un oiseau très-rare, qui habite principalement le Brésil. H parait pion, brunes. 11 se nourrit de noyaux de tenir à la famille des poules, car il se nourplusieurs fruits et de graines. ïit aussi de grains et de ^.^ - fey^ le g*« «t-le noir; sont les couleurs-de son plumage. IL vole très - bien et s'éj^ve trèsLe Surucuo est surtout indigène au Pa- haut* Comme i] se nourrit de grains la chair raguay, cependant il y est rare, parcequi'l eu est très-délicate.
Ad00341 07 086aFig. 1. Der Yaguarundi. (Felis Yaguarundi. Lacep.)~~Der Yaguarundi ist eine grosse wilde Katzen-Art, die vorzüglich in Brasilien einheimisch ist, und in dicken Wäldern lebt. Er ist fast 1 Elle lang, und hat einen 13 Zoll langen starken Schwanz. Er ist von Farbe ganz grau; Nacken, Rücken und Schwanz beinahe schwarzgrau; Seiten, Bauch und Beine etwas heller. Er ist sehr wild und reissend, und lebt vorzüglich von der Jagd kleinerer Thiere, als Hasen, Rehe, Schaafe und Hunde. Er klettert sehr gut auf Bäume, wo er liegt und auf seinen Raub lauert.~~Fig. 2. Der Jaguar. (Felis onza. Linn.)~~America hat zwar keine Löwen, aber doch ein Paar Tigerarten, die nicht minder wild und reissend sind. Der wildeste davon ist der Jaguar, den die Americaner Yaguarete nennen. Er unterscheidet sich in Grösse und Farbe fast gar nicht vom Afrikanischen oder Ostindischen Panther, und hat eben solche runde schwarzbegränzte Flecken. Er ist vielleicht noch wilder und blutgieriger als der Löwe und Tiger; und so stark, dass er ein Pferd oder ganzen Ochsen, den er erjagt und erwürgt hat, in einen Wald, oder schwimmend durch einen breiten Fluss schleppen, und an einen sichern Ort bringen kann, um seine Beute ruhig zu verzehren. Er lebt vorzüglich in Brasilien auf Paraguay, und ist den Viehheerden ausserordentlich schädlich.~~157
Ad00341 07 086a/freQuadrupèdes. LXXXIII. Vol. VIII. No 84.
ANIMAUX DE L'AMÉRIQUE MÉRIDIONALE.
Fig. 1. Le Yaguarundi. (Felis Yaguarundi. Lacep.)
Le Yaguarundi est une très-grande espèce de éhats sauvages, indigène surtout au Brésil, et qui se plaît au milieu des forêts les plus épaisses. Il a près d'une aime de long et sa' queue qui est très-forte, 13 pouces. Il est tout gris; la nuque, le dos et la queue sont d'un gris-noirâtre, pendant que les flancs, le ventre et les jambes, sont d'un gris plus clair. Il est très - farouche et vorace et se nourrit principalement d'animaux plus petits que lui,, tels que lièvres, chevreuils, brebis et chiens. Il grimpe très-adroitement sur les arbres, où il se place poux guéter sa proie.
Fig. 2. Le Jaguar. (Felis onza. Linn.)
L'Amérique n'a point de lions, mais elle a deux espèces de tigres, qui ne sont pas moins féroces. Le Jaguar, que les Américains appellent Yaguaréte, est le plus farouche. Il ne disfère presque pas de la Panthère d'Afrique ou dés Indes orientales pour la grandeur et la çpuleur, et a les mêmes taches noirâtres. Il est peut- être plus sanguinaire et plus cruel que le lion et le tigre, et il est si: fort qu'il traîne dans une forêt un cheval ou un feoeuf entier, qu'il a attrapé et tué, ou il le passe à la nage quelque large que soit la rivière, et peut le transporter dans sa tannière pour l'y dévorer à loisir. Il est très- . commun au Brésil et fait de très - grands ravages dans les troupeaux.
Ad00341 07 087aDer edle Weinstock (Vitis vinifera. Linn.) stammt ursprünglich aus Klein- und Mittel-Asien her, von da er sich schon in den frühesten Zeiten durch Griechenland und Italien über das ganze südliche Europa und die andern Welttheile verbreitete, so wie die Menschen lernten den Saft seiner Trauben auszupressen, und daraus das kostbare und so allgemein geliebte Getränk, den Wein, zu bereiten.~~Der Weinstock ist eine rankende Schlingpflanze, welche mit Hülfe ihrer kleinen Haken oder Gäbelchen, an den Bäumen, Felsenwänden und Häusern in die Höhe klettert, sich selbst aber nicht, so wie ein anderer Baum, in der Höhe halten kann.~~Der edle Weinstock ist eine zärtliche Pflanze, welche warme Länder liebt, und daher bei uns nur durch Kunst und Sorgfalt überwintert werden kann, damit ihn der Frost nicht tödte. Durch Kunst und Cultur sind auch sehr viele Arten des Weins (so wie bei unsern anderen Obstarten, Aepfeln und Birnen) entstanden, davon einige früher, einige später reifen, und einige, welche in warmen Ländern sehr gut gedeihen, bei uns in Teutschland aber entweder gar nicht oder doch nur selten im Freien reif werden. Es ist daher für uns wichtig, die guten, früheren Wein-Sorten durch Abbildungen kennen zu lernen, damit wir nicht spätreifende Sorten in unsere Gärten pflanzen, und so in unseren Erwartungen getäuscht werden.~~Die Wein-Arten theilen sich in zwei Hauptclassen, nämlich in weisse oder grüne, und in rothe. Jede derselben hat ihre früh- und ihre spätreifende Sorten. Wir wollen mit den weissen, und zwar einer der besten Sorten anfangen.~~Der weisse Gutedel.~~Der weisse Gutedel (der auch Schönedel, und in Franken Junker heisst), ist eine der besten und frühesten Wein-Sorten. Die Traube ist ziemlich gross, baut sich locker, welches die frühere Reife ihrer runden grüngelben Beere sehr befördert, und wird an einem guten Standorte im Garten oder Weinbergen schon zu Anfange Septembers reif. Die Beeren haben nur einen bis zwei Kerne, eine dünne Schaale, und einen leicht fliessenden dünnen, überaus süssen, angenehmen Saft: daher man diese Traube auch als Tafelwein zum Verspeisen vor allen anderen sucht, und besonders in Gärten an Weingeländern häufig erzieht.~~Man hat noch einen rothen Gutedel, den wir in der Folge liefern werden.~~157
Ad00341 07 087a/freFruits. III. Vol. VIII. No. 85.
ESPÈCES DE RAISINS.
Vitisvihiféra. Lirin'i) I ie noble' cep rie vigne originaire :de l'Asie mineure et mitoyenne, d'où depuis un tems immémorial il s'est propagé par la Grèce et l'Italie dans toute l'Europe méridionale et dans les autres-parties du monde, dèsque les hommes eurent appris, à: exprimer le jus. des raisins, et à en préparer le vin, boisson si précieuse et si généralement estimée. Le cep de vigne est une plante rampante, qui avec ses crochets s'attache aux arbres, aux rochers et aux maisons,- et s'élève avec leur appui, mais qui ne peut pas se tenir de lui-même comme les autres arbres. La vigne est une plaine très - délicat^, qui aime les pays chauds, aussi ne peut - oh chez nous la conserver qu'en la présentant soigneusement de la gelée. C'est par l'art (ét la culture que les espèces de raisins s.e sont multipliées, comme celles de nos fruits, tels que les pommes et les poires;' il y en a qui mûrissent bien plus vite, d'autres qui réussissent parfaitement dans les pays chauds, et qui ou ne mûrissent pas du tout en plein champ en Allemagne, ou ne parviennent que rarement à leur maturité. D'après cela il est très-important pour nous'dé connaître les bonnes espèces de raisins précoces, pour que nous-ne" plantions pas dans; nos jardins^ lé» espèces tardives, car: sans cela'nous nous trouverions frustrés dans notre attenté;. _. - , Les raisins sont
Le Chasselas blanc.
Le Chasselas blanc, est. une des rnejlleii. res espèces ; de raisins et des plus précoces. .La grappe; est assez forte,; mais peu garnie., ce qui accélère beaucoup la maturité du grain, qui est rond et d'un jaune verdâtre. Quand il a une bonne exposition dans un jardin ou dans un vignoble, il est mûr dans les premiers jours de Septembre, Les grains n'ont qu'une ou deux graines, la peau très-mince, le jus est'très-agréable au goût, très doux et. très- fluide; comme ce raisin est le plus recherché pour le dessert, on le cultive beaujrc. o5u p r' d a n s le s 'ja'rd.i n s . Il y a aussi une espèce de chasselas noir, que nous décrirons pareillement.
Ad00341 07 088aFig. 1. Das grosse Wiesel. (Mustela barbara. Linn.)~~Diese Wieselart ist unter allen bekannten die grösste; denn sie ist vom Kopfe bis zum Schwanze 22 Zoll, und ihr Schwanz 13 Zoll lang, und gehört gleichfalls zu den Raubthieren. Sie ist von Farbe beinahe ganz schwarz; bloss der Kopf, Hals und Kehle sind schmutzig weiss, und die Pfoten braun. Sie ist übrigens von Körper wie ein anderes Wiesel gestaltet. Sie lebt vorzüglich in Brasilien und Chili, in Wäldern, Felsenklüften und Höhlen, und macht besonders auf wildes Geflügel, junge Hasen und andere kleine Thiere Jagd. Ihr Fell giebt ein gutes Pelzwerk.~~Fig. 2. Der dreifarbige Fuchs. (Canis cinereo-argenteus. Linn.)~~Der dreifarbige Fuchs ist in ganz Süd-America, besonders aber an der Magellanischen Strasse und in Paraguay einheimisch. Er wird vorzüglich wegen seines schönen Pelzwerks sehr geschätzt. Er ist hellgrau mit Schwarzgrau geflammt, der Bauch silberweiss, die Schnauze schwarz, die Ohren, so wie die Pfoten, braun. Seine Augen sind wie die der Katzen gebildet, so dass er auch des Nachts sehen kann. Er wohnt ebenso, wie der Europäische Fuchs, in Höhlen unter der Erde, und nährt sich vom Raube des wilden Geflügels und kleiner Thiere.~~158
Ad00341 07 088a/freQuadrupèdes LXXXIV. Vol. VIII. No. 86.
ANIMAUX DE L'AMÉRIQUE MÉRIDIONALE.
Fig. 1. La grande belette. (Mustela barbara. Linn.)
De toutes les espèces de belettes que nous connaissons ; pelle- ci est Ja plus-grande, cäi elle a de la tête jusqu'à la queiie 22 pouces :de long, et sa queue, Î3;; elle e" aussi carnassière... Elle est noire à l'exception de la tête, du cou,: «t du gosier qui sont d'un blanc .sale, et des: pattes, qui . sont : brun es. D'ailleurs son corps a la consormation des autres belettes. -Elle lest: indigène au Brésil et-au •Chili, séjourne dans.les sorêts, dans, les crevasses des rochers et dans: les cavernes, donne la 'çhass.esurtout aux oiseaux sauvages, aux levrauts et aux. autres /petits animaux. On sait de sa peau une excellente sourrure.
Fig. 2. Le renard à trois couleurs. (Canis cinereo argenteus. Linn.)
Ce renard se trouve dans toute l'Amérique méridionale, mais il est beaucoup plus commun dans le Magellan et au Paraguay. La beauté de sa peau le rend très-précieux. Il est d'un gris clair, à flammes d'un gris noir ; le ventre d'un blanc argentin, le .museau noir,. les oreilles et. les pattes brunes. Ses yeux sont conformés comme ceux, du chat, aussi y voit-il la nuit. Il habite, comme, le renard de l'Europe, des trous souterrains,, et se nourrit d'oiseaux sauvages et de petits animaux.
Ad00341 07 089aDer grüne Gutedel oder Diamant-Wein.~~Der sogenannte Diamant, ist eigentlich der grüne Gutedel, und eine der frühesten und herrlichsten Wein-Sorten, die man pflanzen kann. Er stammt aus Frankreich. Seine ziemlich grosse Traube ist locker gebaut, und hat grosse, runde, grüne Beere, welche an der Sonnenseite etwas bräunlich beim Reifwerden anlaufen.~~Die Traube reift schon zu Anfange Septembers, und an einem warmen Spaliere noch früher. Die Beeren haben nur einen; höchstens zwei Kerne, eine etwas starke Schaale, einen sehr süssen gewürzten Saft, und sind daher köstlich zum Verspeisen. Der Stock trägt sehr reichlich alle Jahre, und man kann desshalb diese treffliche Wein-Sorte zum Anbau, besonders in Gärten, nicht genug empfehlen.~~158
Ad00341 07 089a/freFruits. IV. Vol. VIII. No. 87.
ESPÈCES DE RAISINS.
Le chasselas vert.
Le chasselas vert est une des espèces de raisins les plus exquises et les plus précoces que l'on pusse cultiver. Il est originaire de France. La grappe qui est1 forte, mais également peu garnie, a de gros grains ronds et vejts,' qui en mûrissant brunissent un peu du côté d'où vient le soleil. Ce raisin est mûr au commencement de Septembre et même plutôt quand il est bien abrité. Les grains n'ont qu'un ou deux pépins;, la peau est un peu forte, et le jus doux et aromatique, aussi est-il excellent à manger. Le pied porte abondamment tous les arns, et l'on ne saurait trop recommander la culture de cette délicieuse espèce de. raisin, surtout dans les jardjns.
Ad00341 07 090aDie kissenförmige Stapelie. (Stapelia pulvinata. Linn.)~~Die Stapelien sind in dem heissen Afrika einheimisch, und gehören zu den Dick- oder Saftpflanzen, deren die heissen Länder so mancherlei Arten hervorbringen. Sie haben keinen eigentlichen Stamm, Stängel oder Blätter, sondern blosse dicke, viereckige grüne Zweige, welche unregelmässig auseinander sprossen, und aus welchen dann die Blumen auf kurzen Stielen hervorbrechen. Sie blühen meistens sehr schön, und mit seltsamen Formen und Farben.~~Unter allen Stapelien-Arten, deren es über fünfzig giebt, ist die Stapelia pulvinata, oder kissenförmige Stapelie, eine der schönsten. Ihre Blume ist sehr gross, fünfblätterig und sehr schön gezeichnet; weswegen sie auch von den Liebhabern exotischer Gewächse sehr hochgeschätzt wird. Sie ist widrig vom Geruche, und trägt keinen Saamen; sie kann aber leicht durch abgerissene Zweige fortgepflanzt werden. Die Pflanze selbst muss bei uns beständig im warmen Treibhause gehalten werden.~~158
Ad00341 07 090a/frePlantes. CLI. Vol. VIII. No. 88.
PLANTES D'AFRIQUE TRÈS-RARES.
La Stapelie en forme de carreau. (Stapelia pulvinata. Linn.)
Les Stapelies, indigènes au soi brûlant de l'Afrique, sont de la famille des plantes grasses, dont ce pays ' produit "tant de diverses espèces. Elles n'ont, à proprement pàrler,vni tronc,' 'ni tige, :ni feuilles. : Elles ne-s'ont composées que de branches vertes, épaisses et quadrangulaires, dont les, ; jets sont séparés à des distances irrégulières. De ces jets ^sortent sur des péduncules très t courts, des fleurs. pour la. plûs »t ; très - Relies : et folzarrernent coloriées. !; De toutes lès espèces de Stapëlies, qui sont' au nombre de cinquante,la.
Ad00341 07 091aDer Chinesische Enkianthus. (Enkianthus quinqueflora.)~~Der Enkianthus ist eine neue, erst vor kurzem aus China nach Europa gekommene Pflanze. Sie ist sowohl von Bau, als von Farben ausserordentlich schön, und daher auch in England, wo sie bis jetzt bei den reichen Pflanzenhändlern noch allein zu finden ist, ausserordentlich theuer.~~Sie ist selbst in China eine Lieblingsblume der Grossen, und wird von ihnen gewissermassen heilig gehalten; so dass sie dieselben ihren Götzen als ein angenehmes Opfer darbringen, und ihre Tempel an den Festen damit ausschmücken. Auch in den Häusern der reichen Mandarinen findet man häufig blühende Zweige davon; in grossen Vasen von Porzellan, als Verzierung aufgestellt.~~Ihre Zweige haben, ehe die Blüten sich daraus entwickeln, eine hochrothe Farbe; die Blätter sind grün, mit gelben oder rothen Rippen, und die Blumen, welche sich alle aus der Spitze entwickeln, hängen als ein Büschel von 6 bis 8 Stück herab, sind glockenförmig gebaut, und hochroth und weiss.~~158
Ad00341 07 091a/frePlantes. CLII. Vol. VIII. No. 89.
PLANTS CHINOISES.
L'Enkianthus de la Chine. (Enkianthus quinqueflora.)
L’Enkianthus est une plante nouvelle, ap» portée récemment de la: Chine' ien - Euro
Ad00341 07 092aDie Erfindung des Schiesspulvers brachte uns zugleich die Erfindung der Schiessgewehre, so wie des grösseren Geschützes, der Kanonen, Haubitzen, Mörser und Bomben u. s.w. Die Schiessgewehre, welche man noch tragen konnte, nannte man Doppelhaken, Musketen, Flinten, Büchsen, Karabiner, Pistolen u. s. w.~~Die alten Schiessgewehre hatten eine sonderbare, schwere, unbehülfliche Form, und wurden gewöhnlich mit Lunten, oder einem Steine von Schwefelkies-Erz losgebrannt, und waren für den Soldaten im Felde wenig brauchbar, bis sie endlich ihre bessere und vollkommenere Einrichtung durch das ordinäre Flintenschloss, mit dem Feuersteine, Hahne, Batterie und Pulverpfanne erhielten, wozu noch der vorn darauf gesteckte kleine Spiess, oder das Bajonnet, kam.~~In alten Rüstkammern der Fürsten findet man noch viele dergleichen alte und sonderbar, geformte Schiessgewehre, theils Europäischer, theils fremder Völker, davon wir einige hier zur Ansicht liefern.~~Fig. 1. Ein grosses schweres Luntengewehr vom Jahre 1615. Die brennende Lunte wurde in den Hahn gespannt, welche durch den Druck sich auf das Pulver legte, und das Gewehr so losbrannte.~~Fig. 2. Ein altes Spanisches Luntengewehr. Der Kolben ist mit Elfenbein eingelegt und sehr gekrümmt, damit er beim Abfeuern auf die Brust gestämmt werden konnte.~~Fig. 3. Ein sonderbares und schönes altes Spanisches Jagdgewehr, mit Erzsteine, wovon der ganze Schaft sehr schön mit Elfenbein und Perlenmutter eingelegt und verziert ist.~~Fig. 4. Eine sehr sonderbare Doppel-Schloss-Flinte, mit Erzsteinen, aus der Kunstgalerie des Grossherzogs von Florenz.~~Fig. 5. Ein Magazingewehr vom Jahr 1666, welches, wenn es mit dem Schlosse geladen ist, durch den Druck einer Feder in einer halben Minute 10mal abgeschossen wird.~~Fig. 6. Eins prächtiges altes Türkisches Gewehr, der Lauf damascirt und mit Golde eingelegt.~~Fig. 7. Ein sehr schönes Persisches Gewehr, ganz mit Silber überdeckt, und der Lauf reich damascirt und auch mit Golde eingelegt.~~158
Ad00341 07 093aDieses und das folgende Heft liefert Darstellungen, aus welchen man die Lebensweise, Sitten, Gebräuche, Kunst und Gewerbe der Chinesen sich versinnlichen kann; einer Nation, welche von den Europäern zu sehr verschieden ist, um letzteren nicht höchst interessant zu seyn.~~Die gegenwärtige Taf. CCXIII. zeigt zuvörderst ihre Wohnungen.~~Die Bauart der Chinesen ist ganz eigenthümlicher Art, und bringt oft eine nicht unangenehme Wirkung hervor. Aus allen Gebäuden blickt gewissermassen das Zelt des ehemals nomadischen Volks noch durch, was man in dem gekrümmten Dache, den stangenartigen, hölzernen, Säulen immer wieder ernennt. Die Verzierungen und Figuren von Drachen, Schlangen u.s.w. sind zwar sonderbar, aber nicht schön zu nennen.~~Fig. 1. Haus eines Mandarin.~~Das Haus eines Staatsbeamten unterscheidet sich nicht gerade sehr von dem Hause eines Handwerksmannes; nur besteht es eigentlich aus mehreren, durch Säulen-Galerien mit einander verbundenen Häusern, die auf steinernen Terrassen stehen, und von einer hohen Mauer umgeben sind. Die Zimmer sind oben meist bis an die Querbalken des Dachs offen; einige sind aber auch mit einer Decke versehen. Die Fussböden sind mit Backsteinen gepflastert. In den Fenstern befindet sich statt Glases, geöltes Papier, seidne Gaze, Horn oder Perlmutter. In den Winkeln einiger Zimmer ist ein Loch im Fussboden, mit Stein oder Holz bedeckt, in welchem Feuer gemacht, und aus welchem die Hitze durch Röhren in den Wänden herumgeführt wird. Auswendig sind die Häuser mit bunten Farben und Gold schimmernd angemalt. Vor den Häusern stehen grosse, oft mit farbigen Wimpeln verzierte, hölzerne Säulen, an welchen mit goldnen Inschriften angezeigt ist, was man bei uns durch Tafeln an den Häusern bekannt macht.~~Am auffallendsten sind ihre Tempel, welche von Gold glänzen und zwei bis drei Dächer über einander haben, und ihre Pagoden, wo oft fünf, sieben, ja neun Dächer übereinander angebracht sind.~~Fig. 2. Chinesisches Dorf und Bauern.~~Wiewohl der Ackerbau in China im höchsten Ansehen steht, und der Kaiser selbst im Frühling einige Furchen mit dem Pfluge zieht, das Land auch in kleine Besitzungen getheilt ist, so ist doch der Bauer arm; wahrscheinlich weil die Reissärnte so häufig verunglückt.~~Die Kleidung des Landvolks besteht aus einer blauen baumwollenen Jacke, langen Hosen, Stroh-Schuhen und einem Strohhute. Die Bauernhäuser bestehen aus vier Lehmmauern mit Stroh gedeckt, und sind mit einer Lehmmauer oder einem Rohrzaun umgeben. Eine Abtheilung von Matten bewirkt im Innern zwei Zimmer, von welchen jedes ein Loch in der Mauer als Fenster hat. Die Thüre besteht aus einer Matte. Zum Bette dient eine Matte, ein cylindrisches, mit Leder überzogenes hölzernes Kissen, eine Filzdecke und zuweilen eine mit Wolle oder Haaren gestopfte Matrazze. Etliche Krüge, etliche Becken aus der gröbsten Töpferwaare, ein eiserner grosser Topf, ein Casserol und ein beweglicher Ofen sind die Geräthschaften. Tische und Stühle halten die Bauern für überflüssig, da sie auf den Fersen sitzen und beim Essen um den eisernen Topf zusammenrücken und jeder ein Becken in die Hand nimmt.~~159
Ad00341 07 094aFig. 1. Der Kaiser von China.~~Der grösste und mächtigste Fürst in der Welt, da er über 300 Millionen Menschen herrschen soll, von denen er auch einziger Regierer der Welt und Sohn des Himmels genannt wird. Vermöge seiner kaiserlichen Würde trägt er gewisse Kleidungsstücke von eigner hellgelber (Kaiserlichgelb) Farbe, ein Brustschild mit dem Bilde eines fünffüssigen Drachen, und eine grosse Perle oben auf der Mütze; er führt ein acht Finger breites viereckiges kaiserliches Siegel. Die Nägel, welche die vornehmen Personen in China lang wachsen lassen und zuspitzen, haben hier eine sehr ansehnliche Länge.~~Fig. 2. 3. 4. Mandarinen (obere Staatsbeamten) zu Fuss und zu Pferde.~~Es giebt Kriegs- und Civil-Mandarinen und ihre Zahl steigt über 400,000. Sie haben das Recht Kleider, mit Gold durchwirkt, zu tragen. Es giebt neun Classen derselben, die sich durch verschiedenfarbige Knöpfe und Kugeln auf den Mützen unterscheiden. Ausserdem haben sie auch auf dem Obergewande eine verschiedene Stickerei. Die beiden Chinesischen Orden "des gelben Unterkleides" und der "Pfauenfeder" werden von dem Kaiser als ein Zeichen seiner Gunst vertheilt.~~Fig. 5. 6. 7. 8. Lamas und Priester.~~Es giebt ihrer zwei Classen. Tao-tsu, Priester des Laokung, und Ho-schang oder Priester des Fo. Die Tataren, durch welche die Religion des Fo nach China gekommen ist, nennen die Priester Lama; diese stehen unter dem Dalai-Lama in Thibet, welchen sie für eine wirkliche unsterbliche, aber an eine menschliche Form gebundene Gottheit halten.~~Die Gross-Lama (5. 8.) haben ein Gewand von gelber Seide mit dunkelrother Schärpe, gelben Mantel von der Länge des Kleides, gelbseidene, oben spitzige Mütze mit langen Zipfeln. Die gewöhnlichen Lama (7.) tragen ein gelbes Kleid mit rothem Gürtel, gelbe Stiefeln und rothseidene Kopfbedeckung. Die Priester des Taotsu (6.) tragen eine braune Kutte, über welche hinten ein rother Mantel hängt, eine eigne Mütze und eine Art Rosenkranz.~~Fig. 9. 10. Chinesische Soldaten.~~Die Armee beträgt etwa 600,000 Mann Fussvolk und 250,000 Mann Reiterei, die aber zugleich als Gerichtsdiener, Untereinnehmer, Wächter u. s. w. gebraucht werden. Ein sehr militärisches Ansehen haben sie freilich nicht. Sie sind mit Säbeln, Bogen, Pfeilen und Schildern, einige Corps auch mit Luntenbüchsen bewaffnet.~~Fig. 11. 12. Nachtwachen.~~Nicht allein die Thore der Städte, sondern auch die Enden der Strassen werden mit Sonnen-Untergang geschlossen, und Nacht-Wachen durchziehen die Strassen, welche (Fig. 12) mit Laternen versehen, durch Schläge an einen hohlen Bambus-Cylinder theils ihre Wachsamkeit, theils die Zeit und Stunde anzeigen. Der Officier reitet auf einem Esel mit, und ihm leuchtet ein Soldat (Fig. 11) mit einer Laterne vor.~~159
Ad00341 07 095aDie Musik scheint in früheren Zeiten bei den Chinesen in grösserem Ansehn gestanden zu haben, als jetzt. Sie wird gegenwärtig nur von Frauenzimmern, die verkauft werden sollen, oder von solchen erlernt, die sich zur Unterhaltung Anderer vermiethen. Meistens machen die Chinesischen Musiker mit ihren Instrumenten einen recht grossen Lärm, welcher den Europäern nicht gefällt; dagegen haben die Chinesen auch von der Capelle des Lord Macartney, alas dieser als Englischer Gesandter in China war, gesagt, sie mache keine Musik, sondern ein verwirrtes Geräusch. Noten kennen sie nicht, sondern gebrauchen dafür Schreibe- oder Druckzeichen, welche den Namen jedes Tons anzeigen.~~Die Instrumente spielen gewöhnlich alle einen Ton; jedes bleibt bei der Melodie; nur zuweilen nimmt ein Instrument den Ton eine Octave höher oder niedriger. Von einer harmonischen Zusammenstimmung, Accorden u.s.w. der Töne, die bei uns gewöhnlich sind, wissen sie nichts.~~Die Instrumente selbst sind sehr mannichfaltig, sowohl in Hinsicht der Form, als des Stoffes, woraus und womit sie verfertigt sind.~~Fig. 1. Ist eine tönende Metall-Platte.~~Fig. 2. Eine metallene Urne auf einem hölzernen Gestelle; beide werden mit einem Stäbchen geschlagen.~~Fig. 3. Der Pan-Cou, eine grosse Trommel, unter einem Thronhimmel, die bei feierlichen Gelegenheiten gebraucht wird.~~Fig. 4. Der Boug-gui, ein hohles Holz, wie ein Seethier gestaltet, was mit einem Stocke geschlagen wird.~~Fig. 5. Eine gedämpfte Trommel.~~Fig. 6. Ein metallenes Instrument, ebenfalls mit einem Stocke zu schlagen.~~Fig. 7. Der Hien-Pan, ein eisernes Instrument, wird mit einem überzogenen Stocke geschlagen und tönt dumpf.~~Fig. 8. Der Tam-Tam, Kiag oder Goug-lu; ein grosses metallenes Lärmbecken mit einem Deckel, auf welchen man mit einem mit Leder überzogenen, hölzernen Hammer schlägt.~~Fig. 9. Eine kleine Trommel.~~Fig. 10. Ein Metallbecken.~~Fig. 11. Eine Art Castagnette.~~Fig. 12. Eine Cymbel.~~Fig. 13. Eine goldene Glocke, welche (wie alle Glocken in China) nicht durch einen darin hängenden Glockenschlägel, sondern mit einem Stück Holz geschlagen wird.~~Fig. 14. Ein kleines Lärmbecken.~~Fig. 15. Metallglöckchen.~~159
Ad00341 07 096aFig. 1. Ein Chinesischer Beckenspieler, der drei, an einem hölzernen Gestelle hängende, kupferne Becken mit einem Stabe schlägt.~~Fig. 2. Zwei violinartige Instrumente, mit zwei seidnen Saiten; Darmsaiten haben die Chinesen nicht.~~Fig. 3. Flöten, von verschiedener Form, aus Bambus verfertigt, mit fünf, zehn oder zwölf Löchern; werden meist von Frauenzimmern gespielt.~~Fig. 4. Guitarren, Guichin genannt, mit drei Saiten und Pipa mit vier Saiten, die meist von Männern gespielt werden.~~Fig. 5. Die Tsen, ein siebensaitiges Guitarr-ähnliches Instrument.~~Fig. 6. Die Hien-lo, ein Gestell mit zehn daran aufgehangenen Metallplättchen oder klingenden Steinen, an welche man schlägt.~~Fig. 7. Eine Pauke.~~Fig. 8. Eine kleine Kriegs-Trommel.~~Fig. 9. Ein hohler hölzerner Fisch, oben mit einer Oeffnung; wird mit einem Stabe geschlagen.~~Fig. 10. Trompeten von dreierlei Form.~~Fig. 11. Der Sing oder Cheng, ein Instrument aus sieben verschiedenen Bambusröhrchen, einem sogenannten Papagenopfeifchen ähnlich.~~Ausserdem haben die Chinesen noch ein grosses Saiten-Instrument Chè, mit etwa 25 Saiten. Man spielt darauf, entweder, dass man die Saiten mit den Fingern schnellt, oder dass man sie mit einem kleinen Stäbchen schlägt.~~Endlich haben die Chinesen noch Instrumente mit klingenden, Agath ähnlichen und Yu genannten, Steinen. Tseking, heisst es, wenn es aus 16 Steinen besteht; die Steine werden geschliffen, bis sie den Ton erhalten, den man verlangt. Es ist aber schwer, nur eine Octave vollständig zu erhalten, und die Instrumente wurden daher sonst sehr hoch geachtet.~~159
Ad00341 07 097aFig. 1. Palankin eines hohen Staatsbeamten. Nur die Mandarinen haben das Vorrecht, grünes Tuch zum Ausschlagen des Tragesessels zu gebrauchen. Sie bedienen sich auch kleiner Wagen, die vorn zu sind, und wo die Räder, um das Stossen etwas zu vermindern, ganz hinten angebracht sind.~~Fig. 2. eine Art Schiebekarren mit einem Rad, aber von zwei Menschen geführt, wird vorzüglich von den Tatarischen Frauen gebraucht; die Chinesinnen ziehen die verbergenden Palahkins vor.~~Fig. 3. ein Karren, wie man sie auf dem Lande gebraucht, die aber etwas schwerfällig sind, und besonders leicht umwerfen. In einigen Provinzen hat man Karren von Bambus mit einem Rade, ungefähr wie Fig. 2., wo vorn einer zieht, und hinten einer das Gleichgewicht hält, und aus welchen man, wenn ein günstiger Wind geht, ein Segel von Matte anbringt, welches die Arbeit des Vordermannes erleichtert oder ersetzt.~~Fig. 4. Ein Wagen; wie sie die vornehmen Chineser gewöhnlich gebrauchen; immer nur mit einem Pferde bespannt; obgleich diess Fuhrwerk natürlicher Weise sehr unbequem, stossend und an heissen Tagen die Hitze darin unerträglich ist, so zogen es doch die Chinesen, welche abgesagte Feinde aller und jeder Neuerung sind, den bequemsten Englischen Wagen vor, die Lord Macartney als Geschenke für den Kaiser von China mitgebracht hatte. An den Europäischen Wagen tadelten sie vorzüglich, dass der Kutschersitz aussen höher angebracht war, als der Herrensitz im Innern; welches ihnen höchst unehrerbietig vorkam. -~~Noch sehen wir Fig. 4., wie ein junger Chinese aus dem Wagen gestiegen ist, um einen Freund seines Vaters, der ihm begegnet, zu begrüssen. Da sie die Achtung gegen die Aeltern nicht genug an den Tag legen zu können glauben, so übertragen sie selbige auch auf die, welche mit den Aeltern nur durch die Bande der Freundschaft verbunden sind.~~159
Ad00341 07 098aFig. 1. Ein Chinese, welcher schreibt. Es gilt für ein grosses Talent schön zu schreiben; auch ist es in der That schwierig, die richtigen Charaktere auszuwählen, zumal in Bittschriften, wo dasselbe Zeichen nicht in demselben Satze wiederholt werden darf und wo man an den Kaiser Worte gebraucht, die nur für ihn allein bestimmt sind. Man zieht die Linien senkrecht und fängt die Schrift am rechten Rand der Seite an. Man schreibt, statt mit Federn, mit Pinseln von Caninchenhaaren und doch mit unbegreiflicher Schnelligkeit. Nur die Tataren bedienen sich einer Art Feder von Bambus.~~Fig. 2. Ein Buchdrucker. Man rechnet, dass die Buchdruckerei in China schon 50 Jahr vor der christlichen Zeitrechnung bekannt ist. Man hat aber keine beweglichen Lettern, sondern man schneidet das auf Holzplatten, was man durch den Druck vervielfältigen will. Die Form wird dann eingeschwärzt, ein Blatt Papier darüber gelegt mit einer weichen Bürste darüber hingefahren, so entsteht der Abdruck ohne Presse. Der grosse weisse Rand jeder Seite ist bei den Chinesen oben und nicht, wie bei uns, unten.~~Fig. 3. Geldwechsler und Geldschneider. Es giebt in China nur Silber und Kupfergeld. Das Silber ist nicht gemünzt sondern in-Stücke und Stangen gegossen, die man schneidet und. Beschneidet u. mit kleinen Wagen wägt. Auch die Spanischen Piaster werden so beschnitten und dass der Silbergehalt gut ist, bezeichnet. Die Kupfermünzen, welche ein Gepräge haben, sind ebenfalls gegossen. Sonst hat man in China auch Münzen von Zinn, Blei, Eisen, gebrannter Erde, Muscheln u. selbst von Papier. Jetzt sind nur noch die kupfernen in Umlauf, ganz rund mit viereckigem Loch, mittels dessen sie zu 10 oder 100 an einander gereiht werden.~~Fig. 4. Ein Buchhändler. Es giebt deren, die feststehende Läden haben, u. andere, welche mit einem Kasten und Tisch herumziehen, einer der letzten ist Fig. 4 vorgestellt. Die Zahl der Bücher ist ausserordentlich gross. Unter der Dynastie des Loang zählte man 37,000 Bände in der kaiserlichen Bibliothek. Die Art die Bücher einzubinden, erläutert Taf. CCXXI Fig. 6.~~Fig. 5. Ein Sticker. Der Stickrahmen ist von Bambus. Die Stickerinnen sitzen auf grossen Porcellan- oder Töpfergefässen. Man stickt erhaben auf Atlas und nähet nachher die Stickerei auf die Zeuche.~~Fig. 6. Eine Strumpfnäherin. Die Strümpfe der Chinesen werden nicht gestrickt, sondern aus gewirkten Zeuchen zusammen genähet, gefüttert und halten sehr warm. Zierlich sind sie nicht, haben aber oben einen Goldfaden oder schwarzen Rand. Die Strümpfe der Frauenzimmer sind sehr klein, da die Füsse derselben dadurch, dass man die Zehen, mit Ausnahme der grossen, unter den Fuss legt und bindet, ganz verkrüppelt werden.~~160
Ad00341 07 099aFig. 1. Verfertigung der Tusche. Die Tusche wird aus Russ von verbranntem Fichtenholz, aus Schweinfett und Oel gemacht und der Geruch durch etwas Moschus verbessert. Diesem Teige mischt man etwas thierischen Leim bei und macht ihn in hölzernen Formen zu Stangen und Tafeln, auf welche Schriftzeichen und Figuren angebracht werden. - Wenn die Chinesen schreiben wollen (Taf. CCXVIII. Fig. 1.), so gebrauchen sie dazu eine polirte Marmortafel mit einer Vertiefung an dem einen Ende, in welcher sie ihre Tusche anreiben. Daher bezeichnet bei ihnen Pau-tso, das heisst, die vier kostbaren Dinge, die Marmorplatte, die Tusche, den Pinsel und das Papier.~~Fig. 2. Seiler. Die Chinesischen Seiler ziehen das Bambusrohr als Material ihrer Arbeit dem Hanfe vor. Die Abbildung zeigt, wie sie die Stricke horizontal flechten. Wollen sie aber sehr grosses Tauwerk machen, so verfertigen sie sie senkrecht, steigen auf ein 12-15 Fuss hohes Gerüst und flechten von da herab die langen und feinen Bambusfaden. Der Strick wird hernach noch in ein mit Urin gefülltes Loch geworfen und so vollends geröstet.~~Fig. 3. Ein Blumenhändler. Bei der sitzenden Lebensart der höheren Stände, welche wenig ausgehen, sehen die Händler und Handwerker sich genöthigt, ihre Waaren in der Stadt herumzutragen und auszurufen. So tragen die Blumenhändler ihre Blumen auf zwei, an einer Bambusstange hängenden, Brettern auf der Schulter. Besonders ziehen und verkaufen sie viele Zwergbäumchen.~~Fig. 4. Ein Barbier. Der Chinesische Barbier zieht auf der Strasse herum, seinen ganzen Apparat an einer Bambusstange auf der Schulter tragend und kündigt seine Anwesenheit durch das Tönen eines eisernen Instruments an. Will sich Jemand seine Kunst zu Nutze machen, so übt er sie am ersten besten Orte auf der Strasse. Das Haupthaar wird abgeschoren, die Ohren ausgeputzt, die Augenbraunen in Ordnung gebracht und die Glieder werden geknetet, gezogen und gerieben, Alles für 18 Tsien oder Kupferpfennige.~~Fig. 5. Ein Tausendkünstler. Menschen dieser Art heissen in China Tria-Con-Culk-Tziang, treiben alle mögliche Gewerbe, kitten und bessern zerbrochene porzellanene und andere Sachen aus, wozu sie alle Art Handwerkszeug, eine tragbare Schmiede, Kohlen etc. mit sich herum tragen.~~Fig. 6. Ein Papierfabrikant. Das Chinesische Papier ist sehr dünn und fein und wird aus der zweiten Rinde des Bambus verfertigt. Die erste Bearbeitung dieser Rinde ist auf Taf. CCXX. Fig. 3. Vorgestellt. Wenn die Bambusrinde erweicht und zu Brei gerieben und gekocht ist, so wird sie in Zuber gefüllt, aus welchen man nun, in mit von Bambusfaden verfertigten Formen, die Papierbogen heraushebt und dann durch Ofenwärme trocknet. - Man verfertigt mehr als 200 Sorten Papier.~~Fig. 7. Ein Chinesischer Schuster. Die Schuhe haben in China sehr dicke weisse Sohlen, die vorn in die Höhe gehen, das Obertheil ist von Zeuch und geht weit hinauf. Männer der höheren Stände und Soldaten tragen Stiefeln; die Bauern Sandalen; die Frauenzimmer kleine Halbstiefelchen. - Neben dem Schuster steht ein zur Kette verurtheilter Verbrecher, der eine Kette um den Hals hat, welche an einem Ende einer Bambusstange befestigt ist, deren anderes Ende durch eine Kette mit einem Block verbunden ist. Der Sträfling muss die Bambusstange immer mit den Händen hüten, damit die Kette ihm den Hals nicht beschädige.~~160
Ad00341 07 100aFig. 1. Ein Mann, welcher papierne Drachen für Kinder verkauft.~~Die papiernen Drachen werden in China nicht bloss von Kindern, sondern von Erwachsenen, Vornehmen, ja vom Kaiser selbst als Belustigung gebraucht. Man hat sie von sehr verschiedener Form, als Schildkröte, Seekrebs, geflügelter Mensen, oder Glocke, doch meistens von der Gestalt eines Kranichs, nach welchem sie auch in China genannt werden.~~Fig. 2. Federbälle und Kinderspielzeug.~~Der Federball, der dem unsrigen nicht unähnlich ist, wird in China nicht, wie bei uns, mit Raketen und den Händen, sondern mit den Füssen geschlagen, wie die beiden Bauern auf der Figur zeigen. Der Mann zwischen ihnen handelt mit Kinderspielzeug, besonders mit Gauckelmännchen, welches Alles von Pappe oder Holz verfertigt wird.~~Fig. 3. zeigt die Vorbereitung des Bambusrohrs zum Papiermachen, worüber Taf. XCVII weitere Auskunft giebt.~~Fig. 4. Ein Metzger.~~Man geniesst in China alle Arten von Fleisch, Hammel-, Pferde- und Hundefleisch, mit Ausnahme des Rindfleisches, welches wegen Seltenheit des Rindviehs nicht öffentlich verkauft wird. Schweinefleisch aber wird am meisten gegessen. Es ist zarter als in Europa, und die Chinesischen Schinken werden selbst von Ausländern geschätzt. Man zieht die Schweine nicht bloss auf dem Lande, sondern auch auf den Schiffen, wo man sie mit Eingeweiden von Fischen mästet. Der Fleischer steht hier hinter einem Bocke, woran seine Waare nebst dem Handwerkszeuge hängt. Er wiegt mit der Schnellwaage ab, und trägt alles diess mit sich herum.~~Fig. 5. Einsammlung von Firniss.~~Der Firniss der Chinesen ist ein röthliches Gummi, das aus einem Baume quillt, welcher einer Esche ähnlich, aber noch nicht genau bekannt ist. In 7 - 8 jährige Stämme werden mit einem Messer halbmondförmige Einschnitte gemacht, in welche Muscheln eingedrückt weden, worin das ausfliesende Gummi sich anhäuft. Oft bedient man sich zum Herableiten des Gummis auch langer Bambusrohre. Da das frische Gummi leicht nachtheilige Wirkungen, besonders Geschwüre, bei den Arbeitern hervorbringen kann, so müssen bei dem Einsammeln gewisse Vorsichtsmaassregeln beobachtet werden.~~Fig. 6. Einsammlung des Thees durch Affen.~~Von der Theestaude selbst ist bereits im I. Bande dieses Bilderbuchs die Rede gewesen. Da trockne und hochgelegene Orte sich zum Theebau besser eignen, als niedrige und feuchte, so ist das Einsammeln oft sehr schwierig. Desswegen hat man, wo das Hinaufsteigen für die Menschen sehr gefährlich ist, die Affen abgerichtet, steile Abhänge hinauf zu klettern, und die Theesträuche abzublättern. Da die Frucht des Thees bitter, und keineswegs anlockend für die Affen ist, so ist das Abrichten derselben zu diesem Geschäft nicht leicht. Doch gelingt es dadurch, dass man ihnen das Geschäft oft vormacht, und ihnen, wenn sie wieder von der Höhe herabkommen, einen ihnen behagenden Leckerbissen darreicht.~~160
Ad00341 07 101aFig. 1. 2. 3. Verfertigung des Chinesischen Porzellans.~~Die Verfertigung des Porzellans ist in China seit undenklichen Zeiten bekannt, und in dem Lande ausserordentlich gemein. Die Porzellan-Masse wird in China auf einer Drehscheibe geformt, welche nicht, wie bei uns, durch die Füsse des modellirenden Arbeiters bewegt wird, sondern (Fig. 2) durch die Füsse eines eignen Gehülfen, welcher aufrecht steht, sich an einem an der Decke befestigten Strick hält, und die Scheibe durch die abwechselnde Bewegung seiner Füsse dreht. Figuren, die nicht rund sind, werden nicht auf der Drehscheibe, sondern in Formen verfertigt. Ist das Gefäss fertig, so wird es im Schatten getrocknet, kommt dann in einen Ofen mit heftigem Feuer, Fig. 1; wenn es in diesem hart gebrannt ist, so wird es in eine Flüssigkeit getaucht, durch welche es mittelst eines zweiten Brennens eine Glasur erhält. Hierauf wird es gemalt (Fig. 3.) und dann zum dritten Mal einem etwas weniger heftigen Feuer (Fig. 1.) ausgesetzt, wodurch die Farben eingebrannt werden.~~Fig. 4. Spinnerei und Näherei.~~Die Chinesischen Spinnerinnen spinnen Flachs, Hanf und Baumwolle auf einer Spule, welche mittelst der Weise in Bewegung gesetzt wird. Ihr Faden ist fein und gleichförmig. Die Näherinnen ziehen mit einem Korbe, worin ihre Arbeits-Sachen befindlich sind, so lange in der Strasse herum, bis sie Jemand in's Haus rufen lässt, der ihrer, nicht sehr schwierigen Kunst bedarf.~~Fig. 5. Eine grosse Chinesische Waage.~~Wir sehen hier die Bude eines Menschen, dessen Geschäft es ist, die Gegenstände zu wägen, die man ihm bringt; wozu wir öffentliche Waagehäuser haben. Man hat in China zweierlei Waagen, eine hat zwei Schaalen, die andere, die hier vorgestellt und die gewöhnlichste ist, ist eine Schnellwaage, wo der Unterstützungspunkt nicht in der Mitte, sondern in der Nähe des Endes angebracht ist, wo man den zu wägenden Gegenstand aufhängt, während das Gewicht an dem andern langen Ende vor- und rückwärts gerückt wird.~~Fig. 6. Ein herumwandelnder Bucherhändler.~~Auf der XCVI. Tafel haben wir einen Buchhändler in stehenden Boutiquen gesehen. Hier ist ein herumziehender dargestellt. Die Bücher sind in graue oder gelbe Pappe oder in Atlas oder auch in Brocat gebunden. Der Titel ist nicht auf dem Rücken des Buchs, sondern auf dem rechten Seitendeckel angebracht. Da das Papiere sehr dünn ist, so kann es nur auf einer Seite bedruckt werden und jedes Blatt eines Buchs besteht oft aus zwei am Bande zusammengeschlagenen Papierblättern, die vorn nicht beschnitten werden dürfen.~~160
Ad00341 07 102aWaffen und Schiessgewehre der Chinesen.~~Schon bei Gelegenheit der Taf. 92. Fig. 9 und 10, ist Einiges über die Bewaffnung der Chinesen gesagt worden.~~Das Schiesspulver ist dort sehr lange bekannt, aber da sie keine Pulvermühlen haben, sondern jeder Soldat sich sein Pulver aus Salpeter, Schwefel und Holz-Kohlen bereitet, es nun gar nicht ordentlich gekörnt und der dazu genommene Salpeter nicht gereinigt ist, so ist es schlecht und wird durch Anziehen der Feuchtigkeit bald unbrauchbar. Daher die Chinesen auch die Flinten nicht sehr lieben und ihnen häufig andere Waffen vorziehen. Die Artillerie der Chinesen ist schwerfällig und unbehülflich.~~Fig. 1. Ein Stück schweres Geschütz, so wie sie jetzt bei den Chinesen gebräuchlich sind.~~Fig. 2. eine alte Kanone, aus mehreren Stücken Eisen geschmiedet.~~Fig. 3. eine Feldschlange, aus einem langen eisernen Rohre bestehend.~~Fig. 4. ist eine Hellebarte, die aber mehr zur Parade dient, als dass sie viel im Kriege gebraucht würde.~~Fig. 5. Ein Säbel für die Cavalerie.~~Fig. 6. und 7. Bogen, No. 6. Hat in der Mitte der Senne eine Elfenbein-Platte, auf welche der Pfeil gesetzt wird. Die Bogen erfordern eine Kraft von 80 - 100 Pfund, um gespannt zu werden. In und bei Festungen gebraucht man auch ganz grosse Bogen, die nicht durch einen Menschen, sondern nur durch Maschinen gespannt werden können.~~Fig. 8. Ein Köcher mit Pfeilen, von denen einige im Eisen ein Loch haben, in welche man einen Brief stecken und so aus einer belagerten Stadt werfen kann.~~Fig. 9. eine Armbrust, womit die Chinesen entweder Bolzen (Fig. 10), oder Bleikugeln Fig. 11 schiessen.~~Fig. 12. eine Chinesische Muskete. Am Kolben hängt ein lederner Beutel mit Lunten, mittelst welcher sie, statt des Flintenschlosses, noch losgebrannt werden, und zwei Hörner, in deren einem das Pulver, im andern die Kugeln befindlich sind. Beim Abfeuern wird die Luntenbüchse auf eine in die Erde gesteckte eiserne Gabel Fig. 13. aufgelegt.~~Fig. 14 ist eine Hand mit einer Schlange, ein Sinnbild der Klugheit, welches in dem Gefolge des Kaisers und der Vicekönige getragen wird.~~Fig. 15. verschiedene Arten von Lanzen, vorzüglich für die Cavalerie.~~160
Ad00341 08 003aWir sehen hier einige merkwürdige Adler, welche ausser Europa zu Hause sind.~~Fig. 1. Die grosse Harpye. (Aquila Harpyia.)~~Diess ist einer der grösten Raubvögel und in Südamerica zu Hause, wo er sich von Faulthieren, jungen Schweinen nährt, und auch andere grössere Säugethiere, ja selbst Menschen angreift. Er ist über 3 Fuss lang. Das Gefieder ist am Kopfe schwarzgrau mit einem grauen Schopf auf dem Nacken, welcher im Affect aufgerichtet werden kann; der Hals ist aschgrau, Rücken und Flügel sind schwarz, Brust und Bauch sind schmutzig weiss und grau, der Schwanz mit braunschwarzen Queerbändern, die Beinbekleidung (Hosen) weiss, mit schwarzen Queerstreifen. Füsse blassgelb, Schnabel und Klauen stark gekrümmt, und hornfarbig. Die Augen sind von glänzend gelber Farbe.~~Fig. 2. Der Schopfadler. (Aquila occipitalis.)~~Dieser Adler ist etwa zwei Fuss lang. Sein Gefieder ist im Ganzen braun, am Hals und Brust etwas heller; Flügel und Schwanz schwarz, mit einzelnen grauen und weissen Bannern. Auf dem Nacken ist eine starke gelbe Federhaube, die Füsse mit einem grauen Flaum gedeckt, Auge und Klauen gelb, Schnabel hornfarbig, Nägel schwarz. Vaterland Süd-Afrika.~~Fig. 3. Der kleine Adler von Guiana. (Aquila Urutaurana.)~~Kömmt in vieler Hinsicht mit der grossen Harpye überein, doch ist der Kopf, Hals, Brust und Bauch weiss, der Federbusch grau aber oben braun und schwarz gefleckt. Die Queerbänder am Schwanze sind breit und schwarz.~~Fig. 4. Der Karakara. (Aquila Caracara.)~~Dieser in Südamerica einheimische Vogel, hat die Grösse eines Flussadlers, einen nur wenig gebogenen hornfarbigen Schnabel, lange dünne, gelbe Zehen, mit wenig gekrümmten, schwachen. hornfarbigen Krallen. Das Gesicht hat eine nackte, haarige Haut. Der Ober- und Hinterkopf trägt schwarze, spitzige Federn, welche aufgerichtet werden können; Hals und Brust sind queergestreift. Die Flügel und Beinbekleidung ist schwärzlich, mit blauem und braunem Schimmer, der Schwanz braun und weiss gebändert, das Ende aber schwärzlich.~~Diese Vögel haben mehr Leichtigkeit als andere Raubvögel, leben Paarweise und Truppweise zusammen, horsten auf hohen Bäumen, fressen Aas, Amphibien, Würmer und lnsecten, fallen aber auch Vögel und kleine Säugthiere an, und dabei machen zuweilen 5, 6, gemeinschaftliche Sache.~~Fig. 5. Der Cymindis. (Aquila cayennensis s. Cymindis.)~~Dieser Adler hat kurze Füsse. Der Schnabel hat an der Biegung einen kleinen Zahn. Die Farbe ist an der untern Seite des Körpers weisslicht, aus der Rückenseite schwarzblau, der Kopf aschgrau, auf dem Schwanze vier weisse Queerbinden. Er ist in Cayenne zu Hause.~~Fig. 6. Der Neuholländische Adler. (Aquila Novae Hollandiae.)~~Dieser Vogel hat die Gestalt unseres Habichts, ist ganz von weisser Farbe, nur die Füsse und Wachshaut sind gelb, Schnabel und Krallen schwärzlich.~~181
Ad00341 08 003a/freOiseaux. CII. Vol. X. No. 1.
AIGLES CURIEUX.
Cette planche figure des aigles remarquables qui n'appartiennent pas à L'Europe.
Fig. 1. La grande Harpie (Aquila Harpyia.)
Cette harpie, un des plus grands oiseaux de proie, est indigène â L'Amérique méridionale ou elle se nourrit de petits cochons, de Paresseux, assaille aussi des mammifères plus grands et attaque même les hommes. Elle a plus de trois pieds de long. Le plumage de la tête est d'un gris-noir avec une huppe grise sur la nuque, qui se dresse quand cet aigle est en colère; le cou est d'un gris cendré; les ailes et le dos sont noirs, la poitrine et le ventre d'un blanc sale et gris; la queue a des bandes transversales d'un noir grisâtre. Le plumage des cuis ses est blanc avec des raies transversales noires. Les pattes sont d'un jaune pâle, les serres et le bec fortement crochus et couleur de corne. Les yeux sont d'un jaune luisant.
Fig. 2. Le Huppard. (Aquila occipitatis.)
Le plumage de cet aigle, qui n'a tout au plus que deux pieds de long, est en général brun, un peu plus clair néanmoins au cou ej à la poitrine. Les ailes et la queue sont noires avec quelques bandes isolées grises et blanches. Sur la nuque se trouve une très forte huppe jaune, et les pattes sont recouvertes d'un duvet gris,; l'oeil et les serres sont jaunes, le bec couleur de corne, les ongles noires. L'Afrique méridionale est sa patrie.
Fig. 3. Le petit Aigle de la Guiane. (Aquila Urutnurana.)
Cet aigle approche sous beaucoup de rapports de la grande harpie, cependant la tête, le cou, la poitrine et le venire sont blancs, la huppe est grise, mais tachetée par le haut de brun et de noir. A la queue, les bandes transversales sont larges et noires.
Fig. 4. Le Caracara. (Aquila Caracara.)
Cet oiseau, indigène a L'Amérique méridionale, a la grosseur de l'orfraye, le bec couleur de corne, peu courbé, les orteilsi longs, minces et jaunes, et les serres foibles, peu courbées et couleur de corne. Sur la Figure est une peau velue. Sur le haut et le derrière de la tête se trouvent des plumes noires et pointues qui peuvent se dresser; des raies transversales décorent le cou et la poitrine. Le plumage des aîles et des cuisses est noirâtre â reflet bleu et brun, la queue brune avec des bandes blanches, mais la pointe est noirâtre.
Ces oiseaux sont beaucoup plus agiles que les autres oiseaux de proie; ils vivent par paires ou en troupe; ils font leurs aires suc de grands arbres, mangent la charogne, les amphibies, les vers, les insectes; ils assaillent même les oiseaux et de petits mammifères et souvent dans ces occasions ils se réunissent. au nombre de 5 à 6.
Fig. 5. Le petit autour de Cayenne. (Aquila cayenriensis s. Cymindis.)
Les pattes de cet aigle sont très-courtes. Le bec est armé à la courbure, d'une petite dent. Le dessous du corps est blanchâtre, le dos d'un bleu noirâtre, la tête d'un gris cendré, et la queue est ornée de quatre bandes transversales blanches.
Fig. 6. Autour de la Nouvelle Hollande. (Aquila Novae Hollandiae)
Cet oiseau a la figure de notre autour, il est blanc sur tout le corps, à l'exception des pattes qui sont jaunes, et du bec et des serres qui sont noirâtres.
Ad00341 08 004aDiese Tafel zeigt uns merkwürdige thierische Massen, wo eine Menge kleiner Thierchen, (deren natürliche Grösse immer durch die Nebenfiguren (b) angegeben ist) die den Ascidien einigermaßen ähnlich sind, vereinigt vorkommen. Mit Ausnahme des frei schwimmenden Pyrosoma sind alle audern Massen festsitzend.~~Fig. 1. Das rothe Distoma. (Distoma rubrum.)~~Es ist diess eine festsitzende, knorplichte, gemeinschaftliche Körpermasse, in welcher sich die hier als Punkte erscheindenden kleinen, 2 Linien langen ascidienartige Thiere (b), in Gruppen von 3-12 zusammengestellt, finden. Die Farbe ist violetroth, gelb und purpur. - In Europäischen Meeren.~~Fig. 2. Die südliche Sigilline. (Sigillina oustralis)~~In einem gemeinschaftlichen, cylindrischen, durchscheinend graugelben, gallertartigen Körper, stecken die kleinen drei Linien langen, rostfarbigen Thierchen (b). - An der Küste von Neu-Holland einheimisch.~~Fig. 3. Das schwellende Synoïcum. (Synoïcum turgens.)~~In einem soliden, aschgrauen knorplichen, Cylinder, 12-15 Linine lang, finden sich 5 bis 7 parallel neben einen Cirkel gestellte, mit brauner Mündung erscheinende, Thierchen, deren jedes etwa 8-9 Linien lang ist. An den Küsten von Spitzbergen.~~Fig. 4. Das gelappte Aplydium. (Aplydium labatum)~~Der gemeinschaftliche Körper ist knorpelartig, aschgrau, von sehr verschiedener Gestalt, und mit zahlreichen Gruppen von zusammengehörigen, kaum etwas über eine Linie grossen Thierchen, mit gelblicher Mündung, besetzt. Im Mittelländischen Meere an den Küsten von Aegypten.~~Fig. 5. Das gekelchte Aplydium. (Aplydium caliculatum.)~~Halbknorplichte, glänzende, gelblich grüne, kegelförmige, 3-6 Zoll hohe Körpersmase, mit einzeln vertheilten Thiergruppen besetzt, deren Mündung wie ein kleiner Kelch vorsteht. An Europäischen Küsten.~~Fig. 6. Das gesternte Polyclinum. (Polyclinum constellatum.)~~Gallertartige, dunkelpurpurbraune Körpermasse, wovon eine Menge strahlartig zusammengestellter 1 1/2 Zoll langer Thiere so gruppirt sind, dass die gemeinschaftliche Mündung mit rostfarbnen Franzen eingefasst ist. An der Küste von Isle de France in Ostindien.~~Fig. 7. Das weisse Didemnum. (Dideimnum condidum.)~~Die gemeinschastliche Körpermasse ist eine schwammige, lederähnliche, milchweisse Kruste, in welcher die Thiergruppen dicht aneinandergedrängt stehen. Die einzelnen Thiere kaum 1/2 Linie gross. Ist in dem Golf zu Suez gefunden.~~Fig. 8 Das gastliche Eucoelum. (Eucoelum hospitalitium.)~~Die Körpermasse gallertartig, blassgrau, mit Gruppen von 1/3 Linie grossen Thierchen besetzt, welche wie röthliche weisse Punkte erscheinen. Ebenfalls in dem Gols von Suez.~~Fig. 9. Der vielringige Botryllus. (Botryllus polycyclus.)~~Die gemeinschastliche Körpermasse ist knorpelich oder gallertartig, von grauer Farbe, die Thiergruppen sind in ringelartig zusammenlaufenden Reihen angebracht und von blauer Farbe. In Europäischen Meeren, sitzend auf Seethieren und Seepflanzen.~~Fig. 10. Leach's Botryllus. (Botryllus Leachii.)~~Körpermasse dünn, gallertartig von violettrother Farbe, in welcher zahlreiche Thiergruppen sich als weisse Punkte zeigen. An den Englischen Küsten.~~Fig. 11. Das grosse Pyrosoma. (Pyrosoma giganteum.)~~Nachdem man durch Peron das nach ihm benannte Pyrosoma, was VIII. Band. Taf. 30 unsers Bilderbuchs abgebildet ist, kennen gelernt hatte, hat man noch mehrere aufgefunden und eines von diesen sehen wir hier. Der gemeinschaftlich freischwimmende Körper ist eine gallertartige cylindrische oder mehr konische, oft mehr als Fusslange Röhre, von blaulichter oder etwas braunlichter durchscheinender Farbe an dem dicken Ende geöffnet, die Oberfläche mit zahlreichen aneinander stehenden Anhängseln besitzt. Die Thierchen (b) sind, in perpendikulärer Richtung aus die gemeinschaftliche Axe, in cirkelförmigen Reihen über einander gelagert, und von dunkler bräunlicher oder bläulicher Farbe.~~181
Ad00341 08 004a/freVers. XXVIII. Vol. X. No. 2.
MOLLUSQUES CURIEUX.
Cette planche nous représente des masses curieuses animales, où se trouvent réunies en grand nombre dos animaux 1res petits, qui ont des rapports, assez marquants avec les ascidies (et dont un individu isolé est représenté sous b. à coté de cha,que figure). A l'exception du Pyrosoma qui nage,en liberté, tontes les autres masses sont sessiles, o'est a dire fixés au sol.
Fig. 1. Le distome, rouge. (Disloma rubrum.)
C'est une masse commune sessile, demicartilassiueuse, dans laquelle se trouvent des groupes de 3 à 12 animaux, de 2 lignes 'de long, assez semblables anx ascidies, lesquels paroissent ici comme des points. Le distome est d'un rouge violet, jaune et pourpre. Il se trouve dans les. mers Européennes.
Fig. 2. La sigilline australe. (Sigillina australit.)
Des animaux de trois lignes de long, couleur de rouille sont comme encaissé-dans un corps commun, élevé en cne grêle, diaphane avec une faible nuance vert jaunâtre. Cette sigilline est indigène à la côte de la Nouvelle-Hollande.
Fig. 3. Le Synoïque de Phipps. (Synoïcum turgens.)
Dans un cylindre solide, cartilagineux, cendré, de 12 à 15 lignes de long, se trouvent de 5 à 7 animaux, à orifice brun, qui sont placés en cercle. Chacun de ces animaux peut avoir de 8 à 9 ligues de long. Il se trouve sur les cotes de Spitzberg.
Fig. 4. Aplide lobé. (Aplidium lobalum.)
Le corps commun est cartilagineux, d'un gris cendré, de formes très diverses et occupé par denombreux groupes d'animaux qui tiennent ensemble, et qui ont à peu près une ligne de long et dont l'orisice est jaune. Habite le golse- de Suez et la méditerrannée sur les côtes d'Egypte.
Fig. 5. Aplide caliculé. (Aplidium caliculatum.)
C'est une masse de corps à demi cartilagineuse, luisante, d'un vert jaunâtre, conique, de 3 à ù, pouces de haut, occupée par des groupes isolés d'animaux, dont l'orisice sigure un petit calice. Ou le trouve sur les côtes de l'Europe.
Fig. 6. La Polycline constellée. (Polyclinum consttllaturn.)
Une masse de corps gélatineuse de 18 lignes de long, d'un pourpre brun- soncé, sur laquelle une quantité d'animaux sorment par la place qu'ils occupent une espèce de rayon, et sont groupés de manière que l'orisice commun est bordé de sranges loussatres. Elle se trouve sur les côtes de l'ile de France dans les Indes orientales.
Fig. 7. Le Didemne blanc. (Didonum condidum)
Le corps coriace, étendu en croûte mince, opaque d'un blanc de lait, dans la quelle les groupes d'animaux sont très-près- les- uns des. autres. Les animaux ont à peine § ligne- de long. Le Golse de Suez est sa patrie.
Fig. 8. Eucélie hospitalière. (Eucoelium hospitalilium.)
La masse gélatineuse, d'un gris pâle, est occupée par des groupes d'animaux d'une demi-ligne de long, qui se présentent comme des points d'un blanc-rougeâtre.
On la trouve également dans le Golfe de Suez;
Fig. 9. Le Botrylle polycycie. (Botryllus polycyclus.)
La masse commune est cartilagineuse ou gélatineuse, demi transparente, d'une cendré clair, et les groupes d'animaux-sont placés sur des lignes qui sorment des espèces d'anneaux, et sont bleus
Il se trouve dans les mers de l'Europe sur divers végétaux et animaux marins.
Fig. 10. Le Botrylle de Leach. (Rotryllus Leachii.)
Corps sormant une croûte gélatineuse, un peu épaisse, hyaline avec une teinte de rouge violet, dans laquelle se montrent de nombreux groupes d'animalcules comme des points blancs. Il se trouve sur les côtes d'Angleterre.
Fig. 11. Le Pyrosome géant. (Pyrosoma giganteum.)
Des qu'on a connu par Pérou le Pyrosome qui porte son nom, et qui est figuré dans le VIII. vol. de notre porte—feuille d'enfants, planche Nr. 30. ou en a trouvé plusieurs autres, dont l'un d'eux est ici dépeint Le corps commun qui nage en liberté est un tuyau gélatineux cylindrique ou plutôt conique de plus d'un pied de long, d'une couleur bieuâtr-> et presque brunâtre, ouvert à sa giosse extrèmilé, et dont la sursace est couverte de nombreux appendices; Les animaux sont placés sur l'axe commune dans une direction perpendiculaire, en lignes circulaires, et sont bruns soncés oh bleus.
Ad00341 08 005aWir sehen hier eine Blüthe und Zweig eines Baumes, der auf der Insel St. Domingo und in Bahama zu Hause ist, und unter andern auch dadurch sehr merkwürdig ist, dass er seine Aeste in zweierlei Richtung ausstreckt; einige steigen senkrecht in die Höhe und bilden einen buschigen Gipfel, andere gehen gegen die Erde, schlagen da Wurzel, treiben dann neue Aeste und bilden so für sich allein ein Gehölz, was sich sehr ausbreitet und gar keine andere Bäume unter sich aufkommen lässt. Denn auch wenn der Saamen der Clusia auf einen andern Baum fällt, so keimt derselbe dort und erzeugt eine Pflanze, deren Wurzel sich aus dem Baume befestiget und, bei ihrem fernern Wachsthum, nach Art der Schmarotzerpflanzen denselben ganz aussaugt.~~Die Clusia wird an 25 bis 30 Fuss hoch. Das Holz ist weich und weiss von Farbe, und giebt ein Harz, was zu verschiedenen Zwecken benutzt wird.~~Der hier abgebildete Zweig zeigt die weiblichen Blumen, die von der männlichen getrennt sind; oben befindet sich eine Frucht. Fig. 2. ist die Abbildung einer männlichen Blume. Die Fig. 3-8 erläutern einzelne Theile der männlichen und weiblichen Blume. Fig. 9-14 zeigen den Bau der Frucht und die Beschaffenheit des Saamens.~~181
Ad00341 08 005a/frePlantes CLIX. Vol. X. No. 3.
LA CLUSIE COLEUR DE ROSE. (Clusia rosea.)
La planche ci-jointe figure ici la fleur et une branche d'un arbre, indigène à l'île de St. Dorningue et a Bahama, qui est très remarquable par la double direction que prennent ses branches; les unes's'élèvent perpendiculairement et forment une crête touffue, d'autres descendent à terre, ou elles prennent racine, poussent de nouvelles tiges, et forment d'elles-mêmes un bosquet qui s'étend très auloin et ne souffre à sa proximité aucune espèce d'arbres. Lorsque la semence de la clusie vient même à tomber sur un autre arbre, elle y germe aussitôt, et engendre une plante, dont la racine s'attache â l'arbre et qui pendant sa croissance ultérieure, à l'instar des plantes parasites, lui enlève toute sa sève. Le bois de la clusie, qui a de 20 à 25 pieds de haut, est tendre et blanc et donne une résine, qu'on emploie à divers usages.
La branche figurée sur notre planche présente les fleurs femelles, qui sont séparées des mâles, et au haut est un fruit. Fig. 2. représente une fleur mâle. Les Figures 3 à 8 autre expliquent quelques parties isolées des fleurs mâles et semelles. Les figures 9 à 14 montrent la structure du fruit et la constitution de la semence.
Ad00341 08 006aDie Gefahren des Wallfischfanges sind so gross, dass man oft an der Wahrheit der Erzählungen zweifeln möchte, wenn sie nicht durch die Menge der Zeugen und die Uebereinstimmung der Erzähler verbürgt würden.~~Wenn die Wallfischfänger dem Thiere einen oder mehrere an lange Stricke befestigte Harpune in den Leib geworfen haben, so schlägt der Wallfisch erst mit seinem grossen Schwanze um sich, und macht solche, gewaltsame Bewegungen mit seinem Körper, dass er zerschmettert, oder in die Höhe und in die Tiefe schleudert, was er damit erreicht; oder er sucht zu entfliehen, indem er in die Tiefe taucht, und diess geschieht mit solcher Schnelligkeit, dass der Strick woran der Harpun befestigt ist, kaum Zeit hat sich abzuwickeln, und wenn das Abwickeln stockt oder der Strick zu kurz ist, so reisst der Wallfisch das Boot mit sich, stülpt es um, so dass die Matrosen in's Meer fallen, beschädigt werden, oft nur mit Mühe gerettet werden und gar oft umkommen.~~Ein's der wunderbarsten Ereignisse, welches je bei dem Wallfischfange vorgekommen, ereignete sich im Jahr 1802 und ist auf unserer Tafel abgebildet.~~Ein Wallfisch, von vier Booten verfolgt, war von zwei Harpunen getroffen, tauchte unter und erhob sich gerade unter dem dritten Boote, so dass er diess mit Menschen und Geräthe 15 Fuss hoch in die Luft schleuderte, und das Boot umgestülpt wieder in's Wasser zurückfiel. Die Mannschaft wurde durch das vierte Boot gerettet, ein Mann davon aber, der sich in den Stricken verwickelt hatte, ertrank.~~181
Ad00341 08 006a/freMélanges. CCLIII. Bd. X. No. 4.
DANGERS QUE PRÉSENTE LA PÊCHE DE LA BALEINE.
Les dangers qui accompagnent la pêche de la baleine sont si grands qu'on seroit souvent tenté de douter de la vérité des relations, si elles n'étoient confirmées par la quantité des témoins et par l'unité des récits.
Quand les pêcheurs ont lancé dans le corps de l'animal un ou plusieurs harpons, attachés à une longue corde, la baleine commence par fouetter autour d'elle avec sa grande queue, et elle fait avec son corps des mouvements si violents qu'elle écrase, précipite dans les abîmes ou jette dans les airs tout ce qu'elle atteint; ou bien elle cherche à échapper en plongeant jusqu'au fond de la mer, et cela avec tant de rapidité que la corde à laquelle tient le harpon a à peine le tems de se dérouler, et que, si celle-ci vient à s'arrêter ou qu'elle soit trop courte, l'animal entraine le canot et le renverse. Dans ce cas les malelots tombent dans la mer, se blessent, ne peuvent être souvent sauvés que par les plus grands efforts, et périssent même quelquefois.
Un des événements les plus extraordinaires causés par la pêche de la baleine, arriva en 1802 et est figuré sur notre planche.
Une baleine, poursuivie par quatre esquifs, et atteinte de deux harpons, ayant d'abord plongé, revint sur l'eau précisément sous le troisième esquif, qu'elle lança à 15 piés de haut avec les hommes et les instruments, de sorte qu'il retomba renversé dans l'eau. L'équipage fut sauvé par le quatrième esquif; cependant un homme, qui s'étoit embarrassé dans les cordes, se noya.
Ad00341 08 007aAuf der Insel Egg, einer an der Westküste Schottlands gelegenen sogenannten Westlichen Inseln, liegt der hier abgebildete sonderbare Berg Skuir, welcher wie ein von Riesenhänden gebaueter Thurm, hoch in die Wolken ragt. Der nackte Felsen sieht ganz aus, wie eine Mauer, und steigt fast 500 Fuss in die Höhe.~~181
Ad00341 08 007a/freMélanges. CCLIV. Vol. X. No. 5.
LE SKUIR DANS L'ILE D'EGG.
On voit dans l'île D'Egg, l'une des soi-di-santés îles occidentales, situées à l'ouest de L'Ecosse, le mont Skuir, figuré sur notre planche, qui semblable á une tour construite par des géants, va se perdre dans les nues. Le rocher, qui est entièrement à nu, a absolument l'áir d'un mur, et il a près de 500 pieds de haut.
Ad00341 08 008aFig. 1. Die weisse Antilope. (Antilope Leucoryx.)~~Diese Antilope, welche ihren Namen von ihrer, mit Ausnahme der einzelnen braunen Stellen am Kopfe und Beinen, weissen Farbe hat, ist von einem etwas schwerfälligem Baue. Die Hörner sind lang, wenig gekrümmt, etwa zur Hälfte geringelt und schwarz. Das Thier ist auf der Insel Gow Bahrein im Golf von Bassora gefunden.~~Fig. 2. Der Rietbock. (Antilope arundinacea.)~~Diese Antilope, so gross wie ein Rehbock, ist oberhalb von blassgrauer Farbe, unterhalb des Leibes und an der innern Seite der Beine aber weiss. Die nur kleinen Hörner sind glänzend schwarz und etwas nach vorn gekrümmt. Der Schwanz ist ziemlich lang, platt und mit langen weissen Haaren besetzt. Vaterland ist die Südspitze von Afrika und der Name Rietbock ist dieser Antilope gegeben, weil sie sich gern in Gegenden, wo viel Riet wächst, aufhält.~~Fig. 3. Euchora Antilope. (Antilope Euchora.)~~Diese Antilope, welche man an dem Vorgebirge der guten Hoffnung den Springbock nennt, ist an dem Obertheile des Körpers gelbbraun, an dem unteren Theile weiss von Farbe. Der Kopfe ist weiss und nur mit einem von der Basis der Hörner gegen den Mundwinkel laufenden braunen Streif gezeichnet. Der Schwanz ist lang, seine Farbe ist unten dunkel, oben aber weiss und dieses Weiss geht in den weissen Hinterbacken und in einen gegen den Rücken vorwärts laufenden weissen Streif über, welcher, wenn das Thier in Leidenschaft und in Furcht geräth, vermöge einer Hautfalte, breiter werden kann. Diese Antilopen halten sich in zahlreichen oft in zahllosen Heerden zusammen und nehmen grosse Wanderungen vom Inneren nach der Küste, und zurück, vor.~~Fig. 4. Die blaue Antilope. (Antilope leucophaea.)~~Diese etwas langhaarige ziemlich grosse Antilope mit langen Hörnern kömmt den Ziegen etwas nahe, und wird auch auf dem Vorgebirge der guten Hoffnung die blaue Ziege genannt. Die Farbe ist blaugrau, unter dem Bauche weiss; auch unter dem Auge findet sich ein weisser Fleck. Die Hörner sind lang, meistens rückwärts gebogen, an der Basis geringelt und schwarz von Farbe.~~Fig. 5 Die Chevaline. (Antilope equina.)~~Die Chevaline ist fast so gross wie ein Esel, hat grosse Hörner von Form und Biegung wie bei der blauen Antilope. Das Haar ist graubraun und bildet auf dem Halse eine braune Mähne. Vor dem Auge ist ein halbmondförmiger Fleck und die Nasenwurzel weiss. Der Schwanz ist scwharz (sic). Das Vaterland ist unbekannt.~~182
Ad00341 08 008a/freQuadrupedes. XCIX. Vol X. No. 6.
ESPÈCES D'ANTILOPES.
Fig. 1. L'antilope blanche. (Antilope Leucorix.)
Cette antilope qui tient son nom de la couleur de son corps, qui est blanc, quelques taches brunes à la tête et aux jambes exceptées, a l'extérieur un peu lourd. Les cornes sont longues, peu courbées, annelées jusqu' à la nioiiié et noires.
Cet animal a été trouvé dans l'île Gow Bahrein dans le golse de Bassora.
Fig. 2. Le Ritbock ou Nagor des roseaux. (Antilope arundinacea.)
Cette antilope aussi grande qu'un chevreuil a le haut du corps d'un gris pâle, le bas du corps et le côté intérieur des jambes blancs. Les cornes qui sont petites sont d'un noir luisant et un peu courbées sur le devant. La queue est assez longue, platte et couverte de longs poils blancs.
La pointe méridionale de l'Afrique est sa patrie'; et cette antilope tient son nom Rietbock de ce qu'elle aime à séjourner dans les contrées où il croit beaucoup de Riet (roseaux).
Fig. 3. Le Springbock. (Antilope Euchora.)
Cette Antilop, la Gazelle sautante du cap de bonne Espérance, a le haut du corps d'un brun-jaune et le bas blanc. La tête est blanche, marquée néanmoins d'une seule bande brune, qui, partant de la base des cornes, se prolonge jusqu' â l'angle de la bouche. La queue est longue, soncée en bas, mais blanche en haut; cette couleur se perd dans les sesses blanches et dans une raie blanche, qui se prolonge vers le dos, ou elle peut s'élargir par le moyen d'un pli de la peau, lorsque cet animal est agité par la passion ou la peur.
Ces antilopes qu'on apelle aussi Gazelle à bourse vivent ensemble par troupes nombreuses et souvent innombrables, et entreprennent de grande voyages de l'intérieur vers les côtes et des côtes vers l'intérieur.
Fig. 4. L'antilope bleue. (Antilope Leucophaea.)
Cette antilope, qui est assez grande, â longs poils, et dont les cornes sont longues, approche un peu des chèvres, et se nomme au Cap de Bonne Espérance, la chèvre bleue. Elle est gris-bleu, avec une marque blanche, mais le ventre est blanc. Les cornes sont longues, ordinairement courbées en arrière, annelèss à la base, et noires.
Fig. 5. La Chevaline. (Antilope equina.)
La Chevaline, qui a à peu près la grandeurd'un âne, a les cornes grandes, faites et courbées comme celles de l'antilope bleue. Le poil est d'un gris brun et forme sur le cou une crinière brune. Devant l'oeil est une tache en forme de croissant, et la partie supérieure et postérieure du nez est blanche. La queue est noire.
Sa patrie est inconnue.
Ad00341 08 009aFig. 1. Der rothe Sandfisch. (Ammocoetus ruber.)~~Dieser den Neunaugen verwandte Fisch, der mit zu denen gehört, welche, wie die Bauchkiemer B. B. Band IX. Taf. 3. die Fische mit den Würmern verbinden, ist etwa sieben Zoll lang, von rother Farbe, die auf der Bauchseite viel blässer ist, als auf dem Rücken. Die Augen liegen unter der Haut und sind so klein, dass die Fischer diesen Sandfisch den blinden nennen. Der Fisch ist in Frankreich am Ausfluss der Seine gefangen, wo er sich in den Sand einbohrt. Die Nebenfigur b. zeigt das Maul von unten und zugleich die gefäßreichen Höhlen, womit der Fisch athmet, die Kiemen, durch Zergliederung sichtbar gemacht. Die Fig. c. zeigt bloss den Kopf von oben, so dass man das Spritzloch sieht.~~Fig. 2. Der borstige Einhornfisch. (Balistes hispidus.)~~Diese Art von Balisters (vergleiche B. B. VIII. No. 35.) ist von gelbbrauner Farbe, mit steifen feinen Borsten und langen Haaren besetzt. Statt der ersten Rückflosse hat dieser Fisch nur eine große und eine kaum merkliche Stachel. Man hat ihn in dem Indischen Meere gefunden.~~Fig. 3. Der Elephanten-Fisch. (Chimaera antarctica.)~~Wir sehen hier eine genauere Darstellung des schon Bd. IX. No. 4. abgebildeten Fisches, und vorzüglich seines so äusserst sonderbar gebildeten Kopfes, an welchem ein fleischiger, wie eine Hacke gestalteter, Lappen über das Maul hervorragt und das letztere, durch Stellung seiner Zähne, einen ganz eigenthümlichen Anblick gewährt. Man findet diesen Fisch an der Westküste von Südamerica und an den Küsten von Neuholland.~~Fig. 4. Der Barthay. (Squalus appendiculatus.)~~Diess ist eine der kleinsten, aber auch eine der sonderbarsten Arten von Hayfischen wegen der Hautlappen und Anhängsel, womit Kopf und Vordertheil des Körpers besetzt sind. Die Farbe ist braun, mit helleren augenförmigen Flecken. Dieser Hay ist an der Küste von Neuholland gefunden.~~Fig. 5. Das fadentragende Seepferdchen. (Syngnathus filamentosus.)~~Dieses Seepferdchen hat ganz die Gestalt dessen, was im II. Bande des Bilderbuchs No. 16 abgebildet worden, und unterscheidet sich nur durch die sonderbaren Anhängsel.~~182
Ad00341 08 009a/frePoissons. LVIl. Vol. X. No. 7.
POISSONS CARTILAGINEUX TRÈS-SINGULIERS.
Fig. 1. L'ammocète rouge. (Ammocoetus ruber.)
Ce poisson, très-assiné avec les lamproies, qui fait partie de ceux qui réunissent les poissons avec les vers, peut avoir 7 pouces de long; il est rouge, mais cette couleur est plus pâle sur le ventre que sur le dos. Les yeux sont placés sous la peau, et sont si petits que les pêcheurs nomment ce poisson l'aveugle.
Ce poisson a été pris à l'embouchure de la Seine, où il se creuse un trou dans le sable.
La figure secondaire b représente la tête par en bas ainsi que les cavités des organes, par lesquels le poisson respire, les ouïes, rendues sensibles par la dissection.
La figure c ne représente que la tête par «n haut, de sorte qu'on voit l'éveut.
Fig. 2. Le Baliste velu. (Batistes hispidus.)
Cette espèce de Baliste (comparez Vol. VIII. No. 35.) est d'un brun jaune, couvert de soies fines et de longs poils. A la place de la première nageoire du dos, il n'a que deux aiguillons, dont l'un très-marqué et l'autre à. peine perceptible.
On l'a trouvé dans la mer des Indes.
Fig. 3. Le Callorhinque antartique. (Chimaera antarctica.)
Nous voyons ici une représentation, plu» exacte du poisson figuré Vol. IX. No. 4. et surtout de sa tête qui est étrangement sorméej à laquelle tient une masse insorme de chair, qui pend en forme de crochet sur la bouche, et cette dernière, vu la position de ses dents, offre un coup-d'oeil tout particulier.
On le trouve sur les côtes occidentales de l'Amérique du Sud et sur les côtes de la Nouvelle- Hollande,
Fig. 4. Le Squale appendiculé. (Squalus appendiculatus.)
C'est une des plus petites, mais aussi des plus singulières espèces de requins, à cause des pellicules et appendices qui couvrent latête et le devant du corps; il est gris et parsemé de taches occulaires.
Ce requin a été trouvé sur la côte de la Nouvelle-Hollande.
Fig. 5. L'Hippocampe filamenteux. (Sygnatus filamentosus.)
Cet hippocampe a absolument la forme de celui qui est figuré Vol. II. No. 16. et ne s'en distingue que par ses appendices singuliers.
Ad00341 08 010aFig. 1. Die blutrothe Delesseria. (Fucus sanguineus.)~~Dieser an den Europäischen Küsten vorkommende blutrothe Tang hat rothe, fingerlange eirund-lanzettförmige, wellenförmige, geränderte, auch wohl geschlitzte oder gefiederte Blätter, neben welchen andere, mit kleinen Fructificationskapseln versehene sitzen; alles von langen dunkelrothen Stielen getragen. Die Figuren a.b.c. zeigen vergrösserte Fructificationskapseln.~~Fig. 2. Die elegante Claudea. (Claudea elegans.)~~Diese zierliche Seepflanze ist von dem Naturforscher Péron an den Küsten von Neuholland entdeckt. Auf einem ästigen Stiele sitzen einseitige Blätter von sichelförmiger oder halbcirkelförmiger Gestalt, deren Haupt-Rippe nicht in der Mitte, sondern an dem concaven Rande jedes Blattes befindlich ist und von welcher parallele Querrippen gegen den convexen Rand des Blattes auslaufen, die wieder durch kleine mit der Hauptrippe und unter sich ziemlich parallaufenden Fibern verbunden sind. Durch diese Rippen und Fibern wird eine sehr zarte Blatthaut gestützt, und in der Mitte der Blätter finden sich schotenaritge Fructificatonstheile, welche in den Nebenfiguren a.b.c.d.e.f. vergrössert dargestellt sind.~~Fig. 3. Die Pfauen-Dictyota. (Dictyota pavonia.)~~Diese fächerförmige, zu der Familie der Tange gehörige, Pfauen-Dictyota hat ein netzartiges und zelligtes Gewebe, mit stärkeren Längenfasern und ist mit einer dicken Oberhaut versehen. Die Oberfläche der Blätter ist mit körnertragenden Fructificationskapseln bedeckt, welche durch a. und b. besonders abgebildet sind und die ganze Pflanze ist von grünlichter, ins geblichte schillernder Farbe und ruht auf einem faserichten Stiel. Man hat sie an den Französischen Küsten gefunden,~~Fig. 4. Die purpurrothe Ulve. (Ulva purpurea L.)~~Diese purpurfarbene Ulve hat länglichte lanzettförmige Blätter mit wellenförmigem Rande und von zelligtem gleichförmigem, mit einer purpurfarbigen schleimigen Flüssigkeit gefülltem Gewebe, an welchem die Fructificationstheilchen als kleine Körner unter der Oberhaut sichtbar sind.~~Sie findet sich an den Europäischen Küsten, namentlich hat man sie an den Küsten von Oldenburg angetroffen.~~182
Ad00341 08 010a/frePlantes. CLXI. Bd. X. No. 8.
ALGUES (PLANTES DE MER) DE DIVERSES ESPÈCES.
Fig. 1. La Delesserie sanguine. (Fucus sanguineus.)
Cette plante, qui se trouve sur les côtes de l'Europe, a des feuilles rouges, longues comme le doigt, oblongues, lancéolées, ondoyantes à rebord, même laciniées ou plumassées, auprès desquelles il s'en trouve d'autres pourvues de petits conceptacles sructisères; toutes tiennent à un longue tige d'un rouge foncé. Les Fig.a.b.c. désignent les conceptacles grossies.
Fig. 2. La Claudée élégante. (Claudea elegans)
Le naturaliste Pérou a découvert sur les côtes de la Nouvelle-Hollande cette charmante plante de mer. Un pied noueux porte des feuilles qui ne croissent que d'un côté de la branche, formées en saux ou en demicroissant, dont la côte principale, loin de prendre le milieu, se trouve au contraire au bord concave de la feuille, de laquelle partent des côtes transversales parallèles, se dirigeant vers le bord convexe, les quelles sont de nouveau mises en rapport avec la côte principale et entre elles par de petites fibres qui sont assez parallèles. Ces côtes et ces fibres soutiennent un très-fin épiderme et dans le milieu des feuilles gisent les parties sructisères en forme de pois, que représentent grossies les figures secondaires a—f.
Fig. 3. La Dictyote queue de paon. (Dictyota pavonia.)
Le tissu de cette 'dictyote en sorme d eventail, faisant partie de la famille des algues, est cellulaire et réticulaire avec de fibres longitudinales plus saillants, et pourvu d'un épidermô épais. Sa supersicie des feuilles est couverte de conceptacles sructifères chargés de grains. Ces conceptacles sont figurés séparément à a et b. La plante entière est d'une couleur jouant le verdâtre et le jaunâtre, et repose sur un pied fibreux.
Fig. 4. L'Ulve pourprée. (Ulva purpurea)
Les feuilles de cette ulve pourprée sont oblongues et lancéolées, avec un rebord on» doyant, et d'un tissu cellulaire, uniforme, plein d'un fluide mucilageux pourpré. Les parties sructifères s'aperçoivent comme de petits grains dans ce tissu sous l'épiderme.
Cette algue se trouve sur les côtes de l'Europe et nommément sur les côtes du Grand Duché d'Oldenbourg.
Ad00341 08 011aDieser merkwürdige Baum ist aus Neuholland nach Europa gekommen, wo er den Winter aber bedeckt werden muss. Er hat einen dicken Stamm vom äusserst harten Holz, aber keine Blätter, sondern lauter gegliederte Stängel, die unserm Schaftheu oder Schachtelhalm (Equisetum) ähnlich sind, und so herabhangen wie bei dem Kasuar dessen haarähnliche Federn. Daher ist vielleicht auch der Name Casuarina.~~Der unten Fig. 1. abgebildete Baum befindet sich zu Belvédère bei Weimar, und wächst so schnell, dass man alle Jahre den Raum wo er steht beträchtlich vergrössern und das Haus was ihn bedeckt, daselbst erhöhen muss. Er gewährt einen ganz eigenthümlichen Anblick.~~Fig. 2. zeigt einen Zweig der vierklappigen Casuarina (Casuarina quadrivalvis).~~Fig. 3-7. erläutern den Bau der männlichen Blumen.~~Fig. 8. 9. 10. lehren den Bau der weiblichen Blumen kennen.~~Fig. 11. zeigt einen reifen Zapfen.~~182
Ad00341 08 011a/frePlantes. CLX. Vol. X. No. 9.
LA C.ASUARINA À QUATRE VALVES.
Cet arbre, venu de la Nouvelle-Hollande en Europe, croît parfaitement dans nos climats, pourvu qu'on ait soin de le tenir couvert pendant l'hiver. Le tronc, qui est d'un bois très-dur est gros. Au lieu de feuilles, il n'a que des tiges couvertes d'une insinité daiguilles sines et déliées, assez semblables à la prêle (Equiseum), qui péndent comme les plumes du Casuar. Il est probable que c'est delà tjue lui vient le nom de Casuarina.
L'arbre figuré à No. 1 se trouve à Belvédère près de Weimar, et sa croissance est si rapide qu'on est annuellement obligé d'étendre considérablement l'espace qu'il occupe, et d'élever la hutte qui le couvre. Le coup-d'oil de cet arbre offre quelque chose de tout particulier.
On voit à Fig. 2. une branche de la Casuarina à quatre valves (Casuarina quadrivalvis).
Les Fig. 3. 4. 5. 6. 7. expliquent la conformation des fleurs mâles.
Les Fig. 8. 9. 10. enseignent la construction des fleurs semelles.
Fig. 11, montre les fruits reunis en cone.
Ad00341 08 012aEine wirkliche Merkwürdigkeit in Spanien ist die Brücke über den Guadiana bei Ronda. Sie schwebt gleichsam über einer Felsenkluft, in welcher der Fluss strömt, zweihundert und achtzig Fuss über der Wasserfläche; besteht aus einem einzigen Bogen von einhundert und zehn Fuss Spannung und ruht auf zwei in der Nähe des Felsen angebrachten und an diesem befestigten 15 Fuss dicken Mauerpfeilern. So wie sie jetzt ist, ist sie 1774 von dem Architekt Aldehuela erbaut.~~182
Ad00341 08 012a/freMelanges. CCLV. Vo. X. No. 10.
LE PONT DE RONDA.
Le pont jeté sur la Guadiana, près de Ronda, est une véritable merveille qu'offre l'Espagne. Il est pour ainsi dire suspendu à une élévation de deux cent quatre vingts pieds au dessus de la superficie de l'eau, sur le creux d'un rocher dans lequel la rivière se précipite. Il n'est formé que d'une seule arche de cent-dix pieds, qui repose sur deux piliers de pierre de 15 pieds d'épaisseur, élevés près du rocher et aclampés à celui-ci. Il est encore tel que l'a construit l'architecte Aldehuela en 1774.
Ad00341 08 013aDie Cashemir-Ziegen, welche seit einigen Jahren durch die Betriebsamkeit des Herrn Ternaux nach Frankreich verpflanzt sind, kommen an Grösse den gewöhnlichen Ziegen nahe.~~Sie haben alle mehr oder weniger Bart; die Böcke haben denselben grösser. Bei einigen findet man Büschel von langen Haaren, welche ihnen in Locken über die Stirne hängen.~~Es giebt wenige unter ihnen, die keine Hörner haben; diese sind im Allgemeinen gerade; nur bei wenigen sind dieselben gebogen.~~Die Ohren sind lang, breit, dünn und herabhängend.~~Die Haare, an deren Wurzel sich der Flaum bildet, sind an einem Drittheil der Thiere sehr lang, weniger lang bei einem andern Drittheil, bei den übrigen kurz, und beinahe wie geschoren; unter den Thieren, welche kurzes Haar haben, haben manche mehr Flaum, als die mit langen Haaren.~~Das Vliess der meisten dieser Ziegen ist vollkommen weiss; es giebt aber auch welche, die beinahe ganz grau, und andere, die grösstentheils weiss sind, mit schwarzen, grauen oder röthlichen Flecken. Man hat bemerkt, dass mehrere der grauen einen sehr feinen Flaum haben.~~Die Thiere sind sanft, gesellig, folgsam in der Heerde zu führen, wenn sie einige Zeit unter den Menschen gelebt haben. Wenn man sie aber in das Gebirge liesse, so ist es sehr wahrscheinlich, dass sie eben so menschenscheu würden, als die gemeinen Ziegen.~~183
Ad00341 08 013a/freQuadrupèdes. C. Vol. X. No. 11.
CHÈVRES DE CASHEMIR INTRODUITES EN FRANCE.
Les chèvres de Cashemir, qui depuis quelques années ont été transportées en France par les soins de Mr. Ternaux, sont aussi grandes que les chèvres ordinaires.
Elles ont toutes plus ou moins de barbe, cependant celle des boucs est beaucoup plus sorte. Quelques-unes d'entre elles ont même des huppes de poils très-longs, qui retombent en boucles sur leur front.
Il y en a très-peu, qui ne soient ornées de cornes, en général droites, courbées cependant dans quelques individus.
Elles ont les oreilles longues, larges, minces et pendantes.
Les poils, à la racine desquels se forme le duvet, sont très-longs dans un tiers de ces animaux, moins longs dans un autre tiers, courts et comme tondus dans les autres. Quelquesunes des chèvres à poils ras ont plus de duvet, que celles à longs poils.
La toison du plus grand nombre de ces animaux est d'une parfaite blancheur, il y en a cependant, qui sont presque entièrement grises, et d'autres où le blanc domine, mais tachetées de noir, de gris ou de rouge. On a, observé, qu'en général le duvet des chèvres grises est très-fin.
Quand ces animaux ont vécu peu, de tems au milieu des hommes, ils sont doux, sociables, et se laissent facilement conduire par troupeau. Il est néanmoins très-vraisemblable, que si l'on venoit à les lâcher dans les montagnes, ils deviendroient aussi sauvages, que les chèvres ordinaires.
Ad00341 08 014aDie hier abgebildeten Würmer gehören zu den Ringelwürmern, von welchen bereits Band IX. No. 1. und 2. einige Gattungen abgebildet wurden.~~Fig. 1. Die Trichter-Sabella. (Sabella insundibulum.)~~Diese Sabelle, welche 8 bis 10 Zoll lang ist, sich aber sehr zusammen ziehen kann, hat einen orangefarbigen, breit geringelten Körper; um dem purpurfarbenen Mund sitzen zwei grosse Tentakeln, welche jeder aus etlichen und dreissig, durch ein durchsichtiges Gewebe verbundenen, Strahlen besteht, und mit dem der Tentakel der andern Seite einen Trichter bildet, der aussen glatt und purpurfarben, innen behaart ist. Das Thier bereitet sich eine grünliche, elastische Röhre, in welcher es in der Erde des Meeresbodens verborgen liegt, und aus welcher nur die Tentakeln zur Zeit der Ebbe sich hervorstrecken. -~~Man hat das Thier an der Süd-Küste von Devonshire in England gefunden.~~Fig. 2. Die Sabella mit gewundenen Tentakeln. (Sabella volutacornis.)~~Diese Sabella hat einen, fast 5 Zoll langen, aus etwa 80 Ringeln bestehenden rothbraunen Körper, der, gegen den Kopf zu, eine gelbe, an der Seite rothe, aus 10 Ringen bestehende, etwas platte Abtheilung hat. Die Fühlhörner sind über einen Zoll lang, spiralartig gewunden, gelbbraun von Farbe, sehr schön gefiedert, und an einer Seite mit langen, borstenartigen Fasern besetzt, und können verkürzt und verlängert werden.~~Ein Gehäuse bereitet sich diese Sabella nicht. Man hat sie nackt an der südlichen Küste von Devonshire in England gefangen.~~183
Ad00341 08 014a/freVers, XXIX. Vol. X. No. 12.
VERS TRÈS-REMARQUABLES.
Les vers figurés sur la planche ci-jointe sont partie des annelides, dont quelques espèces se trouvent représentées Vol. X. No. 1 et 2.
Fig. 1. Sabelle à entonnoir. (Sabella infundibulum.)
Le corps de cette sabelle de 8 à 10 pouces de long, mais douée de la faculté de se raccourcir, est d'une couleur orange et à larges anneaux. La bouche, qui est couleur de rose, est pourvue de deux grands tentacules » composés chacun d'une trentaine de rayons unis ensemble par un tissu transparent, qui forme, avec celui du tentacule opposé, un entonnoir uni et couleur de pourpre en dehors, velu en dedans. Cet animal, se sabrique un tuyau élastique verdâtre, où il se tient caché dans la terre au sond de la mer, et d'où les tentacules ne sortent que dans le tems du reflux.
Ce ver a été trouvé sur la côte méridionale de Devonshire en Angleterre.
Fig. 2. Sabelle à tentacules spiraux. (Sabella voluta cornis.)
Cette Sabelle a le corps brun, de 5 pouces de long, composé de 80 anneaux environ, ayant une division un peu applatie, formée de 10 anneaux, jaune vers la tète et rouge sur le côté. Les tentacules, d'un pouce de long et au delà, en spirale, d'un brun-jaune, très joliment plumassées, et pourvues d'un côté de longs filaments soyeux, s'allongent et se raccourcissent à volonté. Cette Sabelle ne se prépare pas de tuyau.
On l'a trouvée nue sur la côte méridionale de Devonshire en Angleterre.
Ad00341 08 015aFig. 1. Der Bärlapp. (Lycopodium clavatum.)~~Dieses schöne moosähnliche Gewächs, kriecht in bergigen, trockenen Tannenwäldern, mit langen beblätterten Ranken, auf der Erde und an Bäumen. Es hat ellenlange, harte, überall mit kleinen Blättern bedeckte Stängel. Die Blätter stehen dicht, schuppig, und lanzettartig spitz, und endigen in ein seidenartiges, glänzendes Haar. Es treibt lange, schmale, tannenzapfenartige Blütenähren, die aus lanzettförmigen, dachziegelartig liegenden Schuppen bestehen, welche in ein kurzes Haar ausgehen. Unter jeder Schuppe befindet sich eine kleine, nierenförmige, gelbe Kapsel, aus welcher, wenn sie gereift und aufgesprungen ist, der Saame, ein, unter dem Namen Hexenmehl, Bärlappmehl, semenlycopodii, bekannter, gelber Staub, kommt, welcher, an eine Flamme gebracht, sich schnell entzündet, und daher auf den Theatern gebraucht wird, um den Blitz vorzustellen. Wir sehen hier die Pflanze mit fast reifer Aehre, und in den Nebenfiguren a. eine Aehre, an welcher die Axe sichtbar gemacht ist. b. ein Blatt, und c. eine Schuppe mit r nierenförmigen Saamenkapsel, vergrössert dargestellt; d. stellt den einzelnen Saamen vor.~~Fig. 2. Das stumpfblättrige Torfmoos. (Sphagnum obtusifolium.)~~Dieses Moos hat seinen Namen daher, weil es, nebst andern Arten von Torsmoos, auf sumpfigtem Boden und in wirklichen Sümpfen wachsend, diese ausfüllt und in festen Torfboden verwandelt.~~Die Stängel dieses Mooses sind oft schuhlang, und stehen dem grössten Theile ihrer Länge nach in dem Sumpfe, so dass nur etwa 1/4 hervorragt. Sie sind durchaus mit Aestchen und Blättern besetzt. Erstere sind büschelartig, oft wie quirlartig gestellt; die Blätter sind meist eiförmig, und liegen an Aestchen und Stängeln dicht an.~~Auf der Spitze der Pflanzen sitzen die runden Fruchtkapseln, von braunrother Farbe, woran oben ein kleiner Deckel aufspringt, um den Saamen heraus zu lassen.~~Die Nebenfiguren zeigen vergrössert:~~b. Die Kapsel, wie, nachdem der Deckel abgesprungen, der Saame herausfährt.~~c. Ein Ast mit Blättern, von welchen d.e. ein Endblatt, und f. breitere Blätter noch mehr vergrössert sind.~~g. Der obere Theil der Kapsel, mit deren Deckel.~~h. Queerdurchschnitt, i.k. Längedurchschnitt der Kapsel.~~m. Stark vergrösserter Saame.~~183
Ad00341 08 015a/frePlantes. CLXIII. Vol. X. No. 13.
MOUSSES CURIEUSES.
Fig. 1. Lycopode en massue. (Lycopodium clavatum.)
Cette jolie plante (qu'on nomme aussi pied de loup), semblable à la mousse, croît dans les forêts de sapin, situées dans un terrain sec et montagneux; elle rampe sur la terre et le long des arbres par le moyen des tiges dures, rameuses en longues trainasses et couvertes dans toutes leur longeur de petites feuilles nombreuses. Ces feuilles, près les unes des autres, imbriquées, lancéolement pointues, se terminent en un poil soyeux et très-sin. Les fleurs de cette plante sont des épis longs, étroits, figurant des pommes de pin, composés d'écaillés lancéolées, qui sont disposées en forme de tuiles et terminées en un poil très court. Il y a au-dessous de chaque écailles ne petite capsule jaune réniforme, qui, dans l'état de maturité, s'ouvre en deux ou trois ralves et jette la semence; c'est une poussière jaunâtre, connue sous la dénomination de seinen lycopodii. Dès qu'on approche cette poudre d'une flamme quelconque, elle s'enflamme subitement et l'on nomme vulgairement soufre végétal. Aussi s'en sert-on sur les théâtres, pour représenter l'éclair. Nous voyons ici la plante grandeur naturelle, et les figures secondaires représentent grossies, a un épi interompu pour faire voir l'axe, b une feuille, c une écaille grossie avec la capsule rénisorme; d séminules.
Fig. 2. Le sphaigne à feuilles tronquées. (SpJiagnum obtusifolium)
Cette plante, croissant, comme toutes celles de cette espèce, dans des terrains marécageux et dans de véritables marais, sinit par les combler et les transsormer en un terrain solide, à tourbe. Les tiges de cette mousse, qui ont souvent un pied de long, se trouvent pour la plus grande partie de leur longueur, dans le marais, de sorte qu'il n'y a qu'un quart de la tige, qui en sorte. Elles sont couvertes de rameaux et de feuilles. Les premiers sorment des bouquets, et sont souvent placés' en moulinet; les feuilles sont en général ovales et tiennent aux rameaux et aux tiges irès-près les unes des autres.
À l'extrémité supérieure de la plante se trouvent les capsules ou Urnes, qui sont rondes et d'une couleur rouge-brunâtre, au haut desquelles s'ouvre un petit couvercle, qui en laisse sortir la semence.
Les figures accessoires représentent grossies:
b) La capsule, et la manière, dont sort la semence, après que le couvercle s'est levé.
c) Un rameau avec des feuilles, dont d, e, figurent une feuille finale et s des feuilles plus larges.
g) La partie supérieure de la capsule avec son couvercle.
h) Coupe transversale, i. k. la coupe longitudinale de la capsule.
m) La semence très-grossie.
Ad00341 08 016aFig. 1. Die Stadt und der Hafen Mogadore.~~Die zum Gebiet des Kaiserthums Marocco gehörige Handelsstadt Mogadore, liegt auf einer Insel, welche mit dem Festlande durch eine Brücke verbunden ist. Sie muss ihre Bedürfnisse, und selbst ihr Trinkwasser, aus der Nachbarschaft von Thieren herbei tragen lassen, da die Insel nur aus beweglichem Sand besteht, und ganz unfruchtbar ist. Uebrigens treibt die Stadt sehr bedeutenden Handel, indem der Hafen auch von Europäischen Schiffen besucht wird, und Handelskarawanen, zwischen Mogadore und dem Innern von Afrika, beständig kommen und geben.~~Fig. 2. Die Stadt Marocco.~~Die Stadt Marocco ist die Hauptstadt des Kaiserthums gleiches Namens. Sie hat eine reizende, fruchtbare Lage, in der Nähe des Atlas-Gebirges. Die Stadt selbst ist nicht mehr, was sie vor hundert Jahren war, wo sie über eine Million Einwohner gehabt haben soll, dagegen jetzt ein Theil derselben in Ruinen liegt. Doch ist es immer für Afrika eine sehr ansehnliche Stadt, welche noch grosse und schöne Häuser hat. Der kaiserliche Pallast ist prächtig zu nennen, und an ihn stossen drei grosse, mit beträchtlichen Pavillons verzierte Gärten. Auch die Moscheen sind prächtig, die Strassen, mit Ausnahme derer, die von Juden bewohnt sind, reinlich, die Stadt-Mauern aber ganz verfallen.~~183
Ad00341 08 016a/freMélanges. CCLVI. Vol. X. No. 14.
VUES D'AFRIQUE.
Fig. 1. Ville et port de Mogadore.
Mogadore, ville commerçante, faisant partie du territoire de l'empire de Maroc^ est située dans une île, qui tient au continent par un pont. L'île n'étant sormée que d'un sable- mouvant et se trouvant frappé d'une stérilité complète, les habitans de Mogadore «ont contraints, de tirer toutes leurs provisions et même l'eau potable du voisinage et de les faire transporter par des bêtes de somme. Cette ville fait d'ailleurs des asfaires trèsconsidérables, puisque les vaisseaux européens fréquentent son port, et que le commerce entre Mogadore et l'intérieur de l'Afrique est dans une activité continuelle.
Fig. 2. La ville de Maroc.
Cette ville, capitale de l'empire du même nom, est située dans une contrée ravissante et très-fertile, à proximité du moïit Atlas. Il s'en faut de beaucoup, qu'elle soit ce qu'elle étoit, il y a plusieurs siècles, où elle comptoit, dit-on, au delà d'un Million d'habitans, tandis que de nos jours une partie de la ville est en ruines. Elle ne laisse pourtant pas d'être pour l'Afrique une ville très-importante, qui est encore ornée de grandes et belles maisons. On ne sauroit dénier le nom de magnifique au palais impérial, auquel tiennent trois grands jardins, décorés de très-jolis pavillonsLes mosquées sont également magnifiques; les rues, à l'exeption de celles qu'habitent les juifs, sont propres, mais les murs sont de véritables masures.
Ad00341 08 017aIn Ostindien bilden sich durch Ueberschwemmungen, in der Nähe der Flüsse, Sümpfe, welche eine so ungesunde Luft entwickeln, dass die Menschen gewöhnlich dadurch vertrieben werden, dagegen Raubthiere in die Dickichte von Gesträuch und Schilf sich einnisten, auf welche dann Jagd gemacht wird.~~Auf unserer Tafel sehen wir die Jagd eines Tigers im Wasser abgebildet. Die Jäger reiten auf Elephanten, sind aber dadurch keinesweges aller Gefahr enthoben. Nicht allein, dass die Elephanten, die dem Tiger nicht sehr gern in's Wasser folgen, die Reiter abzuschütteln suchen, so vertheidigt sich der Tiger, so bald er sieht, dass er nicht entkommen kann, mit der grössten Wuth. Dazu kommt, dass die Kugeln auf dem glatten Pelz des Tigers leicht abgleiten, oder auf den harten Knochen nur aufschlagen, ohne tief einzudringen, so dass das Raubthier, statt getödtet zu werden, nur verwundet, und dadurch seine Wuth nur noch erhöht wird, und es sich anhaltend und kräftig zur Wehre setzt, ja seine Verfolger angreifen kann.~~183
Ad00341 08 017a/freMelanges. CCLVII. Vol. X. No. 15.
CHASSE AUX TIGRES DANS UNE RIVIÈRE DES INDES.
Les inondations forment aux Indes orientales, à proximité des rivières, des marais, qui exhalent un air si infect et si mal-sain, que les habitans sont ordinairement forcés, d'abandonner la contrée, dont les taillis et roseaux deviennent dèslors le repaire des bêtes farouches; c'est à ces animaux que l'on donne la chasse.
La planche ci-jointe figure la chasse, que l'on fait à un tigre dans l'eau. Les chasseurs, quoique montés sur des éléphans, courent de grands dangers, puisque, outre que les éléphans, qui répugnent à suivre le tigre dans l'eau, sont tous leurs efforts, pour se débarrasser de leurs cavaliers, le tigre s'abandonne à toute sa férocité, et se défend avec la dernière opiniâtreté, dès qu'il voit, qu'il n'y a plus aucun moyen d'échapper. Les balles d'ailleurs glissant aisément sur la fourrure lisse et unie du tigre, ou ne frappant que des os très-durs, sans pouvoir pénétrer plus avant, elles ne font que blesser l'animal, au lieu de le tuer; ces blessures ajoutent puissamment à sa rage naturelle; aussi non content, d'opposer une défense vigoureuse et constante, le tigré assaille souvent lui-même ses persécuteurs.
Ad00341 08 018aFig. 1. und 2. Montenegriner.~~Die Kleidung des Mannes besteht aus einem Oberkleide mit weiten Aermeln, von neugriechischem Schnitt. Das Hemd hängt, wie ein kurzer Schurzrock, über den Beinkleidern. Letztere sind kurz, oben mit einem ledernen Riemen, unterm Knie mit Bändern, befestigt. Die Fussbekleidung ist ein, um den Fuss geschnalltes, buntverziertes Stück Ziegenfell, aber keine Strümpfe. Aus dem Kopfe trägt der Montenegriner eine rothe, oder violette Mütze. An dem ledernen Gürtel, über welchen noch eine bunte, wollene Schärpe geschlungen wird, stecken Pistolen und Hangard (Dolch). Auf der Schulter hat er eine gezogene Büchse, sein grösstes Kleinod, welches er, bei Regenwetter, durch einen dicht gewobenen Shawl von Ziegenhaaren vor der Nässe sichert.~~Die Frauen tragen eine lange und weite Tunika, ohne Aermel, über einem noch längeren, an den Aermeln und am untern Saum mit bunter Wolle gestickten, Hemde; ein buntgesticktes, viereckiges Stück Zeug, als Schürze; einen verschiedentlich verzierten Gürtel, woran an silberner Kette ein kleines Dolchmesser hängt. Die Fussbekleidung ist wie bei den Männern. An Fingern und Ohren tragen sie gern silberne und goldene Ringe. - Erwachsene, unverheirathete Mädchen haben an der Mütze eine Menge silberner, oder, wo es der Reichthum erlaubt, goldener Münzen.~~Fig. 3. Ein Pastrowitschianer.~~Die, an der Mündung des Cattaro lebenden, Pastrowitschianer sind tapfer zu Land und zu Wasser, und als Schiffer und Matrosen eben so ausdauernd, wie Soldaten. Ihre Kleidung besteht, wie die Abbildung zeigt, aus einer schwarzen Mütze, schwarzer, mit Schnüren bedeckter Jacke, schwarzen, weiten. aber kurzen Beinkleidern und langen Stiefeln. Im Gürtel tragen sie Pistolen und den Hangard, und führen stets eine sehr gute, gezogene, oft sehr reich verzierte Büchse.~~Fig. 4. und 5. Bewohner von Skaliari,~~Die nicht weit vom Cattaro lebenden Skaliaren, wenden ebenfalls mehr auf ihre Waffen, als aus ihre Kleidung.~~Der Mann trägt über seinem blauen Hemde ein weissgraues Oberkleid, was sein Weib gewebt. Ein rother Shawl ist bestimmt, die Waffen vor Nässe zu sichern. Der Fuss, ohne eigentliche Strümpfe, ist in ein Ziegenfell gehüllt.~~Die Frau, welche wir hier in ihrer Festkleidung sehen, hat Jäckchen, Rock, Strümpfe, alles von scharlachrother Farbe, mit Gold verziert. Nur das Leibchen ist von blauem Zeuche.~~Fig. 6. Ein Morlacke.~~Der Morlacke aus dem Oesterreichischen Dalmatien, kommt, in der Kleidung, den Panduren der Ungarischen Armee nahe, trägt ein Ungarisches langes Beinkleid, Schuhe von Ziegenfell, Dolch und Pistolen am Gürtel, und dabei führt er eine kurze Büchse und eine Lanze,~~184
Ad00341 08 018a/freCostumes. XXV. Vol. X. No. 16.
MONTENEGRINS; DALMATIENS ET ALBANIENS DANS LEURS COSTUMES NATIONAUX
Fig. 1 et 2. Montenegrins.
L'habillement de l'homme consiste en un surtout ou casaque, à manches larges, coupé à la saçon des Nouveaux-Grecs. La chemise pend, à l'instar d'un court tablier, sur les culottes, qui sont très-courtes, attachées en haut par une courroie de cuir, et au-dessous du genou par des rubans. Un morceau de peau de chèvre, à ornements bigarrés, bouché autour du pied, lui sert de chaussure; il est sans bas. Le Monténégrin porte sur la tête un bonnet ronge ou violet. Les pis-tolets et le poignard tiennent à la ceinture de cuir, sur laquelle se dessine diversement une écharpe de laine de différentes couleurs. Il a sur ses épaules le plus beau de ses ornements, sa, carabine, qu'il met, dans un tems pluvieux, à couvert de l'humidité par le moyen d'un schal de poil de chèvre d'un tissu très-serré.
Les femmes portent une tunique longue, large et sans manches, sur une chemise plus longue encore, dont les manches et le bord insérieur sont brodés en laines de diverses couleurs. Un morceau d'étosse carré, brodé en couleurs variées, leur sert de tablier, et elles ont uae ceinture diversement ornée à laquelle tient, par une chaine d'argent, un petit poignard. Leur chaussure ne disfère en rien de celle des hommes. Elles aiment à parer leurs doigts de bagues et leurs oreilles d'anneaux d'argent ou d'or. — Les filles nubiles, non mariées, ont à leur bonnet une quantité de ssionnoie d'argent, ou d'or, quand la sortune de la famille le permet.
Fig. 3. Un Pastrowitschien.
Les Pastrowitschiens, qui habitent les bouches du Cattaro, sont braves sur terre et sur mer, et comme nautoniers et matelots aussi insatigables, que desr soldats. La planche ci-jointe nous apprend, que leur vêtement se compose d'un bonnet noir, d'une jaquette noire, couverte de cordons, déculottes noires, larges mais courtes, et de grandes bottes. Ils portent à leur ceinture des pistolets et un poignard, et ne sortent jamais, sans être armés d'une excellente carabine, dont les ornements sont souvent très-riches.
Fig. 4 et 5. habitants de Skaliari.
Les habitants de Skaliari, qui séjournent non loin des bouches du Cattaro, donnent également plus de soins à leurs armes qu'ît leur vêtement. L'homme porte sur une chemise bleue un surtout ou casaque d'un gris blanchâtre, que sa semme a tissu. Un schal rouge est destiné à préserver ses armes de toute humidité. Le pied, dépourvu de bas, est enveloppé dans une peau de chèvre. La semme, que nous voyons ici en hauts de sête," a une jaquette, un jupon et des bas, le tout d'écarlate, avec des ornements en or; le seul corset est d'une étosse bleue,
Fig. 6. Un Morlaque.
Le Morlaque, qui habite la Dalmatie autrichienne, approche, pour le costume, des pandoures de l'armée hongroise; il porte des pantalons à la hongroise, des souliers de peau de chèvre, un poignard et des pistolets à s« ceinture, et s'arme outre cela d'une petite arquebuse et d'une lance.
Ad00341 08 019aFig. 1. Der dreifarbige Ara tricolor.~~Dieser Ara, welcher sonst nur als eine Varietät des rothen Ara, den wir B.B. Bd. I. No. 4. abgebildet haben, angesehen wurde, hat das Gefieder am Kopfe, Halse, Brust, Bauch und an den Beinen roth, aus den Flügeln und an den Seitentheilen des Schwanzes azurblau, am Nacken aber gelb. Die Backen sind mit einer nackten, weissen Haut bedeckt. Schnabel und Klauen sind schwarz.~~Der Vogel ist in Südamerika zu Hause.~~Fig. 2. und 3. Die blausteissige Perüche. (Psittacus cyanopygius.)~~Dieser Papagey ist aus den Südsee-Inseln zu Hause. Männchen (Fig. 2) und Weibchen (Fig. 3.) sind sehr verschieden; Ersteres ist am ganzen Kopfe, am Halse, an der Brust, am Bauche und an den Schenkeln scharlachroth, die Flügel und der Rücken sind grün, der Steiss ist blau, und die langen Schwanzfedern sind in der Mitte grün, übrigens aber ultramarinblau, von welcher Farbe auch ein, hinten am Nacken laufendes Halsband ist.~~Das kleinere Weibchen hat Kopf und Hintertheil des Halses grasgrün, Rücken und Flügel grün, Kehle und Vordertheil des Halses und Brust grau, Bauch und Schenkel roth; wie bei dem Männchen ist auch der Steiss, wie dort, blau, und die langen Schwanzfedern von blaugrüner Farbe. Schnabel und Füsse sind schwarz, und nur der obere Schnabel bei dem Männchen röthlich.~~Fig. 4. Pennantes Perüche.~~Ein sehr schöner, auf Neuholland gefundener Papagey. Kopf, Brust, Bauch und die Seitentheile des Körpers, sind vom schönsten Dunkelroth. Kinn und Kehle violett, Rücken schwarz mit rothen Schuppen, die grossen Schwungfedern dunkelviolett mit röthlicher, schwarzer Zeichnung. Der Schwanz ist oben violett, unten schwarz in's Blaue spielend. Schnabel und Füsse schwärzlichgrau.~~Fig. 5. Der allfarbige Papagey. (Psittacus eximius.)~~Dieser schlanke Papagey ist kaum kurz zu beschreiben, so mannigfaltige Farben zeigt sein Gefieder. Der Kopf ist scharlachroth, so auch die Kehle, und das Vordertheil des Halses, und die untere Bedeckung des Schwanzes. Das Kinn ist weiss. Das ganze Untertheil des Körpers, von der Brust bis zum Unterleibe, ist gelb, und nach hinten zu immer mehr in's Grüne übergehend; die Federn des Hintertheils des Halses, der Rücken und die Schultern sind sammtschwarz; die Flügel violett und blau; der Schwanz nach aussen zu blass lilas; die Steuerfedern werden nach der Mitte des Schwanzes zu azurblau und grün. Doch würde keine Beschreibung die Abbildung ersetzen.~~Vaterland Neuholland, wo er nur Früchte geniesst.~~184
Ad00341 08 019a/freOiseaux. CIII. Vol. X. No. 17.
TRÈS-JOLIS PERROQUETS.
Fig. 1. L'ara tricolor.
Cet Ara n'étoit autrefois considéré que comme une variété de l'ara rouge, que nous avons figuré Vol. I. No. 4. Le plumage de la tête, du cou, de la poitrne, du ventre et des cuisses est rouge, celui des aîles et des parties latérales de la queue d'un bleu d'azur, celui de la nuque, jaune. Les joues sont couvertes d'une pellicule blanche et nue. Le bec et les serres sont noirs.
Fig. 2. et 3. La grande perruche à collier et croupion bleus. (Psittacus cyanopygius.)
Ce perroquet est indigène aux îles de la mer du sud. Le mâle, Fig. 2, et la femelle, Fig. 3, diffèrent beaucoup l'un de l'autre; le premier a toute la tête, le cou, la poitrine, le ventre et les cuisses d'un rouge d'écarlate, les aîles et le dos verts, le croupion bleu. Les longues plumes de la queue, grises aumilieu, sont du reste d'un bleu ultramarin, et la nuque est décorée d'un collier de la même couleur. La semelle, qui est beaucoup plus petite, a la tête et le derrière du cou d'un vert d'herbe, le dos et les aîles verts, le gosier, le devant du cou et la poitrine gris, les cuisses et le ventre rouges; le croupion est bleu comme celui du mâle, et les longues pennes de la queue sont d'un vert bleuâtre. Les nattes et le bec sont noirs, et il n'y a que la partie supérieure du bec du mâle, qui soit rougeâtre.
Fig. 4. La Perruche de Pennant. (Psittacus Pennantii)
Un charmant perroquet, qui a été trouvé a la Nouvelle-Hollande. La tête, la poitrine, le ventre et les parties latérales du corps sont du plus beau rouge soncé; le menton et le gosier violets.; le dos est noir avec des écailles rouges; les grandes pennes sont d'un violet soncé à dessins rouges et noirs. Le dessus de la queue est violet, et le dessous noir, jouant le bleu. Le bec et les pieds sont d'un gris noirâtre.
Fig. 5. La Perruche omni-colore. (Psittacus eximius.)
Il est presque impossible de décrire brièvement cette peruche, tant les couleurs de son plumage sont variées. Là tête, le gosier, le devant du cou, et le dessous de la queue, sont d'un rouge d'écarlate. Le menton est blanc. Tout le dessous du corps, depuis la poitrine jusqu'au bas-ventre, est un jaune, qui se perd de plus en plus vers le derrière dans le vert. Les plumes du derrière du cou, le dos et les épaules, sont d'un noir velouté; les aîles violettes et bleues; la queue est vers le dehors d'un lilas pâle; les grandes pennes deviennent vers le milieu de la queue d'un bleu d'azur et vertes; mais à quoi bon continuer, puisqu'il n'est pas de description, qui puisse suppléer à la représentation.
Cette Perruche habite la Nouvelle-Hollande, où elle ne se nourrit que de fruits.
Ad00341 08 020aFig. 1. Das Ruchgras. (Anthoxanthum odoratum.)~~Dieses Gras ist unter fast allen Wiesen-Gräsern daran zuerst zu erkennen, dass, während die Blüthen der meisten Gräser drei Staubfäden haben, an diesen nur zwei gefunden werden. Es hat diess Gras eine faserige Wurzel, und zarte, hohe Halme, mit kurzen, gleich breiten Blättern, welche mit kleinen Härchen besetzt sind.~~Das Ruchgras, was aus trocknen Wiesen gar nicht selten ist, blüht früh, (im Mai und Juni) auch wohl zweimal im Jahre. Für das Vieh giebt es ein nahrhaftes Futter. Wenn es getrocknet ist, giebt es einen angenehmen, balsamischen Geruch. Die Wurzel aber riecht widerlich.~~Von den Nebenfiguren zeigt 1 eine kleine Aehre, 2 und 3 Kelchblättchen, 4 die Blumenkrone, 5 und 6 das Nectarium mit den Staubfäden, 7 und 8 den Fruchtknoten mit den Griffeln.~~Fig. 2. Der gekniete Fuchsschwanz. (Alopecurus geniculatus.)~~Diese Grasart wächst gern an feuchten Oertern und in Sümpfen. Sie kommt sehr früh hervor, und wird von Pferden und Kühen sehr geliebt. Sie hat lange, einfache Faser-Wurzeln und Halme, welche unten ästig und mit mehreren Knoten versehen, und dadurch knieartig gebogen sind.~~Den Namen Fuchsschwanz hat diese Grasart daher, weil die Blüthenähre, bei einer anderen Art noch mehr, einige Aehnlichkeit mit einem Fuchsschwanz hat.~~Die Nebenfiguren 1-4 zeigen Blüthenährchen und deren einzelne Theile.~~184
Ad00341 08 020a/frePlantes. CLXIII. Vol. X. No. 18.
GRAMINÉES - REMARQUABLES.
Fig. 1. Flouve odorante. (Antoxanthum odoratum.)
Cette herbe se distingue de presque toutes les autres Graminées, en ce que ses fleurs n'ont que. deux étamines, pendant que les sseurs de la plupart des autres en ont trois.
Elle a la racine fibreuse, les tiges ten dres, hautes, garnies de feuilles courtes, d'une égale largeur, et pourvues de petits poils.
Cette herbe, commune dans les prairies d'un terrain sec, fleurit de bonne heure (aux mois de Mai et de Juin) et même deux fois par an. Elle fournit un fourrage très-nour-: lissant. Sèche, elle est d'une odeur agréable et balsamique, mais, en revanche, la racine est très-désagréable à l'odorat.
Passons aux figures secondaires: 1, représente un petit épi; 2 et 3, les parties du calice"; 4, la corolle; 5 et 6, le nectarium, avec les étamines; 7 et 8, le germe, avec les stylés.
Fig. 2. Le Vulpin genouillé. (Alopecurus geniculatus.)
Cette herbe, qui se plaît. dans les endroits humides et les marais, pousse de très-, bonne heure, et est très-recherchée des chevaux et des vaches. Elle a les racines fibreuses, longues et simples, et les tig'es branchues par le bas et garnies de plusieurs noeud»; aussi est-elle recourbée en forme de genou.
On lui a donné le nom de vulpin, parceque l'épi de la fleur a quelque ressemblance avec la queue du renard; il y a cependant une autre espèce, qui en a beaucoup plus.
Les figures secondaires 1—4 représentent les épis des fleurs et leurs parties isolées.
Ad00341 08 021a

Verm. Gegenstände. CCLVIII. Bd. X. No. 19.

DIE TEMPEL ZU YBSAMBUL.

Die Tempel zu Ybsambul liegen, in der Nähe der zweiten Nil-Wasserfälle, in Nubien, und sind in den Felsen gehauen. Auch die am Eingang derselben befindlichen kolossalen Statuen sind aus demselben Felsen gehauen.

Der kleinere Tempel, dessen Eingang auf unserer Tafel rechter Hand zu sehen ist, liegt etwa 20 Fuss über dem User des Flusses. Die sechs, den Eingang verzierenden Kolossal-Figuren sind etwa 30 Fuss hoch. Das Innere besteht aus einer Vorhalle, der Tempelhalle und einem Allerheiligsten.

Der grössere Tempel, welcher etwa 200 Schritt weiter südlich liegt, ist erst im Jahr 1817 durch einen, in Aegypten und Nubien reisenden Italiener, Belzoni, so weit vom Sande, in welchem er verschüttet war, frei gemacht, dass das Innere besucht werden konnte. Man brauchte 20 Tage, und es arbeiteten zuweilen 80 Menschen, um den Sand von dem Eingange wegzuschaffen. Die Vorderseite dieses zweiten grossen Tempels zu Ybsambul, ist aus unserer Tafel linker Hand sichtbar. Sie ist 117 Fuss breit und 86 Fuss hoch. Die Thüre selbst ist 20 Fuss hoch. An der Vorderseite des Tempels, neben der Thür sind vier sitzende Figuren von ungeheurer Grösse. Die Höhe der sitzenden Figuren beträgt nämlich, ohne die Mütze, 51 Fuss, die Breite an den Schultern 25 Fuss.

Der Tempel liegt etwa 100 Fuss über dem Nil. Er ist mit allen Statuen und Verzierungen aus dem Felsen gehauen. Sein Inneres sehen wir auf der folgenden Tafel.

184
Ad00341 08 021a/fre

Melanges. CCLVIII. Vol. X. No. 19.

LES TEMPLES D'YBSAMBUL.

Les temples d'Ybsambul se trouvent à proximité de la seconde cataracte du Nil en Nubie et sont taillés dans le rocher. Les figures colossales, qui sont placées à l'entrée, sont également taillées dans le roc.

Le plus petit temple, dont l'entrée s'aperçoit sur notre planche à droite, est situé 20 pieds environ au-dessus du fleuve. Les six figures colossales, qui en décorent l'entrée, peuvent avoir 30 pieds de haut.

Le plus grand, situé à 200 pas environ plus loin vers le sud, étoit entièrement encombré de sable, et ce n'est qu'en 1817, qu'un Italien, Mr. Belzoni, qui voyageoit en Egypte et en Nubie, a entrepris de le faire déblayer, et il y a si bien réussi, qu'il put en visiter le dedans. Il fallut 20 jours de travail, et près de 80 hommes par jour, pour débarrasser l'entrée du sable, qui s'y trouvoit.

Notre planche figure à gauche la façade de ce second temple d'Ybsambul. Elle a 117 pieds de large sur 86 de hauteur. La porte; elle-même a 20 pieds de haut. Sur le devant, près de la porte, sont quatre figures assises d'une grandeur démesurée, puisque ces figures ont, sans y comprendre le bonnet, 51 pieds de haut, et 25 pieds de large aux épaules.

Ce temple se trouve a peu près a 100 pieds au dessus du Nil. Il est, ainsi que toutes les statues et tous les ornements, taillé dans le roc. La planche suivante en figure l'intérieur.

Ad00341 08 022a

Verm. Gegenstände. CCLIX. Bd. X. No. 20.

DAS INNERE DES GROSSEN TEMPELS VON YBSAMBUL.

Dieser Tempel ist einer der grössten und prächtigsten, welchen Aegypten und Nubien aufzuweisen haben. Die Thür führt in eine 57 Fuss lange und 52 Fuss breite Vorhalle, mit zwei Reihen viereckiger Säulen. Jede Säule hat eine, fast 30 Fuss hohe, fein gearbeitete, wenig beschädigte Statue. Die Wände sind mit schönen Hieroglyphen bedeckt.

Die zweite Halle ist 25 Fuss lang, 37 Fuss breit und 22 Fuss hoch. Die Wände ebenfalls mit schönen Hieroglyphen verziert.

In einem kleineren Zimmer von 37 Fuss Weite, ist der Eingang zu dem ehemaligen Allerheiligsten, welches 23 Fuss lang und 12 Fuss breit ist, in dessen Mitte sich ein Piedestal, am Ende aber vier sitzende kolossale Statuen befinden. Ausser diesen finden sich zur Seiten der Vorhalle noch sechs andere Gemächer, die aber kleiner und weniger oder gar nicht verziert sind, und nichts Merkwürdiges darbieten.

Belzoni fand in dem Tempel auch noch zwei steinerne Löwen von natürlicher Grösse, aber mit Habichts-Köpfen, und eine kleine sitzende Figur.

Die Hitze im Innern war so gross, dass die Besuchenden fast im Schweiss flössen, und das Zeichenpapier ganz durchnässten und zum Zeichnen fast untauglich machten.

184
Ad00341 08 022a/fre

Melanges. CCLIX. Vol. X. No. 20.

L'INTÉRIEUR DU GRAND TEMPLE D'YBSAMBUL.

Ce temple est un des plus grands et des plus magnifiques, qu'offrent l'Egypte et la Nubie. La porte donne dans un premier portique de 57 pieds de long sur 52 de large, orné de deux rangs de colonnes quadrangulaires. Chacune de ces colonnes porte une statue, parfaitement travaillée, de près de 30 pieds de haut et assez bien conservée. Les parois sont décorés de très-beaux hiéroglyphes.

Le second portique a 25 pieds de long, 37 de large et 22 de haut; ses parois sont également enrichis de beaux hiéroglyphes.

Dans un plus petit appartement, de 37 pieds d'étendue, est l'entrée du sanctuaire, qui a 23 pieds de long sur 12 de large, au milieu duquel se trouvent un piédestal, et à l'extrémité quatre statues colossales assises. Les parties latérales du premier portique contiennent, outre cela, six autres appartements, cependant beaucoup plus petits, peu ou point décorés, et qui n'offrent rien de remarquable.

Belzoni trouva de plus dans le temple deux lions en pierre, de grandeur naturelle, mais avec des têtes d'autour, et une petite figure assise.

Il faisoit dans l'intérieur du temple une chaleur si étouffante, que les voyageurs furent bientôt à la nage; aussi le papier, sur lequel ils dessinoient, en devint-il si mouillé; qu'ils purent à peine l'employer.


Beschreibungstext fre


Melanges. CCLIX. Vol. X. No. 20.

L'INTÉRIEUR DU GRAND TEMPLE D'YBSAMBUL.

Ce temple est un des plus grands et des plus magnifiques, qu'offrent l'Egypte et la Nubie. La porte donne dans un premier portique de 57 pieds de long sur 52 de large, orné de deux rangs de colonnes quadrangulaires. Chacune de ces colonnes porte une statue, parfaitement travaillée, de près de 30 pieds de haut et assez bien conservée. Les parois sont décorés de très-beaux hiéroglyphes.

Le second portique a 25 pieds de long, 37 de large et 22 de haut; ses parois sont également enrichis de beaux hiéroglyphes.

Dans un plus petit appartement, de 37 pieds d'étendue, est l'entrée du sanctuaire, qui a 23 pieds de long sur 12 de large, au milieu duquel se trouvent un piédestal, et à l'extrémité quatre statues colossales assises. Les parties latérales du premier portique contiennent, outre cela, six autres appartements, cependant beaucoup plus petits, peu ou point décorés, et qui n'offrent rien de remarquable.

Belzoni trouva de plus dans le temple deux lions en pierre, de grandeur naturelle, mais avec des têtes d'autour, et une petite figure assise.

Il faisoit dans l'intérieur du temple une chaleur si étouffante, que les voyageurs furent bientôt à la nage; aussi le papier, sur lequel ils dessinoient, en devint-il si mouillé; qu'ils purent à peine l'employer.,

 Das Innere des grossen Tempels von Ybsambul




Beschreibungstext fre


==Melanges. CCLIX. Vol. X. No. 20.==

L'INTÉRIEUR DU GRAND TEMPLE D'YBSAMBUL.

Ce temple est un des plus grands et des plus magnifiques, qu'offrent l'Egypte et la Nubie. La porte donne dans un premier portique de 57 pieds de long sur 52 de large, orné de deux rangs de colonnes quadrangulaires. Chacune de ces colonnes porte une statue, parfaitement travaillée, de près de 30 pieds de haut et assez bien conservée. Les parois sont décorés de très-beaux hiéroglyphes.

Le second portique a 25 pieds de long, 37 de large et 22 de haut; ses parois sont également enrichis de beaux hiéroglyphes.

Dans un plus petit appartement, de 37 pieds d'étendue, est l'entrée du sanctuaire, qui a 23 pieds de long sur 12 de large, au milieu duquel se trouvent un piédestal, et à l'extrémité quatre statues colossales assises. Les parties latérales du premier portique contiennent, outre cela, six autres appartements, cependant beaucoup plus petits, peu ou point décorés, et qui n'offrent rien de remarquable.

Belzoni trouva de plus dans le temple deux lions en pierre, de grandeur naturelle, mais avec des têtes d'autour, et une petite figure assise.

Il faisoit dans l'intérieur du temple une chaleur si étouffante, que les voyageurs furent bientôt à la nage; aussi le papier, sur lequel ils dessinoient, en devint-il si mouillé; qu'ils purent à peine l'employer.,

 Das Innere des grossen Tempels von Ybsambul




Beschreibungstext fre


==Melanges. CCLIX. Vol. X. No. 20.==

L'INTÉRIEUR DU GRAND TEMPLE D'YBSAMBUL.

Ce temple est un des plus grands et des plus magnifiques, qu'offrent l'Egypte et la Nubie. La porte donne dans un premier portique de 57 pieds de long sur 52 de large, orné de deux rangs de colonnes quadrangulaires. Chacune de ces colonnes porte une statue, parfaitement travaillée, de près de 30 pieds de haut et assez bien conservée. Les parois sont décorés de très-beaux hiéroglyphes.

Le second portique a 25 pieds de long, 37 de large et 22 de haut; ses parois sont également enrichis de beaux hiéroglyphes.

Dans un plus petit appartement, de 37 pieds d'étendue, est l'entrée du sanctuaire, qui a 23 pieds de long sur 12 de large, au milieu duquel se trouvent un piédestal, et à l'extrémité quatre statues colossales assises. Les parties latérales du premier portique contiennent, outre cela, six autres appartements, cependant beaucoup plus petits, peu ou point décorés, et qui n'offrent rien de remarquable.

Belzoni trouva de plus dans le temple deux lions en pierre, de grandeur naturelle, mais avec des têtes d'autour, et une petite figure assise.

Il faisoit dans l'intérieur du temple une chaleur si étouffante, que les voyageurs furent bientôt à la nage; aussi le papier, sur lequel ils dessinoient, en devint-il si mouillé; qu'ils purent à peine l'employer.,

 Das Innere des grossen Tempels von Ybsambul




Beschreibungstext










Ad00341 08 023aFig. 1. Der Koala. (Phascolarctos koala.)~~Der Koala ist ein neuentdecktes Beutelthier aus Neuholland, von der Grösse eines mittleren Hundes, mit langhaarigem, dickem, aschgrauem Pelz, vorwärtsgerichteten Ohren und schwarzer Nase. Er kommt, in Rücksicht des Gebisses, dem Känguruh, in Beziehung auf die Körperbewegung aber, einem jungen Bär nahe. Das Weibchen trägt sein Junges auf dem Rücken, wie die Abbildung zeigt. Das Thier klettert gut auf Bäume, wozu die Stellung der Zehen der Vorderfüsse, wovon zwei, gegen die drei übrigen, sich, wie bei'm Chamäleon, bewegen, behülflich ist.~~Fig. 2. Das bärenartige Beutelthier. (Didelphis ursina)~~Dieses Beutelthier hat seinen Namen von der Aehnlichkeit, den man in Gestalt, Bewegung und Lebensweise, zwischem (sic) ihm und dem Bär wahrnehmen kann. Der Pelz besteht aus langem, grobem, schwarzem Haar, und nur an der Schulter finden sich ein Paar weisse Flecken. Die Vorderfüsse haben fünf, die Hinterfüsse vier Zehen. Bei Tage schläft das Thier, des Nachts geht es seinem Frasse nach, der in kleinen Thieren, und wahrscheinlich auch Fischen besteht. Es ist auf van Diemens-Land einheimisch, wo es in Wäldern lebt und sieh Höhlen gräbt.~~Fig. 3. Das hundsköpfige Beutelthier. (Didelphis cynocephala).~~Diese Art Beutelthier ist ebenfalls in van Diemens-Land zu Hause, in dessen gebirgigsten Theilen es fleischfressend lebt. Es hat ziemlich die Gestalt eines Hundes, zumal was den Kopf anlangt. Die Farbe ist gelbIichbraun, aus dem Rücken dunkler, und aus dem Kreuze mit schwarzen Queerstreifen gezeichnet. In seinem inneren Baue, kommt es aber mit den Beutelthieren überein. Es hat ein besonders wildes, bösartiges Ansehen. Im Ganzen ist es jedoch nur wenig bekannt, da man nur zwei Exemplare gefangen hat, und beides Männchen.~~Fig. 4. Der weisse Phalanger. (Phalangista alba).~~Dieser weisse Phalanger ist eine Abart von der Art Beutelthiere, welche im ersten Bande unseres Bilderbuchs, No. 97. Fig. 8, abgebildet ist. Der Pelz ist gelblichweiss von Farbe, und der Schwanz ein vollkommener Wickelschwanz.~~185
Ad00341 08 023a/freQuadrupèdes. CI. Vol. X. No. 21.
ANIMAUX À POCHE TRÈS-CURIEUX
Fig. 1. Le Koala. (Phascolarctos koala)
Le Koala est un animal à poche de la Nouvelle Hollande, récemment découvert, de la grandeur d'un chien ordinaire, dont la fourrure épaisse est d'un gris cendré et à longs poils; il a les oreilles dressées, mais un peu en avant et le nez noir. Il a de l'affinité, pour la denture, avec le Kangourou, et pour les mouvements du corps, avec un ourson. La femelle porte son petit sur le dos, comme on le voit dans la planche ci-jointe. Cet animal grimpe sur les arbres avec une prestesse, qui est favorisée par la disposition des doigts des pattes de devant, dont deux se meuvent, comme dans les caméléons, en opposition des trois autres.
Fig. 2. Le Dasyure hérissé. (Didelphis ursina).
Cet animal tient son nom de la ressemblance qu'on remarque entre lui et l'ours, soit pour la forme, le mouvement, soit pour le genre de vie. La fourrure se compose d'un poil grossier, long et noir; cependant il y a sur l'épaule 2 taches blanches. Les pattes de devant ont cinq doigts et celles de derrière n'en ont que quatre. Cet animal dort pendant le jour et ne sort que la nuit, pour chercher sa pâture, qui consiste en petits animaux et vraisemblablement aussi en poissons.
Indigène à yan Diemens-Land, il vit dans les forêts et se creuse des terriers.
Fig. 3. Le Dasyure à tête de chiens. (Didelphis cynocephala).
Cet animal, qui est Carnivore, habite les parties les plus montueuses de van DiemensLand. Il a passablement la figure du chien, surtout quant à la tête. La couleur est d'un brun-jaunâtre, plus foncée sur le dos, et marquée sur la croupe de lignes transversales noires. A l'égard de la structure intérieure, il approche des animaux à poche. II. a l'air très-sauvage et méchant, et il est en général très - peu connu, puisqu'on n'en a pris jusqu'ici que deux individus, qui étoient l'un et l'autre mâles.
Fig. 4. Le Phalanger blanc. (Phalangista alba).
Ce phalanger blanc est une variété de l'espèce des animaux à poche, que nous avons figurée dans le premier volume de notre Portefeuille des En fans No. 97., Fig. 8 La fourrure est d'un blanc jaunâtre et la queue se réplie parfaitement.
Ad00341 08 024aFig. 1. Die gesternte-Warn-Eidechse. (Tupinambis stellatus.)~~Das Geschlecht der Tupinambis, Warn-Eidechsen oder Monitors, ist nach den Crocodilen dasjenige unter den Sauriern, welches die grössten Arten enthält. Ihr Schwanz ist von der Seite zusammengedrückt, daher sie auch zum Leben im Wasser bestimmt zu seyn scheinen. Die Meinung, dass sie vor den Caiman's durch ein Zischen warnten, ist Anlass gewesen, ihnen den allgemeinen Namen Warn-Eidechse zu geben. Ein paar Tupinambis haben wir schon früher in unserm Bilderbuche kennen gelernt.~~Der gesternte Tupinambis ist ein prächtiges Thier, das seinen. Namen von den zierlichen, weissen Schuppen hat, die in runden Sternfiguren seinen 'Rücken besetzen. Seine Hauptfarbe ist oben fast schwarz, am Bauche aschgrau. Er wird in Bengalen, in Süd-Afrika und Amerika gefunden. Seine gesammte Länge beträgt über fünf Fuss, wovon die Hälfte auf dem Schwanz kommt.~~Fig. 2. Die Lacepedische Warn-Eidechse. (Tupinambis Cepedianus.)~~Ihre Farbe ist oben lichtbraun, unten hellrostfarben, Hals und Körper oben mit schwarzen, und mit rostrothen Punkten besetzt Auf jeder Seite des Körpers zeigt sich eine Längsfalte, die sich bis gegen den Hals verläuft. Der Schwanz ist von der Länge des Körpers. Die gesammte Länge dieses Thierchens ist 12 bis 15 Zoll. Sein Vaterland ist unbekannt. Daudin benannte es dem Grafen Lacepède zu Ehren, der ein vortreffliches Werk über die Reptilien geschrieben hat.~~Fig. 3. Die gestreifte Schnell-Eidechse. (Tachydromus sexlineatus).~~Diese Art hat hat ihren Namen von ihrem schnellen Laufen. Der Körper erscheint, wie aus 25 Ringen, jeder aus 12 bis 14 quadratischen, dachziegelartigliegenden Schuppen gebildet. Der Schwanz ist dreimal so lang, als der Körper, und besteht aus 140 ähnlichen Ringen. Die ganze Länge beträgt 12 Zoll. Die Farbe des Körpers ist perlenmutterfarben; doch kennt man dieses Thier nur nach einem Exemplar in Weingeist, und es ist zu vermuthen, dass es im Leben weit prächtiger aussehe. Sein Vaterland, ist unbekannt. -~~Fig. 4. Der Agama von Neuholland. (Agama Jacksoniensis).~~Dieses von Peron mitgebrachte Thier, hat einen Schwanz zweimal so lang, als der Körper. Der Rücken ist schwarzbräunlich mit helleren Flecken, der Bauch gelblich grau. Es ist einen Fuss lang.~~Fig. 5. Der grosse Kamm-Anolis. (Anolius cristatus.)~~Die Anolis unterscheiden sich von den Leguans dadurch, dass sich am vorletzten Fingerglied ihre Haut erweitert, so dass sie sich sicherer an verschiedenen Flächen anheften können. Ausgezeichnet ist der gewaltige Kropf der schlaffen Kehlhaut, den sie aufblasen können, und auch, dass sie, wie das Chamäleon, die Farbe nach Affekten und Leidenschaften verändern.~~Der Kamm-Anolis ist in Amerika zu Hause, zumal auf Jamaika und den übrigen Antillen. Er hat etwa einen Fuss Länge. Auf der vordem Hälfte des Schwanzes trägt er einen Kamm. Seine Farbe ist schwärzliches Aschblau.~~185
Ad00341 08 024a/freAmphibies. XLIII. Vol. X. No. 22.
AMPHIBIES REMARQUABLES.
Fig. 1. Tupinambis étoile. (Tupinambis stellatus).
La famille des tupinambis est, après les crocodiles, celle des sauriens, qui conuent les plus grandes espèces. "La queue est latéralement comprimée; au«si ces animaux paroissentils également destinés à vivie dans l'eau. On a cru généralement, que par leur sisflement ils avertissoient de l'approche du Caïman. Nous avons déjà vu deux tupinambis dan? notre porte-feuille d'ensants. Le tupinambis étoile est un superbe ani-. mal, qui doit son nom aux charmantes écail-les blanches, qui forment sur son dos des fleures rondes et étoilées. Il se trouve au Bengale, dans l'Afrique méridionale et en Amérique. Il a 5 pieds de long, dont la queue fait la moitié. 1
Fig. i. Tupinambis de Lacépède. (Tupinambis Cepedianus).
Te dessus du corps est d'un, brun clair, et le dessous couleur de rouille; le dessus du cou, et du corps est ponctué devoir, et le dessous d'un rouge de ser. Les parties latérales du corps sont.ornées d'un pli longitudinal, oui se prolonge jusqu'au cou, où il se perd. La queue est de la même longueur que le corps,.et la longueur entière de ce petit animal est de 12 à 15 pouces. Sa patrie est encore inconnue. Daudin à donné le nom de Lacépède à ce tupinambis en l'honneur du comte de Lacépède, qui a écrit un excellent ouvrage sur les reptiles.
Fig. 5 Tachydrome strié. (Tachydromus sexlineatus).
Le corps-de cet animal semble se composer de 25 anaeaur, dont chacun est sormé paï 12'à 14 écailles carrée«'et placées en forme de tuiles. La; quéue,, trois sois aussi longue que le corps, se compose de, 140 anneaux pareils. La! longueur entière' n'est que de 12 pouces. Le corps est couleur de nacre; cependant comme on, ne connoît cet animal, que d'après un exemplaire, que l'on a conservé dans l'esprit de vin, il est à présumer, que vivant il est beaucoup plus beau. Sa patrie est inconnue. —
Fig. 4. L'Agama de la Nouvelle-Hollande. (Agama Jacksoniensis).
La queue de cet animal, qui à été apporté par Perori, est deux fois aussi longue, quelle corps. Le dos est d'un brun noirâtre, parsemé de tachés moins foncées, et le ventre est d'un gris jaunâtre. Il a un pied de long.
Fig. 5. Le grand Anolis à crête. (Anolis cristatus).
Ce qui distingue les Anolis des Léguons, c'est que leur peau s'élargit à l'avant-dernière articulation du doigt, de sorte qu'ils peuvent s'attacher avec plus de sûreté à diverses surfaces. L'immense goitre formé par la membrane lâche du cou, qu'ils peuvent gonsser à volonté, est tout-à-fait caractérisque, ainsi que la fa.culté de changer, comme les caméléons, de couleur, d'après leurs passions et leurs sensations.
L'Anolis à crête, indigène dans l'Amérique, mais surtout à la Jamaïque et dans les autres Antilles, peut avoir un pied de long. La moitié antérieure de la queue est ornée d'une crête. Cet animal est d'un bleu de cendre noirâtre.
Ad00341 08 025aDie Pflanzen-Anatomie ist mit grossen Schwierigkeiten verbunden, da die, bei diesem Geschäft so nöthige Anwendung des Microscops eine lange Uebung und eine Vollkommenheit dieses Instruments erfordert, die man selten antrifft. Zu den gelungensten und tiefsten Untersuchungen des innern Baues der Pflanzen, gehören die des Französischen Naturforschers Mirbel. Derselbe nimmt bei den Pflanzen ein Hauptorgan, das Hautgewebe, an, das er in zwei Elementar-Organe, nämlich: a. in das Zellgewebe und b. in das Gefässgewebe eintheilt. Ersteres besteht aus sehr kleinen Zellen, und Letzteres aus verlängerten, gefässartigen Zellen. Die Zellen communiciren mit den Röhren und die Röhren mit den Zellen durch Poren und transversale Spalten. Das Zellgewebe empfängt keine Flüssigkeiten, und giebt seinen flüssigen Inhalt nur sehr langsam zu weiterer Verbreitung ab. Es macht gemeiniglich das ganze Mark aus; ebenso bildet es auch beinahe die ganze Rinde. Das Gefässgewebe bildet eine Art Netz, und vertheilt in alle Theile, die für die Vegetation nöthige Luft und andere Flüssigkeiten. Man unterscheidet sechs Hauptverschiedenheiten der Pflanzen-Gefässe: 1 die rosenkranzförmigen (Fig. 13.); 2. die porosen (Fig. 5 und 6.); 3. die gespaltenen oder falschen Luftröhren (Fig. 7 und 8); 4. die Tracheen oder Luftröhren (Fig. 9 und 10); 5. die gemischten Gefässe (Fig. 11. 12.), 6. die eigenthümlichen Gefässe, die sich wieder in einzeln stehende und büschelförmige theilen. - Fig. 1. zeigt das porose Zellgewebe; Fig. 2. mehr verlängerte Zellen; Fig. 3. ein regelmässiges, holziges Zellgewebe, ohne auffallende Poren, dieselbe Modification noch dichter an einander gelegt; Fig. 11. eine gemischte Röhre: in a. erkennt man die porosen Röhren, in b. die falschen Luftröhren und c.c. zeigen die Spirale der Luftröhren; Fig. 12. eine gemischte Röhre aus falschen Luftröhren und rosenkranzartigen Gefässen; Fig. 14. das Netzgewebe an einem Eichenblatt; 16. dasselbe an der Fruchtkapsel der Datura stramonium; Figur 15. zeigt einen Theil eines horizontalen Durchschnitts der Asclepias fruticosa: a. Rindenlagen mit Oberhaut überdeckt; b. das Mark; d. poröse Gefässe; e eigentümliche Gefässe, in Bündel vereinigt; c. bezeichnet den Mittelpunkt des Durchschnittes, wovon in dieser Figur 15 nur ein Abschnitt dargestellt ist; Fig. 17. verticaler Durchschnitt eines Zweiges von Salvia hispanica; Fig. 18. einzelne Portion eines abgerissenen Gefässes, welches Poren und Spalten darbietet. Fig. 19 Queer- und Längendurchschnitt einer acotyledonen Pflanze (cyathea arborea L.), wo man bei a. das Zellgewebe, und bei b. das holzige- oder Gefässgewebe sieht. Figur 20. Queer- und Längendurchschnitt einer monocotyledonen Pflanze der Kohlpalme (areca oleraced). Man sieht bei a die Rinde; bei b Streifen von Zellgewebe, die dem gleichen, was man bei den Dicotyledonen Markstrahlen nennt; bei c. die Röhrenbündel, welche die Holztheile dieser Vegetabilien bilden. Fig. 21. den Stammdurchschnitt einer Eiche (quercus robur), zur Erläuterung der Zusammensetzung des Stammes dicotyledoner Gewächse: a. Rinde; b. das junge Holz oder Splint; c. Holz, d. Mark, welches durch die Holzlagen auf einen Punkt reducirt ist, mit den e. ausstrahlenden divergirenden Markstrahlen. -~~185
Ad00341 08 025a/frePlantes. CLXIV. Vol. X. No. 23.
DE LA STRUCTURE INTÉRIEURE DES PLANTES.
L'anatomie des plantes est soumise à de très-grandes difficultés, en ce que l'emploi du microscope indispensable à cette opération exige un long usage et dans cet instrument une perfection, qui n'est que très-rare. Les recherches qu'a faites le naturaliste françois M. Mirbel sur la structure intérieure des plantes, sont au nombre de celles, qui sont les plus profondes, et qui ont le mieux réussi. Il adopte pour les plantes un organe principal, savoir, le tissu membraneux, qui se divise en deux organes élémentaires, sa- voir, a. le tissu cellulaire et b. le tissu vasculaire, dont le premier se compose de très-petites cellules, et le dernier de cellules prolongées et vasculaires. C'est par les pores et des fentes transversales, que les cellules communiquent aux tubes et les tubes aux cellules. Le tissu cellulaire, qui ne reçoit aucune fluidité, n'émet la sienne que très-lentement, pour la faire répandre dans toutes les parties; c'est lui qui forme en général toute la moelle et presque toute l'écorce. Le tissu vasculaire, qui forme une espèce de réseau, distribue dans toutes les parties l'air nécessaire à la végétation, ainsi que les autres fluidités. On distingue six variétés capitales de vaisseaux des plantes: 1. vaisseaux en chapelet ou monilisorm.es (Fig. 13.); 2. tubes poreux (Fig. 5. et grossiFig. 6.); S. tubes poreux commençant à se convertir en trachées (Fig. - 7. et 8), 4. trachées à simple et à double spirale (Fig. 9. et 10.); 5. tubes mixres (Fig. 11. et 12.); 6. vaisseaux propres.Fig. 1. représente le tissu cellulaire poreux;Fig. 2. cellules plus allongées;Fig. 3. tissu cellulaire ligneux;Fig. 4. la même modification plus serrée;Fig. 11. un tube mixte: l'on y reconnoît à a. de simples pores, à b. des sentes ou réunions de pores, et à c. le commencement d'une trachée;Fig. 12. un tube mixte rameux présentant des pores simples, des fentes, un commencement de trachée, et enfin des étranglemens comme dans les vaisseaux en chapelet;Fig. 14.' le tissu ligneux d'une feuille de chêne commun;Figure 16. le même tissu du fruit de la Datum épineux;Fig. 15. coupe transversale d'une jeune branche de Vasclepiasfruticosa: a. écorce; b. moelle; d. vaisseaux poreux, (la partie, c. est le centre de la coupe, dont on n'a représenté qu'une portion); e. vaisseaux propres réunis en faisceaux;Fig. 17. coupe longitudinale d'un rameau de salvia hispanica; a. écorce, h. bois, où l'on distingue aisément les tubes poreux et les trachées; c, moelle;Fig. 18. portion isolée par déchirement d'un vaisseau, qui présente des pores et des sentes;Fig. 19. sougère en arbre (cyathea arbores): coupe transversale et longitudinale d'un stipe où l'on voit, que le bois présente en a. le tissu cellulaire et en b. le tissu ligneux ou vasculaire;Fig. 20. chou- palmier (areca oleracea I,.): coupe transversale et longitudinale d'un stipe d'une plante monocotyJedone: l'on voit en a. l'écorce, en b. trainées de tissu cellulaire, semblable à celles, que l'on appelle prolongemens médullaires dans les dicotylédones; c. saisceaux de tubes sormant la partie ligueuse de ces végétaux; Fig. 21. chêne commun (quercus robur)coupe transversale et longitudinale d'un tronc, propre à expliquer la structure d'une plante dicotyledone: a.l'écorce; b. cette masse'de jeune bois, que l'on nomme aubier; en c. est le bois pariait, en d. le canal médullaire réduit par le resoulement successif des couches'du bois à un simple point; et eue. les prolongemen-s ou rayons médullaires. :
Ad00341 08 026aDieser Tempel, welcher sehr alt und jetzt ganz zerfallen ist. war dem Buddha gewidmet.~~Er liegt auf der Spitze eines Hügels, und bildet eigentlich eine Pyramide von sechs, mit Mauern umgebenen Terrassen, innerhalb welcher sich noch drei Kreise von bienenkorbähnlichen, steinernen Käfigen befinden, die, ganz in ihrer Mitte, einen, jetzt seiner Kuppel beraubten, kleinen Dom haben. Die Höhe des Ganzen ist 116 Fuss, und jede Seite der Basis 526 Fuss lang.~~Die Mauern sind, an ihren innern und äussern Seiten, mit Figuren aus erhabener Bildhauer-Arbeit bedeckt, und an verschiedenen Stellen befinden sich Nischen, mit einer sitzenden Bildsäule des Buddha, deren Beschaffenheit durch die etwas ausgeführtere Zeichnung in der Ecke unserer Tafel deutlicher wird. Die Zahl dieser Nischen ist zwischen drei- und vierhundert.~~Die Tempel-Pyramide hat vier Haupt-Eingänge, die nach den vier Weltgegenden gerichtet sind.~~185
Ad00341 08 026a/freMélanges. CCLX. Vol. X. No. 24.
TEMPLE DE BUDDHA À BORO-BUDUR DANS L'ILE DE JAVA.
Ce temple, qui est très-ancien et aujourd'hui tout en ruines, étoit consacré à Buddha.
Situé sur le sommet d'une colline, il forme une pyramide de six terrasses entourées de murs, dans l'intérieur desquelles se trouvent encore trois cercles de cages de pierre figurant des ruches à miel, qui ont dans leur milieu un petit dôme, privé maintenant de sa coupole, La hauteur de l'édifice est de 116 pieds et chaque sace latérale de la base a 526 pieds de long.
Les murs sont ornés, tant à l’intérieur qu'à l'extérieur, de figures en haut-relief, et en difsérents endroits il y a des niches pratiquées, où se trouve la statue de Buddha placée sur son séant. Le dessin plus détaillé, que nous en donnons dans le coin de notre planche, en rend les propriétés plus saillantes. Le nombre de ces niches est de trois a quatre cents.
Ce temple pyramidal a quatre grandes entrées dans la direction des quatre régions.
Ad00341 08 027aDiese Tafel hat zum Zweck, die Höhen der merkwürdigsten Berge der Erde, in Gestalt einer Landschaft, vor die Anschauung zu bringen. Vom allgemeinen Niveau der Erde an, der Meeresfläche, erhebt sich das trockene Land, theils flach, theils in Höhen und Gebirgen. Diese Höhen, nach Toisen oder Klaftern gemessen, geben eine Stufenleiter, welche auf dem hier gelieferten Gemälde, links die Berge der alten, rechts der neuen Welt bezeichnet. Der erste auffallende Unterschied, den man bei Betrachtung derselben von oben herab gewahr wird, ist die Schneelinie, oder die Gränze des ewigen Schnees, wo in der Regel die Vegetation aufhört. Auf der rechten Seite unserer Tafel, auf den Amerikanischen Bergen, ist sie höher, als auf der linken, wo sie von den Bergen der gemässigten Zone bei 1,200 Klaftern angegeben ist. Unter dem Aequator zeigt sie sich erst bei einer Höhe von 2,460 Klaftern. Genau genommen, ist sie indess gradweise niedriger, so wie man von dem Aequator nach den Polen zuschreitet. Man pflegt in Europa die Höhen in sechs Regionen, nach dem Charakter ihrer Pflanzen einzuteilen. Die Frucht- und Obstebene begreift die tiefste Region. Auf sie folgt die Region der Buchen, oder die Bergregion; ihre Gränze scheint bei 600 Klaftern einzutreten. Die subalpinische Region ist die dritte; man setzt sie zwischen die Gränze der Fichten und Buchen. Die untere Alpengegend bezeichnet die vierte; sie geht von der Fichtengränze, bis zur Kiefer des Riesengebirges, der Carpathen und Teutschen Alpen, und mag bei 900 Klaftern endigen. Hier fängt schon die, an herrlichen Pflanzen so reiche Alpenzone an. Die obere Alpengegend, bis 1,100 Klaftern, prangt nunmehr mit den höchsten und seltensten Gewächsen. Ueber ihr liegt die Schneeregion.~~Auf unserer Kupfertafel erblicken wir einen Luftball, in der Höhe von 3,500 Klaftern. Der Französische Physiker Gay-Lussac behauptet, sich bis zu dieser Höhe erhoben zu haben. Rechts daneben liegt der Chimborasso, der höchste Berg der neuen Welt. Alexander von Humboldt hat ihn bis auf eine Höhe von 1,186 Fuss erstiegen, mit seinen zwei Begleitern Bonpland und Montufar ; höher konnten sie, wegen einer furchtbaren Aushöhlung nicht kommen, und blieben noch 1,400 Fuss vom Gipfel entfernt. Humboldt ist auf der Charte durch eine kleine Figur angedeutet. Wer von diesem ungeheuren Berge herabsteigt, gelangt auf dem Klima von Berlin in das von Rom. Nächst ihm ist der Antisana angegeben, dessen Höhe 17,958 Fuss beträgt. Die weiter unten angezeigte Meierei, ist wahrscheinlich der höchste bewohnte Punkt auf Erden. Der Cotopaxi, ein sehr gefürchteter Vulkan, hat 17,712 Fuss Höhe. Bei 15,558 Fuss ist der Tungurahua, ein Vulkan der östlichen Andenkette von Quito, angezeigt. Die Städte Quito und Mexico liegen höher als der Vesuv.~~Die Jungfrau in der Schweiz, auf der linken Seite der Tafel, hat 12,872 Fuss, und wurde im Jahr 1802 zum ersten Male von Rudolph und Hieronymus Meyer, aus Aarau, unter grossen Gefahren bestiegen. Dem Montblanc, dem höchsten Berge von Europa, giebt man 14,793 Fuss; er wurde zuerst von Jacob Balmat, nachmals von Saussure in 18 Stunden erstiegen.~~So weit waren unsere Kenntnisse der Gebirge der alten und neuen Welt gediehen, als mehrere Engländer, Namens Kirkpatrik, Colebrooke, Crawfurd, Webb und Andere verkündeten, dass die, schon den Alten unter dem Namen Emodus bekannten Gebirge, welche das Königreich Nepaul von der Tartarei scheiden, Gipfel von 25,000 Fuss und mehr besässen. Dieses Hauptgebirge ist jetzt unter dem Namen Himalaya oder Himaleh bekannt, und in der Mitte des Hintergrundes unserer Tafel dargestellt. Die Schneegränze ist dort noch höher, als die des Chimborasso; sie fängt nämlich erst mit 17,000 Fuss an, übertrifft also jene um 1,253 Fuss. In einer tartaischen Hochebene von 15,000 Fuss über dem Meere, also höher als der Gipfel des Montblanc, gedieh ein treffliches, Waizen- oder Gerste ähnliches Getraide. Nach den bis jetzt bekannt gemachten Angaben, besitzt der Dhayabung 9,960, andere unbenannte Gipfel 19,634, 20,114; der Yamunawatari in Nepaul 23,919 und der Dhawalageri, der höchste von allen, 24,821 Fuss Höhe über dem Meere.~~185
Ad00341 08 027a/freMélanges. CCLXI. Vol. X. No. 25.
ELÉVATIONS DES MONTAGNES DU NOUVEAU ET DE L'ANCIEN MONDE.
Le but de cette planche est de figurer sous la sorme d'un paysage les hauteurs des montagnes les plus célèbres de la terre. Le pays sec, qui s'élève du niveau général, c'est à dire du niveau de la mer, est en partie plat et forme en partie des hauteurs et des montagnes. Cas» hauteurs, mesurées en Jpises, donnent une échelle, qui désigne dans le tableau ci-joint les montagnes de l'ancien monde à gauche et celles du nouveau a droite. La première disférence saillante, qui nous frappe, quand «n considère cette échelle du haut en bas, c'est la ligne de neige, ou les limites de la neige éternelle, où dans la rè^le cesse toute végétation. Elle est beaucoup plus élevée sur le côté droit de notre planche, qui figure les montagnes de l'Amérique, que sur le côté gauche, où elle est évaluée pour ics montagnes de la zone tempérée à 1,200 toises. Sous l'équateur elle ne se mauise*te qu'à la hauteur de 2,460 toises. A le prendre strictement, elle s'abbaisse cependant par degré, quand on se porte de l'équateur aux. pôles. Les Naturalistes divisent; communément les hautssurS en six régions, d'aprfcs le carnclèrc de leurs plantes. La région fruitière Comprend la plus basse région. Elle est suivie de la région des hêtres ou de la région des montagnes, qui paroit sinir à 600 toises de haut. La région subalpine, que l'on place entre les hêtres et les pins, est la troisième. La contrée basse des Alpes désigne la quatrième, qui partant de la frontière des pins, embrasse les pinastres le Riesengebivge des Carpalhes et des Alpes allemandes, et se ter- :uine à 900 toises environ. C'est ici que commence fâ zone des Alpes si riche en plantes délicieuses. La contrée supérieure des Alpes, qui a 1,100 toises de haut, étale maintenant les végétaux les plus beaux et les plus rares; après elle vient la région de la neige.
Nous apercevons dans notre planche un ballon à la hauteur de 3,500 toises, hauteur à laquelle le physicien français Gay - Lussac assure s'être élevé. A "droite est le Chimborasso, la plus haute montagne du nouveau monde. Alexandrede Humboldt l'a gravi avec ses deux compagnons Bonpland et Montufar jusqu'à la hauteur de 18» 180; n'ayant pu monter plus haut à cause d'une essroyable cavité, le3 trois voyageurs restèrent à 1,400 pieds du sommet. Quiconque descend de cette énorme montagne passe du climat de Berlin à celui de Rome Après lé Chimuorasso vient /' Ahtisana, dont l'élévation est de 17,958 pieds. 11 est vraisemblable, que la métaierie signalée plus bas, est le point de la terrj le plu6,é_levé, qui se trouve habité. Le Cotopaxi, volcan très - redouté, a 17,712 pieds de hàu\ Le Tungurahua. volcan de la chaîne orientale des Andes de Quito, est réputé s'élever à 15,558 pieds. Les villes de Quito et de Mexico sont beaucoup plus élevées que le Vésuve.
La Vierge (die Jungfrau) en Suisse, que nous voyons sur le côté gauche de notre planche, a 12,872 pieds, et n'a été gravie pour la première fois qu'en 1802 par Mrs. Rodolphe et Jérôme Meier d'Arau, qui se trouvèrent exposés aux dangers les plus éminents. On évalue la hauteur du Montblanc, montagne la plus élevée de l'Europe, à 14,793 pieds; Jacques Ealmat le gravit le premier en 18 heures; Saussure en fit autant quelque tems après.
Tel étoit le période qu'avoierrt atteint nos eoitHoissances à l'égard des immiugnus do l'ancien efc du nouveau monde, lorsque plusieurs Anglois, nommés Kirkpatrik, Colibrooke, Crawsort, IVebb, et autres annoncèrent, que les sommets des montagnes, connues des anciens sous le nom d'Kmodus et qui séparent le royaume de Nepaul de l'a Tartarie, s'élevoient à 25,000 pieds. Cette montagne, connue de nos jours sous la dénomination de Himalaya ou Himaley, est figurée au milieu de notre planche dans le fond. La région de neig • y est encore beaucoup plus haute que eelle du Chimborasso, en ce qu' elle ne commence qu'à 17,000 pieds de hauteur et dépasse par conséquent celle-ci de 1,25g pieds. 31 croissoït' sur une hauteur plane de la Tarlarie, élevée de 15,000 pieds audessus de la sursace de la mer, et conséquemineut beaucoup plus haute, que le sommet du Montblanc, un blé superbe asseï semblable au sroment ou à l'orge. D'après ies évalua-, tiens publiées jusq.u ici, le Dhayabung a 19,960 pieds de haut; d'autres sommets, qui n'ont pas de nom., en ont 19,634 et 20,114; V Yamnnawatari dans Je royaume de Nepaul en a 23,919 et le Dhavalageri^ le pic le plus élevé, 24,1:21 pieds au dessus du niveau de la mer.
Ad00341 08 028aFig. 1. Cuviers Lopliophorus. (Lophophorus Cuvieri. Tem)~~Dieser, durch seine schöne Bildung, mehr, als durch seine Farbe ausgezeichnete Vogel, wurde zuerst von Latham nach Zeichnungen, welche Lady Impey besass, beschrieben, und von diesem Naturforscher den Fasanen beigezählt. Der Holländer Temmink hat von ihm die erste Abbildung, die auf unserer Tafel treu copirt ist, gegeben. Er ist in Indien zu Hause. Ein, hinten herabhängender Federbusch ziert den Kopf, der an den Seiten, wie bei'm Fasan nackt und roth ist. Das Gefieder ist schwarz, am Ende des Rückens mit weissen Federrändern, die grossen Schwungfedern sind dunkelbraun, der Schnabel ist gelblich, die Füsse röthlich.~~Fig. 2. Der Hokko von Peru. (Crax rubra).~~Er wird auch Hokko Coxolitli genannt. Seine Grösse beträgt fast drei Fuss, wie die eines Truthahns. Hahn und Henne gleichen sich erwachsen. Sie leben in Wäldern von Knospen und Früchten, nisten meist auf Bäumen, und legen zwei bis acht Eier. Ihr Hauptunterscheidungszeichen von den Pauxi's und Penelope's, mit denen sie in Grösse, Sitten und Hauptfarbe ziemlich übereinstimmen, ist der zusammengedrückte Schnabel von mittlerer Länge, der an seiner Basis höher, als breit ist; der Oberschnabel ist erhaben, gewölbt und von seinem Ursprunge an gebogen.~~Fig. 3. Der Hokko von Guiana. (Crax globicera) .~~Heisst auch der Hokko von Curassao oder Theutchotli. Er unterscheidet sich vom vorigen durch sein schwarzes Gefieder mit grünlichem Widerschein, seinen gelb und schwarzgefärbten Schnabel, durch seinen weissen Unterleib und weisse Steiss- und Schwanzfedern.~~Fig. 4. Der Pauxi. (Crax pauxi).~~Er unterscheidet sich von den Andern durch einen blauen Knollen, von der Gestalt einer Birne, welcher mit seiner Spitze an der Basis des Schnabels sitzt, und von Steinhärte ist, woher der Name Faisan à pierre. Er hält sich auf Bäumen auf, nistet aber auf der Erde, wie der Fasan. Seine erste Nahrung besteht in Insecten; erwachsen frisst er auch Früchte, Körner und dergleichen. Er hat die grösste Luftröhre unter allen Vögeln. Sein Vaterland ist wahrscheinlich Mexico.~~Fig. 5. Die Parrakua. (Pénélope Parragua.)~~Er lebt in den Wäldern Guiana's, hat die Grösse des Fasans oder Perlhuhns, einen langen Schwanz, wie die Pauxi; der Schnabel ist von mittlerer Stärke, breiter als hoch, und weniger gekrümmt, als der der Hokko's. Er flieht die Gesellschaft. Hahn und Henne verbinden sich nur zur Begattungszeit, und brüten zweimal im Jahre. Er hat eine sehr starke Stimme, die seinen Namen ausspricht. Nahrung, wie die der Vorigen. -~~186
Ad00341 08 028a/freOiseaux. CIV. Vol. X. No. 26.
OISEAUX GALLINIFORMES DES PAYS CHAUDS.
Fig. 1. Lophophore de Cuvier. (Lophophorus Cuvieri. Tem.)
Cet oiseau, qui se distingue beaucoup plus par son beau port que par sa couleur, a d'abord été décrit par Latham d'après des dessins, que possédoit Lady Impey, et a été classé par ce naturaliste dans la famille des faisans, et c'est à au Naturaliste Hollandois, Temmink, que l'on doit la première représentation de cet oiseau, indigène aux Indes; on la trouve fidèlement copiée sur notre planche. Une huppe, penchée en arrière, décore la tête, dont les deux côtés sont, comme dans les faisans, nus et rouges. Le plumage est noir; les plumes du dos sont blanches à leur extrémité, les grandes pennes d'un brun foncé, les pattes rougeâtres, et le bec est jaunâtre.
Fig. 2. Le Hokko du Pérou. (Crax rubra.)
Cet oiseau, qui se nomme aussi Hokko Coxolitli, est à peu près de la grandeur du coq d'Inde. Le mâle et la femelle, parvenus à leur parfaite croissance, ne disfèrent en rien; ils se nourrissent dans les forêts de boutons et de fruits, nichent communément sur des arbres, et la semelle pond de 2 à 8 oeuss. Ce qui les distingue caractéristiquement des Pauxis et des Pénélopes, avec lesquels ils ont de l'afsinité par la grandeur, le genre de vie et la couleur dominante, c'est leur bec applati, qui est d'une longueur moyenne, et plus haut que large à sa base. Le bec supérieur est élevé, voûté et courbé depuis sa racine.
Fig. 3. Le Hokko de la Guiane. (Crax globicera).
Se nomme aussi le Hokko de Curassao ou de Theutchotli. Son plumage noir à reslet verdâtre, son bec jaune" et noir, la blancheur du bas-ventre, des plumes de l'anus et de la queue le distinguent du précédent.
Fig. 4. Le Pauxi. (Crax Pauxi).
Il se distingue des autres par un tubercule bleu, de la sorme d'une poire, dont la pointe tient à la base du bec, et qui est aussi dur qu'une pierre, ce qui lui a fait donner le nom de saisan pierre. Quoiqu'il se tienne sur les arbres, il niche à terre, comme le saisan. Sa première nourriture consiste en insectes, mais à mesure qu'il grandit, il mange des fruits, des graines etc. C'est de tous les oiseaux celui, qui a la plus grande trachéeartère. Il habite vraisemblablement le Mexique.
Fig. 5. La Parrakua. (Pénélope Parragua).
Cet oiseau, qui habite les sorêts de la Guiane, est de la grandeur du saisan ou de la pintade, et sa queue est aussi longue, que celle du Pauxi, Le bec d'une sorce moyenne, plus large que haut, est moins courbé que celui du Hokko. Il suit la société. Le coq et la poule ne se réunissent, que lors de l'accouplement et couvent deux sois par an. Ils ont la voix très-sorte, et ils prononcent leur nom. Leur nourriture est absolument celle des précédents.
Ad00341 08 029aFig. 1. Die rautenhalsige Mantis. (Mantis rhombicollis).~~Die Mantis mit rautenförmigem Halse, ist sehr platt, von zarter, grüner Farbe; der Kopf, die Mitte des Bruststücks, dessen Ränder, der Untertheil des Körpers und der Füsse, sind blassröthlich, fast gelblich. Die Abbildung ist nach einem, von Humboldt auf Amerika mitgebrachten Exemplar verfertigt, und von natürlicher Grösse.~~Fig. 2. Die grosse Blattheuschrecke. (Phyllium siccifolium.)~~Wegen der Aehnlichkeit mit Baumblättern, hat man diese Art mit mehreren andern, jetzt von den Gespenstheuschrecken getrennt, und zu einer besondern Gattung, unter dem Namen Phyllium, erhoben. Die hier abgebildete Art, welche in Indien zu Hause ist, zeichnet sich unter ihren Gattungsverwandten durch ihr kurzes, vorn niedergedrücktes, hinten gezähneltes Brustschild, so wie durch ihre eiförmigen, mit blattähnlichen, gezähnten Anhängseln versehenen Schenkel aus. Das Männchen ist kleiner und schmäler, als das Weibchen; letzteres breiter, grösser, ungeflügelt.~~Fig. 3. Die Riesengespenstheuschrecke. (Phasma Gigas).~~Flügeldecken und Flügel sind dunkelrothbraun, braun gewellt; die Füsse sind heller, mit braunen Ringeln, stark, lang, and mit Dornen besetzt. Ihr Vaterland ist Amboina.~~Fig. 4. Die Orientalische Schabe. (Blatta orientalis).~~Ob diese Gattung von Schaben gleich eigentlich dem Orient angehört, so findet man sie doch häufig auch in Europa, wohin sie mit Waaren auf der Levante gekommen seyn mag. Mehrere Arten leben in Gehölzen, andere in den Wohnungen der Menschen, wo sie fast alle animalische und vegetabilische Substanzen, vorzüglich Kleidungen, Baumwollenzeug, Häute, Wolle, Esswaaren zerstören. Sie sind eine wahre Pest in den Küchen.~~Fig. 5. Die Lappländische Schabe. (Blatta Lapponica).~~Obgleich Linné uns erzählt, dass diese Schabe die getrockneten Fische der Lappländer zerstöre, so lebt sie doch bei uns nur in lichten, hoch und sonnig liegenden, mit Gras, Haide etc. bewachsenen Wäldern. Von ihren Gattungsverwandten zeichnet sie sich durch ihre dunkele Farbe, hellere Flügeldecken, welche schwarz sind, und durch das blassgeränderte Halsschild aus. -~~Fig. 6. Der gemeine Zangenafter. (Forficula auricularia).~~Dieser, unter dem Namen Ohrwurm bekannte Zangenalter, der sich hauptsächlich durch zwei zangenförmige Spitzen am Ende des Hinterleibes auszeichnet, ist etwa 1/2 Zoll lang, von braunröthlicher Farbe, mit gelblichen Flügeldecken, findet sich häufig auf der Erde, auf Pflanzen und unter der Baumrinde, und nährt sich von thierischen und vegetabilischen Stoffen.~~Fig. 7. Der Zangenafter mit gleichweiter Zange. (Forficula parallela).~~Er unterscheidet sich von den übrigen Arten der Gattung durch seine gerade, ungezähnelte Zange, und bewohnt Madera.~~186
Ad00341 08 029a/freInsectes XC. Vol. X. No. 27.
INSECTES REMARQUABLES.
Fig. 1. Mante rhombicolle. (Mantis rhombicollis).
Cet orthoptère, dont le cou est en forme de rhombe, est très-plat, et d'un vert trèstendre. La tête, le milieu et les bords du corselet, le dessous du corps et des pieds sont d'un rouge pâle, qui se perd dans le jaune. Notre planche figure dans sa grandeur naturelle une Mante, qui a été apportée d'Amérique par Humboldt.
Fig. 2. Phyllium à feuille de foin. (Phyllium siccifolium).
La ressemblance que cette espèce et plusieurs autres ont avec des feuilles d'arbres, est cause, qu'on vient de les séparer des phasmes, et d'en faire une famille séparée, à laquelle on a donné le nom de Phyllium. L'espèce, que figure notre planche, indigène aux Indes, se distingue des autres par un corselet court, applati sur le devant et dentelé sur le derrière, ainsi que par ses cuisses ovales, pourvues d'appendices dentelés et semblables à des feuilles. Le mâle est plus petit et plus sluet, que la femelle, qui est beaucoup plus large, plus grande et privée d'aîles.
Fig. 3. Le Phasme géant. (Phasma Gigas).
Les élytres et les ailes sont d’un roux foncé, et à ondoiements bruns; les pattes plus claires et annelées de brun, sont fortes, longues et épineuses, Amboine est sa patrie.
Fig. 4. La Blatte orientale. (Blattei orientalis).
Quoique cette espèce de blatte appartienne à l'Orient, elle ne s'en trouve pas moins fréquemment en Europe, ou elle a été vraisemblablement apportée du Levant avec des marchandises. Quelques espèces vivent dans les bois, d'autres se sixent dans les habitations des hommes, où elles attaquent et gâtent presque toutes les substances animales et végétales, mais surtout lesvêtemens, les étosses de coton, les peaux, la laine, les comestibles. G'est une véritable peste, pour les cuisines.
Fig. 5. La Blatte de Lapponie. (Blatta lapponica).
Quoique Linné nous raconte, que cette blatte mange les poisson? secs des Lapons, il est cependant certain, que chez nous elle n'habite que les sorêts situées sur des montagnes, exposées au soleil, etliches en herbes, mousses, bruyères etc. Elle se distingue des autres espèces par sa couleur rembrunie, par les élytres noirs, et par le bouclier du cou, dont les bords sont pâles.
Fig. 6. La Forficule commune. (Forficula auricularia.)
Cette forficule, connue sous le nom de ver auriculaire, se distingue principalement' par deux pointes sormées en pinces et placées à l'extrémité de la partie postérieure du corps; d'un 5 pouce de long, elle est d'un rouge brunâtre, et a les élytres jaunâtres. Cette sorsicule, qui se trouve sréquemment sur la terre, les plantes et sous l'écorce des arbres, se nourrit de substances animales et végétales.
Fig. 7. Forficule parallèle. (Forficula parallela).
Elle se distingue des autres espèces de la famille par sa pince non-dentelée et droite, et habite Madère.
Ad00341 08 030aFig. 1. Das Rasenriedgras. (Carex caespitosa).~~Dieses in die Familie der Cyperoideen gehörige Geschlecht, steht in der Linnéischen Classe Monoecia triandria. Es enthält beinahe 800 bekannte Gattungen, die fast alle perennirend sind, und im Frühling blühen. Die meisten findet man an feuchten Orten, in moorartigen Sümpfen. Sie liefern ein schlechtes Futter, und überdiess verwundet sich das Vieh öfters das Maul mit dem schneidenden Rande der Blätter. Die Früchte sind eiförmig, stumpf an der Mündung durchbohrt. No. 1. zeigt den verticalen Durchschnitt einer weiblichen Aehre; No. 2. eine männliche; No. 3. eine weibliche Blume; No. 4. eine weibliche Blume mit einem Längendurchschnitt der kapselartigen Umhüllung, zu näherer Enthüllung des Pistills; No. 5. die kapselartige Umhüllung (Urceolus) mit der reifen Frucht; No. 6. einen verticalen Durchschnitt der Frucht; No. 7. den Embryo, Keim; No. 8. stellt die Keimung der Frucht dar; No. 9. zeigt einen Blatt-Abschnitt.~~Fig. 2. Falsches Cypergras. (Scirpus maritimus).~~Gehört gleichfalls zur Familie der Cyperoideen, und in die Linnéische Classe triandria monogynia. Man hat dieses Geschlecht, nach der Anzahl der Aehren, der runden oder dreieckigen Figur des Halms etc., unterabgetheilt; die obengenannte Gattung gehört zu der Abtheilung mit dreikantigem Halme und beblätterten Rispen. Man trifft sie am Meeresufer und in Sümpfen, wo sie ziemlich dicke und 1 - 1 1/2 Fuss hohe Büsche bildet. Die Pflanzen dieses Geschlechts werden fast alle vom Vieh vermieden, weil sie zu hart, und die Blätter ganz geschmacklos sind. Es gehört zu den Sumpfpflanzen, die man bloss zur Streu benutzt. Wegen seiner ausnehmend grossen Vermehrung, leistet es mittelbar dadurch grosse Dienste, dass es nach und nach zu Torf wird. No. 1. stellt eine Aehre (spicula) vergrössert, und der Länge nach durchschnitten dar; No. 2. die Blume, auf einem Pistill, drei Staubgefässen und sechs borstenartigen Organen bestehend; No. 3. eine Schuppe der Aehren; No. 4 einen vergrösserten Staubbeutel; No. 5. eines der borstenartigen Organe; No. 6. den Saamen; No. 7. einen Queerdurchschnitt des Saamens;. No. 8. einen vertikalen Durchschnitt desselben; No. 9. den Embryo oder Keim.-~~186
Ad00341 08 030a/frePlantes. CLXV. Vol. X. No. 28.
HERBES REMARQUABLES.
Fig. 1. La Laiche en Gazon. (Carex caespitosa.)
Ce genre, qui fait partie des Cypérées de Jussieu, se trouve rangée sous la Monoecia triandria du système de Linné. Il contient près de 800 espèces connues, qui sont presque toutes vivaces et fleurissent au printerhs. Elles se trouvent pour la plupart dans les endroits humides et dans les marais, ne-donnent qu'un très-mauvais fourrage, et les bords tranchants de leurs feuilles blessent très souvent la bouche des bestiaux. Les fruits sont ovales et percés à l'orifice. No. 1. représente la coupe verticale d'un épi femelle; No. 2. fleur mâle; No. 3. fleur femelle; No. 4. fleur semelle dont on a coupé longitudinalement l'urcéole pour faire voir le pistil; No. 5. l'Urcéole contenant un fruit mûr; No. 6., coupe verticale de la même; No. 7., l'embryon; No. 8., la germination du fruit; No. 9., portion d'une feuille.
Fig. 2. Scirpe maritime. (Scirpus maritimus.)
Fait également partie de la famille des Cypérées et est placé d'après le système de Linné dans la classe triandria monogynia. Ce genre se subdivise d'après le nombre des épillets, d'après la figure ronde ou triangulaire de la tige etc. L'espèce mentionnée ci-dessus appartient à la subdivision dont la tige est triangulaire, et les panicules foliacée. On la trouve sur le bord de la mer et dans des marais, où elle forme des faisceaux assez gros et de 12 à 18 pouces de haut. Les bestiaux touchent rarement aux plantes de ce genre, parcequ'elles sont trop dures et que les feuilles en sont entièrement fades. Cette espèce se range parmi les plantes marécageuses, qui ne sont propres qu'à la litière. Son étonnante propagation la rend pourtant d'une utilité indirecte, en ce qu'elle se change insensiblement en tourbe. No. 1. représente un épillet (spicala) grossi, fendu longitudinalement; No. 2. la fleur, composée d'un pistil de trois étamines et de six soies; No. 3, une écaille des épis; No. 4. anthère grossie; No. 5. l'une des soies; No. 6., graine; No. 7, id. coupée en travers; No. 8. id. coupée verticalement; No, 9. l'embryon ou le germe.
Ad00341 08 031aDer Dom in Mailand wurde im Jahr 1386, auf Kosten des Herzogs Johann Galeazzo Visconti und der Stadt Mailand, zu bauen angefangen, und erst nach zwei Jahrhunderten, zu Ende des sechszehnten, vollendet. Wahrscheinlich war der erste Baumeister ein Teutscher; erbauet ist er auf jeden Fall im Altteutschen Styl, doch mehr in dem spätem verzierten, gemischten, als in dem grossartigen Geschmak, von dem der Strassburger Münster, als ein Musterwerk dasteht. Das Gebäude ist von weissem und schwarzem Marmor, und die Façade in einem neuern Styl, der sich mehr der Römischen, als der Altteutschen Baukunst nähert, ausgerichtet. Die Form des Ganzen, ist die des lateinischen Kreuzes. Das Innere besteht auf fünf Schiffen, die durch 52 cannelirte Säulen von einander getrennt werden. Die Säulen sind alle von gleicher Dicke, ausgenommen die vier, welche die Kuppel tragen. Das mittlere Hauptschiff ist noch einmal so breit, als die übrigen. Von Innen und-von Aussen befinden sich an und im Dom 4.400 Statuen. Die Hohe beträgt in der Mitte der Kirche 78 Mailändische Ellen, und die Länge 248 Ellen.~~Ausser den Bildsäulen, befinden sich noch eine Menge von Basreliefs und Medaillons an den Chören, und Mauern der Façade, alle in Marmor gehauen, so wie Figuren, welche Geschichten auf dem alten und neuen Testamente, und der Legende vorstellen.~~An die Pfeiler, welche die Kuppel tragen, lehnen sich reich verzierte Kanzeln von vergoldeter Bronze; zwei Orgeln, grösser, als man sie in den meisten Italienischen Kirchen antrifft, sind gleich daneben. Der Haupt-Altar, mit seinen Sacraments- und Reliquien-Häuschen, ist ungemein prächtig, was sich auch von dem Marmorgebäude sagen lässt, welches das Chor von der übrigen Kirche scheidet, und welches durch grosse Oeffnungen Licht in die unterirdische Kirche wirft, in welcher der Sarkophag mit dem Leichnam des h. Carl Boromäus sich befindet. Diese grosse Capelle, nebst ihrer Sakristei, ist äusserst reich an musivischer Arbeit, silbernen Statuen und Basreliefs, und manchen mit edeln Steinen besetzten Kleinodien; besonders ist der Sarkophag prächtig ausgeschmückt; auch an Malereien fehlt es nicht. Es hat diese Hauptkirche, in welcher die alte Ambrosianische Liturgie beibehalten worden, eine zahlreiche Geistlichkeit, die aus zwei Kapiteln besteht. -~~Die obere Abtheilung unserer Tafel zeigt das prächtige Gebäude von aussen. Die untere giebt die Ansicht des mittleren Schiffes mit dem Hauptaltar im Hintergrunde.~~186
Ad00341 08 031a/freMélanges CCLXII. Vol. X. No. 29.
LE DÔME DE MILAN.
Ce dôme, commencé en 1386 aux frais du Duc Jean Galeazzo Visconti et de la ville de Milan, n'a été terminé que 200 ans après, à la fin du 16e siècle. Il est vraisemblable, que le premier architecte etoit allemand; et dans tous les cas cette église est bâtie dans le vieux style allemand, mais cependant plus dans le goût moderne, mixte et orné, que dans le goût grand et nohla, dont le Munster de Strasbourg est un si imposant modèle! L'édisice est construit en marbre" blanc et noir, et la façade est d'un goût moderne, qui approche plus dé l'architecture romaine, que de l'allemande; Le tout a la forme d'une croix latine. L'intérieur se compose de cinq nefs, séparées les unes des autres par 52 colonnes cannelées. Les colonnes sont toutes de la même grosseur, à l'exception des quatre, qui supportent la coupole'. La nef du milieu est une fois aussi large, que les autres. Il se trouve tant dans l'intérieur qu'à l'extérieur du dôme 4,400 statues. La hauteur de l'église, prise dans son milieu, est de 78 aunes de Milan, et la longueur de 248.
Outre les statues, les choeurs et les murs de la façade sont ornés, de bas-ieliess et de 9 ' médaillons, tous taillés en marbre, ainsi que de figures, qui représentent des histoires de l'ancien et du nouveau testament et de la légende. Des chaires de bronze doré et richement décorées s'appuient aux piliers, qui portent la coupole, et tout près sont deux orgues beaucoup plus grandes, que celles que l'on trouve dans la plupart des églises d'Italie. Le maître-autel avec son tabernacle est d'une extrême magnisicence, et l'on peut en dira autant de l'édisice en marbre, qui sépare le choeur du reste de l'église, et qui jette par de grandes ouvertures de la lumière dans l'église souterraine, où se trouvent le sarcophage et le corps de St. Boromée. Cette grande chapelle est, ainsi que sa sacristie, riche en mosaïques, en statues, en bas-reliess d'argent et en bijoux ornés de pierres précieuses le sarcophage est surtout magnifiquement décoré; et les plus belles peintures y abondent également. Cette cathédrale, qui a conservé l'ancienne liturgie d'Ambroise, a un clergé nombreux, composé de deux chapitres. La partie supérieure de notre planche figure l'extérieur de ce somptueux édifice.
La partie inférieure représente la vue de la nes du milieu avec le maître-autel dans le fond.
Ad00341 08 032aDieses Labyrinth, wovon die Sagen des Alterthums so viel erzählen, ist in neueren Zeiten von dem reisenden Engländer Cockerell besucht worden, und ihm haben wir auch diese Nachrichten zu danken. Den Eingang desselben, der durch kein merkwürdiges Aeussere sich auszeichnet, fand er an der Seite eines Gebirges, welches zu dem Berge Ida gehört, und in einer Entfernung von ungefähr drei Englischen Meilen von Agio-Deka.~~Die Oeffnung, welche niedrig ist, und worin Erde und herabgefallene Bruchstücke aufgehäuft sind, führt auf einem abschüssigen Wege in ein doppeltes Vestibül, (A) welches ungefähr 25 Fuss breit, und 45 Fuss lang ist; von dort aus gelangte man durch vier Thore in das Innere der Höhle, von welchen jedoch bloss das zur rechten Hand gangbar ist. Der Hauptweg, welcher in's Innere führt, ist meistentheils ungefähr 8 Fuss weit, und eben so hoch. Die zu beiden Seiten hie und da angebrachten Kammern und Gemächer, liegen etwas höher, als der Gang selbst, und sind durchgehends trocken, O O sind geräumige Kammern.~~Cockerell nimmt an, dass die ganze Länge und die Windungen der Gänge beinahe 3/4 Englische Meilen betragen. Er hatte, als er sich mit seiner Begleitung durch das eine, noch offene Hauplthor des Vestibüls in's Innere der Höhle begab, die Vorsicht gehabt, da eine sichere Wache mit dem Ende eines Bindfadenknäuels aufzustellen, und war nach vierstündigem Durchsuchen und Herumirren in der Höhle sehr überrascht, an der Stelle, die auf der Tafel mit C bezeichnet ist, den Faden wieder zu entdecken.~~Für die Vermuthung, dass das Labyrinth eine ähnliche Bestimmung, wie die Aegyptischen Pyramiden, oder die langen Gänge in den Gräbern der Könige von Theben gehabt habe, zum Begräbnissplatze zu dienen, ist auch nicht ein bestätigender Umstand ausgefunden worden; keine Spur von Sarkophagen oder von Nischen zur Aufnahme der Särge; mit einem Wort, nicht die geringsten Reste dieser Art.~~Der Zweck dieser Aushöhlung, ist also immer noch unentschieden, aber die Beschaffenheit des Steines, welcher ein leicht zu brechender Sandstein ist, und zu gewöhnlichen Bauten besonders geeignet, macht, bei der Nachbarschaft von Gortyne, es wahrscheinlich, dass sie zur Zeit der Gründung dieser Stadt, als Steinbruch gedient habe, und dass die langen Gänge und Gewirre derselben, nur ein secundärer Zweck gewesen, zur Verbergung von Eigenthum, oder zur Verwahrung von Gefangenen. Beispiele der Vereinigung beider Zwecke, kommen in alten und neuen Zeiten vor.~~186
Ad00341 08 032a/freMélanges. CCLXIII. Vol. X. No. 30.
LE LABYRINTHE DE CRÈTE.
Ce Labyrinthe, si célèbre par les traditions de l'antiquité, a été de nos jours visité par un voyageur anglois, nommé Cockerell, qui en a donné les notices suivantes. Il en a trouvé l'entrée, qui d'ailleurs ne se distingue à l'extérieur par rien de remarquable, sur le côté d'une montagne, qui fait partie du mont Ida, et à peu près à la distance de trois milles d'Angleterre d'Agio-Deka.
L'ouverture, qui en est basse, et où se sont amoncelés des débris et de la terré, conduit par un chemin en pente à un double vestibule (A), qui a environ 25 pieds de large, sur 45 de long, d'où l'on se rend dans l'intérieur du souterrain par quatre portes, dont cependant celle qui est à droite est la seule praticable, qui mène dans l'intérieur, a communément 8 pieds de large et de haut. Les chambres et appartements pratiqués çà et là sur les deux côtés, sont un peu plus élevés, que le corridor et généralement secs: O 0 sont des chambres assez spacieuses.
Mr. Cockerell pense que la longueur entière et les sinuosités des galeries peuvent s'évaluer à s de mille d'Angleterre. En se rendant avec sa suite dans l'intérieur du souterrain par la porte principale du vestibule, la seule qui soit encore ouverte, il avoit eu la précaution d'y placer une garde sûre, qui tenoit le bout d'un peloton de sicelle. Quelle sut sa surprise, lorsqu'après avoir parcouru et examiné la caverne pendant quatre heures, il découvrit de nouveau le sil à la place désignée sur notre planche par C!
Quant à l'opinion que ce labyrinthe, à l'instar des pyramidsis d'Rgypte OU des longs souterrains dans les tombeaux. des rois de Thèbe, étoit destiné à servir de lieu de sépulture, on n'a pas trouvé une seule circonstance, qui vienne à l'appui de ce sentiment; point de vestiges de sarcophage, point de niche propre à recevoir les cercueils : en un mot pas la moindre trace de ce genre.
Le véritable but de ce souterrain est donc encore inconnu; cependant la propriété de la pierre, qui est un grés sacile à tailler et trèspropre à la bâtisse, et la proximité de Gorvine sont présumer avec beaucoup de vraisemblance, que ce souterrain a servi de carrière lors de la sondation de cette ville, et que les longues galeries et leurs circuits n'ont eu qu'un objet secondaire, soit pour y cacher des propriétés, soit pour y garder des prisonniers. Les tems anciens et modernes sournissent ces exemples de la combinaison de ces deux fins.
Ad00341 08 033aDie Aegyptische Ziege hat einen dicken, langen Körper und hohe Beine, und ist mit einem spärlichen langen, gelbbraunen Seidenhaar, was an den Schenkeln gelb ist, bedeckt. Die Ohren sind unverhältnissmässig gross, und zwei grosse Fleischanhängsel, wie dem man sie auch bei manchen, Schaafen findet.~~Diese Aegyptische Ziege aber sieht dadurch gar sonderbar aus, dass sie eine sehr convexe Nase und keinen Bart hat. Auch würde man sie eher für eine Art von Schaaf halten, wenn nicht der kurze, aufrecht stehende Ziegenschwanz, und die bei Weibchen so ungeheure Euter wären.~~187
Ad00341 08 033a/freQuadrupèdes. CII. Vol. X. No. 31.
LA CHÈVRE D'EGYPTE.
La chèvre d'Egypte, dont le corps est gros et long, et qui a les jambes hautes, est couverte de longs fils soyeux, peu abondants et d'un brun jaune; mais ceux de scuisses sont jaunes. Les oreilles d'une grandeur disproportionnée sont deux grands pelottons de chair, tels qu'on en trouve dans quelques espèce de brebis.
Le nez très-convexe de cette chèvre et l’absence de toute barbe lui donnent une physionomie toute particulière; aussi la prendroit-on plutôt pour une espèce de brebis sans sa queue courte et droite et sans l’énorme tétine de la femelle.
Ad00341 08 034aFig. 1. Nierenförmige Phryne. (Phrynus reniformis. (Phalangium reniforme L.))~~Ein merkwürdiges, grosses, spinnenartiges Thier, dessen Bruststück nierenförmig ist. Die Füsse sind sehr lang; länger und dünner aber, als die übrigen, ist das erste Fusspaar. Aus dem Bruststück sind acht Augen. Die Farbe ist hellbraun, an den Fressspitzen und Füssen schwarz. Man findet diese Phryne auf den Inseln des Ostindischen Meeres, wo man ihren Biss für giftig hält.~~Fig. 2. Der geschwänzte Telyphon. (Telyphonus caudatus).~~Diese Gattung nähert die Spinnen (Phrynus) den Scorpionen und steht zwischen beiden in der Mitte. Das Thier ist etwas über einen Zoll lang, und von dunkelbrauner, oder purpurschwarzer Farbe. Sein Vaterland ist Ostindien, seine Lebensweise unbekannt.~~Fig. 3. Spinnenartige Galeode. (Galeodes arenoides.)~~Dieses Insect steht ebenfalls zwischen Spinne und Scorpion, und hat ein sonderbares Ansehen. Sein. Körper ist länglicht, und mit einer dünnen, braunen oder gelben, haarigen Haut bedeckt. Es lebt in den heissen Gegenden Asiens und Afrika's. Allenthalben fürchtet man es als giftig, und das vielleicht mit Unrecht. -~~Fig. 4. Dickbeiniges Nymphum. (Nymphum grossipes).~~Eins der sonderbarsten Thiere, das mit der Gattung Phalangium, zu der es auch früher gezählt wurde, auffallende Aehnlichkeit hat; es unterscheidet sich indess bedeutend von ihr, z.B. durch seine 4 Augen, durch die Anzahl seiner Füsse, von denen das Männchen acht, das Weibchen zehn hat; zwei davon sind nämlich Afterfüsse und zum Tragen der Eier bestimmt. Es lebt im Meer an der Norwegischen Küste, nährt sich von Muscheln, in deren Schaalen es eindringt, und das Thier aussaugt. Seine Farbe ist gelbbräunlich. Die nebenbei vergrössert gezeichneten Figuren stellen dar: die vergrösserte scheerenförmige, obere Fressspitze - untere Fressspitze - einen eiertragenden Fuss - die drei Fussglieder mit der Klaue. -~~Fig. 5. Riesen-Epeira. (Epeira Gigas).~~Eine nahe Verwandte der Kreuzspinne, und sehr schön gezeichnet, wenn sie auch hierin den Vorzug vor unserer einheimischen Kreuzspinne nicht verdient. Ihr Vaterland kennt man nicht, und muthmasst nur, dass es Nordamerika sey.~~Fig. 6. Die rothe Erdmilbe. (Trombidium holosericeum).~~Dieses niedliche Geschöpf wird im Frühjahr und Sommer häufig in Gärten auf verschiedenen Pflanzen, auf Bäumen, auf der Erde, etc. gefunden, und fällt mit seinem sammetartigen Roth leicht in die Augen. Von den übrigen Arten der Gattung unterscheidet es sich durch seinen fast viereckigen Leib, der niedergedrückt, scharlachroth und mit feinen Haaren bekleidet ist. Diese Milbe ist in den Gärten sehr nützlich, denn sie lebt von dem Aussaugen junger Raupen~~187
Ad00341 08 034a/freInsectes. XCI. Vol. X. No. 32.
ARAIGNÉES CURIEUSES.
Fig. 1. La Phryne réniforme. (Phrynus reniformis, [Phalangium réniforme L.]).
C'est un animal grand, remarquable, aranèoïde, dont le corselet est réniforme. Les pattes sont très longues, cependant les deux de devant sont beaucoup plus longues et plus minces que les autres. Le corselet est orné de liait yeux. Jl est d'un brun clair, mais les pointes des pinces et des pieds sont noires. Cette phryne habite les îles de la mer des Jndes orientales, où l'on regarde sa morsure comme venimeuse.
Fig. 2. Le Thelyphone à queue. (Telyphonus caudatus).
Ce genre, qui rapproche les araignées Phrynus des scorpions, tient le milieu entre ces deux genres. L'animal, dont la longueur est d'un pouce, est d'un brun foncé ou d'un noir purpurin. Les Jndes orientales sont sa patrie, mais on ne conhoit pas son genre de vie.
Fig. 3. La Galéode aranéoïde. (Galcodes arenoides).
Cet insecte est également placé entre l'araignée et le scorpion et a un aspect tout particulier. Son' corps est oblong et recouvert d'une peau velue, mince, brune ou jaune. Jl vit dans les régions brûlantes de l'Asie et de l'Asrique. Partout on le croit venimeux et peut-être à tort.
Fig. 4. Le Nymphon grossipède. (Nymphum grossipes).
Cet insecte, un des animaux les plus bizarres, a une srappante ressemblance avec le genre Phalangium, dans lequel il étoît auparavant classé, mais dont il s'éloigne cependant par ses quatre yeux et par le nombre de ses pattes j car le mâle en a huit et la femelle dix, dont deux sont des pieds sausses et destinées à porter les oeufs. Il vit dans la mer sur les côtes de Norvège et se nourrit de moules qu'il suce, après s'être introduit dans leurs coquilles. Il est d'un brun jaune. Les figures secondaires grossies représentent: le palpe supérieur de la bouche formée en pince et grossie; — le palpe inférieur de la bouche; — une patte qui porte les oeufs; — les trois membres des pieds avec l'ongle.
Fig. 5. L'Epeire Gigas. (Epeire Gigas).
Elle a une grande affinité avec l'Epeïre Diadème qu'elle égale par la beauté des dessins dont elle est ornée, sans toutefois le surpasser. On ne connoit pas sa-patrie, mais on suppose que c'est l'Amérique du Nord.
Fig.. 6. Le Trombidion satiné. (Trombidium holosericeum).
Ce charmant insecte abonde au printems et en été dans les jardins sur diverses fleurs, sur des arbres et sur la terre et flatte agréablement la vue par son rouge satiné. Jl se distingue des autres espèces de ce genre par son corps presque carré, déprimé, d'un rouge d'écarlate, et tout couvert de poils très fines. Ce trombidion ne laisse pas d'être d'une grande utilité dans les jardins, où il se nourrit de jeunes chenilles qu'il suce.
Ad00341 08 035aDer enge Raum dieses Blattes erlaubt uns nicht, in eine ausführliche Beschreibung dieser so reichen Kupfertafel einzugehen, wesshalb wir genöhigt sind, auf den grössern Text zu verweisen. Wir beschränken uns bloss, das Wesentliche des Linnéischen Pflanzensystems hier zu zergliedern.~~Die Grundlage dieses Systems beruht auf den Zeugungsorganen der Pflanzen. Bekanntlich sind die Staubgefässe die männlichen, und die Pistille die weiblichen Organe. Diese Organe sind nun entweder entschieden vorhanden und sichtbar, oder ihr Daseyn ist wenigstens sehr verhüllt. Diese zwei Rücksichten bilden die Haupteintheilung des Systems. Je nachdem die deutlich erkennbaren Zeugungs- und Befruchtungs-Organe in einer Blume vereinigt, oder in verschiedenen sich getrennt vorfinden, werden die Pflanzen in Zwittergewächse und Unisexuelle eingetheilt. Dieses System theilt sich in 24 Classen, jede wieder in mehrere Ordnungen, diese in mehrere Geschlechter, und letztere in mehrere Gattungen. Die eilf ersten Classen werden ganz allein durch die Anzahl der Staubgefässe, von einem bis zu zwölf und mehreren, jedoch unter zwanzig, immer in Zwitterblumen, bestimmt; die Ordnungen nach der Anzahl der Pistille. Die zwölfte und dreizehnte Classe begreifen die Pflanzen mit freien und gleichhohen, von 20 bis unbestimmt mehreren Staubgefässen; die Ordnungen sind von der Anzahl der Griffel des Pistils hergenommen. Die 14 und 15. Classe werden nach der Anzahl und dem gegenseitigen Grösseverhältniss der Staubgefässe bestimmt. Gewächse mit zwei langen und zwei kurzen Staubgefässen gehören der 14.; Gewächse mit vier langen und zwei kurzem Staubgefässen der 15. Classe an. Die Verwachsung der Staubgefässe unter einander, entweder den Staubfäden oder den Staubbeuteln nach, oder die Verwachsung derselben mit dem Pistil, bildet den Character der fünf folgenden Classen. In der 16. Classe sind die Staubgefässe, ihren Staubfäden nach, in einem einzigen Körper; in der 17. in zwei Körpern; in der 18. in mehr, als zwei Körper; und in der 19. die Staubbeutel, bei freistehenden Staubfäden, mit einander verwachsen. In der 20. sind die Staubgefässe auf dem Pistil eingewachsen, und mit demselben verbunden. In der 16., 17., 18. und 20. Classe entscheiden sich die Ordnungen nach der Anzahl der Staubgefässe, und in der 19. nach der Mischung männlicher und weiblicher Blumen mit Zwitterblumen. Die 21. und 22. Classe enthalten unisexuelle Gewächse, einige mit männlichen Organen ohne Pistil, andere mit Pistilien ohne Staubgefässe. In beiden Classen sind männliche und weibliche Blumen auf einem Gewächs vereinigt. In der 22. Classe stehen die männlichen Blumen auf einem, und die weiblichen auf einem andern Individuum der gleichen Gattung. Die 23. Classe enthält solche Gewächse; die auf dem gleichen Individuum mit männlichen und weiblichen Zwitterblumen versehen sind, wo die männlichen und weiblichen Blumen auf verschiedenen Individuen von demjenigen stehen, das die Zwitterblume trägt. Die Charaktere der 21. und 22. Classe sind entweder von der Anzahl der Staubgefässe, oder der Verwachsung ihrer Staubfäden, oder ihrer Staubbeutel, oder mit dem unfruchtbaren Pistil hergenommen. Der Charakter der Ordnungen der 23. Classe gründet sich auf die Vereinigung der männlichen, weiblichen, oder Zwitterblumen auf dem gleichen, oder verschiedenen Individuen. Die 24 Classe begreist die Gewächse mit unbekannten, oder sehr verhüllten Befruchtungsorganen.~~187
Ad00341 08 035a/frePlantes. CLXV. Vol. X. No. 33.
SYSTEME DES PLANTES DE LINNÉ.
Le peu d'espace que nous avons ne nous permettant pas d'entrer dan1; lès détails qu'exige la richesse de la planche ci-jointe, nous nous trouvons obligés de renvoyer au plus grand texte et de nous borner à enalyser ce que ce système a de plus essentiel.
La base de ce système repose sur les organes générateurs des plantes, dont les anthères sont les organes mâles et les pistils les semelles. Ces organes sont ou très-décidés et visibles, ou leur existence est du moins très -cachée, et c'est de ce double état, que se forme la division principale du système. Les plantes se divisent en hermaphrodites et unisexuclles, selon que les organes générateurs et fécondateurs sont réunis dans uns corolle, ou qu'ils se trouvent séparés dans diverses corolles. Ce système se divise en 24 classes, dont chacune comprend plusieurs ordres, chaque ordre plusieurs Genres, et chaque Ganre plusieurs espèces. Les onze premières classes ne sont déterminées que par le nombre des anthères, depuis un jusqu'à douze et même plus, mais cependant au dessous de vingt, et toujours dans des fleurs hermaphrodites; les ordres se divisent d'après le nombre des styles du pistils. Les douze et treizième classes comprennent les plantes à anthères libres et d'égale hauteur, au nombre de 20 et plus; les ordres se rangent d'après le nombre des styles du pistil. Les quatorze et quinzième classes se déterminent par le nombre et le rapport mutuel de grandeur des anthères. Les plantes à 2 anthères longs et ù 2 anthères courts font partie de la 14e classe; les plantes à 4 anthères longs et à 2 courts font partie de la 15e. La soudure des anthères entre eux, soit d'après les (Staminés, soit d'après les anthères, ou la soudure de ces derniers avec le pistil forme les 5 classes suivantes. Dans la seizième classe, les anthères sont, d'après les étamines, dans un seul corps; dans la 17e, dans deux corps, dans la 18e, dans plus de deux corps; et dans la 19e,, les anthères sont soudés ensemble et les étamines sont libres. Dans la 20e, les anthères sont plantés sur le pistil, avec lequel ils se réunissent. C'est d'après le nombre des anthères, que les.ordres des -16e, 17e, 18e et 20e classes se distinguent, et dans la 19e c'est d'après le mélange des fleurs nrâlesj et femelles avec les hermaphrodites. Les 21 et 22c classes contiennent les plantes unisexuclles, dont quelquesunes avec des organes mâles sans pistil, et d'autres avec des pistils sans anthères. Dans ces deux classes, les fleurs mâles et femelles se trouvent réunies sur une plante. Dans la 22e classe les sleurs mâles sont sur un individu et les femelles sur un autre du même genre. La 23e classe comprend les plantes, dont le même individu est pourvu d'hermaphrodites mâles et femelles, et où les fleurs mâles et semelles sont placées sur des individus difsérents de celui, qui porte l'hermaphrodite. Les caractères des 21 et 22e classes se dériveHt ou du nombre des anthères, ou de la soudure des étamines, ou des anthères, ou de la stérilité du pistil. Le caractère des ordres de la 23e classe se sonde sur la réunion des fleurs mâles, femelles ou hermaphrodites sur le même individu, ou sur des individus dissérents. La 24e classe contient les plantes dont les organes de sécondation «ont inconnus ou très-cachés.
Ad00341 08 036aDiese sonderbare Waffe, die Kugeln, wurden von den ersten Spanischen Ansiedlern unter den Indianern, am La Plata, in allgemeinem Gebrauche gefunden, die sich derselben auch bedienten, um Strausse zu fangen; die Spanier nahmen den Gebrauch derselben gleich an, sowohl für diese Vögel, als für Pferde; jetzt führt sie jeder Landmann stets bei sich. Sie bestehen in zwei runden Steinen, jeder ungefähr ein halbes Pfund schwer, in Haut genäht, verbunden durch einen ledernen Riemen, vier bis fünf Ruthen lang, welcher durch Fett geschmeidig erhalten wird. Diese Steine werden weither auf dem Innern von den Indianern herbeigebracht, die auch die Waffe verfertigen und sie in Buenos-Ayres verkaufen.~~Wenn sie gehandhabt werden, behält man die eine Kugel, den Riemen rund zusammengenommen, in der Hand, und lässt solchen allmälig nach, während die andere Kugel um den Kopf geschwungen wird. Ist man dem Gegenstände nahe genug, d.h. noch zwanzig bis dreissig Ellen davon entfernt, so lässt man die Kugel aus der Hand, die nun quer der andern nachgeführt wird, während diese durch das Schwingen um den Kopf eine unglaubliche Schnelligkeit erlangt hat, bis sie den Jagdgegenstand ereilen, der Riemen mit dessen Beinen m Berührung kommt und die Kugeln in entgegengesetzter Richtung um sie fliegen und das Thier umschlingen. Bei Pferden werden drei Kugeln gebraucht, zwei fliegen zu gleicher Zeit um den Kopf; sie gewähren grössere Schnelligkeit und mehr Aussicht, Verschlingung hervorzubringen. Das wildeste Pferd der Ebenen wird mit den Kugeln gefangen, welche es entweder niederwerfen, oder, um ein Bein geschlungen, im Laufe hindern und bei jedem Sprunge verwunden, bis es eingeholt und ihm eine Schlinge über den Kopf geworfen worden ist. Der Strauss oder Nandu, sehr häufig an den Ufern des la Plata, auf den Ebenen von Monte-Video und den Pampas von Buenos-Ayres, rennt mit solcher Schnelligkeit, dass die vortrefflichsten Pferde und besten Reiter ihn nicht einholen können, und nur mit Hülfe dieser Kugeln wird er gefangen.~~187
Ad00341 08 036a/freMélanges. CCLXIV. Vol. X. No. 34.
LA CHASSE DES AUTRUCHES AUX BOULES.
Les premiers Espagnols, qui s'établirent sur la rivière delà Plata, ayant trouvé les boules généralement employées par les 'Indiens comme des armes propres à donner la chasse aux autruches, ne balancèrent pas à les adopter et à s'en servir pour prendre ces oiseaux ainsi que les chevaux; et de nos jours il n'est pas un seul paysan, qui sorte de chez lui sans cette arme. Ces boules se composent de deux pierres rondes, d'une demie livre environ. Chacune d'elles est cousue dans de la peau et attachée a l'extrémité d'une courroie de quatre à cinq toises de long, que l'on conservé avec de la graisse dans un état très-flexible. Ce sont les Indiens, qui apportent ces pierres de l'imérieur, qui fabriquent cette arme et la vendent à Buenos-Ayres.
Le maniement de cette arme consiste à retenir dans la main'-une boule, et la couriroie pliée en rond, qu'on laisse filer peu à peu pendant qu'on agite l'autre boule autour de l'a tête. Dès qu'on est assez près, c'est-àdire à 20 ou 30 aunes de l'objet que l'on veut prendre, on lâche la boule que l'on tenoit dans la main; celle - ci croise alors l'autre, qui par les convoi utions autour de la tête gagne une rapidité incroyable, jusqu'à ce qu'elles atteignent l'animal; la courroie entre en contact avec ses jambes et les boules, en volant dans des directions opposées enlacent la bête. On emploie pour prendre les chevaux trois boules, dont deux volent à Ta fois autour de la tête, ce qui produit une beaucoup plus grande célérité, et assure de beau> coup l'efset des enlacements. On prend le" cheval le plus sauvage de la plaine avec ces boules, qui le jettent par terre, ou qui en s'entortillant autour d'une jambe, le gênent dans sa course et le blessent à chaque bond, jusqu'à ce qu'on l'ait atteint et qu'on lui ait jeté un noeud coulant par dessus la tête. coup l'efset des enlacements. On prend le" cheval le plus sauvage de la plaine avec ces boules, qui le jettent par terre, ou qui en s'entortillant autour d'une jambe, le gênent dans sa course et le blessent à chaque bond, jusqu'à ce qu'on l'ait atteint et qu'on lui ait jeté un noeud coulant par dessus la tête.
L'autruche ou le Nandu, très-commune sur les rives de la Plata, dans les plaines de Monde-Video et les Pampas de Buenos-Ayres, court avec tant de vélocité, que les meilleurs cavaliers montés sur les plus excellents chevaux ne peuvent la rejoindre, et ce n'est qu'à l'aide de ces boules qu'on parvient à la prendre.
Ad00341 08 037aIn Buenos-Ayres giebt es vier solche Matadero's, oder öffentliche Schlachtplätze, einen an jedem Ende, und zwei in den Vierteln der Stadt. Gegenwärtige Kupfertafel stellt den südlichen vor. Jeder Matadero hat verschiedene Pferchen, den verschiedenen Fleischern gehörig; in diese werden die Thiere vom Lande getrieben, und sodann eins nach dem andern herausgelassen, um geschlachtet zu werden. Man wirft nach ihnen eine Schlinge, sobald sie herauskommen, fängt sie damit, schneidet die Sehnen der Fersen durch, zieht sie zu Boden und schneidet ihnen den Hals durch. Auf diese Art schlachten die Fleischer so viel Ochsen, als sie brauchen; sie lassen das getödtete Vieh am Boden liegen, bis alle geschlachtet sind, bevor sie abzuhäuten anfangen. Sobald diess geschehen ist, wird der Körper auf der Haut, dem einzigen Schutz gegen den nackten Boden, queer durch die Ribben in drei lange Stücke zerhauen, und auf einem Karren, Staub und Koth ausgesetzt, nach dem Fleischmarkt in der Stadt gefahren. Sämmtliche Kaldaunen bleiben auf dem Platze zerstreut liegen, und würden wahrscheinlich zur Verpestung der Luft beitragen, wenn nicht Züge von Aasvögeln, kaum in Stundenfrist nach Abfahrt der Karren, Alles aufzehrten. Auch werden ganze Heerden Schweine bei den Matader'os gehalten, welche nur mit Ochsenköpfen uud Lebern gemästet werden.~~Die Aasvögel, welche durch das Aufzehren der thierischen Ueberreste auf den Matadero's einen so grossen Dienet leisten, sind eine Art Möve, mit gelbem Schnabel und Fuss, blauem Rücken und Schultern, der übrige Körper blendend weiss, ferner der Oribu-Geier, besonders in Paraguay sehr gemein, der aber jenseits der Breite von Buenos-Ayres nicht mehr angetroffen wird. Der Kopf und Hals dieses Vogels ist kahl und runzlich, sein ganzes Gefieder schwarz, ausgenommen die Spitzen der sechs ersten Schwungfedern, welche weiss sind. Seine Totallänge beträgt ungefähr zwei Fuss, mit Inbegriff des Schwanzes, welcher 6-7 Zoll lang ist. Eine dritte Art dieser Aasvögel ist der Caracara, der auch auf Strausse und Rehkälber Jagd macht und den jungen Lämmern nachstellt.~~187
Ad00341 08 037a/freMélanges. CCLXV. Vol. X. No. 35.
LE MATADERO MÉRIDIONAL, UNE DES BOUCHERIES PUBLIQUES DES BUENOS AYRES.
Il y a à Buenos-Ayres quatre Mataderos ou boucheries publiques, dont une située à chaque extrémité et deux dans les quartiers de la Ville. Chaque Matadero contient divers parcages appartenant aux différents bouchers, où Ton renferme tous les animaux destinés à la boucherie, et d'où on les fait sortir l'un après l'autre pour les tuer. Après les avoir pris avec un noeud - coulant qu'on leur jette à -la sortie, oh leur «oupe les tendons des talons, les étend par terre et leur coupe le cou. C'est ainsi que les bouchers tuent autant de boeufs qu'il leur en saut, les laissant par terre et ne les écorchant, que lorsqu'ils en ont tué un nembre sussisant. Cela fait, ils placent le corps sur la peau, et le coupent à travers les côtes en trois grands morceaux et le mènent sur une charrette, exposé à la poussière et à la boue, jusqu'à la halle de la ville. Les intestins, qui demeurent dispersés çà et là, infecteroient vraisemblablement l'air, si de nombreux oiseaux carnassiers ne consumoient en moins d'une heure tous ces débris. On entretient aussi dans ces Mataderos des troupeaux de cochons, que l'on engraisse avec les têtes et les foies de boeufs.
Les oiseaux carnassiers, qui se rendent si utiles en mangeant les restes des animaux, sont 1) une espèce de Mouette, dont le bec etles pattes sont jaunes, les épaules et le dos. bleus, et le reste du corps d'un blanc éblouissant; 2) le vautour d'Oribu, très-commun surtout au Paraguay, mais qu'on ne. trouve jamais au delà de la latitude de Buenos-Ayres. La tête et le cou de cet oiseau sont chauves et ridés, son plumage est noir à l'exception des pointes des six premières pennes, qui sont blanches. Il a près de deux pieds de long, y compris la queue qui peut avoir de 6 à 7 pouces; 3) le Caracara, qui donne la chasse aux autruches, aux faons et aux agneaux, forme une troisième espèce de. ces animaux carnassiers.
Ad00341 08 038aFig. 1. Die gehaubte Phibalura. (Phibalura cristata).~~Die Länge dieses ausserordentlich schönen Vogels des südlichen Amerika, beträgt 9 Zoll. Das Gefieder ist wunderschön gefleckt. Der Kopf trägt eine Haube von einem tiefen, glänzenden Schwarz mit Grau und Roth. Die Flügel sind zum schnellen Flug gebaut.~~Fig. 2. Cuvier's Psaris. (Psaris Cuvieri).~~Seine ganze Länge beträgt 5 1/2 Zoll. Der Schnabel ist bläulich; der obere Theil des Kopfs bis in den Nacken, ist tief schwarz mit blauem Glanz, unten und an den Seiten weiss, in blasses Aschgrau übergehend; der Oberkörper ist gelblich olivengrün; Unterhals, Brust, untere Deckfedern der Flügel hellgelb, nach dem Unterleib zu sich in weiss verlierend; Schwungfedern der Flügel braun, aussen olivengrün, innen gelb gerändert; Schwanz kurz, olivengrün mit weisslichen Randflecken.~~Fig. 3. Schwalbenähnlicher Fruchtfresser. (Procnias hirundinacca).~~Die Gattung ist merkwürdig, wegen ihrer ausserordentlich weiten Mundöffnung, wodurch sie im Stande ist, ihre Nahrung, die grossen Beeren der Melastomen, und anderer tropischen Gesträuche zu verschlingen, indem sie nicht, wie Cuvier versichert, von Insecten lebt. Von der Schwalbe ist sie im Bau der Flügel verschieden, die nicht zu einem langen und schnellen Flug gebildet sind; auch ihre Füsse sind stärker, und zum Sitzen auf Gesträuchen eingerichtet. Die Figur stellt einen männlichen Vogel dar. Seine ganze Länge beträgt etwa 5 1/2 Zoll. Der untere Theil des Leibes, After und untere Deckfedern der Flügel sind bei dem Männchen rein weiss, bei dem Weibchen gelblich; Schwungfedern, Deckfedern der Flügel und Steuerfedern des Schwanzes schwarz und blau gerändert, bei dem Weibchen grün gerändert. Er ist in den südlichen Provinzen Brasiliens nicht selten.~~Fig. 4. Schwarzköpfiger Fruchtfresser. (Procnias melanocephalus).~~Dieser neue und seltne Vogel dieser eigenthümlichen Gattung, bewohnt ebenfalls die südlichen Gegenden von Amerika. Seine Länge beträgt 9 1/4 Zoll. Die Farbe des Schnabels ist bläulich schwarz; die Federn auf dem Hinterkopf bilden eine kleine Haube. Das ganze Gefieder ist oben olivengrün, unten blass grüngelb, die Augen lebhaft carmoisinroth. Das Weibchen ist noch unbekannt.~~Fig. 5. Der Ceylonische Plattschnabel. (Platyrhynchus Ceyloninsis).~~Diese Gattung zeichnet sich durch folgende Kennzeichen aus: der Schnabel ist kurz, gerade, sehr flach, dreikantig; der Oberschnabel an der Spitze kurzherabgekrümmt etc. Der Schwanz besteht auf 12 gleich langen Steuerfedern; Füsse und Zehen sind kurz und dünn. Die einfachen Farben des kleinen, hier abgebildeten Vogels, scheinen mehr einem Vogel auf Europa, als einem auf Indien anzugehören, aus welcher Gegend er herstammt. Die Farbe ist olivengrün, unten gelb; der Kopf und das Kinn sind grau.~~188
Ad00341 08 038a/freOiseaux. CV. Vol X. No. 36.
OISEAUX TRÈS-CURIEUX.
Fig. 1. La Philabure huppée. (Philabura cristata.)
Cet oiseau, qui est d'une très-rare beauté et qui habite l'Amérique méridionale, a 9 pouces de long. Le plumage en est admirablement tacheté, et la tête est ornée d'une huppe, dont la couleur est un noir luisant mêlé de gris et de rouge. Les aîles sont conformées pour un vol rapide.
Fig. 2. Le Psaris de Cuvier. (Psaris Cuvieri.)
Cet oiseau a 5 1/2 pouces de long; son bec est bleuâtre, le dessus de la tête, en descendant jusqu'à la nuque, est d'un noir foncé et à reslet bleu; le dessous et les côtés de la tête sont blancs, et se perdent en un gris-cendré pâle; le dessus du corps est d'un verd d'olive jaunâtre; le dessous du cou, la poitrine et les plumes insérieures qui couvrent les ailes, sont d'un jaune clair, qui se perd dans le blanc vers le bas-ventre; les pennes des alles brunes sont d'un verd d'olive en dehors, et bordées de jaune en dedans; la queue courte est d'un verd d'olive avec des taches blanchâtres sur le bord.
Fig. 3. Procnias hirondelle. (Procnias hirundinacea)
Elle est très-remarquable par sa bouche large etextraordinaircment fendue, qui la met à même d'avaler les grandes baies des melastomes et des autres arbustes des tropiques, dont elle se nourrit, car eile ne mange point d'insectes, à ce que Cuvier assure. Elle s'éloigne de l'hirondelle par la conformation des aïles qui ne sont nullement appropriées à un vol rapide et soutenu. Ses pattes, qui sont aussi plus fortes, lui servent à se percher et à s'asseoir sur les broussailles. Notre planche représente un mâle, dont la longueur entière est à peu prés de 5ï- pouces. La partie inférieure du corps, l'anus et les plumes inférieures qui recouvrent les alles, sont d'un blanc très-pur dans le mâle et jaunâtres dans la femelle; les pennes, les plumes qui couvrent les ailes, et les pennes de la queue sont" noires et bordées de bleu, et bordées de vert dans la semelle. On trouve sréquemment ce Procnias dans les provinces méridionales du Brésil.
Fig. 4. Procnias a tête noire. (Procnias melanocephalus.)
Cet oiseau rare et nouveau, qui appartient à ce genre particulier, habite également le midi de l'Amérique, et a 9 1/4 pouces de long. Son bec est d'un noir bleuâtre et les plumes forment une petite huppe sur le derrière de la tète. Le plumage est en haut d'un verd d'olive, et en bas d'un jaune-verd pâle, et les yeux sont d'un rouge de carmin très-vif. On ne connoît pas encore la femelle.
Fig. 5. Le Platyrhynchus de Ceylon. (Platyrhynchus Ceylonensis.)
Ce genre se distingue parles caractères suivants: le bec est court, droit, très-plat caréné" en dessus le bec supérieur est recourbé à sa pointe, etc. La queue se compose de 12 pennes d'égale longueur; les pieds et les doigts sont courts et minces. Le plumage simple du petit oiseau. Figuré sur notre planche, paroit plutôt appartenir à un oiseau de l'Europe qu'à un oiseau des Jndes, où il est indigène. Il est couleur d'olive, mais jaune sous le corps; la tête et le menton sont gris.
Ad00341 08 039aFig. 1. Die milchweisse Limacelle. (Limacellus lactescens.)~~Die Geschlechtsorgane sind bei demselben Individuum von einander getrennt, durch welchen Umstand sich dieses merkwürdige Geschöpf sehr vom Genus der nackten Schnecken (Limax) unterscheidet. Um der grossen Aehnlichkeit willen, welche die einzige, bis jetzt bekannte Art mit dem Genus Limax hat, gab ihr Blainville den Namen Limacella. Sie hat bis jetzt nur nach Exemplaren beschrieben werden können, welche, in Weingeist aufbewahrt, sich im Britischen Museum befinden. Ihr ganzer Körper ist vollkommen glatt, von einförmig weisser Farbe, und ihr Vaterland sind wahrscheinlich die Antillen.~~Fig. 2. Das Onchidium. (Onchidium typhae (Buchanan.))~~Dieses Weichthier wurde vom Dr. Buchanan entdeckt, und ist seitdem nicht weiter beobachtet worden. Es ist kein Zwitter, denn die männlichen und weiblichen Fortpflanzungsorgane finden sich nicht bei einem und demselben Individuum vereinigt. Man hat bis jetzt keine äusserliche Unterscheidungsmerkmahle der verschiedenen Geschlechter entdecken können, die bloss, in der Paarung betroffen, unterschieden werden können. Das Thier lebt in Bengalen auf der Typha elephantina des Dr. Roxbourgh, und ist oben schwärzlichgrün, unten gelb.~~Fig. 3. Sloane's Onchidium, (Onchidium Sloani.)~~Sloane hat dieses Thier in seiner Naturgeschichte Jamaika's aufgeführt und abgebildet. Nach ihm ist die obere Seite weiss oder aschgrau mit einigen schwarzen Flecken. Es lebt von Kräutern.~~Fig. 4. Der glatte Veronicellus. (Veronicellus laevis.)~~Diess Genus der Mollusken unterscheidet sich von ähnlichen, durch den Anfang einer kalkartigen Schale, welche sich im hintern Theile des Schildes befindet, durch den Fuss, über welchen dieses überall hinwegragt, durch die Oeffnung der Lungenhöhle auf der rechten Seite und am untern Rande des Schildes, so wie endlich durch die vereinigten, an der Basis des rechten Tentakels ausmündenden Zeugungsorgane. Blainville hat diesem Thiere nicht allein zuerst einen Nament gegeben, sondern es auch nach dem einzigen Exemplare des Britischen Museums beschrieben. Es ist gelblichweiss.~~Fig. 5. Der hörnertragende Plectrophorus. (Plectrophorus corninus.)~~Dieses Genus unterscheidet sich durch einen, kleinen, schaalenähnlichen Körper, den das Thier, ausserhalb hervorragend, auf dem hintern Theile seines Körpers trägt. Er hat eine vollkommene konische Gestalt, und seine Oeffnung ist oval. Die Farbe der genannten Art ist gelb, ihr Vaterland unbekannt.~~Fig. 6. Der geribbte Plectrophorus. (Plectrophorus costatus.)~~Der Englische Reisende Soledrac de Pilmont, hat dieses Thier auf den Molukkischen Inseln entdeckt. Das Thier ist zwei Zoll lang, und trägt am Ende des Körper seine Schaale, deren Gestalt die Figur genauer zeigt, als sie beschrieben werden kann. Hinter dem vordem Schild befindet sich gleichsam noch ein zweiter, lanzettförmig gestaltet. Beide Schilde sind röthlich, der übrige Körper ist von grünlicher Farbe, welche von schön hellrothen, Queerbändern unterbrochen wird.~~Fig. 7. Der Plectrophorus Orbigny's. (Plectrophorus Orbignyi)~~Merkwürdig durch eine runzliche, ziemlich harte Erhabenheit, die hinter und zwischen den obern Tentakeln sich zeigt, und einer grossen Warze, auf mehrern kleinen bestehend, gleicht. Das Schild geht fast bis zur Hälfte des Thiers, hat rechts am Rande einen Ausschnitt mit einer Oeffnung, in welcher das Luftloch und die Fortpflanzungsorgane liegen. Hinter dem Schilde beginnt ein schmales Band, von derselben Beschaffenheit, wie das Schild, das an seinem Ende die kleine Schaale trägt. Farbe von Schild und Schaale ist gelb, am übrigen Thier schmuzig weiss; seine Nahrung sind Würmer, und eine Art brauner Raupen, und sein Vaterland ist Teneriffa.~~188
Ad00341 08 039a/freVers. XXX. Vol. X. No. 37.
MOLLUSQUES REMARQUABLES.
Fig. 1. Limacelle lactée. (Limacellus lactescens.)
Les organes de la génération qui se trouvent séparés dans le même individu, éloignent cet animal du genre des limaçons (limax). C'est à cause de la grande ressemblance que se trouve avoir la seule espèce qui soit connue jusqu'ici, avec le genre Limax, que Blainviile lui a donné le nom de limacella. Elle n'a pu être décrite que sur des exemplaires qui te trouvent dans les musées britanniques, où on les conserve dans l'esprit de vin Le corps entier, qui est parsaitement lisse, e=t d'un blanc uniforme et l'on pre-sume qu'elle habite les Antilles.
Fig. 2. Onchydium de Buchanan. (Onchydium typhae [Buchanan.])
Le Docteur Buchanan a découvert ce mollusque, qui depuis cette époque n'a été l'objet d'aucune observation. 11 n'est pas hermaphrodite, puisque les organes générateur, mâles et femelles, ne se trouvent pas réunis dans le même individu. Il a été jusqu'à présent impossible de découvrir les signes extérieurs distinctifs des divers sexes, qui ne peuvent être seisis que pendant l'acte de l'accouplement. Cet animal vit sur le lypha elepliuntina du docteur Hoxbourgh. U a le dessus d'un verd noirâtre et le dessous jaune.
Fig. 3. Onchydium de Sloane. (Onchydium Sloani)
Cet ar.imal est décrit par Sloane dans l'histoire naturelle de Jamaïque. Ily est aussi figuré. Selon la description le dessus est blanchâtre ou d'une couleur -cendrée avec de taches noires. Il vit des herbes et la patrie est la Jamaïque.
Fig. 4. Le Veromcellus lisse. (Veronicellits laevis.)
Ce genre de Mollusques, se distingue des autres, 1) par le commencement d'une coquille calciforme, placée à la partie poslérieiire du bouclier, 2) par le pied qui est partout dépassé par le dernier, 3) par l'cuverture de la cavité bronchiale, placée au côté droit et sur le bord inférieur du bouclier, ainsi que par les organes générateurs réunis et ayant leitr orifice à la base du tentacule dr it. Blainviile a non seulement donné un nom à cet animal, qui est d'un sauve blanchâtre, mais il est aussi le premier qui l'ait décrit d'après un exemplaire qui existe dans le musée de la Grande-Bretagne.
Fig. 5. Le Plectrophore à cornes. (Plectrophorus corninus.)
Ce genre, se distingue par un petit corps testacé que l'animal porte sur la partie postérieure de son corps. Jl est d'une forme parfaitement conique saillante en dehors, et l'ouverture est ovale. Le jaune est la couleur de cette espèce dont on ne connoît pas la patrie.
Fig. 6. Le plectrophore à côtes. (Plectrophorus costatus.)
Le voyageur anglois Soledrac de Pilmont a découvert aux Molluques cet animal, qui a 2 pouces de long et traîne à l'extrémité lïii corps une espèce de test, dont notre figure représente beaucoup mieux la forme qu'on ne sauroit la décrire. Derrière le premier bouclier, il s'en trouve pour ainsi dire, un second lancéolé. Les deux boucliers sont rongeàtres et le reste du corps est d'un vert entrecoupé de bandes transversales d'un beau rouge olair.
Fig. 7. Le Plectrophore d'Orbigny. (Plectrophorus Orbignyi.)
Il est remarquable par une éminence ridée et assez dure, placée derrière et entre les tentacules supérieurs et semblable à une grosse verrue, composée d'une quantité de petites. Le bouclier couvreprès de la moitié du corps et a à droite sur le bord une échancrure avec un orisice, dans lequel se trouvent le trou respiratoire et les organes générateurs Derrière le bouclier est une bande étroite de la qualité du bouclier, laquelle porte à son extrémité la petite coquille. Le bouclier et la coquille sont jaunes et le reste du corps de l'animal est d'un blanc sale. Ce mollusque se nourrit de vers et d'une espèce de chenilles brunes et habite Ténériffe.
Ad00341 08 040aFig. 1. Der Adlerfarren. (Pteris Aquilina L.).~~Dieses, in unsern, zumal ausgebauenen Wäldern, und an sonnigen Stellen der Berge, in ganz Europa nicht seltene Farrenkraut, fällt durch seine beträchtliche Grösse bald in die Augen, und kann vielleicht das grösste aller Teutschen Farrenkräuter genannt werden. Auf einer dicken, schwarzgelben, und sehr tief in die Erde eindringenden, kriechenden Wurzel, erheben sich einzelne, ellenhohe, ja eine Länge von fünf Fuss erreichende, harte, gefurchte, zähe Strünke, oft von der Dicke eines kleinen Fingers, glatt, steif, von strohgelber Farbe. Sie breiten sich in ein flaches Laub aus. Der, bis anderthalb Ellen breite Wedel, hat eine blassgelbgrüne Farbe; das Laub selbst ist ziemlich steif, trocken und hart. Längs der ganzen Einfassung der Blätter biegt sich der Rand nach unten um, und bildet dadurch einen Saum, welcher die Blüthe verhüllt, daher der Name Pteris oder Saumfarren. Unter dieser Einfassung erblickt man den Saamen, als eine Menge kleiner Körner. In der Regel pflanzt sich dieses Farrenkraut nicht durch denselben fort. Schneidet man den untern Stengel, oder auch die Wurzel queer durch, so erblickt man zwei, sich schlängelnd biegende Linien, welche nicht übel den doppelten Adler, auch wohl, je nachdem man schneidet, die Buchstaben J.C. (Jesus Christus) darstellen; daher nicht nur der erstere Name, sondern auch noch der andere: Christwurzel. Es dient an manchen Orten zur Streu, zum Ausstopfen der Kissen, auch wohl zur Feuerung. Wegen seiner adstringirenden Kraft, dient es auch zur Gärberei, oder, als Surrogat der ächten Farrenkrautwurzel, gegen den Bandwurm. Vorzüglich wichtig ist sie zur Potaschenbereitung.~~Fig. 2. Das Engelsüss. (Polypodium vulgare L.).~~Man nennt dieses, in ganz Europa, und so auch Teutschland, in bergigen Wäldern in Felsenritzen, oder an altem Gemäuer nicht seltene Farrenkraut, auch wildes Süssholz, Punktfarren, Baum- oder Eichenfarren. Die Wurzel ist von der Dicke einer Gänsespule, knotig und mit braunen Schuppen bedeckt. Nach oben erheben sich auf ihr einfache, halbgefierdert Wedel, nicht viel grösser, als auf der Abbildung vorgestellt sind, auf einem kurzen Stiele. Sie sind glatt, geädert und schön grün. Die Rückseite ist mit schönen, gelbbraunen, runden Häufchen von Saamen, jedes ungefähr von der Grösse eines Senfkornes, besetzt, und diese haben keine Schleier, sondern stehen nackt, wodurch die Gattung Polypodium ihren Charakter erhält. Die Saamenkapsel reisst endlich in die Queere, und schüttet ihren zarten, nierenförmigen Saamen aus, dessen eine Pflanze, nach Lindsay's Berechnung, mehr als 60 Millionen enthalten kann. Die Wurzel dieses Farrenkrautes schmeckt herb, aber zugleich sehr süss, und wird häufig statt des Süssholzes benutzt. -~~188
Ad00341 08 040a/frePlantes. CLXVI. Vol. X. No. 38.
HERBAGES REMARQUABLES.
Fig. 1. La Pteride aquiline. (Pteris Aquilina.)
Cette fougère, assez commune dans toute l'Europe, abondante dans nos forêts et surtout dans celles où l'on a fait des coupes récentes, ainsi que sur les montagnes exposées au soleil, se fait remarquer par sa-hauteur considérable et doit peut-être passer pour la plus grande des fougères;d'Allemagne. Il sort de la racine, qui est rampante, épaisse, d'un jaune noir, et qui pénètre très-avant dans la terre des tiges isolés, coriaces, sillonnés, durs, d'une, aune et même quelquefois de 5 pieds de haut, souvent de la grosseur du:petit doigt» lisses, roides et couleur de paille, qui forment en s'étendant un feuillage plat qui, large de o pieds, est d'un vert - jaune pâle, sec, dur et assez roide. Le long de la bordure des feuilles, le bord se recourbe en dessous et forme par là un ourlet, qui cache la sleur, ce qui lui a fait donner le nom de Pteris ou fougère à ourlet. On apperçoit au-dessous du rebord la Semence, qui consiste en une quantité de petites graines, mais en général ce n'est pas par celle-ci que. cette'fougère se propage. Quand on coupe en travers la tige insérieure ou même la racine, on apperçoit deux lignes, qui serpentent et figurent assez bien la doubla aigle et même, suivant qu'on fait l'incision, les lettres J. C. (Jésus- Christ); ce' qui lui a fait donner encore le nom de racine de JésusChrist. En plusieurs endroits on l'emploie en litière, ou combustible et eu bourre. Sa vertu astringente la rend propre h la tannerie y et à, défaut de la véritable racine de sougèïe, on la donne contre le ver solitaire. Elle est surtout très-importante pour la préparation de la potasse.
Fig. 2. Le Polypode vulgaire dont les racines sont appelées réglisse des bois. (Polypodium vulgareL.)
Cette fougère, assez commune en Europe, qui croît dans les forêts montagneuses, dans les fentes, àes rochers et sur les vieux murs, se nomme aussi réglisse sauvage. La racine, de la grosseur d'une plume d'oie, est noueuse et recouverte d'écaillés brunes. Il en sort des frondes simples à demi pennés, qui ne sont guère plus gros qu'ils le sont sur notre planche,, et qui sont portés par une tige assez courte. Ils sont unis, veinés et d'un beau vert. Le dos est parsemé de très-jolis petits monceaux de semences, qui sont ronds et d'un brun jaunâtre, dont chacun peut avoir la grosseur d'un grain de moutarde. Privés de voile, ils sont à hu, ce qui fait que le genre de Polypodium acquiert son caractère. La capsule, qui se fend ensin en travers, répand ses semences sines et réniformes, qui, d'après le calcul de Lindsay, dépassent le nombre de 60 millions. La racine de cette fougère est d'un goût acre, mais à la fois très-doux, et s'emploie souvent à la place de la réglisse.
Ad00341 08 041aDie Abbildung rechts stellt das Innere der Kirche des heiligen Grabes zu Jerusalem dar, die Abbildung links, den Eingang zum heiligen Grabe.~~Bekanntlich brannte die Kirche des heiligen Grabes, mit vielen Denkmählern der Vorzeit und der aus Periode der Kreuzzüge, am 12. September 1807 ab; doch verschonte das Feuer die meisten Pfeiler der äussern Mauern. Die Griechen brachten Summen zusammen und bauten, die Kirche des heiligen Grabes wieder auf; indess sieht man auf den Kupfern des Prachtwerks: "Reise des Grafen Forbin nach der Levante", dass das Aeussere der Kirche des heiligen Grabes, namentlich Mauern und äussere Strebepfeiler, keinesweges ganz wieder hergestellt wurden. Der neue Dom der innern Vorkirche ruht auf 36 Pfeilern und ist, wie im Römischen Pantheon, oben offen. Die Pfeiler sind durch Arkaden mit einander verbunden und bilden im Halbzirkel Tribunen, welche verschiedenen christlichen Secten zu ihren Andachtsübungen dienen. Die ehemals als Denkmähler des Ritterthums glänzenden Grabmähler der Könige von Jerusalem, Gottfried und Baiduin v. Bouillon, sind durch den Brand, aber nicht, wie man fälschlich vorgab, durch Scheelsucht der Griechischen Geistlichen, vernichtet worden.~~Aus der Kirche steigt der Pilger hinab in ein Felsengewölbe, wo man den Gläubigen, in einem Felsenspalt hinter einem Gegitter, die Marterinstrumente, welche bei Christi Kreuzigung gebraucht worden seyn sollen, zeigt. Das Grab selbst, dessen äussere Abbildung auf unserer Platte sich links befindet, ist vor der Verwüstung der äussern Luft durch ein reiches farbiges Gezelt von Sammet geschützt; reiche Lampen brennen hier beständig.~~Das heilige Grab an sich ist ein niedriger Altar von Marmor, 7 Fuss lang, 2 1/2 Fuss breit; ein Gemälde im Innern, über dem heiligen Grabstein, stellt den auferstandenen Heiland vor.~~188
Ad00341 08 041a/freMélanges. CCLXVI. Vol. X. No. 39.
LE ST. SÉPULCRE DE JÉRUSALEM.
Notre planche figure à droite l'intérieur de l'église du St. Sépulcre de Jérusalem, et à gauche l'entrée du St. Sépulcre.
Il est connu que le 12. Septembre 1807 l'église du St. Sépulcre brûla avec plusieurs monuments de l'antiquité et du tems des croisades; cependant la plupart àes piliers des murs extérieurs furent épargnés. Les Grecs ayant amassé de grandes sommes, rebâtirent cette église; néanmoins on voit par les planches du superbe ouvrage: "Voyage du comte Forbin dans le Levant," que le dehors de l'église, et nommément les murs et les pilastres extérieurs n'ont pas été entièrement réiablis. Le nouveau dôme du parvis intérieur repose sur 36 colonnes, et comme le panthéon de Rome, il est ouvert par en haut. Les colonnes réunies erîtr'elles par des arcades, forment en demi cercle des tribunes, affectées aux différentes sectes chrétiennes, qui y font leurs prières, Les magnifiques tombeaux des rois de Jérusalem, Geoffroi et Beaudoin de Bouillon, célèbres monuments de la chevalerie, ont été détruits par l'incendie, mais non pas, comme on l'a dit à tort, par la jalousie des prêtres grecs.
Le pélerin descend de l'église dans un souterrain pratiqué dans le roc, où l'on montre aux fidèles dans une fente du roc et derrière une grille les instruments, qui doivent avoir servi à crucifier Jésus-Christ. Le tombeau lui-même, dont les dehors sont figurés, sur notre planche à gauche, est à couvert des intempéries de l'air par une riche tente de satin de couleur. Des lampes très-riches y sont constamment allumées.
Le St. Sépulcre en lui-même est un autel de marbre, assez bas, de 7 pieds de long, sur 2£ de large; un tableau placé dans l'intérieur au dessus de la pierre sépulcrale représente le sauveur ressuscité.
Ad00341 08 042a

Verm. Gegenst. CCLXVII. Bd. X. No. 40.

MERKWÜRDIGE KLÖSTER IN PORTUGAL.

Diese Tafel zeigt einige Klöster in Portugal, welche durch ihre Lage und sonderbare Beschaffenheit die Aufmerksamkeit der Reisenden auf sich gezogen haben.

Das obere Bild zeigt das Kloster bei Cintra, auf dem höchsten Gipfel des Felsen von Lisboa und Estremadura, wohin ein steiler, im Zigzag angelegter Weg führt, und wo man eine sehr weite Aussicht hat. Das Kloster wurde von Mönchen nach der Regel des heil. Hieronymus bewohnt.

Das untere Bild zeigt das sogenannte Korkkloster, was von dem oben dargestellten nicht über eine Stunde entfernt ist, und von Franciscanern bewohnt wurde, welche, um sich in ihren kleinen, in und unter den Felsen eingegrabenen, Zellen vor Feuchtigkeit zu sichern, dieselben mit Kork ausgekleidet hatten.

188
Ad00341 08 042a/freMélanges. CCLXVII. Vol. X. No. 40.
COUVENTS DU PORTUGAL TRÈS-REMARQUABLES.
Cette planche représente quelques couvents du Portugal, qui ont sixé l'attention des voyageurs tant par leur situation que par les propriétés singulières qui les caractérisent.
La figure supérieure représente le couvent de Cintra situé sur le plus haut faîte du rocher de Lisboa et d'Estremadure, où l'on jouit de la perspective la plus vaste et la plus délicieuse. Pour arriver au monastère, on avoit pratiqué un chemin qui quoique en zig-zag ne laissoit pas d'être assez roide. Ce couvent étoit habité par des moines de l’ordre de St. Ierôme.
La figure inférieure représente le soi-disant couvent de liège, qui ne se trouve qu'à une lieue du précédent et qui étoit habité par des Franciscains, qui pour se préserver de toute humidité dans leurs petites cellules creusées dans et sous le roc, étoient obligés de les doubler de liège.
Ad00341 08 043aDie auf vorliegender Tafel abgebildeten zwei Katzen-Arten sind neue, auf der Insel Java gemachte Entdeckungen des berühmten Englischen Naturforschers, D. Horsfield.~~Fig. 1. Die Javanische Katze. (Felis Javanensis.)~~Diese Art gehört zu jener Abtheilung des Katzengeschlechts, welche sich durch mindere Grösse, ziemlich hohe Beine und einen etwas kürzeren Schwanz, vornehmlich auch dadurch, dass sie nur drei Backenzähne in jedem Kinnbacken hat, von den andern unterscheidet. Ihre Hauptfarbe ist ein grauliches Braun, welches am Leibe, am Halse und an den Gliedern eine feine Mischung von Grau in verschiedenen Schattirungen zeigt. Die obern Theile sind dunkler gefärbt und neigen sich in's Schwärzliche. Von der gemeinen Hauskatze, mit der sie viel Aehnlichkeit hat, unterscheidet sie sich doch durch schlankeren Leib, und besonders durch die kleineren Ohren und ihre Entfernung von den Augen. Letztere stehen mehr vorwärts am Kopf, als bei andern Arten. Die ersteren sind rund und klein; an ihrer vorderen Basis steht ein dicker Haarbüschel.~~Die Grösse der Javanischen Katze ist, ohne den Schwanz, 1 Fuss 11 Zoll Englisch Maass. Sie wird überall auf der Insel in den grossen Wäldern gefunden, wo sie aber den Tag über in hohlen Bäumen verborgen bleibt. Gezähmt werden kann sie gar nicht. Bei'm Ueberfallen des Geflügels soll sie grösse List beweisen, und die Stimme desselben nachahmen.~~Fig. 2. Die schlanke Katze. (Felis gracilis.)~~Ein verzüglich schönes Thier, welches schmächtiger Leib, spitziger Kopf und scharfe Schnautze, langer, dicker Schwanz und schmächtige, seine Füsse sehr auffallend characterisiren. Der Leib ist in der Länge dem der Hauskatze ziemlich gleich, aber der weit schmächtigere Bau giebt ihm grössere Aehnlichkeit mit den Thieren auf der Viverra-Gattung. Der Pelz ist ausserordentlich weich und fein, und das Haar steht sehr dicht; der Schwanz hat fast die Länge des Körpers, ist vollkommen cylindrisch, voll und dick, mit seidenartigem Pelz bedeckt, und mit sieben Ringen gezeichnet.~~Die Grundfarbe von Kehle, Brust, Bauch, Rücken, Seile und Schwanz ist ein blasses Gelblichweiss, womit die tiefbraunen, dem Schwarzen sich nähernden Banden und Flecken, welche dasselbe durchziehen, einen ungemein schönen Contrast bilden. Ueberhaupt wird die Eleganz dieses Thieres von keiner einzigen Katzenart übertroffen. Es ist weit seltener, als die untere Fig. 1 aufgeführte Art.~~189
Ad00341 08 043a/freQuadrupèdes. CIII. Vol. X. No. 41.
ANIMAUX CARNASSIERS.
Les deux espèces de chats, figurées sur la planche ci-jointe, sont de nouvelles découvertes faites à l'île de Java par le célèbre naturaliste anglois Horsfield.
Fig. 1. Le chat de Java. (Felis javanensis.)
Cette espèce appartient à la famille du genre des chats, qui se distingue des autres par une moindre grandeur, des jambes assez élevées, une queue un peu courte et surtout parcequ'il n'a que 3 dents molaires dans chaque mâchoire. La couleur principale est un brun grisâtre, qui entremêlé de gris sur le corps, au cou et sur les membres, osfre diverses nuances. Les parties supérieures sont d'une couleur plus foncée et se rapprochent du rioir. Elle a une grande ressemblance avec le chat commun, néanmoins elle s'en éloigne par un corps plus élancé, ainsi que par la petitesse des oreilles, qui d'ailleurs sont à une plus grande distance des yeux. Ces derniers sont plus sur le devant de la tête que dans les autres espèces. Les premières sont rondes et petites, et il se trouve à la base antérieure une grosse.tousfe de poils. Le chat de Java a, mesure d'Angleterre, 1 pied et 11 pouces de long, sans y comprendre la queue. On le trouve dans toutes les grandes forêts de cette ilej il se tient pendant le jour caché dans les arbres creux, et ne peut être apprivoisé. On prétend qu'il fait usage de beaucoup d'astuce pour prendre la volaille et qu'il en imite la voix.
Fig. 2. Le chat grêle. (Felis gracilis.)
Animal d'une rare beauté, caractérisé par son corps élancé, sa tête pointue son museau aigu, par sa queue longue et grosse, et par ses pattes grêles et minces. Quant à la longueur le corps ressemble assez à celui du chat commun, mais par la conformation grêle de celui-ci, il a plus d'analogie avec lès animaux du genre des Viverres. La fourrure est extrêmement douce et fine et le poil en est trèsserré. La queue, dont la longueur égale à peu près celle du corps, est parsaitement cylindrique, couverte d'une sourrure soyeuse épaisse et ornée de sept anneaux.
Le fond de la couleur de la gorge, de la poitrine, du ventre, du dos, des eûtes et de la queue est un blanc jaunâtre pâle, qui foi-me le plus charmant contraste avec les bandes et taches d’un brun foncé approchant du noir, dont la fourrure est parsemée. Il n'est en général aucune espèce de chat, qui surpasse en élégance celle-ci, qui d'ailleurs est beaucoup plus rare que celle que nous avons décrite No. 1.
Ad00341 08 044aDiese Tafel zeigt uns fünf Arten der kleinsten Europäischen Vögel. Die meisten halten sich gern in Rohr und Binsen aus, singen artig und sind Wandervögel. Einige derselben bewohnen indess auch Wälder.~~Von den Goldhähnchen haben wir in Europa zwei Arten:~~Fig. 1. Das gemeine Goldhähnchen. (Sylvia regulus)~~Diess nur 3 1/2 Zoll lange Vögelchen, hat den Rücken olivengrün, die Flügel schwarz mit zwei weissen Streifen, auf dem Kopfe eine orangegelbe Haube, an der Seile mit einem schwarzen Strich beglänzt, und der Untertheil des Körpers aschgrau.~~Fig. 2. Das dreibändige Goldhähnchen. (Sylvia ignicapilla.)~~Kommt mit dem vorigen in vieler Hinsicht überein, unterscheidet sich aber auch, und vorzüglich durch drei Binden auf den Wangen, von denen eine schwarz und zwei weiss sind. Beide halten sich in Nadelhölzern auf; dagegen liebt das erstre mehr die Spitzen hoher Baume und zieht truppweise einher, das letztre wandert mehr paarweise durch niedrige Büsche. Beide sind lange für eine und dieselbe Art gehalten worden, allein schon ein Blick auf unsre Tafel zeigt, dass sie sich wesentlich von einander unterscheiden. Beide bauen ein kugelrundes Nest in die Spitzen der Fichten, und nähren sich von Gewürm, das sie im Winter oft kümmerlich genug zusammensuchen müssen.~~Fig. 3. Der Sardinische Sänger. (Sylvia Sarda (Marmora))~~ist erst neuerlich beschrieben worden, obgleich er in Sardinien gemein ist. Sein Gefieder ist bräunlicht- und bläulicht-grau; Augen roth, Schnabel und Füsse gelblich. Er bewohnt indess nur unbebaute einsame Gegenden, daher er in manchen Distrikten Sardiniens gar nicht gefunden wird. Seine Nahrung besteht in kleinen Insecten und Gewürm.~~Fig. 4. Der sperlingsartige Sänger. (Sylvia passerina)~~hat einen aschgrauen Kopf und Hals, braungrünen Rücken, Untertheil des Halses, der Brust und Seiten röthlich; der Unterleib weiss, Schnabel und Fuss gelb. Er wird in den Ebnen Italiens, Spaniens und Portugals häufig angetroffen.~~Fig. 5, Der Natterer-Sänger. (Sylvia Nattereri)~~mit graubraunen Scheitel und Nacken, etwas dunklern Rücken, Flügel und Schwanzfedern dunkelaschgrau, hellgrün gesäumt, lebt gleichfalls in Spanien und Italien, und nährt sich, wie alle Arten seines Geschlechts, von Insecten.~~189
Ad00341 08 044a/freOiseaux. CVI. Vol. X. No. 42.
OISEAUX CHARMANTS ET RARES INDIGÈNES À L'EUROPE ET À L'ALLEMAGNE.
Cette planche figure 5 espèces des plus petits oiseaux de l'Europe. La plupart d'entre eux se plaisent dans les joncs et roseaux, chantent agréablement et sont oiseaux de passage. Cependant il y en a quelques-uns, qui habitent les forêts. Nous avons en Europe deux espèces de roitelets huppés.
Fig. 1. Le roitelet. (Sylvia regulus.)
Ce petit oiseau de 3 1/2 pouces de long a le dos couleur d'olive, les aîles noires et ornées de deux bandes blanches, une huppé couleur aorange, bordée latéralement par une ligne noire et le dessous du corps est gris de cendre.
Fig. 2. Le roitelet à trois bandes. (Sylvia ignicapilla.)
Quoique assez ressemblant au précédent, il s'en éloigne surtout par les trois bandes sur les joues, dont une noire et deux blanches. Ils séjournent l'un et l'autre dans les bois sapins, mais le premier préfère le sommet des arbres élevés et ne marche que par compagnies, pendant que l'autre ne voyage que par paire dans les bocages. On a cru longtems qu'ils etoient de la même espèce, mais un seul coup-d'oeil sur notre planche sussit pour se convaincre qu'ils diffèrent essentiellement. Ils construisent l'un et l'autre un nid sphéroïde sur la sommité des pins et se nourrissent de vers, qu'ils ne trouvent que très-difficilement en hiver.
Fig. 3. Bec fin Sarde. (Sylvia Sarda [Marmorn]).
Quoique cet oiseau soit indigène à l'île de Sardaigneil n'a été décrit, que tout récemment. Le plumage est d'un gris brunâtre et bleuâtre; les yeux sent rouges et les pattes, ainsi que le bec, jaunâtres. Il n'habite au reste que des contrées incultes et solitaires, aussi ne le trouve-t-on pas dans quelques districts de cette île. Sa pâture consiste en insectes et en vers.
Fig. 4. Bec fin passerinette. (Sylvia passerina.)
La tête et le cou sont gris de cendre, le dos d'un vert-brun, le dessous du cou, la poitrine et les côtés rougeâtreSj, le bas-ventre blanc, le bec et les pattes jaunes. Il est commun dans les plaines de l'Italie, de l'Espagne et du Portugal.
Fig. 5. Bec fin Natterer. (Sylvia Nattereri.)
Le sommet de la tête et la nuque sont d'un brun-gris, le dos un peu plus soncé, les aîles et les plumes caudales sont d'un gris de cendre soncé et bordées d'un vert clair. Il vit également en Espagne et en Italie, où il se nourrit, comme toutes les espèces de ce genre, d'insectes.
Ad00341 08 045aDie bunten Fische, die wir auf dieser Tafel erblicken, gehören sämmtlich zu der grossen Abtheilung der Grätenfische.~~Fig. 1. Der segeltragende Oligopode, (Oligopodes veliferus. Lacépède)~~durch seine ungeheueren After- und Rückenflossen kenntlich, hat daher den Namen erhalten. Sonst glaubte man, er könne sich jn die Luft erheben; allein hiezu können ihm seine grossen Flossen, da sie nicht auf der Seite sitzen, gar nicht behülflich seyn, und diese Meinung ist also falsch. Die Farbe des Körpers ist silberweiss, die der Flossen braun, und die Rücken- und Afterflossen sind dabei mit blauweissen Flecken übersäet. Die Augen goldfarbig. Er wird in dem Indischen Ocean angetroffen.~~Fig. 2. Der schwarze Leptopode. (Leptopodes ater)~~findet sich in den Gewässern um Nizza und wagt sich fast nie auf dem Schlamme hervor, in welchem er sich auf dem Meeresgrunde fortwährend unter Felsen aufhält. Die Farbe ist violettschwarz, die Flossen dunkler. Sein Fleisch wird nicht geschätzt.~~Fig. 3. Das Sechsauge. (Novacula pentadactyla)~~bewohnt die Flüsse Chinas und einiger Tadeln des Indischen Meers und ist für jene Gegenden das, was für uns der Stockfisch; indem man ihn, wegen seines wohlschmeckenden Fleisches, trocknet und einsalzt. Er ist in jenen Gegenden sehr häufig und wird gewöhnlich 3 Fuss lang. Die Farbe ist oben braun, unten gelblichweiss, silberglänzend, das Auge gelb. Auf jeder Seite stehen hinter dem Kopfe, ein gelber, schwarzer und drei blaue Punkte. Die Rükken- und Schwanzflossen sind blaulich, die übrigen Flossen orangefarben mit violettem Rande.~~Fig. 4. Der gefleckte Stutzkopf, (Coryphaena Hippuris)~~bietet, so lange er lebt, ein unbeschreiblich schönes, schwer zu beschreibendes Farbenspiel dar. Die Grundfarbe ist oben das schönste Gold, mit grün und blaulichten Schimmern und mit einer Menge goldgelben Flecken gehoben, die Flossen gelb. Er stellt vorzüglich, den fliegenden Fischen nach. Diese suchen ihm durch Emporflattern zu entgehen; allein er empfängt sie an der Stelle, wo sie wieder in ihr Element fallen, mit offenem Rachen. Seine Gefrässigkeit ist so gross, dass er Alles, was von den Schiffen herabgeworfen wird, unbesehen verschlingt, und so wird er oft ein, Opfer seiner Untugend, da man ihm wegen seines schmackhaften Fleisches nachstellt. Man trifft ihn fast in allen nicht zu kalten Meeren in Menge an, und er erreicht eine Länge von 4 bis 5 Fuss.~~Fig. 5. Der blaue Stutzkopf. (Novacula coerulea)~~ist der einzige ganz blaue Fisch und bewohnt die wärmern Meere an der Ostküste Americas. Er erreicht eine Länge von 2 Fuss. Ueber seine Naturgeschichte ist noch wenig ausgemittelt.~~189
Ad00341 08 045a/frePoissons. LVIII. Vol. X. No. 43.
JOLIS POISSONS.
Les poissons de plusieurs couleurs figurés sur notre planche font tous partie de la division des poissons osseux.
Fig. 1. Oligopode vélifère. (Oligopodes veliferus. Lacepède.)
Ce poisson est si bien caractérisé par ses monstrueuses nageoires anales et dorsales, qu'on ne peut lui refuser le nom de vélifère, et l'on croyoit même autrefois, qu'il pouvoit s'élever dans l'air, mais ses immenses nageoires, n'étant point latérales, ne peuvent lui être d'aucune utilité à cet égard, et par conséquent cette opinion est erronnée. Le corps est d'un blanc argentin, les nageoires sont brunes, et les dorsale et anale sont outre rela parsemées de taches d'un blanc bleuâtre. Les yeux sont couleur d'or. Ce poisson se trouve dans l'océan des Indes.
Fig. 2. Le Leptopode noir (Leptopodes ater.)
se trouve dans les parages de Nice, et n'ose presque jamais sortir de la fange, où il se tient constamment au fond de la mer sous des rochers. Son corps est d'un noir violet, mais les nageoires sont plus foncées. On ne fait aucun cas de sa chair.
Fig. 3. Rason à cinq taches. (Novacula pentadactyla.)
Ce poisson, qui habite les rivières de la Chine et de quelques îles de la mer des Indes, ofsre à ces contrées les avantages que nous retirons de la morue, car on le sèche et le sale comme celle-ci. Il abonde dans ces lieux, où il a souvent 8 pieds de long. La partie supérieure du corps est brune, l'inférieure d'un blanc jaunâtre et d'un éclat argentin, l'oeil jaune. Il se trouve en arrière de la tête ei de chaque côté 5 points, dont un jaune, un noir et trois bleus. Les nageoires dorsale et caudaie sont bleuâtres, et toutes les autres couleur d'orange avec un liseret violet.
Fig. 4. La Dorade. (Coryphaena Hippuris.)
Le jeu des couleurs de ce poisson est magnifique et ne peut se décrire. La couleur dominante de la partie supérieure du corps c'est le plus beau jaune entremêlé d'étincelles vertes et bleuâtres et d'un quantité de taches jaunâtres. Les nageoires sont jaunes. Ce sont surtout les poissons volants qu'il attaque et qui cherchent à lui échapper en voltigeant, mais il les reçoit la gueule l'eante à l'endroit où ils retombent dans leur élément. Sa voracité est telle qu'il dévore sans y regarder tout ce qu'on jette des vaisseaux; aussi n'est-il pas rare qu'en avalant l'hameçon il soit la victime de ce vice, parceque l'excellence de sa chair le fait beau« coup rechercher. On le trouve abondamment dans toutes les mers qui ne sont pas trop sroides et sa longueur est de 4 à 5 pieds.
Fig. 5. Rason bleu. (Novacula caerulea.)
C'est le seul poisson qui soit tout-à-fait bleu; il habite les mers chaudes sur la côte orientale de l'Amérique, et a près de 2 pied« de long. Quant à son histoire naturelle, elle est encore très peu connue.
Ad00341 08 046aMan hat in neuern Zeiten dem Studium der Wolken besondere Ausmerksamkeit gewidmet, und aus der Form derselben auf die Beschaffenheit derselben und der Atmosphäre und die wahrscheinlich bevorstehende Veränderung derselben zu schliessen gelernt. Es giebt drei einfache und bestimmte Modificationen der Wolken, welche folgendermaassen benannt und definirt werden:~~a) Cirrhus oder Federwolke; eine Wolke, die einer Haarlocke oder Feder gleicht. Parallel sich schlängelnde oder divergirende Fasern, die auf einem dichten Theile der Wolke entspringen, breiten sich nach allen Richtungen hin aus. Sie zeigt sich am deutlichsten und häufigsten vor Stürmen, und wenn sie dem Winde gegenübersteht, oder sich eine Gruppe von Federwolken am Horizonte zeigt, so setzt sich der Wind oft nach der Seite um, wohin die Endpunkte zeigen. Anzeigen eines nahen Regens, sind ihre horizontalen Schichten, besonders die mit aufwärtsgehenden Streifen; schönes Wetter aber deuten die franzenähnlich herabhängenden an.~~b) Cumulus oder Haufenwolke; eine Wolke, welche sich von oben in dichten, convexen oder kegelförmigen Massen anhäuft. Ihre grösste Höhe erreicht die Haufenwolke meist Nachmittags mit der grössten Wärme. Sie behält ihren Charakter bis gegen Sonnenuntergang, wo sie mehr oder minder schnell abnimmt und verdünstet, so dass der Himmel dann wieder klar wird, wie am frühen Morgen. In den letzten Stunden ihrer Dauer durchläuft sie oft die aumuthigste Stufenfolge aller Farben.~~c) Stratus oder Schichtwolke; eine ausgebreitete, fortlaufende, horizontale Nebelschichte, die von unten anwächst. Wenig Tage im ganzen Jahre sind stiller und heiterer als die, wo der Morgen durch die Schichtwolke hervorbricht. Sie sind die lieblichsten Tage unseres Herbstes, eine Zwischenzeit der Ruhe zwischen den Aequinoctialwinden und den Winterstürmen.~~Es giebt noch zwei Modifikationen, welche Uebergänge zu bilden scheinen; diese sind:~~d) Cirrho-Cumulus oder fedrige Haufenwolke; ein vereintes System kleiner, runder, in Reihen geordneter Wolken. Diese Uebergangswolke macht einen sehr schönen Himmel. Deutliche Schichten schweben zuweilen in verschiedener Höhe, scheinen auf kleinem und immer kleinem Wolken zu bestehen, so weit das Auge sie in der blauen Fläche erkennt. Im Sommer ist diess am häufigsten der Fall, und sie sind dann die natürlichen Vorboten einer grössern Wärme.~~e) Cirrho-Stratus oder fedrige Schichtwolke; eine horizontale oder leichtgesenkte Schicht, die in der Mitte dichter ist, nach unten zu concav oder wellenförmig; Gruppen sowohl, als einzelne Wolken, haben diesen Charakter. Sie ist eine natürliche Anzeige von Abnahme der Wärme und von Wind und Regen. Bei diesen Zustande des Himmels bilden sich auch die Ringe um Sonne und Mond, so wie durch die zufälligen Durchschnitte Nebensonnen und Nebenmonde. Es ist fast immer schlechtes Wetter, was diese Erscheinung, so wie auch die eines Hofs um Sonne oder Mond, anzeigt.~~Endlich giebt es noch zwei Modifikationen von zusammengesetzter Art, nämlich:~~f) Cumulo-Stratus oder geschichtete Haufenwolke, gethürmte Haufenwolke; eine Wolke, in der die Bildung des Cumulus mit der des Cirrho-Stratus oder Cirrho-Cumulus vereint ist. Der Cumulus ist oben platt, und hängt über den untern Theil herab. Die gethürmte Haufenwolke herrscht gewöhnlich bei einem ganz umzogenen Himmel. An diesem bietet sie Erscheinungen dar, welche nicht leicht zu beschreiben sind. Sie giebt im Allgemeinen ein zweifelhaftes Prognostikon; doch wird nach ihrer Bildung am Morgen der Tag oft schön, wenn auch umwölkt, und wo die fedrige Schichtwolke zu ihrer Bildung beigetragen hat, folgen meist am zweiten oder dritten Tage starke Regenschauer.~~g) Nimbus oder RegenwoIke; eine dichte Wolke, die sich an ihrer obern Seite in eine Federwolke ausbreitet, und unten in Regen ausgeht. Der Ausdruck, Begenwolke, Nimbus, deutet eigentlich nichts Anderes an, als eben diesen umgekehrten Wolkenkegel, aus dem man einen plötzlichen örtlichen Schauer, es mag nun Regen, Schnee oder Hagel seyn (denn der Unterschied ist nicht wesentlich) herabfallen sieht. Da sie sich zu einer grossen Höhe in der Atmosphäre erhebt, so kann man sie auf einer Entfernung von vielen Stunden sehen, und ihr Prognostikon ist sehr zuverlässig.~~Auf Tafel CCLXVIII. zeigt das obere Bild uns 1. die Federwolke (cirrho) in verschiedenen Formen; 2. die fedrige Schichtwolke (cirrho-stratus) auf der Haufenwolke (cumulus) ruhend.~~Das untere Bild zeigt 3. die Federwolke (cirrhus) vor einem Gewitter; 4. die fedrige Haufenwolke (cirrho-cumulus vor einem Gewitter; 5. die Regenwolke (nimbus) von fedrigen Schichtwolken umgeben und Blitze von sich gebend, wodurch sie sich ihrer Elektricität entladet; 6. eine Reihe von Haufenwolken (cumulus, welche in geschichtete Haufenwolken übergeben, vor dem Gewitter.~~Verm. Gegenst. CCLXIX. Bd. X. No. 44 u. 45.~~NATURGESCHICHTE DER WOLKEN. (Fortsetzung von No. CCLXVIII.)~~Auf Tafel CCLXIX. sehen wir auf dem oberem Bilde: 1. u. 2. fedrige Schichtwolken (cirrho-stratus); 3. Federwolken (cirrhus), welche sich zusammenziehen;~~auf dem unteren Bilde: 4. Federwolken (cirrhus), in fedrige Schichtwolken übergehend; 5. Fedrige Schichtwolken (cirrho-stratus), Haufenwolken (cumulus) und geschichtete Haufenwolken (cumulo-stratus).~~Die beiden Tafeln CCLXVIII. u. CCLXIX. gewähren, sammt den dazu gehörigen Erläuterungen, einen recht lehrreichen Ueberblick der Hauptformen, unter welchen die Wolken am Himmel erscheinen, und der Bedeutung, welche sie den bisherigen Beobachtungen zufolge haben.~~189
Ad00341 08 046a/freMélanges. CCLXVllI. Vol. X. No. 44 et 45.
HISTOIRE NATURELLE DES NUAGES.
L'attention particulière qu'on a vouée de nos jours à l'étude des nuages a appris à juger, par leur forme, de leur propriété, ainsi que de celle de l'atmosphère et du changement vraisemblable que cette dernière doit éprouver.
Les nuages ont trois modifications fixes et simples dénommées et désinies ci- dessous,
a) Cirrhus ou nuage plumassé, nuage semblable à une boucle de cheveux ou à une plume. Des filaments, qui serpentent ou divergent parallèlement et qui sortent d'une partie dense du nuage, se déploient dans toutes les directions.
C'est avant l'orage que ce nuage est le plus distinct et le plus fréquent; et quand il se trouve opposé au vent ou qu'il se montre à l'horizon un groupe de cirrhus, il est assez ordinaire que le vent tourne du côté où se dirigent les points terminaux. Ses couches horizontales, surtout celles à bandes ascendantes annoncent une pluie prochaine; celles h franges pendantes marquent le beau tems.
b) Cumulus ou nuage amoncelé; nuage qui s'accumule par en haut, en masses denses, convexes ou coniques.
Ce nuage, qui parvient à sa plus grande hauteur dans la chaleur brûlante de l'après-midi, conserve son caractère jusqu'après le coucher du soleil, où il décroît et s'évapore plus ou moins vite,. de sorte que le ciel regagne toute la sérénité qu'il avoit à l'aurore. Il offre dans les dernières heures de son existence la plus agréable gradation de toutes les couleurs.
c) Stratus ou nuage à couches; couche nébuleuse horizontale large et prolongée, qui croit par en bas.
L'année entière offre peu de jours qui soient plus sereins et plus doux que ceux où l'aurore perce à travers ce nuage. Tels sont les jours délicieux de l'automne, qui forment l'intervalle de. calme entre les vents équinoxiaux et les ouragans de l'hiver.
On reconnoit encore deux modifications qui semblent servir de transition; ce sont:
d) Cirrho-cumulus; système combiné de petits nuages ronds et alignés.
Ce nuage de transition donne au ciel une beauté parfaite, et il n'est pas rare de voir planer, aussi loin que l'oeil peut les atteindre dans l'azur du firmament, à diverses hauteurs, des couches distinctes qui paroissent se composer de nuages, qui deviennent toujours plus petits. Ces couches, qui sont les avant-coureurs naturels d'une grande chaleur, sont très-sréquentes en été.
e) Cirrho-stratus; couche horizontale ou légèrement assaissée, plus dense daas sou milieu, etncave vers le bas ou ondoyante. Les groupes ont le même caractère que les nuages isolés.
Il annonce le vent, la pluie et la diminution de la chaleur. Lorsque le ciel est dans cet état; il se forme des cercles autour du soleil et de la lune, et ses coupes accidentelles produisent des soleils et des Lunes secondaires. Cette apparition annonce, comme celle d'un cercle autour du soleil et de la lune, presque toujours la pluie.
Il y a encore deux modisications d'une espèce composée; savoir:
f) Cumula stratus; nuage dans lequel la forme de cumulus est combinée avec celle de cirrho-stratus ou de cirrho-cumulus. Le cumulus, plat eu haut, dépasse la partie inférieure.
Le cumula-stratus abonde ordinairement par un tems très-couvert, et offre des phénomènes, dont la description est presque impossible. Son pronostic est en général incertain; néanmoins lorsqu'il s'est formé le matin, le jour devient souvent trèsbeau, quoique par un tems couvert, et lorsque le cirrho-stratus a contribué à sa formation, il est assez ordinaire que l'on reçoive le second ou le troisième jour de fortes averses.
g) Nimbus ou nuage de pluie; nuage dense, se prolongeant à sa partie supérieure en un Cirrhus et se dissolvant en pluie à l'inférieure.
L'expression nimbus n'offre autre chose que cette même quille de nuage en sens inverse, d où l'on voit tomber subitement en un endroit une averse, soit de pluie, de neige ou de grôle, car Id disférence est insignifiante. Comme il atteint dans l'atmosphère une hauteur considérable, on peut Fa-> percevoir à la distance de plusieurs lieues, et sou pronostic est certain. percevoir à la distance de plusieurs lieues, et sou pronostic est certain.
La figure supérieure de la planche CCLXVIII nous offre
1. le cirrhus tous différentes formes;
2. le cirrho-stratus reposant sur le cumulus.
La figure inférieure représente
3. le cirrhus avant l'orage;
4. le cirrhus-cumulus avant l'orage;
5. le nimbus entouré de cirrho-stratus et lançant des éclairs, par lesquels il se décharge de son électricité;
6. une ligne de cumulus passant à cumuls-stratus avant un orage.
Ad00341 08 047aMan hat in neuern Zeiten dem Studium der Wolken besondere Ausmerksamkeit gewidmet, und aus der Form derselben auf die Beschaffenheit derselben und der Atmosphäre und die wahrscheinlich bevorstehende Veränderung derselben zu schliessen gelernt. Es giebt drei einfache und bestimmte Modificationen der Wolken, welche folgendermaassen benannt und definirt werden:~~a) Cirrhus oder Federwolke; eine Wolke, die einer Haarlocke oder Feder gleicht. Parallel sich schlängelnde oder divergirende Fasern, die auf einem dichten Theile der Wolke entspringen, breiten sich nach allen Richtungen hin aus. Sie zeigt sich am deutlichsten und häufigsten vor Stürmen, und wenn sie dem Winde gegenübersteht, oder sich eine Gruppe von Federwolken am Horizonte zeigt, so setzt sich der Wind oft nach der Seite um, wohin die Endpunkte zeigen. Anzeigen eines nahen Regens, sind ihre horizontalen Schichten, besonders die mit aufwärtsgehenden Streifen; schönes Wetter aber deuten die franzenähnlich herabhängenden an.~~b) Cumulus oder Haufenwolke; eine Wolke, welche sich von oben in dichten, convexen oder kegelförmigen Massen anhäuft. Ihre grösste Höhe erreicht die Haufenwolke meist Nachmittags mit der grössten Wärme. Sie behält ihren Charakter bis gegen Sonnenuntergang, wo sie mehr oder minder schnell abnimmt und verdünstet, so dass der Himmel dann wieder klar wird, wie am frühen Morgen. In den letzten Stunden ihrer Dauer durchläuft sie oft die aumuthigste Stufenfolge aller Farben.~~c) Stratus oder Schichtwolke; eine ausgebreitete, fortlaufende, horizontale Nebelschichte, die von unten anwächst. Wenig Tage im ganzen Jahre sind stiller und heiterer als die, wo der Morgen durch die Schichtwolke hervorbricht. Sie sind die lieblichsten Tage unseres Herbstes, eine Zwischenzeit der Ruhe zwischen den Aequinoctialwinden und den Winterstürmen.~~Es giebt noch zwei Modifikationen, welche Uebergänge zu bilden scheinen; diese sind:~~d) Cirrho-Cumulus oder fedrige Haufenwolke; ein vereintes System kleiner, runder, in Reihen geordneter Wolken. Diese Uebergangswolke macht einen sehr schönen Himmel. Deutliche Schichten schweben zuweilen in verschiedener Höhe, scheinen auf kleinem und immer kleinem Wolken zu bestehen, so weit das Auge sie in der blauen Fläche erkennt. Im Sommer ist diess am häufigsten der Fall, und sie sind dann die natürlichen Vorboten einer grössern Wärme.~~e) Cirrho-Stratus oder fedrige Schichtwolke; eine horizontale oder leichtgesenkte Schicht, die in der Mitte dichter ist, nach unten zu concav oder wellenförmig; Gruppen sowohl, als einzelne Wolken, haben diesen Charakter. Sie ist eine natürliche Anzeige von Abnahme der Wärme und von Wind und Regen. Bei diesen Zustande des Himmels bilden sich auch die Ringe um Sonne und Mond, so wie durch die zufälligen Durchschnitte Nebensonnen und Nebenmonde. Es ist fast immer schlechtes Wetter, was diese Erscheinung, so wie auch die eines Hofs um Sonne oder Mond, anzeigt.~~Endlich giebt es noch zwei Modifikationen von zusammengesetzter Art, nämlich:~~f) Cumulo-Stratus oder geschichtete Haufenwolke, gethürmte Haufenwolke; eine Wolke, in der die Bildung des Cumulus mit der des Cirrho-Stratus oder Cirrho-Cumulus vereint ist. Der Cumulus ist oben platt, und hängt über den untern Theil herab. Die gethürmte Haufenwolke herrscht gewöhnlich bei einem ganz umzogenen Himmel. An diesem bietet sie Erscheinungen dar, welche nicht leicht zu beschreiben sind. Sie giebt im Allgemeinen ein zweifelhaftes Prognostikon; doch wird nach ihrer Bildung am Morgen der Tag oft schön, wenn auch umwölkt, und wo die fedrige Schichtwolke zu ihrer Bildung beigetragen hat, folgen meist am zweiten oder dritten Tage starke Regenschauer.~~g) Nimbus oder RegenwoIke; eine dichte Wolke, die sich an ihrer obern Seite in eine Federwolke ausbreitet, und unten in Regen ausgeht. Der Ausdruck, Begenwolke, Nimbus, deutet eigentlich nichts Anderes an, als eben diesen umgekehrten Wolkenkegel, aus dem man einen plötzlichen örtlichen Schauer, es mag nun Regen, Schnee oder Hagel seyn (denn der Unterschied ist nicht wesentlich) herabfallen sieht. Da sie sich zu einer grossen Höhe in der Atmosphäre erhebt, so kann man sie auf einer Entfernung von vielen Stunden sehen, und ihr Prognostikon ist sehr zuverlässig.~~Auf Tafel CCLXVIII. zeigt das obere Bild uns 1. die Federwolke (cirrho) in verschiedenen Formen; 2. die fedrige Schichtwolke (cirrho-stratus) auf der Haufenwolke (cumulus) ruhend.~~Das untere Bild zeigt 3. die Federwolke (cirrhus) vor einem Gewitter; 4. die fedrige Haufenwolke (cirrho-cumulus vor einem Gewitter; 5. die Regenwolke (nimbus) von fedrigen Schichtwolken umgeben und Blitze von sich gebend, wodurch sie sich ihrer Elektricität entladet; 6. eine Reihe von Haufenwolken (cumulus, welche in geschichtete Haufenwolken übergeben, vor dem Gewitter.~~Verm. Gegenst. CCLXIX. Bd. X. No. 44 u. 45.~~NATURGESCHICHTE DER WOLKEN. (Fortsetzung von No. CCLXVIII.)~~Auf Tafel CCLXIX. sehen wir auf dem oberem Bilde: 1. u. 2. fedrige Schichtwolken (cirrho-stratus); 3. Federwolken (cirrhus), welche sich zusammenziehen;~~auf dem unteren Bilde: 4. Federwolken (cirrhus), in fedrige Schichtwolken übergehend; 5. Fedrige Schichtwolken (cirrho-stratus), Haufenwolken (cumulus) und geschichtete Haufenwolken (cumulo-stratus).~~Die beiden Tafeln CCLXVIII. u. CCLXIX. gewähren, sammt den dazu gehörigen Erläuterungen, einen recht lehrreichen Ueberblick der Hauptformen, unter welchen die Wolken am Himmel erscheinen, und der Bedeutung, welche sie den bisherigen Beobachtungen zufolge haben.~~189
Ad00341 08 047a/freMélanges. CCLXIX. Vol. X. No. 44 et 45.
HISTOIRE NATURELLE DES NUAGES. (Continuation du No. CCLXVIII.)
La figure supérieure de la planche ci-jointe représente
1 et 2. le cirrho-stratus;
3. des cirrhus qui se rapprochent et s'amoncèlent;
et la figure inférieure
4, des cirrhus se perdant en des cirrho-stratus;
5. des cirrho-stratus, des cumulus et des cumulo-stratus.
Ces deux planches offrent, avec les explications nécessaires, un aperçu très-instructif des formes principales sous lesquelles les nuages paroissent au ciel, et des présages qu'on doit leur attribuer d'après les observations qui ont eu lieu jusqu'ici.
Ad00341 08 048aMit diesen wallfischähnlichen Thieren, deren die älteren Reisebeschreiber unter den Namen Meerfrauen, Meerjungfern, Seekühe, gedenken, und welche, auch zu der alten Fabel von den Sirenen Anlass gegeben haben mögen, ist man erst in den neueren Zeiten besser bekannt geworden, und auch jetzt fehlen immer noch zuverlässige Abbildungen, mit Ausnahme der, auf vorliegender Tafel abgebildeten zwei Arten. Sie werden mit den allgemeinen Namen Lamantins und Manati's, und von Cuvier mit dem der pflanzenfressenden Cetaceen bezeichnet.~~Fig. 1. Der Dugong. (Halicore cetana.)~~Auf den eisten Anblick gleicht der Dugong fast ganz dem Wallfische, doch ist bei ihm von Bauch-, oder Rückenflosse keine Spur da, und die äusserste Länge, von der man ihn bis jetzt gefunden hat ist zehn Fuss. Die Haut ist glatt, drei Viertel Zoll dick, oben hellblau, unten weisslich, und mit einigen zerstreuten Haaren besetzt. Die Brüste sind klein, und liegen unmittelbar unter den Flossen. Der Kopf ist verhältnissmässig klein. Die Oberlippe ist sehr gross, dick und queer abgestutzt, wie ein abgehauener Elephantenrüssel. Sie bildet eine dicke, für sich selbst bewegliche Schnautze. Der ganze Rüssel stellt einen gewölbten, unten ausgerandeten Halbmond vor, der die Oberkinnlade bedeckt. Aus letzterer treten zwei kurze Stosszähne hervor. Die Augen sind klein, convex, und haben ein drittes Augenlied. Die zwei Brustflossen sind dick und fleischig, am vordern Rande warzig, schwielig, und ohne alle Spur von Nägeln. Der ganze Körper ist rund, und verschmälert sich nach dem Schwanze hin. Der Schwanz ist breit und horizontal.~~Der Dugong lebt in den Ostindischen Meeren, vornehmlich an den Küsten von Sumatra. Während der Nacht, wo er sich durch sein schnaubendes Geräusch auf der Oberfläche des Wassers verräth, fängt man ihn mit Lanzen. Das Fleisch ist essbar, und gleicht im Geschmacke dem Kalbfleisch. Ausserordentlich gross ist bei diesen Thieren die Liebe der Mutter zu den Jungen, und wenn es gelingt, ein Junges zu fangen, so hat man die Mutter sicher mit in seiner Gewalt, weil sie dann bis an's Gestade folgt.~~Fig. 2. Der Manati. (Manatus Americanus).~~Der Manati, oder eigentlich Lamantin von Südamerika, erreicht bisweilen eine Länge von 15 bis 20 Fuss, und ein Gewicht von 80 Centnern. Der Körper ist länglich, und endet in eine ovale, verlängerte Flosse. Die Brustflosse ist schmäler, als bei'm Dugong, und hat Nägel. Die Nasenlöcher treten vorn an der Schnautze heraus. Die Haut ist mehr grau. Auch bei diesem Thier ist die Zärtlichkeit für seine Jungen sehr gross. Es trägt die zwei, die es zur Welt bringt, anfangs unter den Armen. Sein Fleisch und Speck wird ebenfalls gegessen. Am häufigsten findet man es im Amazonenflusse, im Orinoko, zu Surinam, Cayenne und auf den Antillen.~~190
Ad00341 08 048a/freMammifères. CIV. Vol. X. No. 46.
CÉTACÉS REMARQUABLES.
Ce n’est que de nos jours qu'on a acquis des connoissances plus précises à l'égard de ces animaux, mentionnés dans les anciennes rela-^ lions de voyage sous le nom de sirènes, vaches marines, et qui peut-être ont donné lieu -àl'antique fable des sirènes, et jusqu' à présent nous n'avons même que la représentation des deux animaux, figurés sur notre planche, qui soit fidèle. Ils sont désignés sous la dénomination générale de lamantins et manatis, et par Cuvier sous celle de Cétacés frugivores.
Fig. 1. Le Dugong. (Halicare cetacea.)
Au premier coup d'oeil, le Dugong ressemble presque parfaitement à la baleine, cependant il ne porte en lui aucune trace de nageoires ventrales ou dorsales, et la plus grande longueur qu'on puisse lui attribuer jusqu'ici n'en que de dix pieds. La peau, qui est lisse et parsemée de poils isoles, a trois quarts de pouce d'épaisseur. La partie supérieure est d'un bleu-clair et l'inférieure blanchâtre. Les mamelles sont petites et placées immédiatement au-dessous des nageoires. La tête est, proportion gardée, petite. La lèvre supérieure est très-grands, grosse et tronquée en travers, comme une trompe d'élephant coupée; elle forme un museau très-gros mobile à volonté. La trompe entière figure un croissant voûté, dont la partie insérieure est à rebords, couvrant la mâchoire supérieure, de la quelle sortent deux courtes dents à masque. Les yeux petits et convexes sont pourvus d'une troisième paupière. Les deux nageoires de la poitrine sont épaisses, charnues, couvertes de verrues au bord supérieur, calleuses et sans aucune trace d'ongles. Tout le corps est rond et s'amoindrit vers la queue. Cette dernière est large et horizontale.
Le Dugong vit dans les mers des Indes orientales et surtout sur les côtes de Sumatra. Comme son souffle bruyant le trahit quand il est sur la surface de l'eau, c'est la nuit qu'on le prend avec des lances. Sa chair, qui a le goût de celle du veau, se mange. La tendresse des femelles pour leurs petits est extraordinaire dans ces animaux, aussi, si l'on réussit à prendre un petit, est-on certain de se saisir de la mère, parcequ'elle suit alors jusqu'au rivage.
Fig. 2. Le Lamantin d'Amérique. (Manatus américaines.)
Le manati ou plutôt le lamantin de l’Amèrique méridionale a quelquefois de 15 à 20 pieds de long et pèse 80 quintaux. Le corps oblong se termine en une nageoire ovale et prolongée. La nageoire de la poitrine, moins large que celle du Dugong, est armée d'ongles. Les narines saillent sur le devant du museau. La peau est plus grise. La tendresse de ces animaux pour leurs petits est également très-grande, car ils portent sous les bras les petits qui viennent de naître. On se nourrit da leur chair et de leur lard. Ces animaux abondent le plus dans le fleuve des Amazones, dans l’Orinoqué, à Surinam, Cayenne et dans les Antilles.
Ad00341 08 049aFig. 1. Der rothhäubige Musasresser. (Musophaga Paulina.)~~Dieser Vogel, welcher an Gestalt und Grösse dem violetten Musafresser, B.B. IX. Bd. No. 6. sehr ähnlich, ist in Afrika zu Hause. Das ganze Gefieder ist kupfergrün, die erstern und mittlern Schwungfedern roth; eben so schön-roth ist die Haube, welche sich in die weissen Augenkreise verläuft; die Augen sind roth, der Schnabel gelb, die Füsse grünlichschwarz. Die Grösse ist die einer Haustaube. Er ist sanft und zutraulich, allein seine Gefrässigkeit unglaublich.~~Von dem Geschlechte der Toucans haben wir bereits einige Arten kennen lernen; jedoch ist die Naturgeschichte dieser Vögel, durch die Beobachtungen neuerer Reisenden mehr aufgeklärt worden, wesshalb wir hier einige Nachträge liefern. - Die Toucans leben in kleinen Gesellschaften von 6-10 Stück, fliegen langsam und schwerfällig, erreichen jedoch die Spitzen der höchsten Bäume, auf welchen sie sich fast beständig aufhalten. Nur dann kommen sie auf die Erde, wenn sie der Hunger dazu zwingt, und benehmen sich auf derselben äusserst ungeschickt. Ihre Nahrung, welche gewöhnlich aus Früchten und Insecten besteht, nehmen sie mit der Seite des Schnabels auf, werfen sie in die Höhe, lassen sie in den Schlund fallen, und schlucken sie ganz. Ist das Stück zu gross, so geben sie sich nicht die Mühe, es kleiner zu hacken, sondern lassen es liegen. In der Brutzeit werden indess diese Vögel so raubgierig, dass sie Vogelnester aller Art zerstören, und Eier und Junge verschlingen. Der sonderbare Schnabel derselben, hat schon in frühern Zeiten so viel Aufmerksamkeit erregt, dass man ihr Bild als ein Gestirn an den Himmel versetzt hat.~~Fig. 2. Der Toucan von Para, (Ramphastos Paraensis)~~ist nur 13 Zoll lang, der Schnabel 4 Zoll. Der Schnabel ist schwarz, an der Wurzel mit einer bläulichen Queerbinde; das Gefieder ist oben schwarz, mit verschiedenem Schiller; eben so sind der Unterbauch, die Seiten- und Schenkelfedern gefärbt. Steiss und Aster sind lebhaft roth, so wie die Unterbrust, welche durch eine schmale, gelblichweisse Binde von der orangefarbenen Oberbrust und Kehle getrennt ist. Der Augenkreis ist blassroth, die Füsse schwarz. Er lebt in Brasilien.~~Fig. 5. Der Azzara, (Ramphastos Azzara)~~misst 11 Zoll, der Schnabel 3 Zoll. Dieser ist gelblichweiss, mit schwarzer Längsbinde; Scheitel und Nacken sind schwarz, der Hals ist braunroth, durch eine schwarze Binde von der rothen Brust getrennt. Der Bauch ist schwarz, am Ende mit einigen rothen Federn gemischt; der Steiss ist ebenfalls roth; der Unterbauch und After sind blassgelb; alle übrigen Gefieder grün mit mehr oder wenigerm Glanz. Er ist in Südamerika einheimisch.~~Fig. 4. und 5. Männchen und Weibchen des Aracara mit geflecktem Schnabel. (Ramphastos maculatus.)~~Dieser Vogel wohnt in Brasilien: das Männchen unterscheidet sich durch die Farbe seines Gefieders auffallend von dem Weibchen. Bei beiden ist der Schnabel graulich, weiss, mit gelblicher Spitze u. schwarzen Flecken; die Augen sind mit einem bläulichen Kreiss umgeben; die Füsse sind graulichschwarz, die Nägel schwarz. Bei'm Männchen sind der Kopf oben, Kehle, der Hals und die Brust schwarz, schillernd, die Wangen sind orangegelb, hellgelb gemischt, ein gleichfarbiges Band trennt den schwarzen Nacken vom Rücken. Dieser, so wie das übrige obere Gefieder, ist olivengrün; die Seiten sind heller, mit Goldgelb und Braun gemischt; der After ist roth, der Schwanz bronzegrün, mit hellbraunen Spitzen. Das Weibchen ist lichtkastanienbraun am Scheitel, Hinterhaupt, Nacken, Kinn, Kehle, Brust und Bauch, die Wangen sind grünlich, die Seiten sind olivenfarben, mit goldgelben Federn untermischt. Uebrigens gleicht das Gefieder dem des Männchens.~~190
Ad00341 08 049a/freOiseau. CVII. Vol. X. No. 47.
OISEAUX GRIMPEURS TRÈS-REMARQUABLES.
Fig. 1. Touraco Pauline. (Musophaga paulina)
Cet oiseau, qui pour la grandeur et la forme ressemble parfaitement au musophage violet (Porte-feuille d'enfants tome 9. No. 6.), est indigène à l'Afrique. Le plumage est vert, de cuivre, cependant les premières pennes et celles da milieu sent rouges; la huppe, qui se perd dans le cercle blanc autour des yeux, est également d'un beau rouge; les yeux sont rouges, le bec jaune et les pattes d'un hoir verdâtre. il est delà grosseur du pigeon domestique, doux et samilier, mais d'une voracité incroyable.
Nous avons déjà parlé de quelques espèces de la famille des Toucans; mais comme les. récentes observations de quelques voyageurs répandent de grandes lumières sur l'histoire naturelle de ces oiseaux, nous allons ajouter ici quelques explications. Les Toucans vivent par petites compagnies de 6 à 10 individus, et sont lents et lourds dans leur vol, ce qui ne les empêche cependant pas d'atteindre' les sommets des arbres les plus hauts, sur lesquels ils se tiennent presque constamment. Il saut qu'ils soient très-pressés par là saim pour qu'ils se posent à terre, où ils s'y prennent très-maussadement. Ils saisissent avec un côté du bec leur nourriture, qui consiste ordinairement en fruits et en insectes, la jettent en haut et la laissent tomber dans l'orisice de l'oesophage et l'avalent en entier. Si le morceau est trop gros, ils le laissent de côté, sans prendre la peine de le casser à coups de bec. Cependant dans le teins de la couvée, ces oiseaux deviennent si rapaces qu'ils détruisent les nids des autres oiseaux, et avalent les oeuss et les petits. Leur bec est si étrangement conformé qu'il a dès l'antiquité la plus reculée sixé l'attention, et qu'on a transporté au ciel leur image au nombre des astres.
Fig. 2. Le Toucan de Para. (Ramphastos Paraensis.)
n'a que 13 pouces de long et le bec, qui est noir et orné à sa base d'une bande transversale bleuâtre, en a 4. Le plumage du haut eu corps est noir et changeant; le bas-ventre les plumes sur les côtés et les cuisses sont de la même couleur. Le croupion et l'anus sont d'un rouge ponceau, ainsi que la poitrine insérieure, qui est séparée de la supérieure et du 'gosier couleur d'orange par une bande étroite d'un blanc jaunâtre. Le cercle autour des yeux est d'un rouge pâle et les pattes sont noires- Il habite le Brésil.
Fig. 3. L'Azzara. (Ramphastos Azzara.)
de 11 pouces de long et le bec de 3. Ce dernier est d'un blanc jaunâtre avec une bande longitudinale noire; le sommet de la tête et la nuque sont noirs; le cou d'un rouge brun est séparé de la poitrine, qui est rouge par une bande noire. Le ventre est noir, mais entremêlé à la partie inférieure de quelques plumes rouges. Le croupion est également rouge; le basventre et l'anus sont d'un jaune pâle; le reste du plumage est d'un vert plus ou moins luisant. Il habite l'Amérique méridionale.
Fig. 4 et 5. L'Aracara à bec tacheté, mâle et semelle. (Ramphastos maculatus.)
Le mâle de cet oiseau, indigène au Brésil, se distingue de la femelle par la couleur de son plumage et cela d'une manière bien srappante. Le bec de l'un et de l'autre est d'un blanc grisâtre, jaune à la pointe et tacheté de noir. Les yeux sont entourés d'un cercle bleuâtre; les pattes, sont d'un noir grisâtre et les ongles noii-es. Le haut de la tête, le gosier, le cou et la poitrine du mâle sont d'un noir changeant, les joues d'un jaune d'orange, mêlé de jaune clair. Une bande de la même couleur sépare la nuque noire du dos, qui est, ainsi que le reste du plumage supérieur, vert-d'olive; les côtés sont plus clairs et enti-emêlés de brun et de jaune d'or; l'anus est rouge et la queue d'un vert de bronze et d'un brun-clair à son extrémité. Le sommet et le derrière de la tête, la nuque, le menton, le gosier, la poitrine et le ventre de la femelle sont châtains, les joues verdâtres, les côtés couleur d'olive et entremêlés de plumes d'un jaune d'or. Le reste du plumage ressemble à celui du mâle.
Ad00341 08 050aFig. 1. Die Schlüsselblume. (Primula veris)~~die bei den ersten Strahlen der warmen Frühlingssonne dem Boden entsprosst, liebt, wie die meisten Pflanzen ihres Geschlechtes, einen erhabnen Standort, daher man sie bei uns gewöhnlich auf Bergwiesen antrifft. Ihre schönen, goldgelben Blumen, und deren angenehmer Duft, machen diese Pflanze zu einer Zierde unserer Flur. Sie ist ausserdem auch als Heilmittel nicht unwichtig, und wurde hauptsächlich in altern Zeiten gegen Nervenzufälle angewandt. Der wohlschmekkende Thee, welcher aus ihren Blumen bereitet wird, ist übrigens Kindern sehr nachtheilig, weil er zu aufreizend wirkt. Die Wurzel wird unter das Bier gethan, und die Blätter, zumal in England und Holland, als Salat gespeis't.~~Die kleinen Figuren 1-10 zeigen die Blume, die Frucht und die Saamenkörner in ihren einzelnen Theilen.~~Fig. 2. Der Gauchheil, (Anagallis arvensis)~~findet sich häufig, als Unkraut, auf Aekkern und in Gärten. Die Blumen haben bald eine blaue, bald eine rothe Farbe. Die Pflanze blüht vom Junius bis zum August. Ihr Kraut besitzt einen scharfen Geschmack, und wurde schon in uralten Zeiten als Heilmittel anempfohlen. Vorzüglich hielt man es für ein bewährtes Mittel gegen den tollen Hundsbiss. Jetzt sind die Meinungen der Aerzte über dessen Brauchbarkeit getheilt.~~Die Figuren 1-9 zeigen einzelne Theile der Blume und den Saamen.~~190
Ad00341 08 050a/frePlantes. CLXVIL Vol. X. No. 48.
PLANTES MÉDICALES.
Fig. 1. La primevère. (Primula véris).
Cette plante, qui naît aux premiers rayons du soleil printannier, se plaît, comme toutes celles de sa famille, dans un endroit élevé, aussi la trouve-t-on communément dans les prairies qui décorent les montagnes. Les sleurs, qui sont d'un beau jaune d'or et la délicieuse odeur qu'elles exhalent, la rendent l'ornement de nos campagnes. Elle est d'ailleurs très-importante comme médicament, dont les anciens ont fait un usage très-sréquent contre les attaques de nerss. Cependant le thé que l'on fait de ses fleurs, quoique d'un goût exquis, est nuisible aux ensants, parcequ'il est trop stimulant. Sa racine s'emploie dans la brasserie de la bierre, et les feuilles se mangent en salade, surtout en Angleterre et en Hollande.
Les petites Figures de 1 à 10, montrent la corolle, le fruit et la semence dans leurs parties individuelles.
Fig. 2. Le mouron. (Anagallis arvensis).
Cette plante, dont les fleurs sont tantôt rouges et tantôt bleues, abonde, comme ivraie, dans les champs et les jardins, et fleurit depuis le mois de juin jusqu'au mois d'août. D'un goût acre, elle s'employoit dans les tems les plus reculés comme médicament et étoit alors regardée comme un remède insaillible contre la morsure des chiens enragés; mais les médecins actuels sont très-divisés d'opinion sur son utilité.
Les figures 1 à 9 représentent les parties individuelles de la corolle et la semence.
Ad00341 08 051aAlle, auf vorliegender Tafel abgebildete Käfer gehören zu der Familie der Blatthörner, deren Fühlhörner sich in eine Keule endigen, die auf fächer- oder kammförmigen Blättchen besteht.~~Fig. 1. Der grossköpfige Zwiebelhornkäfer, (Lethrus cephalotes)~~von kurzem, gedrängten Bau und von schwarzer Farbe, mit einigen Glanz, führt seinen Namen von der Bildung seiner Fühlhornkeule, deren Blätter wie die Schichten einer Zwiebel in einander liegen. Er ist in den Wüsten der Tartarei- und des südlichen Russlands einheimisch, und wird auch in Ungarn und Südösterreich angetroffen. Er gräbt sich, wie die Feldgrille, Löcher in die Erde, und thut in den Weinbergen durch das Abnagen der jungen Sprossen vielen Schaden, weswegen ihm von den Winzern sehr nachgestellt wird.~~Fig. 2. Der Gries-Erdkäfer, (Trox sabulosus)~~ist schwarz, sieht aber, wegen der ihm häufig anklebenden Erde, meist grau aus, mit erhabeneren dunklern Puncten, sein Brustschild ist goldgelb gefranzt, er hält sich in Teutschland an sonnigen Rändern und vorzüglich gern im Sande auf und nährt sich von vertrockneten thierischen Körpern. Fig. a. zeigt dessen natürliche Grösse.~~Fig. 3. Der walzenförmige Baumnager. (Sinodendron cylindricum.)~~Hält sich auf Laubbäumen meist in nördlichen Gegenden auf und ist bei uns nicht selten. Er gleicht an Gestalt dem Nashornkäser, ist aber viel kleiner. Seine Farbe ist schwarz und glänzend. Bloss das Männchen hat das Scheitelhorn, dem Weibchen fehlt es, und dasselbe hat an dessen Statt bloss eine kleine spitzige Erhöhung.~~Fig. 4. Der laufkäferähnliche Flachschröter, (Platycerus caraboides)~~prangt mit schönem Metallglanz auf grüner, oder stahlblauer Farbe. Unsere Tafel zeigt auch eine Abänderung mit braunrothen Füssen. Er kommt in waldigen Gegenden Teutschlands nicht selten vor.~~Fig. 5. Der mistkäferähnliche Habichtskäfer, (Aesalus scarabaeoides)~~ist dunkelbraun, haarig, die Fühler schwarz mit rostfarbener Keule, auf den Flügeldekken stehen fünf sammtartige, unterbrochene, schwarze Streifen. Das erste Exemplar dieses in Teutschland seltenen Käfers, wurde in der Gegend von Wien in faulem Eichenholze gefunden; Fig. a. ist das Maass seiner natürlichen Grösse.~~Fig. 6. Der unterbrochene Plattschröter, (Passalus interruptus)~~ein Käfer des südlichen Amerika, der uns durch die fast widernatürlich scheinende Trennung des Brustschildes vom Hinterleib ausfällt, und sich durch seinen sehr plattgedrückten Körper auszeichnet. Seine Farbe ist schwarzbraun, mit starken Glanz, an Fühlern, Mund, Brustrand und Füssen ist er häufig mit fuchsrothen, pelzigen Haaren besetzt, die Flügeldecken haben diese Furchen. Die sonderbare Gliederung des Vorderfusses zeigt Fig. a. vergrösert von der untern Seite. Er lebt in Baumstämmen und faulem Zuckerrohr, seine Larve in Batatenwurzeln.~~190
Ad00341 08 051a/freInsectes. XCII. Vol. X. No. 49.
SCARABÉES REMARQUABLES.
Tous les scarabées figurés sur la planche ci-jointe, font partie de la famille des lamellicornes, dont les antennes se terminent en une massue composée de feuillets en forme d'éventail ou de peigne.
Fig. 1. Le lethrus céphalote. (Lethrus cephalotes.)
Cet animal court, ramassé et d'un noir éclatant tient son nom de la conformation de la massue de ses antennes, dont les feuilles sont couchées les unes dans les autres comme d'un oignon. liest indigène aux déserts de. la Tartarie et de la Russie méridionale, cependant il se trouve aussi en Hongrie et dans l'Autriche méridionale. Comme le grillon des champs, il se creuse des trous dans la terre, et fait de grands ravages dans les vignobles, en rongeant les bourgeons; aussi les vignerons lui sont-ils une guerre implacable.
Fig. 2. Le trox sabuleux. (Trox sabulosus.)
Ce coléoptère est noir avec des points plus saillants soncés, cependant il a presque toujours l'air d'être gris à cause de la terre qui s'attache à son corps. Son corselet est à franges d'un jaune d'or. Il se tient en Allemagne sur les lisières exposées au soleil, mais il se plaît surtout dans le sable et se nourrit de corps animaux desséchés. La Figure a. en montre la grandeur naturelle.
Fig. 3. Le Sinodendre cylindrique. (Sinodendron cylindricum)
se tient sur les arbres à seuillage dans les contrées septentrionales, cependant il n'est pas rare en Allemagne. Il est conformé comme le Scarabée nasicorne, mais beaucoup plus petit. Le noir éclatant est sa couleur. Le mâle est le seul qui'ait sur le sommet de la tête une corne, qui est remplacée dans la femelle par une simple petite élévation terminée en pointe.
Fig. 4. Le platycère verd. (Platycerus caraboides.)
Sa couleur verte ou bleue d'acier est relevée par un charmant éclat métallique. Notre planche en figure une variéié à pattes d'un rouge brun. Ce scarabée n'est pas rare dans les dictricts boisés de l'Allemagne.
Fig. 5. L'Aesale scarabéoïde. (Aesalus scarabaeoides.)
D'un brun foncé, velu, antennes noires, terminées par une massue couleur de rouille; étuis (élytres) ornés de cinq bandes noires, veloutées et interrompues. Le premier exemplaire de ce scarabée, rare en Allemagne, a été trouvé aux environs de Vienne dans des bois de chêne pourri. Fig. a. en donne la grandeur naturelle.
Fig. 6. Le passale interrompu. (Passalus inrerruptus.)
Ce coléoptère de l'Amérique méridionale surprend par la séparation apparente et presque contre nature du corselet de la partie insérieure du corps et il est parfaitement caractérisé par son corps applati II est d'un brun noir et d'un vif éclat, mais les antennes, la bouche, les pattes et le bord de la poitrine sont chargés de poils roux. Les étuis ont de profonds sillons. Fig. A. représente l'étrange organisation du pied de devant grossi par Te bas. Il séjourne dans lesMroncs d'arbres et dans les cannes de sucre pourries, et sa nymphe dans des racines de patates.
Ad00341 08 052aVon dieser wichtigen Erfindung wird besonders Gebrauch gemacht, um Felsen unter dem Meere zu sprengen, um kostbare Dinge, die bei Schiffbrüchen in der Nähe der Küste verloren gingen, vom Grund des Meeres herauszuholen. (br / )~~Die Glocke besteht auf einem einzigen Stück Gusseisen, und das Licht fällt in dieselbe von oben durch 8 bis 10 mit dicken Gläsern versehene Löcher. Vermittelst eines oben angebrachten Schlauches kann, sobald die Glocke unter das Wasser gebracht worden ist, frische Luft hineingelassen werden. Diess geschieht durch eine Luftpumpe, welche auf einer Flösse der Glocke nachgeführt wird. Im Innern derselben befinden sich Bänke und Werkzeuge für die Arbeiter, nebst einem eisernen Korbe, in welchen die Dinge gelegt werden, die man über das Wasser schaffen will. (br / )~~Die Glocke wird von einem Schiffe aus, an starken Tauen herabgelassen. Personen, welche nicht gewohnt sind, darin unterzutauchen, empfinden, sobald die Luft darin, durch den starken Druck des Wassers verdichtet wird, ein heftiges Drücken in den Ohren und eine allgemeine Beklommenheit. Die Leute dagegen, die beständig auf diese Weise ihren Unterhalt erwerben, arbeiten darin so leicht, als ob diess in freier Luft geschähe. Haben dieselben während der Arbeit irgend ein Bedürfniss, so geben sie es durch eine gewisse Anzahl von Hammerschlägen an die Glocke zu erkennen. Ihre Gehülfen auf dem Schiffe hören und verstehen diese Zeichen und lassen ihnen, denselben zufolge, entweder mehr Luft zukommen, oder verändern den Ort der Glocke u.s.w. (br / )~~Ist der Felsen, welcher gesprengt werden soll, tief genug angebohrt, so wird in einer zinnernen Röhre eine Patrone voll Schiesspulver in die Höhle eingelassen. Die Röhre wird, indem man die Glocke allmählich in die Höhe zieht, so lang gemacht, bis sie über das Wasser geht. Sobald die Glocke ganz in die Höhe gezogen ist, wird dann in diese Röhre ein glühendes Stückchen Eisen geworfen, wodurch das unten befindliche Pulver entzündet und der Stein gesprengt wird. (br / )~~Die Arbeiter sind in der Regel gesund und vorzüglich starke Esser und Trinker.~~190
Ad00341 08 052a/freMélanges. CCLXX. Vol. X. No. 50.
LA CLOCHE DE PLONGEUR.
On fait grand usage, de cette importante invention, soit pour faire sauter des roches sous la mer, soit pour recueillir les effets précieux que cet élément a engloutis dans un naufrage à proximité des côtes.
Cette cloche est faite d'un seul morceau de fer de fonte (gueuse) et la lumière y pénètre d'en haut par 8 à 10 trous hermétiquement fermés par un verre très-épais. Un tuyau de cuir, adapté à la partie supérieure de la cloche, sert de conduit à l'air que l'on peut y introduire aussitôt que la cloche est sous l'eau, ce qu'on exécute avec une machine pneumatique placée sur un radeau qui suit la cloche. L'intérieur contient des bancs et des outils pour les ouvriers, ainsi qu'une corbeille de fer, où l'on place tous les objets que l'on veut ramasser.
C'est avec de très-fortes cordes que l'on descend d'un vaisseau la cloche dans l'eau. Les personnes, non habituées à plonger dans cette cloche, ressentent, dès que la forte pression de l'eau vient à condenser l'air, une violente compression dans les oreilles et une angoisse générale. Les gens au contraire, habitués à ce genre d'occupation, y travaillent aussi facilement que s'ils étoient en plein air. Lorsque pendant leur ouvrage ils éprouvent quelque besoin, ils le font connoître par un certain nombre de coups de marteau qu'ils donnent à la cloche, et leurs compagnons qui sont sur le vaisseau, entendant et comprenant ces signes, leur donnent ou plus d'air, ou changent la cloche de place selon le désir des plongeurs.
Dès que le rocher, que l'on veut faire sauter, est assez profondément percé, on introduit dans la cavité une cartouche de poudre contenue dans un tuyau d'étain, que l'on allonge, à mesure que la cloche remonte doncernent, jusqu' à ce qu'il dépasse l'eau. Lorsque la cloche est sur le vaisseau, on jette dans ce tuyau un morceau de fer rouge, qui en allumant la poudre fait sauter la pierre.
Ces ouvriers sont en général très-sains et surtout de grands mangeurs et de sorts buveurs.
Ad00341 08 053aFig. 1. Der schwarze Amerikanische Bär. (Ursus americanus.)~~Diese Art gehört der neuen Welt eigenthümlich an, und darf mit dem braunen Bär der alten Welt nicht verwechselt werden, von dem sie sich deutlich unterscheidet. So ist z. B. der Kopf anders gestaltet, und sein Haar, theils anders gefärbt, theils weicher und nicht so gekräuselt. (br / ) Die Nase dieses Thieres ist an den Seiten gelbbraun, und ein eben so gefärbtes Fleck steht über den Augen. Die Grösse desselben gleicht ziemlich der des braunen Bären. Er lebt, wie dieser, theils von thierischer, theils von vegetabilischer Nahrung, und erreicht im Herbste ein Gewicht von 5 bis 600 Pfd. (br / ) Der schwarze Bär bewohnt die nördlichsten Gegenden von Amerika, und selbst die kalten Gebirgsstriche der kalten Erdenge von Panama. Er hält sich gern in den unbesuchtesten und unzugänglichsten Gegenden auf, die er nur des Nachts verlässt, um seiner Nahrung nachzugehen - Das Weibchen wirft seine Jungen in Höhlen und hohlen Bäumen. Den Jungen fehlt das gelbliche Halsband, welches die des braunen Bären haben. (br / ) Er schwimmt und klettert gut. Es wird ihm von den Amerikanern seines Fettes und Fleisches wegen sehr nachgestellt. Man fängt ihn, indem man an seine Wohnungen Feuer legt, und ihn, so wie er herauskommt, tödtet.~~Fig. 2. Der graue Bär. (Ursus griseus.)~~Dieses neu beschriebene und noch unvollständig bekannte Thier, das grösste und wildeste seiner Gattungsverwandten, bewohnt die Berggegenden am Mississippi, und wird von den Indianern der fürchterliche Bär genannt. Sie wagen ihn auch nur dann anzugreifen, wenn sie in grösserer Anzahl beisammen sind. Er scheint indess das ganze nördliche Amerika zu bewohnen. (br / ) Diess Thier erreicht eine Länge von 9 Fuss, und wiegt zuweilen bis an 900 Pfund. Er ist viel stärker gebaut, als der braune Bär. Seine Kraft ist so gewaltig, dass er die grössten Bisons leicht tödtet. Sein langhaariger, dichter und weicher Pelz, wird sehr geschätzt, und das Stück mit 20 bis 30 Dollars bezahlt. (br / ) Seine Farbe ist durchgehends braungrau ohne Silberglanz. Die Spanier am Cap françois am stillen Ocean, halten dieses Thier zu Thiergefechten.~~191
Ad00341 08 053a/freMammiferes. CV. Vol. X. No. 51.
OURS CURIEUX.
Fig. 1. Ours noir de l'Amérique. (Ursus americanus.)
Cette espèce appartient exclusivement au nouveau monde et ne doit pas être confondue avec l'ours brun de l'ancien monde, dont il se distingue clairement. La tête p. e, a une forme toute différente, et le poil est en partie d'une autre couleur, en partie plus mou et moins frisé.
Les côtés du nez sont d'un brun jaune, et l'on remarque au dessus des yeux un tache de la même couleur. Quant à la grandeur, elle disfère peu de celle de l'ours brun, et comme ce dernier, il se nourrit en partie de végétaux, en partie d'animaux, et pèse en automne de 5 à 600 livres.
L'ours noir habite les contrées les plus septentrionales de l'Amérique et même les districts montueux de l'isthme de Panama. Il se plaît dans les régions les plus solitaires et les plus inaccessibles, et ne sort que la nuit pour se procurer de la nourriture. — La femelle jette bas dans des cavernes ou dans des creux d'arbres ses petits, qui n'ont pas comme ceux de l'ours brun le collier jaunâtre.
Il nage et grimpe parfaitement, les Américains le chassent très-souvent à cause. de sa graisse et de sa viande, et ils le prennent le plus communément en mettant le feu à la tannière et tuent un à un les individus au moment où ils en sortent.
Fig. 2. L'ours gris. (Ursus griseus.)
Cet animal, qu'on a nouvellement décrit et qu'on ne connoît qu'imparfaitement, le plus grand et le plus féroce de ceux de son" espèce, se tient dans les districts montagneux du Mississippi et a été nommé par les Indiens l'ours redoutable, aussi ne se permettent-ils de l'attaquer que quand ils sont en très-grand nombre. Il paroît cependant, que cet ours séjourne. dans toute l'Amérique du Nord.
Cet animal,-qui a 9 pieds de long et pèse quelquefois 900 livres, est d'une forme plus lourde que l'ours brun. Sa force est telle qu'il tue facilement les plus grands bisons. Sa fourrure, épaisse, molle et à longs poils est fort estimée, et se vend de 20 à 30 Dollars.
Sa couleur est généralement d'un gris brun sans éclat argent. Les Espagnols au Cap François sur la côte de l'océan pacifique font p;iroitre cet ours dans les combats d'animaux.
Ad00341 08 054aFig. 1. Der rothköpiige Sänger. (Sylvia ruficapilla)~~Dieser kleine Vogel misst nur 4 Zoll 4 Linien in der Länge, während der Raum von einer Flügelspitze zur andern 6 1/2 Zoll beträgt. Das Männchen ist am Kopfe und am obern Theil des Halses rothbraun, an der Kehle etwas heller. Der Unterkörper und die Flügel sind schön gelb: die Brust-schmutzig orangenfarben: die Seiten graulich. Der Rücken ist olivengrün. Schwung- und Schwanzfedern sind tiefgrün und gelb gerändert. Das Weibchen ist wie das Männchen gesärbt, nur ist die Kehle an demselben gelb, und manche Farbenzeichnungen unscheinbarer. Der Vogel setzt sich nicht eher, als bis er frisst; singt leise, aber melodisch, und ist in Brasilien zu Hause.~~Fig. 2. Der Sänger mit der Mütze. (Sylvia mitrata.).~~Dieser Vogel ist von der Grösse eines Stieglitzes. Am Männchen ist der Schnabel, Hinterkopf, Nakken und Brust schwarz. Vorderkopf und Unterkörper sind von schöner gelber Farbe. Der ganze obere Theil des Körpers ist tief olivengrün gefärbt. Bei'm Weibchen sind alle Theile matter gezeichnet. Der Vogel bewohnt die einsamen Gegenden in Carolina, und kommt als Wandervogel auch in die übrigen Vereinigten Staaten.~~Fig. 3. Die rothbäuchige Merle (Tanagra rusiventris.)~~ist nur 3 Zoll 9 Linien lang, wovon der Schwanz 11 Linien, und der Schnabel 5 wegnimmt. Die Hauptfarbe des Vogels ist violett, mit schwarzem Glänze. Die Seiten sind orangegelb, die Gegend des Brustbeins schmutzig orangeroth. Er lebt in Brasilien, und ist eine der kleinsten Arten der sogenannten Euphone-Merlen.~~Fig. 4. und 5. Der langgeschwänzte Manakin (Pipra caudata.)~~hat Brasilien zum Vaterlande, und es ist über seine Naturgeschichte noch wenig bekannt. Die Grundfarbe des Männchens ist schön himmelblau. Kopf und Schnabel sind braun; der Scheitel hat eine lebhafte Orangefarbe, und ist mit einer Haube geziert. Schwungfedern und Schwanz sind schwarz. Letzterer zeigt in der Mitte zwei grosse, breite Federn. Weniger ist das Weibchen durch ein gemischtes Gefieder und glänzende Farben ausgezeichnet. Sein Kopf ist mehr in die Länge gezogen, und mit einer sehr kleinen Haube versehen. Seine Hauptfarbe ist olivengrün. Schwanz und Schwungfedern sind röthlich mit Olivenfarbe gemischt.~~191
Ad00341 08 054a/freOiseaux. CVIII. Vol. X. No. 52.
OISEAUX ÉTRANGERS D'UNE RARE BEAUTÉ.
Fig. 1. La Fauvette à tête rousse. (Sylvia ruficapilla.)
Ce petit oiseau n'a que 4 pouces et 4 lignes de long, tandis que l'espace d'un bout d'une aîle à l'autre en comprend 6 1/2.
La tête et le haut du cou du mâle sont d'un brun rouge, niais le gosier est un peu plus clair. La partie inférieure du corps et les ailes sont d'un beau jaune, la poitrine d'un orange sale, les côtés grisâtres, le dos vert - d'olive, les pennes des ailes et de la queue d'un vert noce et bordées de jaune. La femelle a les mêmes couleurs que le mâle, à l'exception cependant que le gosier est jaune et que quelques nuances sont moins perceptibles. Cet oiseau ne se pose que pour manger; il est indigène au Brésil; son chant est foible, mais mélodieux.
Fig. 2. La Fauvette mitrée d'Amerique. (Sylvia mitrata.)
Cet oiseau est de la grandeur du chardoneret. Le mâle a le bec, le derrière de la tête, la nuque et la poitrine noire, le devant de la tête et le dessous du corps d'un beau jaune, et toute la partie supérieure du corps d'un vert d'olive foncé. La femelle a les mêmes couleurs, mais beaucoup moins vives.
Cet oiseau habite les contrées solitaires de la Caroline, et se rend aussi, comme oiseau de passage, dans les autres-états unis.
Fig. 3. Le Tangara à ventre rouge (Tanagra rufiventris.)
n'a que 3 pouces et 9 lignes de long, dont il faut déduire 11 lignes pour la queue et 5 pour le bec.
Le violet d'un noir éclatant forme la couleur principale. Les côtés sont orange et les environs du sternum d'un roirge orange sale. Il est indigène au Brésil et une des plus petites espèces des soi-disants Tangaras Euphones.
Fig. 4. et 5. Le Manakin à longue pennes. (Pipra caudata.)
L'histoire naturelle de cet oiseau qui habite le Brésil est encore peu connue. Un très beau bleu de ciel est la couleur dominante pour le mâle; la tête et le bec sont bruns; le sommet de la tôle d'un vif orange est orné d'une huppe. Les pennes et la queue sont noires, et cette dernière est pourvue dans son milieu de deux pennes grandes et larges. La femelle est moins caractérisée par le mêj lange de son plumage et par l'éclat de ses couleurs, sa tête, beaucoup plus allongée que celle du mâle, n'a qu'une très-petite huppe. Le vert d'olive est la couleur principale. La queue et les pennes sont rougeâtres et entremêlées de vert d'olive.
Ad00341 08 055aFig. 1. Der Pantoffelhammerfisch. (Zygaena (Squalus) Tiburo.)~~ist, wegen seiner Aehnlichkeit mit dem eigentlichen Hammerfische, erst in den neuesten Zeiten für eine eigne Art erkannt worden. Sein Kopf ist indess bedeutend kürzer, als der des Hammerhays (Bilderb. 1. Bd. No. 55). Ferner ist der Mund des Letztern hervorragend, und der des vorliegenden eingezogen. Derselbe hat eine für das Gefühl rauhe Haut, und über und unter dem Munde eine Menge von Poren, die beständig eine gallertartige kleberige Feuchtigkeit ausschwitzen; der beträchtlich grosse Rachen ist mit mehrern Reihen von Zähnen besetzt. Doch ist das Thier nicht so gefrässig, als andere Hayfische. Die Farbe ist oben hellgrau, unten weisslich, und das eigentliche Vaterland des Fisches, die Südamericanischen Meere.~~Fig. 2. Hay von Nizza. (Scymnus Niceensis.)~~Sein Körper ist in die Länge gezogen, rundlich, dunkelviolett und mit kleinen spitzigen Höckern bedeckt. Der Mund ist oval, Zunge und Gaumen glatt. Die Kiemenöffnungen sind sehr gross und bogenförmig. Sein Fleisch ist ziemlich schmackhaft, seine Leber sehr gross und fett. Aus der Haut bereitet man eine der besten Chagrinsorten. Man fängt diesen Fisch oft in sehr grosser Tiefe des Meeres mit Angeln. Er nähert sich nie der Küste, und ist in dem Meere von Nizza gemein.~~Die Pfeifenfische rechnet man jetzt nicht mehr zu den Knorpelfischen, sondern zu den Knochenfischen. Sie unterscheiden sich von den übrigen Fischen durch die eigentümliche Bildung ihrer Kiemen, die sich in kleine Büsel theilen, welche paarweise längs dem Kiemenbogen stehen. Ihr Körper ist durchgehends mit Schuppen gepanzert, welche ihn fast immer eckig machen.~~Fig. 3. Papacins Pfeifenfisch. (Syngnatlius Papacinus.)~~Sein Körper ist oben rundlich, und bildet unten zwei Flächen der Länge nach. Der Schwanz ist rund und dünn, der Rüssel sehr kurz, der Mund klein. Die Farbe dieses niedlichen Fisches ist korallenroth mit runden goldgelben Flecken geschäckt, die nach dem Ende des Körpers zu ringförmig werden. Das Weibchen ist weniger schön. Die Länge des Fisches beträgt fast einen Fuss, bei einer Breite von zwei Linien. Er bewohnt das Meer von Nizza. Eben daselbst trifft man auch~~Fig. 4. den bandirten Pfeifenfisch. (Syngnathus fasciatus)~~Er hat mit dem vorigen in der Gestalt viel Aehnlichkeit. Sein Rücken ist grünlichbraun, der Bauch schön azurblau. Quer über die Seiten laufen dünne goldgelbe Streifen. Der Schwanz ist mit kleinen unregelmässigen, braun geränderten Flecken bedeckt. Das Weibchen befestigt durch eine Art Leim zwei Reihen goldfarbener Eier unten am Bauch; diese Fische zeigen eine grosse Zärtlichkeit für ihre Jungen.~~Fig. 5. Balbi's Schalbauch. (Lepadogaster Balbisius.)~~Vom Genus Lepadogaster lernen wir hier eine weit schönere Art kennen, als im 9. Bde. No. 9 unsers Bilderb. Diese ist aber violetroth, mit lebhaft rothen Flecken gesprenkelt, unter denen sich eine unendliche Menge schwarzer Puncte befinden. Der mittlere Theil des Körpers und der Bauch gleichen an Farbenspiel der Morgenröthe. Der Mund ist mit Zähnen besetzt; das Thier 1 Zoll lang und 1/2 Zoll breit.~~Fig. 6. Willdenow's Schalbauch. (Lepadogaster Willdenowii)~~Sein Körper ist oben braungelb und roth punctirt, der Mund ist weit und mit spitzen Zähnen versehen. Die Zunge rauh. Die Länge des Fisches beträgt zwei Zoll drei Linien; dessen Breite fünf Linien. Diesen Fischen fehlt die Schwimmblase, allein sie schwimmen dennoch geschwind. Sie sind sehr dumm, und daher leicht zu fangen.~~191
Ad00341 08 055a/frePoissons. LIX. Vol. X No. 53.
POISSONS CURIEUX.
Fig. 1. Le Pantouflier. (Zigaena [squalus] Tiburo).
Ce n'est que tout récemment qu'on a reconnu que ce poisson, qui a une grande ressemblance avec le véritable marteau, forme une espèce particulière. Sa tête est néanmoins beaucoup plus courte que celle du marteau (t. 1. No. 55); d'ailleurs la bouche du dernier est saillante et celle du pantouslier est rentrée. Sa peau est rude au toucher, et il se trouve au dessus et au dessous de la bouche une quantité de pores qui sécrètent continuellement une liqueur visqueuse et gélatineuse. La gueule, qui est très grande, est armée de plusieurs rangs de dents, cependant cet animal est beaucoup moins voracequeles autres requins. Le dessus du corps est gris-clair, le dessous blanchâtre. Ce poisson habite les mers de l'Amérique méridionale.
Fig. 2. Le Squale Nicéen. (Scymnus sticaensis).
Le corps allongé, rondâtre et d'un violet soncé, est couvett de petites bosses pointues. La bouche est ovale, la langue et le palais sont lisses. Les ouvertures des branchies sont gran. des et arquées; la chair est assez délicate et le soie très grand et gras. On fait de la peau une des meilleures sortes de chagrin. Ce n'est souvent qu'à une très-grande profondeur que l'on prend à l'hameçon ce poisson, qui n'approche jamais de la côte et qui abonde dans la mer de Nice.
Les Syngnathes se classent de nos jours parmi les poissons osseux et non, comme autresois, parmi les cartilagineux. Ils se distinguent des autres poissons par la conformation particulière de leurs branchies, qui se divisent en petits faisceaux, placés deux à deux le long de l'arc branchial Leur corps est généralement recouvert d'écaillés, qui le font presque toujours paroître anguleux.
Fig. 3. Syngnathe Papacin. (Syngnatlius Papacinus).
Le corps est rondâtre en haut et forme en bas dans toute la longueur deux champs, La queue est ronde et mince, la trompe très-courte et la bouche petite. Ce charmant poisson est d'un beau rouge de corail rehaussé par des taches rondes d'un jaune d'or, qui à l'extrémité du corps deviennent annuitaires. La femelle est moins jolie. Ce poisson, qui a près d'un pied de long sur deux lignes de largeur, habite la mer de Nice. On y trouve aussi
Fig. 4. le Syngnathe à bandes. (Syngnathus sasciatus).
Il a pour la forme beaucoup de ressemblance avec le précédent. Le dos est d'un brun verdâtre et le ventre d'un beau bleu d'azur. De minces bandes d'un jaune d'or se prolongent transversalement sur les cotés. La queue se trouve couverte de petites taches irrégulières, bordées de brun. La femelle attache au dessous du ventre avec une espèce de colle deux rangs d'oeufs couleur d'or. Ces poissons sont preuve d'une grande tendresse pour leurs petits.
Fig. 5. Le Lepadogaster Balbis. (Lepadogaster Balbisius).
La planche ci-jointe, tigure une espèce du genre des Lepadogaster beaucoup plus jolie que celle qui est représentée No. 9. T. 9. de notre Portefeuille d'enfants. Celle-ci est d'un rouge violet, orné de taches rouges et parsemé d'une infinité de points noirs. Le milieu du corps et le ventre ressemblent pour le jeu des couleurs à l'aurore. La bouche est pourvue de dents. Cet animal a un pouce de long sur alignes de large.
Fig. 6. Le Lepadogaster Willdenow. (Lepadogaster Willdenowii).
Le dessus du corps est d'un jaune brunâtre et ponctué de rouge, la bouche large et armée de dents pointues, et la langue rude. Ce poisson a 2 pouces, 3 lignes de long et 5 lignes de large.
Quoique ces poissons soient privés de vessie natatoire, ils n'en nagent pas moins très-vîte. Ils sont très-hébétés, aussi les prend-on très-facilement.
Ad00341 08 056aDie Insel Madeira ist, seit ihrer Entdekkung und Besitznahme zu Anfang des fünfzehnten Jahrhunderts, beständig eine sehr schätzbare Besitzung des Königreichs Portugal geblieben. Fast alle, von Europa aus, nach entfernten Welttheilen abgehende Schiffe, gehen bei derselben vor Anker, und ihr äusserst gesundes Klima, hat schon vielen, fast aufgegebenen Kranken ihre Gesundheit wieder geschenkt.~~Sie gehört zur Canarischen Inselgruppe. Ihre vorzüglichsten Erzeugnisse sind: trefflicher Zucker und der köstliche Wein, der unter dem Namen Madeira, Canariensekt, Malvasier etc. allgemein bekannt ist.~~Die Stadt Funchal bildet gleichsam (wie die obere Hälfte unserer Tafel zeigt) ein prachtvolles Amphitheater, und ist am Fusse hoher Berge, und an der Südseite der Insel erbaut. Sie begreift 20,000 Einwohner, ungefähr ein Fünftheil der ganzen Bevölkerung. Ihre Umgebungen bestehen aus üppigen Weinbergen, mit Pomeranzen- und Citronenwäldchen abwechselnd, in denen zahlreiche Landhäuser zerstreut liegen.~~Der Landungsplatz der Insel befindet sich nordwestlich vom Felsen Loo, und es führt eine Strasse von Funchal dahin. Letztre ist mit einer Mauer eingefasst. Die Stadt enthält eine Cathedralkirche, ein grosses Gothisches Gebäude; ferner ein bequemes Hospital, ein Theater und ein Franziskanerkloster. In diesem letztern befindet sich ein sonderbar aufgeputztes Gemach, dessen Wände dicht mit menschlichen Schädeln und Knochen tapezirt sind. In der Mitte desselben steht der heilige Franziscus mit einer Wage, auf welcher er einen Heiligen und einen Sünder wiegt. Die Scene, die wohl besser in ewigem Dunkel verhüllt bliebe, wird durch eine Lampe erhellt.~~Nur die Häuser der Grossen sind mit Fensterscheiben versehen, dagegen sind Jalousieen und Balkons allgemein. Die Stadt ist unregelmässig gebaut; die engen und krummen Strassen werden jedoch reinlich gehalten. Einige, im Sommer fast versiegende Flüsschen, durchströmen dieselben: doch in der Regenzeit stürzt das Wasser in gewaltigen Fluthen von den Bergen herab. Im Jahr 1803 war ein so ungeheurer Wolkenbruch, dass ganze Strassen in das Meer geschwemmt wurden, wobei 700 Menschen das Leben einbüssten.~~Das Fort St. Jago liegt an der Südseite des Havens, und hat 16 Kanonen: das Pik Castell steht auf einer Anhöhe hinter der Stadt: alle Festungswerke zusammen, enthalten 70 Stück wohlbedientes Geschütz.~~Etwa eine Stunde von der Stadt landeinwärts, liegt zwischen Castanienwäldchen die artige Kirche nostra Senhora do Monte, welche der Schutzpatronin der Insel geheiligt ist. Nach ihr wird auf einem steilen, wohlgepflasterten Wege sehr häufig gewallfahrtet. Vorzüglich thun diess die Matrosen, Fremde besuchen diesen reizenden Punkt der schönen Aussicht wegen.~~Alle Umstände treffen hier zusammen, um die Insel für Kranke und Genesende zu dem zweckmässigsten Aufenthalt zu machen. Die Nahrungsmittel sind alle von der ersten Güte, die Luft rein, die Einwohner gastfrei und zuvorkommend, und alle Anstalten zur Bequemlichkeit, der Patienten auf das Beste getroffen. Der Aufenthalt ist indess sehr kostspielig.~~Das Loo-Fort, welches wir auf der untern Abtheilung unserer Tafel abgebildet sehen, steht auf einem isolirten steilen Felsen im Meere, unfern Funchal. Es hat eine Garnison, und einen, mit Kanonen besetzten Wall. Da er den Haven vollkommen bestreicht, so deckt er die Stadt vor jedem feindlichen Angriffe von der Seeseite. Von hier auf werden die ankommenden Schiffe erst durch Gesundheitsboote untersucht, ehe sie mit dem Ufer Gemeinschaft haben dürfen.~~191
Ad00341 08 056a/freMélanges. CCLXX. Vol. X. No. 54.
LA VILLE DE FUNCHAL ET LE FORT DE LOO DANS L'ILE DE MADÈRE.
Depuis la découverte et l'occupation de l'île de Madère au quinzième siècle par les Portuguois, cette île a toujours été pour eux une possession inappréciable. Presque tous les vaisseaux d'Europe, qui partent pour les contrées éloignées y jettent l'ancre, et la salubrité de son climat a rendu la santéà beaucoup de malades presque désespérés.
Elle fait partie des îles Canaries, et ses principales productions sont d'excellent casé et le vin délicieux connu sous le nom de vin de Madère, de Canarie, de Malvasier etc.
La ville de Funchal, qui forme pour ainsi dire, comme on le voit par la partie supérieure de notre planche, un magnifique amphithéâtre, est construite au pied de hautes montagnes et sur le côté méridional de l'île. Elle renserme 20,000 habitants, qui font le cinquième de toute la population. Ses environs se compo-sent de riches vignobles, entrecoupés de bosquets d'orangers et de citroniers, et ornés de magnifiques maisons de plaisance.
Le lieu d'atterage de l'île est au nord-ouest du roc de Loo et communique avec la ville de Funchal par une chaussée. On trouve dans la ville, qui est garnie de murs une cathédrale, grand ouvrage gothique, un hôpital très - commode, un théâtre et un couvent de franciscains. Ce dernier contient un appartement bizarrement décoré, dont les parois sont tapissés de crânes et ossements humains, et au milieu duquel est placé St. François tenant une balance, dans laquelle il pèse un saint et un pécheur. Il vaudroit mieux sans doute, que cette scène fût à jamais ensevelie dans les plus épaisses ténèbres, néanmoins elle est éclairée par une lampe.
Les maisons des grands sont les seules, qui soient pourvues de vitres, mais les jalousies et les balcons y ont d'un usage général. La ville est d'une construction irrégulière, cependant les rues, quoique étroites et sinueuses, sont tenues très-proprement, parcequ'elles sont arrosées par quelques ruisseaux, qui tarissent presque toujours en été; mais dans les sortes pluies, l'eau se précipite par torrents des hautes montagnes. Il y eut en 1803 une si assreuse lavasse que des rues entières surent entraînées dans la mer et que 700 personnes perdirent la vie dans cette catastrophe.
Le Fort de St. Jago est situé au midi du port et armé de 16 canons; le Pic-castel se trouve sur une hauteur en arrière de la ville, et les sortisications ont ensemble 70 pièces d'artillerie toutes parfaitement bien servies.
Quand on avance dans le pays, on rencontre, à une lieue de la ville environ, au milieu d'un bois de châtaigners, la charmante église, nostra senhora do monte, consacrée à la patrone de l'île, où l'on se rend sréquemment en pèlerinage par un chemin roide, mais bien pavé. Les matelots surtout ne manquent guère de visiter ce lieu de dévotion, et la beauté du coup d'oeil attire beaucoup d'étrangers sur ce site charmant.
Tout concourt à faire de «ette île le séjour le plus convenable et le mieux assorti aux besoins des malades et des convalescents. Tous les aliments y sont de la première qualité, l'air 1res-pur, les habitants hospitaliers, et les institutions pour la commodité des malades ne laissent absolument rien à désirer. Le séjour de cette ville est toutefois très-dispendieux.
Le Fort de Loo figuré au bas de notre planche, est bâti sur un rocher escarpé isolé qui s'élève d-ins la mer, non loin de Funchal. Il a une garnison et un reinparf armé de canons. Dominant entièrement le port, il met la ville à couvert de toute attaque du côté de la mer. C'est de là que partent les canots sanitaires pour visiter les vaisseaux, qui arrivent, avant qu'on leur permeLte aucune communication avec le rivage.
Ad00341 08 057aDie Buschmänner wohnen im südlichen Afrika, in der Nähe des Vorgebirges der guten Hoffnung, und-leben zum Theil in ewigem Kriegszustande, zum Theil in Frieden mit den Europäern, worin sie von diesen durch Geschenke erhalten werden. Sie leben in Kraals (Dörfern) zusammen, deren jedes seinen eignen Häuptling hat. Viele wohnen in Höhlen und ihr ganzer Reichthum besteht in dem schmutzigen Felle, mit dem sie bekleidet sind, Bogen, Pfeilen, Spiessen, einem Messer und ein paar Strausseneierschaalen. Wenn sie kein Wild gefangen haben, so müssen sie sich von wilden Wurzeln nähren. Sie stehen noch auf der untersten Stufe der Cultur. Sie glauben keinen Gott, wohl aber einen Teufel, der Alles mit der linken Hand gemacht habe. Weil sie nach dem Tode eine Auserstehung erwarten, so geben sie ihren Todten einen Speer mit in's Grab, damit er sich bei seinem Erwachen vertheidigen und ernähren könne.~~Seit undenklichen Zeiten ist bei ihnen ein musikalisches Instrument gebräuchlich, welches Gorah heisst und auf einem dünnen Stocke oder Bogen besteht, auf welchen eine Darmsaite gespannt ist. An dem Ende der Saite ist ein plattes, 1 1/2 Zoll langes, Stück Straussfederkiel befestigt, welches der Spieler in den Mund nimmt, und durch Ein- und Ausathmen die Saite in Schwingung bringt, wodurch Töne entstehen, welche einigermaassen denen, einer Violine nahe kommen. Es kostet übrigens dem Spieler viele Mühe, die Töne deutlich hervorzubringen, und es mischen sich bei dieser Anstrengung immer grunzende Töne ein, die denen der Schweine nicht unähnlich sind. Ein solcher Gorahspieler ist hier abgebildet, nebst einem Muster der Musik dieses Volksstamms.~~191
Ad00341 08 057a/freMèlanges. CCLXXI. Vol. X. No. 55.
UN BOSHMAN DE L'AFRIQUE MÉRIDIONALE.
Les boshmans habitent l'Afrique méridionale, non loin du Cap de Bonne Espérance et vivent, partie en guerre, partie en paix avec les Européens, qui ne rougissent pas de faire des présents aux derniers pour conserver cet état de bonne intelligence. Ils demeurent dans des Kraals ou villages dont chacun a son chef particulier; cependant beaucoup d'entre eux séjournent dans des cavernes, n'ayant pour tout bien que la peau sale et dégoûtante qui les couvre, un arc, des flèches, une lance, un couteau et quelques coques d'oeuf d'autruche. Souvent privés de gibier, ils recourent aux racines sauvages pour soutenir leur existence. Etant encore au degré le plus inférieur de civilisation ils croient, non à un dieu, mais à un diable qui a tout créé de la main gauche. S'attendant néanmoins à une résurrection, ils placent dans la tombe du défunt une lance, pour qu' à son réveil il puisse se défendre et se procurer des aliments.
Il y a un tems immémorial qu'ils se servent d'un instrument de musique nommé Gorah, composé d'un arc mince, sur lequel est tendue une corde de boyau, au bout de laquelle est placé le canon d'une plume d'autruche, plat et de 18 lignes de long, que le joueur prend dans la bouche. C'est en donnant plus ou moins d'haleine qu'il fait vibrer la corde qui produit des sons assez semblables à ceux du violon. Au reste ce n'est pas sans une peine infinie que le joueur parvient à rendre ces sons distints, car il s'y mêle très-souvent des sons qui n'approchent que trop du grognement du cochon.
Notre planche figure un de ces musiciens et un échantillon de la musique de ce peuple.
Ad00341 08 058aFig. 1. Die Musanga. (Viverra musanga.)~~Die auf dieser Tafel abgebildete Viverrenart lebt in Java. Sie erreicht eine Länge von 1 Fuss 10 Zoll ohne den Schwanz, dessen Länge 1 1/2 Fuss beträgt. Die Füsse sind verhältnissmässig kurz und stark. Der Pelz besteht auf steifen borstigen Haaren, die sich nicht glatt auf die Haut anlegen. Auf der Oberlippe stehen steife, an der Wurzel hornartige Schnurrhaare.~~Die eigentliche Farbe dieses Thieres, von welcher man indess viele Abweichungen antrifft, ist folgende: der Kopf ist schwarz; bei'm innern Augenwinkel fängt ein weissgrauer Streif an, und zieht sich, an Breite zunehmend, queer über das Ohr an der Seite des Nackens hin. Der Leib, die Vorderseite des Nackens und der Brust sind graulich schwarz, zuweilen in's Gelbbraune fallend, und als gestreift erscheinend. Die äusserste Spitze der Nase ist ringsherum weisslich.~~Jung gefangen, wird die Musanga leicht zahm, und nimmt dann auch mit vegetabilischer Nahrung vorlieb. Da sie keiner Pflege bedarf, so wird sie von den Eingebornen häufig gezähmt. Sie geht indess zuweilen das Hofgeflügel an, und hält sich daher im wilden Zustande gern in der Nähe von Walddörfern auf. Ihr Nest baut sie, nach Art der Eichhörner, in die Gabeln starker Aeste, oder auch in hohle Bäume. Des Nachts geht sie ihrer Nahrung nach: und besucht vorzüglich die Kaffeepflanzungen, wo sie aber nur die Beeren frisst, und die Kerne (die s. g. Bohnen) übrig lässt: daher die Eingebornen ihre Besuche nicht sehr übel nehmen. Ja, sie trägt die Kaffeefrüchte zuweilen an fruchtbare Stellen, wo dann auf den Saamen Bäume hervorwachsen, die dann von den Einwohnern benutzt werden.~~Fig. 2. Der Grison (Viverra vittata.)~~wohnt im südlichen America. Ein Exemplar dieses Thiers befand sich in der Pariser Menagerie. Dieses war sehr zahm, und liess jeden Menschen mit sich spielen, wobei es sich, wie eine Katze, auf den Rücken legte, und die Pfoten in die Höhe hielt. Gegen Thiere zeigte es sich aber grausam, und töetdte dieselben, selbst wenn es keinen Hunger hatte.~~Die Länge des Grison beträgt mit dem Schwanze 1 Fuss 10 Zoll. Der Pelz ist mit zweierlei Haaren besetzt, und unten dunkler, als oben, was man bei vierfüssigen Thieren nur selten trifft. Die obern Theile sind schmuzziggrau, die untern schwarz gefärbt. Den Schwanz trägt das Thier immer wagerecht.~~Fig. 3. Der Telagon (Mydaus meliceps.)~~hat in dem Bau seines Kopfs mit dem Dachs viel Aehnlichkeit, und baut sich auch, wie dieser, seine Wohnung unter der Erde. Die Schnauze ist mit einem Rand umgeben, ähnlich dem Rüssel des Schweines. Der Schwanz ist äusserst kurz. Der Pelz ist dicht, mit langen feinen Haaren besetzt, die am Kopf und Hals eine solche Stellung haben, dass auf dem Scheitel ein schmaler Querkamm entsteht. Die Farbe des Thiers ist schwärzlich braun, am Bauche in's Grauröthliche ziehend. Der Scheitel, ein Streif über den Rücken, und die Schwanzspitze sind weiss.~~Der Telagon hat am Ende des Darmkanals einige Drüsen, die eine stinkende Feuchtigkeit absondern, welche das einzige Vertheidigungsmittel zu seyn scheint, das ihm die Natur angewiesen hat. Er spritzt diese Feuchtigkeit, sobald er in Gefahr ist, mit einem hörbaren Schall aus, und alsbald ist die ganze Gegend von einem abscheulichen Gerüche angefüllt. Kann man das Thier unvermuthet todtschlagen, ehe es Zeit hat, diese Feuchtigkeit zu entladen, so ist sein Fleisch sehr wohlschmeckend. Da der Telagon langsam ist, so gelingt diess den Einwohnern zuweilen.~~Merkwürdig ist es, dass dieses Thier nur die höchsten Gebirge zu seinem Aufenthalt wählt, daher man es in der Ebene als ein Geschöps auf fremden Landen betrachtet. Des Tages über liegt es in seiner Höhle, und geht des Nachts aus, seine Nahrung zu suchen, die in Wurzelwerk und Insectenlarven besteht. - Es wird leicht zahm und zutraulich, und ist überhaupt nicht bösartig. Sein Vaterland ist Java.~~192
Ad00341 08 058a/freMammifères. CVI. Vol. X. No. 56.
MAMMIFÈRES REMARQUABLES.
Fig. 1. Le musanga. (Viverra musanga.)
La sorte de viverre, que figure notre planche, vit à Java. Elle a 1 pied et 10 pouces de long, sans la queue qui en a 18. Proportion gardée, les pattes sont courtes et sortes. Sa sourrure se compose de poils soyeux roides qui restent hérissés, et il se trouve sur la lèvre supérieure une moustache de poils cornés à leur racine.
La véritable couleur, sujette néanmoins à de nombreuses variations, est la suivante: La tête est noire; à l'angle intérieur de l'oeil commence une bande d'un gris blanchâtre, laquelle, en s'élargissant, se prolonge transversalement au delà de l'oreille, jusque sur le côté de la nuque. Le corps, le devant de la nuque et de la poitrine sont d'un noir grisâtre, tirant quelquefois sur le brun jaune et jouant le rayé. L'extrémité du nez est blanchâtre.
Le musanga s'apprivoise facilement dans sa jeunesse, et se contente alors de végétaux. Comme il n'exige aucun soin, les habitans s'amusent à le priver. JI attaque cependant parfois la volaille, aussi dans son état sauvage choisit-il de préférence son séjour a proximité des villages. Il construit, à la manière des écureuils, son nid dans les sourches de très-fortes branches, ou dans les creux des arbres. Jl sort la nuit pour chercher sa nourriture et se rend de préférence dans les plantations de cafiers, où il ne mange que les baies et laisse les fèves, aussi les indigènes sont-ils lourde s'opposer à ces visites nocturnes. Jl arrive même souvent qu'il transporte les fruits du cafier dans des endroits fertiles, où la semence produit des arbres, dont les habitants tirent un grand bénéfice.
Fig. 2. Le Grisou. (Viverra vittata)
Cet animal habite l'Amérique méridionale. La ménagerie royale de Paris en possédoit un exemplaire, qui'étoit si privé qu'il jouoit avec tout le monde, et se couchoit, comme les chats, sur le dos et les pattes en l'air. Mais il étoit cruel à l'égard des animaux et les tuoit, même lorsqu'il n'étoit pas harcelé par la faim.
Le grison a 1 pied 10 pouces de long, la queue y comprise. La sourrure se compose de deux espèces de poils, plus soncée en bas qu'en haut, ce qui est une chose assez rare dans les quadrupèdes. Les parties supérieures sont d'un gris sale et les insérieures comme teintes en noir. Cet animal porte toujours sa queue horizontalement. —
Fig. 3. Le Telagon. (Mydaus meliceps.)
Cet animal a par la conformation de la tête beaucoup de ressemblance avec le blaireau, et se creuse comme celui-ci un terrien. Le museau est pourvu d'un rebord et semblable au groin du cochon. La queue est extrêmement courte. La fourrure est serrée garnie de poils fins et longs situés sur la tête et le cou de telle manière qu'il en résulte au sommet de la tête une espèce de crête transversal très-étroit. Le telagon est d'un brun noirâtre, qui se perd au ventre en un gris rougeâtre. L'occiput, une bande sur le dos et la pointe de la queue sont blancs. Le telagon a à l'extrémité du canal intestin quelques glandes qui sécrètent une liqueur fétide, qui paroit être le seul moyen de défense dont la nature l'ait armé. Dès qu'il est en danger, il lance avec un certain son cette liqueur qui remplit tous les environs d'une odeur infecte. Quand on parvient à surprendre cet animal et à le tuer sans lui laisser le tems de faire cette éjaculation, sa viande est exquise, et comme le telagon est très lent dans ses mouvements, les habitants y réussissent assez sonvent.
Une chose très-remarquable c'est que cette bête ne séjourne que sur les montagnes les plus élevées et qu'on la prend dans les plaines pour une créature des pays étrangers. Elle reste le jour dans son terrier et ne sort que la nuit pour chercher sa pâture qui consiste en racines et en larves d'insectes. Le telagon n'est nullement méchant, il est au contraire confiant et facile à apprivoiser.
Ad00341 08 059aWir haben von dem an Arten sehr zahlreichen Geschlecht der Spechte schon mehrere Teutsche, Bd. 3. N. 28. und ausländische, Bd. 4. N. 26. mitgetheilt.~~Fig. 1. Der zweifarbige Specht (Picus bicolor)~~unterscheidet sich durch seine einfache Farbenzeichnung von allen seinen Verwandte. Seine Länge beträgt 11 1/2 Zoll. Seine Hauptfarbe ist russschwarz, allein Kopf, Nacken und Unterleib sind reinweiss, mit einem schwachen Anstriche von Gelb in der Mitte des Bauchs. Dieser neuentdeckte Vogel lebt in Brasilien.~~Fig. 2. Der Brasilianische Specht. (Picus Braziliensis.)~~bewohnt, wie der vorige, Brasilien und zwar die Provinz Bahia. Seine Länge beträgt 9 Engl. Zoll. Auf dem Kopfe, dessen ganze obere Seite karmoisinroth gefärbt ist, zeigt sich eine schwache Haube. Backen und der ganze Oberkörper sind olivenfarbig; Schwungfedern schwarz. Das ganze untere Gefieder ist lohgelb, mit schwarzen Querlinien bandirt. Der Hals ist sehr schmächtig. Es ist bis jetzt bloss das Männchen beschrieben worden.~~Fig. 3. Der rostbraune Specht. (Picus rubiginosus.)~~Diese neubeschriebene Art wurde in dem Spanischen Amerika angetroffen. Das vorliegende Exemplar ist ein Männchen. Seine Länge beträgt 8 1/2 Zoll, wovon der schwärzliche Schnabel 1 Zoll wegnimmt. Das ganze obere Gefieder und der Schwanz sind lohfarben-rostbraun. Die untern Theile sind olivengelb, mit zahlreichen schwarzbraunen ununterbrochen Streifen. Stirn und Oberkopf sind aschgrauschwarz, Hinterhaupt und Genicke karmoisinroth.~~Fig. 4. und 5. Der Elsterspecht. (Picus leucouotus.) Fig. 4. Männchen. Fig. 5. Weibchen.~~Ein Vogel, der lange für eine Abart des grossen Buntspechts (Picus major, vergl. T. 28. des 3. Bandes unseres Bilderbuchs) gehalten wurde. Wegen seiner Seltenheit konnte er nicht häufig genug beobachtet werden, so dass der Irrthum erst jetzt erkannt worden.~~Das Männchen misst 10 Zoll 8 Linien; die Flügel reichen bis über die Mitte des Schwanzes. Scheitel und Hinterkopf sind lebhaft roth, Wangen, Brust und Bauch bis in die Mitte, ein Theil des Rückens und der Steiss sind reinweiss. Schultern und Oberrükken und Schwanz schwarz; der Unterleib und After sind karmoisinroth. Die meisten schwarzen Theile des Körpers sind mit weissen, und die weissen Theile dagegen mit schwarzen Streifen und Flecken geschäckt. Dem Scheitel des Weibchens fehlt das Karmoisinroth, sonst ist es wenig vom Männchen verschieden.~~Der Vogel bewohnt den Norden, und wandert von da im Winter in südlichere Gegenden, da er dann zuweilen im nördlichen Teutschland angetroffen wird. In Kurland und Lievland ist er nicht selten.~~Er liebt die Hochwälder, jedoch solche, die nicht bloss auf Nadelholz bestehen, und hält sich gern in der Nähe menschlicher Wohnungen aus. Seine Nahrung besteht aus Insecten, zuweilen klopft er an die Bienenstökke, wodurch er schädlich wird. Sein Nest baut dieser Vogel in hohle Bäume und legt 4-5 glänzend weisse Eier.~~192
Ad00341 08 059a/freOiseaux. CIX. Vol. X. No. 57.
JOLIES ESPÈCES DE PICS.
Cette famille offre de nombreuses espèces, dont quelques unes, indigènes à l'Allemagne sont décrites t. 3. No. 28. et No. 25. du 4e tome en figure d'étrangères.
Fig. 1. Le pic noir et blanc. (Picus bicolor.)
se distingue de tous les autres par la simplicité de ses couleurs, et il a 11 1/2 pouces de long. Le noir de suie est la couleur dominante, cependant la tète, la nuque et le bas-ventre sont d'un blanc pur, avec une foible'teinte de jaune au milieu du ventre. Cet oiseau réaemment découvert vit au Brésil.
Fig. 2. Le pic du Brésil. (Picus braziliensis)
Comme le précédent, il habite le Brésil, mais il ne se trouve que dans la province de Bahia. Il a 9 pouces d'Angleterre de long. Sa tête, dont la partie supérieure est d'un xouge cramoisi, est ornée d'une foible huppe. Les joues et tout le corps supérieur sont couleur d'olive et les pennes noires. Tout le plumage inférieur est couleur de tan à lignes transversales noires. Le cou est très-esfilé. On n'a décrit jusqu' à présent que le mâle.
Fig. 3. Le pic ferrugineux. (Picus rubiginosus.)
Cette espèce, dont la description est récente, a été trouvée dans l'Amérique espagnole. L'exemplaire ci-joint est un mâle. Il a 8 1/2 pouces de long dont le bec noirâtre en prend un, tout le plumage supérieur est, ainsi que la queue, couleur de rouille et de tan, et l'insérieur, couleur d'olive avec de nombreuses bandes non interrompues d'un beau châtain Le sront et le dessus de la tête sont d'un noir-gris oendré, la partie postérieure de la tête et la nuque d'un rouge cramoisi.
Fig. 4. et 5. Le picpie. (Picus Leuconalus)
Cet oiseau a été pris longtems pour une variété du grand pic bigarré, picus major (comparez No. 28. du Se Tome de notre portefeuille d'enfant). Etant assez rare, il n'a pas pu être sufsisamment observé, aussi n'est-ce que de nos jours qu'on a reconnu l'erreur.
Le mâle (Fig. 4.) a 10 pouces 8 lignes de long, et ses alles dépassent plus de la moitié de la queue. Le sommet et le derrière de la tête sont d'un rouge très-vis, les joues, la poitrine, la moitié dû ventre, une partie du dos et le croupion sont blancs. Les épaules, la partie supérieure du dos et la queue sont noires, le bas-ventre et l'anus sont cramoisis. La plupart des parties noires sont tachetées et striées de blanc, et les blanches de noir. Le cramoisi manque au sommet de la tête de la semelle (Fig. 5.), du reste elle diffère peu du mâle.
Cet oiseau habite le nord et passe en hiver dans des contrées plus méridionales, ce qui fait qu'on le trouve parfois dans le nord de l'Allemagne. Il habite assez fréquemment la Courlande et la Livonie.
Il aime les forets de futaie, ou les arbres, a feuilles larges sont mêlés aux sapins, et se plaît dans la proximité des habitations et se nourrit d'insectes. Il attaque parsois les ruches à miel, auxquelles il est très-jouisible. Cet oiseau construit dans le creux des arbres un nid, où il pond de 4 à 5 oeufs d'un blanc éclatant.
Ad00341 08 060aDiese Tafel stellt mehrere neuentdeckte Fische aus, zum Theil im Bilderbuche noch nicht erwähnten Gattungen vor.~~Fig. 1. Der goldfarbene Gründling (Gobius auratus)~~führt seinen Namen mit Recht, denn sein Körper ist mit dem schönsten Goldgelb gefärbt und mit schwarzen Flecken punktirt. Die Flossen haben dabei einen röthlichen Anstrich. Dieser Fisch ist in den Meeren von Nizza sehr gemein. Er wird gegen 4 Zoll lang und hält sich zwischen Klippen auf.~~Fig. 2. Le Sueurs-Gründling (Gobius Sueuri)~~ist mit einem durchscheinenden, in's Gelbe und Braune ziehenden Weiss gefärbt. Sein Kopf ist auf den Seiten mit gelben Querlinien bandirt, die sich auch über die azurblauen Kinnbacken verbreiten. Er lebt gleichfalls in dem Meere von Nizza, zwischen Meerpflanzen und wird nur 3 1/2 Zoll lang.~~Fig. 3. Geoffroy's Lutjan (Lutjanus Geoffroyus)~~ist oben goldbraun, unten silberfarben; auf den Kiemendeckeln und der Schwanzwurzel steht ein runder schwärzlicher Fleck. Die Bauchflossen sind von azurblauer Farbe. Die Länge des Fisches steigt auf 11 1/2 Zoll. Er bewohnt das Meer von Nizza.~~Fig. 4. Massa's Lutjan. (Lutjanus Massa.)~~Die obere Seite des Fisches ist von grünlichbrauner Farbe, welche an den Seiten heller wird, und unten in's Goldgelbe übergeht. Ein grosser dreieckiger, blauer, schwarz eingelöster Fleck ziert unten die Schwanzwurzel. Ueber den Kopf laufen ultramarinfarbige Querlinien; die Flossen sind bläulich. Er wird 5 1/2 Zoll lang und wird bei Nizza zwischen Klippen gefangen.~~Fig. 5. Der zartgrüne Lutjan (Lutjanus chlorosochrus)~~ist von grünlicher, in's Rothe spielender Farbe, über welche dunkle Längslinien laufen. In der Nähe des Schwanzes befindet sich oben ein schwarzer Fleck. Das Weibchen unterscheidet sich durch mattere Farben. Er findet sich im Herbst zwischen den Klippen um Nizza.~~Fig. 6. Roissalis Lutjan. (Lutjanus Roissali.)~~Der Körper dieses Fisches ist ultramarinblau, während ein tiefes Gelbgrün fast alle Schuppen rändert. Kehle und Bauch sind silberblau mit morgenrothem Schimmer. Die Länge dieses schönen Fisches beträgt gegen 7 1/2 Zoll. Sein Fleisch ist von vortrefflichem Geschmack, und er wird um Nizza in den Wintermonaten häufig gefangen.~~Fig. 7. Lamark's Lutjan. (Lutjanus Lamarkii)~~Der etwas platte Körper dieses schönen Fisches ist auf dem Rücken meerblau. Silber, morgenröthlich schimmernd und schwarz punktirt, ziert die Seiten, und Silber, mit carminrothen Punkten übersäet, glänzt am Bauche. Seine Länge beträgt gegen 4 Zoll, und er wird zwischen seichten Klippen des Nizzaischen Meeres gefangen.~~Fig. 8. Das Telescop. (Pomatomus Telescopus.)~~Die Grundfarbe dieses mit losen Schuppen bedeckten Fisches ist schwarz, in's Violettrothe und Himmelblaue ziehend. Die Länge des Fisches beträgt 1 Fuss 7 Zoll, seine Breite 5 1/2 Zoll. Die ausserordentlich grossen, kugelförmigen Augen und sein fester Bau zeichnen ihn vorzüglich aus. Er wird, da er sich um Nizza nur in den tiefsten Meerthälern aufhält, bei seiner ausserordentlichen Schnelligkeit nur äusserst selten gefangen Sein Fleisch ist fest, zart und von köstlichem Geschmacke.~~Fig. 9. Der Vanloo's-Barsch (Perca Vanloo.)~~zeichnet sich durch seine prächtigen Farben aus. Seine Schuppen glänzen wie Gold und Silber, und schillern dabei in Abstufungen von Himmel- und Amethystblau. Seine Länge beträgt 6 1/2 Fuss, und man trifft ihn in dem Meere von Nizza.~~Fig. 10. Cuvier's Tetragonurus. (Tetragonnrus Cuvieri)~~Ein seltener Fisch, der wegen mancher Eigenthümlichkeiten merkwürdig ist. Er lebt einsam im Meere von Nizza, schwimmt langsam und steigt im Monat August, der Fortpflanzung wegen, in die Küstengegenden. Sein Fleisch ist zwar weiss und zart, allein sehr schädlich. Nach dem Genusse verursacht es heftige Leibschmerzen, ängstigende Hitze, Uebelkeit und Erbrechen und viele andere Zufälle. Auch die Gestalt dieses Meerbewohners hat viel Sonderbares. Seine Grundfarbe ist schwarz, in's Violette und Gelbrothe schillernd. Er wird, bei einer Breite von 1 1/2 Zoll, 1 Fuss lang.~~192
Ad00341 08 060a/frePoissons. LX. Vol. X. No. 58.
POISSONS REMARQUABLES.
Notre planche figure plusieurs poissons nouvellement découverts, appartenant en partie à des genres dont notre portefeuille d'enfants n'a pas encore fait mention.
Fig. 1. Le Gobie doré. (Gobius auratus.)
C'est avec raison que ce poisson porte le nom de doré, puisque le corps est du plus beau jaune d'or et ponctué de taches noires., et que les nageoires sont outre cela nuancées de rouge. Ce poisson, qui abonde dans la mer de Nice, a près de 4 pouces de long et se tient au milieu des rocs.
Fïg. 2. Le Gobie Le Sueur. (Gobius Sueuri.)
Ce poisson, d'un blanc transparent se perdant dans le jaune et le brun, a les côtés de la têie décorés de lignes transversales jaunes, qui se prolongent jusqu'au de là des mâchoires qui sont d'un bleu d'azur. Il séjourne également dans la mer de Nice au milieu des plantes maritimes et n'a que 3 1/2 pouces de long.
Fig. 3. Le Lutjan Geoffroy. (Lutjanus Geoffroyus.)
Le dessus du corps est d'un brun d'or et le dessous argentin. Il se trouve sur l'opercules des branchies et à la base de la queue une tache noirâtre ronde. Les nageoires abdominales sont bleues de ciel. Il habite la mer de Nice, et peut avoir 11 1/2 pouces de long.
Fig. 4. Le Lutjan Massa. (Lutjanus Massa.)
La partie supérieure de ce poisson est d'un brun verdâtre qui devient plus clair sur les côtés et se perd dans le jaune d'or sur le dessous du corps. Une grande tache triangulaire, bleu« et bordée de noir orne la partie insérieure de labasedelaqueue. Des lignes transversales couleur d'outreiner décorent la tête, et les nageoires sont bleuâtres. Il habite les rocs de la mer de Nice et a 5spouces de long.
Fig. 5. Le Lutjan vert-tendre. (Lutjanus chlorosochrus.)
Il est d'une couleur verdàtre jouant le rouge, traversée par des lignes longitudinales soncées. Il se trouve près de la queue et sur la partie supérieure une tache noire. Des couleurs beaucoup moins vives caractérisent la femelle. On le trouve en automne au milieu des rocs dans les environs de Nice.
Fig. 6. Le Lutjan Roissalis. (Lutjanus Roissali.)
Le corps de ce poisson est couleur d'outremer et presque toutes les écailles sont bordées d'un vert-jaune soncé. La gorge et le ventre sont d'un bleu argentin à reflet couleur aurore. Il a 7 1/2 pouces de long et sa chair est d'un goût exquis. On le prend abondamment pendant les mois d'hiver, aux environs de Nice.
Fig. 7. Le Lutjan Lamarck. (Lutjanus Lamarkii.)
Le corps un peu applati de ce joli poisson est bleu de mer sur le dos. L'argentin à reflet aurore et ponctué de noir décore les côtés, et l'argentin parsemé de points«amoisis orne le ventre. On pèche ce poisson a 4 pouces de long, dans les bas- fonds de la mer de Nice.
Fig. 8. Le Télescope. (Pomatomus Tele.scopus.)
Le fond de la couleur de ce poisson, dont les écailles sont assez lâches, est le noir tirant sur le rouge-violet et le bleu de ciel. Il a 1 pied 7 pouces de long et 5 1/2 pouces de large. Il est particulièrement caractérisé par l'énormité de ses yeux sphéroides et par ses formes solides et fortes. Comme il n'habite que les lieux les plus profonds de la nier de Nice, et qu'il nage avec une étonnante vélocité, on ne le prend que très-rarement. Sa chair est ferme, tendre et d'un goût exquis.
Fig. 9. La Perseque Vanloo (Perca Vanloo.)
se distingue par Ja magnificence de ses couleurs. Ses écailles ont l'éclat de l'or et de l'argent et reflettent dans diverses gradations le bleu de ciel et d'améthiste. Il a 6 1/2 pieds de long et se trouve dans la mer de Nice.
Fig. 10. Le Tetragonurus Cuvier. (Tetragonurus Cuvieri.)
Poisson très-raie et remarquable par plusieurs propriétés qui lui sont particulières. Il vit solitaire dans la mer de Nice, nage lentement et monte au mois d'Août près des côtes pour la propagation. Sa chair est blanche, tendre, mais très-nuisible, elle cause de fortes coliques, une chaleur qui produit de vives angoisses, des nausées, des vomissements et beaucoup d'autres funestes accidents. La forme de cet habitant de la mer est également tout étrange. La couleur principale est le noir jouant le violet et le rouge jaune. Il a 1 pied de long sur ls pouces de large.
Ad00341 08 061aDie auf unserer Tafel abgebildeten Geschöpfe gehören zu den weichhäutigen Strahlthieren.~~Fig. 1 Die Amphitriten-Stephanomia. (Stephanomia Amphitritis.)~~Die hierher gehörigen Thiere sind gallertartig, durchscheinend, hängen, stets mehrere bei einander, an einer gemeinschaftlichen Röhre, und bilden eine freiumherschwimmende Masse, die einer Guirlande mit Blättern, an welchen lange Fäden hängen, gleicht. Jedes der einzelnen Thiere hat einen röhrenförmigen, einziehbaren Rüssel, und blattähnliche Anhängsel. Man erhält die Stephanomien immer nur theilweise.~~Die hier abgebildete Art ist an den stachelförmigen Fortsätzen und blattförmigen spitzen Anhängseln kenntlich. Sie hat wenig Fäden, die schön rosafarben sind. Sie treibt im Australocean umher, und man glaubt darin eine schön azurblaue Krystallguirlande zu erkennen. Die Fühlfäden dehnen sich weit aus, um die Beute zu fassen, und ist diess geschehen, so strecken sich, gleich Blutigeln, tausende von Rüsseln unter den Blättchen hervor, um sie auszusaugen.~~Fig. 2. Der Venusgürtel (Cestum Veneris)~~gehört zu den Strahlthieren, mit einer in der Mitte stehenden Mundöffnung. Er schwimmt gleichfalls frei, ist gallertartig, durchscheinend, milchweiss, mit blaulichen Reflexen. Diess Thier gleicht in seiner Gestalt fast einem Bande. Auf der Seite befinden sich, dicht neben einander, 4 Rippen. Der Rand ist seiner ganzen Länge nach gefranzt. Der Mund befindet sich in der Mitte des obern Randes, von beiden Enden gleich weit entfernt. Das Thier wird in dem Meere von Nizza, mit dem Mund nach oben in wellenförmigen Bewegungen fortschwimmend, angetroffen.~~Fig. 3. Die cylindrische Beroe (Beroë cylindricus.)~~hat, wie die übrigen, in dieses Genus gehörigen Geschöpfe, einen gallertartigen, aussen mit gefranzten Rippen besetzten Körper, an dessen Basis sich eine Mundöffnung befindet.~~Diese Thiere leuchten stark, und erscheinen während der Nacht, wie eben so viele im Meere aufgehangene Lichter. Je stärker sie sich bewegen, desto lebhafter ist ihr Schein. Die hier abgebildete Art wohnt im Australocean, schwimmt vertical, und hat etwa 8 Längsrippen. Die Oeffnung an der Basis, welche man für den Mund hält, ist weit. Die Farbe des Thiers ist rosig, mit verschiedenen Schattirungen, die Franzen aber spielen die schönsten Regenbogenfarben.~~192
Ad00341 08 061a/freVers. XXXI. Vol X. No. 59.
ANIMAUX RADIAIRES.
Les animaux figurés sur notre planche sont partie des animaux radiaires molasses.
Fig. 1. Stephanomie amphitrite. (Stephanomia Amphitritis.)
Les animaux dont nous faisons ici mention sont gélatineux et transparents. Plusieurs individus agglomérés tiennent à un tuyau commun et forment une masse qui nage librement et ressemble à une guirlande de feuilles auxquelles sont attachés de longs fils. Chaque individu a une trompe tubiforme rétractile et des appendices assez semblables à des feuilles. On ne reçoit les Stephanomies que par morceaux.
L'espèce que représente notre planche se reconnoît aux apophyses en forme de feulle. Les fils peu nombreux sont d’un beau rose. Elle se trouve dans l'océan austral et l’on y reconnoître une guirlande de cristal d’un bel azur. Les tentacules s’étendent au lin pour saisir la proie, et dès qu’elle est prise, des milliers de trompes, sortent de desssous les folioles et s'allongent pour la sucer.
Fig. 2. La ceinture de Venus. (Cestum veneris.)
fait partie des animaux radiaires, et l'orifice de la bouche se trouve au milieu du corps. Gélatineuse, transparente, couleur de lait, à reflets bleuâtres, elle nage librement. Par sa forme, elle ressemble presque à un ruban. Il y a sur le côté 4 côtes très-près les unes des autres. Le bord est frangé dans toute sa longueur. La bouche se trouve au milieu du bord supérieur, à une égale distance des deux bouts. Cet animal habite la mer de Nice, nage la bouche en haut, et ses mouvements sont ondoyants.
Fig. 3. La Beroë cylindrique. (Beroë cylindricus.)
a comme les autres animaux de ce genre le corps gélatineux, couvert extérieurement de côtes frangées, à la base duquel se trouve un orifice de la bouche.
Ces animaux répandent un éclat très-luisant et ressemblent pendant la nuit a autant de lumières nageantes. Plus leurs mouvements sont rapides, plus leur éclat est vif. L'espèce figurée ici habite l'Océan austral; elle nage verticalement et a environ 8 côtes longitudinales. L'orifice, qui se trouve à la base et que l'on prend pour la bouche est large. Le rose, diversement nuancé, est la couleur de l'animal, mais les franges jouent les plus belles couleurs de l'arc-en-ciel.
Ad00341 08 062aAthen, jene so berühmte, durch Künste und Wissenschaften so blühende Stadt des Alterthums, war, nachdem es durch die erobernden Türken aller seiner Grösse beraubt worden war, endlich, noch vor 100 Jahren fast gänzlich in Vergessenheit begraben. Erst in neuern Zeiten haben forschbegierige Reisende einiges Licht über den Zustand dieser Stadt verbreitet. Das jetzige Athen erinnert bloss durch die Trümmer, auf denen es steht, an seine ehemalige Grösse. Es enthält jetzt 10,000 Einwohner, und gleicht zwei oder drei schlecht gebauten zusammengedrängten Dörfern. Die Einwohner sind grösstentheils Griechen, deren christliche Kirchen zum Theil auf den Ueberresten der alten Tempel bestehen. Durch zwei Collegien ist für die Wiederauflebung der altgriechischen Sprache gesorgt. Die Griechen haben dort noch das Recht, jährlich vier eigene Magistratspersonen zu wählen, die zwar durch den stolzen Namen "Archonten" an Athen's ehemalige Grösse erinnern, denen aber jene Macht fehlt.~~Wir sehen auf unserer Kupfertafel den kleinern Theil der Stadt von der Südostseite. Im Vordergrund erheben sich die Trümmer des Ungeheuern Tempels, welcher dem olympischen Jupiter geheiligt war, zu dem auch die drei einzelnen Säulen gehören. Hinter demselben sieht man den Triumphbogen des Adrian, und im Hintergrund die Citatelle der Stadt, die sonstige Acropolis, mit den Ruinen des prächtigen Minervatempels, des Parthenon.~~192
Ad00341 08 062a/freMélanges. CCLXXIII. Vol. X. No. 60.
LA NOUVELLE ATHÈNES CONSTRUITE SUR LES DÉBRIS DE L'ANCIENNE.
Athènes, cette ville de l'antiquité si florissante et si célèbre par les arts et les sciences, ayant été privée de son antique splendeur par les conquêtes des Turcs, étoit presque ensevelie dans un entier oubli. Jl y a environ cent ans que quelques voyageurs éclairés ont jeté quelque lumière sur l'état de cette cité. Ce n'est que par les ruines sur lesquelles la nouvelle Athènes est bâtie, qu'elle rappelé son antique grandeur; elle contient près de 10,000 habitants et ressemble à deux ou trois villages mal-bâtis, formant un tout. Les habitants sont pour la plupart grecs et leurs temples se composent en partie des restes des anciens temples. Jl y a deux collèges destinés à faire revivre le grec classique. Les grecs ont le droit de nommer tous les ans quatre magistrats particuliers, qui par le superbe nom d'archontes rappèlent l'ancienne grandeur d'Athènes, mais qui n'ont nullement le pouvoir de ces anciens magistrats.
Notre planche figure la plus petite partie de la ville considérée du côté du sud-est. Nous découvrons sur le devant les débris d'un temple immense consacré à Jupiter olympien et dont les trois colonnes isolées sont aussi partie derrière ce temple l'arc de triomphe d'Adrien, et dans le fond la citadelle de la ville, l'Acropolis, avec les ruines du Parthenon, temple magnifique consacré à Minerve.
Ad00341 08 063aFig. 1. 2. und 3. Der Virginische Hirsch. (Cervus Virginicus.)~~Diese Virginischen Hirsche, von welchen die geschätzten sogenannten Amerikanischen Wildhäute herrühren, sind von der Grösse unseres Dammhirsches. Der Obertheil des Körpers so wie die Vorderseite der Beine, ist bei'm Männchen (Fig. 1.), Weibchen (Fig. 2.) und Spiesser (Fig. 3.) im Sommer zimmtbraun, im Winter grau gefärbt. Der Untertheil des Körpers ist weiss. Die Schwanzspitze aber schwarz. Das Gehörn ist, von der Basis an, anfangs nach hinten gerichtet, steigt dann mehr in die Höhe und richtet sich mit dem Obertheile nach vorn.~~Es sind furchtsame Thiere, welche im ganzen nördlichen Amerika gar nicht selten sind.~~Fig. 4. Die Malakkische Hirschkuh. (Cervus Malaccensis.)~~Den männlichen Hirsch von dieser Art kennt man noch nicht. Die hier abgebildete Hirschkuh ist braunschwarz von Farbe, der Rückgrath, die Schultern und der platte und an der Spitze breite Schwanz sind schwarz. Die hintere Seite der Füsse ist gelb. An Grösse kommt es unserer Edelhirschkuh nahe.~~Das von der Halbinsel Malakka stammende Thier war sehr zahm.~~193
Ad00341 08 063a/freMammifères. CVII. Vol. X. No. 61.
CERFS REMARQUABLES.
Fig. 1. 2. et 3. Le cerf de Virginie. (Cervus virginicus.)
Ces cerfs de Virginie, dont les peaux sont connues et -estimées sous le nom de peaux d'Amérique, sont de la hauteur du daine. Le dessus du corps et le devant des jambes du mâle (Fig. 1.), de la femelle (Fig. 2.) et du saon (Fig. 3.) sont en. été couleur de canelle et en hiver grisâtres. Le dessous du corps est blanc, maie l'extrémité de la queue noire. Dès leur base les cornes se dirigent en arrière puis elles s'élèvent, et la partie supérieure se prolonge en avant.
Ces animaux, qui sont très-craintifs, ne sont pas rares dans l'Amérique septentrionale.
Fig. 4. La biche de Malacca. (Cervus malaccensis.)
Le mâle de cette espèce est encore inconnu. La biche que figure notre planche est d'un noir brun, mais l'épine du dos, les épaules et la queue platte et large à sa pointe sont noires. Le derrière des jambes est jaune. Elle -approche pour la grandeur de notre biche.
L'animal, originaire de la presqu'île de Malacca, étoit très privé.
Ad00341 08 064aFig. 1. Der furchenschnabelige Aracari. (Pteroglossus sulcatus.)~~Dieser ganze Vogel ist sammt dem drei Zoll betragenden Schnabel zwölf Zoll lang; der Schnabel ist oben gewölbt und roth, an der Seite zusammengedrückt, schwarz, und hat auf jeder Seile zwei Furchen. Das Gefieder ist oben Papageygrün, unten blassgrün. Es ist dieser Vogel nur erst in zwei Exemplaren auf dem spanischen Amerika nach Europa gebracht und seiner Lebensart nach nicht bekannt, die wahrscheinlich mit der der Pfefferfrasse (Rhamphastos) Aehnlichkeit haben wird.~~Die Pogonias.~~Die Pogonias sind Vögel, welche den Bartvögeln sehr nahe stehen. Die Fig. 2-5 abgebildeten Arten sind in Afrika zu Hause.~~Fig. 2. Der furchenschnabelige Pogonias (Pogonias sulcirostris.)~~ist oben blauschwarz, die Flügel sind braun, Kehle, Obertheil der Brust und Unterleib weisser Fleck. Der Oberschnabel hat eine starke Längenfurche.~~Fig. 3. Der glattschnabelige Pogonias (Pogonias laevirostris.)~~unterscheidet sich von dem vorigen nur durch seinen glatten Schnabel, und durch scharlachrothe Flecken auf dem Scheitel und einer merklichen scharlachrothen Rinde über die Flügel.~~Fig. 4. Vieillot's Pogonias. (Pogonias Vieilloti.)~~Das Gefieder ist an der Hauptfarbe braun, unten weisslich. Der Ober- und Vordertheil des Körpers mit scharlachrothen Flecken besetzt. Die mittlern Schwungfedern mit blassen Rändern.~~Fig. 5. Stephens's Pogonias. (Pogonias Stephensii.)~~Schwarz von Farbe mit rothem Scheitel über den Augen und auf dem Rücken mit gelben Fleckenstreifen, an der Seite des Halses scharlachroth, und auf dem Rücken steht ein weisse Flecken. Der Unterleib weiss.~~193
Ad00341 08 064a/freOiseaux. CX. Vol. X. No. 62.
BEAUX OISEAUX GRIMPEURS.
Fig. 1. L'Aracari à bec silloné. (Pteroglossus sulcatus.)
Cet oiseau a douze pouces de long, y compris le bec qui en a trois, et dont la partie supérieure est voûtée et rouge, les côtes applatis et noirs. De chaque côté on distingue deux sillons. Le plumage, est en haut vert de perroquet et en bas vert-pale. Comme il n'a été apporté de l'Amérique espagnole en Europe que deux exemplaires de cet oiseau, on ne connoît pas encore son genre de vie, qui selon toute vraisemblance aura beaucoup d'affinité avec celui du Rhamphastos.
Les Pogonias.
Les Pogonias sont des oiseaux qui se rapprochent beaucoup des oiseaux, barbus. Les 4 espèces figurées sur notre planche sont indigènes à l'Afrique.
Fig. 2. Le Pogonias à bec silloné. (Pogonias sulcirostris.)
Le haut du corps est d'un noir bleuâtre; les ailes sont brunes, le gosier, la partie supérieure de la poitrine et le bas-ventre d'un louge d'écarlate, et il se trouve sur le dos une taohe blanche. Le bec supérieur est pourvu d'un sillon longitudinal très-marqué.
Fig. 3. Le Pogonias à bec uni. (Pogonias laevirostris.)
Ce Pogonias se distingue du précédent par son bec uni, par la tache écarlate située sur le sommet de la tête et la bande d'un rouge d'écarlate, dont les aîles sont décorées.
Fig. 4. Le Pogonias de Vieillot. (Pogonias Vieilloti)
Le brun est la couleur dominante du plumage, qui est blanchâtre au-dessous du corps. Les parties supérieure et antérieure du corps sont parsemées de taches écarlates, Les bords des pennes du milieu sont pâles.
Fig. 5. Le Pogonias de Stephens. (Pogonias Stepliensii.)
Il est noir, mais le sommet de la tête est rouge. On remarque au dessnâ des yeux et sur le dos de petites bandes ou raies jaunes, et sur les côtés du cou des taches blanches. Le dessous du corps est blanc.
Ad00341 08 065aDie auf unserer Tafel befindlichen Gewächse gehören in'sgesammt zu der Familie der Schwämme und zwar zu den Staub- und Fadenpilzen.~~Staubpilze (Coniomyci) sind die untersten Anfänge der Vegetation. Sie erzeugen sich auf erkrankenden Pflanzensäften, sowohl lebender Pflanzen, als auch aus Dämmerde. Man muss sie für wirkliche Vegetabilien halten, da ähnliche auf ganz verschiedenen Gewächsen entstehen.~~Fig. 1. Der Weidenblattschorf. (Xylama Salicinum.) Man bemerkt ihn auf Ahorn-, Massholder- und Weidenblättern im Spätsommer. a. Natürliche Grösse; b. vergrössert.~~Fig. 2. Die gegitterte Röstelia (Röstelia cancellata.) ist zumal an Birnenblättern häufig, wo sich an der Oberhaut schlauchartige Hüllen von Fasergewebe erheben, die sich an der Spitze in gitterförmige Fasern auflösen.~~Fig. 3. Der Beiberitzenstaubpilz. (Arcidium Berberidis) Erscheint an mancherlei Pflanzen (z. B. Euphorbia, Berberis), als eine Folge krankhafter Säfte. Es entstehen gewöhnlich ziegelrothe Flecken, welche sich auf der Unterseite in Röhren erheben, dann zerreissen, sich mit gezähnten Rändern zurückschlagen, und einen gelbrothen Staub ausstreuen. a. Ein Berberitzenblatt in natürlicher Grösse; b. das Häufchen Aecidium vergrössert.~~Fig. 4. Der Schmierbrand. (Uredo sitophila.) Dieser, auch Kornbrand, Faulbrand, Kornfäule etc. genannte Pilz, ist die Folge einer Krankheit des Getraides, und, seiner äusseren Wahrnehmung nach, allgemein bekannt. Er nimmt den Fruchtknoten des Getraides in Anspruch.~~Fig. 5. Der Spelzbrand. (Uredo plumarum.) Zeigt sich als runde oder längliche Sporen von pomeranzengelber Farbe an den Kelch und Blumenspelzen des Waizens, Dinkels u.s.w., und ist den Oekonomen so schädlich, als der vorige.~~Fig. 6. Der Flugbrand. (Uredo segetum.) Kommt in den Aehren der meisten Getraidearten und vieler wildwachsenden Gräser vor, und verwandelt das Mehl des Saamenkorns in ein kienrussähnliches Pulver.~~Fig. 7. Der Rost (Stielbrand.). (Puccinia graminis.) Dieses zerstörende Gewächs wird auf den Halmen der meisten Getraidearten und vieler Gräser angetroffen. a. Ein kranker Halm; b. ein Stückchen der Oberhaut, vergrössert; c. der Pilz, noch mehr vergrössert.~~Fig. 8. Die Rosenwarze. (Tubercularia vulgaris.) Zeigt sich auf den vertrockneten Zweigen der Johannisbeerstöcke, Pflaumenbäume etc., und ist gemeiniglich von zinnoberrother Farbe.~~Fig. 9. Die Weichkugel. (Gymnosporangium juniperinum.) Zeigt sich an den Wachholderbüschen als goldgelbe Gallert, die aus kropfartigen Anschwellungen hervortritt. b. Die freien Sporidien, vergrössert.~~Die Fadenpilze sind glashelle Fäden und Röhren, die bereits mit Fruchtkapseln besetzt sind, welche Saamen und Sporen innerlich enthalten. Man kann sie in Gallert-, Faser- und Staubschimmel theilen.~~Fig. 10. Der Sternschimmel. (Bystocladium fenestrale.) Kommt, als kleine graue Fleckchen, die sich strahlig ausbreiten, an den Fensterscheiben dumpfiger Zimmer vor.~~Fig. 11. Der Strahlschimmel. (Polyactis vulgaris.) Erscheint, als aufrechte ästige Fäden, auf Zweigen und Blättern in verschlossener Luft.~~Fig. 12. Die Knopffaser. (Racodium cellare.) Man bemerkt diesen faserigen Pilz an den Fässern der Keller. a. Natürliche Grösse;~~b. vergrössert; c. noch mehr vergrössert.~~Fig. 13. Die Starrfaser. (Dematium rupestre.) Bildet auf alten Stämmen einen tuchartigen, schwarzen Überzug.~~Fig. 14 Der zierliche Astfaden. (Thamnidium elegans.) Zeigt sich auf Kleister.~~Fig. 15. Der Kopffaden. (Mucor caninus.) Ist weiss, mit gelblichen, unten genabelten Köpfchen, und kommt in nassen Wintern auf trockenem Hundekoth vor. a. Natürliche Grösse; b. einzelne vergrösserte Fäden mit Blase; c. eine geplatzte Blase.~~Fig. 16. Der Springfaden. (Pilobolus crystallinus.) Ein einfacher, hohler, keulenförmiger, weisser Stiel, wirft bei der Reife eine schwarze runde Blase elastisch von sich. Man findet ihn auf dem Miste des Rindviehes.~~Fig. 17. Der Käferkeulenschopf. (Isaria Eleuteratorum, Nees.) Kommt als ästiger keulenförmiger Träger einfacher Fäden im Winter und Herbste auf todten Käfern vor.~~193
Ad00341 08 065a/frePlantes. CLXVIII. Vol. X. No. 63.
CHAMPIGNONS PULVÉRULENTS ET FILAMENTEUX.
Les plantes figurées sur notre planche appartiennent toutes à la famille des champignons, et sont partie des champignons pulvérulents et filamenteux.
Les champignons pulvérulents (Conioinyci), sont les premiers commencements de la végétation et proviennent des sucs valétudinaires des plantes soit des plantes vivantes, soit du terreau. On doit les considérer comme de véritables végétaux, puisqu'il en croît de semblables sur des plantes tout-a-fait différentes.
Fig. 1. Le Xylome des Saules (Xyloma Salicinum)
se trouve vers l'automne sur les feuilles de l'érable, du genévrier et du saule.
a. grandeur naturelle;
b. grossi.
Fig. 2. La Röstelia grillée (Röstelia cancellata)
abonde sur les feuilles de poirier, où s'élèvent à l'épiderme des enveloppes de tissus silamenteux en forme d'outrés, qui à l'extrémité se perdent en filaments grillés.
Fig. 3. L'Aecide de Berberis (Aecidium Berberidis)
se manifeste sur plusieurs espèces de plantes telles que l'Euphorbe, le Berberis, comme la suite d'une sève maladive. Jl s engendre communément des taches d'un rouge de tuile, qui s'élèvent par en bas en tuyeaux, se cassent, se replient avec des bords crénelés, et disséminent une poussière d'un rouge jaunâtre.
Fig. 4. L'Urede sitophile. (Uredo sitophila.)
Ce Champignon provient d'une maladie du blé et est généralement connu. Jl attaque le germe du blé.
Fig. 5. L'Urede des glumes (Uredo glumarum)
se présente comme des spores ronds ou oblongs et d'une couleur d'orange, au calice et aux glumes du froment de l'épautre etc. Jl est aussi pernicieux que le précédent.
Fig. 6. L'Urede des épis (Uredo segetum.)
attaque les épis de la plus grande partie des espèces de blé et de beaucoup d'herbes. Jl change la farine du grain en une poudre noirâtre.
Fig. 7. La Rouille. (Puccinia graminis.)
Ce végétal destructeur se trouve sur les tiges de la plupart des espèces de blé et de beaucoup d'herbes.
a. une tige assectée;
b. un petit morceau d'épiderme grossi;
c. le champignon plus grossi encore.
Fig. 8. La Tuberculaire commune (Tubercularia vulgaris)
se trouve sur les branches sèches du groseiller, du prunier etc., et est d'un rouge de Cinabre.
Fig. 9. Le Gymnosporange des genévriers (Gymnosporangitun juniperinum.)
se manifeste sur les genévriers sous la forme d'une gélatine d'un jaune d'or, qui sert d'exhaussements semblables à un goitre.
b. les Spores grossis.
Les champignons filamenteux sont des filaments ou tubes, aussi clairs que le verre, doués de capsules, qui contiennent intérieurement des semences et des spores. On peut l'a diviser en moisissures gélatineuses, silamenteuses et poudreuses.
Fig. 10. Le Bystoclade des fenêtres. (Bystocladium fenestrale.)
Jl abonde aux carreaux de vitre des chambres humides et forme de petites taches qui s'étendent eu rayons.
Fig. 11. Le Polyactis commun (Polyactis vulgaris)
forme des filaments ramifiés et perpendiculaires sur les branches et les feuilles des plantes qui se trouvent dans un appartement formé.
Fig. 12. Le Racodium des caves. (Racodium cellare)
Ce champignon s'attache aux tonneaux dans les caves.
a. Grandeur naturelle;
b. grossi;
c. plus grossi.
Fig. 13. Le Dematium des Roches (Dematium rupestre)
forme sur les vieilles souches un enduit noirâtre, qui se rapproche du drap.
Fig. 14. Le Thamnidie elegant (Thamnidium elegans)
se manifeste sur la colle.
Fig. 15. La Moisissure de la crotte de chien. (Mucor caninus)
Blanc, avec de petites tètes jaunâtres, se développe dans les hivers humides sur la crotte de chien sèche.
b. filaments grossis avec la vescie;
c. une vescie crevée
Fig. 16. Le Pilobole crystallin. (Pilobolus crystallinus)
Tige simple, creuse, blanche, en forme de massue, rejetant ékisLiquement, lors de sa maturité, une vescie ronde et noire. Jl se trouve sur la fiante des boeufs.
Fig. 17. L'Isaire des scarabées. (Jsaria Eleuteratorum, Nees.)
se présente en hiver et en automne sur les scarabées morts comme le sommier ramisie et sphéroidal de filaments isolés.
Ad00341 08 066aIm Mittelpunct von Asien erhebt sich das grösste und höchste des bis jetzt bekannten Gebirgs-Plateau's, fast ohne Zweifel als Wohnort der ersten Menschen anzunehmen.~~Die Bergkette, die es im Süden umgiebt und in der Sprache der Hindus Tschaudravikhura (Mondgebirge) heisst, theilt sich in die westliche - den Hindukusch oder Indischen Caucasus, welche den Indus durchlässt und das reizende Thal von Kaschemir umschlingt und in die östliche - das Himalih-Gebirge (Wohnung des Schnee's), der Alten Imaus, Emodes und Himodus.~~Die nördliche Kette des Himalih bildet den Hauptkamm und ist von Hindostan aus schon in einer Entfernung von 45 geographischen Meilen zu sehen. Die Höhe des höchsten gemessenen Piks fand der Engländer Webb 26 862 Fuss über dem Meere.~~Alle diese Messungen sind jedoch nur auf der Ferne aufzunehmen gewesen, denn dem höhern Gebirge sich zu nähern ist wohl eine Unmöglichkeit. Alle Schrecknisse der Natur an Klippen, Klüften, unergründlichen Tiefen, Wasserstürzen, Gletschern und den furchtbarsten Schneemassen finden sich hier in solcher Riesengrösse vereinigt vor, dass die Gefahren, welche Bergbesteiger in der Schweiz etc. auszustehen haben, als wahre Miniaturgemälde dagegen erscheinen. Kaum kann man bis in die mittlere Region, wo sich schon kein Schnee mehr findet und anders vordringen, als in schmalen Räumen, welche brausend Flüsse neben ihren Betten in den Gebirgsschlünden offen lassen.~~In diesen Granitgebirgen, die sich von Ferne als meergrüne, braune und lebergraue Felsen zeigen, entspringen Asiens grösste Flüsse, der Indus, die Bramaputra, die Jumna, die Quellenflüsse des Ganges u.s.w. Nach den letzteren wallfahrten seit Jahrtausenden zahllose Pilger und fast jeder Schritt des Weges dahin ist durch Mythen der Sanskrit geheiligt - bis dahin sind auch namentlich die Europäer gekommen.~~Unsere beiden Tafeln zeigen das Gebirge von der Südseite auf zwei merkwürdigen Puncten zwischen dem 95 1/2 bis 96 1/2 Längen und 31 1/2 Breiten-Grad, da wo die Quellen des Baglisati und der Jumna liegen, die jedoch in dem Felsen-Chaos nicht zu erkennen sind. Im Hintergrund der weisse Schneekamm, davor die mittlere Region in ungeheueren Granitmassen, mit spärlicher Vegetation, im Vorgrunde theilweise Waldung, Vegetation besonders der Bobel oder die Indische Acacie.~~In der mittleren Region finden sich fast nur Moose und Alpenpflanzen, von Säugethieren der Argali, die Gemse, und das Murmelthier; weiter herunter wohnen der grunzende Ochs, die Caschemir-Ziege, Raubthiere. Auf dem Nordabhang des Gebirges zeigen sich mehr Europäische Jahreszeiten und Vegetation, die Flora und Früchte Europa's, Pfirschen, Rosen, die meisten Forstbäume, Wallnüsse etc., er senkt sich nicht so weit, wie der südliche herab und seine niedrigste Fläche ist immer noch einmal so hoch als Fichtelgebirg und Brocken.~~Der südliche Abhang setzt sich nicht plötzlich ab, sondern bildet eine ziemlich bedeutende, das nördliche Hindostan umfassende Terrasse, Seine Thäler liegen 3000-4000 Fuss über der heissen Tropenfläche von Bengalen und geniessen eines wahrhaft paradiesischen Klimas. In ihnen vereinigt sich Indiens Vegetation mit der Europäischen, Orangen und Granaten, Aepfel und Wallnüsse, Reis und Gerste, Flachs, Hanf und Baumwolle wachsen da nebeneinander. An Thieren lebt hier der Elephant, der Bär, der Tiger, das Moschusthier etc.~~Dieser Landstrich ist den Europäern bis in das erste Zehend des 19. Jahrhunderts fast unbekannt geblieben. Die Kriege der Briten mit Nepaul führten sie in diese Gegenden, von denen sie sich einen Theil unterworfen haben. Ihnen gehören da die Landschaften Sicmore, Gurwal, Kumaon u.s.w., an Nepaul und Assam stossend.~~193
Ad00341 08 066a/freMelanges. CCLXIV u. CCLXV. Vol. X. No. 64 u. 65.
DEUX VUES DE LA Chaine L'HIMALIH.
Au centre de l'Asie s'élève le plus haut et le plus grand plateau connu jusqu'à nos jours, que l'on peut adopter sans aucune incertitude pour le séjour des premiers hommes.
La chaîne de montagnes qui l'entoure au Sud, nommée dans la langue des Hindoux tschaudravikhura (montagne de la lune), se divise en occidentale — l’Hindukusch, ou le Caucase de l'Inde, qui laisse un passage à l’Indus, et qui ceint la charmante vallée de Caschemir, et en orientale — le mont Himalih, séjour de la neige, l’Imaus, l’Emodes et Himodus des Anciens.
La chaîne septentrionale de l'Himalih forme la crête principale et s'aperçoit de l'Indostan à la distance de 45 milles géographiques. L'anglois Webb porte la hauteur du pic le plus élevé qu'il a mesuré à 26,862 piés au dessus de la mer.
Il est vrai que tous ces arpentages ne peuvent se faire que dans un grand éloignement, puisqu'il est de toute impossibilité de s'approcher de la plus haute montagne. Tout ce que la nature a de plus effrayant en eccueils, abymes, précipites, torrents, glaciers et masses énormes de neige, s'y trouve en si grande quantité, que les hazards, auxquels s'exposent ceux'qui gravissent les montagnes de la Suisse, ne sont que des bagatelles en comparaison de ceux-ci. Ce n'est qu'en faisant les plus grands efforts que l’on parvient dans la région du milieu, où ne se trouve pas la moindre neige et l'on ne peut y arriver que par des espaces étroits que les fleuves bondissants laissent vides à côté de leurs lits.
Ces montagnes de granit, qui de loin ont l'air de rochers bruns, couleur de musc et verts de mer, contiennent les sources des plus grands fleuves de l'Asie, tels que l’lndus, la Bramaputra, la Jumna, le Gange etc. Il y a déjà des milliers d'années que les sources du Gange sont visitées par d'innombrables pèlerins, et le long de ce chemin on ne sauroit faire un pas sans rencontrer des passages de la mythologie des Indous. — Les Européens ont également pénétré jusque là.
Nos deux planches figurent deux points remarquables du côté méridional de la montagne entre le 95 1/2 et le 96 1/2 degré de longitude et le 31 1/2 de latitude, là où se trouvent les sources du Baglisati et de la Jumna, quoiqu'on ne puisse pas les reconnoître dans le chaos des rochers. On apercoit dans le fond la crête de neige blanche devant laquelle est située la région du milieu, composée de masses énormes de granit, avec une végétation insignifiante, et sur le devant des forets; la végétation, surtout celle de la bobel, ou acacia des Indes, y est assez active.
La région du milieu ne produit que des mousses et des plantes des Alpes; l'argali, les chamois et les marmottes sont les seuls des mammifères qui l'habitent; mais plus bas on trouve le boeuf grogneur, la chèvre de Caschemir et des animaux rapaces. Le penchant septentrional offre les saisons, la végétation, les fleurs et les fruits de l'Europe, tels que pêches, roses, la plupart des arbres des forets, des noix, et il ne s'étend pas aussi bas que celui du midi et sa plus basse surface est toujours une fois aussi haute que le Fichtelberg et le Brocken.
Le côté méridional a une pente assez continue et forme une terrasse imposante, qui embrasse le nord de l'Indostan. Ses vallons situés à 3,000—4,000 piés au dessus de la chaude surface du Bengale, jouissent du climat le plus délicieux, aussi la végétation des Indes y est-elle réunie à celle de l'Europe. Les oranges et les granades, les pommes et les noix, le riz et l'orge, le lin, le chanvre et le coton y croissent à côté l'un de l'autre. L'éléphant, l'ours, le tigre, y vivent. Cette contrée est restée inconnue aux Européens jusqu'au commencement du 19e siècle. Les guerres que l'Angleterre a eu à soutenir contre le Nepaul ont conduit les Anglois dans ces contrées, dont ils ont subjugué une partie. Ils sont restés maîtres de Sirmore Gurval, Kumaon, et ce qui tiennent au Nepaul et à l'Assam.
Ad00341 08 067aIm Mittelpunct von Asien erhebt sich das grösste und höchste des bis jetzt bekannten Gebirgs-Plateau's, fast ohne Zweifel als Wohnort der ersten Menschen anzunehmen.~~Die Bergkette, die es im Süden umgiebt und in der Sprache der Hindus Tschaudravikhura (Mondgebirge) heisst, theilt sich in die westliche - den Hindukusch oder Indischen Caucasus, welche den Indus durchlässt und das reizende Thal von Kaschemir umschlingt und in die östliche - das Himalih-Gebirge (Wohnung des Schnee's), der Alten Imaus, Emodes und Himodus.~~Die nördliche Kette des Himalih bildet den Hauptkamm und ist von Hindostan aus schon in einer Entfernung von 45 geographischen Meilen zu sehen. Die Höhe des höchsten gemessenen Piks fand der Engländer Webb 26 862 Fuss über dem Meere.~~Alle diese Messungen sind jedoch nur auf der Ferne aufzunehmen gewesen, denn dem höhern Gebirge sich zu nähern ist wohl eine Unmöglichkeit. Alle Schrecknisse der Natur an Klippen, Klüften, unergründlichen Tiefen, Wasserstürzen, Gletschern und den furchtbarsten Schneemassen finden sich hier in solcher Riesengrösse vereinigt vor, dass die Gefahren, welche Bergbesteiger in der Schweiz etc. auszustehen haben, als wahre Miniaturgemälde dagegen erscheinen. Kaum kann man bis in die mittlere Region, wo sich schon kein Schnee mehr findet und anders vordringen, als in schmalen Räumen, welche brausend Flüsse neben ihren Betten in den Gebirgsschlünden offen lassen.~~In diesen Granitgebirgen, die sich von Ferne als meergrüne, braune und lebergraue Felsen zeigen, entspringen Asiens grösste Flüsse, der Indus, die Bramaputra, die Jumna, die Quellenflüsse des Ganges u.s.w. Nach den letzteren wallfahrten seit Jahrtausenden zahllose Pilger und fast jeder Schritt des Weges dahin ist durch Mythen der Sanskrit geheiligt - bis dahin sind auch namentlich die Europäer gekommen.~~Unsere beiden Tafeln zeigen das Gebirge von der Südseite auf zwei merkwürdigen Puncten zwischen dem 95 1/2 bis 96 1/2 Längen und 31 1/2 Breiten-Grad, da wo die Quellen des Baglisati und der Jumna liegen, die jedoch in dem Felsen-Chaos nicht zu erkennen sind. Im Hintergrund der weisse Schneekamm, davor die mittlere Region in ungeheueren Granitmassen, mit spärlicher Vegetation, im Vorgrunde theilweise Waldung, Vegetation besonders der Bobel oder die Indische Acacie.~~In der mittleren Region finden sich fast nur Moose und Alpenpflanzen, von Säugethieren der Argali, die Gemse, und das Murmelthier; weiter herunter wohnen der grunzende Ochs, die Caschemir-Ziege, Raubthiere. Auf dem Nordabhang des Gebirges zeigen sich mehr Europäische Jahreszeiten und Vegetation, die Flora und Früchte Europa's, Pfirschen, Rosen, die meisten Forstbäume, Wallnüsse etc., er senkt sich nicht so weit, wie der südliche herab und seine niedrigste Fläche ist immer noch einmal so hoch als Fichtelgebirg und Brocken.~~Der südliche Abhang setzt sich nicht plötzlich ab, sondern bildet eine ziemlich bedeutende, das nördliche Hindostan umfassende Terrasse, Seine Thäler liegen 3000-4000 Fuss über der heissen Tropenfläche von Bengalen und geniessen eines wahrhaft paradiesischen Klimas. In ihnen vereinigt sich Indiens Vegetation mit der Europäischen, Orangen und Granaten, Aepfel und Wallnüsse, Reis und Gerste, Flachs, Hanf und Baumwolle wachsen da nebeneinander. An Thieren lebt hier der Elephant, der Bär, der Tiger, das Moschusthier etc.~~Dieser Landstrich ist den Europäern bis in das erste Zehend des 19. Jahrhunderts fast unbekannt geblieben. Die Kriege der Briten mit Nepaul führten sie in diese Gegenden, von denen sie sich einen Theil unterworfen haben. Ihnen gehören da die Landschaften Sicmore, Gurwal, Kumaon u.s.w., an Nepaul und Assam stossend.~~193
Ad00341 08 068aFig. 1. und 2. Die schöne Irene. (Irena puella.)~~Diess sind sehr schöne, in ihrem Körperbau einigermaassen unseren Krähen ähnliche Vögel; das Gefieder ist bei dein Männchen, Fig. 1, auf dem ganzen Obertheil schön schmalteblau, am Untertheil sammtschwarz; bei dem Weibchen, Fig. 2., aber, ist das Gefieder von dunklem Blau, mit grünem Schimmer, die Schwungfedern sind braun, welche Farbe auch die untere Seite der Flügel und Schwanz haben. Auch erscheinen auf dem Kopfe, Nacken und dem Obertheil des Körpers überhaupt braune Wellenlinien. Schnabel und Füsse sind schwarz, Ihr Vaterland ist Java und Sumatra, wo sie in Holzungen und Wäldern leben, und sich von Früchten und Saamenkörnern nähren.~~Fig. 3. Der Temia. (Phrenotrix Temia.)~~Auch dieser, in seinem Körperbau dem Raben nahe kommende, kleine Vogel, ist auf Java zu Hause. Der Kopf ist um den Schnabel und die Augen herum tief dunkelschwarz. Die Hauptfarbe des Körpers ist russschwarz, mit tief olivengrünem Schimmer; auf dem Schwanz ist der grüne Schimmer schwächer und die schwarze Farbe tritt als eine Art braun, hervor. Schnabel und Füsse sind völlig schwarz. Die Temia hat einen schwerfälligen Flug, und nährt sich von Insekten.~~194
Ad00341 08 068a/freOiseaux. CXI. Vol. X. No. 66.
JOLIS OISEAUX ÉTRANGERS.
Fig. 1 et 2. La. belle Irène. (Irena puella.)
Ces charmants oiseaux se rapprochent beaucoup, pour la structure du corps, de nos corneilles. Toute la partie supérieure du mâle (fïg. 1.) est d'un beau bleu d'émail et la partie insérieure d'un noir velouté; mais le plumage de la semelle (fig. 2.) est d’un bleu foncé à reflet verd. Le brun est la couleur des pennes, du dessous des aîles et de la queue. On distingue en général des lignes ondoyantes brunes sur la tête, la nuque et le dessus du corps. Le bec et les pieds sont noirs. Java et Sumatra sont patrie de cet oiseau, qui séjourne dans les forêts et les bois, et se nourrit de fruits et des graines.
Fig. 3. Le Temia. (Phrenotrix Temia.)
Ce petit oiseau, dont le corps est à peu près bâti comme celui du corbeau, est également indigène à l'île de Java. La tête est d'un noir très-foncé autour du bec et des yeux. La couleur principale du corps est le noir de suie à reslet verd d'olive soncé, plus l'oiblo cependant sur la queue, et le noir s'y perd presque en une espèce de brun. Le bec et les pattes sont tout-à-fait noirs. Le Temia, dont le vol est très-lourd, se nourrit d'insectes.
Ad00341 08 069aDie Salamander bestehen, nachdem sie das Ei verlassen, wie die Frösche, mehrere Verwandlungen. Man rechnet sie daher passender zu den letztern, als zu den Eidechsen, welchen man sie auf den ersten Blick, ihrer Gestalt wegen, zugesellen möchte. Unsere Kupfertafel zeigt den~~Gemeinen Wassersalamander (Lacerta palustris Gm. L. Salamandra cristata Schneid.)~~in den verschiedenen Graden seiner Ausbildung, vom Eie bis zum vollendeten Wachsthum.~~Fig. 1. zeigt uns das Weibchen, und~~Fig. 2. das Männchen.~~Fig. 3. stellt das Weibchen dar, während es sein Ei in eine Falte des Blattes einer Wasserpflanze (gewöhnlich wählt es hierzu den Wasserpfeffer, Volygonum Persicaria) legt. Die Hinterbeine halten das Blatt in der gehörigen Lage, bis es durch einen eigenthümlichen Leim, den das Thier von sich lässt, zusammengeklebt ist. Die Buchstaben a. a. a. bezeichnen dergleichen schon mit Eiern besetzte Blätter.~~Fig. 4. zeigt das frischgelegte Ei, welches gelblich weiss ist, eine durchsichtige, häutige Hülle hat und in einer Art von Eiweiss schwimmt.~~Fig. 5. Das Ei am achten Tage: der Embryo ist schon so weit entwickelt, dass man Bauch, Kopf und Schwanz unterscheiden kann.~~An Fig. 6. und 7. sieht man den allmähligen Fortgang der Entwickelung, wie er am 11ten und 13ten Tage bemerklich war.~~Fig. 8. zeigt den Embryo am 14ten Tage, nachdem er seine Hülle gesprengt hat, und~~Fig. 9. die Kaulquappe, 12 Tage nach ihrem Ausschliefen.~~Fig. 10 dieselbe 10, und~~Fig. 11. noch 15 Tage später.~~In Fig. 12. erkennen wir endlich den vollkommen ausgebildeten Salamander, wie er, 73 Tage nach dem Ausschliefen oder 86 Tage, nachdem das Ei gelegt worden, erscheint. Wenn er nun nach einigen Tagen noch die hinter dem Kopfe sitzenden Kiemen, womit er in seiner ersten Lebenszeit athmet, verloren hat, so erhält er ganz das Ansehen des vollkommnen Thiers, wie es Fig. 1. 2. 3. dargestellt ist.~~Der Salamander ist ein, in unsern Teichen und Quellen gemeines Thier. Besonders liebt er Waldgegenden. Wegen der verschiedenen Umwandlungen, die er erleidet, und der verschiedenen Färbung, hat man ein und dieselbe Art häufig für mehrere gehalten und mit besondern Namen belegt. Im Herbste begiebt sich der Salamander zeitig unter hohle Wurzeln, in Erdlöcher etc., wo er sich zwischen Moos und Laub verkriecht und den Winter in Erstarrung hinbringt. Die Nahrung des Wassersalamanders besteht in Insecten, Schnecken, Froschlaich etc.~~Aeusserst merkwürdig ist dessen ausserordentliche Reproductionskraft. Man kann ihm den Schwanz und die Füsse nicht bloss ein-, sondern mehrere Male hintereinander abschneiden, und sie wachsen stets von Neuem und erreichen oft schon nach einem halben Jahre ihre Vollständigkeit wieder. Selbst Kinnbakken und Augen reproduziren sich.~~194
Ad00341 08 070aFig. 1. und 2. Der kleinrüsselige Rochen. (Raja rostellata)~~Die Farbe dieser Rochen ist an der Rükkenseite (Fig. 1.) chamoisgelb mit schwärzlichen Bändern, der Rand des Körpers ist dunkelgrün; die Unterseite des Körpers (Fig. 2.) geht nach den Brustflossen zu in's Röthliche über, mit grossen schwarzen Streifen. Der Schwanz, so lang wie der Körper, ist mit einem schwarzen Streif gezeichnet. Die Augen sind goldgelb mit schwarzem Stern. Der Mund ist eng und mit zwei Reihen kleiner scharfer Zähne versehen. Es wird dieser Rochen an der Küste von Nizza, im mittelländischen Meere, gefangen und hat ein schmackhaftes Fleisch.~~Fig. 3. Der einfleckige Zitterrochen. (Torpedo unimaculatus.)~~Es ist schon im I. Bande unseres Bilderbuchs, No. 49, ein Zitterrochen abgebildet worden. Seit der Zeit hat man deren mehrere Arten kennen gelernt. Der Fig. 3. abgebildete, zeichnet sich durch den augenförmigen Fleck, von blauer Farbe mit schwarzem Umkreise, auf der Mitte des isabellgelben, mit weissen, sternförmigen Flecken besetzten, Rückens aus. Das Vordertheil des Kopfes ist ausgeschweift, der Schwanz dünn und lang und mit einer rundlichen Flosse endigend. Die elektrischen Organe sind klein, und der zwei Pfund schwere Fisch gab nur schwache Schläge. Er ist bei Nizza im Monat Februar gefangen.~~Fig. 4. Der marmorirte Zitterrochen. (Torpedo marmorata.)~~Dieser, ebenfalls bei Nizza gefangene, Zitterrochen giebt sehr starke elektrische Schläge; er unterscheidet sich durch seine Farbe, welche auf der Rückenseite fleischfarben und mit braunen Flecken getiegert, auf der untern Seite schmutzig weiss ist, und durch seinen eingekerbten Rand.~~194
Ad00341 08 071aWir sehen auf vorliegender Tafel mehrere weiche gallertartige Thiere von verschiedener, oft sehr sonderbarer, meist aber strahlenartiger Form, welche sich ausserordentlich häufig in allen Meeren, besonders der warmen Zonen, finden.~~Fig. 1. und 2. Die vierhornige Lucernaria. (Lucernaria quadricornis.)~~Diese Lucernaria hat einen gelbbraunen, fast kegelförmigen Körper, welcher nach unten zu sich glockenförmig erweiternd, in vier, an ihrem Ende wieder gespaltene, mit Tentakeln besetzte, Strahlen ausgeht, in deren Mitte sich die Mundöffnung befindet. Sie heftet sich an Seegras etc. und nährt sich von kleinen, selbst hartschaligen, Seethieren, welche sie durch die in ihrem Innern befindliche Flüssigkeit auflösen kann.~~Fig. 3. Die Atlantische Physsophore. (Physsophora muonema.)~~Diess ist ein, mit den schönsten gelben, rothen und blauen Farben prangendes Geschöpf, was seinem Bau und seiner Lebensweise nach, noch sehr wenig bekannt ist. Die Mundöffnung findet sich in der Mitte an der untern Ausbreitung, von mannichfaltigen Strahlen und Anhängseln umgeben. An dem obern Theile befindet sich eine blasige Auftreibung und zwei Reihen Lappen, durch deren Ausdehnung und Bewegung das Steigen und Sencken des Geschöpfs bewerkstelligt werden soll. Man hat es am Atlantischen Ocean gefunden.~~Fig. 4. Die fadenförmige Rhizophyse. (Rhizophysa filiformis.)~~Ein langer fadenförmiger, aber sehr zusammenziehbarer Körper, von rosenrotherFarbe, oben, mit einer kleinen Blase, an den Seiten mit einer Reihe länglichter Läppchen. Ist im mittelländischen Meer gefunden.~~Fig. 5. und 6. Die schiffförmige Velelle. (Velella scaphidia.)~~Diess ist ein freischwimmendes Geschöpf, dessen weisslichter elliptischer, innen wie knorpelartiger, aussen gelatinöser, Körper oben einen eben solchen weisslichten dünnen Rückenkamm tragt, an seiner untern platten Fläche aber mit einer Menge schön blauen, fadenförmigen Tentakeln besetzt ist, in deren Mitte der Mund hervorragt. Ist im Atlantischen Ocean in Menge gefunden,~~194
Ad00341 08 072aWir sehen hier die Hauptstadt der, zum Theil mit Verbrechern, bevölkerten Colonie auf der, südöstlich von Neuholland gelegenen, grossen Insel Van Diemens Land. Hobartstown wurde erst im Jahr 1804 gegründet, und zählte 1821 schon über 409 Häuser und 2700 Einwohner; Die Stadt ist mit einem Regierungsgebäude 1), einer Kirche 2), Casernen 3), einem starken Gefängniss 4), einem Hospital 5) ausgestattet, wird durch eine Batterie 6) vertheidigt, und auf dem Nelsonsberge 7) befinden sich Signalposten und Telegraphen. Der Fluss Derwent, an welchem die Stadt liegt, ist für grosse Kauffartheischiffe fahrbar und es ist merkwürdig, wie diese, dem Südpole am nächsten liegende, Europäische Niederlassung schon mit so vielen, den Handel erleichternden, Bequemlichkeiten ausgestattet ist. Das Land hat ein mildes gesundes Klima, ist reich an allem, was zur Erhaltung und Erheiterung des Lebens beitragen kann, und es ist mit Sicherheit vorauszusehen, dass diese Colonie in kurzer Zeit eine der blühendsten werden wird, die England gegründet hat.~~194
Ad00341 08 072a/freMélanges. CCLXXVI. Vol. X. No. 70.
HOBARTSTOWN DANS L'ILE DE VAN DIEMENS LAND.
Notre planche figure la capitale de la colonie établie dans la grande île de Van Die mens Land, située sud-est de la nouvelle Hol lande. Hobartstown n'a été fondé qu'en 1804, et contenoit en 1821 au delà de 400 maisons et de 2700 habitants. La ville est pourvue d'un édifice pour le gouvernement 1); d'une église 2); de casernes 3); d'une forte prison 4); parce-que la colonie est en grande partie peuplée de criminels; d'un hôpital 5); elle est défendue par une batterie 6), et l'on a placé sur le mont-Nelson 7) des signaux et des telegrapher, La rivière Dervent, qui baigne les murs de cette ville, est navigable pour les gros vaisseaux marchands. Cette colonie européenne, à une telle proximité du pôle du sud, est déjà fournie de grandes commodités necestaires pour faire un commerce avantageux. Le pays, dont le climat est doux et très-sain, produit abondamment tout ce qui peut contribuer tant à la conservation qu'aux agréments de la vie, et l'on peut annoncer avec certitude que dans peu cette colonie sera une des établissements les plus florissants que l’Angleterre ait fondés.
Ad00341 08 073aFig. 1. Der Siamang (Simia syndactyla.)~~Das Vaterland des Siamang - wie ihn die Malayen nennen - ist Sumatra, wo ihn der Gouverneur, Sir Stamford Raffles entdeckt hat. Er ist von gagatschwarzer Farbe und von starkem, muskulösem Bau. Das Haar ist lang und sanft, das nackte Gesicht schwarz, so auch die Brüste des Weibchens. Die ganze Höhe des Thieres, von der Ferse bis zum Scheitel, misst 3 Fuss 2 Zoll; der Arm allein 1 Fuss 1/2 Zoll. Der Bau der hinteren Hände, an welchen der Zeige- und Mittelfinger bis zum mittelsten Fingergliede verwachsen sind (daher der Name "syndactyla"), ist besonders merkwürdig, auch verdient der Zahnbau dieses Affen die Aufmerksamkeit der Naturforscher. Die Ohren liegen dicht am Kopfe an, und haben äusserlich die Bildung, wie bei'm Menschen. Die fast 2 Zoll langen Haare, mit denen dieser Affe bedeckt ist, sind, die auf dem Kopf ausgenommen, gelockt. Die Siamangs leben gern in den Wäldern in grossen Heerden zusammen.~~Fig. 2. Der Cimepeye. (Simia melalophos.)~~Er lebt gleichfalls auf Sumatra. Sein Pelz besteht aus langen seidenartigen Haaren, von lebhaftem Rothgelb auf dem Rücken, an den Seiten des Körpers, am Hals, Schwanz, auf der äussern Seite der Glieder, so wie oben auf den Händen, auf der Stirn und an den Backen. Die Brust, der Bauch und die innere Seite der Glieder sind weisslich. Das Gesicht und die Ohren sind blau. An den Wangen stehen die Haare dick, und bilden einen schönen, nach hinten gerichteten Backenbart. Das Thier ist von der Schnauze bis zur Schwanzwurzel 1 Fuss 6 Zoll, und von da bis zur Schwanzspitze 2 Fuss 8 Zoll lang. In der Höhe hält es vorn 1 Fuss 1 Zoll, hinten 1 Fuss 4 Zoll Franz. Maass.~~Fig. 3. Der Mohrenaffe. (Simia maura.)~~Von den übrigen Schwanzaffen zeichnet sich der Mohrenaffe durch sein flaches Gesicht und den von der Brust nach den Lenden zu mächtig abfallenden Leib aus. Das Gesicht ist regelmässig mit langen Haaren eingefasst, die dicht am Kopfe liegen. Der Schwanz ist so lang, als Rumpf und Kopf zusammengenommen. Die Farbe ist überall tiefschwarz, ausgenommen Brust, Bauch, innere Seite der Extremitäten und Schwanzwurzel, welche sämmtlich grau sind. Die Länge des Thieres beträgt von der Nasenspitze bis zur Schwanzwurzel 2 Fuss 3 Zoll und von dieser bis zur Schwanzspitze 2 Fuss 4 Zoll Engl. Maass. Der Mohrenaffe lebt in den weitläuftigen Waldungen von Java in grossen Trupps vereinigt. Seine Nahrung sind Pflanzen, Baumblätter und wilde Früchte.~~Fig. 4. Die Mone. (Simia Mona.)~~Das Vaterland dieses schönen Affen ist Afrika. Sein Kopf ist goldgelb und grünglänzend, der Rücken und die Seiten kastanienbraun und mit Schwarz gefleckt. Die obere Seite der Beine und des Schwanzes ist schön schiefergrau. Der Hals, die Brust, der Bauch und die innere Seite der vier Gliedmaassen sind glänzend weiss. Auf den Backen steht ein dicker blassgelber Backenbart. Das Gesicht ist von den Augen bis an die Nase bläulich, übrigens rein fleischfarben.~~195
Ad00341 08 073a/freMammifères. CVIII. Vol. X. No. 71
SINGES CURIEUX.
Fig. 1. Le Siamang. (Simia syndactyla.)
La patrie du Siamang — nom que lui donnent les Malayes— est Sumatra, où le Gouverneur Sir Stamford Raffles l’a découvert. Il est d'un noir d'agate et d'une organisation sorte et musculeuse. Le poil est doux et long, le visage sans poil et noir, les mamelles sont de la même couleur. Cet animal a depuis les talons jusqu'au sommet delà tête3piéds2poucesde haut, le bras seul 1 pied, J pouce. Le nom "syndactyla" lui est donné parce qu'aux mains postérieures les second et troisième doigt sont reunis jusqu'aux phalanges du milieu. Le système de dentition mérite aussi l'attention du naturaliste. Les oreilles, très. -rapprochées de la tète, sont extérieurement conformées comme celles de l'homme. Les poils, longs de près de 2 pouces qui recouvrent le corps de cette bête, sont, à l'exception de ceux de la tête, frisés. Les Siamangs vivent en société dans les forets. -
Fig. 2. Le Cimepeye. (Simia melalophos.)
Il vit également à Sumatra. La sourrure se compose de poils longs soyeux d'un jaunerougeatre vissur le dos, les côtés, le cou, la queue, sur la partie extérieure des membres, ainsi que sur les mains, le sront et les joues. La poitrine, le ventre et le côté intérieur des membres sont blanchâtres. Le visage et les oreilles soiit hleus. Les poils des joues sont épais et forment de belles moustaches, qui se dirigent en arrière. Cet animal a du museau jusqu'à la racine de la queue 1 pied 6 pouces de long, et de la jusqu'à la'pointe d.e la queue 2 pieds 8 pouces. Dressé, il a par devant 1 pied et 1 pouce et par derrière 1 pied 4 pouces, mesure de France.
Fig. 3. Le singe maure. (Simia maura.)
Il se distingue des autres Guenons par son visage plat et par son corps qui est sensiblement rentré depuis la poitrine jusqu'aux reins. Le visage est bordé de longs poils, pressés sur la tête. La queue est aussi longue que la tête et le tronc, pris ensemble. A l'exception de la poitrine, du ventre, du dessous des extrémités, et de la racine de la queue, qui sont tous gris, ce singe est d'un noir soncé. Cet animal a depuis. la pointe du nez jusqu'à la racine de la queue 2 pieds 3 pouces, et de cette dernière jusqu'à la pointe de la queue 2 pieds 4 pouces, mesure d'Angleterre, Le singe maure, dont la nourriture consiste en plantes, feuilles d'arbres et fruits sauvages, se tient dans les vastes forêts de Java, où il forme de grands troupeaux.
Fig. 4. La Mone. (Simia Mona.)
La tête de ce joli singe, qui habite l'Afrique, est d'un jaune doré et d'un vert éclatant, le dos et les côtés sont châtains et tachetés de noir; la partie supérieure des jambes et de la queue est d'un beau gris d'ardoise. Le cou, la poitrine, le ventre et le côté intérieur des quatre membres sont d'un blanc éclatant. Les joues sont décorées de moustaches épaisses d'un jaune pâle. Le visage est depuis les yeux jusqu'au nez bleuâtre, mais du reste couleur de chair.
Ad00341 08 074aFig. 1. u. 2. Die Brandente. (Anas Tadorna.)~~Kopf und Hals sind am Männchen tief dunkelgrün; der untere Theil des Halses, die Deckfedern der Flügel, Rücken, Seiten, Steiss und Schwanzwurzel reinweiss; die Schulterfedern, eine breite Binde über die Mitte des Bauchs, Unterleib, Schwungfedern und die Spitze der Schwanzfedern tiefschwarz; die Brust umgiebt ein breiter rostrother Gürtel, der nach dem Rücken heraufsteigt; der Flügelspiegel ist purpurgrün; die untern Deckfedern des Schwanzes sind rostroth; der Schnabel und die fleischige Erhöhung an der Stirn blutroth, die Füsse fleischfarben, die Iris braun. Die Länge beträgt 22 Zoll. Das Weibchen ist kleiner, an der Stelle der fleischigen Erhöhung ein weisser Fleck, und alle Farben schmutziger. Das Vaterland der Brandente ist der Norden und Osten von Europa, bis Island hinauf. Ihre Lieblingsaufenthaltsorte sind Brandungen. Sie nährt sich von Muscheln, kleinen Fischen, Fischlaich, Insecten und Seepflanzen. Sie legt 10-12 reinweisse rundliche Eier, und trägt die Jungen, wenn sie ausgebrütet sind, im Schnabel nach der See. Man kann von ihnen nur die Dunenfedern gebrauchen. Das Fleisch schmeckt schlecht und ranzig. -~~Fig. 3. und 4. Die weissäugige Ente. (Anas leucophthalmos.)~~Kopf, Hals, Brust und Seiten sind bei'm Männchen lebhaft roth gefärbt, Rücken und Flügel sind braunschwarz mit purpurnem Abglanz und mit kleinen rostrothen Puncten übersäet. Bauch und untere Deckfedern des Schwanzes sind reinweiss; der Schnabel ist bläulichschwarz mit schwarzem Nagel und die Iris weiss. Die Länge ist 15 Zoll. Das Weibchen hat nicht die Lebhaftigkeit der Farben, wie das Männchen, und ist nur 14 Zoll lang. Diese Ente bewohnt die östlichen Gegenden Europa's. Vorzüglich häufig trifft man sie am Don an. Im nördlichen und im südlichen Teutschland erscheint sie als Zugvogel, und hält sich am liebsten in Brüchen auf. Sie lebt von Insecten, kleinen Fröschen, Wasserpflanzen und deren Saamen. Das Weibchen brütet 9-10 weissgrüne Eier.~~Fig. 5. u. 6. Die Knäckente. (Anas Querquedula.)~~Am alten Männchen ist der Scheitel schwärzlich; über den Augen zieht sich eine weisse Binde nach dem Nacken. Bei'm Weibchen dagegen steht hinter und unter dem Auge eine weisse, braungefleckte Binde. Die Kehle ist weiss, bei'm Männchen schwarz. Kopf und Hals ist bei'm Männchen rostbraun mit weissen Puncten übersäet; die Deckfedern der Flügel sind aschgraubläulich; der Spiegel ist aschgraugrün, mit zwei weissen Binden eingefasst. Die Länge beträgt 15 Zoll. Die Knäckente bewohnt Europa und einen Theil von Asien und lebt von kleinen Schnecken, Insecten, Würmern, Wasserpflanzen. Sie legt 6-12 gelbgrüne Eier, und hat ein sehr wohlschmeckendes Fleisch. Aufgeschreckt, entflieht sie mit dem Rufe: Knäck, Knäck.~~195
Ad00341 08 074a/freOiseaux CXII. Vol. X. No. 72.
JOLIS CANARDS.
Fig. 1. 2. Le canard Tadorne. (Anas Tadorna.)
La tête et le cou du mâle sont d'un vert très-foncé, la partie insérieure du cou, les couvertures des alles, le dos, les côtés, le croupion et la base de la queue sont d'un blanc pur; les plumes des épaules, une large bande sur le milieu du ventre, le bas-ventre, les pennes et l'extrémité des pennes caudales, d'un noir foncé; la poitrine est entourée d'une large ceinture rousse, qui monte vers le dos; les ailes resléchissent le vert de pourpre; les plumes du dessous de la queue sont rousses, le bec et l'excroissance charnue du sront, d'un rouge de sang, les pattes couleur de chair, l'iris brune. Ce canard a 22 pouces de long. La femelle est plus petite; chez elle l'excroissance charnue est remplacée par une tache blanche et les couleurs sont plus sales. Ce canard habite le nord et l'est de l'Europe et même l'Islande. Il se plait dans les brisans et se nourrit de moules, de petits poissons, de srai, d'insectes et plantes marines. La cane pond de 10 à 12 oeuss ovales d'un blanc trèspur, et porte dans son bec ses petits, dès qu'ils sont éclos, vers la mer. On ne peut faire usage que de l'édredon de ces canards, dont la chair est mauvaise et sent le rance.
Fig. 3. 4. Le canard a iris blanc. (Anas leucophthalmos.)
La tète, le cou, la poitrine et les côtés du mâle sont d'un rouge vif, le dos et les ailes d'un noir brunâtre à reslet de pourpre et parsemés de petits points d'un rouge sale. Le ventre et les plumes du dessous de la queue sont d'un blanc pur; le bec est d'un noir bleuâtre, et l'iris blanche. Il a 15 pouces de long. La semelle n'en a que 14, et ses couleurs sont beaucoup moins vives. Ce canard, qui habite l'est de l'Europe, abonde surtout sur le Don. Il vient quelquesois, comme oiseau de passage, dans le nord et le midi de l'Allemagne, et séjourne de présérence dans des carrières. Il se nourrit d'insectes, de petites grenouilles, de plantes aquatiques et de leurs graines. La semelle couve de 9 à 10 oeufs d'un vert blanchâtre.
Fig. 5.6. Le canard Sarcelle d'Été. (Anas Querquedula)
Le sommet de la tête du vieux mâle est noirâtre; une bande blanche part au dessus des yeux et se prolonge vers la nuque, au lieu qu'il se trouve au dessus et au dessous de l'oeil de la semelle une bande blanche tachetée de brun. Le gosier est blanc, celui du mâle noir. La tête et le cou de ce dernier, sont bruns et parsemés de points blancs; les couvertures des alles sont d'un bleu gris-cendré, le miroir d'un vert grisâtre, bordé de deux bandes blanches. Ce canard, qui a 16 pouces de long, habite l'Europe et une partie de l'Asie, se nourrit de petits escargots, d'insectes, de vers et de plantes aquatiques, et sa chair est délicieuse. La femelle pond de 6 à 12 oeufs d'un vert jaune. Quand ce canard est effrayé, il s'envole en criant Knäck, Knäck.
Ad00341 08 075aSämmtliche, auf dieser Tafel abgebildeten, Fische gehören zu den, mit wirklichen Gräten versehenen, und zwar zu der Abtheilung derselben, welche statt der ersten Strahlen in den Rückenflossen Stacheln haben.~~Fig. 1. Lacépède's Gymnetrus. (Gymnetrus Cepedianus.)~~Der Körper dieses Fisches ist 1 Meter lang, mit Silberstaub bedeckt, und zeigt eine erstaunliche Schönheit. Drei grosse, runde, schwarze Flecken auf dem Rücken und ein dergl. länglicher am Bauch erheben jenen Glanz nur noch mehr. Die Rückenflosse ist hoch, schön purpurfarben und erstreckt sich über den ganzen Rücken hin. Die Brustflossen sind blass rosafarben und die Schwanzflosse ist schön carminroth. Er wird im April und Mai an den Küsten von Nizza gefangen.~~Fig. 2. Peron's Schuppenflosser. (Lepidopus Peronii)~~Auch dieser Fisch ist mit einem Silberstaube bedeckt, der goldene, rosafarbne und azurne Reflexe zeigt. Die Augen sind gross, silberfarben; die Iris goldig; die Rückenflosse gelb und die untern Brustflossen sind nichts weiter, als zwei löffelförmige Schuppen. Die Länge dieses Fisches beträgt 1 Meter. Sein Fleisch ist von sehr delicatem Geschmack. Er wird bei Nizza gefangen.~~Fig. 3. Der Portugiesische Schuppenflosser. (Lepidopus Lusitanicus.)~~Dieser Fisch wird über 5 Fuss lang. Die Augen sind gross, die Iris silberfarben. Die Farbe des Fisches, Flossen und Schwanz ausgenommen, welche blass braun sind, ist reich silberfarben, mit einem dunkelblauen Anstriche nach dem Rücken zu und ohne die geringste Spur von Schuppen.~~Fig. 4. Der durchsichtige Schuppenflosser. (Lepidopus pellucidus.)~~Der lange zusammengedrückte Leib dieses neu entdeckten Fisches ist so durchsichtig, dass man alle Bewegungen seiner innern Organisation sehen kann. Die Iris ist silberfarbig; die Flossen sind hellviolelt. Die Länge des ganzen Fisches beträgt 2 Decimeter. Die Fischer an der Küste von Nizza nennen ihn Carmarino.~~Fig. 5. Audifred's Quappe. (Blennius Audifredi.)~~Der Körper ist lackröthlich und mit einer Reihe runder Silberflecken erhöht, die sich vom Kopf bis nach dem Schwanze hin erstrecken. Der Kopf ist mit Silberpuncten überstreut; die Iris goldfarben, der Stern schwarz. Der Fisch ist 1 Decimeter lang und lebt in der Gegend um Nizza zwischen Klippen.~~Fig. 6. Die dreiflossige Quappe. (Blennius tripteronotus.)~~Sein Körper ist von einem graulichen Weiss, welches einen leichten, rothen Anstrich hat. Der Bauch ist silberfarben, der Rüssel einem Taubenschnabel ähnlich. Die Iris ist roth. Die erste Rückenflosse ist roth, die zweite durchscheinend, die dritte roth eingefasst, die Brustflossen weiss und die Afterflosse rothgerandet. Er findet sich bei Nizza und ist 8 Centimeter lang.~~Fig. 7. Giofredi's Lippfisch. (Labrus Giofredi.)~~Dieser Fisch ist oben schön corallenroth, welches sich an den Seiten in Goldgelb verläuft und am Bauche in azurblaues Silber verändert. Die Augen sind roth, die Iris goldfarben, die Flossen roth, gelb und violett. Die Länge beträgt 3 Decimeter. Dieser schöne Fisch lebt an den Küsten von Nizza von Mollusken und Crustaceen und hat ein eben so schmackhaftes, als gesundes Fleisch.~~Fig. 8. Passeroni's Sparus. (Sparus Passeroni.)~~Der obere Theil des Körpers dieses Fisches ist fast durchscheinend; die Seiten und der Bauch glänzen im schönsten Silber. Die Augen haben eine silberfarbene Iris. Die Flossen sind von einem zarten Roth. Der Fisch wird nie über 4 Centimeter lang; sein Fleisch ist weiss und delicat, und er wird an den Küsten von Nizza vom Februar bis Juli häufig gefangen. -~~195
Ad00341 08 075a/frePoissons. LXII. Vol. X. No. 73.
JOLIS POISSONS TRÈS-REMARQUABLES.
Tous les poissons figurés sur notre planche sont partie de ceux qui sont véritablement osseux et appartiennent à la division qu'on reconnaît aux épines qui tiennent lieu de premiers rayons à leur dorsale.
Fig. 1. Le Gymnetre Lacépède. (Gymneirus Cepedianus.)
Le corps de ce poisson, long d'un mètre, est soupoudré d'une poussière argentine, qui lui donne une admirable beauté, relevée d'ailleurs par trois taches rondes et noires sur le dos et une pareille sur le ventre. La nageoire dorsale est haute, d'un beau pourpre et se prolonge sur le dos entier. Les nageoires pectorales sont d'un rose pâle et celle de la queue d'un joli carmin. On le prend aux mois d'Avril et de Mai sur les côtes de Nice.
Fig. 2. Le Lépidope Peron. (Lepidopus Peronii.)
Ce poisson est également couvert d'une poudre argentine qnï joue l'or, le rose et l'azur. Les yeux sont grands, argentins; l'iris dorée, la nageoire dorsale jaune, et les nageoires insérieures de la poitrine ne sont que deux écailles en forme de cuiller. Ce poisson qui a 1§ mêtre de long, se pêche dans les environs de Nice et sa chair est extrêmement délicate.
Fig. 3. Le Lépidope Portugaise. (Lepidopus Lusitanicus.)
Les yeux de ce poisson, qui a plus de 5 pies do long, sont grands et l'iris est argentine. À l'exception des nageoires et de la queue qui sont brunes, le poisson est argentin, avec une teinte d'un bleu foncé vers le dos. On ne découvre aucune trace d'écaillés.
Fig. 4. Le Lépidope translucide. (Lepidopus pellucidus.)
Le corps long et applati de ce poisson récemment découvert est si translucide qu'on peut apercevoir tous les mouvements de son organisation intérieure. L'iris est argentine et les nageoires sont d'un violet elair. Il n'a que 2 décimètres de long, et les pêcheurs des côtes de Nice le nomment Carmarino.
Fig. 5. Le Blennie Audifred. (Blennius Audifredi.)
Le corps est couleur de laque, rehaussée par une sile de taches argentines, qui se prolongent de la tète iusqu' à la queue. La tète est parsemée de points argentins, l'iris couleur d'or et la prunelle noire. Ce poisson, qui a 1 décimètre de long se tient dans les environs de Nice entre les écueiïs.
Fig. 6. Le Blennie à trois nageoires. (Blennius tripteronotus.)
Son corps est d'un gris-blanc avec une teinte de rouge. Lé ventre est argentin et la trompe semblable au bec d'un pigeon. L'iris est rouge ainsi que la première nageoire dorsale, mais la seconde est transparente et la troisième bordée de rouge. Les nageoires pectorales sont blanches et celle de l'anus bordée de rouge. Il se trouve près de Nice et a 8 centimètres de long.
Fig. 7. Le Labre Giofredi. (Labrus Giofredi.)
La partie supérieure de ce poisson est d'un beau rouge de corail, qui se perd sur les côtés en jaune d'or et se métamorphose sur le ventre en argentin bleu-azuré. Il a les yeux rouges, /l'iris couleur d'or et les nageoires rouges, jaunes et violettes, et n'a que 3 décimètres de long. La chair de ce poisson, qui habite les côtes de Nice et se nourrit de mollusques et de crustacées, est aussi délicate que saine.
Fig. 8. Le Spare Passeroni. (Sparus Passeroni.)
La partie supérieure du corps de ce poisson est presque transparente; les côtés et le ventre jettent le plus bel éclat argentin. L'iris est argentine. Les nageoires sont d'un rouge tendre. La chair de ce poisson, qui n'a jamais au delà de 4 centimètres est blanche et délicate. On le pêche abondamment sur les côtes de Nice, depuis le mois de Février jusqu'au mois de Juillet.
Ad00341 08 076aFig. 1. u. 2. Die rosenfarbige Äquorea. (Aequorea rosea.)~~Sie ist kreisrund, flach, rosenfarben, und zeigt oben drei- und vieltheilige Gefässe, am Rande haarförmige, sehr lange und sehr zahlreiche Tentakeln. Ihr Vaterland ist nicht angegeben.~~Fig. 3. Die Panopyra. (Dianaea Panopyra.)~~Sie ist halbkugelförmig, oben im Mittel plattgedrückt, warzig. Der Stiel ist vierspaltig, und am Rande stehen acht sehr lange Tentakeln.~~Sie bewohnt den Atlantischen Ocean unter'm Aequator, und ist rosenfarbig.~~Fig. 4. Die gezähnelte Dianäa. (Dianaea denticulata.)~~Sie ist halbkugelförmig, am Rande gezähnelt, hat acht kurze Tentakeln und gefranzte, violett punctirte Arme. Bosc fand sie nördlich im Atlantischen Ocean.~~195
Ad00341 08 077aIn den weiten Steppen und Wüsten von Asien, Afrika und dem nördlichen Russland giebt es viele Stellen, wo fortwährend eine ungeheure Salzerzeugung stattfindet. Solche Stellen heissen entweder Salzseen, wenn sie salziges Wasser enthalten, oder Salzgründe, wenn man an den Stellen, wo das, in den nassen Jahreszeiten niedergefallene, Regenwasser gestanden hat, Salzrinden findet.~~An Salzseen ist die Krimm sehr reich. Diejenigen, von denen unsere Kupfertafel einen darstellt, liegen in dem Bezirk Perekow, 17 Werste von Armenskoi-Bazar entfernt. Tausende von Wagen stehen theils auf der See, so weit die gebildete Salzkruste fest genug ist, sie zu tragen; andere warten am Ufer und andere in noch weiterer Ferne. Die Fuhrleute gehen entkleidet in den See und tragen das Salz in Haufen zusammen, beladen damit einen kleinen Kahn, der dann vom Ufer aus, mit Hülfe eines Schlepptaues, bis zu dem Standpunkte der Wagen hinaufgezogen wird.~~Die wichtigsten Salzseen im Bezirke Perekow sind der alte und rothe See, die nahe bei einander liegen; sie liefern in guten Jahren 800,000 Pud (40 Russ. Pfd.) Salz. In der Krimm liegen noch über 20 ähnliche Seen, die aber nicht alle Salz von gleicher Güte liefern. Die Menge des im Durchschnitt jährl. gewonnenen Salzes übersteigt 5 Mill. Pud. Im Jahre 1819 lös'te die Regierung daraus über eine halbe Million Rubel. -~~195
Ad00341 08 077a/freMelanges. CCLXXVII. Vol. X. No. 75.
LACS ET BAS-FONDS SALSUGINEUX.
On trouve clans les vastes landes et déserts de l'Asie, de l'Afrique et du nord de la R.ussie beaucoup d'endroits, où se manifeste continuellement une force saline très-productive. Ces endroits se nomment lacs salsugineux, quand ils contiennent de l'eau salée, ou bas-fonds salsugineux, quand dans les saisons humides, l'eau qui s'y est arrêtée est recouverte d'une croûte saline.
Les lacs salsugineux abondent dans la Crimée, et celui que figure notre planche est situé, ainsi que beaucoup d'autres, dans le district de Perekow, à 17 werstes d'Armenskoi-Bazar. Des milliers de chariots se trouvent en partie sur le lac, sur lequel ils s'avancent aussi loin que la croûte peut les porter; d'autres attendent sur le rivage et d'autres à une plus grande distance. Les roufliers entrent nus dans le lac, amoncellent le sel, dont ils chargent un petit bateau, que l'on guindé du rivage par le moyen d'une grosse corde et que l'on traîne jusqu'à l'endroit où les chariots sont placés.
Le lac vieux et le lac rouge, situés à peu de distance l'un de l'autre, sont les lacs salsugineux les plus importants du district de Perekow, ils fournissent dans une bonne année 800,000 pud (40 livres de Russie) de sel. La Crimée renserme encore au delà de 20 lacs pareils, dont le sel cependant n'est pas toujours de la même qualité, et l'on peut adopter, vqu'une année portant l'autre, la quantité de sel que l'on gagne annuellement s'élève à 5 millions de pud, et en 1819 1e gouvernement en a vendu pour un demi million de roubles.
Ad00341 08 078aFig. 1. Der Pougoune. (Paradoxurus Typus.)~~Pougoune, oder Poune ist der Malabarische Name dieses Thieres, das sonst auch unter dem Namen des Palmenmarders bekannt ist. Es hat, wie die fleischfressenden Thiere, Schneide-, Eck- und Mahlzähne. Es geht ganz auf den Fersen, kann seine katzenähnlichen Krallen zur Vertheidigung und zum Klettern brauchen, und hat, da die kurzen Zehen durch eine schlaffe Haut verbunden sind, in gewisser Hinsicht Schwimmfüsse. Besonders merkwürdig am Thier ist die ganz eigenthümliche Windung seines Schwanzes, welche man bis jetzt an keinem andern Thier beobachtet hat. Der Kopf ist dem des Hundes ähnlich; der Gehörgang mit einer Art Klappe bedeckt, womit das Thier, z.B. wenn es schläft, das Ohr verschliesst. Der Pelz besteht aus Seiden- und aus Wollhaaren, und hat eine schwarzgelbliche Farbe, nämlich wenn man ihn von der Seite und so betrachtet, dass man bloss die Spitzen der Haare sieht, erscheint er schwärzlich, dagegen gelblich, wenn man ihn von vorn ansieht, dass man die Haare in ihrer ganzen Länge erblickt. Auf dem gelben Grund bemerkt man auch zu beiden Seiten des Rückgrats drei Reihen Flecken und andere auf Schulter und Schenkel, während diese auf dem schwarzen Grunde verschwinden, und sich wieder andere zeigen, welche reihenweis gestellt sind und Linien bilden. Die Extremitäten sind schwarz, der Schwanz zur Hälfte und der Kopf ganz schwarz. Das schwarze Ohr hat einen linienbreiten weissen Rand.~~Das Thier lebt in Indien und auf der Insel Java in baum- und buschreichen Gegenden.~~Fig. 2. Die Civette. (Viverra Civetta.)~~Sie ist auf grauem Grunde mit schwarzen Queerbanden gezeichnet; der Hals ist weiss, Schnauze und Extremitäten schwarz. Das Merkwürdigste am Thiere ist der Beutel, in welchem sich die Zibethmaterie befindet; er besteht aus mehreren kleinen Beutelchen, und findet sich bei beiden Geschlechtern zwischen dem After und den Zeugungstheilen. Ausser diesem Beutel hat die Civette noch an jeder Seite des Afters eine kleine Oeffnung, woraus eine schwarze, sehr stinkende Flüssigkeit mit ausfliesst. Afrika und ein Theil Asiens scheinen das Vaterland der Civette zu seyn. Sie zeichnet sich vorzüglich durch ihre Trägheit aus. -~~196
Ad00341 08 078a/freMammifères. CIX. Vol. X. No. 76.
MOUFFETTES REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Pougoune. (Paradoxurus Typus.)
Pougoune ou poune est le nom malabare de cet animal, connu d'ailleurs, sous le nom de martre des palmiers. Comme les carnivores, il a des dents incisives, des maxillaires et des canines. Il marche absolument sur les talons, et se sert de ses serres, assez semblables à celles du chat, -soit pour se défendre, soit pour grimper, et comme les' doigts sont réunis par une membrane molle et lâche, on peut dire qu'il a des pies natatoires'. Ce qu'il y a de plus remarquable dans cet animal, c'est le pli particulier âe sa queue et qui n'a été jusqu'ici observé dans aucune autre bête. La tête ressemble à celle du chien, et le canal de l'ouie est couvert d'une soupape, dont l'animal serme l'oreille, quand il dort, La sourrure, qui se compose de poils soyeux et laineux est d'un jaune noirâtre, quand on la considère de la côté; quand on Ja considère de manière à ne voir que l'extrémité des poils elle paroît noirâtre, et jaune au contraire, quand on l'observe par devant et de manière à ape»cevoir les poils dans toute leur longueur,. On découvre sur le fond jaune :des deux côtés de l'épine dorsale trois lignes de. taches et d'autres sur les épaules et les cuisses, lesquelles taches disparoissent sur le fond noir, mais il s'en manifeste d'autres, placées à la file et formant des lignes. Les membres sont noires, la moitié de la queue et la tête le sont entièrement. L'oreille également noire est ornée d'un bord blanc d'une ligne de large. Cet animal séjourne aux Indes et à Java dans les contrées boissées.
Fig. 2. La civette. (Viverra civetta.)
Elle est marquée de bandes noires transversales sur un fond gris; le eou est blanc, le museau et les membres sont noirs. Ce que cet animalade plus curieux c'est la bourse, qui contient la matière odorante, qu'on tire de cet animal, laquelle se compose de plusieurs petites bourses, et qui dans les deux sexes est placée entre l'anus et les parties sexuelles. Outre cette bourse, la. civette a encore de chaque côté de l'anus un petit orifice d'où découle une liqueur noire et très fétide. L'Afrique et. une partie de l'Asie paroissent être la patrie de la civette, qui se distingue -surtout par sa paresse.
Ad00341 08 079aFig. 1. Die dreikielige Schildkröte. (Testudo tricarinata.)~~Eine sehr kleine Schildkröte, denn nach den Exemplaren, nach welchen sie gezeichnet wurde, zu urtheilen, misst der eine Panzer nur 17 Linien in der Länge, der andere 2 ă Zoll. An den Vorderfüssen hat sie an jedem fünf und an den Hinterfüssen an jedem vier Finger, die mit scharfen Nägeln versehen und durch eine Schwimmhaut mit einander verbunden sind. Der mit Schuppen bedeckte Schwanz ist zugespitzt und kurz. Die Farbe des ganzen Rückenschildes ist dunkelbraun. Das beträchtlich schmälere Bauchschild sieht gelblich aus, hie und da braun gefleckt. Vaterland unbekannt.~~Fig. 2. Die geometrische Schildkröte. (Testudo geometrica.)~~Diese Schildkröte ist wegen ihres schönen Panzers und wegen der gelben Linien merkwürdig, die strahlenförmig auf jedem Schilde desselben stehen. Die Länge der grössten Schaale wird auf 10 Zoll 6 Linien Länge und 8 Zoll Breite angegeben. Der Bauchpanzer ist gelb, in der Mitte braun schattirt und eben so gegen den Rand regelmässig gefleckt. Das Vaterland dieses Thieres ist Asien und Afrika. Man findet sie hauptsächlich nach dem Kap der guten Hoffnung hin und auf der Insel Ascension. Sie legt 12-15 Eier. Die Hottentotten sollen ihre Schaale zur Aufbewahrung ihrer kleinen Tabaks-Provision benutzen.~~Fig. 3. Die gerandete Schildkröte. (Testudo marginata.)~~Diese Schildkröte unterscheidet sich von der Griechischen, mit der sie früher verwechselt wurde; hauptsächlich durch einen längern Rückenpanzer. Die Rückenschilder sind braunschwarz, in der Mitte gelb. Die Länge dieses Thieres beträgt, wenn man der Krümmung des Schildes folgt, 1 Fuss 3 Zoll 6 Linien, und die Breite 8 Zoll 3 Linien. In der Lebensweise gleicht sie der Griechischen Schildkröte.~~Fig. 4. Die gespornte Schildkröte. (Testudo calcarata.)~~Sie lebt auf den Antillen, und hat einen schwärzlichen Panzer, der mit gelben Linien schön gezeichnet ist und dessen Schilder in der Mitte erhaben sind. An den Schenkeln der Hinterfüsse stehen zwei Dornen.~~Fig. 5. Die zierliche Schildkröte. (Testudo elegans)~~Die Hauptfarbe des Rückenschildes ist dunkelbraunroth und glänzend, blässer am Rande der Schilder. Die einzelnen Schildflächen sind gelb, mit 4, 5 oder 6 auseinanderlaufenden Linien von derselben Farbe, wodurch die Schilde gleichsam wie mit Strahlen gezeichnet, erscheinen. Das kürzere Brustschild ist gelb und braunroth gefleckt. Das Vaterland dieses Thieres ist Ostindien. Das Rückenschild ist 2 Zoll 8 Linien lang und 2 Zoll 3 Linien breit. -~~196
Ad00341 08 080aAlle die auf dieser Kupfertafel abgebildeten Fische sind in Bengalen neuerdings entdeckt und gehören unter diejenige Abtheilung der Grätenfische, welche vorn an der Rückenflosse mit Stacheln versehen sind (Acanthopterygii).~~Die Gattung Mugil hat Bauchflossen, welche hinter den Brustflossen stehen; die beiden Rückenflossen sind kurz und stehen von einander getrennt, und die erste derselben ist stachelig. Der Kopf ist flach gedrückt, breit und ganz mit Schuppen bedeckt. Im Munde stehen nur an der Seite der Zunge einige rauhe Erhöhungen, als Zähne. Einen ganz eigenthümlichen Bau hat der Magen dieser Fische. Eine Europäische Art dieses Fisches, den Mugil Cephalus, findet man häufig im Mittelländischen Meer. Die Arten, welche der Engl. Naturforscher Buchanan im Ganges fand, hatten keine Zunge.~~Fig. 1. Der Corsula. (Mugil Corsula.)~~Wird in den meisten Flüssen der Ganges-Provinzen und in den Teichen des südl. Bengalens gefunden. Er wird 1 Fuss lang, sieht oben grünlich, unten silberfarben aus und sein Fleisch hat einen sehr guten Geschmack.~~Fig. 2. Der Parsia. (Mugil Parsia.)~~Dieser Fisch erreicht manchmal die Grösse einer Spanne, selten aber nur die Hälfte davon und lebt in den Süsswasserflüssen Bengalens. Auf dem Rücken ist er grünlich, am Bauche silberfarben, mit hellern und dunklern Streifen.~~Die zur Gattung Bola gehörigen Fische werden in Bengalen von den Engländern Weissfische genannt, mit welchen sie, ausser dem schlechten Geschmack, übrigens keine Aehnlichkeit haben. Die Flossen sind mit Stacheln versehen und einige im Gaumen bemerkbare nackte Knochen mit Zähnen.~~Fig. 3. Der Cuja. (Bola Cuja.)~~Er wird 4-5 Fuss lang und hält sich in den Mündungen des Ganges auf. Auf dem Rücken ist er silberfarben mit leichtem grünen Anstrich und die Seiten sind mit kleinen schwarzen, in Längenstreifen stehenden Flecken besetzt.~~Fig. 4. Der Pama. (Bola Pama.)~~Wird in Calcutta, wenn er 12-15 Zoll lang ist, Weissfisch genannt, erreicht aber eine Grösse von 4-5 Fuss und lebt in den Mündungen des Ganges. Seine Hauptfarbe ist silberfarben, auf dem Rücken grünlichbraun mit Purpur- und Goldschimmer.~~Die Gattung Cheilodipterus zeichnet sich durch weite Kiemenöffnung und weit von einanderstehende Augen aus, ist mehr lang, als dick, der Leib zusammengedrückt, und Kopf, Kiemendeckel und Leib mit Schuppen bedeckt. Sie haben acht Flossen und sind der Gattung Gobius und Ophiocephalus nahe verwandt.~~Fig. 5. Der Culius. (Cheilodipterus Culius.)~~Dieser 3-4 Zoll lange Fisch ist eben so häufig in den Teichen und Graben Bengalen's, als gering geschätzt. Er gehört zu der kleinen Anzahl von Thieren, bei welchen die Bauchseite dunkler, als die Rückenseite gefärbt ist. In stehenden, mit Wassergewächsen bedeckten, Gewässern färbt er sich ganz schwarz; in hellem Wasser nimmt sein Rücken eine aschgraue Farbe an.~~196
Ad00341 08 080a/frePoissons. LXIII. Vol. X. No. 78.
POISSONS CURIEUX DE GANGE.
Tous les poissons, figurés sur la planche eijointe, ont été récemment découverts en Bengale et sont partie de la division des poissons osseux, dont le devant de la nageoire dorsale est pourvu d'épines (Acanthopterygii). Les nageoires abdominales du genre des Mugils sont placées en arrière des pectorales; les deux dorsales sont courtes et séparées l'une de l'autre et la première est épineuse. La tête est applatie, large et couverte d'écaillés. On ne trouve dans la bouche, à côté de la langue, que quelques points élevés âpres qui tiennent lieu de dents. L'estomac, de ces poissons a une structure toute particulière. Le Mugil cephale, espèce européenne de ce poisson, se trouve fréquemment dans la Méditerannée. Les espèces que le naturaliste anglois Buchanan a découvertes dans le Gange, sont sans langue.
Fig. 1. Le Corsula. (Mugil corsula.)
Se trouve dans la plupart des rivières des provinces qu'arrose le Gange, ainsi que dans les étangs du Bengale méridional. Le dessus du corps est verdatre, le dessous argentin et sa chair est excellente. Le corsula a 1 pied de long.
Fig. 2. Le Parsia. (Mugil parsia.)
Le poisson, qui a quelquefois la longueur d'un empan, et rarement de la moitié, vit dans les eaux douces du Bengale. Le dos est verdâtre et le ventre argentin avec des bandes claires et foncées.
Les anglois du Bengale ont donné aux poissons qui sont partie du genre Bola le nom d'âble, avec laquelle cependant ils n'ont absolument aucune ressemblance, si ce n'est le mauvais goût. Les nageoires sont épineuses, et quelques os nus perceptibles dans le gosier sont armés de dents.
Fig. 3. Le Cuja. (Bola Cuja)
a de 4 à 5 pieds de long et séjourne dans les bouches du Gange. Le dos est argentin avec un foible reflet vert, et les côtés sont pourvus de petites taches noires longitudinales.
Fig. 4. Le Pama. (Bola pama.)
À Calcutta on donne le nom d'âble au Pâma, lorsqu'il n'a que 12 à 15 pouces de long, mais il atteint souvent de 4 à 5 pied?,et vit dans les bouches du Gange. L'argentin est la couleur principale de ce poisson, dont le dos cependant est d'un brun-verdâtre à reflet de pourpre et d'or.
Le genre Cheilodipterus a pour caractéristique l'orifice branchial très large et les yeux trèsdistantsl'un de l'autre; il est plus long que gros; le corps est applati, la tète, l'opercule des branchies et le corps sont couverts d'écaillés, il a huit nageoires, et se rapproche beaucoup des Gobius et de l’Ophiocephalus.
Fig. 5. Le Culius. (Cheilodipterus culius.)
Ce poisson de 3 à 4 pouces de long abond« dans les étangs et les fossés du Bengale, mais il n'est point estimé. Il fait partie du petit nombre d'animaux dont le ventre est plus foncé que le dos. Dans les eaux stagnantes, couvertes de plantes aquatiques, il noircit entièrement, et dans les eaux limpides le dos est d'un gris cendré.
Ad00341 08 081aSämmtliche hier abgebildete Insecten gehören zu den im gemeinen Leben sogenannten Tausendfüssen, und bilden eine natürliche Familie, welche jetzt in mehrere Gattungen getheilt ist.~~Fig. 1. 2. Der gesäumte Glomere. (Glomeris marginata.)~~Die Benennung Glomeren haben diese Thiere von der Eigenschaft, die beiden Körperenden nach unten, sobald man sie berührt, so nähern zu können, dass Kopf und Füsse ganz eingehüllt sind, wodurch sie eine kugelartige Gestalt erhalten und zugleich im Stande sind, sich vor Gefahr zu beschützen. Das Thier ist braunschwarz und sämmtliche Schilder sind mit einem gelben Rand eingefasst; es glänzt wie polirt; man findet es in Teutschland in feuchten Laubwäldern unter Steinen, Baumwurzeln und Moos. Fig. 1. zeigt das Thier vergrössert, der Strich a. seine natürliche Länge, und Fig. 2. den zusammengerollten Zustand desselben.~~Fig. 3. Der getüpfelte Glomere. (Glomeris pustulata.)~~Hat dieselbe Lebensart wie der vorige, ist jedoch seltener in Teutschland zu Hause. Seine Farbe ist schwarzbraun, überall schön glänzend und auf den Ringen stehen vier gelbliche oder röthliche Flecken und der hintere Rand derselben ist blass.~~Fig. 4. Der Londoner Tausendfuss. (Iulus Londinensis.)~~Seine Farbe ist schwärzlichbraun und der lezte Körperring mit einer kleinen Spitze versehen. Die Füsse sind röthlich, die Gelenke blässer. Man findet ihn in Wäldern in der Nähe von London häufig unter Moos.~~Fig. 5. Der grösste. Tausendfuss. (Iulus Maximus.)~~Die Abbildung zeigt das Thier in natürlicher Grösse. Es lebt in Brasilien, ist braun oder schwärzlich und hat 134 Fusspaare.~~Fig. 6. Rawlin's Craspedosome. (Craspedosoma Rawlinsii.)~~Ist zuerst in Schottland entdeckt worden, lebt unter Moos und Steinen, ist auf dem Rücken braun mit vier Linien weisser Punkte; Bauch und Füsse sind röthlich; der Strich a. zeigt die natürliche Grösse des Thiers.~~Fig. 7. Der flache Polydesmus. (Polydesmus complanatus.)~~Lebt in waldigen Gegenden des mittlern Teutschlandes, ist von röthlich grauer Farbe, und hat 30 Fusspaare. Die Linie a. bezeichnet die natürliche Grösse des Thiers.~~Fig. 8. und 9. Der Lagurus. (Pollyxenus Lagurus).~~An den Seiten der obern Hälfte der Leibesringe hat das Thier kleine Büschel schuppiger Haare, zwei andere Reihen längs dem Rücken und hinten eine Art Schwanz, der auf zwei Bündeln schöner weisser Haare besteht. Es hat 12 Paare kleiner Füsse. Es wohnt unter Baumrinden, an Mauern etc. Die eine Fig. der Kupfertafel zeigt das Thier von der obern und die andere von der untern Seite; der Strich a. seine natürliche Grösse.~~196
Ad00341 08 081a/freInsectes. XCIII. Vol. X. No. 79.
INSECTES CURIEUX.
Tous les insectes figurés sur notre planche font partie de ceux que l'on nomme clans la vie commune mille-pieds, et forment une famille naturelle, qu'on a divisée de nos jours en plusieurs genres.
Fig. 1. 2. La Glomère marginée. (Glomeris marginata.)
Ces animaux tiennent le nom de Glomère de la propriété qu'ils ont de rapprocher en dessous les deux extrémités du corps dès qu'on les touche, de sorte que la tête et les pattes, sont cachées et enveloppées; ze qui leur donne l'air d'une boule et les préserve de tout danger. L'animal est d'un brun noir et toutes les anneaux sont bordées de jaune; il a l'éclat du poli. On le trouve en Allemagne dans des bosquets humides sous des pierres, des racines d'arbre et la mousse. On le voit grossi à F. 1, mais la ligne a. en montre la longueur naturelle; il est recoquillé ou en défonsé à fig. 2.
Fig. 3. La Glomère tachetée (Glomeris pustulata.)
a le même genre de vie que la précédente, mais elle est plus rare en Allemagne. Elle est d'un brun noir, d'un bel éclat, etl'on distingue sur anneaux quatre taches rouges ou jaunes, et le bord postérieur des anneaux est pâle.
Fig. 4. Le Julus de Londres. (Iulus Londinensis.)
Il est d'un brun noirâtre et le dernier anneau du corps est armé d'une petite pointe. Les pies sont rougeâtres, mais les articulations sont plus pâles. On le trouve sréquemment sous la mousse dans les forets aux environs de Londres.
Fig. 5. Le plus grand Julus. (Iulus maximus.)
La figure représente l'animal dans sa grandeur naturelle. Il est brun ou norâtre, vit au Brésil et a 134 paires de pies.
Fig. 6. La Craspedosome de Rawlin. (Craspedosoma Rawlinsii.)
C'est en Ecosse qu'on a d'abord découvert cet animal, qui se tient sous la mousse et les pierres, dont le dos est brun avec quatre lignes de points blancs; le ventre et les pies sont rougeâtres. La ligne a en figure la grandeur naturelle.
Fig. 7. Le Polydesme plat (Polydesmus complanatus.)
vit dans les bois du milieu de l'Allemagne; il est d'un gris-rougeâtre, et a 30 paires de pies. La raie a en marque la grandeur naturelle.
Fig. 8. 9. Le Lagurus. (Pollyxenus Lagurus.)
Cet animal a sur les côtés de la moitié supérieure des anneaux du corps de petites touffes de poils écailleux, deux autres lignes le long du dos, et derrière une espèce de queue composée de deux faisceaux de jolis poios blanls. Il a 12 paires de petits pies et habite sous l'écorce des arbres et le long des murs. L'une des figures représente le dessus de l'animal, et l'autre le dessous; la ligne a marque sa grandeur naturelle,
Ad00341 08 082aDieses durch sein Alter ehrwürdige und durch viele geschichtliche Ereignisse denkwürdige Gebäude, liegt am östlichen Ende der Stadt London, am Ufer der Themse, unter dem Tower-Hill (Thurmhügel), auf dem so manche historische Person unter dem Henkersbeile geblutet hat.~~Ueber die Zeit seiner Erbauung herrscht viel Dunkel. Einige wollen sie in die Römerzeiten versetzen, Andere behaupten mit mehr Wahrscheinlichkeit, dass unter Wilhelm I. Gundulph, Bischof von Rochester, denselben angelegt habe. Gewiss ist, dass im Jahre 1140 der König Stephan seine Residenz in dieser Citadelle aufgeschlagen, und dieselbe schon in frühern Zeiten als Staatsgefängniss gedient habe. Der Lage nach zu urtheilen, war indess ihre erste Bestimmung die Vertheidigung der Stadt von der Wasserseite. Die Festungswerke waren vor Alters weit bedeutender, als gegenwärtig; allein noch zeugen die Gräben und Schanzen, die Höhe und Stärke der Mauern von ihrer ehemaligen Wichtigkeit.~~An merkwürdigen Gebäuden verdienen folgende insonderheit angeführt zu werden:~~Der weisse Thurm, erbaut unter Wilhelm dem Eroberer, um's Jahr 1080, ist ein grosses viereckiges Gebäude, 116 Fuss lang und 96 F. breit; er besteht aus 3 Stockwerken und einem Souterrain. In letzterm, dessen ursprüngliche Bestimmung nicht bekannt ist, befindet sich gegenwärtig ein Salpetermagazin, darüber steht die alte Capelle, welche ehemals zum Gottesdienste der königl. Familie diente, und gegenwärtig einen Theil des grossen Reichsarchivs ausmacht. Das Gebäude ist übrigens als ein schönes Muster der alten Normannischen Bauart merkwürdig.~~Die Capelle des heiligen Peter ad vincula, welche vorzüglich desshalb merkwürdig ist, weil sich darin die Gräber vieler, durch Stand und Schicksal merkwürdiger Personen, als des Thomas Morus, John Fisher, der Anna Boleyn, Catharina Howard u.s.w. befinden. Sie liegt in der nordwestlichen Ecke der Festung.~~Die Wohnung des Gouverneurs liegt im südwestlichen Winkel, ist ein grosses, meist hölzernes Gebäude und enthält das merkwürdige Zimmer (Council Chamber), in welchem die Theilnehmer an der Pulververschwörung verhört wurden.~~Der Beauchamp-Thurm, welcher seinen Namen von einem der vielen Staatsgefangenen hat, die hier geschmachtet und sich meist durch Inschriften verewigt haben. Beauchamp, Graf von Warwick, ward im Jahre 1793 hier eingekerkert.~~Der Devereux-Thurm, von dem bekannten Günstling der Königin Elisabeth so genannt, der im Jahre 1601 hier eingekerkert wurde.~~Der Archivthurm, der auf 13 Fuss dicken Mauern errichtet ist, und nur ein Erdgeschoss und oberes Stockwerk enthält. In ihm befinden sich die ältesten Urkunden, die sogenannten Chartae Antiquae, welche auf 41, auf der Zeit Eduard des Katholischen (also vom Anfang des 15. Jahrh.) herrührenden, Rollen bestehen.~~Ausser mehreren anderen, besser oder übler conditionirten sogenannten Thürmen, als dem Blutthurm, Martinsthurm, Constabelthurm, Garderobenthurm u.s.w., enthält die Festung noch mehrere Zeughäuser und zwar:~~das Spanische, der südwestlichen Ecke des weissen Thurms gegenüber, in welchem die Spolien der Spanischen Armada aufbewahrt werden, welche zur Zeit der grossen Elisabeth in England landen sollte. Unter andern Curiositäten sieht man auch hier die Axt, unter welcher das Haupt der Anna Boleyn fiel.~~Das Pferdezeughaus mit den Abbildungen der meisten Englischen Könige von Wilhelm dem Eroberer bis auf Georg II., alle in herrlichem Waffenschmuck zu Pferde sitzend; den Spolien von Waterloo u.s.w.~~Das sogenannte kleine Zeughaus enthält eine grosse Menge alter Artilleriestücke und anderer Kriegsgeräthe, und ist 345 Fuss lang und 60 Fuss breit.~~Gegenwärtig enthält der Tower Magazine für verschiedene Arten von Kriegsbedürfnissen, das Artilleriedepartement, eine Schatzkammer für Juwelen und Geschmeide, die der Krone zustehen, und das grosse Archiv, in welchem sämmtliche alte Urkunden des Westminsterschen Hofs niedergelegt sind. Zugleich ist er das Hauptgefängniss für Staatsverbrecher. Die Münze befindet sich nicht mehr in demselben; die Bewachung der Festung ist einem Gouverneur anheimgestellt, welcher verschiedene Vorrechte geniesst.~~196
Ad00341 08 082a/freMélanges. CCLXXVIII. Vol. X. No. 80.
DESCRIPTION DE LA TOUR DE LONDRES.
Cet édifice, si respectable par sa vétusté et si remarquable par les événements historiques qui s'y sont passés, est situé à l'extrémité orientale de la ville de Londres, sur la bord de la Tamise au dessous du Tower-hill (colline de la tour), sur lequel maintes personnes, qui figurent dans l'histoire, ont perdu la vie sous la hache du bourreau.
L'époque de sa construction est incertaine; les uns la font remonter jusqu'au teins des Romains, et d'autres soutiennent, avec plus de vraisemblance, que c'est sous Guilleaume I. que Gundolphe, évèque de B.ochester, en a jeté les fondements. Il est certain qu'en 1140 le roi Etienne établit sa résidence dans cette citadelle, qui avait servi antérieurement de prison d'état. A en juger par sa situation, sa première destination était de servir à la défense de la ville du côté de l'eau. Les fortifications en étaient anciennement beaucoup plus considérables que de nos jours, car les fossés, les fortins, la hauteur et l'épaisseur des murs témoignent encore en faveur de son antique importance.
Les édifices les plus remarquables et dignes d'être cités, sont:
La tour blanche qui a été construite sous Guilleaume le conquérant vers l'an 1080. C'est un grand édifice carré de 116 pies de long sur 96 de large, à trois étages, avec un souterrain, dont la destination primitive est inconnue, et qui sert maintenant de magasin pour le salpêtre. Au dessus est l'ancienne chapelle, où se faisait autrefois le service divin pour la famille royale, et qui fait à présent partie des archives du royaume. Cet édifice est d'ailleurs un excellent modèle de l'antique architecture des Normands.
La chapelle de St. Pierre ad vincula mérite une mention particulière à cause des nombreux tombeaux de personnes distinguées par leur état et leur destinée, telles que Thomas Moins, John Fisher, Anne Boleyn, Catherine Howard etc. Elle est située dans un coin au nordouest de la forteresse.
L'habitation du gouverneur, située au sudouest, est un grand édisice, construit en grande partie en bois, contenant la chambre (council oiuuiberj, dans laquelLe ceux qui prirent part à la conspiration des poudres subirent leurs interrogatoires.
La tour de Beauchamp tient son nom d'un des nombreux prisonniers d'état, qui y ont langui longtems et se sont presque tous immortalisés par des inscriptions. Beauchamp, comte de Warwick, y fut incarcéré en 1793.
La tour de Devereux, fameux favori de la reine Elisabeth, où il fut incarcéré en 1601.
La tour des archives construite en murs de 13 pies d'épaisseur, n'ayant qu'un rez-de-chaussée et un premier étage. Elle contient les plus anciennes archives, désignées sous le nom de chartae antiquae, composées de 41 rouleaux, qui proviennent du tems d'Edouard le catholique et qui datent, ainsi du commencement du 15. siècle.
La forteresse contient, outre plusieurs autres tours plus ou moins bien entretenues, telles que la tour de sang, la tour de St. Martin, celle de la garderobe etc. etc., d'autres arsenaux, savoir:
l'arsenal espagnol, situé à l'opposite du sudouest de la tour blanche, où l'on conserve toutes les dépouilles de la formidable armada, qui devait débarquer en Angleterre, sous le règne d'Elisabeth. Entre autres objets dignes d'attention, on y voit la hache sous laquelle tomba la tête d'Anne Boleyn.
L'arsenal pour les chevaux, où sont placés les portraits de la plupart des rois d'Angleterre, depuis Guilleaume le conquérant jusqu'à Georges second, tous à cheval et richement armés, les dépouilles de Waterloo etc.
Le petit arsenal contient une grande quani tité d'anciennes pièces d'artillerie et d'autres objets militaires. Il a 345 pies de long sur 60 de large.
La tour de Londres contient actuellement des magasins pour toutes sortes, de provisions de guerre," le département de l'artillerie, un trésor en bijoux et diamants qui appartiennent à la couronne et les grandes archives, où sont déposés tous les anciens documents de la cour de Westminster, et elle est encore la principale prison des criminels d'état, mais on en a retiré la monnoie. La garde de cette forteresse est confiée, à un gouverneur, qui jouit de plusieurs prérogatives.
Ad00341 08 083aFig. 1. Der Grivet. (Cercopithecus griseus.)~~Dieser Affe steht zwischen dem Malbruck (C. Cynosurus) und dem Callitriche (C. Sabaeus) in der Mitte. Ersterm gleicht er durch. die allgemeine Farbe des Pelzes, weicht aber von demselben durch die Form des Kopfes ab. Von dem Callitriche unterscheidet er sich durch die dunklere Farbe, den weissen Backenbart u.s.w., während er ihm wieder in der Pyramidalform des Kopfes gleicht. Die Hauptfarbe des Oberkörpers ist schmutziggrün, und die des Unterkörpers weiss. Das Vaterland dieser Affenart ist gegenwärtig noch unbekannt; allein wahrscheinlich stammt sie, wie die meisten Cercopitheken, aus Afrika.~~Fig. 2. Der Schacma. (Papio comatus.)~~Diesen Affen-zählt man zu der Gattung der Paviane oder Hundsköpfe, die meist von beträchtlicher Grösse sind, grosse Backentaschen und breite Gesässschwielen haben. Das Exemplar, dessen Bild unsere Tafel liefert, war ein, etwa 15 Jahr altes Männchen, welches an den Schultern 2 Fuss 4 Linien, und am Hintertheile 1 Fuss 9 Zoll mass. Die Länge des Schwanzes betrug 1 Fuss 8 Zoll. Seine Farbe war im Allgemeinen schwarzgrün, blässer an dem vordern Theile der Schultern und an den Seiten, als auf dem Rücken. Dieser Affe erlangt in der Gefangenschaft zuweilen einen Grad von Bösartigkeit, welcher den Menschen lebensgefährlich werden kann. Sein Name ist eine Verkürzung der hottentottischen Benennung Choak Kama.~~Eine Hauptabtheilung der Affen treffen wir in Amerika; sie zeichnet sich besonders durch den Mangel der Backentaschen und der Gesässschwielen aus. Viele Arten haben einen Wickelschwanz, dessen sie sich als einer fünften Hand bedienen.~~Fig. 3. Der weisskehlige Sajou. (Cebus hypoleucos.)~~Das, auf unserer Tafel abgebildete Exemplar war ein junges Männchen, und mass von der Spitze der Schnauze bis an den Anfang des Schwanzes 13 Zoll, der Schwanz allein 17 Zoll. Die Höhe an den Schultern betrug 6 Zoll, am Hintertheile 7 Zoll. Die Farbe der Schultern, Arme und Seiten des Kopfes ist reinweiss; die des übrigen Körpers tiefschwarz. Die Stimme des Thieres ist, nach dessen verschiedenen Begierden, bald leise pfeifend, bald abgebrochen bellend. Es lässt sich ausserordentlich leicht zähmen, und beweis't sich sehr gelehrig. Seine Augen haben einen durchdringenden Blick, und es scheint die Gedanken und Absichten der Menschen errathen zu können.~~Die Sai, auch Schweifaffen genannt, leben heerdenweise in den Wäldern von Brasilien und Guinea; sie sind sehr gefrässig, und langsam in ihren Bewegungen.~~Fig. 4. Der grossköpfige Sai. (Pithecia monachus.)~~Dieser Affe unterscheidet sich auf den ersten Blick von den übrigen Arten seiner Gattung durch die auffallende Form des Kopfes, welche ihm ein unbeschreiblich dummes Ansehen giebt. Brust, Bauch und Wangen sind orangegelb-weiss. Die äussere Seite der Arme ist weiss, Vorderarme, Schenkel, Beine und Schwanz schwarz; der Rücken und die Seiten des Körpers sind unregelmässig mit braunen und schwarzen Flecken gezeichnet.~~Dieser Affe besitzt eine grosse Zutraulichkeit, ob er gleich in der Regel sehr furchtsam ist. Muthmasslich ist sein Vaterland Amerika.~~197
Ad00341 08 083a/freMammifères. CX. Vol. X No. 81.
SINGES REMARQUABLES.
Fig. 1. Le grivet. (Cercopithecus griseus.)
Ce singe tient le milieu entre le maïbrouk (C, Cynosurus) et le callitriche (G. Sahaeus). Il ressemble au premier par la couleur générale du pelage, mais il s'en éloigne, par la forme de la tête. Une couleur plus foncée, une moustache blanche, etc. le distinguent du callitriche, dont il se rapproche néanmoins par la forme pyramidale de la tête. Le vert sale est la couleur dominante de la partie supérieure du corps et le blanc celle de la partie inférieure. On ne connoît pas encore la patrie de cette espèce de singes, mais on présume avec beaucoup de vraisemblance qu'elle est originaire d'Afrique, comme la plupart des cercopithèques.
Fig. 2. Le Chacma. (Papio comatus.)
On place ce singe dans le genre des babouins ou papions, qui sont pour la plupart assez grands et qui ont des abajoues et des grandes caloshés aux fesses. L'exemplaire, que figure notre planche, étoit un mâle, âgé à peu prés de 15 ans, qui, mesuré aux épaules, avoit 2 pies 4 lignes, et, à la partie postérieure, 1 pié 9 pouces. La queue avoit 1 pié 8 pouces de long. Le vert noir est la couleur générale, plus pâle cependant sur le devant des épaules et les côtés que sur le dos. Dans la captivité, ce singe acquiert quelquefois un si haut degré de méchanceté que la vie des hommes qui l'entourent court les plus grands dangers. Son nom est une abréviation de la dénomination Choak Katna, que lui ont donnée les Hottentots.
Il se trouve en Amérique une division principale de singes, caractérisés surtout par le manque des abajoues et de calosités aux fesses. Plusieurs espèces ont la queue prenante, dont elles se servent comme d'une cinquième main.
Fig. 3. Le Sajou à gorge blanche. (Cebus hypoleucos.)
L'exemplaire figuré sur la planche ci-jointe étoit un jeune mâle, qui avoit de la pointe du museau jusqu' à la racine de la queue 13 pouces et cette dernière en avoit 17. La hauteur, prise aux épaules, étoit de 6 pouces, et prise à la partie postérieure de 7. Les épaules, les bras et les côtés de la tête sont d'un blanc pur, et le reste du pelage est d'un noir foncé. La voix de cet animal dénote ses divers appétits; tantôt il sifle doucement et tantôt il abboie par intervalle. Ce singe est d'une extrême docilité et s'apprivoise aisément. Son regard est perçant, et il paroît pouvoir deviner les pensées et les intentions des hommes.
Les Sais vivent par troupes dans les forêts du Brésil et de la Guinée; ils sont très-voracës et lents dans leurs mouvements.
Fig. 4. Le Saï à grosse tête. (Pythecia monachus.)
La forme singulière de la tête de ce singe suffit pour le distinguer au premier coup d'oeil des autres espèces de ce genre. Cette forme bizarre lui donne un air stupide. La poitrine, le ventre et les joues sont d'un blanc tirant sur le vert d'orange. L'extérieur des bras est blanc, les avant-bras, les cuisses, les jambes et la queue sont noirs. Le dos et les flancs sont irrégulièrement marquetés de taches brunes et noires. ,
Ce singe, quoique naturellement craintif, est très-consiant. On présume que l'Amérique est sa patrie.
Ad00341 08 084aFig. 1. Der feuerköpfige Oxyrhynchus. (Oxyrhynchus flammeiceps.)~~Dieser neuentdeckte Vogel hat einen kurzen, geraden, an der Basis dreieckigen und pfriemenförmig zugespitzten Schnabel. Eine zarte, schöne, ponceaurothe Haube macht seine vorzüglichste Zierde aus. Der übrige Theil des Gefieders ist meist grün gefärbt, und die untern Theile mit einer Menge braunschwarzer, unregelmässig dreieckiger Flecken gezeichnet. Füsse und Schnabel sind bläulich-schwarz. Die Länge des ganzen Vogels beträgt 7 Zoll.~~Unsere Abbildung zeigt das Männchen, welches der Oesterreichische Naturforscher Natterer sich in Brasilien verschaffte.~~Fig. 2. Der backenbärtige Steigschnabel. (Xenops genibarbis.)~~Schon der Name dieses Vogels bezeichnet die regelwidrige Gestalt seines Schnabels, welche mehreren, und zwar meist in neuerer Zeit bekannt gewordenen, Vögeln angehört. Der Kopf dieses Vogels ist tiefbraun mit dunkleren Flecken; der Rücken fällt mehr in's Röthliche; Unterrücken und Schwanz sind rothbraun; der letztere ist conisch zugerundet, und enthält 12 Federn. Die Kehle und die untern Theile sind gelblich-weiss. Dieser Vogel bewohnt Brasilien, und ist auch dort selten.~~Fig. 3. Der Kolibri mit aufgebogenem Schnabel. (Trochilus recurvirostris.)~~Die Kolibri's nähren sich nicht, wie man früher glaubte, von dem Honigsafte der Blumen, sondern von kleinen lnsecten. Da sie letztere aus der Tiefe der Blumen mit ihrer langen Zunge hervorholen, so hat man leicht in jenen Irrthum verfallen können. Man kennt deren jetzt bis zu 80 Arten, die sämmtlich in Amerika zu Hause sind. Diejenige Art, welche unsere Abbildung um ă verkleinert darstellt, lebt in Peru. Der Leib und das ganze obere Gefieder sind goldgrün, Kehle und Hals, bis zur Brust herunter mit kleinen schuppenähnlichen Federn besetzt, zeigen ein schönes Smaragdgrün. Von der Brust zieht sich in der Mitte des Bauches herunter ein schwarzer Streif; die Schenkel sind weiss; der Schwanz ist gerade abgestutzt, seine beiden mittelsten Federn sind dunkelgrün-blau, die übrigen dunkelkupferbraun; unten aber verbindet sich damit ein reicher Topasglanz.~~Fig. 4. Der zierliche Honigvogel. (Nectarinia lepida.)~~Was in Amerika die Kolibri's, das sind in den warmen Ländern der sogenannten alten Welt die Honigvögel oder Nectarinien; indem sie sich den erstern, sowohl in Hinsicht auf Bildung und Lebensweise, als auf glänzendes Gefieder an die Seite stellen können. - Das Männchen dieser zierlichen Art zeichnet sich durch eine violette Binde aus, welche auf jeder Seite des Schnabels sich nach dem Hals herabzieht. Oberkopf, Nacken und Rücken sind metallisch gefärbt, und schillern grün und violett. Die untern Theile sind schön gelb. Die Länge des Vogels beträgt etwas über 4 Zoll, das Weibchen ist etwas kleiner. Man findet ihn hauptsächlich auf der Insel Java, und er nährt sich von Spinnen und kleinen lnsecten.~~Fig. 5. Der bartige Honigvogel. (Nectarinia mystacalis.)~~Man kennt von dieser schönen Art bisjetzt nur das Männchen. In dem langen, keilförmigen Schwanze ragen die beiden Mittelfedern um ein Bedeutendes über die andern hinaus. Ein sehr lebhaft glänzendes metallisches Violett bildet auf jeder Seite des Schnabels einen kleinen Knebelbart; die nämliche Farbe zeigt sich auf den Steiss- und allen Schwanzfedern, und bildet auf dem Kopfe einen ziemlich grossen Fleck; der Hals, die Brust, die Kehle und der Rücken sind ponceauroth, die Flügel aschgrauschwärzlich, der mittlere Theil des Bauches ist von einem schönen Grau, der übrige Theil des untern Gefieders ist weiss, der Schnabel und die Füsse sind röthlichbraun. Die ganze Länge des Vogels beträgt etwas mehr, als 4 Zoll.~~Das Vaterland ist die Insel Java, wo diese Art von kleinen lnsecten lebt, unter denen sie die Spinnen am meisten vorzieht.~~197
Ad00341 08 084a/freOiseaux. CXIII. Vol. X. No. 82.
OISEAUX CHARMANTS ET REMARQUABLES.
Fig. 1. L'Oxyrhynque à tête flamboyante. (Oxyrhynchus flammeiceps.)
Cet oiseau, dont la découverte est tout récente, est caractérisé par son bec court droit, triangulaire à la base et terminé en forme d'alêne; une jolie huppe d'un ronge ponceau est le plus bel ornement de cet oiseau. Le reste du plumage est généralement vert, cependant il se trouve sur les parties infé» rïeures une quantité de taches d'un noir brunâtre et irrégulièrement triangulaires, Les pattes et le bec de cet oiseau, qui n'a que 7 pouces de long, sont d'un noir bleuâtre. Notre planche
Figure le mâle que le naturaliste autrichien Natter er se procura au Brésil.
Fig. 2. Le Xenops à favoris. (Xenops genibarbis.)
Cet oiseau est sortement caractérisé par la 'forme ascendante de son bec, forme qui est le partage de plusieurs oiseaux, dont la plupart îi'ont été découverts que de nos jours. La tête est d'un brun foncé et parsemée de taches plus foncées encore; le dos tire sur le rougeâtre, mais la partie inférieure est rousse ainsi que la queue qui se compose de 12 plumes et qui est arrondie en cône. La gorge et les parties insérieures sont d'un blanc jaunâtre. Il habite le Brésil, où il est même assez rare.
Fig. 3. Le colibri à bec recourvé. (Trochilus recurvirostris.)
Les colibris se nourrissent, non du suc mieilleux des fleurs, comme on l'a cru précédemmcnt, mais de petits insectes, qu'ils retirent avec leur langue longue et esfilée du fond des fleurs, et c'est cette circonstance qui a donné origine à cette erreur, et qui la rend très-pardonnable. On connoît maintenant jusqu'à. 80 espèces de colibris, toutes indigènes à l'Amérique; celle queFigure notre planche vit au Pérou. Le corps et tout le plumage supérieur sont d'un vert d'or; la gorge et le cou, couverts jusqu'à la poitrine de petites plumes en forme ___^d'écaillés, jouent un très-beau vert d'éineraude. Une ligne noire descend de la poitrine et se prolonge au milieu du ventre; les cuisses sont blanches; la queue est tronquée en ligne droite, les deux plumes du milieu sont d'un bleu-vertfoncé, et les autres d'un brun de cuivre soncé, mais en bas il s'y joint une riche éclat de to.pase.
Fig. 4. Le Souimanga gracieux. (Nectarinia lepida)
Les nectarinies sont pour les pays chauds de l'ancien monde, ce que les. colibris sont pour l'Amérique, et peuvent soutenir la comparaison avec ces derniers, tant pour la conformation et le genre de vie que pour le brillant du plumage. — Le mâle de cette jolie espèce se distingue par une bande violette, qui, partant de chaque côté du bec, se prolonge jusqu'au cou. Le dessus de la tête, la nuque et le dos sont couleur de métal et jouent le vert et le violet, et les parties insérieures sont d'un beau jaune. Cet oiseau peut avoir 4 pouces de long, mais la femelle est un peu plus petite. Il habite principalement l'île de Java et se nourrit de petits insectes et d'araignées.
Fig. 5. Le Souimanga moustac. (Nectarinia mystacalis.)
On ne connoît jusqu'ici que le mâle de cette jolie espèce. Les deux plumes au milieu de la queue longue et cunéiforme dépassent de beaucoup toutes les autres. Il a de chaque côté du bec une petite moustache d'un violet métallique d'un vis éclat; cette même couleur décore les plumes du croupion et de la queue et forme sur la tête une assez grande taehe; le cou, la poitrine, la gorge et le dos sont d'un très-joli ponceau, les aîles d'un gris-cendré noirâtre, le milieu du ventre est d'un beau gris, le reste du plumage insérieur blanc, le bec et les pieds roux. Cet oiseau peut avoir un peu plus de 4 pouces de long. Il habite également l'île de Java, où il se nourrit de petits insectes, mais il est surtout sriand d'araignées.
Ad00341 08 085aFig. 1. Der grosskiefrige Kneipkäfer. (Manticora maxillosa Fabr.)~~Dieser Raubkäfer ist ziemlich gross, schwarz, der Kopf fast kugelförmig, auf beiden Seiten eingedrückt, mit vorragenden, innen an der Wurzel gezähnten Kinnladen. Das Brustschild ist vorn gerundet, in der Mitte eingedrückt, hinten erhaben mit gerundetem Rand und ausgerandeter Spitze. Die Flügeldecken sind verbunden, oben flach, rauh, an der Seite heruntergebogen und der Rand sehr scharf sägezähnig. Die Füsse sind schwarz. Das Vaterland dieses Käfers ist das Cap der guten Hoffnung. Er lebt unter Steinen, läuft sehr schnell und fliegt mit vieler Leichtigkeit. Seine Nahrung besteht in kleinen Insecten, besonders Fliegen.~~Fig. 2. Die Waldcicindele (Cicindela sylvatica Linn.)~~ist 8 - 9 Linien lang, oben schwärzlich bronzefarben, unten glänzend schwarzviolett mit kurzen weisslichen Haaren. Sie lebt in Teutschland, hauptsächlich in Fichtenwäldern ziemlich häufig, seltener in Frankreich, und gehört gleichfalls zu den Raubkäfern.~~Fig. 3. Der carolinische Grosskopfkäfer. (Megacephala Carolinensis Latr.)~~ist in Carolina zu Hause, oben gold- unten purpurgrün, die Fühler, der Mund, ein halbmondförmiger Fleck an der Spitze der Flügeldecken, und die Füsse sind rostgelb.~~Fig. 4. Der blaue Enghalskäfer (Collyris longicollis.)~~findet sich im Königreich Siam. Er ist schön blau, und bloss die Schenkel sind rostfarben. Die stark mit Punkten besetzten Flügeldecken sind am Ende ausgerandet.~~Fig. 5. Die vierfleckige Anthia (Anthia quadriguttata Fabr.)~~lebt, wie andere Caraben (Carabici Latr.), unter der Erde, Baumrinden, Steinen etc. Das Vaterland dieser Anthia ist das Cap der guten Hoffnung. Sie ist im Ganzen schwarz, auf jeder Flügeldecke stehen zwei weisse Flecken.~~Fig. 6. Der gemeine Bombardierkäfer. (Brachinus crepians Fabr.)~~Dieses Käferchen, dessen natürliche Grösse der Strich neben der Figur angiebt, ist den grössten Theil des Jahres hindurch in waldigen Gegenden unter Steinen, in Teutschland und Frankreich nicht sehr selten.~~Wenn man dieses kleine Thier fasst, so giebt es einen blauen Dunst durch den After, mit einem kleinen Geräusch verbunden, von sich, wodurch es seine Feinde, die grössern Caraben, von seiner Verfolgung zurückschreckt. Wohl acht Mal ist es im Stande diese Schüsse zu wiederholen, welche durch einen eigenen Mechanismus im Innern des Körpers hervorgebracht werden.~~Fig. 7. Die vierfleckige Lebia. (Lebia quadrimaculata.)~~Die Lebien halten sich meist unter Steinen und Baumrinden auf. Diese niedliche Species, deren natürliche Grösse der neben der Abbildung stehende Strich anzeigt, ist in feuchten Sandgegenden in Teutschland nicht selten, auch findet man sie wohl, besonders im Winter, unter alten Baumrinden.~~Fig. 8. Die blauköpfige Lebia. (Lebia cyanocephala Latr.)~~Auch sie ist in Teutschland nicht selten unter Steinen und auf Grasrändern. Die Flügeldecken sind glänzend blau, oder blaugrau; der Körper ist ziemlich breit, unten schwarz, blauglänzend. Der Strich zeigt die natürliche Grösse.~~Fig. 9. Das bandirte Zuphium. (Zuphium fasciolatum Latr.)~~Der Körper ist oben dunkelrothbraun, die Fühler rostbraun, die Augen schwarz. Kopf und Bruststück sind stark punktirt; das letzte hat in der Mitte eine schwarze Furche, und am äussern Rand einen Eindruck. Jede Flügeldecke hat sieben zarte Streifen, und an der Wurzel einen länglichen rothgelben Fleck. Füsse und Hinterleib sind rostbraun. Diese Art ist im südlichen Frankreich ziemlich gemein. Die natürliche Grösse zeigt der neben der Figur stehende Strich.~~197
Ad00341 08 085a/freInsectes. XCIV. Vol. X. No. 83.
COLÉOPTÈRES REMARQUABLES.
Fig. 1. La Manticore à grandes mâchoires. (Manticora maxillosa Fabr.)
Ce coléoptère vorace est assez grand, noir; la tête est presque sphéroïde, applatie des deux côtés, avec des mâchoires saillantes, dont l'intérieur est armé de dents à la racine. Le corselet est arrondi sur le devant, applati au milieu -et élevé sur le derrière avec un bord arrondi et une pointe échancrée. Les manteaux des aîles •sont réunis, plats en haut, velus, inclinés sur le côté et à bords fortement dentelés. Les pattes sont noires. Le Cap de Bonne Espérance est la patrie de ce coléoptère, qui court très-vite, vole avec beaucoup de légèreté, se tient sous les pierres et se nourrit de petits insectes, surtout de mouches.
Fig. 2. La Cicindèle des forêts. (Cicindela sylvatica Linn.)
Ce coléoptère, dont le dessus du corps est •d'un bronze noirâtre -et le dessous d'un violet noir étincelant, avec de petits poils blanchâtres, n'a que 8 à9 lignes de long. Il abonde en Allemagne, surtout dans les forêts de bois blanc, mais il-est plus rare en France, et fait partie des coléoptères voraces.
Fig. 3. La Megacephale de la Caroline. (Megacephala Carolinensis Latr.)
La partie supérieure du corps de ce coléoptère, indigène à la Caroline, est couleur d'or, l'inférieure d'un vert purpurin, les antennes, la bouche, une tache en forme de croissant à l'extrémité des manteaux des aîles et les pattes spnt d'un jaune de rouille. •
Fig. 4. Le Collyris à long cou. (Collyris longicollis.)
Ce-coléoptère habite le royaume de Siam; il est d'un beau bleu à l'exception des cuisses qui sont couleur de rouille. Les manteaux des iîles, qui sont fortement ponctués, sont échanccés à l'extrémité.
Fig. 5. L'Anthie à quatre taches. (Anthia quadriguttata Fabr.)
Cette nnthie vit, comme les autres carabes (carabici Latr.), sous la terre, l'écorce des arbres, les pierres etc. Elle est noire, mais il se trouve sur chaque manteau deux taches blanches. Elle habite le cap de Bonne Espérance.
Fig. 6. Le canonnier commun. (Brachinus crepitans Fabr.)
Ce petit bupreste, dont la grandeur naturelle est désignée par la ligne adjacente, passe la plus grande partie de l'année dans les pays boisés sous les pierres. Il n'est rare ni en Allemagne ni en France. Dès qu'il se sent saisi, il lâche par l'anus une vapeur bleue, accompagnée d'une petite détonation, qui fait désister les plus grands carabes, ses ennemis, de toute poursuite ultérieure. Il réitère, s'il le veut, jusqu'à huit fois cette explosion, produite par un mécanisme particulier qui se trouve dans l'intérieur du corps.
Fig. 7. La Lebia à quatre taches. (Lebia quadrimaculata)
Les lebiae se tiennent en général sous les pierres et les écorces d'arbre. Cette charmante espèce, dont la ligne placée à côté de la Figure désigne la grandeur naturelle., n'est pas rare dans les contrées.sablonneuses et humides de l'Allemagne. On la trouve aussi, surtout en hiver, sous les vieilles écorces d'arbre.
Fig. 8. La Lebia à tête bleue. (Lebia cyanocephala Latr.)
Cette espèce se trouve aussi assez fréquemment en Allemagne sous les pierres et sur les bords des près. Les manteaux sont d'un bleu éclatant ou d'un gris-bleu. Le corps est assez large, noir en dessous et d'un éclat bleu. La ligne placée à coté de la figure en montre la grandeur naturelle.
Fig. 9. Le Zuphie rubanné. (Zuphium fasciolatum Latr.)
Le dessus du corps est d'un brun - rouge foncé, les antennes brunes, les yeux noirs. La tête et le corselet sont fortement ponctués, mais le dernier a dans le milieu un sillon noir et une empreinte sur le bord extérieur. Chaque manteau est orné de sept bandes sines et à la racine d'une tache ovale d'un jaune rouge. Les pattes et la partie postérieure du corps sont d'un brun de rouille. Cette espèce de coléoptères, dont la grandeur naturelle est désigné« par la ligne adjacente, est assez commune dans le midi de la France,
Ad00341 08 086aFig. 1 ist das Portrait eines gewissen Stoffel Speelmann aus dem Stamme der halbcivilisirten Hottentotten. Er gehörte zu Hrn. Burchell's Reisegesellschaft, und wurde von diesem Gelehrten, wegen seines characteristischen Aeussern, abgezeichnet. Er hatte 5 Fuss 7 Zoll Länge, also mehr als die Mittelgrösse seines Volkes, schmächtigen knochigen Körperbau und eine sehr gerade Haltung, die er sich wahrscheinlich während seines Soldatendienstes angeeignet hatte. Er besass viel Lebhaftigkeit für einen Hottentotten; sein Blick schien ungewöhnliche Klugheit und Gewandtheit zu verrathen und sein Alter ungefähr 40 Jahre zu betragen. Er hatte hervorragende Kinnbacken, eingefallene Wangen und eine platte, breite, weitoffenstehende Nase; der Mund war weit, mit dickaufgeworfenen Lippen versehen, das Kinn schmal und mit verschiedenen sonderbaren Höckern besetzt. Er galt für einen trefflichen Schützen und reiselustigen Mann. Sein ganzes Kostüm hat er sich nicht allein selbst erfunden, sondern auch selbst zugeschneidert. Seine Kappe war von Kalbfell, an welchem die Haare bei'm Garmachen stehen geblieben. Ausserdem trug er um den Kopf noch ein rothes baumwollenes Tuch und um den Hals ein lockergebundenes blaues. Lederne Hosen bedeckten den Unterkörper, eine blaue Tuchjacke den Oberleib. Ueber letztere war eine Kugeltasche, die er sich aus dem Felle eines Leoparden verfertigt hatte, geschnallt.~~Fig. 2 stellt einen Häuptling der Kora's oder Koranna's vor. Diese Völkerschaft gehört mit den Hottentotten zu einer Race, und wohnt theils unter den Griqua-Hottentotten, theils unter den Buschmännern, vorzüglich aber an den Ufern des Obertheils des Orangeflusses, wo sie die beste Waide für ihre zahlreichen Rinderheerden findet. Den Beschreibungen der neuesten Reisenden zufolge, sind die Koranna's ein friedlicher Menschenschlag, äusserst träge und von sehr geringer Intelligenz. Sie haben neuerdings um einen Missionär angehalten, und für den Fall, dass ihr Wunsch gewährt wird, sich zum Ackerbau zu bequemen versprochen. Der abgebildete Koranna-Häuptling trug um den Kopf ein Stück Leder, in Form eines Turbans gewickelt, und um den Leib einen ledernen Mantel, der sehr stark mit rothem Ocher und Fett bestrichen war. Um den Hals waren verschiedenfarbige Glasperlschnuren geschlungen, und an denselben ein Messer und die Schaale einer kleinen Schildkröte befestigt, die als Schnupftabaksdose diente. Handgelenk und Vorderarm waren mit Perlenschnuren, Stricken von Acacienrinde und einem breiten elfenbeinernen Ringe verziert. In der Hand erblickt man den Hassagai und Kirri (Spiess- und Wurfkeule)und im Gesicht den Ausdruck der Gutmüthigkeit~~197
Ad00341 08 086a/freMélanges CCLXXIX. Bd. X. No. 84.
INDIGÈNES DE L'AFRIQUE MÉRIDIONALE.
Fig. 1, est portrait d'un nommé Stoffel Speelmaiin, issu de la race des hottentots à demi civilisés. Faisant partie de la société de voyage de M. Burchell, il fut peint par ce savant à cause du caractéristique de son extérieur. Il avoit 5 pies 7 pouces, ainsi pins que la grandeur moyenne de son peuple. Son corps, quoique fort en os, étoit maigre. Cet homme, qui pou voit avoir près de 40 ans, se tenoit très-droit, coutume qu'il avoit sans doute contractée au service; il avoit beaucoup de vivacité pour un hottentot et son regard décéloit une adresse et une prudence extraordinaire. Is avoit les mâchoires saillantes, les joues rentrées, le nez plat et large, les narines très-ouvertes, la bouche grande, les lèvres grosses et retroussées, le menton étroit et déFiguré par de petites bosses. Il passoit pour un excellent tireur et aimoit beaucoup à voyager. Il avoit non seulement inventé mais fabriqué lui-même tout son costume. Sa cape étoit de peau de veau à laquelle tenoient encore les poils. Il portoit outre cela autour de la tête un mouchoir de coton rouge, et un mouchoir bleu étoit légèrement passé autour du cou. Ses culottes étoient de peau et sa jaquette de drap bleu. Il attachoit sur cette dernière une giberne qu'il s'étoit saite de la peau d'un léopard. .
Fig. 2 représente un chef des Kora ou Koranna. Cette peuplade, qui est de la même race que les hottentots, habite en partie au milieu des Griqua-hottentots, et en partie au milieu des brigands, mais elle se tient surtout sur les rives de la partie supérieure du fleuve d'orange, qui lui fournissent les meilleurs pâturages pour ses nombreux troupeaux de boeuf. Les Koranna sont, d'après les descriptions les plus récentes des voyageurs, d'un caractère pacisique, extrêmement indolents et très-peu intelligents. Ils viennent de demander un missionaire, en promettant de s'adonner à l'agriculture, si l'on exaucoit leur voeu. Le chef queFigure notre planche portoit autour de la tête un morceau de peau ployé en forme do turban et autour du corps un manteau de cuir fortement enduit de graisse et d'ochre rouge. Des colliers de perles de diverses couleurs décoroient le cou, auquel pendoient un couteau et l'écaillé d'une petite tortue, qui lui servoit de tabatière. La jointure des mains et l'avantbras étoient ornés de bracelets de perles, de cordons d'écorco d'acacia et d'une large bague d'ivoire. Il tient dans la main le Hassagai et le Kirri (le javelot et la massue), La bonté est empreinte sur son visage.
Ad00341 08 087aDie Hauptstadt von der Türkischen Provinz Aegypten, liegt unter 48° 58' 30". östl. L. und 30° 2' 4" N. Br. auf dem Ostufer des Nils, da wo sich dieser Strom in mehrere Arme theilt, um das Delta zu bilden.~~Ihre Gründung verdankt sie Giaffar, einem Feldherrn des ersten fatimitischen Sultans (a. 968.), ihren Namen dem Umstand, dass gerade damals der Planet Kaher (Mars) sich über dem Horizonte zeigte. .~~Die Stadt besteht auf 3 Theilen, welche unsere Ansicht deutlich entwickelt: dem eigentlichen Kahira im Mittelpunkte, Masr el Attik oder Altkahira im N.W. und Bulak, dem Hafen der Stadt, im S. 0., hart am Strome. Jenseits desselben sieht man Ghiza, das auch wohl als eine Vorstadt angesehen wird; und daneben im Hintergrunde jene berühmten Pyramiden, das Einzige, was uns von dem alten berühmten Memphis übrig geblieben ist.~~Kahira gilt im Oriente für eine prächtige Stadt, ist es aber nach unseren Begriffen keineswegs. Der Raum den es einnimmt, ist nicht bloss mit Häusern, sondern auch mit Gärten und Feldern angefüllt; die Strassen sind enge, krumm, un gepflastert, und daber voller Pfützen, die Mauern und Thore verfallen u. s. w. Die merkwürdigsten Gegenstände in der Stadt sind: die Festung nebst der Residenz; 720 Moskeen oder Dschamis, jede mit 1 oder mehrern Minarets geziert, 36 Synagogen, 12 Koptische, 2 Griechische und 2 katholische Kirchen, 1 Irrenhaus u. s. w. Die Volksmenge der Stadt schwankt zwischen 230,000 und 250,000 Individuen, die in etwa 40,000 Häusern wohnen. Unter ihnen mögen etwa 35,000 Kopten, 30,000 Juden, 10,000 Griechen und 4,000 Franken seyn. Der Rest ist ein Gemisch der mannichfachsten Mohamedanischen Nationen; Neger werden in grosser Menge als Sclaven gehalten. Die Stadt ist nicht ohne Kunstfleiss, und treibt beträchtlichen Handel, vorzüglich mit schwarzen Sclaven, welche aus dem innern Afrika dahin geführt werden.~~197
Ad00341 08 087a/freMélanges. CCLXXX. Vol. X. No. 85.
LE CAIRE EN EGYPTE.
La Capitale de l'Egypte, province de l'empire de Turquie, placée sous le 48° 58' 30" de longitude orientale et sous le 30° 2' 4" de latitude septentrionale, est située sur la rive orientale du Nil, là où ce fleuve se divise en plusieurs hranrhes pour former le Delta. • Elle a été sondée en 968' par Giassar, général du premier sultan- de la famille des Fatimes, et elle doit son nom à l'apparition de la planète Kaher (Mars)qui dominoit alors sur l'horizon., La ville se compose de 3 parties, très-distinctement figurées par notre planche, savoir: le Caire proprement dit au centre, Masr el attik ou le vieux Caire au Nord-ouest; Bulach, port de la ville, sud-ouest tout près du fleuve, et l'on distingue sur l'autre rive du îleuve Ghiza, qui peut passer pour un faux bourg, et à côté, mais dans le fond, ces célèbres pyramides, seuls restes de l'antique Memphis, Le Caire passe en' Orient pour une ville magnifique, qualité que nous sommes très-éloignés de lui attribuer. L'espace qu'il renferme contient non seulement des maisons, mais encore des jardins et même de9 champs; les rues en sont étroites, tortueuses, non pavées et pleines de bourbiers; les murs et les portes tombent en ruine. Les objets les plus remarquables qu'offre la ville sont: la forteresse et la résidence, 720 mosquées ornées d'un ou de- plusieurs minarets; 36 synagogues; 12 églises koptiques, 2 grecques, 2 catholiques, une maison des aliénés, etc. La population varie de 230,000 à 250,000 âmes, qui occupent près de 40,000 maisons. 11 peut y avoir parmi ces habitants 35,000 Koptes, 30,000 juifs, 10,000 grecs et 4,000 francs. Le reste se compose d'un mélange de diverses nations mahométanes et on y trouve grand nombre de nègres qui servent d'esclaves. Cette ville qui n'est, pas sans industrie fait un très-grand commerce, surtout en esclaves noirs, qui lui viennent de l'intérieur de l'Afrique.
Ad00341 08 088aFig. 1. Die Meerkatze mit strahligem Haar, oder der Tock. (Cercopithecus radiatus Geoff.)~~Diese Meerkatze hält sich an der Küste von Malabar auf, ist grösstentheils grün, unten aber grau. Die Schnauze ist lang, die Stirn platt und gerunzelt. Vom Anfang des Schwanzes bis an den Nacken ist sie 13 Zoll lang, die Höhe gewöhnlich 1 Fuss 6 Linien. Die Haut der Hände spielt in's Violette; die nackten Seiten des Körpers sind blass fleischfarben. Auf der Stirn zeigen sich einige wenige Haare, auf der obern Lippe einige ganz kurze Bartborsten.~~Fig. 2. Der Vervet. (Cercopithecus Pygerytha Geoff.)~~Der Vervet ist eine grüne Affenart, mit dem Kallitrix und Malbruck verwandt. Die Gesichtsfarbe ist schwarz; an den Backen hat er weisse Haare; an allen 4 Füssen schwarze Hände; den After umgeben dunkel gelbrothe Haare. Alle obern Theile sind grüngrau, die unteren weiss. Er hält sich, fern von menschlichen Wohnungen, in Wäldern am Cap der guten Hoffnung auf.~~Fig. 3. 4. u. 5. Der Drill. (Invus leucophaeus Fr. Cuvier.)~~Das Vaterland dieses Affen ist Ostindien. Fig. 3. stellt ein Männchen; Fig. 4. ein Weibchen und Fig. 5. ein altes Männchen vor. Das Männchen weicht durch Grösse, längern Kopf und dunklere Farbe des Pelzes vom Weibchen ab. Die Höhe des Männchens beträgt am Hintertheil 22 Zoll, bei'm Weibchen dagegen unter 16 Zoll. Die Länge des Männchens vom Scheitel bis zu den Gesässschwielen 2 Fuss 2 Zoll, bei'm Weibchen nur 18 Zoll. Auch hat das Männchen eine Binde unter dem Halse, mit langen zarten Haaren bedeckt, deren unterer Theil grau, die obere Hälfte abwechselnd schwarz und gelb ist. Gesicht und Ohren sind nackt, so wie die Gesässschwielen und die Testikeln. Die Gesichtsfarbe ist schwarz, die Hände kupferfarben, die Gesässschwielen und Testikeln lebhaft roth. Das alte Männchen hat eine gedrungenere Gestalt, stärkern Bart und sehr grossen Kopf.~~198
Ad00341 08 088a/freMammifères. CXI. Bd. X. No. 86.
SINGES REMARQUABLES.
Fig. 1. Le Toque. (Cercopithecus radiatus Geoff.)
La plus grande partie du corps de ce singe, qui habite la côte du Malabar est verte, mais le dessous est gris. Le museau est long et le front plat et ridé. De la racine de la queue jusqu'à la nuque, il a 13 pouces de long et peut avoir 1 pie 5 lignes de haut. La peau des mains se perd dans le violet. Les côtés nus du corps sont d'une couleur de chair pâle. On apperçoit sur le front quelques poils et sur la lèvre supérieure quelques soies courtes.
Fig. 2. Le Vervet. (Cercopithecus Pygerytha Geoff.)
Le Vervet est une espèce verte de singe très - rapprochée du Kallitrix et du Malbrouk. Le noir est la couleur du visage, cependant les joues sont couvertes de poils blancs; les mains des quatre pies sont noires et l'anus est entouré de poils d'un rouge jaune foncé. Toutes les parties supérieures sont d'un gris vert et les insérieures blanches. Il habite les forêts du cap de Bonne Espérance, à une grande distance des habitations humaines.
Fig. 3. 4. u. 5. Le Drill. (Invus leucophaeus Fr. Cuvier.)
Les Indes orientales sont la patrie de ce singe, dont le mâle est figuré à No. 3.,.la femelle à No. 4. et un vieux à No. 5. Le mâle se distinguo de la semelle par sa grandeur, la longueur de la tête et la couleur plus soncée de la fourrure. Le mâle mesuré à la partie postérieure a 22 pouces de long, tandis que la semelle n'en a que 16. Du sommet de la tête aux sesses, le mâle a 2 pies 2 pouces de long, et la semelle n'en a que 18. Le mâle a également autour du cou une bande de poils longs et fins, dont la partie inférieure est grise et la partie supérieure alternativement noire et jaune. Le visage et les oreilles sont nus de même que les fesses et les testicules. Le visage est noir, les mains sont couleur de cuivre, les fesses et les testicules d'un rouge vif, Le vieux mâle est beaucoup plus ramassé, sa barbe est plus sorte et sa tête très-grande.
Ad00341 08 089aFig. 1. Der Javanische Bienenfresser. (Merops urica Horsf.)~~Sein Vaterland ist Java und Ceylon, die Grösse noch einmal so gross, als der hier abgebildete; der obere Theil des Kopfs und der Nacken rothbraun; der Rumpf und die oberen Schwanzdeckfedern blassblau, die Kehle und der obere Theil des Halses schwefelgelb, mit einem schmalen rothbraunen und schwarzgeschuppten Halsband. Unten ist er gelbgrün, Flügel und Schwungfedern ebenfalls grün, mit einer stärkern Mischung von Dunkelgelb. Der Schwanz ist grün und gabelförmig, der Bauch bläulichweiss. Der schwarze Schnabel hat an den Mundwinkeln eine Reihe kurzer steifer Borsten. Er lebt von im Fluge gefangenen Bienen und Wespen und nistet in selbst gegrabenen Höhlen an den Ufern der Flüsse.~~Fig. 2. Der allfarbige Eisvogel. (Alcedo omnicolor Reinw.)~~Rücken, Schultern, Bauch und Unterleib sind azurblau; die kleinen Deckfedernder Flügel schwarz, so wie die grüssern und die letztem am äussern Rande, tiefblau. Die innere Seite der Flügel ist weiss. An der Kehle ist er kastanienbraun; Kopf u. Wangen sind schwarz; der Hinterkopf azurblau, der Schwanz ist oben ultramarinblau, unten schwarz. Schnabel und Füsse sind korallenroth. Seine ganze Länge beträgt 10 Zoll. Er lebt auf Java, nährt sich von Fischen, Wasserinsecten, Würmern und Schnecken und nistet in Erdhöhlen an den Ufern der Flüsse.~~Fig. 3. Der zimmtfarbige Eisjäger. (Halcyon cinnamominus Swains.)~~Die Länge dieses, in Neuseeland wohnenden Vogels beträgt 10 Zoll; Kopf, Nacken und die untere Seite des Körpers ist lederfarben, so wie auch die untern Deckfedern der Flügel. Die Oberseite des Körpers, so wie Flügel und Schwanz, sind blaugrün; die Federn auf den Ohren dunkelgrün und stehen mit einem schmalen schwarzen Halsbande im Nacken in Verbindung. Die Iris ist gelb, der Schnabel schwarz, dessen Unterkiefer an der Wurzel weisslich und die Füsse schwarzbraun. Er lebt grösstentheils von Insecten und hält sich nicht viel am Wasser auf.~~Fig. 4. u. 5. Horsfield's Eurylaimus. (Eurylahnus Horsfieldii Temm.)~~Dieser Vogel lebt auf Java und Sumatra an Flüssen und Seen in ungangbaren waldigen Gegenden von Insecten und Gewürmen. Das Mannchen hat einen braunen Rücken, der am Ende in Schwarz übergeht. Auf den Schultern, so wie auf den Rückenfedern, ist er citronengelb; der Schwanz ist schwarz, vorzüglich die beiden mittelsten Federn, indess die übrigen grosse Flecken gegen das Ende haben; die untern Deckfedern des Schwanzes sind reingelb. Am Kopfe, auf den Wangen gehen die schwarzen Federn in das Purpurschwarze über. Die Füsse sind dunkelrothgelb, die Nägel braun und der Schnabel braunroth. - Das Weibchen (Fig. 5.) ist auf dem Kopfe, im Nacken und auf den Flügeln braun mit gelben Flecken, die jedoch auf letzteren weniger gross und blässer sind, als bei'm Männchen; Kehle und Brust sind aschgrau und gelblich gemischt; auf den Federn des Bauchs und der Seite aber mit einem leichten purpurfarbenen Anstrich.~~198
Ad00341 08 089a/freOiseaux. CXIV. Vol. X. No. 87.
JOLIS OISEAUX ÉTRANGERS.
Fig. 1. Le Guèpier de Java. (Merops urica Horsf.)
Les îles de Java et de Ceylon sont la patrie de cet oiseau qui est une sois plus grand qu'il n'est dépeint sur la planche ci-jointe. Le haut de la tête et la nuque sont d'un,brun rouge; le tronc et les plumes qui couvrent le dessus de la queue, d'un bleu pâle; la gorge et la partie supérieure du cou d'un jaune de soufre, avec un collier peu large à écailles brunes et noires. Le dessous du corps est d'un vert jaune, les aîles et les pennes sont également vertes, cependant le mélange du jaune foncé y est plus sensible. La queue est verte et fourchue et le ventre d'un blanc bleuâtre. Le bec est noir et l'on distingue aux angles de la bouche une raie de soies courtes et roides. Cet oiseau se nourrit d'abeilles et de guêpes, qu'il prend en volant et niche dans des trous qu'il creuse lui-même sur les bords des rivières.
Fig. 2. Martin pecheur omnicolor. (Alcedo omnicolor Reinw.)
Le dos, les épaules, le ventre et bas-ventre sont bleus d'azur; les petites plumes qui couvrent les aîles noires, et les plus grandes, ainsi que les dernières du bord extérieur d'un bleu foncé. Le dessous des aîles est blanc, la gorge d'un beau châtain, le derrière de la tête bleu d'azur, la tête et les joues noires. Le dessus de la queue est d'un bleu ultramarin et le dessous noir. Le bec et les pattes sont d'un rouge de corail. Cet oiseau, qui alO pouces delong, est indigène àl'îledeJava, où ilsenourrit de poissons, d'insectes aquatiques, de verset de limaçons et niche dans des trous le long des fleuves.
Fig. 3. Martin jasseur couleur de canelle. (Halcyon cinnamominus Swains.)
Cet oiseau, qui habite la Nouvelle Seelande, a 10 pouces de long; la tète, la nuque et le dessous du corps sont couleur tanné, ainsi que les plumes du.dessous dos aîles. La partie supérieure du corps, les aîles et la queue sont d'un vert-bleu. Les plumes sur les oreilles sont d'un vert-soncé et sont en communication avec une petite bande noire dont la nuque est décorée. L'iris est jaune, le bec noir, la mâchoire insérieure blanchâtre à la racine et les pattes sont d'un brun noir. En général il se nourrit d'insectes et séjourne rarement près de l'eau.
Fig. 4. et 5. L'Eurylaime de Horsfield. (Eurylaimus Horsfieldii Temm.)
Cet oiseau, indigène aux îles de Java et de Sumatra, se tient le long des rivières et des lacs dans des contrées inaccessibles couvertes de forêts, et se nourrit d'insectes et de vers. Le dos du mâle est d'un brun qui se perd à l'extrémité dans le noir; les plumes des épaules, ainsi que celles du dos sont d'un jaune de citron; la queue est noire, surtout les deux plumes du milieu, car les autres ont à leur extrémité de grandes taches; les plumes qui couvrent le dessous de la queue sont d'un jaune pur; celles de la tête et des joues d'un noir qui se perd dans le noir de pourpre; les pattes d'un jaune- rouge soncé; les ongles brunes, et le bec est d'un rouge brun. —I La tête, la nuque et les ailes de la femelle (Fig. 5.)sont brunes avec des taches jaunes, moins grandes et moins vives cependant que celles du mâle; la gorge et la poitrine d'un gris cendré avec un mélange de jaune; les plumes du ventre et des slancs ont unesoible nuance de pourpre.
Ad00341 08 090aWir sehen hier mehrere, den Laufkäfern, welche Taf. 83. dieses Bandes abgebildet wurden, verwandte Käfer.~~Fig. 1. Die rothfüssige Siagone. (Siagona rusipes Latr.)~~Dieser Käfer lebt in der Berberei, ist braunschwarz, punktirt, Fühler und Füsse sind rothbraun.~~Fig. 2. Der Riesenscarites. (Scarites Gigas Oliv.)~~Er hat keine Flügel und ist von glänzend schwarzer Farbe. Der Kopf ist platt mit 2 Eindrücken und 3 kleinen Runzeln auf der Stirn. Das Brustschild hat in der Mitte eine Furche, hinten aber an jeder Seite einen Zahn; die Flügeldecken sind glatt. Er ist an den Küsten des Mittelländischen Meeres gemein.~~Fig. 3. Die sandliebende Clivine. (Clivina arenaria Latr.)~~Von schwärzlicher oder hellbrauner Farbe, sind die Fühler und Palpen rostgelb; der Kopf braunroth mit einem Eindrucke auf jeder Seite; das Brustschild glatt, glänzend, mit einer Furche in der Mitte; die Füsse sind rostfarben; die Flügeldecken haben Punktlinien. Sie lebt in Teutschland an sandigen Usern.~~Fig. 4. Der rothfühleriche Schnellkäfer. (Harpalus rusicornis Latr.)~~Dieser Käfer ist in Teutschland zu Hause; die Farbe ist oben pechschwarz, unten rothbraun; die Palpen, Fühler und Beine sind blässer; der Kopf ist gross und glatt; das Brustschild hat ein rothbraunes Rändchen; die Flügeldecken sind mit gelbgrauen Härchen besetzt. Er ist geflügelt und nährt sich von Raupen und Regenwürmern.~~Fig. 5. u. 6. Der gewölbte Rückenkäfer (Zabrus gibbus Bonelli.)~~hat einen gewölbten Körper, dessen Unterseite nebst Palpen, Fühlern und Beinen pechbraun, die Oberseite schwarz und mässigglänzend ist. Er richtet durch Abnagung der jungen Sprösslinge und Wurzeln der Getraidearten Teutschlands oft grossen Schaden an. Fig. a. stellt die Larve und Fig. b. die Puppe vor.~~Fig. 7. Der gemeine Kopfkäfer. (Broscus cephalotes Panz.)~~Er ist schwarz und glänzend; an den Augen und auf der Stirne punctirt, das Brustschild herzförmig. Er lebt iu Erdlöchern.~~Fig. 8. Der Erdstriemenkäfer. (Molops terricola Bonell.)~~Von Farbe oben schwarz, unten pechbraun, sind die Fühler und Beine rothbraun; das Brustschild ist herzförmig mit einem aufgeworfenen Rande; die Flügeldecken sind glatt. Man findet ihn in verschiedenen Gegenden Teutschland's unter Steinen.~~Fig. 9. Der stricheliche Bretkäfer (Abax striola Bonell.)~~hält sich unter Steinen, in den Wäldern Teutschland's auf. Er ist schwarz und glänzend; die Fühler vom vierten Gliede an braun, das Brustschild fast viereckig; die Flügeldecken glattgefurcht. Die Weibchen unterscheiden sich durch flachere, nach hinten zu erweiterte Flügeldecken~~198
Ad00341 08 090a/freInsectes. XCV. Bd. X. No. 88.
COLÉOPTÈRES CURIEUX.
La planche ci-jointe représente plusieurs carabes qui ont beaucoup d'asfinité avec ceux qui ont été
Figurés sur la 83^ planche de ce volume.
Fig. 1. La Siagone à piès rouges. (Siagona rusipes Latr.)
Ce coléoptère, qui vit dans la Barbarie, est d'un noir brun, ponctué; les antennes et les pies sont d'un brun rouge. \
Fig. 2. Le Scarites géant. (Scarites Gigas Oliv.)
D'un beau noir éclatant, sans ailes. La tête est platte avec 2 enfoncements et 5 petites rides sur le front. On trouve un sillon au milieu du corselet, qui est pourvu sur le derrière d'une dent de chaque côté. Les elytres sont unis. Il n'est pas rare sur les côtes de la Mé» diterranée.
Fig. 3. La Clivine arenaire. (Clivina arenaria Latr.)
Elle est noirâtre ou d'un brun clair; les antennes et les palpes sont d'un jaune de rouille; la tête d'un rouge brun a un enfoncement de chaque côté. Le corselet sillonné au milieu est uni et éclatant; les pies sont couleur de rouille, et les elytres ont des lignes ponctuées. Elle vit en Allemagne sur les rivages sablonneux.
Fig. 4. Le Harpale à antennes rouges. (Harpalus rusicornis Latr.)
Ce Coléoptère, indigène à l'Allemagne, a le dessus du corps d'un noir de poix et le dessous d'un brun rouge; les palpes, les antennes et les jambes sont plus pâles; la tête est grosse
Fig. et unie; le coTselet est bordé d'un brun rouge; et les elytres sont couverts de petits poils d'un gris-jaune. Il est allé et se nourrit de chenilles et de vers.
Fig. 5. et 6. Le Zabre vouté. (Zabrus gibbus Bonelli.)
Le corps, dont le dessous, les palpes, les antennes et les jambes sont d'un brun de poix, et le dessus noir et d'un éclat médiocre, est voûté. Il ronge les germes et les racines des diverses espèces de blé, aussi sait-il souvent de grands dégâts en Allemagne, a, en figure la larve et b. la chrysalide.
Fig. 7. Le Brosque grand tête. (Broscus cephalotes Banz.)
Il est d'un noir éclatant, ponctué autour des yeux et sur le sront, et le corselet est cordiforme. Il se tient dans des trous.
Fig. 8. Le Molops strié. (Molops terricola Bonell.)
Il est noir en haut et d'un brun de poix en bas; les antennes et les jambes sont d'un brun rouge; le corselet est cordiforme et à rebord saillant; les elytres sont unis. On le trouve sous des pierres dans diverses contrées de l'Allemagne.
Fig. 9. L'Abax strié (Abax striola Bonell.)
séjourne dans les forêts de l'Allemagne sous des pierres. Il est d'un noir éclatant, le corselet presque quadrangulaire; les antennes sont depuis la quatrième articulation brunes et les elytres à sillons unis. Les semelles se distinguent par leurs elytres qui sont plus plats et qui s'élargissent vers le derrière du corps.
Ad00341 08 091aWir sehen hier eine merkwürdige Pflanzenfamilie, welche sich dadurch auszeichnet, dass die dazu gehörigen Gewächse die Saamen an den Wurzeln tragen.~~Fig. 1. Das Sumpfbrachsenkraut. (Isoëtes lacustris. Linn.)~~Es hat eine knollige, mit Fasern besetzte Wurzel; die Blätter sind pfriemenförmig, spizzig, halb cylindrisch, gegliedert und stehen aufrecht. An der Basis befinden sich die Generations-Organe; die Saamenkapsel, einer Erbse gross, enthält pyramidenförmig dreiecktige Körner. Man findet es in den Holsteinischen Seen, wo es ein Fisch, der Brachse, bei'm Laichen aus der Tiefe heraufbringt. Fig. a. zeigt die weiblichen Fortpflanzungs-Organe in natürlicher Grösse. Fig. b. vergrössert, so wie c. den vergrösserten Saamen.~~Fig. 2. Die vierblättrige Marsilie. (Marsilea quadrifolia Linn.)~~Sie wächst in Teutschland im Junius und August auf sumpfigen und morastigen Plätzen, Stängel und Wurzel sind kriechend; aus den Achselwinkeln der Stängel kommen die gestielten Fructificationen hervor; das Laub gleicht den Blättern des Sauerklees. - Fig. a. zeigt die Fructification in natürlicher Grösse; b. vergrössert und querdurchschnitten; c. den vergrösserten Saamen.~~Fig. 3. Der gemeine Pillenfarn. (Pilularia globulisera. Linn.)~~Dieses ist eine kriechende Pflanze, die fadenförmige, nadeldicke, bei'm Ausbrechen zusammengerollte Blätter treibt und sich unendlich vermehrt. Man findet sie in ganz Europa auf sumpfigen Wiesen. Die Blüthezeit fällt in Juni und September, die Saamenreife in September und October. - Fig. (a.) zeigt die Fructification; (b.) eine aufgesprungene Kapsel vergrössert; (y.) eine noch ungeöffnete durchschnitten, wo oben die männlichen Fructificationstheile; (d.) letztere vergrössert, so wie unten die weiblichen; (e.) diese noch mehr vergrössert.~~(Fig. 4. Die gefiederte Azolle. (Azolla pinnata R. Brown.)~~Das Laub ist dreieckig; die obern Blättchen blasenförmig, die Wurzeln fadenartig. Sie wächst in Neuholland. -Fig. 4. stellt sie in natürlicher Grösse vor; a. die unter dem Deckblättchen liegende Kapsel; b. ein vergrössertes Blättchen; c. die Staubkapsel; d. diese im Durchschnitt; e. eine ausgesprungene Körnerkapsel und f. ein geöffnetes Körnchen mit seinem Stiele, sehr vergrössert.~~Fig. 5. Die schwimmende Salvinie. (Salvinia natans.)~~Sie wird oft in Teutschland in Sümpfen und Gräben gefunden und überzieht das Wasser wie die Meerlinsen. Die Aeste sind gegliedert und haben an den Gelenken einfach entgegenstehende Blätter. - Fig. A., eine vergrösserte Kapsel; B. noch mehr vergrössert, geöffnet und mit Saamenkörnern angefüllt.~~198
Ad00341 08 091a/frePlantes. CLXIX. Vol. X. No. 89.
PLANTES REMARQUABLES.
La plancha ci-jointe figure une samille de plantes très-remarquable, dont le caractère distinctif est que tous les espèces qui en font partie portent les semences à leurs racines.
Fig. 1. Isoëtes des marais. (Isoëtes lacustris Linn.)
La racine tuberculeuse est pourvue de filaments; les feuilles formées en lène sont pointues, demi- cylindriques, articulés et perpendiculaires. C'est à la base que sont placés les organes générateurs, et la capsule, de la grosseur d'un pois, contient des graines triangulaires et pyramidales. On trouve dans les lacs du Holstein cette plante, que la Brème amène en frayant du fond du lac à la surface. Fig. a. contient les organes générateurs de la semelle dans leur grandeur naturelle. Fig., b. grossis, et Fig. c. la semence grossie.
Fig. 2. La Marsile à quatre feuilles. (Marsilea quadrifolia Linn.)
Elle croît en Allemagne dans des endroits bourbeux et marécageux aux mois de juin et d'août. Sa tige et les racines sont rampantes et c'est des aisselles de la tige que sortent les fructifications pédiculées. Son feuillage ressemble aux feuilles de la surelle.Fig. a, représente les fructifications dans leur grandeur naturelle; b. grossies et diagonalementcoupées; c. les semences grossies.
Fig. 3. La pilulaire globulifère. (Pilularia globulifera Linn.)
C'est une plante rampante qui pousse des feuilles filiformes, de la grosseur d'une aiguille, roulées à leur sortie et qui se multiplie à l'infini. On la trouve dans toutes les prairies marécageuses de l'Europe. Elle fleurit aux mois de juin et de septembre et les semences sont mûres aux mois de septembre et d'octobre. Fig. ce. représente la sructification; ss. une capsule ouverte grossie; y. une capsule non ouverte coupée, où les organes mâles de la fructification sont en haut; 6. la dernière grossie, où les organes semelles sont en bas; e, ceux-ci encore plus grossis.
Fig. 4. L'Azolle pinnée. (Azolla pinnata R. Brown.)
Le feuillage est triangulaire, les feuilles supérieures sont vésiculaires et les racines filiformes. Elle croît dans la Nouvelle-Hollande. —Figure 4. la représente dans sa grandeur naturelle; a. la petite capsule placée sous les petites feuilles qui l'abritent; b. une petite feuille grossie; c. la capsule remplis de poudre d. celle-ci en diamètre; e. une capsule de graines ouverte, ets. une graine ouverte avec un pédicule très-grossie.
Fig. 5. La Salvinie flottante. (Salvinia natans.)
Se trouve sréquemment dans les marais et fossés de l'Allemagne et recouvre l'eau comme la lentille d'eau, Les branches sont articulées, et il se trouve aux articulations des feuilles isolées opposées.
Fig. a. représente une capsule grossie; b. plus grossie encore, ouverte et pleine de graines.
Ad00341 08 092aDiese merkwürdige Höhle ist von dem Dorfe Gailenreuth, unweit Muggendorf bei Bamberg, südwestlich eine kleine halbe Stunde entfernt und befindet sich im sogenannten Höhlenberge. Der Eingang, durch die auf der unteren Figur dargestellte Felsenwand, ist wohl 6 1/2 Fuss hoch und 17 F. breit, und zeigt noch Spuren einer alten Mauer, durch die er früher wohl verschlossen gewesen ist. Alte Sagen erzählen, dass die Höhle den ersten Christen zu einem Versammlungsorte gedient hätte, oder auch, dass Heiden Zuflucht gegen die Verfolgungen der Christen darin gefunden hätten. Soviel ist gewiss, dass man noch jetzt Menschenknochen und Fragmente von Urnen findet. - Die obere Figur auf dieser Tafel stellt das Innere der Höhle im Durchschnitt nach einer Zeichnung vor, welche Professor Buckland im Jahr 1816 an Ort und Stelle aufnahm. A. ist der Eingang der Höhle, durch welchen man in eine grosse Halle von mehr als 300 Fuss tritt. Ein langer Gang führt in den grossen Höhlenraum B, wo viele Bärenknochen auf dem Boden zerstreut liegen. Durch eine senkrecht abfallende Kluft gelangt man in den zweiten Höhlenraum C, und durch eine weite Oeffnung D geht es von der zweiten Höhle schräg in die Tiefe, wo man ganze Wagenladungen loser Knochen findet, dagegen die Masse E eine Breccie, meistens aus Knochen und Stalagmiten zusammengesetzt, enthält. Die Kammer C steht durch einen langen und engen Gang, F, in Verbindung, der oft so eng ist, dass man auf Händen und Füssen kriechen muss. Durch die senkrechte Spalte G, durch die man nur mit Lebensgefahr kommt, gelangt man in einen ovalgewölbten Raum, H, der künstlich durch Ausgraben von Knochen und Schädeln auf der gedachten Breccie entstanden ist. - Es sind eigentlich 6 Höhlen, die der Lage nach einen Halbzirkel bilden. Schon in der 5. Höhle merkt man eine dicke Luft und einen aashaften Geruch; bei längerm Verweilen in der Tiefe werden die frischesten Gesichter der Besuchenden leichenblass. - Dem Dr. Rosenmüller und dem Professor Esper in Erlangen verdankt man zuerst sichere Nachrichten über diese Höhle.~~198
Ad00341 08 092a/freMélanges. CCLXXXI. Vol. X. No. 90.
LA CAVERNE DE GAILENREUTH
Cette caverne est au sud-ouest, a une pe- On arrive par une sente perpendiculaire dans la tite demi-lieue du village de Gailenreuth, non second espace C et par une large ouverture D loin de Muggendorf, près de Bamberg et se on va obliquement de la seconde caverne dans trouve dans la soi-disante montagne des caver- l'abyme, où se trouvent des charges entières nés. L'entrée, qui a 6s pies de haut sur 17 de d'os détachés, au lieu que E est une masse torala. rge, ofsre encore des traces d'un ancien mur posée pour la plus grande partie d'os et de staquiavoit apparemment été construit pour la fer- lagmites, La chambre C est en communicamer. D'après d'anciennes traditions, cette ca- tion par une longue et étroite galerie F souvent verne auroit servi de lieu de rassemblement aux si étroite, qu'il faut aller à quatre pattes. On premiers chrétiens, et selon d'autres les païens parvient par la sente verticale G, que l'on ne y auroient cherché un nsyle contre les persécu- passe qu'au péril de la vie, dans un espace ovations de ceux-ci. Ce qu'il y a de certain, c'est lement voûté //, que l'on s'est procuré en enlequ'on y trouve encore denos jours des ossements vant des os et des crânes delà masse sus-dite, humains et des fragments d'urnes. —• La sigu- A proprement dire, il y a 6 cavernes, qui forre supérieure de cette planche représente l'inté- ment un demi-cercle. Dès la cinquième caverrieur de la caverne d'après un plan levé sur les ne l'air est si épais, et l'odeur de charogne si lieux en 1816 par le professeur Buckland, A insupportable. que les visages les plus éclorés des est l'entrée de la caverne, par laquelle on arri- voyageurs qui restent quelque tems dans l'abyve dans un grand portique de plus de 300 pies, me sont à la sortie pâles comme la mort. — Une longue galerie conduit dans le plus vaste C'est au docteur Rosenmüller et au prosesseur espace de la caverne B, où l'on trouve beau- Esper d'Erlangen que nous devons les premiècoup d'ossements d'ours disséminés sur la terre, res notices certaines touchant xette caverne.
Ad00341 08 093aFig. 1. Die grüne Calyptomene. (Calyptomena viridis Reinw.)~~Dieser Vogel bewohnt die einsamen Wälder von Singapora und das Innere von Sumatra, hält sich nur in den höchsten Spitzen der Bäume auf und wird daher selten geschossen. Seine Grösse beträgt über 6 Zoll; die Hauptfarbe ist ein glänzendes Grün. Die Federn des Kopfs, nach vorn gerichtet, bedecken fast den Schnabel; die Flügel sind grün, mit 3 sammetschwarzen Queerbinden, und nicht länger, als der Leib. Der Schwanz ist kurz und gerundet, besteht aus 10 Federn, die oben grün, unten bläulichschwarz sind. Der kurze und weisse Schnabel ist an der Spitze hakenförmig und hat daselbst eine tiefe Kerbe, die Augen sind gross, die Iris bläulich und die Füsse bläulichschwarz. Das Weibchen weicht im Aeussern nicht vom Männchen ab. Er nährt sich von Sämereien und Vegetabilien.~~Fig. 2. Die gehaubte Timalie. (Timalia pileata R.)~~Sie bewohnt Java, hält sich in der Nähe der Dörfer auf, nistet in Hecken und wird, wegen ihres Gesanges, gern gesehen. Die Grösse betragt 6 3/4 Zoll; die obere braune Farbe derselben spielt in's Olivenfarbene, unten ist sie ziegelfarbig, in's Graue spielend. Der Kopf ist kastanienbraun; Kehle und Gurgel weiss. Dieselbe Farbe umzieht auch die Flügel als ein schmaler Saum. Die kleinen Flügeldeckfedern, so wie die Federn auf Nacken und Rücken, sind nach unten zu graubläulich. Der Schnabel ist schwarz und glänzend, die Füsse braun.~~Fig. 3. Die kehlfleckige Timalie. (Timalia gularis.)~~Das Vaterland dieses Vogels ist Sumatra; seine Länge beträgt 5 Zoll. Die Hauptfarbe der obern Theile ist braun, welches auf Nacken und Rücken in's Olivenfarbene übergeht; die untere Seite ist gelblich, an der Brust und Gurgel mit schwarzen Linien gezeichnet. Die Augen umgiebt ein grauer Fleck; der Schnabel ist braun, die Füsse braungrau.~~Fig. 4. u. 5. Der mennigrothe Fliegenfänger. (Muscicapa miniata Temm.)~~Er lebt in den Gebirgsgegenden der Insel Java. Lebensweise und Gewohnheiten sind noch unbekannt. Er ist 7 Zoll lang; der Scheitel und die Kehle sind schwarz, in's Stahlfarbene schillernd; Nacken, Rücken, Flügel roth, schwärzlich nüancirt, der untere Theil zinnoberroth, der Schwanz ist lang, aber alle Federn sind gleichmässig abgestumpft, an der Wurzel schwarz, von der Mitte an zinnoberroth, die 4 mittleren ausgenommen, die ganz. schwarz sind. Schnabel und Füsse sind schwarz, wie bei den Europäischen Fliegensängern. - Das Weibchen ist fast eben so gezeichnet, nur das Roth weniger lebhaft. Die Federn, der Kehle sind hellroth.~~199